Questions Et Réponses
1 ...un bon nombre qu’il me faudrait prendre, mais j’ai pris, j’ai apporté ma concordance. Je vais peut-être la remettre à Léo, ici, ou à quelqu’un qui est assis tout près, qui pourrait peut-être m’aider, s’il vous plaît, si nous avons à nous en servir.
2 Maintenant, cette dame qui est là-bas, s’il y a, si elle... Où est... Qui est son mari? Oui. Eh bien, si vous désirez que votre femme vienne s’asseoir à vos côtés, on–on peut, il n’y a rien qui se dise entre frères qui ne puisse être dit à une soeur aussi. C’est que nous... vous savez. Est-ce que–est-ce que ça va? Si vous voulez qu’elle vienne, là, je vous en prie, faites. Est-ce que–est-ce qu’elle a assez chaud là-bas, Doc? Eh bien, d’accord, mais elle doit se sentir un peu isolée.
3 Et ici, il n’y a rien–rien... Parfois, la raison pour laquelle je dis “les hommes”, c’est que parfois les hommes, entre hommes, peuvent poser une question à laquelle on ne pourrait pas répondre en présence de femmes. Mais là, il n’y en a aucune à laquelle on ne puisse répondre dans l’église locale, à la réunion, parce qu’elles portent surtout sur les ministres, et tout ça, en quoi consiste leur–leur mandat et ce qu’ils doivent faire.
4 Maintenant, je pense que ceci est enregistré. Si... Je n’en suis pas sûr. Frère Goad, où est-ce, est-ce qu’on enregistre en ce moment? Très bien. La raison pour laquelle nous faisons ceci, c’est afin de découvrir, frères, quelle est, principalement, quelle est la–la partie... ce qui occupe l’esprit des hommes, quelles–quelles sont les choses qui nous concernent.
5 Nous–nous devons tenir tous un même langage. Si, par exemple, quelqu’un arrive ici et que, disons, peut-être que ces gens vont à l’église du frère, ici (Quel est votre prénom, frère? Willard. Frère... Bon, il y a deux Willard ici, je vais devoir vous nommer autrement. Si je... Quel est votre nom de famille, alors? Crase.), à l’église de Frère Crase, et là Frère Crase dit une certaine chose. Ensuite, de Sellersburg, ils se rendent chez Frère Ruddell, et chez Frère Ruddell, ce serait autre chose. Ils vont chez Frère Junie, et là c’est tout autre chose. Ils viennent au Tabernacle, et là encore, c’est autre chose. Voyez? Cela embrouille les gens.
6 Bon, par exemple, quelqu’un qui dirait : “Oh, je ne crois pas qu’on, qu’il faille réellement recevoir le Saint-Esprit. Je ne pense pas que ce soit nécessaire.” Disons, par exemple, que Frère Crase dise ça. Ensuite, on va chez–chez Frère Ruddell, et lui, il dit : “Si, c’est essentiel.” Ensuite, on va chez Junie, et il dit : “Eh bien, ça ne change pas grand-chose.” Voyez? Si nous pouvions nous réunir, même... j’aimerais que nous puissions avoir tous les ministres de Jeffersonville (de cette ville) réunis, pour que nous tenions tous un même langage.
7 Et c’est pourquoi, souvent, les diacres et les administrateurs, ils doivent se renseigner pour savoir en quoi consiste leur fonction. Et je vois que ce soir nous avons ici le trésorier de l’église et le concierge, alors nous allons voir en quoi consiste leur fonction à eux. Mais, pour la plupart, celles que nous avons ici, ce sont des questions qui pourraient être posées n’importe où, et auxquelles on pourrait répondre n’importe où. Ce sont des questions toutes simples, et qui ont trait, par exemple, aux fonctions des administrateurs, aux fonctions des... Or, s’il est question des fonctions proprement dites, je pense que ça, c’est affiché ici, sur le tableau, en ce moment, les fonctions des administrateurs et ce qu’ils doivent faire. Mais je me suis dit que, peut-être...
8 Et, nous en avons justement reçu une, là, – et je trouve que c’est bien, j’y répondrai dans quelques instants, si le Seigneur nous donne de l’aborder, – c’est :
Dans telle situation critique, alors que doit faire le diacre? Qu’est-ce qu’il... Quel est son devoir, que doit-il faire lorsque confronté à telle situation critique? Comment doit-il agir? Voyez? Ou que doit faire l’administrateur, que doit faire le pasteur, quelque chose comme ça, lors d’une situation critique? Nous connaissons le train-train habituel, mais s’il arrive quelque chose en dehors du train-train, vous voyez, dans ce cas, que doivent-ils faire?
9 Et ainsi nous connaissons exactement la manière de procéder; c’est comme former une armée, nous connaissons chacun notre position. Or, avec ce type de groupe, nous pourrions passer la moitié de la nuit ici, nous le savons, mais ce, je ne pense pas que ce soit nécessaire. Nous allons répondre. Maintenant je tiens à ce que chacun...
10 Bon, les noms ne sont pas inscrits, sur quelques-unes le nom est inscrit, mais je–je ne donnerai pas le nom des gens, parce que, seulement–seulement la question, je vais juste lire la question. Il n’y en a que deux, peut-être, sur lesquelles le nom est inscrit. Attendez, j’en ai peut-être trouvé une autre. Je sais, c’est le brave docteur Ingleman, que je devais visiter dans la–l’aile sud, au 4–426 de l’aile sud. C’est en le faisant, là, que ce brave docteur, nous sommes allés là-bas aujourd’hui, à Georgetown, il a été guéri ou a repris connaissance après être resté si longtemps inconscient, et–et tout. Bon, je pense qu’elles y sont toutes, maintenant nous allons aborder les premières questions que nous avons, commencer par celles que j’ai étudiées.
Maintenant, levons-nous un instant, s’il vous plaît.
11 Notre Père Céleste, nous nous sommes réunis ici, un groupe d’hommes, d’hommes chrétiens, qui T’aimons, qui croyons en Toi, et qui avons dédié nos vies et nos services à Ton service. Il y a ici des ministres, des jeunes hommes, des hommes d’âge mûr, qui ont des églises, ils sont responsables devant Dieu. Il y a ici des diacres, qui ont leur responsabilité de par leurs fonctions dans ces différentes églises. Il y a des administrateurs, qui ont leurs responsabilités. Pasteurs, évangélistes, quoi que nous soyons, Seigneur, nous avons une responsabilité envers Toi. Et c’est pourquoi nous nous sommes réunis, afin que nous tenions tous un même langage, comme nous avons été exhortés à le faire, dans l’Écriture. Nous devons tous tenir le même langage.
12 Et, Père, nous pensons que, dans un groupe de ce type, il pourrait se trouver que quelques-uns de nos frères, ou que quelques-uns d’entre nous, aient de petites divergences de vues sur certaines choses, et quelques-uns auront simplement posé une question pour réellement savoir la Vérité sur ces choses. Et nous savons que nous sommes, chacun de nous, incapables. Si je demandais aux autres frères, à n’importe lequel d’entre eux, de venir répondre à ces questions, peut-être seraient-ils tout aussi capables, ou même plus capables que moi d’y répondre. Mais ensemble, nous comptons sur Ta révélation, afin que Tu nous révèles, au moyen de la Parole et de, par Ton Esprit, que... afin que nous ayons une réponse à chaque question. Qu’ainsi nos cœurs... que nous soyons pleinement satisfaits des réponses, et que nous puissions repartir en ayant le sentiment que nous sommes mieux équipés pour Te servir et pour exercer nos fonctions que–que nous le sommes en ce moment. C’est dans ce but que nous sommes ici, Père. Accorde-le, maintenant.
13 Et réponds à nos questions, Père, alors que nous nous attendons à Toi. Qu’il ne subsiste aucun point obscur dans nos esprits, au contraire, que nous ne laissions aucune question de côté avant que la réponse ait été entièrement donnée et que nous soyons satisfaits par l’Esprit, dans un accord unanime à cause de Sa Présence. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
14 Pour commencer, je veux juste citer un passage de l’Écriture. Comme l’a dit Ésaïe, l’a dit le prophète :
Venez... plaidons! dit l’Éternel.
15 Et je pense que c’est pour ça que nous sommes ici, ce soir : pour essayer de plaider, de discuter ensemble afin de régler des choses. Et maintenant, j’aimerais commencer... j’ai noté quelques-uns des points ici, que j’ai numérotés, et tout, j’avais ça, et Frère Wood l’a apportée; j’ai cette enveloppe, qui contient des réponses. Et maintenant, je tiens à ce que chacun de vous, mes chers frères, vous sachiez que–que ces réponses sont–sont vraiment données de mon mieux, du mieux que je peux, avec la compréhension que j’ai de ces choses.
16 Et ces réponses ne sont pas infaillibles, vous voyez; en effet, ce sont les Écritures qui sont infaillibles, et pour autant que je sache, elles s’accordent avec les Écritures. J’espère que c’est un éclaircissement. Et on conservera la bande, là, alors tous ceux qui aimeraient l’avoir, eh bien, ils pourront l’avoir. Mais, bon, je sais que les Écritures sont infaillibles, mais mes réponses ne sont pas infaillibles. Alors, ça, je suis sûr que tout le monde le comprend. Et si elles ne sont pas–si elles ne sont pas infaillibles, alors vous avez le droit, disons, de m’interroger, à n’importe quel moment.
17 Même si c’est la question de quelqu’un d’autre, pas nécessairement votre question à vous, mais même si c’est la question de quelqu’un d’autre, peut-être quelque chose qui ne vous était jamais venu à l’esprit, mais quelque chose, nous sommes là pour apporter notre aide. Nous sommes là pour–pour nous réunir, parce que nous sommes dans les derniers jours, et les jours sont mauvais, et–et nous voulons recevoir un entraînement, une formation.
18 Frère Stricker, un soldat; Frère Goad, là-bas, un soldat; et peut-être Frère Ruddell, ici, qui a été soldat; Frère Beeler; et tous ceux qui–qui ont connu la vie militaire : on s’assied ensemble, on–on se consulte, on apprend le déroulement du combat avant d’arriver là-bas, et tout ce qu’on peut connaître des tactiques utilisées par l’ennemi, en vue de pouvoir l’affronter sur son terrain.
19 À l’époque où je faisais de la boxe. Ils se renseignaient sur mon adversaire, ce qu’il allait être, quel type de coup il utilisait, si c’était l’uppercut, ou le direct du gauche, ou le crochet du droit, s’il était droitier ou gaucher, quelle était sa force, le jeu de jambes qu’il utilisait, comment il se servait de ses yeux, de quel coin il se présentait, et tout ce que nous pouvions connaître des tactiques qu’il utilisait. Et ils se renseignaient sur... Les–les entraîneurs avaient vu cet homme se battre précédemment. Et donc, ils mettaient avec moi un homme qui devait m’entraîner exactement selon la méthode de combat de l’homme en question, pour–pour que je sache ce qu’il allait faire.
20 C’est pour ça que nous sommes ici, ce soir. Nous connaissons le coup de l’ennemi. Nous connaissons ses tactiques. Et nous sommes ici, ce soir, avec l’Écriture pour le coincer de toutes parts, de sorte qu’il ne puisse pas agir – parce que l’ennemi est partout.
21 Frère Roberson, je me disais – je l’ai vu, là-bas au fond – que lui, il est bien placé pour savoir ce qu’est un soldat. Il a vraiment passé un mauvais quart d’heure! Combien y a-t-il de soldats ici, faites voir, ont été soldats, dans l’armée? Regardez-moi ça, vous voyez, bon nombre d’entre vous ont été soldats. Très bien, donc, vous savez ce que c’est. Et c’est bien ce qu’on étudie, n’est-ce pas, Frère Roy, Frère Beeler, et vous qui êtes des vétérans et tout? Voilà, on étudie l’ennemi : “Qu’est-ce qu’il va faire? Quelle est sa technique?”, pour ensuite connaître le moyen de l’affronter.
22 Et c’est pour ça que nous sommes ici, c’est pour étudier la technique de l’ennemi, et–et pour connaître le moyen de l’affronter, ce qui le vaincra.
23 Et, souvenez-vous, permettez-moi de dire ceci, frères, cette petite église a commencé à avoir part aux dons, ici, vous voyez, les dons commencent à se manifester dans l’église. Mais qu’il s’y trouve des dons ou pas, même s’il n’y avait jamais un seul don, je vais vous dire une chose, le don ne vaincra pas toujours l’ennemi, mais la Parole le fera. La Parole pourra l’affronter partout.
24 Et Jésus, quand Il était sur terre, a prouvé ça. Ses... Il était Dieu manifesté dans la chair. Mais, pour vaincre l’ennemi, Il n’a jamais utilisé aucun des dons remarquables qu’Il avait. Nous voyons que, dans Matthieu, au, je crois que c’est au chapitre 2 ou 3 de Matthieu, Il a dit, – non, c’est au chapitre 2 de Matthieu, – lorsqu’Il a affronté l’ennemi, Il l’a affronté sur le terrain de la Parole : “Il est écrit.”
Et l’ennemi a répliqué : “Il est écrit.”
25 Il a répondu : “Il est aussi écrit”, comme ça, jusqu’à ce qu’Il ait vaincu l’ennemi. Et c’est pour ça que nous sommes ici, c’est pour affronter l’ennemi avec le matériau que Dieu nous a donné pour–pour l’affronter.
26 Maintenant, j’ai environ quatre questions ici, qui sont sur, qui se trouvent sur un–qui se trouvent sur un bout de papier, et je les ai numérotées : un, deux, trois, quatre, cinq, six... huit, dix, et ainsi de suite, comme ça. Et dès que j’aurai terminé celles-là, alors je passerai tout de suite à celles qui sont là. Ça dit :
107. Frère Branham, si ces questions ne conviennent pas ici, alors n’en tenez aucun compte, et cela ne m’ennuiera pas, car je saurai que ce n’était pas la main du Seigneur. Question numéro un : Frère Branham, je vous ai entendu... que cela devrait–devrait reprendre le... Je–je–je vous ai entendu dire que je devrais reprendre le ministère, et j’ai moi-même songé à le faire, mais j’attendais d’avoir reçu de Sa part une parole claire à cet effet. Jusqu’à présent, elle n’est pas venue. Or, sachant que la fin est tellement proche, devrais-je encore attendre que le Seigneur Jésus me parle? Ou trouverait-Il bon de vous indiquer quoi me dire, puisque je sais que vous êtes Son porte-parole pour aujourd’hui?
27 Bon, eh bien, frère, je... J’ai noté ici ma réponse à ça. Dieu qui appelle ce frère, par un appel dans sa vie, maintenant voilà un point très important, nous pourrions vraiment prendre ça comme sujet et prêcher là-dessus toute la soirée, vous voyez, sur ce point-là : “une vocation”. “Affermissez votre vocation et votre élection”, vous voyez. On ne veut pas être là à se demander si on a été appelé. Il faut avoir été appelé, sinon vous serez vaincu; nous livrons un combat. Voyez? Et si vous êtes absolument certain, frère, que votre vocation, vous la tenez de Dieu, et que vous avez été appelé par Dieu à faire un travail...
28 Or, il y a un vilain tour que l’ennemi peut vous jouer, là. Il peut vous faire croire que vous n’avez pas été appelé, alors que vous avez été appelé, et puis il peut faire l’inverse, vous faire croire que vous n’avez pas été appelé, ou, vous faire croire que vous–vous avez été appelé, alors que vous n’avez pas été appelé; vice versa, l’un ou l’autre. Alors il faut faire attention.
29 Maintenant, voici comment faire. Il faut d’abord découvrir... Bon, là, ce sont des conseils, c’est tout ce que je peux vous donner à ce sujet, des conseils. Voyez? Mais assurez-vous que vous tenez votre vocation de Dieu, et ensuite examinez vos motifs et vos objectifs. Voyez? Bon, vous savez ce que j’entends par là. Quel est le motif qui vous incite à prêcher? Est-ce que c’était seulement... Vous êtes-vous dit que ce serait un travail plus facile que celui que vous avez? Alors, il vaut mieux laisser tomber, ce n’était pas un appel.
30 Un appel de Dieu brûle tellement dans votre cœur, qu’il ne vous donne aucun repos, ni le jour ni la nuit. Vous ne pouvez pas y résister, ça vous hante continuellement.
31 Et–et, si vous deviez prêcher... Vous dites, eh bien, là, un autre objectif : “Je crois que, par rapport à mon travail actuel, si je pouvais être un évangéliste réputé ou un pasteur, avoir un bon salaire fixe, avoir une maison où m’installer, et tout, où habiter, alors je–je crois que ce serait bien, que ce serait beaucoup plus facile que ce que je fais actuellement. Et réellement, je pense que ce serait...” Là, vous voyez, votre objectif est faux, au départ. Vous voyez, il n’est pas bon. Voyez? Vous–vous avez tort, là.
32 Et puis, si vous disiez : “Eh bien, peut-être parce que je suis... Je pense que peut-être je jouirais d’une plus grande popularité auprès des gens.” Vous voyez, vous allez constater que vous vous préparez à un grand fiasco. Vraiment, vous voyez!
33 Mais, bon, si votre objectif, c’est : “Même si je dois manger des crackers et boire de l’eau plate, ça m’est égal, je vais quand même prêcher l’Évangile.” C’est quelque chose qui vous obsède, carrément : “Il faut que je prêche l’Évangile, sinon c’est la mort!” Voyez? Alors là, vous–vous réussirez, parce que c’est Dieu qui traite avec vous. Dieu Se fait connaître à vous, puisque, effectivement, c’est Dieu qui ne vous donne aucun repos. Et, généralement, un homme qui a été appelé de Dieu ne veut jamais faire le travail. Aviez-vous déjà songé à ça? N’importe quel homme...
34 Dernièrement, la question m’a été posée par de très précieux frères, qui m’ont dit : “Maintenant que nous sommes entrés dans cette Voie, Frère Branham, maintenant que nous avons trouvé le Seigneur et avons reçu le Saint-Esprit, devons-nous rechercher des dons pour le ministère que nous devons exercer?”
35 J’ai dit : “N’allez jamais faire ça.” Voyez? N’allez jamais conseiller aux gens de faire une chose pareille, parce que, d’habitude, l’homme qui tient à le faire, c’est justement l’homme qui–qui est incapable de le faire.
36 L’homme qui cherche à fuir, c’est celui-là que Dieu utilise. Voyez? S’il cherche à résister : “Oh, frère, je vais te dire une chose, je, la vocation est en moi, mais je... Fiou! Oh, mon gars, ça me coûte terriblement de me lancer.” Eh bien, voilà, vous voyez. Chercher à fuir, c’est–c’est ça.
37 S’il–s’il tient mordicus à le faire, avant longtemps il devient un “grand prétentieux”. Par exemple, de dire : “Ô Dieu, donne-moi le pouvoir de transporter des montagnes, je T’assure que j’accomplirai quelque chose pour Toi, si Tu me donnes de transporter des montagnes.” Non, il ne le fera pas, car il ne peut même pas se mettre lui-même en mouvement en prenant l’attitude qu’il faut, vous voyez, alors jamais il ne transporterait des montagnes pour Dieu.
38 Prenez, par exemple, Paul. Pensez-vous que Paul aurait pu échapper à sa vocation? Oh, frère! Il ne le pouvait pas. Ça le hantait jour et nuit, carrément, si bien qu’il a quitté son église, qu’il a tout quitté, et–et il est parti pour... Je crois que c’était l’Asie, n’est-ce pas? Et il est resté là-bas pendant trois ans, à étudier les Écritures, pour voir si c’était vrai ou pas, vous voyez, pour voir si Dieu l’avait réellement appelé.
39 Donc, si Dieu vous appelle, frère, et que, dans votre cœur, c’est une obsession continuelle, alors je dirais : “Rejetez tout fardeau, et le péché qui vous enveloppe si facilement.” Vous voyez? Si... Mais si ce n’est pas une obsession, alors, à votre place, je–je–je n’y songerais pas trop. Laissez simplement les choses suivre leur cours.
Maintenant, il a dit, ce frère a dit ici :
Frère Branham, devrais-... Pensez-vous que Dieu parlerait (à moi, pour que je le lui dise)...
40 Je crois que Dieu lui parlerait directement, à lui. En effet, vous savez, Dieu, nous ne sommes pas importants au point qu’Il ne puisse pas nous parler. Et Il–Il–Il nous parlera, c’est sûr. Vous voyez, c’est qu’Il, Il nous parlera.
41 Et je vous dirai ceci : s’Il me le disait, à moi, alors ce frère, peut-être qu’il dirait : “Eh bien, Il l’a dit à Frère Branham, alors, gloire à Dieu!”
42 Mais, vous voyez, ce n’est pas Frère Branham qui vous adresse cet appel, c’est le Seigneur Jésus qui vous adresse cet appel. Voyez? Et, si c’est le Seigneur Jésus qui vous adresse cet appel, c’est Lui qui parlera. Voyez? Je pourrais vous parler à l’oreille, mais quand Christ vous appelle au ministère, c’est dans votre cœur. Voyez? C’est là que la chose doit s’ancrer, alors vous ne pourrez pas y échapper.
Maintenant, je crois, pour ce qui est de la deuxième question...
43 Bon, s’il y a des questions là-dessus, que cela suscite des questions, vous voyez, à savoir que l’appel d’un homme doit être dans son cœur, venir de Dieu. Et–et un autre frère... Oh, je sais qui a écrit ceci. Vous voyez, je sais qui l’a écrit, un cher, précieux, charmant frère, dont je crois réellement qu’il a un appel de Dieu. Mais c’est que je, je ne voudrais pas qu’il aille de l’avant en se fondant sur quelque chose que je (c’est pour cette raison que j’ai répondu comme je l’ai fait), vous voyez, sur le fait que j’aie dit : “Eh bien, oui, Frère Untel devrait entrer dans le ministère.” Voyez?
44 Là vous dites : “C’est Frère Branham qui m’a dit que je devrais le faire.” Vous voyez, et peut-être que, et si quelque chose arrivait à Frère Branham, que je me fasse tuer, ou que je meure, ou–ou que je parte? Alors, vous voyez, votre vocation est terminée, dans ce cas. Mais si c’est Jésus qui vous appelle, frère, tant qu’il y aura une Éternité, cet appel continuera à retentir. Voyez? Et là vous savez à quoi vous en tenir.
Maintenant, la deuxième...
45 Ou, quelque chose comme ceci : “Sachant que c’est le dernier jour.” J’apprécie réellement cela, de ce frère. J’apprécie vraiment cela, de la part de ce frère, il se rend compte que nous sommes au dernier jour, et avec la sincérité de son cœur, il désire accomplir quelque chose pour Christ.
La suivante, c’est :
108. Maintenant, si notre précieux Seigneur me permettait d’accomplir un petit quelque chose pour Lui, devrais-je retourner dans les quartiers où j’ai prêché alors que j’étais partiellement en... dans l’erreur (ce que je regrette)... il a mis ça entre parenthèses... et essayer de leur annoncer la Vérité? Ils me tiennent vraiment beaucoup–ils me tiennent vraiment beaucoup à cœur.
46 Non, frère, je ne pense pas qu’il soit nécessaire que vous retourniez dans le même quartier. Je crois, mon cher frère, que lorsque le Seigneur vous appellera, il se pourrait qu’Il ne vous laisse jamais y retourner, car vous étiez autrefois dans un quartier où vous avez peut-être enseigné des choses ou inculqué des choses qui n’étaient pas... qu’en fait, vous ne voyez plus de la même manière maintenant, voyez, que vous voyez peut-être autrement qu’à cette époque-là. Alors, et le Seigneur, quand Il vous aura appelé, il se pourrait qu’Il... s’Il rend la chose réelle à vos yeux, Il pourra vous envoyer n’importe où. Voyez? Vous n’aurez pas à aller dans un certain quartier, ni rien.
47 Quand vous vous trouviez là-bas, vous étiez sincère. Je connais le frère, comme je le disais, qui a écrit ces questions. Avec la sincérité la plus profonde, un vrai, un authentique Chrétien, vous avez fait de votre mieux, fait tout ce que vous avez pu, et c’est tout ce que Dieu demande. Voyez? Par contre, si Dieu vous appelait à retourner dans ce quartier, alors, à votre place, j’y retournerais sans hésiter; mais, dans le cas contraire, je–je crois que j’irais là où Il m’enverrait, c’est tout. Y a-t-il une question?
Numéro trois :
109. Comment reconnaître sa position légitime dans le Corps de Christ?
48 Voilà une bonne question, une très bonne question : “Comment...” C’est le genre de question qui pourrait se poser parmi bon nombre d’entre nous ici, ce soir : “Comment reconnaître légitimement?” Bon, je présume que ce frère veut savoir : “Quelle position, laquelle en Christ, quel est le rôle de Christ que je remplis?”
49 Bon, par exemple, je l’exprimerais comme ceci, frère, pour vous répondre du mieux que je peux. Votre position est, en Christ, vous est révélée par le Saint-Esprit. Et puis, si vous voulez savoir si c’est le Saint-Esprit ou pas, voyez si oui ou non Il ajoute Sa bénédiction à ce que vous faites. Et s’Il y ajoute Sa bénédiction, alors c’est Lui. S’Il n’ajoute pas Sa bénédiction...
50 C’est comme ce que me disait quelqu’un, il n’y a pas longtemps, il disait : “Le Seigneur m’a appelé à prêcher.”
J’ai dit : “Eh bien, alors, prêchez.” Voyez? Et, donc il–il...
51 Vraiment je trouve que c’est très... Satan, s’il peut seulement amener quelqu’un à–à avoir ce comportement-là, et ensuite le tromper, voilà, c’est justement ce qu’il cherche à faire. Ensuite, le monde entier va montrer ça du doigt. Quelqu’un qui pense avoir un don de parler en langues et d’interprétation; certains qui ont le don de guérison Divine; certains qui ont ces choses, comme... Parfois, ils font erreur sur ces choses, vous voyez. Et parfois, ils pensent qu’ils ne l’ont pas, alors qu’ils l’ont. Donc, c’est plutôt compliqué.
52 Alors voici, frères, ce qu’il faut toujours faire, lorsque vous avez le sentiment que vous devez faire une certaine chose, voyez d’abord s’il est Scripturaire pour vous de le faire (si c’est dans les Écritures). Pas écrit seulement à un endroit, mais je veux dire entièrement Scripturaire – d’un bout à l’autre de la Bible – pour vous de le faire : votre position, par exemple, si c’était d’être évangéliste, pasteur, docteur, prophète, quelle que soit la position à laquelle Dieu ait pu vous appeler. Vous voyez? Ou, si vous avez un don de langues, un don d’interprétation, un don quel–quel qu’il soit, parmi les neuf dons spirituels qui sont dans l’église, et les quatre fonctions spirituelles de l’église, quelle que soit la position, voyez d’abord si Dieu a appelé.
53 Après quoi, généralement, ma manière à moi, c’est d’observer, simplement... ceci, c’est ce que moi, je fais, j’observe la nature de la personne et je vois quel type de don elle professe. Vous voyez, Dieu œuvre avec Sa créature telle qu’Il l’a faite. Voyez? Il fera une créature...
54 Si vous voyez quelqu’un qui est très instable et irréfléchi, vous... et qu’il dit : “Le Seigneur m’a appelé à telle et telle chose, à être pasteur.” Or un pasteur ne peut pas être une personne instable. Un pasteur est bien affermi, équilibré. Voyez?
55 “Dieu m’a appelé à être docteur.” Observez comment il interprète la Parole. Voyez? S’il L’embrouille, et tout, alors on peut voir ce qu’il en est. Voyez?
56 Mais, donc, ce qu’il faut faire; en général, votre position se reconnaît par ceci : si vous êtes capable de faire le travail, oui ou non.
57 Or, quand Dieu m’a appelé à être évangéliste, moi je désirais être pasteur. Et je me disais que rester au bercail, ici, ce serait très bien. Et le Seigneur m’a appelé. Et enfin, tous les gens se sont réunis – il ne reste pas un seul d’entre eux ici, ce soir – et ils ont pleuré, ils sont allés là-bas, au 1717 de la rue Spring. Et cette dame, Mme Hawkins, là, est venue me voir et a dit (elle pleurait, c’était pendant la dépression, à cette époque où quelqu’un dans le quartier faisait cuire une grande quantité de haricots, et tous, on se retrouvait là pour partager ce repas), elle a dit : “Je suis prête à rationner mes enfants, aux repas, si vous acceptez de construire un tabernacle.” Voyez?
58 Et ma vocation, c’était d’être évangéliste. Le matin... Ici même, dans la pierre angulaire, si nous pouvions l’ouvrir ce soir, vous y verriez une page de garde de ma Bible, au moment où Il m’avait dit que je devais être évangéliste. Voyez? Je n’étais pas un pasteur accompli, et je ne le serais jamais, parce que je n’ai pas la patience et les qualités requises pour être pasteur. Voyez? Et donc, si j’essayais d’être pasteur, je serais complètement hors de ma position, autant qu’un pasteur qui essaie d’être évangéliste.
59 Vous voyez ce que je veux dire? Vous pouvez voir la voie dans laquelle le Seigneur vous a appelé, quelle est votre position dans le Corps. Y a-t-il une question?
110. Est-ce que toutes les personnes remplies du Saint-Esprit parlent tôt ou tard en langues?
60 C’est la première question. “Est-ce que toutes les personnes remplies du Saint-Esprit...” C’est que celles-là sont regroupées dans une seule question, que j’ai notée comme question numéro quatre. Mais je vais–je vais commencer par dire ceci, vous voyez :
Est-ce que toutes les personnes qui ont le Saint-Esprit parlent tôt ou tard en langues? J’ai vu un passage où Paul a dit “qu’il parlait en langues plus qu’eux tous”.
Très bien, question numéro quatre : Est-ce que tous parlent en langues au moment où ils reçoivent le... Ou, non, ça dit : Est-ce que tous parlent en langues... Non : Est-ce que toutes les personnes remplies du Saint-Esprit parlent tôt ou tard en langues?
61 Bon, frère, je, c’est une question profonde. Alors, là, on va probablement, je vais probablement recevoir des réponses là-dessus.
62 Le Saint-Esprit, une partie du Saint-Esprit, c’est la justification. Ça, c’est au début, quand vous... Dieu doit vous appeler, sinon vous ne serez jamais appelé. Vous voyez, de vous-même, vous ne pouvez rien faire. “Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’a attiré premièrement.” Pas vrai? Donc, une partie de la justification est le Saint-Esprit.
63 Avez-vous entendu ce que j’ai expliqué à ce doyen luthérien, cette fois-là, au sujet du champ de maïs? Vous voyez : “Le maïs, un homme est allé ensemencer deux... ensemencer son champ de maïs. Le lendemain matin, il est allé là-bas, et ‘rien’. Au bout d’un certain temps, il a trouvé deux petites pousses qui sortaient de terre, il a dit : ‘Gloire à Dieu pour mon champ de maïs.’” J’ai dit : “Est-ce qu’il avait un champ de maïs?”
Et le doyen luthérien a dit : “Potentiellement.”
64 J’ai dit : “C’est exact, potentiellement il en avait un.” Mais j’ai dit : “Après...” J’ai dit : “Ça, c’était vous, les luthériens.
