L'ENSEIGNEMENT SUR MOISE

Date: 56-0513 | La durée est de: 1 heure 48 minutes | La traduction: Shp
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1.         Très bien, que Dieu vous bénisse, Frère Neville. Bon. Bonjour, mes amis. Il me faut de temps en temps regarder pour me rassurer si on est le matin ou le soir. Eh bien, je suis heureux d'être ici ce matin. Il fait chaud, et certainement qu'on a eu un accueil chaleureux. Nous ne sommes plus au printemps ; nous avons l'été et l'hiver ici, n'est-ce pas ? Tout semble aller de travers de toute façon.

            Eh bien, ce qui m'a fait arriver en retard, c'est que je - je nettoyais la maison. Et ce matin, j'avais des membres raides et endoloris. Et je me suis levé, ayant beaucoup de temps, mais je ne m'étais pas rendu compte qu'une femme avait beaucoup de travail à faire, on devait apprêter trois enfants et puis, aller à l'école du dimanche. Oh ! la la ! beaucoup de choses à faire, plus que je ne le pensais. Et je me suis dit : " Eh bien, alors… Hier soir il y avait du travail, et - et je - je suis revenu du champ missionnaire pour nettoyer la maison, je pense. Oh ! la la, n'est-ce pas une tâche difficile à accomplir? Hmm ! j'ai offert trente-cinq dollars par semaine à quiconque veillerait sur l'enfant, et personne ne voudrait faire cela.

3.         Il n'y a pas longtemps, j'ai reçu une coupure d'un journal…  Evidemment , ça n'a rien à faire avec cela. Il y est raconté qu'une espèce de politicien était là dans le Kentucky, il était écrit qu'il avait fait deux fois l'armée, il avait été trois fois blessé, comme un  héros, qu'il avait vécu comme un bon citoyen dans le quartier, il avait fait beaucoup de choses, il avait épargné la vie à deux enfants, l'un, de la rivière et l'autre, de quelque chose d'autre, j'oublie tout ce  qu'il a  eu à faire. Et  finalement, il s'est dit, eh bien, qu'on devait entretenir le quartier ; il a posé sa candidature pour une fonction. Et alors, sur cent mille personnes, il a eu cinq voix. Il a demandé au chérif s'il pouvait avoir un fusil à canon coupé pour se protéger en quittant le quartier, il a dit : " Il était même dangereux de vivre là-bas. " Il n'avait pas assez d'amis pour l'aider à sortir de la ville. C'est ça la reconnaissance des Américains malgré tout, n'est-ce pas? C'est vrai.  En Amérique, plus vous accomplissez des œuvres, plus on s'attend à ce que vous en accomplissiez. C'est Vrai, plus on en attend de vous.

4.         Eh bien, je - j'aimerais faire des compliments ce matin sur la propreté et la bonne tenue de l'église. Et quand je suis arrivé, il y avait une porte là pour permettre une meilleure circulation.  Ainsi, c'est vraiment agréable, je ne sais qui au conseil des administrateurs a initié cela. C'était certainement très agréable, et c'est un bon nettoyage. Je pense que c'est Frère Hall, si je ne me trompe pas, qui a initié cela. C'est du très bon travail. Maintenant, il se fait un peu tard, mais vous savez comment sont les gens de la sainteté. Voyez, on n'a pas un temps déterminé, n'est-ce pas, Frère Slaughter et Frère Deakman ? [ Les frères et les autres disent : " Non. " - N.D.E.] Nous prenons tout comme tel.

6.         J'ai eu des réunions merveilleuses dans le Sud, mais je n'ai pu prêcher que pendant quelques jours. J'avais prêché pendant quatre mois d'affilée, et je n'avais plus assez de voix même pour - même pour murmurer. Je devais simplement faire signe de la main à ma femme, vous savez, pour lui dire ce que je voulais, et c'est en quelque sorte… Et puis, après cela, en revenant ici où il y a cette espèce de temps hypocrite que nous connaissons (Eh bien, il fait froid un jour, il fait chaud le jour suivant), j'ai attrapé une forte - forte grippe comme dans le temps. Je me suis levé il y a quelques jours et j'ai repris. Ainsi donc, nous sommes malgré tout reconnaissant à notre aimable Seigneur, pour toute Sa bonté et Sa miséricorde envers nous, et - et combien Il est bon! Nous avons eu des réunions merveilleuses là-bas, et le Seigneur nous a infiniment, abondamment bénis.

7.         Et hier soir, vers minuit, frère Wood m'a appelé chez lui, et frère Arganbright était au téléphone, il voulait que je commence par la Suisse. C'est donc trop de déplacements pour un vieil homme. Ainsi donc, nos prochaines réunions commenceront le 11 du mois prochain au Cadle Tabernacle, à Indianapolis. Au - au Cadle Tabernacle, à Indianapolis, du 11 au 15. Et puis, de là, on va à-à Minneapolis, Minneapolis ; d'Indianapolis à Minneapolis, les Hommes d'Affaires Chrétiens.

9.         Eh bien, je pense que frère Neville m'a appelé et je voulais montrer mon-exprimer mon appréciation à son égard et à l'égard du trio Neville qui était venu chanter pour moi aux funérailles que j'ai tenues avant hier. Et j'avais demandé à frère Neville, je n'avais pas de chanteurs, la famille Liddick ; M. Liddick était rentré à la Maison, dans la Gloire. Et certainement que je… Si son fils… Je ne le vois pas ici ; plus tard, j'ai découvert que c'était un fils adoptif. Sachant que son père se mourrait non sauvé, il a accouru me chercher à la maison, avant, et son papa a été sauvé avant de mourir. Donc, la plus grande chose  que ce garçon ait jamais faite, c'était de venir chercher quelqu'un pour prier pour son papa avant la mort de celui-ci. Et le trio Neville est venu et a très bien chanté pour eux.

10.       Ainsi donc, frère Neville m'avait demandé de bien vouloir parler ce matin, ainsi que ce soir aussi. Vous remarquerez donc, les Ecritures déclarent : " Demandez abondamment afin que vous… " Ainsi, frère Neville est certainement en accord avec les Ecritures sur ces choses, vraiment. Ainsi donc, je ferai de mon mieux.

11.       Eh bien, j'ai dit que ce matin, comme c'est la fête des mères, nous aimerions parler aux-aux petits enfants. Je me disais  que ce matin serait un bon moment pour-pour les petits enfants. Or, je pense que la fête des mères…

12.       Bon, il n'y a rien de plus doux sur la terre, à ce que nous sachions, qu'une véritable et authentique mère. Que Dieu bénisse la vaillante âme, d'une véritable, une véritable mère. Mais nous avons beaucoup de substituts aujourd'hui qui-qui sont appelés " mère ", ce n'est pas une mère ; ce ne sont que des femmes qui ont eu des enfants, mais pas des mères. Une mère à l'ancienne mode, c'est celle qui prend soin de sa famille, et qui ne se livre pas à ces flâneries et à ces danses, toute la nuit durant, fumant, buvant, puis elle revient. Elle ne mérite pas ce nom sacré de mère. Ce n'est qu'une femme (c'est tout.), qui élève un enfant, mais ce n'est pas une mère ; en effet, une mère, c'est autre chose que ça. Eh bien, je - je pense que si vous connaissez…

13.       Maintenant, pour la fête des Mères, j'aimerais très bien m'exprimer. J'ai moi-même une vieille mère aux cheveux grisonnants, qui est assise là. Et je pense qu'un jour, très bien… mais chaque jour devrait être une fête des mères, pas juste une fois par an. Et la raison pour laquelle ces choses se passent la fête des Mères aujourd'hui…

            Et je vois que nous ne sommes qu'une poignée, et nous nous connaissons tous les uns les autres. Nous sommes entre nous et c'est la raison pour laquelle nous allons parler comme cela.

            Et je pense qu'une mère devrait être honorée de la même manière chaque jour (C'est vrai.), une vraie mère. Et, mais ce jour-ci qu'on appelle la fête des Mères, ce n'est rien au monde qu'un grand non-sens commercial, juste pour soutirer de l'argent aux gens. Et c'est une disgrâce pour une mère :  une fête des Mères, une fois par an : " Eh bien, nous n'allons pas la voir, mais nous lui  enverrons un petit bouquet de fleurs et c'est réglé. " Ça, ce n'est pas la mère. Oh! la la ! bonté divine !  Une véritable mère, c'est une femme  que vous-celle qui vous a élevé, que vous aimez, et vous la voyez, vous lui parlez  tout le temps, vous lui exprimez votre amour tout le temps, pas juste un seul jour par an.

16.       Mais juste avant de commencer ma scènette, j'aimerais bien exprimer ceci et le rappeler à certains parmi vous. Et beaucoup parmi vous sont morts, et beaucoup parmi eux sont partis depuis que ceci a été dit. C'était en 1933. Avez-vous vu dans le journal, il y a quelques soirées, ce qui a été écrit concernant cette femme qui a tué un homme, l'a jeté là, dans son allée, et elle roulé sur lui, elle passait et repassait sur lui avec son véhicule jusqu'à ce qu'elle l'ait écrasé complètement sur la rue. Et on a demandé… Les - les - les avocats et les autres ont demandé : " Cela ne condamne-t-il pas votre conscience ? " Elle a répondu : " Dieu et moi avons marre de la façon dont les femmes sont traitées. " Hein ! Oui, elle est une idole. C'est vrai. " On en a marre. " Combien bas cette nation peut tomber ? Jusqu'à quel point pouvons-nous nous en tirer sans le jugement divin ? Je me demande : " Dieu et moi… " Si Dieu était coupable de tous les non-sens qui Lui sont imputés, Il ne serait pas Dieu, c'est tout. " Dieu et moi. " Oh! la la ! Dieu n'a rien à faire avec pareille chose. Je me demande ce qu'elle en pensera quand elle sera là dans les tourments. Oh !

18.       Amérique… Maintenant, rappelez-vous, si vous n'aviez pas écrit cela, écrivez-le. Ceci est ma prédiction. Voyez ? En 1933, quand nous tenions des réunions là où la vieille, je pense, l'Eglise de - de Christ se trouve aujourd'hui, à l'époque c'était une vieille … C'est juste ici, Frère Neville, juste ici. Charlie Kurn habitait là. C'était quoi ? L'orphelinat ici sur l'avenue Meigs. En 1933, je venais d'avoir une Ford 1933, ce matin-là, je l'ai consacrée au Seigneur. Et avant de quitter la maison, j'ai eu une vision. Je l'ai notée sur un vieux papier jaune qui se trouve  toujours dans une Bible. J'ai vu arriver la fin des temps.

19.       Et, vous,  combien se souviennent de la forme de la voiture de 1933 dans le temps ? Oh, c'était comme ceci, et là derrière, c'était coupé comme ça pour y suspendre le pneu de réserve. J'ai eu une vision montrant qu'avant la Venue du Seigneur, les voitures auraient la forme d'un œuf. Combien  se souviennent de cette prédiction ? Y a-t-il encore ici quelqu'un qui est resté ? Frère Stewrard est parti. Et je pense… C'était en 1933, quand nous tenions des réunions ici. Je pense qu'eux tous, pratiquement, sont partis depuis lors.

20.       Et j'avais prédit que l'Amérique, son dieu numéro un serait la femme. C'est ce qu'il en est. Tout est façonné à la Hollywood. J'ai des renseignements tirés des archives de la FBI qui vous choqueraient rien qu'à vous indiquer l'endroit exact, et le scandale  au  sujet de ces vedettes de cinéma, il n'y en a pas une parmi elles, pratiquement pas, qui ne soit pas une prostituée. Et la  FBI a tout récemment rendu cela public, j'ai  tiré cela de leurs propres archives. Ainsi donc, eux tous habitent là, mêmes ces vedettes de cinéma, il est prouvé qu'ils sont allés là et les ont prises, et elles vivent avec  des hommes, 25 et 50 dollars par nuit, des hommes, partout à Hollywood et ailleurs, ils ont des maisons particulières, avec des hommes là- dedans, là où on les envoie à ces gens.

            Et c'est ce que nous regardons, la télévision, et - et ici sur ces écrans et tout, nous laissons nos enfants appeler cela une idole. Et puis, appeler cela mère ? Elle est loin d'être une mère. C'est une souillure. C'est exact. Et pourtant, ce sont eux qui donnent le ton. Eh bien, les laisser, le genre d'habits qu'elles portent, observez comment s'habillent les femmes américaines, c'est juste comme elles, et tout. Assurément. Et le dieu de l'Amérique, c'est une femme. Pas  Jéhovah ; ils se sont détournés de Lui. Ce n'est donc pas adressé à la mère, là, épargnez celle-là, c'est une créature sacrée, nous allons en parler ; mais je parle de la femme.

21.       Et, rappelez-vous, j'ai prédit qu'avant le grand anéantissement complet, je ne dis pas que c'est le Seigneur qui me l'a dit, mais je pense que quelque chose arrivera  d'ici 1977. Cela peut arriver en cette heure-ci même.  Mais  d'ici 1977, je prédis qu'il y aura soit une grande destruction soit un anéantissement  total  du monde  entier, d'ici 1977 ; j'avais prédit cela en 1933.  

22.       J'avais prédit  que les femmes deviendraient sans cesse immorales et que la nation continuerait à tomber, et  qu'on s'accrocherait sans cesse à la mère, ou à quelque chose qui ressemble à une mère, jusqu'à ce qu'elles deviendront, qu'une femme deviendra une idole. Et d'ici peu, l'Amérique  sera dirigée par une femme. Notez cela et  voyez si ce n'est pas vrai. Une  femme occupera les fonctions de président ou quelque chose comme cela, de hautes fonctions, très hautes fonctions  en Amérique.

Quand… je dis ceci avec respect, mesdames. Dès qu'une femme quitte la cuisine, elle n'est pas à sa place, c'est vrai, c'est là sa place. En dehors de cela, elle n'a pas de place. Et maintenant, je ne suis pas dur à leur égard, mais je ne fais que dire la vérité et répéter la Bible. Autrefois, c'est l'homme qui était le chef de la maison, mais c'était du temps de la Bible. Il ne l'est plus, il est devenu une marionnette, ou il est le - ou le garde bébé ou  quelque  chose  comme cela. Et aujourd'hui… Non, les femmes veulent prendre soin d'un chien, pratiquer le contrôle des naissances, se promener avec un vieux petit chien dans les bras tout le  temps, pour avoir la possibilité de courir  toute la nuit.

24.       Je - je ne  parle pas d'une mère. Que Dieu la bénisse. C'est ce qui maintient cette nation aujourd'hui à mi-chemin, c'est une véritable bonne mère sauvée de Dieu et sacrée. C'est vrai.

            Mais la honte, c'est de voir comment nos femmes sont avilies. J'ai une coupure d'un journal. Je l'avais découpée après cette petite dernière guerre mondiale, la deuxième, il y était écrit : " Où est partie la moralité des femmes américaines, pour qu'après six mois  de séjour outre-mer, quatre soldats sur cinq aient divorcé de leurs femmes qui ont épousé d'autres hommes ? " Elles n'ont même pas pu attendre que leurs maris reviennent d'outre-mer, des soldats qui mourraient là, au champ de bataille. Une personne qui fait une telle chose n'est pas digne d'être appelée une mère, de ce nom sacré. Non, elle ne l'est pas. J'ai donc toujours été taxé de misogyne, mais je ne le suis pas. Je pense qu'une femme est une merveilleuse chose, et une mère surtout. Mais elles devraient être à leur place, et non pas prendre la place de l'homme, ni prendre la place de Dieu.

26.       Et ce matin, j'ai entendu une église de la sainteté dire : " C'est une mère qui dirige les étoiles du ciel " et  tout cela.  Je peux concevoir que les catholiques disent cela de la vierge Marie, et tout le reste comme cela; en effet, ils adorent des femmes mortes : sainte Cécilia et  tout comme cela, ce qui est la forme la plus élevée du spiritisme. C'est tout ce qu'il en est. Tout ce qui intercède auprès des morts,  c'est  du  spiritisme. Il n'y a qu'un seul intercesseur entre Dieu et l'homme, c'est  Jésus-Christ. C'est vrai. Il n'y a pas un autre saint, il n'y a rien en dehors du Seigneur Jésus-Christ, c'est Lui seul qui est l'Intercesseur entre Dieu et l'homme. Mais quand je vois des églises, et même les gens qui passent derrière la chaire, dépouiller Christ de tout ce qu'il y a de sacré et confier cela à une mère, tout ce qu'il y a de sacré a été ôté, et puis, elles commencent et vous y êtes.

27.       Alors, mais il existe encore une vraie mère. Que Dieu soit loué. Juste comme lorsque vous voyez un hypocrite, il y a un vrai chrétien qui mène effectivement la vie. Et là où il y a le pour il y a le contre. C'est tout à fait vrai. Et maintenant, c'est de ce genre de mère et ce genre d'enfant, que nous désirons parler maintenant dans la Bible.

28.       Bon, je me demande  combien de petits garçons et de petites filles nous avons ici ce matin ? Si  vous avez suivi l'émission radiodiffusée de frère Neville hier… Combien de petits garçons et de petites filles  aimeraient s'avancer ici et s'asseoir sur les sièges de devant pendant  que je vous parle ? Voudriez-vous avancer ici ? Il y a un, deux, trois, quatre, cinq  sièges ici ; un ici, c'est six, et de petits sièges tout au long ici. Voudriez-vous venir ici devant, certains parmi vous les petits qui peuvent venir sans vos mamans, et qui voudraient venir ici, seront plus que les bienvenus. Nos mères ne sont pas… [Frère Neville dit : " Il sont nombreux, la plupart sont dans la salle de l'école du dimanche. "-N.D.E.] Oh, ils sont dans la salle de l'école  du dimanche ; eh bien, c'est bien. Nous attendrons un instant, tout en parlant, et dans quelques minutes ils sortiront. Alors nous rassemblerons bien les petits enfants aux yeux noirs, bruns et bleus, ici, et - et nous parlerons à chacun d'eux. Bon, combien aiment le Seigneur, dites " Amen. " [L'assemblée dit : " Amen ! "-N.D.E.] Très bien.

29.       Maintenant, j'aimerais parler aux mères et aux enfants, c'est à eux  que ceci est adressé.

30.       Ce soir, le Seigneur voulant, j'aimerais parler sur le premier miracle  que Jésus avait accompli, et montrer  comment cela avait été accompli, par quelle puissance, et ce  qu'Il avait fait quand Il a accompli cela. Combien savent quel était le premier miracle qu'Il avait accompli ? Dites-le tous ensemble. [ Frère Branham et l'assemblée disent : "Il avait changé l'eau en vin. " - N.D.E.] C'est exact. C'est le premier miracle qu'Il avait accompli…  Bon, le Seigneur voulant... Pendant que je méditais ce matin, cela m'est simplement venu à l'esprit.

31.       Je vois que nous avons ce matin notre brave ami, monsieur et madame Yeker là au fond, je pense. Il m'est arrivé de les voir alors que je  contournais ce poteau comme ceci. L'autre jour, je me faisais examiner. Je dois me garder en forme en vue des examens exigés pour aller outre-mer. Et quand je suis arrivé là, qui d'autre ai-je rencontré sinon monsieur et madame Yeker, assis là au cabinet - le cabinet.

32.       Docteur Schoen, à Louisville, un très bon frère chrétien.  Je vous assure, j'ai effectivement rencontré un brave homme là, un vrai homme qui croit en Dieu et qui place sa confiance là.

            Savez-vous quoi ? Je vais vous le dire, je trouve plus de médecins que de prédicateurs qui croient dans la guérison divine. C'est vrai. Parlez-leur. J'ai dit : " Certainement. " Et quand il… quand j'allais partir, il m'a tenu par la main, il a dit : "  Frère Branham, vous faites plus pour l'humanité que je ne le pourrai jamais. " Il a dit : " C'est vrai. " Il a dit : " Vous pouvez aider les gens que moi je ne pourrai même pas toucher. " Il a dit : "  C'est vrai . "

            J'ai  dit : " Eh bien, effectivement, vous pouvez les soutirer, ou mettre un os en place, ou quelque chose comme cela. Mais c'est Dieu qui opère la guérison. "

            Il a dit : " C'est exact. " Amen. Oh, j'aime voir des hommes raisonnables qui ont un esprit ouvert.  Je pense que la chirurgie, la médecine, la chiropraxie, l'Ostéopathie, la guérison divine, tout cela ensemble, si l'une de ces choses peut aider quelqu'un, je soutiens cela. Et lorsqu'on trouve un médecin qui condamne un prédicateur, et un prédicateur qui condamne un médecin, un ostéopathe  qui condamne-qui condamne un chirurgien, et un chirurgien qui condamne un médecin, vous pouvez vous dire qu'il y a un motif égoïste  quelque part (c'est vrai.), en effet chacun d'eux a prouvé qu'il assiste quelqu'un. C'est tout à fait vrai.

35.       Maintenant, le problème en est que, à mon avis, si nos motifs sont bons, et  que nos cœurs sont droits pour les gens, nous devrions tous travailler ensemble pour aider notre prochain, pour rendre la vie plus aisée. Et alors, vos motifs ne sont pas égoïstes, vous rendrez gloire à Dieu qui donne tout gratuitement. Amen. Oui, oui. Oh, nous ne devrions manifester nulle part de l'égoïsme, en rien ; cela devrait être parfait.

            Si la chiropraxie peut assister celui-ci, l'ostéopathie peut assister celui-là, la chirurgie peut assister cet autre, quelque chose d'autre peut assister un tel autre, prions pour tout cela (Amen.), afin que  Dieu puisse vraiment aider Son précieux peuple à se rétablir et être heureux. En effet, nous n'avons pas beaucoup de temps à faire ici, c'est juste quelques jours et nous sommes en route pour quelque part. Ainsi, ce que nous essayons de faire, c'est rendre la vie un peu plus aisée, de telle sorte que vous puissiez passer un temps meilleur pendant que vous êtes ici. Amen.

37.       Eh bien, sur base de cette pensée, inclinons la tête, juste avant d'ouvrir la Bible et de parler à notre Aimable Seigneur.

            Notre Bienveillant Père céleste, nous venons très humblement ce matin dans Ta Présence, nous Te remercions par-dessus tout ce qui a jamais existé  sur terre, et tout ce qui sera jamais sur terre, pour le Seigneur Jésus-Christ. Car c'est Lui  qui a réconcilié Dieu et l'homme, Il nous a réconciliés nous les pauvres indignes, nous les étrangers impies, qui étions loin de Dieu par - par notre propre choix, nous avions fait notre propre choix et nous nous étions éloignés de Dieu. Et Il a été  si bon pour venir, et pendant  que nous n'étions pas agréables à Dieu, pendant que nous étions des pécheurs, loin de  Dieu, Il nous a réconciliés avec le Père par l'effusion de Son propre sang.

            Combien nous Te sommes reconnaissant pour Lui. Et aujourd'hui, Il est là comme Médiateur, l'Unique, entre Dieu et l'homme, qui peut faire qu'une prière entre dans la Présence de  Dieu, au travers de la plate-forme de Son propre sang, qu'Il a versé de la terre à la Gloire. Et  Il est venu  sur cette terre par une crèche, Il est né dans  une mangeoire, Il est parti de cette terre, par une peine capitale. Le monde n'a pas voulu  de Lui. Les  cieux n'ont pas pu Le recevoir, parce qu'Il était devenu pécheur ; Il avait pris sur Lui nos péchés. Le monde n'a pas voulu de Lui ; on L'a rejeté : " Otez une telle personne ! "  Il n'avait même - même pas un endroit où naître, ni un endroit pour mourir. Et  Il  a été suspendu entre les cieux et la terre ; les cieux ne pouvaient pas Le recevoir, et la terre ne le voulait pas. Et Il est malgré tout mort pour nous sauver du péché, guérir nos maladies, nous donner la joie et une position d'amour pendant  que nous étions ici sur terre. Quel Sauveur ! Oh, combien nous Te rendons grâces pour Lui.

            Ô Dieu, que toute adoration de notre cœur  soit déversée devant  Lui et Lui  seul. Que tout hommage et toute adoration, et tout ce  qui sort de nos lèvres ou de notre cœur, puisse cela revenir à Lui qui mérite tout. Lui qui était assis un jour sur le Trône avec le Livre dans Sa main, alors que personne au Ciel, ou sur la terre n'était digne ni capable de regarder le Livre, ou d'En rompre les sceaux qui scellaient Cela. Et cet Agneau qui avait été immolé depuis la fondation du monde, est venu, a pris Cela de Sa main, Il  a  ouvert les sceaux et Il  a apporté le - les Paroles aux gens.

41.       Et, Père, nous prions aujourd'hui que Son Saint-Esprit libère nos cœurs de toute obscurité, délie notre langue de tout ce qui est vile, pardonne tous nos péchés, et ôte toute obscurité, et entre dans nos cœurs ce matin.

            Et surtout pour ces petits enfants, ô Dieu, bénis-les pendant qu'ils sont assis ici ce matin avec leurs aimables mères. Et, ô Dieu, combien nous Te sommes reconnaissant pour la maternité, pour de véritables femmes. Et malgré toutes ces ténèbres, idolâtrie, souillure, et corruption du monde, nous avons encore de véritables et authentiques mères. Combien nous Te sommes reconnaissants pour elles ; des jeunes et des  vieux, tous mêmement, nous Te remercions, Père, pour la vraie maternité. Et nous Te prions, ô Dieu, de les bénir.

            Ce matin, je vois beaucoup de nos frères et sœurs qui sont assis ici porter des roses blanches ou d'œillets blancs, et des fleurs, ce qui veut dire que leurs saintes et précieuses mères ont traversé le voile et elles sont dans l'au-delà, elles ne sont pas mortes, mais  elles  sont vivantes à jamais. Un jour, eux aussi descendront à la rivière, et là, ils la reverront une fois de plus, de l'autre côté. Beaucoup portent des roses rouges ; c'est que la mère est encore ici. Nous Te sommes reconnaissants pour cela.

            Nous Te prions de nous bénir tous pendant que nous méditons Ta Parole, car nous le demandons  au Nom de Christ. Amen.

45.       Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Et nous entrons directement dans la Parole ce matin. Bon, avant même cette petite scène, je pensais aux mères et aux petits enfants… et ils m'entendront probablement, en effet ceci émet bien une voix. Et je vais présenter une petite scène, en effet, je constate donc que dans mes réunions, parfois des scènes aident beaucoup. Ne le pensez-vous donc pas ? Les petits enfants comprennent cela mieux. Je  vois quelques petits enfants aux yeux brillants assis, me regardant, ce sont eux qui seront des hommes de demain, s'il y a un lendemain.

46.       Et maintenant, avant que nous ayons une quelconque scène, ou n'importe quoi d'autre qui se passe dans l'église, ça doit avoir un fondement biblique. Amen. Il doit y avoir un fondement biblique. Premièrement, allons dans Matthieu, chapitre 16, verset 25, et nous aimerions lire ces versets. Premièrement, pendant que nous lisons, que nous nous apprêtons, peut-être qu'en ce moment-là  les petits enfants vont sortir. Bon, Matthieu 16. 25 , voici ce que nous lisons.

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi la trouvera.

            Eh bien, ça c'est un passage des Ecritures très important. Lisons-le tous ensemble. Que dites-vous ? Tout le monde, les petits enfants et tous ensemble maintenant.[Frère Branham et l'assemblée lisent ensemble le passage des Ecritures suivant.-N.D.E.]

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi la trouvera.

48.       Vous savez, les petits garçons et les petites filles, je sais que les personnes âgées apprécieront cela autant que les petits enfants. Mais, ce passage des Ecritures est très important. Et certains passages des Ecritures sont si importants que Dieu les place dans tous les quatre Evangiles : Matthieu, Marc, Luc et Jean. Mais, ceci est  si important qu'Il l'a placé six fois dans l'Evangile. Cela est  sorti de Ses propres lèvres, de celles de Jésus, à six reprises.

49.       Maintenant, là dans Marc, nous irons là, au chapitre 8 de Marc, à partir du verset 34, et je vais lire quelques passages là. Et j'aimerais que vous remarquiez une fois de plus ici, ça fait juste un peu suite à ce que Jésus a dit là-bas. Et rappelez-vous, Il a dit cela six fois dans l'Evangile, afin que cela soit établi certainement. Le témoignage est rendu sur déposition de deux personnes, mais Il a placé cela trois fois (Voyez-vous ?) afin que l'on soit sûr de s'en souvenir.

