L’INSPIRATION SPIRITUELLE

Date: 56-0128 | La durée est de: 1 heure 38 minutes | La traduction: Shp
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1.         Merci, frère. Bonsoir, mes amis. Vous pouvez vous asseoir. Je suis très heureux d’être encore de retour ce soir à Owensboro pour saluer sœur… frère et sœur Rogers ainsi que des amis d’ici à Owensboro. Et nous sommes... nous pouvons avoir pensé bien des fois à vous tous ici, et je… Oh ! comme le Seigneur Jésus vous a bénis ! Et la dernière fois que j’étais ici, je ne pense pas que vous aviez fini votre bâtiment ici, et nous étions juste… Il y a maintenant un plancher en bois dur à l’intérieur, et c’est vraiment beau. C’est très beau.

2.         Et nous sommes heureux d’être ici ce soir, quoiqu’il fasse mauvais temps. Et l’autre jour, Satan me disait, il disait, c’était plutôt hier qu’il disait : « Tu sais, il y a trop de neige pour que tu te rendes là. Tu n’y arriveras pas. »

            J’ai dit : « Oh ! oui. Bien sûr que oui. » Le–le Seigneur nous a donné cette promesse-ci : « Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. » Oui. Elle est pour nous, cette promesse. Il ne s’agit donc pas de notre foi dans notre prière. Il s’agit simplement de notre foi en faisant ce qu’Il a dit. « Demandez au Père en Mon Nom, Je le… vous le recevrez ; cela sera accordé. Tout ce que vous demandez au Père en Mon Nom, vous le recevrez. » N’est-ce pas une merveilleuse promesse ? Cela nous procure un sentiment merveilleux, rien que d’y penser, que notre Bienveillant Père céleste, dans Sa bonté, nous a accordé ce privilège d’obtenir ce que nous voulons, ce que nous désirons, tant que cela est dans Sa volonté, naturellement. Et nous savons que c’est Sa volonté, quand c’est conforme à Sa Parole. Alors, nous savons que c’est Sa volonté.

3.         Un prédicateur méthodiste, avec qui j’étais assis tout à l’heure dans la voiture, il y a quelques instants, celui qui m’a accompagné, un bon, un bien-aimé frère, lui, sa femme et sa famille… Et nous parlions de cela, juste avant d’entrer dans la salle. Et il disait que… J’ai dit que la première chose que je cherche toujours à savoir, Frère Collins, c’est–c’est savoir si c’est la volonté de Dieu ou pas de faire une certaine chose, et ensuite, examiner mes motifs en faisant cela. Si je n’ai pas d’égoïsme, rien, et que je reconnais que c’est la volonté de Dieu et que je fais cela dans ce but-là, parce que c’est Sa volonté, alors Il ne me délaissera pas. Mais si c’est Sa volonté et que vous avez là un motif égoïste, c’est tout autant que si ce n’était pas Sa volonté ; en effet, cela ne marchera pas. Mais lorsque tous les canaux sont dégagés (voyez-vous ?), et qu’ils sont–qu’ils sont nettement débouchés, ils sont… tout est alors possible à celui qui croit.

4.         Beaucoup d’eaux ont coulé sous le pont par ici depuis la dernière fois que je vous ai vus. Je crois que ça fait quelque deux ans environ ou un an ? Environ deux ans. J’ai été là en Inde, en Suisse, en Allemagne, à beaucoup d’endroits, voyant le... notre Bien-Aimé et Aimable Père céleste amener les pécheurs à Son précieux flanc saignant, et Le voyant aussi guérir les gens et accomplir des miracles qui, naturellement, mènent à cela, à la–à la conversion. Et puis, après être revenu à la maison, je me reposais un peu et…

5.         Mon prochain service de guérison, à ce que je sache, sera donc à Old Mexico dans quelques semaines, là où il y a cette arène, à Mexico City, où se livrent des combats de taureaux. Nous sommes restés là du 18 au 25. Et alors, nous sommes, pour ainsi dire, en train de parcourir simplement le pays, rendant visite aux frères. Et votre pasteur ici a dit : « Pourquoi ne pas venir tenir une ou deux réunions pour nous ? » Et j’ai simplement renvoyé frère Vivert, mon cousin, qui habite là de l’autre côté de la rivière, j’ai dit : « Non, Frère Vivert, je ne peux pas venir. » Et environ deux jours après cela, j’ai dit : « Oui, Frère Rogers, je viendrai parce que je… » Il ne voulait pas me laisser dire non. Ainsi, frère Rogers et frère Vivert aussi, ils sont venus ce soir et ont dit : « Frère Branham, qu’en est-il ? »

            J’ai donc dit : « Juste un peu plus tard, Frère Vivert, nous allons vous prendre. »

6.         Combien connaissent frère Vivert ? Eh bien, c’est bien. Jamais je n’avais même su qu’il était mon propre cousin, jusqu’à il n’y a pas longtemps. C’est l’enfant de ma tante paternelle. Je–je ne savais donc pas cela. Tout ce que je savais, c’est qu’il s’appelait Vivert et qu’il était prédicateur par là, mais… Eh bien, il a dit : « Billy, ne me connais-tu pas ? » Il a dit : « Tu sais, ton–ton père et ma mère sont frère et sœur. »

            C’est une Branham pour vous. Voyez-vous ? Et alors, elle a épousé un Vivert et c’est ce–ce qui fait que lui est un Vivert et moi, un Branham. Nous étions donc… Et c’est néanmoins un bon garçon, un très bon, et un ami intime à frère–frère Rogers ici.

            Et pendant que je lui parlais ce soir depuis ma chambre, il a dit : « Dites à frère Vivert de monter chanter. » J’ai tout simplement dit : « Tu ferais tout aussi mieux de porter ta veste, Frère Vivert. » Alors il a dit : « Frère Branham, j’ai une réunion de prière avec quelqu’un. Je dois y assister. » Et alors, il a demandé qu’on l’en excuse. Car il retournerait à la réunion de prière ce soir. Ainsi donc, il était très heureux de savoir que frère Rogers allait être occupé pour le Seigneur. Dites donc, c’est un baptistère là-bas, n’est-ce pas, frère ? [Le frère dit : « Oui, oui. » – N.D.E.]

7.         Il y a quelque temps, un prédicateur méthodiste qui est assis, me regardant... Il rit maintenant. J’étais dans une Eglise méthodiste, et alors, cet homme, un pasteur méthodiste là, à Hyde Park, ou–ou la... je mentionne le nom : l’Eglise méthodiste de Park, à Jeffersonville. J’étais là pour lui rendre visite, j’allais prêcher pour lui une soirée. Il a dit : « Vous savez, j’ai été au tabernacle de Billy. » Et il a dit : « J’ai pris quelques personnes qui voulaient être immergées. » Et il a dit : « Nous sommes entrés dans ce–ce… » Il a dit : « Comment appelle-t-on cela ?»

            J’ai dit : « C’est un mot très difficile à prononcer pour un méthodiste : un baptistère. » Il avait un tout petit étang d’eau de cette dimension-ci, placé là, vous savez, et je pouvais pratiquement faire tarir cela à force de boire, si j’avais soif ; c’était là pour que les baptistes… J’ai dit que le baptistère est un mot très difficile à prononcer pour un méthodiste. Il a vraiment ri, il a dit : « Je pense qu’il nous faudra en avoir un par ici. » J’ai dit : « Eh bien, vous vous mettez en ordre. » On dirait donc que vous vous êtes déjà mis en ordre, Frère Rogers. C’est très bien.

8.         Je vous assure, la communion que nous avons, le frère, avec l’Eglise méthodiste de Main Street là, à New Albany, et ainsi… Lui et moi avions grandi ici dans le Kentucky, de part et d’autre d’un creux. Et il… Lorsque j’étais pasteur de l’église, eh bien, là à Jeffersonville, et que je gagnais quelqu’un, un converti, je disais… Ce dernier me disait : « Eh bien, Frère Branham, j’aimerais que vous m’aspergiez ; en effet, en voici la raison : eh bien, disait-il, tous les membres de ma famille étaient méthodistes et, disait-il, je veux être aspergé. »

            Je disais : « Eh bien, frère, vous ne ferez jamais un bon membre pour moi. » Voyez-vous ? Je disais : « Mais, j’ai le vieux frère Lum ici, c’est l’un des plus braves hommes qu’on ait jamais eus. » Et je disais : « Je vais simplement vous amener chez lui, et–et lui peut vous asperger. » Et je disais : « C’est un homme de bien. » Je disais : « C’est très sec là-bas, mais c’est une bonne église. »

            Alors, quand lui gagnait un converti, et que ce denier lui disait : « Eh bien, eh bien, Frère Lum, j’aimerais que vous me baptisiez, car les membres de ma famille étaient baptistes. » Il disait : « Vous savez, disait-il, vous ne ferez jamais un bon membre pour moi. » Mais il disait : « Mon frère Billy est là, à Jeffersonville, disait-il–disait-il, vous feriez mieux d’aller chez lui. » Il disait : « Je vous assure, disait-il, c’est un chien aquatique. » Il disait : « Il vous noiera, disait-il, il vous maintiendra [sous l’eau] jusqu’à ce que la dernière bulle d’air monte à la surface. »

            C’est donc... c’est ainsi que nous allons de l’avant. Et si le... si toutes les églises pouvaient vivre comme cela, ne serait-ce pas… Nous commencerions le Millénium en ce moment-ci, n’est-ce pas ? Quand tous pourront avoir communion les uns avec les autres, pendant que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute iniquité, n’est-ce pas merveilleux ? Et il en sera ainsi.

9.         C’est vraiment dommage de penser, en voyageant à travers le monde et en voyant l’état des choses… Et peut-être que demain, à la réunion de l’après-midi et à celle du soir, je désire parler sur Les Signes du temps, le Seigneur voulant. Et j’espère que le Seigneur nous viendra en aide et qu’Il pourra vous révéler très minutieusement de telle sorte que vous puissiez… nous… que vous puissiez certainement voir que nous vivons à l’ombre de la Venue du Seigneur Jésus. Et tout ce qu’Il a prédit dans la Bible est maintenant même accompli ; et à n’importe quel moment, le Seigneur Jésus peut venir, sans pour autant briser un seul passage des Ecritures, mais en accomplissant Cela. Je crois que c’est dans un… même plus tard que nous ne le pensons.

10.       Il y a quelque temps, j’étais là, en Suède, juste après la guerre… ou, excusez-moi, c’était en Finlande. Et les gens passaient un temps horrible là-bas, les–les Allemands et les Russes. Les deux guerres s’étant suivies de près, les gens passaient un temps horrible là-bas et ils… Les champs de bataille, c’étaient des terrains de combat, et les gens n’avaient pas eu une chance de rentrer leurs récoltes. Or, ils vivaient pratiquement du blé et de l’orge, et on était dans la dernière partie de l’automne, et ils étaient… les femmes étaient là dehors. Ils pouvaient... ils n’avaient pas de tracteurs ; ils étaient très pauvres. Les hommes et les femmes attachaient le harnais autour d’eux et tiraient les herses, comme quelque chose du genre de petit crochet de herse, quelque chose qui ressemble à un petit disque, avec de petites roues qui tournent, juste assez pour retourner la terre. Ils n’avaient pas le temps de labourer cela, parce que la neige d’automne allait venir, et puis, il n’y a plus... on ne voit plus le sol jusqu’au printemps.

11.       Et ils grattaient simplement le sol, de n’importe quelle manière, grattant, se dépêchant. Quand la nuit tombait, on n’arrêtait pas. On labourait toute la nuit. Et même les petits enfants, comme ces petits enfants qui sont assis ici devant, couraient devant leurs mères avec une lanterne, et peut-être qu’une petite fille se trouvait à l’autre bout de la plate-bande là, quelque part, en train de veiller sur l’enfant. Et la maman était dans le harnais en train de tirer les herses, grattant le sol, un petit garçon courant devant avec une lanterne pendant la nuit : jour et nuit, grattant le sol juste assez pour planter des semences. Car, s’ils ne plantaient pas de semences avant la tombée de la neige, il n’y aurait pas de récolte l’année suivante, et on crèverait de faim–de faim, ils mourraient.

            Et j’ai considéré cela, je me suis posé des questions, j’ai regardé et je me suis dit : « Ô Dieu, quelle révélation ça devrait être pour l’Eglise du Seigneur Jésus-Christ ! » Il nous faut gratter le sol partout. Peut-être que nous n’avons pas de temps pour des réveils à temps plein dans le pays. Grattez le sol quelque part et semez la Parole, car la nuit vient où personne ne pourra travailler. Si nous ne semons pas maintenant, il n’y aura pas de récolte demain. Et sur cette pensée donc, inclinons la tête et prions.

12.       Notre Bienveillant Père céleste, nous sommes reconnaissants pour ce grand et glorieux privilège que nous avons ce soir de nous rassembler une fois de plus, une autre soirée, de ce côté-ci où le temps s’unira avec l’éternité.

            Nous Te remercions pour l’occasion que nous avons de prêcher l’Evangile dans un pays de liberté, où les portes sont encore ouvertes, et pour des gens qui aiment assez entendre l’Evangile, pour sortir par un mauvais jour pluvieux, neigeux et la nuit. Les routes sont glissantes et tout, mais ils sont venus entendre l’Evangile, qui n’a jamais perdu sa puissance et qui ne la perdra jamais. La plus grande attraction que le monde ait jamais eue, c’était lorsque Christ avait été élevé pour un monde déchu… Nous Te remercions pour ces choses, Père.

13.       Nous Te prions ce soir que comme notre… nous nous sommes rassemblés ici dans cette église-ci, de bénir chaque âme qui est dans la Présence divine ; nous ne savons pas pourquoi ils sont venus, Seigneur. Peut-être que beaucoup parmi eux ont des fardeaux sur le cœur, peut-être que beaucoup sont des pécheurs et sont en dehors de la volonté de Dieu, peut-être que beaucoup sont malades et ont besoin de la guérison de Ta part. Beaucoup sont en difficulté, ils ont des problèmes dans le foyer, des femmes, des maris, des petits enfants. Ô Dieu, quoi qu’il en soit, nous sommes venus Te parler, et nous Te prions de satisfaire tous les besoins que nous avons ce soir de sorte que, lorsque ces portes seront ouvertes à la fin du service et que les gens sortiront pour retourner à leurs maisons respectives, ils puissent dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : « Notre cœur ne brûlait-il pas au-dedans de nous ? » Accorde-le, Seigneur. Parle ce soir.

            Bénis le pasteur ici, notre bien-aimé frère, Ton serviteur, frère Rogers, les diacres, les–les travailleurs, les laïques et tous les visiteurs qui sont venus des autres églises. Nous demandons cette bénédiction au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.

14.       Ce soir, nous allons… Pour notre passage des Ecritures, nous allons dans l’Ancien Testament et nous lirons juste un verset dans les Ecritures pour avoir un sujet, si nous pouvons l’appeler ainsi.

            Hier soir, en venant, il y avait… Cela… Le vendredi, c’est toujours le jour où les prédicateurs sont là, à la maison, et nous pouvons faire venir des ministres. Et, oh! hier, ils étaient très nombreux, sachant la grande vision qui a eu lieu il n’y a pas longtemps ; nous sommes sur le point d’entrer dans la chose la plus glorieuse que j’aie jamais connue de ma vie. Et certains parmi eux étaient restés pratiquement jusqu’à une heure du matin, et j’ai dû alors me lever tôt. Et en venant donc ici aujourd’hui, eh bien, je suis entré dans une pièce, et à peine avais-je fermé la porte que quelqu’un a frappé, c’était frère Vivert. Et au moment où il est parti, nous avons dû nous dépêcher pour prendre un sandwich, et puis, j’ai dit : « Frère Wood, va là pour me faire savoir à quel moment revenir. »

            J’ai ôté ma veste, je n’avais même pas encore changé d’habits, j’ai ôté ma veste et je me suis assis, j’ai ouvert la Bible, et quelqu’un a frappé à la porte. Et c’était frère Wood qui disait qu’il était temps d’aller à l’église. Et me voici donc. Priez donc pour moi ce soir pendant que je vous parle.

15.       II Rois, chapitre 4, verset 30, nous allons lire juste un petit texte, et peut-être que le Seigneur nous révélera un contexte pendant que nous étudions Sa Parole.

            Et la mère du petit garçon dit–dit : L’Eternel est vivant et ton âme est vivante ! Je ne te quitterai point. (Pensez-y) Alors il se leva et la suivit.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à cette lecture. Notre esprit remonte dans le passé quand nous lisons l’Ancien Testament ; en effet, l’Ancien Testament a toujours été un de mes livres favoris à prêcher, parce que c’est un type du Nouveau Testament. Et puis, si vous pouvez mettre l’Ancien et le Nouveau ensemble, vous… Même les enfants peuvent avoir une–une représentation mentale de ce que la... de ce qu’est la volonté de Dieu et de la façon dont Dieu agit.

16.       Et alors, comme nous y pensons ce soir, il s’agissait du prophète Elisée. Il y a quelques soirées, j’en parlais, et cela m’est venu à l’esprit quand nous venions il y a quelque... il y a juste quelque temps. Je demandais à ma fillette, la petite Rebecca (elle est âgée de huit ans), j’ai dit : « Chérie, quelle différence y avait-il entre Elie et Elisée ? »

            Et elle a répondu : « Eh bien, papa, Elie était le plus âgé. »

            J’ai dit : « C’est vrai. » Et j’ai dit : « Si tu les voyais descendre une route, quelle différence aurais-tu trouvée en les regardant, à part l’âge ? »

            Alors, elle a dit : « Eh bien, je sais que le jeune prophète était chauve; en fait, les enfants avaient… » Il avait maudit les enfants parce que ces derniers l’avaient appelé chauve. «  Et le vieux prophète, a-t-elle dit, il serait le plus âgé. »

            J’ai dit : « Eh bien, il y a autre chose concernant Elie. C’est qu’il était aussi poilu. Et il était ceint au niveau des reins, d’une–une ceinture en cuir. La Bible dit qu’il était poilu, et la loi... cuir sur ses reins. Et l’Esprit qui était sur Elie est venu sur Elisée en double portion, et puis Il est venu une fois de plus (partant de grands faiseurs des miracless sur qui, pour la première fois, Il a opéré des miracles et des signes, et pour la deuxième fois, Il a opéré en double portion des miracles et des signes), et puis Il est venu sur un autre homme qui n’a pas du tout accompli de miracles. »

17.       Je me demande si vous, les petits garçons, ou certains parmi vous peuvent me dire qui était le troisième homme qui avait cet Esprit-là. Pouvez-vous le citer ? Hein ? N’importe quel érudit, là, peut lever la main et me dire qui était le troisième homme qui avait ce même Esprit-là. Hein ? Jean-Baptiste. Il est sorti du désert. Jésus a dit : « C’est lui l’Elie dont la venue avait été annoncée pour restaurer toutes choses. » Et cela a fait qu’Elie... a fait que Jean s’habillait exactement comme Elie, peut-être qu’il agissait comme lui, mais Jean n’a pas fait de miracles. Et il a été annoncé que ce même Esprit reviendrait sur la terre aujourd’hui, une deuxième fois. Et je crois qu’Il est sur la terre aujourd’hui. Et Il prêche un grand message de repentance au travers d’un puissant homme de Dieu qui n’accomplit pas de miracles, qui ne parle pas de miracles, mais qui est en train de marteler le monde avec un message de repentance. Et après Jean, est venu Jésus, Il ne prêchait pas beaucoup, Il n’était pas vraiment un prédicateur, mais Il accomplissait des signes et des prodiges pour confirmer que le ministère de Jean était un ministère en son temps et un ministère confirmé. Nous sommes donc reconnaissants au Seigneur d’être en vie pour voir ce jour où l’histoire se répète une fois de plus. Et nous vivons en ce jour-là.

18.       Elie, j’ai toujours pensé qu’il était un homme de très grande taille, peut-être mince, et nous voyons que c’était un homme qui n’avait pas peur quand l’Esprit de Dieu venait sur lui. Il ne se préoccupait pas de ce que quelqu’un d’autre pensait de lui ou de ce que le monde avait à dire aussi longtemps que l’Esprit de Dieu était sur lui.

            Et vous savez, je–je pense que c’est un peu ça l’attitude de l’église aujourd’hui, ou à n’importe quel moment, ou de n’importe qui. La maladie, rien ne vous dérange aussi longtemps que l’Esprit de Dieu est près et que vous le savez. Qu’une personne soit comme cela, même très malade, laissez le Saint-Esprit entrer dans la pièce et oindre cette personne-là, vous verrez une personne changée dans quelques instants.

