David le vaillant guerrier
1 Au chapitre 17 de I Samuel, si vous désirez donc le
lire avec moi, à partir du verset 31:
Et lorsqu’on eut entendu les paroles prononcées par
David, on les répéta devant Saül, qui le fit chercher
David dit à Saül: Que personne ne se décourage à
cause de ce Philistin! Ton serviteur ira se battre avec lui.
Saül dit à David: Tu ne peux pas aller te battre
avec ce Philistin, car tu es un enfant, et il est un homme de guerre
dès sa jeunesse.
David dit à Saül: Ton serviteur faisait paître les
brebis de son père. Et quand un lion ou un ours venait en enlever une
du troupeau, je courais après lui, je le frappais et j’arrachais la
brebis de sa gueule.
S’il se dressait contre moi, je le saisissais par la
gorge, je le frappais et je le tuais.
Et c’est ainsi que ton serviteur a terrassé le lion
et l’ours, et il en sera du Philistin, de cet incirconcis, comme de
l’un d’eux, car il a insulté l’armée du Dieu vivant.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à cette
Parole. Juste pour quelques instants donc, je voudrais parler de Ce
vaillant guerrier, David. Et demain soir Dieu voulant, j’aimerais
parler sur Josué le guerrier.
2 Maintenant la réunion de ce soir est consacrée à
David. David a toujours eu une place considérable dans mon cœur, car il
était–il était, comme Dieu le lui a dit: «Un homme selon Son cœur».
J’aime voir les gens qui connaissent leur position, qui savent de quoi
ils parlent. J’aime entendre des gens parler, peu importe ce qu’ils
sont, quelle que soit leur religion, ou quel que soit le sujet
dont–dont ils parlent, s’ils savent de quoi ils parlent. Et je–j’aime
ça.
3 Et David était un petit garçon berger, il habitait
à Bethlehem avec son père, qui était de la tribu d’Éphraïm. Et un petit
homme noble, le huitième de son père Isaïe, qui était un Éphraïte. Et
David, depuis sa tendre enfance, depuis qu’il était né ici sur cette
terre, il savait que Dieu était avec lui. Avant qu’il ne fût béni de
quelque manière que ce soit, ou qu’il fût oint, il savait que Dieu
était avec lui. Si vous considérez très attentivement l’histoire,
comment Dieu…
Hier soir nous disions la même chose, que les dons
et les appels sont sans repentir. C’est l’élection et la prescience de
Dieu, c’est ce qui rend la chose ainsi. Si nous avons un désir, la
Bible dit: «Cela ne dépend pas de celui qui veut, ni de celui qui
court, mais cela dépend de Dieu qui fait miséricorde.» Voyez? Ce n’est
pas si vous voulez, ni si vous désirez, ni ce sur quoi portent vos
désirs, il s’agit de savoir si c’est la volonté de Dieu ou pas. Il nous
faut donc découvrir la volonté de Dieu, et si cela est si parfait, nous
pouvons alors placer notre foi là-dessus et dire: C’est ça. Et nous
pouvons bien évoluer dans la voie de la volonté de Dieu.
4 Eh bien, nous savons que c’est la volonté de Dieu
de sauver les perdus. Nous savons que c’est la volonté de Dieu de
guérir les malades. Eh bien, si nous pouvons occuper notre position
selon Sa volonté, c’est terminé. En effet, ce petit auditoire, ce soir…
Combien de malades y a-t-il ici? Faites voir vos mains. Les malades qui
aimeraient qu’on prie pour eux, levez la main, n’importe où. Eh bien,
regardez donc, il n’y a pas… Nous–nous devons retourner à la maison ce
soir en parfaite santé. Regardez les autres…
Dites donc, et à propos, si vous êtes encore ici,
certaines personnes ont envoyé leurs témoignages. Oh! la la! c’est
extraordinaire… Même frère Joseph les garde pour les publier dans son
magazine, des témoignages, ce que le Seigneur a fait pour les gens
là-bas aussitôt qu’on leur a prêché ou qu’ils ont reçu la foi. Oh!
comme le Seigneur Jésus est descendu dans une grande puissance et S’est
manifesté à eux, Il les a guéris de toutes sortes de maladies, cela les
a quittés. Des maladies que les médecins ne pouvaient même pas
maîtriser, l’ont déjà été, depuis que nous sommes ici à Chicago, le
Seigneur les a guéris et ils sont bien portants maintenant. Voyez? Ils
sont ici comme des témoignages vivants. Ils rentrent à la maison, ils
retrouvent leurs bien-aimés guéris et tout, exactement comme le
Seigneur le dit. Rejouez la bande et voyez ce qu’Il dit, observez si ce
n’est pas exact. Voyez, exactement ce qu’Il dit, c’est exactement ce
qui va arriver.
