Questions Et Réponses Sur Le Saint-Esprit
1 Après la soirée d’hier, nous sommes tous remplis. J’ai entendu de bons comptes rendus aujourd’hui : beaucoup de gens ont reçu le Saint-Esprit. Et nous en sommes heureux.
2 Nous sommes heureux que Frère Graham soit parmi nous ce soir, un de nos associés du Tabernacle ici, le pasteur de l’église de la sainteté à Utica. Et Frère Jackson, je crois qu’il était ici hier soir; ou, il est quelque part dans l’auditoire en ce moment, c’est ce que quelqu’un disait. Oui, je vois maintenant Frère Jackson, là-bas dans l’auditoire. Et–et Frère Ruddell, est-il ici ce soir? C’est un autre de nos associés, ici, près de la route 62. Nous sommes bien contents qu’ils soient parmi nous. Et avec... Oh, Frère Pat, et tous ces autres frères, nous sommes, – et partout dans l’auditoire, – nous sommes heureux que vous soyez tous ici ce soir.
3 Maintenant, si je le voulais, j’aurais une bonne raison de faire monter ici quelques-uns de ces bons prédicateurs pour que ce soit eux qui vous parlent, parce que moi je suis enroué, après m’en être vraiment donné à coeur joie hier soir.
4 Ma femme, c’est elle qui me corrige; vous savez, les frères, ce que je veux dire. Elle disait que les gens qui étaient au fond hier soir, ils ne m’entendaient pas, parce que je parlais dans ce machin. Et alors, avant de commencer, je vais essayer quelque chose. Maintenant, je me demande si c’est mieux comme ça. Est-ce que c’est mieux comme ça, pour vous qui êtes tout au fond, là-bas? Ou est-ce que c’est mieux comme ceci? Est-ce que c’est mieux comme ceci? Maintenant, chérie, pour une fois je marque un point contre toi. Eux, ils disent que c’est mieux comme ça. Très bien. Oh! la la! C’est toute une femme. Voilà qui est bien, parce que ça fait longtemps que je n’ai pas marqué de point contre elle. D’habitude, c’est elle qui a raison.
5 Eh bien, nous avons vraiment, nous avons passé des moments merveilleux pendant ces trois soirs de réunions; moi oui, vraiment. Et maintenant, pour ce qui est des bandes, toutes excepté hier soir... J’avais appelé Frère Goad et lui avais dit de venir enregistrer la bande, pour le Tabernacle. Mais, si j’ai bien compris, il s’est trouvé que Billy Paul était parti avec sa voiture, et c’est pourquoi ça n’a pas été enregistré, autant que je sache. Donc, il nous manque celle-là. J’aurais aimé la garder dans l’église, dans l’intérêt de l’église, pour pouvoir dire à quelqu’un ce que nous croyons.
6 Maintenant, ce soir, je vais parler de La grande conférence, si je termine les questions assez tôt pour ça. Et puis, demain matin, il y aura un service de guérison. Et nous allons prier pour les malades. Donc, nous ne pouvons pas distribuer, ou, simplement dire : “Bon, je vais vous prendre, vous, et vous, et vous.” Ce ne serait pas bien. Mais nous distribuons un certain nombre de cartes, et parmi ces cartes-là, j’en nomme quelques-unes pour faire venir ces gens sur l’estrade. Et alors, si le Saint-Esprit commence à révéler, alors Il va parcourir l’auditoire et désigner des personnes de l’auditoire, pour le service de guérison. Et là, demain matin, je parlerai, si le Seigneur le veut, juste avant le service de guérison.
7 Je vois ma femme qui rit. Chérie, tu ne m’entends vraiment pas? Oh, tu m’entends. Bon, très bien. Elle s’assied tout au fond, et si c’est, si on ne m’entend pas, elle secoue la tête : “Tu... On ne t’entend pas, on ne t’entend pas.”
8 Donc, demain–demain soir, il y aura un service d’évangélisation et aussi un service de baptêmes d’eau. Alors, dès que j’aurai fini de prêcher demain soir, nous ouvrirons les rideaux et nous aurons des baptêmes d’eau ici, demain soir. Si le Seigneur le veut, si le Seigneur le veut, demain matin je voudrais, ou, demain soir je voudrais parler sur le sujet : Un–Un Signe a été donné. Et puis, si nous sommes ici mercredi soir, si le Seigneur permet que je sois ici mercredi soir, je voudrais parler sur le sujet : Nous avons vu Son Étoile en Orient, et nous sommes venus pour L’adorer. Donc, ce sera l’avant-veille de Noël.
9 Et puis, tout de suite après Noël, il y a la semaine des vacances de Noël. C’est à ce moment-là que nous prenons toutes les lettres... Généralement, Frère Mercier et les autres frères les rassemblent toutes. Nous les étalons toutes, et nous prions sur ces lettres, nous demandons au Seigneur de nous conduire, de nous indiquer où, dans le monde, nous devons aller.
10 Bon, il y a les Hommes d’Affaires Chrétiens, qui ont prévu toute une série de réunions : d’abord en Floride, très bientôt, pour leur congrès; puis de là, à Kingston, puis en Haïti, et à Porto Rico, puis en Amérique du Sud, pour ensuite revenir, en passant par le Mexique.
11 Mais le Seigneur semble me conduire à aller en Norvège. Je ne sais pas pourquoi. Vous connaissez le petit livre intitulé Un homme envoyé de Dieu? C’est la plus importante publication religieuse de toute la Norvège. Pensez un peu à ce que le Seigneur a accompli là. Et quand j’étais là-bas, ils m’avaient interdit d’imposer les mains aux malades. J’y suis resté trois soirées. Et ils m’avaient interdit d’imposer les mains aux malades. Alors, vous voyez ce que Dieu peut faire. La foule était si nombreuse qu’ils ont dû faire appel à la police montée, qui, à cheval, a fait évacuer les rues pour que je puisse arriver au lieu de la réunion. Je n’ai pas imposé les mains aux malades. Mais j’ai prié pour eux; et je leur ai fait imposer les mains les uns aux autres.
12 Donc... [Quelqu’un parle à Frère Branham.–N.D.É.] Oui, c’est ce que je ferai, bien volontiers. Bon, demain matin... Bon, ce soir, peut-être que nous allons nous concentrer sur les questions, là, parce que nous en avons de très bonnes. Et je ne sais pas combien de temps le Seigneur voudra que nous consacrions à cela. Puis, demain matin, soit Billy Paul, ou Gene, ou Léo, l’un d’eux sera ici pour distribuer les cartes de prière, à huit heures, et jusqu’à huit heures trente. Maintenant, les gens qui ne sont pas d’ici. Je vais le répéter pour que vous ne l’oubliiez pas. Si on désire venir dans la ligne, nous préférons, si possible, que ce soit les gens qui ne sont pas d’ici qui y viennent.
13 Or, parfois, ici à l’église, ce qui arrive, c’est que les gens disent : “Eh bien...” Nous faisons venir les gens qui ne sont pas d’ici; quelqu’un va dire : “Eh bien, eux, je ne savais pas de quoi ils souffraient. Il se peut qu’ils aient dit quelque chose de faux.” Puis on fait venir des gens d’ici; ils disent : “Oh, eux, peut-être que vous les connaissiez.” Alors. Puis ils disent... Des gens ont déjà dit : “Eh bien, moi, je vais vous dire ce que c’est : c’est les cartes de prière.” Eh bien, qu’en est-il de ceux qui n’ont pas de carte de prière, alors que, jour après jour, il y a eu...
Pardon? [On demande à Frère Branham de s’éloigner du microphone.–N.D.É.] Que je m’éloigne du micro? Eh bien, vous savez, le milieu de la route, c’est ce que je prêche toujours. Alors, je vais peut-être faire comme ça. Est-ce mieux? C’est mieux. C’est très bien. Je vais vous dire ce qu’il y a. Notre–notre système de sonorisation est très mauvais ici, très mauvais. Et en ce moment nous ne cherchons pas à faire des améliorations, parce que nous voulons procéder très prochainement à la construction du nouveau tabernacle. Et alors, nous aurons beaucoup de place (voyez?), si nous arrivons à disposer d’un peu plus d’espace, pour augmenter le nombre de places, et être prêts pour les réunions, quand nous en ferons ici.
14 Et maintenant, souvenez-vous, demain matin, soit un des frères, ou bien les trois, ils vont distribuer les cartes, de huit heures trente, ou, de huit heures à huit heures trente. Ça permettra à tout le monde de s’installer. Et là je parlais de ça, comment il se fait qu’ils distribuent des cartes, de la raison pour laquelle nous le faisons. C’est pour maintenir l’ordre. Voyez? Bon, qu’est-ce qui se passerait si j’arrivais ici, comme maintenant, et que je dise : “Prenons cette femme-ci, cette femme-ci, et cet homme-là, et cette femme-ci”? Vous voyez, ça, ce serait un peu–ce serait un peu difficile. Voyez? Ensuite, si vous... Souvent, voici ce que j’ai fait. Et s’il n’y a pas trop de monde demain matin, je ferai peut-être encore la même chose. Je dirai : “Combien y a-t-il de personnes ici qui viennent de l’extérieur et qui ont quelque chose qui ne va pas? Levez-vous.”
15 Frère Mercier, tu viens à mon secours. Tu vas m’aider? [Frère Mercier répond.–N.D.É.] Oh, tu viens... Il vient à son propre secours. J’ai parlé à ta petite amie aujourd’hui. Alors, tu ferais mieux d’être très gentil avec moi. Tu vois? Bon. C’est bien. Je–j’admire ton courage, Frère Léo. Quand les choses ne vont pas comme il faut, faisons–faisons tout ce que nous pouvons pour redresser la situation, faisons de notre mieux.
16 Bon, donc, là on demande que seulement les gens qui ne sont pas d’ici et qui ont quelque chose qui ne va pas lèvent la main. Puis, on reste là, on se consacre à une personne jusqu’à ce que le Saint-Esprit se mette à agir et s’empare de tout l’auditoire. Combien ont déjà été présents, ont vu cela s’accomplir ici? Bien sûr! Voyez? Voyez? Alors, la façon de procéder importe peu. C’est simplement...
17 Je voudrais que vous vous souveniez de ceci, et j’essaierai d’y revenir encore demain matin. Les gens des nations, l’Évangile qui leur a été donné est un Évangile axé sur la foi, pas du tout sur les oeuvres. Voyez? Comme je le disais hier soir. Après que le Saint-Esprit est descendu, à la Pentecôte, quand ils sont allés vers les Juifs (Actes 19.5), il a fallu qu’ils imposent les mains à ceux-ci, afin qu’ils Le reçoivent. Et quand ils sont allés vers les Samaritains, il a fallu qu’ils leur imposent les mains. Mais quand ils sont arrivés chez les gens des nations, dans la maison de Corneille : “Comme Pierre prononçait encore ces mots...” Pas d’imposition des mains.
18 Quand la fillette est morte, la fille de Jaïrus le sacrificateur, celui-ci a dit : “Viens lui imposer les mains, et elle vivra.” Mais quand le centenier romain, qui était des nations, a parlé. “Je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit; dis seulement un mot.” C’est ça. Voyez?
19 La Syro-Phénicienne qui, en fait, était Grecque, quand elle, quand Jésus lui a dit, qu’Il a dit : “Il n’est pas bien que Je prenne le pain des enfants et que Je le donne aux chiens.”
Elle a dit : “C’est vrai, Seigneur; mais les chiens, sous la table, mangent les miettes des enfants.”
Il a dit : “À cause de cette parole, le démon est sorti de ta fille.” Alors, dites de bonnes choses. Dites du bien de quelqu’un. Parlez de Jésus. Dites quelque chose de loyal, quelque chose d’authentique. Voilà la façon de se débarrasser des démons. Il n’a jamais dit, Il n’a jamais prié pour la fillette. Il n’a jamais dit quoi que ce soit pour sa guérison; Il a seulement dit : “À cause de cette parole, à cause de cette parole...”
20 Hattie Wright, l’autre jour, elle n’avait rien demandé. Elle était simplement assise là, mais elle a dit la chose juste, et cela a plu au Saint-Esprit. Et le Saint-Esprit, en retour, a parlé, Il a dit : “Hattie, demande ce que tu voudras – quel que soit ton problème et quel que soit ton désir. Tu verras si ceci est une réalité ou pas. Demande n’importe quoi (la guérison de sa jeune soeur infirme assise là, invalide; dix mille dollars, pour ne plus avoir à bêcher dans ces collines, là-bas; que la jeunesse revienne dans son pauvre corps épuisé); ce que tu veux demander, demande-le tout de suite. S’Il ne vient pas tout de suite te le donner, alors je suis un faux prophète.” C’est–c’est–c’est quelque chose, n’est-ce pas?
21Jésus a dit : “Dites à cette montagne...” Et vous avez entendu parler des choses qui se sont produites; voilà le ministère dans lequel nous entrons. Nous sommes bien loin sur la route maintenant. La Venue du Seigneur Jésus est pour bientôt. Et nous devons avoir la foi de l’Enlèvement, – dans une Église qui pourra être changée en un instant, en un clin d’oeil, pour pouvoir partir d’ici, – sans quoi nous ne partirons pas. Mais ne vous en faites pas, elle sera là. Elle sera là. Et quand la puissance de cette église-ci augmentera, cela ramènera ses frères; quand la puissance de cette église-là augmentera, cela ramènera ses frères à elle; la puissance de cette église-là ramènera les autres frères; puis il y aura une résurrection générale. Nous l’attendons avec impatience.
22 Maintenant n’oubliez pas, les cartes de prière, ce sera demain matin à huit heures, jusqu’à huit heures trente. Et je leur ai demandé, à ce moment-là, quel que soit le nombre de personnes arrivées, d’arrêter de distribuer des cartes et de retourner s’asseoir (voyez?), parce que, de toute façon, il est fort probable qu’à cette heure-là ils les auront déjà toutes distribuées, ou en tout cas le nombre que nous pourrons appeler. Les frères vont venir, mélanger toutes les cartes devant vous, puis si vous, vous en voulez une, vous une, et ainsi de suite, comme ça... Alors, quand j’arriverai, je vais simplement, à partir du numéro que le Seigneur m’indiquera... S’Il dit : “N’en appelle aucune”, je n’appellerai aucune des cartes (voyez?) – selon la directive, quelle qu’elle soit.
23Et je... De toute façon, ce ministère-là est en train de disparaître; quelque chose de plus grand est en route. Souvenez-vous-en : chaque fois, cela a été annoncé du haut de cette estrade, ou, de cette chaire, et cela n’a encore jamais manqué d’arriver. Vous vous souvenez du ministère où il s’agissait de la main? Vous avez vu ce qui a été accompli par celui-là? Les pensées du coeur, vous avez vu ce qui a été accompli par celui-là? Maintenant observez ceci : prononcer la Parole; et voyez ce qui sera accompli par Cela. Voyez? Je vous l’avais dit, ici, il y a des années, – à l’église (je parle à ceux du Tabernacle), – il y a des années, il y a trois ou quatre ans, que quelque chose était sur le point de se matérialiser; c’est sur le point de se produire. Et voici que maintenant ça commence à se manifester, afin de... C’est en train de prendre forme. Et nous en sommes très reconnaissants. Oh, combien nous sommes reconnaissants. Vraiment très heureux.
24 Maintenant, nous avons des questions très difficiles ici, et nous voulons les aborder sans tarder. Quelqu’un a regardé tous les livres que j’avais. J’ai dit : “Eh bien, un homme intelligent n’a besoin que d’un seul livre.” Mais moi, je ne suis pas un homme intelligent. Je suis obligé d’en avoir beaucoup, pour pouvoir les consulter. Bon, celui-ci est le Diaglott, celui-ci est une Bible, et celui-ci est une concordance. Alors, c’est... Nous allons simplement demander au Seigneur de nous aider et de nous diriger, pour que nous répondions à ces questions conformément à Sa volonté Divine et à Sa Parole.
25 Alors, maintenant inclinons la tête un instant, pour prier. Seigneur, du plus profond de notre coeur, nous Te sommes reconnaissants de ce que Tu as fait pour nous au cours des trois dernières soirées. Oh, de voir les ministres se rencontrer là-bas, dans la pièce, se serrer la main et, avec une foi renouvelée, et–et, faire un nouveau pas en avant. On appelle au téléphone... Nos coeurs se réjouissent, des personnes ont reçu le Saint-Esprit après avoir été, avoir vu Ta Parole, qui indique de façon très précise, point par point, la marche à suivre pour recevoir Ton Saint-Esprit. Nous en sommes tellement reconnaissants, Seigneur.
26 Tu rends les choses tellement simples pour nous, parce que nous sommes un peuple simple. Et nous Te prions, ô Dieu, de–de permettre que nous nous fassions toujours tout simples. En effet, c’est... Celui qui s’humiliera, c’est celui-là qui sera élevé. La sagesse du monde est une folie devant Dieu; et il a plu à Dieu de sauver, par la folie de la prédication, ceux qui étaient perdus.
27 Et maintenant, Père, j’ai ici, en ma possession, plusieurs questions, qui ont été posées par des coeurs sincères, pour qui ces choses sont une préoccupation. Et de donner une réponse inexacte à l’une d’elles pourrait lancer la personne sur une mauvaise voie, de jeter une lumière fausse sur la question qui la préoccupe. Alors, Seigneur Dieu, je prie que Ton Saint-Esprit vienne sur nous et révèle ces choses, car, dans les Écritures, il est écrit : “Demandez, et vous recevrez; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l’on vous ouvrira.” Et c’est ce que nous faisons maintenant, Seigneur, nous frappons à la porte de Ta miséricorde. Nous nous tenons à l’ombre de Ta justice Divine, invoquant le Sang du Christ de Dieu et le Saint-Esprit.
28Et ce soir, nous ne venons pas simplement parce que nous avons terminé ces trois soirées de prédication sur le Saint-Esprit, nous venons avec le plus profond respect et la plus profonde sincérité. Nous venons comme si cette soirée était notre dernière soirée sur cette terre. Nous venons en croyant que Tu exauceras nos prières. Et, Seigneur, nous Te demandons maintenant de nous donner la satisfaction que procure Ta Vie Éternelle. Et en réponse à Ta Parole, puisse le Saint-Esprit... Ô Dieu, nous avons vu qu’il s’agit de Toi-même parmi nous, et alors nous prions qu’Il nous révèle ce soir les choses que nous désirons. Et nous désirons seulement que notre âme soit en repos, que notre esprit soit en paix, et qu’en ayant la foi en Dieu nous allions de l’avant pour revendiquer les bénédictions qu’Il a promises. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
29 Bon, j’ai toutes les questions qui m’ont été remises, sauf une. Et j’ai répondu au jeune Frère Martin, qui m’avait posé une question avant-hier soir, juste une. Il y en avait beaucoup ici hier soir, mais c’étaient des demandes de prière. Et Frère Martin, la question qu’il m’a posée, c’était sur Jean 3.16, ou, Jean 3, je crois, sur : “Si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut voir le Royaume”, et il comparait ça avec une bande que j’avais envoyée, sur l’Épître aux Hébreux. Et je l’ai rencontré hier soir, ici, dans la pièce du fond, et j’ai donc eu la possibilité de lui répondre avant, et c’est là que je l’ai fait, à ce sujet.
30 Maintenant, y a-t-il ici des gens qui n’étaient pas présents hier soir? Levez la main, ceux qui n’étaient pas ici hier soir. Oh, nous aurions tant aimé que vous soyez parmi nous. Nous avons passé des moments si glorieux. Le Saint-Esprit...
31 Si vous me permettez, pendant un instant... Ça ne fera pas de tort. On enregistre ceci. Et si jamais un ministre, ou quelqu’un, n’était pas d’accord sur ce que je suis sur le point de dire maintenant, ou même sur les questions, je vous demande, frère, de ne pas trouver ça étrange, mais c’est que, souvenez-vous, cet enregistrement est fait ici dans notre tabernacle. Nous enseignons à nos fidèles. Il y a beaucoup de ministres de différentes confessions qui sont présents. Et je voudrais aborder de nouveau ce sujet, car je vois ici ce soir quelques-uns de nos fidèles qui n’avaient pas pu entrer hier soir. Alors je voudrais revenir un instant, si vous le permettez, sur ce dont je parlais hier soir; c’est-à-dire de la Pentecôte, quand ils ont reçu le Saint-Esprit.