19.       Je suis allé auprès d’un enfant qui se mourait il y a quelques soirées; il était étendu dans un hôpital, c’était un enfant prématuré, on devait l’avoir fait sortir par césarienne. L’enfant était mort, il y avait quatre ou cinq jours, d’un empoisonnement urémique. Oh ! dans cet état là, c’était difficile de faire la transfusion ; son cœur avait beaucoup gonflé, le médecin avait dit qu’elle ne pouvait pas vivre deux heures de plus, et elle était une rétrograde. Mais, pendant que je lui parlais, j’ai dit : « Bien-aimée sœur, vous avez été baptisée là et votre nom figure sur la liste des enfants au tabernacle… »

            Elle a dit : « Frère Branham, je me suis égarée. » Elle a dit : « Mais, oh ! je me suis mariée. J’ai épousé un garçon pécheur. » Et elle a dit : « Je ne peux vraiment pas endurer cela. » Elle a dit : « L’été passé, j’ai failli me noyer, et j’ai imploré la miséricorde. » Et elle a dit : « Alors, Dieu m’a averti de revenir, que mon temps était proche. » Elle a dit : « Je–je ne suis pas revenue. »

            Et elle a dit : « Maintenant, voici cela une fois de plus, et je savais que vous étiez dans la ville, c’est ainsi que j’ai envoyé vous chercher, Frère Branham. » Elle se débattait avec son souffle sous la tente à oxygène. Et alors, nous nous sommes agenouillés, j’ai dit : « Sœur, Jésus est tout aussi disposé à vous ramener aujourd’hui qu’Il l’était le jour où Il vous avait reçue à l’autel, Il est plus disposé parce que vous êtes toujours Son enfant, seulement vous êtes en dehors de Sa volonté. » Et là, tout en se débattant, elle a tourné le visage vers Dieu, les larmes coulaient sur ces jeunes joues ; un enfant de dix-huit mois était parti, et un autre était mort à l’intérieur ; et j’ai offert la prière de la foi… Et en moins de cinq minutes, cette femme s’est levée sous la tente à oxygène, elle a dit : « Frère Branham, quelque chose s’est passé dans mon âme. Je suis une fois de plus en ordre avec Dieu. »

            Et là, lorsque le médecin a examiné cela, il a dit : « Ecoutez, quelque chose est arrivé. » Il a dit : « Je pense que le matin, nous allons simplement enlever cet enfant pour une opération. »

            Voyez-vous quel changement se produit lorsque l’onction de Dieu descend ? Ça change. Autrefois, elle avait peur, se disant : « Oh ! c’est juste… c’est telle chose, c’est telle autre. » Mais une fois que Dieu a parlé, alors tout a lâché.

20.       Et Elie, un homme sans peur… Et Elie a fait, je pense, quatre miracles extraordinaires pendant son ministère. Et Elisée en a accompli huit, parce qu’il avait une double portion de l’Esprit. Avez-vous déjà considéré ces prophètes et vu quel beau type de Christ et de l’Eglise ils sont là ?

            Quand Elie a su qu’il allait partir, que Dieu allait l’enlever, il est allé et a trouvé Elisée en train de labourer dans un champ ; en effet, l’Esprit de Dieu lui avait dit d’aller auprès d’Elisée. Et quand il a vu Elisée, il a simplement accouru vers lui, et il a jeté sa robe sur lui ; c’était un signe. Et alors, quand il a fait cela, Elisée a dit : « Accorde-moi seulement d’aller d’abord dire au revoir à mon père et à ma mère. »

            Avez-vous remarqué quelque chose d’étrange là ? Il lui a été permis d’aller dire au revoir à son père et à sa mère. Mais cet homme-là dans la Bible, il ne lui a pas été permis, dans le Nouveau Testament, d’aller dire au revoir à son père et sa mère ; il lui a été dit : « Laisse les morts ensevelir leurs morts ; toi, suis-Moi. » Quelque chose de différent, nous n’aurons pas cependant le temps d’aborder cela, peut-être qu’on le fera un peu plus tard.

21.       Mais il est allé, il a tué le veau qu’il utilisait pour labourer, le joug des veaux, il a pris les outils, il les a entassés dans le champ, et il a allumé un feu, il a brûlé les outils, il a fait rôtir le veau et a offert un sacrifice. Qu’était-ce ? C’était un signe pour le monde qu’il avait rompu tous les liens. Il allait effectivement commencer un ministère à temps plein. Il allait donc là comme un prophète de Dieu oint, et probablement que jamais sur cette terre ses yeux n’allaient plus revoir son père et sa mère. C’est pourquoi il leur a dit au revoir. Non seulement cela, mais les outils de travail qu’il avait, il les a brûlés dans le champ pour offrir un sacrifice à Dieu, montrant qu’il avait réellement tout abandonné pour devenir un prophète du Seigneur. Et quelle leçon pouvons-nous en tirer ce soir ? Chaque homme qui vient à Christ, qui met sa main à la charrue, qui commence et ose même regarder en arrière, n’est pas digne de labourer. Aujourd’hui, la raison pour laquelle nous connaissons un temps tel que celui dans lequel nous vivons, c’est parce qu’il y a trop de demi-conversions, des conversions intellectuelles. Il y a deux–deux différents éléments dans le corps humain qui a un esprit, et l’un d’eux... ou plutôt le raisonnement. L’un d’eux, le raisonnement, c’est la pensée, ce qui est intellectuel. L’autre, c’est l’âme, elle ne raisonne pas, mais elle croit la Parole de Dieu.

22.       Vous savez, il y a quelque temps, on disait que la–la science se moquait de la Bible et disait, comme la Bible dit : « Un homme est telles que sont les pensées de son cœur »; on disait : « La Bible est complètement embrouillée, parce qu’un homme n’a pas de facultés dans son cœur pour penser avec. » Mais l’année passée, la science a démontré que–que Dieu avait raison. Ils ont trouvé juste là, dans le cœur de l’homme, pas d’un animal, mais de l’homme, un petit compartiment où il n’existe même pas une cellule de sang. Et ils disent que c’est la demeure de l’âme, que l’homme vit par son âme, là-bas.

23.       Eh bien, chacun de vous a eu des expériences, à penser que lorsque… Eh bien, quelqu’un dit : « Ça ne peut pas se faire. Cela–cela ne se fera pas. » Mais quelque chose au fin fond de votre âme vous dit que cela va se faire. Et ça ne change rien, ce que quelqu’un dit ou combien cela paraît illogique, vous semblez savoir que ce sera ainsi. C’est parce que votre âme a témoigné et les raisonnements ont été renversés comme la Bible dit qu’ils le devraient : « Renversant le raisonnement. »

            J’aimerais que chaque chrétien qui est ici ce soir, peu importe l’église dont on est membre, cela importe peu… Cela n’a rien à faire avec ça en ce moment-ci. Nous sommes trop avancés sur la route pour nous mettre à nous quereller au sujet de l’église dont on est membre ; car la Bible dit clairement : « Nous avons tous été baptisés dans un même Esprit pour former un seul Corps. » C’est soit vous êtes en ordre avec Dieu, soit vous ne l’êtes pas ; c’est ça l’essentiel.

24.       Eh bien, l’esprit raisonnera sur les choses. Dans des campagnes de réveil pour la guérison, on voit des gens recevoir cela dans leur esprit. Ils diront : « Eh bien, regardez ça, c’est complètement illogique. » Il y a une femme assise ici dans un fauteuil roulant. Je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue. Mais peut-être qu’elle est paralysée. Voyez, je ne sais pas ce qui cloche en elle. Quoi que ce soit, il se peut qu’elle soit, disons, paralysée ; peut-être qu’elle est clouée là ça fait des années. Mais, disons, les raisonnements… les médecins disent qu’il y a un dépôt de calcium sur l’os, que vous ne pouvez plus marcher. Peut-être que la colonne vertébrale s’est fracturée, peut-être qu’il y a quelque chose de ce genre qui ne marche pas ; peut-être qu’il y a un homme aveugle assis ici avec ses yeux aveugles. Et vous direz : « Eh bien, alors… » Raison… « Eh bien, les médecins… j’en ai consulté des meilleurs, et ils m’ont dit que mon état ne s’améliorerait jamais. » Eh bien, alors, les raisonnements mentaux diront : « C’est vrai. » Mais alors, tant que vous gardez ces raisonnements mentaux là, votre état ne changera jamais.

25.       Or, la Bible dit que nous devons renverser le raisonnement. Alors, quand votre âme dit que Jésus est mon Guérisseur et que moi, je crois donc cela et l’accepte, alors les raisonnements tombent. Et votre âme prend la première place, et tout ce que Dieu dit, elle ne va pas du tout raisonner là-dessus, elle prendra cela... Dieu au Mot. Et c’est ce qui produit les résultats. Une chose si simple…

            Ce n’est pas quelque chose que... quelque chose au sujet duquel quelqu’un irait auprès d’un autre et dirait : « Eh bien, j’ai le pouvoir de te guérir. J’ai le pouvoir de faire ceci, ou… » Ce n’est pas ça. Il s’agit simplement de prendre Dieu au Mot. Et votre âme s’accordera toujours avec la Parole de Dieu, mais vos raisonnements vont–vont être en désaccord avec la Chose.

            Un homme dit : « Je ne peux pas vivre cette vie-là. » L’autre jour, cette fillette qui a été convertie disait : « Je ne peux pas vivre cette vie-là, Frère Branham.» Là, c’étaient les raisonnements, mais lorsque cela a frappé son âme, quelque chose a commencé, cela est alors devenu une réalité. Ce ne sont plus des raisonnements ; il s’agit de prendre Dieu au Mot. Amen ! Remarquez. Lorsque vous renversez les raisonnements, l’âme réagira facilement.

26.       Il n’y a pas longtemps, j’ai entendu parler d’une femme qui était membre d’une certaine église… J’ai raconté ceci à deux ou trois reprises, peut-être pas ici ; en effet, ça s’est passé récemment, une femme qui… Eh bien, elle–elle habitait près de l’église, et elle a épousé un garçon là. Le garçon était converti, mais pas elle. Alors elle… Ils ont déménagé de ce quartier. Elle était une pianiste à l’église. Elle est partie habiter dans un autre quartier, et les dames de ce quartier-là n’étaient pas aussi morales et pures que celles du premier quartier. Elles portaient donc ces tout petits habits courts, elles sortaient et tondaient la cour et faisaient de ces choses qui ne sont pas correctes.

            Quiconque est né de nouveau sait que cela est faux. Eh bien, il n’y a que le diable qui vous amène à vous déshabiller. Il n’y a eu personne d’autre dans la Bible, à part les puissances démoniaques, qui ait fait pareilles choses. Et le monde en est vraiment plein. Et c’est même religieux que de faire cela. Eh bien, certainement que c’est le diable.

27.       Ainsi donc, cette femme a ensuite dit : « Eh bien, attendez une minute ; ma mère était une chrétienne à l’ancienne mode, une vieille baderne. Et si ces autres femmes peuvent avoir une position aussi bonne que la mienne à l’église, pourquoi ne puis-je pas faire comme elles ? » Voyez-vous ? Cela était dans sa pensée pour commencer. Elle a dit : « Peut-être que je suis tout aussi bonne qu’elles ; on a beaucoup de considération pour elles. » Voyez, ce sont les raisonnements.

            Eh bien, son âme lui dira que c’est faux. Mais elle a écarté cela. Et elle s’est mise à faire la chose de toute façon. « Les dames de l’église, la plupart parmi elles fument la cigarette. » Ce qui est l’une des choses la plus cruelle et la pire qu’une femme puisse jamais faire dans cet âge moderne, voyez-vous. Mais elle a dit : « Si ces autres femmes peuvent fumer, pourquoi pas moi ? » Alors elle s’est mise à faire cela. Oh ! c’est vraiment mignon… Son mari a essayé de lui en parler, disant : « Eh bien, chérie, nous–nous ne–nous ne faisons pas cela. »

            Elle a dit : « Bon, écoute, John… » Voyez-vous ? Elle a fait cela de toute façon. Voyez-vous ?

28.       Et cette âme, la Bible dit… Ecoutez. La Bible dit : « L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra. » Le mot mort signifie être séparé. En d’autres termes, l’âme qui désobéit à la Parole de Dieu finira par se séparer de vous. Eh bien, la mort, si je meurs maintenant, ou si n’importe quel chrétien meurt, il n’y aura pas de séparation d’avec–d’avec Dieu, parce que « celui qui entend Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle. » Voyez-vous ? Mais vous vous séparerez les uns des autres : la séparation.

            Elle a continué à attrister cette âme… Finalement, elle a commencé à se séparer d’elle et à s’éloigner. Et peu après, elle en est arrivée à… un jeune garçon avait emménagé dans le quartier, un homme marié, et elle s’est liée d’une grande amitié avec ce bon petit homme habile, et ils en sont arrivés à… Il la prenait et l’amenait à des lieux publics, et finalement, ça a fini par un baiser qu’il lui a donné, un bonsoir, à la clôture de derrière. Et peu après, elle a abandonné son mari, et lui a abandonné sa femme, et ils se sont mariés, ce qui est contraire à la Parole de Dieu. Mais cette âme qui ne croit pas finira par s’éloigner de Dieu (voyez-vous ?), s’éloigner de Cela. Elle s’y prenait par le raisonnement. Elle continuait à jouer du piano à l’église ; elle était un bon membre, tout aussi bon que n’importe qui.

            Elle a déménagé pour aller dans un autre quartier avec cet homme-là et elle a continué à fréquenter l’église, elle a amené sa lettre à une autre église. Et puis, la chose suivante, vous savez, finalement cette femme, après cela… Eh bien, si cet homme-là, ou n’importe quelle femme ou n’importe quel homme, l’un ou l’autre devrait savoir cela, si un conjoint est infidèle à un autre, il sera infidèle ou elle sera infidèle envers vous. Alors, il a pris une autre femme. Et elle a encore quitté et elle a couru çà et là, et finalement elle a eu un concubin.

29.       Et finalement, elle y était prise. Elle a commencé à éprouver des douleurs et des souffrances au bas ventre. Et quand elle est allée chez le médecin, et c’était une malignité d’un degré avancé. Le médecin a dit : « Prépare-toi à mourir, car cela vient. »

            Un certain prédicateur, qui est un ami à moi, est allé auprès d’elle pour lui parler de son âme. Eh bien, elle lui a fait comprendre, en fumant une cigarette après une autre, elle a dit : « Je ne vous ai jamais fait venir, et je suis tout aussi bonne que vous. » Eh bien, cette attitude-là même prouvait ce qu’elle était. Elle a dit : « Je suis membre d’église. J’ai été élevée dans une église. »

            Il a dit : « Ecoutez, suis-je membre de la même dénomination que vous ? Je sais que notre église n’enseigne pas cela, que vous… Vous devez naître de nouveau avant… » Il a demandé : « Qu’en est-il de cet homme-là ? »

            Elle a dit : « La porte est là pour vous. Si j’avais eu besoin de vous, je vous aurai envoyé chercher. »

            Il a dit : « Très bien, j’ai fait mon possible. »

30.       Alors, en parlant avec ce prédicateur, j’ai dit : « Observez-la. » Eh bien, il cherchait à la préparer pour que je puisse aller prier pour elle. Et je crois que cette femme aurait été guérie. J’ai dit : « Observez-la au bout du chemin. C’est le seul moyen. En effet, elle a commis ce péché-là, en se livrant au raisonnement plutôt que d’écouter son âme. Mais cette âme la rattrapera un jour. »

            Et à sa mort, cependant, un pasteur était avec elle, les gens étaient dans la pièce et tout, c’était tout aussi normal, on pensait qu’elle était en ordre, on croyait absolument qu’elle était en ordre… Et à sa mort, quand… Les facultés mentales qui sont dans le cerveau, et des nerfs fonctionnent avec du sang, et à la mort, cela périt. Vos facultés mentales et vos raisonnements passeront ; en effet, les raisonnements ne peuvent pas entrer dans la Présence de Dieu. Cela raisonnerait avec Dieu. C’est l’âme qui vit. Et alors, quand son… le sang cessa de passer dans les cellules du cerveau, et que les nerfs se sont arrêtés, ses souvenirs, ses–ses raisonnements ont commencé à être rejetés. Qu’arriva-t-il donc ? Cette âme qu’elle avait attristée, qui était passive pour elle, pendant toutes ces années, a commencé à revenir à elle, alors elle s’est écriée : « Mon Dieu, je suis perdue ! » Et le pasteur a dit : « Eh bien, tenez, tenez, tenez, chérie. »

            Elle a dit : « Je suis perdue ! »

            Et le médecin a accouru et a dit : « Elle devient hystérique. » Et on lui a injecté de l’hypo. Et il... elle a continué à crier cela. Et il lui a donné une autre dose de l’hypo jusqu’à ce que finalement elle est morte avec cela sur ses lèvres : « Je suis–je suis perdue ! Je suis perdue…?… » L’hypo a arrêté le témoignage. Cela a scellé ses lèvres aux oreilles des autres mortels. Mais cette âme qui s’en était aperçue, qui avait été attristée, la hantera tant qu’il y aura une éternité.

31.       Rappelez-vous donc, ne vous y prenez pas par les raisonnements. Soyez sûr d’être dans le vrai. Et il y a une voie pour le faire, c’est accepter Jésus-Christ et naître de nouveau de l’Esprit de Dieu, lorsque toute votre âme rend témoignage que la Parole de Dieu est vraie. Et accrochez-vous à Cela et croyez chaque Parole, car votre esprit rend alors témoignage à Son Esprit. Et la chose… si… Voici, recevez cela. « Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous », dit la Bible. Et là, on ne parle pas de frères luthériens ou de Plymouth. Je parle des gens de la sainteté, des pentecôtistes et autres. C’est vrai.

32.       Remarquez cela. Elie, il connaissait sa position devant Dieu ; c’est pourquoi il n’avait pas peur. Et quand il était sur le point de partir et qu’il a mis sa couverture, ou plutôt sa robe sur Elisée… Elisée a brisé tous les liens, tout, il a tué le veau, a offert l’holocauste et s’est séparé de tout pour suivre Dieu. C’est ainsi qu’il nous faut agir. C’est l’unique et véritable voie qu’il y a pour venir au Seigneur Jésus-Christ. C’est tout à fait vrai.

            Consumez les choses derrière vous. Séparez-vous de tout. Si vos associés, ou plutôt vos associations vous amènent dans des piscines, ou vous amènent dans des parties de bière, vous amènent dans des parties de cartes, ou dans tous ces autres endroits, séparez-vous de la chose en venant à Christ. Débarrassez-vous de tout cela. Venez à Lui avec des mains pures, levées, en disant : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, pécheur. » Peu importe depuis quand vous êtes membre d’église, cela n’a rien à faire avec la chose. Il y a beaucoup de choses cruelles qui arrivent aux gens aujourd’hui, et ils se retrouvent dans cet état, parce qu’ils ont fait confiance à l’église plutôt qu’à Christ.

33.       Remarquez. Puis, la chose suivante qui est arrivée pour montrer qu’ils étaient le type et l’anti-type, Elie est venu encore une fois après qu’il avait rencontré Elisée, il lui a dit qu’il se rendait à un autre endroit, à Guilgal. « Eh bien, a dit Elisée, l’Eternel est vivant, et ton âme est vivante ! Je ne te quitterai point. » Pourquoi ? Il s’était déjà séparé de tout le reste. Il n’avait qu’une seule chose à suivre : C’était Dieu. « Je ne peux pas retourner à mon travail. J’ai déjà consumé cela. J’ai dit au revoir à mon père et à ma mère pour la dernière fois sur cette terre. J’irai donc avec toi. » C’est ainsi que les hommes agissent une fois qu’on s’est séparé de tout lien. C’est vrai. Eh bien, il a dit : « Je monterai à l’Ecole des prophètes. »

            Il a dit : « J’irai avec toi. »

            Il a dit : « Reste ici. »

            Il a dit : « Ton âme est vivante ! Je ne te quitterai point. » Et il est allé à l’Ecole des prophètes, c’est la deuxième étape du voyage. Puis, de là, il est allé au Jourdain. Il a dit : « Reste ici pendant que je vais au Jourdain. »

            Il a dit : « L’Eternel est vivant, je ne te quitterai point. » C’est un type de la véritable Eglise qui suit Jésus-Christ.

34.       Et quand ils ont traversé le Jourdain, ce qui représente le… le Jourdain a toujours été le signe de la mort. Et quand ils ont traversé le Jourdain, Elie s’est retourné et a dit : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? »

            Il a dit : « Qu’une double portion de ton Esprit vienne sur moi. »

            Il a dit : « Tu as demandé une grande chose. » Dieu veut que nous demandions de grandes choses. Oh ! la la ! ô Dieu ! Il–Il n’est pas à court de bénédictions là. Vous ne pouvez pas trop demander. Pouvez-vous vous représenter un petit poisson, à peu près long comme ça, en plein milieu d’un océan, disant : « Je ferais mieux de ne pas boire trop de cette eau parce qu’elle pourrait tarir » ? Eh bien, c’est aussi illogique que possible, ou plus illogique que de se mettre à penser que les bénédictions de Dieu pourraient donc s’épuiser pour un croyant. Tous les cieux vous appartiennent.