65 “Après quelque temps, les pousses se sont développées et ont formé l’aigrette. Ça, c’était les méthodistes. Le deuxième stade du maïs, c’est l’aigrette.” (C’est bien ça, je pense, les frères agriculteurs.) “Et là, l’aigrette abaisse ses regards vers la feuille, et dit : ‘Hum! Moi, je suis une aigrette, toi tu n’es qu’une feuille! Tu vois, je n’ai plus besoin de toi.’ Et là l’aigrette, le pollen retombe de l’aigrette dans la feuille; il lui faut la feuille.
66 “Et alors, c’est ce qui produit l’épi. Ça, c’était le pentecôtisme, la restauration des dons tels qu’ils avaient été donnés au début, le retour aux dons originels. Ensuite, quand l’épi a émergé, il a dit : ‘Je n’ai pas besoin de toi, l’aigrette. Et je n’ai pas besoin de toi non plus, la feuille.’”
67 Mais, après tout, c’est cette même vie qui était dans la–la pousse de maïs qui a produit l’aigrette. Et c’est ce qui était dans la pousse et dans l’aigrette qui a produit le grain. Alors, le Saint-Esprit qui parle en langues, qu’est-ce que c’est? C’est la justification, à un stade avancé. Voyez? L’église pentecôtiste, qu’est-ce que c’est? L’église luthérienne, à un stade avancé. Voyez?
68 Mais maintenant, une fois que le stade avancé a été atteint, voici la question qui se pose : “Alors, dois-je simplement m’arrêter là?” Non! Non, le maïs parvient à maturité. Voyez? On commence avec le grain. On commence avec la–la Parole, le grain, c’est Ce qui produira la justification. Puis restez dans la justification jusqu’à ce que Cela produise la sanctification. Restez dans la sanctification jusqu’à ce que vous receviez le Saint-Esprit.
69 Maintenant, une fois que vous avez reçu le Saint-Esprit, qu’est-ce qu’Il produira? Qu’est-ce que... Vous avez encore une question, n’est-ce pas? Très bien :
111. Qu’est-ce que “le parler en langues”?
70 Le parler en langues n’est qu’un baptême, du Saint-Esprit qui vous a justifié et qui vous a sanctifié. On est tellement rempli! Bon, j’ai désiré, je désirais recevoir cette question. Dieu sait que je n’étais pas du tout au courant que cet homme allait poser, répondre, ou, la poser.
71 Bon, est-ce qu’il fait trop, s’il se met à faire trop chaud ici, ouvrez cette porte, si vous vous sentez gagné par la somnolence ou autrement incommodé. Je veux que vous saisissiez très bien ceci. Parce que, c’est vrai qu’il–qu’il fait un peu chaud, ça pourrait vous rendre somnolents.
72 Maintenant remarquez, remarquez ceci : la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit.
73 Maintenant regardez bien, voici ce que c’est. Je vais illustrer ça. Là je suis ici, en bas, je suis un pécheur, je marche dans cette direction-ci. Après un certain temps, tout à coup, Quelque Chose me parle. Et rien ne peut me faire changer de direction, Dieu seul. Pas vrai? Par ce changement de direction, je vais de ce côté-ci. Or, quand je fais demi-tour, ça, c’est ma justification. Pas vrai? Bon, cette image, c’est l’objet vers lequel je me dirige, vous voyez, l’image de Christ.
74 Maintenant je veux en arriver à me sentir à l’aise auprès de Lui. Vous voyez, je suis justifié. J’en suis à ce stade-ci, où je peux Lui parler, parce que... J’ai encore honte de moi. Je fume encore, j’ai encore menti, j’ai encore fait des petites choses sournoises, choses que je ne devrais pas faire, et j’ai tout le temps des hauts et des bas, des hauts et des bas, mais je veux qu’Il me purifie de toutes ces choses, pour que je puisse vraiment m’approcher de Lui et vraiment Lui parler. Voyez? Très bien, voilà, c’est la sancti-... l’étape de la sanctification. Or, qu’est-ce que cela a produit? Cela m’a fait marcher droit. Voyez?
75 Maintenant je continue à avancer, vers le Saint-Esprit. Voyez? Et quand je pénètre ici, je suis dans le Saint-Esprit, par un baptême. Pas vrai? Qu’est-ce que le Saint-Esprit produit? Il me donne la puissance. Le pouvoir d’être prédicateur, le pouvoir d’être chanteur, le pouvoir de parler en langues, le pouvoir d’interpréter les langues. Il est rempli de puissance; en effet, le Saint-Esprit, c’est la puissance de Dieu. Et la puissance de Dieu est ce qui m’a fait faire demi-tour. La puissance de Dieu est ce qui m’a sanctifié. Et maintenant la puissance de Dieu est ce qui m’a rempli.
76 Maintenant, à une certaine occasion, je me trouve ici, j’essaie de dire quelque chose, et la puissance de Dieu me saisit avec une telle force que je n’arrive carrément plus à articuler. Voyez? Je me mets à balbutier. Comme si j’allais dire : “Frères,” comme ceci, par exemple.
77 Voici, je vais l’illustrer de cette façon. Je vais vous parler, à vous, les frères, pour bien m’assurer que vous saisissiez. “Comment–comment–comment ça va, frère?” Vous voyez, je suis encore coupable. “Euh, je–je suis rudement content d’être–d’être encore l’un des vôtres. Je–je–je suis si content, vous voyez.” Bon. Maintenant, quelque temps après, quoi? Je sais que vous fixez les regards sur moi, et vous savez que je fais encore des trucs, que je fais encore des choses entachées de la souillure du monde.
78 Quelque temps après, il se fait un nettoyage en moi. Là il s’est passé quelque chose : je suis sanctifié. Je peux vous regarder bien en face, je suis l’un des vôtres. Voyez? “Très bien, frère. Gloire à Dieu! Je suis content de faire partie de ce groupe rempli du Saint-Esprit. Je suis content d’être parmi vous, frères saints.” Pourquoi? Vous ne pouvez rien me reprocher, tout a été nettoyé en moi. Mais maintenant Dieu va me mettre en service. Bon. Oui monsieur!
79 “Frère Branham, vous avez été justifié?
80 – Si! Je me rappelle quand j’osais à peine vous regarder. Frère, maintenant je peux vous regarder bien en face.”
81 Vous voyez, voilà. Bon, alors, l’autre, qu’est-ce que c’est? Maintenant je vais... Ceci, c’est être nettoyé et mis à part pour le service, et ceci, c’est entrer en service. Or nous savons tous que le mot sanctifier est un mot grec, un mot grec composé qui veut dire “nettoyé et mis à part pour le service”. Les ustensiles étaient purifiés et, par l’autel, sanctifiés par l’autel, et mis à part pour le service. Mais être mis en service, c’est être rempli et mis en service.
82 Maintenant, je vais par là, maintenant j’entre en service. Or, c’est Dieu qui m’avait fait changer de direction, en disant : “Écoute-Moi. Écoute-Moi! Écoute-Moi!” Et Il dit...
83 Vous saisissez ce que je veux dire? Voyez? Voici [Frère Branham imite quelqu’un qui parle en langues.–N.D.É.]. Vous voyez, voici, on est tellement rempli, au point qu’on... C’est ça. Voilà, parler en langues, c’est ça.
84 Et je crois ceci, là : je ne crois pas que le parler en langues est la preuve qu’on a le Saint-Esprit. Ça ne l’est pas! En effet, j’ai vu des sorciers, des magiciens, des manipulateurs de serpents, des démons et tout, parler en langues, alors ce n’est pas un acte infaillible de Dieu (quand on parle en langues), une indication qu’on a le Saint-Esprit. Mais, souvenez-vous, le Saint-Esprit parle effectivement en langues, et le diable peut imiter ça.
85 La–la preuve qu’on a le Saint-Esprit, c’est la vie qu’on mène, vous voyez : “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Et le fruit de l’Esprit, ce n’est pas (on ne trouve ça nulle part dans l’Écriture) le parler en langues. Le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la foi, la longanimité, la bienveillance, la douceur, la bonté, la patience. Vous voyez, donc, c’est ça le fruit. C’est ce qu’on trouve sur l’arbre, qui permet de reconnaître de quelle sorte d’arbre il s’agit. Voyez?
86 C’est ce que les hommes cherchent à voir en vous les prédicateurs, en vous les diacres, en vous les administrateurs, en vous les évangélistes. Vous aurez beau parler en langues, là, dans la rue, à longueur de journée, jamais ils ne vous croiront. Mais vivez les choses que vous prêchez, montrez de la douceur, montrez qu’il n’y a plus aucune racine d’amertume en vous, et là les hommes constateront qu’il y a quelque chose.
87 “Le parler en langues.” Bon, par contre, je crois ceci, qu’un jour ou l’autre, une personne qui est remplie du Saint-Esprit, et qui reste sous l’autel de Dieu, parlera en langues. Mais j’ai vu bien des gens qui parlaient en langues, et qui ne savaient absolument rien sur Dieu. Voyez? Ils ne savaient rien du tout sur Lui – et pourtant ils parlent en langues. On peut imiter n’importe lequel de ces dons-là. Voyez?
88 Mais c’est le fruit de l’Esprit qui démontre quel est l’Esprit qui est à l’intérieur : vous rendez témoignage de la Vie de Jésus-Christ. En effet, s’il y a la sève d’un pêcher dans un pommier, il produira des pêches, aussi sûr que deux et deux font quatre. C’est vrai. Vous voyez, parce que c’est cette vie-là qui est à l’intérieur de lui.
89 Alors, ici, c’est la même chose. Mais, bon, pour bien vous faire saisir ceci, pour que tous, nous soyons au courant de la même chose. Je crois qu’une personne qui est remplie du Saint-Esprit, qui... Bon, cette personne entre en Christ par un baptême, et, tout simplement, ce n’est pas... Le parler en langues n’est pas la preuve qu’on a reçu un baptême. Voyez?
90 Un baptême – on peut être introduit dans la puissance du diable par un baptême, et parler en langues par ce baptême de l’esprit trompeur du diable. Combien de fois avons-nous vu cela se faire? Combien de fois ai-je moi-même vu cela se faire?
91 J’ai même eu connaissance que certains ont bu du sang dans un crâne humain et parlé en langues.
92 J’ai vu ceux qui exécutent la danse du serpent, dans le désert, alors qu’ils enroulent un grand serpent autour d’eux, et se promènent en parlant – le magicien sort, comme ça, et ils parlent en langues et interprètent cela.
93 Je me suis trouvé dans des camps de sorciers, où ils posaient un crayon comme ça, et posaient un livre comme ceci, et le crayon montait et descendait sur le tuyau de poêle en jouant “Rasage et coupe de cheveux : vingt-cinq cents”, et écrivait en langues inconnues, et le magicien interprétait ça, il disait exactement ce qui s’était passé. Ça, je–j’en ai moi-même eu connaissance. Voyez? Alors, je... Vous voyez, on ne peut pas.
94 Paul a dit : “Les langues cesseront. Les prophéties prendront fin. Tous ces dons disparaîtront bientôt.” (On a cette question-là pour un peu plus tard.) “Mais quand ce qui est parfait est venu, ce qui est partiel disparaît.” Voyez? Donc, nous voulons la chose parfaite, frères. Voyez? Nous avons vu trop de trucs bidon, et nous avons mal interprété ces choses.
95 N’allez jamais, devant une personne qui parle en langues, et–et, à cause de ça, croire qu’elle a le Saint-Esprit. Voyez? Mais vous croyez qu’elle a le Saint-Esprit à cause des fruits qu’elle porte, puisque Jésus a dit : “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.” Voyez? C’est vrai : “À leur fruit.”
96 Bon, mais maintenant, je ne vais pas m’arrêter là; en effet, je ne voudrais pas déshonorer un grand don que Dieu a donné. Voyez? Je crois qu’un homme, ou une femme, ou un enfant, qui est rempli du Saint-Esprit, et qui vit sous l’autel de Dieu, au bout de peu de temps il parlera en langues. Voyez? Je crois qu’il le fera, ou qu’elle le fera.
97 Or, vous pouvez recevoir le Saint-Esprit, sans que peut-être vous ayez parlé en langues au moment où vous L’avez reçu. Voyez? Mais si vous demeurez constamment là, toujours devant Dieu, et que vous recevez baptême sur baptême, il se produira quelque chose. Voyez? Un jour, vous serez tellement rempli que vous ne pourrez pas parler autrement; vous voyez, vous–vous–vous essayez de dire quelque chose, et vous n’arrivez plus du tout à le dire, vous n’arrivez plus à le dire. Et souvent, si les gens se rendaient compte que c’est le Saint-Esprit, ça, alors voilà, ils ouvriraient simplement leur cœur et laisseraient Dieu leur parler.
98 La Bible dit : “C’est par des lèvres balbutiantes et par des langues étrangères que Je parlerai à ce peuple.” Ésaïe 28, vous voyez, 28.18. Donc : “C’est par des lèvres balbutiantes et par des langues étrangères que Je parlerai.”
99 Un “balbutiement”, qu’est-ce que c’est? Quelqu’un qui n’arrive pas à articuler distinctement, qui fait [Frère Branham imite quelqu’un qui balbutie.–N.D.É.]. On, simplement, on balbutie, on essaie. Vous voyez, tellement rempli de l’Esprit! Il essaie de dire, par exemple, si j’allais dire : “Frère Ja-Jack-Ja-Frè-Jack-Frère Ja-Ja-Jack-Jack-Jackson.” Vous voyez, comme ça, vous essayez de dire, vous n’arrivez pas à le dire. Vous voyez, c’est ça, tellement rempli de l’Esprit! Ça...
100 Je voudrais vous poser une question, frères : avez-vous déjà senti le Saint-Esprit vous secouer tellement que vous n’arriviez quasiment plus à parler, vous restez assis là pendant un moment, assis là à pleurer? Avez-vous déjà fait ça? Eh bien, c’est le Saint-Esprit, ça. Si vous aviez... Si les gens ne parlent pas en langues, souvent c’est parce qu’ils ne savent pas s’abandonner à l’Esprit, et ils cherchent quelque chose au loin, alors que C’est juste là, sur eux. Voyez? C’est pour ça qu’ils ne...
101 D’autre part, il y a des gens qui se laissent emporter par leurs émotions et prononcent un tas de mots qui ne veulent rien dire, et pourtant ils n’ont pas le Saint-Esprit, mais ils cherchent à dire qu’ils L’ont parce qu’ils ont parlé en langues. “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez”, vous voyez.
102 Maintenant, y a-t-il une question? [Frère Junior Jackson dit : “Frère Branham?”–N.D.É.] Oui, frère. [“Je suis content qu’on ait posé cette question, parce que, sans doute que peut-être certains ont pu se demander ce que je croyais et ce que j’enseignais depuis longtemps. Mais ce que je crois là-dessus, c’est exactement ce que vous avez enseigné.”] Merci, Frère Jackson. [“Peu importe combien de fois je pourrais parler en langues, ou quoi que ce soit, si ma vie ne rend pas témoignage de ce que dit la Bible, alors je ne vaux pas mieux qu’un vulgaire chien qui marche dans la rue.”] C’est vrai. [“Et c’est seulement six mois après avoir reçu mon baptême que j’ai parlé pour la première fois dans une langue inconnue.”] C’est à peu près la même chose pour moi, Frère Jackson.
103 J’ai reçu le baptême du Saint-Esprit là-bas, dans mon petit hangar, vous voyez. Et environ un an plus tard, ou quelque chose comme ça, j’étais–j’étais... j’ai parlé en langues.
104 Et environ un an ou deux après, de nouveau, je prêchais dans une église, j’étais–j’étais debout sur l’estrade, comme ceci, et je... Quand j’étais jeune, je n’étais pas aussi raide et aussi vieux que je le suis aujourd’hui, je pouvais me mouvoir un peu mieux et je prêchais avec beaucoup d’émotion. J’étais en train de prêcher, là, et d’un bond je me suis retrouvé sur un pupitre. C’était dans une église baptiste, l’église baptiste de Milltown, et me voilà parti dans l’allée, en train de prêcher de toutes mes forces, comme ça. Et au moment où j’ai arrêté de prêcher, Quelque Chose qui m’avait complètement transporté a dit plusieurs mots, quatre ou cinq, ou six mots, en langues inconnues. Et avant que j’aie pu me rendre compte de ce que je faisais, je me suis entendu m’écrier : “Le Rocher dans un pays aride, l’Abri à l’heure de la tempête.” Voyez?
105 Et un jour, le long d’une voie ferrée – je marchais sur la voie ferrée, de ce côté-ci de Scottsburg, le long de la voie ferrée, je faisais ma ronde. Les vents soufflaient fort, oh! la la! et les rails étaient couverts de glace. J’ai traversé, pour faire ma tournée d’inspection des lignes de trente-trois mille volts; la route 66 allait dans l’autre sens, comme parallèle à la voie ferrée. Et, en longeant la voie ferrée, soudainement... pendant que je marchais, je chantais. Je chantais toujours. Il y avait plusieurs endroits où j’allais prier. Chemin faisant je chantais, et tout à coup, je me suis surpris à parler en langues, vous voyez, sans me rendre compte de ce que je faisais.
106 Le parler en langues se fait en combustion si vive que la personne ne sait pour ainsi dire pas ce qu’elle fait, ou, elle ne sait pas ce qu’elle dit. Et l’interprétation, c’est pareil. Ils ne savent pas ce qu’ils vont dire. Ils ne se doutent pas le moins du monde qu’ils vont dire ça, parce que c’est surnaturel. Vous voyez, tant que vous faites intervenir le domaine naturel, alors vous ne, vous–vous–vous restez dans le domaine naturel, vous voyez. Mais si quelque chose vous saisit et s’empare de vous, et que vous agissez sous l’effet de cela. Voyez?
107 [Frère Neville dit : “Frère Branham, est-ce que je peux dire quelque chose ici?”–N.D.É.] Bien sûr que tu peux, Frère Neville. [“Maintenant, la manière dont tu l’exprimes, là, tu ne veux pas dire, par contre, que–que les langues seraient en ordre, pendant le service, si un homme n’arrivait pas à les maîtriser? Parce qu’il, un homme qui a un don doit pouvoir le maîtriser.”] Il peut se maîtriser. Oui, tout comme... [“Il doit en avoir suffisamment conscience pour savoir qu’il est sur le point de parler en langues.”] Oui, c’est exact. [“Sinon c’est, dès le départ, du désordre de sa part.”] C’est exact, il sent venir cela. Voyez? Bon, comme le dit la Bible : “Si–si quelqu’un parle en langues, et qu’il n’y a pas d’interprète, alors qu’il se taise.” Donc, bien sûr.
108 Disons, par exemple, que je me trouve ici, n’importe qui – quand vous êtes sur le point de crier, même chose. Avez-vous déjà senti la puissance de Dieu vous envahir, au moment où vous vous mettez à crier? Combien ont déjà fait ça? Eh bien, tous, nous l’avons fait. Voyez? Vous êtes assis là, simplement, vous la sentez vous envahir. Bon, à certaines occasions, on peut réprimer ça, vous voyez. On peut retenir ça, vous voyez : ce n’est pas convenable.
109 Supposons que vous êtes en train de parler au–au président des États-Unis, ou que vous êtes là, en train de parler au maire de la ville, que vous parlez de quelque chose, là, en pleine rue, vous parlez à un groupe de gens, et tout à coup, vous avez envie de sautiller, de pousser des cris, de crier à tue-tête “Gloire! Alléluia!”, de donner des coups de pied partout, et de courir dans la rue, comme ça, dans tous les sens. Les gens diraient que vous êtes fou. Voyez? Ils diraient : “Cet homme est fou.” Voyez?
110 Eh bien, voyez, alors vous vous gardez bien de faire ça. Vous vous abstenez, bien que ça vous démange, que vous ayez toutes les peines du monde à retenir ça. Vous dites : “Oui, monsieur. Oui, monsieur. Ah oui. Ah oui. Oui. Oui, monsieur. Ah oui.” Oh, mon gars, ça vous démange terriblement, mais vous savez tout de suite qu’il faut vous taire. Voyez?
111 Par exemple, dans un palais de justice, il n’y a pas longtemps, ils avaient fait comparaître des pentecôtistes pour–pour avoir fait quelque chose, crié trop fort ou quelque chose comme ça, ce qui était-ce qui était tout à fait légitime de leur part, vous voyez, c’était vrai. Mais chaque fois que le juge se mettait à parler, se mettait à leur dire quelque chose, eux, ils parlaient en langues. Voyez? Le juge a dit : “Faites sortir d’ici cette bande de fous.” Voyez?
112 Par contre, s’il y avait eu une interprétation de ces langues-là, et qu’on avait dit au juge : “AINSI DIT LE SEIGNEUR,” telle et telle chose, qui était vraie, “AINSI DIT LE SEIGNEUR! Monsieur le juge, pourquoi est-ce que vous êtes là à me juger, alors qu’hier soir vous avez eu une relation avec une prostituée? Elle s’appelait Sally Jones, elle habitait au 44, de tel et tel endroit, comme ça. Pourquoi est-ce que vous me jugez? C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR! Maintenant niez ça et vous tomberez raide mort.” Alors, oh, frère! Là, c’est tout autre chose.
113 Mais quand vous ne faites que vous tenir là et parler, alors il a dit : “Vous êtes un barbare pour eux.” Vous voyez? Or, vous savez quand il faut se taire et quand il ne faut pas. Voyez? Or, ça, vous voyez, je... Vous me comprenez bien maintenant, vous savez ce que je veux dire. Voyez? C’est ça. Certainement.
114 On a cette question-là quelque part plus loin. C’est pour ça que je la retenais comme ceci, c’est qu’on a la même chose : “Doivent-ils se taire?” Vous voyez? C’est pour ça que j’avais limité ma réponse à ce que vous disiez. Mais c’est le moment d’y répondre, maintenant, vous voyez, maintenant même. Et nous y répondrons aussi quand nous arriverons à cette question, plus loin, j’y ferai de nouveau référence. Est-ce que tout le monde comprend bien cette question?
[Frère Fred demande : “Frère Branham?”–N.D.É.] Oui, Frère Fred. [“Est-ce que–est-ce que quelqu’un parle par–par l’Esprit, celui-ci lui donnant de s’exprimer (disons qu’il est Anglais et qu’il parlait anglais), alors est-ce l’Esprit qui lui donnerait de s’exprimer?”]
115 Certainement. Oui monsieur. Vous voyez, parce que le Saint-Esprit parle toutes les langues. Voyez? Le Jour de la Pentecôte, toutes les langues qui existaient sous le ciel étaient réunies, vous voyez. Parler en anglais... Or, je reconnais toujours ceci, Frère Freddie, moi-même, je, si jamais je fais une prédication et qu’il y a l’onction sur elle, c’est l’Esprit qui me donne de m’exprimer, tu vois. C’est... Voyez? Donc, ce serait là une langue inconnue pour un homme qui ne comprend pas l’anglais. Mais pourtant...
116 De même, la langue inconnue n’est pas une langue “inconnue”, elle est, il y a là quelqu’un... Par exemple, le Jour de la Pentecôte, ils ont dit, tous ces pécheurs, ils ont dit : “Comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun? Comment entendons-nous ces Galiléens parler dans notre propre langue?” Il n’y avait là absolument rien d’“inconnu”. Le Jour de la Pentecôte, il n’y a pas eu de langues “inconnues”, pas du tout. Ça, vous voyez, ce n’est pas biblique du tout. Voyez? Ce n’était pas inconnu, ce n’était pas une langue inconnue, c’était un langage. “Comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle?” Rien d’inconnu là-dedans, rien du tout. Voyez? Là, y a-t-il une question là-dessus maintenant, tout de suite, avant que nous passions à autre chose? “Comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun?” Voyez?
117 [Un frère dit : “C’est–c’est là qu’on a une petite erreur, à cause de la faiblesse humaine, quand les gens refusent–refusent d’accepter quoi que ce soit, se bornant à dire : ‘Je ne le croirai pas autrement que conformément à Actes 2.4!’”–N.D.É.] Eh bien, s’ils l’avaient reçu conformément à Actes 2.4, ils ne parleraient certainement pas dans une langue inconnue. [“Non, un langage.”] Oui. Forcément qu’ils parleraient dans la–la langue intelligible pour les gens, vous voyez, puisque “chacun entendait dans sa propre langue”.
118 Or, si je recevais à l’instant même le Saint-Esprit conformément à... Je dis... Je crois qu’il y a ici un frère qui recherche le Saint-Esprit, il s’agit de–de–de Frère Wood. N’est-ce pas, Frère Wood? Je ne veux pas te dénoncer, mais tous, nous sommes entre frères ici, et nous voulons juste exprimer ceci. Il recherche le baptême du Saint-Esprit. Donc, si Frère Banks recevait le Saint-Esprit, là, la manière correcte, s’il Le recevait conformément à la Bible, là il se lèverait, il parlerait, il parlerait en anglais, en disant : “Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité”, il parlerait avec l’ardeur impétueuse de la prophétie, pour l’exprimer. “Je sais qu’Il est ressuscité, parce qu’à l’instant Il est entré dans mon cœur. Il est le Fils de Dieu! Mes péchés ont disparu, il m’est arrivé quelque chose.” Voyez? Voilà. Voilà ce qu’est parler dans...
“Comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun?”
119 Supposons, par exemple, que nous de l’Indiana, nous parlions une autre langue que celle des gens du Kentucky, et que Frère Banks était du Kentucky? Eux, donc, ils parlent une autre langue, et ici nous sommes au courant qu’il ne sait pas parler la langue de l’Indiana. Et le voilà qui se lève, en parlant la–la langue de l’Indiana, alors que nous savons qu’il ne la connaît pas. Voyez? Nous l’entendons dans la langue de l’Indiana, alors que lui, il pense qu’il est en train de parler la langue du Kentucky. Il témoigne, tout simplement : “Gloire à Dieu! Jésus est ressuscité des morts. Alléluia!”, mais nous, nous l’entendons dans la langue de l’Indiana.
120 C’est ce qui est arrivé le Jour de la Pentecôte. Voyez? “Comment les entendons-nous chacun,” vous voyez, “voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens”, vous voyez, des gens du Kentucky? “Comment nous, qui sommes de l’Indiana, de l’Ohio, de l’Illinois, du Maine, du Massachusetts, de la Californie, les entendons-nous dans notre langue, dans notre langue maternelle?” Vous saisissez? Vous voyez, c’est l’inspiration. Vous voyez, c’est l’inspiration qui les fait entendre, c’est l’inspiration qui est sur eux.
121 Vous voyez, le message... voici de quoi il s’agit : c’est un témoignage de la résurrection de Jésus-Christ. Vous voyez, c’est vrai. Maintenant, si Dieu ne vit pas cette Vie-là en vous, alors peu importe combien vous En rendez témoignage, vous ne L’avez toujours pas reçue. Voyez? C’est vrai. Combien vous...
122 Y a-t-il une autre question, là? [Frère Roy Roberson dit : “Eh bien, Frère Branham, je crois que nous avons vu cela se produire dans une ligne de prière : cette jeune fille de langue espagnole.”–N.D.É.] Oui. Très juste, Frère Roy. C’était à–à, justement là où je m’en vais, à Beaumont–Beaumont. Était-ce Beaumont? Oui, monsieur.
123 Là, on avait arrêté la ligne de prière. Une jeune fille de langue espagnole est montée sur l’estrade. Eh bien, en fait, j’allais partir, n’est-ce pas? Howard m’emmenait, et–et cette... Je–je–j’ai entendu quelqu’un qui pleurait, c’était une jeune fille de langue espagnole qui était là, oh, elle avait environ quinze ou seize ans, vraiment, juste une gamine. Et–et j’ai regardé, la prochaine carte de prière, c’était elle – si j’avais continué. J’en avais fait venir un bon nombre, la prochaine carte de prière, c’était elle. J’ai dit : “Faites-la venir.” Alors, ils l’ont fait monter. Je devais me rendre à une autre réunion, et, j’ai dit : “Faites-la monter.”
124 Alors, j’ai constaté, je lui ai dit quelque chose comme ceci : “Maintenant, est-ce que tu vas croire? Si Jésus m’aide à te dire ce qui ne va pas chez toi, est-ce que tu vas croire que–qu’Il te guérira?” Et elle gardait la tête baissée. Je me suis dit qu’elle était sans doute sourde et muette. Voyez?
125 Alors, quand j’ai regardé de nouveau, j’ai dit : “Non, c’est qu’elle ne parle pas l’anglais.” Alors ils ont fait venir un interprète, et j’ai dit : “Est-ce que tu vas croire?” Et elle a répondu par un signe en direction de... Là elle comprenait, avec l’aide de l’interprète, bien sûr. Voyez?
126 Eh bien, alors j’ai dit... J’ai regardé et j’ai eu une vision. J’ai dit : “Je te vois assise près d’une cheminée à l’ancienne, et il y a une grande marmite qui est suspendue là, remplie d’épis de maïs jaune. Tu as tr-...” Tu te souviens de ça, Frère Roy? J’ai dit : “Tu as trop mangé de ce maïs. Et à ce moment-là, tu as été prise d’un violent malaise, ta mère t’a étendue sur le lit, et c’est là que tu as commencé à avoir des crises d’épilepsie.” Et j’ai dit : “C’est depuis ce jour que tu souffres de cela.”
127 Et la voilà qui se tourne vers l’interprète et lui dit dans sa propre langue : “Je croyais qu’il ne parlait pas l’anglais... ou, ne parlait pas l’espagnol!”
128 Il s’est tourné vers moi en disant : “Vous n’avez pas parlé en espagnol, n’est-ce pas?”
129 J’ai dit : “Non.” Alors, nous avons vérifié ce qu’avait capté le magnétophone, arrêté les magnétophones, et c’était bel et bien de l’anglais.
130 Mais alors, l’interprète a dit : “Alors, dis-moi ce qu’il a dit.” Vous voyez, il fallait qu’il donne l’interprétation. Il a dit : “Dis-moi ce qu’il a dit.” Et elle le lui a répété mot pour mot, et il a retransmis ça.
131 Elle, donc, m’a entendu dans sa propre langue, dans sa langue maternelle, et moi je parlais en anglais. Elle a entendu ça en espagnol. “Comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle?” Et l’enfant a été guérie. Vous voyez, c’est ça; ce sont les merveilles de Dieu.
[Un frère demande : “Dans ce cas, le vase qui contient le Saint-Esprit ne... sera tout simplement un vase, et Celui qui le remplit pourra le remplir de ce qu’Il...?”–N.D.É.]
132 De ce qu’Il veut, c’est exact. Tout à fait exact. Et là regardez de quoi il est rempli, alors vous saurez si c’est le Saint-Esprit ou pas que vous avez reçu, alors. Voyez? Il suffit de regarder de quoi il est rempli. Si le–si le vase est rempli d’impuretés, alors ce n’est pas le vase de Dieu. Mais s’il est rempli de pureté, alors c’est le vase de Dieu. Vous voyez ce que je veux dire? [Le frère dit : “Et ce vase, à certaines occasions, ce vase sera utilisé sans le savoir au moment même, qu’il a été utilisé?”–N.D.É.] Oh, bien sûr. [Le frère donne un témoignage.] Oui. Oui. C’est tout à fait exact, bien sûr. Oh, nous tous, nous constatons ça. J’ai constaté ça bien des fois. Oui, monsieur. Oui, monsieur. Nous tous, nous connaissons, nous avons eu connaissance de ces choses.
