L’Ordre De L’Église

Date: 63-1226 | La durée est de: 1 hour and 51 minutes | La traduction: VGR
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1          Frères, nous avons convoqué cette assemblée ici, ce soir, dans le but de savoir comment diriger l’Église du Dieu vivant, Église dont nous croyons faire partie.

2          Premièrement, je voudrais dire qu’à la suite de mes voyages autour du monde, pour autant que je sache, je considère que c’est ici l’un des endroits les plus spirituels, où vous sentez l’Esprit de Dieu plus que dans n’importe quel autre endroit que je connaisse. J’avais deux autres endroits en tête, mais, maintenant, cela ne semble plus ainsi; car l’un d’eux est entré dans les organisations, et l’autre est–est en quelque sorte tombé.

3          On m’a donc appelé hier, me disant que vous vouliez tous une réunion où vous pourriez me poser des questions concernant vos fonctions dans cette église. Et je... voilà pourquoi je suis ici ce soir, c’est afin de placer l’église, ou de vous donner les choses que je crois être essentielles pour que cette église continue à aller de l’avant.

4          Frères, je suis sûr que vous comprenez bien que, lorsque j’ai fait remarquer que cet endroit était spirituel... Ce n’est pas le plus grand endroit au monde, et ce n’est pas celui où nous avons le plus de chants, le plus de cris, le plus de clameurs, le plus de parlers en langues, et tout ça. Ce n’est pas cela. Mais c’est en raison de la qualité de l’Esprit qui règne ici, dans ce tabernacle. Je désire donc louer et remercier Frère Neville et–et vous, les frères ici, les administrateurs, les diacres, le surveillant de l’école du dimanche, et vous tous, pour–pour ce que vous avez fait jusqu’à maintenant afin d’aider à le garder ainsi. Cela a été longtemps un sujet de prière pour moi – et c’est mon désir depuis mon tout jeune âge – de voir l’église mise en ordre et maintenue en ordre.

5          Maintenant, lorsque nous avons consacré l’église, je vous ai dit que j’aurais, un peu plus tard, quelque chose à vous dire sur la façon de mettre tout cela en ordre, tel que cela devrait être dirigé. Et vous avez commencé... après mon départ, nous avons eu parmi nous différents prédicateurs, et ainsi de suite. Et puis, Frère Neville, encore tout jeune chez nous, est aussi venu. Et j’ai pensé qu’il serait préférable d’attendre que Frère Neville soit mieux affermi dans la foi, avant de présenter ce que je suis sur le point de dire. Mais maintenant, voyant combien il fait des progrès dans la foi, comprend en quoi consiste la Doctrine, et–et joue le rôle d’un fidèle témoin de Christ, s’en tenant à ce que nous croyons être la Vérité, je pense que c’est maintenant l’heure et le moment propice pour lui parler de cela... et avec vous qui êtes anciens ou autre, ici dans l’église, afin que vous receviez ces ordres et que vous vous en souveniez; ils sont au mieux de ma connaissance devant Dieu. Et je m’attends à ce que vous les exécutiez de la manière que je vous les donne, parce que quelqu’un doit être la tête, ici. Vous devez avoir...

6          Or, je ne cherche pas à–à–à usurper l’autorité, ou quelque chose comme ça. Mais, vous voyez, si un homme, ou quoi que ce soit, possède deux têtes, il–il ne sait pas où aller. Dieu n’a jamais eu deux têtes à Son Église; jamais. Il a une seule tête. Il a toujours traité, dans chaque génération, et, comme nous l’avons étudié dans les Écritures, c’est toujours avec un seul individu qu’Il traite. Parce que, quand vous avez deux hommes, vous avez deux opinions. Cela doit aboutir à un absolu final, et mon absolu est la Parole, la Bible. Et, en tant que pasteur de l’église ici, mon absolu est la Parole. Et je–je sais que vous, les frères, vous me considérez un peu comme votre absolu, en ce que... Tant que je suis Dieu, comme Paul le disait dans l’Écriture : “Suivez-moi, comme je suis Christ.”

7          Et je m’attends à ce que vous, frères, si à n’importe quel moment vous me voyez m’éloigner de l’Écriture, vous veniez vers moi en privé, et me disiez où j’ai tort. Peu m’importe que vous soyez l’un des administrateurs ou le... ou que vous soyez le concierge, qui que vous soyez, il est de votre devoir envers moi, en tant que frère en Christ, de me dire quand j’ai tort selon les Écritures. S’il y a une question, assoyons-nous et tirons cela au clair ensemble.

8          Et je suppose que c’est pour cela que vous êtes venus vers moi ce soir, que vous m’avez amené ici. C’est parce qu’il y a des questions qui semblent se poser dans votre esprit – ces choses que je–que j’ai ici. Or, rappelez-vous, frères, que je ne sais pas... aucun de ces billets n’est signé... on les a écrits, mais je ne sais pas qui les a écrits. Seulement ce sont des questions qui vous préoccupent, et je suis ici pour y répondre de mon mieux.

9          Et souvenez-vous : Dieu s’attend à ce que je veille à rester avec la Parole; et je m’attends à ce que vous veilliez à appliquer la Parole, voyez-vous, voyez-vous, dans cette église. Et gardez-la spirituelle, car, souvenez-vous-en, toutes les forces du–du royaume enténébré de Satan seront tournées contre vous, tandis que vous commencez à grandir dans le Seigneur. Vous devez être des soldats, pas seulement de nouvelles recrues. Vous êtes des soldats âgés maintenant, et vous avez été entraînés au combat. Et Satan viendra parmi vous, et vous poussera à vous disputer entre vous, s’il le peut. Repoussez-le tout de suite; vous êtes frères; et c’est l’ennemi. Nous sommes ici pour déployer un étendard en ce temps de la Lumière du soir, tandis que le monde est assombri et que tout le royaume de l’église est en train d’entrer dans le Conseil des Églises. Et, très bientôt, ils vont essayer de clouer un écriteau à cette porte, ici : “Fermé.” Alors, nous devrons nous rencontrer à d’autres endroits, parce qu’ils fermeront certainement ces églises un de ces jours, si nous ne prenons pas la marque de la bête. Et c’est à nous de rester fidèles à Dieu jusqu’à ce que la mort nous libère, et c’est ce que nous avons l’intention de faire.

10        Maintenant, passons directement à... Et si, à un certain moment, n’importe lequel de ces points devait être mis en question, j’aimerais demander que cette bande soit passée devant les membres de cette église, voyez-vous, lors de vos réunions, ou avant la réunion, juste avant que la réunion commence. Mettez cette bande, et passez-la! Et puisse cette assemblée comprendre que ces hommes sont liés à Dieu par le devoir, pour avoir prêté serment devant cette église, d’aider au maintien de ces principes. Il se peut que vous ne soyez pas d’accord avec eux; mais si je vous laisse diriger, alors c’est moi qui ne serai pas d’accord avec vous. Il nous faut avoir quelque part une source où doit se trouver un absolu. Et, pour autant que je sache, je donne cela sous le Saint-Esprit, Le laissant, Lui, être mon Absolu. Et que cette bande soit votre absolu sur ces questions.

Maintenant, la première, c’est :

220. Comment l’église devra-t-elle agir lors de demandes d’aide financière pour de la nourriture ou des vêtements ? Comment–comment agir ? Que–que devrait faire l’église ?

11        Nous sommes conscients que l’église est responsable des siens; des membres de notre assemblée, nous sommes entièrement responsables, aussi longtemps que nous avons les moyens de subvenir à leurs besoins. Nous sommes responsables des nôtres, c’est-à-dire des membres réguliers, qui sont fidèles au Tabernacle, qui y viennent et adorent avec nous. Nous sommes liés par le devoir envers eux, en tant que nos frères et sœurs qui ont fait leurs preuves comme membres de cette assemblée.

12        Or, nous savons bien que des millions de gens ce soir sont sans nourriture, sans vêtements, et nous aimerions pouvoir les aider tous, faire tout notre possible; mais, financièrement, nous ne le pouvons pas. Nous ne pouvons pas subvenir aux besoins du monde entier, mais nous sommes liés par le devoir envers les nôtres. Et je pense à ce sujet que... Ensuite, s’il nous reste quelque chose, et que vous vouliez aider des gens qui ne sont pas membres de cette assemblée, s’il y a quelque chose que vous aimeriez leur donner, cela devrait être réglé par le conseil des diacres.

13        Les diacres sont ceux qui–qui doivent régler ce conflit, ou plutôt ce problème, parce que, dans la Bible, lorsque survint cette dispute concernant la nourriture, les vêtements, et ainsi de suite, dans le Livre des Actes, on fit appel aux apôtres à ce sujet, et ceux-ci dirent : “Choisissez donc parmi vous sept hommes, de qui l’on rende un bon témoignage et qui soient pleins du Saint-Esprit, afin qu’ils puissent s’occuper de ces choses; pour nous, nous continuerons à nous appliquer à la Parole de Dieu et à la prière.”

14        Ce n’est pas le devoir du pasteur de s’occuper de la nourriture, et ainsi de suite. C’est censé être fait par les diacres; ce n’est pas la fonction des administrateurs, c’est la fonction des diacres de le faire. Et puis, ceci devrait être... Souvenez-vous que, dans la Bible, ils pourvoyaient aux besoins des leurs. Une fois, une dispute s’éleva entre les Grecs et les Juifs, parce que l’un recevait un peu plus que l’autre. Mais il s’agissait là de gens qui avaient vendu tous leurs biens et les avaient donnés à l’église pour la soutenir. Et cela devait être réparti entre eux à parts égales. C’est alors que survint une petite dispute. Voilà d’où sont venus nos premiers diacres. Et c’est une de leurs fonctions de s’occuper de cela.

15        Je pense que, puisqu’ils sont des nôtres, que ce sont nos propres fidèles, nous devrions prendre soin d’eux, et, s’il y a des plaintes, elles devraient être adressées au président du conseil des diacres. Cela devrait ensuite être réglé par le conseil des diacres, qui verra ce qu’il peut faire à ce sujet. Toutes les demandes relatives au vêtement, à la nourriture, à une aide financière, ou quoi que ce soit, devraient passer par les diacres. Alors, les diacres, une fois qu’ils ont décidé qu’ils–qu’ils... ce qu’ils vont faire à ce sujet, devraient alors soumettre cela au trésorier, pour savoir si le trésorier est en mesure, en ce moment, de débourser ce montant ou–ou d’acheter ces vêtements, ou ce dont il peut être question. Le conseil des diacres, donc, devrait se réunir à ce sujet. Cela ne concerne ni les administrateurs ni le pasteur. C’est entièrement l’affaire des diacres.

            Maintenant, passons à la question numéro deux :

221. Suffit-il de dire ouvertement, de la chaire, que les langues et l’interprétation devraient se faire dans une réunion avant le service ? C’est la deuxième question qui se trouve sur ce bout de papier ici, cette petite carte.

16        Eh bien, ceci regarde le pasteur, voyez-vous, parce qu’après tout, il–il est à la tête de la partie spirituelle. Les diacres sont des policiers dans l’église, pour maintenir l’ordre et s’occuper de ces choses, nourrir les pauvres, et ainsi de suite. Les administrateurs sont responsables des finances et du bâtiment. C’est de cela qu’ils doivent s’occuper. Mais le pasteur a la supervision de la partie spirituelle. Ceci te reviendrait donc, Frère Neville.

17        Maintenant, il y a quelque temps, lorsqu’on a établi l’ordre dans l’église... Certes, je crois au parler en langues, à l’interprétation et à tous les merveilleux dons spirituels que Dieu a choisi de placer dans l’église. Mais nous vivons dans un jour tout à fait semblable aux temps bibliques, où les églises... Maintenant, si vous remarquez Paul... il a fondé l’église qui se trouvait à Éphèse, l’église d’Éphèse, qui était une église bien établie. Avez-vous remarqué ? Nous croyons que Paul – et il l’a dit lui-même – parlait en de nombreuses langues. Et nous savons qu’il avait des dons de langues; non pas celles qu’il avait apprises, mais celles qui lui furent données spirituellement, selon sa déclaration, là dans les Corinthiens. Pour gagner du temps, je ne prendrai pas la Bible pour vous le lire, parce que cela nous ferait rester ici trop longtemps ce soir, et je n’ai pas beaucoup de temps. Et donc... Mais c’est simplement pour que vous puissiez voir cela clairement.

18        Or, Paul n’a jamais eu à parler une seule fois à l’église d’Éphèse, à l’église de Rome, ou à n’importe laquelle de ces autres églises, concernant leurs dons spirituels et la façon de les placer en ordre. Mais il devait constamment en parler aux Corinthiens, parce qu’ils insistaient tout le temps là-dessus. Et Paul dit, lorsqu’il vint au milieu d’eux, que s’ils découvraient que l’un avait une langue, et un autre avait un psaume, et... Il remercia le Seigneur pour tous ces merveilleux dons, et tout cela. Et, si vous remarquez, dans le premier ou deuxième chapitre aux Corinthiens, Paul leur indiquait quelle était leur position en Christ, comment ils étaient placés en Christ.

19        Après leur avoir dit cela, il commença ensuite, comme un père, à laisser tomber le fouet sur eux, disant : “J’ai appris qu’il y a des disputes au milieu de vous, et j’ai appris que vous vous enivrez à la table du Seigneur.” Il ne les a pas rejetés du Christianisme; et vous, les frères, ne faites pas cela non plus, les rejeter du Christianisme. Mais c’est de leur manière de se conduire dans la maison de Dieu qu’il est question.

20        Maintenant, voici ce que je dirais, comme Paul autrefois l’a dit : “Lorsque vous vous assemblez, si un parle, qu’un autre interprète. S’il n’y a pas d’interprète, alors, qu’on se taise. Mais, s’il y a un interprète...”

21        Or, j’ai observé l’église ici, et je vous ai vus grandir. J’ai vu beaucoup de dons spirituels agir parmi vous. Pour être franc, j’ai dû venir vers Frère Neville à propos de l’un d’eux, avec une Parole du Seigneur, afin de le corriger dans quelque chose qu’il faisait.

22        Et si je... si le Seigneur... le Saint-Esprit m’a établi surveillant du Troupeau, alors il est de mon devoir de vous dire la Vérité. Et je suis très reconnaissant à Frère Neville d’avoir été attentif à la Vérité. Je peux seulement Le dire comme Il me le dit.

23        Maintenant, à ce sujet, comme j’ai remarqué que votre église grandissait, j’ai remarqué cela. Et, dans l’église, voici de quelle façon nous procédions au commencement, et c’est ainsi que nous–nous le voulons de nouveau.

24        Maintenant, si vous ne faites pas attention, quand des bébés... La première chose qu’un bébé fait, c’est d’essayer de parler, alors qu’il ne peut pas parler. Voyez-vous ? Il fait beaucoup de bulles et de bruit, et–et ainsi de suite, mais il pense qu’il est simplement... qu’il peut même parler mieux que le prédicateur à ce moment-là. Eh bien, nous ne trouvons pas cela seulement dans la vie naturelle, mais nous trouvons aussi cela dans la vie spirituelle. C’est un tout-petit. Aussi si vous essayez de corriger ce bébé et de lui donner une petite fessée, parce qu’il gazouille et qu’il essaie de parler, vous détruirez cet enfant, voyez-vous, et vous lui ferez du mal. Il est préférable de laisser ce bébé grandir un peu, jusqu’à ce qu’il puisse effectivement articuler ses mots correctement et, alors, dites-lui quand. “Pas quand papa est en train de parler, ou que maman est en train de parler.” Mais, au moment favorable, laissez-le placer son mot. Me comprenez-vous ? Maintenant, laissez-le parler quand c’est son tour de parler.

25        Or, si jamais j’ai eu quelque chose qui a été une écharde dans ma chair, lors de mes réunions au dehors, c’est lorsque quelqu’un se lève, tandis que je suis en train de parler, et donne un message en langues, venant ainsi couper l’Esprit. Je reviens justement de réunions à New York et à différents endroits, où les ministres laissent cela se passer continuellement. Et ce n’est rien d’autre que–que de la confusion. Voyez-vous ? Quand Dieu est en train d’œuvrer selon une certaine suite d’idées, Il... ce serait... Il irait à l’encontre de Son propre dessein si, essayant de vous amener, avec l’assemblée, à l’idée de faire un appel à l’autel, Il laisse quelque chose venir interrompre cela.

26        Prenons un exemple. Disons que nous sommes assis à la table, en train de parler, et que nous sommes en train de parler du Seigneur. Et voici que Junior s’approche de la table en courant, détourne toute notre attention de ce que nous sommes en train de faire, et se met à crier de toutes ses forces : “Papa! Maman! Oh! la la! Je viens de frapper un coup de circuit, là-bas avec l’équipe! Et nous avons fait ceci, et cela, et encore autre chose!” Et ce, tandis que nous sommes au beau milieu d’un sujet tout à fait sacré. Or, qu’il ait frappé un coup de circuit, c’est très bien, à ce match de base-ball, c’est très bien. Mais il n’est pas à sa place lorsqu’il interrompt le message, ce dont nous étions en train de parler. Qu’il attende son tour, et qu’alors il nous dise ce qu’il a fait à ce match de base-ball.

27        Maintenant, nous constatons exactement la même chose, en ce qui concerne les dons, aujourd’hui. Voilà pourquoi Dieu ne peut pas confier beaucoup de dons spirituels aux gens : ils ne savent pas comment les maîtriser. C’est ce qui se passe aujourd’hui, c’est la raison pour laquelle nous n’en avons pas davantage.

28        Nous découvrons aussi qu’il y a beaucoup d’imitation des dons spirituels. Mais je ne crois pas que ce soit le cas ici, dans notre église. J’en suis reconnaissant. Je ne crois pas que ce soit de l’imitation, pas du tout. Je crois que nous avons des dons authentiques, mais nous devons savoir comment maîtriser ces dons.

29        Ainsi donc, lorsque vous commencez à faire quelque chose correctement... C’est comme lorsque vous travaillez pour un patron. Si vous débutez dans un emploi, et que vous êtes disposé à recevoir des ordres, alors le patron aura confiance en vous, et il vous attribuera une fonction toujours plus élevée.

30        Maintenant, je crois que c’est maintenant l’heure pour le Branham Tabernacle de savoir comment utiliser ces dons que Dieu nous donne, de telle sorte que Dieu puisse nous confier quelque chose d’encore plus grand que ce que nous possédons déjà. Mais nous ne pouvons pas continuer... Quand vous voyez un homme à qui l’on doit constamment répéter, et tout... Et rappelez-vous : “L’esprit des prophètes est soumis au prophète”, dit l’Écriture. Quand vous voyez un homme que vous devez corriger (ou une femme), et que cette personne ne reste pas à sa place, tandis que vous lui dites la Vérité selon l’Écriture, alors cela montre que l’esprit qui est sur eux n’est pas de Dieu. Parce que la Bible dit que “l’esprit des prophètes” – ou le fait de prophétiser, c’est-à-dire témoigner, prêcher, parler en langues ou quoi que ce soit (parce que les langues, lorsqu’elles sont interprétées, sont des prophéties) – est soumis au prophète, et la Parole est le prophète. Ainsi nous–nous voyons qu’il est déplacé pour un homme ou une femme de se lever brusquement et donner un message (peu importe combien ils ont envie de le faire) pendant que le prédicateur est en chaire.

31        Maintenant, voici ce que je propose pour le Branham Tabernacle, voyant ces dons que nous découvrons parmi nous... Et nous avons ici quelques personnes avec de merveilleux dons. Or, chacun de ces dons est un ministère particulier. Ce sont des dons, comme prêcher est un don, comme la guérison est un don, comme d’autres choses sont des dons; ce sont des dons, ce sont des ministères particuliers. Et il est exigé de chaque homme qu’il s’attende à son propre ministère.

32        Par conséquent, que le Branham Tabernacle fonctionne ainsi, et en ce jour – particulièrement en ce jour-ci – où nous avons eu tant de (je ne veux pas dire ceci, mais...), tant de faux-semblants. Nous ne voulons pas faire semblant. Aucun homme, aucune personne honnête, ne veut posséder un faux-semblant. Si nous ne pouvons pas posséder le vrai, alors n’ayons rien du tout; attendons jusqu’à ce que nous recevions effectivement le vrai. Je crois que vous–vous, les hommes, vous serez d’accord avec cela. Nous ne voulons pas du tout de faux-semblant. Frères, nous ne pouvons pas nous mettre à faire semblant de quelque chose, et nous attendre à quitter ce monde. Nous devons avoir ce qui est vrai, ce qui est authentique. Si nous ne l’avons pas, attendons jusqu’à ce que nous l’ayons pour de vrai, et ensuite nous en dirons quelque chose. Voyez-vous ?

33        Maintenant, je dirais ceci : Que tous ces hommes et ces femmes qui parlent en langues, et prophétisent, et donnent des messages... Et je–je suis d’accord avec vous, les frères, pour croire qu’ils sont authentiques. Or, la Bible dit : “Éprouvez toutes choses, et retenez ce qui est bon, car c’est par des lèvres balbutiantes et en d’autres langues que Je parlerai à ce peuple. Voici le repos dans lequel J’ai dit qu’ils entreraient.” Cela se trouve dans le Livre d’Ésaïe.

34        Voici donc ce que je suggérerais, afin que, dans le sanctuaire, un seul don se manifeste à la fois – et cela nous ramène encore dans la ligne de ce que j’essaie de dire : Si l’un parle, que l’esprit des prophètes soit soumis au prophète. Comprenez-vous ? Donc, que ceux qui ont un ministère pour le Corps de Christ... Maintenant, je le dis, alors, que cela se fasse : Que ceux qui ont un ministère pour le Corps de Christ s’attendent à leur ministère, parce que c’est un ministère qui vient de Christ, pour l’église. Mais vous ne pouvez pas tous exercer ce ministère en même temps; il doit y en avoir un à la fois.

35        Au Branham Tabernacle, ce sera comme suit: Que ceux qui parlent en langues, et ceux qui interprètent les langues, et ceux qui ont des prophéties à être données à l’église, se réunissent de bonne heure, avant le début de la réunion. Qu’ils se réunissent dans une pièce désignée à cette fin, et qu’ils s’attendent au ministère du Seigneur.

36        Et le pasteur doit faire de même avant de venir devant l’auditoire. Il doit prendre la Bible, étudier dans la tranquillité de sa chambre, dans l’Esprit, et être oint pour venir parler devant l’auditoire. S’il ne le fait pas, il sera désorienté lorsqu’il se présentera là. Que chaque homme et chaque femme ayant un don spirituel viennent devant le Seigneur. Et, vu que le pasteur a un ministère individuel... Il est un prophète; le mot anglais preacher [en français : prédicateur] signifie “prophète”, c’est-à-dire celui qui apporte la Parole.

37        Que ceux qui ont des ministères devant être rattachés à quelqu’un d’autre, – comme l’un qui parle en langues et l’autre qui interprète, – qu’ils s’attendent ensemble à leur ministère. Ils ne peuvent pas rester dans un bureau privé, parler en langues, et venir ensuite répéter à l’autre ce qu’il a dit, parce qu’il aurait dans ce cas à la fois les langues et l’interprétation, voyez-vous. Maintenant, s’il a cela, très bien; nous voulons le recevoir ainsi. Et nous voulons que l’église bénéficie de ces dons qui sont dans notre église. Dieu nous les a envoyés, et nous voulons que notre église bénéficie de ces dons spirituels. Ainsi, que l’homme qui parle en langues, et celui qui interprète, et celui qui prophétise, qu’ils se réunissent avant même que l’église ne s’assemble. Qu’ils se rencontrent dans une pièce à part et s’attendent au ministère du Seigneur pour l’église. Est-ce compris ?

38        Alors, par exemple, si Frère Neville, disons... Laissez-moi... Pardon, laissez-moi dire ceci. Si Frère Collins parle en langues et que Frère Hickerson donne l’interprétation, ils ont donc un ministère en commun pour l’église. Or, ce n’est pas le ministère de Frère Neville. C’est votre ministère à vous, pour l’église. Je donne ceci comme exemple. Alors vous, frères, devriez être tout aussi intéressés à mettre votre ministère à sa place dans la maison de Dieu, que le pasteur est intéressé à le faire pour le sien, parce que c’est tout aussi essentiel pour vous de le faire. Mais vous ne pouvez pas le faire dans l’intimité de votre chambre, si vous parlez, et si vous interprétez; vous devez vous réunir. Donc, réunissez-vous à l’église, dans une pièce à part, parce que vous avez un ministère privé. Ce n’est pas un ministère qui s’exerce ouvertement. C’en est un qui doit aider l’église, voyez-vous. C’est quelque chose pour aider l’église; mais cela ne doit pas être exercé au milieu de toute l’assemblée. Cela doit être fait seulement de la manière que je vous l’indique. Voyez-vous ? Alors, tout ce que Frère Collins dit, et dont Frère Hickerson donne l’interprétation (par exemple), alors, que Frère... quelqu’un mette par écrit ce que c’est. Et alors, s’il s’agit de la venue...

39        Maintenant, nous savons tous que le Seigneur vient. Nous sommes au courant de cela. Et si Frère Neville se levait chaque soir, et disait : “Voici, le Seigneur vient! Voici, le Seigneur vient!”, ce serait très bien, voyez-vous. Mais il dit cela (le pasteur) sur l’estrade, car il a la Parole pour cela. Et s’il est un pasteur, un prophète pour l’église, ou plutôt un pasteur, il doit étudier la Parole du Seigneur, et vous dire ce qui est écrit dans la Parole du Seigneur, concernant la venue du Seigneur; et vous êtes avertis par Cela. Un autre ministère pour l’église, avec lequel il n’aurait aucun rapport, est celui des langues, et de l’interprétation des langues (ce qui est la prophétie), ou lorsqu’un prophète parle; c’est quelque chose qui n’est pas écrit dans la Parole. Ce qui est écrit dans la Parole, c’est lui qui doit l’apporter. Mais ce qui n’est pas écrit dans la Parole, c’est ce que vous devez lui dire. Comme, par exemple : “Dites à Frère Wheeler : AINSI DIT LE SEIGNEUR, qu’il n’aille pas demain à sa carrière de sable, parce qu’un camion va capoter”, ou quelque chose comme ça. Et cela doit se faire. Vous l’avez prononcé, et il l’a interprété. Ensuite, déposez cela sur l’estrade, une fois que votre ministère est terminé. Le...?... soir, après que l’église... après qu’on a entonné les cantiques, et ainsi de suite, si, à ce moment-là, votre ministère est terminé, qu’on annonce la prophétie qui a été donnée.

40        Et je ne pense pas que nous ayons... Ou, si c’est le cas, que ceci soit ajouté. Lorsque ces gens se réunissent, que ceux qui ont de la sagesse viennent premièrement, parce que, vous voyez, si l’un parle en langues, et donne une interprétation selon l’Écriture, cela ne peut pas être reçu, à moins que ce ne soit attesté par deux ou trois personnes. Deux ou trois témoins de plus (voyez-vous ?) doivent attester cela, qu’ils croient que c’est la Parole du Seigneur. C’est que, parfois, dans ces ministères mineurs, comme dans n’importe quel autre ministère, vous trouvez de ces esprits qui sont faux. Voyez-vous ? Ils s’y glisseront en coup de vent. Et nous ne voulons pas de ça! Non. Nous voulons que ces ministères soient prêts à être mis à nu, s’ils doivent être mis à nu, parce que tout ce qui est de Dieu... on n’a pas à s’inquiéter de le mettre à nu. Cela résistera à l’épreuve si cela vient de Dieu.