35.       Alors, quand il a demandé une double portion, Elie a dit : « Tu as demandé une chose difficile. Mais si tu me vois partir, tu l’auras. » Et quand il a été enlevé, Elisée gardait le regard fixé sur lui, alors le manteau d’Elie est tombé, et une double portion de l’Esprit est venue sur Elisée. Remarquez. Alors, quand cette double portion est venue, il est allé et a accompli une œuvre double. Et c’était un type de Jésus-Christ. Il a dit : « Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi, vous ferez même davantage, car Je M’en vais au Père. »

            Et sur un… ils–ils L’ont vu être enlevé et ils ont attendu là, dans la même ville, jusqu’à ce que la promesse fût venue, et le Saint-Esprit dont Jésus était oint est revenu sur l’Eglise en double portion. Alors, si votre âme a été réveillée et que vos raisonnements ont été renversés, il n’y a rien d’impossible devant le véritable Dieu vivant. « Tout est possible à celui qui croit. »

36.       Elie, il n’est pas étonnant qu’il ait été oint… et une chose très remarquable, c’est que les gens reconnaissent cela, une fois vous êtes oint du Saint-Esprit. Peut-être que dans leur cœur, ou dans leur... par les raisonnements, ils disent : « Oh ! là, ce gars-là est fou ! Oh ! je–je… » Mais au fond de leurs cœurs, ils vous apprécient (c’est vrai.) au fond de leurs cœurs. Il se peut qu’ils se disputent avec vous, parce qu’ils cherchent à s’accorder avec leurs raisonnements ; mais au fond de leurs cœurs ils apprécient, à moins que leurs âmes soient si endurcies qu’ils n’ont que des raisonnements. Car, si vous êtes un vrai chrétien et que vous meniez une vraie vie, et que vous viviez la Parole et que Dieu est avec vous, tout le monde appréciera cela, si leurs âmes sont encore en contact avec Dieu. Amen. C’est la raison pour laquelle je pense qu’il n’est pas nécessaire de se disputer au sujet de la dénomination. Assurément.

37.       Remarquez. Il y eut une femme, une Sunamite, pas une Israélite, une femme sunamite. Et c’était une femme remarquable ; en effet, elle croyait qu’il existait un Dieu vivant et véritable. Elle croyait qu’Elisée Le représentait. Elle avait entendu parler des miracles d’Elisée. Elle connaissait les choses qu’il avait accomplies. Elle avait entendu d’autres en témoigner. « La foi vient de ce que l’on entend. »

            Ce qui manque à l’église aujourd’hui, c’est témoigner de notre très Puissant Jésus, aujourd’hui. Nous cherchons à Le limiter, nous cherchons à dire : « Eh bien, il l’était et… dans le passé. » Mais Il est le même aujourd’hui que jadis. Et l’Eglise, qui en a une vision et qui sait cela, ne devrait en aucun instant se relâcher, mais devrait dire partout où elle va : « Jésus vit et règne. » C’est…

38.       La femme, elle a compris qu’Elisée était un serviteur de Dieu. Et lorsqu’il passait par-là, elle cherchait toujours à lui faire une petite faveur, cherchait à être gentille envers lui.

            Et s’il y a quelque chose que nous devrions faire, c’est être gentil l’un envers l’autre. Lorsque vous voyez un frère ou une sœur en erreur, ne… jamais... ne soufflez jamais cela à personne. Gardez cela pour vous-même et priez pour cette personne-là. Soyez gentil envers lui. Et si l’Esprit de Dieu est en vous, alors vous serez gentil l’un envers l’autre. Jésus a dit : « Je suis venu accomplir Ta volonté, Père. »

            Et nous nous occupons des affaires du Maître, comme Il s’était occupé des affaires du Père. Et le même Esprit qu’Il avait pour commencer les œuvres du Père et terminer l’expiation, pour frayer une voie afin que nous puissions apporter le Message, si cet Esprit-là est en vous, vous aurez cette même attitude envers les gens : chercher à faire ce que vous pouvez pour les aider, peu importe qui ils sont ou où ils sont. Vous chercherez à aider les gens. Amen. C’est un peu fort, mais c’est la vérité. C’est vrai. Cela… plutôt, amis, le temps est venu où nous nous approchons de la fin. Et quelque chose doit être fait.

            Remarquez. Il nous faut avoir la foi de l’Enlèvement maintenant même. Je crois cela. Et, après demain soir, j’aimerais que vous réfléchissiez là-dessus pendant que je serai en train de parler de la Seconde Venue et voir combien près vous pensez qu’on est proche de Cela.

39.       Remarquez ceci maintenant. Comme cette femme sunamite a dit à son mari : « Tu sais, il y a un homme saint qui passe nous voir. Et je te prie, construisons pour lui juste une petite chambre à côté de la maison. » En d’autres termes : « Nous voulons être tout aussi proches de lui que possible quand il est dans les parages. Nous savons que c’est un Juif et nous, nous sommes des Gentils. Mais cependant, c’est un homme saint, et nous le reconnaissons comme tel. Nous croyons que c’est un homme honnête. Et nous avons donc assez d’argent pour faire cela, construisons donc une petite chambre à côté de notre maison, et mettons-y un petit tabouret, un petit lit, de sorte que lorsqu’il passera… Et un peu d’eau, une cruche et tout, il pourra se rafraîchir, se coucher et s’étendre. » Oh! comme Dieu connaît tout d’avance et fait des préparatifs pour cela ! Amen !

            Dieu connaît toutes choses. Il est omnipotent. Il est omniprésent. Il est omniscient. Il sait toutes choses lorsque le monde… Avant qu’il y ait même une étoile dans le ciel, avant qu’il y ait donc une lumière dans le firmament, Dieu connaissait chaque prophète qui ait jamais vécu, ou tout ce que les hommes ou les femmes allaient donc faire. Il est infini. Et Il avertit Son peuple d’apprêter des choses comme lors de la destruction antédiluvienne. De même qu’Il prépare Son peuple aujourd’hui, de même Il avait préparé cette femme-là. Observez ce que ce petit lit avait fait plus tard. Alléluia !

40.       Remarquez. Elle avait fait fabriquer un lit, parce qu’elle était inspirée de le faire. Et lorsque Dieu vous donne une révélation pour faire une chose, et si cela est la chose correcte, n’importe quoi que vous faites, faites-le. N’attendez pas demain. Faites-le aussitôt que Dieu vous dit de le faire. Elle était capable de faire cela. Eh bien, la chose suivante, vous ne voulez simplement pas être un fanatique. Mais si c’est conforme à la Parole, faites-le. Si Dieu vous parle maintenant, ou s’Il va vous parler ce soir, ou demain, ou n’importe quand dans votre vie, vous savez que vous n’avez pas mené la vie que vous devriez mener, vous savez que vous confessez quelque chose que vous ne possédez pas réellement dans votre âme, et vous ne cachez pas cela devant Dieu… Et vous devriez vous mettre en ordre. Vous devriez, chaque jour que le soleil brille, vivre davantage avec Dieu. Allez donc auprès de Dieu et demandez-Lui de vous donner cela, et Dieu le fera. Car c’est l’inspiration qui vous conduit comme ça, car ça sera la volonté de Dieu.

41.       Cette petite dame a dit : « Je crois. » En d’autres termes, si je peux le dire comme ceci… Ceci peut être une scène : « Mon mari, c’est un homme pieux, et Quelque Chose me dit simplement que je dois faire quelque chose pour lui. Je vais donc te demander, toi le mari, le chef de la maison, je vais donc te demander de m’autoriser à faire venir les charpentiers pour construire juste une petite chambre là pour ce saint homme. Et pour une raison ou une autre, mon mari, je pense qu’il nous faudra lui acheter un petit lit et le placer dans cette chambre-là. Ne serait-ce pas donc une bonne chose ? Je me sens simplement conduit à faire cela. »

            Avez-vous déjà eu ce genre de conduite ? C’est Dieu conduisant, œuvrant de façon mystérieuse pour accomplir ces prodiges… Que serait-il arrivé si elle avait manqué de faire cela ? Que serait-il arrivé si elle ne l’avait pas fait ? Il y aurait eu des ténèbres horribles et une tragédie. Mais parce qu’elle avait fait... elle n’avait pas failli et qu’elle avait agi suivant ce que Dieu la conduisait à faire, il y a eu la joie et des bénédictions. Voyez-vous ? Faites ce que le Saint-Esprit dit. « Ce que l’Esprit dit de faire, faites-le vite », dit la Bible. Amen.

42.       Observez-la maintenant. Elle a fait construire une petite chambre, elle a placé de petites choses là-dedans, et chaque fois qu’Elisée passerait par-là, il aurait un lieu où rester. Alors, un jour, Elisée arriva. Elle faisait des préparatifs pour lui, sachant qu’un jour il passerait. Et la même chose arrivera un jour pour ceux (ça y est) – ceux qui sont prêts et qui attendent la Venue du Seigneur. Il sera là un jour, alors vous feriez mieux d’avoir un petit endroit ici dedans. Préparez cela maintenant. Car c’est l’unique chose qui ira avec Lui. Cet autre... nos maisons, nos foyers, notre pays, notre popularité, notre chair, nos habits, nous laisserons tomber tout et nous quitterons cette terre-ci. Mais il n’y a que ce qui est à l’intérieur qui ira avec Lui. Préparez cela ; préparez cela maintenant. Ne soyez pas séduit. Je me suis tenu à côté de beaucoup de gens qui se mouraient, qui avaient pensé qu’ils étaient en ordre et qui ont découvert à la fin qu’ils étaient dans l’erreur. Alors, considérez cet avertissement solennel avant qu’Il ne soit ici. Préparez une place pour Lui.

43.       Alors Elisée arriva, et peut-être que le portier a dit, comme vous pouvez connaître les coutumes de l’Orient, comme on agit, oh ! cet homme a dit, il est sorti et a dit : « Eh bien, ô saint prophète de Dieu, il y a une place préparée ici pour vous, que ma maîtresse a préparée pour vous. Et elle m’a autorisé de vous dire d’y entrer. Vous trouverez tout apprêté pour vous, et je vous apporterai un peu d’eau. Vous pourrez vous rafraîchir. Et aussitôt que le boulanger, ou le cuisinier aura apprêté le dîner, je vous apporterai un agneau rôti et du–et du pain, afin que vous puissiez vous rafraîchir. Ce sont des faveurs de ma maîtresse. »

            « Eh bien, a dit Elisée, eh bien, c’est merveilleux. Transmettez-lui mes remerciements. » Elle va… Il monte, regarde à l’intérieur, et tout était bien astiqué et propre. C’est ainsi que Jésus veut vous trouver à Sa Venue : « Bien astiqué, pas avec beaucoup d’histoires du monde, mais avec l’Evangile qui purifie. Il ne blanchit pas, mais il rend blanc (Amen.), tout purifié par le lavage du Saint-Esprit dans votre vie, vous séparant des choses du monde. Les choses anciennes meurent et passent, et toutes choses deviennent nouvelles. Voyez-vous cela ? Très bien.

44.       Eh bien, remarquez. Alors, Elisée entre et dit : « Regarde ça, n’est-ce pas merveilleux ? Et voici vraiment le petit lit le plus beau qui soit arrangé pour moi, je pense donc que je me coucherai un moment. » Il ôte ses sandales, comme ce serviteur lui avait lavé les pieds, et il se couche sur ce lit et dit : « Oh ! c’est merveilleux ! »

            Je me demande si Christ venait dans nos cœurs ce soir, trouverait ceux-ci dépouillés de toutes les choses du monde, de telle manière qu’Il puisse accomplir là où c’est « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués–fatigués et chargés. Et prenez Mon joug sur vous ; apprenez de Moi ; Je suis doux et humble. Et vous trouverez du repos. » Du repos avec Christ, quelle chose merveilleuse !

45.       Une nuit, le Seigneur m’a donné un message sur le repos. Tout le fondement du christianisme est basé sur le repos. Je me suis réveillé vers 22h. Je n’avais pas d’auditoire auquel prêcher, ainsi donc je… Eh bien, je suis allé réveiller ma femme et je lui ai apporté une prédication sur le repos jusqu’à une heure du matin : Un bon auditoire. Mais cela brûlait dans mon cœur, le repos. J’ai dit : « Pourquoi sommes-nous troublés ? ‘Que vos cœurs ne se troublent point,’ a-t-Il dit. Nous sommes simplement au repos. ‘Venez à Moi et vous trouverez du repos. Prenez Mon joug sur vous, et apprenez de Moi’, trouvez du repos. »

            Alors, pendant… Je disais qu’une fois que vous venez à Christ, une fois que vous croyez en Lui, une fois que vous L’acceptez, que vous entrez dans le repos, tout ce qui est du monde semble périr. Vous avez alors du repos, du repos pour votre âme. Et vous entrez dans cet état-là, et vous y êtes. Vous êtes alors au repos avec Christ.

46.       Eh bien, pendant qu’Elisée était couché sur le lit se reposant, alors l’Esprit vint sur lui et dit : « Va demander à cette femme sunamite ce que nous pouvons faire pour elle pour toutes ces faveurs. »

            Maintenant, si vous voulez trouver faveur auprès de Dieu, faites une faveur à Dieu. Venez à Lui. Si vous êtes pécheur et que vous voulez être guéri, venez d’abord et donnez-Lui votre vie. Venez d’abord si vous n’êtes qu’un membre d’église et que vous voulez devenir chrétien, venez d’abord à Christ, ensuite vous pourrez devenir membre d’église après cela.

            Ainsi, voyez, Elisée avait trouvé un lieu de repos, et ensuite l’Esprit vint sur lui, il dit : « Va, vois ce que nous pouvons faire pour cette femme. » Et il a dit : « Puis-je parler au capitaine en chef ? Puis-je parler au roi ? » En d’autres termes : « Ils me font venir là pour leur rendre visite. J’ai prié pour eux ou autre, et je les connais. Puis-je leur parler ? »

            Elle a dit : « Non, j’habite au milieu de mon peuple. Je suis une Gentille, ainsi ce n’est pas grand-chose pour moi, mais je… » Voyez donc, beaucoup de gens, après avoir fait quelque chose pour le Seigneur, on veut, oh ! on veut sonner de la trompette à ce sujet. Voyez-vous ? « Savez-vous qui a fait que cette église ait ces belles fenêtres ? Savez-vous qui a fait cela ? Vous savez, c’est moi qui ai fait cela. » Gardez cela pour vous-même après l’avoir fait. C’est ce que Jésus a dit. « Lorsque vous faites des aumônes, ne sonnez pas de la trompette devant les gens ; en effet, vous recevez une récompense de leur part. » Mais son… Mais gardez cela dans votre cœur : « Celui qui voit dans le secret ce que je… vous révélera, vous récompensera en public. »

47.       Eh bien, observez. J’aime ça. Oh ! c’est vraiment l’Ancien Evangile pur et simple, mais son histoire n’ennuiera jamais. Et remarquez. Alors qu’elle était dans cette condition et ce… Non, elle ne voulait pas cela. Et Elie… Guehazi est venu auprès de lui et a dit : « Elle n’a point d’enfant, et son mari est vieux. »

            Alors, il a dit : « Rentre lui dire que cette année, au temps de la vie, elle embrassera un–un fils dans ses bras. » Eh bien, je m’imagine que cette femme s’est dit : « Qu’est-ce ? La chose la plus glorieuse qui puisse m’arriver, je vais moi-même porter la vie, comment donc cela se fera-t-il ? Mais je ne vais pas en douter. » Et quand cela s’est passé… Quand un homme parle sous l’onction du Saint-Esprit, la chose arrivera. C’était là un prophète. Et c’est arrivé exactement comme il avait dit. Elle donna naissance à un enfant, et elle était dans… Elle l’aimait et tout.

48.       L’enfant avait atteint environ douze ans ; un jour, pendant qu’il était là dans le champ avec son père, probablement que ce dernier était dans les soixante-dix ans, un vieil homme, il était là à faire la récolte ; en effet, c’était probablement un homme riche, l’enfant a dû attraper une insolation ou quelque chose comme cela. Il s’est mis à crier : « Ma tête, ma tête. » Et le père a demandé à l’un des serviteurs d’amener l’enfant auprès de la mère, et la mère l’a mis sur son genou jusque vers midi, l’enfant est mort, le petit enfant.

            Eh bien, l’enfant est mort. Quel bien cet enfant avait-il procuré à cette maman si, après que Dieu le lui avait donné, Il le lui retire ? Savez-vous donc ce qu’elle a fait ? Si elle n’était qu’un membre d’église tiède, elle aurait eu de l’amertume là même. Mais comme elle ne l’était pas, elle avait été bénie par Dieu, parce qu’elle avait fait des préparatifs. Quand cela est arrivé, elle a pris cet enfant (observez ce qu’elle a fait.), elle est sortie avec l’enfant par la porte, elle est descendue dans la rue, elle a contourné le coin, elle l’a amené dans la chambre d’Elisée, elle l’a déposé sur le lit d’Elisée. Quel endroit où le placer (Amen.), sur le lit d’Elisée !

            Ecoutez, j’essaye de dire que cette femme-là était inspirée. Et les gens inspirés, au cours de tous les âges, agissent de façon étrange aux yeux du monde, mais ils accomplissent toujours la volonté de Dieu. C’était une chose étrange que Paul ait pris des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps et qu’il les ait envoyés aux malades et aux affligés. Quelque chose à l’intérieur… Oh ! je souhaiterais être en mesure de vous le faire voir. Quelque chose…

            Eh bien, et–et s’il y avait là un médecin ? Voici venir une maman avec cet enfant raide mort, il a été frappé d’insolation, et ses yeux étaient révulsés, et sa bouche ouverte, sa langue ressortie. Et la voici venir, transportant l’enfant mort, faisant un tour pour le coucher dans le lit du prédicateur. Eh bien, le médecin dirait : « Espèce de fanatique. » Elle n’aurait pas fait cas de cela. Elle faisait exactement ce que l’inspiration qu’elle avait eue lui disait.

49.       Puis-je m’arrêter ici un instant. Saviez-vous que l’Eglise du Dieu vivant… Je vais dire quelque chose. Mais l’Eglise du Dieu vivant est entièrement bâtie sur la révélation spirituelle. C’est vrai. Cela commence en Eden quand Adam et Eve, quand Caïn et Abel… Les deux garçons se sont rendus auprès de Dieu, ils ont construit un autel, chacun. Ils ont adoré Dieu, tous deux, l’un un croyant, et l’autre un incroyant. Et si tout ce que Dieu exige de vous, c’est avoir foi en Lui, croire en Lui, adhérer à l’église, offrir un sacrifice, Dieu serait cruel et injuste pour avoir condamné Caïn, car ce dernier avait fait la même chose qu’Abel. Voyez-vous comment le diable a eu les gens aujourd’hui ? Ils se disent : « Eh bien, je vais à l’église. Je crois sûrement en Dieu. Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. » Chaque démon de l’enfer croit la même chose. Ils ont confessé cela publiquement. C’est vrai. Le démon a dit : « Nous savons qui Tu es, le Saint de Dieu », en public, devant des milliers, confessant que Jésus était le Fils de Dieu. Ils n’étaient pas sauvés. Une conversion, c’est une expérience, une nouvelle naissance. Remarquez combien c’est glorieux, quelle merveilleuse chose !

50.       Eh bien, quand cette femme s’est rendu compte que cette inspiration était sur elle, elle a parfaitement obéi, parce qu’elle savait que cela était en harmonie avec le surnaturel.

            Vous dites : « De quoi parlez-vous, Frère Branham ? » Je cherche à établir votre foi à un niveau où Dieu apparaît Tout-Puissant, suprême et tout fort, et omnipotent. Il n’a pas changé. Sa nature ne change pas. Ma nature peut changer, la vôtre peut changer, mais la nature de Dieu ne changera jamais. S’Il est toujours le Grand Jéhovah Dieu qui a créé les cieux et la terre et qui a tous les pouvoirs entre Ses mains, Il est toujours le même Jéhovah ce soir. S’Il est le Dieu Tout-Puissant, Il peut tout faire. S’Il ne peut pas tout faire, Il n’est pas le Dieu Tout-Puissant. L’inspiration vous dit cela. Les raisonnements diront que ce n’est pas cela, mais l’inspiration dit que c’est ça, l’inspiration venant de l’âme et non de la pensée.

            Il y a des raisonnements de l’esprit, la théologie faite par des hommes, la soi-disant qui vous rendra très religieux ; cela vous rendra aussi religieux, ça vous amènera à observer le jour du sabbat et à faire toutes ces autres choses, mais cela vous fera nier l’existence du Tout-Puissant qui peut accomplir des miracles et produire le surnaturel. L’Esprit n’a-t-il pas dit que dans les derniers jours les gens seraient ainsi ? « Emportés, enflés d’orgueil, ayant l’apparence de la piété mais reniant ce qui en fait la force ; détourne-toi de tels hommes. » Réveillez-vous, Eglise. Comment Abel a-t-il reconnu le sacrifice correct à offrir ? Il était inspiré.

51.       Aujourd’hui, en général, les gens agissent comme Caïn. Il a dit… Sans doute que Caïn a dit : « Si nous construisons un bel autel, nous l’embellirons; en effet, Jéhovah sera adoré en un tel lieu. » Il a pris les lys de champ ; il les a placés sur l’autel. Il a pris les fruits de la terre, ils les a placés là. Il a rendu tout cela beau, il s’est construit une belle église, un bel autel, il s’est agenouillé et a dit : « Jéhovah, voici ce que je T’offre. » Et Dieu refusa cela.