Je crois que celle-là, c’était le numéro quatre : Est-ce que toutes–est-ce que toutes les personnes remplies du Saint-Esprit parlent tôt ou tard en langues? J’ai vu un passage où Paul a dit : “Je parle en langues plus que–qu’eux tous.”
Bon, ce que moi, je pense – pour terminer la question de ce frère :
Paul, qui parlait en langues plus que tous.
133 Paul était un homme intelligent, il connaissait lui-même bien des langues. Vous voyez, il savait parler en, il, vous vous souvenez, quand il devait passer en jugement, il savait parler telle langue ou telle autre langue, ou quoi encore. Et ça, pour les gens, ce sont des langues inconnues, mais ce n’était pas des langues inspirées. C’était des langues de conversation, vous voyez. Mais, et...
134 Mais, oui, je crois qu’une personne remplie du Saint-Esprit qui vit sous l’autel de Dieu aura sans doute, tôt ou tard, l’expérience du parler en langues, parce que cette chose-là est parmi les moins élevées, parmi les moindres, d’après la description de Paul. Si on les classait par ordre d’importance, celui-là est le dernier des dons, vous voyez : le parler en langues.
135 Mais, bon, d’abord, on est baptisé... Disons que vous tous, vous êtes des dons. Moi, je suis à l’extérieur. Maintenant : “Par une seule Porte, un seul Esprit”, on entre dans cette pièce. Pas vrai? Or, je ne peux pas entrer par ici, je ne peux pas entrer par là, ni par là-bas. Voyez? Comment est-ce que j’entre ici? Par Frère Roberson? Non, monsieur. Par, eh bien, disons, Frère Léo? Disons que lui, c’est un don de parler en langues, vous voyez, est-ce que j’entre par Léo? Non, monsieur. Non–non. Eh bien, comment est-ce que j’entre? “Par une seule Porte, par un seul Esprit.” L’Esprit, ce n’est pas juste les langues. Non. Voyez? Vous voyez : “Par un seul Esprit je suis baptisé pour entrer dans ce Corps.”
136 Bon, ceci, c’est l’Esprit, vous, vous êtes des dons. Vous dites : “Eh bien, Dieu soit béni!” Je m’approche et, disons, il y a là–il y a là Frère Wood, lui, c’est les miracles. Voyez? “Oh, un miracle s’est accompli grâce à moi. Je sais que j’ai le Saint-Esprit, parce que j’ai accompli un miracle.” Ce n’est pas par un seul “miracle” que nous sommes tous baptisés pour entrer dans le Corps.
137 Ensuite je vais trouver Frère Junie, lui, c’est la connaissance. “Eh bien, eh bien, j’ai la connaissance de la Bible! Oh, mon gars, je t’assure, je sais que j’ai le Saint-Esprit, parce que j’ai ça.” Non, ce n’est toujours pas le moyen d’entrer.
138 Très bien. Pas par Frère Léo, pas par Frère Wood, pas–pas par Frère Junie. Voyez? Non. Mais par un seul quoi? [L’assemblée dit : “Esprit!”–N.D.É.] Très bien. Je suis baptisé pour entrer dans ce Corps, maintenant me voici à l’intérieur, maintenant où mon Père va-t-Il m’utiliser? Voyez? Il s’est trouvé que Léo était assis près de la porte; sans doute que ce serait une des premières choses qui se produiraient. Mais peut-être que non. Peut-être que je suis beaucoup plus riche en l’Esprit, si bien que je pourrais aller directement trouver Frère Wood, tout là-bas, sans passer par tous les autres. On ne peut pas me dire que je n’ai pas le Saint-Esprit, là, car je suis dans le Corps par un baptême. Mais Dieu ne m’a pas fait entrer là pour que je dise : “Eh bien, Dieu soit béni, je pense que je vais m’asseoir maintenant, me la couler douce : je m’en vais au Ciel.” Hum! Vous voyez ce que je veux dire?
139 Mais à partir de ceci, je pourrais aller tout là-bas. Vous voyez ce que je veux dire? Je pourrais passer d’une extrémité à l’autre, ou je pourrais peut-être aller au milieu, ou n’importe où. Mais il arrivera quelque chose, forcément qu’il se produira quelque chose. Qu’est-ce donc? Par le baptême du Saint-Esprit, c’est ce qui m’indique que je suis dans le Corps : “Par un seul Esprit.” Vous avez saisi, frère, ici? D’accord! C’est réglé? Très bien.
112. .Dans quel ordre est-ce que les langues et les prophéties doivent être utilisées pendant le service... (Elles ne doivent pas être utilisées du tout pendant le service! Voyez?) ...pour glorifier Dieu... (Du tout!) ...et pour édifier l’église? Je sais que le peuple dit que l’esprit du prophète... Je sais que le–je–je sais que le... (p-... Je pense que ce... Non, pardon, c’était “la Bible”, B-i-b-l-e. Pour commencer je lisais p-e-p-l-e, ou quelque chose comme ça. Non.) ...La–la Bible dit : “L’esprit des prophètes est soumis au prophète.” (Exactement.)
140 Le parler en langues spirituel et la prophétie ont pour but d’édifier l’église, mais il y a un service réservé à cela. Voyez? Ces choses ne doivent déranger à aucun moment pendant que le prophète de l’église est... la réunion se déroule avec ordre. Voyez? Elles ne doivent jamais interrompre la réunion.
141 Alors, vous voyez, “les esprits des prophètes”. Nous–nous avons une autre question, là, alors on va laisser ça de côté pendant un instant. Vous voyez, la manière vraiment correcte de ces, d’exploiter ces dons... Ceci donne la réponse pour bien des dons, vous voyez. Quand nous arriverons à ceux-là, nous pourrons dire que nous avons donné la réponse dans cette première question de la personne qui a demandé ceci. Voyez? Celle-là, c’est le numéro cinq :
Est-ce que les langues et les prophéties doivent être utilisées pendant les services, pour glorifier Dieu?
142 Vous voyez, bon, le ministre, si le ministre est oint de Dieu, et qu’il y a un ordre établi dans l’église, alors, la manière correcte... Beaucoup d’entre vous le savent, je–je vous en ai parlé, “qu’il faut qu’il y ait un ordre établi pour ça”. Ces dons sont censés... Maintenant, voici ce que nous ferons dans le Tabernacle, si le Seigneur le veut. Maintenant j’observe, je vois quelque chose, je laisse Frère Neville et ces autres frères, là, avec un ordre établi. Or vous êtes... Et bon nombre de ces frères, là, ce sont de jeunes frères.
143 Or moi, par rapport à–à vous tous, je–je suis un vieux vétéran dans cette Voie. J’Y suis depuis trente et un ans. J’ai posé cette pierre, là, il y a environ trente ans. J’ai dû affronter à peu près tout ce qu’on peut affronter, et il faut vraiment savoir ce qu’on dit, d’ailleurs, quand on fait face à ces choses. Il faut, non seulement savoir ce qu’on dit, mais, lorsqu’on a–lorsqu’on a fini, il faut que Dieu soit là pour confirmer ce qu’on a dit.
144 Alors, la façon de–de procéder qui permet les meilleurs résultats, là : vous pourriez avoir une réunion spéciale. Je crois que c’est ce qu’ils faisaient, dans I Corinthiens 14, là : “Si un autre qui est assis a une révélation, que le premier se taise.” Je crois que c’était “une réunion spéciale, réservée aux dons”, ce qui serait tout à fait en ordre. S’ils désiraient avoir une réunion spéciale, où tous les gens qui ont des dons se réunissent, une fois par semaine, ceux qui possèdent des dons, ils se retrouvent à l’église, ce serait très bien. Qu’ils aient cette réunion, où il n’y a, n’y aurait aucune prédication, elle serait réservée aux dons de l’Esprit.
145 Elle ne s’adresse pas à ceux du dehors ni aux incroyants. Eux, ils entreraient, s’assiéraient et diraient... Quelqu’un se lèverait, ferait “ââh-ââh”, parlant en langues; l’autre dirait “whââ-ââh”. “Mais qu’est-ce que c’est que ça?” Ils entreraient et diraient : “Où sont les chants? Où sont les autres choses?” Voyez?
146 Mais, c’est que ces gens qui parlent en langues, bon nombre d’entre eux – et qui interprètent, et tout – sont des bébés dans l’Évangile. Voyez? Ne–ne les offensez pas, laissez-les–laissez-les grandir, jusqu’à ce que ce don... Dans certaines de ces choses, vous pouvez voir que Satan essaie de se faufiler dans certaines d’entre elles. Évidemment, les vétérans, nous–nous–nous voyons ça, vous voyez, nous pouvons le détecter. Et vous allez surveiller ça.
147 Il n’y a pas longtemps, un certain ministre, qui est assis ici même en ce moment, est venu me voir et m’a dit, m’a fait venir chez lui, un très précieux frère.
148 Je ne dis pas ça parce qu’il est assis ici, mais vous êtes tous de précieux frères. Si je ne le pensais pas, je vous dirais : “Vous et moi, réglons d’abord entre nous cette affaire-là.” Voyez? C’est vrai. Voyez? Je vous aime tous, et si je suis ici, c’est uniquement avec un esprit de tolérance, ayant en vue la Bible, vous voyez, en vue de–d’apporter mon aide. Voyez?
149 Ce frère m’a fait venir chez lui, pour... une certaine femme, et cette femme était dans l’erreur. Et là... Je n’avais jamais vu cette femme, mais j’avais entendu ça sur une bande, je l’avais entendue donner une interprétation de langues et dire quelque chose. On pouvait tout de suite détecter ça.
150 Un jour, à un autre ministre et à moi, de cette même personne, nous nous sommes assis sur une souche, à la chasse aux écureuils, et nous en avons parlé. Et les deux ministres, qui sont présents en ce moment, savent ce qui est arrivé, finalement. Vous voyez, observez.
151 Lorsque vous, les ministres, vous corrigez des gens au sujet d’un don, que vous les corrigez, que vous les corrigez par l’Écriture, et qu’ils s’offensent, souvenez-vous, ce n’était pas l’Esprit de Dieu, parce que l’Esprit de Dieu ne peut pas s’offenser de Sa Parole. Il se rallie à Sa Parole. Vous voyez, il fait toujours preuve de bonne volonté. Un vrai saint de Dieu veut marcher droit. Oui monsieur.
152 Je veux être corrigé. Je veux que le Saint-Esprit me corrige dans ce que je fais qui n’est pas bien. Je ne veux aucun substitut. Je–je veux la chose authentique ou rien, ou laissez-moi comme ça, que–que je n’aie rien du tout. Voyez? En effet, je préférerais faire comme ça plutôt que de jeter l’opprobre sur le Christ.
153 Et je n’enseignerais rien, et je ne dirais rien, à moins que l’Écriture...
154 Et si un frère, un frère chrétien me voyait enseigner quelque chose de faux – je serais reconnaissant que vous me preniez à part après le service, et que vous me disiez : “Frère Branham, j’aimerais m’entretenir avec vous dans votre bureau, vous êtes dans l’erreur à propos de quelque chose.” Voyez? Je–j’en serais vraiment reconnaissant, frère, parce que je veux être dans le vrai. Je le veux.
155 Tous, nous voulons être dans le vrai, c’est pourquoi nous tenons–nous tenons à dire ces choses. Et il faut absolument qu’elles viennent des Écritures, vous voyez, pour que les Écritures s’harmonisent.
156 Donc, le parler en langues devrait... Bon, un peu plus tard... Pour le moment, là, laissez faire, pendant quelque temps. Vous voyez, je vous conseille de laisser faire, de ne pas intervenir. Vous les ministres, là, vous les pasteurs, laissez faire, jusqu’à ce que ces bébés soient un peu plus âgés. Or, peut-être que tôt ou tard, si c’est l’ennemi qui cherche à tromper cette personne, ça se verra. Nous n’en sommes pas tout à fait certains.
157 Ensuite, bon, avant de procéder comme ça, mettez d’abord là l’esprit de sagesse, de discernement des esprits, vous voyez, ce qui permettra de voir ce qu’il en est. À un moment donné vous commencez à remarquer qu’il y a quelqu’un qui se met à déceler un petit quelque chose qui cloche : c’est ça le discernement. Et là, dorlotez ça pendant quelque temps. Voyez? Ensuite, quand vous voyez que le discernement devient faux, alors corrigez cela. Et si cette chose-là, si c’est de Dieu, il supportera la correction apportée par la Parole. Voyez?
158 Mettons, à titre d’exemple, je vais dire que nous parlons en langues, que quelqu’un, que nous, que ceci est un–un groupe d’hommes qui ont des dons. Léo se lève et parle en langues; après quoi, un frère, ici, Willard, donne l’interprétation. Très bien. Maintenant, je vais dire que Frère Neville, Frère Junie et Frère Willard Collins sont ceux qui exercent le discernement, vous voyez. Maintenant, puisque Léo a parlé... Bon, là nous participons simplement à un genre de petite réunion des saints, une réunion pour les dons, et Léo a parlé, Willard a donné l’interprétation, là, il a dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR! ‘Mercredi soir, une femme viendra ici, et elle sera–elle sera violente. Dites à Frère Branham de ne pas la reprendre, parce qu’elle est atteinte de folie. Mais dites-lui de l’emmener dans le coin, parce que c’est dans un coin qu’un jour elle a fait une chose vraiment méchante, et qu’une certaine chose est arrivée.’” Voyez? Ça sonne vraiment bien, n’est-ce pas? Voyez? Très bien.
159 Mais avant toute chose, là, vous savez, dans l’Écriture ancienne, quoi que le prophète ait dit, ou que qui que ce soit ait dit, c’était d’abord vérifié par l’Urim Thummim. Vous voyez, c’était présenté devant la Parole. Et si les lumières ne brillaient pas, ils laissaient tomber la chose. Voyez?
160 Et donc, avant toute chose, confrontons cela avec la Parole. Bon, cet homme-ci a parlé en langues, ça avait l’air bien. Celui-là a interprété, ça avait l’air bien. Mais la Parole dit : “Que cela soit d’abord jugé par deux ou trois juges.” Présentez cela devant l’Urim Thummim.
161 Alors, d’abord, Willard Collins dit : “Cela venait du Seigneur.” Junie dit : “Cela vient du Seigneur–Seigneur.” En voilà deux sur trois. Très bien, c’est noté sur un bout de papier, c’est prononcé ici même, dans cette église. Ensuite les gens, qui ont vu cela être lu avant que la chose arrive, et qui voient ensuite la chose arriver, ils disent : “Frère, ça, c’est Dieu! Vous voyez, ça, c’est Dieu!”
162 Mais si la chose n’arrive pas, alors qu’est-ce qui se passe ensuite? Voyez? (Maintenant nous allons en venir à un autre point que je pourrais toucher ici : “Est-ce que toute prophétie est... toutes les interprétations et les messages sont une prophétie?”) Bon, un instant. Maintenant, si la chose n’arrive pas? Dans ce cas, Léo a parlé par un faux esprit; lui, il a donné une fausse interprétation; et vous, vous avez donné un faux jugement. Alors, débarrassez-vous de cette chose-là. Vous ne voulez pas de ça. C’est mal. Laissez tomber ça. C’est le diable. Voyez? [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] “Moi, je ne suis pas un prédicateur, mais je suis un–je suis un interprète. Tu vois, je suis un interprète, Seigneur, je–je ne suis pas un prédicateur. Je...” Frère Léo dirait : “Seigneur, je ne suis pas un prédicateur, mais je–j’ai un don de langues, et le diable m’a contrecarré, là. Ô Dieu, débarrasse-moi de cette chose-là.” Vous, vous dites : “Seigneur, tu m’as donné l’esprit de discernement, et je T’ai vu tant de fois à l’œuvre, comment est-ce arrivé? Père, purifie-moi! Qu’est-ce qui s’est passé?” Vous voyez, voilà, là vous avez quelque chose d’authentique.
163 Voyez, ça, c’est une réunion habituelle des saints. Je pense que c’était comme ça dans la Bible, parce que Paul a dit : “Si quelqu’un prophétise, et si quelque chose est prophétisé, si quelque chose... si quelqu’un qui est assis a une révélation; qu’il se taise, jusqu’à ce que celui-ci ait d’abord parlé, ensuite il pourra parler. Et vous pouvez tous prophétiser successivement.” Or ça, ça ne peut pas être pendant une réunion habituelle, vous le savez, chaque personne n’aurait pas pu le faire.
164 Maintenant, pour confirmer que cela vient de Dieu, vous voyez. Parce que, si ce ne sont que des sottises, cela ne vient pas de Dieu. Si la chose ne s’accomplit pas, cela ne vient pas de Dieu. Voyez? Il faut que la chose s’accomplisse. Et–et c’est pourquoi, dans nos églises, vous voyez, frères – comme ça nous avons une église bien affermie, vous voyez, où personne ne peut déclarer qu’on dit ou qu’on fait quoi que ce soit...
165 Regardez dans quelle situation cela me met, lorsque je suis là devant un public. Regardez cela! Et s’il y avait là une seule erreur? Voyez? C’est que je Lui fais confiance. Voyez? Je Lui fais confiance. Quelqu’un dira : “Avez-vous peur de faire une erreur, Frère Branham?” Non, non, non–non, je n’ai pas peur de faire une erreur. Je crois en Lui. Il est ma Protection. J’ai été établi pour faire ceci, alors je ne bougerai pas de là.
166 Si Dieu vous a établi pour faire quelque chose, alors Il est votre Protection. Vous voyez, Il vous protégera. S’Il vous a envoyé, Il confirmera votre parole. Vous êtes alors un ambassadeur. Toi, tu es un ambassadeur, muni du don des langues; toi, tu es un ambassadeur, muni du don d’interprétation; toi, tu es un ambassadeur, muni du don de discernement; vous trois. Vous voyez ce que je veux dire? Alors, qu’est-ce que vous avez? Vous avez une église bien affermie. Vous ne craignez pas. Pas plus tard qu’hier, justement, j’étais...
167 Tenez, je me trouvais à une réunion, là-bas, pas loin. Un jeune Anglais, de l’Angleterre, est venu, il voulait se suicider. Frère Banks est venu là-bas, il m’a dit “qu’il était là depuis quatre ou cinq jours”. J’avais beaucoup de choses à faire, mais il m’a dit : “Ce garçon va se suicider.” Là-bas, à l’hôtel Waterview; il me parlait de l’état de ce garçon.
168 Je suis allé dans la pièce, prier pour lui. Je suis ressorti, et j’ai dit : “Bon, Frère Banks, je n’ai jamais vu cet homme et je ne sais rien sur lui, mais je vais te dire quel est son problème avant d’arriver là-bas.” Pas vrai, Frère Banks? Et quand nous sommes arrivés là-bas, le Saint-Esprit est descendu là et lui a dit quelle était la cause de ça, et tout sur lui, où il avait été, et tout sur sa vie. Il en est presque tombé à la renverse.
169 “Avez-vous peur de faire une erreur, Frère Branham, de dire à un homme quelque chose comme ça?” Et sur l’estrade, de dire à un homme qu’il est infidèle à sa femme, qu’il a eu un bébé d’une autre femme, alors? Il vous fera jeter en prison. Vous avez intérêt à avoir raison! Voyez? Voyez? N’ayez pas peur, si c’est Dieu. Mais, si vous n’avez pas peur... si–si vous ne savez pas que c’est Dieu, alors restez tranquilles, jusqu’à ce que vous sachiez que c’est Dieu. Pas vrai? Soyez bien sûrs que vous êtes dans le vrai, et ensuite allez de l’avant.
170 Ceci est un enseignement dur, frères, mais vous êtes mes frères. Vous êtes–vous êtes–vous êtes de jeunes ministres qui prendront la relève, et moi, je suis un homme âgé, un de ces jours je vais partir. Voyez? Donc, soyez bien sûrs que ces–que ces choses sont vraies.
171 En sortant de la pièce, de... Je vais peut-être revenir là-dessus un peu plus tard, là. Un garçon... Eh bien, je vais en raconter une partie tout de suite. Hier, Frère Banks et moi, j’étais très occupé, je faisais (oh! la la!) aussi vite que possible, et je–je vais vous dire ce que je me suis proposé de faire, lors de ces réunions. Léo et Gene, et un groupe d’entre nous, nous nous sommes proposé d’aller là-bas, et des frères, disons, nous nous sommes proposé d’aller à la chasse au cochon sauvage, au sanglier. Ils ont prévu partir pour cinq jours de chasse au pécari en Arizona, après la réunion, après que la réunion sera terminée. Nous allons à Phoenix pour un jour, et devons attendre cinq jours avant d’en avoir une autre, quatre jours, avant qu’il y ait une autre réunion quelque part. Il faut que nous restions là, en Arizona. Eh bien, il se trouve que c’est justement la saison de la chasse au pécari là-bas.
172 Alors, je voulais aller tirer, pour ajuster ma petite carabine, voir si elle était bien réglée. Banks m’accompagnait. Nous étions au portail, nous étions au portail. Et voilà un homme qui entre comme ça, à pied, sans tenir compte de l’écriteau (Vous voyez, ça dit : “Prière de ne pas demander à voir Frère Branham.”).
173 Vous voyez, la raison pour laquelle ils procèdent comme ça... Ça, ça ne s’applique pas aux gens qui sont malades. Oh, et à la maison, – demandez à Banks, il habite à côté, – des gens viennent jour et nuit, et tout, avec des enfants malades, et tout. Nous ne refusons jamais une personne comme ça. Mais...
174 Ils m’appellent, Léo et les autres, de la roulotte là-bas, Jim et les autres : “Il y a quelqu’un ici, avec un bébé malade. Il y a un homme ici, qui a un cancer.” Nous laissons tout le reste de côté, et nous allons vers lui.
175 Hier soir, on m’a fait venir dans une chambre d’hôpital, là c’est quelqu’un qui m’avait appelé, et quand je suis arrivé là-bas, l’homme n’a même pas voulu me laisser entrer. Vous voyez, c’était quelqu’un d’autre, poussé par son enthousiasme. Mais ça ne fait rien, j’y vais quand même. Voyez? Parce que c’est mon devoir d’y aller, vous voyez, et d’essayer d’aider quelqu’un.
176 Eh bien, l’écriteau, ce n’est pas pour ça. Mais cet homme, juste au moment où nous montions dans la voiture, et Frère Banks le sait, j’avais dû, pour une raison ou pour une autre, j’étais resté à attendre dans la maison. Quelqu’un s’est présenté chez Frère Banks, ce qui l’a retenu. À peine arrivé, c’est moi qui ai été retenu. Puis, dès que nous avons pris notre carabine, nous allions monter dans la voiture, et voilà un homme qui entre, à pied. Il arrive.
177 J’allais lui dire qu’il devait composer ce numéro, là-bas (le BUtler 2-151 9), qui se trouvait sur l’écriteau. J’ai dit : “Nous sommes pressés.”
Il a dit : “Je pense que vous êtes pressé, monsieur.”
J’ai dit : “Je m’appelle...”
178 D’abord je me suis avancé vers lui, il a dit : “Bonjour.” J’ai vu qu’il ne savait pas qui j’étais.
J’ai dit : “Je m’appelle Branham.”
Il a dit : “Vous êtes Frère Branham?”
J’ai dit : “Oui.”
179 Et il a dit : “Je–je suis... Je voulais vous rencontrer, Frère Branham.” Il a dit : “Je vois que vous êtes sur le point de partir.”
J’ai dit : “Oui, monsieur.”
Il a dit : “Je sais que vous êtes pressé.”
J’ai dit : “Je le suis en ce moment, monsieur.”
180 Et il a dit : “Eh bien, je voulais juste vous parler pendant quelques minutes.”
181 J’allais lui dire ça; et le Saint-Esprit a dit : “Emmène-le dans le bureau, tu peux l’aider.” Bon, là, ça change tout. On laisse tomber le fusil et tout ça, l’œuvre de Dieu passe avant tout le reste. Voyez? Et il a dit...
182 J’ai dit : “Venez, suivez-moi.” J’ai dit : “Je reviendrai dans quelques instants, Frère Banks.”
Il a dit : “C’est au sujet de mon âme, Frère Branham.”
J’ai dit : “Très bien, entrez.”
Je suis passé dans la maison, Méda a dit : “Tu n’es pas encore parti?”
183 J’ai dit : “Non, non, non, il y a quelqu’un, là.” J’ai dit : “Garde les enfants dans l’autre pièce.” Je l’ai emmené dans mon petit bureau, je me suis assis. À peine m’étais-je assis...
184 Cet homme était à l’église hier soir. Ou, est-ce qu’il est venu, Banks? Est-ce que tu... Oui, eh bien, il était censé y être hier soir. C’est qu’il...
185 D’abord, le Saint-Esprit a commencé par lui dire qui il était, ce qu’il avait fait, ce qui était arrivé au long de sa vie, tout à ce sujet, vous voyez, d’un bout à l’autre, Il lui a tout dit. Banks en est témoin. Il n’avait pas ouvert la bouche, m’avait à peine dit deux mots; et voilà, c’est Lui qui est venu lui dire, Il a dit : “Vous avez été un vagabond, vous habitez, en fait, à Madison. Vous arrivez d’Evansville, Indiana. Vous êtes allé là-bas, à cet institut biblique, une secte, ça vous a complètement déboussolé. Vous êtes arrivé à Louisville il y a quelques minutes. Il y avait là un homme, un homme qui vous a dit (avec lequel vous vous êtes assis pour manger), qui vous a dit de venir me voir et : ‘Il va vous sortir du pétrin.’” J’ai dit : “C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR!”
186 Cet homme était assis là, battant des paupières, en me regardant, il a dit : “Oui, monsieur!”
J’ai dit : “Ça vous a ébahi, n’est-ce pas?”
Il a dit : “Effectivement.”
J’ai dit : “Croyez-vous le Saint-Esprit?”
Il a dit : “Je veux Le croire, monsieur.”
187 J’ai ajouté : “Vous voulez que je vous dise ce que vous êtes en train de penser?”
188 Il a dit : “Oui, monsieur.” Et je le lui ai dit. Il a dit : “Et, frère, c’est la vérité.”
Et j’ai dit : “Pensez à autre chose.”
Il a dit : “Très bien, c’est fait.”
J’ai dit : “Voici ce que vous êtes en train de penser.”
Il a dit : “C’est vrai! C’est vrai!”
189 J’ai dit : “Maintenant, vous n’avez pas besoin d’une vision, vous avez juste besoin d’être redressé.” Et je lui ai dit là quelque chose que vous, vous ne voudriez pas que je répète. Si vous aviez ce problème-là, vous ne voudriez pas que je le répète. C’était une vilaine chose, horrible, alors vous ne voudriez pas que je le répète, si vous aviez ce problème-là. Et je ne répète pas ce que le Seigneur me montre au sujet des gens. Alors, j’ai juste dit : “Très bien, vous allez le faire?”
Il m’a dit : “Oui.”
J’ai dit : “Reprenez votre route.”
190 Nous ne sommes pas restés là plus de dix minutes, n’est-ce pas, Frère Banks? À peu près, de sept à dix minutes. Nous sommes ressortis, nous avons repris la route, et en faisant route, lui et moi, et Banks, et mon petit garçon Jo, je crois, nous roulions ensemble dans la voiture, sur le boulevard Pike. Il s’est tourné vers moi, il a dit : “Monsieur, je voudrais vous poser une question.”
J’ai dit : “D’accord.”
191 Il a dit : “Je suis un peu dérouté.” Il a dit : “Comment avez-vous su toutes ces choses-là sur moi?” Voyez? Banks était assis là.
192 Et j’ai dit : “Monsieur, avez-vous déjà entendu parler de mes visions et de mon ministère?”
193 Il a dit : “Il y environ une heure je ne connaissais même pas votre nom. Quelqu’un me l’a dit, vient de me dire là-bas, à Louisville, m’a dit de venir ici, et j’ai traversé le pont à pied.” Pas vrai, Banks? Il a dit : “Je ne connaissais même pas votre nom, ne savais pas qui vous étiez.”
194 J’ai dit : “Dans mon ministère, c’est un don de Dieu, qu’Il a envoyé.”
195 Il a dit : “Dans ce cas, si c’est–c’est comme ça,” il a dit, “maintenant je suis...” Il a dit : “Pour moi, tout... tout va bien pour moi maintenant,” il a dit, “tout est parti.” Voyez? Il a dit : “Là, en fait, c’était Dieu qui me parlait, à travers vous.”
J’ai dit : “C’est exact.”
196 Il a dit : “Bon, d’après ce que j’ai compris, dans la Bible... À un moment donné, j’ai lu dans la Bible, et là, a-t-il dit, Jésus parlait à Ses disciples”, en fait, il voulait dire “aux gens”, vous voyez. Il a dit : “Il parlait à Ses disciples et Il leur disait les choses qu’ils étaient en train de penser.” Vous voyez : “connaissant leurs pensées”, voilà ce à quoi il se reportait. Il a dit : “Et Il disait que c’était Son Père qui parlait à travers Lui.”
J’ai dit : “C’est exact.”
197 Il a dit : “À présent, à présent, donc le Père vient de vous utiliser, afin de me parler, à travers vous, afin de me dire ces choses, pour m’amener à croire que ce que vous m’avez dit est la vérité.”
J’ai dit : “Est-ce que c’était la vérité?”
Il a dit : “Oui.” J’ai dit : “Alors, ça ne peut être que Dieu.”
198 Et j’ai dit : “Frère, maintenant vous en savez plus” (moi et Banks avons fait cette remarque) “que certaines personnes qui assistent aux réunions depuis dix ans, et qui ne savent toujours pas.” Cet–cet homme-là, tout simplement! Alors, voilà ce que c’est. Voyez?
L’Esprit (avec ordre) par les langues, ce qui est la prophétie, doivent être utilisées pendant le service?
199 Non. Elles doivent être utilisées de cette manière-là, et ensuite énoncées pendant le service. Mais, pour le moment, pour le moment présent, laissez-les parler. Bon, si ça se met à déraper, alors ce n’est pas, il faut surveiller ça. Or parfois, ça pourrait quand même être Dieu. Ces petits-là, c’est comme un petit enfant qui essaie de marcher, là, s’il tombe trois ou quatre fois... Bon, de ça, j’en ai vu depuis que je suis ici, à l’église, et–et, eh bien, je–je laisse aller. Voyez? Et, mais, vous voyez, mais alors, direz-vous : “Frère Branham, pourquoi n’avez-vous pas corrigé ceci?” Non, non.
200 Quand Billy Paul, là-bas, a fait ses premiers pas, il était debout, et par terre, par terre plus souvent que debout. Mais il ne savait pas marcher. Je crois pourtant qu’il avait un don de marche. Voyez? Je l’ai laissé marcher pendant un moment. Mais là, quand il trébuche, avec ses grands pieds, maintenant je lui en parle. Vous voyez ce que je veux dire? Voyez? Il marche en regardant autre chose, et il bute contre quelque chose, je lui dis : “Soulève les pieds, mon garçon. Où est-ce que tu vas?” Voyez? Alors, voilà–voilà la différence, vous voyez.
201 Donc, laissez-les–laissez-les trébucher et laissez-les se coincer ici et là pendant quelque temps. Maintenant, lorsque vous devez les corriger, s’ils sont hostiles à cela, alors là vous reconnaissez vous-même que ce n’était pas Dieu. Parce que l’Esprit de Dieu est soumis, comme vous l’avez un peu mentionné ici : “L’esprit de prophétie est soumis au prophète.” Voyez? C’est vrai.