41        C’est comme le pasteur : si quelqu’un conteste avec lui sur la Parole, il n’a pas besoin de se rétracter, il sait exactement de quoi il parle. “Montez un peu ici!” Voyez-vous ? Et c’est pareil pour ces autres ministères. Cela doit être pareil.

42        Maintenant, si l’un parle en langues et donne un message... Or, il y a des gens qui parlent en langues, tandis qu’ils ne font que “s’édifier eux-mêmes”, dit la Bible. Ils passent simplement un bon moment. En parlant en langues, ils se sentent... Et ils parlent effectivement en langues. Ils parlent vraiment en langues. Et c’est l’Esprit qui le fait. Mais, s’ils sont assis, là, dans l’auditoire, en train de parler en langues, ne faisant que s’édifier eux-mêmes, alors ce n’est aucunement profitable à l’église. Cet homme s’édifie lui-même, ou cette femme, ou qui que soit la personne. Voyez-vous ?

43        Parler en langues, en tant que don de Dieu pour l’édification, comme Paul le dit dans l’Écriture, a pour but d’édifier l’église. Cela doit donc être un message direct de Dieu à l’église, en dehors de ce qui est écrit ici, dans la Bible. Voyez-vous ? C’est quelque chose qui...

44        Si vous me demandiez : “Frère Branham, comment dois-je être baptisé ?”, je peux vous le dire tout de suite. Vous n’avez pas besoin de parler en langues pour me le dire. Il est écrit, ici même dans la Bible, ce qu’il faut faire à ce sujet. Voyez-vous ? Je n’ai pas besoin de... Vous n’avez pas besoin de poser des questions là-dessus, ni besoin que quelqu’un parle en langues pour vous le dire, voyez-vous. C’est déjà écrit.

45        Mais si vous dites : “Frère Branham, que dois-je faire ? J’ai ici une décision à prendre, savoir si je dois choisir cette église-ci ou bien aller dans une autre église”, ou quelque chose comme ça. Ou : “Est-ce que je devrais faire ceci, cela ?” Eh bien, il faudra que cela vienne de Dieu. Voyez-vous ? C’est Dieu qui doit nous dire cela. Mais cela devra venir par l’entremise d’un autre ministère, parce que la Parole ne dit pas : “Qu’Orman Neville quitte le Branham Tabernacle et aille au Fort Wayne Gospel Tabernacle.” Voyez-vous ? Il n’est pas dit cela, ici, dans la Parole, voyez-vous. C’est donc à cela que servent ces dons.

46        Par exemple, si une personne venait ici et qu’elle dise : “Croyez-vous à la guérison Divine ?” Nous prêchons cela, nous y croyons; nous croyons dans l’onction d’huile.

47        Mais voici un homme qui dit qu’il “n’arrive pas à être exaucé. Qu’est-ce qui se passe ?” Dans ce cas-là, il faut que ce soit Dieu qui, par les langues, l’interprétation, par la prophétie, ou d’une autre manière, aille dans la vie de cet homme et mette en évidence cette chose qu’il a faite et lui en parle. Voilà un ministère qui n’appartient pas au pasteur, il appartient au ministère de ces dons, mais ceux-ci ne doivent pas être exercés là, dans l’auditoire. Voyez-vous ?

48        Or, Paul n’a pas une seule fois eu à dire à ces–dire à ces églises d’Éphèse quoi que ce soit à ce sujet, elles étaient en ordre... à l’église de Rome, ou à aucune de ces autres églises. Il n’y avait que l’église de Corinthe; eux n’arrivaient jamais à se... Or, Paul croyait au parler en langues. Il y avait donc le parler en langues dans l’église d’Éphèse, au même titre qu’ils l’avaient dans l’église de Corinthe, voyez-vous. Mais il pouvait parler aux Éphésiens de choses plus grandes que seulement le parler en langues et l’interprétation des langues.

49        Donc, si quelqu’un écrit un message, qui a été donné en langues ou donné par prophétie, et le dépose sur l’estrade, il doit être lu par le pasteur avant que la réunion commence – l’AINSI DIT LE SEIGNEUR de ces personnes qui ont parlé et interprété. Et si cela arrive exactement comme le disait l’interprétation, nous lèverons les mains et rendrons grâces à Dieu pour Son Esprit au milieu de nous. Si cela n’arrive pas, alors ne le faites plus, tant que ce mauvais esprit ne sera pas sorti de vous. Dieu ne ment pas, Il est toujours vrai.

50        Ainsi, vous voyez, vous êtes assez grands maintenant pour agir comme des hommes, pas comme des enfants (“gou, gou, gou”). Il doit y avoir un sens à ce que vous faites.

51        Que l’église, maintenant qu’elle est en train de se mettre en ordre, parvienne à cet ordre-ci. Si l’un prophétise... Si un homme du peuple vient parmi vous et que vous parliez en langues, vous serez un barbare pour lui. Il ne sait pas de quoi vous parlez. Voyez-vous ? Et, à vrai dire, en ce jour où il y a eu tant de confusion à ce sujet, cela amène une pierre d’achoppement. Mais, si l’un parle en langues et qu’un autre interprète et donne le message, que, de cette estrade, on lise ce qui doit arriver; et si, ensuite, cela arrive, vous verrez ce qui se produira. Dites-leur que “demain à telle heure, ou la semaine prochaine à telle heure, une certaine chose arrivera”. Alors, si l’incroyant qui est assis là écoute cela, et voit que cela a été prédit avant que cela arrive, alors, ils sauront quelle sorte d’esprit est parmi vous. Ce sera l’Esprit de Dieu. C’est ce que Paul a dit. “Si l’un peut prophétiser et révéler les choses secrètes, toute l’assemblée ne tombera-t-elle pas, ou plutôt, l’incroyant, en disant : ‘Dieu est au milieu de vous’ ?” Voyez-vous ? Parce que cela ne peut pas être...

52        Mais maintenant, nous ne voulons pas... “Lorsque nous étions enfants,” Paul a-t-il dit, “J’agissais comme un enfant,” a-t-il dit aux Corinthiens, “je parlais comme un enfant.” Il avait l’intelligence d’un enfant. “Mais lorsque je suis devenu adulte, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant.”

53        C’est maintenant moi qui suis en train de vous le dire, à vous, voyez-vous. Il y a quelques années, vous étiez des enfants avec ces dons, vous amusant de-ci, de-là. Mais vous êtes passés par une longue école, maintenant. C’est le moment d’être des hommes, et non pas de les utiliser simplement pour vous amuser. Ces dons sont sacrés, ils sont de Dieu, et on ne joue pas avec eux. Laissons Dieu s’en servir. C’est ce à quoi votre ministère veut arriver. Et c’est la manière de mettre le Branham Tabernacle en service. Et–et si, une fois, ceci est mis en doute, que cette bande serve de témoin, montrant que c’est ainsi que cela doit se faire au Branham Tabernacle.

54        Si un étranger devait venir... parce que vous en avez tout le temps, vu que c’est ici un tabernacle interdénominationnel. Il y a des gens qui viennent ici et qui ne sont pas aussi bien instruits à ce sujet, pas du tout, ils ne savent pas ce qu’il faut faire. Et leur propre pasteur, ils se lèveront d’un bond, et interrompront son message, et briseront l’appel à l’autel, et parleront en langues, et feront toutes ces choses. Vous avez reçu une meilleure formation que cela. Voyez-vous ? Aussi, après le service... S’il devient turbulent, alors c’est au diacre d’aller vers eux. Ne laissez pas votre pasteur être obligé de le faire, à moins qu’il n’y ait aucun diacre présent. Mais c’est à un diacre de s’occuper de cela. Voyez-vous ?

55        Maintenant, après le service... Si la personne se lève simplement et donne un message, et que le pasteur veut s’arrêter une minute avant de continuer, c’est très bien, voyez-vous, cela regarde le pasteur. Mais alors, que le diacre, immédiatement, – avant que cette personne ne quitte le bâtiment, – la prenne à part et lui parle à ce sujet. Et s’ils mettent cela en doute, référez-les à cette bande magnétique, en disant : “Voici ce que l’évêque, ou le surveillant de l’église (qui, en fait, est un évêque...n’importe quel surveillant)...” Voyez-vous ? C’est ainsi qu’on appelle cela dans la Bible, “la charge d’évêque”, voyez-vous, il s’agit du surveillant général de l’église. Donc : “Ce sont les ordres et la façon dont procède notre église. Maintenant, nous aimons que vous veniez donner votre message. Mais, si vous avez un message de la part du Seigneur, et que c’est... donnez-le, qu’on monte ici et qu’on le dépose sur l’estrade, et notre pasteur le lira à l’assemblée, un message pour cette assemblée.” Mais ce ne doit pas être juste une répétition des Écritures et des choses comme cela. Ce doit être un message direct pour les gens : quelque chose qui est sur le point d’arriver, ou quelque chose qu’ils devraient faire. Est-ce compris ? Très bien.

222. Y a-t-il une meilleure façon de maintenir l’ordre dans l’église que de devoir, pour les diacres, constamment rappeler ces choses aux gens, en leur répétant ? Non. Je viens d’expliquer cela. C’est la question numéro trois.

56        Vous, les diacres : votre devoir est de maintenir l’ordre dans l’église, avec gentillesse et bienveillance. Et puis, vous êtes censés, si quelqu’un fait du désordre dans l’église, ou entre ici, par exemple, un ivrogne ou quelqu’un qui entre...

57        Comme lorsqu’on a tiré sur ce pasteur qui se trouvait sur l’estrade là-bas, l’autre soir. Vous avez entendu parler de cela, de cet ivrogne qui est entré avec un fusil de chasse à deux coups. Il appelait sa femme, en hurlant et–et... il voulait voir sa femme et s’est avancé vers le pasteur. Le pasteur lui a donc montré sa femme, assise là, mais, comme il allait l’abattre en plein dans l’église, le pasteur commença à lui parler, et au lieu que–au lieu que... L’homme armé se retourna et tira sur le pasteur à la chaire. Puis il tira sur sa femme, et, finalement, retourna l’arme contre lui-même.

58        Maintenant, s’il y avait eu là un groupe de diacres, quand cet homme a franchi la porte avec son fusil, ils l’auraient encerclé de leurs bras et lui auraient arraché ce fusil. Voyez-vous ? Voyez-vous ? Voilà–voilà des diacres qui travaillent avec ordre. Or, à présent que les choses se passent comme elles se passent maintenant, on peut bien s’attendre à n’importe quoi. Mais, rappelez-vous, les diacres sont les policiers de Dieu dans la maison de Dieu. Peu importe ce que les autres en pensent. Parfois un policier doit aller arrêter quelqu’un, peut-être l’un de ses amis. Mais, vu qu’il est assermenté, il doit le faire de toute façon. C’est son devoir envers sa ville. Voyez-vous ?

59        Voilà le devoir du diacre envers l’église. Donc, si quelqu’un se lève brusquement et se met à interrompre le pasteur, ou quelque chose comme ça, tandis que le pasteur donne son message, les diacres sont censés aller vers de telles personnes, deux ou trois d’entre eux, et dire : “Pourrions-nous vous parler, frère ?” Voyez-vous ? De l’église, amenez-le dans le bureau, ici, ou dans un autre bureau, et parlez-lui à ce sujet. Dites : “Vous ne devez pas interrompre.” Vous savez, il y a une–il y a une grosse amende, prévue par la loi, quand on interrompt un service, de toute façon. Voyez-vous ? Mais si des gens, par exemple, un délinquant, ou quelque chose comme ça, viennent parmi vous, vous savez, quelque fanatique religieux, et–et qu’ils commencent à se conduire mal, alors les diacres... Et–et, si les diacres ne semblent pas capables de maîtriser la situation, alors le conseil d’administration, ou n’importe qui d’autre dans l’église, peut s’approcher et porter secours à cette personne, vous savez.

60        Et–et maintenant, laissez-moi encore poser cette question :

Y a-t-il une meilleure façon de maintenir l’ordre dans l’église que de devoir, pour les diacres, rappeler ces choses aux gens, en leur répétant ? Maintenant... à l’occasion.     

61        Maintenant, je pense que le–le pasteur, de temps en temps... ou bien : passez cette bande; qu’elle serve de témoin! Les diacres sont des policiers, et leur parole fait loi. Voyez-vous ? Et c’est l’église, et même les lois du pays, qui leur confèrent l’autorité de faire de cette maison de Dieu un endroit correct. Et quiconque s’oppose ainsi à un diacre est passible de–de deux à dix ans de prison fédérale. Si vous leur dites de sortir et qu’ils ne le font pas, ou quelque chose comme ça, quelqu’un qui aurait une conduite désordonnée n’est pas conscient de ce qu’il est en train de faire. Il s’expose, se rend passible de toutes sortes d’amendes, de n’importe quoi.

62        Et alors, s’il devait arriver que quelqu’un... Comme, par exemple, si quelqu’un se lève brusquement et a une conduite désordonnée... S’il s’agissait simplement de quelqu’un qui parle en langues ou quelque chose, je n’interviendrais pas dans ce cas-là, voyez-vous. Laissez faire, parce que... si ce sont des étrangers. Mais, si ce sont nos propres fidèles, alors, le soir suivant, vous, les diacres, prenez simplement cette bande et dites : “Maintenant, nous allons vous faire entendre les ordres pour l’église avant de commencer le service. Je veux que tout le monde comprenne.” Vous, pasteurs, et vous tous, pouvez œuvrer ensemble comme cela.

223      .Bien. Frère Branham, qu’en est-il de l’école du dimanche ? Frère Branham, concernant l’école du dimanche (c’est ça), devrait-elle avoir lieu avant le service de prédication ?    

63        Oui, nous l’avons toujours fait ainsi. Ayez l’école du dimanche avant le service de prédication. Cela donne alors l’occasion aux petits de l’école du dimanche d’assister à leurs classes, et de quitter. Et–et s’ils veulent... Les petits enfants ne comprennent pas; et s’il fallait qu’ils restent assis pendant toute la durée de la prédication, et qu’ensuite ils assistent à l’école du dimanche, ces petits seraient épuisés. Que l’école du dimanche se fasse en premier. Fixez une heure; qu’à l’heure dite, l’école du dimanche commence. Le surveillant de l’école du dimanche doit veiller à cela, à ce que l’école du dimanche commence à l’heure, à l’heure fixée, et se termine à l’heure. L’école du dimanche a tant de temps qui lui est alloué, ensuite elle doit se terminer.

224. Est-ce que celui qui enseigne la classe des adultes devrait être quelqu’un d’autre que le Pasteur ?

64        S’il en a été convenu ainsi. Si le pasteur veut enseigner l’école du dimanche, et ensuite apporter le message plus tard, ça, c’est tout à fait bien, s’il veut tenir les deux services. Sinon, alors ayez quelqu’un pour enseigner l’école du dimanche aux adultes (voyez-vous), pour votre classe d’adultes. Ainsi, si–si le pasteur pense à quelqu’un d’autre, et que cette personne veut bien le faire, donnez-vous trente minutes, ou le temps que vous allouerez à votre école du dimanche, trente, trente-cinq ou quarante minutes, quel que soit le temps convenu.

65        Il devrait y avoir une cloche ici. Et, lorsqu’on donne un coup de cloche, cela signifie... ou bien la cloche de l’église, lorsqu’elle tinte, dehors, cela indique que c’est l’heure de congédier l’école du dimanche. Et, lorsque cette cloche sonne, cela signifie que tout doit rentrer dans l’ordre, à l’instant même.

66        On devrait prévoir une certaine période de temps pour un ou deux cantiques, ce que vous désirez chanter; que ce ne soit pas trop long, car vous fatigueriez les gens en les retenant trop longtemps. Voyez-vous ? Donnez simplement un coup de cloche, chantez un cantique, ou ce que vous aurez décidé, et ensuite envoyez chacun à sa classe. Et, aussitôt que c’est l’heure, disons, par exemple, dix heures, ou dix heures trente, ou dix heures quinze, l’heure choisie, alors faites tinter la cloche, et que chaque moniteur congédie sa classe, et vienne dans l’auditoire, ici. Et ensuite... donnez alors le rapport, le rapport de l’école du dimanche, et ensuite donnez-leur la permission de se retirer. Et que tous ceux qui désirent rester pour le service de prédication viennent ensuite. Voyez-vous ? Alors, c’est en ordre.

Des questions ? Combien... [Quelqu’un demande à Frère Branham : “Autrement dit, nous avons des classes séparées ?”–N.D.É.]

67        Oh oui! Vous devriez avoir... Un enfant de trois ans ne peut pas comprendre ce qu’un enfant de quatorze ans comprendrait. Je crois qu’il en est question un peu plus loin.

225. Combien de classes devrait-il y avoir ?

68        Vous devriez placer vos classes... Par exemple, une classe réservée aux tout-petits, qui veulent avoir des “flanellographes”, ne peut pas convenir à un garçon ou une fille de quatorze ans. Voyez-vous ? Vous devriez avoir quelqu’un qui s’occupe d’une classe pour ces petits bébés, une vieille mère, ou quelqu’un comme ça, qui sait comment s’en occuper. Pour les autres classes, je pense qu’il faudrait quelqu’un qui soit davantage en mesure d’apporter la Parole. Voyez-vous ? Il devrait y avoir des classes, disons, par exemple, une classe pour ceux de... enfin, au moins trois classes.

69        Il devrait y avoir une classe pour les tout petits bébés, il devrait y avoir... à partir de cinq ans environ. Et tous les autres, en dessous de cet âge, devraient rester avec leur mère, et devraient, si nécessaire, être emmenés dans la nursery pendant la prédication, s’ils se mettent à faire du bruit. Voilà à quoi sert la nursery.

70        Je pense que les classes devraient être réparties comme ceci : une pour les petits bébés de cinq ou six ans jusqu’à huit, neuf ou dix ans, quelque chose comme ça. Puis ceux de dix ans jusqu’à quinze devraient être dans la classe des adolescents. Et ensuite, la classe des adultes, pour ceux qui ont au-dessus de quinze ans, parce qu’ils... s’ils sont assez grands pour... De nos jours, ils peuvent se trouver un emploi, et ils veulent presque voter à cet âge-là; alors, ils–ils devraient être capables d’entendre la Parole, de venir dans la salle principale pour cela.

226. Qui devraient être les moniteurs ?

71        Nous y voilà! C’est à vous d’élire vos moniteurs. Et vous devriez le faire, les placer là, trouver quelqu’un! Convoquez l’église et dites : “Qui... qui ici se sent conduit par le Seigneur ?” Et alors, choisissez un moniteur qualifié. Et que cela se fasse. Cela doit être fait avec le plus grand sérieux, frères. Si le moniteur ne remplit pas les conditions requises, alors changez de moniteur.

72        Le jour où, devant Dieu, je penserai qu’Orman Neville n’est plus qualifié pour être pasteur ici, j’en ferai part à l’église. Quand je verrai une chose qui me fera penser que vous, les diacres, n’êtes pas qualifiés pour être diacres, je mentionnerai à l’église que “j’ai découvert qu’un certain diacre ici fait quelque chose qu’il ne devrait pas faire, qu’il ne remplit pas son poste convenablement”, et ainsi de suite; même chose dans le cas d’un administrateur, ou de qui que ce soit. Je ne peux ni faire adopter ni faire rejeter, c’est l’église qui doit faire cela. Mais certainement que je présenterai cela devant l’église, voyez-vous, parce que c’est ce qui devrait se faire. C’est ce que je suis censé être, en tant que surveillant; je suis censé regarder et voir ce qui se passe. Nous allons au Ciel, non pas ici quelque part, à un rallye, ou quelque chose, pour avoir beaucoup de plaisir, et pour s’écraser les uns les autres, et pour jouer au base-ball. Nous sommes ici, avec, dans nos mains, la chose la plus bénie qui existe sur la terre : la Parole de Dieu. Et cela doit être dirigé dans un ordre pieux.

Qui devraient être les moniteurs ?

73        C’est à vous de les sélectionner. Mais je prendrais... Pour les bébés, je prendrais une femme âgée, qui soit capable de faire cela. Mais, pour les adolescents, je choisirais un moniteur qui soit strict, et non pas toujours en train de faire des pique-niques où l’on fait rôtir des saucisses. C’est très bien, s’ils veulent faire un pique-nique où l’on rôtit des saucisses, mais, quand toute la chose est axée là-dessus... Axez-la sur la Parole! Que ce soit quelqu’un qui soit capable de manier la Parole. Et ce sera... Cette église représente, non pas un... Des pique-niques aux saucisses rôties, c’est très bien, et–et des petits pique-niques où vous allez ensemble pour fraterniser, c’est bien. C’est ce que vous devriez faire pour divertir les enfants. Mais, dans cet endroit-ci, c’est la Parole de Dieu. Les pique-niques aux saucisses rôties, c’est quand vous vous retrouvez, ou quelque chose comme ça, mais pas ici, dans la maison de Dieu. Et ces... Nous savons, bien sûr, nous savons qu’ici nous ne croyons pas dans toutes ces sottises, ces réunions mondaines, et toutes ces choses. Nous–nous... Vous avez plus de bon sens que cela.

227. Qui devrait être à la tête de l’école du dimanche, pour la garder dans l’ordre ?

74        Le surveillant de l’école du dimanche. Voilà son travail. Il n’est pas censé avoir quoi que ce soit à faire avec les diacres, les administrateurs, les pasteurs, ou n’importe qui d’autre. Il a sa propre fonction. Qui est le moniteur de votre école du dimanche, je ne le sais pas. Mais ce moniteur de l’école du dimanche doit voir à ce que chaque classe soit à sa place, et que chaque moniteur soit présent, ou voir à remplacer ce moniteur par un autre moniteur si l’un d’eux n’est pas là ce jour-là.

75        Alors, juste avant... Pendant la–la leçon, le surveillant de l’école du dimanche doit passer et recueillir les offrandes qui ont été faites, les collectes de l’école du dimanche, et préparer un rapport sur le nombre de personnes présentes, et le nombre de Bibles qu’il y avait dans cette classe, et ainsi de suite, et rédiger un rapport là-dessus. Il doit ensuite venir devant l’auditoire juste avant la prédication, quand on lui fera signe, au moment du rapport de l’école du dimanche, après que l’école du dimanche est terminée, et dire combien il y avait de moniteurs, combien étaient présents, combien... le total de l’école du dimanche, le montant total des offrandes, et ainsi de suite. Les diacres, les administrateurs, les pasteurs, ne sont pas censés faire cela. Ils n’ont rien à voir là-dedans. C’est le travail du surveillant de l’école du dimanche.

76        Et puis, s’il voit que l’école du dimanche a besoin de certaines choses, il doit alors soumettre cela au–au conseil d’administration. Les administrateurs auront d’abord une réunion à ce sujet, puis, si les administrateurs voient qu’il y a suffisamment de fonds et ainsi de suite (par l’entremise du trésorier), on pourra alors effectuer l’achat. S’il veut quelque chose, de la littérature, ou quoi que ce soit, ou des Bibles; ou s’ils veulent acheter une Bible à celui qui, vous savez, peut trouver le plus de mots et citer le plus de passages de l’Écriture, ou s’il y a un prix, ou quelque chose du genre, qu’ils ont l’intention de décerner, et qu’ils veuillent acheter cela par l’intermédiaire de l’église, alors, que ce soit présenté aux–aux–aux–aux diacres. Puis, que ceux-ci se renseignent pour savoir s’il–s’il–s’il y a ce qu’il faut dans la caisse. Voyez-vous ?

77        Et cela, je pense que cela règle les cinq questions qui se rapportaient à cela.

            Maintenant, la suivante, c’est :

228. Frère Branham, en ce qui concerne l’ordre de l’église, nous avons essayé d’agir d’après notre compréhension des ordres donnés lors de la dédicace de la nouvelle église. Et, en agissant ainsi, certains se sont mis en colère et ont quitté l’église. D’autres ne veulent rien écouter de ce que nous disons, spécialement les enfants. Nous avons parlé aux parents au sujet de leurs enfants, et ils refusent de s’en occuper. Avons-nous donc mal compris, ou nous y prenons-nous mal ? Merci.

            Laissez-moi donc répondre à ceci, un élément à la fois, comme ils se présentent.

En ce qui concerne l’ordre de l’église, nous avons essayé d’agir d’après notre compréhension de ce qui a été donné lors de la dédicace de la nouvelle église.

78        C’est correct; vous agissez bien. Cela doit probablement venir des diacres, je pense, puisqu’il est tout à fait question ici du travail des diacres. Très bien.

Et, en agissant ainsi, nous avons souvent... des gens se sont souvent mis en colère contre nous.

79        Ils agissent de même envers moi! Ils le feront pour n’importe quel homme. Voyez-vous ? Si une personne fait cela, c’est que quelque chose ne va pas chez cette personne. Ils ne sont pas en règle avec Dieu, car l’Esprit de Christ est soumis à l’enseignement de Christ, à la maison de Christ, à l’ordre de Christ. Voyez-vous ? Et n’importe quel homme qui... ou n’importe quelle femme, ou n’importe quelle personne, ou enfant, qui se mettrait en colère contre un diacre consacré qui leur dirait d’être... ou n’importe quel parent qui se mettrait en colère contre un diacre... Vraiment, nous souhaitons avoir dans cette église tous ceux que nous pouvons y faire entrer; mais si cela ne fait que causer des ennuis ailleurs, c’est qu’il y a une épine, ou plutôt un lapin dans le tas de bois, comme on avait coutume de dire. Cette personne-là n’a pas raison.

80        S’ils partent, il n’y a qu’une chose à faire : les laisser partir, et prier pour eux. Voyez-vous ? Ensuite, peut-être que quelques-uns des diacres pourraient aller à leur église... ou plutôt aller chez eux, un jour ou l’autre, pour savoir pourquoi ils sont partis, et leur demander ce qui n’allait pas. Et puis s’ils... Pour voir s’il peut les réconcilier. S’il ne le peut pas, alors, qu’il prenne avec lui deux ou trois témoins, afin qu’eux puissent se faire comprendre. Et alors, s’ils n’arrivent pas à se faire comprendre, en ce cas, qu’on le dise devant l’église, s’ils sont membres de cette église. À ce moment-là, ils sont...

81        Mais, s’ils ne sont pas membres de l’église... bien sûr, s’ils ne sont pas membres de cette assemblée, on devrait leur apprendre à se plier à la discipline. Voyez-vous ? Ils–ils doivent obéir à nos ordres, parce que ce sont les ordres de l’église. Ce sont des choses que nous ne voulons pas faire, des choses que moi-même, je n’aime pas faire. Mais ce sont des choses qui doivent être faites. Je me mets moi-même en avant, et je leur dis maintenant, par cette bande, que cela vient de moi. Ils peuvent m’entendre parler et savoir que c’est moi, et non pas vous, les frères. Vous m’avez posé ces questions, à moi, et j’y réponds de mon mieux, d’après la Parole de Dieu.

82        “Maintenant, si ces gens se mettent en colère et vous quittent, que dit l’Écriture à ce sujet, Frère Branham ?”

83        “Ils sont sortis du milieu de nous, parce qu’ils n’étaient pas des nôtres.” C’est réglé! “Ils ont quitté l’église”, c’est ce qu’ils ont fait. Très bien.

D’autres ne veulent rien écouter de ce que nous disons, spécialement les enfants.          