            Et aujourd’hui, les gens cherchent à fréquenter la meilleure église où les gens s’habillent mieux, où le pasteur est un peu plus formaliste et pas très fanatique, comme on le dit. Savez-vous que la pensée du monde est inimitié contre Dieu ? La sagesse de ce monde est une folie aux yeux de Dieu. Et il a plu à Dieu de sauver le monde, ou ceux qui veulent croire, par la folie de la prédication. Oh ! comme l’une est contraire à l’autre ! Eh bien, vite, arrivons à la fin de ceci ou à cette conclusion-ci.

52.       Observez juste un instant. Quand Abel vint par inspiration, il n’y avait pas de beauté, mais il est venu par inspiration… Il n’avait pas de Bible qui lui ait révélé que c’était un agneau. Mais Dieu lui révéla que c’était un agneau, pas d’inspiration pour lui dire que ce n’était pas… Caïn a dit : « Eh bien, alors (les raisonnements), c’est le fruit, nous… Ils doivent avoir mangé des pommes, je vais donc apporter une offrande de fruits, et Jéhovah agréera cela, parce que cela paraît mieux que ce qu’il y avait, Jéhovah agréera donc cela. »

            Et aujourd’hui, les gens pensent la même chose, ils évitent de petites églises et autres où l’Evangile est prêché, ils évitent parfois des gens parce qu’ils ne sont pas tout à fait habillés à la mode, comme on le dit. Ils veulent agir comme le monde et être comme le monde. C’est comme la femme dont je viens de vous parler. En effet, ce sont les raisonnements, et vous ne pouvez pas aller par cela. Absolument pas. C’est par l’inspiration.

53.       Quand Jésus descendait de la montagne de la Transfiguration… Scellons cette chose maintenant même. Quand Jésus descendait de la montagne de la Transfiguration, Il a demandé aux apôtres, Il a demandé : « Qui dit-on que je suis, Moi, le Fils de l’homme ? »

            Les uns disent : « Tu es Elie. »

            Et les autres disent : « Tu es le Prophète. »

            D’autres encore disent : « Tu es Jérémie. » Il a dit : « Mais qui dites-vous que Je suis ? »

            Alors Pierre a dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »

            Il a dit : « Tu es heureux, Simon, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les Cieux qui te l’a révélé. Et sur ce Roc, je bâtirai Mon Eglise ; et les portes du séjour des morts ne peuvent prévaloir contre cela. »

54.       C’est par cela que la femme sunamite allait. Ce n’était pas raisonnable d’amener un enfant mort au lit du prédicateur. Mais l’inspiration avait parlé. Et si l’inspiration vous parlait et vous disait que vous faites de la religion, si l’inspiration vous dit ce soir qu’il est temps de vous débarrasser de sales habitudes, écoutez l’inspiration. C’est le Saint-Esprit qui parle et qui fraye une voie. Ne rejetez jamais cela, s’il y a quoi que ce soit… à moins que ça soit contraire à la Parole de Dieu. Et tout ce que vous faites de pur et de juste, c’est–c’est en accord avec la Parole de Dieu. C’est en accord. Amen.

            Peu importe ce que les gens pensent, ce que les autres disent, c’est l’inspiration qui vous conduit, si cela est en accord avec la Parole. Et si c’est donc conforme à la Parole, c’est donc l’inspiration qui vous conduit.

55.       Alors la femme prend l’enfant, elle contourne et le couche sur son lit à elle... sur son lit à lui. Qu’est-il arrivé ? Son mari est revenu. Les gens pleuraient, poussaient des cris et tout ; l’enfant était mort. Mais cette femme… Amen ! J’aime ça. Sa foi était en action. Elle était tout aussi calme que possible. Quelque chose l’avait frappée en ce moment crucial. Quelque chose a tenu ferme. Et si quelque chose a pu tenir ferme au moment où la mort a frappé dans cette famille-là, à combien plus forte raison Cela devrait-il tenir ferme ce soir où la Venue du Seigneur Jésus-Christ est proche.

            Quelque chose l’a frappée : l’inspiration. Elle a marché çà et là, elle a pris le petit enfant, l’a couché sur le lit du prophète. Et son mari a demandé : « Ô chérie ! Ô chérie ! qu’allons-nous faire ? »

            Elle a dit : « Tout va bien, mon mari. » Amen ! Sa foi l’a mise en action. Et peu importe combien, sœur, vous qui êtes dans ce fauteuil roulant, vous croyez que Dieu est Guérisseur, si votre foi ne peut entrer en action, vous resterez toujours dans ce fauteuil roulant. Mais une fois que votre foi peut entrer en action au point où du fond de votre âme vous dites que c’est vrai, non pas les raisonnements, mais quelque chose ici dedans dit que c’est ça ; alors frère, quelque chose aura lieu. Vous commencerez à agir. En effet, c’est impossible qu’il n’en soit pas ainsi. C’est vrai.

56.       Remarquez donc ce qui est arrivé. Elle a dit : « Scelle-moi une mule (Amen !) et chevauche vers mont Carmel aussi vite que possible. » J’aime ça. Elle a dit : « Scelle un âne et va de l’avant ; Ne ralentis même pas à moins que je te le dise. » J’aime ça. Elle était en route pour rencontrer l’homme de Dieu. Elle avait un besoin, elle savait qu’Elisée était le représentant de Dieu. Elle ne savait pas qu’Elisée allait restituer la vie à l’enfant. Mais elle savait qu’Elisée était reconnu et confirmé de façon absolue comme serviteur de Dieu. Et ce soir, le Saint-Esprit est la preuve qu’Il est ici, que Sa Puissance est avec les croyants. Et si seulement nous pouvons reconnaître cela par l’inspiration qui nous conduit vers le... fait le... au moment crucial à prendre notre décision selon la Parole de Dieu, non pas suivant ce que nos voisins vont penser ou suivant ce que quelqu’un d’autre va dire, ou ce que mon pasteur dira, ou ce que les membres [de mon église] diront, ou ce que mes voisins diront, mais ce que Dieu me conduit à faire.

57.       Elle a alors pris la décision. Elle est… La… Elle monta sur la mule et s’en alla. Elle s’est dit : « Si je peux arriver auprès de cet homme de Dieu, je découvrirai la raison. » Et quand elle arriva… Dieu ne dit pas toujours à Ses prophètes tout ce qui va arriver. Il ne leur dit que ce qu’Il–ce qu’Il veut. Dieu est Souverain.

            Vous ne pourrez jamais voir des hommes parcourir le monde, guérissant des gens à tout hasard et tout. J’ai essayé de renverser cela de toutes mes forces dans ma vie. C’est la raison pour laquelle vous voyez que, dans des campagnes, j’examine minutieusement tout pour d’abord avoir une vision, ce que Dieu dira de faire. En effet, vous pouvez taper du pied, donner un coup de pied, oindre et tout le reste, et si le diable a un droit là-dessus, quelque chose d’inconfessé dans votre cœur, ou une incrédulité, ou un doute, n’importe quoi là, quelque chose que vous avez refusé de faire ou de ne pas faire, le diable restera là même, car il en a le droit. C’est vrai. Jésus ne guérissait jamais à tout hasard. Il a dit : « Je ne fais rien à moins que le Père ne Me le montre premièrement. » Vous ne serez jamais en accord avec Jésus.

58.       Il y a quelque temps, un prédicateur d’une certaine dénomination qui ne croit pas aux miracles, qui ne croit même pas au baptême du Saint-Esprit aujourd’hui, m’a dit, il a dit : « Ecoutez, prédicateur. » Il a dit : « Si vous êtes un apôtre, si vous êtes un prophète… »

            J’ai dit : « Jamais je n’ai dit cela, monsieur. Je ne suis ni apôtre, ni prophète.» J’ai dit : « Je suis un serviteur du Seigneur Jésus. »

            Il a dit : « Si vous êtes le guérisseur… »

            J’ai dit : « Je n’ai jamais dit que j’étais le guérisseur. » J’ai dit : « C’est le Seigneur Jésus qui est le Guérisseur. »

            Il a dit : « Mais si vous étiez comme les apôtres… »

            J’ai dit : « Jamais, je ne suis pas comme eux, sauf que je suis sauvé par la même grâce. »

            Il a dit : « Eh bien, vous affirmez avoir le même Saint-Esprit ? » J’ai dit : « Cette fois-ci, vous êtes en ligne. C’est vrai. »

            Il a dit : « Alors, si vous êtes comme les apôtres qui avaient le Saint-Esprit, pourquoi n’allez-vous donc pas là à l’hôpital et ne dites-vous pas : ‘Vous tous qui êtes malades, levez-vous et sortez’? » Et il a dit : « Chacun d’eux obéira et fera ce que vous lui aurez dit. »

            J’ai dit : « Croyez-vous que Jésus sauve toujours ? »

            « Absolument. »

            J’ai dit : « Allez ici au cabaret, à la piste de course, aux bars et dites : ‘Chacun de vous est–est chrétien, venez et sortez du monde.’ »

            Il a dit : « Je le peux s’ils croient. »

            J’ai dit : « Moi aussi. » C’est vrai. Assurément. C’est ça. Cela repose sur l’expiation, c’est exact.

59.       Il a dit : « Eh bien, vous vous rappelez, monsieur Branham, a-t-il dit, jamais les apôtres n’avaient échoué. Tout celui pour qui ils priaient était guéri. »

            J’ai dit : « Vous feriez mieux de ne pas dire cela à ma fille de huit ans. Elle va te confondre ; vous ne connaissez pas la Bible mieux que ça. » J’ai dit : « Oh ! la la ! Un homme avec un diplôme de docteur et qui ne connaît pas la Bible mieux que ça ! Eh bien, ai-je dit, quand Jésus est descendu de la montagne de la Transfiguration, les apôtres étaient là, essayant de leur mieux de chasser d’un enfant un démon d’épilepsie. Et un homme est venu et a dit : ‘J’ai amené cet enfant auprès de Tes serviteurs, et ils n’ont pu rien faire pour lui. Aussi Te l’ai-je amené.’ »

            Jésus a dit : « Jusqu’à quand allez-vous être incrédules ? » Il avait amené l’enfant là et il n’y avait pas de doute pour lui. Il était Dieu. Alors, Il a tout simplement ordonné à l’esprit ; et cela l’a quitté.

            Les apôtres ont dit : « Pourquoi n’avons-nous pas pu faire cela ? » Ils avaient échoué. Paul avait laissé son ami Timothée, souffrant, souffrant de la gastrite. Paul…?… Mais ils faisaient au mieux de leur possibilité ce qu’ils devaient faire. Jésus avait l’Esprit sans mesure ; nous, nous L’avons avec mesure. Il a dit : « Comment pouvez-vous condamner un homme… ? » J’ai dit : « Vous parlez de quelques échecs, pourquoi ne parlez-vous pas de certains succès si vous êtes chrétien ? » C’est parce que son cœur était loin de Dieu, ses facultés intellectuelles l’amenaient vers une certaine expérience théologique qu’il avait eue. J’ai dit : « Vous y êtes. »

60.       Il a dit : « Eh bien, si vous êtes le… Je vous ai entendu dire dans l’un de vos sermons que Jésus a dit : ‘Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi.’ » Il a dit : « Qu’on vous voie alors rompre le pain et nourrir cinq mille personnes ; laissez-moi vous voir changer l’eau en vin. »

            J’ai dit : « Nous sommes dans notre enfance. Nous évoluons. Et aussitôt que nous serons débarrassés de vous, de ce tas de fanatiques formalistes que vous êtes, nous accomplirons cela, mais nous faisons le… » J’ai dit : « Eh bien, la guérison n’est plus mise en doute ; même les médecins reconnaissent cela. Les meilleures associations des médecins dans toute l’Association Médicale de l’Amérique reconnaissent que la guérison divine, c’est par le Sang de Jésus-Christ. C’est vrai. » J’ai dit : « Si nous pouvons nous débarrasser de vous, ce tas d’incroyants, assez longtemps pour obtenir que Dieu entre au milieu de la foule, vous verrez des choses semblables se passer. Nous sommes simplement en train d’évoluer. Considérez les miracles que Jésus avait commencé à faire de la même façon, Il a progressé jusqu’à ce que finalement Il a ressuscité des morts.

61.       Remarquez, cette femme s’est rendue auprès du prophète, et le prophète a dit : « Voici venir cette Sunamite, et Dieu m’a caché ce qui est dans son cœur. » Le prophète ne le savait pas. Alors, il a vu la femme là au loin, puis il a dit : « Guéhazi, cela m’inquiète un peu. Va vite et demande-lui quel est le problème. Je vois qu’elle a l’air tout chagrinée ; elle a la tête baissée ; elle chevauchait cette petite mule à mort, pratiquement, et voici qu’elle vient… Va lui demander quel est le problème. »

            Et Guéhazi a couru là et a dit : « Tout va-t-il bien pour toi ? Est-ce que tout va bien pour ton mari ? Est-ce que tout va bien pour l’enfant ? »

            Regardez, voici une parole qui m’a toujours intrigué. Elle a répondu : « Tout va bien. » Amen ! « Tout va bien », alors que son enfant était un cadavre. « Tout va bien pour mon mari ; tout va bien pour moi ; tout va bien pour l’enfant. »

            Alors, elle s’est approchée de lui, elle s’est prosternée à ses pieds. Elle s’est mise à le lui révéler. Alors il a dit à Guéhazi : « Guéhazi, prends ce bâton dans ta main et pars. »

62.       Oh ! la la ! Ce dont le prédicateur a besoin aujourd’hui, c’est d’un bâton et de partir, de consumer le veau et les outils de travail. Soyez prêt. Il a dit : « Tu vas partir. Et si quelqu’un t’invite à une partie de fête entre amis, n’y va pas. Et s’ils vont avoir un souper des soupes, ne le crois pas. S’ils vont devoir s’arrêter pour jouer au jeu d’arnaque dans une église, ne crois pas cela. Si quelqu’un te salue, ne le salue pas, mais va directement et dépose ceci sur cet enfant-là. » C’est cela la commission de l’Eglise aujourd’hui, rejeter tout fardeau et tout péché qui nous enveloppent si facilement, afin que nous puissions courir avec persévérance dans la carrière–dans la carrière qui nous est ouverte. Hébreux 12 dit : « Puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins », les miracles ont été accomplis par la foi, dit-il, « rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement. »

            Nous nous arrêtons trop pour de petites choses entre amis. Nous nous arrêtons trop pour… supporter le monde. Nous nous arrêtons trop pour vérifier si nous ne devenons pas un peu trop fanatiques. Je crains… J’ai plus de crainte pour la personne qui a peur que je n’en ai pour celle qui est fanatique. C’est vrai.

            Oh ! la la ! Je préférerais avoir un petit feu de brousse plutôt que de ne pas du tout avoir de feu. Assurément. Je préférerais être autour d’un feu qui est en train de crépiter et sauter à tout moment où le monde a froid plutôt que d’être autour d’un iceberg. Certainement. Ne faites pas une peinture de feu. Vous ne pouvez pas vous réchauffer à une peinture de feu ; il vous faut avoir un feu réel. Non pas ce que les apôtres ont fait, le Saint-Esprit dans les apôtres. Comme le même Saint-Esprit est là aujourd’hui, allons de l’avant.

63.       La science, il y a cent cinquante ans, a fait la déclaration comme quoi si jamais un homme allait à une vitesse vertigineuse de trente miles [48 km] à l’heure, la pesanteur le propulserait de la terre ; en effet, on chevauchait sur des chars à bœufs. Pensez-vous que la science se réfère à cela aujourd’hui ? Absolument pas. Aujourd’hui, on fait 1.600 miles [2.574 km] à l’heure dans un avion à réaction et on continue à aller, à avancer plus loin. Et nous en sommes au point où nous pouvons croire au baptême du Saint-Esprit, nous pouvons croire à la guérison des malades ; avançons jusqu’à la résurrection des morts et à la Venue du Seigneur Jésus-Christ.

            La science ne peut aller que jusque là, puis redescendre. Nous sommes… Nous, nous avons des ressources non exploitées, par une promesse divine qui nous vient de nul autre que du Fils de Dieu qui a dit : « Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai. » Amen. Je me sens religieux maintenant même, oh ! la la ! en y pensant. « Tout est possible à celui qui croit. » Ô Dieu, j’ai assez de foi pour les malades maintenant ; ô Dieu, donne-moi assez de foi pour autre chose. J’ai faim, mon appétit augmente… Je veux plus de Dieu.

64.       Alors cette femme a dit… Elle a vu Elisée prendre le bâton et sortir comme cela ; elle a dit : « Cela ne me satisfait pas. » Elle savait… Elle n’était pas sûre si Dieu était dans ce bâton-là ou pas, mais elle était sûre que Dieu était dans ce prophète-là, aussi a-t-elle dit : « Je… L’Eternel est vivant, ton âme ne mourra jamais, a-t-elle dit ; je ne te quitterai point. J’aimerais savoir ce que Dieu veut que je fasse. » Amen.

            Si vous ne prenez pas une petite patate froide… Permettez l’expression. Si le diable veut vous dire : « Eh bien, allez adhérer à telle église. Tenez-vous simplement de côté ; un glorieux jour dans le Millénium, il y aura la guérison pour les malades et on aura de nouveau des expériences. » Si vous voulez que le diable vous colle cela au cou et que vous attendiez autre chose, vous ratez des tartes, des glaces, des poulets frits et de bonnes choses. » Amen.

            Je ne peux pas être satisfait par l’adhésion à une église. Je dois connaître Christ. Peu importe que vos bâtons théologiques aillent çà et là, en disant : « Je ne crois pas cela », vos bâtons à mesurer. « Si vous faites ceci, si vous faites cela, si vous faites ceci. » Je n’aime pas ces vieux bâtons à mesurer. Rejetez cette chose-là et recevez le Seigneur Jésus. Cette femme a dit : « Je ne te quitterai point; en effet, je sais que tu es là-dedans. » Je ne sais pas si Dieu est dans l’Eglise méthodiste, ou dans l’Eglise baptiste ou dans l’Eglise pentecôtiste, ou dans l’Eglise luthérienne. Je n’en sais rien. Mais je–je sais ceci : Il est dans mon cœur. Amen. C’est Sa demeure.

            Elle a dit : « Je ne te quitterai point. Je vais bien m’accrocher à toi. »

65.       Oh ! elle a touché au point. Elle avait atteint sa foi, pour croire la chose. Elle a parcouru toutes les fossiles et tout le reste, tous les persécuteurs, tous les moqueurs et les railleurs : « Hein ! tu sais, j’ai toujours pensé qu’il y a quelque chose de louche au sujet de cette femme-là. Regardez où elle va donc. » Voyez, vous y êtes. Il vous faut franchir chaque barrière, brûler chaque clôture derrière vous pour arriver à Christ. Peu importe ce que le monde dit, ce que l’église dit, ce que les gens disent ; c’est ce que Jésus a dit qui compte.

            Alors Elisée est parti avec elle. Si vous venez ainsi à Jésus, Il ira avec vous tout au long du pèlerinage de la vie jusqu’au bout du chemin. Oui, Il le fera. Un de ces jours (Alléluia !), il nous faudra tous en arriver là. Je voudrais être… J’aimerais qu’Il soit alors mon Ami. Mes églises auront été consumées et auront été explosées par des bombes atomiques et tout le reste, mais mon Seigneur vivra à jamais. J’aimerais être en Lui. Ce sont là mes motifs ; c’est là le désir de mon cœur, c’est d’être en Lui.

66.       Remarquez. Il est allé dans la chambre. Vite maintenant, alors que nous terminons… Il est allé dans la chambre où était l’enfant ; il ne savait pas. Il a parcouru la pièce en long et en large, les gens qui étaient dehors faisaient des taquineries et tout. Il a parcouru la pièce en long et en large, de part et d’autre, jusqu’à ce que l’Esprit l’a beaucoup oint. Il a couru, il s’est jeté sur cet enfant-là, il a placé ses lèvres contre les lèvres de l’enfant, sa tête contre la tête de l’enfant, son nez contre le nez de l’enfant, ses mains contre les mains de l’enfant, et l’Esprit de Dieu est passé au travers de lui vers cet enfant-là, c’est comme l’imposition des mains aux malades ou je ne sais quoi d’autre. Et cet enfant a éternué sept fois et est revenu à la vie. L’inspiration de la femme payait.

67.       Un jour, frère, lorsque le soleil refusera de briller, lorsque la lune se couchera et que les étoiles cacheront leur visage à la terre, que le dernier sermon aura été prêché, que la Bible aura été fermée, que les églises auront éclaté en morceaux et que les rochers convulseront et crieront, j’aimerais Le connaître. Amen. Comme le poète l’a dit dans une chanson : « Je peux voir Adam secouer Eve et dire : ‘Eve, c’est ça, chérie.’ Eve étend la main et secoue Abel, et dit : ‘Abel.’ Abel secoue Seth. Seth secoue Noé. Noé secoue Abraham. » Amen ! Ce temps est arrivé. Le connaître dans la puissance de Sa résurrection. Savoir que l’inspiration qui me conduit (et j’ai été classé dans la catégorie des fanatiques et je ne sais quoi) m’a amené à la Lumière, m’a amené à être récompensé.

            Vous, les vieilles mamans et les vieux papas aux cheveux grisonnants, qui êtes ici, ne vous en faites pas, votre… L’inspiration qui vous a conduits à Christ et qui a fait que vous êtes passés par plusieurs dangers, épreuves et pièges, ne vous en faites pas, un matin, elle paiera. Elle paiera. Jésus viendra. Nous serons enlevés avec Lui dans les airs.