Et nous avions lui…

Puis, ayant - ayant appelé la foule avec Ses disciples, Il leur dit : " Si quelqu'un veut venir après Moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et  qu'il me suive .

Maintenant, l'un des traducteurs a traduit par : "Qu'il se charge de sa croix et qu'il Me suive chaque jour. " Eh bien, maintenant le verset 35. Ecoutez

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de Moi  et de la bonne nouvelle la sauvera.

Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme ? Que donnerait  un homme en échange de  son âme ?

51.       Bon, prenons ce verset 35 et répétons-le ensemble maintenant. Très bien. Maintenant, disons cela ensemble. Nous allons prendre Marc 8.16, maintenant répétons-le ensemble ; Marc 8.16, Pardonnez-moi, Marc 8.16, 35. Non, je l'ai encore mal cité. Marc 8 (Excusez-moi.), Marc, saint Marc, chapitre 8, verset 35. Essayons cela maintenant. Saint Marc, chapitre 8, verset 35. Eh bien, nous avons cela. Lisons-le. [ Frère Branham et l'assemblée lisent ensemble les passages des Ecritures suivants.-N.D.E.]

Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de Moi et de la bonne nouvelle la sauvera.

52.       Est-ce merveilleux ? Eh bien, nous irons de l'avant avec notre petite histoire, et au fur et à mesure que les enfants viendront, ils occuperont leurs places. Les huissiers veillent sur eux pendant qu' ils les calment. Voyez si vous pouvez les faire entrer ici, pendant que nous apportons notre histoire. Nous allons présenter ceci sous forme d'une scène, ce matin. Et moi,  souvent, il y a quelques jours, je…

            Frère et sœur Wood étaient avec moi, je pense, là à la - la dernière réunion ; je parlais au petit déjeuner des Hommes d'Affaires Chrétiens. Et j'ai raconté une petite scène sur Zacchée dans le - en haut dans le sycomore, et,  quand Jésus est passé par là, et comment Zacchée s'est servi d'une poubelle, vous savez  (et j'ai présenté cela sous forme  d'une scène), il est monté dans un arbre pour voir Jésus. Et cet homme d'affaires était assis dans l'arbre, vous savez, se cachant à la vue de Jésus. Et Jésus ne savait pas où il était, pour ainsi dire, vous savez. Et alors, il a dit : " Oh, on me dit que cet homme sait des  choses et  qu'Il peut prédire des  choses, et  Il sait où était le poisson qui avait une pièce de monnaie. Je ne  crois pas ça. " Alors Jésus est passé droit sous l'arbre. Et il a dit : " Oh !  Il ne peut pas me voir ; me voici assis en haut dans un arbre. "  Jésus s'est arrêté, Il a levé les yeux et  Il a dit : " Zacchée, descends. " Non seulement Il avait  su qu'il était là haut, mais Il avait  su  qui  il était.  Je pense donc  qu'une petite scène parfois aide les personnes âgées, les grands garçons et les grandes filles, tout autant que les petits.

56.       Ainsi donc, vous pourrez me  poser la question, après ceci : " Frère Branham, où trouvez-vous les renseignements sur ces personnages, ainsi que ces noms ? " Pour certains, c'est mon brave ami, frère Booth Clibborn qui m'a aidé. Et pour d'autres, c'est Josèphe, le grand historien. Et puis, des livres que j'ai lus sur l'histoire, sur tel événement  ou  tel autre. Et c'est ainsi que je reçois ces renseignements sur ce  que nous allons donner sous forme de scène ce matin, pour ce…

57.       Je vois nos petits enfants sortir maintenant, et pour cette histoire de ce matin que nous allons raconter. Maintenant, vous les petits garçons et vous les petites filles, si vous le pouvez, tout ceux  qui veulent, venez ici devant. Nous avons  cinq ou six sièges vides. Si vous voulez venir directement ici, nous serons contents de  vous avoir. Ils arrivent bien à temps pour la petite scène ici.

            Ainsi donc, c'est comme ça que je reçois ces renseignements, c'est ainsi que j'arrive à les trouver. Quelqu'un pourrait prendre cela et dire : " Eh bien, je n'ai jamais lu cette partie-là dans la Bible. " Mais  si  vous ne l'avez jamais lue, l'histoire a rapporté cela. Voyez ? Ainsi, c'est donc la même histoire, seulement elle est présentée sous forme d'une-d'une petite scène.

59.       Et, c'est ça donc. C'est ça. Et est-ce là votre jeune frère ? Oh, il te ressemble certainement. Et il est un beau garçon. On peut simplement voir qu'il l'est. Très bien.

            Maintenant, aimeriez-vous venir vous asseoir ici ? Il y a deux petites filles, ou trois petites filles. Oh!la la, c'est vraiment très bien. Eh bien, j'aimerais… La petite histoire de ce matin, c'est pour les petites filles et les petits garçons. Mesdemoiselles Collins , je pense que c'est  vous là, avec l'autre jeune sœur ; veuillez passer de l'autre côté, chérie, pour vous asseoir.  Oui, je pense qu'il y a une place ici même, si cette dame veut-veut enlever son porte-monnaie. Et - et puisse… Juste ici, il y a quelques sièges, ici.

            Je veux avoir tous ces petits garçons et ces petites filles ici devant, pour pouvoir leur parler. Ici, ici nous avons quelques sièges ici ; nous veillons simplement à ce que vous ayez quelques fauteuils. Oui, oui. Certains parmi eux nous  aideront ici même, en effet, nous aimerions que ceci soit uniquement pour ces petits garçons et ces petites filles. Oh ! la la ! N'est-ce pas bien ? Eh bien, c'est… Je pense qu'il vous faudra en avoir davantage, Frère Neville ; j'en vois d'autres venir ; et maintenant, c'est très bien. Combien de mères y a-t-il ici ? Levez la main. Oh, c'est merveilleux. Bon, c'est très bien.

63.       Maintenant, si vous, les petites filles, qui êtes au fond, vous voulez venir ici, avancez directement, si vous êtes assez grandes pour  vous détacher de  votre maman. Et si maman veut vous amener ici, eh bien, dites-lui de venir carrément. C'est pour la maman aussi. Très bien.

            Tenez, enfants, nous venons de lire un verset. Voudriez-vous tous le répéter avec moi ? Voudriez-vous tous répéter ce verset avec moi ? Bon, il se trouve dans saint Matthieu, chapitre 16, verset 25, ce dont nous allons parler. Eh bien, ces petits… chaque petit garçon et chaque petite fille, ce matin, répétez ceci avec moi maintenant. Dites : " Saint Matthieu " [Les petits garçons et les petites filles disent : " Saint Matthieu. "-N.D.E.] "chapitre 16 " [" Chapitre 16 "] [" verset 25 "] ["verset 25 "] Maintenant, répétez cela avec moi. " Car celui qui voudra sauver sa vie " ["Car celui qui voudra sauver sa vie "] " la perdra " ["  la perdra "] " mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. ["mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. "] la trouvera. Oui, répétons encore cela. " Celui " ["  Celui "]  " qui perdra sa  vie "  [" qui perdra sa vie "]  " à cause de Moi " [" à cause de Moi "] " la trouvera. " [" la trouvera. "] Merveilleux !

65.       Bon, petits garçons et petites filles, savez-vous quoi ? Il y a beaucoup de choses dans le monde qui sont des valeur sûres. Et l'une de ces choses, vous l'avez avec vous aujourd'hui ; c'est l'âme qui est dans le corps. Et c'est la chose  la plus importante pour vous dans le monde. Est-ce vrai, mères ?  Dites "Amen. " [Les mères disent : " Amen. " - N.D.E.] La  chose que  vous avez, qui a le plus de valeur, c'est  votre âme. Et maintenant, si vous gardez votre âme, alors vous  allez la perdre. Et si vous perdez  votre âme, alors  vous allez la sauver ;  et  si vous perdez votre âme  pour Jésus. Voyez ? En d'autres termes,  si vous croyez en Jésus, vous devenez Son disciple. Et alors, si vous confiez votre vie à Jésus quand vous êtes petits comme ça, alors vous allez… Il va sauver cela pour la Vie Eternelle. Mais si vous - si vous voulez garder cela, vous allez perdre cela ; oui, vous allez perdre cela. Si vous voulez agir comme ces autres jeunes petites filles ou ces autres jeunes petits garçons ici, sortir et faire comme eux, alors vous allez, vous-vous allez la perdre. Mais si vous voulez confier votre vie à Jésus, alors  vous la sauverez pour l'Eternité et pour toujours.

66.       Bon, souvenez-vous-en donc, que la chose qui a le plus de valeur dans le monde entier, c'est votre petite âme. Et si vous la gardez, vous la perdrez ; si vous la confiez à Jésus, vous la sauverez. Pouvez-vous répéter cela avec moi ? Si… Dites : " Si je la garde ", [Les petits garçons et les petites filles disent : " Si je la garde. " - N.D.E.] "  Je la perdrai " ["  Je la perdrai "] ; " mais si je la confie à Jésus ", [" Mais si je la confie à Jésus "]  " je la sauverai. " [" je la sauverai. "] C'est ça. Eh bien, vous avez compris cela. N'est-ce pas… Que toutes les mères qui pensent que ça a été bien disent "Amen. " [Les mères disent : " Amen ! "] Oh, c'est bien. C'est bien.

            Maintenant, vous voyez, il y a une chose que vous pouvez faire. Maintenant, allez de l'avant. Si eux veulent agir comme cela, et avoir leurs désirs du monde… si les petits garçons et les petites filles veulent sortir là, faire des histoires, et raconter des histoires, et dire des choses qui ne sont pas correctes, et - et tricher,  voler, et - et faire de mauvaises choses, et tricher à l'école, et tout, allez de l'avant ; ils perdent. Ils perdent cela. Mais s'ils confient cela à Jésus (ils ne veulent pas le faire), alors ils sauveront cela. C'est ce qu'il vous faut faire, n'est-ce pas ?

69.       Maintenant, nous allons commencer notre petite histoire. Bon, c'est cela donc notre arrière-plan, souvenez-vous-en. Eh bien,  commençons notre petite histoire. Maintenant, vous les personnes âgées, et les - les pères et les mères, suivez aussi donc cela, surtout vous, les mères et les pères. Eh bien, juste… que nous allons  commencer. Aimez-vous les petites histoires ? Les aimez-vous ? Oh, j'aime vraiment cela, surtout aujourd'hui… Vous lisez beaucoup d'histoires qui ne sont pas vraies. Mais cette histoire-ci est vraie, absolument la vérité, chaque Parole de cela. Elle se trouve dans la Bible de Dieu, cela doit donc être la vérité (  voyez ?) En effet, c'est la Parole de  Dieu. La Parole de  Dieu est la Vérité.

70.       " Eh bien, vous savez, dit-il, je suis très fatigué. Je - j'en ai - j'en ai marre à mourir. "

            "Eh bien, a-t-elle dit, pourquoi ne montes-tu pas à l'étage dormir ? Te coucher sur le petit lit, là sur le divan et dormir. "

            Il a dit : " Mais, oh, je suis très fatigué. " Il a  dit : " Oh, chérie, si tu avais vu ce que j'ai vu aujourd'hui, oh, je suis - je… Ce que… Je n'aimerais même pas prendre de souper. Oh, c'était terrible, la scène que j'ai vue aujourd'hui ! "

            Elle a dit : " Eh bien, c'est quoi -quoi que tu as vu ? "

Il a dit : " Eh bien, je ne peux pas te le raconter devant les enfants, oh,  c'est si horrible. Oh, la la ! C'était mauvais. "

71.       " Eh bien, mais c'est quoi que tu as vu ? "

            " Eh bien, je monte me coucher un petit moment à l'étage, et puis, et puis après le souper, après que nous aurons mis tous les enfants au lit, alors je vais te raconter ce qui s'est passé aujourd'hui. "

            " Très bien ", a-t-elle dit.

            Et  Il est monté à l'étage. Il s'est couché. " Oh, je suis très fatigué, oh, la la ! " Vous savez comment papa se retrouve quand il est fatigué, vraiment très fatigué.

76.       Et peu après, la petite fille aux yeux brillants, s'est mise à courir sur le pavement, et à parler un peu à haute voix. On lui a dit : " Sh - sh - sh, ne fais pas ça. Tu vas réveiller papa. Et, oh, il est si fatigué qu'il - qu'il voulait en mourir. Il ne voulait plus vivre. Et  si papa est fatigué à ce point-là, eh bien, nous devrions le laisser dormir un peu. Ne le réveillez pas. " Alors la petite Miriam  est  allée là et s'est assise pour rester très calme.

77.       Et peu après, elle avait le repas tout apprêté, alors elle monte discrètement les marches et elle-elle l'appelle : " Amram ? "

78.       Et il dit : " Oui, Jokébed, chérie, je descends. " Alors, ils descendent les marches, vous savez, et ils ont eu un bon souper .

79.       Alors, après qu'ils avaient pris le souper, et que le petit - que le petit garçon et la petite fille avaient terminé tout leur souper, eh bien, que la mère a débarrassé, elle les a mis au lit. Et alors, elle entre en  chambre, elle et son mari, et ils s'assoient. Elle dit : " Eh bien, alors, c'était quoi que tu as vu aujourd'hui, Amram, qui te bouleverse tant - tant ce soir, au point que tu ne voulais même plus vivre ? "

80.       " Oh, a-t-il dit, chérie, je - je n'arrive simplement pas à comprendre cela. " Il a dit : " J'ai vu… C'est… Eh bien, nous voyons cela chaque jour, mais aujourd'hui c'était particulier. " Il a dit : " Oh, je - j'ai vu la scène la plus horrible que j'aie jamais vue. " Il a dit : "Nos pauvres garçons, certains parmi eux n'ont pas plus de douze ans, ils étaient en train de tirer un vieux et grand wagon, avec des cordes attachées à leurs cous, comme ça. Et ces pauvres enfants ont tiré cela jusqu'à ce qu'ils n'en pouvaient plus, gravissant cette forte montée, ces grosses pierres là-derrière, et ils ne pouvaient plus aller plus loin. Et peu près, le wagon a commencé à craquer, et à aller très lentement, et peu après ça s'est arrêté. Un homme descendait dans la rue, oh, c'était un fou. Il a vociféré : 'Pourquoi arrêtez-vous ce wagon ?' Wham ! avec ces très gros fouets comme des serpents, il les fouettait au dos, et le sang coulait de leur dos et tombait comme cela. Et ces pauvres petits enfants rattachés simplement à cette corde, criaient. Il dit : " Oh, Jokébed. Que pouvons-nous faire, maman ? Il dit : " Nous sommes le peuple de Dieu. Dieu nous a bénis. Nous sommes les enfants d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Et pourquoi devons-nous être des esclaves ici pour de telles choses ! Oh, c'est horrible à voir comment ces pauvres petits garçons pleuraient ! Oh, et je prie, et je prie, et je prie, Jokébed, et on dirait que Dieu ne m'entend même pas. Et je prie, et je prie, et on dirait qu'Il a fermé Son oreille, Il ne m'entend pas du tout. Et Il semble simplement ne plus s'en occuper. "

81.       Eh bien, a-t-elle dit, écoute, Amram, on  ne dirait pas toi. Tu es un vrai papa, et tu… On ne dirait pas toi, en effet, c'est toi qui nous encourage toujours, nous disant d'avoir foi en Dieu. "

82.       " Oh, mais, chérie, quand je prie beaucoup et - et que Dieu ne m'exauce toujours pas, et cela semble s'empirer  tout le temps. Plus je prie, pire ça devient. "

84.       Mais, petits garçons et petites filles, Dieu exauce-t-Il la prière ? [ les petits garçons et les petites filles disent : "Oui." - N.D.E ] Il exauce la prière. Dieu exauce-t-Il la prière ? Oui. Exauce-t-Il très vite ? Non, pas tout le temps, n'est-ce pas ? Non. Parfois, Il nous fait attendre. Est-ce vrai ? Oui. Mais Dieu exauce la prière, n'est-ce pas ? Et ce n'est pas parce que tout va mal que nous devons cesser de prier. Nous continuons simplement à prier malgré tout, n'est-ce pas ? C'est vrai. Eh bien, vous avez bien répondu. Dieu exauce la prière. Répétons-le tous ensemble. [Frère Branham et l'assemblée disent : " Dieu exauce la prière. "-N.D.E.] Oui. Peu importe les circonstances, Il exauce malgré  tout. Très bien.

            " Eh bien, vas-tu monter prier encore ? "

85.       "  Oui. " Et papa avait une chambre secrète là haut dans le grenier, là où il allait prier. Alors il monte là cette nuit-là ; il s' agenouille à côté ; il dit… Eh bien, il dit : " Jokébed, bon, allez de l'avant, et allez au lit, toi et les enfants. Eh bien, ne me dérangez pas, ce soir je vais prier, peut-être toute la nuit. "

86.       Il s'agenouille donc, et il prie et il prie. Je le vois lever les mains et dire : " Ô Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, souviens Toi de Ta promesse à Ton peuple ; Nous voici  loin ici en Egypte, et nous sommes en esclavage. Et, oh, nos cruels maîtres de corvées nous - nous poussent à faire des choses, ils nous frappent, et notre pauvre peuple est - est fouetté nu, et ils nous frappent avec des fouets. Et nous sommes Ton peuple. Ô Dieu, certainement que Tu exauceras la prière, certainement que Tu exauceras la prière. Et je prie, et je prie, et je prie, et il semble que Tu ne m'exauces même pas. Mais, ô Dieu, je crois que Tu es Dieu, et que Tu finira par répondre à ma prière. " Il a prié comme cela, presque toute la nuit.

87.       Et le lendemain matin, vers 3 heures ou 4 heures, il descend les petites marches, et il regarde là, son aimable petite femme était couchée là, la petite Jokébed. Elle était là au lit, endormie. Et le petit Aaron et la petite Miriam s'étaient déjà plongés au lit, ils étaient donc là endormis au possible, et ils étaient emportés dans le sommeil ; très bien. Il a dit à sa femme… Elle lui a dit : " Il se fait tard, et tu viens d'arriver ? "

            " Oui, j'ai prié toute la nuit. " Ses yeux avaient des traces de larmes, parce qu'il avait pleuré pour le peuple.

            Et elle a dit : " Ecoute donc, Amram, tu ne devrais pas trop t'en préoccuper. "

            Eh bien, a-t-il dit, écoute, chérie. C'est bien. Mais maintenant, regarde, tu as ici deux enfants à élever. Et c'est ma responsabilité. Si quelqu'un ne prie pas pour notre pauvre peuple, qu'adviendra-t-il de lui ? Que va-t-il arriver si quelqu'un ne porte pas le peuple à cœur ? Quelqu'un doit prier. "

            " Eh bien, dit-elle, Amram, tout le fardeau ne t'incombe pas. "

            " Eh bien, ça semble être ainsi. Et, de toute façon, je prierai, de toute façon, tout le temps. "

92.       Il va au travail ce jour-là, et chaque jour il vient et va, et le même vieux labeur de… Et il - il avait un travail difficile. Il devait… Les gens déversaient les mortiers dans ces grands moules, et lui devait se tenir là, à côté de cette grande fournaise. Et quand on ouvrait cela, oh! la la, cela risquait de lui enlever la peau, quelle horrible chaleur! Il jetait ces briques là-dedans et les faisait cuire, il les faisait sortir, c'était pour la construction de très grandes routes et de très hautes tours dédiées aux idoles et tout. Et ce véritable chrétien, là, travaillait comme ça pour l'ennemi… Mais il était un esclave ; il était dans l'esclavage. Il était obligé de le faire. Et chaque nuit quand il rentrait à la maison, il priait, il remontait les marches, et priait, et priait, et priait, puis il redescendait : ça ne s'améliorait pas ; ça s'empirait.

94.       Et un jour, il a entendu une rumeur là, au travail. Il a demandé : " Qu'est-ce ? Qu'est-ce ? Dites-le-moi. " Quelqu'un murmurait à l'autre. Peu après, avant la fin de la journée, cela s'était répandu dans tout le pays, ce qui allait arriver.

            Qu'était-ce ? On allait tenir un conseil cette nuit-là. Le vieux roi Pharaon, le vieux roi méchant allait rassembler tout son peuple pour tenir un autre grand conseil. Ils ont donc tenu ce grand conseil là.

96.       Ainsi, cette nuit-là, il est rentré, oh, il était tout abattu. Il est entre, sa femme a dit : " Amram, chéri. " Elle l'a rencontré à la porte, l'a embrassé et a dit : " Je t'ai préparé un souper très bien et chaud ; mais, a-t-elle dit, chéri, tu as l'air très pâle. Qu'y a- t-il ? "

            Il a dit : " Oh, Jokébed, si seulement tu savais ce qui se passe. Oh, c'est pire que jamais. "

            " Quoi ? "

            " sh, sh, sh, je ne peux pas le dire, les enfants sont là. Attends après le souper, alors je t'en parlerai. "

            "D'accord."

            Alors, elle a apprêté le souper, et elle a bien apprêté le souper, et elle a pris tous les enfants et les a mis au lit.

            Ils sont donc entrés. Il a dit : " Jokébed, j'aimerais te dire quelque chose." Il a dit : "Il va se passer l'une des choses les plus horribles. "

            " Quoi ? "

            Il a dit : " On va tenir un autre conseil aujourd'hui,ce soir. Et une fois cela tenu, ils vont nous accabler d'autres fardeaux. "

102.     Ainsi donc, allons au palais du roi ; le roi pharaon les a tous rassemblés là-bas et a dit : " Très bien, vous tous les généraux, qu'est-ce qui se passe avec vous ici ? Je donne mes ordres par ici ; ce peuple augmente tout le temps. Qu'y a-t-il ? Ne pouvons-nous pas arrêter cela ? Il a dit : " Un jour, une autre armée viendra ici. Et tous nos ennemis, que voilà, là à Goshen, ces Israélites, se joindront à cette armée-là, et ils nous vaincront. Et notre grand système économique sera détruit ; notre grand royaume sera détruit. Ils nous domineront. Qu'est-ce qui ne va pas avec vous ? Que quelqu'un parle. N'avez-vous pas quelque chose à dire ? " Oh, Il était méchant et haineux. Tous les généraux tremblaient. L'un d'eux s'est levé et a dit : " Que le roi Pharaon vive à jamais. "

            " Eh bien, dis ce que tu vas faire. "

            Il a dit : " Que le roi vive à jamais. Votre honneur, seigneur, a-t-il dit, je désire que vous accabliez le peuple de plus de fardeaux. "

            " Toi, imbécile, tu as déjà accablé ce peuple de beaucoup de fardeaux, et pourtant ils se multiplient. Eh bien, toi… si c'est tout ce que tu as comme idée, garde-la simplement pour toi. " Oh, il était rude.

105.     Peu après, quelqu'un s'est levé, son visage marqué d'un très large sourire comme un démon. Et il a dit : " Que le roi Pharaon vive à jamais. " Il a dit : " J'ai une idée. "

            Il a dit : " Eh bien, parle. Ne te tiens pas là comme ça. "

            Il a dit : "Je vais vous  dire ce qu'ils - ce que vous pourrez faire. " Il a  dit : " Vous savez, ces gens se multiplient très vite. "

" Oui, c'est vrai. " Il a  dit : "Certains parmi eux, certains parmi ces gens-là, ont même quatorze enfants ; parfois ils ont vingt enfants. Et notre peuple n'a peut-être pas un seul. Il a dit : " Ils se multiplient très vite, ils couvrent simplement tout le pays. " Voyez, Dieu était en train de faire quelque chose. Voyez, Dieu tire toujours le voile sur les yeux du diable. Voyez ? Voyez-vous ? il sait ce qu'Il fait. Voyez ? Et toutes ces femmes avaient donc beaucoup d'enfants.

109.     " Eh bien, a-t-il dit, que le  roi vive à jamais. Eh bien, je vais vous dire quoi. Chaque fois qu'une femme donnera naissance à un petit enfant mâle… Qu'on parcoure le pays ici et qu'on prenne des femmes, et qui - qui ne sont pas de mères (voyez ?), des femmes qui n'ont jamais  eu d'enfants, des femmes qui ne veulent pas des enfants et qui n'aiment pas les enfants, de vieilles sorcières au long nez (voyez ?) Plus le nez est long, mieux ça va… " Celles aux longs doigts, aux visages fardés, et prenez-les. Elles ne savent pas ce qu'est l'amour maternel. Et alors, dès qu'un petit enfant mâle naîtra, eh bien, qu'elles aillent le prendre, qu'elles sortent avec lui et qu'elles fassent sauter sa tête contre le mûr, qu'elles le jettent dans la maison auprès de sa mère, comme ça. Qu'elles le jettent dans un grand puits. Oh, mieux que ça, le faire sortir, lui lier les mains et les pieds, et le jeter pour engraisser les crocodiles ; c'est ainsi qu'on s'en débarrassera. Alors, ils ne se multiplieront pas beaucoup, parce qu'il ne restera plus d'hommes. On aura tué tous les petits enfants mâles. "

            " Oh, dit Pharaon, c'est bien. C'est une bonne idée. " Voyez-vous ce qu'est le diable ? Il est méchant, n'est-ce pas ? Il a dit : " Voilà donc la chose à faire. Allez chercher… vous avez… Eh bien, comme c'est  vous qui avez eu cette idée, je vous nomme superviseur de cela. Allez et prenez toutes les vieilles femmes que vous connaissez, qui - qui n'ont jamais été de mères, et elles n'aiment pas les enfants. Et elles  sont… Elles… "

            Voyez, il faut être une mère pour aimer un enfant. Vous rappelez-vous combien votre mère vous aimait ? Eh bien alors, voyez, la mère aime les petits enfants.

112.     Mais ils ont dû prendre quelqu'un qui-qui n'avait pas, qui n'avait pas eu d'enfants, qui n'aimait pas les enfants, juste - juste - juste de très méchantes vieilles femmes. " et il a dit : "Faites-les des policières. Et quand vous aurez fait d'elles des policières… Et donnez-leur des instructions, afin qu'elles puissent entrer dans n'importe quelle maison qu'elles voudraient, qu'elles en fassent sortir chaque petit enfant et qu'elles fassent sauter sa tête contre le mur, et qu'elles le livrent en pâture aux crocodiles : " Chaque petit enfant. " Oh, combien c'est cruel. Savez-vous donc ce qu'elles ont fait ?

            " Très bien, c'est bien. "

113.     Le lendemain donc, quand Amram était là en train de travailler, il a appris que cette décision-là avait été prise. Et, oh, il rentre à la maison. Il dit : " Oh, Jokébed, oh, chérie, laisse-moi te raconter quelque chose. Sais-tu quelle décision a été prise ? Tuer tous les petits enfants mâles. " Et il le lui a raconté. Il a dit : "Oh, je ne peux simplement pas supporter cela. " Il est encore monté à l'étage prier. Cette nuit-là, il a prié comme jamais auparavant.

            Sommes-nous censés continuer à prier ? Oh ? continuez à prier. Est-ce vrai ? Continuez simplement à prier, peu importe ce qui se passe, continuez à prier. Eh bien, alors la chose suivante, vous savez, il a prié toute la nuit : " Ô Dieu, sois miséricordieux. Et, ô Dieu, viens en aide. Nous Te prions de nous venir en aide d'une façon ou d'une autre. " Il est redescendu vers l'aube.

117.     Jour après jour, et, oh, quel hurlement dans le pays. Chaque jour on entendait des mères pousser des cris, dans des rues. On avait arraché leurs petits enfants de leurs bras, leurs petits enfants mâles mignons ; ces vieilles sorcières entraient là et les prenaient par leurs petits pieds, et les cognaient contre le mur ? les tuaient, et les jetaient en pâture aux crocodiles. La pauvre mère s'agenouillait et implorait : " Oh, ne prenez pas mon enfant. Ne prenez pas mon enfant. " Et, oh,  quel temps elles ont eu!