84        Les enfants sont censés savoir ce qu’est la discipline; ils devraient l’apprendre à la maison. Mais, même s’il s’agit des miens, si mes enfants viennent ici à n’importe quel moment, et qu’ils se conduisent mal, je ne veux pas que vous fassiez la moindre exception; qu’il s’agisse de Sara, de Rébecca, de Joseph, de Billy, ou de n’importe qui, dites-le-moi, je m’en occuperai. S’ils ne peuvent pas se conduire convenablement, alors ils ne viendront plus à l’église, jusqu’à ce qu’ils aient appris à bien se tenir. Ceci n’est pas une arène, c’est la maison de Dieu. Ce n’est pas un endroit pour jouer, et patiner, et écrire des billets, et rire, et plaisanter, c’est la maison de Dieu. Tout devrait se passer pieusement.

85        Vous venez ici pour adorer, pas même pour vous rencontrer. Ceci n’est pas un–ceci n’est pas un terrain de pique-nique, ce n’est pas un endroit pour se rendre visite. C’est le lieu de visitation du Saint-Esprit. Écoutez ce que Lui a à dire, non pas les uns les autres; nous ne venons pas ici pour fraterniser les uns avec les autres. Nous venons ici pour fraterniser avec Christ. Ceci est la maison d’adoration. Et les enfants doivent être disciplinés, et s’ils... par leurs parents. Que cela se sache! Si ces diacres... Si les parents de ces enfants ne veulent pas écouter ce que disent les diacres, alors ces parents eux-mêmes devraient être corrigés.

Nous avons parlé aux parents au sujet des enfants, et ils refusent de s’en occuper.        

86        S’ils sont membres de cette église, alors vous devriez en prendre deux ou trois avec vous, et rencontrer ce parent en privé, dans l’un des bureaux. Peu m’importe de qui il s’agit; qu’il s’agisse de moi, de Frère Neville, de Billy Paul et son petit garçon, de Frère Collins et l’un de ses enfants, ou de n’importe lequel d’entre vous. Nous sommes... Nous nous aimons les uns les autres, mais nous sommes liés par le devoir envers Dieu et envers cette Parole. Qu’il s’agisse de Doc, peu importe qui c’est, nous devons nous appeler à l’écart, et être honnêtes les uns avec les autres. Comment Dieu peut-Il arriver à traiter avec nous ? Si nous ne sommes pas honnêtes les uns avec les autres, alors comment le serons-nous avec Lui ? Voyez-vous ?

87        C’est un ordre, nous devons nous occuper de la maison de Dieu! Et les diacres sont censés savoir comment faire cela. Voyez-vous ? Voilà pourquoi je vous dis maintenant de veiller à ces choses. Appelez-les... Et, si vous en parlez aux parents et qu’ils refusent d’écouter, qu’ils refusent d’entendre raison, alors prenez un autre diacre, ou un des administrateurs, ou quelque bonne personne de cette église, et appelez... Prenez votre... prenez votre conseil de diacres, tous les diacres réunis, et dites : “Frère Jones, Frère Henderson, Frère Jackson,” celui dont il est question, “leurs enfants se conduisent mal; nous leur avons parlé deux ou trois fois de leurs enfants, et ils refusent d’écouter.”

88        Alors, faites venir Frère Jones, ou Frère Un tel, et dites : “Frère Jones, nous vous avons fait venir ici pour avoir un entretien avec vous. Nous vous aimons, et nous... vous êtes une partie de nous. Vous êtes l’un des nôtres. Permettez-moi de vous passer cette bande et de vous faire entendre ce que Frère Branham a dit à ce sujet. Voyez-vous ? Maintenant, nous vous avons demandé de faire en sorte que ces enfants se conduisent bien. Voyez-vous ? S’ils ne veulent pas se conduire convenablement, et si vous n’arrivez pas à faire en sorte qu’ils se tiennent comme il faut à l’église, alors confiez-les à quelqu’un pendant que vous venez à l’église, jusqu’à ce qu’ils apprennent à bien se tenir dans la maison de Dieu. Voyez-vous ? Donc, c’est un ordre, il doit être exécuté! Voyez-vous ?

            Maintenant, l’autre question continue :

Avons-nous donc mal compris ?

89        Non monsieur! Vous n’avez pas mal compris! C’est bien exact. Je le répète. Les ordres... Quand vous êtes dans l’armée, on ne vous demande pas : “Voulez-vous aller faire une certaine chose ?” Si vous êtes dans l’armée, vous êtes obligé de le faire. Voyez-vous ? Et c’est pareil pour... Je suis obligé de prêcher l’Évangile! Je suis obligé de prendre position pour Ceci, sans me soucier de ce que les autres hommes, frères, et ainsi de suite, peuvent en dire; je suis obligé de le faire. Il me faut être blessant, et mettre des hommes en pièces, mais, si je...

90        Vous ne voulez pas devenir comme Oswald, voyez-vous. Si vous ne pouvez pas être en désaccord avec un homme, et ensuite lui serrer la main et conserver les mêmes sentiments à son égard, alors quelque chose ne va pas chez vous. Si je ne peux pas être en désaccord avec un homme – en désaccord profond et total – et quand même penser de lui autant de bien que–que Christ le ferait, alors, mon esprit à moi n’est pas juste. Je n’ai pas l’Esprit de Christ. Voyez-vous ?

91        S’il dit : “Eh bien, Frère Branham, je crois que votre enseignement est ceci, cela.

92        – Très bien, frère, retrouvons-nous pour discuter, vous et moi. Nous verrons cela ensemble. Nous irons seuls dans la pièce d’à côté, et nous discuterons.” Et le voilà qui me met en pièces; et je dois, à mon tour, lui répondre certaines choses. Si, dans mon cœur, je ne peux pas avoir les mêmes sentiments à son égard, me disant “qu’il est toujours mon frère et que j’essaie de l’aider”, alors, jamais je ne pourrai l’aider. Il n’y a aucun moyen pour moi de l’aider. Si je ne l’aime pas, à quoi bon aller là-bas ? Dites-lui : “Commençons par le commencement, frère : Je ne vous aime pas. Aussi, laissez-moi faire disparaître cela de mon cœur tout de suite, avant que nous entrions là, parce que je ne peux pas vous aider, tant que je ne vous aime pas.”

93        Et c’est vrai! Et c’est la façon! Voyez-vous ? Continuez, vous avez agi tout à fait bien. C’est ainsi que cela devrait être. Vous n’avez pas du tout mal compris.

93a      Nous y prenons-nous mal ?   

94        Non! C’est la bonne façon de mener cela. Que l’ordre soit maintenu, parce que c’est constamment... Maintenant, les petits enfants et les petits bébés des mères, et ainsi de suite, pleureront, c’est certain, et s’ils se mettent à pleurer trop, et qu’ils interrompent votre pasteur qui est là-haut, rappelez-vous : vous êtes ses gardes du corps. Vous êtes ses gardes du corps dans l’Évangile. Voyez-vous ? Et si cela interrompt le message du Seigneur, vous êtes des diacres, alors, que devez-vous faire ? C’est comme un homme qui parle en langues; il est lié par le devoir. Et un homme qui prêche est lié par le devoir à la Parole. Il est lié par le devoir à ces choses. Chacun de vous est lié par le devoir à une fonction, et c’est–c’est précisément dans ce but-là que nous sommes ici.

95        Maintenant, nous ne voulons pas trop vous retenir, et je sais que j’ai un rendez-vous dans quelques minutes, alors je vais–je vais donc essayer de faire vite, aussi vite que possible.

229. Frère Branham... (Il y a trois, deux questions ici sur cette carte.) Frère Branham, quelle devrait être la ligne de conduite, lorsqu’il s’agit de recueillir des offrandes dans l’église pour des gens ? Comment cela devrait-il se faire ?    \

96        Je pense que recueillir des offrandes dans l’église pour des gens ne devrait pas se faire, à moins que ce ne soit pour votre pasteur. Et je pense que si quelqu’un venait ici pour demander l’aumône, ou pour quelque chose comme ça, ou si quelqu’un était vraiment dans le besoin, par exemple, un de nos membres, quelqu’un de l’assemblée... si c’était, disons, l’un de nos frères, et qu’ils aient des problèmes, eh bien, je pense que, dans ce cas-là, cela devrait être annoncé de l’estrade. Et que ce soit le pasteur qui le fasse. Je pense qu’il est de son devoir de faire cela; s’il s’agit d’un frère qui a besoin de quelque chose, qu’il soumette alors cela à l’église, si c’est ainsi qu’on veut faire.

97        Si c’est quelqu’un qui est dans le besoin, et–et que vous ne voulez pas recueillir d’offrande pour la personne qui est dans le besoin, alors, que les conseils se réunissent pour convenir ensemble de certaines sommes à sortir de la caisse afin de les donner à cette personne. Mais, si le niveau de la caisse est bas à ce moment-là, et qu’ils n’ont pas les moyens de le faire, alors cela devra être recueilli. Que–que cela soit discuté en conseil, que les ordres soient donnés au pasteur, et que le pasteur demande la chose en question. Qu’il dise : “Ce soir... notre Frère Jones a eu un terrible accident. Sa maison a brûlé, et, ce soir, en tant que Chrétiens, nous allons nous unir et nous engager personnellement à faire notre possible pour aider Frère Jones à retrouver sa maison.” Voyez-vous ? Ou–ou quoi que ce soit. Voyez-vous ? Nous–nous ferons cela. Que cela soit dit de l’estrade; c’est la façon de le faire. Ensuite, que les montants pour lesquels on s’est engagé soient versés, et qu’on les remette au trésorier de l’église. Et que ces montants soient payés par l’entremise du trésorier de l’église, et qu’ils leur soient remis. Et–et qu’on donne un reçu à la personne, parce que je ne sais pas si on peut avoir un remboursement d’impôts ou pas; je le pense bien, pour quelque chose comme ça.

98        Bien. Mais, pour ce qui est, par exemple, d’un–d’un étranger qui entre ici, un étranger qui entre, par exemple... Un homme qui entre et dit : “Eh bien, voici ce qui en est : Je–je–je suis en voyage, et un de mes pneus a éclaté; il me faut un pneu neuf. Recueillez donc une offrande pour moi ce soir, pour un pneu neuf.” Maintenant, on ne doit pas faire cela! Non. On ne doit pas le faire. Et s’il semble–s’il semble que ce soit quelque chose de valable, touchant quelqu’un que vous connaissez, le conseil peut se réunir, et décider d’un certain montant d’argent à sortir de la caisse afin d’acheter un pneu à cet homme, ou ce dont il était question. Ou bien, si les fonds de l’église sont peu élevés, et que le conseil décide que... Le pasteur ne devrait rien avoir à faire là-dedans, les diacres sont censés s’en occuper, voyez-vous, ou les conseils. Et maintenant, si cela... Si cela a été convenu, alors confiez au pasteur... le pasteur pourra avoir soin de recueillir l’offrande. Mais, remarquez, si c’est un étranger, et que ce soit un besoin urgent, que quelqu’un ait besoin d’un peu d’argent et que vous pensiez que c’est pour une bonne cause (or ceci, c’est mon opinion), si c’est vraiment pour une bonne cause, et que vous savez que c’est pour une bonne cause...

99        Maintenant, premièrement, si vous alliez regarder, dans mes livres, à la maison, le nombre de personnes qui sont passées, en disant : “Je suis le révérend Un tel, de telle et telle église, et j’ai–j’ai eu des ennuis sur la route, et j’ai–j’ai besoin d’un jeu de pneus”, sachant que je revenais justement d’une réunion où j’avais reçu une offrande, ou quelque chose comme ça – j’étais prêt à lui donner, pour qu’il aille s’acheter un jeu de pneus. Quand j’allais ensuite prendre connaissance des registres : jamais un ministre de ce nom, et ayant vécu à cet endroit, n’avait existé. Et il y a dix ou vingt mille dollars – c’est inscrit sur les livres – qu’au fil des années j’ai distribués, comme cela; je n’ai jamais rien su d’eux, ni où ils étaient. Je finissais par apprendre... d’autres ministres disaient : “Mais, il m’a soutiré, à moi, tel et tel montant!”

100      Or, l’église n’est responsable que des siens! C’est vrai. Ils sont responsables des leurs.

101      Mais, s’il semble y avoir une cause valable, et puis si vous–si vous, les administrateurs, vous pouvez peut-être dire : “Attendez donc une minute. Cet homme, sa voiture est bien là-bas, cela lui est bien arrivé. Il n’est pas de notre assemblée, voyez-vous, mais c’est bien ça.” Alors, s’ils veulent procéder ainsi, et veulent dire quelque chose de spécial pour une personne du dehors...

102      Mais pas pour les nôtres, voyez-vous, pas pour nos propres fidèles. Quand il est question de nos propres fidèles, cela doit être recueilli ici même, parmi les–les leurs, leurs frères ici, voyez-vous.

103      Mais, s’il s’agit de quelqu’un, à l’extérieur... si un homme dit qu’il a faim, et que quelqu’un veut retirer quelque chose de sa poche pour lui faire l’aumône, cela vous regarde. Mais je parle des fois où l’église est sollicitée. Donc, si l’on demande aux membres de l’église de faire un don, alors...

104      Maintenant, bien sûr, si vous avez un évangéliste qui prêche ici, alors vous prenez... vous... vous aurez convenu avant qu’il vienne, vous savez, soit de lui donner une offrande, ou de lui payer un salaire, ou ce qu’il voudra.

105      Mais si cette personne est ici, et que c’est pour une bonne cause, et que le pasteur... et que le conseil ait donné son approbation, et en ait informé le pasteur, alors, que le pasteur dise : “Une certaine personne est assise ici. Nous ne connaissons pas cet homme. Il est entré, et il nous a demandé... Il dit que ses enfants ont faim. Nous n’avons pas le temps... nous n’avons pas eu le temps d’examiner la–la–la–la demande.” Voyez-vous ?

106      S’il y a quelque chose comme ça, alors nos–nos... S’il y a quelque chose concernant quelqu’un des nôtres, nos propres diacres vont examiner ces demandes, voyez-vous. Et, si c’est valable, alors faites-le. Si ce n’est pas valable, alors ne le faites pas, vous n’en avez pas l’obligation. Mais, maintenant, s’il s’agit d’un homme qui est ici, alors, que le pasteur dise : “Maintenant, le conseil d’administration m’a dit ne pas connaître cette personne. Mais cet homme est assis ici, et il dit s’appeler Jim Jones (ou quel que soit son nom). Il est assis juste là. ‘Voulez-vous vous lever, Monsieur Jones ? Maintenant, Monsieur Jones, à la fin du service, tenez-vous à la porte de derrière, en sortant.’ Et si quelqu’un a le désir dans son cœur de faire quelque chose pour cet homme, donnez-le-lui en sortant.” Est-ce bien compris ?

107      L’avez-vous... Pour ceux qui écoutent la bande... L’un des... Frère Collins l’a manqué sur sa bande, je veux donc énoncer de nouveau cette déclaration. Si... parce que c’est un des diacres.

108      Si–si jamais un homme entre, pour une urgence, et désire recevoir une offrande de l’église, alors, que les administrateurs ou les diacres se réunissent, et... qu’ils se réunissent, et qu’ils prennent une décision, et disent ensuite au pasteur... Cela pourrait être fait comme ceci : Qu’ils... que le pasteur dise que “cet homme,” et qu’il donne son nom, “nous ne le connaissons pas. La règle habituelle, ici, est de se renseigner avant de recueillir une offrande pour des gens, lorsqu’il s’agit des nôtres. Mais cet homme, ici, dit qu’il est en difficulté, il doit faire face à un imprévu, il a des enfants malades et il a besoin de se procurer des médicaments pour ses enfants (ou quel que soit cet imprévu). Il est ici : ‘Voulez-vous vous lever, monsieur ?’” Voyez-vous ? Faites-le lever, et dites : “Maintenant, vous, ici, vous voyez qui c’est. Alors, à la fin du service, cet homme se tiendra à la porte de devant, et, en sortant, ceux d’entre vous qui ont envie de contribuer, vous êtes libres de le faire; nous l’avons seulement annoncé dans l’église.” Vous ne donnez pas par là votre approbation à cela, vous faites seulement l’annoncer. Voyez-vous ? C’est faire preuve d’hospitalité envers un étranger. Voyez-vous ? Vous comprenez à présent ? Très bien.

109      Je pense qu’on a vidé cette question-là.

230. Qu’en est-il des bandes ? Bien. Étant donné... Qu’en est-il des bandes ? (Il y a un point d’interrogation.) Étant donné que beaucoup écrivent au bureau, vous blâmant pour les mesures prises par rapport aux bandes. Aussi, qu’en est-il des autres, autour de l’église, qui vendent des bandes, alors que monsieur Maguire doit payer des droits d’auteur sur celles-ci ?

110      Très bien. Les bandes se font par contrat. Et, si je... Je ne sais pas exactement quand le contrat expire, mais les administrateurs, ceci regarde les administrateurs; non pas les diacres, mais les administrateurs; non pas le pasteur, mais les administrateurs. Les administrateurs, de temps à autre, ils–ils rédigent un contrat, si j’ai bien compris. (Et si ce–ce n’est pas juste, alors, que les administrateurs veuillent bien me corriger.) Donc, ces administrateurs ont une entente avec la personne qui fait les bandes, et les bandes sont données par concession.

111      Personne d’autre ne peut faire des bandes à moins d’en avoir reçu l’autorisation de la personne qui détient la concession. Et celles-ci ne peuvent pas être vendues, sans la permission de la personne qui détient la concession, parce que c’est la loi, voyez-vous, qui régit la concession. Voyez-vous ? Et si le... celui qui détient la concession veut laisser un tel faire des bandes, c’est son affaire. S’il veut laisser tout le monde faire des bandes, c’est son affaire; s’il veut que tout le monde vende des bandes, cela regarde la personne qui détient la concession. Il devrait avoir un–un petit mot, signé du détenteur de la concession, l’autorisant à faire et à vendre des bandes, parce qu’ainsi il est en règle avec la loi; sinon, l’homme qui possède la concession... Vous vous rendriez passible de... Si c’était une–une personne méchante, et qui cherche à créer des ennuis, elle pourrait vraiment le faire. Si vous passez par-dessus cette concession... parce que c’est exactement la même chose qu’un droit d’auteur, voyez-vous, c’est la même chose. Vous n’avez pas le droit de faire cela. C’est passible d’une grosse amende.

112      Ainsi, si ces personnes font des bandes, peut-être ont-elles l’accord de monsieur Maguire, qui–qui a... qui perçoit des droits d’auteur sur les bandes. Et, maintenant... et je ne suis pas au courant de cela, parce que je ne suis pas ici, avec vous, assez souvent pour être au courant de ces choses et de qui il est question. Je suppose que monsieur Maguire la détient toujours, parce que là-bas en Californie, ou en Arizona où j’habite, je crois savoir qu’on achète toujours des bandes venant de la Californie. Frère Sothmann, le beau-père de monsieur Maguire, qui est notre frère ici dans l’église... Je pense que monsieur Maguire la détient toujours, la–la concession là-dessus.

113      Maintenant, des plaintes, il y en a eu depuis le début, au sujet de la façon dont sont faites les bandes. Or, quand il y a une plainte concernant quoi que ce soit qui ait rapport aux finances de cette église, il est du devoir des administrateurs de voir à ce que cette question soit tirée au clair. Voyez-vous ? Il ne devrait absolument rien y avoir!

Maintenant, vous voyez qu’il est dit, ici sur cette carte :

Ils écrivent au bureau, vous blâmant.         

114      Franchement, j’ai reçu beaucoup de lettres à ce sujet, et ils veulent savoir pourquoi ils ne reçoivent pas leurs bandes. Maintenant, vous connaissez votre contrat avec celui qui a la concession. D’après ce que j’ai compris, les bandes... Je–je ne veux rien avoir affaire avec, pour moi-même, mais, si quelqu’un peut utiliser les bandes pour l’avancement de l’Évangile, alors : “Amen!”

115      Au début, Frère Roberson et les autres commencèrent à les produire, Frère Beeler et plusieurs autres commencèrent à les produire. Puis nos deux frères, Frère Mercier et Frère Goad, les produisirent pendant des années. Et, bien entendu, chacun des hommes qui les a produites a été l’objet de plaintes, chacun d’eux. Mais on dirait que, dernièrement, les gens se plaignent beaucoup de ce qu’ils ne reçoivent pas leurs bandes. Des gens m’ont téléphoné de l’autre bout du pays. Autre chose : On se plaint de recevoir des bandes déjà utilisées sur lesquelles on aurait réenregistré; on y entend une chose une minute, et puis on entend autre chose par-dessus, et alors on n’arrive même plus à comprendre ce qui s’y trouve.

116      Or, les gens qui paient pour ces bandes devraient recevoir une bande authentique. Peu m’importe ce qu’ils doivent faire pour l’obtenir, nous voulons voir nos clients, et nos frères (et c’est ce qu’ils sont, nos clients et nos frères, et ainsi de suite), ils doivent recevoir une bande de toute première qualité. Vous, les administrateurs, veillez-y! Veillez à ce que ces gens soient satisfaits. S’ils ne sont pas satisfaits, leur argent doit leur être retourné immédiatement.

117      Quelqu’un m’a téléphoné, pour me dire que cela faisait des mois qu’ils attendaient des bandes. Maintenant, je ne sais pas comment Frère Maguire s’occupe de cela. Je–je ne suis pas au courant. Je ne sais rien à ce sujet, et je... Ce n’est pas mon affaire d’être au courant de cela; c’est son affaire à lui, avec eux et les administrateurs. Je ne cherche pas à m’interposer, mais je suis simplement en train de vous en donner la législation. Voyez-vous ? La loi veut que ces bandes, à partir du moment où quelqu’un passe une commande, ces bandes sont censées être en route; dans la journée qui suit, ou deux, trois, quatre, ou cinq jours après qu’on a commandé ces bandes, celles-ci doivent être à la poste. Autrement la concession peut être retirée en tout temps, quand ces ordres ne sont pas observés. Voyez-vous ?

118      Maintenant, tous les six mois ou tous les ans, on doit renouveler cela; ce contrat doit être renouvelé. Vous êtes censés vous rencontrer à la date précise mentionnée sur la concession. Et alors, d’autres personnes sont censées venir aussi à ce moment-là, et vous êtes censés aviser d’autres gens qui ont posé des questions au sujet des bandes; et qu’on vienne avec le contrat, qu’on s’assoie, et qu’on en discute.

119      Maintenant, ces ordres doivent être exécutés! Voyez-vous ? Et on doit les exécuter correctement, parce qu’il y a des plaintes. Ils se sont plaints de Léo et de Gene, ils se sont plaints de chacun, ils se plaignent de Frère Maguire, et il y aura des plaintes avec quelqu’un d’autre; seulement voyons de quoi on se plaint.

120      Maintenant, quand les bandes commencent à s’empiler, qu’il y en a des caisses, que les lettres arrivent par douzaines, et que... Voyez-vous, cela ne retombe pas sur celui qui fait les bandes, c’est sur moi que cela retombe. C’est toujours à moi qu’ils s’en prennent à ce sujet. Or, il est de mon devoir, en tant que Chrétien, de veiller à ce que les gens en aient pour leur argent; et je veux que vous, les administrateurs, vous veilliez à cela. Même s’il faut les vendre plus cher, acheter des bandes de meilleure qualité, acheter une meilleure machine, nous voulons que celui qui fait ces bandes les fasse correctement. Voilà ce qui nous intéresse! Les bandes doivent être bien faites! Et le client doit être satisfait, sinon arrêtez complètement de faire les bandes, et nous n’aurons plus de bandes, nous laisserons simplement ceux qui le veulent en faire. Mais, s’ils ont l’intention de les faire payer, alors qu’ils veillent à ce que les gens en aient pour leur argent, parce que c’est faire preuve de Christianisme. Ce n’est pas plus que...

121      Quand ils viennent ici pour entendre l’Évangile, je veux leur donner le meilleur de ce que je peux leur donner. Voyez-vous ? Et quand ils viennent ici, je veux que vous veilliez à ce que tous et tout marchent bien. C’est la raison pour laquelle je vous dis, à vous, les diacres, les administrateurs et les pasteurs, ici ce soir, que vous devez exécuter ceci à la lettre, parce que les gens viennent ici pour trouver Dieu; et nous devons avoir ces choses en ordre.

122      Et les bandes aussi doivent être mises à leur place. S’il faut les vendre plus cher... si vous utilisez des bandes de deuxième qualité, alors procurez-vous de meilleures bandes. S’il faut les vendre plus cher, vendez-les plus cher, mais que la personne reçoive la contre-valeur du prix demandé.

123      Je ne suis intéressé à aucuns droits d’auteur, pas un sou, et le Tabernacle non plus n’est pas intéressé. Je ne veux pas que vous le soyez. Ne soyez pas intéressés à cela, aux droits d’auteur. S’ils en paient... Je pense qu’on est obligés d’en percevoir un peu, de ces droits d’auteur, étant donné que c’est fait ici. Je crois que c’est quelque chose qu’il a dit à monsieur Miller et aux autres, concernant la loi, que nous devions percevoir certains droits d’auteur, ou quelque chose. C’est à vous tous de vous occuper de cela. Je ne me mêle pas de cela, je fais seulement vous exposer la chose. C’est à vous autres de vous en occuper. Je ne peux pas m’occuper de tout. Je vous indique simplement de quelle façon cela devrait et doit être dirigé. Et vous avez bien compris que j’ai dit : “Doit être dirigé”! Nous voulons donc que cela soit dirigé correctement.

124      Et s’il est nécessaire d’avoir une meilleure machine, alors procurez-vous une meilleure machine. Si c’est nécessaire... Or, je leur ai dit, j’ai dit : “Chaque fois que je partirai en voyage missionnaire, avant de partir, je vous signalerai les sermons que je vais prêcher là-bas, quelque chose que j’ai déjà...” Et je vous ai promis – j’ai d’ailleurs l’intention de reprendre cela à nouveau dimanche soir – qu’avant de prêcher un nouveau message, je le donnerais premièrement dans ce tabernacle, parce qu’il semble qu’on y obtient un meilleur enregistrement. Vous vous souvenez de cela ? Alors, je viens ici, je prêche mes messages, et je vais ensuite voir le frère qui s’occupe des bandes pour lui signaler quels services... Ils me demandent : “Lesquels ? Qu’allez-vous prêcher ?” Et je dis : “Eh bien, ce soir-là, ce sera tel et tel; et cet autre soir, tel et tel.” Ils peuvent ainsi les préparer d’avance, et les mettre à la disposition des clients, sur place. Ils l’ont là, avec eux. Et c’est une bande de meilleure qualité que celle qu’on obtiendrait dans ces réunions, parce qu’elle est faite ici au Tabernacle, où l’acoustique est bonne. Voyez-vous ?

125      Or, comme j’entreprends cette grande tournée d’évangélisation, ce que je vais faire maintenant, à l’étranger, et tout, je ne peux pas le promettre, vous voyez, je ne peux pas promettre que je prêcherai mon premier message ici. Parce que, lorsque vous prêchez les messages à différents endroits, vous devez avoir quelque chose... Cela–cela finit par perdre de son intérêt pour vous, et, en ce cas, forcément que cela perdra de son intérêt pour ceux qui l’écoutent. Vous devez faire quelque chose de différent, vous voyez, et apporter ce qui convient comme message là-bas. Mais alors, qu’on installe sur le terrain, ou dans l’endroit en question, une machine qui fera un enregistrement parfait.