68.       Regardez cet enfant-là, il était étendu là sur le lit de ce prophète ; c’est l’inspiration qui l’avait fait coucher là, préparer. Et Dieu a Ses bras étendus ce soir, et votre cœur se trouve là. Il veut préparer une place là afin qu’il puisse venir, descendre vous prendre et vous amener dans la résurrection. Le même Dieu Tout-Puissant, le Grand Jéhovah, qui s’est avancé devant Abraham… Quelqu’un a demandé : « Est-ce que vous dites que c’était Dieu Jéhovah ? » Assurément, la Bible dit que c’était Lui. Il y eut deux Anges qui marchèrent… il a dit : « Comment ont-Ils mangé ce bœuf et mangé… (Je veux dire ce veau) et  ont-ils bu le lait de vache, ont-ils mangé le pain de maïs avec du beurre ? Etait-ce Dieu ? » Oui, oui. La Bible dit que c’était Dieu et deux anges. « Oh ! ai-je dit, vous limitez Dieu par votre incrédulité. » J’ai dit : « Dieu n’a rien à faire… »

            Il a dit : « Viens ici, Gabriel ; viens ici, Michael ; tenez-vous ici à côté de Moi. » Il a dit [Frère Branham souffle – N.D.E.] : « Entre dans ce corps-là. » Amen. Il a étendu la main [Il souffle] : « Entre dans ce corps-là. » Il a dit : « Viens ici, poignée d’atomes, et un peu de lumière cosmique, un peu de… cosmique, un peu de pétrole, et de choses dont ce corps-ci est constitué. » Il a formé cela et Il est entré là-dedans, Il a marché et Il a parlé à Abraham, Ses habits couverts de poussière, Il avait le dos tourné à Sara lorsque celle-ci a ri dans la tente. Il a dit : « Pourquoi as-tu ri, Sara ? »

            Elle a dit : « Je n’ai point ri. »

            Il a dit : « Oh ! si, tu as ri. » Alléluia ! Il s’est formé un corps pour apparaître devant Abraham. Et le même Dieu qui avait formé ce corps-là a notre âme entre Ses mains ce soir. Apprêtons un lieu, faisons une place pour Lui pour qu’Il y demeure, afin qu’un glorieux jour, lorsqu’Il retournera sur la terre, Il parle et nous apparaîtrons à Sa ressemblance pour vivre avec Lui aux siècles des siècles. Oh! j’aimerais Le voir. J’aimerais alors aller avec Lui. Peu m’importe ce que le monde dit aujourd’hui. Vous non plus.

69.       Et mon ami pécheur ici présent ce soir, si ce n’est pas là votre expérience, Dieu vous attend. Ouvrez votre cœur, laissez-Le venir. Ne prenez pas le raisonnement. Ne dites pas : « Eh bien, j’ai été un homme très bien. » C’est très bien. C’est une bonne chose que d’être un homme de bien, mais êtes-vous né de nouveau ? Avez-vous fait des préparatifs tels que, à Sa Venue, quand Il passera, Il ressuscitera aussi votre[corps] mort et vous ramènera à la vie ? J’espère que vous l’avez fait. Si vous ne l’avez pas fait, puissiez-vous être prêt à le faire maintenant pendant que nous inclinons la tête. Et que l’organiste veuille venir pendant que nous avons nos têtes inclinées juste un moment pour la prière… Tout le monde en prière, s’il vous plaît. C’est solennel, c’est un moment glorieux, peut-être qu’il y a ici ce soir un petit garçon que Dieu s’apprête à utiliser dans quelques jours comme prédicateur. Peut-être qu’il y a ici un pauvre garçon pécheur qui n’a jamais accepté Christ, ou une femme. Peut-être que la vie changera pour eux dans quelques instants. Peut-être un membre tiède d’église qui fréquente l’église, qui n’est jamais devenu un véritable chrétien ; qu’en est-il, mon ami ? Lorsque vous arriverez au bout du chemin, votre âme s’en ira-t-elle comme celle de cette femme qui est morte là, à Louisville, il y a quelques semaines ? Alors que vos raisonnements disparaîtront, qu’en sera-t-il de votre âme ?

70.       Notre Père céleste, au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus, nous Te présentons ce soir cette assemblée. Nous Te la présentons, Seigneur, afin que le Saint-Esprit sonde cet auditoire ici et fasse un ratissage dans ces allées. Je ne sais pas, ceci peut être le dernier appel.

            Je viens de lire, il y a quelques instants, au sujet d’un conducteur de bus qui était en très bonne santé, qui avait conduit sur une distance de plus d’un million de kilomètres, il est entré dans une ville et dans une station, il a eu un petit malaise et il est sorti de la station, il est allé au bord du trottoir… et là, il est mort. On ne sait pas. Il se peut que ça soit l’heure. Nous ne savons pas. Mais, Père, le filet est dans l’eau. Ô Dieu, fais vite entrer le poisson là-dedans, dans le filet de l’Evangile. Et sauve les perdus maintenant même, Père, ainsi que les rétrogrades, les tièdes, et ceux qui sont fatigués en route, par amour pour Jésus.

71.       Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, y a-t-il un jeune garçon pécheur, une jeune fille pécheresse, un homme pécheur, ou une femme pécheresse, ici ce soir, qui dira : « Frère Branham, je crois que c’est la vérité. Je le crois de tout mon cœur, et maintenant je vais lever la main vers Dieu, pas tellement vers vous, Frère Branham ; je–j’aimerais qu’on se souvienne de moi dans la prière. Que Dieu vous bénisse, fils. Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse, oui. Quelqu’un d’autre ?

            Levez simplement la main et dites : « Frère Branham, souviens-toi de moi maintenant. Je suis un pécheur. J’aimerais vraiment être en ordre avec Dieu. Je–je sais que je ne suis pas en ordre. Ce n’est pas nécessaire pour moi… Mon inspiration… Il y a sur moi quelque chose qui me dit : ‘Garçon, c’est toi ce soir.’ » C’est Lui qui vous parle. Je vous ai parlé au cours de tout le sermon. Et cela s’adresse à vous. Vous n’avez jamais préparé un endroit, en vous séparant de toutes les choses du monde. Vous avez encore les désirs du monde. « Oh ! oui, je suis membre d’église. » Est-ce que le monde est encore là, l’amour du monde ?

72.       Y a-t-il un membre tiède d’église, n’importe qui de ce genre, qui aimerait lever la main et dire : « Frère Branham, souviens-toi de moi. Que Dieu soit miséricordieux envers moi maintenant même. Je ne suis point né de nouveau. Je sais que je suis membre d’église. J’ai–j’ai mené une vie avec des hauts et des bas. Mais quant à nettoyer vraiment la maison et préparer un lieu de résurrection pour une nouvelle vie, je n’ai jamais fait cela, même si je suis un croyant. J’aimerais que Tu Te souviennes de moi, ô Dieu, maintenant même que je–je désire cela. Maintenant, et aussi à l’heure de ma mort, je–j’aimerais que Tu Te souviennes de moi. » Voudriez-vous lever la main vers Dieu et dire : « Ceci est mon signe envers Toi, Seigneur. J’aimerais que Tu Te souviennes de moi maintenant. Quelqu’un qui a faim et soif de la justice, je désire ardemment Te rencontrer en paix avec une expérience. » Voudriez-vous lever la main, n’importe où dans la salle ? Que le Seigneur soit avec vous. Voudriez-vous lever la main ? Quelqu’un d’autre, pour dire : « Souviens-Toi de moi, ô Dieu, ce soir, parce que je suis dans le besoin. Je suis dans le besoin. Je sais que je… »

73.       Eh bien, écoutez, ne jouez pas avec ça, frère, sœur. Ne jouez vraiment pas. Ne tripotez pas avec cela. Soyez sûr. Voyez, peut-être que votre conscience a été longtemps endurcie, mais il y a au fond de votre cœur quelque chose qui dit : « C’est moi, et je sais maintenant même que je n’ai pas été fidèle envers Dieu. Je n’ai pas été fidèle, il y a toujours eu quelque chose qui m’a gardé par terre. Je n’ai pas eu cette liberté parfaite. Je–je n’arrive pas à être caché dans la Gloire de la Shekinah avec Dieu. Il m’arrive des fois où je sens que ç’en est fini de moi. Il m’arrive des fois où je pense que j’ai rétrogradé. Je–je–je n’arrive guère à supporter cela, mais je veux que Tu me viennes en aide, ô Dieu. Je vais lever la main vers Toi afin que Tu me viennes en aide. » Voudriez-vous lever la main ? Quelqu’un d’autre qui lève la main, s’il vous plaît. J’attends juste un instant pour voir si quelqu’un d’autre… Le Seigneur Jésus voit votre main. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Pendant que nous attendons, le Saint-Esprit parle. Vous, examinez-vous vous-même pour voir si tout est complètement nettoyé ? 

74.       Un jour, quelque part dans une église, on jouera de la musique douce à l’orgue pendant qu’un cercueil glissera sur le plancher. Ça sera vous. Oui, oui. Ça sera vous. Je me demande si dans l’état dans lequel vous serez alors, si vous pourrez revenir, vous direz : « Oh ! laissez-moi sortir d’ici et m’agenouiller à l’autel juste un instant. Il y a beaucoup de choses que j’aimerais mettre en ordre. » Il sera alors trop tard.

            Qu’en est-il de maintenant ? « Aujourd’hui, c’est le jour du salut. » Allez-vous… Quelqu’un d’autre ? Quatre ou cinq ont levé la main. Voudriez-vous simplement dire : « Souviens-Toi de moi, ô Dieu, je suis–je suis dans le besoin. Je viens maintenant par la foi. Je–je veux vraiment t’abandonner tout, mon Adorable Rédempteur. Je donne tout ce que j’ai. Tu t’es donné pour moi ; je me donne pour Toi. Je viens maintenant par la foi, par la grâce, croyant que le Seigneur Jésus me remplira du Saint-Esprit ce soir même. »

75.       Si vous ne comprenez pas ce que je veux dire par naître de nouveau, je veux dire quelqu’un qui n’a pas le baptême du Saint-Esprit. C’est ça, la nouvelle naissance. Voudriez-vous lever la main et dire : « Je crois maintenant ; je veux recevoir le Saint-Esprit. Souviens-toi de moi, frère prédicateur » ? Que Dieu vous bénisse, sœur. Quelqu’un… Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bien. Quel temps !

            Pendant que nous avons nos têtes inclinées juste un moment de plus, je vais chanter. Nous allons chanter cela très doucement, alors que la sœur joue cela. Je me demande si vous pouvez venir ici, vous agenouiller et me laisser descendre prier avec vous, et vous imposer les mains. Doucement et tendrement, Jésus appelle. Très bien.

            Doucement et tendrement, Jésus appelle,

            Il appelle…

76.       Que Dieu vous bénisse, petite fille. Voudriez-vous venir ? La petite dame dit : « J’ai accepté Christ, mais, Frère Branham, je ne suis pas née de nouveau ; je n’ai pas reçu le Saint-Esprit. J’aimerais recevoir Cela. » Quelqu’un d’autre dans cet état-là ? Pécheur, qui que vous soyez, loin de Dieu, sans… Jésus a dit : « Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera pas dans le Royaume. » Voudriez-vous venir ?

            Voici venir un garçon qui a dû entrer dans un fauteuil roulant pour venir donner sa vie à Christ, il a levé la main comme un pécheur. Que Dieu vous bénisse, mon frère…?… Accorde-le, Seigneur. [Frère Branham prie avec ceux qui sont à l’autel. – N.D.E.]

            Ecoutez, voudriez-vous venir, vous qui avez levé la main ? Cela devrait être un signe pour tout le monde. Un pauvre garçon a dû quitter un fauteuil roulant pour venir se mettre à l’autel, pleurant ici, les larmes coulant sur ses joues, parce qu’il dit qu’il est un pécheur et qu’il aimerait qu’on se souvienne de lui dans la prière. Ne voudriez-vous pas venir ?

            … venez à la maison,

            Vous qui êtes fatigués, revenez à la maison ;

            Ardemment, tendrement, Jésus appelle,

            Il appelle, ô pécheur, viens…

77.       Combien aimeraient recevoir le Saint-Esprit ? Voudriez-vous venir ici et vous agenouiller en ce moment-ci, ceux qui veulent recevoir Dieu, le Saint-Esprit dans leur cœur, pour passer de la mort à la vie, et que toutes choses deviennent nouvelles ? Vous savez qu’Il vous parle. Regardez la foule. Je suis même surpris dans cette église-ci. Vous savez, les gens deviennent tellement froids qu’ils n’arrivent même plus à verser une larme. Ils sont simplement–ils sont simplement devenus très indifférents. C’est l’esprit de l’âge. Nous sommes au temps de la fin, où les cœurs des hommes défaillent; c’est un temps de perplexité, et les gens n’ont plus l’affection naturelle. L’amour de Dieu semble se retirer. Mais de vous voir ici ce soir brisés, des larmes coulant sur vos joues, des mères, des filles, des pères et des fils en train de pleurer, c’est merveilleux. Le Saint-Esprit est ici.

78.       Ne voudriez-vous pas venir ? Ceci pourrait être votre temps. Souvenez-vous, à la fin de l’âge, j’aurai à me tenir à côté de vous, mon ami. Rappelez-vous, ça ne sera pas ma faute. Je vous offre ce soir Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et l’expérience de la nouvelle naissance. Ne voudriez-vous pas venir ? Encore une fois pendant que nous chantons. Voudriez-vous venir ?

            Doucement et ten…

            Ne voudriez-vous pas venir ce soir aux bancs des pénitents à l’ancienne mode où votre papa et votre maman avaient l’habitude d’aller prier ?

            Vous appelle vous et moi (Que Dieu vous bénisse, ma sœur)…

            … les portails…

            [Frère Branham prie avec ceux qui sont à l’autel. – N.D.E.] Que Dieu vous bénisse, sœur. Notre Père, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, Tu as dit : « Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai. » Accorde à cette femme le Sang de Jésus…?… cœur d’être…?… Seigneur…?…

79.       Ne voudriez-vous pas faire comme cette jeune dame ? Elle est membre d’église, mais elle s’est rendu compte qu’elle n’était pas à la hauteur de la volonté de Dieu. Ne voudriez-vous pas venir accepter cela ?

            … Ô pécheur…

            Venez, s’il vous plaît, ce soir pendant que je vous supplie. Eh bien, c’est le jour ici ce matin, au banc… Est-ce que quelqu’un le veut maintenant ? Peut-être que pendant que vous êtes là, un pécheur attend de venir avec vous, une personne. Que ceux qui assistent individuellement les gens viennent à l’autel en ce moment-ci… Avancez ici, peut-être, peut-être qu’un pécheur, ou un membre tiède d’église s’avancera. Que Dieu vous bénisse, sœur, vous qui êtes aussi sincère pour prier pour une âme perdue.

80.       Il y a dans cette salle ce soir... Laissez-moi vous dire quelque chose, monsieur. Je vois quatre ou cinq hommes qui ont levé la main il y a un instant. Ce soir, il y a parmi nous un bon prédicateur méthodiste ; on était là chez lui il n’y a pas longtemps. Quelqu’un s’est avancé et lui a parlé, il est venu à Christ et ce soir, c’est un merveilleux homme sauvé par Dieu. Il est rempli de l’Esprit de Dieu, parce que quelqu’un s’était intéressé à lui, il est venu, il s’est agenouillé, il a prié avec lui. Voudriez-vous venir faire cela ? Il est un prédicateur ce soir, parce qu’il était venu. Encore une fois, ne voudriez-vous pas venir pendant que nous chantons une fois de plus ?

            Ardemment, tendrement, Jésus appelle,

            Il appelle, ô pécheur…

            Voyez-Le attendant aux portails,

            Nous attendant, toi et moi.

            Revenez à la Maison, revenez à la Maison,

            Vous qui êtes…

            Sentez-vous que c’est réglé, frère ? Amen. Cet homme dans le fauteuil roulant vient d’être sauvé, il a accepté Christ ; c’est aussi un bon moment pour lui d’être guéri.

            Ardemment, tendrement, Jésus appelle,

            Il appelle, ô pécheur, reviens à la Maison ?

81.       Etes-vous chrétienne, sœur, vous qui êtes dans le fauteuil roulant ? Ne voudriez-vous pas approcher votre fauteuil vers ici ? Entrez dans votre fauteuil et venez… Elle est juste là, frère. Que quelqu’un la déplace vers ici. Elle est malade et elle a besoin de guérison. Que Dieu vous bénisse, sœur bien-aimée, c’est le bon moment pour vous d’être guérie maintenant même. Que n’importe qui d’autre qui veut s’agenouiller à côté des malades, vienne. Que quiconque veut puisse venir et qu’il boive les Eaux de la Vie aux fontaines.

            Dieu est ici. Croyez-vous cela ? Quelqu’un d’autre qui est malade et affligé ? Agenouillez-vous là. Nous prions maintenant. C’est le bon moment pour que le Saint-Esprit satisfasse cela. Pourquoi pas ce soir ? Savez-vous…?… [Frère Branham parle à quelqu’un. – N.D.E.] Jouez : Ne laissez pas la Parole quitter.

            … laissez la Parole quitter,

            Et ferme tes yeux à la lumière ;

            Ô pécheur, n’endurcis pas ton cœur,

            Sois sauvé, ô ce soir.

            [Frère Branham s’éloigne du micro. – N.D.E.]

            Et pourquoi pas ce soir ?

            Ô pourquoi pas ce soir ?

            Ô pourquoi pas ce soir ?

            Ô pourquoi rester malade ?

            Et pourquoi pas ce soir ?

82.       Ô mon ami chrétien, ne voudriez-vous pas venir ? Y a-t-il quelqu’un qui veut s’agenouiller avec nous ici à l’autel ? Pendant que je priais pour les malades, je suis descendu là et il y a un homme qui se mourait du cancer, il s’est simplement agenouillé ici à l’autel pour être guéri, acceptant Jésus comme son Guérisseur. Je viens de descendre là tout à l’heure, j’ai prié et je lui ai imposé les mains. Et je souhaiterais que vous veniez ici. Je crois que Dieu va nous accorder immédiatement une grande effusion et nous accorder ces choses dont nous avons besoin.

            Nous tous, ceux qui veulent s’agenouiller à l’autel, voudriez-vous venir maintenant même et vous agenouiller, pendant que nous sommes en prière ? Que Dieu vous bénisse, mon ami, et croyez au Seigneur Jésus. Le Dieu d’Elie est toujours vivant. Il guérit encore. Il rétablit et l’âme et le corps. Il est l’Homme du Plein Evangile, l’Homme Tout-Puissant.

            Dieu Tout-Puissant, Dieu Omnipotent, Dieu Omniscient, le même hier, aujourd’hui et éternellement… Venez simplement, croyez. Vous recevrez. Dieu l’a dit. Et maintenant, pendant qu’ils se rassemblent à l’autel, que tout celui qui est intéressé... Inclinons la tête. Tout le monde en prière pendant que nous sommes à genoux, ou que nous sommes debout, ou dans n’importe quelle position possible, pour la prière. Que tout le monde prie maintenant. A votre manière, priez comme vous priez dans votre église.

E-1 Thank you, brother. Good evening, friends. Can be seated. Very happy to be back again tonight in Owensboro to greet Sister... Brother and Sister Rogers and the friends here of Owensboro. And we are--may have thought many times of all of you down here, and I... How that the Lord Jesus has blessed you. And the last time I was here I don't believe you had your building sealed over here and we was just... Got hardwood floors in it now and just doing fine. That's very fine.

E-2 And we're happy to be here tonight although the weather bad. And Satan said the other day, to me, said, or yesterday said, "You know it's too snowy to go down there. You're not going to get to make that."
I said, "Oh, yeah. Yes, sir." The--the Lord has give us this promise, "Ask the Father anything in My Name, I'll do it." Yeah. That's our promise. It isn't our faith in our prayer then. It's just our faith in doing what He said do. "Ask the Father in My Name, I'll--you shall have it; it'll be given. Whatever you ask the Father in My Name, you shall have." Isn't that a wonderful promise? Just makes us feel wonderful to think that, that our kind heavenly Father in His kindness has give us this privilege of having what we would want or desire, as long as it's in His will, of course. And we know when it's His will, if it's according to His Word. Then we know it's His will.

E-3 A Methodist minister, I was just setting in a car with a few moments ago, that had came down with me, a very fine beloved brother, and wife and family. And we were speaking about that just before coming into the building. And he was saying that... I said the first thing that I always try to find out, Brother Collins, was--was whether it was God's will or not to do a certain thing and then test my motive towards doing it. If I have no selfishness, nothing, and I know it's God's will and I'm doing it for that purpose because it is His will, He won't fail you then. But if it's His will and you got a selfish motive in it, it's just the same as not being His will, because it won't work. But when all the lines are clear (See?), and they're--ringing through clear, they're--all things are possible then to them that believe.