118.     Vous savez combien une mère aime les petits enfants, comment elle le met contre la joue. Vous vous rappelez comment la mère vous prenait, et - et - et vous lavait, et vous embrassait, et - et - et disait combien vous étiez joli. Et comment elle te mettait au lit la nuit. Et, oh, si - si vous… une petite porte s'ouvrait, un petit vent passait, quelque chose  comme ça, et, oh ,la la, elle accourait très vite et fermait la porte, et couvrait le petit enfant, et vous savez, ça la préoccupait ; elle vous aimait. Voyez ? Elle vous aimait. Oh, elle aimait ce pauvre petit être que Dieu lui avait donné, qui était sans secours et qui ne pouvait pas s'aider lui-même, elle aimait donc  ce petit enfant. Elle embrassait simplement ces petits enfants et jouait avec eux, parce qu'elle était une vraie mère. Voyez

119.     Mais ces vieilles femmes qui tuent les enfants, elles ne savaient pas ce qu'était l'amour maternel. Elles  n'étaient pas de mères. Tout ce qu'elles pensaient, elles n'avaient que de grands moments à l'esprit, les choses du monde. Alors, elles entraient, tuaient ces petits enfants. Vous êtes trop jeunes pour le savoir, mais ça se passe encore. C'est vrai. Eh bien, vous les adultes, vous savez de quoi je parle. C'est vrai. Il y en a trop … Oh, vous dites : "Je n'accepterais pas… " Mais l'avortement, c'est la même chose. Très bien, mais vous voyez, elles ne savent pas ce que c'est l'amour maternel. Maintenant, vous savez de quoi je parle quand je parle de véritables mères. C'est vrai. Ce n'est pas différent, le même diable… Alors là, ensuite, ils… et rien que de penser à des myriades chaque année, c'est tout aussi mauvais qu'en Egypte ou pire, Et là…

            Alors, elles entraient, elles n'avaient pas l'amour d'une mère, elles prenaient donc ces petits enfants et les tuaient ; oh, ça allait de mal en pis. Et un jour, il eut une autre rumeur, qu'on allait tenir une autre réunion.

121.     Pharaon a rassemblé tous ses conseillers, il les a tous rassemblés, et ils sont entrés là et il a  dit : "  Très bien, ils continuent à se multiplier. Qu'allons-nous donc faire à ce sujet ? "

            Ce même vieux gars rusé et habile, au visage de démons s'est levé et a dit : "  Que le roi pharaon  vive à jamais.  J'ai une idée. Ecoutez, vous faites travailler les hommes. Vous leur faites faire des fours des briques, autant chaque jour, vous leur faites faire cela à partir du chaume. Vous avez  tué les - les petits enfants et tout, mais ils continuent à se multiplier. Ce  que vous devriez faire, c'est de faire travailler aussi les femmes. Si vous faites travailler les femmes, alors elles ne vont pas… "  Eh bien, ce n'est pas la place d'une femme ; non. Alors, il a dit : "Faites travailler les femmes, mettez-les là et faites-les faire aussi des briques. Et alors, elles seront tellement fatiguées, à leur retour, qu'elles - elles ne pourront pas préparer le souper pour leurs maris ; elles ne pourront pas être une bonne maman ; voyez ? Ainsi donc, si elles se mettent à travailler et qu'elles continuent ainsi, alors elles - elles ne seront pas capables de faire cela. Faites-les donc travailler aussi. "

            " C'est bien, bon ; oh, la la ! tu es sage. " Et alors, il a fait travailler toutes les femmes.

124.     Et voici venir le pauvre vieux Amram, il revient cette nuit-là, et dit : "Oh, Jokébed, je ne sais pas ce que nous allons faire. Eh bien, ils vont faire travailler toutes les femmes. Je - je t'assure, oh, je ne sais simplement pas quoi faire. Nous sommes - nous sommes - nous sommes juste… nous sommes des esclaves et les choses s'empirent sans cesse pour nous. Je - je prédis ceci : Si jamais Dieu fait quelque chose pour nous, ça sera après que nous serons tous morts. "

            Eh bien, Dieu n'attend pas jusque là, n'est-ce pas ? Non. Parfois Dieu nous observe simplement, n'est-ce pas ?  Très bien.

            Ainsi donc, cette nuit-là, il a dit : "Je monte prier comme jamais auparavant. "

            Eh bien, c'est ainsi qu'il faut prier, n'est-ce pas ? Priez comme vous n'avez jamais prié auparavant, soyez vraiment à l'œuvre ! Voyez, si vous vous  approchez et [que vous dites : " Seigneur, bénis untel et untel. " Dieu ne-Dieu n'accorde pas beaucoup d'importance à ça. Mais quand vous vous mettez vraiment à l'œuvre… Quand vous, les petits garçons et les petites filles, vous priez, mettez-vous vraiment à l'œuvre. Faites-vous cela à l'école ? Cela est.. Demandez-vous à Dieu de vous aider à l'école ? Quand - quand vous vous rendez à l'école, et  que vous ne faites pas des très bons points, vous allez et  vous dites : " Ô Dieu, je - je veux que Tu m'aides " ?

128.     Priez-vous ? Combien de petits garçons et de petites filles prient ? Faites voir les mains. Oh, c'est bien. Bon, c'est bien. Avez-vous un  lieu secret où vous allez prier, où maman et papa ne  vous voient même pas ? Priez-vous comme cela ? Vous, ne priez-vous pas comme cela ? Ayez un petit endroit,  allez-y furtivement et priez, dites votre petite prière. Dites-vous cela chaque nuit avant d'aller au lit ?  Quand vous  vous réveillez le matin, chéri ? Oh, c'est bien. Combien d'autres petits garçons et petites filles prient ? Levez la main, là loin dans la salle.  Oh, n'est-ce pas bien ? Eh bien, maintenant, c'est bien. Cela montre que vous avez une vraie mère et un vrai papa qui vous enseignent à faire ces choses. Eh bien, eh bien, quand vous avez réellement un besoin, vous feriez mieux de prier sincèrement, n'est-ce pas ?

129.     Ainsi, le petit Amram monte à l'étage. Oh, la la ! Il ne voulait pas de souper. Il a dit : " C'est trop  dommage. Oh, la la !… "

            Oh, a-t-elle dit, tu  dois prendre le souper, papa. "

            " Je ne peux simplement pas faire  ça, Jokébed. Je ne peux simplement pas le faire ? Je - je… "

            " Oh, a-t-elle dit, mais tu perds de poids, et tu deviens nerveux, tu as le visage pâle. Et tu vomis la nourriture et tout. "

            " Oh, je ne  sais  quoi faire. " Mais il a dit : " Chérie, qu'allons-nous faire si personne ne prend le peuple à cœur, si personne ne prie pour le peuple ? Les choses s'empirent. Assurément, Dieu exaucera parfois. "

            Oui, c'est vrai ; C'est vrai. Dieu exaucera ; mettez-vous à la tâche et restez simplement là.

133.     Oh, cette fois-ci il monte à l'étage étant différent. Une fois monté à l'étage cette fois-ci, il s'agenouille, il lève les mains et crie : " Ô Dieu, c'est à Toi que je parle maintenant. " Amen, il se met à la tâche… " Ô Dieu, Tu as des oreilles et  Tu entends. Tu as des yeux,  et Tu vois. Tu as une mémoire ; Tu connais Ta parole. Tu  connais Ta promesse. Je plaide devant Toi, ô Dieu, baisse les regards ici, Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, et vois Ton peuple en détresse et mourant. Fais quelque chose pour nous, ô Dieu. [Frère Branham frappe trois fois sur la chaire. - N.D.E. ] Il nous faut T'avoir sur-le-champ. Il nous faut simplement T'avoir sinon nous périssons. Il nous faut T'avoir. Il nous le faut vraiment, si nous devons vivre. " C'est alors que vous priez réellement.  Oh, il a prié.

134.     Vous savez, parfois les gens, quand ils prient, ils se fatiguent. N'est-ce pas vrai, papa et maman ? Oh, ils se fatiguent beaucoup ; parfois frère Branham devient très fatigué ; je m'évanouis pratiquement quand je me mets à prier pendant longtemps ; je m'évanouis simplement, je ne mange pas et tout, pendant des jours, et je prie, et je prie, et je prie, et je prêche, j'en arrive au point où je m'évanouis presque. Et parfois les gens en arrivent là. Ce n'est pas le moment d'abandonner. Continuez. Dieu exaucera. [Frère Branham frappe trois fois sur la chaire. - N.D.E. ] Certainement. Tenez ferme. Certainement.

135.     Alors, il monte les petites marches grinçantes. Et je  vois Jokébed passer par là et  dire : " Oh, Amram, non. Chéri, je - je pense…

            Eh bien, Jokébed, écoute, tu es une bonne et aimable… " Elle était belle, c'était une petite mère jolie. Et il l'a embrassée sur la joue, vous savez, et il l'a tapotée comme ça. Il a  dit : " Eh bien, maman, rentre mettre Aaron et - et la petite Miriam au lit. Et moi, je vais monter prier. Et alors, si tu m'entends pleurer, ne monte pas. "

            " Eh bien, mais, Amram, que vas-tu faire, chéri ? Tu es-tu es pratiquement mort. "

138.     " Oui, mais je - je - j'ai à cœur le fardeau pour le peuple ; et je dois faire quelque chose à ce sujet ; je dois rester à genoux ; ainsi donc, tout le monde… " Il a dit : " Aujourd'hui, aujourd'hui même, là à la briqueterie, j'étais là, on disait sans cesse : 'Eh bien, assurément, Dieu exaucera.' Et un vieil homme corpulent s'est  approché, il a mis les mains aux hanches et a dit : 'Quand exaucera-t-Il ? Quand exaucera-t-Il ? " Voyez-vous comment les gens deviennent même violents ? Ils s'opposent à Dieu, du fait qu'ils prient et prient et prient et  que rien n'arrive ; Et celui-ci prie et prie et prie et rien n'arrive ; Et tous les sacrificateurs  disent : " Les jours des miracles sont passés, tout ce que nous pouvons faire, c'est simplement baisser la tête devant ces vieux chefs de  corvées  qui adorent des païens ou plutôt des dieux païens, et  tout le reste. Et que pouvons-nous faire ?' mais, a-t-il dit, mais je crois en Jéhovah. Amen. Je crois qu' Il exauce toujours la prière. "

            Croyez-vous cela ? [L'assemblé dit : " Amen ! " - N.D.E. ] Le croyez-vous ? Amen. Vous tous qui le croyez, dites " amen. " [L'assemblée dit : " Amen ! " - N.D.E.] Il exauce toujours la prière… Très bien.

140.     Le vieux petit corps frêle avait perdu beaucoup de poids, il monte les marches grinçantes, il va là, s'agenouille et il dit : " Ô Jéhovah… Oh, il  a prié comme jamais auparavant.  Il a  dit : ' O Jéhovah, regarde ça. Tu es un vrai Dieu. Nous croyons que  Tu as  des oreilles. Nous croyons que Tu as des yeux ; Et Tu connais toutes choses. Et nous croyons que Tu es le Dieu des Hébreux, et nous sommes le peuple de la promesse. Nous croyons que Tu tiens Ta Parole. " Il a dit : " Regarde ces païens ici, comment ils obtiennent notre service à vil prix, et  construisent d'immenses routes, des idoles et tout. Toi, ô Jéhovah, resteras-Tu assis au Ciel et laisseras-Tu les Païens régner  sur Toi ? Je ne crois pas que Tu le feras. " Amen.

141.     Je ne crois toujours pas qu'Il le fera.  Amen. Quand le diable arrive, Dieu reste toujours Dieu ; c'est vrai ; Il ne permettra pas à ces démons de faire cela. Je crois qu'aujourd'hui où la mode, le non sens et toutes ces bêtises se passent, cependant, Dieu règne toujours et Il reste toujours Dieu. Exact. Ce dont nous avons besoin, c'est de quelqu'un comme Amram, qui a à cœur le fardeau et qui restera là et priera jusqu'au bout, jusqu'à ce que les cieux s'ouvrent là, et que Dieu descende et exauce la prière. Amen.

            " Maintenant, regarde ça, a-t-il dit, ô Dieu, laisses-Tu les païens se moquer de Ton peuple comme ça ? Des semaines, des mois et des années se sont écoulés. Nous prions constamment, avec larmes mais… " [ Espace vide sur la bande-N.D.E.] " Ô Dieu, vas-Tu permettre pareille chose ? "

143.     Je me demande aujourd'hui, alors que des centaines de petits enfants sont jetés dans des  rivières et des fosses sceptiques, et qu'il ne leur est pas permis de vivre, des avortements et tout le reste sont pratiqués, ô Jéhovah, vas-Tu permettre que de telles histoires continuent [Frère Branham frappe six fois sur la chaire. - N.D.E. ] ? Aujourd'hui, alors que des whisky et la bière, et la vie nocturne, et  tout le reste, foisonnent. Et même la chaire est devenue si faible qu'on a peur de  dire  quoi que ce  soit à ce sujet ; ô Jéhovah, vas-Tu permettre qu'un tel non-sens continue ? Il exaucera un jour. Oh, Sa colère est terrible lorsque elle se manifeste. Certainement. Des femmes sortent et font mourir leurs enfants, des cendriers où laisser tomber la cendre, et tout. Et des gens amènent leurs petits enfants aux bars, de petites filles et de petits garçons sont assis là, de six ou huit ans, buvant, et des choses semblables. Et la nation légalise cela : C'est en ordre. Oh, la la ! Pensez-vous que Jéhovah ne voit pas cela? Alors qu'ils se moquent même de ceux qui sont vraiment en ordre avec Dieu. Toutes ces choses qui se passent, on s'en moque. Tenez ferme, continuez simplement à tenir ferme. Jéhovah exaucera. Ne vous en faites pas. Très bien.

144.     Allons un peu plus loin. Nous le voyons là en prière. Et il se fatigue tellement qu'il s'écroule. Il prie tellement qu'il s'écroule par terre. Il ne peut pas aller plus loin, et il a fait un petit somme. Il s'est réveillé. " Qu'y a-t-il ? Regardez-moi ça. D'où vient cette Lumière-là ? Oh, regardez, là au coin. " Là se tenait un Ange, Son épée pendait là sur Son côté. Oh, il a  de nouveau regardé, il s'est frotté les yeux. Il s'est relevé sur ses genoux ; il a  dit : " Seigneur. Oh, oh, que - que veux-Tu de moi ? "

145.     Il a dit : " Amram, Je suis l'Ange de Dieu. J'ai été envoyé des cieux pour t'annoncer que Dieu a exaucé tes prières. Je suis venu t'annoncer qu'Il va envoyer un libérateur. Il se souvient de toutes Ses promesses. " Je vois l'Ange maintenant ; regardez-Le ; Il tire cette épée, Il la pointe en direction du Nord ; Amram regarde. Et il dit : " Le bout de cette épée se pose juste sur la Terre promise. Et j'avais promis à Abraham, à Isaac, et à Jacob, tes ancêtres, que ton peuple héritera ce pays-là. Et J'ai entendu les gémissements du peuple ; J'ai entendu le cris des enfants ; et Je suis descendu. Et j'aimerais que tu saches que  tu vas  jouer un rôle important dans cela, Amram, parce que tu as été fidèle dans la prière. Et tu as été fidèle dans ta maison ; Et l'année prochaine, vers ce temps-ci, Jokébed, ta petite aimable femme, va embrasser un petit garçon. Et ça sera ce petit garçon qui sera le libérateur. " Gloire !

146.     Il a dit : " Oh, Oui. Oui. Oh, Oui. Oui. Oh, Il est très beau. " Il a regardé, et l'Ange a commencé à se lever. Et on dirait que tous les Cieux s'étaient ouverts, et l'Ange est sorti de la pièce. Il a attendu un tout petit peu. Il a dit : " Oh,  Je ne suis pas hors de moi. Il a très vite descendu les marches, et il a dit : "  Jokébed, Jokébed, très vite. "

            Elle a dit : " Oui, qu'y a-t-il, chéri ? "

            Il a dit : " Lève-toi. " Et la lumière de la lune brillait par la fenêtre, c'était… ?… Elle était belle. Et il a dit : "Je viens  de voir un Ange de  Dieu, et Il m'a annoncé toutes ces  choses. "

            " Oh, quel aspect avait-Il ? " a demandé la maman. "Quel aspect avait-il ? "

            Il a dit : " Oh, Il  était beau. Il portait une  robe brillante. Ses yeux étincelaient. Il tenait une épée en main, et Il l'a pointée en direction du Nord. " C'est dans cette direction-là, vous savez, que se trouve la Terre promise par rapport à l'Egypte ; là-haut, la Palestine. Il a dit : " Il l'a pointée vers le Nord ; Et il a dit que nous allons avoir un enfant l'année prochaine, vers ce temps-ci, et  que ce petit enfant  qui viendra sera un conquérant, et qu'il va délivrer son peuple. Oh, alleluia, Jokébed ! "

150.     Et il a remarqué qu'elle se tenait calme. Son visage, ses yeux étaient fixes ; ses grands yeux regardaient. " Jokébed, qu'y a-t-il ? "

            " Oh, Amram ! Non, non, non. Nous, avoir un garçon ? "

            " Oui. "

            " Oh, tu… ce n'est pas possible. Sais-tu quoi ? Oh, mon Dieu, n'eût été cette vision que tu as eue ! Sais-tu quoi, Pharaon est en train de tuer tous les petits enfants. "

            " Oui. Mais, tu sais, si Dieu nous donne cet enfant, Dieu prendra soin de lui. Amen. Dieu a fait la promesse. Dieu prendra soin de lui.  Eh bien, le lendemain il part au travail. Tous ses collègues là ont été frappés par Amram. Plutôt que de venir, vous savez, tout affaissé et fatigué, il avait les épaules redressées, il disait : " Passez-moi encore des briques. Allez, allons-y. "

            " Qu'y a-t-il ? "

            " Gloire à Dieu ! Dieu va exaucer la prière. Oui, oui ", allant de l'avant.

154.     Vous savez, vous vous sentez bien quand vous recevez un exaucement à la prière. Ne savons-nous pas cela, papa et maman,  lorsque  Dieu exauce la prière ? Vous n'avez pas besoin d'avoir une vision, mais juste savoir que l'exaucement est là, c'est tout. C'est tout, rien que de savoir que l'exaucement est là. Eh bien,  écoutez attentivement maintenant. J'aimerais que vous écoutiez ce qui s'est passé. Eh bien, vous savez,  peu après, il ont dit : " Très bien, Amram, qui y-a-t-il avec  toi ? "

            " Dieu va exaucer la prière. Dieu va exaucer la prière. "

            " Eh bien,  comment va-t-Il exaucer la prière ? "

            " Cela ne change rien. "

            Un vieux gars s'est avancé et a dit : "   Quand penses-tu qu'Il va donc exaucer la prière ? "

            " Je ne vais pas vous le dire, parce  que vous, vous êtes un incroyant, après tout. Passez-moi encore des briques. " Il les a jetées là-dedans, comme ça. Non… ?… Ne vous en faites pas, il ne vous faut pas tout dire aux incroyants. N'est-ce pas ? Cela ne change rien. Non, non. Certainement pas.                              Passez-moi encore des briques. Alléluia ! Il va exaucer la prière. " C'est ainsi que vous vous sentez lorsque vous savez que cela va arriver. N'est-ce pas ? Oui, oui. " Eh bien, comment va-t-Il le faire ? "

            De toutes les façons, vous ne savez pas comment Il va le faire ; continuez simplement à me passer des briques. " Mettez-les toutes là-dedans, prenez toutes ces vieilles briques là-dedans.

160.     Cette nuit-là, il est rentré chez lui, il a  dit : " Oh, Jokébed, pensez-y, nous allons avoir un enfant. Oh, et ça sera lui le libérateur. Dieu l'enverra. Oh, ça sera merveilleux.

            " Oh, mais je suis vraiment… "

            "Oh, cesse de t'inquiéter. Cesse de t'inquiéter. Oh, la la, Dieu est en train de-Dieu est à l'écoute maintenant. Dieu a des oreilles ; Dieu peut entendre. Dieu a des mains ; Il peut délivrer. " Alors… Oh, il avait alors une grande foi.

            Vous savez, lorsque vous priez jusqu'au bout, vous obtenez l'exaucement, vous avez alors une grande foi en ce moment-là. Oh ! Avez-vous déjà prié pour quelque chose et vous étiez sûr que  Dieu allait accomplir cela pour vous ? Est-ce que vous, les petites filles et les petits garçons, cela vous arrive-t-il ? Oui, assurément ; C'est alors que vous - c'est  alors que vous êtes sûr que cela va arriver. Très bien.

163.     Une année entière passe. Et la chose suivante, vous savez, voici qu'un jour Amram revient du service. Qu'est-il arrivé ? C'est le bébé le plus beau, oh, c'était un petit chéri, long comme ceci. Et alors, elle l'a pris, elle l'a tendu à Amram. Et ce dernier le baise, vous savez. Il l'aime. Voyez ? Et la maman le tenait. Oh, quel trésor ! Elle a dit : " Oh, cependant j'ai très peur, tu sais. Ce petit enfant est très beau. "

Et vous savez quoi ? la Bible dit que c'était le petit enfant le plus beau qui soit jamais né. Eh bien, je sais que les mères seront en désaccord avec moi là-dessus. Elles pensaient… votre mère pensait que vous étiez le petit enfant le plus beau. N'est-ce pas ? Oui . Elle a le droit de penser comme cela. Mais la Bible dit que celui-ci était un beau petit enfant. Oh, c'était un bijoux. Dieu avait Ses mains sur lui, vous savez. Ainsi, oh, c'était le petit être le plus mignon. Il était couché là et il - il esquissait un petit sourire sans dents.

165.     Avez-vous déjà vu un petit frère et autre, alors qu'il n'avait pas de dents, faire juste un petit sourire comme ça ?

            Et la chose  suivante, vous savez : " Ah ! "

            " Oh, la la, bonté divine ! Ouf. Je sais, cachons-le. "

            " Qu'y a-t-il ? Que fais-tu ? "

            " Amène-le au rez-de-chaussée. Tu connais les instructions. Voyez, si ces vieilles sorcières au long nez passaient par ici, elles prendraient notre enfant et le tueraient. C'est vrai. Nous ne pouvons pas le laisser pleurer. " Ainsi, oh, il avait besoin d'un - il avait besoin d'un petit déjeuner ou d'un souper. Alors, la maman l'amène là au coin, et l'allaite, vous savez. Et alors, il se calme donc.

167.     Quelques soirées après cela donc, on jouait avec lui. Et : " Wah ! "  Il était encore réparti, vous savez, il s'est mis à pleurer. Elle s'est très vite éloigné, elle l'a caché, elle l'a très vite caché comme cela. Et au rez-de-chaussée, là tout au fond, dans le mur, Amram avait aménagé un petit endroit où on pouvait cacher l'enfant.

            Et puis, tout d'un coup, vous savez, ils ont entendu quelque chose monter les escaliers… [ Frère Branham frappe six fois sur la chaire. - N.D.E.] " Ouf ! c'est parti ! " Tout le monde s'est dispersé, allant vers un seul endroit, disant : " Ce sont elles. Ce sont ces vieilles sorcières ! " Ces vieilles dames aux longs doigts, et aux ongles peintes. Et ces  vieilles sorcières regardaient là. Et Amram a regardé par la fenêtre, il a dit : " Oui, ce sont elles. Elles se tiennent là. " [Frère Branham frappe cinq fois sur la chaire. - N.D.E.] "  Ouvrez ! " Le vieux Amram est sorti, il a ouvert la porte, il a demandé : " Que voulez-vous ? "

            Elles ont  dit : " Vous avez un bébé ici et nous le savons. Et nous allons le prendre ; "

            " Nous n'avons pas de bébé à vous  donner. " (Ils n'en avait pas.)

171.     " Nous venons vérifier de toutes les façons. Nous sommes des policières. Voyez-vous nos insignes ? " Et c'est un… N'est-ce pas là une tâche à faire pour une femme ! Mais : " Nous sommes des policières. Nous détenons des pouvoirs de la part de  l'autorité. " Vous savez, nous en  avons ici aujourd'hui. Et alors - et alors, elles ont contrôlé, elles  sont entrées. Elles sont entrées, elles ont retourné le divan, elles ont ouvert tous les tiroirs et elles ont tout jeté par terre, elles ont pris toutes les couvertures, les draps de lit, elles les ont secoués, elles sont montées à l'étage, elles ont trouvé là où papa avait aménagé une petite cachette. Elles ont examiné partout, mais elles n'ont pas pu trouvé l'enfant.

172.     Elles n'ont pas pu trouver l'enfant, alors, elles  se  sont approchées de la femme là… ?… la pauvre Jokébed tenait là, visage pâle. Elles se  sont approchées et ont dit : "  Regardez  ça. Nous savons que tu es mère. On le voit par ta mine. Nous savons que tu allaites. Et nous savons que cet enfant est ici. Nous reviendrons. Nous le prendrons. " Elles sont sorties par la porte. Elles ont claqué la porte, et elles sont  sorties.

            Elle a dit : " Oh, oh, que pouvons-nous faire ? Que pouvons-nous faire ? "

            Alors Amram a dit : " Prie. " Est-ce là la chose à faire ? Est-ce là la chose ? [ Les petits garçons et les petites filles disent : " Oui. " - N.D.E.]

            " Priez. Prions. "

            " Oh, oh, oh.  Je ne sais quoi-quoi faire. " Oh !

            Alors  il a  dit : "Ecoute, calme-toi, et mets-toi encore à allaiter l'enfant. Je vais à l'étage prier. "

175.     Il va donc à l'étage, il prie. Il dit : "Ô Jéhovah, Tu as des oreilles.  Jéhovah, Tu as des yeux. Jéhovah, Tu entends.  Tu peux exaucer la prière. C'est  Toi qui nous a donné cet enfant. C'est  Toi  qui nous as  donné  Ta promesse. Et Tu tiendras Ta promesse, et Tu garderas cet enfant. Et j'ai confiance. "

            Après avoir prié, il était très fatigué et il-il s'est tout simplement écroulé  comme ceci, il s'est endormi [Frère Branham imite le ronflement. - N.D.E.]. Il était très fatigué, il travaillait toute la journée, et il priait toute la nuit. Il était fatigué. Et alors, vous savez, qu'est-il arrivé ? Il s'est endormi, et il a eu un songe.

177.     Vous savez, Dieu parle aussi par des songes. N'est-ce pas ? Assurément qu'Il le fait. Oui, Il le fait. Il le peut. Voyez ? Et Il parle par les songes. Oh, il s'est réveillé, il a dit [Frère Branham claque une fois ses doigts.-N.D.E.] " C'est ça. J'aurais dû y penser. C'est ce que je devais faire. [Frère Branham frappe une fois sur la chaire. - N.D.E.] Je ne dirai absolument rien à ce sujet. " Il descend les marches, il dit : " Jokébed. "

            " Oui, chéri. Oh, je suis très fatigué. Je n'arrive pas à dormir. "

            " Oh, va dormir. Va dormir. Tout est réglé. "

            " Comment le sais-tu ? "

            " Oh, je le sais bien. J'ai simplement confiance. "

179.     Cette nuit-là, au lieu que papa monte à l'étage prier, il est descendu dans la cave, il était occupé là en bas ; je me demande ce qu'il faisait. Faufilons-nous là et observons-le. Je le vois là en bas faisant… [Frère Branham se met à fredonner et à marteler pendant qu'il imite la fabrication de quelque chose. - N.D.E.] " Clac, clac, clac. " [Frère Branham fredonne. - N.D.E.] Prends ce roseau-ci et examine-le, tords-le et vois s'il est bon. [ Frère Branham fredonne.] Le petit Aaron était sorti ce jour-là, il en avait ramassé  toute une brassée, il les avait déposés dans la cave, vous savez. [ Frère Branham fredonne.] Dieu prend soin de toi.  [Frère Branham fredonne. - N.D.E.] " L'ancien Evangile, ça doit être entièrement vrai ! " [ Frère Branham martèle sur quelque chose. - N.D.E]… Rattache cela. Elle dit : " Amram, qu'y a-t-il avec toi ? "

            " Alléluia ! Rien, chérie. Va de l'avant. " [ Frère Branham fredonne.-N.D.E.] C'est l'ancien Evangile.  [ Frère Branham martèle encore.] C'est l'ancien Evangile. 