5 Et maintenant, David, côté position, il était né
par élection, ce que Dieu a dit: «Les dons et les appels sont sans
repentir.» Et il était né élu, serviteur du Seigneur. Et lorsqu’il
était un–un petit garçon, Israël avait, en ce temps-là, ils s’étaient
éloignés de Dieu. Ils sont allés se choisir un roi. Ils voulaient agir
comme les autres nations, comme les Gentils. Dieu était leur Roi, mais
ils voulaient agir comme les autres. C’est alors qu’ils se sont attirés
des ennuis.
Et chaque fois que vous cherchez à imiter quelqu’un
d’autre, attendez-vous à des ennuis. Vous pouvez… Frère Upshaw avait un
slogan qu’il utilisait: «Vous ne pouvez pas être quelque chose que vous
n’êtes pas.» C’est vrai. «Vous ne pouvez pas être ce que vous n’êtes
pas.» Alors, n’oubliez pas cela. Une fois que vous en arrivez donc à
chercher à imiter quelque chose, eh bien, vous êtes bien en train de
faire semblant. Dieu sait ce qu’il en est, et les gens aussi le savent.
Et alors, vous feriez aussi bien de rester simplement ce que vous êtes.
6 Et si Israël était juste resté dans cette
condition-là… mais ils ont dit: «Bon, regardez bien. Les autres nations
ont un roi, pourquoi donc ne pouvons-nous pas en avoir un?» C’est ce
qui vous est arrivé, à vous les pentecôtistes, quand vous vous êtes
dit: «Eh bien, les autres églises vont toutes aux spectacles. Et elles…
leurs femmes se coupent les cheveux, et elles–elles portent des robes
courtes. Et elles disent qu’elles sont chrétiennes, eh bien, pourquoi
pas nous?» Voilà. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.É.] Merci, je suis
content de vous entendre dire cela. Merci. C’est bien.
Un vieux prédicateur méthodiste chantait: «Nous
laissons tomber les barrières, nous faisons des compromis avec le
péché; nous laissons tomber les barrières; et les brebis sont sorties,
mais comment les boucs sont-ils entrés?» Vous laissez tomber les
barrières, c’est–c’est ça. C’est exact. Eh bien, ne pensez pas que
j’aie un standard; je n’en ai pas. Mais j’ai–j’ai vu ce que l’Évangile
fait à une personne quand Il s’empare réellement d’elle. Cela change
votre apparence, ça change votre comportement, ça change votre façon de
vous habiller, ça change votre façon de marcher, ça vous transforme
complètement. C’est vrai. Et laissez une fois tomber les barrières et
observez comment les boucs vont entrer.
7 Mais alors, Israël voulait imiter les autres
peuples. C’est ce que l’église veut faire, imiter, devenir rétrograde.
Et dans cet état-là alors, qu’est-ce qu’ils ont fait? Ils se sont donné
un roi. Ils ont choisi ce roi. Ils se sont mis à chercher leur roi, et
alors, ils ont trouvé l’homme le plus beau, le plus grand qu’ils
pouvaient trouver, très grand de stature, mesurant sept pieds
[2,3m–N.D.T.] avec des cheveux noirs touffus, et avec des yeux noirs
étincelants, qui serait attirant pour les gens. Et ils se sont dit:
«Celui-ci fera un merveilleux roi.»