[Frère Stricker dit : “Frère Branham, j’aimerais que quelque chose soit corrigé.”–N.D.É.] Très bien, frère. [“Il m’est arrivé souvent d’assister à des services, où j’entendais parler en langues et interpréter, et dans la plupart des cas j’éprouvais un vif sentiment de malaise vis-à-vis de cela. Alors je rentrais chez moi, et c’est comme si je me repentais tout le long du chemin. Est-ce parce que je sentais que ce n’était pas de Dieu, ou est-ce parce que c’était du désordre?”]
202 C’était peut-être, frère, c’était peut-être l’un ou l’autre. Voyez? Je dirais... Bon, ici, c’est–c’est William Branham, vous voyez; tant que je n’aborde pas l’Écriture, eh bien, c’est toujours moi, vous voyez. Bon, voici ce que je dirais, Frère Stricker : c’est peut-être l’un ou l’autre. C’est peut-être parce que c’était du désordre; c’est peut-être parce qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas chez toi; c’est peut-être parce qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas chez cette personne; quelque chose qui clochait dans le message; ou tout ce qui pourrait t’amener à éprouver un sentiment de malaise.
203 Maintenant, maintenant, permets-moi de t’aider un peu, Frère Stricker, ici. Tu vois? Toujours, il ne faut jamais juger de quoi que ce soit par les sentiments que cela inspire, tu vois. Il faut juger de la chose par ses attributs, tu vois; par le fruit qui est produit par cela, tu vois. En effet, parfois...
204 Évidemment, nous comprenons bien que certaines choses nous font effectivement éprouver une espèce de sentiment lugubre. Il m’arrive moi-même d’avoir ça, et, ah, mes amis, là je m’éloigne tout–tout doucement, vous savez. Mais je ne dis rien. Je laisse, parce que je ne sais pas ce que ça peut être, vous voyez – jusqu’à ce que je sache ce que c’est.
205 Bon, par exemple, bien des gens disent : “Fiou! Frère, je sais que j’ai reçu le Saint-Esprit! Alléluia! Dieu soit loué!” Mais ils n’ont toujours pas le Saint-Esprit. Ils pourraient parler en langues, et tout le reste, et pousser des cris, et danser par l’Esprit, sans pour autant avoir le Saint-Esprit. En effet, la pluie tombe sur les justes, et sur les injustes. Ce n’est pas par les sentiments, c’est par leur fruit.
206 Tenez, il y a... Vous vous souvenez de la vision que j’ai eue de cela? Que... Hébreux 6, vous voyez : “La pluie qui tombe souvent sur la terre sert à l’abreuver, pour ce qui y est cultivé, mais les épines et les chardons qui sont près d’être rejetés, on finit par y mettre le feu.”
207 Excusez-moi, je vais faire entrer un peu d’air ici, je sais qu’il y a le sommeil qui commence à vous gagner, et la fatigue qui commence à vous gagner. Alors, mais attendez, il va falloir que je me dépêche de voir ces choses, que je fasse un peu plus vite, sinon je n’arriverai pas à les traiter. Il y a ici, nous touchons, pour ainsi dire, à la base de–de tout ça, rien que dans cette poignée de questions, ici. Mais elles... Vous voyez, le...
208 Voici un–un champ couvert de blé. Et dans ce champ, on a semé des stramoines, des graterons, ou quoi encore, des mauvaises herbes. Eh bien, là il y a une sécheresse. Maintenant, n’est-ce pas que la stramoine et le grateron ont soif tout autant que le blé? Et quelle sorte de pluie, là, une pluie particulière tombe sur le blé, et ensuite une pluie particulière tombe sur le grateron? Pas vrai? Non, c’est la même pluie qui tombe sur eux. Pas vrai? L’Esprit qui descend sur l’hypocrite, c’est ce même Esprit qui descend sur le Chrétien, même chose. Mais c’est à leur “fruit”! Est-ce que ça pénètre en profondeur, frères?
209 La preuve qu’on a le Saint-Esprit, c’est le fruit de Celui-ci, le fruit de l’Esprit. Eh bien, là, bon, eh bien, vous dites : “Je suis une tige, je suis un grateron. Je suis une tige, autant que ce blé est une tige.” Mais quelle sorte de vie est en vous? La vie qui est à l’intérieur produit des épines : toujours en train de faire des histoires et de critiquer vivement, et de “grogner”, méchant et malveillant, et tout. Vous voyez ce que je veux dire? Arrogant; vous voyez, le fruit de l’Esprit, ce n’est pas ça. Le fruit de l’Esprit, c’est la douceur, la patience, la bonté, vous voyez, tout ça. Voyez?
210 Il aura beau dire : “Eh bien, je peux crier aussi fort que toi. Dieu soit béni, le Saint-Esprit descend sur moi!” C’est peut-être tout ce qu’il y a de plus vrai, mais la vie qu’il mène ne confirme pas ses propos. Voyez? Il est une mauvaise herbe, il était une mauvaise herbe dès le départ.
211 Maintenant, nous en venons à une grande question, là, vous voyez, sur l’élection, vous voyez. Donc, c’est que, il faut qu’on soit cela. Vous le comprenez.
212 Eux, c’étaient des graterons dès le départ; lui, il était du blé dès le départ. Alors, il y a eu la sécheresse; la pluie est tombée sur les justes et sur les injustes. D’accord, vous avez saisi?
[Un frère demande : “Et, pour un prédicateur, les fruits, est-ce que ce serait... est-ce que c’est de prêcher la Parole?”–N.D.É.]
213 Le prédicateur, encore là, même s’il se tenait là et prêchait la Parole comme un Archange, vous voyez, qu’il comprenait les mystères de la Bible, et était, de fait, un très bon pasteur, qu’il allait rendre visite aux gens et tout ça, il pourrait quand même être perdu. Voyez? C’est le fruit qu’il porte qui est l’indication, chaque fois, frère. Voyez? Il, peu importe combien il est bon, ou ce qu’il est, il faut qu’il ait le Saint-Esprit dans sa vie. Voyez?
214 Or, Jésus n’a-t-Il pas dit : “Plusieurs viendront à Moi en ce jour-là, disant : ‘Seigneur, n’ai-je pas prophétisé (prêché) par Ton Nom, et n’ai-je pas opéré des miracles par Ton Nom?’” Il avait parlé en langues, il avait fait des miracles, présenté l’interprétation, les choses mystérieuses de Dieu, et toutes ces choses-là; Il a dit : “Retirez-vous de Moi, ouvriers d’iniquité, Je ne vous ai jamais connus.” Vous voyez ce que je veux dire?
[Frère Taylor dit : “Et l’homme qui apporte un–un message qui est faux? Je veux dire, il–il pense être dans le vrai, mais il prêche des faussetés.”–N.D.É.]
215 Eh bien, je crois que cet homme est sincère, comme ce frère qui est assis ici, qui a voulu vérifier, voir ce qu’il en était de ces choses, comme ça. Si cet homme a été élu de Dieu, et qu’un jour la Vérité lui est présentée, il–il reconnaîtra ce qu’il En est. Vous voyez : “Mes brebis connaissent Ma Voix.” Vous compre-... Vous voyez ce que je veux dire, Frère Taylor? Est-ce de ça que vous parlez? Voyez?
216 Bon, par exemple, disons que Frère Crase–Crase–Crase, disons qu’il était prédicateur baptiste, et qu’il n’avait jamais rien su sur le baptême du Saint-Esprit, qu’il n’avait jamais non plus connu toutes ces autres choses, les dons de l’Esprit, et qu’il était un bon prédicateur baptiste loyal. Voyez? Mais, à un moment donné, Ceci lui est présenté. Et je crois que chaque enfant de Dieu sera... que chaque âge lancera le filet, jusqu’à ce que Dieu l’ait attrapé. Le Royaume ne peut pas venir avant que la Volonté de Dieu ait été faite. C’est vrai. Et pas un seul ne périra, vous voyez. Donc, vous voyez, c’est comme ça.
217 Le Royaume des Cieux est semblable à un homme qui a jeté un filet dans la mer et l’a ramené. À ce moment-là, il a attrapé toutes sortes de choses. Il a gardé les poissons; les tortues et les tortues d’eau douce sont retournées dans l’eau. Il l’a jeté de nouveau, en a attrapé d’autres, peut-être qu’il a attrapé un seul poisson. Mais Il a continué à pêcher au filet, jusqu’à ce que tous les poissons aient été retirés. Maintenant vous voyez ce que je veux dire?
218 Mais ce poisson était un poisson au commencement. Il a simplement été mis au service du Maître, c’est tout, mis dans un autre étang, où c’était mieux, plus clair. Mais Lui, Il continue à pêcher au filet dans cet étang à grenouilles, jusqu’à ce qu’Il en ait retiré toutes les perches. Vous voyez ce que je veux dire? Vous saisissez ce que je veux dire, Frère Taylor. Vous êtes bien placé pour le savoir, vous en avez un là-bas.
Très bien, maintenant :
113. Est-ce que celui qui... Est-ce qu’il a, en tout temps, la maîtrise de l’Esprit, à savoir quand et comment agir?
219 Oui monsieur. Oui monsieur, le Saint-Esprit maîtrise. Oui monsieur. Il vous maîtrise, et vous Le maîtrisez, et Il ne vous fera jamais faire quelque chose qui est contraire à l’Écriture. Il vous fera... “L’Esprit n’agit pas avec inconvenance.” C’est vrai. D’accord.
220 “De quelqu’un qui vous aime.” Oui, c’est–c’est ce qui est là. Bien, maintenant nous allons passer à une autre, ici, et voir où nous en sommes.
221 Bon, je trouve que nous avons fourni là une base. Maintenant–maintenant, quand je cite ces questions, s’il y a une question... Y avait-il encore une question là-dessus? Nous comprenons tous? Nous comprenons de quelle manière nous Le croyons, là?
222 [Un frère dit : “Moi, j’ai une question.”–N.D.É.] Allez-y. Toujours sur ceci? D’accord. [“Oui, sur cette question. J’ai hésité un peu, mais...”] N’hésitez pas, ceci, c’est–c’est... [“Vous parliez de l’homme qui prêche, et s’il ne prêche pas le Message que Christ a apporté, peu importe ce qui se produit dans son ministère. Lorsqu’il entre en contact avec la Vérité et qu’il La rejette, alors qu’arrive-t-il?”] Il est perdu. Excusez-moi un instant, de... [“Au sujet de la prédestination, ou d’avoir été établi d’avance, avant la fondation du monde.”] C’est exact. C’est exact. Voyez? [“C’est donc qu’il n’avait pas à être comme ça?”] Il n’avait pas à être comme ça, dès le commencement, vous voyez. “Ils sont sortis du milieu de nous, parce qu’ils n’étaient pas des nôtres.”
223 Par exemple, comme ceci : dans Hébreux 6, c’est la même chose. Voyez? Les gens interprètent tellement mal cette Écriture, ils pensent que c’est “impossible”. Il a dit : “Il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont eu part au Saint-Esprit, et qui sont tombés.” Vous voyez, ils ne saisissent vraiment pas ce qu’il En est. Il dit : “Il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés et qui ont eu part au Saint-Esprit, puisqu’ils sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et L’exposent à l’ignominie; ils ont tenu pour ‘profane’ le Sang de l’alliance, par lequel Il a été crucifié, et ont outragé les œuvres de la grâce.”
224 Eh bien, à mon sens, c’est une révélation. Bien sûr. Tout comme Actes 2.38, et Actes... et Matthieu 28.19. Il faut Le saisir, c’est tout, vous voyez.
225 Maintenant regardez, voici ce qu’il en est, même chose. Eh bien, là, il parle aux Hébreux. Voyez? Maintenant continuez à lire, dans ce chapitre, jusqu’à l’endroit où il est dit à leur sujet : “Car c’est une chose terrible de tomber entre les–tomber entre les mains du Dieu vivant.” Maintenant, voici un homme, qui est comme ce croyant frontalier. Tenez, voici un... Tenez, c’était la même chose, tenez, je vois l’exemple parfait dans ma pensée.
226 Dieu a appelé Israël hors d’Égypte. Tous ces gens-là sont sortis, tous sans exception, ils ont été libérés, ils ont traversé la mer Rouge, sont entrés dans le désert. Pas vrai? La mer Rouge. Le moment où ils se sont préparés, ont écouté le message de Moïse, se sont mis en marche (la justification) : ils ont changé de direction, ont pris le départ ici.
227 Ils sont arrivés à la mer Rouge (le Sang), ils ont traversé la mer Rouge, et, derrière eux, tous les chefs de corvées gisaient morts. À ce moment-là ils n’étaient qu’à environ trois jours du pays promis. Voyez? Ils n’en étaient pas plus loin que ça, à moins de quarante milles [soixante-cinq kilomètres], vous voyez. Alors, les voilà, ils auraient pu être là-bas au bout de deux jours, tout à fait.
228 C’est ce que j’ai l’intention de prêcher à Phoenix, dans quelques jours, à la réunion des Hommes d’Affaires : Rester sur cette montagne. Mais Il les a gardés là-bas pendant quarante ans, parce qu’ils... Ah oui. Voyez?
229 Donc, ils sont arrivés à ceci, et ils ont regardé derrière eux (sanctifiés) : “Oh, alléluia! Que Dieu soit loué! Gloire à Dieu! Alléluia! Voilà, la chose qui me causait des ennuis dans le passé est morte. Les cigarettes que je fumais, c’est du passé. L’alcool que je buvais dans le passé s’en est allé dans la mer rouge du Sang de Jésus-Christ. Oh, gloire à Dieu! Alléluia!”
230 Tous, ils sont venus jusqu’ici, maintenant les voilà devant Canaan, ils ont traversé le Jourdain. Eh bien, il a choisi un représentant de chacune des tribus. Pas vrai? Et il les a envoyés là-bas. Eh bien, certains d’entre eux ont dit : “Ah, ah, ah, nous ne pouvons pas y arriver. Non, c’est–c’est que... Voyons, nous sommes comme des sauterelles à côté d’eux!” Voyez?
231 “Mais, à quelle sorte d’église est-ce que je prêcherais, si j’enseignais ça, le Saint-Esprit et tout ce genre de chose? Voyons, ce que j’aurais, c’est des sièges vides. Mes méthodistes prendraient la porte, mes baptistes, mes presbytériens.” Laissez-les prendre la porte. C’étaient des boucs dès le départ. Vous voulez avoir des brebis, vous voyez. Voyez? Vous n’êtes pas un pasteur de boucs. Soyez un pasteur de brebis! À quoi ça sert d’être un pasteur de boucs, alors que...?... qu’il y a des brebis qui ont besoin d’un pasteur? Voyez? Et voilà–voilà, vous êtes là-bas, vous voyez. J’ai toujours déclaré que je préférerais prêcher à quatre poteaux, et prêcher la Vérité – l’Église. Oui monsieur, venu jusque-là.
232 Mais, vous voyez, là, ce qu’il a fait? Ils sont revenus, et Josué et Caleb, deux pour cent, ou est-ce, quel pourcentage? Deux sur... deux douzièmes d’entre eux, deux douzièmes. Eh bien, ils étaient douze, et là, deux sur douze, deux douzièmes d’entre eux Y ont cru. Ils sont entrés tout droit dans le pays promis, ils ont dit : “Ah, mes amis, voici un endroit où il fait bon être.” Le brave Josué, avec Caleb, oh, eux ils mettaient leur confiance dans la Parole; Dieu le leur avait donné, Il avait dit : “C’est à vous.” Ils sont allés là-bas, ils ont coupé une énorme grappe de raisin, et les voici qui reviennent en la ramenant, comme ceci. “Venez, les gars! C’est un endroit merveilleux! Prenez-en une bouchée”, vous voyez, des raisins à peu près gros comme ça.
233 Et, oh, mon vieux, ils ont vu ça, ils ont dit : “Ah, nous ne pouvons pas y arriver.” À leur retour, ils ont dit : “Non, frère, voilà que Moïse nous a menés ici, dans le désert,” le Saint-Esprit, vous voyez, qu’il représentait, “nous a menés ici, dans le désert. Et nous voici, notre ministère est fichu, et, nous ne pouvons pas faire une chose pareille.”
234 “Ils repartent”, vous voyez, “ceux qui ont été une fois éclairés, justifiés par la foi, sanctifiés.” Vous voyez, ils ont franchi ce deuxième autel, et jettent un coup d’œil dans le pays promis. “Nous qui avons été une fois éclairés et qui avons été, qui avons goûté les dons Célestes.” Vous voyez : y avons “goûté”. Ils avaient rapporté ça. “Nous voyons que C’est juste. Nous voyons vraiment ce qu’il En est.” “Avons goûté les dons Célestes, eu part à cette Chose, vous voyez, à ce Saint-Esprit, avons pris part à Cela.”
235 “C’est vraiment bien, dis donc, regarde cet–cet homme. Eh bien, je sais qu’il était aveugle, maintenant il voit. Regarde ce vieux... Dis donc, qu’est-il arrivé à ce gars-là? Qui aurait pu croire que ce gamin-là, qui n’a pas d’instruction, et il est là-bas, en Feu, parcourant le monde.” Vous voyez? Voyez? Voyez?
236 Et qui sont ensuite tombés, vous voyez, et qui, soient encore renouvelés, ramenés de nouveau à la repentance, ils retournent prêcher la repentance au lieu de cela, ce qu’Il avait dit en premier lieu, posant le... que nous... Vous savez, au sujet de poser de nouveau le fondement des œuvres mortes desquelles se repentir, et ainsi de suite. C’est ce que nous ferons, si Dieu le veut, vous voyez. Vous voyez, nous le ferons, nous retournerons poser ce fondement de nouveau, mais ils retournent se repentir, se repentir de cela, d’être montés jusque-là. “Je regrette d’être monté jusque-là”, et il tient pour “profane” le Sang de l’alliance par lequel il avait été sanctifié, et il a outragé les œuvres de la grâce. Il est fichu, frère! C’est tout. Il est fini. Voyez?
237 Bon, eh bien, il est impossible pour un enfant élu de faire ça. Il ne va pas faire ça. “Mes brebis connaissent Ma Voix.” Qu’ils soient appelés à aller en Canaan, ou n’importe où, ils y vont. Voyez? “Mes brebis connaissent Ma Voix.”
[Un frère demande : “Et il leur faut croire Actes 2.38 aussi, n’est-ce pas?”–N.D.É.]
238 Ils vont accepter ça, toute l’Écriture, d’un bout à l’autre, ils L’acceptent toute. C’est tout à fait exact, frère.
114. Est-ce qu’il y a deux, est-ce–est-ce qu’il y a deux types différents de langues bibliques? Est-ce qu’il y a une différence entre les langues prononcées en priant en privé, et celles dans l’église, où il faut qu’il y ait une interprétation? Le Jour de la Pentecôte, les langues ont été comprises par des hommes de plusieurs nations; par contre, dans les langues inconnues de I Corinthiens 14.2, on parlait à Dieu, pas aux hommes. I Corinthiens 13.1 indique qu’il y a celles de tels hommes... (C-o-r, je pense que c’est Corinthiens 13, ce qui...) ...de tels hommes et les autres, celles des anges.
239 Oh, oui. Voyez? Eh bien, ça... Maintenant, frère, qui que vous soyez, vous–vous avez vous-même donné la réponse ici. Voyez? Voyez :
Est-ce qu’il y a deux sortes de langues? (Il y a une grande diversité de langues. Voyez?) Est-ce qu’il y a deux sortes de langues, dans la Bible, deux sortes de langues?
240 Le Jour de la Pentecôte, toutes les nations qui sont sous le ciel étaient présentes, et toutes les langues. Voyez? Très bien.
Et est-ce qu’il y a une différence entre les langues prononcées en priant en privé, et celles dans les églises, là où il faut qu’il y ait une interprétation? Oui.
241 Paul a parlé, là aussi dans Corinthiens, le passage sur lequel portait votre question, il a dit : “Il y a les langues des anges, et il y a les langues des hommes.” Or, les langues des anges, c’est lorsqu’un homme prie, entre lui–entre lui et Dieu, tout seul. Mais, lorsqu’il parle un–un langage, celui-ci doit être interprété dans l’église, pour que l’église en reçoive de l’édification. “Celui qui parle dans une langue inconnue s’édifie lui-même; mais celui qui parle, celui qui prophétise édifie l’église.” Alors, il a dit : “J’aime mieux dire cinq paroles avec mon intelligence que dix mille dans une langue inconnue, à moins, sauf s’il y a une interprétation.” Et dans ce cas, alors, c’est–c’est prononcé par prophétie, ce qui sert à édifier. Vous voyez ce que je veux dire?
242 Or, les... Or, il y a deux sortes de langues : celles des hommes et celles des anges. Voyez? Et Paul a dit : “Quand je parlerais les langues des hommes et des anges”, vous voyez, les deux, des hommes et des anges, ces deux sortes de langues, celles qu’on ne peut pas...
242 Bon, et c’est là-dessus que les pentecôtistes, les gens qui soutiennent que les langues sont la preuve, m’ont dit – il m’a dit : “Là, Frère Branham, vous mélangez tout.”
244 J’ai dit, j’ai dit : “Eh bien, si vous le recevez conformément à Actes 2.4, alors tout le monde vous a entendu parler, chacun dans sa langue maternelle.”
“Oh!”, il a dit. “Non! Non!”, il a dit.
J’ai dit : “C’est sûr. Oui monsieur.”
245 Il a dit : “Là, Frère Branham, vous mélangez tout.” Il a dit : “Vous parlez des...” Il a dit : “Il y a les langues des ‘anges’. Ça, c’est l’ange du Saint-Esprit, qui descend et qui parle à travers vous.”
246 Ça sonne bien, ça, vous voyez, ça semble contenir beaucoup de vérité, mais ce n’est pas toute la Vérité. Quand Satan a dit à Ève : “Vous ne mourrez point certainement”, ce qu’il lui avait dit était en grande partie la vérité, mais ça, ce n’était pas la Vérité. Voyez?
247 Alors, il a dit : “‘Des hommes et des anges’, et l’ange dont il parlait, c’était...”
248 Maintenant, nous allons voir que ça ne colle pas avec l’Écriture, ça. Voyez? Bon, ça ne “s’accorde” pas, c’est ce que je voulais dire. Pardon, je ne voulais pas dire “coller” avec les Écritures. Je veux dire “s’accorder” avec les Écritures, ou “se conformer, coordonner” avec les Écritures, voilà le terme le plus approprié.
249 “Maintenant, l’homme qui parle les langues des anges,” dit-il, “ça, ce sont les langues du Saint-Esprit, là,” dit-il, “au moment où vous, où nous, où ils ont reçu le Saint-Esprit.”
J’ai dit : “Est-ce que... À quel moment, où L’avez-vous reçu?”
250 Eh bien, il m’a précisé l’endroit, la minute et l’heure. Je ne doute pas qu’il L’ait reçu. Voyez? Je n’ai pas, je ne suis pas son juge. Voyez? Il a dit : “C’est là que j’ai eu ce parler en langues.” Il savait précisément à quel endroit. Il a dit : “Il m’est arrivé quelque chose.”
251 J’ai dit : “Je le crois. Voyez? Mais ce n’était quand même pas la preuve que vous aviez le Saint-Esprit, mon garçon.
– Oh oui!” Il a dit : “Avec ça, ça y était!”
Et : “Non.”
Il a dit : “Bon, regardez, je voudrais vous dire quelque chose, frère.”
252 J’ai dit : “Est-ce que les gens de votre auditoire, cette église, là-bas à Indianapolis, l’endroit où vous avez déclaré L’avoir reçu, est-ce que ces gens vous ont entendu parler en anglais, leur parler de la résurrection et de la puissance de Dieu, et tout?”
Il a dit : “Mais non! J’ai parlé en–en langues inconnues.”
253 J’ai dit : “Ce n’est pas du tout conformément à Actes 2.4 que vous L’avez reçu, parce que chacun, pas un seul mot n’était inconnu. ‘Nous les entendons dans notre propre langue à chacun.’”
254 “Oh,” il a dit, “Frère Branham, je vois ce qui vous embrouille.” Il a dit : “Vous voyez,” il a dit, “il y a les langues qui sont les langues des anges, au moment où on reçoit le Saint-Esprit,” il a dit, “à ce moment-là on parle en langues, et personne n’a à interpréter ça, c’est–c’est le Saint-Esprit qui parle. Voyez? Mais il y a aussi un don de langues, et à ça, il faut qu’il y ait une interprétation.”
255 J’ai dit : “Alors vous mettez la charrue avant les bœufs. Le Jour de la Pentecôte, ils auraient mis la charrue avant les bœufs. Avant qu’ils aient reçu le Saint-Esprit, les langues inconnues, ils ont parlé dans des langues qui ont été comprises.” Voyez? Alors, c’est vraiment...
256 Il y a deux sortes de langues. Les langues des anges, ça, c’est l’homme qui est en prière en privé là-bas, quelque part, qui parle à Dieu, qui parle à Dieu dans des langues angéliques. Je pourrais d’emblée vous rapporter un cas de cela, mais je n’ai pas le temps de le faire. Vous vous rappelez la fois où cette femme est venue à la salle, là-bas, à l’endroit d’où vient le docteur Alexander Dowie, à Zion. Vous vous rappelez que j’étais allé là-bas? Billy était venu me chercher, là-bas, pour m’amener à la réunion, et j’ai dit : “Billy, retourne là-bas.” Et je...
Il a dit : “Pourquoi tu pleures? Quelqu’un est venu?”
257 J’ai dit : “Mais non. Retourne là-bas, dis à Frère Baxter de prêcher ce soir.”
258 Je me suis mis à genoux et j’ai dit : “Seigneur, qu’est-ce que j’ai?”
259 Et tout à coup j’ai entendu Quelqu’un près de la porte, qui parlait en langues étrangères. J’ai pensé... C’était en allemand. J’ai pensé : “Eh bien, cet homme est venu chercher...” J’ai arrêté, vous savez, de prier, je l’ai écouté, je suis resté comme ça. Et j’ai pensé : “Eh bien, comment est-ce que ce gars-là va pouvoir comprendre ça?” En effet, je connaissais l’homme qui dirigeait ce motel, situé à environ cinq milles [huit kilomètres] de la ville, vous savez. Il m’avait fallu aller à cet endroit (il y avait beaucoup de monde un peu partout), c’est une petite ville. Je me suis dit : “Eh bien, c’est bizarre, ça. Hum!” Et je me suis dit : “Là, eh bien, dis donc, as-tu déjà entendu... quoi, ce gars-là, c’est à peine s’il reprend son souffle.” Vous voyez, je me disais ça, parce qu’il parlait à toute vitesse! Eh bien, je me suis dit : “Eh bien, ça alors, mais c’était moi!” Alors, je suis resté bien tranquille, vous voyez, je n’ai pas dit... je suis resté là, bien tranquille. Au bout d’un moment, Il s’est arrêté de parler, et à ce moment-là, j’ai eu l’impression que j’aurais pu me précipiter sur une troupe en armes, et franchir une muraille.
260 Je suis sorti, Billy était au portail, je lui ai crié : “Attends une minute!”
261 Il est revenu, il avait bu une boisson gazeuse. Et il a dit : “Papa, qu’est-ce qu’il y a?”
262 J’ai dit : “Attends un instant, un instant, je t’accompagne.”
263 Je me suis lavé le visage en vitesse. Il a dit : “Qu’est-ce qu’il y a?” Il se garde bien de me parler pendant que nous nous rendons à la réunion. Il a dit : “Qu’est-ce qu’il y a?”
264 J’ai dit : “Rien, rien, rien, rien du tout. Allez, on s’en va à la réunion.”
265 Nous sommes allés à la réunion. Frère Baxter était là, ils jouaient Non, rien entre mon Sauveur et mon âme. Il est venu, il a dit : “Fiou! J’ai cru que tu n’allais pas venir!”
J’ai dit : “Chut.” Je me suis avancé, j’ai simplement commencé à prêcher.
266 Au moment où je finissais, à peu près au moment où je finissais de prêcher, eh bien, oh, c’est comme si quelqu’un avait pris d’assaut le fond du bâtiment, là-bas, au fond de cette grande salle. Ils ont envoyé un micro baladeur là-bas, une femme était là, à faire les cent pas dans l’allée, criant de toutes ses forces.
267 J’ai appris qu’elle avait la tuberculose, et elle était venue des “Twin Cities”, de Saint Paul; l’ambulance n’avait pas voulu la transporter, parce qu’on craignait qu’elle se perfore les poumons. Le docteur avait dit : “La moindre chose – ses poumons sont comme un nid d’abeilles,” qu’il avait dit, “si jamais ils se déchiraient, elle mourrait. Ce serait la fin.” Alors quelques saints ont pris une vieille Chevrolet 193 8, ils ont arrangé la banquette arrière, ils ont installé cette femme à l’intérieur, et ils étaient en chemin pour se rendre là-bas. Il y a eu un petit cahot, ou quelque chose du genre, et alors elle a eu une hémorragie, le sang s’est mis à gicler, et elle... ça lui sortait par le nez et tout. Elle s’affaiblissait de plus en plus, et finalement, elle ne voulait pas mourir dans la voiture, elle leur a dit de s’arrêter et de la déposer sur l’herbe.
268 Ils l’ont déposée là. Ils se sont tous penchés vers elle, ils priaient, et tout à coup, elle dit que quelque chose l’a saisie, elle s’est levée d’un bond. Elle est partie en courant sur la route, en criant de toutes ses forces. Et elle était là, à l’église, parcourant les allées.
269 J’ai dit : “Soeur, c’est arrivé à quelle heure?” À l’heure même où le Saint-Esprit avait parlé à travers moi. Qu’est-ce que c’était? Des dons.
270 Pourquoi est-ce que ce–ce brave opossum est resté étendu là, au portail, pour qu’on prie pour lui? Un animal ignorant, qui n’a même pas d’âme, qui ne sait pas distinguer le bien et le mal; vous voyez, il n’a pas d’âme, il a un esprit, il n’a pas d’âme.
271 Qu’est-ce que c’était? Le Saint-Esprit, qui intercédait. Dieu a envoyé un don sur la terre, et le Saint-Esprit ne pouvait plus attendre, alors Il est simplement venu et m’a pris sous Son contrôle, et Il s’est mis à parler Lui-même, comme ça, à parler Lui-même, à intercéder Lui-même. Et là nous avons vérifié l’heure : à la minute même où elle... Ils l’ont déposée sur l’herbe, comme ça, ils ont voulu voir... En effet, ils savaient qu’elle agonisait, et qu’ils allaient devoir mentionner l’heure de sa mort. C’est à cette minute même que le Saint-Esprit est descendu sur moi, là-bas, et s’est mis à intercéder, à s’exprimer, des mots qu’on ne peut comprendre, vous voyez, comme ça, Il donne de s’exprimer. C’est le Saint-Esprit qui parle.
272 Je n’avais pas à savoir. Vous voyez, je n’avais pas à savoir. C’était son, peut-être son ange, – nous allons y venir dans quelques minutes, vous voyez, – qui est venu là-bas et qui a communiqué ce message, vous voyez.