            Apporte cela ici, tu sais. C'est l'ancien Evangile ; 

            " Sh, sh, sh ", scelle entièrement cela. " Et c'est assez bon pour moi. Donne-moi cet ancien… " Il était en train de fabriquer quelque chose.

181.     Vous savez, une ou deux semaines… la chose suivante, vous savez, les autres se demandaient ce qu'il fabriquait. Alors une nuit, pendant qu'ils dormaient tous, il monte furtivement à l'étage. Il monte avec cette petite chose à l'étage, vous savez ; il fait monter cela comme ceci. Et il fait monter cela. Il soulève la couverture dont se couvrait Jokébed sa femme qui dormait, il glisse cela sous la couverture. Et - et le petit Aron ainsi que-ainsi que la petite Miriam étaient endormis, vous savez. Oh, elle était douce, cette fillette, et le petit Aaron aussi.

            Alors Amram a placé cela là, en dessous. Il a  dit : " Jokébed, chérie. "

            Elle a dit : "As-tu été dans la cave prier cette fois-ci la nuit, Amram ? " Il a dit : " Non. J'ai été dans la cave louer Dieu. "

            Elle a dit : " Que faisais-tu ? "

            Il a dit : "Je voudrais te le dire. Eh bien, tu sais que ces vieilles sorcières vont revenir. "

            " Oui. "

            Et j'aimerais te  dire ce que nous allons faire. Ça fait maintenant trois mois depuis que nous avons cet enfant, et nous devons nous en débarrasser. "

            " Oh, Amram, tu dois faire quoi ? "

            "  Nous devons nous débarrasser de l'enfant. "

            " Nous débarrasser de l'enfant ? "

            " Oui. "

            " Oh, tu es cruel ! "

            " Non, je ne  suis pas cruel.  Non, non, non. Je sais ce que je fais. "

            "  Mais que veux-tu dire ?  Eh bien, tu seras  aussi mauvais que Pharaon. Nous allons nous débarrasser de notre enfant ? "

            " Oui, nous allons nous débarrasser de l'enfant. "

            " Oh, nous ne le pouvons pas. "

            " Eh bien, écoute. Si nous le gardons, nous allons le perdre. Et  si nous le remettons à Celui qui nous l'a  donné, nous le retrouverons. " Est-ce vrai ? " Eh bien, si vous le gardez, nous allons le perdre ; "

            " Comment va-t-on le perdre ? "

            " Eh bien, ces vieilles sorcières passeront par ici et le prendront. "

188.     Et écoutez, si vous gardez cette âme et  que  vous allez de l'avant  et  que  vous vivez  comme le monde, vous allez la perdre ; les sorcières de  l'enfer vous pourchasseront. Et c'est vrai. Et  toute cette vieille folie du monde et des choses qu'il y a là, cela sera juste  à vos trousses. Si vous gardez cela, vous allez le perdre ; mais si vous remettez cela à Celui qui vous l'a donné, vous le retrouverez et vous le garderez. Qu'est-ce  donc ? Si nous gardons cela, qu'est-ce que nous faisons [Les enfants  disent : " Nous perdons cela.-N.D.E.] Nous perdons cela. Si nous la confions à Christ, nous faisons quoi ? Nous la garderons. Amen ! C'est bien. Maintenant, vous avez bien répondu.

            Eh bien, il a dit : " Jokébed, nous perdrons cet enfant si nous le gardons. Alors, si nous le remettons - le remettons à Celui qui nous l'a donné, nous le garderons donc.

190.     Eh bien, vous avez une âme, et papa et maman, aussi. Mais si vous la gardez, vous allez la perdre. C'est vrai, les sorcières de l'enfer s'en accapareront. Elles sont toutes à la recherche de cela. Mais si vous la remettez à Celui qui vous l'a donnée, vous la garderez pour la Vie Eternelle. Alléluia !  Amen. Excusez-moi, les enfants ; je suis simplement assez à l'ancienne mode pour pousser des cris. Si vous la gardez… Disons-le tous ensemble [Frère Branham et l'assemblée le répètent ensemble. - N.D.E.]

            " Si vous la gardez, vous la perdrez. Si vous la remettez à Celui  qui vous l'a  donnée, vous la garderez. " Amen. Souvenez-vous-en donc, remettez-la-Lui. Maintenant, suivons. Oh, elle s'est mise à pleurer ; elle a dit : " Oh, que vas-tu faire avec lui ? " Elle a dit…

            "  Ecoute ça, j'aimerais te montrer quelque chose. "

            " Qu'as-tu placé sous mon lit, là ? "  Il a dit : " Laisse-moi te le montrer. " Et il a sorti cela.

            " Oh, c'est un petit panier en roseaux. "

192.     C'est un petit bateau, c'est ce qu'il en est. Ça n'a pas de gouvernail, et ça n'a pas de voile, ça n'a pas de canaux, et cependant cela va transporter la cargaison la plus précieuse qu'aucun navire n'ait jamais transportée jusqu'alors. Ecoutez ça ; il n'avait pas de capitaine[Frère Branham claque ses mains deux fois. - N.D.E.] Ça n'avait pas d'équipage. Frères, je connais un bateau comme cela aussi pour un adulte.

            " Oh, a-t-elle dit Am, laisse-moi bien voir cela. Amram, laisse-moi voir. "

            Elle va là.

            Il dit : "Regarde ça, ça a un petit couvercle au-dessus. Regarde, tu soulèves le petit couvercle. "

            Elle a dit : " Ouf, ça pue. Uhm Ouf ! Oh, la la ! "

            Il a dit : " Oui, ça pue. "

            " Pourquoi ? "

            " Je l'ai complètement enduit de bitume. C'est entièrement enduit, partout. " Le bitume, c'est du poix, vous savez, on enduit donc tout cela de poix. C'est ce  qu'il faisait bouillir là en bas, il a déversé cela sur ces roseaux. Il a enduit cela de poix. Il a dit : " Voyez, l'eau ne peut pas - l'eau ne peut donc pas entrer là-dedans, voyez, c'est complètement scellé. " et il a dit : " Et ça - ça ne peut simplement pas entrer ; l'eau ne peut pas entrer. J'ai enduit cela de poix. "

            Il a dit : "Ouf, ça sent mauvais ! "

196.     Vous les enfants vous savez ce qu'est le bitume, lorsqu'on répare les rues, vous savez, oh, cela a une mauvaise odeur. Mais  cela - cela - cela - cela conserve le… cela - ça bouche toutes les fissures dans la rue. Et  c'est ce que ça fait ; ça bloque complètement l'eau.

            Et c'est ce que la prière fait pour les croyants. C'est ce qui retient le monde loin de  vous, c'est lorsque vous vous enduisez de poix à genoux et que vous dites : " Seigneur Jésus. " Alors le sang descend et vous scelle complètement de telle sorte  que le diable ne peut pas vous atteindre. Voyez, c'est vrai. Voyez-vous ? Ainsi donc, oh, souvent les gens vont ça et là et  disent : " C'est horrible ! " Mais cela ne change rien ; cela vous garde en sécurité. Voyez-vous ? C'est ça l'essentiel : être en sécurité. On dit  que vous êtes démodé, mais, cela importe peu ; ça vous garde en sécurité.

198.     " Eh bien, a-t-il  dit, qu'allons-nous faire ? "

            " Très bien, a-t-il  dit, je vais te  dire ce que nous allons faire. Nous  allons prendre cet  enfant et nous allons nous séparer pendant un peu de temps. Nous  allons prendre cet enfant et le placer là-dedans, et le mettre dans le fleuve Nil. "

            " Oh, non, non, non. Amram, tu ne peux pas mettre notre enfant dans le fleuve. "

            " Oui, oui. Je sais ce que je fais " ; Voyez,  il  avait  eu un songe ; il savait quoi faire. Voyez-vous ? Dieu lui avait  donné des instructions. Il savait quoi faire. Il avait fabriqué cela, et il avait vu que c'était le type même de l'arche  qui avait jadis sauvé Mo -Noé  à son époque.

             Alors, il a dit : "Regarde ça, j'ai fait un petit trou juste au  sommet, de sorte qu'il puisse respirer. Tu  vois, il peut recevoir la lumière du soleil par là. " Et vous savez, l'arche, jadis dans la Bible, dans le passé lointain, c'était ainsi fabriqué. Et ça avait un trou juste au  sommet,  de  sorte qu'on pouvait voir dedans (voyez-vous ?), par où on devait regarder en haut.  Ainsi donc, ce pauvre petit enfant, sans nom, il n'avait même pas de nom, un petit enfant sans nom, et cependant c'était le petit enfant le plus mignon du monde.

204.     La nuit suivante, lorsqu'ils sont entrés, ils ont attendu jusque vers trois heures du matin, et alors ils… Il s'avance. Et il a fini de prier. Il s'avance et dit : " Eh bien, viens donc, Jokébed, lève-toi. "

            Et alors, ils ont réveillé le petit Aron et la petite Miriam. Oh, elle est venue, elle a placé ses bras et a dit : " Papa. " La petite Miriam, elle a dit : " Tu ne vas pas emporter notre petit frère, notre bébé, n'est-ce pas, et le placer là dans le Nil, là où il y a  tous ces vieux crocodiles ! " Et il a renvoyé sa petite chevelure en arrière comme ça. Et son… Elle avait de beaux yeux et une jolie petite chevelure. Et alors, il l'a embrassé sur la joue. Il a dit : " Chérie, ça me fait  aussi mal. Ça me fait aussi mal, mais nous devons faire ça. "

207.     Vous voyez, petites filles et petits garçons, parfois il nous faut faire des  choses qui nous font un peu mal, mais il nous faut de toutes les façons le faire.  Quand les jeunes filles  disent : "Heuh, avez-vous déjà fumé une cigarette ? "

            Vous  dites : " Non. "

            " Eh bien, essayez-en une. Oh, je suis votre copain, vous savez. Oui, essayez-en une. " Mais vous, peut-être que ça fait un peu mal, mais dites : "Non ! Je n'en veux pas. Je n'en veux pas. "

            Quelqu'un dira : " Allez-vous venir avec moi aux spectacles ce soir ? "

            "Non, non. Non !  Je ne vais pas aux spectacles. "Voyez-vous ? Cela peut faire un peu mal. Voyez ?

            " Oh, vous n'êtes qu'une vieille baderne. " Ne croyez pas cela. Cela peut faire un tout petit peu mal. Détournez simplement la tête de cela ; c'est la chose juste à faire. Voyez-vous ? Faites toujours cela ; faites la chose correcte. Très bien.

212.     Eh bien, quand les jeunes  filles apprennent cette petite danse aux pointes de pied…, et des  histoires  comme cela, et  qu'elle veut que vous fassiez cela, vous leur dites : " Non, non. " Vous ne faites pas  cela. Voyez-vous ?

            " Oh, eh bien, ça divertie beaucoup. " Peu vous importe combien de divertissements il y a. Vous aimeriez faire ce qui est  juste, alors, faites toujours ce  qui est  juste. Bon, souvenez-vous-en donc. Vous n'allez pas oublier ceci, n'est-ce pas ? Eh bien, eh bien, maintenant qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ils ont donc pris le petit enfant, et ils sont montés avec. Et le petit Aaron s'est avancé, il a  dit : " Papa, que vas-tu faire avec notre enfant ? "

            Il a  dit : " Aaron, assis-toi ici sur mon genou, chéri. " Il a dit : "Ecoute, Aaron. Si nous gardons cet enfant, qu'allons-nous faire ? [L'assemblée dit : " le perdre. ".-N.D.E.]  Le perdre. Mais  si nous le remettons entre les mains de Celui qui nous l'a donné, que ferons-nous ? [L'assemblé dit : Nous le garderons - N.D.E.] C'est ça.

            " Mais, comment vas-tu le faire, papa ? "

            " je ne sais pas. Je ne sais pas comment ça va se faire, mais c'est Dieu qui le fera. " Voyez-vous ?

217.     Ainsi donc, ils ont placé le petit enfant là-dedans, et alors il part. Et les voici partir maintenant, ils se dirigent vers la porte. Ils descendent vers la porte ; il regarde dans la rue dans cette direction-ci, dans cette autre  direction-là, il n'y a personne, personne qui vient. Il  dit : " Viens, Jokébed. Viens, Aaron. Viens, viens, Miriam. Allons. "

            Ils prennent leur petite arche et ils descendent vers le glaïeul du fleuve. Oh, c'est bien avant l'aurore ; et  voici venir le petit Aaron, là-derrière tenant la petite Miriam, le petit frère et la petite sœur, ils sont en train de pleurer. Et la pauvre petite Jokébed, tout au long de la route fait [Frère Branham imite Jokébed en train de pleurer.-N.D.E.] " Sh - sh - sh - sh - sh. " On surveille la route.  Faites attention. Sh. Faites attention : " Ils continuent en descendant la rue. " Sh - sh - sh. Faites attention. " Tout en portant le petit enfant. Et c'est la mère qui portait l'enfant, et - et le papa portait l'arche.

219.     Ils descendent  au fleuve. Oh, c'est un très grand fleuve, pratiquement le deuxième fleuve le plus grand du monde. C'était donc ce très grand fleuve, rapide, plein de très grands et vieux crocodiles et de très grands alligators. Oh, ils étaient gras. Ouf ! On leur avaient donné en pâture tous ces enfants. Ils étaient vraiment gras. Et-et elle a dit, Jokébed a dit à Amram, son mari,  elle a dit : " Oh, et si ces alligators s'emparent de lui ? Et si ces crocodiles  qui sont ici le touchent ? "

            Il a dit : " Ne t'en fais pas. Si jamais ils foutent leurs nez dans ce bitume, ils vont directement s'en éloigner. Voyez-vous ? C'est pourquoi cela pue. Voyez-vous ? Il foutra son nez ", a-t-il dit, "il ne pourra pas sentir l'odeur de la chair humaine, alors il s'en éloignera. Ce bitume dégagera une puanteur tellement mauvaise  que les crocodiles s'en éloigneront. Tout ira bien ; ne t'en fais pas. " Alors ils… Et vous savez, il s'est agenouillé et a déposé cela, la petite arche. Et elle a dit… " Eh bien, allaite l'enfant. "

221.     Alors la maman prend l'enfant et l'allaite, elle allaite l'enfant pour qu'il prenne son petit déjeuner tôt ce matin. Et ensuite elle [ Frère Branham émet le son d'un baiser à 3 reprises.-N.D.E.] donne un baiser à l'enfant. Et  elle  dit : " Eh bien, Aaron, tu peux le baiser. " Et Aaron donne le baiser à l'enfant. Et ensuite il le tend à Miriam et Miriam donne le baiser à l'enfant. Et la maman  donne le baiser à l'enfant, et : "Oh ", dit-elle, je… "

            " Sh - sh - sh. Eh bien,  écoutez donc, il nous faut être des soldats ; voyez-vous ? Il nous faut être des  soldats. Maintenant, voulez-vous tous lui donner un baiser une fois de plus ? Tous lui donne encore un baiser, à tour de rôle. Ensuite on le plaça là-dedans. Et la maman avait confectionné une petite couverture dont elle l'a couvert, ainsi qu'un petit oreiller, elle a placé l'enfant dessus. Et  elle a dit : " Mon petit enfant chéri, que Dieu te bénisse. "

            " Sh-sh-sh. Bien! Dieu s'en occupera. Ne t'en fais pas. " On a refermé le petit couvercle. Et tout d'un coup, vous savez, papa s'est mis à ôter son manteau, il a enlevé sa chemise. Le voici partir pataugeant dans l'eau.

225.     Que pensez-vous qu'il se passe au ciel en ce moment-là ? Alléluia ! vous savez, lorsqu'il se passe des choses ici sur terre, il y a quelque chose  qui se passe aussi là-haut. Amen. Je peux voir Dieu se lever de Son trône, s'avancer et  dire : " Gabriel, Gabriel, où es-tu ? "

            Gabriel  dit : " Me voici,  Seigneur. "

            " Viens ici ; Je vais te montrer quelque chose. "  Il a dit : " Vous tous les anges, venez ici une minute ; Je veux vous montrer quelque chose. J'ai des gens qui Me croient ; oui, J'ai des gens  qui me font confiance ; venez donc ici un instant. C'est bien pour vous tous les anges, vous voyiez ceci. Regardez. "

            " Où est-ce ? "

            " Juste là même sur terre. Où est-ce ? "

            " Oui, oui, oui, je vois ça. "

            " Regarde là en bas. Vois-tu  au bout de ce-au bout de ce - ce jonc-là, ce glaïeul et autre ? "

            " Oui. "

            " Regarde-là. "

            " Qu'est-ce. "

            " Il y a là un homme à genoux, avec les mains en l'air, en train de M'invoquer. Il y a une maman en train de pleurer, et  deux petits enfants en train de pleurer. Ils me font confiance même jusque au bout. Tu te rappelle Gabriel, lorsque  tu étais partis là ? Te  souviens-tu de cet homme ? "

            " Oui,  je l'ai rencontré dans une chambre cette nuit-là, je lui avais parlé. Oui, oui. "

            " Il me fait toujours confiance. J'ai des gens qui croient en Moi. J'ai des gens qui Me feront confiance jusqu'au bout[Frère Branham tape six fois sur la chaire. - N.D.E.] Regarde, le vois-tu ? Regarde-le. Oui, oh n'est-il pas brave ! "

231.     Le papa marche dans l'eau,  et  se met à repousser ce petit bateau. Je peux L'entendre  dire : " Gabriel. "

            " Oui, Seigneur. "

            " Fais venir dix mille anges sur la  scène. Intime-leur l' ordre de se mettre  en marche  tout de suite. Fais venir les armées des cieux. Fais-les naviguer tout au long de balustre du ciel, et place-les tout au long  du Nil. J'ordonne qu'aucun crocodile ne touche cette cargaison ; que rien ne touche cela. Que même pas un gros morceau de bois ne s'approche de cela. " Alléluia !

            Gabriel  dit : " C'est ce qui se fera. "

            " … ?…  Sonne la trompette. " Dix mille anges arrivent armés

            Le Père… " Où vas-Tu être, Seigneur ? "

            " Je serai à l'autre bout. " Il est toujours au poste récepteur.

"J'attendrai là à l'autre bout. J'ai un but. Quand les gens Me font confiance, j'ai quelque chose, un but, tout ira bien pour eux. " Très bien, Il descend à l'autre bout.

235.     Je vois Moïse-ou plutôt le petit Aaron et les autres remonter la  rue en train de pleurer. " Sh - sh - sh - sh - sh. " Regardez ça.

            Et la petite Miriam, elle se  tient là débout, observant. Elle a  dit : " Oh, oh ! "

            On lui a dit : " Viens, Miriam ; le jour s'élève. Viens, les coqs chantent pour annoncer le jour. Viens, le jour s'élève ; viens, chérie, partons. "

            Elle a  dit : " Oh, papa, papa. S'il te plait, encore un instant. Laisse-moi simplement rester ; laisse-moi observer cela et voir ce qui arrive. Je reviendrai à la maison d'ici peu. "

            " Oh, [Frère Branham claque son doigt.-N.D.E.] C'est une bonne idée, Miriam, c'est peut-être une bonne chose. Tiens-toi simplement là et observe ce  qui se passe. "

" Très bien, je vais-je vais observer cela. "

            " Eh bien, reviens vite à la maison peu après. Regarde seulement ce qui arrive. Viens,  apporte-nous des nouvelles sur ce qui va se passer. "

            "Très bien, papa. " Et ils sont rentrés à la maison, ils devaient se dépêcher. La petite Miriam, elle se tient là et elle observe. La chose  suivante, vous savez, il fait jour. " Oh, oh, oh, qu'est-ce qui s'approche là ? Eh bien, c'est un - c'est un morceau de bois. Non. Est-ce un alligator ? Oh, il a dévié.

242.     Ah-ah ! Qu'a-t-il vu ? Il a vu ce que beaucoup de gens ne  voient pas. Voyez-vous ? Cette petite cargaison était en train de partir, flottant-là. Ils pensaient que cela n'avait pas de pilote ; ils pensaient que cela n'avait pas de capitaine. Cela en avait un. Ils étaient rassemblés tout autour. Voici venir un petit crocodile, il dit : " Oh, regardez-ça. " Le voici venir, flottant comme ça, il va… Oh, non. Non, non.  Il ne peut pas s'approcher de cette cargaison. Là-dedans se trouvait l'émancipateur qui délivrerait… rendrait libre des millions des Juifs qui avaient besoin d'être libérés. Aucun démon de l'enfer ne pouvait le toucher. Cela flotte-là, sur le fleuve, cette petite arche faite avec du bitume.

244.     Tout d'un coup, vous savez, cela entre dans un tourbillon. " Oh, a fait Miriam, oh, non, oh regardez-là, ce tourbillon ; regardez cela ; regardez ça  comme ça. " La chose suivante, vous savez, tout d'un coup cela glisse doucement.

            C'est  ainsi que ça se passe. Nous entrons parfois dans un tourbillon, avec cette petite barque. Ne vous en faites pas. Il y a quelqu'un qui veille : " Les Anges de  Dieu campent  autour de ceux  qui Le craignent. "  Il y en avait dix mille donc sur la liste de ceux  qui devaient se mettre en route.

246.     La petite Miriam, elle descend, elle monte sur ce grand rocher, et elle file là-dessus comme ceci. Et elle descend en courant, elle observe l'arche. Ça passe par ici, ça traverse ce tas de glaïeul, peu après, ça se bloque là. Elle dit : " Oh, oh, je me pose bien de questions… "

            Eh bien, son papa lui avait dit, il lui avait dit : " Eh bien, que personne te  voie observer cela. Si quelqu'un s'approche, fais comme si tu ne regardais même pas cela ;  continue simplement dans une  autre voie. Ne fais pas comme si  tu étais même en train d'observer cela, pas du tout ; continue simplement à avancer. "

            " Très bien. " Avait-elle dit.

248.     Elle descend les rivages, et ça se bloque. La chose suivante, vous savez, il y avait un grand groupe de pêcheurs. Et elle a fait comme si ce n'était qu'une jeune fille qui se promenait par là. C'était vers dix heures du matin  donc, vous savez, et elle a continué simplement à longer  le fleuve, elle a continué à regarder derrière, de côté pour voir où cela se dirige. Peu après, elle dépasse un  autre groupe.  Elle a simplement  continuer à observer, elle va un peu plus loin.  Elle a  continué, elle est  allée un peu plus loin.

            Peu après, elle est arrivée devant un  très grand mur : " Oh! la la, ça passe derrière ce mur. " Que peut-elle faire ? Elle ne sait quoi faire. Elle ne sait  donc pas traverser le mur, alors elle patauge simplement dans l'eau, et enjambe cela comme ceci, rampe par dessus. Et elle passe de l'autre côté, et elle continue à marcher.

251.     Tout d'un coup, vous savez, elle se retrouve dans un beau jardin. Des fleurs épanouissent partout, et c'est très beau. Eh bien, écoutez juste un instant. Maintenant  suivez, petites filles. Les jolies fleurs, et, oh, des arbres sont tous taillés, cela était très beau. C'est un parc. Oh, elle dit : "Regarde ça là ! Oh, la la !  Je me retrouve dans le parc du palais, du palais  du Pharaon, dans le parc. Que vais-je faire ici? Et si jamais on m'attrapait ici, oh, la la, que fera-t-on de moi ? " Et  elle a observé. La petite arche s'est avancée là, et cela s'est un peu arrêté dans l'eau, et ça se met à tournoyer dans l'eau. Je me demande pourquoi ? Et elle entend quelqu'un parler. Elle s'éclipse sous les buissons. Elle s'est assise, et elle a regardé comme ça, vous savez, la petite Miriam… ?… regarde et voit ça.

253.     Tout d'un coup, vous savez, voici apparaître deux costaux, des noirs, portant un dais comme ça. Et des demoiselles qui suivaient, en train de chanter. Et  voici apparaître une femme, avec une très grosse bande en or  autour de la tête, tenant un grand serpent à la bouche ouverte (comme ça), en face. C'est une belle femme, elle descend.  Elle porte des très jolies robes et tout. Et j'entends l'une des servantes dire : " Votre majesté, pensez-vous que l'eau sera chaude ce matin ? "

            Miriam dit : " Majesté ?  Oh, ça doit être royale, la royauté, c'est que je dois être dans le parc. Et si on m'attrape par ici, que fera-t-on de moi ? "

255.     Très bien, elle descend, et ces grands hommes noirs la transportant, tenaient simplement comme ceci, elle descend au bord de l'eau comme ça, et elle enlève ses chaussures. Et une servante tenait des serviettes de bain, et l'autre du savon. Et, elle descendait prendre le bain matinal. Elle descend là et elle s'apprête à - à prendre bain. Elle enlève ses  chaussures et  dit : " je vais plonger mes orteils dans l'eau pour voir si c'est encore chaud. Oh, c'est vraiment bien, juste… Qu'est-ce qu'il y a là ? "

256.     " Oh, Miriam, la petite Miriam dit : " Oh, oh, oh, oh, elle espionnait cette arche là. "

            " Oh, dit-elle, est-ce là un crocodile ? "

            L'un de ces costaux hommes fort dit : " Un instant ; je vais voir. " Il entre dans l'eau : splash, splash, splash, il prend ça comme ça, et revient. Il dit : " Votre majesté… " Il donne cela à une servante. Et la servante le transmet, le lui donne et celle-ci le dépose par terre.

            Elle dit : " Qu'est-ce ? Ouf, ça pue. C'est couvert de bitume partout ? regardez ça, cela a un trou au sommet. "

            Miriam dit : " Oh, oh, mon petit frère s'en va là. Mon petit frère s 'en va là. "

260.     Et alors elles ouvrent cela comme ceci. " Oh, c'était un enfant. " Et il commence…  Le plus beau petit enfant du monde … Et, oh, le  Dieu qui peut susciter la haine, peut susciter l'amour ; tout l'amour qu'Il est capable de déverser dans le cœur d'un homme, dans le cœur d'une mère pour un enfant, Il l'a déversé dans le cœur de cette jeune fille-là. Et elle - elle a dit : " C'est l'un de Jui… je sais ce  que c'est. C'est à cause de mon méchant père. Il est très méchant. Il a ordonné que tous ces petits enfants Juifs soient  tués. Et l'une de ces mères a simplement jeté son enfant, s'attendant à ce qu'il accoste, n'importe où qu'il le peut.  Oh, il est méchant. Eh bien, il ne tuera pas celui-ci, car il m'appartient. " Oui, oui, voyez-vous comment Dieu agit ?

261.     Elle l'a pris et [Frère Branham émet le son d'un baiser. - N.D.E.] elle l'a embrassé. Et l'enfant a pleuré. Et quand il a pleuré, cela a simplement réchauffé  son cœur. Elle a  dit : " Pauvre petit être. " Elle a dit : " Je vais l'amener et je vais lui donner le nom de …  Je vais lui donner un nom. " et c'est de là qu'il a eu  son nom. Quel était son  nom ? [L'assemblée  dit : " Moïse. "-N.D.E.] Moïse. Et [" Moïse " signifie " tiré des eaux. " ] Voyez-vous ?

263.     Elle a  dit : " Eh bien, je l'appellerai Moïse, et  il sera mon propre enfant. Je le garderai. " Mais  alors, elle a dit : " Mais je  suis une  jeune fille, je ne peux pas l'allaiter. Je-je-je n'ai aucun moyen de le nourrir. " A l'époque, on n'avait pas ces biberons et autres. Les femmes ne fumaient pas de cigarettes et autres comme elles le font  aujourd'hui (voyez-vous ?) et s'empoisonnent à outrance. Alors elle a dit : " Eh bien, si vous connaissez une… "  Elle a  dit : " Que - que ferai-je ? "  Alors  elle a  dit : " je… "

             Et l'une de ses servantes a dit : " Votre majesté, je vais  vous  dire quoi, je vais vous trouver une nourrice pour votre enfant. "

            " Oh,  a-t-elle dit, c'est très bien. "

            Un petit Quelque  chose a parlé, un ange se tenant là à côté du buisson, a  dit : "  Miriam, voici une occasion pour toi. Voici une  occasion pour toi. " [Frère Branham frappe huit fois sur la chaire.- N.D.T.] Miriam a accouru. Et elle a dit : " Ne dis rien maintenant, ne laisse pas passer cela. Va là et dis que tu vas trouver une nourrice et va chercher ta maman. " Très bien, c'est ce qu'elle a donc fait. Elle a dit : " Votre majesté… "

266.     Normalement, elle aurait demandé : " Que fais-tu ici ? " Mais, vous voyez, Dieu assurait la couverture de tout cela. Pourquoi ? Il avait dix mille anges en route. Voyez-vous ? Son programme allait être exécuter. Il avait dix mille anges  qui se tenaient là.