Maintenant, je lis dans le Emphatic Diaglott – qui est la traduction du texte grec – le passage que j’ai lu hier soir, et que j’ai devant moi maintenant. Il s’agit là de la traduction anglaise originale du texte grec. Ça n’a pas passé par d’autres traducteurs, c’est, ni par d’autres versions, c’est traduit directement du grec en anglais. Or, les mots anglais ont souvent des significations qui leur sont particulières, par exemple, si je disais le mot board. Considérez ce mot board. On pourrait dire : “Il a voulu dire qu’il nous trouvait ennuyeux [en anglais : boring–N.D.T.].” Non! “Il–il a payé sa pension [en anglais : board].” Non! Eh bien, il... “Il s’agit d’une planche [en anglais : board] sur le côté de la maison.” Eh bien, vous voyez? Ou n’importe quel... Il y a quatre ou cinq mots différents qu’on peut employer; il faut voir la phrase. Le mot see. See [en français : voir] signifie “comprendre”, en anglais. Sea [en français : mer] signifie “une étendue d’eau”. See [en français : voir] signifie “regarder”. Voyez? Mais revenons aux traductions qui nous occupent ici, le mot dont je parlais hier soir, employé dans Actes, chapitre 2, où il est dit : “Des langues de feu se posèrent sur eux...” Maintenant, j’aimerais revenir un peu en arrière pendant un instant. Seriez-vous d’accord qu’on prenne un petit instant, pour récapituler un peu avant d’aller plus loin?
32 Alors prenez, ceux d’entre vous qui ont la version du roi Jacques, ou quelle que soit la version que vous lisez... J’aimerais lire ça. Écoutez très attentivement, là. Qu’il n’y ait pas de malentendu. Beaucoup aujourd’hui, même ma soeur, beaucoup ont appelé, ils disaient... Mme Morgan... Beaucoup de ceux qui étaient là hier soir. Mme Morgan est une de nos soeurs, les médecins l’avaient condamnée; elle est morte depuis seize ou dix-sept ans, d’après la liste des cas de cancer, à Louisville. Je pense qu’elle est de nouveau ici ce soir. Elle a dit qu’elle n’entendait pas, parce que je parlais directement dans le microphone. Alors, pour ces personnes-là, je tiens à revenir là-dessus, pendant un instant.
33 Maintenant, je lis ce passage de l’Écriture d’Actes 2 :
Lorsque le Jour de la Pentecôte arriva, ils étaient tous d’une même pensée... (Or je préfère ça à “d’un même accord”, parce qu’on peut être d’un même accord sur presque n’importe quel sujet, mais ici, leur pensée était la même.) ...d’une même pensée et dans le même lieu.
Tout à coup il vint du Ciel un Bruit comme celui d’un Vent impétueux, et il remplit la Totalité de la Maison où ils étaient assis. (Pas à genoux, ni en prière, mais assis.)
...des Langues Divisées... (L-a-n-g-u-e-s, langues. Divisées veut dire “séparées”.) ...Langues Divisées leur apparurent, semblables à du Feu, et l’une d’elles... (“L’une”, au singulier.) ...se posa sur chacun d’eux.
Et ils furent tous remplis... (“Et”, conjonction.) ...tous remplis du saint Esprit, et se mirent à parler en d’Autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, Hommes pieux, de Toutes les Nations qui sont sous le Ciel.
Quand ceci, et la Nouvelle s’étant répandue, la Multitude accourut, et elle fut dans l’étonnement Parce que chacun entendait...parler dans son Propre Langage.
34 Maintenant remarquez! Quand le feu est venu, c’étaient des langues; quand ils parlaient, c’était un langage. Or, il y a une énorme différence entre langues et langages. Pour nous, c’est la même chose. Mais en grec, “langue” signifie ceci. [Frère Branham illustre.–N.D.É.] L’oreille, c’est ceci. Voyez? Ça ne signifie pas un langage; ça signifie la partie de votre corps qui est une langue. Si vous remarquez, c’est traduit par langues de feu, ce qui signifie “semblables à des langues”, comme une flamme de feu, une longue flamme de feu. Or, remarquez sur quoi l’accent est mis. Et ces points-là, chacun d’eux, maintenant, ne les oubliez pas.
35Maintenant, nous allons faire un petit récit imagé ce soir. Et je vous laisserai le soin d’en juger. Or, souvenez-vous, si vous êtes contre en quoi que ce soit, ça vous regarde. Mais le seul moyen pour une personne de recevoir quelque chose de Dieu, c’est par le moyen de la foi. Et avant que vous puissiez...
36 Il faut d’abord que je sache ce que je fais, avant de pouvoir avoir foi dans ce que je fais. Pourquoi avez-vous épousé votre femme? Vous aviez foi en elle. Vous l’aviez mise à l’épreuve, vous l’aviez observée, vous saviez d’où elle venait, qui elle était. C’est la même chose pour l’Écriture, pour Dieu. C’est pour ça que ces visions, cette Colonne de Feu, toutes ces choses qui se produisent, c’est parce que Dieu l’a promis. Dieu l’a dit. Je L’ai mis à l’épreuve, par Sa Parole, et je sais que C’est la Vérité. Et vous, suivez Sa Parole. Alors, s’il y a un peu de confusion quelque part, alors, c’est qu’il y a quelque chose qui cloche quelque part. En effet, Dieu (écoutez!), Dieu n’a jamais agi, ni n’agira jamais en dehors de Ses... ou contrairement à Ses lois. L’hiver ne viendra pas en été, et l’été ne viendra pas en hiver. Les feuilles ne tomberont pas au printemps et ne repousseront pas en automne. On ne peut tout simplement pas produire ces choses.
37 Comme je le disais hier soir, en parlant du puits artésien qui arrose vos récoltes. Ou alors, si vous êtes debout au milieu d’un champ par une nuit noire, et que vous disiez : “Ô toi, grande électricité, je sais que tu existes dans ce champ. Maintenant, je me suis égaré, je ne sais pas où je vais. Donne de la lumière, pour que je puisse voir où je marche! Il y a assez d’électricité pour éclairer le champ.” C’est vrai. Oui monsieur! Il y a assez d’électricité dans cette pièce pour l’éclairer même sans ces lumières. Mais vous devez la maîtriser. Vous pourriez hurler jusqu’à épuisement, là, sans que jamais elle n’éclaire. Mais si vous agissez selon les lois de l’électricité, alors vous aurez de la lumière.
38 Eh bien, avec Dieu, c’est la même chose. Dieu est le grand Créateur des cieux et de la terre, le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Il est toujours Dieu. Mais Il agira seulement dans la mesure où vous suivrez Ses lois et Ses instructions. Mes amis, je peux dire ceci : jamais je ne l’ai vu faillir, et ça ne faillira jamais.
39 Maintenant, remarquons. Jésus, dans Luc 24.49, avait donné une directive aux apôtres, après qu’ils avaient été sauvés et sanctifiés, selon la Parole; justifiés, en ayant cru au Seigneur Jésus; sanctifiés, dans Jean 17.17, quand Jésus a dit : “Sanctifie-les, Père, par la Vérité. Ta Parole est la Vérité.” Et Il était la Parole.
40Bon, Il leur avait donné le pouvoir de guérir les malades, de chasser les démons, de ressusciter les morts; et ils sont revenus tout joyeux. Et leurs noms étaient écrits dans le Livre de Vie de l’Agneau. Or, vous vous souvenez que nous avons étudié ça. Mais ils n’étaient pas encore convertis. La nuit de Sa crucifixion, Jésus a dit à Pierre : “Après que tu seras converti, affermis tes frères.”
41 C’est le Saint-Esprit qui... Vous croyez en vue de la Vie Éternelle, mais quand le Saint-Esprit vient, c’est Lui qui est la Vie Éternelle. Vous croyez en vue de... À la sanctification, vous êtes engendrés par l’Esprit, mais vous n’êtes pas nés de l’Esprit, tant que le Saint-Esprit n’est pas entré en vous. C’est exact. Le bébé a de la vie dans le sein de sa mère, ses petits muscles frémissent; c’est une vie. Mais, quand le souffle de vie est insufflé dans ses narines, cette vie-là est différente. Elle est différente. Voilà ce que c’est, c’est...
42 Mon cher frère méthodiste, pèlerin de la sainteté, et nazaréen, le baptême du Saint-Esprit est différent de la sanctification. La sanctification, c’est la purification, qui prépare à la Vie. Mais quand le Saint-Esprit vient, Il est la Vie. La préparation, c’est purifier le vase; le Saint-Esprit, c’est remplir le vase. La sanctification, signifie “être nettoyé et mis à part pour le service”. Le Saint-Esprit, c’est de le mettre en service. C’est vous le vase que Dieu a nettoyé.
43 Nous voyons que le Saint-Esprit, c’est Dieu Lui-même en vous. Dieu était au-dessus de vous dans la Colonne de Feu, qui accompagnait Moïse. Dieu était avec vous en Jésus-Christ. Maintenant Dieu est en vous par le Saint-Esprit. Non pas trois dieux, mais un seul Dieu dans l’exercice de trois fonctions.
44 Dieu qui condescend, qui descend, alors qu’Il avait été au-dessus de l’homme. Celui-ci ne pouvait pas Le toucher, parce qu’il avait péché dans le jardin d’Éden et s’était séparé de sa communion avec Lui. Alors, qu’est-il arrivé? Il fallait qu’Il soit au-dessus de lui. Il ne pouvait pas, par le sang des taureaux et des boucs, entrer de nouveau en communion avec l’homme; mais les lois et les ordonnances préfiguraient ce temps qui allait venir : l’offrande de boeufs, et autres, de brebis. Puis, quand Dieu est descendu et qu’Il a habité dans un corps sanctifié, né d’une femme vierge, que Dieu Lui-même... Savez-vous ce que Dieu a fait? Tout ce qu’Il–qu’Il a fait, c’est... Il a planté Sa Tente parmi les nôtres. Dieu a habité dans une Tente appelée Jésus-Christ. Il a simplement dressé Sa Tente parmi nous, Il est devenu... (Je vais prêcher là-dessus demain matin, alors je ferais mieux de ne pas aller plus loin.) Donc, Dieu, qui a campé, ou demeuré avec nous...
45 Et maintenant Dieu est en nous. Jésus a dit, dans Jean 14 : “En ce jour-là, vous connaîtrez que Je suis dans le Père, que le Père est en Moi, que Je suis en vous, et que vous êtes en Moi.” Dieu en nous. Dans quel but? D’exécuter Son plan.
46 Dieu avait un plan – Il voulait agir parmi les hommes – et Il l’a déployé dans la Colonne de Feu, qui était le Feu mystique qui se tenait au-dessus des enfants d’Israël. Puis, ce même Feu s’est manifesté dans un corps, celui de Jésus. Et Il a déclaré qu’Il était ce Feu : “Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.” Il était ce Feu. Il a dit : “Je viens de Dieu, et Je retourne à Dieu.” Et après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, saint Paul L’a rencontré sur le chemin, – à ce moment-là il s’appelait encore Saul, – sur le chemin de Damas, et Il était redevenu cette Colonne de Feu. Une Lumière qui l’a rendu aveugle. C’est vrai.
47 Et Le voici aujourd’hui, cette même Colonne de Feu, ce même Dieu qui accomplit les mêmes signes, les mêmes oeuvres. Pourquoi? Il agit parmi Son peuple. Il est en nous. Je... Il est avec vous en ce moment, “mais Je serai en vous. Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin de toutes choses”, la fin du monde. Il serait avec nous.
48 Maintenant, remarquez. Jésus leur avait donné la directive de monter à Jérusalem et d’attendre. Le mot rester, là, signifie “attendre”, il ne signifie pas prier, il signifie “attendre”. Ces hommes n’étaient pas encore aptes à prêcher, parce qu’ils ne connaissaient Sa résurrection que par Sa Personne, pour L’avoir vu, de l’extérieur. Il–Il leur avait ordonné de ne plus prêcher, de ne rien faire tant qu’ils n’auraient pas d’abord été revêtus de la Puissance d’en haut.
Je ne crois pas qu’aucun prédicateur soit envoyé par Dieu ou puisse avoir été correctement ordonné... Parce que Dieu est infini. Et ce que Dieu fait une fois, Il le fait tout le temps. Or, si Dieu n’a pas voulu les laisser prêcher avant qu’ils se soient rendus là, à la Pentecôte, qu’ils aient vécu l’expérience de la Pentecôte, alors aucun homme – à moins qu’il le fasse de lui-même à cause d’un désir profond, ou qu’une organisation quelconque l’ait mandaté à le faire – n’a le droit de monter en chaire avant d’avoir été rempli du Saint-Esprit. C’est tout à fait vrai. Parce que, tant qu’il n’a pas été rempli du Saint-Esprit, il conduit les gens selon la conception intellectuelle d’une organisation. C’est seulement après cela qu’il leur donne la nourriture de la colombe; L’Agneau et la Colombe, comme nous en avons parlé hier soir.
49 Maintenant remarquez. Il a dit : “Montez à Jérusalem et restez là-bas; attendez simplement là-bas, jusqu’à ce que J’envoie ce que le Père a promis.” Et alors, qu’est-ce qu’ils ont fait? Ils étaient cent vingt, hommes et femmes. Ils sont allés dans une chambre haute, au temple.
Or, le jour de la fête de la Pentecôte approchait; à partir de la purification du sanctuaire, la mise à mort de l’agneau pascal, jusqu’à la–la venue de la Pentecôte – là c’était les prémices de la moisson, le jubilé, le jubilé de la Pentecôte. Et sur les bâtiments...
50 Or, j’ai visité ces pays. Les pays orientaux ont rarement un escalier intérieur. L’escalier était à l’extérieur. À l’extérieur du temple, nous dit-on, il y avait un escalier qui conduisait à une petite pièce là-haut; il fallait monter, monter et monter encore, jusqu’à ce qu’on arrive à une petite pièce, là-haut, un genre de pièce de rangement, tout en haut, au sommet du temple, une espèce de petite chambre, une chambre haute. Et la Bible dit qu’ils étaient là, toutes portes fermées, par crainte des Juifs; en effet, ces derniers les mettraient en pièces pour avoir adoré le Seigneur Jésus, après que Caïphe, le souverain sacrificateur, et Ponce Pilate et les autres L’avaient mis à mort. Donc, ils se proposaient de se débarrasser de tous ces prétendus Chrétiens. Alors, toutes portes fermées, ceux-ci attendaient.
51 Or, dans les pièces de ce genre, il n’y a pas de fenêtres. Les fenêtres, c’était des espèces de petits grillages que l’on tirait pour ouvrir, comme des portes. Dans ces pièces pendent de petites lampes à huile qui brûlent. Si jamais vous allez en Californie, à la cafétéria Clifton, descendez au sous-sol, et vous y verrez une lampe exactement pareille à celles qu’il y avait dans la chambre haute. Y êtes-vous déjà allés? Combien d’entre vous y sont allés? Je vois des gens faire un signe de tête affirmatif. Bon, vous savez de quoi je parle. Très bien. Descendez, et vous verrez le jardin de Gethsémané; avant, vous entrerez dans une de ces pièces orientales. C’est parfaitement vrai. Vous y verrez une petite lampe remplie d’huile d’olive dans laquelle trempe une petite mèche de laine qui brûle.
52 Bon, disons qu’ils étaient là-haut, ils avaient gravi l’escalier extérieur. Ils étaient montés là-haut, ils se cachaient, s’étaient cachés, par crainte des Juifs. Jésus ne leur avait pas dit d’aller dans la chambre haute. Il avait seulement dit : “Attendez à Jérusalem.” S’ils avaient été dans une maison quelque part, qui sait ce qui serait arrivé. On serait venu se saisir d’eux. C’est pourquoi ils sont allés dans un genre de petite pièce, tout en haut de l’escalier, au grenier, et là ils se sont barricadés pour que les Juifs ne puissent pas y entrer et se saisir d’eux. Et ils sont restés là à attendre, pendant dix jours.
53 Bon, maintenant nous sommes dans Actes 1. Maintenant écoutez bien, là. Vous voyez la scène? À l’extérieur de l’édifice, le petit escalier qui montait, et ils sont allés dans cette petite chambre. En bas, dans le temple, on célébrait la fête de la Pentecôte. Oh, il y avait de grandes festivités. Bon, et lorsque le jour de la Pentecôte est arrivé, ils étaient tous d’une même pensée – d’une même pensée ils croyaient que Dieu allait envoyer ce qu’Il avait promis. Que chaque personne présente, ce soir, soit dans ce même état d’esprit, et vous verrez ce qui va arriver. Ça va se reproduire, forcément. C’est une promesse, exactement la même qu’eux avaient reçue. Voyez?
54 Qu’est-ce qu’ils faisaient? Ils se conformaient aux instructions, ils se conformaient aux–aux–aux lois de Dieu : “Attendez jusqu’à ce que...”
55 Or, ils avaient peur des Juifs. Souvenez-vous bien de ça. Ils craignaient les Juifs. Tout à coup, là, il y a eu un bruit comme celui d’un vent impétueux. Ce n’était pas un vent impétueux; c’était comme un vent impétueux. Dans quelques minutes, je lirai les commentaires du traducteur. C’était comme un vent impétueux. En d’autres termes, c’était un vent surnaturel (oh!), quelque choses qu’ils pouvaient sentir. Le vent était en eux. Il y a eu un–un vent impétueux, quelque chose comme un vent impétueux. Le vent ne soufflait pas impétueusement, mais c’était comme le bruit d’un vent impétueux, comme quelque chose qui faisait [Frère Branham fait entendre un bruit de vent.–N.D.É.]. L’avez-vous déjà ressenti? Oh! la la! Comme un vent impétueux. Maintenant regardez bien. Et il a rempli... Or, ici, il est dit “toute la...”, mais dans le texte grec, il est dit la “Totalité (T majuscule-o-t-a-l-i-t-é), la Totalité de la Maison”, tout ce qu’il y avait à l’intérieur, partout. Chaque fente, chaque coin, chaque fissure semblaient en être remplis. Pas question de dire : “Hé, les frères, ressentez-vous ce que je ressens?” Non! C’était partout, comme un vent impétueux. Maintenant regardez bien. “Alors, il vint un bruit comme celui d’un vent impétueux, et (conjonction. Maintenant observez ces “et”. Sinon, vous Lui feriez dire quelque chose qui n’Y est pas dit. Voyez?), et comme... (c’est ce qui est arrivé en premier, un bruit, quelque chose comme un–un vent impétueux est venu sur eux), et (Vous vous souvenez, hier soir, je suis allé à l’épicerie, j’y ai acheté un pain et de la viande. C’est quelque chose qui allait avec le pain. Le pain est une chose, la viande en est une autre. Et le bruit était une chose qui les a frappés.), et il leur apparut (devant eux) des langues–des langues divisées.”
56 Est-ce que quelqu’un ici a déjà vu Les Dix Commandements de Cecil DeMille? Avez-vous remarqué le moment où les Commandements ont été écrits? Comment il a pu saisir ça – moi, je n’en savais rien. Il y a deux ou trois choses que j’ai vues là-dedans que j’ai vraiment aimées. La première, c’est cette lumière couleur émeraude, Ça ressemble tout à fait à ça. Voyez? Une autre chose, c’est, quand le Commandement a été écrit, après ça, avez-vous remarqué les petites flammes de feu qui fusaient de cette grande Colonne de Feu, qui fusaient de là? Avez-vous remarqué ça? Maintenant, je pense que c’est ce qui est arrivé à la Pentecôte. Il leur apparut... Donc, ils pouvaient voir Cela. Il n’est pas dit : “Il tomba en eux.” Mais, il leur apparut de petites flammes (comme on pourrait les appeler), des langues, semblables à des langues, comme cette langue-ci [Frère Branham illustre.–N.D.É.], en forme de langue, de petites flammes de feu. Maintenant, l’oreille – comme je le disais, l’oreille, c’est l’oreille; le doigt, c’est le doigt. Le doigt, ça ne veut pas dire que vous l’avez ressenti, ça veut dire que ça ressemblait à un doigt. Et si c’était une oreille, ça ne veut pas dire qu’ils l’entendaient; ça ressemblait à une oreille. Ceci, c’était du feu qui ressemblait à une langue, ce n’était pas quelqu’un qui parlait, c’était un feu qui ressemblait à une langue.
57 Maintenant écoutez. Observez comment le texte grec le mentionne ici :
Tout à coup il vint un Bruit... comme celui d’un Vent impétueux... (Le verset 3–le verset 3.)
Et des Langues Divisées leur apparurent... (Non pas que des langues divisées aient été en eux, ou qu’ils aient parlé en langues divisées; c’étaient des langues divisées qui leur sont apparues. Maintenant regardez bien. Elles ne sont pas encore sur eux. Elles sont dans la pièce, c’est comme si elles tourbillonnaient dans ce vent.) ...semblables à des Langues de Feu, leur apparurent, Divisées... (C’est-à-dire devant eux.) ...semblables à du Feu... (Des langues semblables à du feu.) ...et l’une d’elles... (Au singulier.) ...se posa sur chacun d’eux. (Non pas entra en eux; mais se posa sur eux.)