126      Et qu’on produise une bande parfaite, et que chaque bande soit écoutée et vérifiée avant d’être envoyée; sinon, arrêtez tout cela, ne vous en occupez plus du tout, et que chacun fasse ses propres bandes. Voyez-vous ? Mais, faites-le comme il faut, voyez-vous, afin que ces plaintes cessent! Nous ne voulons aucune plainte, aucune! S’il y a une plainte, qu’on s’en occupe, alors ce sera réglé.

127      Maintenant, je vais faire aussi vite que possible. Billy a peut-être encore deux questions ici, ou trois, et nous aurons terminé.

231. Frère Branham, jusqu’où un diacre peut-il ou devrait-il aller pour maintenir l’ordre dans l’église ? Devrions-nous maintenir l’ordre, ou bien attendre que Frère Neville nous dise ce qu’il faut faire ?

128      Ce n’est pas le travail de Frère Neville, c’est votre travail! Voyez-vous ? Vous ne dites pas à Frère Neville quoi prêcher, et comment le prêcher! Voyez-vous ? C’est votre travail, à vous, les diacres, vous êtes censés faire cela. Occupez-vous de cela! Cela ne concerne en rien Frère Neville. C’est votre travail, voyez-vous.

129      Maintenant, si un policier est ici, dans la rue, et qu’il voit un homme en train de voler quelque chose à l’arrière d’une voiture, doit-il appeler le maire et dire : “Eh bien, Votre Honneur, monsieur le Maire, je travaille pour vous dans les forces de police. Voici : J’ai trouvé un homme dans la rue, qui–qui était en train de voler les pneus d’une voiture la nuit passée. Je me demandais : Quelle est votre opinion là-dessus ?” Voyez-vous ? Voyez-vous, cela n’aurait pas de sens, n’est-ce pas ? Non monsieur! S’il est en train de faire quelque chose de mal, arrêtez-le!

130      De même, si un homme fait quelque chose de mal, ici, à l’église, ou n’importe qui, arrêtez-les, parlez-leur. Ne soyez pas arrogants; mais, s’ils refusent d’écouter, parlez de façon à vous faire comprendre. Voyez-vous ? Voyez-vous ? Comme de dire à un enfant : “Retourne là-bas”, alors qu’il se conduit mal. Diacres, restez à votre place! Placez... Vous êtes quatre; que deux restent à l’avant et deux à l’arrière, dans les coins, ou quelque part comme ça. Et surveillez très attentivement au cas où des renégats, et tout, entreraient, vous voyez. Montez la garde. Rendez-vous à votre poste, et restez-y, c’est votre siège; ou alors, tenez-vous debout près d’un mur, et observez tous ceux qui entrent.

131      Le diacre prend soin de la maison de Dieu. Si quelqu’un entre, parlez-lui. Soyez là pour les saluer, serrez-leur la main. C’est... Vous êtes le policier. “Pouvons-nous vous montrer le vestiaire ?”, ou : “Voulez-vous vous asseoir ?” “Pouvons-nous vous apporter un livre de chants, ou quelque chose ?”, ou : “Nous aimerions que vous puissiez vous plaire ici et–et prier, et–et nous sommes contents de vous avoir parmi nous ce soir.” Conduisez-les jusqu’à une place, et dites : “Aimeriez-vous être plus près, ou aimeriez-vous être ici, vers l’arrière ?”, ou n’importe où ailleurs. C’est faire preuve d’hospitalité.

132      Un policier, ou le diacre, c’est comme la police militaire à l’armée : de la courtoisie, mais accompagnée d’autorité. Voyez-vous ? Vous savez ce qu’est la police militaire. En fait, s’il exerce ses droits, je pense qu’il est comme un aumônier, vous voyez. Il fait preuve de courtoisie, et tout, mais il détient tout de même une autorité. Voyez-vous ? Vous devez lui obéir, voyez-vous. Il remet... Si les recrues sortent et s’enivrent, il les remet à leur place. Et le diacre aussi doit les remettre à leur place.

133      Maintenant, rappelez-vous, le diacre est le policier. Et la fonction de diacre est en fait plus stricte que presque n’importe quelle fonction dans l’église. Je ne connais pas de fonction plus stricte que la fonction de diacre. C’est vrai, parce qu’il a–il a un vrai travail, et c’est un homme de Dieu. C’est un homme de Dieu autant que le pasteur est un homme de Dieu. Certainement qu’il l’est. C’est un serviteur de Dieu.

134      Or les administrateurs, eux, ce qu’ils ont reçu de Dieu c’est le devoir de surveiller les finances, et de s’occuper de ces... des choses qui se passent, comme ce que je vous ai dit au sujet des bandes, et–et au sujet des autres choses qui se passent ici : le bâtiment, et les réparations, et s’occuper des finances, et ainsi de suite. C’est de cela qu’ils sont les administrateurs : la propriété, les finances et ces choses. Les diacres n’ont rien à voir avec cela. Et les administrateurs n’ont rien à voir non plus avec la fonction de diacre.

135      Maintenant, si les diacres veulent demander de l’aide aux administrateurs pour une certaine chose, ou les administrateurs aux diacres, vous travaillez tous ensemble. Mais ce sont vos tâches, distinctes. Voyez-vous ? Très bien.

136      Non, ne demandez pas à Frère Neville. Si Frère Neville vous demande de faire quelque chose, alors, il est–il est votre pasteur. Avec courtoisie, amour et tout... S’il disait : “Frère Collins, Frère Hickerson, Frère Tony, ou quelqu’un, voulez-vous voir ce qui se passe là-bas au coin ?” À votre poste, comme cela, vous savez, comme un véritable homme de Dieu!

137      Rappelez-vous, vous ne travaillez pas pour le Branham Tabernacle. Vous ne travaillez pas non plus pour Frère Neville ou pour moi. Vous travaillez pour Jésus-Christ. Voyez-vous ? Vous... C’est Lui que vous... Et Il–Il a égard à votre loyauté, au même titre que celle du pasteur ou de n’importe qui d’autre, Il compte sur votre loyauté. Et nous voulons montrer notre loyauté.

138      Quelquefois cela devient difficile. C’est difficile pour moi de voir un prédicateur que j’aime de tout mon cœur, assis là – et je dois lui parler sans ménagement, voyez-vous, mais, dans l’amour, avec une main tendue pour l’aider. Vous voyez ? Ils viennent vers moi et me disent : “Frère Branham, vous êtes vraiment une personne formidable. Pourquoi ne pouvez-vous pas faire un petit compromis sur ce baptême, et sur ceci, cela et autre chose, cette sécurité, et cette semence du serpent ?”

139      Je dis : “Frère, je vous aime. Mais prenons donc l’Écriture, et voyons qui a raison et qui a tort.” Voyez-vous ? Je dois être capable de...

140      “Oh! mais, Frère Branham, je vous dis que vous avez tout à fait tort!” Voyez-vous, le voilà qui s’emporte.

141      Je dis : “Eh bien, peut-être que oui. Alors, si c’est le cas, certainement que vous me direz... Vous savez où j’ai tort, alors montrez-moi où j’ai tort, et je suis prêt à l’accepter.” Voyez-vous ?

142      C’est la même chose ici : “Eh, là! Ce n’est pas à vous de dire à cet enfant de s’asseoir!” Or, le diacre est le–est le gardien de la maison de Dieu. Voyez-vous ? Maintenant, si vous... Il prend soin de la maison de Dieu et la garde en ordre. C’est ce que dit l’Écriture. Si vous connaissez autre chose que doit faire un diacre, venez me le dire. Voyez-vous ? C’est la même chose ici. Mais c’est–c’est votre devoir de faire cela, oui, d’appuyer vos dires.

143      Et vous ne devriez le demander à personne, c’est–c’est simplement votre devoir. Frère Neville ne demande à personne, l’église n’est pas obligée de demander, je veux dire, les–les administrateurs ne sont pas obligés d’aller demander à Frère Neville s’il veut qu’on pose un toit sur le Tabernacle. Voyez-vous ? Non, non; cela ne concerne pas Frère Neville. Cela ne me concerne pas. C’est votre affaire. Les diacres ne sont pas obligés de...

144      C’est pareil pour le pasteur. “Sur quoi allez-vous prêcher ? Je ne veux pas que vous fassiez ceci.” Ce n’est pas leur affaire de dire cela; il est sous la direction de Dieu, voyez-vous, le pasteur. Et alors, si–si–si... Frère Neville prêche un message que le Seigneur nous a donné, et nous sommes tous ensemble là-dedans. Et, si je dis quelque chose de faux à Frère Neville, Dieu me tient pour responsable de cela. C’est vrai. Ainsi, Dieu est le Maître de tout cela. Voyez-vous ? Et nous ne faisons que travailler, comme Ses ambassadeurs, vous voyez, ici, en occupant ces fonctions.

232. Veuillez... (Passons à la question suivante. Je pense qu’après celle-là, nous en avons encore une, puis nous–nous terminerons.) Veuillez expliquer précisément comment les dons des langues doivent opérer dans notre église ? Je l’ai déjà fait. Quand l’église peut-elle être mise en ordre... ou à quel endroit les dons doivent-ils opérer ? Nous venons d’expliquer cela.

233. Exactement combien de c-h-r-i-s-t-m-a... Peux-tu voir ce que c’est ? [Billy Paul répond à Frère Branham : “Instruments.”–N.D.É.] Oh, instruments. Combien d’instruments devons-nous avoir dans l’église, en dehors de l’orgue et du piano ?

145      Eh bien, cela dépend si vous avez un orchestre à cordes, ou bien autre chose, vous voyez. Je ne sais pas ce que vous avez. Ce que ceci veut dire, je ne le comprends pas. Seulement l’orgue et le piano sont la propriété de l’église. Maintenant, si le directeur de chants décidait d’avoir des trompettes, et des cornets, et ainsi de suite, comme cela, et que des gens soient venus dans l’église sachant jouer de ces instruments... Et ils font partie d’un orchestre, et–et alors, évidemment, cela concerne vos administrateurs, il faudrait voir avec les administrateurs s’ils ont l’argent pour acheter ces instruments, et ainsi de suite, ou comme cela. Je suppose que c’est la question posée.

146      Mais, s’ils possèdent leurs propres instruments, formidable! S’ils n’ont pas d’instruments à eux et qu’ils font partie d’un orchestre ici... Ce ne doit pas être simplement quelqu’un qui vient ici, juste pour jouer de temps en temps, pour s’en aller ailleurs ensuite; il doit s’agir d’un orchestre dans l’église. L’église n’achèterait pas une–une trompette à un homme qui en joue ici aujourd’hui, et demain soir ailleurs, et encore ailleurs, qui passe nous voir de temps à autre pour en jouer un peu. Non monsieur! Il doit s’agir d’un orchestre ici même, d’un orchestre bien constitué avec le–le directeur. Alors, l’église... vous pouvez leur parler d’acheter des instruments.

234. Veuillez expliquer comment nous devons... comment nous, les diacres, pouvons tenir les gens dans le sanctuaire, avant... Veuillez expliquer. [Billy Paul lit la question à Frère Branham : “Comment tenir les gens tranquilles dans le sanctuaire, avant et après l’assemblée ?”–N.D.É.] Oh! Très bien.

147      Voici ce que je suggérerais, frères. Maintenant, c’est là une chose importante. Je souhaiterais que nous ayons plus de temps à y consacrer, car c’est–c’est... cela–cela a de l’importance pour nous, voyez-vous. Maintenant, l’église n’est pas...

148      Si on veut... si vous voulez passer cette bande un soir avant la réunion, afin que les gens puissent comprendre, alors passez-la; seulement cette portion-ci de la bande, pas davantage, seulement ceci. Quelle que soit la portion que vous vouliez passer pour quelque chose en particulier, avancez la bande jusqu’à ce que vous arriviez au passage en question, et faites-le passer. Voyez-vous ? Parce que c’est ce qu’on questionne.

149      Maintenant, les diacres de l’église, et comme je l’ai dit, ils sont la police de l’église. Mais l’église n’est pas une maison de rencontres générales pour–pour fraterniser, avoir des relations amicales et prendre ses ébats. L’église est un sanctuaire de Dieu! Nous venons ici... Si nous voulons nous rencontrer les uns les autres, alors, que j’aille chez vous, et vous, venez chez moi, et allez les uns chez les autres pour vous rencontrer. Mais de s’amuser de-ci de-là dans l’église, de parler, et des choses comme celles-là, ce n’est pas bien, frères. Nous venons ici... Nous ne devons plus du tout penser à ces choses. Si nous venions ici...

150      Regardez comment nous avions l’habitude de faire, il y a bien des années. Soeur Gertie était la pianiste. Lorsque j’étais le pasteur ici, je devais être pasteur, diacre, administrateur, et tout le reste à la fois, voyez-vous. Mais je–j’étais obligé de le faire. Maintenant vous n’êtes pas obligés d’agir ainsi, voyez-vous, parce que vous avez des hommes qui peuvent s’acquitter de cela. Mais, lorsque... J’avais des huissiers, Frère Seward, et les autres, à la porte. Ils empilaient des livres près de la porte, sur une chaise ou quelque chose; lorsque quelqu’un entrait, on leur montrait où suspendre leur manteau, ou bien on les menait jusqu’à leur siège, on leur donnait un livre de chants, et on leur demandait de rester en prière. Alors, tout le monde restait assis à sa place et priait silencieusement jusqu’au moment où cela commençait. Voyez-vous ? Alors, au moment de commencer... Soeur Gertie, la pianiste, s’avançait et commençait à jouer avant, tandis que les gens se rassemblaient.

151      Je suggérerais que votre organiste vienne ici, et qu’elle joue de la très belle musique. Si elle ne peut pas être là, enregistrez-la et passez ensuite la bande, ou quelque chose comme ça. Qu’il y ait de la musique, de la musique sacrée et très douce, en train de jouer. Alors... Et demandez aux gens... Et, si les gens se mettent à parler et à se conduire mal, qu’un des diacres aille au microphone, ici sur la chaire, et dise : “Chut! Chut! Chut!”, comme cela. Qu’il dise : “Au Tabernacle, ici, nous voulons que vous veniez pour y adorer. Alors, ne faisons pas de bruit. Écoutez la musique. Trouvez un siège, et assoyez-vous. Soyez respectueux. Voyez-vous ? Priez ou lisez la Bible. C’est ici, dans ce sanctuaire, que le Seigneur habite. Et nous voulons que tous soient vraiment respectueux et qu’ils adorent, et non pas qu’ils se promènent partout pour parler, avant les services. Rassemblez-vous; et vous êtes venus ici pour parler au Seigneur. Voyez-vous ? Soyez en prière, silencieusement, voyez-vous, ou bien lisez votre Bible.”

152      Lorsque je suis allé dans l’église Marble Church, de Normand Vincent Peale... (Vous avez entendu parler de lui, vous voyez.) Et je suis allé... (C’est un éminent professeur en psychologie, vous savez.) Je suis donc allé dans son église; et j’ai pensé : “Combien je souhaiterais que mon Tabernacle agisse ainsi de nouveau.” Ces diacres étaient là, debout près de la porte, quand vous entriez; ils vous tendaient, bien sûr, une fiche d’école du dimanche, et vous menaient jusqu’à... Il fallait vider les lieux trois fois, vous savez, car elle pouvait seulement contenir quatre ou cinq cents personnes, vous savez; et New York est une grande ville, et c’est un homme populaire. Je crois qu’il leur fallait avoir une classe à dix heures, et une à onze heures. Les deux fois le même sermon, exactement le même service, la même feuille de papier. Mais, une fois le service terminé, ils avaient, je crois, cinq minutes pour que l’église soit exactement... Et personne d’autre ne pouvait entrer, tant qu’ils n’étaient pas sortis. Puis les diacres ouvraient le chemin, et l’église se remplissait pour l’autre service. Ils avaient ces vieilles banquettes, vous savez, on entrait comme ceci, pour s’asseoir sur ces bancs fermés par une porte. C’est vraiment à l’ancienne mode. Je pense qu’il y a au moins deux cents ans qu’elle est là, cette vieille église Marble Church.

153      Vous auriez pu entendre une épingle tomber n’importe où dans cette église, et tout le monde était en prière pendant au moins trente minutes avant qu’on ait attaqué la première note à l’orgue – le prélude. Et tout le monde était en prière. Je me suis dit : “Oh! que c’est merveilleux!” Alors, lorsque le prédicateur... Le prélude... je pense qu’ils jouaient un prélude pendant environ trois à cinq minutes, “Que Tu es grand!”, ou quelque chose comme ça. Et, à ce moment-là, tout le monde arrêtait de prier et écoutait le prélude. Voyez-vous, cela permettait de passer de la prière au prélude. Et puis, lorsqu’ils jouaient cela, le directeur de la chorale dirigeait ensuite la chorale. Puis, il y avait un cantique de l’assemblée avec le chœur. Ils étaient alors prêts pour leur leçon d’école du dimanche. Voyez-vous ? Et–et quand c’était terminé, il n’y avait eu rien d’autre qu’une adoration divine pendant tout ce temps; et c’est dans ce but-là qu’on y était venu.

154      Et je pense que ce serait une bonne chose si notre église... Je dis simplement ceci : Nous pouvons le faire. Voyez-vous ? Faisons-le. Si quelqu’un fait quelque chose, et que... et que je pense que ce serait une bonne chose, alors, si c’est une bonne chose, faisons-la. Voyez-vous ? Nous ne voulons pas remettre à plus tard une bonne chose; nous le ferons de toute façon. Voyez-vous ? Donc, allez-y, et–et tenez-vous là; et s’ils se mettent... si, un matin ou quelque chose comme ça, les gens se mettent à causer ensemble, que quelqu’un – l’un des diacres ou quelqu’un – s’avance et dise : “On a établi une règle, ici au Tabernacle...”

155      Je ne sais pas s’ils le font; peut-être–peut-être. Je ne suis jamais ici, vous voyez, je ne sais pas. Je ne suis jamais ici avant les services.

156      Mais, quand ils entrent et qu’ils commencent à parler, alors, que quelqu’un monte sur l’estrade et dise : “Chut! Chut! Chut! Minute!” Voyez-vous ? Que–que... Faites venir une petite soeur, faites-la monter ici pour jouer de la musique. Sinon, enregistrez-la, et faites-la jouer... ou de la musique d’orgue. Et dites : “Voici, il y a un nouveau règlement dans le Tabernacle : Lorsque les gens entrent ici, on ne doit ni chuchoter, ni parler, mais adorer. Voyez-vous ? Encore quelques minutes, et le service commencera. En attendant, ou bien lisez votre Bible, ou bien inclinez la tête et priez silencieusement.” Faites comme cela quelques fois, et bientôt ils auront tous compris. Voyez-vous ? Voyez-vous ?

157      Vous entendez quelqu’un parler, et ensuite cela diminue... Après quelques fois comme ça, vous en arrivez au point où il ne reste plus que... Vous voyez quelqu’un parler, tandis que personne d’autre ne parle, vous voyez, alors l’un des diacres pourra aller directement vers la personne et lui dire : “Nous–nous voulons que vous adoriez pendant le service, vous voyez.” Voyez-vous ? Ce n’est pas une maison de conversation, c’est une maison d’adoration. Comprenez-vous ?

Je pense que c’était cela : Veuillez expliquer... (Oui. Voyons voir.) Veuillez expliquer comment... les diacres devraient... dans le sanctuaire ? Oui, voilà. C’est juste. C’est cela.

Bon, maintenant, voici la dernière :

235. Frère Branham, quand nous avons eu des occasions concernant le début de service... euh... euh... Non, “nous avons eu des plaintes”. C’est écrit vraiment petit. “...eu des plaintes”, n’est-ce pas ce qui est écrit ? [Billy Paul répond : “Oui”, et continue d’aider Frère Branham à lire la petite écriture.–N.D.É.] ...eu des plaintes sur le début du service. Nous avons... (Voyons voir.) Nous–nous–nous avons des chants, des témoignages, et des prières, des requêtes de prière, et des chants spéciaux, et... peut-être entrons-nous... entrons-nous dans le message à onze heures... ou plus tard, mais nous n’avons pas beaucoup de temps pour la Parole. Certaines personnes s’impatientent et doivent partir avant que ce... avant–avant que ce soit fini. S’il vous plaît expliquez combien il doit y avoir de chants, et à quelle heure il faut commencer le message. Et quelque... quelquefois nous avons des requêtes de prière, et cela se termine en réunion de témoignages, des choses qui ne–ne semblent pas être à propos.

158      Maintenant, j’espère que j’ai bien saisi cela. Billy essayait de m’aider, ici. Pour ceux qui écouteront la bande, il faut... Au cas où quelqu’un dans... dans une réunion, dans le service, en écoutant cela, se demanderait ce que c’était, eh bien, c’était Billy qui essayait de m’aider à lire, parce que c’est écrit très, très petit, et je n’arrivais pas à le déchiffrer. Je vois à peu près ce dont il s’agit; c’est : “Combien de chants devrions-nous chanter avant de commencer le service, et à quelle heure le service devrait-il commencer ?”

159      Maintenant, la première chose que je veux faire ici, c’est une confession. Et, quand j’ai tort, je veux admettre que j’ai tort. Voyez-vous ? Et je–et je–je vais faire ici la confession que c’est moi qui ai en quelque sorte conduit le bal, parce que c’est moi qui ai tenu ces longs services et tout, et c’est ce qui a entraîné l’église dans cette habitude. Mais cela ne devrait pas être ainsi. Et maintenant, souvenez-vous, je... je ...je vous disais tous que, dimanche soir, si le Seigneur le veut, que dimanche soir... et j’essaie de limiter dorénavant mes services – même s’il me faut pour cela rester une semaine de plus – à environ trente ou quarante minutes tout au plus, pour mes services.

160      C’est que j’ai découvert ceci : un service qui... qui est bien préparé, et dont le message est apporté avec puissance; si vous allez trop loin, vous épuisez les gens, et ils ne saisissent pas. La raison pour laquelle j’ai donné... Et ça, je l’ai toujours su. Voyez-vous ? Les orateurs qui ont le plus de succès sont ceux qui ont exactement... Jésus était un homme qui parlait peu; observez Ses sermons. Observez le sermon de Paul, le jour de la Pentecôte : cela lui a probablement pris quinze minutes, et, avec puissance, il apporta là quelque chose qui–qui–qui a envoyé trois mille âmes dans le Royaume de Dieu, voyez-vous. Tout droit au but! Voyez-vous ?

161      Et je–je suis coupable. C’est que, la raison pour laquelle j’ai fait cela, ce n’est pas parce que je ne savais pas ce qui en était, mais je fais des bandes, voyez-vous, et ces bandes seront passées dans des maisons pendant des heures, et des heures, et des heures. Mais, comme vous le verrez dimanche prochain, la raison pour laquelle je l’ai fait (ce dimanche qui vient), la raison pour laquelle j’ai fait ces choses... peut-être que je pourrais le dire tout de suite sur la bande : La raison pour laquelle j’ai fait cela, c’est à cause de l’énorme poids que j’ai sur moi d’apporter le Message de cette heure. Maintenant, le Message a été apporté. Donc, après le premier de l’an, je ne prendrai que trente minutes ou quelque chose comme ça, dans mes réunions, partout où je vais, et je vais même essayer de régler ma montre à trente minutes, ou de ne pas dépasser quarante, au maximum; apporter ce Message avec puissance, et faire l’appel à l’autel ou ce que j’ai l’intention de faire, ou appeler la ligne de prière; et ne pas prendre autant de temps, parce qu’il est vrai que cela épuise les gens. Je sais cela.

162      Mais, écoutez : Je pense qu’au cours de l’année, nous n’avons même pas eu une douzaine de personnes qui se sont levées et sont sorties, alors que parfois je les garde ici pendant deux ou trois heures. Voyez-vous ? C’est vrai. C’est que nous avons œuvré à faire ces bandes qui vont partout dans le monde, voyez-vous. Et les gens, là-bas, resteront assis pendant des heures, à écouter cela; des prédicateurs, et ainsi de suite, en Allemagne, en Suisse, en Afrique, en Asie, et partout, voyez-vous, écouteront cela.

163      Mais, voyez-vous, pour ce qui est du sanctuaire, de l’église... Et c’est en ordre. Si vous êtes ici pour faire une bande, et que vous avez une bande de deux heures, alors mettez-y un message de deux heures. Mais, si vous n’êtes pas en train de faire une bande dans un but comme celui-là, alors abrégeons notre message, voyez-vous, raccourcissons notre message. Je vais vous dire pourquoi : Certains sont vite rassasiés, et d’autres peuvent emmagasiner davantage, voyez-vous, c’est comme ça, et vous devez tenir le juste milieu.

164      Or, bien des fois, nous gâtons nos services par une réunion faite de témoignages qui s’éternisent, et je sais que j’en suis moi-même coupable. Et quand on allait... quand on avait l’habitude de tenir des réunions dans la rue... Quelque vieux frère se tenait là; il se tenait là, et, quand on lui demandait de faire la prière, il se mettait à prier pour le maire de la ville, et pour le gouverneur de l’État, et pour le président de l’Union, et–et pour tout le monde comme cela, et pour tous les pasteurs autour de lui, en les énumérant un par un, et pour Soeur Jones qui est à l’hôpital, et des choses comme cela. Et les gens qui se tenaient là, qui passaient au milieu de cette réunion dans la rue, continuaient–continuaient simplement à marcher. Voyez-vous ? Il les épuisait, voilà tout. Seulement...

165      Voyez-vous, l’essentiel, c’est... Votre prière doit se faire dans le secret, votre longue prière principale. Priez toute... Entrez dans le secret de votre chambre, et fermez la porte. C’est là que vous devez prier toute la journée, toute la nuit, ou pendant deux heures. Priez là. Mais ici, tandis que vous avez l’attention des gens, que votre prière soit courte, rapide, allez droit au but. Que tout votre service... et que la majeure partie du temps de votre service soit placée dans cette Parole. C’est l’essentiel. Faites pénétrer cette Parole aussi profondément que vous le pouvez. Voyez-vous ? Faites parvenir la Parole aux gens.

166      Maintenant, voici ma suggestion. Maintenant... Et maintenant, rappelez-vous : je me suis confessé coupable d’avoir mené le bal, mais je vous ai aussi dit pourquoi j’ai agi ainsi; j’enregistre des bandes de deux heures pour les envoyer outre-mer, et partout – c’est un Message, voyez-vous. Mais l’église ne devrait pas modeler cela, le message donné ici au Tabernacle, sur ces bandes de deux heures, destinées à être envoyées à différents endroits, voyez-vous, et à être distribuées comme cela.

167      Maintenant, voici l’ordre que vous... Laissez-moi juste vous donner un exemple, – est-ce que vous me le permettez ? – une suggestion. Je serais d’avis que l’église ouvre ses portes à une heure précise. Que l’assemblée entre, pendant qu’on joue les cantiques. Et que tous entrent pour adorer, non pas pour bavarder. Et ne les laissez pas bavarder après; dites-leur de quitter, et de sortir, de ne pas bavarder. S’ils veulent bavarder, il y a assez de place dehors. Mais ici, c’est le sanctuaire, qu’il soit tenu propre. Maintenant, si l’Esprit du Seigneur agit ici, que cela reste l’Esprit du Seigneur. Voyez-vous ? Et–et Il continuera à agir. Si vous ne le faites pas, notez bien ce que je vous dis : cela va crouler; assurément. Et tenons... C’est notre devoir. C’est pour cela que je suis ici ce soir. Tenons donc cette chose alignée, avec ces–avec ces ordres.