            Alors tout d'un coup, vous savez, elle a dit  que votre… elle a  dit : "  Oui, petite chérie, que fais-tu ici ? "

            Elle a dit : " Je viens de vous voir avec un enfant. " Elle a dit : " Je sais où trouver une bonne mère qui peut prendre soin de votre enfant. "

            Elle a dit : " Va la cherchez, et dis lui que je  lui payerai 300 Dollars par semaine pour qu'elle prenne soin de cet enfant, et je lui trouverai un appartement au palais. Et si  tu sait où se trouve une femme Juive, qui est une nourrice, qui peut allaiter cet enfant…  C'est mon  enfant. "

            Elle a  dit : "  Oui, votre majesté, je vais vous en trouver une. "

            Elle a  dit : " Maintenant, attendez une minute. Avant  d'entrer au château, il vous faut avoir un mot  de passe. Voyez, vous ne connaissez pas le mot de passe. Chaque jour nous avons un mot de passe. Maintenant, le mot de passe pour aujourd'hui, savez-vous ce  que c'était ? Une fourche à foin dans un tas de  foin. " Elle a dit : " C'est ce qu'il vous faudra dire pour franchir la porte. "

271.     Alors, la petite Miriam a détalé vers la maison aussi vite que possible, elle a sauté par-dessus le mur, elle est descendu dans la rue, elle est partie dans cette direction-là, dans telle autre direction, aussi vite que possible. Elle est entrée dans la maison en  courant ; Et - et Amram venait juste de rentrer à la maison et Jokébed aussi, oh, ils étaient tristes, se demandaient  ce  qui se passait.  Elle a  dit : " Mon pauvre enfant, mon pauvre enfant. "  Elle…

            Il a dit : " Eh bien, écoute donc. "  A-t-il dit : " Je viens de passer, il n'y a pas longtemps, là dans la rue, et une pauvre mère en a parlé à tout le monde toute la journée. Elles  sont passées dans ce quartier-ci ce matin, et elles ont fait éclater la tête de chaque petit enfant qu'il y avait dans le quartier. Et il a  dit : " Oh, comme les gens  poussaient des cris et pleuraient. Eh bien, on ne sait pas ce qu'il en est de ton bébé, où qu'il soit,  là où notre  bébé se trouve, Dieu  prendra soin de lui. "

274.     Juste en ce moment-là quelqu'un… [Frère Branham frappe quatre fois sur la chaire.-N.D.E.] " Oh, oh,  elles sont là à la porte maintenant. " Alors, ils sont allés, ils ont regardé. Non, ce n'était pas ça. C'était Miriam.

            Elle a dit : " Oh, oh, Miriam ! entre, chérie. Qu'est-il arrivé à l'enfant ? "

            Elle a  dit : " Maman, j'ai très faim. "

            Elle a dit : " Mais  qu'est-il arrivé à l'enfant ? "

            Elle a dit : " j'ai pratiquement crevé de faim, maman. " Elle a dit : " Oh, gloire au Seigneur ! Alléluia ! j'ai pratiquement crevé de faim, maman. "

            Elle a dit : " Mais  qu'est-il arrivé à l'enfant ? "

            Elle a dit : " Maman, je suis tellement affamée que je pourrai manger  tout ce qu'il y a dans la maison. "

            Elle a dit : " Nous allons te servir quelque chose à manger, mais qu'est-ce  qui est arrivé à l'enfant ? " [ Frère Branham frappe trois fois sur la chaire. - N.D.E.]

            Elle a dit : " Oh, l'enfant va très bien, maman. Donne-moi quelque  chose à manger. Oh, je  suis  très heureuse. "

            " Mais que lui est-il arrivé ? "

            " Eh bien, donne-moi quelque chose à manger ; j'ai pratiquement crevé de faim. " Pouvez-vous vous représenter cela ?

            Elle a dit : " Miriam, nous voici ta maman et ton papa ; où est l'enfant ? "[Frère Branham frappe trois fois sur la chaire. - N.D.E. ]

282.     Elle a dit : "Maman, je vous l'ai dis. L'enfant, je l'ai  vu, et il va très bien. Eh bien, maman, trouve-moi quelque chose à manger. Je crève de faim. Tu sais, je - j'ai pratiquement crevé de faim. " C'est  comme vous l'êtes lorsque vous revenez de l'école, vous savez ; oh, il vous faut avoir quelque  chose. Alors, elle est allée et lui a apprêté un sandwich. Elle a dit : " Maintenant, raconte-moi. " Et elle a fait  "yam, yam, yam ",en mangeant, vous savez, comme ça. Elle a  dit : "Maman ? "

            Elle a dit : " Oui,  qu'est-il arrivé à l'enfant ? " " Eh bien, a-t-elle dit, maman… " Elle lui a raconté l'histoire. Elle a dit : " Maman, va chercher tes meilleurs habits, et fais ta valise, car c'est  toi  qui vas t'occuper de l'enfant. " Oh ! Oh! Oh !

            " Quoi ? "

            " Si vous le perdez, vous le retrouverez " ; est-ce vrai ? Si vous le gardez, vous le perdrez.  Si vous  donnez  cela, perdez cela,  vous le retrouverez. Est-ce vrai ?

 286.    Et la petite Miriam, tout en mangeant, a dit : " Oui. " Elle a  dit : " Tu vas te rendre au palais  aujourd'hui. Et non seulement cela, mais on va te donner - donner 300 Dollars par  semaine, ainsi que les meilleurs appartements du pays pour prendre  soin de  ton propre enfant. " C'est la première fois dans toute l'histoire  du monde qu' une mère a donc été payée pour allaiter son propre enfant. Voyez-vous comment Dieu s'y prend ? [ Frère Branham frappe ses mains trois fois.- N.D.T. ] Alléluia ! Allaiter son propre enfant,  et recevoir 300 Dollars par semaine pour cela, ainsi que les meilleurs appartements du pays.  Dieu fait des  chose,  n'est-ce pas. ? Est-ce ça paye de prier ? [ L'assemblée dit : " oui " - N.D.T.] Est-ce une bonne chose ? Amen.

288.     Elle a alors apprêté sa petite valise. Nous allons nous dépêcher maintenant ; nous allons terminer juste dans une minute.  Ainsi nous…  Elle a apprêté sa  valise, elle est descendu dans la  rue,  tout  aussi  vite que possible. Et la  chose  suivante, vous savez elle est arrivée ; un gaillard  se tenait là avec sa grosse lance  et il a dit : " Qui passe-là ? "

            Elle a  dit : " Une  fourche de foin dans un tas de foin. "

            " Passez. "

            Voyez-vous comment  Dieu fait des choses ?  Elle est arrivé devant le garde  suivant. Ce dernier a tiré son épée et a  dit : " Qui êtes-vous ? Qui passez-là ? "

            Elle a dit : " Une fourche de foin dans un tas de foin. "

            Il a dit : " passez. "

            Oh ! la la ! Voyez- vous  comment  Dieu fait des choses ?

            Elle monte au palais, elle se met à monter, toute la garde royale s'avance, dégaine leurs épées : " Qui passe par là ? "

            Elle  dit : " Une fourche de  foin dans un tas de foin. "

            " Entrez. " Tout d'un coup, vous savez,  un homme s'avance et dit : " Est-ce vous la petite dame  que sa majesté attend ? "

            " Oui. "

            Est-ce la nourrice pour cet enfant  qui a été trouvé ce matin ? "

            " Oui. "

            Il lui dit : " Eh bien, faites-la entrer. " Elle fait donc entrer l'enfant-ou plutôt on fait enter la mère.

294.     Et - et la - la petite princesse sort, et dit : " Savez-vous quelque chose  sur les  enfants ? "

            Elle dit : " Oui,  votre majesté. "

            Elle  dit : " Regarde cet enfant, n'est-il pas beau ? "

            " Si, votre majesté. Si. "

            Elle dit : " Savez-vous allaiter un enfant ? "

            " Oui, votre majesté. Assurément. "

            " Eh bien, dit-elle, je  vous  donnerai un salaire  de 300 Dollars par semaine. " Uh ! Dieu n'était-Il pas bon ? et elle a  dit : " Vous avez les meilleurs appartements du palais ; et on vous enverra vos repas. Et  vous n'aurez même pas à  sortir pour préparer vos propres repas. " Elle a dit : " Eh bien,  voici l'enfant ; faites attention. Ne le faites pas  tomber. "

            " Oh, ne vous en faites pas, je ne le ferai pas. Ne vous en faites pas, je ne le ferai pas tomber. "

            " Occupez-vous de lui le mieux possible. "

" Ne vous en faites pas, je le ferai. Il aura les meilleurs soins. " Assurément, c'était son propre enfant. Voyez-vous ?  " Je lui accorderai les meilleurs soins. "

" Voyez-vous que c'est un bel enfant ? "

" Il est très beau ", a-t-elle dit.

" Très bien. "

297.     La porte s'est refermée  sur Miriam, sa mère et le petit Moïse. Et une fois la porte fermée, elle a regardé tout autour. Elle a dit : " Tsk, tsk, tsk, et tu étais son enfant ! Ah, ah, ah, ah. " Oh! la la ! Elle l'a tapoté.

            Qu'a-t-elle fait ? Elle… Si elle l'avait gardé, qu'est-ce  qu'elle aurait fait ? [L'assemblée  dit : " elle l'aurait perdu. "-N.D.E.] Puisqu'elle l'avait remis à Celui qui le lui avait  donné, alors, elle quoi ?  Elle l'a retrouvé. Et  elle peut le garder. Eh bien,  qu'est-ce qui arrive  si nous perdons… si nous gardons notre âme,  qu'est-ce  qui arrive ? Nous la perdrons. Et si nous la remettons à Celui qui nous l'a  donnée, qu'arrivera-t-il ? [L'assemblée dit : " Nous la garderons. " -  N.D.E.] Nous la garderons. Est-ce vrai ?

299.     Combien parmi vous  tous  aimerez venir autour de cet  autel et prier ? Voudriez-vous le faire? Voudriez-vous que Jésus s'occupe de vous comme Il s'était occupé de ce petit enfant ? Maintenant, rassemblons-nous tous petits enfants autour de l'autel-ci. Allez-vous le faire ? Venez tout autour, agenouillez-vous tout autour de l'autel. Prions, tous. Tous les petits enfants, maintenant venez ici. Avez-vous appréciez mon histoire là-dessus ? [ L'assemblée dit : "Oui. " - N.D.E.] Avez-vous  appréciez cela ? Très bien, maintenant venez  directement  autour de l'autel. Maintenant, venez. Vous  tous les petits enfants venez, agenouillez-vous juste là à - à l'autel agenouillez-vous simplement là même sur-là même sur l'autel. C'est ça. Vous tous les petits enfants qui êtes là derrière, venez ici maintenant, nous allons prier. Très bien. Vous aimeriez  vous avancer et prier. Venez vous agenouiller autour de l'autel. C'est ça. Maintenant c'est bien. C'est vraiment bien. Très bien. Maintenant, les mamans, vous aimeriez aussi venir, les papas  aussi,  agenouillez-vous tous dans les allées.

301.     Maintenant, j'aimerais vous poser une question à vous les petits enfants qui êtes ici. Ecoutez, croyez-vous que Jésus vous aime tout comme Il aimait Moïse ? Croyez-vous que les  anges veillent  sur vous comme cela ? Eh bien, Dieu vous a donné une âme, n'est-ce pas ? Eh bien,  si vous gardez votre âme,  que lui arrivera-t-il ? [ Les enfants disent : " Vous la perdrez - N.D.E.] Vous la perdrez. Mais si vous la remettez à Jésus ce matin, alors qu'allez-vous donc faire ? " Vous la garderez. " Vous la garderez… ?… Maintenant,  vous  aimeriez sauver  votre âme, n'est-ce pas ? Et  vous  aimeriez grandir pour devenir de véritables mères et de véritables dames, n'est-ce pas, de vrais hommes, des prédicateurs  et  autres ?  N' aimeriez-vous pas faire cela ? Maintenant, si vous le voulez, alors donnez votre âme à Jésus. Voici comment  vous le faites. Vous  dites : " Bien-aimé Jésus, voici tout ce que j'ai à Te  donner, mon âme, mais veille sur moi  comme  Tu avais veillé  sur Moïse. "

302.     Maintenant, si certains parmi vous les personnes plus âgées, voudriez venir vous agenouiller aussi, certaines parmi vous les mères, peut être que vous voudriez  vous agenouiller ici ce matin… ?… Que Dieu vous bénisse si vous le faites. Si vous  voulez venir et  vous agenouiller juste ici, c'est bien. Voici venir une mère avec son petit garçon. Il y a-t-il quelqu'un d'autre ? Un père, un papa, n'importe  qui parmi vous, si vous voulez devenir un homme de prière comme Amram, alors avancez et agenouillez-vous aussi. Maman, si vous voulez devenir comme Jokébed, eh bien, avancez et agenouillez-vous aussi. Assurément, c'est pour tout le monde. Pourquoi ? Vous avez aussi une âme. Si vous la gardez, qu'est-ce  qui arrivera ?  Vous la perdrez.  Et si vous la remettez à celui qui vous l'a donnée, qu'est-ce  qui arrivera ? " Vous la sauverez " Vous la sauverez pour la Vie Eternelle. C'est vrai. Maintenant, j'aimerais que vous vous rassembliez  tout autour, vous tous qui le voulez maintenant, et prions avec ces petits enfants, avec notre… avec tous maintenant.

306.     La fête des mères, c'est une journée merveilleuse… et peut être  que ce  soir, je pourrais changer mon sujet et continuer ce soir et raconter ce que cette mère avait fait, ce que cette mère avait fait. C'était elle qui avait éduqué son petit garçon pour  qu'il conduise tout Israël vers la terre promise. Oh, elle était une véritable mère. N'était-elle pas une véritable mère ? [ Les enfants disent : " Oui." - N.D.E. ] Eh bien, vous avez  aussi une véritable mère, et maman prie pour vous. Et il était un véritable papa. Et papa prie pour vous. Et maintenant, nous allons tous prier ensemble, et demander à Jésus de nous aider. Frère Neville, voudriez-vous venir vous agenouiller  avec nous ?

307. Et inclinons tous la tête, partout. Maintenant, sœur Gerty… [La pianiste se met à jouer Amenez-les .-N.D.E.]

            Bien-aimé Père Céleste, cette petite  histoire simple  aujourd'hui, sur ce qui s'est passé il y a longtemps, d'un vrai père et une vraie mère, ou un vrai croyant, qui étaient venus  auprès de Toi et T'avaient adoré, ils avaient  cru en Toi. IL y avait une détresse dans le pays en ce temps-là. Et  comment savons-nous s'il n'y a pas un petit Moïse moderne qui est  agenouillé ici ce matin ? Comment savons-nous qu'il n'y a pas une petite Miriam moderne agenouillée ici ce matin  aussi, une prophétesse ?

            O Père bien-aimé, ces petits enfants T'aiment, et ils sont venus s'agenouiller à la Croix, reconnaissant qu'ils ont une âme  qui doit être sauvée, et ils Te la confie maintenant. En effet, nous venons de lire dans Ta Parole : " Si vous la perdez, vous la retrouverez ; et si vous la gardez, vous la perdrez. " et, Père, ils ne veulent pas garder leurs âmes eux-mêmes. Ils ne veulent pas vivre pour  eux-mêmes. Ils  aimeraient Te confier leurs âmes, de telle manière  qu'en Te la confiant ils retrouvent la Vie Eternelle… ?… Accorde-le, Seigneur.

310.     Bénis tous ces petits garçons et ces petites  filles tout autour de l'autel. Bénis leurs mères et  leurs pères  qui sont ici ce matin. Oh, puisse Ta bienveillante grâce et Ta miséricorde reposer sur eux tous. Pardonne-nous, Seigneur, tous  nos péchés et tous nos manquements. Ôte la maladie du milieu de nous. Envoie les anges. Alléluia ! Oh Dieu, Toi qui avait donné des instructions à Gabriel, et  dix mille anges s'étaient mis en route ; combien plus d'anges sont venus tout autour quand ils ont vu ces pauvres petits enfants s'agenouiller à cet autel ce matin ! Tout autour, à cet autel, dans cette église, il y a des anges de Dieu. L'ange qui fait l'enregistrement est  ici,  en train d'inscrire leurs noms dans un Livre. Ils sont en train de perdre leurs âmes, afin qu'ils puissent la retrouver en Christ. Accorde-le, Seigneur.

312.     Puisse, dès aujourd'hui, désormais leurs vies devenir douce et humble. Puissent-ils être des enfants obéissants à leurs parents et à leur Père céleste jusqu'au jour où Tu les rappellera à la Maison. Guide-les dans leurs petites barques, là près  du tourbillon. Chaque fois qu'elle sera bloquée au buisson, puisse les anges de Dieu repousser cela dans le flot coulant de l'amour de  Dieu. Accorde-le, Seigneur. Et au bout du chemin, puissent-ils trouver une belle demeure, avec leurs mères et leurs bien-aimés là dans la gloire, là où Dieu se tient à la porte pour [leur] souhaiter la bienvenue en ce jour-là. Accorde-le, Père.

            Pardonne nous tous nos péchés et nos offenses. Aide-nous dès ce jour à être entièrement à Toi. Nous confions ces petits enfants entre Tes mains maintenant, ainsi que ces mères avec  eux, Seigneur, afin qu'elles  soient le bon genre de mères en cette fête des mères, en ce temps commémoratif qui a été consacré aux mères. Puissent-elles devenir d'aujourd'hui, de meilleures mères ; puisse les enfants devenir de meilleurs enfants. Puissions-nous nous tous devenir meilleurs, Seigneur, et Te servir d'avantage. Accorde-le, Père, car nous le demandons  au Nom de Jésus. Amen.

314.     Maintenant, chantons un petit chœur. Croyez-vous que Jésus vous a sauvés ? Voulez-vous que Jésus veille sur vous maintenant pendant  que vous vous levez ? Levez la main vers Lui comme ceci. Maintenant, j'aimerais que  vous retourniez vers papa et maman, et tous les autres. Retournez-vous comme ceci. Maintenant, regardez ici, maman et papa. Vous  tous, les petites filles et les petits garçons, tenez-vous debout. Maintenant, combien acceptent Jésus comme leur sauveur, et vont désormais se  confier en  Jésus pour  qu'Il prenne  soin de vous comme Il avait pris soin du petit Moïse, faites voir les mains. Chacun de vous donc. C'est bien. Maintenant, qu'est-il arrivé ? Si vous gardez  votre âme, vous faites quoi ? [ L'assemblée dit : "Vous la perdrez. " - N.D.E. ] Vous la perdrez. Mais si vous la donnez à Jésus, qu'est-ce qui arrivera ? " Vous la garderez. " Vous la garderez. Maintenant, et si Jésus vous a reçu  donc ce matin ? Vous appartenez donc à Jésus, n'est-ce pas ? Vous êtes le petit garçon et la petite fille de Jésus.

315.     Regardez ces petits amis qui se  tiennent ici avec des larmes. Allez-vous me dire que Dieu ne reconnaît pas ça ? Amen. Les hommes et les femmes de demain ; oui. C'est vrai. Amen.

            Ramenez-les de champs du péché ;

            Ramenez-les, ramenez-les,

            Ramenez les petits enfants à Jésus.

            " Oh, combien j'aime Jésus. "  Maintenant, venez.

            Oh,… -vous tous)… Combien j'aime Jésus (Levez les mains maintenant.)

            Oh, combien j'aime Jésus,

Oh, combien j'aime Jésus,

            Parce  qu'Il m'aima le premier.

316.     N'est-ce pas beau ? Maintenant…  Jésus aime les petits enfants du monde. Donnez-nous de la mélodie, sœur. Maintenant, retournez-vous vous tous vers-moi, vous les petites filles. J'aimerai chanter " Jésus aime les petits enfants du monde. " Combien connaissent cela ?

            Très bien, chantons maintenant.

            Jésus aime les petits enfants du monde,

            Tous les enfants du monde,

            Le rouge et le jaune, le noir et le blanc,

            Ils sont précieux à Ses yeux,

            Jésus aime les petits enfants du monde.

317.     Maintenant, vous tous, vous êtes dans l'armée maintenant. Savez-vous cela ? Savez-vous que  vous êtes dans l'armée de Dieu ? Regardez droit vers moi, maintenant. Et chantez ceci avec moi maintenant, en effet  vous êtes des  soldats maintenant. Savez-vous cela ? Soldat de la croix. Maintenant : " Peut-être que je ne marcherai jamais … " Connaissez-vous ce cantique-là ? Très bien. Très bien, ça fait longtemps que j'ai appris ce vieux cantique à l'école  du dimanche. " Peut-être que jamais je ne mar… " regardez-moi maintenant. [ Frère Branham fait des gestes pendant  qu'il chante les paroles de " je suis dans l'armée du Seigneur. " -N.D.E.]

            Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'infanterie,

Rouler dans la cavalerie, tirer le canon.

Peut-être que jamais je ne pourrai survoler l'ennemi, à bord d'un avion,

Mais je suis dans l'armée du Seigneur,

Je suis dans l'armée du Seigneur !

            Oh, je suis dans l'armée du Seigneur !

            Nous tous, tous ensemble maintenant. Maintenant.

            Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'infanterie,

            Rouler dans la cavalerie, tirer le canon,

            Peut-être que jamais je ne pourrai survoler l'ennemi, à bord  d'un avion,

            Mais je  suis dans l'armée du Seigneur.

318.     Pensez-vous que vous pouvez chanter cela seul ? Venez ici, Lassie, venez  juste ici maintenant. J'aimerais  que  vous  tous vous exécutiez les mêmes gestes que moi. Venez derrière l'autel ici  donc. Venez ici, vous tous, approchez ici où je suis. Voyez-vous ? Approchez ici. Qu'il n'y ait personne de ce côté de l'autel, venez ici, près de moi. C'est ça. Passez par derrière ; maintenant, tournez-vous dans ce sens, regardez de ce côté ici, comme ceci ;  C'est ça. J'aimerais vous montrer ce  que ces gentils petits garçons et petites filles font après qu'ils ont connu Jésus. Maintenant, passez derrière, de ce côté-ci, petits garçons et petites filles. Maintenant, c'est ça ; maintenant, regardez  là.

319.     Maintenant, quand je  dis : " Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'armée ", vous… "marcher dans l'infanterie ", vous aussi marcher. Quand je  dis : " Peut-être que jamais je ne pourrai rouler dans la cavalerie, faites la même  chose  que moi. Maintenant, reculez là loin donc, pour créer de l'espace. Là loin, là loin, tenez-vous un peu au loin maintenant. J'ai besoin d'espace. Un peu plus loin, plus loin, maintenant, soyez prêts, fils. Maintenant, venez, chantons cela. [Frère Branham et les enfants font des gestes pendant  qu'ils chantent.-N.D.E.]

            Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'infanterie (marcher !)

            Rouler dans la cavalerie, tirer le canon,

            Peut-être que jamais je ne pourrai survoler l'ennemi, à bord d'un avion,

            Mais je  suis dans l'armée  du Seigneur.

            Oh, je suis dans l'armée du  Seigneur.

Je suis dans l'armée du Seigneur ! (prêt !)

Peut-être que jamais je ne pourrai marcher dans l'infanterie,

Rouler dans la cavalerie, tirer le canon ;

Peut-être que jamais je ne pourrai survoler l'ennemi, à bord d'un avion,

Mais je suis dans l'armée du seigneur.

Amen. Tenez-vous simplement tranquille. Combien  aiment ça,  dites amen. [L'assemblée  dit : " Amen. " - N.D.E.] Très bien.

321.     Maintenant, Père Céleste, bénis ces petits enfants  aujourd'hui. Ils sont à Toi, Seigneur. Ils T'ont donné leurs  vies. Ils ont entendu la petite histoire sur Moïse et comment Tu l'a protégé. Ils ont entendu parler d'une bonne mère et d'un bon papa qui l'ont assisté et qui l'ont élevé. Et ces petits enfants ont  aussi de bonnes mères et de bons papa. Et je Te  prie, Père, de veiller sur eux et de les conduire dans le flot du temps, et puissent les anges de Dieu les protéger. Accorde… et puis, sois au poste récepteur, pour les recevoir dans les derniers jours, Seigneur, dans Ton royaume. Nous le demandons  au nom de Christ. Amen.

322.     Maintenant, vous pouvez rentrer à vos sièges et  dire à papa et maman combien vous vous sentez bien. Amen.  Tous les jours de leurs errances, ils ont été conduits . Connaissez-vous aussi celui-là … ?… Gerty ?

            …de leurs errances ils ont été conduits,

            Au pays de la promesse, ils ont été conduits ;

            Par la main du Seigneur dans une conduite sûre,

            Ils ont été amenés au rivage de Canaan.

(Tout le monde !)

            Le signe du feu pendant la nuit,

            Et le signe de la nuée pendant la journée,

            Planant au dessus, juste devant,

            Alors qu'ils progressait dans leur pèlerinage,

            Sera un guide et un conducteur,

            Jusqu'à ce qu'on ait traversé le désert,

            Car le Seigneur, notre  Dieu, au moment opportun pour Lui,

            Nous conduira finalement à la lumière.

324.     Combien sont malades ce matin et veulent la prière ? Faites  voir la main. Etant donné que nous  sommes un peu en retard, peut être que nous allons reporter notre service de guérison pour ce  soir, mais nous allons juste offrir un mot de prière maintenant, parce que nous sommes un peu en retard.

            Avez-vous apprécier la petite histoire ? [L'assemblée dit : " Amen. "- N.D.E.] Pensez-vous que c'était bien pour les petits enfants ? [" Amen. "-N.D.E.] Oui. Nous-nous les oublions  souvent. Nous ne devrions pas faire  cela. Voyez, je n'ai pas l'occasion d'enseigner l'école du dimanche ; et ce matin, c'était pour moi un temps de leur parler. Je ne voulais pas vous lasser, mais je tenais à vous raconter cette petite histoire.

            Rappelez-vous, petits enfants, ce n'est pas une vieille petite histoire qu'on a lu n'importe où. C'est la Vérité. C'est la Vérité. Dieu a fait cela. Et Il est  avec  vous maintenant. Très bien.

            Inclinons la tête maintenant, pendant que nous chantons notre cantique pour nous congédier, doucement : " Prends le nom de  Jésus avec toi, comme un bouclier contre tout ennemi. " Très bien.

            Prends le nom de  Jésus avec  toi,

            Enfants de chagrin et de tristesse

1 All right, God bless you, Brother Neville. Okay. Good morning, friends. I have to look once in a while to find out whether it's morning or evening. Well, I'm happy to be here this morning. It's warm, and sure got a warm reception. We don't have no more springtime; we have summer and winter here, don't we? Everything seems to be out of cater somehow.
Well, what made me late; I--I'm house cleaning. And I was stiff and sore this morning. And I got up in plenty of time, but I didn't realize a woman had so much work to do; they have to get three children ready and then get off to Sunday school. Oh, my. Whole lot to do, more than I thought there was to do. And I thought, "Well, now..." Last evening was working, and--and I--I come in off the evangelistic field to clean house, I guess. My, isn't labor hard to get ahold of? Hum. I offered thirty-five dollars a week for somebody to watch the baby, and nobody would do it.

3 I took a little piece of paper here not long ago. 'Course, this don't go to this. Said he was up here, some kind of a politician up here in Kentucky, said he'd been in the army twice, he'd been wounded three times, as a hero, he had lived a citizen in the neighborhood, he had done many things, rescued two children's lives, one from a creek and one from something else, forget what all he had to do. And finally he thought, well, they have to keep the neighborhood correct, he would run for an office. And when he did, out of a hundred thousand people, he got five votes. He asked the church if he could get a sawed off shotgun to help him get out of the neighborhood, said, "It was dangerous to even live around." He had not enough friends to help him get out of town. That's American gratitude though, isn't it? That's right. In America, the more you do, the more you're expected to do. That's right, more expected of you.