58 Maintenant, voyez-vous comme la version du roi Jacques le rend mal : “Et des langues séparées vinrent sur eux, ou se posèrent (Comment est-ce dit, là, dans la version du roi Jacques?), s’assirent sur eux.” Voyez? Or, elles n’ont pas pu monter là et s’asseoir. Ça, nous le savons. Mais le texte original dit : “Elles se posèrent sur eux.” Je crois; c’est ça, n’est-ce pas? Laissez-moi répéter ça exactement. Oui! “...se posa sur chacun d’eux.” Une langue de feu se posa sur chacun d’eux. Vous voyez, là? Vous saisissez? C’est ce qui est arrivé en second lieu. D’abord il y a eu un vent, puis des langues de feu sont apparues.
59 Ça s’est passé dans cette petite pièce où brûlaient ces petites lampes à huile. Imaginez-les assis là-haut. Et l’un d’eux dit : “Oh!” Il promenait ses regards partout dans le bâtiment; c’était partout dans le bâtiment. Puis ils ont dit : “Regardez!” Des langues de feu se sont mises à, se sont mises à tournoyer dans le bâtiment. Maintenant regardez bien. Et ces langues de feu apparurent.
Maintenant, regardez bien ce qui vient ensuite :
Et... (Une autre conjonction; quelque chose d’autre est arrivé.) ...ils furent tous remplis du saint Esprit... (La deuxième chose qui est arrivée.)
60 Maintenant, vous voyez, on voudrait changer tout ça et dire : “Ils avaient des langues de feu, et ils se sont mis à baragouiner quelque chose; puis ils sont sortis, et ils se sont mis à parler dans une langue inconnue.” Il n’est rien dit de semblable dans les Écritures, mon ami. Quiconque parle dans une langue inconnue au moment où il reçoit le Saint-Esprit, agit alors de façon contraire à la Bible. Je vais vous le montrer dans quelques minutes, et vous le prouver : parler dans des langues inconnues, j’y crois, mais ce n’est pas recevoir le Saint-Esprit. C’est un don du Saint-Esprit. Le Saint-Esprit, c’est un Esprit.
61 Maintenant regardez bien. Ces langues étaient dans la pièce, elles étaient semblables à du feu, et elles se sont posées sur chacun d’eux. Puis ils ont été remplis du Saint-Esprit (la deuxième chose), et alors, après qu’ils ont été remplis du Saint-Esprit, ils ont parlé en langues; non pas en langues, mais en langages. Avez-vous remarqué ça? Ils se sont mis à parler en d’autres langages, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer. Et le bruit de ceci se répandit.
62 Maintenant regardez bien. Maintenant, représentons-nous de nouveau la scène pour que vous ne l’oubliiez pas, là. Selon l’Écriture, pendant qu’ils attendaient dans la chambre haute, tout à coup il y a eu un bruit semblable à un vent impétueux, qui est venu sur eux; c’était le Saint-Esprit. Combien croient que c’était l’apparition du Saint-Esprit? Semblable à un vent, un vent surnaturel. Puis ils ont remarqué – là, il y avait de petites langues de feu, il y en avait cent vingt, et elles ont commencé à descendre et à se poser sur chacun d’eux. Qu’est-ce que c’était? Qu’est-ce que c’était? La Colonne de Feu, qui était Dieu Lui-même, S’est partagée parmi Son peuple, Elle est entrée dans ces gens. Jésus En avait la totalité; Il avait l’Esprit sans mesure; nous, nous L’avons avec mesure (Vous voyez ce que je veux dire?), parce que nous sommes des enfants adoptés. Alors Sa Vie, Sa Vie Éternelle entrait en eux. Là, qu’est-il arrivé? Alors ils ont tous été remplis du Saint-Esprit.
63 Maintenant je voudrais vous demander quelque chose. À quel moment le bruit a-t-il commencé à se répandre? S’ils ont dû sortir de cette chambre haute pour descendre les escaliers et aller dans les parvis du palais, ou plutôt dans les parvis du–du temple, ce qui correspondait probablement à la distance d’un pâté de maisons à partir de l’endroit où ils se trouvaient, de redescendre de là-haut et de se rendre dans les parvis, là où tout le monde était rassemblé. Et quand ils sont sortis de là, ils étaient comme ivres, de l’Esprit. En effet, les gens ont dit : “Ces hommes sont pleins de vin doux.” Ils n’avaient jamais rien vu de semblable.
64 Et chacun d’eux essayait de leur dire : “Le Saint-Esprit est venu. Ce que Dieu a promis est sur moi. Je–j’ai été rempli de l’Esprit.” Et celui qui parlait était un Galiléen, mais l’homme à qui il parlait, soit un Arabe ou un Perse, l’entendait dans sa propre langue.
65 “Comment les entendons-nous (ce n’était pas une langue inconnue), comment les entendons-nous chacun dans notre langue maternelle? Ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens?” Et peut-être qu’ils parlaient le galiléen. Mais, quand les gens les entendaient, c’était dans leur langue maternelle. S’il n’en est pas ainsi, j’aimerais que vous me demandiez, que vous me donniez la réponse à cette question : Comment se fait-il que Pierre s’est présenté là, qu’il a parlé galiléen, et que tous ceux qui étaient là ont compris ce qu’il disait? Trois mille âmes sont venues à Christ juste là, alors que Pierre ne parlait que dans une seule langue. Certainement! C’était Dieu, qui accomplissait un miracle. Pierre était devant un même auditoire, composé d’habitants de Mésopotamie, d’étrangers, de prosélytes, et de toutes sortes de gens venus du monde entier. Et Pierre s’est tenu là et a prêché dans une seule langue, et tout le monde l’a entendu, puisque trois mille personnes se sont repenties et se sont tout de suite fait baptiser au Nom de Jésus-Christ. Comment ça?
66 Vous voyez, mes amis, je ne m’attends pas à ce que mes frères dénominationnels pentecôtistes acceptent ça d’emblée. Mais suivez ça d’un bout à l’autre de la Bible, et indiquez-moi une seule fois où ils aient reçu le Saint-Esprit et parlé dans une langue sans qu’ils aient su dans quelle langue ils parlaient. Et si c’est de cette manière-là qu’ils L’ont reçu là, le Dieu souverain... Il faut que ça se passe de la même manière chaque fois.
67Maintenant, je ne peux pas... Or, chez Cornei-... Souvenons-nous qu’hier soir, quand nous sommes descendus en Samarie, nous avons vu qu’il n’est aucunement fait mention là que les gens les entendaient dans aucune autre langue. Il n’est rien dit à ce sujet. Par contre, quand ils sont allés chez Corneille, où il y avait des gens de trois nationalités différentes, ils ont parlé en langues. Et quand ils l’ont fait, s’ils l’ont fait, ils L’ont reçu, comme Pierre l’a dit, de la même manière qu’eux L’avaient reçu au commencement. Et ils ont reconnu que les nations avaient reçu la grâce de Dieu, parce qu’ils avaient reçu le Saint-Esprit exactement de la même manière qu’eux au commencement. J’aurai une question là-dessus ici, dans quelques minutes. Je tenais à poser la base, pour que vous voyiez ce qu’il en est.
68 Maintenant, je ne peux pas m’attendre à ce que les personnes qui ont reçu un enseignement différent... Et maintenant, écoutez-moi, mes chers et précieux frères pentecôtistes. Je n’enseignerais pas ça à l’extérieur. Ici, c’est... Je ne voudrais rien faire qui puisse provoquer une controverse. Mais, si nous ne recevons pas la Vérité, quand allons-nous nous mettre en marche? Il faut que quelque chose se produise ici pour nous mettre dans la bonne voie. Il nous faut recevoir ici la grâce de l’Enlèvement. La Vérité doit être proclamée.
69 Que ferait un homme, s’il était sourd et muet, qu’il ne parlait pas du tout? Est-ce qu’il pourrait recevoir le Saint-Esprit? Et si, d’abord, il n’avait pas de langue, le pauvre, et qu’il désirait être sauvé? Voyez? Le Saint-Esprit, c’est un baptême. Puis tous ces dons, tels que le parler en langues, l’interprétation des langues, ils viennent après que vous êtes entrés dans le Corps, par le baptême du Saint-Esprit. Car ces dons se trouvent dans le Corps de Christ.
70 Maintenant, la raison pour laquelle je dis... Maintenant, écoutez. Peut-on s’attendre à ce que l’église catholique, qui a été la première église organisée dans le monde, après les apôtres... D’ailleurs, l’église catholique a été organisée, oh, plusieurs centaines d’années après la mort du dernier apôtre, quelque six cents ans après les apôtres, pas longtemps après le concile de Nicée, quand les pères de Nicée se sont réunis et l’ont organisée; alors ils ont établi l’église universelle, qui était l’église catholique. C’est là qu’ils ont établi une église mondiale. Le mot catholique signifie “universel”, c’est-à-dire : qui est partout. Ils... La romaine, la Rome païenne est devenue la Rome papale. Ils ont établi un pape à sa tête, lequel devait prendre la place de Pierre, parce qu’ils pensaient et déclaraient que c’était à lui que Jésus avait remis les clés du Royaume. De plus ce pape était infaillible, et il l’est encore aujourd’hui, pour l’église catholique. Ce... Sa parole fait loi. Il est le pape infaillible. C’est ce qui a été accepté.
71 Et alors, ceux qui refusaient d’accepter cette doctrine catholique, alors on les mettait à mort, on les brûlait sur le bûcher, et tout le reste. Nous sommes tous au courant de ça, grâce aux écrits sacrés de Josèphe, au Livre des martyrs de Foxe, et à beaucoup d’autres écrits sacrés, Les deux Babylones d’Hislop, et les–les grands récits historiques. Et là, après une période de quinze cents ans, comme nous le savons, l’âge des ténèbres, où la Bible avait été enlevée aux gens. Et Elle avait été–Elle avait été cachée par un petit moine, et tout, c’est ce qu’on nous dit.
72 Après cela est venue la première réforme, c’est-à-dire Martin Luther. Et il a fait le pas, il a dit que l’eucharistie – dont les catholiques déclaraient que c’était le corps, le corps littéral de Christ – ne faisait que représenter le corps de Christ. Il a jeté l’eucharistie devant l’autel, ou, sur les marches, et il a refusé d’appeler ça le corps littéral de Christ, et il a prêché : “Le juste vivra par la foi.” Or, on ne peut pas s’attendre à ce que l’église catholique soit d’accord avec lui, certainement pas, alors que leur chef infaillible le leur interdit. Bien.
73 Puis, après Martin Luther, qui avait prêché la justification, John Wesley est venu, il a prêché la sanctification. Et lui, il a prêché qu’un homme, après avoir été justifié – ce qui est très bien – mais qu’il fallait ensuite être sanctifié, purifié, que la racine du mal soit extirpée par le Sang de Jésus. Or, on ne peut pas s’attendre à ce que les luthériens prêchent la sanctification, parce qu’ils ne le feront pas.
74 Après que Wesley a prêché la sanctification, beaucoup de petits groupes se sont formés à partir de là, entre autres les méthodistes wesleyens, les nazaréens, et ainsi de suite, qui ont entretenu la flamme tout au long de leur âge, et puis après, le pentecôtisme est arrivé, ils ont dit : “Eh bien, le Saint-Esprit, c’est le baptême, et nous parlons en langues quand nous Le recevons.” Bien sûr. Alors, quand ça, c’est arrivé, on ne pouvait pas s’attendre à ce que les nazaréens, les méthodistes wesleyens et les autres croient ça. Ils ont refusé. Ils ont dit que c’était du diable. Très bien. Qu’est-il arrivé? Ils ont commencé à descendre; le pentecôtisme a commencé à monter. Maintenant le pentecôtisme a eu sa montée jusqu’à ce que ce soit à son tour d’être secoué. Il s’est organisé et est sorti du chemin, il n’accepte plus rien d’autre. Ils ont leurs propres règles, un point c’est tout.
75 Maintenant, alors que le Saint-Esprit vient et qu’Il révèle la Vérité sur quelque chose, et qu’Il le prouve par Sa Présence et par Sa Parole, on ne peut pas s’attendre à ce que les pentecôtistes disent : “Ça, je suis d’accord.” On doit prendre position seul, comme Luther l’a fait, comme Wesley l’a fait, et comme les autres l’ont fait. On doit s’en tenir à ça, parce que l’heure est venue. Et c’est ça qui fait de moi un vilain petit canard. C’est ça qui me rend différent.
76 Alors je ne peux pas aller de l’avant comme mes précieux frères Oral Roberts, Tommy Osborn, Tommy Hicks et les autres, parce que les églises ne veulent pas être d’accord avec moi. Ils disent : “Il croit à la sécurité Éternelle. C’est un baptiste. Il ne croit pas que le parler en langues soit le signe initial du Saint-Esprit. Éloignez-vous de ce gars-là!” Voyez?
77 Mais regardez la chose en face. Faites-y face. Ils peuvent affronter les luthériens, les–les méthodistes le peuvent. Les pentecôtistes peuvent affronter les méthodistes. Je peux affronter les pentecôtistes avec cela. C’est tout à fait exact. C’est vrai. Pourquoi donc? Nous marchons dans la Lumière, comme Lui-même est dans la Lumière. Voyez? Nous montons le Chemin du Roi, et plus nous avançons, plus de grâce nous est donnée, plus de puissance nous est donnée, plus de surnaturel nous est donné. Et voilà où nous en sommes. C’est maintenant l’heure où le Saint-Esprit est descendu sous la forme d’une Lumière, comme Il était au commencement, une Colonne de Feu, et Il S’est manifesté, en faisant exactement les mêmes choses que celles qu’Il avait faites quand Il était ici sur terre. Et Jésus a dit : “Comment reconnaîtrez-vous s’ils sont dans le vrai ou non? Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Celui qui croit en Moi fera, lui aussi, les oeuvres que Je fais. Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.”
78 Maintenant, mes frères pentecôtistes. Je suis avec vous. Je suis l’un de vous. J’ai reçu le Saint-Esprit. J’ai parlé en langues, mais je ne l’ai pas fait en recevant le Saint-Esprit. J’ai reçu le baptême du Saint-Esprit; j’ai parlé en langues, j’ai prophétisé, j’ai eu des dons, la connaissance, la sagesse, des interprétations, et toutes sortes de choses me sont arrivées. Mais j’ai accès à toutes ces choses, parce que maintenant, je suis un enfant de Dieu. La puissance, le Feu de Dieu est dans mon âme; cette langue de Feu qui s’est posée, est entrée en moi et a consumé tout ce qui était contraire à Dieu, et maintenant je suis conduit par Son Esprit. Il peut dire : “Va ici”; j’y irai. “Va là”; j’y irai. “Parle ici”; je parlerai. “Fais ceci, cela et autre chose.” Voilà, c’est tout simplement comme... Vous êtes conduit par l’Esprit. C’est Dieu en vous, qui exécute Sa volonté. Quelle qu’elle soit, Il exécute Sa volonté.
79 Maintenant écoutez. Laissez-moi voir, lire ici dans ce lexique avant que j’aborde les questions. Bon, c’est tiré de la Traduction du Vatican, volume 7, 190... 1205 :
“Il est difficile de déterminer si c’était la voix de ces gens parlant dans une langue étrangère, ou bien la nouvelle ou la rumeur de l’opération surnaturelle de ce vent impétueux qui mit la foule en émoi.”
Ils ne comprenaient pas. Maintenant regardez bien. Si c’était les gens...
80Je vais illustrer ça. Voici un groupe de pauvres Galiléens qui ne payaient pas de mine. Et les voilà dans la rue. On n’avait jamais rien vu de semblable : les mains en l’air, ils étaient sortis de cette chambre haute, ils avaient descendu les escaliers, et ils étaient là, ils venaient d’être remplis; ils n’avaient encore rien dit. Voyez? Les voilà donc qui arrivent là. Et maintenant, disons qu’ils étaient là, ils titubaient au milieu de tout ça. Et les gens ont dit... Un Grec s’approche de moi d’un pas rapide, disons que moi, je parle galiléen.
Vous vous approchez de lui d’un pas rapide, et vous dites : “Mais qu’est-ce que t’arrive, mon gars?
81– J’ai été rempli du Saint-Esprit. La puissance de Dieu est descendue, là-haut, dans cette pièce. Il m’est arrivé quelque chose. Oh, gloire à Dieu!”
Et un autre là-bas, lui, il parlait à un Arabe, alors qu’il est Galiléen, il parlait l’arabe, la langue arabe.
82 Donc, ils ne savent pas si c’était le vent impétueux qui avait attiré ces gens, quand la foule s’est réunie, ou si c’était parce qu’ils s’exprimaient en langues étrangères. Or, dans la Bible, ce n’est pas tout à fait... Il y a deux choses que vous pouvez observer. C’est que... Les–les gens du dehors disaient : “Comment se fait-il que nous entendions chacun dans notre propre langue maternelle?” Elle ne dit pas qu’ils la parlaient, mais qu’ils l’entendaient.
83 Puis le même groupe, les mêmes gens – expliquez ceci. Pierre est monté sur quelque chose, et il a dit : “Hommes galiléens, et vous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci (Des gens ont déclaré qu’il n’y avait pas de langue galiléenne.), sachez ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles (Dans quelle–quelle langue leur parlait-il, à eux tous?); voyons, ces hommes ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour, mais c’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël : ‘Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai Mon Esprit sur toute chair. Vos fils et vos filles prophétiseront.’” Il a continué à leur parler comme ça, et il a dit : “Par la main des impies, vous avez crucifié l’innocent Fils de Dieu. David avait parlé de Lui, ‘qu’Il n’abandonnerait pas Son âme dans le séjour des morts, et qu’Il ne permettrait pas que Son Saint voie la corruption’.” Il a ajouté : “Sachez que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié.” Après avoir entendu cela... Amen! Qui donc? Tous les hommes qui étaient sous les cieux. Qu’est-ce qui se passait là? Il ne disait pas : “Maintenant, je vais parler en galiléen; je vais parler dans telle langue; puis dans telle langue...?...”
84 Comme Pierre prononçait ces mots, ils dirent : “Hommes, frères, que pouvons-nous faire pour être sauvés?” Et Pierre leur a donné la formule. C’est de cette manière que cela arrive, toujours. Voyez?
85 Il s’agit d’une progression, d’entrer toujours plus en Dieu, dans une marche intime. Comment le savez-vous? Bon, eh bien, quand Luther a reçu la justification, il a appelé ça le Saint-Esprit. Ça l’était. Dieu En a versé un peu là. Ensuite, qu’est-ce qu’Il a dit? Wesley a reçu la sanctification, et il a dit : “Frères, quand vous poussez des cris, vous L’avez.” Mais beaucoup d’entre eux ont poussé des cris sans L’avoir. Quand les pentecôtistes ont parlé en langues, en langues inconnues, ils ont dit : “Frères, vous L’avez.” Mais beaucoup d’entre eux ne L’avaient pas.
Ce n’est pas à ce genre de chose, à ces signes-là, qu’on peut reconnaître cela. “Le seul moyen de reconnaître de quel arbre il s’agit,” a dit Jésus, “c’est au fruit qu’il porte”, les oeuvres de l’Esprit, le fruit de l’Esprit. Alors, quand vous voyez une personne qui est remplie de puissance, qui est remplie du Saint-Esprit, alors vous voyez une vie qui a été transformée. Vous voyez ces signes, qui accompagnent ceux qui ont cru : “En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues. Si un serpent les mordait, ça ne leur ferait pas de mal. S’ils avaient bu quelque breuvage mortel, ça ne les ferait pas mourir. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.” Oh! Ce sont des signes comme ceux-là qui accompagnent ceux qui croient. Mais comment y accède-t-on? Ces dons sont dans le Corps. Comment entre-t-on dans le Corps? On n’y entre pas à force de paroles; mais c’est par le baptême qu’on y entre, pour former un seul Corps (I Corinthiens 12.13). Dans un seul Esprit nous avons tous été baptisés pour former ce Corps, ayant alors accès à tous les dons. Que le Seigneur vous bénisse.
86 Maintenant, si quelqu’un qui entendait cette bande, ou quelqu’un ici présent était en désaccord, souvenez-vous, faites-le, mais gentiment, frère, parce moi, je vous aime.
93. La première question, ce soir : Frère Branham, je trouve que la télévision est une malédiction pour le monde. Vous, qu’en pensez-vous?