Mais comme Dieu a dit à Samuel: «L’homme regarde à
ce qui frappe les yeux, mais Dieu regarde au cœur.» Quand Israël a
choisi son roi, il a choisi quelqu’un de très beau, fort, quelqu’un aux
épaules larges, bien redressées, qui surpassait en taille tout le monde
de toute son armée. Mais quand Dieu a choisi Son roi pour eux, c’était
un jeune homme au teint rosé, un jeune homme qui avait l’air d’un
homme, on dirait, une femmelette. Et c’était là le choix de Dieu
là-dessus. Quelle différence! Voyez-vous comment c’est différent? C’est
exactement ainsi que Dieu fait parfois des choses; parfois, Il fait ça
des façons si contraires, si différentes de ce que nous pensons.
8 Le médecin dit: «Eh bien, ce cas de tuberculose est
un cas désespéré. Comment peut-on jamais se rétablir?» Ça, c’est l’avis
du médecin. Il considère cela d’un point de vue médical. Mais pas du
point de vue de Dieu. «Je suis l’Éternel qui te guérit.» C’est ça qu’il
faut voir après. Voyez? L’un considère cela à partir d’un point de vue,
l’autre le considère du–du point de vue de la connaissance, et l’autre
le considère du point de vue spirituel. Ainsi, ça dépend de là où
repose votre foi. Si le médecin dit que c’est fini, et que vous croyiez
cela, la question est réglée. C’est vrai. Mais si le médecin dit que
c’est fini, et que vous ne le croyiez pas, parce que Dieu a dit autre
chose, observez ce qui arrive. Voyez? Cela dépend exactement du sens
dans lequel vous vous laissez aller; vous devenez le serviteur de celui
à qui vous livrez vos membres.
9 Eh bien, ce n’est pas que j’aie quelque chose
contre les médecins, là. Rappelez-vous, je crois les médecins… Je… Je
dis cela parce que plusieurs fois, les gens vont ici et là et disent:
«Eh bien, un homme ne devrait pas consulter un médecin.» Je suis en
désaccord avec vous. Non monsieur, ce sont des agents de Dieu. Juste
comme vous avez besoin de votre automobile, qui est une découverte
scientifique. C’est vrai. Vous vous en tirez beaucoup mieux avec votre
médecin, mais le médecin n’est pas votre guérisseur. Dieu est votre
guérisseur. C’est vrai. Votre docteur est tout simplement l’assistant
de Dieu. C’est exact. Mais quand le docteur va aussi loin qu’il peut,
c’est là sa limite. Et il ne peut travailler que sur base de ce qu’il
peut voir et de ce qu’il peut sentir. C’est tout ce qu’il sait. Mais
Dieu contrôle le reste.
10 Et le médecin ne peut en aucun cas guérir. Il peut
vous plâtrer le bras, mais lorsqu’il quitte la maison, votre bras n’est
pas guéri. Il remet simplement le bras en place et laisse Dieu guérir
cela. Voyez? Quand vous avez l’appendicite, il ôte l’appendice et
laisse cela là, afin que Dieu guérisse, c’est tout. Il arrache une
dent, et laisse ça là pour que Dieu guérisse. En effet, les médicaments
ne forment pas le tissu, ça ne–ça ne le fait pas, cela n’est pas fait…
C’est seulement la vie qui peut former le tissu et Dieu est la Vie. Ils
ne peuvent donc pas guérir, rien du tout. Ils ne prétendent pas guérir.
Ils mettent simplement les os en place, opèrent et donnent le
médicament pour garder la place saine et tout, pendant que Dieu guérit.
C’est tout aussi simple.
Ne négligez donc pas votre médecin. Si c’est un bon
médecin, un médecin chrétien… Savez-vous ce qui arrive dans mes
voyages? J’ai d’une manière générale, en parlant dans des cliniques et
partout ailleurs où j’ai été interviewé, j’ai rencontré plus de
médecins qui croyaient dans la guérison divine, que de prédicateurs.
C’est la vérité. Fort rarement j’ai rencontré un médecin qui était un
charlatan. C’est–c’est vrai. La plupart d’entre eux disent: «Eh bien,
assurément, Révérend Branham, nous ne prétendons pas être des
guérisseurs. Eh bien, oh! la la! J’ai vu des cas que je croyais être
désespérés et j’ai vu la prière rétablir des gens.» Ils disaient: «Eh
bien, assurément, il faut qu’il en soit ainsi.» Voyez, ils ne
prétendent pas être des guérisseurs.