E-4 There's been much water go down the river out here since I seen you last. I believe it's been some about two years ago, or a year? About two years. I been over to India, Switzerland, and Germany, and many places seeing the--our dear loving heavenly Father bring lost sinners to His precious bleeding side, and also seeing Him heal the people and perform miracles which, of course, is a leading to that, the--the conversion. And then after coming back home I was taking a little rest and...

E-5 My next healing service as far as I know, will be in Old Mexico now in a few weeks down where they have that arena in Mexico City where they have the bull fights. We're stayed there from the 18th to the 25th. And so we're just kinda gadding around over the country, visiting brothers. And your pastor here said, "Why not come down and have a meeting or two for us." And I just turned, Brother Vivert, my cousin across the river here, said, "No, Brother Vivert, I can't come." And about two days after that I said, "Yes, Brother Rogers I'd come because I..." He wouldn't let me say no, so--Brother Rogers and then Brother Vivert come tonight and said, "Brother Branham, what about this?"
So I said, "Just a little later, Brother Vivert, we'll catch you."

E-6 How many knows Brother Vivert? Well, that's fine. I never even knew he was my own cousin till here not long ago. He's my father's sister's child. So I--I didn't know it. I just knowed his name was Vivert, and he was a preacher down there, but... Why, he said, "Don't you know me, Billy?" He said, "You know, your--your father and my mother is brothers and sisters."
That's a Branham for you. See? And so she married a Vivert and that's how it--it was, that he being a Vivert and me a Branham. So we were... And he's a fine boy though, very fine, and a close friend to Brother--Brother Rogers here.
And talking to him from my room tonight, he said, "Have Brother Vivert come up and sing." So just I said, "You might as well put your coat on, Brother Vivert." And he said, "Brother Branham, I got a man's prayer meeting. I got to attend." And so he asked to be excused for that. That he'd go back to the prayer meeting tonight. And so he was very happy to know how Brother Rogers was going on for the Lord. Say, that's a baptistery over there, isn't it brother? [Brother says, "Yes, sir."--Ed.]

E-7 Here some time ago, a Methodist minister, setting looking at me laughing now... I was in a Methodist church and so the fellow, a Methodist pastor there in Hyde Park, or--or the, I call the name: Park Methodist Church in Jeffersonville. I was over to visit him, was going to preach for him one night. He said, "You know I was over to Billy's Tabernacle." And said, "I took some people that wanted to be immersed." And said, "We went into that--that..." Said, "What is you call it?"
I said, "That's too much of a word for a Methodist to say; a baptistery." He had a little bitty pool of water about this big, setting there, you know, that I could of drink dry nearly, if I was thirsty, setting there for the baptist... I said that baptistery is too much of a word for a Methodist to say. He just laughed, said, "I think we ought to have one of them in here."
I said, "Now, you're getting right." So looks like you've already gotten right, Brother Rogers. That's very good.

E-8 I tell you, the fellowship we have, the brother, a Main Street Methodist Church down in New Albany and so... He and I were raised up here in Kentucky just across the hollow from each other. And he... When I was pastoring the church, why, up at Jeffersonville, and I get someone come in, and a convert, I'd say... He'd say to me, "Now, Brother Branham, I want you to sprinkle me, because I tell you why," he said, "all my people were Methodist," and said, "I want to be sprinkled."
I said, "Now, Brother, you'll never make me a good member." See? I said, "But I got old Brother Lum down here, is one of the finest men you ever met." And I said, "I'll just take you down to him and--and he can sprinkle you." And I said, "He's a good man." I said, "It's awful dry down there, but a good church."
So when he'd get a convert, he said, "Well, now, Brother Lum, I want you to baptize me 'cause my people were Baptist." He'd say, "You know," said, "you'll never make me a good member." But said, "My Brother Billy up there at Jeffersonville," said--said, "you better go up to him." Said, "I'll tell you," said, "he's a water dog." Said, "He will drown you," said, "he will hold you till the last bubble comes up."
So that's--that's the way we got along. And if the--if all churches could get along like that, wouldn't it be... We'd begin the millennium just about this time, wouldn't we? When everybody can have fellowship one with another, while the Blood of Jesus Christ, God's Son, cleanses us from all unrighteousness. Isn't that wonderful? And that's the way it will be.

E-9 It's too bad to think, traveling around over the world and seeing the conditions of things... And tomorrow maybe, at the afternoon and evening meeting, I wish to speak on "The Signs Of The Time," the Lord willing. And I trust that God will help us and be able to reveal to you so closely that you'll... we... that you'll be sure to see that we're living in the shadows of the coming of the Lord Jesus. And all the things that He predicted in the Bible is right now fulfilled, and at anytime the Lord Jesus could come without breaking one Scripture but fulfilling It. I believe it's in a... even later than we think.

E-10 Here some time ago up in Sweden, I was up there right after the war... Or I beg your pardon, it was Finland. And they'd had an awful time there, the--the Germans and Russians and two wars right together, and how that they'd had an awful time up there and they... The battlefields was used for battle grounds, and they didn't get a chance to get their crops in. Now, they almost exist on wheat and barley, and it was getting along in the late fall, and they was... The women was out there. They could--didn't have tractors; they were very poor. And the men and women would hook themselves into harness and was pulling the harrows, like something on order of a little harrow hook, something looks like a little disc, little wheels a rolling, just enough to kick the ground up. They didn't have time to plow it, because the fall snow comes, and then there's no more--see the ground no more till spring.

E-11 And they were just scratching the ground any way, scratching, hurrying. When nighttime come, no, no stop. Plow all night long. And even little children, like these little boys setting here in front, run along in front their mother packing a lantern, and maybe a little girl at the other end of the row out there somewhere watching the baby. And her mother in a harness a pulling the harrows, scratching the ground, little boy running in front packing a lantern at nighttime: day and night, scratching the ground just enough to get the seed in. For if they didn't get the seed in before the snow fell, there'd be no crop the next year, and it'd be starve--starvation. They'd die.
And I looked at that and wondered, and looked, I thought, "O God, what a revelation it ought to be to the Church of the Lord Jesus Christ." We got to scratch the ground everywhere. Maybe we haven't got time for full time revivals around the country. Scratch the ground somewhere and get the Word in, because the night cometh when no man can work. If we don't get the seed in now, there'll be no crop for tomorrow. Upon this thought then, let's bow our heads and pray.

E-12 Our kind heavenly Father, we are grateful for this grand glorious privilege that we have tonight to assemble together again, another night this side of when time will merge with eternity.
We thank Thee for the opportunity that we have of preaching the Gospel in a free nation where the doors are still open, and for a people who love to hear the Gospel well enough to come out on a bad rainy, snowy, night. Slick on the roads and so forth, but they come to hear the Gospel, never has lost its power and never will. The greatest attraction the world has ever had when Christ be lifted up to a fallen world... We thank Thee for these things Father.

E-13 We pray tonight that as our--we assemble ourselves together here in this church, that You'll bless every soul that's in Divine Presence; we don't know what they come for, Lord. Many of them maybe with burdens on their heart, may be many sinful and out of the will of God, maybe many sick and need Your healing. Many are in trouble, domestic trouble, wives, husbands, little children. God, whatever it is, we've come to speak of You, and we pray that You'll meet everything we have need of tonight, that when these doors be open at the end of the service and the people walk out to go to their different places, may they say like those who came from Emmaus, "Did not our hearts burn within us." Grant it, Lord. Speak tonight.
Bless the pastor here, our beloved brother, Your servant, Brother Rogers, the deacons, the--the workers, the laity, and every visiting person from other churches. We pray this blessing in Jesus' Name, Thy Son. Amen.

E-14 Tonight we'll... For our Scripture reading we'll turn over into the Old Testament and read just a verse of Scripture for a way of text if we would call it that.
Coming down last evening there were... It... Friday is always ministers day at the parsonage there, when we can be have the ministers come, and oh, there were so crowded yesterday knowing that the great vision that just happened, and we're fixing to plunge out into the greatest thing I've ever knowed of in my life. And some of them stayed till almost one this morning and then I had to get up early. And coming down here then today, why, I got into the room and just closed the door and someone knocked and it was Brother Vivert. And time he left we had to rush down to get a sandwich, and then, I said, "Brother Wood, go up and tell me when it's time to come back."
I took off my coat, hadn't even changed my clothes yet, took off my coat and set down, pulled open the Bible leaves, and somebody knocked at the door. And it was Brother Wood said it was time to go on up to the church. So here I am. So you pray for me tonight as I speak to you.

E-15 II Kings the 4th chapter and the 30th verse we'll read just for a little text, and maybe God will reveal a context for us as we study His Word.
And the mother of the child said un--said, As the Lord liveth, and... thy soul liveth, I will not leave thee. (Think of it) And he arose, and followed her.
May the Lord add His blessings to this reading. Our minds are brought back when we read from the Old Testament, because the Old Testament has always been one of my favorite books to speak from, because it's a type of the New Testament. And then if you can bring the old and new together you... Even the children can get a--a mental conception of what the--God's will is and how that God works.

E-16 And now, as we're thinking tonight, this was the prophet Elisha. A few nights ago I was just speaking on it, and I come in my mind when we was coming in a few--just a little bit ago. I was asking my little girl, little Rebekah, eight years old; I said, "Honey, what was the difference between Elijah and Elisha?"
And she said, "Well, daddy, Elijah was the oldest."
I said, "That's right." And I said, "If you seen them walking down a road, what would be the difference if you looked at them, besides their age?"
And she said, "Well, I know the young prophet was bald-headed, which the children got... He cursed the children for calling him bald-headed. And the old prophet," said, "he would be a older man."
I said, "Now, there's something else about Elijah." And so he was a hairy man. And he had about his loins, a--a piece of leather wrapped around him. The Bible said that he was a hairy man, and law--leather over his loins. And the Spirit that was upon Elijah came to Elisha in a double portion, and then came again from those great miracle working men, where it worked the first time in miracles and signs it worked a second time in a double portion of miracles and signs, and then came on another man and he done no miracles at all."

E-17 Wonder if you little boys or some of you could tell me who the third man was that had that Spirit? Could you do it? Huh? Any student there can raise your hand and tell me who the third man was that had that same Spirit? Huh? John the Baptist. He came out of the wilderness. Jesus said, "This is the Elijah which was spoke of was to come restore all things." And it made Elijah--made John dress just like Elijah, perhaps acted like him, but John did no miracles. And that same Spirit is predicted to come on the earth today again the second time. And I believe that it's on the earth today. And it is preaching a great message of repentance through a mighty man of God who does no miracles, speaks not of miracles, but blasting the world down with a message of repentance. And following John came Jesus, not preaching too much, not much of a preacher, but was performing signs and wonders as a vindication that John's ministry was in season and a vindicated.
So we're thankful to the Lord to be living to see the day that history repeats itself again. And we're living in that day.

E-18 Elijah, I always thought of him as a great, big man, tall, maybe skinny, and we see that he was a fearless man when the Spirit of God was upon him. He did not worry about what anyone thought about him or what the world had to say as long as the Spirit of God was on him.
And you know, I--I kinda believe that's just about the attitude of the church now, or any time, or anybody. Sickness, nothing bothers you as long as the Spirit of God is near and you know it. Let a person be so, ever so sick and let the Holy Spirit come into the room and anoint that person, you'll see a changed person in a few moments.

E-19 I went to a dying child a few nights ago, laying in a hospital, prematured baby, had to be a caesarean, baby had been dead four, five days, uremic poisoning. Oh, such a fix, hard to give a blood transfusion, the heart had enlarged so it many times: doctor says she can't live two more hours, and she was backslid. But while speaking to her and said, "Sister dear, you was baptized there and on a cradle roll in the Tabernacle..."
Said, "Brother Branham, I've wandered far away." She said, "But, oh, I've gotten married. I married a sinner boy." And said, "I just couldn't live it." She said, "Last summer I was just about to drown and I screamed out for mercy." And she said, "Then God warned me to come back, that my time was at hand." Said, "I--I didn't come."
And said, "Now, here it is again, and I knew you was in town so I sent for you, Brother Branham," struggling through her breath, under the oxygen tent. And then we got down; I said, "Sister, Jesus is just as willing to take you back today as He was the day He accepted you at the altar, more willing because you're still His child, just out of His will." There through struggles she turned her face towards God, the tears run down her young cheeks, eighteen month old baby leaving, and one dead within, and pray, and the prayer of faith... And in less than five minutes time the woman was setting up under the oxygen tent saying, "Brother Branham, something's happened in my soul. I'm right with God again."
And there when the doctor looked at it, said, "Look, something's happened." Said, "I believe in the morning we'll just take the baby for the operation."
See what a difference is when the anointing of God comes down? Means different. Where she was once scared thinking, "Oh, it's just... This is it, this is it," but when God spoke, then everything let loose.

E-20 And Elijah, fearless man... And Elijah done, I believe it was four outstanding miracles in the days of his ministry. And Elisha done eight outstanding miracles, because he had a double portion of the Spirit. Did you ever just look into those prophets and see what a beautiful type of Christ and the Church is typed there?
When Elijah knew that he was going away, God was going to take him away, he went and found Elisha plowing in a field, because the Spirit of God had told him to go to Elisha. And when he seen Elijah, he just run to him and threw his robe over him; a sign. And then, when he did that, Elijah said, "Suffer me first to go kiss my father and mother good-bye."
Did you notice the strange thing, he was permitted to go kiss his father and mother good-bye. But the man in the Bible wasn't permitted to go kiss his father and mother good-bye in the New Testament, said, "Let the dead bury their dead; follow thou Me." Something different, we won't have time to go into that though, maybe will a little later on.

E-21 But he went and killed the ox that he was plowing with, the yokes of ox, and took up the instruments, and piled them in the field, and made a fire, and burnt the instruments with a fire, and roasted the ox, and made a sacrifice. What was it? It was a sign to the world that he'd cut every shoreline loose. He was really going out in a full time ministry. He was going out then as a prophet anointed of God, and he probably never would in this earth ever lay eyes on his father and mother again. That's why he kissed them good-bye. Not only that, but the working tools that he had, he burnt them in the field to make a sacrifice to God to show that he had really sold out to everything to be a prophet of the Lord. And what a lesson we could get out of that tonight, that every man that cometh to Christ, puts his hand on the plow and starts, and even turns to look back, is not worthy of the plowing.
Today the reason we're having such times as we are, is because there's too much halfway conversions, intellectual conversion. There is two--two different elements in the human body that has a mind, and one of them--or reasoning. One of them the reasoning is of the mind, which is intellectual. The other one is the soul, which does not reason but believes the Word of God.

E-22 You know some time ago they said that the--that science laughed at the Bible and said, when the Bible said, "As a man thinketh in his heart, so is he." He said, "The Bible's all mixed up because a man has no mental facilities in the heart to think with." But last year science proved that--that God was right. They found right down in the heart of a man, not in a animal, but in a man, there's a little compartment where even a blood cell doesn't even exist. And they say it's the occupant of the soul, that man by his soul lives there.

E-23 Now, each one of you've had experiences to think that when... Well, somebody say, "It can't happen. It--it won't be." But something right down in your soul that tells you it's going to be. And don't makes any difference what anybody says or how unreasonable it seems to be, you seem to know that it's going to be that way. It's because your soul has testified and reasonings has been cast down as the Bible said they should be: casting down reasoning.
I want each Christian here tonight, no matter what church you belong to, that doesn't matter. That has nothing to do with it at this time. We're too far up the road to go to arguing about what church you belong to, for the Bible plainly says, "By one Spirit we're all baptized into one body." It's whether you're right with God or not, is the main principle.

E-24 Now, the mind will reason things. In revivals of healing campaigns you see people get that in their minds. They'll say, "Now, looky here, this is all unreasonable." Here sets a lady in a wheelchair. I don't know her, never seen her. But maybe she might be paralyzed. See, I don't know what's wrong with her. Whatever it is, maybe say she was paralyzed, maybe been setting there for years. But say, the reasonings... The doctors says there's a calcium deposit over the bone; you can't move no more. Maybe the spines broke; maybe there's something wrong in that manner. Maybe there's a blind man setting here with his eyes blinded over. And you'd say, "Well, now..." Reason... "Now, the doctors... I've been to the best, and they tell me I'll never be any different." Well now, mental reasonings would say, "That's right." But now, as long as you dwell in that mental reasonings, you'll never be no different.

E-25 Now, the Bible said we've got to cast down reasoning. Then when your soul says that "Jesus is my Healer and I now believe it and accept it," then reasonings move out. And your soul comes in first place, and whatever God says, it won't reason at all, it'll take it--God at His Word. That's what brings the results. Such a simple thing...
It's not nothing that--something that someone would go to someone and say, "Now, I have power to heal you. I have power to do this, or..." That isn't it. It's simply taking God at His Word. And your soul will always agree with God's Word, but your reasonings will--will different with it.
A man say, "I can't live the life."
That little girl the other day that was converted, she said, "I can't live it, Brother Branham." That was reasoning, but when it struck her soul, something begin--become a reality then. It's not reasoning any more; it's taking God at His Word. Amen. Notice, when you get reasonings cast away, the soul will answer clear.

E-26 Not long ago I heard of a case where a woman that belonged to a certain church... I told this two or three times, maybe not here 'cause it just happened, of a woman who... Well, she--she's lived around the church and she married a boy there. The boy was converted but the woman wasn't. So she... They moved away from the neighborhood. She was a pianist in the church. She moved to another neighborhood, and the ladies in that neighborhood wasn't as moral and clean as they was in this other neighborhood. So they wore these little bitty short clothes, and got out and mowed their yard and those things which isn't right.
Anybody's that's borned again knows that's wrong. Why, it's only the devil that makes you strip your clothes. There never was nobody in the Bible, but just demon powers that does those things. And the world's just full of it. And it's even religious to do so. Why, certainly that's the devil.

E-27 And so then this woman, she said, "Now, wait a minute; my Mama was just an old fashion fogy Christian. And if these other women can be just as good standing in the church as I am, why can't I do as they do?" See? That was in her mind to begin with. She said, "I could be just as good as they; and they're just as much thought of." See, that's reasoning.
Now, her soul will tell her that's wrong. But she pushed it aside. And she went to doing it anyhow. "The ladies in the church, most of them smoke cigarettes." Which is one of the cruelest and worst things that women's ever done in this modern age. See? But she said, "If the other ladies can smoke, why can't I smoke?" So she started doing that. Oh, so cute...
Her husband tried to tell her, said, "Now, honey, we--we don't--we don't do that."
She said, "Now, look, John..." See? She'd do it anyhow. See?

E-28 And this soul, the Bible said... Listen. The Bible said, "The souls that sinneth, it shall die." The word "death" means "to separate." In other words, the soul that disbelieves the Word of God shall finally separate from you. Now, death, if I die now, or any Christian would die, it wouldn't be separation from--from God 'cause "He that heareth My Words and believeth on Him that sent Me, hath Everlasting Life." See? But you would separate one from another: separation.
She kept grieving that soul un... Finally it begin to separate from her and go away. And after while she got to a place that a young fellow moved in the neighborhood, a married man, and she begin to have a lot of friendship with this nice, slick little fellow, and they got to... He picking her up and taking her places, and finally it wound up to kissing her good night at the back fence. And after while she left her husband, and he left his wife, and they married, which is contrary to the Word of God. But that soul disbelieving, it finally just moved away from God (See?), got away from it. She was going by reasoning. She was still playing the piano in the church; she was a good member, just as good as anybody.
She moved into another neighborhood with this man and continued on into the church, brought her letter to another church. And then the first thing you know, this woman finally, after that... Well, if that man, and any woman or a man either one ought to know it, if a companion will be untrue to a companion, he will be untrue or she will to you. So he took up with another woman. So she takes off again, and runs around, and finally wound up with a common law husband.

E-29 And it finally caught up with her. She begin to get some aches and pains in the lower regions. And when she went to the doctor, it was advanced malignancy. Doctor said, "Prepare for death, for it's coming."
A certain minister, which is a friend of mine, went to her to talk about her soul to her. Why, she give him to understand, smoking one cigarette after the other, said, "I never sent for you, and I'm just as good as you are." Now, that very attitude proved what she was. She said, "I belong to the church. I was raised in church."
He said, "Listen, did I belong to the same denomination you do? I know that our church doesn't teach that, that you... You've got to be borned again before..." Said, "What about that man?"
She said, "You get the door. If I'd have wanted you, I'd have sent for you."
Said, "All right, I've done what I can."

E-30 Then in talking with the minister, I said, "Watch her." Now, he was trying to get her prepared so that I could go pray for her. And I believe the woman would have been healed. I said, "Watch her at the end of the road. That's the only way. 'Cause she's just committed that sin and went to reasonings instead of listening to her soul. But that soul will catch up with her someday."
And when she come time to die, yet, the pastor with her, the people in the room and everything just as normal as, thought she was all right, absolutely believed that she was all right... And when she come time to die, when... The mental faculties is operated by blood and nerves, which is in the brain, that will perish at your death. Your mental faculties and your reasonings will pass away, 'cause reasonings could not come in the Presence of God. It'd reason with God. It's the soul that lives.
And now, when her... The blood ceased to go through her brain cells, and the nerves ceasing, her memories, her--her reasonings begin to cast away. Then what happened? That soul that she'd grieved away, that had been dead to her all these years, begin to come up to her, and she screamed, "My God, I'm lost!"
And the pastor said, "Now, here, here, here, dearie."
She said, "I'm lost!"
And the doctor ran and said, "She's getting hysterically," and give her a hypo. And he--she still screamed it out. And he give her another hypo till finally dying with this on her lips, "I'm--I'm lost! I'm lost!...?..." A hypo stopped the testimony. It sealed her lips to other mortal ears. But that soul that realized, that had been grieved away, it'll haunt her as long as there's an eternity.