168      Maintenant, regardez, je dirais ceci : Ordinairement, à moins d’avoir fait une annonce spéciale, et de leur avoir dit que vous alliez enregistrer un message... Voyez-vous ? Maintenant, si Frère Neville apporte un message ici, qu’il... s’il a un message qu’il veut faire parvenir aux gens sur bande, ou quelque chose, alors qu’il dise : “Dimanche soir prochain, nous enregistrerons une bande de deux heures”, ou une bande de trois heures, ou quel que soit le cas. “Nous allons avoir une bande de deux ou trois heures”, ou quoi qu’il en soit, “dimanche soir prochain.” Alors, les gens sont au courant. Et, quand ils arrivent, dites : “Nous allons enregistrer un message ce soir. J’ai un message ici que je désire voir enregistré pour être distribué à l’extérieur. Je... je me sens conduit à envoyer ce message à l’extérieur, et il sera enregistré. Il peut durer deux heures”, trois heures, ou quelle que soit la durée; dites cela.

169      Mais, ordinairement, tout comme je le fais lorsque je vais quelque part, comme à l’une de ces réunions d’Hommes d’Affaires, ou que je suis dans mes réunions à l’extérieur où j’ai une ligne de prière... si je me tenais là, et que je donne un message de trois heures le soir, avant d’avoir le service de guérison, voyez-vous dans quelle position cela me mettrait ? Voyez-vous ? Eh bien, les gens... le lendemain soir, votre assemblée ne serait plus que la moitié de ce qu’elle était. Voyez-vous ? C’est qu’ils ne peuvent tout simplement pas tenir le coup, ils doivent aller travailler, et tout.

170      Voici ce que je suggérerais : Ordinairement... Maintenant, j’ai observé Frère Neville hier soir, quand il a prêché. Je sais que tous, nous... C’était un message saisissant. J’ai pris des notes, que j’ai ici dans ma poche, pour m’en servir dans mes propres messages! C’est vrai. Le moyen d’échapper, voyez-vous. Et c’était un message merveilleux. Vous avez vu comme il a fait vite ? Voyez-vous ? Environ trente cinq minutes, voyez-vous, et il avait terminé. Voyez-vous ? Ça, c’était très bien. Maintenant... Et Frère Neville, habituellement, ses messages sont comme cela. Voyez-vous, ce n’est pas long. Voyez-vous ? Mais ce qui tue votre réunion, ce sont toutes ces choses qui traînent en longueur avant que vous en arriviez au but. Voyez-vous ? Bien.

171      Et–et quand vous faites cela... Or, je sais... Maintenant, regardez. Je ne dis pas cela pour vous déprécier, vous, les administrateurs, ou les diacres, ou le pasteur, mais, voyez-vous, je vous dis simplement la Vérité. Et c’est ainsi que cela doit être. Maintenant, vous... Ce qui fait cela... Maintenant, tous, vous avez bon caractère. Chacun des hommes, ici, vous avez bon caractère. Si ce n’était pas le cas, je dirais : “Tous, sauf Frère Un tel; lui n’a pas bon caractère. Nous prions tous pour lui.” Mais vous–vous avez effectivement bon caractère; vous êtes des hommes patients, gentils et tranquilles. C’est bien! Mais ne soyez pas efféminés pour autant!

172      Jésus aussi avait bon caractère, mais lorsque ce fut le moment de dire certaines choses : “Il est écrit : ‘La maison de Mon Père est une maison de prière’, et vous en faites une caverne de voleurs.” Voyez-vous ? Il–Il savait quand parler et quand ne pas le faire. C’est–c’est–c’est ce que nous devons faire. Voyez-vous ? Jamais il n’y a eu une personne comme Jésus. Il était Dieu! Et souvenez-vous : Il a même... Parlez-moi de quelqu’un qui est diacre dans l’église! Il–Il s’est vraiment rendu maître de la situation! Il tressa des cordes; et Il ne prit pas le temps de les faire sortir gentiment, Il les fit sortir à coups de fouet, voyez-vous, de la maison de Dieu. Il jouait là le rôle de diacre, afin d’être un exemple pour vous, les diacres. Voyez-vous ? Il était votre exemple. Et maintenant... “Il–il est écrit : ‘La maison de Mon Père est une maison de prière.’” Or, souvenez-vous : Jésus était là un diacre, – vous savez cela, – Jésus jouait le rôle de diacre.

173      Lorsqu’Il en vint au rôle de pasteur, qu’a-t-Il dit ? : “Vous, pharisiens aveugles, conducteurs d’aveugles.” Voyez-vous ? Il jouait alors le rôle de pasteur.

174      Et lorsqu’Il leur a dit ce qui allait arriver, Il a joué le rôle de prophète. Voyez-vous ?

175      Puis, quand ils réclamèrent le paiement du tribut, Il joua le rôle d’administrateur. “Pierre, va, jette l’hameçon dans la rivière, et le premier poisson que tu attraperas aura une pièce de monnaie dans la bouche. Paie-les.” Voyez-vous ? “Payez vos dettes légitimes; rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.”

176      Il était à la fois pasteur, prophète, administrateur et diacre. Assurément qu’Il l’était. Ainsi, vous voyez ce qu’Il a fait, alors, que cela soit votre exemple, dans cette maison, ici, le Branham Tabernacle, qui se veut une maison où tout L’honorera, chaque fonction, chaque position. Afin de ne pas devoir se rétracter, qu’on use de bonté, de douceur et de bienveillance, mais tout en respectant la consigne à la lettre – chaque homme à son poste. Voyez-vous ? C’est ainsi, c’est ainsi qu’Il le désire. Jamais Il n’a été insolent. Lorsque c’était le moment d’appeler les choses par leur nom, Il l’a fait. Lorsque c’était le moment de témoigner de la douceur, Il a témoigné de la douceur. Il était doux, aimable et compréhensif; mais sévère, et tout marchait rondement avec Lui. Et Il a fait cela pour vous servir d’exemple. Bien. Le Saint-Esprit vient de me donner cela. Je n’avais jamais pensé à cela auparavant, à Lui comme diacre, mais Il l’était pourtant. Voyez-vous ? Il–Il a fait office de diacre.

177      Maintenant, je dirais ceci : Si vos services commencent, disons, à sept heures trente [dix-neuf heures trente]; si c’est à cette heure-là, alors ouvrez l’église une demi-heure avant, à sept heures [dix-neuf heures]. Que la pianiste... Dites à l’organiste... La payez-vous ? Est-ce que vous payez l’organiste ? Est-elle payée... ou la pianiste ? Elle le fait volontairement. Demandez-lui gentiment. Même si elle veut être payée pour cela, ou qu’on lui donne quelque chose pour cela, dites-lui que nous désirons qu’elle soit là une demi-heure avant le service. Et si elle dit : “Eh bien, je ne peux pas le faire”, ou qu’il y ait quelque chose, du mécontentement, alors faites-la venir ici pour enregistrer une bande de douce musique d’orgue, vous voyez. Et que... passez-la. Elle n’a pas besoin d’être ici chaque fois; préparez la bande. Voyez-vous ? Et que l’un des diacres, un administrateur, ou celui qui ouvre, le concierge, la mette, qu’il mette la bande, et que celle-ci joue pendant que les gens arrivent. Voyez-vous ? Parce que... Si les diacres ne sont pas là, ou quelqu’un, qu’un administrateur, ou quelqu’un, soit ici pour le faire. Et qu’elle joue pendant une demi-heure.

178      Mais qu’à sept heures trente précises [dix-neuf heures trente], la cloche sonne sur le toit du bâtiment. Voyez-vous ? Est-ce que vous avez encore la cloche à l’extérieur ? Oui. Très bien. Alors, que votre cloche sonne à sept heures trente [dix-neuf heures trente]. Et cela veut dire que nous n’allons pas nous promener de long en large dans l’église, et serrer la main aux Jones, et tout. Que le directeur de chants soit à son poste. Si le directeur de chants n’est pas là, que les diacres veillent à ce que... ou... veillent à ce qu’il y ait quelqu’un pour commencer à diriger les chants, lorsque cette cloche se met à sonner. “Ouvrez votre livre de cantiques, à tel numéro.” Voyez-vous ? Que cela se fasse à l’heure, à sept heures trente précises [dix-neuf heures trente]!

179      Bien. Ensuite ayez un chant de toute l’assemblée, et puis peut-être encore un deuxième chant collectif. Et ensuite, que quelqu’un que vous aurez déjà désigné, si possible, conduise dans la prière. Que le–le pasteur ou... En fait, le pasteur ne devrait pas être là; le directeur de chants devrait faire cela. C’est Frère Capps, je pense. Voyez-vous ? C’est lui qui saurait ce qu’il faut faire. Que–que ce soit lui qui demande à celui qui aura été désigné... ou bien qu’il conduise lui-même dans la prière. Demandez à l’assemblée de se lever pour la prière. Voyez-vous ? Qu’ils se lèvent, et que quelqu’un conduise dans la prière. Maintenant, si vous ne faites pas attention...

180      Maintenant, nous croyons que chacun devrait venir à la maison de Dieu, et prier. C’est un–c’est un lieu de prière. Mais, lorsque vous êtes dans ce sanctuaire, ménagez votre temps. Voyez-vous ? Si vous les faites tous venir autour de l’autel, vous découvrirez qu’il y aura quelqu’un qui restera là pendant quinze ou vingt minutes; et alors, tout votre temps est écoulé.

181      Que... Voyez-vous, c’est à la maison que vous devez prier. Jésus a dit : “Lorsque vous priez, ne vous tenez pas debout comme font les hypocrites, pour une longue... pour faire une longue prière, et dire ceci, cela et autre chose, et–et tout cela pour l’apparence.” Voyez-vous ? Il a dit : “Quand tu pries, entre dans ta chambre, dans le secret de ta chambre, et ferme la porte derrière toi; prie ton Père qui voit dans le secret, et Il te le rendra.” Voilà la façon dont il faut prier. C’est ce qu’Il a dit de faire.

182      Mais, quand vous... quelqu’un, quand ils entrent, que le directeur de chants dise : “Très bien...” Après le premier chant, que quelqu’un fasse la prière, la personne en question. Juste une courte prière. Ne vous levez pas pour prier pour tous les gouverneurs, et ainsi de suite, comme cela. S’il y a une requête de prière, qu’on la fasse connaître, qu’on la transmette, demandez-leur de la transmettre par écrit. Dites : “Voici, ce soir, dans la prière, souvenons-nous de Soeur Une telle, de Frère Un tel à l’hôpital, de telle personne, telle personne et telle personne. Souvenez-vous donc d’eux dans la prière, comme vous prierez. Frère Jones, voulez-vous nous conduire dans la prière ? Levons-nous.” Voyez-vous ? Que cela soit déposé sur l’estrade. Dites-leur... Qu’ils s’habituent à cela. “Si vous avez une requête de prière, déposez-la ici [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.É.], ici. N’allez pas dire : “Qui a une requête maintenant ? Voudriez-vous la faire connaître en...” Et puis, voilà que quelqu’un se lève et dit : “Gloire à Dieu!”, vous savez. Il commence comme cela, et bientôt vous réalisez qu’il s’est écoulé une demi-heure avant qu’ils se rassoient, quelquefois. Voyez-vous ?

183      Nous sommes responsables de cette église-ci, pas des autres; ceci est notre responsabilité envers Dieu. Ces postes sont votre responsabilité envers Dieu. Voyez-vous ? La raison pour laquelle je me tiens ici ce soir, en train de vous dire tout cela, c’est parce que c’est ma responsabilité envers Dieu. Votre responsabilité à vous est d’exécuter cela. Voyez-vous ?

184      Bien. Et quand quelque chose comme cela... Que quelqu’un conduise dans la prière. Et ça, c’est très bien. Qu’ils conduisent dans la prière, et qu’ensuite ils s’assoient.

185      Et si vous avez un chant spécial... Maintenant, je ne dirais pas ceci, je ne serais pas d’accord... Si quelqu’un veut chanter un chant spécial, annoncez-le dans l’église. Dites-leur que pour tout chant spécial, ou quelque chose qu’on désire chanter, il faut aller voir le directeur de chants avant le début de la réunion. Faites ainsi. Dites, par exemple : “Je regrette, frère, j’aimerais vraiment le faire, mais je–j’ai déjà un chant spécial pour ce soir. Peut-être que... Si vous me dites que vous serez ici tel soir, je l’inscrirai au programme, si vous voulez. Voyez-vous ? Mon programme est déjà rédigé, ici.”

186      Que–que Frère Capps, ou celui qui dirige les chants... Ayez un directeur de chants, peu importe de qui il s’agit. Seulement ne les laissez pas se tenir là et dire... et se conduire comme s’ils étaient des prédicateurs. Voyez-vous ? Qu’ils se tiennent là et qu’ils dirigent les chants – c’est leur affaire.

187      C’est l’affaire du pasteur de prêcher, voyez-vous. Non pas de diriger les chants; ils ne doit pas diriger les chants, c’est au directeur de chants de diriger les chants. Lui est responsable... et il devrait sortir – fraîchement sous l’onction du Saint-Esprit – directement du bureau, quelque part, lorsque le moment est venu. Il n’a même pas besoin de se trouver sur l’estrade, pendant que tout cela se déroule. Qu’il reste plutôt dans le bureau, là-derrière, voyez-vous, ou ici, derrière, quel que soit l’endroit où il se trouve. L’interphone ici l’avertira, au moment venu, qu’il peut entrer. Lorsqu’il entendra ce dernier... S’il y a un chant spécial, par exemple, un solo, un duo ou autre, comme troisième chant. Voyez-vous ?

188      Vous aurez donc eu deux chants collectifs, la prière, l’offrande (si vous avez l’intention de la recueillir). Et que chaque homme soit à son poste. Dites : “Bon, pendant que nous chantons ce dernier cantique, que les huissiers veuillent bien s’avancer pour l’offrande du soir.” Voyez-vous ? Et, comme on finit de chanter ce cantique, les huissiers se tiennent là. Maintenant, dites : “Très bien, maintenant nous allons prier, et, en faisant la prière, nous voulons nous souvenir de telle personne ici, et de telle autre personne”, et faites-en la lecture, comme cela, à la suite. “Très bien. Que tout le monde se lève. Frère, voulez-vous nous conduire dans la prière ?” Ensuite, c’est terminé.

189      Alors, pendant qu’ils chantent ce deuxième cantique, ou ce que vous êtes en train de chanter, vous... recueillez votre offrande, si vous avez l’intention de recueillir votre offrande. Laissez-la... Voici comment je ferais : votre premier chant, puis votre offrande du soir, ensuite continuez avec votre deuxième chant, et poursuivez. Et que votre dernier chant... Que votre dernier chant, voyez-vous, soit le signal d’appel pour le pasteur. Et, aussitôt que l’on a chanté ce dernier cantique, que l’orgue commence à jouer le–le prélude, et, à ce moment-là, votre pasteur entre. Voyez-vous ? Tout est en ordre. Tout le monde est silencieux. Il n’y a rien à ajouter. Chaque diacre est à son poste. Le pasteur se tient là.

190      Il entre, salue son auditoire, ouvre son cahier, et il dit : “Ce soir, nous allons lire dans la Bible.” Voyez-vous, quand il est prêt, il dit : “Nous allons lire dans la Bible.” Et il est bon, parfois, de dire : “Par respect pour la Parole de Dieu, levons-nous comme nous lisons la Parole”, voyez-vous. Ensuite, lisez. “Ce soir, je vais lire un passage du Livre des Psaumes”, ou autre. Ou bien faites-le lire par quelqu’un d’autre : le directeur de chants, un associé, ou quelqu’un qui est là avec vous. Que cette personne en fasse la lecture, si vous voulez. Mais le mieux serait que vous le lisiez vous-même, si vous le pouvez. Ensuite lisez, comme cela, et puis abordez votre sujet. Voyez-vous ? Et, jusque là, environ trente minutes se sont écoulées; il est alors environ huit heures [vingt heures].

191      Et, de huit heures [vingt heures] à environ neuf heures moins le quart [vingt heures quarante-cinq], soit pendant trente à quarante-cinq minutes, apportez cette Parole, comme le Saint-Esprit vous La donne, voyez-vous, comme cela. Apportez-La simplement comme Il vous dit de le faire, voyez-vous – sous l’onction.

192      Ensuite faites votre appel à l’autel. Dites : “Si quelqu’un ici, dans cette église, aimerait accepter Christ comme son Sauveur, nous vous demandons, vous invitons à venir maintenant à l’autel. Vous n’avez qu’à vous lever.” Voyez-vous ?

193      Et si–et si personne ne se lève, dites : “Y a-t-il ici quelqu’un qui soit candidat au baptême, qui se soit déjà repenti et qui désire être baptisé dans l’eau pour la rémission de ses péchés ? S’ils désirent venir... nous vous en donnons maintenant l’occasion. Voulez-vous venir, tandis que l’orgue continue à jouer.” Voyez-vous ?

194      Si personne ne vient, dites : “Alors, y a-t-il ici quelqu’un qui... qui n’ait jamais reçu le baptême du Saint-Esprit, et qui désirerait le faire ce soir, qui désirerait que nous priions pour vous ?” Eh bien, peut-être que quelqu’un s’avancera. Dans ce cas-là, que deux ou trois lui imposent les mains, prient pour lui, et l’envoient tout de suite dans une des pièces. Que quelqu’un soit là, avec lui, quelque part, pour lui enseigner comment arriver au baptême du Saint-Esprit. L’assemblée n’est pas du tout avec eux à ce moment-là.

195      Si quelqu’un s’avance pour... veut accepter Christ, et se tient là, à l’autel, pour qu’on prie pour lui, faites votre... que l’on prie. Et, à ce moment-là, dites simplement : “Maintenant, inclinez vos têtes, car nous allons prier.” Et dites : “Croyez-vous ?”

196      À la moindre petite chose qui risquerait de retarder l’assemblée d’une façon ou d’une autre, envoyez-les tout de suite dans la pièce réservée à la prière; et accompagnez-les, ou bien envoyez quelqu’un avec eux. Et laissez l’assemblée continuer, voyez-vous, ainsi vous ne les avez retenus en aucune manière.

197      Et alors, pendant que... avant... Au bout de quelques minutes, dites... Si personne ne vient, alors dites : “Y aurait-il quelqu’un qui aimerait qu’on l’oigne d’huile ce soir, à cause d’une maladie ? Nous prions pour les malades ici.”

198      “J’aimerais vous voir en privé, Frère Neville.” “Eh bien, venez me retrouver dans le bureau. Voyez un des diacres, et ils s’occuperont de cela.” Voyez-vous ? “J’ai quelque chose à vous dire, frère.” “Eh bien, un des diacres ici vous conduira dans le bureau, et nous... je vous verrai tout de suite après la réunion.”

199      “Bien. Nous allons maintenant nous lever pour terminer.” Voyez-vous ? Et le tout n’a pas dépassé une heure et quarante-cinq minutes! Voyez-vous ? Voyez-vous ? Une heure et trente minutes, et votre service est terminé. Vous avez eu un court et rapide impact; vous–vous avez produit votre effet; vous avez fait... Alors tout le monde est satisfait et retourne à la maison réjoui. Voyez-vous ? Si vous ne faites pas ainsi, alors, vous voyez, si vous laissez... Voyez-vous, vous–vous–vous êtes pleins de bonnes intentions, voyez-vous, mais...

200      Voyez-vous, il y a maintenant environ trente-trois ans que je me tiens sur cette estrade – trente-trois ans – et partout dans le monde. Il faut bien que vous ayez appris un petit quelque chose pendant tout ce temps, c’est inévitable. Voyez-vous ? Sinon vous feriez mieux d’arrêter! Ainsi, voyez-vous, j’ai découvert ceci. Maintenant, si vous traitiez uniquement avec des Saints, oh, alors vous pourriez rester toute la nuit si vous le vouliez, mais vous... voyez-vous, vous ne traitez pas qu’avec eux. Vous essayez d’en attirer d’autres. Ce sont ceux-là que vous cherchez à attraper; vous devez donc travailler sur leur terrain. Voyez-vous ? Alors, ne... Amenez-les ici, et puis, que la Parole soit annoncée. Et alors, voyez-vous, il n’y a aucun lieu de se plaindre. S’il y a quelque chose qu’ils veulent discuter avec vous, alors, très bien, vous n’avez qu’à les conduire dans le bureau. Seulement ne retenez pas l’assemblée.

201      Et il y a aussi de ces gens qui se lèveront, en disant : “Eh bien, ayons donc une bonne réunion de témoignages.” Voyez-vous ? Maintenant, mon but, en disant ceci, n’est pas de critiquer; mon seul but est de vous dire la Vérité. Voyez-vous ? Mon but est de vous dire la Vérité. Voyez-vous ? J’ai découvert que les réunions de témoignages font quelquefois plus de mal que de bien, voyez-vous. C’est tout à fait vrai.

202      Or, si quelqu’un avait un témoignage bouillant, pendant une période de réveil, vous savez, tandis que vous tenez des réunions de réveil, vous savez, par exemple, quelqu’un qui vient d’être sauvé, et qui veut dire quelques mots, eh bien, Dieu soit béni, laissez-le décharger son âme, vous voyez, s’il... S’il veut–s’il veut le faire, voyez-vous, dans le temps d’un réveil, s’il veut dire : “J’aimerais simplement rendre grâces au Seigneur pour ce qu’Il a fait pour moi. Il m’a sauvé la semaine dernière, et mon cœur brûle de la gloire de Dieu. Grâces soient rendues à Dieu”, et ensuite se rasseoir. Amen! C’est bien. Continuez. Voyez-vous ? C’est en ordre.

203      Mais, lorsqu’on dit : “Allons, venez. À qui le tour ? À qui le tour ? Écoutons un mot, écoutons un mot de témoignage!” Maintenant, si vous avez prévu une réunion, un certain soir, exprès pour cela, voyez-vous, où vous... “Ce soir... Mercredi soir prochain, au lieu de la réunion de prière, il y aura une réunion de témoignages. Nous voulons que tous y assistent. Ce sera une réunion de témoignages.” Et, lorsque le moment est venu de témoigner, lisez la Parole, priez et dites : “Nous avons annoncé que cette soirée serait réservée aux témoignages.” Ainsi, laissez les gens témoigner pendant cette période d’une heure, ou de quarante-cinq minutes, ou de trente minutes, ou la période en question, et alors–et alors, allez-y ainsi. Vous voyez ce que je veux dire ? Je pense que cela aidera votre assemblée, et que cela facilitera tout, si vous le faites ainsi.

204      Maintenant, il se fait tard, alors... Frères, frères, j’y ai répondu de mon mieux. Je vois ce qui est sur votre cœur. C’étaient là, pour autant que je sache, les questions que vous aviez posées. Et, à partir de maintenant, vous êtes au courant. Et si jamais cela préoccupait votre esprit, reprenez la bande. Demandez... Écoutez la bande. Que ce soit pour les diacres, pour les administrateurs, ou pour quiconque, passez la bande. Passez-la aussi à l’assemblée, si elle veut l’entendre. Très bien. Et c’est–c’est, pour autant que je sache, la volonté de Dieu pour ce tabernacle, situé ici, à l’angle de la Huitième rue et de la rue Penn. C’est ainsi que je vous commissionne, vous les frères, d’exécuter ceci sous la conduite du Saint-Esprit, avec toute bonté et avec tout amour, démontrant aux gens, par votre bienveillance, que vous êtes Chrétiens. Et Chrétien ne veut pas dire un bébé qui peut être poussé n’importe où, cela veut dire un homme qui est plein d’amour, mais qui, néanmoins, est tout aussi plein d’amour pour Dieu qu’il ne l’est pour l’assemblée. Vous voyez ce que je veux dire ?

205      Y a-t-il une question ? On arrive bientôt à la fin du ruban, et j’ai quelqu’un qui m’attend là-bas. À quelle heure est-il censé être là ? [Billy Paul répond : “Maintenant.”–N.D.É.] Maintenant. Il va venir tout seul ? [Billy Paul répond : “J’irai le chercher.”] Très bien. Très bien.

206      Je sais que nous allons sortir, maintenant, si on n’a–n’a rien à ajouter. S’il n’y a rien, nous allons terminer. Oui, Frère Collins ? [Frère Collins dit : “Il serait peut-être préférable d’arrêter la bande.”–N.D.É.] [espace.non.enregistré sur la bande]

207      Eh bien, frères, je suis content d’avoir été avec vous ce soir, et avec Frère Neville, les diacres, les administrateurs, le surveillant de l’école du dimanche, vous tous. Nous mettons notre confiance dans le Seigneur qu’Il vous aidera maintenant à exécuter ces ordres, pour le Royaume de Dieu. La raison pour laquelle j’ai dit ceci, c’est que je pense que vous êtes passés de l’état d’enfants à celui d’adultes. Quand vous étiez un enfant, vous parliez comme un enfant et vous compreniez comme un enfant, mais maintenant vous êtes un homme. Alors, agissons comme des adultes dans la maison de Dieu, nous conduisant correctement, et honorant nos fonctions et honorant chaque fonction. Chaque don que le Seigneur nous a donné, mettons-y de l’ordre, et honorons Dieu avec nos dons et nos fonctions.

Prions.

208      Père Céleste, nous Te remercions ce soir de ce rassemblement d’hommes qui ont reçu des fonctions ici, afin de mener à bien l’œuvre du Seigneur qui a été entreprise ici à Jeffersonville, dans cette église. Ô Dieu, puisse Ta main être sur eux. Puisses-Tu les aider et les bénir. Puisse l’assemblée et les gens comprendre et savoir que ceci a pour but l’avancement du Royaume de Dieu, afin que nous puissions devenir des hommes qui ont de l’intelligence, et connaître l’Esprit de Dieu, et savoir ce qu’il faut faire. Accorde-le, Père. Puissions-nous repartir maintenant avec Tes bénédictions. Et puisse le Saint-Esprit veiller sur nous, nous conduire et nous protéger, et puissions-nous toujours être trouvés fidèles au poste. Au Nom de Jésus-Christ, je fais cette prière. Amen.

871-1 [Brother Billy Paul opens with a few words, then discusses with the prophet about the switching off of the tapes--Ed.] Yes, how do you turn them--turn them--and don't turn them off yet... Then we'll... And then you be ready to turn them off, then when I motion my head to you like that... See? See? When I motion my head to you, you... The way you want me to...
Brethren, we've called this meeting together here tonight for the purpose of knowing how that to operate the church of the living God, which we believe to be a part of this church.
I want to, first thing I want to say, that in my travels around the world, so far as I know, this is one of the most spiritual places where you feel the Spirit of God more than any other place I know. I had two other places in mind that used to be, but so far we--we don't seem to see those places; one of them has went into the organization, and the other has--has kind of fallen.
So I was called yesterday and was--was told me that you all wanted a meeting to ask me these questions concerning your duties in this church, and I--that's what I'm here for tonight, is... And to--to set the church, or to give to you the things that I think that--that is what's substantial to make this church to continue on...

871-4 Brethren, I'm sure that you do realize, that, as I've made this remark about this being a spiritual place, it isn't the biggest place in the world, and it isn't what we have the most singing, the most screaming, and the most hollering, or the most speak--speaking in tongues, and things; that isn't it; but it's the quality of the Spirit that's operates here in this Tabernacle. And so far, I want to commend and thank Brother Neville, and--and you brethren here, trustees, and deacons, and Sunday school superintendent, and all, for--for what you have done in--in helping keeping this this way. It's been a long prayer of mine, and a desire since a boy, to see the church put in order and kept in order.