87 Eh bien, quelle que soit la personne qui a écrit ça, je suis d’accord avec elle. Ils en ont fait une malédiction pour le monde. Ça pourrait être une bénédiction pour le monde, mais ils en ont fait une malédiction. Pour toutes les choses de ce genre, mes chers amis, ça dépend de ce que vous-même, vous regardez. Si la télévision est une malédiction, alors les journaux sont une malédiction, alors la radio est une malédiction et, bien des fois, le téléphone en est une, vous voyez. Voyez? Voyez? Vous voyez, tout dépend de ce que vous en faites. Mais, comme le frère le disait l’autre soir, c’est qu’on n’a presque plus d’émissions à la télévision; ça coûte trop cher. Un pauvre prédicateur qui prêche le Plein Évangile n’a pas les moyens d’avoir une émission à la télévision. Et donc... Le frère disait, l’autre soir, je crois, quelque part : “Dépoussiérez votre radio,” ou c’est quelqu’un d’autre, ou bien, “sortez-la de son coin et écoutez ces émissions-là.” C’est vrai.
88 Mais, chère personne, qui que vous soyez, je suis certainement d’accord avec vous. C’est devenu une des choses les plus exécrables pour l’espèce humaine. Là ils prennent tout l’argent qui devrait aller au gouvernement pour les impôts, et ils se dégagent de ça en produisant des émissions où on fait toute cette publicité pour des cigarettes et du whisky, et ce genre de chose là, et ils déduisent ça des impôts dus au gouvernement; après ça, ils vont traîner des prédicateurs devant les tribunaux pour en tirer de l’argent. Je suis d’accord avec vous, c’est une chose épouvantable. Maintenant, ce n’est pas... Vous savez, c’est tout simplement une constatation. Merci, soeur, frère, qui que vous soyez, vous qui avez posé cette question.
94. Maintenant, en voici une bonne. Question : Il y a des passages dans la Bible, tels que I Samuel 18.10, où il est dit qu’un mauvais esprit venant de Dieu avait fait certaines choses. Je ne comprends pas ce qu’est un “mauvais esprit venant de Dieu”. S’il vous plaît expliquer cela.
89 Eh bien, peut-être qu’avec l’aide du Seigneur, je pourrai y arriver. Ça ne veut pas dire que Dieu est un mauvais Esprit. Mais tout esprit, quel qu’il soit, est soumis à Dieu. Et Dieu fait tout concourir à Sa volonté. Voyez?
90 Maintenant, dans votre question, vous parlez du mauvais esprit qui était venu de Dieu pour tourmenter Saül. Celui-ci était maussade, dans un état d’abattement, mal en point, parce que, d’abord, il avait rétrogradé. Et quand vous rétrogradez, un mauvais esprit, Dieu permet qu’un mauvais esprit vous tourmente.
91 Je voudrais vous lire quelque chose, dans–dans un instant. J’ai une autre réflexion là-dessus ici. Voyez? Tous les esprits doivent être soumis à Dieu. Vous rappelez-vous la fois où Josaphat et Achab allaient partir pour la guerre? Et voilà qu’il y a eu... ils étaient assis aux portes de la ville. Josaphat était un homme droit, et il a dit (les deux rois étaient assis là, ils s’étaient alliés), alors il a dit : “Consultons l’Éternel pour savoir si nous devons oui ou non y aller.”
92 Et Achab est allé chercher quatre cents prophètes, il les avait tous bien nourris, bien engraissés, et tout; ils étaient en bonne forme. Alors, ils se sont présentés là, et tous, ils prophétisaient, d’un commun accord, ils disaient : “Monte, et Dieu te donnera la victoire. Monte à Ramoth en Galaad, et là Dieu remportera la victoire pour toi.” L’un d’eux s’était fait une paire de cornes et, pour présenter la chose de manière imagée, il s’est mis à courir partout, en disant : “Avec ces cornes de fer, tu les repousseras complètement en dehors du pays; il t’appartient.”
93 Mais, vous savez, il y a quelque chose qui fait qu’un homme de Dieu, toutes ces choses-là, ça ne l’emballe pas du tout. Voyez? Si le son n’est pas clair, conforme à l’Écriture, il y a quelque chose qui cloche. Tout vrai croyant... Alors, Josaphat a dit : “Eh bien, ces quatre cents hommes ont l’air très bien. Ils semblent être de braves gens.
– Oh, et ils le sont”, a peut-être dit Achab.
Mais Josaphat a dit : “N’en as-tu pas encore un?” Pourquoi encore un, quand on en a quatre cents qui sont d’un même accord? C’est qu’il savait qu’il y avait quelque chose qui ne sonnait pas tout à fait juste. Voyez?
Il a dit : “Oui, nous en avons encore un, le fils de Jimla, par ici,” il a dit, “mais je le hais.” C’est sûr. Tu fermeras son église à la première occasion. Tu le chasseras du pays. Voyez? C’est sûr. “Je le hais.
– Pourquoi le hais-tu?
– Il prophétise toujours du mal contre moi.” Je crois que là Josaphat a vu tout de suite qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond.
Alors, il a dit : “Allez chercher Michée.”
Alors, ils sont allés le chercher, et le voilà qui arrive. Quand ils y sont allés, donc, ils ont envoyé un messager qui lui a dit : “Maintenant, un instant. Bon, là-bas, il y a quatre cents docteurs en théologie. Ce sont les meilleurs du pays, eux, ils ont des doctorats, des doctorats en droit, et tout le reste.” Il a dit : “Alors, tu comprends, toi pauvre petit illettré, tu ne vas tout de même pas contredire tout ce clergé.”
94 Jimla a dit ceci, ou, je veux dire, Michée a dit ceci : “Je ne dirai rien tant que Dieu n’aura pas mis les paroles dans ma bouche, et alors je dirai exactement ce qu’Il dira.” J’aime ça. J’aime ça. En d’autres termes : “Je m’en tiendrai à la Parole.” Peu lui importait ce que les autres avaient dit. Il a dit : “Eh bien,” il a dit, “je te préviens. Si tu ne veux pas être exclu, tu ferais mieux de dire la même chose.”
Alors, il est allé là-bas. Et il a dit : “Dois-je monter?”
Il a dit : “Vas-y.” Il a dit : “Accorde-moi un délai d’une nuit. Je vais en parler au Seigneur.” J’aime ça. Cette nuit-là, le Seigneur lui est apparu; le lendemain, il est retourné le voir. Et il a dit, en y allant, il a dit : “Vas-y; mais j’ai vu Israël dispersé sur les montagnes, comme des brebis qui n’ont pas de berger.” Oh! la la! Ça l’a complètement démonté.
Alors il a dit : “Je te l’avais bien dit, hein? Je le savais. C’est toujours ça qu’il fait, il prononce de mauvaises choses contre moi.”
95 Pourquoi? Il s’en tenait à la Parole. Pourquoi? Un prophète l’avait précédé, la Parole de Dieu était venue par Élie, le vrai prophète, qui avait dit : “Parce que tu as versé le sang de Naboth, qui était innocent, les chiens lécheront aussi ton sang.” Et il avait prononcé du mal contre lui. Élisée était déjà monté au Ciel. Mais, comme il savait qu’Élisée avait la Parole de Dieu, alors il s’en est tenu à la Parole. J’aime ça. Tenez-vous-en à la Parole.
96 Si la Bible dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, que Sa puissance est encore la même, que le Saint-Esprit est pour celui qui le veut, qu’il n’a qu’à venir – tenez-vous-en à la Parole. Oui monsieur! Ce que les autres disent, ça n’a pas d’importance. Qu’ils soient très bien nourris, et quel que soit le nombre des écoles qu’ils ont fréquentées, ça n’a rien à y voir.
Donc, il a dit... Ce grand gaillard, qui avait les cornes sur sa tête afin de repousser, de les chasser du pays devant le roi, il s’est approché et l’a frappé sur la bouche (ce petit prédicateur). Il savait que ce n’était qu’un petit exalté, que ça n’allait soulever aucune protestation, alors il l’a simplement frappé sur la bouche. Il a dit : “Je veux te demander quelque chose.” Il a dit : “Par où l’Esprit de Dieu est-Il sorti de moi, pour que tu L’aies reçu?”
97 Il a dit : “Tu le comprendras quand tu seras dans ta cellule, là-bas, emprisonné.” Il a dit : “J’ai vu Dieu assis sur un trône (Amen! Écoutez maintenant!), et l’armée des Cieux était réunie autour de Lui.” Qu’est-ce qui se passait? Son prophète avait déjà dit ce qui allait arriver à Achab. Dieu... Ce n’était pas Élie qui avait dit ça; c’était le prophète oint. C’était la Parole du Seigneur, l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et Michée a dit : “J’ai vu toute l’armée des Cieux réunie autour de Dieu, ils étaient en grande conférence. Ils discutaient entre eux. Et l’Éternel a dit : ‘Qui pouvons-Nous envoyer, lequel de vous pourrait aller séduire Achab, pour qu’il se rende là-bas accomplir la Parole de Dieu, qu’il se fasse tirer dessus? Qui pouvons-Nous envoyer?”
98 Eh bien, on proposait celui-ci ou celui-là. Au bout d’un moment, un mauvais esprit, un esprit de mensonge, est monté d’une région inférieure et il a dit : “Si Tu veux bien me le permettre. Je suis un esprit de mensonge. Je descendrai et j’entrerai dans tous ces prédicateurs – parce qu’ils n’ont pas le Saint-Esprit – et je leur ferai (ce ne sont que des jeunots qui ont été formés par une école), je descendrai, j’entrerai dans chacun d’eux, je les séduirai et je leur ferai prophétiser un mensonge.” Est-ce bien ce qu’il a dit? Et il a dit : “C’est comme ça que nous le séduirons.” Alors il est descendu.
Il a dit, Dieu a dit : “Je te donne la permission d’y aller.”
99 Il est descendu, il est entré dans ces faux prophètes, formés par une école pour ce ministère, et il leur a fait prophétiser un mensonge. C’était un esprit de mensonge qui agissait selon la volonté de Dieu. Je vais, il y a encore autre chose que vous pourrez peut-être voir, ici, prenons un instant. Observez ceci. J’aimerais que vous preniez avec moi I Corinthiens, chapitre 5, verset 1, un instant. I Corinthiens. Et observez ceci, si vous voulez voir quelque chose, là où Dieu a fait quelque chose – comment ces mauvais esprits, comment ils–ils agissent. Très bien, c’est Paul qui parle :
On entend dire généralement qu’il y a parmi vous des fornications, et des fornications telles qu’elles ne se rencontrent pas même chez les païens;... (Qu’est-ce que vous pensez d’une telle chose, là, dans l’église?) ...C’est au point que l’un de vous a la femme de son père.
Et vous êtes enflés d’orgueil! Et vous n’avez pas... (Voyons un peu. Je crois que j’ai tourné deux pages...) ...Vous êtes–et vous êtes enflés d’orgueil! Et vous n’avez pas été plutôt dans l’affliction, afin que... (Eh, une minute, là. Est-ce que je... Oui, c’est ça. Oui.) ...dans l’affliction... (C’est ça.) ...enflés d’orgueil! Et vous n’avez pas été...dans l’affliction, afin que celui qui a commis cet acte fût ôté du milieu de vous!
100 Je–je ne sais pas. Je ne crois pas que qui que ce soit voudrait ajouter à ceci ou le minimiser, mais je défends simplement ce que je crois là-dessus : Une fois qu’un homme a été rempli de l’Esprit, il ne peut pas Le perdre, vous voyez. Voyez?
Pour moi, absent de corps, mais présent d’esprit, j’ai déjà jugé, comme si j’étais présent, celui qui a commis un tel acte.
Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, vous et mon esprit étant assemblés avec la puissance de notre Seigneur Jésus-Christ,
Qu’un tel homme soit livré à Satan pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé au jour du Seigneur Jésus.
101 Dieu, qui dit à la sainte Église, qui est Son Corps ici sur terre (or ceci, c’est après l’Ancien Testament, c’est dans le Nouveau), qui dit, d’un homme qui avait une conduite tellement dépravée et impure au milieu des gens, au point de vivre avec la femme de son propre père. Il a dit : “Une chose pareille dans le Corps de Christ. Vous, l’Église, livrez-le au diable pour la destruction...” Voyez? Dieu permet que le... Quand Il voit que quelque chose doit être fait, qu’Il doit fouetter quelqu’un, alors Il lâche un mauvais esprit sur cette personne afin de la tourmenter et–et de la ramener. Or, nous constatons que cet homme-là, après...
102 Voilà ce qui ne va pas dans les églises, aujourd’hui. Quand un homme entre dans le Corps de Christ, en devient un des membres, et qu’il se met à faire ce qui est mal, vous, au lieu de vous rassembler et de faire exactement ça... Vous, Branham Tabernacle, faites-le. Parce que, tant que vous le soutenez, il est sous le Sang. Et il va toujours refaire la même chose, continuellement. Réunissez-vous et livrez-le au diable pour la destruction de la chair, afin que son esprit soit, ainsi, puisse être sauvé au jour du Seigneur. Et regardez bien le fouet de Dieu commencer à agir. Regardez bien le diable lui mettre la main au collet. C’est un mauvais esprit qui s’empare de lui.
103 Et ce jeune homme-là, il est rentré dans le droit chemin. Il est revenu. Nous le constatons, dans II Corinthiens, qu’il s’est vraiment mis en règle avec Dieu.
104 Regardez Job, un homme parfait, un homme juste. Dieu a permis au malin, au diable, de venir sur lui, de le châtier, et tout le reste, pour le perfectionnement de son esprit. Voyez? Alors, les mauvais esprits ont... Dieu utilise souvent des mauvais esprits pour exécuter Son plan et Sa volonté.
95. Maintenant, voici une question qui est vraiment épineuse. Question (je crois que ça provient de la même personne, parce que l’écriture paraît être la même) : Si une personne doit avoir le Saint-Esprit pour être–avoir le Saint-Esprit pour être convertie et pour partir dans l’Enlèvement, quel sera l’état des enfants qui sont morts avant l’âge de raison? Et quand ressusciteront-ils?
105 Maintenant, mon frère, ma soeur, ça, je ne saurais vous le dire. Je n’ai trouvé aucun passage là-dessus, nulle part dans la Bible. Mais je puis vous dire ce que je pense. Or ceci va vous fortifier, vous qui croyez à la grâce de Dieu. Vous voyez, cette personne désire savoir (et c’est une très bonne question, vous voyez), cette personne désire savoir dans quelle résurrection, ce qui arrivera à un bébé, s’il doit avoir le Saint-Esprit pour partir dans l’Enlèvement. Comme je l’ai dit, c’est exact. C’est conforme à la Bible. C’est l’enseignement de l’Écriture. Non pas pour–non pas pour aller au Ciel... En effet, les gens qui sont remplis du Saint-Esprit font partie de la première résurrection, les Élus. Et le reste de ceux... Les autres morts ne reviennent pas à la vie jusqu’à ce que les mille ans soient accomplis. Après le Millénium, c’est là qu’il y a la seconde résurrection, le jugement du grand Trône Blanc. Voyez? C’est exactement l’ordre de la Bible. Mais cette personne veut savoir ce que deviennent ces bébés. Ils... En d’autres termes, avaient-ils le Saint-Esprit avant de naître? L’avaient-ils reçu? Or ça, je ne saurais vous le dire.
106 Mais maintenant, disons comme ceci : Nous savons que les bébés qui meurent, quels que soient leurs parents, ils sont sauvés. Or là-dessus, je ne suis pas d’accord avec l’école des prophètes. Eux, ils disent que, s’il meurt et que ses parents étaient pécheurs, ce bébé ira en enfer, il tombera en pourriture; pour lui, ce sera fini. Eh bien, Jésus... quand Jésus est venu, Jean a déclaré : “Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde.” Alors, ce bébé, s’il est un être humain sur lequel devraient s’exercer les jugements de Dieu, et que Jésus est mort pour ôter le péché, alors tous les péchés ont été effacés devant Dieu au moment où Jésus est mort dans ce but. Vos péchés ont été pardonnés. Mes péchés ont été pardonnés. Et le seul moyen pour vous d’être pardonnés, c’est d’accepter Son pardon. Or, le bébé ne peut pas accepter son pardon, alors, il n’a rien fait, il n’a absolument rien fait, alors il n’y a rien qui s’oppose à son entrée au Ciel.
107 Mais, direz-vous : “Partiront-ils dans l’Enlèvement?” Maintenant–maintenant, voici ce que moi, je dis; voici ma pensée à moi. Ne... Je ne peux pas prouver ceci par la Bible. Mais regardez. Si Dieu, avant la fondation du monde, connaissait chaque être humain qui allait exister sur terre... Le croyez-vous? Il connaissait chaque moucheron, chaque puce, chaque mouche, Il connaissait tout ce qu’il y aurait sur la terre. S’Il connaissait ça...
108 Regardez. Prenons Moïse, par exemple. Quand Moïse est né, il était prophète. Avant que Jérémie... Dieu a dit à Jérémie : “Avant même que tu aies été formé dans le sein de ta mère, avant que tu aies été formé dans son sein, Je te connaissais, Je t’avais sanctifié, et Je t’avais établi prophète pour les nations.” Sept cent douze ans avant la naissance de Jean-Baptiste, Ésaïe l’avait vu en vision, et il a déclaré : “Il est la voix de celui qui crie dans le désert.”
109 La prédestination ou la prescience de Dieu sait tout ce qui concerne les petits bébés (voyez?), ce qu’ils allaient faire. Et Il savait qu’ils allaient mourir. Il le savait. Rien ne peut arriver sans que Dieu le sache. Rien ne peut arriver à... Tout comme le Bon Berger, qui va... Maintenant, quant à appuyer ceci par l’Écriture, je ne peux pas dire que l’Écriture dise telle et telle chose. Je parle simplement d’après ma pensée.
96. Maintenant, je pense que la question suivante est peut-être posée par quelqu’un qui... au sujet de ce que j’ai dit l’autre soir. Expliquez le fait que l’épouse soit sauvée en devenant mère.
110 L’épouse n’est pas sauvée en devenant mère. Mais prenons donc I Timothée 2.8 un instant. Et voyons ce que dit la Bible au sujet de l’enfant. Or je sais bien que ça, c’est une doctrine catholique, car les catholiques disent que la femme est sauvée par sa maternité, en devenant mère. Mais nous n’allons pas... moi, je ne crois pas ça. I Timothée, chapitre 2, commençons au verset 8, et lisons maintenant pendant un instant. Très bien, écoutez.
Je veux aussi que les femmes, vêtues d’une manière décente... (On ne devrait pas avoir à demander ça, n’est-ce pas? Écoutez bien ceci.) ...avec pudeur... (Fiou!) ...et modestie, ne se parent ni de tresses, ni d’or, ni de perles, ni d’habits somptueux, (Mes frères, je suis en train de vous aider, ici, j’espère. Tous ces chapeaux, renouvelés tous les jours ou tous les trois jours. Vous voyez? Ça ne convient pas à des Chrétiennes.)
Mais qu’elles se parent de bonnes oeuvres, comme il convient à des femmes qui font profession de servir Dieu.
Que les femmes écoutent l’instruction en silence, avec une entière soumission.
Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer...en silence.
Car Adam a été formé le premier, et Ève ensuite;
...ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression.
Elle sera néanmoins sauvée en devenant mère, si... (Ce n’est pas à la femme mondaine, là, qu’il parle d’avoir des enfants.) ...si elle persévère dans la foi... (Voyez? Si elle persévère. Elle l’est déjà... C’est de cette femme-là qu’il parle, de la femme qui est déjà sauvée. Voyez?) ...dans l’amour, dans la sanctification, avec une entière modestie.
111 Ce n’est pas le fait d’avoir un bébé qui la sauve, mais c’est parce qu’elle élève ses enfants, qu’elle fait son devoir, au lieu d’élever des chats, des chiens et n’importe quoi d’autre, ce qui va prendre la place d’un enfant, – comme elles le font aujourd’hui, – c’est à ça qu’elle donne son amour maternel, pour pouvoir se permettre de sortir toute la nuit. Certaines personnes font ça. Désolé, mais c’est ce qu’elles font. C’est une déclaration très directe de ma part, mais la vérité est la vérité. Voyez? Elles ne veulent pas avoir de bébé, ça leur ferait perdre leur liberté. Par contre, en devenant mère, si elle persévère dans la foi, dans la sanctification et dans une entière modestie, elle sera sauvée. Mais le si, ça veut dire que vous serez aussi sauvés, si vous êtes nés de nouveau. Vous serez, vous pouvez être guéris, si vous croyez. Vous pouvez recevoir le Saint-Esprit, si vous Y croyez, que vous vous préparez à Le recevoir, si vous êtes prêts à Le recevoir. De même elle sera sauvée, si elle persévère dans ces choses (voyez?), mais pas parce qu’elle est une femme. Donc, c’est exact, mon frère, ma soeur. Ce n’est pas du tout un enseignement catholique. Maintenant, je veux... En voici une autre, qui est très épineuse. Puis, nous en avons encore une autre. Je pense que nous aurons peut-être le temps d’y répondre. J’ai déjà pris tout le temps que nous avions. Or ça, ce sont simplement–ce sont simplement les répercussions du réveil. Ces questions, ce sont les répercussions des réunions.