E-31 So remember, don't go by reasoning. You be sure that you're right. And there's a way of doing that, and that's accepting Jesus Christ and being borned again of the Spirit of God, when your entire soul testifies the Word of God is right. And stay with it and believe every Word, 'cause your spirit bears record with His Spirit then. And the thing... If... Here it is, get it. "If you love the world or the things of the world, the love of God's not even in you," says the Bible. And now, that's not talking about Lutheran or Plymouth Brethren. I'm speaking about holiness people, Pentecostals and the rest. That's right.

E-32 Notice it. Elijah, he knew where he was standing before God; therefore, he was fearless. And when he got ready to go, and he put his blanket, or his robe upon Elisha... Elisha cut loose every shoreline, everything, and killed the ox, and burnt the sacrifice and separated from everything to follow God. That's the way we've got to do it. That's the only true way there is of coming to the Lord Jesus Christ. Exactly right.
Burn up the things behind you. Cut loose everything. If your associates, or associations, rather, is taking you into pool rooms, or taking you into beer parties, taking you into card parties, or all these other places, cut the thing loose when you come to Christ. Get rid of every bit of it. Come to Him with a holy hands lifted up, saying, "God, be merciful to me a sinner." No matter how long you come to belong to church, that doesn't have nothing to do with it. So many cruel things are happening to people today, and they are going out in that shape because they have trusted in the church instead of Christ.

E-33 Notice. Then the next thing taken place to show that they were type and antetype, Elijah come back when he met up with Elisha, he said he was going to another place, to Gilgal. "Well," Elisha said, "as the Lord liveth, and your soul liveth, I'll not leave you." Why? He'd done cut loose everything else. He only had one thing to follow: that was God. "I can't go back to my work. I've done burn it up. I kissed my father and mother good-bye for the last time on this earth. So I'll go with you." That's the way men do when you cut loose every line. That's right. Well, he said, "I'll go up to the school of the prophets."
He said, "I'll go with you."
Said, "You tarry here."
Said, "As your soul liveth, I'll not leave you." And he went to the school of prophets, second stage of the journey. Then he went on to Jordan from there. He said, "Stay here while I go to Jordan."
He said, "As the Lord liveth, I'll not leave you," a type of the true Church following Jesus Christ.

E-34 And when they crossed Jordan, which means the... Jordan's always been the death sign. And when they crossed Jordan, Elijah turned around and said, "What would you that I would do unto you?"
Said, "That a double portion of your Spirit be sent upon me."
Said, "You've asked a great thing." God wants us to ask for big things. My, God, He--He don't run out of blessings up there. You can't ask for too much. Could you imagine a little fish about that long, out in the middle of the ocean saying, "I better not drink much of this water, 'cause it might go dry." Well, that's just as unreasonable as it would be, or more so reasonable than to be to think that God's blessings would ever be exhausted to a believer. All heavens belong to you.

E-35 Then when he asked a double portion, he said, "You've asked a hard thing. But if you see me when I go, you'll have it." And when he was taken up, Elijah kept his eyes on him, and his mantle fell back, and a double portion of the Spirit come on him. Notice. Then when this double portion came, he went and done a double work. And that was a type of Jesus Christ. He said, "The things that I do, shall you also, even more than this for I go to My Father."
And on a... They--they seen as he was taken up and waited there in the same city until the promise come, and the Holy Ghost, which Jesus was anointed with, come back on the Church in a double portion. So if your soul has been stirred and your reasons cast down, there's nothing impossible to the true and living God. "All things are possible to him that believe."

E-36 Elijah, no wonder he was anointed... And a very prominent thing, people know it when you're anointed with the Holy Spirit. They might in their heart, or in their--in reasoning, say, "Oh, there, that guy is crazy. Oh, I--I..." But down in their heart they admire you (That's right.), down in their heart.
They might fuss with you, 'cause they're trying to agree with their reasonings; but down in their hearts they admire, unless their soul's so seared till they have nothing but reasonings. For if you're a real Christian, living a true life, and living the Word and God's with you, everybody will admire it, if his soul's still in touch with God. Amen. That's the reason I think fussing about denominations is uncalled for. Sure it is.

E-37 Notice. There was a woman, a Shunammite, not an Israelite, a Shunammite woman. And she was a great woman, because she believed that there was a true and living God. And she believed that Elijah represented Him. She'd heard of the miracles of Elijah. And she knowed that the things that he had done. She'd heard others testify. "Faith cometh by hearing."
What the Church is slack in today is testifying of our great powerful Jesus today. We try to limit Him, try to say, "Well, He was and--back yonder." But today He's the same that He was then. And the Church, who's got a vision of this and knows it ought to not be slack at anytime, but telling everywhere they go "Jesus lives and reigns," that's...

E-38 The woman, she realized that Elijah was a servant of God. And when they would come by that way she'd always trying to do him a little favor, try to be kind to him.
And if there's anything that we ought to be, is kind to one another. When you see a brother or sister in fault, don't never--don't never breathe it to nobody. Keep it to yourself and pray for that person. Be kind to them. And if the Spirit of God is in you, then you will be kind to one another. Jesus said, "I come to do Thy will, Father."
And we are about the Master's business as He was about the Father's business. And the same Spirit that He had to begin the works of the Father and to finish the atonement, to make a way that we could carry the message, if that Spirit's in you, you'll have that same attitude towards people: trying to do what you can to help them, no matter who they are or where they are. You'll try to help people. Amen. That's kinda strong, but that's truth. That's right. It... Rather, friends, it's the time has come where we're nearing the end. And something's got to be done.
Notice. We got to have rapturing faith right away now. I believe it. And after tomorrow night I want you to reason about it when I speak on the second coming and see how close you think it is.

E-39 Notice this now. As this Shunammite woman, she said to her husband, "You know there is a holy man that comes by to see us. And let us, I pray thee, build just a little chamber on the side of the house for him. In other words, we want to be just as close to him when he's in this neighborhood as we can be. We know he's a Jew and we're Gentiles. But yet he's a holy man, and we recognize him to be that way. We believe he's a truthful man. And so, we've got enough money to do that, so let's just build us a little chamber on the side of our house, and put a little stool in there, a little bed, that when he comes by... And some water, pitcher and so forth, he can refresh hisself, and lie down and stretch out." How God foreknows all things and making preparations for it... Amen.
God knows all things. He's omnipotent. He's omnipresent. He's omniscient. He knows all things when the world... Before there ever was a star in the heavens, before there ever was a light in the firmament, God knew every prophet that ever lived or everything that men and women would ever do. He's infinite. And how that He warns His people to get things ready like in the antediluvian destruction, like He's getting people ready today, like He got that woman ready. Watch what that little bed did later. Hallelujah.

E-40 Notice. She built the bed because she was inspired to do so. And when God gives you a revelation to do something, and if it's the right thing for whatever you do, do it. Don't wait till tomorrow. Do it when God says do it. She was able to do it.
Now, the first thing, you just don't want to be a fanatic. But if it's according to the Word, do it. If God is speaking to you now, or will tonight, or tomorrow, or anytime in your life, you know you haven't lived where you should live, you know you're professing something that you really don't possess in your soul, and you're not hiding it from God... And you should be right. You should live in a place with God more every day the sun's shining. Then go down to God and ask God to give you that, and God will do it. For it's inspiration leading you that way, because that would be the will of God.

E-41 This little woman said, "I believe." In other words, if I could put it like this... This may be drama. "Husband, this is a godly man, and something just tells me that I should do something for him. So I'm going to ask you; you're the husband and the head of the house, so I'm going to ask you if you will permit me to have the carpenters to come and build just a little room there for this holy man. And somehow, husband, I think we ought to buy him a little bed and put it in that room. Wouldn't it be nice now? I just feel led to do so."
Did you ever have that kind of leading? God leading, working in mysterious way, His wonders to perform... What if she'd have failed to do that? What if she had've failed? There'd have been terrible blackness and tragedy. But because she did fa--didn't fail and did as God led her to do, there was blessings and joy. See? Do as the Holy Spirit says. "What the Spirit says do, do quickly," the Bible says. Amen.

E-42 Watch her now. She has the little room built, puts the little things in there, and every time Elijah would come by, he'd have a place to stay. So one day along came Elijah. She was preparing for him, knowing someday that he would come.
And the same thing will take place someday for those (Here it is.), those who are prepared and waiting for the coming of the Lord. He will be along someday, so you better have a little place in here. Make it ready now. For that's the only thing that's a going with Him. This other--our houses, our homes, our land, our popularity, our flesh, our clothes, everything we'll drop and leave here on the earth. But just this that's on the inside will go with Him. Get it ready; prepare it now. Don't be deceived.
I've stood by the side of too many dying people that thought they were right and found out they were wrong at the end. So take a solemn warning before He gets here. Have a place prepared for Him.

E-43 So along came Elijah, and the gate porter perhaps said, as you'd happen to have to know the oriental customs as they do, how the man said, would walk out and say, "Now, thou holy prophet of God, there is a place prepared for you here that my mistress has prepared. And she gives me the right to tell you to go in. You will find everything waiting for you, and I'll fetch a little water. You may refresh yourself. And soon as the baker, or the chef, gets the dinner ready I'll bring you some roast lamb and some--and some bread so you can refresh yourself. It is the kindness of my mistress."
Well, Elijah'd said, "Well, that's wonderful. Tell her I said thank you." She goes... He goes up, looks on the inside, and everything was so polished and clean. That's the way Jesus wants to find you when He comes: polished up, not with a lot of worldly stuff, but with the Gospel that cleanses. Doesn't whitewash but it washes white (Amen.), all cleaned by the purging of the Holy Spirit in your life, separating you from the things of the world. Old things die and pass away, and all things become new. You see it? All right.

E-44 Now, notice. Then Elijah walks in and says, "Looky here, isn't it wonderful? And here is just the nicest little bed fixed up just for me, so I think I'll lie down awhile." Slips off his sandals, as the servant had washed his feet, and he lays down on the bed and says, "Oh, this is wonderful."
I wonder if Christ would come to our hearts tonight, if He'd find it with everything of the world gone, that He might fulfill where it's "Come unto Me all ye that heavy--heavy laden. And take My yoke upon you; learn of Me; I'm meek and lowly: and you'll find rest," resting with Christ, what a wonderful thing.

E-45 The other night the Lord give me a message on resting. The whole Christian principle is based upon rest. I woke up about ten o'clock in the night. I didn't have no audience to preach to, and so I just, well, I went over and woke up my wife and preached to her till one o'clock in the morning about resting: good audience. But I was burning in my heart, resting. I said, "Why are we troubled? 'Let not your hearts be troubled,' He said. We're just resting. 'Come to Me and ye shall find rest. Take My yoke upon you, learn of Me,' finding rest."
Then, while... I said when you once come to Christ, once believe Him, once accept Him, enter into the rest, all the things of the world seems to die away. You've got rest then, rest to your soul. And you enter into that state, and there you are. You're resting then with Christ.

E-46 Now, as Elijah laid upon the bed and was resting, then the Spirit came to him and said, "Go, ask this Shunammite woman what we could do for her for all this kindness."
Now, if you want to find a favor from God, be a favor to God. Come to Him. If you're a sinner and you want to be healed, come first and give your life to Him. Come first if you're just a church member and want to be a Christian, come first to Christ, then you can be a church member after that.
So, see, Elijah found a place to rest, and then the Spirit come on him; He said, "Go, see what we could do for this woman." And he said, "Could I speak to the chief captain, could I speak to the king? In other words, they have me down to see them. I've pray for them or so forth, and I'm acquainted with them. Could I speak to them?"
She said, "No, I just dwell among my people. I'm a Gentile, so not very much to me, but I..."
See now, a lot of people, when you do something for the Lord, you want to, oh, you want to sound a trumpet about it. See? "You know what caused that church to have those nice windows, you know what caused this? You know, I was the one done that."
Keep it to yourself when you do. Jesus said so. "When you do your alms, don't sound a trumpet before men, 'cause you'll be reward of them. But soun... But keep it in your heart, 'He Who seeth in secret what I--will reveal to you, openly reward you."

E-47 Now, watch. I love this. Oh, it's just the plain simple old Gospel, but its story will never wear out. And notice. As she was in this condition and this... No, didn't want it. And Eli... Gehazi came through him and said, "She's without a child, and her husband's old."
So he said, "Go back and tell her that about the time of life this year she'll embrace a--a son in her arms."
Well, I imagine the woman thought, "What about this? The greatest thing could happen to me, that I'll bring life myself, so how could this be? But I won't question." And when it come to pass, when a man is speaking under the anointing of the Holy Ghost it will happen. That was the prophet.
And it happened just the way he said. She brought forth a child, and she was in... She loved it and so forth.

E-48 It come to be about twelve years old, and one day while he was out in the field with his father, probably in his seventies, an old man, and was out there in the harvest, because he was probably a rich man, he must've got a sun stroke or something. He begin to cry out, "My head, my head." And he had asked one of the servants to take him in to the mother, and the mother set him on her lap till it got about noontime, and the baby died, the little child.
Now, the baby's dead. What good did the baby do her if God gave her the baby and then here He takes it away from her? So you know what she did? If she'd been just a lukewarm church member, she would've got bitter right then. But being that she wasn't, she was blessed of God, because she'd made preparations. When that happened, she took the baby (Look what she did.), took the baby out the door, down the street, and around the corner, and took him in Elijah's room, and laid him on Elijah's bed. What a place to put him (Amen.), on Elijah's bed?
Look, I'm trying to say that the woman was inspired. And inspired people through all ages act strange to the world, but they're always doing God's will. It was a strange thing that Paul taken handkerchiefs off his body and aprons, and sent to the sick and afflicted. Something inside... Oh, I wish I could get you to see it. Something...
Now, what--what if the doctor standing there? Here come the mother with this stiff, dead baby, fell in the sun stroke, and his eyes walled way back, and his mouth open, his tongue out. And here she comes packing him, dead, going around to lay him in the preacher's bed. Why, he'd say, "You fanatic." She wouldn't have paid any attention to it. She was doing exactly what her inspiration was telling her to do.

E-49 May I stop here a minute? Did you know the Church of the living God... I'm going to say something. But the Church of the living God is built entirely upon spiritual revelation. That's right. It begin in Eden when Adam and Eve, and when Cain and Abel... Both boys went up to God and built an altar and worshipped God, both of them, one a believer and the other one an unbeliever. And if God only requires you to have faith in Him, to believe in Him, to join church, to make a sacrifice, God would be cruel and unjust to condemn Cain, for he done the same thing Abel did. See how the devil's got people today? They think, "Well, I go to church. Sure I believe in God. I believe Jesus is the Son of God."
Every devil in hell believes the same thing. They publicly confessed it. That's right. The devil said, "We know who you are, the holy One of God," publicly, before thousands, confessing Him to be the Son of God. They wasn't saved. Conversion is an experience, borned again. Notice how glorious, what a wonderful thing.

E-50 Now, when the woman realized that this inspiration was on her, she obeyed exactly, because she knowed it was in harmony with the supernatural.
Say, "What are you talking about, Brother Branham?" I'm trying to base your faith on a level with God being almighty, and supreme, and all powerful, and omnipotent. And He hasn't changed. His nature doesn't change. My nature might change; yours might change; but God's nature will never change. If He's still the great Jehovah God that created the heavens and earth and had all powers in His hand, He's still the same Jehovah tonight. If He's Almighty God, He can do all things. If He can't do all things, He's not Almighty God. Inspiration tells you that. Reasonings will say it's not so, but inspiration says it is so, inspiration from the soul not from the mind.
It's mind reasonings, theology, manmade so called, will make you very religious; it'll make you just as religious and keep the sabbath days and do all these other things, but will deny the existence of the Almighty to perform miracles and do supernatural. Didn't the Spirit say in the last days they'd be that way, "Heady, high minded, having a form of godliness but would deny the power thereof; from such turn away"? Wake up, Church.
How did Abel know how to offer the right sacrifice? He was inspired.

E-51 Today the people in general act like Cain. They said... Cain no doubt said, "If we build a nice altar, we'll make it beautiful, for Jehovah will worship in such a place." He got the lilies of the field; he put them on the altar. He got the fruits of the land; he laid them there. He made them all nice, built him a nice church, a nice altar, and knelt down, and said, "Jehovah, this I offer to You." And God refused it.
And today people are trying to go to the better church where people dress better, where the pastor's a little more formal and not so fanatically, as they call it. Do you know, the mind of the world is an enemy to God. The wisdom of this world is foolishness in the sight of God. And God, by the foolishness of preaching, it pleased Him to save the world or them that would believe. How one's contrary to the other. Now, quickly, let's come to this close or this conclusion.

E-52 Watch just a moment. When Abel, by inspiration come, no beauty, but he come in inspiration... He had no Bible to tell him it was a lamb. But God revealed to him it was a lamb, no inspiration to tell him that it wasn't... Cain said, "Well now (reasoning), it's fruit, we... They must've eat apples, so I'll bring fruits an offering, and Jehovah will receive this because it looks better than what that would be, so Jehovah will receive this."
And today the people think the same thing and shun little missions and so forth where the Gospel's being preached, shun people sometimes because they don't dress just exactly in the modern, say, way that we call it. They want to act like the world and be like the world, like the woman I just got through telling you about. Because it's reasoning and you can't go by that. No, sir. It's by inspiration.

E-53 When Jesus come off the Mount Transfiguration... Let's seal this right now. When Jesus come down off of Mount Transfiguration, He said to the apostles; He said, "Who does men say I the Son of man am?"
One of them said, "You're Elijah."
And the other one said, "You're the Prophet."
Another one said, "You're Jeremiah."
He said, "But Who do you say I am?"
And Peter said, "Thou art the Christ, the Son of the living God."
He said, "Blessed art thou Simon: for flesh and blood has not revealed this to you, but My Father which is in heaven has revealed this to you. And upon this rock I'll build My church; and the gates of hell can't prevail against it."

E-54 That's what the Shunammite woman was going by. It was unreasonable to take a dead baby to that preacher's bed. But inspiration spoke. And if inspiration'd speak to you and say that you've been playing church, if inspiration tells you tonight it's time to get rid of your dirty habits, listen to inspiration. It's the Holy Spirit speaking and making a way. Don't never turn it down, if it's anything... Unless it's contrary to God's Word. And anything that you do clean and righteous is--is in accordance with God's Word. It's in accord. Amen.
No matter what the people think, what others say, it's the inspiration leading you, if it's according to the Word. And if it's according to the Word then the inspiration is a leading you.

E-55 And she takes the baby; she goes around and she lays it on her bed--on his bed. What took place? Her husband came in. They were weeping and screaming and going on; the baby was dead. But the woman... Amen. I love this. Her faith was in action. She's just as cool as she could be. Something had struck her in that crucial moment. Something had taken a hold. And if something would take a hold in the time of death in the family, what more ought to take hold tonight when the coming of the Lord Jesus Christ is at hand?
Something struck her: inspiration. She walked around; she took the little fellow, laid him on the prophet's bed. And her husband said, "Oh, dear, oh, dear, what will we do?"
She said, "All is well, husband." Amen. Her faith sprung her to action. And no matter how much, sister, you in the wheelchair, believe that God is a Healer, if your faith can't go to action, you'll always be in the wheelchair. But when your faith can take action to a place that down in your soul that says so, not reasoning, but something in here says so, then, brother, something takes place. You begin moving. 'Cause it's impossible for it not to be. That's true.

E-56 Then notice what taken place. She said, "Saddle me a mule (Amen.), and ride towards Mount Carmel just as hard as you can go." I like that. Said, "Saddle an ass and go forward; don't you even slack up lest I bid you to." I like that. She was on her road to meet the man of God. She had a need, and she knew that Elijah was God's representative. She didn't know Elijah was going to give the baby back his life. But she knew that Elijah was supremely recognized and a vindicated, that it was God's servant.
And tonight the Holy Ghost is the vindication that He's here, that His power is with the believer. And if we could only recognize that by inspiration that leads us to the--make the--in the crucial moment to make our decision according to the Word of God, not according to what the neighbors is going think or according to what somebody else is going to say, or what my pastor will say, or my members will say, what my neighbors will say, but what God is leading you to.

E-57 Then she made the decision. She's... The... They got on the mule and away they went. She thought, "If I can get to that man of God, I'll find out why." And when she come... God don't always tell His prophets everything that's going to happen. He just tells them as He--He wants to. God's sovereign.
You'll never be able to see men going around the world just healing people at random and everything. I've tried to knock that down as hard as I could in my life. That's the reason you watch in the campaigns. I watch solemnly everything to see first the vision, what God will say do. For you might stomp and kick and anoint and everything else, and if the devil has a right in there, anything in your heart's unconfessed, or any unbelief, or any doubting, anything in there, anything that you've refused to do or not, the devil will lay right there, 'cause he has a right to. That's right. Jesus never healed at random. He said, "I do nothing except the Father shows Me first." You'll never be on the plane with Jesus.