273 Donc–donc, c’est–c’est exact. Il y a deux sortes de langues, dont l’une doit être...
274 Y a-t-il une question? Très bien, quant à chercher à savoir ce que Dieu est en train de dire, vous voyez. Maintenant, je–je dirais, Frère Stricker, là-dessus, par rapport à ça : ne cherche pas à réfléchir à ça, tu vois. Laisse simplement le Saint-Esprit parler Lui-même. Ne cherche pas à comprendre, tu vois; en effet, abandonne-toi davantage à l’Esprit. Tu vois. C’est que tu cherches à–à–à dire : “Hé, qu’est-ce que tu dis?” Tu vois? “Hé, c’est à moi que tu parles? Hein?” Vous voyez, il, vous voyez, il s’efforce.
115. Bon. Est-ce en ordre pour une personne de parler en langues pendant qu’elle prie pour d’autres personnes autour de l’autel [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] sans qu’il y ait une interprétation? [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.]
275 Laissez-moi voir ce que j’ai inscrit là-dessus, il faut que je regarde. S’il n’y a pas d’interprète, qu’ils se taisent. Dans I Corinthiens, le chapitre 1... le chapitre 14, au verset 28. Qui a une Bible? [Un frère lit le verset suivant.–N.D.É.]
S’il n’y a point d’interprète, qu’on se taise dans l’Église,...
276 Très bien. Donc, s’il n’y a pas d’interprète, n’importe quand dans l’église, n’importe où dans l’église, qu’on se taise, s’il n’y a pas d’interprète.
277 Devant l’autel, la seule chose que quelqu’un... On entend souvent parler de gens qui s’avancent à l’autel. Dernièrement, j’ai entendu un précieux frère, devant l’autel, il s’est approché et secouait quelqu’un par les épaules, ensuite il parlait lui-même en langues, il parlait en langues, comme s’il essayait de lui montrer ce qu’il fallait faire. Vous voyez, ça, c’est, en quelque sorte, de faire venir de façon artificielle le Saint-Esprit (d’essayer de le faire venir) sur les gens. Ne faites pas ça. Voyez? Ce qu’il faut faire, c’est simplement de laisser cette personne tranquille. Laissez-la lever les mains, jusqu’à ce que le Saint-Esprit entre, vous voyez. Voyez? Donc ce–ce–ce n’est pas bien. Non, ils doivent se taire dans l’église, vous voyez.
278 [Un frère demande : “Frère Branham?–N.D.É.] Oui, frère. [“Disons qu’une personne assiste au service, et–et à la fin du service, d’habitude, lorsqu’un message sera transmis, la personne qui a le don sera capable de détecter, ou, est-ce qu’elle sera capable de faire la distinction entre le–l’ange, la langue de l’ange, et le message qui est ainsi apporté?”]
279 Maintenant, voyons un peu. Maintenant... [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] ...dès qu’ils entraient, ils mettaient ça par écrit et posaient ça sur ma chaire. Voyez? Et je lisais ça tout haut, comme ceci. Mais, dès que j’entrais dans la salle, là, frère, c’était terminé. Voyez?
280 Et avant d’entrer, les gens attendaient là, tout le monde était aussi silencieux que possible. Et la soeur était là, Soeur Irène, là, à–à l’autel, elle jouait, là, elle jouait À la croix. Nous ne permettions pas... Les huissiers circulaient. S’ils voyaient quelqu’un parler, ils disaient : “Chut, chut, chut.” Voyez? Et si les enfants se mettaient à... Ils s’asseyaient très gentiment et ils leur disaient : “C’est la maison du Seigneur, mon petit. Tu ne dois pas faire ça. Tu dois être sage, là, dans la maison du Seigneur.”
281 Et les hommes avec leur femme, et tous, on leur faisait accrocher leur manteau, et tout ça. Il y avait quelqu’un ici, à la porte, pour les accueillir, dès qu’on ouvrait la porte. La... Et tout était prêt, vous savez, on voyait à ce que tout soit bien en place, dans l’église. Chacun, voir à trouver un siège, et on s’assurait que tous aient pu s’asseoir.
282 Et moi, j’étais dans la pièce, en train de prier, j’y étais probablement depuis quatorze heures ou quinze heures cet après-midi-là. Personne ne me dérangeait. Je m’avançais là avec mon message.
283 Et alors, dès que c’était le moment de commencer, le conducteur de chants entonnait un cantique : “Prenons le cantique numéro tel et tel,” par exemple, “À la croix où mourut mon Sauveur”, et ainsi de suite, comme ça, vous savez, et il faisait chanter ça, comme ça. Ensuite, après avoir chanté à peu près deux chants spéciaux... Nous ne mettons jamais beaucoup de temps dans les chants; c’est la Parole qui compte. S’ils font une réunion de chants – ces réunions de chants qu’ils font régulièrement, c’est à ça qu’elles servent. Nous sommes–nous sommes... La Parole, c’est ça la chose principale pour laquelle les gens viennent là : c’est la maison de correction.
284 Ensuite, peut-être que mon adjoint, disons, Frère Georges, Frère Georges DeArk, se levait et faisait la prière. Ensuite nous avions un chant spécial, comme un solo ou quelque chose comme ça. Après quoi c’était le moment, quelqu’un me faisait savoir que c’était le moment de venir. Si c’était le moment, très bien, je sortais sous la fraîcheur de l’onction. Voyez?
285 Eh bien, peut-être que pendant la semaine, ils avaient eu une réunion quelque part ici, dans l’église, ils avaient eu leur propre réunion. Peut-être même qu’avant le début du service, ce soir-là, ils avaient eu une réunion. Et voici, c’était... Je l’avais là, et je disais : “Il est écrit ici, sur ce bout de papier, qu’une certaine tempête passera dans cette région la semaine prochaine”, ou quelque chose, une chose, vous savez, qu’il arriverait quelque chose du genre. “Cela a été écrit, prononcé en langues et interprété par deux saints de cette église, Frère Untel et Frère Untel. Deux témoins ont attesté cela, ils ont apposé ici leur signature, consignant cela comme ‘venant de Dieu’ : il s’agit d’Untel et d’Untel.” Voilà, c’est la première chose que je fais.
286 Ensuite je dis : “Très bien, nous allons nous préparer pour ça, que chacun soit en prière. Voyez? Maintenant, vous tous ici, avez-vous une requête spéciale?”, vous savez. “Prions.” Nous nous levions et nous priions. Et sans tarder nous abordions la Parole, nous passions à la Parole.
287 Ensuite, immédiatement après le service, on faisait l’appel à l’autel. Voyez? L’appel à l’autel, voilà ce sur quoi on insistait, l’appel à l’autel, amener les gens à s’avancer à l’autel. Et puis, une fois l’appel à l’autel terminé, peut-être que là, je priais pour les malades, vous voyez, ou quelque chose comme ça.
288 On avait pris tout le service, parce que l’esprit des prophètes est soumis au prophète.
289 C’est à ça que je réfléchissais – vous vous rappelez la nuit où j’ai eu la vision, quand l’ange a marché vers moi? J’étais assis là, dans la pièce, je réfléchissais. Vers les, oh, très tard dans la nuit, je me disais : “‘L’esprit des prophètes est...’ Comment est-ce possible?” J’ai regardé cette Lumière qui brillait, et voilà qu’Il est sorti de celle-ci et a marché jusqu’à moi. Voyez? C’est alors qu’Il m’a donné, juste là, vous voyez, le mandat de faire ces réunions.
290 Donc, non – quant à la–la personne qui donne le message. C’est ça, votre question, je crois : “La personne qui donne le message, est-ce qu’elle, est-ce que–est-ce que la personne qui donne le message saurait s’il s’agit de l’ange du Seigneur ou pas?”
291 [Un frère dit : “Là, la question, c’était, vous dites qu’il y a les langues des anges...” Espace.non.enregistré.sur.la.bande.–N.D.É.] Je ne pense pas que lui pourrait le savoir. Comme nous procédons actuellement, là. Mais, vous voyez, quand nous nous mettrons à procéder comme nous devons le faire, qu’ils auront une réunion régulière réservée à cela, que...
292 Vous voyez, chacun est un ministère. Disons que toi, tu parles en langues, lui, il interprète, et lui, il parle en langues, lui, il prophétise; vous êtes de simples laïques ici, à l’église, mais vous avez quand même un ministère, et vous avez quelque chose. Vous cherchez à faire avancer le Royaume de Dieu, à accomplir quelque chose en faveur de celui-ci, vous voyez, et donc, vous les frères, réunissez-vous. C’est pour cette raison que les pasteurs, comme ceci, nous nous réunissons, nous avons quelque chose en commun. Vous, les frères, vous vous réunissez, vous étudiez les Écritures, vous parlez en langues et vous interprétez, et vous donnez des messages, vous voyez.
293 Mais, alors, si cet homme, là, s’il se rend compte... Il est allé à la réunion, il a un don de langues. Eh bien, il va à la réunion, il parle en langues, mais aucune interprétation n’est donnée, l’interprète ne la reçoit pas.
[Un frère demande : “Diriez-vous, dans ce cas, que ces gens édifient le Corps, mais que les fonctions, telles que pasteurs, docteurs, et tout ça, perfectionnent le Corps?”–N.D.É.]
294 Oui, c’est à cela qu’elles servent, au perfectionnement. Voyez? Ils ont été donnés pour le perfectionnement, vous voyez. Je crois que ces–ces–ces Esprits sont donnés pour perfectionner, pour le perfectionnement de l’église.
295 Or ils, ces gens qui parlent, ils sont remplis de l’Esprit, sans aucun doute. Bon, voici un homme, peut-être qu’il parle ici, pendant la réunion, et il donne... Pourtant, il est là, en présence des interprètes, vous voyez, mais malgré cela, personne ne reçoit l’interprétation : il y a quelque chose qui ne va pas. L’interprète n’y peut rien, vous voyez. Il–il doit interpréter par inspiration, au même titre que celui qui parle, là. Et il se peut que celui-ci ait un vrai don de parler en langues, par contre il n’a pas le don des langues, du langage. Vous voyez, il...
296 Et alors, ce qu’il doit faire, c’est que, lorsqu’il emploie cette langue, et qu’il constate... Or, là, il–il ne cherche pas à... S’il cherche à se faire valoir, là encore, c’est un grand prétentieux. Il n’est pas, il–il a tort, dès le départ, vous voyez, il n’arrivera jamais à rien. Vous voyez, de se dire : “Eh bien, Dieu soit béni, ce gars-là, il ne veut pas interpréter mes langues, voilà, c’est tout.” Bon, vous voyez, il a tort dès le départ. Juste là son–son motif n’est pas bon, son objectif n’est pas bon. Voyez?
297 Mais s’il est doux et humble, il dira : “Eh bien, peut-être que le Seigneur ne désirait pas m’utiliser pour Son service. Et pourtant je, Il bénit vraiment mon âme. Il veut m’édifier, me faire savoir que je suis près de Lui quand je parle en langues. Alors, je vais me retirer dans le champ de pommiers : ‘Ô Dieu!’ Et là la puissance se met à descendre sur moi et je me mets à parler en langues. Je reviens rafraîchi, vous voyez.” “Oh, Tu vois, c’est à moi que Tu parles, Seigneur, c’est moi que Tu gardes sur le droit chemin par le parler en langues.” Voyez? “Et, Seigneur, aujourd’hui j’aurais dû parler à cet homme. Pardonne-moi cela, Seigneur. Je–je–j’ai laissé passer une occasion, je n’aurais pas dû. Père, je Te prie de me pardonner.” Et voilà, c’est parti : il parle en langues. “Ah, fiou, je me sens mieux à ce sujet, là!”
298 Vous voyez, ça, c’est très bien. Vous voyez, votre–votre don ne doit pas être utilisé dans l’église, mais il sert plutôt à vous édifier, vous. “Celui qui parle dans une langue inconnue (inconnue) s’édifie lui-même.” Voyez? Alors, s’il n’y a pas d’interprète, dans ce cas... Vous voyez ce que je veux dire? Vous voyez, c’est ça. Donc, de lui-même, il ne le saura pas. C’est qu’il... Par contre, quand il sera avec les autres, là, il le saura.
Donc, pour le moment vous allez devoir les laisser ensemble, vous voyez, vous ne pouvez pas faire autrement, tant qu’on ne les aura pas mis à part. C’est pour cette raison, je pense, que...
116. Expliquez I Corinthiens 14.5.
299 Qui a ça, en vitesse? Est-ce que l’un de vous a ça? [Espace.non.enregistré.sur.la.bande. Un frère lit I Corinthiens 14.5–N.D.É.]
...parliez tous en langues, mais encore plus que vous prophétisiez. Celui qui prophétise est plus grand que celui qui parle en langues, à moins que ce dernier n’interprète, pour que l’Église en reçoive de l’édification.
300 Très bien. “Je désire encore plus... Je désire que vous parliez tous en langues.” Paul essayait de dire... Comme, l’église, supposons que vous–vous soyez mon église. Certaines des églises de Paul n’avaient pas autant de membres que ce que j’ai ici. C’est vrai, parfois dix ou douze. Voyez? Voyez? Bon, donc, là, il a dit : “Je désire que vous parliez tous en langues.” Ça vous a surpris, ça?
301 Vous voyez, au moment où la–la–l’église, que... Dans Actes 19, je crois qu’elle comptait environ une douzaine de membres. Voyez? Vraiment très peu nombreuse : des missions, vous voyez. Donc, elle a toujours été en minorité, vous voyez. Et je pense qu’il est dit, et, qu’elle comptait environ tant, une douzaine d’hommes et de femmes, vous voyez.
302 Maintenant, si vous–vous regardez ici, il a dit : “Je désire que vous parliez tous en langues. Je–je souhaite que vous parliez tous, que tous parlent en langues, que vous soyez tellement remplis du Saint-Esprit que vous vous mettiez à parler en langues. Mais”, il a dit, “je désire encore plus que vous prophétisiez. À moins que ce soit fait en vue d’être interprété, qu’il y ait une interprétation.”
303 Comment est-ce formulé, là? Qui... Avez-vous ça tout près, là...?... Relisons-le. Maintenant écoutez.
304 [Un frère commence à lire I Corinthiens 14.5 : “Je désire que vous parliez tous en langues,...”–N.D.É.] Bon, arrêtez-vous là un instant : “Je désire que vous parliez tous en langues.” [“...mais encore plus que vous prophétisiez...”] “Je désire encore plus que tous, vous prophétisiez.” [“...celui qui prophétise est plus grand que celui qui parle en langues,...”] Bon, arrêtez-vous un instant.
305 Maintenant, qu’est-ce que c’est : “Plus grand, celui qui prophétise”? C’est là-dessus que vous vouliez que je m’arrête? [Un frère dit : “Je disais seulement que c’était autre chose que...?...”–N.D.É.] Oui. Voyez? Oui. Voyez? Or, voilà où...
306 Maintenant, à titre d’exemple, on va dire, là, que nous avons deux simples auditeurs au milieu de nous ce soir. Ils ne connaissent rien de ces choses, et là j’arrive, et vous êtes tous... nous commençons la réunion, ici, et–et vous vous mettez à parler en langues, vous êtes tous là à parler en langues, parler en langues, et parler en langues, et parler en langues. Eh bien, qu’est-ce qu’il y a? Vous voyez, le simple auditeur dira : “Hum! Ils sont tous fous!” Voyez? Mais si quelqu’un prophétise, vous voyez, alors celui-là dit quelque chose qu’il pourra comprendre.
307 Maintenant allez-y, lisez le reste, là. [Le frère continue : “...à moins que ce dernier n’interprète,...”–N.D.É.] Voilà. Donc, “à moins que”, vous voyez. Je–je... Ceux qui–ceux qui prophétisent sont plus grands que celui qui parle en langues, à moins que celui-ci en donne une interprétation. Maintenant allez-y, vous voyez. [“...pour que l’église en reçoive de l’édification.”] Voilà, vous voyez, l’église en reçoit de l’édification.
308 Alors, autrement dit, eh bien, l’église, cet homme-ci. Voici–voici, ceux-ci, c’est le nombre de ceux qui sont de simples auditeurs : vous êtes seulement assis au milieu de nous ce soir; nous avons cette réunion. Nous sommes tous ici, nous recherchons notre... nous désirons connaître le Seigneur, et vous vous mettez tous à parler en langues. Personne n’a dit quoi que ce soit, vous vous mettez simplement à parler en langues. “Je désire que vous, je... Ce serait bien”, a dit Paul. “Que vous parliez tous en langues, ce serait bien.” Mais qu’est-ce qui se passerait si certains d’entre vous prophétisaient, se levaient et disaient : “AINSI DIT LE SEIGNEUR : ‘Il y a un homme assis ici, et c’est un inconnu au milieu de nous. Il s’appelle Jean Untel. Il vient de tel et tel endroit. Il a laissé là-bas sa femme et ses quatre enfants. Il est ici ce soir, parce qu’il cherche du secours. Il a été vu par un médecin aujourd’hui, à Memphis, dans le Tennessee. Et il a dit, le médecin lui a dit qu’il a un cancer des poumons. Il est mourant’”?
309 Il a dit : “Si tous parlent en langues, et que le simple auditeur vienne au milieu de vous, il dira, alors il dira : ‘Vous êtes tous fous, ou dérangés, quoi?’ Mais si quelqu’un prophétise et révèle le secret du cœur, alors ils tomberont sur leur face, en disant : ‘Dieu est réellement avec vous!’” Vous voyez, là?
310 Bon, maintenant, voici. Maintenant vous parlez en langues, mais quelqu’un en donne l’interprétation, il dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR,” par l’interprétation, “‘Il y a un homme assis au milieu de nous, il a quitté sa femme, est allé à Nashville aujourd’hui,’” ou Memphis, ou quel que soit l’endroit, “‘et il a un cancer du poumon. Il est venu ici, et il s’appelle Jean Untel’”, telle et telle chose, comme ça. Voyez?
311 “À moins que ce soit fait en vue d’être interprété”, ou, vous voyez, alors cela produit une édification. Voyez? Alors on dira, alors cet homme-là repartira en disant : “Je vais vous dire une chose : n’allez pas me dire que Dieu n’est pas avec ces gens, là-bas. C’est indéniable! Ces gens-là ne me connaissaient pas du tout.” Voyez?
312 Donc, nous voulons les dons de prophétie plus les dons de parler en langues. Mais, pour le parler en langues, vous voyez, il faut qu’il y ait une interprétation. Et là, une fois interprété, c’est une prophétie. Voyez? C’est une prophétie. Bon, j’ai cette question, ici, dans un instant, alors, je vais–je vais passer à celle-là au plus vite. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.]
117. Matthieu 18.10.
[Un frère lit Matthieu 18.10.–N.D.É.]
...de mépriser un seul de ces petits; car je vous dis que leurs anges–anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux.
313 Très bien. Maintenant, le frère, qui que vous soyez, – évidemment les noms ne sont pas inscrits, ce sont juste de petits billets, vous voyez, – celui qui a dit ceci. Je suis sûr que je...
314 Bon, on pourrait le prendre de deux façons, vous voyez. Mais je crois que l’interprétation, si vous me demandez simplement : “Expliquez ceci”, ma façon à moi d’interpréter ceci, la voici.
315 Bon, prenez II Corinthiens, quelqu’un, 5.1, il y est dit ceci : “Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite.” Vous savez ce que c’est, voyez. “Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons déjà une autre”, vous savez, “qui nous attend.” Très bien.
316 Bon, là Il... Si vous remarquez, dans Matthieu 18.10, Il parlait de recevoir les petits “enfants”. C’étaient des petits enfants, des bambins de trois ou quatre ans, Il les a pris dans Ses bras. “On Lui amena des petits enfants, un enfant.” Enfants, ça vient du nom “enfant”. Un enfant, c’est juste un petit–petit, pas un nourrisson, mais juste entre ça et un adolescent. Voyez? Il n’est pas encore responsable de lui-même.
317 Alors, Il a dit : “Gardez-vous de mépriser.” Si vous prenez, en fait, l’interprétation de ce mot-là, c’est “maltraiter”. Vous voyez, “de maltraiter un seul de ceux-là”. Maltraiter un enfant, il ne faut jamais faire ça. Ce sont des enfants, ils ne savent pas. Voyez?
318 Et maintenant remarquez, Il a dit : “Parce qu’ils, leurs anges voient continuellement la face de Mon Père qui est dans les Cieux”, vous voyez. Autrement dit : “Leurs anges, leurs–leurs messagers, leurs corps, leurs corps angéliques vers lesquels ils iront s’ils meurent, sont continuellement devant la face de Mon Père, dans les Cieux.” Voyez?
319 Maintenant : “Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons une autre qui nous attend déjà.” Pas vrai? C’est un corps.
320 Regardez bien. Si seulement j’avais le temps d’examiner ces choses-là à fond! Évidemment, je sais que je–je ne l’aurai pas. Mais, tenez, je vais juste vous faire part de ceci, pour que ce soit sur la bande, et de toute manière vous le saisirez.
321 Regardez, une nuit, Pierre était en prison. Ils ont eu une réunion de prière là-bas, dans la maison de Jean-Marc, vous voyez. Alors, l’Ange du Seigneur est entré, cette Colonne de Feu, une Lumière, est descendue, et Pierre croyait avoir un songe, quand il a vu cette Lumière venir vers lui. La Bible dit que “C’était une Lumière”. Voyez? Et je crois que C’est la même qui est avec nous, vous voyez. Il est descendu. Et si nous avions le même genre d’ennuis, peut-être qu’il arriverait la même chose. Voyez? Il est entré là, donc, et Il a dit : “Viens avec Moi.”
322 Alors, Pierre s’est dit : “J’ai un songe en ce moment, alors je vais juste voir ce que signifie ce songe.” Alors, il a passé les gardes, et s’est dit : “Ah–ha. Maintenant nous continuons, la porte s’est ouverte d’elle-même.” Il a passé la porte suivante, elle s’est ouverte d’elle-même. Il est arrivé aux portes qui mènent à la ville, et elles se sont ouvertes d’elles-mêmes. Il croyait toujours avoir un songe. Alors, quand il s’est retrouvé dehors, il a dit : “Eh bien, je suis libre, alors je vais aller chez Jean-Marc, pour fraterniser un peu.”
323 Eux, ils étaient là-bas : “Ô Seigneur, envoie Ton Ange, et délivre Pierre.”
324 À peu près au même moment, on a entendu [Frère Branham frappe.–N.D.É.]. La petite servante est allée à la porte et a dit : “Qui est là?” Elle a soulevé le petit treillis, elle a dit : “Mais, c’est Pierre!” Alors il est retourné leur dire : “Hé! maintenant vous–vous pouvez arrêter de prier, Pierre est là.”
Il a dit : “Oh! la la! Va donc,” il a dit, “tu es–tu es–tu es...” Voyez?
325 [Frère Branham frappe de nouveau.–N.D.É.] Il a dit : “Ouvrez! J’arrive.” Voyez? Donc, il dit...
Donc, il retourne dire : “Non, c’est–c’est Pierre qui est à la porte.”
326 “Oh,” ils ont dit, “déjà ils lui ont coupé la tête, c’est son ange qui est à la porte. Vous voyez, sa tente céleste, déjà il l’a reçue, car celle où il habitait sur la terre a été détruite; en effet, elle attendait dans le Ciel, qu’il revienne vers elle.”
327 C’est ce que j’ai vu l’autre jour, dans cette vision, vous savez, quand je suis passé de l’autre côté. “Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons une autre.”
328 Et ces petits-là, qui n’ont pas encore commis de péché, vous voyez... Voyez?
329 Quand un bébé prend forme–un bébé prend forme dans l’utérus de la mère, dès qu’il est déposé là... Voyez? Voyez? Mais d’abord, c’est un esprit. Et cet esprit, comme il commence à s’envelopper d’une chair, un petit germe de vie qui commence à s’envelopper d’une chair, aussitôt qu’il descend de... Or, dans l’utérus, ce sont de petits muscles qui frémissent et qui se contractent. Nous savons cela. Ce sont des cellules. Par exemple, prenez un crin de cheval et mettez-le dans l’eau : il s’enrobe et il remue, si on le touche, il a des soubresauts. C’est comme ça qu’est le bébé.
330 Mais, aussitôt qu’il naît dans ce monde, et qu’il inspire son premier souffle, il devient une âme vivante. Voyez? En effet, aussitôt que le corps terrestre naît dans ce monde, il y a un corps céleste, ou un corps spirituel, qui s’attache à lui. Et, aussitôt qu’il laisse tomber ce corps naturel, il y a une tente céleste qui l’attend. “Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, il y a une tente céleste qui l’attend.” Aussitôt que–que le bébé sort, qu’il vient au monde, en chair, il y a un corps spirituel qui attend, prêt à l’accueillir. Et aussitôt que le corps spirituel... que le corps naturel est détruit, il y a un corps spirituel qui l’attend là-bas. Voyez? Ce que nous appelons une “théophanie”, vous voyez, une théophanie.
[Un frère demande : “Eh bien, alors, ce corps-là, est-ce un... est-il temporaire, en attendant la résurrection de ce corps-ci?–N.D.É.] Oui. Voyez? Oui. Oh, oui. [“C’est l’état dans lequel nous vivrons jusqu’à la–la résurrection?”] C’est exact. Voyez? Voyez?
331 Cela n’a pas encore été révélé aux fils des hommes. Je crois que je, je sais que je l’ai vu. Voyez? Par contre, je ne sais pas quel genre de corps c’est, mais je pouvais les toucher, exactement comme j’aurais touché vos mains ou n’importe quoi d’autre. Évidemment, ceci est enregistré, et vous passerez peut-être la bande des années après mon départ. Vous voyez? Mais, et cela, quoi que cela ait été, vous voyez, je–j’avais la main sur ces gens et je les accueillais, et c’était tout aussi réel que–que vous êtes réels, et pourtant ce n’était pas... Ils ne mangeaient pas et ne buvaient pas. Il n’y avait pas d’hier, pas de demain. Vous voyez, c’était l’Éternité.
332 Et alors, quand cette tente... ils sont partis de là-bas dans ce corps-là, ils reviennent sur terre, c’est dans ce genre de corps là qu’ils avaient revêtu l’immortalité. La–la poussière de la terre s’est rassemblée dans cette théophanie, d’une façon ou d’une autre, et ils sont redevenus humains, il fallait qu’ils mangent, comme ils le faisaient dans le jardin d’Éden. Voyez? “Mais, si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons une autre qui nous attend déjà.”
333 Alors, ces petits enfants-là, qui n’avaient pas de péché, vous voyez, pas encore de péché, leurs anges, leurs “corps” (celui dans lequel Pierre était revenu...), vous voyez, les attendait. “Ils voient la face du Père, dans les Cieux”, ils sont continuellement devant Lui; “ils savent”. Voilà.
334 [Un frère dit : “Mais c’était un peu difficile, là, lorsque Jésus avait dit, dans la première partie de Sa résurrection, Il avait dit : ‘Ne me touche pas’, Il n’était pas encore monté. Et ensuite, lorsqu’Il est venu dans la pièce où se trouvait Thomas, Il a dit : ‘Viens, mets ta main dans Mon côté; mets ton doigt.’”–N.D.É.] C’est exact, Il n’était pas encore monté. [“Et la–la différence entre les deux, c’est que, d’une part, Il–Il leur a dit de ne pas Le toucher, et de l’autre, Il a dit à Thomas de venir le faire.”] C’est qu’Il n’était pas encore monté, tu vois. Il... [“‘Car Je ne suis pas encore monté vers Mon Père.’”]
335 C’est exact, vous voyez, il ne fallait pas Le toucher tant qu’Il... après Sa résurrection. Il était sorti du sein de la terre, vous voyez. Il était sorti du sein de la terre, et Il marchait au milieu des hommes, mais Il n’était pas encore monté. Il a dit, Il a déclaré à Marie, Il a dit : “Ne Me touche pas.”
Elle a dit : “Rabbouni!”
336 Il a dit : “Touche... Ne Me touche pas, car Je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais Je monte vers Mon Dieu et votre Dieu, vers Mon Père et votre Père.”
Et ensuite, ce soir-là, après qu’Il était monté auprès de Dieu, qu’Il était ressuscité des morts et était monté auprès de Dieu. À Son retour, Il a invité Thomas à venir toucher Son côté. Vous voyez, Il était alors monté auprès de Dieu. C’est exact. D’accord.
337
118. Bon. Dans I Corinthiens 14 : “Recherchez–recherchez la charité, et aspirez aussi aux dons spirituels, mais surtout à celui de prophétie.” Dans le Webster, il est dit : “prophétiser : prédire les événements futurs, surtout par inspiration divine”. Est-ce qu’un message... Or ils... ça, c’est–c’est ce qui est dit dans le Webster, et ce que demande le–le frère. Est-ce qu’un message qui ne prédit aucun événement futur peut être appelé “prophétie”?
Non monsieur. Prophétiser, c’est “prédire”. Voyez? Très bien.
119. Bon. I Corinthiens 14.27 – je crois que tous les messages doivent être interprétés, et que pas plus de trois messages en langues ne doivent être donnés au cours d’un même service.
338 Ça, c’est l’Écriture. Je l’ai notée ici. Bien sûr, nous ne, nous sommes au courant de ça, nous savons ça, vous voyez. C’est, oui monsieur, c’est, il ne doit y en avoir que trois, chacun à son tour. Ça aussi, ça se trouve dans I Corinthiens 14. Voyez? C’est exact : “trois, chacun à son tour”. Maintenant, surveillez ça dans vos réunions, frères. Or, vous–vous verrez cette situation se produire, là, vous constaterez que beaucoup de gens s’emballent. Et n’allez pas dire qu’ils n’ont pas le Saint-Esprit, là. Mais, vous voyez, Paul est allé là-bas, mettre l’église de Corinthe en ordre. Ça, nous le savons tous, n’est-ce pas? Il lui a fallu la mettre en ordre. Et il a dit : “Que tout se fasse avec bienséance et avec ordre.”
339 Or, si vous remarquez, Paul, quand il allait là-bas, l’église de Corinthe lui donnait toujours du fil à retordre. Jamais il ne s’est trouvé dans une telle situation à... Il n’a jamais rien dit à ce sujet à l’église d’Éphèse; à eux, il pouvait leur enseigner la sécurité Éternelle. Dans–dans l’église de Corinthe, il n’a pas du tout été fait mention de la sécurité Éternelle. C’étaient toujours des bébés, qui essayaient : “L’un a une langue, l’un a un cantique.” N’est-ce pas vrai? Voyez? Et si vous laissez votre assemblée commencer à faire ça...
340 Par exemple, Martin Luther : il a été tellement rempli de l’Esprit qu’il a parlé en langues. Il a dit, dans son journal intime, il a dit : “J’ai parlé en langues,” il a dit, “mais si j’enseigne cela à mes fidèles,” il a dit, “ils rechercheront le don au lieu du Donateur.” C’était juste, vous voyez, ils rechercheraient le don au lieu du Donateur.
341 Et c’est ce que les gens reçoivent, et après ils s’énervent, et ils s’enorgueillissent, quand on les laisse parler en langues ou quelque chose comme ça. Si cela ne vient pas de Dieu, cela ne, cela sera réduit au néant. Mais nous...
342 Or les églises modernes, elles, elles rejettent tout ça, d’un bloc, mais pas nous. Nous croyons que c’est le don de Dieu et qu’il peut être placé là par l’Esprit de Dieu. Qu’en penses-tu, Frère Roy? C’est exact. Oui monsieur. Placé dans l’église! Il a sa place dans l’église. Le don du parler en langues y a sa place, vous voyez, dans l’Église de Dieu.
343 Maintenant, voyons exactement quelle était sa question ici. Il disait que :
Je crois que tous les messages... (c’est exact) ...doivent être interprétés – et trois, chacun à son tour.