97. Maintenant : Frère Branham (c’est tapé à la machine), est-ce conforme aux Écritures qu’une personne parle en langues et interprète son propre message? Si oui, s’il vous plaît expliquer I Corinthiens, ou, Corinthiens 14.19 et aussi Corinthiens 14.27.
112 Très bien, prenons ce passage de l’Écriture et voyons ce qui y est dit. Ensuite nous verrons si ce que nous faisons est conforme à l’Écriture. Nous voulons toujours être en conformité avec l’Écriture. Dans Corinthiens 14. Bon, la personne veut savoir s’il est conforme à l’Écriture qu’un homme interprète son propre message, qu’il a prononcé en langues. “Si oui, expliquer Corinthiens 14.19.” Voyons un peu, 14, et 19. Très bien, nous y voici.
Mais, dans les églises, j’aime mieux prononcer cinq paroles avec mon intelligence, afin que j’instruise aussi les autres, que dix mille... en langues.
Maintenant le suivant, c’est le verset 27, ce qu’ils veulent savoir.
Et si quelqu’un parle en langue, que ce soient deux, ou tout au plus trois, qui parlent, et chacun leur tour, et que quelqu’un interprète;
113 Bon, d’après moi, là où cette personne veut en venir (et je voudrais, je vais vous lire quelque chose dans un instant). Mais je pense que là où ce frère ou cette soeur veut en venir, c’est : “Est-ce en ordre pour quelqu’un qui parle en langues d’interpréter lui-même le message qu’il a prononcé?” Maintenant, mon très cher ami, si vous voulez bien lire le verset 13 du même chapitre, là vous verrez ce qu’il en est :
C’est pourquoi, que celui qui parle en langue prie pour qu’il interprète. [version Darby]
114 Bien sûr. Il peut interpréter son propre message. Maintenant, si nous... Nous allons... Eh bien, vous... Lisez-le en entier, là, et vous verrez que C’est... Lisez le chapitre en entier. C’est très bien, très explicite.
115 Or, le parler en langues... Maintenant, pendant que nous touchons à ce sujet, et qu’on enregistre ceci, je tiens à dire que je crois tout autant au parler en langues que je crois à la guérison Divine, et au–au baptême du Saint-Esprit, à la seconde Venue de Christ, et à la puissance du siècle à venir. J’y crois tout autant que je crois à ces choses, mais je crois que le parler en langues a sa place, tout comme la Venue de Christ a sa place; la guérison Divine a sa place; chaque chose a sa place.
116 Bon, vous ici, j’ai maintenant l’occasion de vous dire ceci, et j’aimerais l’expliquer. Et si je fais de la peine à quelqu’un, je ne le fais pas intentionnellement. Mon intention n’est pas de créer de la confusion. Mais écoutez. Le problème, en ce qui concerne le parler en langues opéré par les gens qui sont pentecôtistes (et j’en suis un moi-même, je suis pentecôtiste, vous voyez), là, le problème qui se pose, le voici : c’est qu’ils n’ont pas de respect pour ça. Et en plus, ils laissent aller ça n’importe comment. Ils ne se réfèrent pas à la Parole.
117 Maintenant écoutez. Voici quel–quel est l’ordre établi dans l’église. Bon, dans une église pentecôtiste – si j’étais pasteur de cette église, ici, voici l’ordre que j’établirais (voyez?), si j’étais–j’étais tout le temps ici comme pasteur. Je souscrirais à tous les dons qu’il y a dans la Bible. Je dirais aux croyants qu’ils doivent d’abord être baptisés dans le Saint-Esprit. Et alors, tous les dons de I Corinthiens 12 devraient être actifs dans mon église, si je pouvais les avoir là, que tout le corps soit actif.
118 Maintenant, si vous observez... Je ne dis pas ça pour faire des remarques, là. Et souvenez-vous, je ne dirais pas un seul mot pour m’opposer à cela, – je pourrais blasphémer contre le Saint-Esprit, – et Dieu sait que je ne dirais pas ça faussement. Voyez? Mais je dis ceci dans le seul but de vous présenter le point de vue de l’Écriture, après avoir étudié cela depuis près de vingt ans. Ça fait près de trente ans que je prêche. Et j’en ai vu de toutes les couleurs, j’en ai traversé, des choses; vous pouvez vous imaginer ce que ç’a été. J’ai observé chaque homme, et la doctrine de chacun, dans le monde entier. Je l’ai fait, parce que c’était dans mon intérêt. Dans l’intérêt des êtres humains aussi, pas seulement du mien. Je devrai partir d’ici. Vous devrez partir d’ici. Et si je m’en vais comme un faux prophète, je perdrai ma propre âme, et je perdrai la vôtre avec la mienne. Alors, ça compte plus que–ça compte plus que le pain quotidien, ça compte plus que la popularité, ça compte plus que tout le reste; c’est toute ma vie. Voyez? Et je veux toujours être profondément sincère.
119 Donc, quand on va dans une église pentecôtiste, d’abord... (Je ne dis pas qu’elles sont toutes comme ça. Certaines d’entre elles sont...) En général, quand on va dans une église et qu’on commence à prêcher, pendant qu’on prêche, quelqu’un va se lever et parler en langues. Or, cette chère personne-là, il se peut qu’elle soit vraiment remplie du Saint-Esprit, et il se peut que ce soit le Saint-Esprit qui parle à travers cette personne, mais ce qu’il y a, c’est qu’elle n’a pas reçu d’instructions. Si le ministre qui est sur l’estrade parle sous l’inspiration, l’esprit des prophètes est soumis au prophète. Voyez? “Que tout se fasse...” Maintenant, reportez-vous à Paul, pourquoi il a dit que “quand l’un parle”, et ainsi de suite... “quand il arrivait là, il n’y avait que du désordre”.
120 Bon, je suis là en train de faire un appel à l’autel, et quelqu’un se lève et parle en langues. Tout simplement... Eh bien, autant laisser tomber l’appel à l’autel. Ça y met fin. Voyez?
121 Autre chose encore. Souvent, des gens se lèvent et parlent en langues – et les gens qui sont assis là mâchent du chewing-gum et regardent partout. Si Dieu parle, restez tranquilles, écoutez! Si c’est là la Vérité, si c’est bien le Saint-Esprit qui parle dans cette personne, tenez-vous tranquilles, et écoutez, soyez respectueux. C’est peut-être vous qui recevrez l’interprétation. Voyez? Tenez-vous tranquilles; écoutez et attendez l’interprétation. Maintenant, s’il n’y a pas d’interprète dans l’église, alors, ces gens sont censés garder le silence dans le Corps.
122 Alors, quand ils parlent dans une langue inconnue, la Bible déclare qu’ils doivent se parler à eux, à eux-mêmes et à Dieu. Celui qui parle dans une langue inconnue s’édifie lui-même. Or là, il s’agit de langues inconnues; des dialectes, des langues, ça, c’est autre chose. “Ils ne sont rien”, a-t-il dit... Mais tout ce qui produit un son a une signification. Mais vous... Si une trompette sonne, il faut savoir à quoi correspond le son qu’elle rend (...rien que souffler dedans), sinon vous ne saurez pas vous préparer au combat. Si une personne parle en langues, et qu’elle ne fait que “tutt!”, c’est tout, alors qui saura ce qu’il faut faire. Mais si elle sonne le réveil, alors ça veut dire “levez-vous!” Si elle sonne l’extinction des feux, alors ça veut dire “couchez-vous”. Voyez? Si elle sonne la charge, alors ça veut dire “attaquez”. Il faut que ça signifie quelque chose, pas juste parler pour parler. Donc, dans l’église, s’il n’y a pas d’interprète; par contre, quand il y a un interprète, alors les langues ont leur place dans l’église.
123 Maintenant, pour en revenir à votre question, cher ami, qui dit : “J’aime mieux prononcer cinq mille... cinq paroles, et de sorte que les gens me comprennent, que cinq mille (ou quel que soit le nombre qui est dit là) dans une langue inconnue.” C’est vrai. Mais continuez à lire : “...sauf si c’est par une révélation ou par une interprétation, pour l’édification.” Voyez? Pour édifier.
124 Maintenant, je vais juste vous donner un genre de petit aperçu, à supposer que, que... Si je devais être le pasteur de cette église que nous aurons, si Dieu m’appelait à en être le pasteur, voici de quelle façon je la dirigerais : j’essaierais d’y repérer chaque personne qui a un don. Et ces gens-là, je les ferais se réunir environ une heure avant que les services commencent, dans une pièce où ils seraient entre eux. Qu’ils restent là, avec l’Esprit sur eux. À un moment donné, quelqu’un qui a un don de parler en langues vient là. Et il parle en langues. Personne ne bouge. Et ensuite, un se lève et interprète ce qu’il a dit. Maintenant, avant que ça puisse être donné à l’église, la Bible dit qu’il faut que ce soit jugé, par deux ou trois témoins. Et eux, ce sont des hommes qui ont le discernement de l’esprit (voyez?), parce qu’il arrive souvent que des puissances maléfiques s’introduisent là. Paul en a parlé. Par contre, la puissance de Dieu y est aussi. Indiquez-moi une assemblée où le mal ne se trouve pas. Indiquez-moi un endroit où les fils de Dieu sont rassemblés, sans que Satan soit au milieu d’eux. C’est dans tout. Alors, ne faites pas les gros yeux. Voyez? Satan est partout. Donc, nous y voilà. Quelqu’un parle en langues. Là, trois personnes qui ont l’Esprit de discernement sont présentes. Quelqu’un parle en langues et donne un message. Or, ça ne peut pas être une citation de l’Écriture, parce que Dieu n’emploie pas de vaines redites, et Il nous a dit de ne pas le faire. Voyez? Alors, ce n’est pas ça. C’est un message adressé à l’église.
125 Pendant ces réunions de réveil, jusqu’ici nous avons eu deux choses. Observez chacune d’elles, comment cela a été : parfait, d’une précision impeccable. Voyez? C’est entré en action. Un homme s’est levé, il a parlé en langues et donné l’interprétation – tout de suite là est venue la confirmation du message qui venait d’être apporté. L’autre homme, il s’est levé l’autre soir, et il a dit par... sous l’inspiration de la prophétie, il a dit quelque chose, sans savoir ce qu’il disait; et puis, à la fin, il a dit : “Béni soit celui qui vient au Nom du Seigneur.” Aussitôt, quelque chose m’a saisi, et a dit : “Autrement dit, béni soit celui qui croit qu’en ceci le Seigneur est venu.”
126 Voyez-vous l’inter-... Et là le Saint-Esprit est descendu dans le bâtiment, hier soir. Voyez? Pour l’édification, c’est ça. J’étais là, j’essayais de dire aux gens qu’ils doivent recevoir le Saint-Esprit. Et le diable était venu tourner autour des gens, leur disant : “N’écoute pas; tiens-toi tranquille.”
Ma soeur a dit : “Bill, j’étais si heureuse pendant que tu prêchais; j’avais envie de me lever et sauter au travers du mur.”
J’ai dit : “Lève-toi et saute.” Voilà tout.
Et elle a dit : “Mais quand tu t’es mis à agir comme ça,” elle a dit, “que les gens ont commencé à pousser des cris,” elle a dit, “alors je me suis sentie comme une espèce de rien du tout.”
127 J’ai dit : “Ça, c’est le diable. Ça, c’est Satan. Quand il est venu faire ça,” j’ai dit, “alors tu aurais dû te lever quand même.” Nous sommes des sacrificateurs pour Dieu, nous offrons un sacrifice–sacrifice spirituel, les fruits de lèvres qui donnent gloire à Son Nom. Voyez?
128 Alors, voici ce qui est arrivé. Là le Saint-Esprit a percé, parce que c’était simplement... “Béni soit celui qui croit.” Deux ou trois soirs de suite, j’ai essayé de présenter ça clairement; et alors, le Saint-Esprit a parlé et a dit (sous l’inspiration), Il a dit : “Béni soit celui qui vient au Nom du Seigneur.” Et avant que je puisse dire quoi que ce soit, je l’avais déjà répété. “Béni soit celui qui croit que le Seigneur est venu en ceci.” Vous voyez? Et c’est justement ce que je disais : le Saint-Esprit, c’est Dieu Lui-même en vous. Voyez? Et ils l’ont saisi. Voyez? Et là le Saint-Esprit est descendu parmi les gens. Vous voyez comme Cela–Cela édifie, la prophétie?
129 Or, il y a une différence entre une prophétie et un prophète. La prophétie va de l’un à l’autre, mais un prophète est prophète de naissance, dès le berceau. Ils ont l’AINSI DIT LE SEIGNEUR! Eux, pas question de les juger. Vous ne les voyez pas en présence d’Ésaïe, de Jérémie, ou d’aucun de ces prophètes, parce qu’eux, ils avaient l’AINSI DIT LE SEIGNEUR! Par contre, un esprit de prophétie parmi les gens, ça, il faut surveiller ça, parce que Satan va s’y infiltrer. Voyez? Bon. Mais il faut que ce soit jugé.
130 Bon, disons que nous–nous avons l’intention de faire des réunions de réveil, – maintenant soyez très attentifs à ceci, vous, les ministres, – nous nous préparons à faire des réunions de réveil. Très bien. Ou, peut-être que nous faisons une simple réunion à l’église. L’église est pleine de feu. Elle devrait l’être tout le temps. Eh bien, peut-être qu’il y a parmi nous cinq ou six personnes qui ont des dons; l’une parle en langues, deux ou trois peut-être parlent en langues, quatre ou cinq parlent en langues, ont le don des langues, de parler en langues inconnues. Deux ou trois d’entre elles peuvent interpréter. Peut-être qu’il y en a une, deux ou trois d’entre elles qui ont le don de sagesse. Très bien. Elles se réunissent toutes, ces personnes qui ont des dons. Vous... Ces dons ne vous ont pas été donnés pour que vous vous en serviez comme d’un jouet, ou pour que vous disiez : “Gloire à Dieu, je parle en langues! Alléluia!” Vous–vous–vous vous déshonorez. Ils vous ont été donnés pour que vous les mettiez à profit. Et votre participation dans l’église devrait avoir lieu avant que le service principal commence, parce qu’il y aura parmi nous de simples auditeurs.
131 Alors, vous vous retirez dans une pièce, et vous restez là, ensemble, parce que vous êtes des compagnons d’oeuvre dans l’Évangile. Alors, vous restez là. “Seigneur, y a-t-il quelque chose que Tu veux nous faire connaître ce soir? Parle-nous, ô Père Céleste”, vous adressez des prières, des supplications; vous chantez des cantiques. Au bout d’un moment l’Esprit descend, Il se pose sur quelqu’un, celui-ci se met à parler en langues. Quelqu’un se lève et dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR.” Qu’est-ce qu’il y a? Écoutez. “Allez dire à Frère Jones de partir de l’endroit où il habite, car demain après-midi, il y aura un cyclone qui balaiera cette région; et cela va emporter sa maison. Qu’il prenne ses biens et s’en aille!”
132 Bon, ça–ça sonne bien. Mais attendez une minute. Il faut qu’il y ait là trois hommes qui ont l’Esprit de discernement. L’un d’eux dit : “Cela venait du Seigneur.” L’autre dit : “Cela venait du Seigneur.” Ça, c’est deux sur trois – deux ou trois témoins. Très bien. Ils écrivent ça sur un bout de papier. C’est ce que l’Esprit a dit. Très bien. Ils se remettent à prier, en remerciant le Seigneur.
133 Quelques instants plus tard : “AINSI DIT LE SEIGNEUR (un prophète se lève), AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce soir, il y aura une femme qui viendra de New York; elle sera sur un brancard; elle entrera dans le bâtiment sur un brancard. Elle a un foulard vert autour de la tête. Elle se meurt du cancer. Ce qui a provoqué ça chez elle, ce que le Seigneur a contre elle, c’est qu’une fois, quand elle était âgée de seize ans, elle a volé de l’argent à Son Église. Dites à Frère Branham de lui dire ces choses. AINSI DIT LE SEIGNEUR, si elle répare ça, elle sera guérie.” Attendez une minute. Ça a l’air bien beau, ça, mais attendez une minute. Vas-tu mettre ton nom sur ce bout de papier, toi qui discernes? Vas-tu y mettre ton nom?
134 “Cela venait du Seigneur.” L’un dit : “Cela venait du Seigneur.” Alors–alors vous mettez ça par écrit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce soir, une femme viendra, il y aura telle et telle chose.” Celui qui a le discernement de l’esprit, deux ou trois d’entre eux signent ça. Tous ces messages sont donnés. Très bien.
135 Puis, quelques instants plus tard, ils entendent la cloche qui se met à sonner. La réunion commence. Alors, ils remettent ces messages, ils les posent juste ici, sur la chaire. Juste ici, c’est à cet endroit qu’ils sont censés se trouver. Moi, je suis retiré quelque part, en train d’étudier, de prier. Au bout d’un moment, alors je sors, après qu’on a chanté les cantiques. L’église est tout à fait en ordre, les gens entrent, s’assoient, se recueillent, prient; c’est ce que vous devez faire. Non pas venir à l’église et parler les uns avec les autres, mais venir à l’église pour parler à Dieu. Ayez votre communion fraternelle dehors. Voyez? En ce moment c’est avec Dieu que nous sommes en communion. Et nous venons, nous parlons, tout se fait dans le silence, respectueusement, l’Esprit agit. Le pianiste vient au piano environ cinq minutes avant le début du service de chants, et il commence à jouer tout doucement : “À la croix où mourut mon Sauveur, je suis venu brisé de douleur”, ou quelque autre cantique vraiment mélodieux – tout doucement. Ça amène la Présence du Saint-Esprit dans la réunion. Voyez? Très bien.
136 Les gens sont assis là. Certains d’entre eux sont vraiment... ils se mettent à pleurer et viennent à l’autel, ils se repentent avant même que le service commence. Le Saint-Esprit est là. Voyez? L’église est en travail. Les Chrétiens prient; ils sont chacun à sa place. Ils ne sont pas là, à mâcher du chewing-gum et à dire : “Hé, Lydie, prête-moi donc ton rouge à lèvres; je voudrais... Tu sais. Tu sais. J’ai besoin de... Tu sais, l’autre jour, quand je faisais mes courses là-bas, je vais te dire une chose, je t’ai presque marché sur les pieds. A-t-on jamais vu...? Qu’est-ce que tu dis de ça?” Oh, miséricorde! Et vous appelez ça la maison de Dieu. Mais, c’est une honte! Le Corps de Christ qui se réunit. Voilà notre situation.
L’homme à côté de vous : “Dis donc, tu sais, quand on est allés là-bas, il y a eu ceci, et patati patata...” Ça, dehors, ça peut aller, mais ici, c’est la maison de Dieu.
137 Quand vous entrez, soyez en prière; prenez votre place. Ce n’est pas à vos églises que je parle, là, frères. Ce que vous faites, ça, je n’en sais rien; je parle à ce tabernacle. Je parle aux gens de chez moi. Voyez? C’est vrai.
138 Alors, après que vous êtes entrés comme ça, voilà le pasteur qui arrive. Il est rafraîchi. Il n’a pas à répondre à ceci, à cela et à autre chose. Il sort tout droit de la–la rosée de son ministère. Il a été sous la puissance du Saint-Esprit. Il entre là où d’autres langues de feu sont rassemblées. C’est presque une colonne maintenant (voyez?), elle est en mouvement. Il s’avance, il prend ceci. “Un message en provenance de l’église : ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, Frère Jones doit quitter sa maison. Demain après-midi à quatorze heures, un cyclone balaiera son terrain. Qu’il prenne ses affaires et s’en aille.’” Frère Jones a compris. Très bien. C’est noté. “AINSI DIT LE SEIGNEUR, il y aura une femme nommée une telle qui viendra ici ce soir, et ce qu’il y a eu... elle a fait telle chose.” (Comme je viens de le dire, vous voyez, comme ça.) Très bien, ça reste là. Voilà. Maintenant, chacun est déjà à sa place, dans l’église. Très bien.
139 Ensuite il apporte le message. Et le voilà qui commence à prêcher. Rien ne doit l’interrompre. Tout est déjà réglé. Maintenant nous allons de l’avant, nous prêchons le message.