871-5 Now, we dedicated the church, I told you, a little later I had something to talk to you about, how to set this thing in order, the way it should be run. And you started off... After leaving here, we had ministers and so forth. But now, Brother Neville being just young among us, come among us, I thought it'd be better for Brother Neville to get better established in the faith before I presented such things as I'm about to do now. But now, after I find out that he is getting well established in the faith, and understands what the doctrine is, and--and has played the part of a faithful witness to Christ and holding for what we believe to be the truth, I think it's the hour now, would be a good time to approach him in the--and among you elders and things here of the church, that you would take these orders and remember them; they're the best of my knowledge before God. And then I'm looking to you to carry these things out the way that I'm saying them, because somebody has to be a head around here. You have to have...

872-6 Now, I'm not trying to usurp authority or something like that, but (You see?), a man or anything with two heads to it, it--it doesn't know how to go. God never did have two heads to His church; He never did; it's one head. He always dealt in every generation... As we've studied through the Scriptures, there's always one individual that He deals with. Because you get two men, you got two opinions. It's got to come to one final absolute, and my absolute is the Word, the Bible. And as a pastor here of the church, my absolute is the Word, and I want... I know you are brothers, you kind of look to me to be your absolute to what... As long as I follow God as Paul said in the Scripture, "You follow me, as I follow Christ."...

872-7 And then I'd expect you brethren, at any time that you see me to get away from this Scripture, to come to me privately and tell me where I'm wrong. I don't care if you're one of the trustees or the... Or if you're the janitor, whoever you are, you're duty bound to me, as a Brother in Christ, to tell me when I'm wrong Scripturally. And if there is a question, let's set down and solve it out together.
And that's why you come, I suppose, to me tonight, brought me in here, is because that there's questions here that seems to be questioning you in your mind for the things that I have--have here. Now remember, brethren, I don't know... There's no names signed to any of these tickets, but... And they're wrote, and I can't--don't know who wrote them, but they're questions that's on your mind, and I'm here to answer them the best of my knowledge.

872-9 And remember, God is looking to me to see that I stay in the Word. And I'm looking to you to see that you carry out the Word (See, see?) in this church. And keep it spiritual, for remember, all the forces of--of the dark kingdom of Satan will be turned against you as you begin to grow in the Lord. And you must be soldiers, not just fresh recruits. You're aged soldiers now, and been trained to fight. And Satan will come among you, cause you to dispute with one another if he can. Turn him down just immediately; you're brethren; and it's the enemy. And we're here to hold a standard in this evening Light time, that when the world is darkened and the whole church kingdom is going into the Council of Churches... And pretty soon they'll try to tack a sign on this door here, "Closed!" And then we're going to have to meet other places, 'cause they'll certainly close these churches one of these days if we don't take the mark of the beast. And we're depending on staying true to God till death sets us free, and that's what we intend to do.

873-10 Now, straight to the... And I would ask, that if ever a time that any of these things come into question, that this tape may be played before the members of this church (See?) at your meetings, or prior the meeting, just before the meeting start. Turn this tape on and play it. And may the congregation here understand that these men are duty bound to God, as their oath in this church, to help hold these principles. You may disagree with them; and if I let you run it, then I'll disagree with you. We've got to have some source somewhere where there's got to be a--an ultimate. And the best that I know, I'm giving it under the Holy Spirit, letting Him be my Ultimate. And let this tape be your ultimate on these questions.

873-Q-220 Now, the first one is:
220. How shall the church act towards calls for financial help of--for food and clothing? What--what act, what--what should the church do?
Now, we realize that the church is responsible for its own, for our members here of the church; we are totally responsible as far as we have needs to supply them with. We are responsible for our own; that's steady, constant members of the Tabernacle that come here and worship with us. We are duty bound to them, as our brothers and sisters who have proven to be our members of this gathering.
Now, we realize that there is millions tonight without food, without clothing, and we would love to be able to help the whole group of them, to do everything we could; but financially we cannot do that; we can't support all the world. But we are duty bound to our own. And I think, in that, and then if we have anything left over that you'd want to contribute to people who are not members here of this church, something that you'd want to give to them, it should be met between the board of the deacons.

874-13 The deacons is the one that--that has to meet this opposition, or this problem, rather; because that in the Bible when the dispute come up about food, and clothing, and so forth, in the Book of Acts, they called the apostles in about it, and they said, "Go look out for yourself seven men of honest report and full of the Holy Ghost that they might attend to these things, because we will give ourself continually to the Word of God and in prayer."
And it isn't the pastor's duty to look out to the--for the food and so forth. That's supposed to be by the deacons. It isn't the trustees; it is the deacons' office to do this. And then this should be... Remember in the Bible they was contributing to their own, the Greeks and the--and the Jewish, where the argument come up that one was getting a little more than the other, but it was people who had sold all their goods and had give it into the church for its support, and then to--to be divided out among them equally. And there was a little dispute come up, and there's where we got our first deacons. And that's one of their duties, is to do that.

874-15 I think that, as our own, as our own people, we should take care of them. And it should be turned in, any complaint, to the chairman of the deacon board, and then it should be met by the deacon board and see what they're able to do about it. And all of those things which is clothing, and food, and financial help, or whatever it is, should come through the deacons. Then the deacons, when they decide that they are--that they are--what they're going to do about it, then it should be presented then unto the--the treasurer, to see if the treasurer is able at this time to pay this certain amount of finance, or--or buy these clothing, or whatever it is to that. But the--the deacon board should meet on that, and it doesn't go to the trustees or to the pastor. It's a deacon's thing altogether.

875-Q-221 Now, then question number two:
221. Is it sufficient to say openly from the pulpit that tongues and interpretations should be done in a meeting before the service?
That's the second question on this slip of paper that I have here, which is a little card. Now, this would be pertaining to the pastor here. See? Because he--he, after all, over the spiritual part, he's the head of that. Deacons are policemen in the church, to keep order and to take care of these things, and feeding the poor, and so forth. The trustees are over the finance and the building, and that's what they are to look after. But the pastor is over the--the supervising of the spiritual part, and this would go to you, Brother Neville.

875-17 Now, there... Sometime ago when the order was set in the church... I do believe in speaking in tongues, and interpretation, and all the fine spiritual gifts that's ordained of God to be in the church. But we are living in a day just like it was in the Bible time, where the churches... Now, you notice Paul, he founded the church at Ephesus, the Ephesian church, which was a well established church. Did you notice? We believe that Paul, and did say so himself, that he spoke with many tongues, and we know that he had gifts of tongues, not ones that he had learned, but those who were spiritually given to him, because how he speaks it in Corinthians there. And to save time, I'm not just turning in the Bible and reading it for you, because it would make our--our stay here too long tonight, as I don't have too much time. And now... But just so that you could openly see...

875-18 Now, Paul never one time had to speak to the Ephesian church or to the Roman church, or any of those other churches, about their spiritual gifts, about how to put them in order. But he did have to speak to the Corinthians continually about it, because they made it an issue all the time. And Paul said when he come among them, if they found out if one had a tongue and one had a psalm, and he thanked the Lord for all their fine gifts and things like that. And if you'll notice in the first chapter or two of Corinthians, Paul was telling them, positionally, what they were in Christ, how he--they was positionally in Christ.
Then after he told them, then like a father he begin to let the whip down on them, and say, "I hear there's contentions among you, and I hear that you get drunk at the Lord's table." He didn't unchristianize them; and don't you brethren do that: unchristianize them; but it's the way they're behaving themselves in the house of God. That's where it's at.

876-20 Now, I would say this, that as Paul of old said, that, "When you come together, if one speaks, let another interpret. If there be no interpreter, then hold your peace. But if there be an interpreter..."
Now, I've watched the church here, and I've seen you grow up, and I've seen many spiritual gifts operating among you. Frankly, one I had to come to Brother Neville about with a word from the Lord to correct him on something that he was doing.
And if I... If the Lord has... The Holy Ghost has made me an overseer of the flock, then it's my duty to tell you the truth. And I'm very grateful to Brother Neville; he heeded to the truth. I can only say It as He tells me.

876-23 Now, on this, as I have noticed your church growing, and noticed it. And in the church, here's the way we had it first, and this is the way we--we want it again.
Now, if you don't watch, when babies... The first thing a baby does is try to talk when he can't talk. See? He makes a lot of bubble, and noise, and--and so forth, but he thinks he's just--he can out-talk the preacher at that time. Well, we find that not only in the natural life, but we find that in the spiritual life also. It's a little one. And if you try to correct that baby and spank him a little bit because he's "gooing" and trying to talk, you'll ruin the child (See?) and you'll hurt him. And it's best to let that baby grow a little while until he actually can speak his words right, and then tell him when. Not when papa's talking or when mama's talking. But when it's appropriate time, let him have his say. Do you understand me? Now, let him talk when his time comes to talk.

876-25 Now, if I've ever had anything that's been a thorn in my flesh out in the meeting, it's someone to rise up when I'm speaking and then give a message in tongues and break the Spirit. I just come out of a meeting in New York and different places to where ministers let that go on time after time, and it's nothing but--but a confusion. See, when God is dealing in one line of thought, He... It would be--it would... He would be defeating His own purpose, if He's trying to get a line of thought to you, to the congregation, to make an altar call and something butt in.
For instance, like this. We're setting at the table, talking, and we're talking about the Lord. And junior runs in to the table real quick, takes all the attention away from what we're doing, and he hollers, scream out, "Dad, mom. My, my. I just hit a home run down at the team. And we done all this, that, and the other." And when we were right on a real right-down sacred subject... Now, him hitting a home run, that's all right. At the baseball game, that's all right. But he's out of order when he breaks in on the message that we're talking about. Let him wait till his time comes and then tell us what he did at the baseball game.

877-27 Now, that's just the same thing we find with gifts today. That's the reason God cannot trust too many spiritual gifts with people; they don't know how to control them. That's what's the matter today, the reason we don't have no more than we do.
And we do find there's a lot of impersonation of spiritual gifts. But I don't believe that's so here in our church. I'm thankful for that. I don't believe it's an impersonation at all. I believe we have genuine gifts, but we must know how to control those gifts.

877-29 And then when you go to doing something good... Just like you was working for a boss and you started out on the first of your job and you're willing to take orders, then the boss has confidence in you and he will keep raising you up to a higher office all the time.
Now, I believe that time has struck the Branham Tabernacle, to know what--to take the gifts that God gives us, that God can trust us with something even greater than what we have got. But we cannot go along... And you see a man that's always have to be telling him and everything... And remember, "The spirit of the prophets is subject to the prophet," says the Scripture. When you see a man that you have to correct, or a woman, and that person gets out of order, and then you're telling him the Scriptural truth, then it shows that the spirit that's on them isn't of God. Because the Bible said, "The spirit of the prophets," or, "prophesying," that's, testifying, preaching, speaking in tongues, or whatever it is, 'cause tongues interpreted is prophecy. So it's subject to the prophet, and the Word is the Prophet. So we--we see that it's out of order for a man or a woman to jump up and give a message, no matter how much they want to do it, while the preacher is in the pulpit.

878-31 Now, I suggest this for the Branham Tabernacle, that being that our--our gifts that we find... And we have some very fine gifted people here. Now, each one of those gifts are a ministry of their own. They are gifts, just like preaching is a gift, like healing is a gift, like other things are gifts; these are gifts; they are ministries of their own. And each man is commanded to wait on his own ministry.
Therefore, let the Branham Tabernacle be operated like this. And in the day, especially this day when we've had so much (And I don't want to say this, but) so much make-belief. We don't want make-belief. No man, no honest person wants to have a make-belief. We... If we can't have the real, let's not have any at all; let's wait till we do get the real. Now, I believe you--you men would agree with that. We don't want nothing make-belief. Brethren, we can't start on make-belief something and leaving this world. We got to have what's real, and what's genuine. If we haven't got it, let's wait till we do get it, and then say something about it. See?

878-33 Now, I would say, let all these men and women who speak in tongues, and prophesy, and give messages... And I'm--I'm believing with you men that they're genuine. Now, the Bible has said, "Prove all things and hold fast to that what's good. For with stammering lips and other tongues will I speak to this people; this is the rest that I said that they should enter into," over in the Book of Isaiah.
Now, I would suggest this so that the sanctuary will only be ministered by one gift at a time, for it brings us straight back in order again of what I'm trying to say: if one's speaking, let the spirit of the prophets be subject to the prophet. Do you understand? Now, let those who have a ministry to the Body of Christ... And now, it's being said, now let it be done. Let those who have a ministry to the Body of Christ wait on their ministry, because it is a ministry from Christ to the church. But you can't all minister the same time; there's got to be one at a time.

879-35 The Branham Tabernacle shall be like this. Let those who speak with tongues, and those who interpret tongues, and those have prophecy that's to be given to the church, let them come among themselves early in the--before the meeting starts; let them gather in an appointed room and wait on the ministry of the Lord, as the pastor has to do himself before he comes into the audience; he must take the Bible, study in the quietness of his room, in the Spirit, and be anointed to come out before the audience to speak. If he doesn't, he's going to be confused when he gets out there. (Let each man and each woman with a spiritual gift come before the Lord.) And being that the pastor has a single ministry, he is a prophet; the English word, "a preacher," means "a prophet," that's a forth-teller of the Word.

879-37 Let those who have ministries that has to be part of someone else, like one to speak with tongues and another to interpret, they wait together on their ministry. They cannot stay in a private study and speak in tongues and then come tell the other one what he said, because he'd have both tongues and interpretation. See? Now, if he has that, very well; we want to receive it like that. And we want the church to benefit by these gifts that's in our church. God sent them to us, and it's... We want our church to benefit by these spiritual gifts. So let the men who speaks with tongues, and the one who interprets, and the one who prophesies, let them come together before the--the church ever meets. Let them meet in a room to themselves, waiting on the ministry of the Lord to the church. Is it understood?

879-38 And then, like this, if Brother Neville, say... Well, now let me... Pardon me; let me say this. If Brother Collins speaks with tongues and Brother Hickerson gives the interpretation, then they have a ministry together for the church. Now, that isn't the ministry of Brother Neville; that's your ministry to the church. I'm giving this as example. Then you brethren should be just as interested in getting your ministry in the place in the house of God as the pastor is interested in getting his, because it's just essential that you do it. But you can't do it in the privacy of your own room; if you speak and you interpret, you've got to come together. Now, come together in the church off in a room to yourself, because you have a private ministry. It's not an openly ministry; it's one that's to help the church. See? It's something to help the church, but it isn't to be done in the main congregation, only the way I'm going to tell you it is to be done. See? Then, whatever Brother Collins speaks, and Brother Hickerson gives the interpretation, as examples, then let Brother somebody write this down, what it is. And then if it's coming...

880-39 Now, we all know that the Lord is coming; we're aware of that. And if Brother Neville got up each night and said, "Behold, the Lord is coming. Behold, the Lord is coming," that would be all right. See? But he's saying that (the pastor) at the platform, for he's got the Word for that. And if he be a pastor, prophet to the church--or a pastor, rather, he's to study the Word of the Lord and tell you what's written in the Word of the Lord about the coming of the Lord, and you're warned by that. A ministry otherwise (to the church) which he wouldn't have any connection with, is tongues, interpretation of tongues (which is prophecy), or a prophet speaking; that's something that's not written in the Word. What's written in the Word, he's to bring it; but what's not written in the Word, is what you're to tell him. Like, for instance, "Tell Brother Wheeler, THUS SAITH THE LORD, 'Tomorrow, in his sand pit, not to go to it, because there'll be a truck turn over,'" or something like that, and it's got to be done. And you've spoke it and he's interpreted it, and then lay that on the platform after your ministry is finished. The--of a night, after the church... the hymn, and start singing and so forth; if your ministry is finished then, let them come forth with what prophecy has been given.

880-40 And I do not think that we have... Or if you do, put this in there. When these people meet together, let them who have wisdom first come. Because (You see?), if one speaks in tongues and gives an interpretation according to Scripture, that cannot be received unless it be witnessed by two or three people, two or three more witnesses (See?) has to witness to that, that they believe it to be the Word of the Lord. Because... And sometimes in these minor ministries, just like in any other ministry, you get spirits that's wrong (See?); they'll fly in there. And we don't want that. No. We want these ministries ready to be exposed if they're to be exposed, because anything of God can--don't worry about exposing it; it'll--it'll stand the test if it's of God.
Just like the pastor, if somebody challenges him on the Word, he don't have to back up about it; he knows just exactly what he's talking to, "Come on up here." See? And same as these other ministries, got to be the same way.

881-42 Now, if--if one speaks in tongues and gives a message... Now, some people speak in tongues when they're just edifying themselves, the Bible said; they just have a good time. They'll speak in tongues, they feel. And they do speak in tongues, they actually speak with tongues, and it's the Spirit doing it. But if it's setting out there in the audience, speaking in tongues, just edifying themselves, then it isn't any profitable thing for the church; the man's edifying himself, or the woman, or whoever's doing it. See?
To speak in tongues is a gift of God to edification, as Paul says in the Scripture, that it's to edify the church. So it had to be some direct message from God to the church, outside of what's wrote here in the Bible. See? It's something that...

881-44 If you could ask me, "Brother Branham, how must I be baptized?" I can tell you right quick. You don't have to speak in tongues and tell me that; it's wrote right here in the Bible what to do about that. See? I don't have to... You don't have to ask no questions on that and have somebody speak in tongues and tell you. See, that's already written.
But if you say, "Brother Branham, what must I do, I've got a decision here I've got to make whether I should take this church or go to another church," or something like that. "Or should I do this, that?" Now, that'd have to come from God. See, God has to tell us that. But that would have to come through another ministry, 'cause the Word don't say "Let Orman Neville leave Branham Tabernacle and go to the Fort Wayne Gospel Tabernacle." See, it don't say that in the Word here (See?), so that's what these gifts are for.

881-46 Like a person coming up here and say, "Do you believe in Divine healing?" We preach that; we believe it; we believe in anointing, the oil.
But here's some man says he can't get through; what's the matter? Then it takes God, through tongues, interpretation, through prophecy, or some way to go down in that man's life, and pull out that thing that he's done, and tell him about it. That's a ministry that doesn't belong to the pastor; it belongs to these ministering gifts. But they're not to be done out there in the audience. See?

882-48 Now, Paul never one time had to tell those--tell those Ephesian church anything about that, they were in order, the Roman church, or none of those other churches; only the Corinthian church, and they never could get themself... Now, Paul believed in speaking in tongues. He had speaking in tongues in the Ephesian church, the same as he did in the Corinthian church (See?), but he could speak to the Ephesians greater things than what just speaking in tongues, interpreting of tongues.
Now, then if someone writes a message that's been given in tongues or given in prophecy, and laid upon the platform, it must be read by the pastor before the service starts, of "THUS SAITH THE LORD" from these people who spoke and interpreted it. And if that comes to pass exactly the way the interpretation said, we raise our hands and give thanks to God for His Spirit among us. If it doesn't come to pass, then don't do it any more till that evil spirit's out of you. God don't lie; He's always Truth.
Then, you see, you're old enough now to act like men, not children: "Goo, goo, goo," you got to have some meaning to something.

882-51 Let the church now, as it's coming in order, come to this order. If one prophesies... If one come among you, unlearned, and you speak in tongues, you'll be a Barbarian to him; he don't know what you're talking about. See? And really in this day where there's been so much confusion about it, it causes a stumbling block. But let one speak in tongues, and another interpret and give the message, and let it be read off right here at the platform, of what's going to take place, and then let it happen, see what happens. Tell them that tomorrow at a certain time, or next week at a certain time, it's going to be a certain thing, and then let the unbeliever setting there listen to that and see it's foretold before it happened. Then they'll know what kind of spirit's among you; it'll be God's Spirit. That's what Paul said, "Then if one can prophesy and reveal the secret things, won't the whole congregation fall down, or the unbeliever, and say, 'God is in the midst of you'?" See? Because it cannot be...

883-52 But now, we don't want... "When we was a child," Paul said, "I acted like a child," he told the Corinthians there; "I spoke like a child." He had a child mind. "But when I become an adult, I put childish things away."
Now, I'm telling you all. See? Now, a few years ago you were children with these gifts, playing back and forth. But you've been to a long school now; it's time to be men, not use these just to play with. These gifts are sacred; they're of God, and you don't play with them. Let's let God use them. That's what your ministry wants to be. And that's the way to put the Branham Tabernacle in the service. And--and if this is questioned, anytime, let this tape stand as a witness that that's the way it's to be done in the Branham Tabernacle.
If there would be a stranger come in... 'Cause you have them all the time, because this being an interdenominational tabernacle, there's people come in that doesn't have this well training; they don't have it; they know no better. And their own pastor, they'll jump right up and break his message up, and tear a altar call up, and speak in tongues and everything like that. You're a better trained men than that. See? Then after the service, if he gets unruly, then it's the deacon's place to go to them. Don't let your pastor have to do it 'less it comes to a spot where there's no deacon here, but a deacon is supposed to see to that. See?

883-55 Now, after the service... If the person just raises up and gives a message, the pastor if he wants to stop just a minute and go ahead, very well (See?); that's up to the pastor. But then immediately let the deacon, before that person gets out of the building, take them to one side and talk to them about it. And if they question it, bring them to this tape and say, "This is what the bishop or the overseer of the church..." Which is bishop (See?) any overseer. See? That's what it's called in the Bible, "bishoprick," (See?), so that's general overseer of the church. Let... "This is the orders and the way our church does it. Now, we love for you to come, give your message. But if you've got a message from the Lord and it's... Let it be given, come up here and lay it on the platform and our minister will read it to the congregation, a message to this congregation." But it must not be just repeating Scriptures and things like that. It must be a direct message to the people of something that's fixing to take place, or something they should do. Is it understood? All right.

884-Q-222 222. Now, is there any better way to keep order in the church than to keep reminding the people with a--a repeat from the deacons accordingly?
No, that, I just explained that. That's question number three. The deacons, your duty is to keep order in the church with kindness and friendliness. And then you are supposed to, if someone gets out of order in the church, or comes in here like a drunk, or somebody come in. Like they shot that minister out of the platform the other night up there. You heard about that, that drunk coming in with a double-barreled shotgun. And he screamed for his wife, and--and wanted a...?... and went up towards the pastor. And the pastor showed him his wife setting there, but he was going to shoot her right in the church, and the pastor started to dealing with him. And instead of--instead of the... The man with the shotgun turned around and shot the pastor out of the pulpit, and then shot his wife, and then shot himself.
Now, if there'd been a bunch of deacons there when that man entered that door with that shotgun, they'd have had their arms around him and the shotgun out of his hand. See? See, that's--that's orderly deacons. And now, these things have gone the way they're doing now, and you might just expect anything.
But, remember, the deacons are God's policemen in the house of God, no matter what anybody else thinks. Sometimes a policeman want not to have to go up and make an arrest on somebody, maybe one of his friends, but he's sworn to an office; he's got to do it anyhow. That's his duty to his city. See?

884-59 That's the duty of a deacon to the church. And if someone jumps up and starts interrupting the pastor, or something other like that, and the pastor in his message, the deacons supposed to walk up to them people, two or three of them, say, "Could we speak to you, brother?" See? Bring him from the church, out into the office, in here or some other office, and speak to him about it, saying, "You're not to interrupt." You know, it's a--it's a great fine by the law to interrupt a service anyhow. See? But some people, such as a delinquent person or something, come among you, you know, and--and some religious fanatic, and--and start carrying on, then the deacons... And if--and if the deacons don't seem to be able to control it, then the trustee board or anyone else in the church can step up and give help to such a person, you know, that...

885-60 And--and now let me ask the question again here.
Is there any better way to keep order in the church than to remind the people with a repeat from the deacons, now, occasionally?
Now, I think that the--the pastor, ever so often... Or play this tape; let that stand for a witness. Deacons are policemen, and their word is law and order. See? And they have the authority from the church and even from the laws of the nation to make that house of God be the right place. And anyone to contrary a deacon like that, is subject to--to two to ten years in federal prison. If you tell them to go and they don't do it, or something like that, somebody with disorderly conduct, he just don't know what he's doing to... He's subjecting himself, allowing himself to all kinds of fines, anything.
And then if it comes to the spot that somebody... Now, like... And if somebody jumps up and gets disorderly... Just maybe speak in tongues or something, I wouldn't go in on that. See, let them go, 'cause that they're a stranger. If they're our own people, then just let... The next night, you deacons just get this tape, and say, "Now, we're going to play the order of the church before we start the service, I want everybody to understand it." And you pastors and you all can work together like that.

885-Q-223 223. Now, Brother Branham, what about the Sunday school? Brother Branham, about the Sunday school (All right), should it be before the preaching service?
Yes, we've always had it that way. Have the Sunday school before the preaching service. And that gives a chance for the little fellows who attend Sunday school to dismiss their classes. And if--and if they want... The little fellows don't understand it; they have to set all the way through the preaching service and then have Sunday school, the little fellows are wore out. Let the Sunday school be first; have a set time, just at one set time that Sunday school goes to session. Sunday school superintendent is supposed to see to that, that that Sunday school goes to session at a certain time, set time. And it's dismissed at a certain time. All the Sunday school's allowed so much time for that, and then dismiss.

886-Q-224 224. Should the teacher for the adult class be someone other than the pastor?
If it's so agreed. If the pastor wants to teach the Sunday school and then bring the message later, that's fine and dandy if he wants to do the double service. But if he doesn't, then have your adult Sunday school teacher (See?) for your adult class. And then if a--if the pastor has somebody else there in mind, and the person wants to do it, give yourself thirty minutes, or whatever you're going to allow your Sunday school for, thirty or thirty-five, forty minutes, whatever it is.
And there should be a bell set here. And when that bell is tapped, that means--or either the church bell, when it taps on the outside, that's dismissing Sunday school. And when that bell rings, that means everything come to order right there.
There be so much time then for a hymn or two, whatever you want to sing. Not too much time, you'll wear the people out by keeping them too long. See? And just tap the bell, have a hymn and whatever you're going to do, and then send your classes to the place. And immediately when that time comes, say it's going to be at--at ten o'clock, or ten-thirty, or ten-fifteen, whatever it is, tap that bell and every teacher dismisses their class, come to the audience out here. And then... And give the report, Sunday school report, and then dismiss the whole thing, and let all that wants to stay for preaching service be next. See, then it's in order.

886-67 Question? How many... [Someone asks Brother Branham, "Then we have a split class, in other words?"--Ed.]
Oh, yes, you should have. A--a three-year-old can't understand what a fourteen-year-old would understand. I think I got that a little farther:

886-Q-225 225. How many classes should there be?
You should put your classes in... Like a little bitty class that wants to have flannel-graph; that's too much for a fourteen-year-old boy or girl. See? You should have someone to take a class for those little babies, some old mother or something who knows how to take care of them. Other classes, I think, should be somebody who's more able to present the Word. See? And there should be classes. To say now, there'd be like a class of from the... At least three classes...
There should be a little bitty baby class; there should be from about five years old. And all the others under that should be kept with their mother, and taken to the nursery if it's necessary during the time of--of the preaching, if they go to carrying on. That's what the nursery's out there for.
And I think that the--the classes should be arranged from like the little babies about five or six years old up to eight or nine, ten, something like that. And then from ten years old on to fifteen should be in a--the teenage class. And then the adult class over the fifteen, 'cause they... If they're old enough to--to... Nowadays they can get a job and they're wanting to vote at that age almost; so they--they should be able to hear the Word, but come out in the main auditorium and have that.