4 Well, I--I want to pass my compliments this morning on how clean and nice the church looks. And as I come up, they got a door there to give better circulation. So that's really nice, ever who's on the trustee board here and helped instigate this, that certainly was mighty nice, and it's a nice clean job. I think Brother Hall, if I'm not mistaken, did it. That's a very nice job.
Now, it's a little late, but you know how holiness people are. See, it don't have no certain time, do we, Brother Slaughter, Brother Deakman? Just everything just as we take it.

6 Had wonderful meetings down in the south, But I could only talk just a few days ago. I preached for four months straight, and I didn't have enough voice even to--to even whisper. I just had to kind of make motions to my wife, you know, what I wanted, and it's kind of a... And then after that, and coming back up here where it's about kind of some of this hypocritical weather we been having (why, cold one day and hot the next), I took a real, real old fashion flu. And I got up a couple days ago and got started again. And so we're thankful to the good Lord though, for all of His goodness and mercy to us, and--and how good He's been. Had wonderful meetings down there, and the Lord blessed us exceedingly, abundantly.

7 And last night near midnight Brother Wood called me down to his house, and Brother Arganbright on the phone, wanting me to start in Switzerland. So it's too much going for an old man.
So now, our next meeting begins on the eleventh of this next month at Cadle Tabernacle at Indianapolis. At the--at the Cadle Tabernacle in Indianapolis, from the eleventh through the fifteenth. And then, from there, over to--to Minneapolis, Minneapolis; from Indianapolis to Minneapolis, Christian Business Men.

9 Now, I think Brother Neville called me, and I had wanted to show my--express my appreciations to he and the Neville trio that came down and sang for that funeral for me, that I had day before yesterday. And I asked Brother Neville; didn't have any singers, the Liddick family. Mr. Liddick had went home to glory. And I certainly... If his son, I don't see him here; and I found out later it was a foster son. Knowing his daddy was dying, unsaved, run up home to get me, before, and his daddy got saved before he died. So the greatest thing that boy ever done, was coming to get someone to pray for his daddy before going. And the Neville trio came down and sang real lovely for them.
And so Brother Neville asked me if I'd speak this morning and this evening also. So you notice, the Scripture says, "Ask abundantly that you..." So Brother Neville certainly is Scriptural on those things, very much. And so I'll do my best.

11 Now, I said this morning, being it's Mother's Day, and we want to speak to the--to the little children. I thought this morning would be a good time for--for little children. Now, I think that the day of mother...
Now, there's nothing any sweeter on earth, that we know of, than a real genuine mother. God bless her gallant soul, a real, real mother. But we got so many substitutes today that--that's called "mother," that's not mother; they're just women who have children, but not mothers. An old fashion mother is one who cares for her family, and don't lay out to these lounges, and dances, and all night long, smoking, drinking, and come in. She don't deserve that sacred name of mother. She's just a woman (That's all.) that's raising a child, but not a mother, 'cause mother has got a different meaning to it. Now, I--I think if you know...

13 Now to Mother's Day, I want to express myself real good. I got an old gray-headed mother setting there, myself. And I think, a day, all right; but every day should be a mother's day, just not once a year. And the reason these Mother Day things are going on now...
And I see we just got a handful, and we all know one another. We're home folks, and that's the reason we're going to talk this way.
I think that a mother should be respected every day the same (That's right.), a real mother. And, but this day they call Mother's Day, is nothing in the world but a big commercial nonsense, just to drain people for money. And it's a disgrace to mother: a Mother's Day, for once a year, "Well, we don't go to see her, but we'll send her a little bunch of flowers and that'll settle it." That's not mother. My, goodness. A real mother is a woman that you--one that raised you, and you love her, and you see her and talk to her all the time, express your love to her all the time, not just one day in the year.

16 But just before I start on my little drama, I'd just like to express this and renew some of you. And many of you has died off, many of them has gone since this was made. It was in 1933.
Did you see in the paper a few nights ago where that woman killed that man, throwed him out into her driveway and just backed back and forth across him with her car till she just mashed him all up on the road. And they said... The--the--a--the attorneys and so forth, said, "Doesn't that condemn your conscience?" She said, "God and I are getting tired of the way women are treated." Huh. Yeah, she's an idol. That's right. "Getting tired." How low can this nation stoop? How far can we go without Divine judgment? I wonder: "God and I..." If God was guilty of all the nonsense was laid onto Him, He wouldn't be God, that's all. "God and I," my, God has nothing to do with such as that. Wonder when she's yonder in torment, how she'll think about it then? Oh.

18 America... Now you remember, if you haven't got this wrote down, put it down. This is my prediction. See? In 1933, when we were having services down here where the old, I believe the Church of--of Christ is there now, it used to be the old Amer... It's right over here, Brother Neville, right straight down. Charlie Kurn used to live there. What's that? Orphan's home over here on Meigs Avenue. In 1933. I just got a 1933 Ford, and I dedicated it that morning to the Lord. And before leaving home, I saw a vision. I've got it wrote, old yellow paper still waiting in a Bible. I saw the end time coming.

19 And, you, how many can remember what a '33 car looked like back there? Oh, it kind of run out like this, and way up the back, and chopped down for the spare tire to hang on. I saw a vision, that before the coming of the Lord, that cars would look like an egg. How many remembers that prediction? Is there anybody left in here? Brother Steward's gone, and I guess. It was 1933 when we were having services over here. I guess just about all of them's gone now, since then.

20 And I predicted that America, their number one god would be women. That's what it is. Everything is fashioned after Hollywood. I have things on records from the FBI file that would shock you to pieces just to tell you right where, and the scandal on these movie stars, there isn't a one of them, hardly, but what's prostitutes. And the FBI exposed it just recently; I have it from their own file. And so all of them living out, even these movie stars, where they've proved they went in and picked them up, living with men, twenty-five and fifty dollars a night, of men, all up and down, in Hollywood and everywhere, had private homes and men back in there where they would send them out to these people.
And that's what we look to, television, and--and out here on these screens and things, and let our children call that an idol. And then call that mother? That's a long ways from being mother. That's filth. That's exactly. And yet they set the pace of the day. Well, let them, the kind of clothes they wear, watch the American women dress right up just like them, and everything. Sure. And America's god is a woman. Not Jehovah; they've turned away from That. Not to mother now, now lay that aside, that's a sacred thing we're going to talk about; but I mean woman.

21 And, remember, I predict that before the great total annihilation, which I don't say the Lord told me this, but I believe there'll be something happen either between now or at that time in '77. It may come...?... at this hour. But between now and '77, I predict that either a great destruction or a total annihilation of the entire earth, between now and '77; I predicted it in 1933.

22 I predicted that women would keep demoralizing and the nation would keep falling, and they'd keep hanging to mother, or like mother like that, till they become, a woman become an idol. And after a while, that America would be ruled by a woman. Mark it and see if it's not right. A woman will take the place of a President or something, of great, some high power in America.
When... I say this with respect, ladies. When a woman gets out of the kitchen, she's out of her place. That's right. That's where she belongs. Outside of that, she has no place. And now, I'm not hard on them, but I just tell what's the Truth and what the Bible. Used to be the man was the head of the house, but that was in Bible days. He isn't no more. He's the puppet, or he's the--or the babysetter or something. And now... No, they want to take care of a dog, practice birth control, and pack a little old dog around in their arms all the time, so you can run around all night.

24 I'm--I'm not talking about mother. God bless them. That's what holds the nation together now halfway, is a real, good, sacred, God-saved mother. That's right.
But the shame of how degraded that our woman is. I got a piece out of the paper. I cut after this little last World War, number two, that said, "Where has the morals of the American women gone, that after six months overseas, four out of five soldiers was divorced from their wives, and they'd married some other man?" And couldn't even wait for them to come back from overseas, soldiers over there dying on the battlefield. That person that does that is not worthy to be called mother, that sacred name. No, it isn't. So I've always been called "woman-hater," but I'm not. I think a woman's a wonderful thing, and a mother, especially. But they should be their places and not take the place of man, and not take the place of God.

26 And this morning I heard a holiness church saying that a mother rules the stars of heaven and all this. I can imagine Catholics of doing that on virgin Mary, and so forth like that, which, worshipping them dead women, Saint Cecilia and all like that, which is the highest form of spiritualism. That's all it is. Anything intercedes with the dead is of spiritualism. So there's only one Intercessor between God and man, and that's Christ Jesus. That's right. No other saint, no nothing outside of the Lord Jesus Christ is the only One Who is the Intercessor between God and man. But when I see the churches, even of getting behind the pulpit, all the sacredness taken from Christ and given on mother, all the sacredness taken, and then they start and there you are.

27 So... But there is a real mother left. Praise God. Just like when you see a hypocrite, there's a real Christian that really lives the life. Where you have a pro, you have a con. That's exactly right. And now, that kind of a mother and that kind of a child, we wish to talk about now in the Bible.

28 Now, I wonder how many little boys and girls we got here this morning? If you heard Brother Neville's broadcast yesterday... How many little boys and girls would like to come up here and set on the front seat while I talk to you? Would you like to come up here? There's one, two, three, four, five seats here; one here, is six, and some little seats along here. Would you like to come up front, some of you little fellows can go without your mama, and would like to come up here, more than welcome. Our mothers are not... [Someone says, "They're back in the Sunday school room."--Ed.] Oh, they're in the Sunday school room, well, that's fine. We'll wait a few minutes, and be talking, and they'll be out in a few minutes. And we'll just gather around, little old black, and brown, and blue eyes, up here, and--and talk to each one of them. Now, how many loves the Lord, say "amen." [Congregation says, "Amen!"--Ed.] All right.

29 Now, I want to speak to the mothers and the children, and it's directed to them.
Tonight, if the Lord willing, I want to speak on the first miracle Jesus performed, and how it was done, and with what power, and what did He do when He done it. How many knows what the first miracle He did? Speak it, all together. Turned the water into wine.
That's right, the first miracle He done... Now, if the Lord willing. While I was studying this morning, it just come up on my mind.

31 I see we got our good friend, Mr. and Mrs. Gender back there, I believe, this morning. I just happened to notice him as I turned around the post this way. The other day I was taking a examination. I have to keep myself up for examinations about overseas duty. And when I come out, who did I meet but Mr. and Mrs. Gender, sitting out there in the office--office of Doctor Schoen, in Louisville, a very fine Christian brother. I tell you, I really met a real man there, a real one who believes in God and puts his trust there.
You know what? I'll tell you, I find more doctors believing in Divine healing than I do preachers. That's right. You talk to them. I said, "Certainly." And when he... When I went to leave, he took my hand, he said, "Brother Branham, you do more for humanity than I ever could do." He said, "That's right." Said, "You can help people that I couldn't even touch." Said, "That's right."
I said, "Well, 'course, you can sew them up, or set a bone, or something like that. But God does the healing."
He said, "That's correct." Amen. Oh, I like to see wide-minded, sensible thinking people. I think a surgery, and a medical doctor, and a chiropractic, osteopathic, Divine healing, and all together, if any of that can help anybody, I'm for it. And when you take a doctor condemn a preacher, and the preacher condemn a doctor, and an osteopath condemn--condemn a surgeon, the surgeon condemn a medical doctor, you can imagine this, there's some selfish motive somewhere (That's right.), 'cause each one of them has proved that they help somebody. That's exactly right.

35 Now, the thing of it is, I think, if our motives is right, and our hearts are right for the people, we ought to all work together to help our fellow man, to make it an easier life. And then your motives is unselfish, giving praise to God Who gives all things freely. Amen. Yes, sir. Oh, we should not have any selfishness nowhere; it should be perfect.
If the chiropractic can help this one, the osteopathic help this one, the surgery help this one, and something else help that one, let's pray for all of it (Amen.), that God will just help His dear people to be well and happy. 'Cause we ain't got very long to stay here; just a few days and we're on the road gone somewhere else. So what we're trying to do is make life just a little easier so you can have a better time while you're here. Amen.

37 Now, upon this thought, let's bow our heads, before we open the Bible, and speak to our lovely Saviour.
Our kind heavenly Father, we come so humbly this morning in Thy Presence, and thank Thee above everything that ever was on the earth or ever will be, for the Lord Jesus Christ. For He was the One Who brought man and God together, and reconciled us poor unworthy, ungodly aliens. Away from God by--by choice, of ourselves, we took our own choice and walked away from Him. And He was so good to come, and while we were unpleasing to God, while we were sinners, away from God, He reconciled us back to the Father, through the shedding of His Own Blood.
How we thank Thee for Him. And today stands as a Mediator, the only One between God and man, Who can make a prayer come in the Presence of God, through the platform of His Own Blood that He shed from earth to glory. Come in this earth by the way of a barn, borned out in a manger, went out of the earth, through capital punishment. The earth didn't want Him. Heaven couldn't receive Him, because He was a sinner; He had our sins upon Him. The earth didn't want Him; they rejected Him, "Away from such a Person." He had even--not even a place to be born, or a place to die. And He hung between the heavens and earth; heaven couldn't receive Him, nor earth wouldn't have Him. And He died anyhow to save us from sin, to heal our sickness, to give us joy and a lovely stay while we were here on earth. What a Saviour. Oh, how we thank You for Him.
O God, let our every adoration of our heart be poured to Him and Him alone. May every respects and every worship, everything that comes from our lips or heart, may it be laid on Him Who's worthy of all. He Who set upon the throne one day with the Book in His hand, no man in heaven or earth was worthy or able to even look on the Book, or to loose the seals that had It sealed up. And this Lamb that was slain from the foundation of the earth, come, took It from His hand, opened the seals and loosened up the--the Words to the people.

41 And, Father, we pray today that His Holy Spirit will loose our hearts from all of its darkness, loose our tongue from all that's vile, forgive all of our sins, and take away all the darkness, and move into our hearts this morning.
And especially these little children, God, bless them as they set here this morning with their lovely mother. And, God, how we thank Thee for motherhood, for real women. In the midst of all this darkness, and idolatry, and filth, and corruption of the world, yet we got real genuine mothers. How we thank Thee for them. Young and old, both alike, we thank Thee, Father, for real motherhood. And we pray, God, that You'll bless them.
See them sitting here this morning, many of our brothers and sisters, wearing white roses or white carnations, and flowers, meaning that their dear sainted mother has crossed beyond the veil on the other side: not dead, but alive forevermore. Someday they'll come too, down to the river, and there they'll get to see her again on the other side. Many are wearing red roses; mother's still here. We thank Thee for that.
Pray that You'll bless us together as we study Thy Word, for we ask it in Christ's Name. Amen.

45 Now, the Lord bless you. And we start right in on the Word this morning. Now, first before this little drama, I thought for the mothers and the little kiddies... And they'll probably hear me 'cause this thing has got quite a voice. And I'm going to give a little drama, because I been noticing now my services, sometimes dramas help out a whole lot. Don't you think so? The little fellows understand it better. I'm looking at a couple little bright-eyed boys setting, looking at me now, which will be men of tomorrow if there is a tomorrow.

46 And now before we have any drama, or anything else that's going on in church, it must have the Bible background. Amen. It must be the Bible background. First, let us all turn over to Matthew the 16th chapter and the 25th verse, and we'll read these verses. First, while we're reading, getting ready, maybe by that time the little fellows will be out. Now, Matthew 16:25, we read this.
For whosoever will save his life shall lose it: and whosoever will lose his life for my sake shall find it.
Now, this is a very important Scripture. Let's all read that together. What do you say? Everybody, little children and all, together now. [Brother Branham and congregation read the following Scripture together--Ed.]
For whosoever will save his life shall lose it: and whosoever will lose his life for my sake shall find it.

48 You know, boys and girls, and I know the older ones will enjoy this just the same as the children will. But, that Scripture is so important. And some Scriptures were so important that God puts it in all four of the Gospels: Matthew, Mark, Luke, and John. But, this is so important till He put it six times in the Gospel. Six times this came from His Own lips, Jesus.

49 Now, over in Mark, we'll turn over there unto to the 8th chapter of Mark, and begin with the 34th verse, and I'll read some there. And I want you to notice here again, with just a little continuation of this where Jesus spoke it. And remember, He put it six times in the Gospel, so it would be sure. Two is a witness, but He put it three times that (See?), so it would be sure that you remember it.
And we had he--when he had so called the people unto him, and his disciples also, he said unto them,
Whosoever will come after me, let him deny himself, take up his cross, and follow me.
Now, one of the translators put, "Take up his cross, and follow Me daily." Now, now the 35th verse. Listen.
For whosoever will save his life will lose it; but whosoever shall lose his life for my sake and the gospel's, the same shall save it.
For what shall it profit a man, if he shall gain the whole world, and lose his own soul?
Or what shall a man give in exchange for his soul?

51 Now, let's take this 35th verse and quote it together now. All right. Now, let's say it together. We're going to take Mark 8:16, now let's say it together; Mark 8:16, beg your pardon, Mark 8:16, 35. No, I got it wrong yet. Mark 8 (Excuse me.), Mark, St. Mark, 8th chapter, 35th verse. Now, let's try it now. St. Mark, 8th chapter, 35th verse. Now, we got it. Let's read it. [Brother Branham and congregation read the following Scripture together--Ed.]
For whosoever will save his life shall lose it; but whosoever shall lose his life for my sake and the gospel's sake... shall save it.

52 That marvelous? Now, we'll get right along with our little story, and as the kiddies come they'll take their places. The ushers watch them as they quieten them, see if you can get them in here, as we take and give our story. We're going to base this, this morning on a drama. And I, a lot of times, here a few days ago I...
Brother and sister Wood was with me, I believe, up there at the--the last meeting; I was speaking at the Christian Business Men's Breakfast. And I gave a little drama of Zacchaeus in the--up in the sycamore tree, and, when Jesus came by, and how he got a garbage can, you know (and dramatized it), and got up in a tree, to see Jesus. And the businessman setting in the tree, you know, hiding from Jesus. And Jesus didn't know where he was at, as if, you know. And then he said, "Oh, they tell me that Man knows things and can foretell things, and knows where the fish had a... I don't believe it." And Jesus walked around the tree. And he said, "Aw, He can't see me; I'm sitting up a tree."
Jesus stopped and looked up, and said, "Zacchaeus, come down." Didn't only know he was up there, but He knowed who he was.
So I think a little drama sometimes helps the old people, the old boys and girls, the same as the young.

56 So now, you might ask me, after this is over, "Brother Branham, where do you get this information of these characters and names?" Some of them I've been helped by my good friend, Brother Booth-Clibborn. And another, by Josephus, the great historian. And then books upon history, that I have read, of this event and so forth. And that's how I get my information from what we're going to give in drama this morning, for this a...

57 I see our little ones are coming out now, and for this story this morning that we're going to give. Now, you little boys and girls, if you can, as many as wants to, come right up here in front. We got five or six empty seats. If you'd like to come right up here, we'd be glad to have you. You're just coming in in time for the little drama out here.
And now, that's how I come to get this information, how I come to find it. Someone might pick around and say, "Well, I never read that part in the Bible." But if you didn't, history picked it up. You see? So it's all the same story, only it's just give in a--a--a little drama form.

59 And, so, that's it. That's it. That your little brother? Oh, he sure looks like you. And he's a fine boy. You can just tell he is. All right.
Now, you want to come up here and sit down here? There's two little girlies, or three little girlies. My, that's just fine and dandy. Now, I want... This little story this morning is for little girls and boys. Mrs. Collins, I believe that's you there, and the other little sister; you want to go right over there, honey, and sit down. Yeah, I believe there's a place right here, if the lady would--would move her pocketbook. And--and may... Right over here is a couple seats over here.
I want all these little boys and girls up here in front, so I can talk to them. Here, here we got some chairs here. We just see that you get some chairs. Yes, sir. Some of them will help us right here, 'cause we want this to be just to these little boys and girls. Oh, my. Isn't that fine? Now, that's... I believe you'll have to have a few more, Brother Neville; I see a couple more coming down. And now, that's just fine.
How many mothers is here? Raise your hand. Oh, that's wonderful. Now, that's just fine and dandy.

63 Now, if you little girls in the back want to come up here, come right ahead, if you're old enough to be away from mommy. And mommy wants to bring you up here, well, tell her to come right on. It's for mommy too. All right.
Now, I tell you, children, we just read a verse. Would you all like to quote it with me? Would you all quote this verse with me? Now, it's found in St. Matthew the 16th chapter and the 25th verse, what we're going to talk about. Now, these little... Every little boy and girl, this morning, quote this with me now. Say, "St. Matthew" [The boys and girls say, "St. Matthew"--Ed.], "the 16th chapter" ["the 16th chapter"], "the 25th verse." ["the 25th verse."] Now, you quote with me. "For whosoever shall save his life" ["For whosoever shall save his life"] "shall lose it" ["shall lose it"] "and whosoever will lose his life for My sake shall save it." ["and whosoever will lose his life for My sake shall save it."] Shall save it. Yeah, let's say it again. "Whosoever" ["Whosoever"] "shall lose his life" ["shall lose his life"] "for My sake" ["for My sake"] "shall save it." ["shall save it."] Wonderful.

65 Now, boys and girls, you know what? There's a lot of things in the world that's real valuable. And one of those things is, you have it with you today; it's the soul that's inside of that body. And that's the most valuable thing in the world to you. Is that right, mother? Say "amen." [The mothers say, "Amen"--Ed.] The most valuable thing that you got is your soul. And now, if you keep your soul, then you're going to lose it. And if you lose your soul, then you're going to save it; if you lose your soul to Jesus. See? In other words, if you believe on Jesus, you become His disciple. And then if you give your life to Jesus when you're young like this, and then you're going to... He's going to save it to Everlasting Life. But if you--if you want to keep it, you're going to lose it; yeah, you'll lose it. If you want to act like these other girls and boys around here, and go out and do as they do, then you're going, you're--you're going to lose it. But if you want to give your life to Jesus, then you're going to save it for eternity and forever.

66 Now, you remember that now, that it's the most valuable thing in all the world, is your little soul. And if you keep it, you'll lose it; if you give it to Jesus, you save it. Can you say that with me? If... Say, "If I keep it," [The boys and girls say, "If I keep it,"--Ed.] "I'll lose it" ["I'll lose it"]; "and if I give it to Jesus," ["and if I give it to Jesus,"] "I'll save it." ["I'll save it."] That's it. Now, you got it. Isn't that...
All mothers think that was fine, say "amen." [The mothers say, "Amen!"] Oh, that's fine. That's good.
Now, you see, there's one thing you can do. Now, you go ahead. If they want to act like it, and have their world wants... If the boys and girls wants to go out there and do things, and tell stories, and say things that's wrong, and--and cheat, and steal, and--and do things bad, and copy in school, and things, go ahead; they lose. They lose it. But if they'll give it to Jesus, they won't do that, and then they'll save it. That's what you want to do. Isn't it?

69 Now, we're going to start in our little story. Now, that's our background now; you remember that. Now, let's start our little story. Now, to the old people, and to the--the fathers and mothers, you listen too now, you, especially you mothers and dads at this. And we'll start. You like little stories? Do you? Oh, I just love them, especially now... You read a lot of stories that's not true. But this story's true, absolutely the truth, every Word of it. It's in God's Bible, so it has to be the truth (See?), 'cause It's God's Word. God's Word is the Truth.

70 "Now, you know," said, "I'm so tired. I--I'm--I'm tired enough to die."
"Well," said, "why don't you go upstairs and go to bed? Lay down on the cot, the sofa up there, and go to bed."
He said, "But, oh, I'm too tired." He said, "Oh, honey, if you'd have seen what I saw today, oh, I'm--I... What... I don't even want any supper. Oh, it was terrible, the sight that I saw today."
She said, "Well, what, what was it that you saw?"
Said, "I can't tell you before the children, oh, it's too terrible. My, it was bad."
"Well, what was it that you saw?"
"Well, I'm going upstairs and lie down just a little while, and then--and then after supper when we put the kiddies all to bed, then I'll tell you what happened today."
"All right," she said.
And upstairs he went. He laid down. "Oh, so tired, oh, my." You know how daddy is when he gets tired, just really tired.

76 And after while, the little bright-eyed girl, she started running around over the floor, and talking a little loud. Said, "Sh-sh-sh, don't do that. You'll wake up daddy. And, oh, he's so tired till he--he wanted to die. He didn't want to live anymore. And if daddy gets that tired, well, we should let him sleep a little while. Don't wake him up." And little Miriam, she goes over and sets down to be real quiet.
And after while she had supper all ready, so she slips up the stairs and she--she calls him, "Amram?"
And he said, "Yes, Jochebed, dear, I'm coming down." So they come down the steps, you know, and they had a nice supper.

79 So after they'd eaten supper, and the little--the little boy and little girl had eaten all their supper, why, the mother put the things away and she tucked them into the bed.
And then she goes into the room, her and her husband, and they set down. Said, "Well, now, what was it that you saw today, Amram, that made you so--so upset tonight, that you didn't even want to live?"
"Oh," he said, "darling, I--I just can't understand it." He said, "I saw... It's... Well, we see it every day, but today was especially." Said, "Oh, I--I seen the awfullest sight I ever seen." Said, "Our poor boys, some of them are not over twelve years old, pulling that big old wagon, with ropes around their neck like that. And those poor kids had pulled till they could pull no more, up that great big incline, those big stones back there, and they couldn't go no farther. And after while the wagon begin to creak and go real slow, and after while it stopped. Down the road come a man, oh, he was a maniac. He roared out, 'Why are you stopping this wagon?' Wham, with those great big old snake whips, and whipping them across the back, and the blood run out of their back, and run down like that. And those poor kids just hung on to this rope, and cried." Said, "Oh, Jochebed. What can we do, mother?" Said, "We're the people of God. God blessed us. We're the children of Abraham, Isaac, and Jacob. And why will we have to be slaves down here to these things? Oh, it's terrible how those poor boys cried. Oh, and I pray and I pray and I pray, Jochebed, and it seems like that God just don't even hear me. I pray and I pray, and He seems like He turns a deaf ear, He don't hear me at all. He just seem like He don't care anymore."
"Now," she said, "look, Amram, that don't sound like you. You're a real daddy, and you... That don't sound like you, because you're always encouraging us, telling us to have faith in God."
"Oh, but, dear, when I pray so much, and--and still God don't hear me, and seems like it just gets worse all the time. The more I pray, the worse it gets."

84 But little boys and girls, does God hear prayer? Say, "He hears prayer." Does God answer prayer? Yes. Does He answer real quick? Not all the time, does He? No. Sometimes He makes us wait. Is that right? But God answers prayer. Doesn't He? And just because everything's going wrong, that's no sign we should quit praying. We just pray on anyhow. Don't we? That's right. Now, you answered right. God answers prayer. Let's all say it together. [Brother Branham and congregation say, "God answers prayer."--Ed.] Yes. No matter what the circumstances are, He answers, anyhow. All right.
"Well, are you going up to pray again?"
"Yes." And daddy had a secret room way up in the attic where he went to pray. So he gets up there that night; he kneels down by the side; he said... Now, he said, "Jochebed, now you go on and go to bed, and you and the kiddies. Because, don't bother me, I'm going to pray maybe all night tonight."

86 So he gets down on his knees, and he prays and he prays. I see him lift up his hands and say, "O God of Abraham, Isaac, and of Jacob, remember Your promise to Your people. Here we are way down here in Egypt, and we're under bondage. And, oh, our cruel taskmasters are--are driving us to do things, and to beating us around, and our poor people are--are stripped off naked, and they're whipping us with a whips. And we're Your people. O God, surely You'll hear prayer, surely You'll answer prayer. And I pray and I pray and I pray, and You seem like You don't even answer me. But, God, I believe that You are God, and You'll finally answer prayer." And he prayed on like that, almost all night.

87 And the next morning about three or four o'clock, he comes down the little steps, and he looks over there, and there was his lovely little wife, little Jochebed. She was there in the bed, asleep. And little Aaron and little Miriam had already been tucked in the bed, so they were just as sleepy as they could be, and sleeping away. All right. He said to her... She said, "It's getting late, and you're just getting?"
"Yeah, I prayed all night." His eyes were stained with tears, because he cried for the people.
And she said, "Looky, now, Amram, you shouldn't go too hard at it."
"Now," he said, "listen, dear. That's good. But now look, you've got two kiddies to raise here. And the burden is mine. If somebody don't pray for our poor people, what will become of them? What's going to happen if somebody don't have the people at--at heart? Somebody's got to pray."
"Well," she says, "Amram, the burden's not all yours."
"Well, it seems to be. And anyhow, I'll pray, anyhow, all the time."