344 C’est exact, vous voyez, parce que si vous laissez... Bon, disons, par exemple, que vous aviez une réunion, qu’on est assis ici, et–et... Bon, ça servirait à quoi de laisser celui-ci parler en langues, celui-ci parler en langues, celui-ci parler en langues, et celui-ci? Voyons, on serait tous si désorientés qu’on ne saurait même plus ce qu’on fait. Voyez? Que trois, chacun à son tour... Disons que Hollin, il est en train de parler en langues; s’il parle en langues...
345 Il faut aussi qu’il y ait un interprète. Or il se peut qu’il n’y ait qu’un seul interprète – à moins que vous n’interprétiez votre propre langue. Alors, vous... “Que celui qui parle en langues inconnues prie afin de pouvoir aussi interpréter.” Il peut interpréter ses propres langues, ce qui est tout aussi–tout aussi valide que si c’était fait par un interprète. Mais il faut qu’il y ait un interprète, avant que les langues puissent être... Si vous avez un tas de gens qui parlent en langues et qu’il n’y a pas d’interprète, alors vous-même, priez afin que vous puissiez interpréter ce que vous–ce que vous dites.
346 Or, ne faites pas ça juste pour vous enorgueillir, parce que, dans ce cas, vous ne faites que vous édifier vous-même, vous voyez. Ne faites pas ça. Mais parlez en langues afin d’édifier Dieu, d’édifier l’église. Vous voyez, tout cela sert à une seule grande cause, frère. Ces dons ont pour but d’édifier Dieu, d’édifier l’église, d’amener des gens à Dieu, de leur faire reconnaître que Dieu est avec nous. Il n’est pas un Dieu mort, Il est un Dieu vivant, qui agit parmi nous. Voyez?
347 Et nous devons vraiment surveiller ça de très près, parce que, ah, mes amis, le diable déteste ça à mort, vous voyez, de voir de vrais, de véritables dons. En effet, les dons sont faibles, alors il peut vraiment agir sur les dons. Oh, mon vieux, oh, il peut vraiment imiter chacun d’eux. Alors, c’est pour cette raison que...
348 Maintenant regardez, la différence entre un don de prophétie et un prophète : ils sont à mille lieues l’un de l’autre, voilà à quel point ils sont différents. Avant qu’une prophétie, d’un homme qui a un don de prophétie, puisse même être répétée devant l’église, deux ou trois personnes doivent discerner cela et déclarer que “c’est vrai”. C’est exact. Mais pas un prophète. Voyez? Un prophète, c’est une fonction. Un don de prophétie, c’est un don. Un prophète l’est de naissance, il a l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, frère, il l’a de façon ininterrompue. Rien ne peut s’infiltrer là-dedans, vous voyez. C’est un prophète. Par contre, un don de prophétie, c’est un don, vous voyez. L’un est une fonction de Dieu, l’autre est un don de Dieu. Voyez? Voilà la différence.
349 Alors, les messages, disons, par exemple, voici comment ça se passerait. Bon, disons, par exemple, Frère Junie, ce soir : il interprète. Nous savons qu’il est un interprète. Frère Neville est un interprète, vous voyez, il interprète les langues. Nous savons ça. Maintenant, supposons que voici, nous sommes assis ici ce soir, oh, l’Esprit de Dieu est présent avec force pour parler. Oh! la la! Et nous ne... nous devons... nous devons... Attendez, la réunion va commencer dans quelques minutes. Vous voyez, nous–nous nous réunissons juste avant la réunion. Je mets ces choses en ordre, comme nous, on les aurait ici.
350 Eh bien, alors, tout à coup, Frère Ruddell se lève et parle en langues. Attendez un instant. Voyez? Junie se lève d’un bond : “AINSI DIT LE SEIGNEUR : ‘Telle et telle chose.’” Très bien, quelqu’un, ici, les scribes prennent en note, là, vous voyez, ce qui a été dit; oui, il faut le noter rapidement, parce que ça... saisir, aussitôt sorti, exactement ce qu’il a dit. Très bien, ils... Si–si c’est refusé, alors on–on fait mieux de laisser tomber, vous voyez, de déchirer ça. Par contre, si ce n’est pas refusé, s’ils sont deux à l’accepter, alors c’est mis par écrit ici, et ils y apposent leur signature. Voyez? Ça–ça–ça, c’est dans l’intérêt de votre église. C’est... Ce que je vous dis là, c’est dans votre intérêt, vous voyez, ça, je ne sais pas s’ils le faisaient au commencement ou pas.
351 Et tout à coup, Hollin se lève d’un bond, parle en langues. Or, il se peut que l’interprète lance le même message, vous voyez, il se peut que ce soit la même chose, une certaine chose qui doit se produire, une prophétie; vous voyez, quelque chose qui est sur le point d’arriver, ou quelque chose que l’on doit faire. Tout de suite après, Frère Roberson se lève d’un bond, il parle en langues. Très bien. Il est possible que ce soit encore le même message, qu’on y donne la même interprétation, vous voyez, ou bien il est possible que ce soient trois messages.
352 Or Dieu ne va pas lancer cinquante messages le même soir. Ça, nous le savons. En effet, on–on ne pourrait pas les recevoir. Vous voyez? Mais cela sert à édifier l’église : si quelque chose opprime l’église, comme... ou s’il y a quelque chose qu’elle fait. Voyez? Alors, personnellement, je–je–je ne permettrais pas qu’il y en ait plus que ça, vous voyez, parce qu’il est dit là : “Qu’il y en ait trois, chacun à son tour.” Voyez?
353 Rien que trois, chacun à son tour, ensuite–ensuite je dirais : “Allez-y, mettez-les par écrit, et posez-les là, sur la chaire.” Voyez? Ensuite, le lendemain soir, nous nous réunissons de nouveau. Voyez? Et s’il survient autre chose d’ici au lendemain soir, Dieu l’annoncera dans l’un de ces messages-là. Vous voyez ce que je veux dire? Qu’il y en ait trois, chacun à son tour. Et je pense, là, que dans le Webster il est dit que la prophétie...
Est-ce qu’une ques-... qu’un message qui ne prédit aucun événement futur peut être appelé “prophétie”?
354 Non. Si c’est une prophétie, cela prophétise, prédit quelque chose qui va s’accomplir. Ça aussi, c’est vrai.
355 Très bien, et je pense... Bon, celle-ci est la dernière avant que nous passions à celles que j’ai ici.
120. Frère Branham, est-ce que n’importe laquelle de ces... Frère Branham, n’importe laquelle de ces questions... C’est écrit à la machine, et les caractères sont presque effacés. Est-ce que n’importe laquelle de ces ques-... Frère Branham, n’importe laquelle de ces questions, si vous ne vous sentez pas conduit à y répondre ou à commettre... ou à commenter (oui), à commenter, mettez-la de côté, cela ne m’ennuiera pas du tout. Quelles sont, selon l’Écriture, toutes les fonctions du diacre?
356 Eh bien, je–je crois qu’ils ont ça là-bas. Si c’est l’un... Je sais que c’est l’un des diacres de notre église. Donc, je crois qu’ils en ont quelques exemplaires, là. Il faudrait faire faire d’autres copies de ça, si nous n’en avons plus, et donner ça à chacun de nos diacres. Je me demande si on pourrait faire faire une copie de ça, Gene, l’un... ou, toi ou Frère Léo, ou quelqu’un, environ, faites-en faire environ six ou huit, et remettez ça à nos diacres. Cela présente les fonctions, selon l’Écriture, ce que doit faire le diacre.
121. Dans une situation où nous aurions une prophétie ou un message en langues qui soit donné de façon contraire au bon ordre, en pareil cas, comment devrions-nous corriger cela?
357 Maintenant, voilà un bon cas d’urgence, vous voyez. Voyez? Alors, que Dieu te bénisse, diacre qui as fait mention de ceci, parce que c’est là un bon point. Pour gérer cette situation, il faut mettre des gants de caoutchouc. Bon, si vous donnez un... Si quelqu’un vient au milieu de notre assemblée, ici, et donne un message ou une prophétie de façon contraire au bon ordre, il n’y a pratiquement rien que vous puissiez faire, s’ils ont déjà pris la parole. Voyez? Vous n’avez qu’à... Ils savent que ces gens ne respectent pas l’ordre et que cela va–cela va, pourrait gâcher la réunion. Voyez? Mais, dans ce cas, le mieux, c’est que les diacres restent bien tranquilles. Voyez? Parce que le prophète, sur l’estrade, en fait, c’est lui qui... Vous, vous êtes–vous êtes sa protection, vous êtes ses policiers, vous voyez, vous êtes les gardes qui nous entourent. Voyez?
358 Maintenant, si c’est quelqu’un qui est de notre ass-... Si elle n’est pas de notre assemblée, cette personne n’a pas reçu l’enseignement, vous voyez, elle n’a pas été formée. C’est ce que nous voulons voir établi ici, vous voyez, nous–nous savons ce qu’il faut faire. Nous savons comment former nos fidèles. Mais si elle n’est-elle n’est pas de notre assemblée, eh bien, nous ne savons pas quel enseignement cette pauvre personne a reçu.
359 Par exemple, comme – Billy se souvient de ceci – à Costa Mesa, en Californie. Chaque fois que je m’apprêtais à faire un appel à l’autel, une femme se levait d’un bond, elle courait dans les allées, en parlant en langues, et elle démolissait carrément l’appel à l’autel. Et je me voyais contraint de partir. Ça se voyait que l’Esprit avait–avait été attristé, vous voyez. Rien n’attristera l’Esprit de Dieu si c’est fait avec ordre. Voyez? [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] ...juste avant, elle se préparait à commencer, là, elle se préparait; en effet, je la surveillais. C’est ce que fait tout ministre, lorsqu’il voit quelque chose qui est contraire à l’ordre. Donc, cette femme était là-bas, au fond, et elle avait dit à Billy, Billy me l’a rapporté quand je suis arrivé ce soir-là, il a dit : “Papa, tu sais, cette femme qui a interrompu les–les appels à l’autel, les deux soirs?
– Oui.”
360 Il a dit : “Elle est assise là-bas,” il a dit, “elle a dit : ‘Gloire à Dieu, Billy, j’ai un autre message pour ce soir!’”
361 Eh bien, alors, vous voyez, je la surveillais, là dans l’auditoire. Il y avait des milliers de personnes présentes; c’est là que le Reader’s Digest a écrit cet article sur la guérison de Donny Morton, vous savez, Le miracle de Donny Morton. Donc, je surveillais cette femme, et juste au moment où j’allais faire mon appel à l’autel, elle... Bon, elle n’avait pas reçu l’enseignement, c’est tout; une brave femme, sans aucun doute. Mais elle a regardé autour d’elle, elle s’est mise à arranger ses cheveux. Elle avait les cheveux coupés, vous voyez. Donc, vous voyez, elle était membre des Assemblées ou de certaines des églises qui–qui permettent ça. Elle arrangeait ses cheveux. Elle s’est penchée et a remonté ses bas, elle s’est préparée, comme ça. Et juste au moment où j’allais faire l’appel à l’autel... J’ai dit : “Maintenant, combien ici, combien de personnes présentes en ce moment aimeraient s’avancer et–et donner leur cœur au Seigneur Jésus?”
362 Elle s’est levée d’un bond. J’ai dit : “Asseyez-vous.” Et elle a commencé. J’ai dit : “Asseyez-vous!” Voyez? Et, oh! la la! tout le monde... Je me suis arrêté net. Elle a fait comme si elle ne m’avait pas entendu – de nouveau, j’ai hurlé. Cette fois elle m’a entendu, parce que j’ai presque secoué le bâtiment, debout juste là, devant ce gros microphone. Et elle s’est assise.
363 J’ai dit : “Maintenant, pour en revenir à ce que je disais, combien désirent s’avancer ici, à, et donner leur cœur à Dieu?” Et j’ai poursuivi la réunion, vous voyez.
364 Et ce soir-là, au moment où je me dirigeais vers le camion, j’ai été encerclé. Et voilà cette bande de femmes qui étaient là, comme une bande de poulets, vous savez : “Vous avez blasphémé le Saint-Esprit.”
365 J’ai dit : “Ah oui?” J’ai dit : “Comment pourrais-je blasphémer le Saint-Esprit en suivant les ins-... ce que déclarent les Écritures?” Voyez?
366 Et cette femme a dit : “J’avais un message qui venait directement de Dieu.”
367 J’ai dit : “Mais vous le donniez au mauvais moment, soeur.” J’ai dit : “Je ne...
– Vous dites que ce n’était–ce n’était pas de Dieu?”
368 J’ai dit : “Je ne saurais vous dire, madame.” J’ai dit : “Je–je–je crois que ça l’était, vous voyez.” J’ai dit : “C’est ce que je dis dans votre intérêt, là, je dis que ça l’était. Et je crois que vous êtes une brave femme, mais vous n’avez pas respecté l’ordre.”
369 Et il y avait là son pasteur. Je savais que c’était son pasteur, vous voyez. Et j’ai dit, je–j’ai dit : “Tout ce que je peux dire, c’est soit que vous avez été poussée par la chair, ou que le pasteur que vous avez, qui vous a formée, ne connaît rien des Écritures.” J’ai dit : “Il devrait venir causer des Écritures avec nous pendant un petit moment. Ce n’est pas bien, ça, vous ne respectez pas l’ordre. Vous avez causé la perte de beaucoup d’âmes avant-hier soir, et de beaucoup encore hier soir, et vous auriez fait la même chose ce soir.”
370 Et cet homme a dit : “Frère Branham,” il a dit, “je vous demande bien pardon!”
J’ai dit : “Que voulez-vous dire?”
371 Il a dit : “Elle avait le droit de donner ce message, vous aviez fini.”
372 J’ai dit : “J’étais sur l’estrade, et l’esprit des prophètes est soumis au prophète. Je suis encore sur l’estrade.”
Et il a dit : “Eh bien...”
373 J’ai dit : “Je n’avais pas fini mon Message. Je faisais mon appel à l’autel, c’est-à-dire que je faisais la récolte. J’ai jeté mon filet, et maintenant je le ramène. N’allez pas jeter du fil de fer barbelé là-bas, ou quelque chose qui viendra bouleverser ça, vous voyez.” J’ai dit : “J’étais encore en train de ramener mon filet.” Et–et j’ai dit : “Elle a fait obstacle à la–à la récolte de ces âmes. Les... Ça sert à quoi de prêcher, ou n’importe quoi, si on ne lance pas un appel, qu’on n’amène pas les pécheurs à s’avancer? Voyez?”
374 Et il a dit : “Eh bien, son message était plus frais que le vôtre. Le sien est venu directement de l’estrade... Le sien est venu directement de Dieu.”
375 J’ai dit : “‘Si quelqu’un croit être inspiré ou prophète, qu’il reconnaisse que ce que je vous dis, ce sont les commandements du Seigneur. Et, s’il l’ignore, eh bien, qu’il l’ignore. Nous n’avons pas cette coutume, non plus que l’Église de Dieu’”, je citais Paul, vous savez. J’ai dit : “Non, monsieur, ce n’était tout frais en rien! Il... Jésus a dit : ‘Que toute parole d’homme soit reconnue pour mensonge, et que la Mienne soit reconnue pour vraie.’ Paul a dit : ‘Même si un Ange du Ciel venait présenter autre chose que ce qui se trouve Ici, qu’il soit anathème.’” J’ai dit : “Monsieur, vous êtes complètement à côté de la plaque.” J’ai dit : “Qu’est-ce que vous avez comme église? Je parie que c’est un beau tas de confusion. Voyez? Si vous laissez ces gens faire ces choses, comment arrivez-vous à faire un appel à l’autel? Elle a un ministère, ils ont tous un ministère, mais il y a des moments pour exercer votre ministère, vous voyez, qui sont réservés à cela.”
376 Donc, c’est exact. Non, et si une chose comme celle-là se faisait dans notre église, comme ceci, par certains de nos frères ou sœurs ici, de l’église, qui parlent en langues, alors, les diacres, après la réunion, je pense que le conseil devrait avoir une rencontre avec eux, dire : “Permettez-moi de vous rappeler ce qui est dit sur une bande, pendant quelques instants, vous voyez.” Vous voyez, vous n’êtes que... Ou–ou, le pasteur, dites : “Je–je suis sûr que le pasteur désire vous parler. Pourriez-vous, s’il vous plaît, vous joindre à nous, dans le bureau, pendant un petit moment, voyez, frère.” Alors, là, allez dans le bureau, et parlez-lui très gentiment. Voyez? Et dites...
377 Mais, bon, s’ils font beaucoup de désordre et qu’ils dérangent votre pasteur, vous voyez, si–s’ils dérangent votre pasteur, alors vous, les anciens, devez vous approcher de cette personne, et lui dire : “Un instant.” Si le pasteur vous fait signe de les arrêter, alors, c’est que, là-bas, à l’avant, il a discerné que cet esprit, il... qu’ils sont en train de couper l’esprit de la réunion, vous voyez.
378 Donc, si le pasteur s’arrête et qu’il incline la tête avec respect, alors ne dites rien. Voyez? Ne dites rien; laissez faire le pasteur. Mais observez bien votre pasteur. S’il vous fait signe, comme ça, que vous devez faire cesser cela, alors approchez-vous avec l’amour de Christ, dites : “Mon frère, ma soeur,” selon le cas, “je crois que vous ne respectez pas l’ordre, puisque vous dérangez le prophète, vous voyez. Il a un message de la part de Dieu. Quand il aura terminé son message, alors nous nous occuperons de ça, un peu plus tard.” Vous voyez, si cela le dérange.
379 Mais si c’est quelqu’un du dehors, et que le pasteur, avec respect, s’arrête là et attend un instant, alors il, probablement qu’il continuera tout simplement après, vous voyez. Donc, et si vous remarquez, quatre-vingt-dix pour cent des fois, comme ça, les interprétations, c’est toujours juste une citation de l’Écriture ou quelque chose du genre, c’est donc probablement une manifestation charnelle des deux côtés. Vous savez ce que je veux dire là. Voyez? Très bien.
122 .Est-il permis à plus d’une personne de prononcer un message en langues, s’il n’y a pas eu d’interprétation?
380 Non. Ils doivent être apportés un par un. Voyez? Une personne donne... Une personne parle, après quoi on donne l’interprétation. Voyez? Ensuite, si quelqu’un d’autre parle, l’interprétation; parce que, sinon, l’interprète ne saura pas ce qu’il fait, parce qu’il y a là deux ou trois messages projetés vers lui en même temps, vous voyez, ce qui serait déroutant pour lui. Et Dieu n’est pas un Dieu de désordre, vous voyez. Alors, que quelqu’un parle, et que quelqu’un d’autre interprète. Voyez? Ensuite... Donnez trois messages, mais que chaque message soit interprété.
381 Ensuite nous aurons... Par exemple, si Frère Ruddell parle et que Frère Neville donne une interprétation, Frère Fred doit se taire. Vous voyez, il faut recevoir l’interprétation de cela. Premièrement, il faut que ce soit jugé, premièrement, pour voir si cela vient de Dieu ou pas, en premier lieu. Voyez? Et, très bien. Maintenant, si Frère Ruddell parle, que Frère Beeler parle, que Frère Neville parle, le pauvre interprète a trois messages du même coup; qu’est-ce que–qu’est-ce que, va-t-il savoir où donner de la tête? Voyez? Laissez-le. Donnez le message, ensuite taisez-vous, attendez, c’est tout. Si un autre qui est assis près de lui a une révélation : qu’il se taise, qu’il se tienne tranquille. Voyez? Et là, laissez venir l’interprétation.
382 Alors, à ce moment-là, mettez-la par écrit, ensuite voyez ce que diront ceux qui exercent le discernement. Voyez? S’ils disent : “Eh bien, cela–cela vient de Dieu.” Très bien, voilà un message, vous voyez, posez-le là. Ensuite, attendez un instant. Et, tout à coup, eh bien, l’Esprit agit sur lui, alors c’est lui qui parlera. Ensuite, l’interprète attend un instant, pour voir ce que dira le Saint-Esprit. Le voilà qui s’avance, pour annoncer ce message-là, vous voyez. Et alors, il va mettre ça par écrit, vous voyez. Et qu’il y en ait trois, chacun à son tour.
123. Frère Branham, nous savons que vous êtes un messager envoyé par Dieu à cet âge de l’église. Nous voyons que les signes mêmes qui accompagnaient Jésus vous accompagnent, et nous sommes... comprenons pourquoi certains de ceux qui vous connaissent le mieux croient que vous êtes le Messie. Pourriez-vous expliquer la différence qu’il y a entre votre relation avec Dieu et celle de Christ avec Dieu?
383 Eh bien, je sais, frères : c’est vrai. Vous voyez, mais, attendez, j’ai noté quelque chose à ce sujet, ici, je ne prendrai qu’un instant. Vous voyez, c’est souvent mal compris. Voyez? Mais, bon, par la personne, parfois. J’aimerais que quelques-uns d’entre vous prennent avec moi Luc, au chapitre 3, et au verset 15. Pendant que vous le faites, permettez que je vous dise, quand vous l’aurez trouvé, là, c’est Luc 3, – que, il se pourrait, c’est... Permettez que je... Je ne vais pas fermer la porte, parce qu’il n’y a personne là-bas. Permettez–permettez-moi juste de vous transmettre ceci, frères. Vous l’avez entendu, c’est quelque chose qui circule partout. Mais disons, je vais vous dire une chose, vous voyez : il faut que ça se passe comme ça. Il faut nécessairement que ça se passe comme ça. Si ce n’était pas comme ça, je me repentirais de mon message.
384 Écoutez, frères, je vous adjure, devant Christ, vous–vous–vous devez garder le silence sur ce que je vais dire ici – mais si vous étiez spirituels, vous comprendriez. Voyez? Ne savez-vous pas quelle est la toute première chose qu’Il a dite, là-bas à la rivière? Ne vous souvenez-vous pas de ce qu’Il a dit? “Comme Jean-Baptiste a été envoyé comme précurseur de la première venue de Christ, ton Message...” C’est le Message qui sera précurseur de la seconde Venue de Christ. C’est ce qu’a dit l’Ange du Seigneur.
385 Maintenant, maintenant remarquez. Donc : “Comme Jean-Baptiste...” Bon, vous avez tous entendu ça. Vous l’avez lu dans les livres, et vous l’avez entendu de gens qui se trouvaient là et qui L’avaient entendu, et tout ça, au moment où l’Ange Lui-même a prononcé ce message : “Comme Jean-Baptiste a été envoyé comme précurseur de la première venue de Christ, tu as été envoyé avec ce Message, qui sera le précurseur de la seconde Venue de Christ.” Donc, “le Message”.
386 Maintenant, si vous remarquez, et je... C’est le petit Willie, là-bas, qui a mis mon nom sous cette étoile, là-bas, et c’est pour ça que j’ai laissé passer, vous voyez. C’est que je–je ne pense pas, – là, je vais être aussi honnête que possible, – je ne pense pas avoir quoi que ce soit à voir avec ce messager-là, vous voyez. C’est vrai. Je crois que, peut-être, j’ai été envoyé pour remplir un rôle dans Son Église, pour pousser à la roue afin de faire avancer ce Message, jusqu’à ce qu’il soit à la hauteur, au moment où ce précurseur viendra, car il viendra.
387 D’autre part, je crois que, du fait que je suis ce que je suis, je... je crois que j’ai le Message du jour. Je crois que ceci est la Lumière du jour, et je crois qu’elle indique ce temps qui viendra, vous voyez, je crois que le Message, ce qu’Il a dit là-bas, “le Message que tu as”. Or, si vous remarquez, cette Étoile qui s’est levée, à cette époque-là, était...
388 Je vais présenter ça... Je sais que je–je suis à court de temps, là, et j’ai encore d’autres questions ici, qui sont vraiment très bonnes. Je ne veux pas... Il est–il est déjà vingt-deux heures passées, alors, et je sais que vous désirez rentrer chez vous. Voyez? Mais écoutez bien. Je vais vous montrer quelque chose. Voulez-vous m’accorder juste–juste quelques instants de plus? Bien, bien.
389 Maintenant regardez, permettez-moi de dire quelque chose. Maintenant, vous les frères, gardez ceci pour vous. Voyez? Gardez ceci pour vous, là. Je me dois de bien vous faire comprendre ce qu’il en est, parce que vous êtes mon pasteur... vous êtes mes pasteurs, et tout, vous voyez, alors je–je me dois de le faire. Et vous êtes des frères qui travaillent avec moi, pour le Message. Voyez?
390 Or, pour ma part, moi, en tant qu’homme, je suis comme vous, même pire que vous. Je–je–je... Bon nombre d’entre vous ont grandi dans un milieu chrétien, et tout ça. “Je suis le pire des pécheurs”, comme il a été dit une fois, “parmi vous.” La vie la plus minable, à mon avis, qu’on puisse mener en étant un incroyant et un douteur – c’est ça que j’étais.
391 Par contre, dès mon enfance, j’ai toujours su qu’il existait un Dieu, et je savais que quelque chose s’était produit dans ma vie. Et ça–ça, c’est incontestable, mes frères. Voyez? Mais permettez-moi de dire ceci : il viendra–il viendra un Message, et il viendra un messager. Je crois que, s’il s’agit d’un homme, ce–ce sera quelqu’un qui viendra après moi. Voyez? Ce sera... Mais ce Message que je prêche est le vrai Message de notre jour, et c’est le dernier Message. Vous voyez ce que je suis en train de faire, là, frères? Je vous place, vous, dans la même position que moi, puisque vous en êtes partie intégrante autant que moi. Vous êtes des messagers de ce même Message.
392 Tenez, je vais vous en faire une illustration. Je–je pense pouvoir mieux présenter ça en faisant une illustration. Je vais refermer juste un peu cette porte un instant. Ceci, c’est Jésus, et cela, c’est Jésus; bon, je vais placer ceci de ce côté, Gethsémané, ceci ici, et là. Or, on ne peut pas... Je n’ai même pas dit ceci devant l’église, là-bas. Maintenant souvenez-vous, quelle sorte de lumière (d’étoile) a conduit les hommes qui cherchaient la sagesse, “pour nous guider vers Ta Lumière parfaite”?
393 Maintenant, je vais éclaircir quelque chose ici, pendant un instant, et vous dire quelque chose. Ôtons tout de suite cette chose-là de... ce que Willie a fait là, alors disons que c’est juste. Disons donc que c’est juste. Moi, je ne pourrais pas dire ça, frères. Ce serait d’être un grand prétentieux. Ça, je ne... Même si je le croyais, je ne le dirais pas. Voyez? Si quelqu’un d’autre le dit, c’est son affaire.
394 Mais, tenez, par exemple, on m’a demandé si je serais d’accord que quelques-uns des frères rendent témoignage de quelques-unes des choses qui se sont produites. Je n’aime pas monter en chaire pour rendre témoignage de quelque chose qui s’est produit pendant les réunions. Que l’organisateur ou quelqu’un d’autre le fasse; quelqu’un d’autre s’en charge. Je n’aime pas le faire.
395 [Un frère dit : “Ils sont même venus à Jean, en disant : ‘Es-tu le Christ?’”–N.D.É.] Oui, c’est ça, voilà où je veux en venir. [“‘Es-tu ce Prophète?’”] Il l’a nié. [“Il n’a dit ni l’un ni l’autre, il a dit : ‘Je ne suis que celui qui crie dans le désert.’”] “La voix de celui qui crie dans le désert.” Il a précisé lui-même sa position.
396 [Un autre frère dit : “Ils lui ont demandé s’il était ce Prophète, et il a dit : ‘Je ne le suis pas.’”–N.D.É.] Oui. Bon. En effet, le Prophète en question, c’était Celui dont Moïse avait parlé. Vous voyez, c’était Celui-là le Prophète, vous voyez. Voyez? Mais il savait qui il était, vous voyez. Mais il a bien dit, là, il l’a bien dit, vous voyez, il a bien dit : “Je suis la voix de celui...” C’était lui. Il–il a déclaré ce qu’il était. Voyez? Mais il était un...
397 Allez-y. [Un frère dit : “Là, quand Christ est arrivé, après Jean, ils sont venus à Lui, en disant : ‘On nous a appris à croire qu’Élie allait venir avant le Messie.’ Il a dit : ‘Si vous pouvez le comprendre.’”–N.D.É.] C’était lui. C’est exact. C’est exact. Et Jean répétait constamment : “Je ne suis rien! Je ne suis rien! Je ne suis pas digne de délier le cordon de Son soulier!”
398 Mais Jésus, Lui, quand Il a parlé de lui, qu’a-t-Il dit? Il a dit : “Qui êtes-vous allés voir?” Oui. Oui. “Êtes-vous allés voir un roseau agité par le vent? Ou, qu’êtes-vous allez voir? Un homme vêtu de beaux habits, le luxe et tout ça?” Il a dit : “Ceux-là sont dans les palais des rois. Mais êtes-vous allés voir un prophète? Oui, vous dis-Je, et plus qu’un prophète.” Il était plus qu’un prophète, il était messager de l’alliance. Voilà ce qu’il était. Il était plus qu’un prophète. Il a dit : “Jusqu’à ce jour, il n’y a jamais eu un homme né d’une femme qui ait été aussi grand que lui.” Voyez?
399 Voilà ce que c’était, vous voyez, il était messager de l’alliance. Il est celui qui a présenté, qui a dit : “C’est Lui.” Tous les autres prophètes avaient parlé de Lui, mais Jean a dit : “C’est Lui.” Voyez?
400 Maintenant regardez bien. Maintenant remarquez. Les mages ont suivi une étoile. Je vais présenter la chose d’un point de vue plus secondaire, vous voyez. Les mages ont suivi une étoile, ils ont demandé : “Où est le Roi des Juifs qui vient de naître?” Vous avez entendu ce chant. “Nous avons vu Son étoile en Orient, et nous sommes venus pour L’adorer.” Vous avez entendu ça, vous l’avez lu dans l’Écriture. Très bien :
Vers l’ouest tu nous conduis, toujours nous avançons,
Guide-nous vers Ta Lumière parfaite.
401 Vous voyez, l’étoile guidait vers la Lumière parfaite, parce que l’étoile ne faisait que réfléchir la Lumière. C’est là ce qu’on a eu ici, l’autre jour. Voyez? Combien étaient ici dimanche, ont pu voir ça? Vous voyez, je venais de prêcher là-dessus. La Gloire de la Shekinah s’est reflétée dans l’étoile, et l’étoile réfléchit Celle-ci. De même, l’Ange du Seigneur, qui se trouvait ici, sur l’estrade, L’a réfléchie là-bas, réfléchi la Gloire de la Shekinah. Exactement la même chose. C’était là, exactement. De voir la vraie ici, et de La voir là-bas, réfléchie de ce côté, comme ça. Voyez?
402 Maintenant remarquez ceci : or cette étoile s’était levée en Orient. Pas vrai? C’était une étoile extraordinaire. Bien. Et, en fait, qui était l’étoile terrestre au moment de la venue de Jésus? Jean, bien sûr. C’est lui qui les a guidés vers cette Lumière parfaite. Pas vrai? Ça, c’était en Orient, au moment où Jésus a paru la première fois. Bon, et là de nombreuses petites étoiles font leur trajet sur l’horizon, jusqu’à ce qu’arrive l’étoile du soir.