140 Un peu plus tard, quand... Une fois le message terminé, voilà la ligne de prière pour la guérison qui commence. Voici venir une femme. Quelqu’un avait parlé en langues et avait dit qu’elle viendrait. Voyez? Nous savons tous ce qui va arriver. Nous le savons tous. Voyez-vous comme la foi commence à grandir, avec ces langues de feu qui sont là, au-dessus de vous, maintenant. Elle commence à s’accumuler. Eh bien, là c’est une oeuvre terminée, voilà tout.
Cette femme... Je dirai : “Madame Une telle, de New York, ici...” Voyez?
“Oh, c’est vrai. Comment le saviez-vous?
– C’est un message de la part du Seigneur à l’église. Quand vous aviez seize ans, n’étiez-vous pas à tel endroit, et n’avez-vous pas fait, pris de l’argent à l’église, vous avez volé ça, et vous êtes allée vous acheter avec ça de nouveaux vêtements?
– Oh, c’est vrai. C’est bien vrai.
– C’est exactement ça que Dieu nous a dit ce soir par la bouche de Frère Untel, qui a parlé en langues; Frère Untel a interprété; Frère Untel ici a dit, par le discernement, que ça venait du Seigneur. Et c’est la vérité.
– Oui!
– Alors, AINSI DIT LE SEIGNEUR, allez réparer ça, et vous guérirez de votre cancer.”
141 Frère Jones va chez lui, prend les remorques, recule, charge ses meubles, et part de là. À quatorze heures demain après-midi [Frère Branham fait entendre un son pour illustrer.–N.D.É.], voilà, tout sera dévasté. Voyez? Alors, l’église glorifie... “Merci, Seigneur Jésus, de Ta bonté.” Alors voilà, c’est ça : c’est pour édifier, pour le bien de l’église.
142 Maintenant, supposons que ce qu’ils ont dit n’arrive pas. Alors, c’est qu’il y a un mauvais esprit parmi vous. Vous ne voulez pas de cette chose mauvaise. Pourquoi voudriez-vous quelque chose de mauvais, alors que les–les cieux sont remplis de la véritable Pentecôte? N’acceptez pas une espèce d’imitation qui vient du diable. Obtenez quelque chose de véritable. Dieu a ça, et c’est pour vous. Alors ne vous réunissez plus, et ne mettez plus rien ici, tant que Dieu n’aura pas d’abord confirmé que vous êtes dans le vrai, parce que vous êtes une aide pour l’église, dans l’oeuvre de l’Évangile. Maintenant vous comprenez ce que c’est?
143 Et les langues, les langues inconnues... Personne qui... sait de quoi il parle. Il parle; mais chaque son a une signification. Ceci a une signification [Frère Branham tape une fois dans ses mains.–N.D.É.]. “Glouc, glouc, glouc!”, ça–ça, c’est un–ça, c’est un langage, quelque part.
144 Quand j’étais en Afrique, je ne l’aurais jamais cru, mais tout bruit qui se faisait avait une certaine signification. La Bible dit qu’il n’y a aucun son qui soit sans signification, qui soit dénué de sens. Tous les sons qui se font entendre ont un sens en rapport avec quelque chose. Eh bien, j’entendais les gens dire... Je disais : “Jésus-Christ, le Fils de Dieu.”
145 L’un d’eux faisait [Frère Branham donne un exemple des sons articulés par un interprète africain.–N.D.É.]. Un autre faisait [Frère Branham donne un autre exemple.]. Et ça voulait dire : “Jésus-Christ, le Fils de Dieu.” Voyez? Ça avait... Pour moi, ça ne signifie rien, mais pour eux, c’était un langage, tout comme celui que j’utilise pour vous parler. Les interprètes, pour le zoulou, le xhosa, le sotho et quoi encore, quand ils arrivaient là, dans chacune des langues qu’ils parlaient, tout le monde comprenait. Et ces choses que vous entendez les gens marmonner, et que vous prenez pour du bredouillage, ça n’en est pas; ça a une signification. Alors, nous devons respecter ces choses, et leur donner la place qui leur revient.
146 Bon, peut-être qu’il n’y a pas eu de message. Maintenant le service est terminé; on fait l’appel à l’autel. Au bout d’un moment quelqu’un (il n’y avait pas eu de message au début), quelqu’un se lève, dès qu’il en a l’occasion. Le Saint-Esprit... Or, la Bible dit : “S’il n’y a pas d’interprète, qu’on se taise.” Peu importe combien vous vous sentez poussé à parler, taisez-vous.
147 Vous dites : “Je ne le peux pas.” La Bible dit que vous le pouvez. Voyez? Donc, ça–ça règle la question. Voyez? Qu’on se taise.
148 Alors, quand ça, quand l’occasion est là, que tout est en ordre, alors, si le Saint-Esprit descend sur lui pour qu’il donne un message, alors, qu’il le donne. C’est exactement ce qu’il faut faire. Ensuite l’interprétation vient, on dit : “Il y a ici une femme qui se nomme Sally Jones (j’espère que la femme qui porte ce nom-là n’est pas ici, mais...), Sally Jones. (Voyez?) Dites-lui que c’est le dernier soir où un appel lui est adressé. Qu’elle se mette en règle avec Dieu, parce qu’il ne lui reste que peu de temps ici.” Là Sally Jones va se précipiter vers l’autel aussi vite qu’elle le peut (voyez?), parce que c’est son dernier appel. Voyez? C’est ça donner un message, ou une confirmation, ou quelque chose comme ça.
149 Voilà ce qu’est l’église pentecôtiste en action. Les mauvais esprits n’ont aucune possibilité de s’y glisser, parce que c’est déjà... La Bible indique avec précision : “Que ce soit chacun à son tour, et qu’il y en ait trois, et au moins deux qui jugent.” C’est ça l’église. Mais comment la trouvons-nous aujourd’hui? On saute, on se conduit n’importe comment, on rit, et tout, pendant que quelqu’un parle en langues; quelqu’un d’autre regarde ça, tout en parlant d’autre chose, et les gens s’attroupent; le pasteur, lui, est en train de faire quelque chose; ou, certains s’attroupent. Voyons, ce n’est pas bien, ça. Peut-être que le pasteur est en train de prêcher, et quelqu’un va se lever et l’interrompre pendant... Peut-être qu’il est en train de lire la Bible, et quelqu’un... En train de lire la Bible, et quelqu’un là-bas parle en langues. Oh, non! Voyez? Le prédicateur est à la chaire, en train de prêcher, et quelqu’un se lève et l’interrompt en parlant en langues. Ça va, je ne dis pas que ce n’est pas le Saint-Esprit, mais vous devriez savoir comment utiliser le Saint-Esprit (voyez?), comment L’utiliser.
149 a Maintenant, je–je prends... Pouvez-vous en absorber encore une? Puis, demain, c’est dimanche. Puis nous... Nous allons simplement... En voici une. Je trouve qu’elle est des plus courtoises, celle-là. Et maintenant, si vous voulez bien me supporter encore quelques minutes je vous prie. Et puis, je vais... je veux que vous–je veux que vous saisissiez ceci. C’est à dessein que je l’ai gardée pour la fin. C’est la dernière que je prendrai.
Bon, d’abord, je vais lire les deux choses que cette personne a demandées. C’est sur un vieux bout de papier, c’est écrit à la main, une très belle écriture. Je ne sais pas du tout de qui ça peut venir, il n’y a pas de nom sur–sur aucune d’elles.
98. Frère Branham, est-ce bien pour des ministres de solliciter longuement les gens pour obtenir de l’argent pendant leurs réunions, déclarant que Dieu leur a dit que tant de personnes dans l’auditoire sont censées donner tant? Si c’est bien, j’aimerais le savoir. Ou alors, si ce n’est pas bien, j’aimerais le savoir. C’est quelque chose qui m’a beaucoup troublé.
150 Bon, vous voyez, mon ami, je vais vous le dire, je vais vous dire ce que moi, j’en pense. Voyez? Or, ça ne veut pas dire que c’est juste. J’en pense que c’est terrible.
151 Maintenant, ce que j’en pense, c’est ceci. Dieu m’a envoyé sur le champ de travail. J’ai connu l’époque où il semblait que j’aurais dû, au moins... Je–je n’avais pas d’argent du tout. Et je disais : “Faites passer le plateau à offrandes, c’est tout.”
L’organisateur venait me dire : “Écoute, Billy, nous avons un déficit de cinq mille dollars, ce soir, mon gars. Est-ce que tu as l’argent à Jeffersonville pour régler ça?”
152 Je disais : “Ça ne fait rien. C’est Dieu qui m’a envoyé ici, sans ça je ne serais pas venu. (Voyez?) Faites passer le plateau à offrandes, c’est tout.”
Et avant que la série de réunions soit terminée, quelqu’un disait : “Vous savez, le Seigneur m’a mis à coeur de contribuer à ceci un montant de cinq mille dollars.” Voyez? Voyez? Mais d’abord, il faut être conduit à le faire.
153 Je ne crois pas que ce soit bien de soutirer, de quêter, de quémander de l’argent. Je pense que c’est mal de faire ça. Or, frère, si vous, vous le faites, je ne veux surtout pas vous blesser. Voyez? Vous–vous avez peut-être reçu de Dieu le droit de le faire. Mais je donne simplement mon avis. Moi, je ne crois pas que ce soit bien.
154 Or, j’ai même déjà eu connaissance que certains ministres aient dit... J’y étais moi-même, il n’y a pas longtemps... Or là, ce n’est pas de pentecôtistes qu’il s’agit, c’est de... Eh bien, il s’agit d’églises (voyez?), d’autres églises. C’était lors d’un grand rassemblement religieux en campement. Gertie, vous étiez avec moi, et beaucoup d’autres qui se trouvent ici. Et ils ont passé tout l’après-midi, – c’était une dénomination bien connue, – ils étaient deux ou trois qui étaient là (il s’agit des églises habituelles–habituelles, comme nos églises modernes d’ici, en ville, et tout), lors d’une grande convention, ils ont passé tout l’après-midi, debout sur l’estrade, à faire des menaces aux gens, disant que–que Dieu détruirait leurs récoltes, frapperait leurs enfants de polio, et ce genre de chose, s’ils ne donnaient pas d’argent lors de cette réunion. C’est l’exacte vérité, cette Bible est devant moi. J’ai dit : “C’est un blasphème contre Dieu et Ses disciples.” Si Dieu vous envoie, Il prendra soin de vous. S’Il ne vous a pas envoyé, dans ce cas, alors, que ce soit la dénomination qui prenne soin de vous. Mais–mais vous... Si Dieu vous envoie, Il prendra soin de vous.
99. Que dire d’une pièce de théâtre de Noël dans une église du Saint-Esprit?
155 Eh bien, si c’est au sujet de Christ, ça pourrait peut-être aller. Mais si c’est au sujet du père Noël, lui, je n’y crois pas. Je–je suis devenu trop grand–je suis devenu trop grand pour ça. Je ne crois pas du tout au père Noël. Voyez? Et certaines de ces petites choses de Noël qu’ils font, moi, je trouve ça ridicule. Et... Mais je pense qu’ils ont retiré complètement Christ de Noël, et ils ont mis le père Noël à la place.
156 Et le père Noël, c’est une histoire inventée. (J’espère que je ne blesse personne, je pense aux enfants.) Mais je vais vous dire une chose. Il n’y a pas longtemps – environ vingt-cinq ou trente ans – un ministre de cette ville, le pasteur de–d’une grande église de cette ville, que je connaissais très bien, un de mes amis intimes, est venu vers moi. Et Charlie Bohannon (Frère Mike, tu te souviens de Charlie Bohannon, un de mes bons amis)... Il était assis dans son bureau, et il a dit : “Je ne dirai plus jamais ce mensonge à mes enfants, et je ne permettrai pas non plus qu’on le dise à mes petits-enfants.” Il a dit : “Mon propre petit garçon est venu vers moi, un jour, il avait une douzaine d’années, et il parlait du père Noël.” Et il a dit : “Eh bien... Mon chou, j’ai quelque chose à te dire.” Il a dit : “Maman...” Vous savez, et là il lui a dit ce qu’il avait fait.
Puis, après ça, il est revenu, il a dit : “Alors, papa, est-ce que Jésus, là, c’est la même chose?”
157 Dites la vérité. Le père Noël, c’est une invention catholique, au sujet d’un certain Kriss Kringle, ou saint Nicolas, un ancien saint catholique allemand, qui allait de lieu en lieu faisant du bien aux enfants. Et ils ont perpétué ça sous forme de tradition. Mais Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Il est réel, et Il est vivant.
Maintenant, voici une question, la dernière, qui est très...
158 Maintenant regardez. Il se peut que vous ne soyez pas d’accord avec moi là-dessus. Mais si vous n’êtes pas d’accord avec moi, souvenez-vous, faites-le amicalement, d’accord? Je vous aime, et je ne veux pas–ne veux pas vous faire de peine. C’est que je, je veux être honnête. Si je ne peux pas... si je dis un mensonge à mon fils, alors, je suis un menteur. Voyez? Je veux lui dire la vérité.
159 Alors je lui parle du père Noël, en disant : “Mais oui, bien sûr qu’il y a le père Noël. Regarde bien papa, le soir de Noël.” Voyez? Oui.
160 Vous savez, l’autre jour, j’étais par ici, et j’ai testé une petite fille à ce sujet, juste pour voir. Et on m’a vraiment rendu la monnaie de ma pièce, c’était avant-hier. J’étais dans l’établissement, et des gens étaient là, à l’épicerie Quaker Maid. J’y étais allé pour acheter des provisions. Donc, ma femme et moi, nous étions là. Et il y avait une toute petite, elle n’avait pas plus de dix-huit mois, elle était là qui faisait, qui chantait : “Pè Noël, Pè Noël...” Et j’ai dit... Dans son petit siège, vous savez, assise à l’arrière du petit chariot.
J’ai dit : “Est-ce que tu cherches le père Noël?”
Elle a dit : “C’est mon papa, monsieur.”
J’ai dit : “Sois bénie, ma petite chérie. Toi, tu as de la sagesse.”
Maintenant, voici une question vraiment épineuse, mes amis. Et là-dessus... Ensuite je terminerai. Oh, c’est–c’est un passage de l’Écriture formidable, mais il semble que c’est un point épineux pour tout le monde. Il m’a laissé perplexe pendant bien des années; et c’est seulement par la grâce de Dieu... Et ma précieuse épouse, qui est assise là-bas, au fond, en ce moment, quand elle a appris que j’avais cette question cet après-midi, elle a dit : “Bill, comment vas-tu répondre à celle-là?” Elle a dit : “Je me suis toujours moi-même posé cette question.” Elle a dit : “Je n’ai jamais pu comprendre.” Et elle a dit...
Je lui ai dit : “Viens ce soir, ma chérie. Je vais faire de mon mieux, avec l’aide de Dieu.”
100. Frère Branham, s’il vous plaît expliquer Hébreux 6.4-6.
161 À ce sujet, vraiment, une fois,... Vous voyez, maintenant, ici, il faudra considérer attentivement ce qui se rapporte à notre foi, à la grâce, à la sécurité des croyants, à la persévérance des saints, ou plutôt à la persévérance des saints. Hébreux, chapitre 6, 4 à 6.
Maintenant, dès que... pour terminer ceci, là j’espère que Dieu m’aidera à bien éclaircir ça pour vous. Je suis désolé, je–j’avais mon Message pour ce soir; peut-être que je prêcherai la même chose demain matin, au–au service. Puis je m’en irai.
162 Or, cette question est vraiment épineuse. Voyez? Maintenant il faut faire attention. Maintenant, souvenez-vous, ce que nous croyons et enseignons dans cette église, ce n’est pas que tous ceux qui viennent ici et qui poussent des cris, que tous ceux qui parlent en langues, que tous ceux qui serrent la main du prédicateur, ont la Vie Éternelle. Mais ce que nous croyons, c’est que, si vous avez la Vie Éternelle, si Dieu vous a donné la Vie Éternelle, vous L’avez pour toujours. Voyez? En effet, regardez. S’il en était autrement, Jésus se trouve être un faux docteur. Dans Jean 5.24, Il a dit : “Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Éternelle et ne viendra jamais en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.” Maintenant, argumentez avec Lui. “Tous ceux que le Père M’a donnés... Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire. (Je cite l’Écriture.) Tous ceux qui viendront... Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que Mon Père M’a donnés viendront à Moi. (Voyez?) Et tous ceux qui viendront à Moi, Je leur donnerai la Vie Éternelle (Jean 6), et Je les ressusciterai aux derniers jours.” Ce sont Ses paroles.
163 Maintenant regardez. Si je revenais à Éphésiens, chapitre 1, où Paul prêchait... Or, chez les Corinthiens, chacun avait une langue, et un cantique. Vous remarquerez que les autres églises n’ont pas eu ce problème. Il n’a jamais rien dit à ce sujet. Est-ce qu’il a déjà fait mention des langues, quelque part, dans l’église d’Éphèse, dans l’église de Rome? Non! Chez eux, tout comme chez les Corinthiens, ils avaient des langues et tout le reste, mais chez eux, il y avait un ordre établi pour ces choses. Les Corinthiens, eux, ils n’arrivaient pas à y mettre de l’ordre. Voyez? Mais Paul est allé là-bas, et il a mis l’église en ordre.
Alors, il... Je crois, comme le dit Oral Roberts, que “Dieu est un Dieu bon”. Vous croyez ça, n’est-ce pas?
164 Et vous dites : “Eh bien, alors, qu’en est-il des pentecôtistes, qui ont ces langues, Frère Branham?” Je pense qu’ils ont reçu le Saint-Esprit. Certainement. Très bien. Pourquoi? Regardez. Vous croyez qu’Il est un Dieu bon? Thomas a dit, une fois : “Tu sais, Seigneur...”
Tous les autres croyaient en Lui. Ils disaient : “Oh, nous savons qu’Il est réel!”
“Oh,” Thomas a dit, “non, non, je ne le crois pas. Pour que je le croie, il faudra que j’aie une preuve. Il faudra que je mette mes doigts dans Son côté, et dans les marques des clous dans Ses mains.”
Il est un Dieu bon. Il a dit : “Viens, Thomas. Voilà.”
“Oh,” Thomas a dit, “maintenant je crois.”
165 Jésus a dit : “Oui, Thomas, après M’avoir vu, et M’avoir touché, et mis Ma main... tes mains dans Mon côté, tu crois. Mais combien plus grande sera la récompense de ceux qui n’ont jamais vu, et qui croient quand même.” Il est un Dieu bon. Bien sûr, Il vous donne ce que votre coeur désire. Croyons en Lui, simplement. C’est ça le–c’est ça le–c’est ça le coup mortel donné à Satan. Quand un homme prend Dieu au Mot, frère, ça tuera Satan chaque fois. C’est ça le coup le plus dur que Satan peut recevoir : quand un homme prend Dieu au Mot. Comme je l’ai dit : “L’homme ne vivra pas seulement (Jésus, l’autre soir), mais de chaque Parole qui sort de...”
166 Maintenant remarquez ceci. Bon, je vais commencer au premier verset :
C’est pourquoi, laissant les éléments de la Parole de Christ, tendons à ce qui est parfait... (Maintenant, la première chose que je veux que vous sachiez : à qui Paul parle-t-il ici? Aux Hébreux. Il est dit “Hébreux”, en haut, l’Épître aux Hébreux. Pas vrai? Les Juifs, qui avaient rejeté Jésus. Est-ce que vous–vous saisissez maintenant? Il parle aux Juifs, Il leur montre que l’ombre, la loi, était un type qui représentait Christ. Toutes les choses anciennes étaient un type des nouvelles. Maintenant regardez bien.)
...laissant les éléments de la Parole de Christ, tendons à ce qui est parfait,...
167 Là il leur avait parlé des doctrines. Continuons et parlons maintenant des choses parfaites. Or, vous êtes rendus parfaits en Dieu, une fois que vous avez été scellés par le Saint-Esprit jusqu’au jour de votre rédemption. “Celui qui est né de Dieu (I Jean) ne pratique pas le péché; en effet, il ne peut pas pécher, parce que la Semence de Dieu demeure en lui.”
168 Un homme qui est rempli du Saint-Esprit, non pas celui qui pense qu’il En est rempli mais celui qui est né de l’Esprit de Dieu, ne pratique pas le péché, parce que la Semence de Dieu est en lui, et il ne peut pas pécher. Voyez? Est-ce bien ce que la Bible dit? Alors voilà, c’est ça. Vous êtes... Il ne s’agit pas de ce que vous faites, de ce que, il s’agit de ce que, non pas de ce que le monde pense de vous, mais de ce que Dieu pense de vous. Voyez? Voyez? Vous ne pouvez pas... Comment puis-je avoir en main un ordre écrit par le maire de la ville, m’autorisant à rouler à quarante milles [soixante-cinq kilomètres] à l’heure dans la ville, et être ensuite arrêté par un agent de police? Impossible. Comment puis-je pécher, alors qu’il y a constamment un sacrifice sanglant devant Dieu, qui fait qu’Il ne me voit même pas, alors qu’il y a un pare-chocs sur–sur... entre moi et Dieu, un bouclier de Sang; car nous sommes morts, et notre vie est cachée en Christ par Dieu, scellée par le Saint-Esprit. Voyons, mais comment pouvez-vous faire quelque chose de mal aux yeux de Dieu? “Si nous péchons volontairement (Hébreux 10) après avoir reçu la connaissance de la Vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché.” Ici, à l’intérieur, il est impossible (voyez?) de pécher volontairement.