887-Q-226 226. Who should be the teachers?
There you are; that's up to you to vote your own teachers in. And you ought to do that. Put them in there; get somebody. And meet with the church, and say, "Who's... Who here feels led of the Lord?" And then get a qualified teacher. And then let it be done. It's got to be strictly business, brethren. If the teacher can't qualify to it, then change teachers.
When the time comes, as under God, if I feel like that Orman Neville can't no more qualify to be pastor here, I'm going to mention it to the church. When I see one thing here, think that you deacons couldn't qualify to be deacons, I'm going to mention it to the church, that, "I find out there's a certain deacon out here doing something he shouldn't do, and he doesn't keep his post of duty," and so forth like that, or a trustee, or whatever it is. I can't vote it in or out, the church has to do that, but I'm certainly going to present it before the church. See, because that's what I should do. That's what I'm supposed to be. As overseer, I'm supposed to look and see what's going on. We're going to heaven, not out here somewhere to a rally or something to have a lot of fun and run over one another, and play baseball. We're here having the most gracious thing there is on earth, the Word of God, and it's to be carried on in godly order.

887-73 Who should be the teachers?
That's up to you to select them. But I would take... For the babies, I'd take an old woman, some that can do that. But for the teen-agers, I'd take some teacher that's strict, and not just going out here and having wiener roasts. That'd be all right if they want to go on a wiener roast, but just put all the thing to that... Put it to the Word; let somebody who's able to hold the Word. And it's going to be, this church stands not for... Wiener roast is all right, and--and little picnics that you want to go together and fellowship, that's fine; that--that's what you should do to entertain the children. But in this place in here, this is the Word of God. Wiener roast is when you get together, something like that, but not in this house of God. And these know, of course we know we don't believe in this here foolishness of--of--of parties and everything like that around here; we--we... You know better than that.

888-Q-227 227. Who should be over the Sunday school to keep it in order?
The Sunday school superintendent. That's what his business is. He's not supposed to have anything to do with the deacons, trustees, pastors, or nobody else; he's got a office of his own. Whoever your Sunday school teacher is, I know not. But that Sunday school teacher is supposed to see that every class is in its place, and every teacher is present, or substitute another teacher for that teacher if they're not there on that day.
Then just before the Sunday... While the--the lessons are going on, the Sunday school superintendent is to go by and take up the offerings that they've had in there (the Sunday school collections), and the report of how many present, how many Bibles they had in this class, and so forth, and make a report of it. And then stand before the audience just before the preaching service, when he's give a spot to do it, when they have the Sunday school report after the Sunday school's over, tell how many teachers, how many present, how many of the whole Sunday school total, the whole--whole total of offerings, and so forth like that. Deacons, trustees, pastors, are not supposed to do that. They have nothing to do into it; that is the Sunday school superintendent's job.
And then if he sees that the Sunday school needs certain things, then he is to present that to the--to the trustee board, and the trustees has a meeting upon it first. And then the trustees, if they find that there is sufficient funds and so forth, through the treasurer, then this can be purchased; if he wants something another for literature, or whatever it is, or some Bibles or something, they want to buy a Bible for the one, you know, that can find the most words and quote the most Scriptures, some prize or something they're going to give away like that, present, and they want to buy it through the church. Then let that be presented to the--to the--to the--the deacons. And then let them find out if it's--if it's--if it's in the treasury. See?
And then I think that takes care of them five questions on that.

889-Q-228 Now, on the next one, is:
228. Brother Branham, in respect to the order of the church we have tried to go accordingly to the way we understand the orders given in the dedication of the new church. And by doing so, some have gotten mad and left the church. And others will not listen to anything we say, especially the children. We have talked to the parents about their children, and they won't take care of them. Now, have we misunderstood? Or, are we going about it in the wrong way? Thanks.

889-78 Now, let me answer this as they come down:
In respect to the order of the church, we have tried to go accordingly to the way we understood it given in the dedication of the new church.
Now, that's correct; you're doing right. Now, this is supposed to be deacons, I suppose, 'cause it's right here at the deacon's job. All right.

889-79 And by doing so, we have often... people has often gotten mad at us.
They do at me too. They'll do it any man. See? A person that does that, there's something wrong with that person. They're not right with God, for the Spirit of Christ is subject to Christ's teaching, Christ's house, Christ's order. See? And any man that, or any woman, or any persons, children, that would get angry with a godly deacon, that would tell them to be... And, or any parent would get angry with a deacon... Really, we want everybody in this church that we can get; but if that would only cause trouble somewhere else, there's a thorn or, "a rabbit in the woodpile," as we used to say it. That person isn't right.
If they leave, there's only one thing to do: let them go, and pray for them. See? Then maybe some of the deacons go to their church--or go to their house sometime, and find out why they left, and ask them what was wrong. Then, and if they... See if you can reconcile them. If you can't, then take two or three witnesses with him, that they might be understood. Then if they can't be understood, then it's told before the church if they are a member here of the church. Then they are...

890-81 And then if they're not members of the church, 'course they're not members of this congregation, they should be made to be ruly. See, they--they've got to listen to our orders here, because this is the orders of the church. This is things we don't want to do, things that I don't like to do, but it's things that must be doing. And I'm exposing myself and telling here by this tape; it's me; they can hear me talking and know that it's me, not you men. You've asked me these questions, and I'm giving it to you the best that I know how from the Word of God.
"Now, if those people get angry and go out from you, what does the Scripture say about it, Brother Branham?"
"They went out from us because they wasn't of us." That settles it. "Left the church," that's what they did. All right.

890-84 Others will not listen to anything we say, especially the children.
The children are supposed to know discipline; they should get it at home. But even if it's mine, my kids get in here at anytime, they get disorderly, I don't want you to draw one string; Sarah, Rebekah, Joseph, Billy, or whoever it might be. You tell me; I'll see to it. If they can't behave, then they'll stay away from church till they do learn to behave. This is not an arena; this is a house of God. This is not a place to play, and skate, and write notes, and laugh, and cut up; this is the house of God, and is to be carried out godly.
You come here to worship, not even to visit. This is not a--this is not a picnic ground; this is not a visitation place; this is the visitation place of the Holy Spirit, listen to what He has to say, not to one another. We don't come here to--to fellowship with one another; we come here to fellowship with Christ. This is the house of worship. And children must be disciplined, and if they are of their parents. Let it be known, that if these deacons... If these parents of the children will not listen to what these deacons said, then this parent should be corrected themselves.

891-86 We have talked to the parents about their children, and they won't take care of them.
If they are members of this church, then you should take two or three with you and call that parent into a private meeting, into one of the offices. I don't care who it is, if it's me, if it's Brother Neville, if it's Billy Paul and his little boy, if it's Brother Collins and one of his children, or any of the rest of you. We're... We love one another, but we're duty bound to God and this Word. If it's Doc, no matter who it is, we're to call one another in and be honest with one another. How can God ever deal with us, if we're not honest with one another? How we going to be honest with Him? See?
This is an order; we must keep the house of God. And deacons are supposed to know how to do that. See? And that's why I'm telling you now to keep them things caught up. And if this, you tell the parents and they won't listen to this--won't listen to it, then you get you another deacon or one of the trustees, or some good person of this church, and call--take your trus... Take your deacon board, all your deacons together, say, "Brother Jones, Brother Henderson, Brother Jackson," or whoever it might be, "their children are dis-behaving, and we've told them two or three times about their children and they won't listen."
Then call Brother Jones in, or Brother Whoever-it-is, and say, "Brother Jones, we've called you in here for a meeting. We love you, and we... You're a part of us; you're one of us. Let me just set this certain tape and listen what Brother Branham said about it. See? Now, we've asked you to make those children behave. See? If they won't behave, and you can't make them behave in church, leave them with someone while you come to church until they learn how to behave themself in the house of God." See? But this is an order; it's got to be carried out. See?

892-89 Now the other question goes on:
Now, have we misunderstood?
No, sir. You haven't misunderstood; that's correct. I'm saying it again, the orders. In the army they don't ask you, "Will you go do a certain thing?" If you're in the army, you're compelled to do it. See? And that's the way it is in the... I'm compelled to preach the Gospel. I'm compelled to stand for this regardless of what my other men and brethren and so forth say about it; I'm compelled to do this. I have to hurt feelings and cut men to pieces, but if I...
You don't want to get like Oswald. See? If you can't disagree with a man and things, then shake his hand and still have the same feelings towards him, then there's something wrong with you. If I can't disagree with a man, bitterly, from one side to the other, and still think as much of him as--as Christ would, then there's something wrong with my spirit; I haven't the Spirit of Christ. See?
If he says, "Well, Brother Branham, I--I believe that your teaching is this, that."
"All right, Brother, let's come together to reason, you and I. We'll take it ourselves. We'll go over here in the room to ourself; we'll reason it out." And he just cuts me to pieces, and I have to say things back to him. If in my heart I can't feel the same about him, that he's still my Brother and I'm trying to help him, then I'll never help him; there's no way for me to help him. If I don't love him, what's the use in going over there? Tell him, "The first place first, brother, I don't love you, and let me get that out of my heart right here before we go in there, because I can't help you until I love you."
And that's right, and that's the way. See, carry it on; you've done it exactly right; that's the way it should be. You never misunderstood it.

892-94 Are we going about it the wrong way?
No, it is the right way to carry that. Let order be kept. Because it's constantly... Now, little children and mothers, little babies and things, they--they'll cry, and if they get crying too much and interrupting your pastor up there, remember, you are his bodyguards; you're his Gospel bodyguards. See? And if it's interrupting the message of the Lord, then you are deacons, what are you to do? Just like a man speaking in tongues, he's duty bound. And a man preaching, he's duty bound to the Word, he's duty bound to these things. Each one of you is duty bound to an office, and that's--and that's just what we're--we're here to do.
Now, we don't want to wait too long, and I know I got an appointment in a few minutes, so I'll--I'll just try to hurry as quick as I can.

893-Q-229 229. Brother Branham... There's three, two questions on this card here. Brother Branham, what should be the policy of taking up offerings in the church for people? How should this be done?
I think taking up offerings in the church for people should not be done unless it's for your pastor. And I think if someone comes in for charity, or something like that that... Or someone in--in bad need, like one of our members here or congregation, say if one of our brothers, and they had some trouble; well, I think then that should be announced at the platform, and let the pastor do that, I think it's his duty to do that; some brother that's in need of something, let him present it to the church, if it wants to be taken that way.
If it's someone in need and--and then you don't want to take the offering up for the person that's in need, then let the boards meet together and agree upon certain sums that they want to give to this person out of the treasury. But if the treasury's low at that time and they can't afford to do it, then it has to be taken up, well, let--let the--let it be talked with the board, giving orders to the pastor, and let the pastor ask for this certain thing. Say, "Now, tonight, our Brother Jones, he had a--a horrible accident, his house burned down. And tonight, as Christians, we're going together, to each one of us make a pledge of what we can do to help Brother Jones back with his house again." See, or--or whatever it is. See, we--we do that. Let that be said from the platform, that's the way to do that. And then let the pledges be give in, and then give it over to the treasurer of the church. And these pledges be paid through the treasurer of the church, and give to them. And--and give the person a receipt for it, 'cause I don't know whether that's tax redemption or not; I guess it is for something like that.

894-98 Now, but when it comes to like a--a stranger come in, a stranger come in like he's... A man comes in and says, "Well, you know what? I--I--I'm on a journey, and I--I blowed out a tire, and I want a new tire. Take me up an offering tonight for a new tire." Now, that shouldn't be done. No, that should not be done. And if it seems to--if it seems to be a worthy thing, of somebody that you know, the board could meet and designate a certain amount of money from the treasurer to buy that man a tire or whatever it was. Or either if the church treasury is low, and it's decided by the board that these... The pastor shouldn't have nothing to do in this, the--the deacons is supposed to do this (See?), or the boards. And now if this... If it's agreed, then give to the pastor, the pastor can take the offering. But, notice, if it's a stranger, and it's in an emergency, a fellow needs a little money and you feel that it's for a just cause (now this is my opinion), if it's for a real just cause and you know it is for a just cause...

894-99 Now, first, if you go up there and look on my books at the house of people coming by and say, "I'm Reverend So-and-so from this certain-certain church, and I--I had some trouble down the road here, and I--I need a set of tires," and knowed that I just come in from the meeting and had an offering, or something another like that, I'd give it to him nearly to go get a set of tires. And look in the minutes, there never was such a minister as that, never lived in such a place. And there is ten or twenty thousand dollars on the books from these years that I've give out like that, never know nothing about them where they was. Come to find out, other ministers say, "Why, he made me for so-and-so and so-and-such.
Now, the church is not responsible, only for their own. That's right. Their own, they're responsible.

894-101 But if there seems to be a worthy cause, and then if you--if you trustees might say, "Well now, wait a minute. This man, there he is, his car down there, that's his did happen, and this. It's not of our congregation (See?), but it is." Then if they want to do it like that, and would say something special about an outsider... Not our own, now (See?), not our own people, our own people be taken up right here amongst their--their own, their brothers here. See?
But if it's somebody on the outside, and a fellow says he's hungry or--and somebody wants to reach down in his pocket and give him some charity, that's up to you; but I'm talking about from the church. And then if the church people are asked to donate, then...

895-104 Now, if you got an evangelist, of course, in here preaching, then you take... you... That's understood before he comes, you know, that you'll give him an offering, or pay him salary, or whatever he wants to do.
But then if this person is here, and it's for a just cause, and the pastor, and the board would want to agree and tell the pastor upon it, then let the pastor say, "A certain-certain person is setting here; we don't know the man; he come in and he asked us for... He says his children are hungry. We haven't got the time... We haven't had the time to investigate the--the--the--the--the claim." See?

895-106 If there's anything like that, then our--our... If there's anything among our own, our--our own deacons go investigate those claims. See? And then if it's worthy, then do it. If it isn't worthy, don't do it: don't have to. But now if it's a man here, you--you--you let the pastor say, "Now, the trustee board told me they did not know this person. But the man is setting here; he says his name is Jim Jones," or whatever it might be, "and he's setting right here. Would you stand up, Mr. Jones? Now, Mr. Jones, at the end of the service, you stand just at the back door there, as you go out. And if any people feel in your heart, or anything that you want to do for this man, give it to him as you go out." Is that understood now?
Did you get that on your... To those who are on the tape... And one of the... Brother Collins missed it on his tape. I want to reinstate that quotation again if... 'cause he's one of the deacons.

895-108 If--if there be any of the--one man comes in that you--and is in emergency, and he wants an offering from the church, let the trustees or deacons meet together, and let the--meet together, and make this decision, then tell the pastor that it might be done like this. Let them... Let the pastor say that this certain man, call him by name, "we know him not. And our policy here is to--to investigate before we take offerings for people, and, that is, of our own. But this man here, he says he's broke down; he's had an emergency; he's got sick children; he's trying to get medicine for his children," or whatever it might be, the emergency. "Now, he's standing right here, Would you stand up, sir?" See, and let him stand up. And say, "Now you people see what--who he is. Now, at the close of this service this man shall stand there at the front door, and people going out, that feel that you want to contribute to this, you're at liberty; we only announced it in the church." You're not sanctioning it; you're only announcing it. See, that's hospitality to a stranger. See? Understand now? All right. I think that settles that question.

896-Q-230 230. What about the tapes? Now has... What about the tapes? (It's got a question mark) As, many are writing the office and blaming you for the action on the tapes. Also, about others around the church selling tapes, if Mr. Maguire has to pay royalties on them.
All right. The tapes is by a contract. And if I... I don't know just exactly when the contract is expired, but the trustees, this belongs to the trustees, not the deacons, the trustees: not the pastor, trustees. The trustees, ever so often they--they write a contract, as I understand it. And if this--this is wrong, then the trustees correct. These trustees has an agreement with the person who is making the tapes, and the tapes are by a franchise.
No one else can make tapes unless it be permitted by the person that has the franchise, and they cannot be sold unless permitted by the person that has the franchise, because that's the law (See?), that the franchise holds it. See? And if the fran... The one who holds the franchise wants to let So-and-so make tapes, that's up to him. If he wants to let everybody make tapes, that's up to him; he wants everybody to sell tapes, that's up to the person who holds the franchise. He should have a--a little written note signed from the holder of the franchise to make and sell tapes, because then he's clear in the law; 'cause if he don't, the man that has the franchise on it... You'd be liable yourself to a... If there'd be a--a foul person that wanted to cause some trouble, he could really do it. You go over that franchise... 'cause that's just like a copyright (See?), the same thing; you're not allowed to do it. It's a great fine to do that.

896-112 So if the people are making tapes, perhaps they have an agreement from Mr. Maguire who--who has--who--who draws royalties on the tapes. And now... And I don't know about that, 'cause I'm not here enough with you to know who these things are, and who it would be referring to. I suppose that Mr. Maguire still has it, because out there, I'm in California or Arizona, where I'm at; I understand they're still buying tapes from California. Brother Sothmann, the father-in-law of Mr. Maguire, which is our brother here in the church... I think that Mr. Maguire still has it, the--the--the franchise on it.
And now, there has been complaints all along on the making of the tapes. Now, when there is a complaint on anything pertaining to the finances of this church, it's duty bound to the trustees to see that thing is cleared. See? There should not, by any means, be anything...

897-114 Now, you see here, it says on this card here, that,
They're writing to the office and blaming you.
Frankly, I've had many letters on it, and want to know why they can't get their tapes. Now, you know your contract with the one who has the franchise, as I understood... The tapes, I--I want nothing to do with them myself, if anybody can use the tapes for furthering the Gospel, "Amen."
But, first, Brother Roberson and them started to make them, Brother Beeler and several of them started to make them; and then the two boys, Brother Mercier and Brother Goad made them for years; and, of course, when each one of the men has made them, there has been complaints on every one. But it seemingly here lately, there's been a great complaint about not getting their tapes. People has called me up from across the country. And then another, being, retracted tapes. They'll be playing one thing one minute, and play back on another another thing, and then you can't even understand what they are.

897-116 Now, these people paying for these tapes should get a genuine tape. I don't care what they have to do to get it; we want to see our customers and our brothers (which they are our customers and our brothers), so forth, they must have an "A-number-one" tape. Now, you trustees see to that, that these people are satisfied. If not satisfied, their money must be returned to them immediately.
And someone's called me, and say they been waiting for months for tapes. Now, I don't know how Brother Maguire tends to this. I--I don't know about that, as I know nothing about it. And I... It's none of my business to know nothing about that; it's his business with them and the trustees. And I'm not trying to step in, but I'm just telling you what the law of it is. See? The law of it is that these tapes, from the time that they send for them, them tapes are supposed to be on their road within a day or two, three or four, five days; after they send for them tapes, it's got to be in the mail or the franchise can be canceled at any time when these orders are disobeyed. See?

898-118 Now, and every six months or a year, this is supposed to be renewed; this agreement is supposed to be renewed. You're supposed to meet on this certain date that this franchise says that you got to meet. And then it's supposed to be, that's, other people are supposed to come in at that time, and you're supposed to notify others who have been asking about the tapes, and come in with their agreement and set down and talk it over.
Now, these orders must be carried out. See? And it must be carried right, because it is complaining. They complained with Leo and Gene; they complained with every one; it's complain with Brother Maguire; and it'll be complaining with somebody else, but let's find out what their complaining is.
Now, but when the tapes are begin to pile up, boxes of them, letters by the dozens pouring in, and they... See, it doesn't fall back to the tape maker; it falls on me. They're always bawling me out about it. Now, it's my duty as a Christian to see that the people get what they pay for, and I want you trustees to see that they get it. If they have to charge more, get a better tape, get a better machine, we want somebody to make that tape who makes it right. That's our interest. The tape must be made right. And the customer must be satisfied, or stop the whole tape thing altogether; we won't have no tapes, just let anybody make them that wants to. But if they're going to charge for them, let them see that they get what they paid for, 'cause that's Christianity. That's no more than do...

898-121 And when they come here to listen to the Gospel, I want to give them the best that I know how to give them (See?), and when they come here I want you to see that everybody and everything's carried on. That's the reason I'm telling you deacons, trustees, and pastors, here tonight, that you must carry this out to the letter, because the people are coming here to find God, and we got to have these things in order.
And also the tapes must be put into their place. If they have to charge more, if you got second-class tapes they're running, then get better tapes. If you have to charge more for them, charge more for them, let the person get what they charge for.
I'm not interested in one bit of royalty, and not one penny, and neither is the Tabernacle interested; I don't want you to be. Don't be interested in that, in--in royalties. If they'd pay some, I guess you'd have to take a little royalty on account of they're being made here. I think that's something that he said to Mr. Miller and them about the law; we have to take certain royalties or so forth. That's up to you all to see to that. I'm not have nothing to do with it, but what... That's set together; you all take care of that. I can't take care of all of it; I'm just telling you the way it should be and must be run. That... You understood, I said "Must be run." So we want this run out right.

899-124 And if you have to have a better machine to take it, then get a better machine. If it has to be... Now, I said to them; I said, "Every meet... mission that I go into the field, before I go, I'll notify you what sermons I'm going to preach on out there, something that I've already..." And I promised you all, which I'm going to retape back again Sunday night, that "Before I preach any new message, it would come from this Tabernacle first, because they seem to get a better recording." You remember that? Then when I come here to preach my messages, then go back out and notify the tape men what services. They ask me, "What ones? What you going to preach?" I told him, "this night I'm go to so-and-so, and this night so-and-so," so they can have it made up and ready for the customer to get it right there; got it right with them, a better tape than they'd have out in the meeting, because it's made right here at the Tabernacle where the acoustics are good. See?

899-125 Now, now, I'm going into this great evangelistic, what I'm going to do now in overseas and things; I can't promise that (You see?), I can't promise that I'll preach my first message here. Because when you preach around the messages; you've got to have something that... It--it gets stale to you, and it's bound to get stale to the ones that's listening at it. You've got to do something different (You see?), and bring just as the message is there. But let them put a machine in the field, or whatever it is, that'll take these tapes perfectly.
And make a perfect tape, and each tape played back and checked before it goes, or just stop the whole thing; don't even have nothing to do with it; let every man make his own tape. See? But get it done right (See?), so that this complaint will stop. We don't want no complaints at all. If there is a complaint, let's take care of it, then we'd have it over with.
Now, I'll hurry just as quick as I can. Billy got about two more questions here, or three, then we'll be finished.

900-Q-231 231. How far, Brother Branham, can or should a deacon go to keep order in the church? Should we keep the order or wait until Brother Neville tells us what we should do?
That isn't Brother Neville's job; that's your job. See? You don't tell Brother Neville what to preach on, how to preach it. See, that's your job, you deacons; you're supposed to do that. You take care of that. That's nothing to Brother Neville that's your job. See?
Now, if a policeman's out here on the street and he sees a man stealing property out of a back of a car, should he call the mayor and say, "Now, Mayor, your Honor, sir, I am working for you here on this police force. Now, I find a man up the street here, he's--he was stealing some tires off of a car last night. Now, I just wonder, what's your opinion of that?" See? See, that wouldn't be sensible. Would it? No, sir, If he's doing something wrong, arrest him.
And if a man's doing something wrong here in the church, or anybody, stop them, talk to them. Don't be arrogant; but if they won't listen, speak in a way that they know what you're saying. See? See, like you tell a child, say, "Walk back there," and he's misbehaving. Deacons, stay at your place. Put... There's four of you; stay two in front and two in the back, on these corners or somewhere like that. And watch real close for renegades and everything else come in like this. You see? And you be on the guard, and you get to your post of duty and stay there; that's your seat; or stand right beside a wall and watch everybody come in.

900-131 A deacon takes care of the house of God. Someone come in, speak to them; be there to greet them, shake their hand. That's... You're the policeman, "Could we show you the cloak room?" or "Would you be seated?" "Could we hand you a song book or something?" or "Now, we would like for you to enjoy yourself here, and--and pray, and--and we're happy you're here with us tonight." Lead them right down to a place, and say, "Would you like to be closer or would you like to be back here?" or wherever more. That's hospitality.
A policeman (or the deacon) is a military police to the army, courtesy, but yet with authority. See? You know what a military police is, is actually, if he carries out his rights, I think he's just like a chaplain. You see? It's courtesy and everything, but yet he has an authority. See, you must mind him. See, he puts... These rookies get out there and get drunk, why, he puts them in their place. And so is the deacon to put them in their place.
Now, remember, the deacon is a policeman, and a deacon's office is actually more strict than most any office in the church. I don't know of an office any more stricter than the deacon's office. That's right. Because he's got a--he's got a real job, and he's God's man. He's God's man just as much as the pastor's God's man. Certainly, he is. He's God's servant.

901-134 Now the trustees, only thing, they're under duty by God to watch that finances and take care of that, the things that goes on like that. I told you about them tapes, and--and about other things here that goes on, about the building and repairs, and taking up the finances and things, that's--that's what they're trustee of: the property, finances, and things. The deacons has nothing to do in that. And neither does the--the trustee have anything to do with the deacons' office.
Now, if the deacons wants to ask the trustee's help on anything, or the--or the trustees the deacon's, and you're all working together... But that's your duties, is singling out. See? All right.

901-136 Now, no, don't ask Brother Neville. If Brother Neville asks you to do something, then that's--that's your pastor, with courtesy and love and everything... If he'd say, "Brother Collins, Brother Hickerson, Brother Tony, or somebody, would you see what's wrong back there in the corner." At the post of duty like that, you know, as a real man of God.
Remember, you are not working for Branham Tabernacle, neither are you working for Brother Neville or me; you're working for Jesus Christ. See? You... That's who you do... And He--He's respecting your loyalty just the same as He is to that pastor or to anybody else; He's expecting your loyalty. And we want to show our loyalty.

902-138 Now, sometimes it gets hard. It's hard for me in the field. A minister setting there I love with all my heart, just have to really tell him (See?), but in a way of love, I've got a hand out to help him. So see? And they come to me and say, "Brother Branham, you're just a wonderful person, why can't you just compromise a little on that baptism, and on this, that, and the other, that security, and the serpent's seed?"
I say, "Brother, I love you, but now, let's us take--just take the Scripture and see who's right or wrong. See, I've got to be able to..."
"Oh, no. Now, Brother Branham, I tell you, you're all wrong." See, goes flying up.
"Oh," I say, "well, perhaps I am. Then if I am, surely you'd tell me, you're... You know where I'm wrong at, then you show me where I'm wrong. And I'm willing to take. See?"
Same thing, "Hey, you ain't got no business telling that child to set down." Now, the deacon is the--is the custodian at the house of God. See? Now, if you... He takes care of the house of God and keeps it in order. Now, that's what the Scripture says, and if you got anything else that a deacon should do, you come tell me. See, there's the same thing, but that--that's your duty to do that, yeah, just back up.
And you should ask nobody; that's--that's just your duty. Brother Neville don't ask nobody; the church don't have to ask... I mean, the--the--the trustees don't have to go ask Brother Neville if--if he wants the roof put on the Tabernacle. See? No, no, that's not nothing to Brother Neville; it's not nothing to me; that's to you. The deacons don't have to...

902-144 The same way to the pastor. "What are you going to preach on? I don't want you to do this." They ain't got no business saying that; he's under God (See?), their pastor. And then if--if--if Brother Neville, he preaches a message that the Lord has give us, and we're all together in this. And if I tell Brother Neville something wrong, God holds me responsible for it. That's right. See? So God is the Boss of all of it. See? And we're just working as His ambassadors (You see?), down here in these offices.

903-Q-232 232. Please... (The next question, and then I think we got one more and then we--we'll stop.) Please explain just how the gifts of tongues are to operate in our church.
I have did that.
When can the church be put in order as--or just where the gifts are to operate?
We've just explained that.