Eh bien, nous en avons d’autres qui sont bornés, des
égoïstes, et qui pensent que ce sont eux qui font cela, celui-là
n’arrive jamais quelque part, de toute façon. Observez-le bien. Il va
sitôt disparaître de la scène. Et un Dieu… un homme qui fait confiance
en Dieu…
11 Un des mes petits amis est un merveilleux petit
médecin, il croyait en Dieu, mais il ne L’avait pas vraiment accepté.
Et la semaine passée, ça fait deux semaines maintenant, qu’il a été
conduit au Seigneur Jésus-Christ. Il disait que ses affaires et tout
connaissaient déjà un progrès; il n’a rien dit à ce sujet. J’ai dit:
«Ne vous en faites pas, cela ira sans cesse de l’avant.» Commencez
simplement à faire confiance à Dieu et voyez combien vous aurez
davantage de succès auprès de vos malades là-bas à l’hôpital et tout.
Mettez Dieu en premier. Priez avant d’aller chez eux, ainsi de suite,
et voyez.
Le Seigneur voulant, peut-être demain soir, je vous
lirai cet article dans le journal de l’Association Médicale Américaine,
ce qu’ils ont dit sur la guérison divine.
12 Eh bien, David, ou plutôt Saül, quand il a été
choisi, c’était quelqu’un de grand, de belle prestance, un costaud aux
épaules carrées, oh! il dépassait d’une tête son armée… Les gens
disaient: «Voilà notre roi.» Et à quoi cela les a-t-il conduits?
Finalement à une condition rétrograde. Et leur roi a rétrogradé.
Et alors, comme Dieu avait vu que leur choix n’était
pas bon, Il S’est Lui-même choisi un roi. Il a donc dit à Samuel, Il a
dit: «Remplis la corne d’huile et va chez Isaï, Je vais… et appelle ses
fils, Je t’indiquerai donc, une fois arrivé là, celui que Je choisis,
celui que J’ai choisi pour être roi.»
Il est donc allé là-bas, et alors, Isaï pensait
aussi comme Saül, plutôt comme Samuel, que ce grand et beau jeune…
l’aîné de tous est apparu, un très grand gaillard… il a dit: «C’est
celui-ci qui sera le roi.» Il s’est donc avancé là, la tête haute, vous
savez. Comme les gens n’importe où, ils… juste… C’est un effet
psychologique que cela exerce sur les gens.
13 Eh bien, quelqu’un de cette ville qui aimerait
devenir religieux, la première chose qu’il cherchera, c’est une de ces
plus grandes églises qu’il peut trouver dans la ville, avec tous les
crucifix suspendus partout, et avec de grands vitraux, des bancs en
peluche et tout le reste; c’est là, pense-t-il, qu’il va trouver Dieu,
parce que c’est grand. Et–et peut-être que c’est un dignitaire,
peut-être que les célébrités vont là-bas, mais cela ne signifie pas que
Dieu est là. Généralement, le choix de Dieu, c’est dans une petite
vieille mission au coin quelque part ici où on bat un tambourin et on
tape les mains. Parfois c’est là que Dieu se trouve. C’est exact.
Voyez, mais la nature humaine, l’esprit humain,
recherche quelque chose de grand et de brillant, il saute sur tout ce
qu’il voit briller. Mais tout ce qui brille n’est pas or. Vous pouvez
bien vous le rappeler. Et alors…
14 Ils… C’est ce qui est arrivé au monde aujourd’hui.
Ils ont rejeté l’Évangile très simple de Jésus-Christ, ils sont allés
vers quelque chose de grand, d’érudit, d’instruit, d’intelligent, de
brillant, qui a étudié la psychologie, et qui a décroché des diplômes
de licencié, et toutes ces autres choses, vous savez, de grand, de
beau, des millions de dollars dans des églises…
Je voudrais vous poser une question. Pourquoi
construisez-vous des églises qui coûtent des millions de dollars tout
en prêchant que Jésus-Christ vient bientôt? Je ne comprends pas cela,
et vous? Je ne peux pas le voir. Si Jésus vient bientôt, pourquoi nous
soucions-nous de ces choses-là? Amen–amenons les gens à être sauvés;
c’est l’essentiel. Jésus n’a jamais dit: «Construisez de grandes
églises.» Non, Il ne l’a jamais dit. Il n’a jamais dit d’avoir des
séminaires. Je n’ai rien contre les églises, contre les grandes
églises; elles sont tout à fait en ordre. Je n’ai rien contre les
séminaires; c’est tout à fait en ordre. Mais Jésus ne nous a jamais
mandaté de faire cela. Il n’a jamais dit de construire de grandes
églises ni d’avoir des séminaires. Il n’a jamais dit de construire des
hôpitaux ni des écoles; mais tout cela est très bien. Rappelez-vous, je
n’ai rien contre cela.