92 Goes to work that day, and each day he comes and goes, and the same old toil of... And he--he had a hard job. He had to... They poured mortar into great big molds, and he had to stand there by that big furnace. When they'd open it up, oh, my, it'd almost break his hide, that horrible heat. He'd push those bricks back in there and bake them, bring them out to build great big roads and great big high towers to idol gods and everything. And this real Christian man down there working like that for the enemy... But he was a slave; he was in bondage. He had to do it.
And every night when he come home, he'd pray, and go up the steps again, and pray and pray and pray, and come back down: got no better; kept getting worse.

94 And one day over at the work he heard a rumor. Said, "What's that? What is that? Tell me." Somebody whispered to another. After while before the day was gone, it was all over the whole country, what was going to happen.
What was it? A council was going to meet that night. Old King Pharaoh, the old wicked king was going to call all of his people together and have another big council. So they had this great council meeting down there.

96 So that night he went in, oh, he was just all down. He goes in, and his wife says, "Amram, dear." She met him at the door, and kissed him, and said, "I have your supper real good and warm. But," said, "dear, you look so pale. What's the matter?"
Said, "Oh, Jochebed, if you'd have only knew what's going on. Oh, it's worse than ever."
"What?"
"Sh, sh, can't tell it, the children's around. Wait till after supper, and I'll tell you about it."
"Okay."
So she had supper ready, and got supper up, and took all the kiddies and put them in bed.
So they went in. He said, "Jochebed, I want to tell you something." Said, "One of the most horrible things is a-happening."
"What?"
Said, "They're going to have another council today--tonight. And when they do, they're going to set some other burden upon us people."

102 So then, let's go over to the king's palace. King Pharaoh brings them all out there, and said, "All right, all you generals, what's the matter with you around here? I give my orders around here. This people is increasing all the time. What's the matter? Can't we stop this?" Said, "Someday there'll come another army in here. And all these enemies of ours out of Goshen over there, these Israelites, will join themselves with this army, and they'll overcome us. And our great economy will be tore down; our great kingdom will be destroyed. They'll take us. What's the matter with you? Speak up, somebody. Don't you know something to say?" Oh, he was mean and dirty. All the generals was shaking.
One of them raised up, and said, "Long live King Pharaoh."
"Well, say what you're going to."
Said, "Long live the king. Your highness, sir," he said, "I would desire that you'd put more burdens upon the people."
"You numskull, you already put plenty of burdens on the people, and yet they increase. Why, you... If that's all the ideas you got, just keep it to yourself." Oh, he was rough.

105 After while one raised up, great big smile on his face, like the Devil. And he said, "Long live King Pharaoh." Said, "I've got the idea."
Said, "Well, speak up. Don't stand there like that."
He said, "I'll tell you what they--what you can do." Said, "You know, these people are increasing so fast."
"Yes, that's right." Said, "Some of them, some of their people even have as many as fourteen children; sometimes they have twenty children. And our people don't have maybe one." Said, "They're increasing so fast, they're just covering the whole land."
See, God was doing something. See, God always pulls the wool over the Devil's eyes. You see? See? He knows what He's doing. See? And all these women just having lots of children.

109 "Why," he said, "long live the king. Well, I'll tell you what. Every time a woman gives birth to a little boy baby... Go out in the land here and get some women, and that--that's not mothers (You see?), women that never had children, women that don't want children and don't love children, old long-nosed witches (See?), longer the nose, the better: old long fingers, painted-up faces, and get them. They don't know what mother's love is. So then when a little boy baby's being born, why, let them go and get that little boy baby and bring him out, bust his head against the wall, throw it back in the house to the mother like that. Throw him down in a big well. Oh, better than that, take him out, tie his hands and feet. Throw him out and fatten up the crocodiles. That's the way to get rid of it. Then they won't increase very much, 'cause there'll be no men left. Kill all the little boy babies."
"Oh," Pharaoh says, "that's good. That's a good idea." See what the Devil is? He's wicked, isn't he? Said, "So that's the thing to do. Go get... You got... Now, being that you had the idea, I'll just make you overseer of that. You go out and get all the old women that you know of, that--that's never been mothers, and they don't love children. And they're... They..."
See, it takes a mother to love a child. You remember how mother loved you? Well now, see, mother loves the little babies.

112 "But she had to get somebody that--that they didn't, that didn't have no children, didn't want no children, just--just--just real old mean women," and said, "make them police. And when you make them police... And give them orders that they can go in any house they want to, and take every little baby out and bust its head against a wall, and give it to the crocodiles to eat: every little baby." Oh, how cruel. Then you know what they did?
"All right, that's good."

113 Then the next day when Amram was down there working, he heard that issue had been made.
And, oh, he goes home. He said, "Oh, Jochebed, oh, darling, let me tell you something. You know what that order was issued? To kill all the little boy babies." And he told her. Said, "Oh, I just can't stand it." Upstairs he went again to pray. That night he prayed like he never before.
Are we supposed to keep on praying? Oh, pray on. Is that right? Just keep on praying, no matter what goes on. Keep on praying.
Now, and the first thing you know, he prayed all night, "O God, be merciful. Help, God. We pray that You'll help us in some way." Back down he come around daylight.

117 Day after day, and, oh, what a howl around the country. Every day they'd hear mothers screaming up and down the streets. They'd take their little babies out of their arms, or little tiny little boy babies. Those old witches would go in there and, take their little feet, and bang them up against the wall and kill them, and throw them in to the crocodiles. The poor mother would get on her knees, and she'd cry, "Oh, don't take my baby. Don't take my baby." And, oh, what a time they were having.

118 You know how mother loves little babies, how she puts him on the chin. You remember how mother would take you and--and wash you, and kiss you, and--and--and would say how pretty you was. And how she put you to bed at night. And, oh, if--if you'd... A little door would be open, a little draft coming through, something like that, oh, my, she'd run real quick and shut the door, cover up the little baby, and you know she taken it. She loved you. See? She loved you. Oh, she loved that poor little thing that God had give her, that was helpless and it couldn't help itself, so she loved that little baby. And she'd just kiss her little babies and play with them, because she was a real mother. See?

119 But these old women that kill the babies, they didn't know what motherly love was. They wasn't mothers. All they thought about, they just had big time on their mind, things of the world. So they'd go in, kill those little babies. You're too young to know, but it's still going on. That's right. Now, you adults know what I'm talking about. That's right. Too much of it... Oh, you say, "I wouldn't take..." But abortion case is the same thing. All right, but you see they don't know what mother love is. Now, you know what I mean when I say real mothers? That's right. No different; the same Devil... So there, then, and--and just to think of the thousands times thousands times thousands, yearly. It's as bad as it was in Egypt or worse. And there...
Then they come in, they didn't have a mother's love, so they'd take those little babies and kill them. Oh, it kept going worse and worse. And one day there come another rumor, they're going to have another meeting.

121 Pharaoh called all of his counselors together, and all of them together, and he got in there and said, "All right, they're still increasing. What'll we do about it now?"
This same old sly, slick, devil-faced guy, raised up and said, "Long live King Pharaoh. I have the idea. Look, you've got the men working. You make them have a kiln of bricks, so many each day, make them make them out of stubble. You've killed the--the little children and things, but they're still increasing. The thing you ought to do, is put the women to work too. If you put the women to work, then they won't..." Now, that's not a woman's place. No. So he said, "But you put the women to working; put them out there, and let them make brick too. And then they'll be so tired when they come in, they--they can't cook their husband's supper; they can't be a good mama. See? And so if they're going to work and go on like that, so they--they won't be able to do it. So you put them to work too."
"That's good, fine; you're a wise man." So he puts all women to work.

124 And here comes poor old Amram, come in that night, said, "Oh, Jochebed, I don't know what we're going to do. Now, they're putting all the women to work. I--I tell you, oh, I just don't know what to do. We're--we're--we're just... We're slaves, and we're getting worse and worse. I--I predict this: if God ever does anything for us, it'll be after we're all dead."
Now, God don't wait like that, does He? No. God just watches us sometimes, doesn't He? All right.
So then that night, said, "I'm going up and pray like I never prayed before."
Now, that's the way to pray. Isn't it? Pray like you never prayed before, really get to business! See, if you just go up and "Lord, bless So-and-so-and-so." God don't--don't take the interest much to that. But when you really get down to business... When you little boys and girls pray, get down to business. Do you do that in school? Do help... You ask God to help you in school? When--when you're going to go to school, and you don't make very good grades, you go in and say, "God, I--I want You to help me"?

128 Do you pray? How many little boys and girls prays? Let's see your hands. Oh, that's fine. Now, that's good. Do you have a secret place where you go pray, where mommy and daddy don't even see you? Do you pray like that? You, you don't pray like that? Have a little place, step out and pray, and say your little prayer. You say it every night before you go to bed? When you get up at morning, honey? Oh, that's good. How many other little boys and girls, raise up your hand, that prays, way over the building. Oh, ain't that fine. Well, now, that's good. That shows you got a real mother and daddy that teaches you to do these things. Now, now, when really get in need, you better pray sincerely, hadn't you?

129 So, little Amram, upstairs he goes. Oh, my. He didn't want no supper. He said, "It's too bad. My..."
"Oh," she said, "you must eat supper, dad."
"Just can't do it, Jochebed. I just can't do it. I--I..."
"Oh," said, "but you're losing weight, and you're nervous, and you're pale in your face. You're vomiting up your food and things."
"Oh, I don't know what to do." But he said, "dear, if somebody don't take the people to heart, if somebody don't pray for the people, what will we do? We're getting worse. Surely, sometime God will hear."
Yes, that's right. That's right. God will hear. You get down to business and just stay there.

133 Oh, this time he goes upstairs different. When he goes upstairs this time, he kneels down, he puts his hands up in the air, hollers, "God, I'm speaking to You now." Amen, getting to business... "God, Thou hast ears, and You can hear. Thou hast eyes, and You can see. Thou hast a memory; You know Your Word. You know Your promise. I plead to You, God, look down here, the God of Abraham, Isaac, and Jacob, that Your people are in distress, and they're dying. Do something for us, God. We've got to have You at once. We've just got to have You or we'll perish. We must have You. We just got to, if we live." That's when you really pray. Oh, he prayed.

134 You know, sometime people when they pray, they get tired. Don't they, mother and dad? Oh, get so tired. Brother Branham sometimes gets so tired I almost faint when I go to praying a long time; just get faint, go without eating and things, for days, and pray and pray and pray, and preach, I just get to a place I going to faint, nearly. And sometimes people get that way. That's no time to give up. Keep on. God will answer. Yes, sir. Keep holding on. Yes, sir.

135 So he goes up the little old creaky steps. And I see Jochebed come by, and say, "Oh, Amram, don't. Honey, I--I believe..."
"Now, Jochebed, look, you're a fine, lovely..." She was beautiful, pretty little mother. And he kept going, keep going, patted her like that. Said, "Now, mother, you go back and put Aaron and--and little Miriam to bed. And I'm going up to pray. And now, if you hear me weeping, don't you come up."
"Well, but, Amram, what you going to do, honey? You're--you're about dead."

138 "Yes, but I--I--I got the burden of the people on my heart. I got to do something about it. I got to stay on my knees. And so all the people..." He said, "Today, only today, down at the brick hill, I was down there, kept saying, 'Well, children, God will hear.' And one big old man come up, put his hands on his hips, and said, 'When will He hear? When will He hear?' See how people is even getting bitter? They're getting against God, because they pray and pray and pray, and nothing happens. And this one prays and prays and prays, and nothing happens. And all the priests says, 'The days of miracles is past, and only thing we can do is just get right down to these old taskmasters who worship heathens or heathen gods, and so forth. And what can we do?' But he said, "But I believe in Jehovah. Amen. I believe He still answers prayer."
Do you believe that? You believe it? Amen. All of you that believe that, say "amen." [Congregation says, "Amen!"--Ed.] Still answers prayer... All right.

140 Little old frail body, lost a lot of weight, up the creaky steps he goes, goes over there and kneels down, and he said, "O Jehovah..." Oh, he prayed like he never prayed before. He said, "Jehovah, looky here. You're a real God. We believe that You got ears. We believe You got eyes. And You know all things. And we believe You're the God of the Hebrews, and we're the people of the promise. We believe You keep Your Word." Said, "Look at these heathens out here, how they're taking our cheap labor, and building great big roads and idols, and everything. You, Jehovah, would You set in Heaven and let the heathens rule over You? I don't believe You'll do it." Amen.

141 I still don't believe He'll do it. Amen. When the Devil comes in; God is still God. Right. He'll not permit the Devil to do that. I believe it's the day that when fashion and nonsense, and all this tommyrot's going on, still, God still reigns and He's still God. Right. What we need's somebody like Amram, got the burden on their heart, who'll stay there and pray it through, until the heavens is split open yonder, God comes down and answers prayer. Amen.
"Now, looky here," he said, "God, do You let the heathens mock at Your people like this? Weeks and months and years has passed. We pray constantly. The tears bathe our..." [Blank.spot.on.tape--Ed.]
"O God, will You permit such a thing?"

143 I wonder today, that when hundreds of little babies are throwed into the rivers and cesspools, and not permitted to live, and abortion cases and everything else committed, O Jehovah, will You permit such stuff to go on? Today, when whiskey and beer, and night life, and everything, is crowding out. And even the pulpit's got so weak till they're afraid to say anything about it. Jehovah, will You permit such nonsense to go on? He'll answer one day. Oh, His wrath is terrible when it comes. Yes, sir. Women going out and making their babies die, a cigarette tray to drop ashes in, and everything. And people take their little babies out to beer parlors, little girls and boys setting there, six or eight years old, drinking, and things like that. And the nation legalizing it, and it's all right? Oh, my. Think Jehovah don't see that? When, they're even making fun of the people who really are right with God. All these things going on, making fun. Hold on, just keep holding on. Jehovah will answer. Don't worry. All right.

144 We go on a little farther. We find him up there praying. And he just gets so tired, he lays down. He just prays till he just falls on the floor. He can't go any farther, and he took a little nap. He woke up. "What's the matter? Look around here. Where's that Light coming from? Oh, look, standing there in the corner." There stood an Angel, His sword hanging there on His side. Oh, he looked again, and he rubbed his eyes. He pulled up on his knee; he said, "Lord. Oh, oh, what--what would You want of me?"

145 He said, "Amram, I am the Angel of God. I've been sent from heaven to tell you God heard your prayers. And I've come to tell you that He's going to send a deliverer. He remembers all of His promises." I see the Angel now; look at Him; he's pulling out this sword, he points it to the north. Amram looks. He said, "Just the point of this sword lays the promised land. And I promised Abraham, Isaac, and Jacob, your fathers, that you people would inherit that land. And I've heard the groaning of the people; I've heard the crying of the children; and I'm come down. And I want you to know that you're going to play a great part in this, Amram, because you were faithful in prayer. You were faithful in your house. And about this time next year, Jochebed, your lovely little wife, is going to embrace a little baby boy. And that little baby boy is going to be a deliverer." Glory.

146 He said, "Oh, yes. Yes. Oh, yes. Yes. Oh, He's so beautiful." He looked, and the Angel begin to lift up. Just seemed like the whole heavens opened up, and He went out of the room. He waited a little bit. He said, "Oh, I'm not beside myself."
Downstairs he went, real quick, and said, "Jochebed, Jochebed, right quick."
Said, "Yes, what's the matter, dear?"
Said, "Stand up." And the moonlight shining in the window...?... she looked beautiful. And he said, "I have just seen an Angel of God, and He told me all these things."
"Oh, how did He look?" said the mother. "How'd He look?"
Said, "Oh, He was beautiful. He had on a shining robe. His eyes sparkled. And He had a sword in His hand, and He pointed it to the north." That's the way, you know, the promised land lays from Egypt; up that way, Palestine. He said, "He pointed it to the north. And He said that we were going to have a baby about this time next year, and this little baby was going to come forth and be a conqueror, and going to deliver His people. Oh, hallelujah, Jochebed."

150 And he noticed she was quiet. Her face, her eyes were staring; her great eyes were looking. "Jochebed, what's the matter?"
"Oh, Amram! No, no, no. We have a boy baby?"
"Yes."
"Oh, you... It can't be. You know what? Oh, if you'd have never had this vision. You know what, Pharaoh he's killing all the little babies."
"Yes. But, you know, if God gives us this baby, God will take care of the baby. Amen. God promised. God will take care of him."
Well, the next day he goes out to work. And all the fellows up there, they notice Amram. Instead of coming in, you know, being all stooped down and weary, had his shoulders up, said, "Pass some more bricks. Come on, let's go."
"What's the matter?"
"Glory to God. God's going to answer prayer. Uh-huh," going on.

154 You know, it makes you feel good when you get a answer. Don't we know that, pop and mom, when God gives an answer? You don't have to see a vision, just know the answer's there, that's all. That's all, just know the answer's there.
Now, listen close now. Want you to listen to what happened. Now, you know, after while, said, "All right, Amram, what's the matter with you?"
"God's going to answer prayer. God's going to answer prayer."
"Well, how's He going to answer prayer?"
"That don't make any difference."
One old guy walked up and said, "Now, when do you think He'll ever answer prayer?"
"I ain't going to tell you, because you're an unbeliever, anyhow. Pass me some more bricks." Throw it in there like that. No...?... Don't care; you don't have to tell unbelievers all things. Do you? Don't make any difference. No, sir. Certainly not, "Pass me some more bricks. Hallelujah. Going to answer prayer." That's the way you feel when you know it's going to happen. Isn't it? Yes, sir.
"Well, how's He going to do it?"
"You don't know anyhow, so just keep on passing bricks." Put them all in there, got all them old brick in there.

160 That night he went home, said, "Oh, Jochebed, think of it, we're going to have a baby. Oh, and he's going to be the deliverer. God's going to send him. Oh, it's going to be wonderful.
"Oh, but I'm so..."
"Oh, quit worrying. Quit worrying. My, God's on the--God's on the hearing end now. God's got ears; God can hear. God has got hands; He can deliver." Said... Oh, he had a lot of faith.
You know when you pray through, you get an answer, you really get a lot of faith then. Oh. Did you ever pray for anything that you knowed God was going to do it for you? You little girls do that, and you little boys? Yeah, Sure. That's when you--that's when you know it's going to happen. All right.

163 A whole year passes. And the first thing you know, here comes Amram in from work one day. What happened? The cutest little baby, oh, he was a little darling, about this long. And so she picked him up, hands him over to Amram. And he kisses him, you know. He loves him. See? And mother was holding him. Oh, what a treasure. She said, "Oh, I'm so scared though, you know. This little baby, he's such a sweet little thing."
And you know what? The Bible said that was the prettiest little baby ever was born. Now, I know mothers will disagree with me on that. They thought... Your mother thought you was the prettiest little baby. Didn't she? Yeah. She has a right to think that. But the Bible said this was a pretty little baby. Oh, he was a jewel. God had His hands on him, you know. So, oh, he was the cutest little thing. He'd lay there, and he--he'd just make a little bitty grin, with no teeth.

165 Do you ever have a little brother and them, when he had no teeth, just grin like that?
And the first thing you know, "Wah."
"Oh, my, goodness. Whew. That old...?... hiding."
"What's the matter? What you doing?"
"Take him downstairs. You know what the order is. See, if that old long-nosed witches comes by here, they'll take our baby and kill it. That's right. We can't let it cry." So, oh, it needed some--needed some breakfast or supper. So the mother takes it over in the corner; she nurses it, you know. And so he's all right then.

167 So a couple of nights after that, they was playing with him. And, "Wah," away he went again, you know, started crying. Away she went real quick, and hid, hid him real quick like that. And downstairs, way down in back, in the wall, Amram had fixed a little place where he could hide the baby.
And then first thing you know, they heard something upstairs go... [Brother Branham knocks on the pulpit--Ed.] "Whew. gone." Everybody scattered over to one place, said, "That's them. That's them old witches." Them old long-fingered, painted fingernails. And the old witches looked down there. And looked out the window, said, "Yeah, that's them. They're standing there."
[Brother Branham knocks on the pulpit--Ed.] "Open up!"
Old Amram walked out, opened the door, said, "What do you want?"
Said, "You got a baby in here, and we know it. And we're going to take it."
"We ain't got no baby to give to you." (They didn't.)

171 "We're coming and look anyhow. We are police women. See our badges!" And that's a... Ain't that something for a woman to be? But, "We're police women. We got our rights from the authority." You know, we have them here now. And so--so then they checked down, goes in. They go in and turn over the sofa, and open up all the drawers and throw everything out in the floor, and take all the bedclothes and shake them out, and go upstairs and find where daddy had a little secret place. Looked everywhere, but they couldn't find the baby.

172 Couldn't find the baby, so they walked up to the woman there...?... poor Jochebed standing there, her face was white. They walked up, said, "Looky here. We know that you're a--a mother. We can tell by the looks of you. We know you're a nursing woman, and we know that baby's here. We'll be back. We'll get it." Out the door they went. Whammed the door, and out they went.
She said, "Oh, oh, what can we do? What can we do?"
So Amram said, "Pray." Is that the thing to do? Is that the thing? "Pray. Let's pray."
"Oh, oh, oh. I don't know what--what to do. Oh."
So he said, "Now, look, you quieten down, and you go nurse the baby again. I'm going upstairs and pray."

175 So he goes upstairs, he prays. He said, "Jehovah, You got ears. Jehovah, You got eyes. Jehovah, You can hear. You can answer prayer. You gave us this baby; You gave us Your promise. And You will keep Your promise, and You'll keep that baby. And I'm confident."
After praying, getting real tired, and he--he just fell over like this, went to sleep. He was so tired, worked all day, and praying all night. He was tired. And then you know what happened? He went to sleep, and he dreamed a dream.

177 You know, God speaks in dreams too. Doesn't He? Sure, He does. Yes, He does. He can. See? And He speaks in dreams.
Oh, he woke up, and said, [Brother Branham snaps his finger--Ed.] "That's it. I ought to have thought about that. That's what I ought to do. I just won't say nothing about it."
Downstairs he goes. He said, "Jochebed."
"Yes, dear? Oh, I'm so weary. I can't sleep."
"Oh, go to sleep. Go to sleep. It's all over."
"How do you know?"
"Oh, I just know. I just have confidence."

179 Instead of dad that night going upstairs to pray, he went down in the basement. He was busy down there. I wonder what he was doing? Let's slip down and see him. I see him down there, going... [Brother Branham begins humming and illustrates building something--Ed.]. "Slam, slam, slam." [Brother Branham hums]. Takes this reed, and look over, twist it and see if it's good. [Brother Branham hums]. Little Aaron went out that day, gathered a whole armload of them, laid them down in the basement, you know. [Brother Branham hums]. "God takes care of you." [Brother Branham hums]. "Old-time religion, it's all got to be true!" [Brother Branham pounds on something]... slam around.
She said, "Amram, what's the matter with you?"
"Hallelujah. Nothing, dear. Go on."
[Brother Branham hums--Ed.]. "It's the old-time religion." [Brother Branham again pounds]. "It's the old-time religion." Bring this over here, you know. "It's the old-time religion." "Shhhhhhh," seal it all up. "And it's good enough for me. Give me this old..." He was doing something.

181 You know, after a week or two passed, the first thing you know, they wondered what he was doing.
So one night when they was all asleep, he slips upstairs and brings this little thing up, you know; he gets it up like this. And he brings it up. He raises up the cover where Jochebed his wife is sleeping, and he slips it under the cover. And little Aaron and--and little Miriam was asleep, you know. Oh, she was a sweet little thing, that little girl was, and so was little Aaron. So he put it under there. He said, "Jochebed, dear."
She said, "Have you been in the basement praying this time of night, Amram?"
Said, "No. I've been in the basement, praising God."
Said, "What you been doing?"
Said, "I want to tell you. Now, you know that old witches is coming back."
"Yeah."
And I want to tell you what we're going to do. We've had the baby now for three months, and we've got to get rid of it."
"Oh, Amram, you got to do what?"
"We've got to get rid of the baby."
"Get rid of the baby?"
"Yeah."
"Oh, you're cruel."
"No, I'm not cruel. No, no, no. I know what I'm doing."
"What do you mean? Why, you'll be as bad as Pharaoh. Going to get rid of our baby?"
"Yeah, going to get rid of the baby."
"Oh, we can't."
"Now, listen. If we keep it, we're going to lose it. And if we give it to the One Who gave it to us, He'll find it." Is that right? "Now, if you keep it, we're going to lose it."
"How you going to lose it?"
"Why, them old witches is going to come by and get it."

188 And look, if you keep that soul and go ahead and live like the world, you're going to lose it. The witches of hell's after you. And that's right. All this old folly of the world and things out there, it's right after you. If you keep it, you'll lose it; but if you give it back to the One Who gave it to you, you'll find it and keep it. What is it now? If we keep it, what do we do? [The children say, "Lose it."--Ed.] Lose it. If we give it to Christ, we what? Keep it. Amen! That's good. Now, you answer right.
Now, he said, "Jochebed, we're going to lose it if we keep it. So if we turn it--turn it back to the One Who gave it to us, then we'll keep it."

190 Now, you got a soul, and, papa and mama, you the same. But if you keep it, you're going to lose it. That's right, the witches of hell will take it. They're all after it. But if you give it back to the One Who gave it to you, you'll keep it to Everlasting Life. Hallelujah. Amen. Excuse me, children; I'm just old fashion enough to shout. If you keep it...
Let's say it, all together: [Brother Branham and congregation say together--Ed.]
"If you keep it, you'll lose it. If you give it back to the One Who gave it to you, you'll keep it."
Amen. Remember it now, give it to Him.
Now, let's watch. Oh, she begin weeping; she said, "Oh, what you going to do with it?" She said...
"Look here, I want to show you something."
"What you got under my bed there?"
Said, "Let me show you." And he pulled it out.
"Oh, it's a little reed basket."

192 It's a little ship, what it is. Hasn't got no rudder, and it hasn't got no sail, hasn't got no cannons on it, and yet it's going to pack the most precious cargo that was ever packed by a ship to that time. Hear it. It hasn't got no captain or no crew. Brother, I know a Ship for an adult like that too.
"Oh," she said, "Am, let me just look at it. Amram, let me see." She goes over here.
Said, "Look here, I got a little lid on it. See, you pick the little lid up."
Said, "Whew, stinks. Um. Whew. My."
He said, "Yes, it stinks."
"Why?"
"I poured it full of tar. It's all pitched, all over." Pitch is tar, you know, so they put pitch all over it. That's what he was boiling down here, and poured on top of these reeds. He'd pitched it. Said, "See, the water can't get--get into it then. See, it's sealed all over." And said, "And it--it just can't get into it; the water can't. I pitched it."
Said, "Whew, smells bad!"

196 You children know what tar is, when they're fixing the streets, you know, Oooh, that awful smell. But it--it--it--it keeps the... It--it shuts out all the cracks on the street. And that's the way this does; it shuts out all water.
And that's what prayer does for the believer. That's what you, keeps the world out of you, is when you pitch yourself on your knees, and say, "Lord Jesus." And the Blood comes down and seals you all up so the Devil can't get you. See, that's right. See? So then, oh, many times the people go around and say "it's awful," but that don't make any difference; it keeps you safe. See? That's the main thing: keep safe. Say you're old fashion, but, that doesn't matter; it keeps you safe.

198 "Well," said, "what are we going to do?"
"All right," said, "I'll tell you what we're going to do. We're going to take the baby, and we're going to have a little talking. And we're going to take the baby and put him in here, and put him out in the Nile River."
"Oh, no, no, no. Amram, you can't put our baby out in the river."
"Yep, yep. I know what I'm doing." See, he'd had a dream; he knowed what to do. See? God had instructed him. He knowed what to do. He built this, and he seen it was the very type of the ark that saved Mo--a Noah back there in his time.
So he said, "Look here; I got a little hole cut right in the top of it so he can breathe. See, he can get sunshine through there."
And you know, the ark in the Old Bible, way back there, it was made the same way. And it had a hole right in the top of it, so you could see in (You see?), and where he has to look up.
So then this poor little baby, nameless, didn't even have any name, little nameless baby, and yet the cutest little baby in the world.