403 Et l’étoile du soir brille le soir. L’étoile du matin brille le matin. Et toutes deux sont des étoiles de la même taille et du même type. Maintenant, faites le rapprochement, et vous saisirez, voyez. Voyez, voilà, c’est ça. Donc, ce n’est pas l’étoile, ce n’est pas elle le Messie : elle ne fait que refléter le Messie.
404 Or, l’étoile ne réfléchit pas sa propre lumière. L’étoile réfléchit la lumière du soleil. Pas vrai? [Un frère dit : “Non.”–N.D.É.] Hein? [“Dans un sens. C’est la lune qui fait cela; les étoiles, elles, réfléchissent leur propre lumière.”] Oui. Oui, la lune, oui, elle ré-... ce que je veux dire, c’est que la lune réfléchit cette lumière. Oui. Oui–oui. Maintenant, si–si l’étoile réfléchit sa lumière, alors sa lumière doit obligatoirement provenir du... de Dieu, puisque c’est, en quelque sorte, un glacier. N’est-ce pas? [Le frère dit : “Un soleil.”] Pardon? Elle est elle-même un soleil, issu du soleil. [“Ces soleils sont plus loin d’ici que notre soleil.”] Oui. Et ils, on nous dit que ces soleils-là proviennent du grand soleil. Le soleil a craché ces missiles, et ce sont de petits missiles qui brûlent, comme le soleil. Donc, ils sont pour nous des soleils “amateurs”. Pas vrai? Des luminaires “amateurs”. [“Quelques-uns sont... la plupart d’entre eux sont plus grands que notre soleil.”] Je veux dire, pour nous, pour nous, vous voyez. C’est de nous-mêmes que nous parlons, là. Très bien.
405 Donc, s’ils sont pour nous des soleils, ou des émetteurs de lumière, ils sont une partie de l’émetteur principal. Voyez? Le grand soleil nous donne la grande lumière, la lumière parfaite. Les petits soleils, ou les petites étoiles, ces corps que nous pouvons voir, peut-être qu’ils dépassent de beaucoup le–le soleil qui brille : par contre, ce qu’ils reflètent, pour nous, c’est une lumière moindre. Mais ils ne font que rendre témoignage d’une lumière. Pas vrai? Alors, quand le grand soleil se lève, les petits soleils s’éteignent. Pas vrai? Pour nous ils ne sont pas le–le soleil, ils sont des réflecteurs, semblables au soleil. Vous voyez ce que je veux dire?
406 Or, la plus grande d’entre elles, le matin, celle qui proclame l’arrivée du soleil – pour le coucher du soleil et l’arrivée du soleil, il y a l’étoile du matin et l’étoile du soir. Pas vrai? Les deux étoiles parmi les plus grandes, l’étoile de l’est et l’étoile de l’ouest.
407 Alors, là, vous voyez ce qu’il en est? Élie était le messager qui devait acclamer, proclamer l’arrivée de l’étoile de l’est, et il a été prédit que ce serait lui qui proclamerait l’arrivée de la–l’étoile de l’ouest, ou la venue, de nouveau, d’un jour nouveau, après que ce jour-ci sera passé. Maintenant vous voyez ce que c’est?
408 L’est, “la lumière paraîtra au...” Vous voyez, juste avant que soit proclamée l’arrivée du Soleil sur la terre, l’étoile du matin en a rendu témoignage, là : “Le Soleil arrive.” Pas vrai? Vous voyez, c’est ce qui fait paraître l’étoile du matin. Bon, eh bien, l’étoile du matin et l’étoile du soir sont des étoiles du même type, et il y a de petites étoiles un peu partout entre elles. Vous voyez ce que je veux dire, n’est-ce pas? Les messagers.
409 Bon, eh bien, Lui, Il était considéré comme l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, la pierre de Jaspe et de Sardoine. Vous voyez ce que je veux dire? Maintenant, comme la venue de–de Christ approche, alors le Message que devait prêcher Élie dans les derniers jours, si l’histoire se répète... Tout comme l’étoile du matin proclame la venue, là, l’étoile du soir proclame la venue d’un jour nouveau, d’un autre jour. Voici venir le soleil, alors elle proclame le–le départ du–du soleil que nous avons eu et la venue d’un soleil nouveau, vous voyez, d’un âge nouveau, d’un temps nouveau qui arrive.
410 Maintenant écoutez, là : Alors, si Jean a apporté son message et proclamé la première venue de Christ, et qu’au dernier jour Élie arrive, le prophète a dit : “Vers le soir la Lumière paraîtra.” Autrement dit, vers le soir il y aurait une Lumière.
411 Le luminaire du soir, le plus grand luminaire du soir que nous avons, c’est l’étoile du soir, le plus grand luminaire que nous avons. Eh bien, alors, elle devra obligatoirement proclamer le même message que cette autre étoile. Elle proclame l’arrivée du soleil, elle annonce le soleil.
412 Eh bien, nous sommes maintenant au temps du soir, les Lumières du soir sont là. Cet âge n’est plus. Vous voyez ce que je veux dire? Ce jour est passé, et il y aura proclamation de l’arrivée d’un autre Jour.
413 Voyez, c’est qu’en fait... Si quelqu’un était à l’ouest, et regardait en direction de cette étoile, elle serait à l’est. Alors, voyez, “nous avons vu Son étoile en Orient”, mais ils étaient, en fait, ils étaient–ils étaient à l’est, regardant en direction de l’ouest, de cette étoile. Pas vrai? Les mages étaient là-bas, en Occident... là-bas, en Orient, ils regardaient là en direction de l’étoile occidentale. Vous voyez ce que je veux dire? Mais, pour ceux qui étaient à l’ouest, c’était une étoile orientale.
414 Vous voyez, comme nous disons... Je dis toujours : “En bas c’est en haut.” Qui vous dit que ce n’est pas vrai, ça? Nous nous trouvons dans l’Éternité, alors il est possible que le pôle Sud soit en haut et que le pôle Nord soit en bas. Nous ne savons pas. Vous voyez, pour monter il faut descendre. Voyez? Nous sommes... Nous quitterons ceci; après ceci, nous entrerons dans l’Éternité. C’est l’acclamation, la proclamation de l’arrivée d’une Éternité, d’un jour différent, d’un temps différent, et, totalement différent.
415 Nous sommes maintenant au temps du soir. Nous croyons ça. Nous croyons que la venue du Seigneur est proche. Très bien. Alors, s’il en est ainsi, dans ce cas, il faut qu’il y ait une Lumière du soir. Et la Lumière du soir, selon Malachie 4, devait “ramener le cœur des enfants vers les pères”, les ramener au commencement.
416 Or, la première fois qu’il est venu, il ramenait le cœur des pères vers les enfants. Ceux qu’il a réunis autour de lui, c’étaient les enfants. Il devait ramener les enfants... le cœur des pères (des anciens, des vieux pères orthodoxes), les ramener à cette lumière qu’il proclamait là.
417 Mais, quand il revient, il doit faire l’inverse, l’avez-vous remarqué, – avant que le monde soit détruit, avant “le jour de l’Éternel, ce jour grand et terrible”, – “ramener le cœur des enfants vers les pères” : l’étoile du soir–du soir qui, à cette époque-là, était l’étoile du matin. Amen.
418 J’espère–j’espère que ma perception est bonne, vous voyez. L’étoile du soir, qui était l’étoile du matin, parce que c’est la même étoile. Nous sommes à l’ouest, regardant en direction de l’est. Eux, ils étaient à l’est, regardant en direction de l’ouest. C’est exactement la même étoile. Vous voyez ce que je veux dire? C’est l’endroit où on est, vous voyez, qui détermine si c’est l’étoile de l’est ou l’étoile de l’ouest. Vous voyez ce que je veux dire? Très bien.
419 Maintenant elle ramène... L’un ramène la foi des pères vers les enfants; et cette fois, il s’agit de “ramener la foi des enfants vers les pères”. On a bouclé la boucle, on revient au point de départ. Vous voyez ce qu’on veut dire, n’est-ce pas? Vous voyez ce que je veux dire? C’est toujours la même étoile. La même chose, le même Message, la même chose qui revient, de nouveau. Elle est arrivée ici.
420 Alors, comment savez-vous dans quelle direction vous allez? Je crois que l’heure viendra où ils découvriront qu’en fait le monde ne se déplace même pas. Je crois ça de tout mon cœur. Je ne crois pas... quel que soit le nombre de preuves scientifiques qu’ils apportent à cet effet, ou quoi encore. Ils ont présenté beaucoup de preuves scientifiques qu’ils ont été obligés de rétracter. Dieu a dit que le monde s’est arrêté... le soleil. Je veux dire, que le soleil s’est arrêté, non pas le monde. Vous voyez, le soleil. À vrai dire, je ne crois pas que le soleil, je–je–je ne crois pas que le soleil fait ce qu’ils disent qu’il fait. Je sais que la lune se déplace, et je crois que le–le soleil se déplace aussi. Voyez?
421 Mais certaines personnes disent : “Il a vu l’ignorance de Josué, vous voyez, et”, ils disent, “Il a arrêté le... a dit que...” Eh bien, il a dit : “Il a arrêté le monde.”
422 J’ai dit : “Dans ce cas, vous m’avez dit que ‘si le–si le monde s’arrêtait un jour, il serait projeté dans l’espace comme une comète’. Voyez?” J’ai dit : “Alors, qu’est-ce qui s’est passé là?”
423 Je parlais à M. Thiess, ici, qui est enseignant de la Bible à l’école secondaire, – vous savez de qui il s’agit, – mais c’est ce qu’il m’a dit. J’ai dit : “Je crois ce que la Bible dit, que le monde s’est arrêté...” J’ai dit : “Je veux dire, ‘le soleil s’est arrêté’. Josué a dit au soleil : ‘Arrête-toi!’, et il est resté immobile.”
424 Il a dit : “Eh bien, Il a juste arrêté le monde, Il a vu l’ignorance de Josué.”
J’ai dit : “Dans ce cas, faites la même chose par votre intelligence.” Voyez?
425 [Un frère dit : “Je crois qu’ils peuvent démontrer scientifiquement pendant combien de temps le–le soleil s’est effectivement arrêté.”–N.D.É.] Oui, là ils... Ça aussi, je l’ai entendu. Oui, ils prétendent – il y a quelque temps, j’ai entendu un astrologue parler de ça – qu’ils peuvent le prouver. Et qu’au même moment où ils... qu’il s’était produit quelque chose dans l’atmosphère, ils ont vu qu’il s’était produit quelque chose dans le ciel, et c’est ce qui aurait ouvert la mer Rouge à ce moment-là, et tout. Ils ont prouvé tout ça. C’est quelque chose, ah, mes amis, je vous le dis : des astres qui se trouvaient très loin, ailleurs, qui ont provoqué quelque chose du genre à ce moment-là. De toute façon, ça, c’est trop profond pour nous.
426 Bon, alors, la raison pour laquelle ce Message... Ce Message devra vraiment être considéré ainsi, pour prouver qu’il est bien ce qu’il est. Or, nous savons, frères, que l’homme ne peut pas être Dieu. L’homme, et pourtant il est un dieu, chacun de vous est un dieu. Vous avez été créé pour être un dieu, mais pas pendant que vous êtes dans cette vie-ci. Voyez? Jésus était un homme, tout comme nous, mais Dieu était en Lui. La plénitude de Dieu était en Lui; nous, nous avons une mesure de l’Esprit.
427 Mais, étant donné que cette Lumière est arrivée, et si Elle est bien la Lumière véritable, qui doit proclamer le Message que Jean-Baptiste a proclamé, et c’est bien ce qu’Il a dit qu’il avait fait, là-bas à la rivière... Et, regardez un peu, comment est-ce que ça pourrait–comment est-ce que ça pourrait être autre chose? Regardez-moi, vous voyez, je n’ai même pas complété mes études primaires. Quand Il m’a dit les choses qui allaient arriver, pas une seule de ces choses n’a failli. Pas une seule de ces choses n’a failli, à aucun moment. Regardez ce qu’Il a fait. Regardez, Il a même...
428 Et j’ai dit aux frères, bien des années en arrière, – je ne sais pas lequel d’entre nous est le plus âgé, – mais je leur ai dit ces choses, que j’avais vu cette Lumière et de quelle couleur Elle était, et tout. Maintenant la photo le montre, que c’est bien vrai. La vérité de toutes ces choses a été démontrée. Pas vrai? Eh bien, alors, si c’est vrai... Et c’est bien la Lumière.
429 Maintenant, commencez environ quat-... [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.] ...plus haut que ce verset 35, là, ou, je veux dire, le... Commençons vers le verset 14, frère. Qui a le verset? Très bien. Commencez vers le verset 14, du chapitre 3 de Luc, là. [Un frère lit Luc 3.14-16.]
Des soldats aussi lui demandèrent : Et nous, que devons-nous faire? Il leur répondit : Ne commettez ni extorsion ni fraude envers personne, et contentez-vous de votre solde.
Comme le peuple était dans l’attente, et que tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n’était pas le Christ,
Il leur dit à tous : Moi, je vous baptise d’eau; mais il vient, celui qui est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu.
430 Très bien. Qu’est-ce qu’il y avait? Le peuple était dans l’attente de voir paraître le Messie, à un point tel que lorsqu’ils ont vu ce grand ministère oint, d’un homme qui sortait du désert, qui faisait sa campagne et qui retournait dans le désert, beaucoup d’hommes, et c’étaient ses propres disciples, ont dit : “Il est le Messie.” Ils s’attendaient à ça, vous voyez.
431 Alors, si ceci est bien le vrai Message de Dieu, précurseur de la Venue, de Jean-Baptiste, le même... comme, la même chose, le Message d’Élie, on en pensera forcément la même chose. Voyez? Donc, cela répond à cette question, je pense, tout à fait. Voyez? Forcément qu’on en pense la même chose. Voyez?
432 [Un frère demande : “Y a-t-il quelque chose que nous devons faire pour essayer de venir en aide à quelqu’un qui se retrouverait dans ce genre de–de situation conflictuelle? Ou, que pourrions-nous faire?”–N.D.É.] Il n’y aurait rien à faire, il n’y a rien que vous puissiez faire. [“Une mentalité réprouvée... Est-ce qu’on pourrait alors finir par avoir une mentalité réprouvée?”] Eh bien, cela deviendrait une mentalité réprouvée, si on en venait à ceci : si cet homme, dont on disait cela, attestait qu’il était le Messie, alors nous saurions qu’il s’agit là d’un faux christ. Voyez?
433 Vous voyez, tant que l’homme lui-même garde sa position, vous voyez. Par exemple, ce qu’ils disaient à Jean, Jean n’a pas... Il n’est pas fait mention là qu’il ait dit quoi que ce soit à leur sujet. C’étaient–c’étaient les–les gens, les–les Chrétiens charmants qui... ou, les croyants qui avaient foi en Jean.
434 Ils disaient : “Assurément, cet homme est un prophète de Dieu, il n’y a pas de doute.” Ils disaient : “N’es-tu–n’es-tu–n’es-tu–n’es-tu–n’es-tu pas ce Prophète?”
Il a dit : “Non.”
435 Il a dit : “Mais, n’es-tu–n’es-tu–n’es-tu pas le Messie?” Vous voyez, ils–ils pensaient qu’il était réellement Celui-ci. Voyez?
Il a dit : “Non.” Voyez?
“N’es-tu–n’es-tu–n’es-tu pas, qui–qui es-tu donc?”
Il a dit : “Je suis la voix de celui qui crie dans le désert.”
436 Et là, la Bible dit : “Comme le peuple était dans l’attente.” C’était qui, ça? Ses auditeurs, son public, ses disciples, ses frères. Voyez? Or eux, ils ne voulaient pas lui faire du tort, ils ne cherchaient pas à lui faire du tort. Mais, vous voyez, dans leur cœur, ils–ils pensaient vraiment qu’il était le Messie.
437 Bon, eh bien, il faut que l’histoire se répète, chaque fois. Nous savons ça. Il faut qu’elle se répète.
438 Prenez, par exemple, dans Matthieu 3, là, il est dit : “Afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par le prophète : ‘J’ai appelé mon fils hors d’Égypte.’” Or, ce n’était pas... Ça se rapportait à Jésus, le Fils; mais allez chercher la référence : il s’agissait aussi de Jacob, le fils. Voyez? Voyez? Toutes ces choses ont plus d’un sens.
439 Donc, maintenant, si cela... si–si cette chose-là ne surgissait pas, je continuerais à maintenir qu’elle surgira dans le futur, parce que je sais que ce Message vient de Dieu et qu’il est précurseur de Christ; et qu’il s’agit bien de l’Esprit et de la puissance d’Élie, puisqu’il doit ramener le cœur des enfants. Absolument tout le confirme, donc ça ne peut pas faire autrement que susciter quelque chose du genre, parmi les gens qui sont vrais, qui–qui croient réellement, et qui sont vos frères et vos amis.
440 Or, on m’a... J’ai un médecin ici même, dans cette ville. Je peux vous parler d’un médecin... Je ne vais pas vous dire qui c’est, un ami à moi, qui m’a donné l’accolade en disant : “Billy, il me serait facile de te dire que ‘tu es le Messie de Dieu pour ce dernier jour’.” Voyez?
J’ai dit : “Docteur, ne fais surtout pas ça.”
441 Il a dit : “Eh bien, je ne vois personne au monde qui ait déjà eu quoi que ce soit, dit les choses et fait les choses que tu fais, Billy.” Cela l’a beaucoup aidé, vous voyez. Il a dit : “Je vais dans ces églises, je vois ces prédicateurs et tout,” il a dit, “toi, tu es différent d’eux, et je sais que tu n’as pas d’instruction.” Voyez? “Et je sais que tu n’es pas un psychologue, parce que tu... la psychologie ne peut pas faire ces choses.” Voyez?
Et j’ai dit : “C’est vrai, docteur.”
442 Il est inutile d’en parler avec lui, parce qu’il ne sait même pas; avec lui, on n’arriverait même pas au premier but, vous voyez, parce qu’il ne sait pas ce qu’il faut faire. Mais, c’est ça, vous voyez.
443 Je connais une femme de couleur qui habite dans ma rue, et elle travaille pour un autre homme que je connais, et la femme de cet homme a téléphoné, elle a dit : “Cette femme serait carrément prête à vous vénérer comme un dieu, parce qu’elle se mourait d’un cancer, et vous avez imposé les mains à cette femme et avez dit qu’elle...” Cette femme pour qui elle travaille, son mari et un certain médecin (pas le médecin dont je parlais, un autre médecin) jouent au golf ensemble, et tout ça, et celui-ci avait abandonné son cas. C’était donc la bonne de son copain, qu’il avait condamnée, et elle a été guérie, absolument. Et le médecin n’en trouvait même plus la moindre trace, de ce cancer. Et, vous voyez, elle serait prête à dire...
444 Or, ce qu’ils veulent dire par là, ce n’est pas ce que je pense qu’ils veulent dire, ou ce que nous supposons qu’ils veulent dire. Voyez? Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’ils–qu’ils... Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’ils croient que Dieu est avec nous, en nous, qu’Il agit à travers nous, et non pas qu’un individu est Dieu, vous voyez. En effet, ils savaient que Jean n’était qu’un homme.
445 Et Jésus aussi n’était qu’un homme. Jésus n’était qu’un homme, Il est né d’une femme, Il lui a fallu mourir. Pas vrai? C’était un homme, il fallait qu’Il mange et qu’Il boive, Il a eu faim, Il a pleuré, Il a eu soif, et tout, c’était un humain autant que vous, un humain autant que moi. Mais l’Esprit de Dieu était en Lui, dans Sa plénitude, sans mesure. Il était omnipotent, de par cette puissance.
446 Tandis qu’Élie, ce n’était qu’une portion de cet Esprit; il avait peut-être été oint un peu au-dessus de ses frères, mais ce n’était qu’une portion de l’Esprit. Mais les gens attendaient le Messie. Et, en voyant cette portion au-dessus de leurs frères, ils ont dit : “Oh! la la! ce doit être Lui!”
447 Mais quand Lui a commencé à briller, la petite lumière de Jean s’est éteinte. Voyez?
448 De même, ces petites lumières s’éteindront, lorsque Lui viendra, ce glorieux Oint, le Christ du Ciel, qui paraîtra de l’orient jusqu’en occident. Et... et... Voyez? Mais Il ne sera pas sur la terre, là, le Messie ne sera pas sur la terre avant que le Millénium commence. Voyez? Voyez? En effet, l’Église, “nous serons tous ensemble enlevés à la rencontre du Seigneur dans les airs”. Il ne vient pas sur la terre. Il enlève Son Épouse.
449 Il se sert d’une échelle, vous savez, comme... Ça s’appelait comment, déjà, Léo, cette pièce où l’homme a posé l’échelle contre la maison? Roméo et Juliette. C’est ça. Il a posé l’échelle et a enlevé discrètement son épouse.
450 Maintenant, voici qu’Il descend par l’échelle de Jacob, et dit : “Psitt, Chérie, viens par ici.” Vous voyez, nous allons monter à Sa rencontre.
451 [Un frère demande : “Frère Branham, par rapport à cela, alors, est-ce que ceci serait exact? Ces gens sont venus à Jean-Baptiste, et ils voulaient l’appeler le Messie. Une fois, je vous ai entendu dire que les Juifs croient que le Messie est Dieu.”–N.D.É.] Vous dites? [“Je dis : Ces gens sont venus à Jean-Baptiste, pensant qu’il était le Messie, le Christ. Une fois, je vous ai entendu dire que, d’après les Juifs, le Messie sera Dieu.”] Oui, monsieur. C’est exact – le “rabbin”.
452 [Un frère dit : “Eh bien, Jean les a repris, il a dit qu’il ne l’était ‘pas’, que le Christ allait venir.”–N.D.É.] C’est exact. [“Mais n’est-il pas vrai que les disciples ont appelé Jésus ‘Seigneur’? Et ça, Jésus l’a accepté, Il a dit : ‘Vous M’appelez “Seigneur”, et Je le suis.’”] Oui. [“Dans–dans Jean 13, le passage où Il a lavé...?...”] Oui, Il l’a admis. [“Comme Il était Seigneur, oui, Il l’a admis.”] Il l’a admis. [“Il l’a accepté.”] Oui–oui. Mais, vous voyez, Jésus, puisqu’Il était Seigneur, quand on Lui a demandé s’Il l’était, Il a dit : “Oui monsieur. Je suis votre Seigneur et Maître. Vous M’appelez comme ça, et vous dites bien, car Je le suis.” Mais... [“Mais il n’y a jamais eu un autre être qui ait, qui...”] ...ait pu dire ça. Non.
453 Par exemple, si... Si quelqu’un disait que je suis un dieu, eh bien, je vous le dis, au Nom du Seigneur Jésus : “C’est une erreur, ça!” Vous voyez, je suis un pécheur sauvé par la grâce, qui a reçu un Message de la part de Dieu. Voyez? Voyez?
124. L’église locale devrait-elle, ou ne devrait-elle pas, veiller d’abord à s’acquitter de ses propres, de ses–ses responsabilités locales (propres), avant de subvenir à des besoins à l’étranger, dans d’autres pays? Toutefois, après qu’elle... ses... après qu’elle a pourvu à ses besoins, il est Scripturaire pour l’église locale d’aider l’œuvre missionnaire dans la mesure de ses moyens?
454 Oui. C’est exact. Charité bien ordonnée commence par soi-même, vous voyez. Nous–nous–nous subvenons à nos propres besoins, ici, parce que nous... ceci est l’église de Dieu, ou quelque, votre petite église, l’église de Dieu. Alors, si vous n’avez même pas les moyens de verser un salaire à votre pasteur, si vous n’avez même pas les moyens de vous procurer des livres de cantiques et tout ça, vous ne devriez pas envoyer votre argent ailleurs. Voyez? Mais, par contre, une fois que vous avez remboursé l’emprunt de votre église, et tout, que toutes vos dettes ont été payées, que tout est arrangé, fin prêt et que ça roule, alors venez en aide à cet autre frère qui a besoin d’un peu d’aide là-bas, vous voyez. Ayez un petit...
455 Je crois que, pendant que... Si vous êtes toujours à rembourser l’emprunt de l’église, moi, ce que je ferais, c’est que je mettrais aussi en place un petits fonds, quelque part, en vue de recueillir des offrandes pour les missions, si les gens ont à cœur de faire des dons aux missions. En effet, bien des gens font des dons aux missions, alors qu’ils n’en font pas aux églises locales et tout ça. Donc, s’ils ne donnent pas aux missions, ils vont dépenser cet argent pour autre chose. Alors, je dirais ceci : il faudrait avoir une petite boîte destinée aux offrandes pour les missions, et je... C’est ce que nous, nous avons essayé de faire.
125. Luc 1.17, s’il vous plaît expliquer la venue de Jean avec “l’esprit d’Élie”.
456 Eh bien, je pense que nous venons de voir Luc–Luc 1.17, oui, qu’il est venu avec “l’esprit d’Élie”.
457 [Un frère demande : “Est-ce là que les adhérents de la réincarnation puisent leur doctrine?”–N.D.É.] Pardon? [“Est-ce là que les gens qui croient à la réincarnation ont pris les rudiments de leur théorie?”] Probablement. [“Vous voyez, eux, ils croient qu’il est revenu dans...”] Oui. [“...qu’il est revenu dans un autre corps.”] Oui, vous voyez, il est vrai qu’un esprit ne meurt jamais. C’est vrai. Dieu reprend Son homme, mais jamais Son Esprit. [“Ils disent : ‘Si vous avez été bon, vous reviendrez dans–dans quelqu’un de très bien.’”] Oui. Oui. [“‘Si vous avez été méchant, il se peut que vous reveniez dans un chien.’”] Oui, ils ont... Oui.
458 Bon, par exemple, là, en–en–en Inde, là-bas, nous nous sommes réunis, un groupe d’hommes, comme ceci, et ils–ils nettoyaient même le plancher avec un balai à franges : en marchant sur de petites fourmis ou quelque chose du genre, ils auraient peut-être écrasé quelqu’un de leur parenté ou quelque chose du genre. Vous voyez, ils ne voulaient pas faire ça. Mais, vous voyez, ça, c’est–c’est du paganisme. Voyez? C’est du paganisme. C’est vrai.
126. Paul a dit aux... Paul a dit qu’il fallait “aspirer aux dons les meilleurs, et je vais encore vous montrer une voie par excellence”. S’il vous plaît expliquer quelle est cette “voie par excellence”.
459 L’amour, I Corinthiens 13, vous voyez. “Aspirez...” Prenez I... prenez donc I Corinthiens 13, là, frère. I Corinthiens, chapitre 13, et maintenant, lisez-en seulement les trois ou quatre derniers versets. I Corinthiens 13, les derniers, environ les trois derniers versets du chapitre–du cha-...
[Un frère lit I Corinthiens 13.11-13 :
Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant.
Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu.
Maintenant donc ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, la charité; mais la plus grande de ces choses, c’est la charité.–N.D.É.]
Oui, la charité. Voyez?
127. Comment doit-on condamner un frère dont le point faible est de s’attribuer une position dans l’église, sans qu’on le lui ait demandé?
Oh! la la! Eh bien, supportez-le, je pense. Voyez?
Comment doit-on condamner un frère... On ne doit pas le condamner. ...dont le–dont le point faible est de s’attribuer une position dans une église, sans qu’on le lui ait demandé?
460 Par exemple, s’il tenait à–à être diacre. Voyez? Et on ne le lui a pas demandé, mais il tient quand même à être diacre, vous voyez. Eh bien, si quelqu’un est comme ça, vous savez qu’il y a un petit quelque chose, là, vous voyez, une faiblesse quelque part, de toute façon, alors, à votre place, je le traiterais avec amour, quoi.
461 Évidemment, jamais on ne voudrait être coupable de–de faire une chose pareille, sans savoir pertinemment ce que l’on fait. Mettez en poste le meilleur homme possible, sur votre conseil, vous voyez, comme ça. Frère, n’allez jamais mettre en poste personne qui... Éprouvez d’abord cet homme. Le diacre a plus de responsabilités que le pasteur. Il doit être irréprochable, le diacre doit l’être. Voyez?
128. À un service de communion, un homme s’est avancé à l’autel pour prier. Frère Branham était debout, derrière les–les éléments de la communion, pendant qu’on les servait, il a dit qu’il “ne pouvait pas s’éloigner pour aller prier à l’autel avec cet homme”. S’il vous plaît expliquer.
462 J’ai envoyé mon adjoint, vous voyez, Frère Neville. Je me rappelle le soir où c’est arrivé. Je dois rester près de la table de communion, vous voyez, même quand... Regardez un peu. Bon, je n’ai pas le temps d’approfondir ça. C’est quelqu’un qui est assis ici qui a posé la question, bien sûr. Voici ce qu’il en est, frère. Quand–quand vous avez la communion, ça, c’est une représentation du corps de Jésus-Christ. Cela peut être... Cela doit être tenu sous bonne garde, tout le temps.
463 Regardez, quand Élie a dit à–à Guéhazi : “Prends mon bâton,” (il avait béni ce bâton), il a dit, “pars. Et si quelqu’un te parle, ne réponds pas. Si quelqu’un te salue, ne le salue pas. Poursuis ton chemin, et mets ce bâton sur le petit.” Pas vrai? “Ne lâche pas ce bâton!” Voyez? Et c’est ce que je faisais.
464 Par contre, s’il n’y avait pas eu de pasteur adjoint qui se trouvait là, présent... J’avais fini de prêcher. Je me rappelle quand c’est arrivé. Et je, s’ils, si Frère Neville n’avait pas été ici, ou quelqu’un qui puisse venir en aide à cet homme qui était devant l’autel... Je venais de finir de prêcher, alors, j’étais debout près de la table de communion. Et au moment où les gens allaient recevoir la communion, je m’apprêtais déjà à–à donner la communion. Frère Neville était juste là, et c’est moi qui servais la communion. Donc, Frère Neville se trouvait là.
465 Et si cette personne s’était avancée à l’autel pendant que Frère Neville apportait sa prédication, qu’il était en train de prêcher? C’est moi qui serais allé auprès de cet homme, devant l’autel, s’il s’était levé pendant la réunion, pendant qu’il prêchait, s’il s’était avancé à l’autel. J’aurais vu que mon frère était, qu’il avait l’onction de l’Esprit. Il était en train d’exercer son ministère. Il était un ministre dans, il était là, dans l’exercice de ses fonctions, un ministre dans l’exercice de ses fonctions.
466 Et vous ne devez jamais laisser les gens parler en langues, ni interrompre, en aucune façon, un ministre dans l’exercice de ses fonctions. Toutefois, si le Saint-Esprit parle à quelqu’un, et que cette personne se précipite vers l’autel pour recevoir le salut, eh bien, que le ministre poursuive l’exercice de ses fonctions; qu’un pasteur, un diacre, un adjoint, s’il y a un adjoint, ou n’importe quel autre ministre, que lui, il aille tout de suite auprès de cette personne. Ne dérangez pas le ministre dans l’exercice de ses fonctions. Voyez?
467 Et je me trouvais là, derrière la chaire, dans l’exercice de mes fonctions, en train de donner la communion. Mon adjoint, Frère Neville, se trouvait près de moi. Un homme s’est précipité vers l’autel, j’ai dit : “Allez, va auprès de lui, Frère Neville.” Et Frère Neville est allé auprès de lui. C’est pour ça que je n’y suis pas allé.