E-58 Here some time ago a minister of a certain denomination who doesn't believe in miracles, don't even believe in the baptism of the Holy Spirit now, he said to me, he said, "Listen, preacher." He said, "If you are a apostle, if you are a prophet..."
I said, "I have never said that, sir. I'm neither an apostle nor a prophet." I said, "I am a servant of the Lord Jesus."
He said, "If you be the healer..."
I said, "I never did say I was the healer." I said, "The Lord Jesus is healer."
Said, "But if you were like the apostles were..."
I said, "Never, only saved by the same grace."
Said, "Well, you claim to have the same Holy Ghost?" I said, "Now, you're lining up. That's right."
He said, "Then if you are one like the apostles who had the Holy Ghost, then why don't you go over here to the hospital and say, 'Every one of you sick people, get up and walk out.'" And said, "Everyone of them will obey, do what you tell them to do."
I said, "Do you believe that Jesus still saves?"
"Absolutely."
I said, "Go down here to the honky-tonks, to the race tracks, to the barrooms, say, 'Everyone of you is--is Christians, come on out and get away from the world.'"
He said, "I could if they'd believe."
I said, "So could I." That's right. Sure. That's it. It's upon the atonement, correctly.

E-59 He said, "Well, you remember, Mr. Branham," he said, "the apostles never did make a mistake. Every person they prayed for was healed."
I said, "You better not tell that to my eight year old girl. She'll make you ashamed of yourself; you don't know the Bible no better than that." I said, "My, a man with a doctors degree and know no more about the Bible than that." Why, I said, "When Jesus come off of Mount of Transfiguration the apostles had been there trying their best to cast out a devil of an epileptic child. And the man come and said, 'I brought him to Your servants, and they could do nothing with him. And I brought him to You.'"
Jesus said, "How long will you disbelieve?" Brought the child up there and no question to Him. He was God. And He just called to the spirit; it left him.
The apostles said, "Why couldn't we do it?" They had failed.
Paul left his friend sick, Timothy, with a stomach trouble. Paul...?... But they were doing the best they could with what they had to do with. Jesus had the Spirit without measure; we got it by measure. Said, "How could you condemn a man..."
I said, "Talk about some of the failures, why don't you talk about some of the success if you're a Christian?" 'Cause his heart was away from God, his intellectuals was moving him by some theological experience he'd had. I said, "There you are."

E-60 He said, "Well, if you're the... I heard you say in one of your sermons that Jesus said, 'The things that I do, shall you also.'" Said, "Let's see you break the bread then and feed the five thousand, and let me see you turn the water into wine."
I said, "We are in our infancy. We are moving up. And quick as we get you bunch of formal fanatics out of the way, we'll be doing that, but we're doing the..." I said, "Now, healing's not questioned any more; even the doctors recognize it. The best medical associations in the whole American Medical Association recognizes that Divine healing comes through the Blood of Jesus Christ. That's right." I said, "If we can get you bunch of unbelievers out of the way long enough to get God moving through the crowd, you'll see such things take place. We're just moving up. Look at the miracles that Jesus started the same way, moved right on up finally to the resurrection of the dead."

E-61 Notice, the woman went to the prophet, and the prophet said, "Here comes that Shunammite, and God has kept from me what's in her heart." He didn't know. So he seen her way out there, so he said, "Gehazi, I'm kindly a worried about this. Run out and ask her what's the matter. I see she looks like she's full of sorrow; her head down; she's about rode that little old mule to death and here he comes... And go ask her what's the matter."
And Gehazi run out there and said, "Is all well with thee? Is all well with thy husband? Is all well with the baby?"
Looky, here's a word that always startled me. She said, "All is well." Amen. "All is well," and her baby a corpse. "All is well with my husband; all is well with me; and all is well with the baby."
Then she come up to where he was, and she fell down at his feet. She begin to reveal to him. So he said to Gehazi, "Gehazi, take this staff in your hand and you take off."

E-62 Oh, my. What the preacher needs today is a staff and take off, burn the ox and the implements. Get ready. Said, "You'll take off. And if any man invites you over to a social party, don't you go. If they're going to have a soup supper, don't you believe it. If they're going to have to stop and play bunco in a church, don't you believe it. If any man salute you, salute him not, but go straight and lay it on the baby." That's the commission of the Church today, to lay aside every weight and the sin that doth easily beset us, that we might run, with race--the race with patience that is set before us." Hebrews 12 said, "Seeing we're compassed about with such a great crowd of witnesses," how the miracles was done by faith, said, "let us lay aside every weight and the sin that so easily beset us."
We're stopping too much for little social things. We're stopping too much in tolerate with the world. We're stopping too much to see if we don't get a little bit too fanatically. I'm a scared of... I'm more afraid of the person that's afraid than I am the person that is a fanatic. That's right.
Oh, my. I'd rather have a little wildfire than have no fire at all. Sure I would. I'd rather be around a fire that's popping and jumping anytime if the world's cold than to be around an iceberg. Certainly. Don't paint a fire. You can't get warm by a painted fire; you got to have some real fire. Not what the apostles done, the Holy Ghost in the apostles, 'cause the same Holy Ghost today is let's move on.

E-63 Science a hundred and fifty years ago made a statement that if a man ever went the terrific speed of thirty miles an hour, gravitation would take him off the earth, 'cause he was riding in an ox cart. Do you think science looks back to that today? No, sir. They're going sixteen hundred miles an hour in a jet plane and still going, moving further. We're up to the place where we can believe in the baptism of the Holy Ghost; we can believe in healing of the sick; let's move on to the resurrection of the dead and the coming of the Lord Jesus Christ.
As science can only go so far then it falls back. We are... We got unpacked resources, by a Divine promise from none other than the Son of God saying, "Whatsoever you ask the Father in My Name, I'll do it." Amen. I feel religious right now. Oh, my. To think of that. "All things are possible to them that believe." God, I've got enough faith for the sick now; God, give me enough faith for something else. I'm hungry; my gastronomics are swelling out. I want more of God.

E-64 So the woman said... She seen Elijah take the stick and go out like that; she said, "That don't satisfy me." She knowed... She didn't know whether God was in that stick or not, but she knowed God was in that prophet, so she said, "I... As the Lord liveth and your soul never dies," said, "I'll not leave you. I want to know what God wants me to do." Amen.
If you won't take a little cold taters... Excuse that expression. If the devil wants to tell you, "Well, you go join the church. Just stand over on the side; some glorious day in the millennium there'll be healing for the sick and there'll be the experiences again." If you want the devil to stick that down your throat and wait for something else, you're passing by pie, and ice cream, fried chicken, and the good things. Amen.
I can't be satisfied with joining a church. I've got to get acquainted with Christ. No matter if your theological sticks going around, "I don't believe that," your measuring sticks. "If you do this, and if you do that, and if you do this." I don't like them old measuring sticks. Cast the thing away and get the Lord Jesus.
The woman said, "I'll not leave you, 'cause I know you're in this." I don't know whether He's in the Methodist church, or the Baptist church, or the Pentecostal church, or the Lutheran church. I don't know about that. But I--I know what: He's in my heart. Amen. That's His dwelling place.
She said, "I'll not leave you. I'm going to stay right with you."

E-65 Oh, she stuck to her point. She stuck to her faith to believe it. She come all the way through all the sickles and everything else, and all the persecutors, and all the laughers and scorners, "Hey. You know I always thought there's something shady about that woman. Look where she's going now." See, there you are. You have to cross through every barrier and burn every fence behind you to get to Christ. No matter what the world says, what the church says, what the people says; it's what Jesus said that counts.
So Elijah goes with her. And you come to Jesus in that manner He will go with you down through life's journey to the end of the road. Yes, He will. Some of these days (Hallelujah.), we all got to come there. I want to be... I want Him to be my buddy then. My churches will be burnt and blowed up with atomic bombs and everything else, but my Lord will live forever. I want to be in Him. That's my motive; that's my hearts desire, is to be in Him.

E-66 Notice. He went to the room. Quickly now, as we close... He went to the room where the baby was; he didn't know. He walked up-and-down the floor, and up-and-down the floor, the people outside raging and going on. He walked up-and-down the floor, back and forth, until the Spirit anointed him real deep. He run over and throwed hisself on that baby, put his lips against its lips, and its head against his head, his nose against its nose, his hands against his hand, and the Spirit of God come through him onto that baby, and like laying hands on the sick or whatevermore. And the baby sneezed seven times and come to life. The woman's inspiration was paying off.

E-67 Someday, brother, when the sun refuses to shine, when the moon goes down and the stars hide their face from the earth, and the last sermon's preached, and the Bible's laying closed, the churches blowed into bits, and the rocks are convulsing and crying out, I want to know Him. Amen. As the poet in the song said, "I can see Adam shake Eve and say, 'Eve, this is it, honey.' Eve reaches over and shakes Abel, and say, 'Abel.' Abel shakes Seth. Seth shakes Noah. Noah shakes Abraham." Amen. The time is come. Know Him in the power of His resurrection. Know that my inspiration that's been leading me, and been classed a fanatic and whatevermore, it's brought me to the light, brought me to the paying off place.
Mothers, you old gray headed mothers and daddies here, don't worry, your... The inspiration that's led you to Christ and you come through many dangers toils and snares, don't worry, some morning it'll pay off. It'll pay off. Jesus will come. We'd be caught up with Him in the air.

E-68 Watch that baby, laying stretched out upon the bed of that prophet, where the inspiration laid it there prepared. And God's got His arms out tonight, and your heart laying there. He wants to prepare a place in there so He can come, and reach down, and pick you up, and take you up in the resurrection. The same God Almighty, the great Jehovah, Who walked up in the face of Abraham... Somebody said, "Do you say that was Jehovah God?" Sure, the Bible said it was. There was two angels, walked over... Said "How did they eat that cow and eat... I mean that calf, and drink the cows milk, eat corn bread and butter? Was that God?" Yes, sir. The Bible said it was God and two angels. Oh," I said, "you limit God with your unbelief." I said, "God had nothing to do..."
He said, "Come here, Gabriel; come here, Michael, stand here by My side." He said, [Brother Branham blows--Ed.] "Step in that body." Amen. Reached over, [Blows] "Step in that body." Said, "Come here, handful of atoms, and a few cosmic light, a little cosmic meters, some petroleums, and things that this body's made out of." He formed it and stepped into it, walked down and talked to Abraham, with dust on His clothes, and had His back turned to Sarah when she laughed in the tent. He said, "Why did you laugh, Sarah?"
She said, "I never laughed."
Said, "Oh, yes you did." Hallelujah. He formed Himself a body to appear before Abraham. And the very God that formed that body, has our soul in His hands tonight. Let's stretch out a place and make a place for Him to dwell at, that some glorious day when He returns back to earth, He will speak and we'll appear in His likeness to live with Him forever. Oh, I want to see Him. I want to go with Him then. I don't care what the world says today. You don't either.

E-69 And my sinner friend here tonight, if that experience isn't yours, God waits for you. Open up your heart, let Him come. Don't take reasoning. Don't say, "Well, I've been a pretty good man." That's all right. It's a good thing to be a good man, but are you borned again? Have you made a preparation that when He comes by, He will resurrect your dead too, bring you to life again. I hope you have. If you haven't may you be ready to do it now while we bow our heads. And if the organist will come, while we have our heads bowed just a moment in prayer...
Everyone in prayer, if you will. Solemnly, great moment, might be one little boy in here tonight that might, God fixing to use in a few days as a minister. Might be some poor old sinner boy here that's never accepted Christ or some woman. Maybe life will change for them in a few moments. Maybe some lukewarm church member goes to church, never really been a Christian, what about it, friend of mine? When you come to the end of the road, is your soul going to be like that woman that died over there in Louisville a few weeks ago? When your reasonings is breaking away, what about your soul?

E-70 Our, heavenly Father, in the Name of Thy beloved Child, the Lord Jesus, we present to You tonight this congregation. We present to Thee, Lord, that the searchings of the Holy Spirit will go out into this audience here and comb up-and-down these aisles. Don't know, this may be the last call.
Just reading a few moments ago, a big healthy bus driver, drove over a million miles, come into the city and the station, felt a little trouble and pulled out of the station, over to the curb and there died. Don't know. Might be the hour. We don't know. But, Father, the net's in the water. O God, run the fish into it, the Gospel net. And save the lost just now, Father, and the backslider, and the lukewarm, and the weary in the way, for Jesus' sake.

E-71 And while we have our heads bowed, there a sinner boy, girl, man, or woman, in here tonight say, "Brother Branham, I believe that's the truth. I believe it with all my heart, and now I'm going to put up my hand to God, not so much to you, Brother Branham; I--I want to be remembered in prayer. God bless you, son. Someone else? God bless you, yes. Someone else?
Just put your hand up, say, "Brother Branham, remember me now. I'm a sinner. I really want to be right with God. I--I know I'm not right. No need of me... My inspiration, something's upon me, telling me, 'Boy, it's you tonight.'" He's talking to you. I've been speaking to you the whole sermon. But it's to you. You never prepared a place to cut loose everything of the world. You still have desires of the world. "Oh, yes, I belong to church." But is the world still there, the love of the world?"

E-72 Is there a lukewarm church member, anything in that line that'd raise your hand say, "Brother Branham, remember me. God be merciful to me right now. I've never been borned again. I realize I belong to church. I've--I've lived a up-and-down life. But to really to clean out the house and make a place for the resurrection to a new life, I've never done it, though I'm a believer. I want You to remember me, God, right now that I--I desire that. Now, and also in the hour of my death, I--I want You to remember me." Would you put up your hand to God and say, "This is my sign to Thee, Lord. I want You to remember me now. That someone who are hungering and thirsting for righteousness, I long to meet you in peace with an experience." Would you put you hand up anywhere in the building? The Lord be with you. Would you raise your hand? Someone else, say, "Remember me, God, tonight because I'm in need. I'm standing in need. I know that I..."?

E-73 Now, look, don't play with it, brother, sister. Don't just play. Don't trifle with it. Be sure. See, maybe your conscience has been seared a long time, but something down in your heart saying, "It's me, and I realize right now that I haven't played true to God. I haven't played true, and there's been something in me always kept me down. I didn't have that perfect liberty. I--I couldn't be hid away in the Shekinah Glory with God. I have the times when I feel like I'm gone. I have times I feel like I backslid. I--I just, I just can't live it hardly, but I want You to help me, God. I'm going to raise my hand to You that You'll help me." Will you raise your hand? Someone else put up your hands, if you will. Just waiting a moment to see if someone else... The Lord Jesus sees your hand. God bless you, sir. Someone else? God bless you, sir.
While we're waiting, the Holy Spirit's speaking. Are you examining yourself and seeing if everything's all cleaned out?

E-74 One day somewhere in a church, soft organ music will be playing, screeking over the floor will come a casket. That'll be you. Yes, sir. That'll be you. I wonder if your estate you'd be in then if you could get back, you'd say, "Oh, let me jump up from here and kneel at the altar just a moment. There's lots of things that I'd like to make right." It's too late then.
What about now? "Today is the day of salvation." Will you... Someone else? Four or five has raised their hands. Would you just say, "Remember me, God, I'm--I'm in need. I'm coming now by faith. I--I really want to surrender all to Thee, my blessed Redeemer. I give all that I got. You gave for me; I give to You. I now come by faith, through grace, believing the Lord Jesus will fill me with the Holy Spirit this very night."

E-75 If you don't understand what I mean by being borned again, I mean someone without the baptism of the Holy Ghost. That's the new birth. Would you raise your hand and say, "I now believe; I want to receive the Holy Ghost. Remember me, Brother preacher." God bless you, sister. Someone... God bless you, sir. That's good. What a time.
While we have our heads bowed just a moment longer, I'm going to sing. We'll sing this real softly, as the sister's playing it. I wonder if you'd come up here, and kneel down right here and let me come down and pray with you, and lay hands on you. "Softly and tenderly Jesus is calling" all right.
Softly and tenderly Jesus is calling,
Calling...

E-76 God bless you, little girl. Would you come? The little lady said, "I've accepted Christ, but Brother Branham, I haven't been borned again; I haven't received the Holy Spirit. I would love to receive It. Someone else in that state? Sinner, whatever you are, away from God, without... Jesus said, "Except a man be born again he will in no wise enter the kingdom." Will you come?
Here comes a boy who had to get in a wheelchair to come up to give his life to Christ, raised his hand as a sinner. God bless you, my brother...?... Grant, it Lord. [Brother Branham prays with those at the altar--Ed.]
Listen, will you come, you that raised your hand? That ought to be a sign to every person. A poor boy had to leave in a wheelchair, and come and lay up on the altar, weeping here, tears running down his cheeks because he says he's a sinner and wanted to be remembered in prayer. Won't you come?
... come home,
Ye who are weary, come home;
Earnestly, tenderly, Jesus is calling,
Calling, O sinner, come...

E-77 How many wants to receive the Holy Spirit, would you come up here and kneel just at this time, wants to receive God, the Holy Spirit into your heart to pass from death unto Life, all things will become new? You know He's speaking to you. Look in the crowd. I'm even surprised in a church here. You know people's got so cold hearted they can't even shed a tear no more. They're just--they just become so indifferent. It's a spirit of the age. We're at the end time where men's hearts failing, perplexed of time, natural affections gone from people. The love of God seems to pull away. But to see you here tonight with a breaking up, and tears rolling down your cheeks, and mothers and daughters and fathers and sons a weeping, wonderful. The Holy Spirit is here.

E-78 Won't you come? This might be your time. Remember, at the end of the age, I've got to stand by you, my friend. Remember, it will not be my fault. I'm offering you tonight, Jesus Christ, the Son of God, and an experience of being borned again. Won't you come? Once more while we sing. Will you come?
Softly and ten...
Won't you come tonight right down to the old fashioned mourners bench where your dad and mother used to go to pray?
Calling for you and for me, (God bless you, my sister)
... the portals...
[Brother Branham prays with those at the altar--Ed.] God bless you, sister. Our Father, in the Name of Thy Son the Lord Jesus, You said, "Ask anything in My Name, I'll do it." Give to her the Blood of Jesus...?... heart to be...?... Lord...?...

E-79 Won't you do as the young lady did? She belongs to church, but she realized that she's not up there in the will of God. Won't you come and accept it?
... O sinner...
Come, please, tonight while I'm begging you. Why, it's day here this morning around the bench... Would somebody now? Maybe just while you're there some sinner's waiting to come with you, some person. Let some personal workers do a walk around the altar at this time. Walk over here, perhaps maybe some sinner, or lukewarm church member will come along. God bless you, sister, with that much sincerity to pray for a lost soul.

E-80 Setting in the building tonight, let me tell you something, man. I see four or five men raise their hands awhile ago. There sets in our midst tonight, a fine Methodist preacher, that they was down to him here not long ago. Someone walked and spoke to him, and he come to Christ and tonight a wonderful God-saved man, filled with God's Spirit, because somebody was interested in him, come, knelt, and prayed with him. Would you come do it? He's a minister tonight because he come. Once more, won't you come while we sing once more.
Earnestly, tenderly, Jesus is calling
Calling for, O sinner...
See on the portals He's waiting watching,
Watching for you and for me.
Come home, come home,
Ye who are...
You feel it's settled, brother? Amen. The man in the wheelchair has just got saved, accepted Christ, good time for him to be healed also.
Earnestly, tenderly, Jesus is calling
Calling O sinner, come home!

E-81 Are you a Christian, sister, in the wheelchair? Won't you move your chair over here. Move in your chair and come... Just's set right there, brother. Just somebody move her over here. She's sick and needing healing. God bless you, sister dear, good time for you to be healed right now. Anyone else that wants to kneel around the sick, let them come. Whosoever will may come and drink from the fountains of the waters of Life.
God is here. You believe it? Somebody else sick and needy? Kneel around. We're praying now. Good time for the Holy Spirit to meet it. "Why not tonight?" Do you know...?... [Brother Branham speaks to someone--Ed.] Play, "Do not let the Word depart."
... let the Word depart,
And close thy eyes against the light;
O, sinner, harden not your heart,
Be saved, O tonight.
[Brother Branham steps from the microphone--Ed.]
And why not tonight?
O why not tonight?
O why not tonight?
O why be sick?
And why not tonight?

E-82 Oh, my Christian friend, won't you come? Someone want to kneel at the altar with us here? Praying for the sick, I went down there and a man dying with cancer, just knelt at the altar here to be healed, accepting Jesus as his Healer. Down there just now, went and prayed and laid hands on him. I wish you could come up around. I believe God's going to give us a great outpouring just now and give us them things that we have need of.
Let's all, those who wants to kneel around the altar, would you come just now and kneel, while we're in prayer. God bless you, my friend, and believe on the Lord Jesus. The God of Elijah still lives. He still heals. He makes well both soul and body. He's a full Gospel man, a full powerful man. Almighty God, Omnipotent God, Omniscient God, the same yesterday, today, and forever... Just come, believe. Thou shalt receive. God said so.
And now, while they're gathering up around the altar, everyone that's concerned, let's bow our heads. Everybody in prayer while we kneel, or stand, or anyway we can, for prayer. Everybody praying now in your own way. Pray the way that you pray at your church.

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