204 The next night, when they come in, and they waited till about three o'clock in the morning, and then they... He walks over. And he got through praying. He goes over, and he said, "Now, come on, Jochebed, get up."
And so they woke up little Aaron and little Miriam. Oh, she come over and she put her arms; she said, "Daddy." Little Miriam, she said, "You're not going to take our little brother baby, are you, and put it in the Nile where all those old crocodiles are?"
And he pushed her little hair back like that. And her... She had pretty eyes and pretty little hair. And so he kissed her on the side of the cheek. He said, "Honey, it hurts me too. It hurts me too, but we must do this."

207 You see, little girls and boys, sometimes we have to do things that kinda hurts us, but we must do it anyhow. When the girls say, "Hey, did you ever smoke a cigarette?"
You say, "No."
"Well, try one. Oh, I'm your buddy, you know. Yeah, you try one."
But you, it might hurt a little bit, but say, "Huh-uh. I don't want it. I don't want it."
Say, "Will you come, go to the show with me this evening?"
"No, no. Huh-uh. I don't go to shows." See? It might hurt just a little. See?
"Oh, you're just an old fogy." Don't you believe that. It might hurt just a little bit. Just turn your head from it; it's the right thing to do. You see? Always do that; do the right thing. All right.

212 And now when the girls are learning this little old toe dance and stuff like that, and want you to do it, you tell them, "No, no." You don't do it. See?
"Oh, well, it's a lot of fun." You don't care how much fun it is. You want to do what's right, so you always do what's right. Now, you just remember that now. You won't forget it, will you?
Now, now what did they do? They took the little baby then, and he got up there. And little Aaron come up; he said, "Daddy, what are you going to do with our baby?"
He said, "Aaron, set up here on my lap, honey." Said, "Look, Aaron. If we keep the baby, what are we going to do? [Congregation says, "Lose it."--Ed.] Lose it. But if we give the baby back in the hands of Him that give it to us, what will we do? We'll keep it." That's right.
"But how are you going to do it, daddy?"
"I don't know. I don't know how it's going to be done, but God's going to do it." See?

217 And so then they put the little baby in there, and so he goes. And here they go now, they're going to the door. They go down to the door; he looks this a-way down the street, that way down the street. There's no one, nobody coming. Said, "Come on, Jochebed. Come on, Aaron. Come, come on, Miriam. Let's go."
They take their little ark and go down to the flags of the river. Oh, it's a long time 'fore daylight. And here comes little Aaron, back there holding little Miriam, little brother and sister, they were crying. And poor little Jochebed, she's going along, this [Brother Branham imitates Jochebed weeping--Ed.]. "Sh-sh-sh-sh-sh. They're watching the street. Be careful. Sh. Careful," going on down the street. "Sh-sh-sh. Be careful." Packing the little baby. And the mother's packing the baby, and--and daddy's packing the ark.

219 They get down to the river. Oh, it's a great big river, second biggest in the world about. And so them great big rivers, swishing, just full of great big old crocodiles and alligators. Oh, they were fat. Whew. They'd fed them all them little children. They were just fat. And--and she says, Jochebed says to Amram, her husband, said, "Oh, what if the alligators get ahold of it? What if the crocodiles in here touch it?"
Said, "Don't worry. If they ever stick their nose in that tar, they'll get plumb away. See? That's the reason it stinks. See? He'll stick his nose up," said, "he couldn't smell human flesh, so he'll get away. That tar will stink so bad till they'll run away. It'll be all right. Don't you worry." So they... And knelt and put it down, you know, the little ark. And she said... "Now, you nurse the baby."

221 So the mother takes the baby and nurses it, and she nurses the baby until it gets its breakfast, early in the morning. And then she [Brother Branham makes a kissing sound--Ed.] kiss it. And she said, "Now, Aaron, you can kiss it." And Aaron kisses it. And then take it over to Miriam, and she kisses it. And mother kissed it, and, "Oh," she said, "I just..."
"Sh-sh-sh. Now, listen, we got to be soldiers. See? We got to be soldiers. Now, you all want to kiss it again?" All of them kiss it around again. Then they put it in there.
And mother made the little blanket and put on it, little pillow, and put it on that. She said, "My darling little baby, God bless you."
"Sh-sh-sh. God will take care of that. Don't you worry."
Closed the little lid down. And the first thing you know, father begins to pull off his coat, take off his shirt. Here he goes wading out into the water.

225 What do you think is going on in heaven about this time? Hallelujah. You know, when things goes on down here, there's something going on up there too. Amen. I can see God raise from His throne, walk over, say, "Gabriel, Gabriel, where are you?"
Gabriel say, "Here I am, Lord."
"Come here; going to show you something." Said, "All you Angels come around here a minute; I want to show you something. I got people that believes Me. Yes, I got people who trust Me. Come here now. It's good for all you Angels, take a look at this. Look."
"Where is it at?"
"Right down there. Where abouts."
"Yeah, yeah, yeah, I see it."
"Look right down there. See the edge of them--them--them bulrushes there, them flags and things?"
"Yeah."
"See there."
"What is it?"
"There's a man with his hands up in the air, on his knees, calling on Me. There's a crying mother, and two little crying children. They're trusting Me to the very end. Gabriel, you remember when you went in? You remember that man?"
"Yes, I met in the room that night and talked to him. Uh-huh."
"He still trusts Me. I got people that believe Me. I got people that'll trust Me to the end. See him? Look at him. Yes, oh isn't that gallant."

231 The father's walking in the water, starts to push the little boat out.
I can hear Him say, "Gabriel."
"Yes, Lord."
"Call ten thousand Angels to the scene. Give them marching orders right away. Call the hosts of heaven out. Sail them all up and down on along the banisters of heaven, and put them all up and down the Nile. I command that no crocodile will touch that cargo; nothing will touch it. Don't even let a chunk of wood come near it." Hallelujah.
Gabriel said, "It shall be done."
"...?... sound the trumpet." Ten thousand Angels come in arm.
"The Father... "Where You going to be, Lord?"
"I'll be at the other end." He's always on the receiving end. "I'll wait down at the other end. I got a purpose. When people will trust Me, I have something, a purpose; it'll be all right with them." All right, goes down at the other end.

235 I see Moses--or little Aaron and them going back up the street, weeping. "Sh-sh-sh-sh-sh." Watch it.
And little Miriam, she's still standing, watching. She said, "Oh, oh."
Said, "Come on, Miriam; it's getting daylight. Come on, the roosters are crowing day. Come on, it's getting daylight. Come on, honey, let's go."
Said, "Oh, daddy, daddy. Please, one more time. Let me just stand; just let me watch it and let me see what happens. I'll be back home after while."
"Oh," [Brother Branham snaps his finger--Ed.] "that's a good idea, Miriam, it might be all right. You just stand and watch what takes place."
"All right, I'll--I'll watch it."
"Now, you hurry home after while. You just see what takes place. You come, bring us news what goes on."
"All right, daddy." And away they went, home, right in a hurry.
Little Miriam, she stands, and she watches. First thing you know, it gets light. "Oh, oh, oh, what is that coming up there? Well, it's a--it's a chunk. No. Is that an alligator? Oh, he turned.

242 Ha-ha. What did he see? He seen what a lot of people don't see. See? That little cargo was going, floating through there. They thought it didn't have any pilot; they thought it didn't have any captain. It did. They were gathered all around.
Here comes a little crocodile, say, "Oh, looky there." Here it comes, floating up like that, he go... Oh, no. No, no. He can't come close to that cargo. In there stood the emancipator that would deliver, free a million Jews that needed emancipated. All devils in hell couldn't touch him. Floating down, this little old tar-made ark, on down the river.

244 The first thing you know, it gets into a whirlpool. "Oh," Miriam said, "Oh, no, oh, look at there, that whirlpool; look at that; look at it like that." The first thing you know, all at once it just smoothes out.
That's the way it goes. We get in a whirlpool sometime, this little bark. Don't worry. There's Somebody watching over. "The Angels of God are encamped about those who fear Him." Got ten thousand of them on the marching list now.

246 Little Miriam, she goes down, she climbs up over this big rock, and she scoots over it like this. And she runs down; she watches the ark. It goes on down through here, and goes through this bunch of flags. After while it gets stuck out there. Say, "Oh, oh, I wonder."
Now, her daddy told her, said, "Now, don't you let anybody see you watching that. If somebody comes up, just act like you're not even looking at it; just go on some other way. Don't--don't act like that you're even watching it at all; just keep on going."
"All right," she said.

248 She goes on down the banks; it gets stuck. First thing you know, there's a big bunch of fishermen. And she just acts like she's just a little girl walking down. It's along ten o'clock in the day now, you know, so she just walked on down the river, and she keeps her eye looking back sideways, see where it's a-going.
After while she passes by another group. Just keep watching; goes on a little farther. Keeps on, goes on a little farther.
After while she comes to a great big wall. "Oh, my, it's going in behind this wall." What can she do? She don't know what to do. So she can't get over the wall, so she just wades out in the water and steps over like this, and crawls over the top. She gets over there, and she keeps walking.

251 The first thing you know, she's in a beautiful garden. Flowers are blooming everywhere, and it's so pretty. Now, listen just a moment. Now watch, little girls. Pretty flowers, and, oh, the trees are all trimmed. It looked so pretty. It's a park. "Oh," she said, "looky there at that! Oh, my. I'm in the palace park, Pharaoh's palace, in the park. What am I going to do here? If they'd ever catch me in here, oh, my, what would they do to me?"
And she watched. There goes the little ark, and it kind of stopped out there in the water, and just float around out in the water. I wonder why? And she hears somebody talking. She slips back under the bushes. She sat, and looked out like that, you know, little Miriam...?... look out and see it.

253 First thing you know, here comes some great big strong dark men packing a canopy up like this. And the maids a-following along, and they're singing. And here comes a woman, and she's got a big gold band around her head, with a big snake with its mouth open (like that) out in front. And she's a nice-looking woman, and she comes down. She has real pretty robes on and things. And I hear one of the maids say, "Your majesty, do you think the water will be warm this morning?"
Miriam said, "Majesty? Oh, that must be loyal, royalty, so I must be in the park. And if they catch me in here, what will they do for me?"

255 All right, she comes on down, and these big dark men packing her, just hold like this, walks down to the edge of the water like that, and she slips off her shoes. And one maid has the towels, and another one has the soap. And she was going down for her morning bath. So she goes down there and she starts to--to make ready for her bath. She slips off her shoes, and said, "I'll stick my toes in the water and see if it's warm yet. Oh, it's just nice, just... What is that out there?"

256 "Oh," Miriam, little Miriam said, "Oh, oh, oh, oh, she's done spied that ark."
"Oh," she said, "is that a crocodile?"
One of those big strong men said, "Just a minute; I'll find out." Splash, splash, splash, walks out into the water, picks it up like this, and walks in. Said, "Your majesty..." gives it to the maid. And the maid takes it over and gives it to her like that, and she sets it down.
She said, "What is it? Whew, stinks. Got tar all over it. Look here, it's got a hole in the top of it."
And Miriam said, "Oh, oh, there goes my little brother. There goes my little brother."

260 And so they opened it up like this. "Oh, it was a baby." And it begin... The prettiest little baby in the world... And, oh, a God Who could cause hate, could cause love; and all the love that He could put in a human's heart, a mother for a child, He put in that girl's heart. And she--she said, "It's one of Heb... I know what it is. It's that ill father of mine. He's so mean. He called all them little Hebrew children to be killed. And one of them mothers has just throwed their baby out, expecting it to land wherever it may. Oh, he's wicked. Well, he'll not kill this one, because this one's mine." Uh-huh, see how God is a-doing?

261 She picked him up and [Brother Branham makes a kissing sound--Ed.] she kisses him. And the baby cried. And when it cried, it just warmed her heart. She said, "Poor little thing." Said, "I'll take him and I'm going to call him... I'm going to give him a name." And there's where he got his name.
What was his name? [Congregation says, "Moses."--Ed.] Moses. And "Moses" means "took out of the water." See?

263 She said, "Now, I'll call him Moses, and he'll be my own baby. I'll keep him." But now, she said, "But I'm a maid; I can't nurse him. I--I--I don't have no way of feeding him." They didn't have these bottles and things then. Women didn't smoke cigarettes and like they do now (You see?), and poison themselves up. So said, "Well, if you know a..." Said, "What--what'll I do?" So she said, "I..."
And one of them said, "I'll tell you, your majesty, I'll find a wet nurse for your baby."
"Oh," she said, "that's very good."
A little Something spoke, a Angel standing there at the bush, said, "Miriam, there's your chance. There's your chance." Little Miriam ran out. And said, "Don't you say a thing now, don't you let on. You go out and say you'll 'find a nurse,' and go get your mother."
All right, so she said that. She said, "Your majesty..."

266 Now, ordinarily, she'd have said, "What are you doing in here?" But, see, God had covered it all over. Why? He had ten thousand Angels on the march. See? His program's going to work out. He had ten thousand Angels standing there.
So the first thing you know, said your... said, "Yes, little dear, what are you doing here?"
She said, "I just seen you with the baby." Said, "I know where there's a nice mother that would take care of your baby for you."
She said, "Go, get her, and tell her that I'll give her three hundred dollars a week to take care of this baby, and I'll give her a whole suite of rooms over in the palace. And if you know where there's a Hebrew woman, that's a wet nurse, that can nurse this baby. This is my baby."
Said, "Yes, your majesty, I'll get you one."
Said, "Now, wait a minute. Before you go into the castle, you've got to have a password. See, you don't know the password. Each day we have a password. Now, the password today, you know what it was? A pitchfork in a load of hay." Said, "That's what you have to say to get through the gate."

271 So little Miriam starts off down home, hard as she can go, and jump over the wall, down over the little street, and down this way, and down this way, and hard as she can go. She run in the house.
And--and Amram had just come home. And Jochebed said... Oh, they were sad, wondering what's going on. She said, "My poor baby, my poor baby." She...
He said, "Now, just listen." Said, "I just come by awhile ago down there on the street, and that poor mother had kept everybody up all day. They come right through this neighborhood this morning, and they busted every baby's head there was in the neighborhood." And said, "How they were screaming and crying. Now, don't know what with your baby. Wherever it is, where our baby is, God will take care of it."

274 Just then someone... [Brother Branham knocks on the pulpit--Ed.] "Oh, oh, there they are at the door now." So, they went and looked. No, it wasn't. It was Miriam.
She said, "Oh, oh, Miriam! Come in, dear. What happened to the baby?"
She said, "Mother, I'm so hungry."
Said, "But what happened to the baby?"
Said, "I'm about starved, mother." Said, "Oh, praise the Lord! Hallelujah. I'm about starved, mother."
Said, "But what happened to the baby?"
Said, "Mother, I'm so hungry I could eat everything in the house."
Said, "We'll get you something to eat, but what happened to the baby?"
Said, "Oh, the baby is all right, mother. Give me something to eat. Oh, I'm so happy."
"But what happened to it?"
"Well, give me something to eat; I'm just about starved." Could you imagine that?
She said, "Miriam, this is your mother and dad. Where is the baby?"

282 She said, "Mother, I told you. The baby, I saw it, and it's all right. Now, mother, get me something to eat; I'm starving. You know, I--I'm just about starved." Like you are when you come home from school, you know; oh, just got to have something.
So she went and got her a sandwich. Said, "Now, tell me."
And she going, "Yum, yum, yum," eating, you know, like. Said, "Mother?"
Said, "Yes, what happened to the baby?"
"Why," said, "mother..." She told her the story. And said, "Mother, you go get out your best clothes, and get your suitcase packed, 'cause you're going to take care of the baby." Oh.
"What?"
If you lose it, you'll find it again. Is that right? If you keep it, you'll lose it. If you give it, lose it, you'll find it. Is that right?

286 And little Miriam just a eating away, said, "Yes." Said, "You're going to the palace today. And not only that, but you're going to be given--be given three hundred dollars a week, and the best rooms in the nation to take care of your own baby."
First time in all the world's history where a mother was ever paid to nurse her own baby. See how God does it? Hallelujah. Nurse her own baby, and got three hundred dollars a week for it, and the best rooms in the country. God does things, doesn't He? Does it pay to pray? Is it good to pray?

288 So she got her little suitcase ready. We'll hurry now; we're going to close just in a minute. So we... She got her suitcase ready, and down the road she went, just as hard as she could go. And the first thing you know, she come; big old guard standing there with his great big spear, said, "Who goes there?"
She said, "A pitchfork in a load of hay."
"Pass on." See how God does things?
Went to the next guard. There he drew his sword, said, "Who are you? Who goes there?"
Said, "A pitchfork in a load of hay."
Said, "Pass on." My, see how God does things?
Go up, on up to the palace, starts up, and all the royalty comes out, pulls their swords. "Who goes there?"
Said, "A pitchfork in a load of hay."
"Pass on in."
First thing you know, a man walked out, said, "Are you the little lady that her majesty is waiting for?"
"Yes."
"And is this the wet nurse for the baby was found this morning?"
"Yes."
Said, "Well, bring her in." So she brings the baby in--or brings the mother in.

294 And--and the--the little princess walked out, and she said, "Do you know anything about babies?"
She said, "Yes, your majesty."
She said, "Look at this baby. Isn't it beautiful?"
"Yes, your majesty. Yes."
Said, "Can you know how to nurse a baby?"
"Yes, your majesty. Sure."
"Well," they said, "I'll give you your wages of three hundred dollars a week." Hum. Wasn't God good? And said, "And you got the best rooms in the palace, and your meals will be sent to you. You won't even have to come out and cook your own meals." Said, "Now, here's the baby; be careful. Don't drop it."
"Oh, don't worry, I won't. Don't worry; I won't drop it."
"You take the best of care of it."
"Don't you worry; I will. It'll have the very best care."
Sure, it was her own. See? "I'll give it the very best care."
"You see it's a beautiful baby?"
"It's very beautiful," she said.
"All right."

297 Close went the door on Miriam, and her mother, and little Moses. And when the door was closed, she looked all around. She said, "And she thought you were her baby. Ha, ha, ha, ha, ha." Oh, my. She petted it.
What had she done? She... If she had have kept it, what would she have done? [Congregation says, "Lost it."--Ed.] 'Cause she gave it back to the One Who gave it to her, and she what? Found it. And she can keep it. Now, what happens if we lose... If we keep our soul, what happens? We'll lose it. And if we give it back to the One Who gave it to us, what'll happen? We'll keep it. Is that right?

299 How many of you all would like to come up around the altar and pray? Would you like to do it? Would you like for Jesus to take care of you like He did that little babies? Now, let's all, little children, gather around the altar then. Will you do it? Come right around, kneel around the altar. Let's pray, all of you. All the little children, now come up here. Did you like my story about this? Did you like that? All right, now you come right up around the altar. Now, come. All you little children come, kneel right around the altar, just kneel down right there on--right there on the altar. That's it. All you little ones in the back, come here now, we're going to pray. All right. You want to come up and pray. Come up and kneel around the altar. That's right. Now, that's good. That's just fine. All right.
Now the mothers, you want to come too, and dads, you all kneel in the aisle.

301 Now, I want to ask you little children something here. Look, do you believe that Jesus loves you just like He did Moses? You believe that Angels watch you like this? Now, God gave you a soul. Didn't He? Now, if you keep your soul, what will happen to it? Going to lose it. But if you give it back to Jesus this morning, then what you going to do? Go--going to keep it...?... Now, you want to save your soul, don't you? And you want to grow up to be real mothers and real ladies, don't you, and real men, preachers, and so forth? Don't you want to do that? Now, if you do, then you give your soul to Jesus. Here's the way you do it. You say, "Dear Jesus, this is all I got to give You, is my soul, but You watch over me like You did Moses."

302 Now, if some of you older ones want to come and kneel too, some of you mothers, maybe, that you might want to kneel here this morning...?... for you do. If you want to come and kneel right along here, that's fine. Here's a mother coming with her little boy. Is there somebody else?
A father, daddy, any of you, if you want to be a praying man like Amram was, then you come and kneel too.
Mother, if you want to be like Jochebed, why, you come right along and kneel too.
Sure, it's for everybody. 'Cause what? You got a soul too. If you keep it, what will happen? Lose it. And if you give it back to the One Who gave it to you, what'll happen? You'll save it to Everlasting Life. That's right. Now, I want you to gather around, all you that will now, and let's have prayer with these little ones, and with our--with all now.

306 Mother's Day, a wonderful day... And maybe tonight, I might change my subject and go on tonight and tell what that mother did, how that mother did. She was the one who educated her little boy to lead all of Israel to the promised land. Oh, she was a real mother. Wasn't she a real mother? Now, you got a real mother too, and mother is praying for you. He was a real daddy. And daddy's praying for you. And now we're all going to pray together, and ask Jesus to help us.
Brother Neville, would you come, kneel with us?

307 And let's all bow our heads, everywhere. Now, Sister Gertie... [The pianist begins playing "Bring Them In"--Ed.]
Dear heavenly Father, this little simple story today, about the long days that's gone by, where a true father and mother, or a true believer, come to You and they worshipped You, they believed You. There was a distress in the land at the time. And how do we know that there's not a modern little Moses kneeling here this morning? How do we know that there's not a modern little Miriam knelt here this morning too, the prophetess?
O Father dear, these little children love You, and they come, kneeling at the cross, recognizing that they got a soul that must be saved, and they're giving it to You now. For we have just read in Your Word, "If you lose it, ye shall find it; and if you keep it, you'll lose it." And, Father, they don't want to keep their soul to theirselves. They don't want to live to themselves. They want to give their soul to You, so that by giving it they'd find Eternal Life...?... Grant it, Lord.

310 Bless all these little boys and girls around the altar. Bless their mothers and fathers that's here this morning. Oh, may Thy loving grace and mercy be upon them all. Forgive us, Lord, of all of our sins and shortcomings. Take sickness from our midst.
Send the Angels. Hallelujah. God, You Who commanded Gabriel, and ten thousand Angels went on the march; how many more Angels come around when they seen these poor little children kneel at this altar this morning. All around, over this altar and through this church, stands Angels of God. The recording Angel is here, taking their names down in a Book. They are losing their soul, so they can find it in Christ. Grant it, Lord.

312 May, from this day henceforth, may their lives be sweet and humble. May they be obedient children to their parents and to their heavenly Father, until the day that You call them home. Guide them in their little bark, down near the whirlpool. Every time it gets stuck in the bushes, may the Angels of God push off into the flowing currents of God's love. Grant it, Lord. And at the end of the road, may they find a loving Home, and their mother and their loved ones there in glory, where God stands in the gate to welcome that day. Grant it, Father.
Forgive us all of our sins and trespasses. And help us from this day to be wholly Thine. We commit these little children into Thy hands now, and these mothers with them, Lord, that they'll be the right kind of mothers upon this Mother's Day, this memorial time that's given to mothers. And may they, from this day, be better mothers. May the children be better children. May we all be better, Lord, and serve Thee greater. Grant it, Father, for we ask it in Jesus' Name. Amen.

314 Now, let's sing a little chorus. Do you believe Jesus saved you? Do you want Jesus to watch over you now, while you stand up? Raise up your hand to Him like this. Now I want you to turn around to dad and mother, and all of them. Turn around this way. Now, look here, mother and dad. All you little girls and boys stand up. Now, how many accept Jesus as your Saviour, and you're going to trust Jesus from now on to take care of you like He did little Moses, let's see your hands go. Every one of you. That's fine. Now, what happened? If you keep your soul, you what? Lose it. But if you give it to Jesus, what will happen? You'll keep it. Now, what if Jesus has got you now this morning? You're Jesus' now, aren't you? You're Jesus' little boy and girl.

315 Look at these little fellows standing here with tears. Tell me why they don't know that. Amen. The men of tomorrow. Yes. That's right. Amen.
Bring them in from the fields of sin;
Bring them in, bring them in,
Bring the little one to Jesus.
"Oh How I Love Jesus." Now, come on.
Oh... (all of you)... how I love Jesus, (Raise your hands up now.)
Oh, how I love Jesus,
Oh, how I love Jesus,
Because He first loved me.

316 Isn't that beautiful? Now, "Jesus Loves The Little Children Of The World." Give us a chord, sister. Now, you all turn right around this way to me, you little girls. I want to sing, "Jesus Loves The Little Children Of The World." How many knows it? All right, let's sing now.
Jesus loves the little children,
All the children of the world;
Red and yellow, black and white,
They are precious in His sight,
Jesus loves the little children of the world.

317 Now, all of you are in the army now. Did you know that? You know you're in God's army? Now, you look right at me now. And sing this with me now, 'cause you're soldiers now. Do you know that? Soldiers of the cross. Now, "I may never march..." You know that one? All right. All right, long time ago, old Sunday school song I learned. "I may never..." Now, you look at me now. [Brother Branham makes motions while singing the words of "I'm In The Lord's Army"--Ed.]
I may never march in the infantry,
Ride in the cavalry, shoot artillery;
I may never fly over the enemy,
But I'm in the Lord's army.
I'm in the Lord's army,
Oh, I'm in the Lord's army!
All of us, all together now. Now.
I may never march in the infantry,
Ride in the cavalry, shoot artillery;
I may never fly over the enemy,
But I'm in the Lord's army.

318 Do you believe you could sing that by yourself? Come up here lassie, come up right here now. I want you all go and do the same things I do. Come around behind the altar here now. Come right up here. Every one of you, move right up here where I am. See? Walk up here. Nobody is this side of the altar, come right up here. That's it. Come right back here. Now, turn around that way, look back this a-way like this. That's it. I want to show you what nice little boys and girls does after they know Jesus. Now, come right back this way. Now, that's it. Now, see out there.

319 Now, when I say, "I may never march in the army," you... "march in the infantry," you march too. When I say, "I may never ride in the cavalry," you do the same things I do. Now, stay back away from me, stand way back now. I need room. Way back, way back, now get away from, son. Now, come on, let's sing it. [Brother Branham and children do motions while singing--Ed.]
I may never march in the infantry, (march!)
Ride in the cavalry, shoot artillery;
I may never fly over the enemy,
But I'm in the Lord's army.
Oh, I'm in the Lord's army,
I'm in the Lord's army! (Ready!)
I may never march in the infantry,
Ride in the cavalry, shoot artillery;
I may never fly over the enemy,
But I'm in the Lord's army.
Amen. Just stand still. How many like that, say "amen." [Congregation says, "Amen."--Ed.]

321 Now, heavenly Father, bless these little children today. They are Thine, Lord. They have give their lives to Thee. They hear the little story of Moses and how You protected him. They hear of a good mother and a good dad who succored them and brought them up. And so have these little children good mothers and dads. And I pray, Father, that You'll watch over them and steer them down the stream of time, and may the Angels of God protect them. Give... And then be at the receiving end, to receive them in the last days, Lord, into Your Kingdom. We ask in Christ's Name. Amen.

322 Now, you may go back to your seats and tell daddy and mother how good you feel. Amen.
"All the days of their wandering they were led,"...?... that one, Gertie?
... of their wandering they were led,
To the land of the promise they were led;
By the hand of the Lord in guidance sure,
They were brought to Canaan's shore.
Everybody.
The sign of the fire by night,
And the sign of the cloud by day,
Hovering over, just before,
As they journey on our way,
Shall a guide and a leader be,
Till the wilderness be past,
For the Lord, our God, in His own good time
Shall lead us to the light at last.

324 How many is sick this morning and wants prayer? Let's see your hand. Being that we're a little late, maybe we'll put our healing service off till tonight, but just offer a word of prayer now, 'cause we're a little late.
Have you enjoyed the little story? You think it was good for the little kiddies? ["Amen."--Ed.] Yeah. We--we pass them by a lot of times. We shouldn't do that. See, I never get a chance to teach Sunday school, and this morning was a time to talk to them. I didn't want to wear you out, but I wanted to tell you this little story.
Remember, little children, that's not a little old story you read anywhere. That's Truth. That's the Truth. God did that. And He's with you now. All right.
Let us bow our heads now while we sing our dismissing song, slowly, "Take the Name of Jesus with you, as a shield from every foe." All right.
Take the Name of Jesus with you,
Child of sorrow and woe.

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