468 Par contre, s’il n’y avait pas eu un adjoint présent, ni personne qui puisse aller auprès de cet homme, j’aurais quitté l’estrade, j’aurais arrêté la communion, je serais allé là et–et j’aurais mené cette âme au salut. Vous voyez? Mais, étant donné qu’il y avait quelqu’un que je pouvais envoyer – c’est que cela m’aurait détourné de l’exercice de mes fonctions, vous voyez, là j’étais en train de servir la communion.
129. Que peut faire quelqu’un... Que peut faire quelqu’un qui agit comme accompagnateur spirituel auprès d’une personne qui recherche le Saint-Esprit, tout en agissant en conformité avec les Écritures?
469 Très bien. Citez-lui continuellement la Parole, c’est la meilleure chose à faire. La Parole a la Lumière. Dites seulement : “Frère, Jésus L’a promis. Rappelez-vous, c’est Sa promesse.”
470 Ne le secouez pas, ne le poussez pas, ne le bousculez pas, ou quelque chose comme ça. N’essayez surtout pas de–de... non, n’essayez pas de Le lui donner, parce que vous ne pouvez pas le faire. Voyez? Voyez? Vous... Dieu Le lui donnera. Citez-lui continuellement les promesses, c’est tout. Voyez? Restez là, à citer constamment la promesse. “Dieu du Ciel, je prie pour mon frère. Ta promesse, c’est que Tu lui donneras le Saint-Esprit.”
471 Et puis, si vous cherchez à l’encourager... Il dit : “Oh, frère, pasteur, frère,” à la personne qui est près de lui, “je–je désire recevoir le Saint-Esprit.
472 – Frère, c’est une promesse. Dieu a fait la promesse. Croyez-vous qu’Il a promis? N’en doutez surtout pas. Si vous croyez la promesse, le Saint-Esprit viendra vers vous d’un moment à l’autre, là. Attendez-vous à Le recevoir. Abandonnez-Lui tout ce que vous avez, et dites : ‘Seigneur, je m’appuie fermement sur Ta promesse.’”
473 Donc, citez continuellement. Alors, amenez votre–votre–votre–votre sujet, vous voyez, amenez-le à lâcher prise... Citez continuellement. Bon, dites : “Dites à Dieu. Bon, vous êtes-vous repenti?
– Oui.
474 – Alors, dites : ‘Seigneur; Tu as dit que, si je me repentais, Toi qui es juste, Tu allais me pardonner. Tu as dit que, si je me repentais et me faisais baptiser au Nom de Jésus-Christ pour la rémission de mes péchés, je recevrais le Saint-Esprit. Maintenant, Seigneur, j’ai fait cela. J’ai fait cela, Seigneur. Je l’ai fait. J’attends, Seigneur. Tu l’as promis.’”
475 Vous voyez, voilà la manière de faire, continuez simplement à l’encourager. Ramenez-le toujours à la Parole. S’Il doit venir, Il viendra, c’est le moment.
130. Est-ce qu’un prédicateur ou n’importe quel Chrétien fait bien de ne pas croire à... Non : Est-ce qu’un prédicateur ou n’importe quel Chrétien fait bien de ne pas croire à la sécurité Éternelle?
476 Maintenant, voyons un peu. J’imagine que ce “...fait...” Voyez si vous lisez la même chose que moi. Lisez-la. [Un frère lit la question : “Est-ce qu’un prédicateur ou n’importe quel Chrétien fait bien de ne pas croire à la sécurité Éternelle?”–N.D.É.]
Je pensais bien l’avoir lue comme il faut. Maintenant, eh bien, je...
Est-ce qu’un prédicateur fait bien de ne pas croire à la sécurité Éternelle?
477 Je serais porté à croire que le prédicateur fait... s’il ne sait rien au sujet de la sécurité Éternelle. Par contre, s’il est au courant et s’il sait que c’est la Vérité, et qu’il ne le prêche pas, il devrait vraiment avoir honte; c’est vrai. Ou n’importe quel Chrétien. Maintenant, le Chrétien, là, je dirais au–au Chrétien qui n’a pas une très bonne compréhension de la chose...
478 [Un frère demande : “Ce n’est pas une doctrine accessible à tous, n’est-ce pas, Frère Branham, devant être prêchée à des gens qui n’ont jamais...?”–N.D.É.] Non, non, non. C’est justement là où je voulais en venir. Oui. Voyez? Voyez?
479 Bon, vous vous rappelez ce que j’ai dit dimanche passé? Si vous êtes prédicateur, trouvez-vous une chaire. Sinon, que votre vie soit votre prédication. Vous voyez, c’est la meilleure manière de le faire : que votre vie soit votre prédication. Si vous êtes prédicateur, trouvez-vous une chaire, vous voyez, et allez-y, prêchez. Si vous ne l’êtes pas, que votre vie soit votre prédication, voilà, que votre vie soit votre chaire. Voyez? Je pense que ça, ça règle bien des choses, pas vous? Voyez? Voyez? En effet, nous avons constaté que souvent... Et vous, les frères, faites cela, dans vos églises.
480 Souvenez-vous, les laïques de votre église, parfois, ils vont chercher à expliquer des choses et à faire des choses, il vaut mieux les aviser de ne pas faire ça. Et si quelqu’un désire savoir quelque chose, qu’il vienne voir un de... celui qui a été instruit pour le faire. Vous voyez?
481 Dites, eh bien, là, par exemple, si quelqu’un disait : “Hé, je dis... On me dit que vous autres, à votre église, vous croyez à la sécurité Éternelle.”
482 Là, il vaut mieux faire bien attention. Vous allez probablement vous mettre dans un beau pétrin, plus que jamais, vous voyez, et rendre l’autre pire que jamais. Dites : “Voici ce que je vous propose : si vous voulez bien venir poser la question à notre pasteur, vous voyez. Vous–vous n’avez qu’à aller lui parler, vous voyez. Nous... C’est effectivement vrai, je sais que notre pasteur y croit. Moi aussi, j’y crois, mais je ne suis pas apte à étayer... Je ne suis pas prédicateur. Moi, j’y crois, voilà, c’est tout ce que j’en sais. J’y crois, parce que je l’ai entendu expliquer cela par la Bible, tellement bien que pour moi, il n’y avait pas l’ombre d’un doute.” Voyez?
483 Mais il vaut mieux laisser les–il vaut mieux laisser les laïques parler de ça avec le pasteur. Et le pasteur, de son côté, doit être bien sûr qu’il sait comment répondre. Donc, étudiez ça à fond, parce que, bien des fois, ils vont vous mettre dans l’embarras, vous voyez. Quoi...
484 [Un frère dit : “Frère Branham?”–N.D.É.] Excusez-moi. [“Je me sens un peu culpabilisé, là, mais je–je connais ma vocation, et j’ai affermi mon élection.”] Oui. [“Vous venez de dire, là : ‘Si vous êtes prédicateur, vous devriez avoir une chaire.’”] Oui, monsieur. C’est exact. [“Je ne suis pas prédicateur, je suis évangéliste.”] Oui, monsieur. [“Mais, ma chaire, c’est celle de tout le monde.”] C’est exact. [“Seulement voilà, en ce moment je travaille, je fais un travail physique. Ce n’est pas un travail dur, mais je travaille, et je n’ai pas de chaire à moi. Et je crois que cette période où je travaille, c’est dans la volonté du Seigneur. Il m’a dit de le faire, par la Parole, et l’Esprit en a rendu témoignage. Et je crois que, plus tard, des portes s’ouvriront pour que j’accède à la chaire.”] Bien sûr, c’est exact. [“Pas vrai?”] C’est exact, frère.
485 Frère, bon, si vous allez chercher les vieux livres de l’église, vous verrez là que, pendant dix-sept ans, j’ai été pasteur de cette église, je prêchais tous les jours, je prêchais tous les jours et je travaillais tous les jours. Voyez? [Un frère dit : “Si vous travaillez, c’est une bonne preuve que vous avez réellement été appelé.”–N.D.É.] Oui. Paul travaillait, n’est-ce pas? Paul faisait des tentes. [“Je pourrais céder au découragement, parce que, comme vous l’avez si bien dit, si je suis prédicateur, je devrais avoir une chaire. Je suis... Je pourrais céder au découragement, mais je sais que Dieu m’a appelé à avoir un travail, pour un temps.”] Bien sûr. Paul est allé faire des tentes, n’est-ce pas? Il a travaillé de ses mains, pour ne pas avoir à... C’est exact. Bien sûr. [“Oui, oh, eh bien, c’est de lui que j’ai eu ça, de Paul.”] Ah. C’est exact. Voyez? John Wesley a dit : “Ma paroisse, c’est le monde.” Alors, vous pouvez toujours accéder à votre chaire, frère. Les évangélistes vont par tout le monde. N’est-ce pas vrai? “Allez par tout le monde.” Alors, votre chaire, c’est le monde entier. Oui monsieur.
Question :
131. Est-il de règle, r-è-g-l-... Est-il de règle que le diacre ou l’administrateur doive se conformer à la doctrine de son église? Oui. C’est exact. Ont-ils le droit d’ajouter quelque chose aux enseignements ou d’en retrancher quelque chose, en raison de leur opinion ou de leur révélation personnelles? Non monsieur. Non.
486 Que ce soit le diacre ou l’administrateur, ils doivent être en harmonie parfaite avec la–avec la doctrine de leur église. Ils doivent s’en tenir, de façon parfaite, à l’interprétation des Écritures de leur église, parce que, sinon, ils se battent contre la chose même, ils–ils se font du tort à eux-mêmes. Voyez? Vous luttez...
487 Autrement dit, c’est comme si–si–si je disais que j’aime ma famille et que je cherche à lui donner du poison. Vous voyez, même chose. Vous voyez, on ne peut pas faire ça, on...
488 Que ce soit le–l’administrateur ou le diacre, lorsqu’ils acceptent cette fonction, ou toute personne qui occupe une fonction dans une église, qui représente un certain corps d’église, vous voyez, qui représente une église.
489 C’est pour cette raison que j’ai quitté l’église baptiste, vous voyez, la toute première fois. Je n’y étais que depuis peu de temps, et ils–ils m’ont demandé d’ordonner des femmes prédicateurs. Eh bien, je ne pouvais vraiment pas rester. J’ai dit : “Je–je refuse de le faire.”
490 Et le pasteur m’a brusqué. “Qu’est-ce que c’est que ces façons? Tu es un ancien!”
491 J’ai dit : “Docteur Davis, malgré tout le respect que je dois à la foi baptiste et tout ce qu’implique mon ordination, je ne savais pas qu’ordonner des femmes était un point de doctrine de l’église baptiste. C’est une chose qui n’avait pas été spécifiée.”
Et il a dit : “C’est bien la doctrine de cette église.”
492 J’ai dit : “Monsieur, puis-je être dispensé d’assister au culte ce soir, ou accepteriez-vous de répondre à quelques-unes de mes questions?” Voyez?
493 Il a dit : “Je vais répondre à tes questions.” Il a dit : “C’est ton devoir d’être présent.”
494 J’ai dit : “Effectivement, monsieur. C’est exact. Je suis censé participer à tout ce que fait cette église. J’y suis, en tant qu’un des anciens de l’église locale, dans l’exercice de mes fonctions.” Et il a dit... J’ai dit : “Pouvez-vous m’expliquer pourquoi, dans I Corinthiens 14 ou 15, là, ce passage où Paul a dit : ‘Que les femmes se taisent dans les assemblées, il ne leur est pas permis d’y parler.’”
495 Il a répondu : “Mais, bien sûr!” Il a dit : “Si... Je peux donner la réponse à ça.” Il a dit : “Tu vois, voici ce qu’il y avait,” il a dit, “Paul a dit... Toutes–toutes les femmes étaient assises dans leur coin, à jacasser comme elles le font souvent. Il a dit : ‘Ne les laissez pas faire ça.’ Tu vois?”
496 Et j’ai dit : “Dans ce cas, expliquez-moi II Timothée, le passage où Paul a aussi dit, ce même scribe, ce même apôtre a dit : ‘Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité, voyez, mais elle–elle doit être soumise. Car Adam a été formé le premier, Ève ensuite, et ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui a été séduite.’ Elle est séduite. Or, je ne dis pas qu’elle veut faire du mal, mais franchement, elle le fait parce qu’elle est séduite. Elle ne doit pas enseigner.”
Il a dit : “Est-ce là ton opinion personnelle?”
497 J’ai dit : “C’est l’opinion de l’Écriture, d’après ce que je vois. C’est ce que la Bible dit.”
498 Il a dit : “Jeune homme, on pourrait te retirer ton permis pastoral à cause de ça.”
499 J’ai dit : “Je vais leur épargner d’avoir à se donner tout ce mal. Je vais simplement le rendre moi-même, Docteur Davis.” J’ai dit : “Sans vouloir vous manquer d’égards.” Mais il a refusé. Il a laissé tomber, laissé tomber l’affaire.
500 Ensuite il m’a dit qu’il allait avoir un débat avec moi sur la question. Et j’ai dit : “Très bien, au moment qui vous conviendra.” Mais il–il ne l’a pas fait.
501 Et donc, un–un peu plus tard, là, quand le Seigneur m’a parlé, et que le–l’Ange du Seigneur est venu, alors–alors il s’est carrément moqué de Cela, vous voyez. Et là je–je lui ai simplement dit, j’ai dit : “Eh bien, Docteur Davis, il vaut mieux que je m’en débarrasse tout de suite, vous voyez,” j’ai dit, “parce qu’autrement ça deviendrait un fardeau. De toute façon, je viens à peine d’être ordonné, donc, c’est quelque chose qui deviendrait un fardeau, alors autant m’en débarrasser tout de suite.”
502 Et donc, si je ne pouvais pas continuer à faire partie de l’église baptiste, et enseigner la doctrine baptiste, et défendre la foi baptiste. Si je l’avais fait–si je l’avais fait, juste parce que c’était une église, eh bien, là j’ai tort, vous voyez, je cache quelque chose. Et si je–si je–si je suis honnête avec moi-même, j’irai voir les baptistes (soit mon pasteur ou celui qui pourra me fournir les explications) et leur demanderai une–une parole de Vie; s’il peut me montrer avec précision que c’est bien conforme à l’Écriture, et que j’en sois satisfait, alors je le dirai exactement comme eux le disent, vous voyez, et je serai un baptiste.
503 C’est pour ça que je suis indépendant. C’est pour ça que je ne fais pas partie des organisations, c’est parce que je ne crois pas aux organisations. De plus, je crois que c’est contraire aux Écritures, ça, une organisation.
504 C’est pourquoi je ne pourrais faire partie d’aucune organisation et considérer que j’ai raison de faire ça. Voyez? Par conséquent, je ne cherche pas à faire entrer des gens pour en faire des membres, et ainsi de suite comme ça, parce que je crois que nous sommes membres par une naissance, nous entrons dans l’Église du Dieu vivant par une naissance. Voyez?
505 Nous ne retirons pas les noms des gens d’un registre, et nous ne les excommunions pas, et ainsi de suite comme ça, parce que je crois que ces choses ne relèvent pas de nos–nos fonctions. Je crois que c’est Dieu qui se charge d’excommunier des gens. Voyez? Par contre, je crois que l’église, si un frère faisait quelque chose de mal...
506 Par exemple, si–si on surprenait Frère Neville, ou Frère Junior, ou Frère... un frère, ici, l’un des diacres ou des administrateurs, ou quelqu’un, à faire quelque chose de mal, je crois que ce qu’il faut faire, c’est que l’église réunie prie pour ce frère. S’il ne met toujours pas sa vie en ordre, alors, que deux ou trois frères aillent avec lui, aillent vers lui, pour l’amener à se réconcilier. Et là, s’il refuse, alors il faut présenter cela devant l’église. Et alors, là, s’ils refusent toujours, c’est à ce moment-là que toute l’église, vous voyez, que le pasteur, les anciens et tout, agissent. Je ne crois pas qu’aucun conseil des diacres n’a le droit d’expulser quelqu’un de l’église, ni qu’aucun conseil d’administration, ni qu’aucun pasteur n’a le droit de le faire.
507 Je crois que si l’on devait couper la communion avec quelqu’un, ce serait parce qu’il mène une vie immorale, ou quelque chose du genre, qu’il n’est pas digne, par exemple, un homme qui viendrait ici et qui salirait nos jeunes filles, ou–ou qui insulterait nos femmes, et ce genre de chose là, tout en continuant à professer qu’il est l’un des nôtres, ici. Voyez? Bon, s’il est du dehors et qu’il entre ici, eh bien, là, nous devons faire quelque chose, mais, quand il s’agit d’une personne comme ça, d’une personne immorale qui cherche à coucher avec nos femmes ou–ou qui insulte nos filles, ou, vous savez, quelque chose du genre, ou qui a un comportement indécent avec elles, ou qui sort avec nos jeunes garçons, qui en fait des pervertis, ou quelque chose comme ça.
508 Ces choses-là doivent être réglées sans tarder, et on doit couper la communion avec ce gars-là et ne pas lui permettre de prendre la sainte cène, parce que nous ne devons pas faire ça. Non. “Si quelqu’un mange indignement, il est coupable envers le Sang et le corps du Seigneur”, cette personne-là.
509 Mais je crois que, par exemple, quelqu’un qui dit : “Bon, eh bien, lui, là, il–il est ceci, cela.” Priez pour lui. Voilà.
510 Je n’oublierai jamais, à Stockholm, en Suède, Frère Lewi Pethrus, un grand homme de Dieu. Nous étions à table, quelques heures seulement avant de revenir en Amérique. Nous avions eu des réunions glorieuses là-bas. Et il a dit, Gordon Lindsay a dit : “Qui est le surveillant de ce grand corps?” Oh! la la! cent fois supérieur aux Assemblées de Dieu, vous voyez. Il a dit : “Qui en est le surveillant?”
Et Lewi Pethrus, très courtois, a dit : “Jésus.”
Il a dit : “Vos anciens, c’est qui?”
Il a dit : “Jésus.”
511 Il a dit : “Je sais, c’est vrai, ça,” il a dit, “nous croyons la même chose au sujet de nos Assemblées de Dieu.” Il a dit : “C’est vrai.” “Mais,” il a dit, “disons, par exemple, qu’un–qu’un frère aille de travers,” il a dit, “qui a son mot à dire, quand il s’agit de l’exclure?”
Il a dit : “Nous ne l’excluons pas.”
“Eh bien,” il a dit, “vous faites quoi?”
512 Il a dit : “Nous prions pour lui.” J’ai trouvé ça mignon tout plein! Pour moi, c’est ça être Chrétien : “Nous prions pour lui.” Personne ne l’exclut, ils prient pour lui.
513 Il a dit : “Eh bien, alors, si quelques-uns des frères sont d’accord,” il a dit, “et que quelques-uns, eux, ne veulent plus fraterniser avec lui? Quelqu’un qu’on avait accepté, par exemple, un pasteur, vous voyez, qui devient un homme à femmes parmi les... Vous savez ce que je veux dire, ce genre de chose là, et que quelques-uns des pasteurs ne veulent plus l’accepter dans leurs églises. Vous autres, qu’est-ce que vous faites, vous le mettez à la porte de votre organisation?”
514 “Non.” Il a dit : “Nous le laissons tranquille et nous prions pour lui.” Il a dit : “Nous n’en avons encore jamais perdu un seul. Ils reviennent toujours, d’une manière ou d’une autre.”
515 Il a dit : “Eh bien,” il a dit, “mais alors, si...” Il a dit : “Si quelques-uns disent qu’ils veulent l’accepter, et que les autres disent que non? Alors, qu’est-ce qui arrive dans ce cas-là?”
516 Il a dit : “Eh bien, ceux qui veulent l’accepter, ils l’acceptent; ceux qui ne veulent pas l’accepter, ils ne sont pas obligés de l’accepter.”
517 Alors–alors, je trouve que c’est une bonne façon de faire, n’est-ce pas, les frères? Et comme ça, nous sommes “frères”.
518 Maintenant, frères, j’espère que ces choses ont apporté quelques petits éléments de réponse, ou quelque chose, que nous avons–avons tiré profit de notre réunion ici, ce soir. Je vais bientôt partir, là, pour quelque temps, je vais faire des réunions dans l’Ouest. Je vous demande bien humblement de prier pour moi.
519 Quelques-unes de mes réponses ici, peut-être que beaucoup d’entre elles, peut-être qu’aucune d’entre elles n’était juste. Je ne sais pas. Mais, c’est ce que j’ai pu rassembler pour présenter le mieux possible ma façon de voir les choses, vous voyez, pour essayer d’expliquer Cela. Peut-être que les dernières, en particulier, celles qui sont arrivées en dernier, je n’ai pas eu le temps de les étudier. Et je n’ai tout simplement pas, c’étaient, ce que je veux dire, c’est que c’étaient des Écritures que nous examinons ici, chaque fois, jour après jour, à l’église. J’avais pensé qu’on aurait peut-être quelque chose de très ardu, ce qui nous aurait amené à devoir vraiment entrer dans de grands développements, mais c’était plutôt des questions d’église.
520 Je suis heureux de voir que vous maintenez cette position-là : il n’y a pas de désordre, pas de mécontentement, pas de confusion. Pas de question où on contestait Cela, en disant : “C’est faux, Ceci est faux, nous ne voulons pas de Cela.” C’était juste des frères désireux de connaître quelque chose qui leur permettrait d’affermir leur position, c’est tout, là, d’affermir, de resserrer–resserrer un peu plus l’armure, la resserrer d’un cran. J’espère que nous aurons l’occasion de nous réunir encore bien des fois comme ceci, pour resserrer l’armure.
521 Et, souvenez-vous, frères, mon armure, à moi aussi, a besoin d’être resserrée. Alors priez Dieu pour moi, que Dieu me vienne en aide et resserre mon armure un peu plus, afin que je ne prenne pas les choses trop à la légère. Et la vie que je mène, et les choses que je fais, que je les fasse avec un plus grand esprit d’humilité, en étant plus empressé de les faire. Et que Dieu me donne un cœur désireux de les faire, plus que jamais auparavant. Je fais cette même prière pour chacun de vous. Que Dieu vous bénisse.
522 Je vous ai retenus longtemps, il est maintenant vingt-deux heures cinquante-cinq.
523 Et maintenant, Frère Neville, il se peut que je–je... Là, j’ai appris que c’est seulement un trajet d’environ neuf cent quelques milles [mille cinq cents kilomètres] pour me rendre là-bas; je ne vais pas partir avant lundi matin. Mais je veux être ici dimanche, pour l’école du dimanche, je viens comme ton invité, pour t’écouter prêcher, tu vois, dimanche. Tu vois? Mais... Eh bien, frère, oui, frère. Frère Neville, voici la raison, frère. Je suis... Je t’aime, et tu as toujours été très attentionné, m’offrant la chaire tout comme si–comme si j’étais un ancien supérieur à toi, ou quelque chose du genre. Mais je n’ai jamais eu ce sentiment-là, Frère Neville. Mon sentiment était que nous sommes frères.
524 Frère Ruddell, et Frère Junie, et, oh, vous tous, les frères, chacun de vous, nous–nous sommes des frères ensemble, vous voyez.
525 Mais ce qu’il y a... La raison de ça, c’est que je suis un tout petit peu enroué en ce moment, vous voyez, et j’ai devant moi six semaines consécutives de combat continuel, vous voyez. Et je–j’aimerais commencer, si possible, j’ai pensé qu’après la réunion de ce soir, ça me donnerait vendredi, samedi et dimanche pour me reposer, avant de commencer les réunions là-bas.
526 Et, Frère Junie, dès que je serai revenu, en rentrant, à un moment donné, il faut que j’aille vous voir de nouveau, je veux aller chez vous. Je suis passé près de votre petite église, là-bas, hier, je crois. Ma femme a dit : “Je pense que c’est...” Est-ce bien là, près de la voie ferrée, près du parc Glenellen? J’aimerais aller chez vous, parler aux gens de Sellersburg. Bien.
527 Frère Ruddell, sois béni. J’aimerais aller chez vous, tu as un beau groupe de gens. Tu es resté assis là ce soir, à écouter comme si tu étais un vieil ancien, tu absorbais tout ça.
528 Frère Beeler, là-bas, est un de nos frères évangélistes. J’espère qu’un jour je pourrai me retrouver dans une de tes réunions quelque part, frère, que je pourrai apporter une influence, avoir quelques paroles à dire quelque part, pour t’encourager dans tes efforts. J’ai toujours eu un bon mot à dire en ta faveur, à tout le monde, toi et Frère Stricker, ici, et les évangélistes.
529 Frère Collins, ici, qui, je crois, sera un jour un ministre employé à plein temps dans l’œuvre.
530 Des hommes qui sont des hommes vaillants, des hommes vaillants, de vrais hommes de foi, que Dieu soit avec vous tous, et vous, les diacres, les administrateurs, les frères.
531 Je crois que vous êtes... Ce frère, ici, son nom m’échappe. Vous êtes... [Frère Caldwell dit : “Frère Caldwell.”–N.D.É.] Caldwell. Vous êtes juste un... Vous êtes un des anciens, ou quelque chose, n’est-ce pas, ou juste un... [“Ministre.”] Ministre. [“Je suis un ministre. Je faisais partie de l’église de Dieu, je ne pouvais pas prêcher le plein Évangile et rester parmi eux. Je ne pouvais pas prêcher le baptême au Nom du Seigneur Jésus et rester parmi eux. J’ai obtenu le plus haut permis pastoral qu’ils émettaient, mais je leur ai remis ces papiers. Après vous avoir entendu prêcher ces grands Messages, je leur ai remis ces papiers, et je suis sorti de l’organisation. Maintenant je désire être un des vôtres.”]
532 Merci, frère. Nous vous souhaitons la bienvenue dans notre communion. Et nos–nos références nous sont données d’en haut. Notre vie, c’est ça nos références. Voilà nos références. “Si Je ne fais pas les œuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas.” Voyez? C’est exact. Voilà nos références. Et comme ce vieux... Comme Howard Cadle avait coutume de dire : “Nous n’avons aucune autre loi que l’Amour, aucun autre livre que la Bible, et–et aucun–aucun autre credo que Christ.” C’est exact. “Aucune autre loi que l’Amour, aucun autre credo que Christ, aucun autre livre que la Bible.”
533 Et nous sommes–nous sommes, Frère Caldwell, nous sommes heureux que vous soyez parmi nous. Vous êtes sorti d’une grande organisation. L’église de Dieu d’Anderson, je suppose. [Frère Caldwell dit : “Celle de Cleveland.–N.D.É.] Ou, l’église de Cleveland, l’église de Dieu pentecôtiste. [“Et autrefois, j’étais pasteur là-bas, à...?...”] Oh, oui. Oh, oui, j’y suis déjà allé. Je crois que j’y suis allé avec Frère Neville, ou, avec Frère Wood, à un moment donné, nous sommes allés chercher un chien, ou, un chien de chasse, chez quelqu’un qui allait à votre église, là-bas. Je suis resté à causer sur le perron, là-bas, et ces gens m’ont parlé de vous. Eh bien, je suis sûr... [“Mon église.”] Oh? [“Burns.”] C’est ça : Frère Burns. C’est ça. [Frère Caldwell raconte un incident.–N.D.É.] Oh? Oui. Oh, Berthe, c’est ça. Oh, c’est formidable.
534 Frère Rook, là-bas, il est maintenant pasteur, ou évangéliste, je crois. C’est bien ça? Ou bien êtes-vous pasteur? [Frère Rook dit : “Simple évangéliste.”–N.D.É.] Évangéliste. Je veux vous féliciter, Frère Rook. J’ai appris que vous faites un grand travail pour le Seigneur. Vous... J’ai appris que vous êtes allé à Indianapolis, ou que vous alliez vous rendre à Indianapolis, vous avez fait des réunions là-bas et avez gagné des âmes pour Christ. Que Dieu soit avec vous, Frère Rook. Je suis vraiment content de vous voir. Je vous ai vu là-bas, sur votre vieux tracteur, là, vous promener là-dessus, en train de fertiliser votre cour, là-bas. Eh bien, de voir que vous êtes actif, que vous essayez de faire quelque chose pour le Seigneur. Je suis content qu’Il vous ait appelé au ministère, gardez-Le toujours devant vous, frère. Que Dieu vous bénisse. Ne faites aucun compromis, sur rien; mais, tout en agissant ainsi, faites-le avec l’esprit le plus doux possible. Que votre–que votre message soit toujours assaisonné de la douceur du Saint-Esprit.
535 Et, Frère Stricker... [Un frère dit : “Nous désirons vos prières, à tous. Nous–nous essayons d’établir une église à North Vernon.”–N.D.É.] Oh, j’espère que vous l’aurez. Nous prierons pour vous. [“Jusqu’à maintenant, tout va bien.”] C’est ça.
Billy, toi, tu vas commencer quand à exercer ton ministère de pasteur?
536 Docteur Goad et Docteur Mercier, ici, je–je–j’espère... c’est comme ça que nous nous appelons entre nous. Frère Goad en est au point où je... il mérite vraiment de recevoir un titre, maintenant il est capable de charger des cartouches. Oui. Et, Frère Léo, je pense que nous pouvons bien lui passer ça, et l’appeler... le laisser conserver son titre de–de “Docteur”.
537 Eh bien, “Docteur” Branham, là-bas, toi, continue à en prendre bien soin, et à garder les lumières bien allumées. Et–et, j’ai une idée, chaque fois que nous aurons une réunion spéciale, je m’adresserai au conseil pour voir si on ne pourrait pas te donner un petit supplément pour ça [Frère Branham rit.–N.D.É.], pour une tâche en dehors de l’ordinaire, lorsqu’il faut que tu multiplies les coups de balai et les allées et venues, cela fera ton bonheur.
538 Docteur Wood. Je l’ai appelé “Docteur”, vous devez vous demander pourquoi. Je ne le nomme pas improprement : il massacre le bois, le met totalement en pièces, vous savez. Le Seigneur fait pousser un bel arbre, et lui, il l’abat et en fait une maison. Je n’ai jamais vu une chose pareille, alors je me dois de l’appeler “Docteur”.
539 Frère Taylor, tu es encore fidèle, à la porte, pour indiquer un siège aux gens. Voici ce que je pense de toi : “Je préfère être un paillasson dans la maison du Seigneur, plutôt que d’habiter sous les tentes avec les méchants.” C’est vrai, tout à fait.
540 Frère Hickerson, tu viens de t’engager dans cette Voie, et tu montes, tu avances. J’ai désiré ton... Je... Tu t’es engagé dans cette Voie, et tu avances, j’admire vraiment ta sincérité et tout ce que tu fais pour le Seigneur Jésus. Que Dieu te bénisse à jamais et qu’Il fasse de toi un diacre fidèle, frère, et je crois que tu en es un, car ta famille est tenue dans la soumission, et toutes ces choses, ce que tu as été.
541 Frère Fred, tu n’es pas parmi nous depuis très longtemps, tu es venu du Canada. Nous ne te considérons plus comme un Canadien, nous te considérons comme un pèlerin et un étranger parmi nous, notre frère, un administrateur. Toi et Frère Wood, et vous qui remplissez bien vos fonctions, avec Frère Roberson, et les autres; Frère Egan, il n’est pas ici ce soir.
542 Et, Frère Roberson, tu as été une–une aide véritable pour moi, Frère Roberson et d’autres, dans cette affaire d’impôt qui a fait l’objet de cette enquête.