169 Maintenant continuons à lire. Très bien.
...ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement du–du renoncement aux oeuvres mortes, de la foi en Dieu,
De la doctrine des baptêmes, de l’imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel.
C’est ce que nous faisons, si Dieu le permet.
(Maintenant, voici où ils voulaient commencer, au verset 4.) Car il est impossible que ceux qui... été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit,
Qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir,
Et qui sont tombés, soient encore renouvelés–renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l’exposent à l’ignominie.
170 Bon, donc, il semble, comme vous le lisez là, qu’un homme pourrait, après avoir reçu le Saint-Esprit, rétrograder et être perdu. Mais c’est une chose impossible pour lui. Voyez? Il ne le peut pas. S’il le faisait, Christ aurait menti. Voyez? C’est une chose impossible pour ceux qui ont été une fois éclairés. Maintenant regardez bien, ici. À qui est-ce qu’il parle? Il parle à ces Juifs frontaliers. Il n’a jamais dit qu’il s’agissait d’un homme rempli du Saint-Esprit; il a seulement dit : “S’il a goûté la Parole de Dieu.”
171 Maintenant, je vais vous présenter ça un peu comme une parabole, pour m’assurer que vous le voyiez, que ça ne vous échappe pas. Il écrit donc à ces Juifs. Certains d’entre eux sont des croyants frontaliers. Voyez? Il a dit : “Maintenant nous allons laisser de côté ces oeuvres, et continuer à avancer, parler de la perfection.” Il a dit : “Bon, nous parlons des baptêmes, de la résurrection des morts, de l’imposition des mains, et de toutes ces choses; mais maintenant, nous allons parler de la perfection. Maintenant nous allons parler du moment où vous entrez dans le Saint-Esprit. Ça fait maintenant longtemps que vous suivez les réunions.”
172 Et de ces gens-là, vous en avez vu. Ils vont suivre; et ils ne veulent ni entrer ni sortir. Ils apprécient le Saint-Esprit. Ils se présentent là. Peut-être que le Saint-Esprit fait quelque chose, et voilà qu’ils se lèvent, qu’ils poussent des cris et qu’ils sautent en l’air, mais jamais ils n’ont le désir de Le recevoir personnellement. Non, non! Voyez? Et ils diront : “Oh, oui, c’est bien. Oh, mais ça, je ne suis vraiment pas sûr.” Voyez? Voyez? Voyez? Des croyants frontaliers. Ils sont juste assez près pour pouvoir Y goûter, mais cependant ils ne Le reçoivent pas. Voyez? Alors, ils restent là autour, comme ça, pendant si longtemps qu’après un moment, ils finissent par dériver complètement et s’en aller. Je pourrais citer les noms de beaucoup de gens qui étaient au Tabernacle et qui ont fait la même chose. Ils sont retombés – pour ce qui est d’être renouvelés et amenés à la repentance, il n’y a plus de repentance pour eux. Ils ont tout simplement attristé l’Esprit, et Il s’est éloigné d’eux. Ils en ont été si près que...
173 Tenez, si vous preniez avec moi, – vous n’avez pas le temps maintenant, je sais, – mais si vous preniez le Deutéronome, au chapitre 1, et que vous le lisiez, vous y trouveriez la même chose. Notez-le donc, c’est Deutéronome, chapitre 1. Bon, et commencez au verset 19, et lisez-le jusqu’au verset 26. Le Deutéronome... Vous y verrez... Maintenant regardez. Tout Israël... Ce que ces gens-là font, c’est qu’ils arrivent à Kadès-Barnéa. Oh, je vois quelque chose! Ce tabernacle, ce monde pentecôtiste, est à Kadès-Barnéa, maintenant même. C’est tout à fait vrai, Frère Neville. Nous sommes à Kadès-Barnéa, le tribunal du monde (c’était le tribunal).
174 Et les espions sont allés là-bas. C’est Josué qui a dit, ici : “Maintenant j’ai envoyé des espions,” ou plutôt, c’est Moïse, “j’ai envoyé des espions, douze, un de, un homme de chacune de vos tribus. Je les ai envoyés pour qu’ils explorent le pays et reviennent nous faire un rapport.” Pas vrai?
Et quand ils sont revenus, neuf hommes sur les douze ont dit : “Oh, c’est un bon pays, mais oh, miséricorde, nous ne pouvons pas nous en emparer. Oh! la la! Les Amoréens sont là-bas, et nous sommes comme des sauterelles à côté d’eux. Ce sont des hommes armés. Leurs murailles sont hautes. Oh, c’est trop... eh bien, moi j’aurais préféré que nous mourions là-bas en Égypte, plutôt que tu nous conduises ici.”
175 Mais, ces braves Caleb et Josué ont sauté sur leurs pieds, et ils les ont apaisés; ils ont dit : “Nous sommes plus que capables de nous en emparer.” Oui monsieur! Le voilà, celui qu’il faut. Maintenant regardez. Qu’est-il arrivé? Caleb et Josué savaient que Dieu le leur avait promis : “Je ne me soucie pas de sa grandeur, ni du nombre d’obstacles à surmonter, ni de leur taille ou de leur importance, ça, ça n’a rien à voir. Dieu l’a dit, alors nous sommes capables de nous en emparer.” Et savez-vous qu’ils ont été les deux seules personnes qui, sur les deux millions et demi qu’il y avait là, qui ont traversé, sont entrées dans ce pays? C’est parce qu’ils ont gardé la foi en ce que Dieu avait déclaré être la Vérité. Amen!
176 Le Tabernacle, maintenant même, est à Kadès-Barnéa. Regardez, ces gens en ont été si près qu’ils ont même goûté aux raisins provenant de ce pays. Ils ont mangé de ses raisins. Quand Caleb et les autres sont allés là-bas, qu’ils en ont ramené des raisins, ces gens-là en ont pris quelques-uns et les ont mangés. “Oh, ils sont bons, mais on ne peut pas y arriver.” “Ceux qui ont goûté la bonne oeuvre de Dieu, qui ont goûté au Saint-Esprit, qui ont contemplé Sa bonté, qui Y ont goûté, qui ont goûté la Parole de Dieu.” Vous le voyez? Il n’a jamais été permis à aucun de ces hommes-là, pas un seul d’entre eux, d’y entrer. Ils ont péri dans leur propre pays, ici, dans le désert. Ils n’y sont jamais entrés, pourtant ils en étaient assez près pour Y goûter, mais ils n’avaient pas assez de grâce et de foi pour s’En emparer. C’est ça.
177 Bon. Maintenant écoutez, vous chère personne, qui avez écrit cette lettre. Lisons donc le verset suivant. Observez, un instant. Observez Paul. Maintenant lisons le verset 7 :
Lorsqu’une terre est abreuvée par la pluie qui tombe souvent sur elle, et qu’elle produit une herbe, une nourriture pour ceux pour qui elle est cultivée, elle a part aux bénédictions de Dieu;
Mais, si elle produit des épines et des chardons, elle est réprouvée, près d’être maudite, et finit par être brûlée.
178 Maintenant, voyez-vous ce qu’il dit? Maintenant regardez bien. Il y avait cette question ici; ensuite nous allons terminer. C’est une chose qui m’a déchiré pendant des années.
179 Une fois, j’ai assisté à une série de réunions où des gens parlaient en langues, à Mishawaka, dans l’Indiana. Maintenant, je suis devant mes propres fidèles. Vous avez entendu ces gens... vous m’avez entendu raconter l’histoire de ma vie, et parler de cet homme de couleur qui disait : “Par ici! Par ici!” Ça, je l’ai déjà raconté.
180 Mais voici la suite : j’ai vu deux hommes. Ils... L’un donnait un message, et l’autre l’interprétait. L’autre donnait un message, puis l’autre l’interprétait. Et, frère, ce qu’ils disaient était juste. Tout simplement... Je me suis dit : “Miséricorde! Je n’ai jamais rien vu de semblable.” J’ai dit : “Je suis parmi des anges.” Je me suis dit, je n’avais jamais rien vu... L’un parlait, et l’autre...
181 Et j’étais assis là, au fond, un prédicateur tout simple, vous savez. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] ...ces deux hommes, à un moment donné, leur serrer la main. Je n’avais jamais vu de tels hommes de ma vie. L’un donnait un message, et l’autre l’interprétait. Et, oh! la la! c’était formidable! L’un parlait, et l’autre interprétait. Tous les deux... Et, quand ils levaient les mains, ils devenaient blancs comme de la craie. Je me disais : “Oh! la la! mais où est-ce que j’ai été toute ma vie. C’est ça qu’il faut!” Je disais : “Oh, les pentecôtistes ont raison.” C’est tout à fait exact.
182 Je n’avais jamais vu grand-chose, seulement ce qui se passait dans les parages, ici, où... Peut-être quelques femmes qui faisaient partie d’une mission quelque part. Et elles se chamaillaient; l’une traitait l’autre de “perchoir à buses”, et, vous savez, c’était un peu comme ça, elles se chamaillaient. Je ne dis pas ça pour manquer d’égards envers les femmes, là, ni rien, mais juste... C’était–c’était le creux de la vague, quoi. Si quelques-uns d’entre vous... Tu t’en souviens, Frère Graham. Tu n’étais qu’un gamin à l’époque. Et donc, c’était comme ça.
Et j’écoutais ça, je me disais : “Oh! la la! j’ai atterri parmi des anges.”
183 Un jour, en arrivant au coin du bâtiment, peut-être le deuxième jour, j’ai rencontré un de ces hommes-là. J’ai dit : “Bonjour, monsieur!”
Il a dit : “Bonjour!” Il a dit : “Est-ce que... Comment t’appelles-tu?”
J’ai répondu : “Branham.”
Il a dit : “Tu es d’où? D’ici?”
J’ai répondu : “Non, je suis de Jeffersonville.”
Il a dit : “Ah, c’est bien. Es-tu pentecôtiste?”
J’ai dit : “Non, monsieur.” J’ai dit : “C’est que je ne suis pas d’accord avec les pentecôtistes sur la façon de recevoir le Saint-Esprit,” j’ai dit, “cependant”, j’ai dit, “je suis ici pour apprendre.”
184 Il a dit : “C’est vraiment bien, ça.” Et, en lui parlant, j’ai contacté son esprit (comme la femme au puits), c’était un vrai Chrétien. Frère, vraiment, il me faisait l’effet d’être authentique. C’était quelqu’un de bien. Maintenant, vous tous... Combien ont assisté à mes réunions, ont vu ces choses arriver? Vous voyez? Cet homme, c’était quelqu’un de très bien, tout à fait. Et donc, je–j’ai pensé : “Voilà! Oh, comme c’est merveilleux!”
185 Vers le soir, cet après-midi-là, à un moment donné j’ai rencontré l’autre. J’ai dit : “Bonjour, monsieur!”
Il a dit : “Bonjour! Comment t’appelles-tu?” Et je le lui ai dit. Et il a dit : “As-tu... Es-tu–es-tu pentecôtiste?”
J’ai dit : “Non, monsieur, pas vraiment pentecôtiste, non.” J’ai dit : “Je suis seulement ici pour apprendre.”
Il a dit, j’ai dit, il a dit : “As-tu déjà reçu le Saint-Esprit?”
J’ai dit : “Je–je ne sais pas.” J’ai dit : “À en juger par ce que vous autres, vous avez, je pense que je ne L’ai pas.”
Et il a dit : “Tu as déjà parlé en langues?”
J’ai dit : “Non, monsieur!”
Il a dit : “Dans ce cas, tu ne L’as pas reçu.”
186 J’ai dit : “Eh bien, je–je pense que c’est exact.” J’ai dit : “Je ne sais pas. Ça ne fait que deux ans ou moins que je prêche,” et j’ai dit, “je n’en sais pas très long Là-dessus.” J’ai dit : “Peut-être, je ne sais pas.” J’ai dit : “Je ne peux pas comprendre...” C’est que là, j’essayais de le retenir (voyez?), pour avoir ce contact. Et quand j’y suis parvenu, j’ai constaté que si j’avais jamais rencontré un hypocrite, celui-là en était bien un. Sa femme avait les cheveux noirs, et il vivait avec une femme blonde, dont il avait eu deux enfants; et il parlait en langues, et il interprétait les langues de façon absolument parfaite. Et j’ai dit : “Maintenant, Seigneur, dans quoi est-ce que je me suis embarqué?” Après avoir cru être parmi des anges, je ne savais plus dans quel milieu j’étais tombé. J’ai dit : “Je–je–je suis fondamentaliste : il faut que ce soit conforme à la Bible. Il faut que ce soit juste. Il y a quelque chose qui cloche quelque part, Seigneur. Comment est-ce possible?”
187 Je suis allé à la réunion ce soir-là, et cet Esprit descendait; et, frère, on pouvait le ressentir, que C’était bien le Saint-Esprit. Oui monsieur! Sinon... Il rendait témoignage à mon esprit que c’était bien le Saint-Esprit. Je n’étais qu’un jeune prédicateur, et je ne savais pas comment, grand-chose sur le discernement d’un esprit. Mais j’étais assis là. Et je sais que ce même Dieu qui m’a sauvé, là on ressentait la même chose... Je me sentais comme si j’allais passer à travers le toit, tellement l’atmosphère qui se dégageait dans cette salle était merveilleuse. Et je me disais...
188 Il y avait là environ mille cinq cents personnes. Et je me disais : “Oh! la la!” Ils étaient deux ou trois groupes à s’être rassemblés là-bas. Et je me disais : “Oh, dis donc! Comment est-ce possible? Voici ce glorieux Esprit qui descend dans cette salle, comme ça; et regarde par là ce qui se passe : ces hommes qui parlent en langues, qui interprètent, qui donnent des messages de façon parfaite – et l’un d’eux est un hypocrite, alors que l’autre est un véritable homme de Dieu.” Et je me suis dit : “Maintenant je suis complètement déboussolé. Je ne sais pas ce qu’il faut faire.”
189 Eh bien, tout de suite après ça, un de mes bons amis, Frère Davis (vous savez), s’est mis à dire que j’étais une marionnette. Ça, c’est un jouet de fille, vous savez. Et alors, j’étais célibataire, et alors, je... Il s’est mis à me faire des histoires, il n’en finissait plus, il se payait ma tête, quoi.
190 Et nous faisions... Votre mère et nous tous, nous faisions de petites réunions à différents endroits dans les environs. Le Tabernacle n’était pas–n’était pas en service à ce moment-là, et nous faisions de petites réunions à différents endroits. Un jour, finalement, après que le Tabernacle a été construit, bien des années plus tard, je suis allé à Green’s Mill, à ma caverne, pour prier, parce que Frère Davis avait raconté des horreurs sur mon compte dans le–dans–dans son journal. Je l’aimais. Je ne voulais pas qu’il arrive quoi que ce soit, alors je–je suis allé là-bas pour prier pour lui. Je suis allé là-bas, et je suis entré dans ma caverne. Et j’y suis resté environ deux jours. Et j’ai dit : “Seigneur, pardonne-lui. Il–il ne pense pas–ne pense pas ce qu’il dit.” Et j’ai pensé : “Tu sais...” Tout à coup un passage de l’Écriture m’est venu à l’esprit.
191 Et je suis sorti. Il y avait là un tronc d’arbre (ce tronc s’y trouve toujours, je me suis assis dessus il n’y a pas longtemps), il était tombé de la montagne, et était en travers d’un petit chemin qui venait du ruisseau. Je me suis assis à califourchon sur ce tronc, je regardais les montagnes au–au loin, et j’ai posé ma Bible comme ceci. Je me suis dit : “Tu sais...” Je pensais à un passage de l’Écriture : “Le forgeron, il m’a fait beaucoup de mal et il a raconté des choses.” Vous savez... J’ai pensé : “Je crois que je vais lire ce passage.” J’ai ouvert la Bible, et j’ai dit : “Eh bien...” Je me suis essuyé le visage. Et là un coup de vent L’a ouverte à Hébreux 6. “Eh bien,” j’ai dit, “ce n’est pas là que ça se trouve.” Je L’ai posée, comme ceci. Et là un autre coup de vent L’a ramenée au même endroit. J’ai dit : “C’est étrange, ça, que le vent La ramène au même endroit, comme ça.” Alors je me suis dit : “Eh bien, je crois que je vais lire ça.” Et il y était dit :
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés,... qui ont eu part au Saint-Esprit, qui ont goûté la... Parole de Dieu et ce qui est du siècle à venir,
Je me suis dit : “Eh bien, je ne vois rien de spécial là-dedans.” J’ai continué à lire le reste du chapitre. Rien de particulier là-dedans. J’ai dit : “Eh bien, quant à ça, c’est–c’est une affaire réglée.” Je–j’ai vu la chose comme ça. Et c’est encore revenu au même endroit. Je L’ai reprise, en me disant : “Eh bien, qu’est-ce que ça signifie, ça?” Et j’ai lu, et relu, et relu. J’ai dit : “Eh bien, je ne comprends pas.” Puis j’ai continué... Et j’ai lu, plus bas :
...est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés,...
Puis, je suis arrivé à un passage où il était dit :
Et la terre est abreuvée par la pluie qui tombe souvent sur elle, pour produire une herbe, une nourriture pour ceux pour qui elle est cultivée, elle a part aux bénédictions de Dieu;
Mais, si elle produit des épines et des chardons, elle est réprouvée, près d’être maudite, et son jugement, c’est d’être brûlée.
192 J’ai dit : “Je me demande bien ce que ça veut dire.” Je... Or, je ne pensais à rien de particulier, pendant que j’étais là-bas. Je réfléchissais simplement à ça. Juste à ce moment-là, pendant que j’étais assis là, j’ai pensé que le Seigneur allait me donner une vision au sujet de Frère Davis et des autres, là. J’étais assis là; j’ai regardé, et j’ai vu quelque chose qui tournait, de l’autre côté du vallon qui se trouvait devant moi. Et c’était le globe terrestre, qui tournait. J’ai vu qu’il était tout défriché, il avait l’air d’avoir été tout labouré. Et un Homme avançait, Il avait un–un–un grand truc rempli de semences devant Lui, et Il lançait la semence sur toute la surface de la terre en avançant. Et Il a disparu à l’horizon, je L’ai perdu de vue. Aussitôt que je L’ai perdu de vue, un homme qui avait l’air très sournois et qui portait des vêtements noirs est arrivé, il allait de-ci de-là, comme ceci, en faisant [Frère Branham fait entendre des sons pour illustrer.–N.D.É.], en lançant de mauvaises semences [Frère Branham répète ces sons.] J’observais ça et, comme la terre continuait à tourner...
193 Au bout d’un moment, le blé a levé. Et en même temps que le blé a levé, là des chardons, des ronces, des épines, de l’herbe aux sorciers et tout, se sont mis à pousser, des asclépiades et tout, se sont mis à pousser parmi le blé. Et ils poussaient tous ensemble. Puis il y a eu une terrible sécheresse, et le petit blé penchait la tête, comme ça, et le petit chardon, la ronce, les épines, ils penchaient aussi la tête. Les mauvaises herbes, chacune [Frère Branham fait entendre un son de halètement.–N.D.É.] soufflait, comme ça. On les entendait très bien. Elles réclamaient de la pluie, de la pluie.
194 Au bout d’un moment, voilà un gros nuage qui arrive, et l’eau s’est déversée à flots. Et quand elle est tombée, là, le blé s’est redressé d’un coup, et il s’est mis à crier très fort : “Gloire! Alléluia! Loué soit l’Éternel!” D’un coup l’herbe aux sorciers s’est redressée, et a crié très fort : “Gloire! Loué soit l’Éternel! Alléluia!” Les épines et toutes les herbes se sont mises à danser, partout dans le champ, en criant très fort : “Gloire! Alléluia! Loué soit l’Éternel!”
Eh bien, j’ai dit : “Je ne saisis pas.”