903-Q-233 233. Just how many c-h-r-i-s-t-m-a... Could you see what that is? [Billy Paul answers Brother Branham, "instruments"--Ed.] Oh, instruments. How many instruments are we to have in church beside organ and piano?
Well, it depends on if you had a string band or whatever you had. You see? I don't know what you got, what this means; I don't understand it. But the organ and the piano are property of the church. Now, if the song leader would take a notion to have trumpets and cornets and so forth like that, and somebody's coming to church and they play these instruments... And they're in a band, and--and then, 'course, then that's for your trustees, to take it up with the trustees and see if they got money to buy their instruments and so forth, or whatever like that. I guess that's what their question is.
But if they have their own instruments, wonderful. If they don't have their own instruments, and they're a member here of a band, not just a person running through here and plays once in a while, and runs out like that, it's got to be a band in the church. The church wouldn't buy a--a--a trumpet for a man that plays it here and tomorrow night somewhere else, and somewhere else, and drop in once in a while and play a little bit. No, sir. It's got to be a band right here, organized band with the--the leader, and then the church, talk to them about buying the instruments.

903-Q-234 234. Please explain just how we are to--how we deacons can keep the people... just in the sanctuary before or after... Please explain. [Billy Paul reads the question to Brother Branham, "How do we keep the people quiet in the sanctuary before and after church?"--Ed.] Oh, all right.
I would suggest this, brethren. Now, there's a great thing; wish we had more time to put on it, for it's--it's... It means something to us. See? Now, the church is not a...
If he wants to... If you want to run this tape down some night and play it before the meetings, that the people will understand it, let this be played; just this part of the tape if no more, just this. Any part of this that you want played for a certain thing, just keep running it till you find it, and then play it. See, 'cause it's questions.
Now, deacons of the church, and as I--as I said, are the police of the church. But the church is not a general meeting-house for--for fellowship, and friendship, and frolic. The church is a sanctuary of God. We come here... Now, if we want to meet one another, let me come to your house or you come to my house, or you go to one another's house and meet one another. But just to frolic around through the church, and talking and things like that, it's not right, brethren; we come here; we get the whole thing off of our mind. If we would come here...

904-150 Look the way we used to do it years ago. Sister Gertie was the pianist. When I pastored here, I was--I had to be pastor, deacon, trustee, and everything else at once (See?), but I--I had to do it. Now you don't have to do it that way (See?), because you got men to carry this out. But when the... I had ushers, Brother Seward and all of them at the door. They had books piled around there at the door, setting in a chair, or something or another. And when someone come in, you showed them a place to hang your coat or helped them to their seat, give them a song book, and asked them to be in prayer. And then everybody set in their seat and silently prayed until starting time. See? And then at starting time, Sister Gertie, the pianist, got up there and started the music before--when the people are--are coming together.
I would suggest to have your organist to get up there with some real nice music. And if she can't be here, put it on tape and then play it, or something another, and have music, real sweet sacred music going on. So... And ask people... And if people goes to talking and carrying on like that, let one of the deacons get up at the microphone up there at the desk and say, "sh, sh, sh," like that. Say, "At the Tabernacle here we--we want you to come to worship. Let's not make noise now; listen to the music. Get your seat, set down, be reverent (See?), pray or read the Bible. This in the sanctuary here is where the Lord dwells. And we want everybody to be real reverent and worship, not to be running around, talking before the services. Congregate yourself, and you've come here to talk to the Lord. See? Either be in silent prayer (See?), or read your Bible."

905-152 When I went into the Marble church up there at--at the... Norman Vincent Peale, you've heard of him. You see? And I went into... A great psychology, he's a teacher, you know. And I went into his church, I just thought that, "I wished my Tabernacle would do that again." Them deacons standing right there at the door just as soon as you come in. They, of course, they hand you a Sunday school slip, taken you right down. You had to empty three times, you know, it only hold about four or five hundred, you know; and New York's a big place, and he's a popular man. And I think they had to have one class at ten o'clock and one at eleven, same sermon right over again, same service exactly, same sheet of paper. But when they dismissed, and they had (I believe) five minutes for the church to be exactly... Nobody else could come in till they got out, then the deacons opened the way and the other church filled up. They had those old box seats, you know, they go in like that, and set down in the pews where you open the door. And old fashion, it's been standing there for--for around two hundred years, I guess, the old Marble church has.

905-153 And you could have heard a pin drop anywhere in that church, and everybody in prayer for at least thirty minutes before the first note was ever hit on the organ, the prelude. And just everybody in prayer. I thought, "How wonderful it is." Then when that minister... That prelude, about... I think they played one prelude for about three to five minutes, How Great Thou Art, or something like that, and on like that. And then when they did, everybody stopped praying and was listening to the prelude. See, it give a change from prayer to the prelude. And then when they played that, then the choir leader directed the choir. Then they had a congregational song and the choir. And then they were ready for their Sunday school class. See? And then--and then when it was over, there was nothing went on except divine worship, all the time, and that's what we come there for.

905-154 And I think it would be a good thing if our church... And I'm just saying this; we're going to do it. See? Let's do it. If somebody does anything, the thing... And I think it'd be a good thing. If it's a good thing, then let's do it. See? We don't want to put off any good thing; we'll do it anyhow. See? And just go ahead and--and stand up there, and if they start on a morning, or something like that, people visiting, just let some or one--one of the one of the deacons, or somebody walk up there and say, "It's been made a rule in the Tabernacle here..."
I don't know if they do it, they may--they may. I'm never here (You see?); I don't know. I'm never here before services.
And when they come in and they start talking, let somebody get up there and say, "Sh-sh-sh, just a moment." See? Let the--let the... Get a little sister, get her up there and get her playing that music. If you don't, put it on tape and get it out there (See?), of the organ music. And say, "Now, we're... There's a new rule in the Tabernacle. When people enter here, we're not to whisper or talk, but to worship. See? Now, just a few minutes the service will be starting. Until then, just either read your Bible or bow your head and silently pray." And a few times like that, they'll all learn. See, see?

906-157 You hear somebody talking, and then it gets down for--after a few times like that, after a while you hit a place where somebody say... See somebody talking, nobody else talking (You see?), well, then one of the deacons walk up and say, "We--we want you to worship during the time of the service (You see?)?" See? See, it's not a house of talk, it's a house of worship. Understand?
I think that was it: Please explain... (Yeah. Let's see. Yeah)... Please explain how to... the deacons should... in the sanctuary. Yeah, that's all. That's right. That's it.

906-Q-235 All right, now here's the last one:
235. Brother Branham, when we have had opportunities on the beginning of the service, I'm--I'm... the comp... No, they had "complaints." It's wrote real little. "And I've had complaints," ain't it? [Billy Paul answers, "Uh-huh," and continues helping Brother Branham read the small writing--Ed.]... had complaints in the beginning of the service. We have... (Let's see.)... We--we--we have songs, testimonies, and prayers, and prayer requests, special singing, and m-a--maybe get it--get into the message at eleven, to... or after, but don't have too much time for the Word. Some of the people get restless and have to leave before it is--is--before--before it's over. Is... Please explain how many songs, and what time to start the message. And some--sometime we have prayer requests and it ends up in a testimony meeting, some things that--that don't be--don't seem kind of right at the time.

907-158 Now, I hope I've got that. Billy's trying to help me here. Upon the tape, you have to... somebody in our midst may... meeting, in the service, listening to what this was, is Billy trying to help me read it, because it's wrote very, very fine, and I couldn't make it out. I got the general idea, it is, "How many songs should we sing before starting the service, and what time should service start?"
Now, the first thing I want to make here is a confession. And when I'm wrong, I want to admit I'm wrong. See? And I--and I--I will make a confession here that I am kind of the leader of that. Because it's been me a-holding these long services and things, is what got the church into this routine (See?) of doing so, but it shouldn't be. And now, remember, I have... I am... Was telling you all, "Sunday night, if the Lord willing, on Sunday night, that, I'm trying to allot my services from henceforth, if I have to stay a week extra, to about thirty or forty minutes at the longest for my services."

907-160 Because I've found this, that a service that's... It stands up, and the message is given in the power; if you go too far, you wear the people out and they don't get it. The reason I been giving... I knowed that all along. See? The most successful speakers are those who have exactly... Jesus was a Man of few words, watch His sermons. Watch Paul's sermon on the day of Pentecost, probably taken him fifteen minutes, and he punched the--there, something that--that--that sent three thousand souls into the Kingdom of God. See, just right straight to the spot... See?
And I--I am guilty. Because, the reason I have done this, not because I didn't know different, but I'm making tapes (See?), and these tapes will be played in houses for hours after hours after hours. But as you'll find out in the coming Sunday, the reason that I've done it, this coming Sunday, the reason I have done these things... I might say it right now on the tape. The reason that I have did this is because of this tremendous weight upon me for the Message of this hour to get It out. Now the Message is out, now I'm taking a thirty minutes or something like that, after the first of the year, in my meetings out in the--everywhere I go, and try and even set my watch to a thirty minute, or not over forty at the most; punch to that message, and make the altar call if I--or whatever I'm going to do, or call a prayer line; and not take that much time, because you do wear the people out. I know that.

908-162 But looky here. I guess, in the year, we haven't had a dozen people get up and walk out, and sometimes I keep them here for two and three hours. See? That's right. Because it's been making these tapes that goes all over the world (See?); and the people out there, they'll set for hours and listen to that; and ministers, and so forth, Germany, Switzerland, Africa, Asia, and everywhere (See?), listening to that.
But, see, for the sanctuary, for the church... And that's all right. If you're here making a tape, and you got a two-hour tape, put a two-hour message on it; but if you're not making a tape for something like that, then cut a message (See?), cut a message down. I tell you why, there's some fill up easy, some fill up long (See?), like that, and you got to be at a happy medium between that.

908-164 And now, many times that we ruin our services by a dragged out testimony meeting, which I know I'm guilty of doing it. And you get out when we used to have street meeting, and let some old brother stand out there, and he'll stand out... And ask him to offer a word of prayer, and he'll pray for the mayor of the city, and for the governor of the state, and for the President of the Union, and--and everybody like that, and all the pastors around, you know, each one by number, and Sister Jones that's in the hospital, and things like that; and the people standing, walking by on the street meeting, just keep--just keep on walking, See? He just wore them out. Well, just a...
See, the main thing now, your prayer is to be in secret, your main, long prayer. Pray all... Enter into a secret closet, close the door. There's where you want to pray all day, all night, or two hours, pray there. But in here, when you've got the attention of the people, make your prayer short, quick, at it. Make all your service... And put the most of your service time into that Word. That's the main thing. Punch that Word just as hard as you can (See?); get the Word to the people.

909-166 Now, here's my suggestion. Now, now remember, I've confessed that I'm guilty of leading this on. But then I've told you why I've led it on; I'm making two-hour tapes to be sent overseas and everywhere, of a Message. You see? But the church shouldn't pattern that (the message here at the Tabernacle) after them tapes (two hours) to be gone places (See?), and go out like that.
Now, here's what your order... Let me just give you an example. Would that be all right, a suggestion? I would say that the church should have its doors open at a certain time; let the congregation come in; let the songs be playing. And let everybody come in to worship, not to visit. And don't let them visit afterwards, tell them to dismiss and get out, not to visit. If you wanted to visit, there's the whole outside. But this is the sanctuary, let this be kept clean. Now, if the Spirit of the Lord is dealing here, let's keep it the Spirit of the Lord. See? And--and It'll keep moving. If you don't, you just mark my words, it's going to fall; it sure will. And let's keep it; it's our duty; that's why I'm here tonight. Let's keep this thing lined up with these--with these orders.

909-168 Now look, I would say this. Ordinarily, unless we are giving out especially... And tell them you're going to tape a message. See? Now, if Brother Neville has a message here that he's going--he's got a message he wants to get out to the people, out on tape, or something, say, "Now, next Sunday night we're going to tape a two hour tape," three hour tape, or what--or whatmore. "We're going to give a two or three hour tape," or whatever it might be, "next Sunday night." And then the people know. And then when they come in, say, "Now, we are going to tape a message tonight. And I got a message here that it's one... I want it taped and sent out. I been... I feel led to send this message out. And it's going to be taped; it may be two hours," three hours, or whatever it is, say that.
But, ordinarily, just as I do when I'm going into a place like one of them Business Man's meetings, or I'm out in my meetings out there for a prayer line, if I stood up there and give a three-hour message of a night before having the healing service, you see where it puts me? See? Why, the people, next night your congregation's half of what it was. See? 'Cause they just can't do it, they got to go to work and everything.

910-170 I'd suggest this, that ordinarily... Now, I watched Brother Neville last night when he preached. Now, I know we all... That was a startling message. I took notes of him, got here in my pocket, can use it in other messages of my own. That's right. The Way of Escape (See?), and that was a marvelous message. You see how quick he got that through? See, about thirty-five minutes (See?), and he--he had it over. See? Now, that was fine. Now, and Brother Neville, usually his messages are like that. See, that's not long. See? But where you kill your meeting is all that drawn out stuff before you get to it. See?
Now, and--and where you do that... Now, I know, and now look, I'm not saying that dishonorly to you trustees, or deacons, or--or pastor, but I'm just telling you: see what's truth, and this is what it must be. Now, you... What does it, now, everybody, you all good-natured, every one of you men are good-natured. If it wasn't so, I'd say, "All but Brother So-and-so, he's not got a good nature; we're all praying for him." But you--you do have good natures, and you're long-suffering, gentle, quiet sort of men. That's fine, but don't be a sissy with that.

910-172 Jesus was good-natured too, but when it come time to say things, "It's written, 'My Father's house is made a house of prayer, and you are making it a den of thieves.'" See? He--He knowed when to speak and when not to. That--that--that's what we got to do. See? There never--never was a person like Jesus; He was God. And remember, He even... Talk about being a deacon in the church, He--He took over. He plaited some ropes together, and He didn't wait to gently walk them out; He beat them out (See?), at the house of God. And He was playing the part of a deacon, for an example to you deacons. See, He was your example. "And now, it--it's written, 'My Father's house is made a house of prayer.'" Now, remember, Jesus was a deacon then, and you know that Jesus was taking the part of a deacon.
When He come to the part of a pastor, what did He say? "You blind Pharisees, leaders of the blind..." See, He was taking the part of a pastor then.
And when He told them what was going to happen, He taken the part of a prophet. See?
And when they required that there must be tribute paid, He taken the part of a trustee, "Peter, go down and cast the hook into the river, and the first fish you take up has got a coin in his mouth. Pay them (See?); pay your just debts." Said, too, "Give Caesar what's Caesar's, God's what is God's."

911-176 He was both pastor, prophet, trustee, and deacon. Sure was. So then you see what He did, let that be your example in the house here at this Branham Tabernacle, that we want to be a house that He will be honored in with everything, every office, every place, that there be no taking back. There'd be gentleness, and sweetness, and kindness, but just straight on the line; every man's at his post of duty. See? That's the way, that's the way He wants it. He never slagged. When it come time to say, call what was what, He called it. When it come time to show gentleness, then He showed gentleness. He was sweet, kind, understanding, but stern; and everything was right to the dot with Him, and He did that for your example. Now, the Holy Spirit just give me that. So I never thought about that, Him being a deacon before, but He was. See? He--He acted as deacon.

911-177 Now I say this, say if your services begin at seven-thirty, if that's the time, open your church half hour beforehand, seven o-clock. Let the pianist... Tell the organist... You pay her? You all pay the organist? Is she paid, or the pianist? She does it free-will. Ask her with gentleness. Even if she wants to have pay for it, to give her something for it, tell her we want her a half hour before service. And if she says, "Well, I can't do it," or something, complaint, then just have her come here and make a tape of some sweet organ music. You see? And let... put that on the... Don't have to be here every time, set your tape up. See? Let one of the deacons, trustees, or ever who opens, the janitor, put it on up there, the tape on, and let it be playing while the people come. See? 'Cause if the deacons are not here, or somebody, let a trustee or somebody be here to do it, then let them play for a half hour.
But exactly seven-thirty, let that bell toll on top the building. See? You still have your bell out there? Yeah. All right, let your bell toll at seven-thirty, and that means that we're not going to walk up and down the church and shake hands with Joneses and all that. Let the song leader be on the job. If there's no song leader there, let the deacons see that there--or the--see that there is somebody to start leading songs when that bell starts tolling. "Turn to your hymn-book, number so-and-so." See? Let it be right on the dot at--at seven-thirty.

912-179 All right, then have a congregation song, and then maybe a second congregational song, and then have somebody already spoke of (if you can) to lead in prayer. Let the--the pastor, ever... Well, the pastor shouldn't be there, the--the song leader should do that. It's Brother Capps, I think. See, he'd know what to do, let--let him have someone spoke--or either lead in prayer hisself. Have the congregation to stand in prayer (See?), just stand up, and let somebody lead in prayer. Now, if you don't watch...
Now, we believe that everybody should come to the house of God and pray, that's the--that's the place of prayer. But when you're in that sanctuary, conserve your time. See? You call them all up around the altar, you'll find out there'll be somebody will be there for fifteen, twenty minutes, and your time's all run out.

912-181 Let your... See, your praying's at home. Jesus said, "When you pray, don't stand like the hypocrites do, and--and for a long--maybe a long prayer, and say this, that, or the other, and--and all like that for a showing." See? He said, "When you prayer--pray, enter into the closet, secret closet, close the door behind you; pray your Father that seeth in secret, He shall reward thee openly." Now, that's the way to have secret prayer, that's what He said do.
But when you, somebody, when they come in, like the song leader, say, "All right..." After the first song, then let somebody have prayer, yeah, ever who it is, just a short prayer. Don't stand up and pray for all the governors, and so forth like that. If there's any prayer requests, let it be known, let it be sent in, have them sent in. Write it, say, "Here." "For tonight, in having prayer, we're remembering Sister So-and-so, Brother So-and-so in the hospital, So-and-so, and So-and-so, and So-and-so. Remember them in your prayers as you pray. Brother Jones, will you lead us in prayer. Let's stand." See? Let it be laid on the platform; Tell them, let them get used to that, "If you got a request for prayer, lay it up here, up here." Don't be speaking, "Who has a request now, would you be let it known by..." And then, the first thing, somebody get up and say, "Glory to God. And you know..." Start off like that, and the first thing you know, it's a half hour 'fore they set down sometimes. See?
We are responsible for this church, not others; this is our responsible ability to God. These offices are your responsibility to God. See? The reason I'm standing here tonight, telling you all this, is because it's my responsibility to God; it's your responsibility to carry it out. See?

913-184 Now, and when something like that... Let somebody lead in prayer, and when they do, that's fine; let them lead in prayer then set down.
And if you--you got a special... Now, I wouldn't say this; I wouldn't go along... And if anybody wants to sing a special, announce it in the church. Tell them that "Any specials, or anything that wants to be sang, let them see the song leader before the church ever starts." And have it... Say, "Well, I'm sorry, brother, I'd like--sure like to do it, but I--I've got my special for tonight. Maybe if you tell me you're going to be here on a certain night, I'll put it on the program for you. See? I got my program wrote out here."

913-186 Let--let Brother Capps or ever who's leading songs... And have a song leader, no matter who it is. And don't let them stand up and say--or carry on a lot, they're a preacher. See? Let them stand up there and lead songs; that's their business.
It's the pastor's business to preach (See?), not lead songs. He ain't to lead songs; the song leader leads songs. He's responsible, and should come out freshly under the anointing of the Holy Ghost from the office in there, somewhere, when it's come time. He don't even have to be on the platform when this is going on. Let him stay in the office back there (See?), or back in here, or wherever it is; the intercoms here will bring it in (See?) when it's time. When he hears that last... If there is a special, like a solo, duet, or something, for your third song. See?
That you've had two congregational songs, prayer, your offering (if you're going to take it). And let every man be at his post of duty. Say, "All right, while we're singing this last song now, if the ushers will, let them come forward for the evening offering." See? And while they finish singing that song, here's the ushers standing here. Say, "All right, now we're going to have prayer," and they offer prayer, "We want to remember So-and-so here, and So-and-so," and read that off, you know, like that, like that. "All right, everyone stand. Brother, will you lead us in prayer." Then it's all over.

914-189 Then while they're singing this second song, or whatever you're singing, you're to take your offering if you're going to take your offering. Leave it... I'd take your first song; then have your evening offering, and then go on with your second song, and then on through. Then let your last song here... Let your last song (See?), be the pastor's call. And as soon as that last hymn is sang, let the organ start with your--your prelude, your pastor walks out. See, everything's in order; everybody's quiet. There's nothing else to be said, every deacon at his post of duty, the pastor standing there.
Come out, greet his audience, turn to his book and say, "Tonight, we're reading from the Bible." See, after he makes it up, "We're reading from the Bible." And it is a good thing sometimes if you say, "In respect to the Word of God, let's stand to our feet while we read the Word." See, then read, "Tonight, I'm reading from the Book of Psalms," or whatever it is. Or either let somebody else read it, the song leader, or associate, somebody there with you, let him read it, whatever; but it'd be best if you read it yourself, if you can. Then read it like that; then take your text. See? And that much time, you've spent about thirty minutes; it's right then about eight o'clock.

914-191 And from eight to about a quarter till nine, somewhere between thirty and forty-five minutes, lay that Word in there just as the Holy Ghost gives it to you (See?), just like that, just place it right in there the way He says do it (See?), under the anointing.
Then take your altar call, say, "Is anyone here in this church that would like to accept Christ as Saviour, we're asking you, inviting you to the altar right now; just stand to your feet." See?
And if--and if no one stands, say, "Is there anyone here that's a candidate for baptism, that's already has repented and wants to be baptized in water for the remission of sins? If they wish to come, we're giving you the opportunity now, will you come while the organ's still playing." See?
If nobody comes, say then, "Is there anybody here that would--that has never received the baptism of the Holy Ghost and would want to do so tonight, would want us to pray for you?" Well, maybe somebody comes up, then let two or three lay hands on them, pray for them; send them right back in one of them rooms, somebody in there with them, instruct them somewhere how to come through with the baptism of the Holy Ghost. The congregation's all away from them.

915-195 If anybody comes to be--wants to accept Christ and standing there at the altar to be prayed for, make your--may... Let them pray. And when they do, just say, "Bow your heads now; we're going to pray." And say, "Do you believe?"
If any little thing that would delay the congregation in anyway at all, send them right into the prayer room, and go in there with them, or send somebody in there with them. And let the congregation go right on (See?), like that; you haven't held them nowhere then. See?
And then while... before... In a--in a few minutes, you say... If nobody comes, then say, "Would there be somebody that would like to be anointed with oil tonight for the--sickness? We pray for the sick here."
"Well, I'd like to see you privately, Brother Neville."
"Well, you see me in the office. See one of the deacons, they'll take it up. See?"
"And I've got something I'd like to say to you, Brother."
"Well, one of the deacons here will see you to the office, and we'll--I'll see you immediately after the service."

915-199 "Now, as a... we'll stand now for dismissing." See, and you haven't been over about a hour and forty-five minutes in the whole thing. See? See, a hour and thirty minutes, your service is over. You've had the little quick punch; you--you give it what it's done; you've done the... And everybody's satisfied, and go home feeling good. See? If you don't, then (You see?), if you let... See, you--you--you mean well (See?), but see...
You know, this is about thirty-three years in this platform for me, thirty-three years, and the world around. You learn a little something in that much time, surely. See? If you don't, you better quit. So then (See?), I find out this. Now, if you're dealing with just Saints altogether, men, you could just stay all night if you wanted to. But you're... See, you're not dealing with them exactly; you're trying to catch these out here. Here's the ones you're catching; you got to work on their field. See? And don't... Bring them in here and then let the Word come, and then (See?), there's nothing can be complained.
If there's anything they wants to see you about, well, fine, take them right on into the office like that, but don't hold the congregation.

916-201 Then, you know, people will get up and say, "Well, I tell you, let's have a good testimony meeting." See? Now, I don't mean any critics on this; I just mean to tell you truth. I mean to tell you truth. See? I've found testimony meetings of more--they--they do more harm sometimes than good (See?); they really do.
Now, if somebody would have a red-hot testimony in time of a revival, you know, and you're having a revival on, you know, a meeting, somebody got saved and just wanting to say a word, well, bless God, let him unload his soul (You see?) if he--if he wants to--if he wants to do that (See?), just in time of revival, say, "I just want to say, 'Thank the Lord for what He's done for me.' He saved me last week, and my heart's a-burning up with the glory of God. Thanks be to God," set down. Amen. That's fine, go on. See, that's all right.

916-203 But when you say, "Now come on. Who's next? Who's next? Now, let us hear a word; let us hear a word of testimony." Now, if you got a meeting set aside, a certain night for that (See?), you're going to. "Tonight... next Wednesday night, instead of prayer meeting, it's going to be a testimony meeting. We want everybody to come in, and it's going to be testimonial meeting." Then when they come to--to the place to give testimonies, read the Word, have prayer, and then say, "Now, we have announced this is testimony night." So let people testify for that hour or forty-five minutes, or thirty minutes, or whatever it is, and then--then go ahead like that. See what I mean? And I think it will help your congregation; it'll help everything, altogether, if you do it that way.

916-204 Now, I'm getting late. So, brothers, brethren, these are the best of my knowledge. I see what's on your heart; this is the best of my knowledge the questions that you have asked. Now, from now on you know. And if it's ever in your mind, come to the tape. Ask that... Listen to the tape. If it's for deacons, trustees, or whatever it is, let the tape be played. Let it be played to the congregation out there if they want to hear it. All right. And that's--that is the best of my knowledge to the will of God for this Tabernacle here at Eighth and Penn Street, and that's the way I'm commissioning you brothers to carry this out under the leadership of the Holy Spirit, with all kindness and love, showing your grace before people that you are Christians. And Christians don't mean a baby that can be pushed around anywhere, that means "a man that's full of love, but just--just as full of love for God as he is for the congregation." See what I mean?

917-205 Is there a question? The tape's about to run out here, and I got somebody waiting for me over here. What time was he supposed to be there? [Billy Paul answers, "Right now."--Ed.] Right now. He's coming over himself? [Billy Paul answers, "I'll go get him."--Ed.] All right. All right, sir.
Now, I know we're going out now if there's no--no further--any word. Now, if not, let's dismiss...?... Yes, Brother Collins? [Brother Collins says, "It might be better if this tape was turned off."--Ed.]

917-207 Well, brethren, I've appreciated being here with you tonight, and Brother Neville, and to the deacons, and trustees, and Sunday school superintendent, all of you. We trust that the Lord will help you now to carry out these orders for the Kingdom of God. The reason I've said this is because that I think you have grown from children to adults. When you was a child, you talked like a child, and you understood as a child. But now you're men, so let's act as adults in the house of God, behaving ourself, and honoring our offices, and honoring every office. Every gift that the Lord has give us, let's put it in order, and honor God with our gifts and our offices. Let us pray:

917-208 Heavenly Father, we thank Thee tonight for this gathering together of men that's put in the offices here to carry out the work of the Lord that's being carried on here in Jeffersonville in this church. God, may Your hand be upon them, may You help them and bless them. May the congregation and the people understand and know that this is to in-better the Kingdom of God, that we might become men of understanding and know the Spirit of God, and know what to do. Grant it, Father. Dismiss us now with Thy blessings, and may the Holy Spirit watch over us, and guide us, and protect us, and may we be ever found faithful at the post of duty. In Jesus Christ's Name, I pray. Amen.

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