195 La vision a disparu; et de nouveau je suis tombé sur ça : “Les chardons qui sont près d’être rejetés.” Et là j’ai saisi. Jésus a dit : “La pluie tombe sur les justes et sur les injustes.” Un homme peut assister aux réunions, il peut parler en langues, il peut pousser des cris et agir comme les autres, par l’authentique Saint-Esprit, et pourtant ne pas être dans le Royaume de Dieu. C’est tout à fait vrai. Jésus n’a-t-Il pas dit : “Beaucoup se présenteront là en ce jour-là, et ils diront : ‘Seigneur, n’ai-je pas chassé les démons en Ton Nom; n’ai-je pas prophétisé (prêché) en Ton Nom; n’ai-je pas fait beaucoup de miracles en Ton Nom?’” Jésus a dit : “Retirez-vous de Moi, ouvriers d’iniquité, Je ne vous ai jamais connus.” Qu’est-ce que vous dites de ça?
196 Voici exactement ce que ça veut dire. Voyez? Ils ont goûté à la bonne pluie qui est venue du Ciel. Mais ils étaient faux, dès le départ. Leurs objectifs n’étaient pas bons, dès le départ; leurs motifs n’étaient pas bons. Là, vous ne pouvez pas les distinguer. La... Vous savez, pendant la moisson, il a dit : “Dois-je aller tous les arracher?”
197 Il a dit : “Laissez-les croître ensemble, et en ce jour-là, ces épines et ces chardons seront brûlés ensemble, et le blé sera amassé dans le grenier.” Maintenant, comment faire pour reconnaître lequel est une épine, ou lequel est un chardon, ou lequel est du blé? “C’est à leur fruit que vous les reconnaîtrez.” Vous voyez, frères et soeurs, un bon arbre ne peut pas produire de mauvais fruits. Quelque part sur la route, peu importe, ça va vous rattraper. Alors, vous qui recherchez le baptême du Saint-Esprit... Je suis heureux que quelqu’un ait écrit ça. Voyez?
198 Or ces croyants frontaliers, ils étaient là, au milieu d’eux. Ils avaient été circoncis, de la circoncision de là-bas. Ils sont allés directement vers le pays que Dieu leur avait promis, jusqu’à la frontière de celui-ci. Nombreux sont les hommes qui s’avancent jusqu’à cette frontière. Il ira jusqu’au baptême du Saint-Esprit, et une fois là, il Le rejette. Il ne veut pas renoncer. Il s’avancera jusqu’au baptême Scripturaire au Nom de Jésus-Christ, et une fois là, il y tournera le dos, il le rejettera, car il ne veut pas le voir.
199 Il n’y a pas un seul passage de l’Écriture, nulle part dans la Bible, où qui que ce soit ait jamais été baptisé au nom du Père, Fils, Saint-Esprit, pas un seul passage de l’Écriture. C’est l’église catholique qui a instauré ça, puis ça s’est développé avec Luther, puis avec Wesley, et finalement c’est parvenu jusqu’ici. C’est tout à fait exact. Mais l’ordre établi par les Écritures, c’est au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Voilà le baptême apostolique. Et ça, on ne peut pas le faire, et demeurer dans une dénomination. C’est vrai.
200 Maintenant, vous voyez ces choses? Le baptême du Saint-Esprit, les dons de l’Esprit, les choses que Dieu produit. Le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la patience (Oh, vous dites : “Mais, Frère Branham, Dieu soit béni, je suis patient.” En apparence. Je suis allé dans l’Ohio il n’y a pas longtemps, et quelqu’un m’a demandé, a écrit une lettre, là, et m’a demandé si je baptisais les gens au Nom de Jésus-Christ. Je n’ai rien dit. Mais ils l’ont su quand même, et seize ministres qui avaient accepté de collaborer se sont retirés. Ça, c’est de la patience, n’est-ce pas?) – la patience, la bonté, la douceur, la bienveillance, la patience et le Saint-Esprit. Voyez?
201 Oh, frères et soeurs, nous–nous sommes à Kadès-Barnéa. Vous êtes en train de goûter maintenant. Hier soir, le Saint-Esprit est descendu sur nous, Il est venu en nous, Il est entré comme un vent impétueux. Il s’est posé sur beaucoup d’entre vous. Aujourd’hui des ministres ont visité des foyers ici et là, ils ont imposé les mains et prié pour ceux qui recherchaient le Saint-Esprit. N’acceptez pas un substitut. N’acceptez pas un bruit quelconque. N’acceptez pas une sensation quelconque. Attendez là, jusqu’à ce que Dieu vous ait modelé et qu’Il ait fait de vous une nouvelle créature, qu’Il ait fait de vous une nouvelle personne. Vous Y goûtez maintenant, vous ne faites qu’Y goûter, mais laissez la Colombe vous conduire directement à la table, et–et là l’Agneau et la Colombe s’assiéront ensemble, et participeront pour toujours au festin de la Parole de Dieu. En effet, Elle subsistera quand il n’y aura plus ni ciel ni terre; la Parole de Dieu demeurera. C’est vrai.
202 Je vous en prie, ne me prenez pas pour un extrémiste. Si je l’ai été, ce n’était pas mon intention. Si je... J’espère bien avoir répondu à ces questions; j’y ai répondu, pour autant que je sache.
203 Et donc, dans Hébreux 6, si vous voyez ce qu’il en est, Paul parle là aux Hébreux qui disaient : “Eh bien, nous sommes d’accord avec toi, jusqu’à un certain point.” Ils viendront. Vous voyez? Il a dit : “Maintenant que vous...” Ceux qui sont venus, et qui ont goûté.
204 Je viens juste de regarder là-bas, au fond de la salle. Pour vous montrer la preuve qu’il y a un Dieu Vivant. J’espère que je ne mets pas cette personne mal à l’aise en attirant l’attention sur elle. Il n’y a pas longtemps, en revenant d’une réunion, je suis venu ici et je vous ai annoncé qu’un de mes bons amis, un copain à moi, un compagnon de chasse, un homme qui avait été gentil avec moi, un homme qui était venu dans mon église, et qui avait été mon frère; je l’appelais Busty. Son nom, c’est Everett Rodgers; il habitait Milltown. Combien d’entre vous se souviennent que je suis venu annoncer ça? Il était ici à l’hôpital; les médecins l’avaient opéré, ils avaient ouvert, mais il était tellement rempli de cancer qu’ils l’ont recousu, c’est tout. Ils disaient : “Il va dépérir rapidement; d’ici quelques semaines il sera parti, ça, c’est sûr et certain. Ce sera sa fin, voilà tout.”
205 Vous vous en souvenez, debout sur cette estrade, j’ai prié pour lui? Je suis allé là-bas, je suis entré dans la chambre, quelque chose m’oppressait le coeur. Je suis entré dans la chambre, et aussitôt que j’ai fait sortir tout le monde pour pouvoir... Frère Everett était étendu là. Et vous allez vous souvenir de ceci. Je suis entré; j’ai dit : “Frère–Frère Busty.” (Je l’appelais Busty).
206 Il y a longtemps, à l’époque où nous faisions des réunions sous de grandes tonnelles de branchages, là-bas, tous les méthodistes étaient là sur la colline (Gertie était du nombre), ils se faufilaient là autour, ils regardaient furtivement à travers les branchages de vigne de cette grande tonnelle, pour voir ce que j’allais dire, et ils agissaient comme ça par crainte que l’église méthodiste les excommunie. Et puis, je suis allé, j’ai eu une vision là, j’ai vu de la viande entassée dans une boîte de conserve. J’ai attrapé un bon nombre de poissons et je les ai enfilés, je les ai réunis–réunis par une ficelle que j’ai attachée. Et quand j’ai regardé... Tout ça, c’était en vision; j’avais laissé–j’avais laissé un groupe de gens sous la grande tonnelle de branchages ce soir-là, et j’étais monté au sommet de la colline, chez Frère Wright. Et le lendemain matin, ils n’ont pas pu me trouver. J’avais dit : “Qu’aucun de vous...”
207 Pendant que j’étais là, en train de prêcher, cette Lumière est venue; cette Colonne de Feu s’est placée là devant moi et m’a dit : “Quitte ce lieu, et va dans les bois; Je vais te parler.” C’est ce jour-là, le lendemain, qu’ils m’ont trouvé sur la colline. J’étais allé là-bas; j’avais caché ma voiture dans les herbes, et j’étais monté sur une montagne, où j’avais passé toute la nuit et toute la journée suivante en prière. Quelques-uns y sont montés, ils avaient trouvé la voiture, et ils sont montés là-bas... C’était le jour où Frère Graham Snelling, ici présent, a reçu le Saint-Esprit et l’appel au ministère.
208 Là-haut, sur la colline où je me trouvais, Il–Il m’a parlé de différentes choses que je devais faire, et là, le contact que nous avons eu. Il m’a donné la vision, où j’ai vu ces poissons attachés au bout d’une ficelle, et Il a dit : “Ceci est ton église de Milltown.”
Et quatre ou cinq de ces poissons se sont détachés; j’ai dit : “Qui sont-ils?”
Il a dit : “L’un d’eux, c’est Guy Spencer et sa femme. L’autre, c’est un autre Spencer, et les siens.” Et Il m’a nommé ceux qui allaient se détacher.
209 J’avais dit aux gens : “Qu’aucun de vous ne mange.” Ma femme et moi n’étions pas... C’était avant que nous soyons mariés; elle est rentrée passer la nuit chez Soeur Spencer, une femme formidable. C’est un homme formidable, Guy Spencer, il n’y a pas de meilleur homme sur cette terre. Et il–et il est allé là-bas, et Opale a dit : “Bon, écoute,...” Elle a dit à Méda : “Bon, Méda, je crois Frère Bill.” Elle a dit : “Mais quand Opale a faim, il faut qu’elle mange des oeufs au jambon.” Elle va donc se faire frire des oeufs au jambon, elle s’assied pour manger ça, elle commence à rendre grâces, et elle se penche sur la table en pleurant, elle ne pouvait pas y toucher. Puis ils sont allés à ma recherche.
210 Là-haut, sur la colline, ce jour-là, Il m’a dit exactement ce qui allait arriver. Il a dit : “Ceux-ci partiront, et ensuite ceux-là partiront.” Mais Il avait une grande quantité de viande de conserve. Il a dit : “Garde ceci pour plus tard, pour les gens de Milltown.” Et, l’autre soir quand j’ai entendu Frère Creech... Il était assis ici hier soir. Je ne... Frère Creech, es-tu ici ce soir? Quand Frère Creech est venu à moi, il m’a téléphoné, et Soeur Creech pleurait : son papa était étendu là. Il a dit : “Frère Bill, ne le lui dites pas. Il est en train de mourir.” Il a dit : “Il est rongé par le cancer; les médecins ont ouvert, et il est carrément rempli de cancer.” Et Will Hall (vous vous souvenez tous de lui), quand ce même médecin avait ouvert, lui aussi était tellement rempli de cancer... Ce matin-là, j’allais partir à la chasse aux écureuils, et j’ai vu ces pommes qui étaient suspendues dans la pièce. (Vous vous rappelez l’histoire?) Et voilà, cet homme est vivant aujourd’hui. Il y a des années de ça. Lui et Frère Busty étaient des amis.
211 Et je suis allé à l’hôpital, au nouvel hôpital (j’ai oublié son nom, c’est là-bas, à New Albany), au nouvel hôpital. Et je me suis rendu là-bas pour voir Busty; quand je suis entré dans la chambre, j’ai dit : “Frère Busty.”
Il a dit : “Frère Bill.” Il m’a saisi la main, en me donnant une franche poignée de main; c’est un vétéran de la Première Guerre mondiale, je ne le dis pas parce qu’il est présent, mais c’est le coeur le plus noble qui ait jamais battu sous une vieille chemise bleue. Il a retenu ma main dans la sienne. J’ai été chez lui; j’ai mangé chez lui; j’ai dormi chez lui, exactement comme si j’avais été son frère. Ses enfants et tous les siens, nous étions vraiment–vraiment comme des frères du même sang. Un brave homme.
212 Et il... Mais il n’avait jamais eu une expérience profonde avec le Seigneur. Il... Je l’avais baptisé au Nom de Jésus-Christ. Mais, ce jour-là, quand le prédicateur méthodiste avait dit : “Quiconque a été baptisé au Nom de Jésus-Christ, sortez de ma tente.” D’accord. Georges Wright et les autres sont sortis. Cet après-midi-là, je suis allé là-bas, à Totten’s Ford, pour baptiser au Nom de Jésus-Christ. Toute son assemblée est entrée dans l’eau et s’est fait baptiser au Nom de Jésus-Christ. Alors j’ai continué, c’est tout. C’était en ordre. Si Dieu est pour vous, qui peut être contre vous? Je ne sais même pas où cet homme est allé, ni ce qui lui est arrivé.
213 Toujours est-il que je suis allé à l’hôpital. Busty était là, étendu, le cancer s’était tellement répandu en lui que les médecins n’ont même pas voulu, ils n’ont rien fait, ils l’ont recousu, c’est tout. Busty m’a dit, il a dit : “Frère Bill, ceci arrive dans un but. Il s’est passé quelque chose.”
J’ai dit : “Oui, Busty.” J’ai commencé à ressentir cet Esprit, comme ce vent impétueux dont je vous parlais, vous savez, qui entrait.
Il a dit... Quand je suis entré, il y avait un arc-en-ciel là-bas, au coin, au coin de la pièce. Un arc-en-ciel est une alliance; l’alliance de Dieu. Dieu a fait une alliance avec moi ce jour-là, sur cette montagne. J’ai posé mes mains sur Frère Busty et j’ai prié pour lui.
Les médecins ont dit : “Il va dépérir. Il va baisser. Il n’y a rien à faire... D’ici quelques jours il sera parti.” Et Busty Rodgers... Il y a de ça des semaines, et des semaines, et des semaines, et Busty Rodgers est assis ici, dans l’église, ce soir, plus sain et plus vigoureux que je ne l’ai jamais vu de ma vie. Lève-toi, Frère Busty. Le voilà. Donnons la louange à Dieu, tout le monde.
Ils étaient là dans la chambre haute,
Priant tous en Son Nom.
Ils furent baptisés du Saint-Esprit
Et revêtus de puissance.
Ce qu’Il a fait pour eux ce jour-là,
Il le fera pour toi.
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
Je suis l’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux. (Alléluia!)
L’un d’entre eux, je suis l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
Bien que ces gens n’aient aucune prétention,
Et ne soient pas célèbres dans le monde,
Ils ont tous reçu leur Pentecôte,
Baptisés au Nom de Jésus;
Et ils déclarent maintenant partout
Que Sa puissance demeure pareille,
Je suis si heureux de dire : “Je suis l’un d’entre eux.”
Je suis l’un d’entre eux, je suis l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux. (Alléluia!)
L’un d’entre eux, je suis l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
Maintenant viens chercher, mon frère, ce bienfait
Qui purifiera ton coeur,
Toutes les cloches carillonneront
Et ton âme sera enflammée.
Oh, cela brûle maintenant dans mon coeur,
Oh, à Son Nom la gloire!
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux. (Chantons-le!)
Oh, l’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux. (Alléluia!)
L’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux. (Il y en a combien ici, qui sont “l’un d’entre eux”? Levez la main. Oh! la la! Oh, comme je suis heureux d’être l’un d’entre eux.)
L’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux. (Alléluia!)
L’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
Ils étaient là dans la chambre haute,
Priant tous en Son Nom.
Ils furent baptisés du Saint-Esprit
Et revêtus de puissance.
Ce qu’Il a fait pour eux ce jour-là,
Il le fera pour toi.
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
Oh, l’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux. (Alléluia!)
L’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
Maintenant, pendant que nous chantons encore ce refrain, j’aimerais que chacun de vous se tourne et serre la main de la personne à côté de lui, et dise : “Êtes-vous l’un d’entre eux?” Voyez? Très bien.
Oh, l’un d’entre eux (Je sais que vous l’êtes, Frère...?... Je sais que vous l’êtes, Frère...?...) [Frère Branham serre la main de ceux qui sont près de lui.–N.D.É.] ...l’un d’entre eux.
Oh, l’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
214 Oh, n’êtes-vous pas heureux d’être l’un d’entre eux? Combien voudraient l’être? Levez la main. Très bien. Maintenant, je vais chanter ceci pour vous :
Alors, viens chercher, mon frère, ce bienfait
Qui purifiera ton coeur,
Toutes les cloches carillonneront
Et ton âme sera enflammée.
Oh, cela brûle maintenant dans mon coeur,
Oh, à Son Nom la gloire!
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
Oh, l’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux. (Alléluia!)
L’un d’entre eux, je suis l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
215 Vous vous souvenez de ce que la jeune fille avait dit à Pierre : “N’es-tu pas l’un d’entre eux?” Je suis si heureux, pas vous? Vous savez, le jour de la Pentecôte, Pierre a dit : “Ceci, c’est Cela!” Or, j’ai toujours dit : “Si ceci n’est pas Cela, je suis heureux d’avoir reçu ceci, en attendant la venue de Cela.” C’est vrai. Je suis heureux d’avoir ceci.
Car je suis l’un d’entre eux, je suis l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
Oh, l’un d’entre eux, l’un d’entre eux,
Je suis si heureux de dire : Je suis l’un d’entre eux.
216 Oh, c’est merveilleux, n’est-ce pas : d’être assis ensemble dans les lieux Célestes en Jésus-Christ, de communier avec l’Esprit, de communier sur la Parole, de parler des bonnes choses à venir. C’est si bon. Je suis si heureux de connaître ces choses, pas vous? N’êtes-vous pas heureux d’être un Chrétien? N’êtes-vous pas heureux que vos péchés soient sous le Sang? Il viendra, un de ces jours, et nous partirons avec Lui. Alors, pensez-y, la vieillesse nous quittera complètement; toutes ces maladies, toutes les afflictions, toute cette vie mortelle changera. Oh! la la! Ça me fait penser à ces chers vieux frères qui étaient ici. Je me souviens... Combien se souviennent de Rabbi Lawson? Oh, la plupart d’entre vous. Je le vois encore accrocher sa vieille canne ici. Et moi, j’étais assis là au fond. Il chantait ce petit cantique... (Un instant, Teddy, mon frère.) Je vais essayer, voir si je peux en retrouver la mélodie. Je ne sais pas.
Un heureux lendemain m’attend,
Là où des portes de perles s’ouvrent largement,
Et quand j’aurai franchi ce voile de douleur,
Je me reposerai de l’autre côté.
Un jour, hors d’atteinte de la race mortelle,
Un jour, Dieu seul sait où et quand,
Les roues de la vie mortelle s’arrêteront toutes,
Alors j’irai habiter sur la montagne de Sion.
217 Ces petites roues qui tournent en nous – la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe, ces petits sens, ces petites roues qui tournent au cours de cette vie mortelle, – un jour, elles s’arrêteront. Alors, moi, moi-même et vous, nous irons habiter sur la montagne de Sion. Oh, j’aime ça, pas vous? De savoir que nous avons cette assurance bénie. Très bien. Combien connaissent notre bon vieux cantique que nous chantons, aux baptêmes? Non, nous allons changer. Prenons notre cantique que nous avons l’habitude de chanter en nous séparant :
Revêts-toi du Nom de Jésus,
Ô toi, enfant de tristesse,
Il va te procurer la joie,
Prends-Le partout où tu vas.
218 Revêtez-vous du Nom de Jésus. Alors, faites-le, en repartant d’ici. Très bien, tous ensemble maintenant. N’oubliez pas, à huit heures demain matin, les cartes de prière seront distribuées pour la réunion. La réunion commencera à neuf heures trente. Je prêcherai à dix heures. Le service de prière pour les malades commencera vers onze heures.
219 Demain après-midi, demain soir, il y aura un message d’évangélisation au Tabernacle. Et demain soir, pour tous ceux d’entre vous qui se sont repentis de leurs péchés et qui n’ont jamais été baptisés, il y aura... le baptistère sera ouvert; nous baptiserons les gens au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
220 Tous ensemble maintenant, alors que nous chantons à pleine voix. Frère Busty, tu ne peux pas savoir combien je suis heureux et reconnaissant à Dieu. Vous savez, il est allé chez le médecin. Et on m’a dit que le médecin l’a regardé, et il ne savait vraiment pas quoi penser. Il ne croyait pas que c’était le même individu. Oh, il n’y a pas de secret sur ce que Dieu peut faire. Pas vrai? Très bien.
Revêts-toi du Nom (Faites-le retentir!) de Jésus,
Ô toi, enfant de tristesse;
Il va te procurer la joie,
Prends-Le partout où tu vas.
Précieux Nom (Précieux Nom!), Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel;
Précieux Nom (Oh, précieux Nom!), Nom si doux!
Espoir de la terre, joie du Ciel.
Très bien. Maintenant je remets le service au pasteur. Il dira quelques mots, ou demandera à quelqu’un de terminer la réunion, fera ce qu’il jugera bon de faire.