15 Mais la chose principale même qu’Il nous a ordonné
d’accomplir, nous l’avons laissé tomber et nous avons pris des choses
secondaires. Nous avons construit de grands hôpitaux, des écoles, de
grands bâtiments et–et des séminaires, et nous avons instruit nos
prédicateurs pour les amener à utiliser des mots savants et à utiliser
la psychologie et à se tenir de façon raide et dire «amen» avec autant
de politesse que possible, et tout cela. Et qu’est-ce que cela a fait
de nous? Une grande bande de rétrogrades (C’est exact. C’est exact.)
Rien qu’un tas d’églises froides, formalistes, indifférentes, aussi
froides que la température au point zéro, spirituellement parlant. Je
ne dis pas cela pour plaisanter, en effet, ceci n’est pas un endroit où
plaisanter, mais je dis cela comme la vérité. Cela est la vérité.
Et, oh! comme cela nous a entraînés dans cet état,
comme nous aimons au même moment de grandes choses. Oh! oui, nous–nous
voulons un–un homme a une affaire, et il voudra s’allier avec des
hommes d’affaires qui… Il se rendra à l’église la plus grande de la
ville et il occupera un siège là derrière, il inscrira son nom dans un
registre, et bien des fois, c’est exactement comme Israël l’avait fait
en choisissant Saül (Voyez?), qui surpassait en taille tous les autres,
vous savez, et c’est ainsi que vous vous attirez des ennuis.
16 Mais Dieu a dit à Samuel, Il a dit: «Prends une
cruche d’huile et va là-bas, et Je t’indiquerai qui oindre.» Eh bien,
Isaï est sorti dehors et il a amené son fils aîné, qui était très grand
de stature… mesurant six pieds, ou plus, il a dit: «C’est lui qui doit
être roi.» Et il est passé. Samuel tenait la cruche d’huile et il a
dit: «Assurément, c’est lui.» Et lorsqu’il passait, Dieu a dit: «Ce
n’est pas lui, Je l’ai rejeté.» Oh! la la! Il a dit: «Eh bien, cet
homme a presque sa taille, nous le ferons venir, c’est un homme grand
et beau, il aura une belle apparence avec cette couronne sur la tête et
avec son nouveau costume.» L’air que vous affichez pour vous tenir
devant les gens! C’est de cette manière-là que les gens jugent leur
pasteur aujourd’hui. Quelle honte! C’est exact.
Quand il passait donc, Samuel a saisi la cruche
d’huile, il a couru pour répandre cela sur lui. Il a dit: «Ne le reçois
pas, Je l’ai rejeté.» Et il a continué à les faire passer jusqu’à ce
qu’il est arrivé au septième, c’était ça. Samuel a dit: «Eh bien, c’est
tout ce que vous avez?»
Il a dit: «C’est tout ce que j’ai.» Il a dit: «Oui.
Oh! j’ai là un petit, on ne fait pas cas de lui, il est en train de
paître les brebis, là quelque part.» Il a dit: «Eh bien, allez le
chercher.» Il a dit: «Nous ne nous placerons point avant que nous
l’ayons cherché.» Ils sont donc allés là derrière. Et je les vois,
certains d’entre eux avec un regard découragé sur leur visage, ils
pensaient: «Eh bien, assurément que ça ne sera pas lui le roi» Alors
ils… C’est ainsi que les gens pensent aujourd’hui: «Si la guérison
divine existe, cela ne pourrait pas être parmi des gens si déboussolés.
Rien de ce qui ressemble à la puissance de Dieu ne serait sur…»
17 J’avais reçu une femme, une–une journaliste, elle
m’a dit un jour à Oregon, elle a dit: «Eh bien, s’il y avait quelque
chose là, cela ne se trouverait pas au milieu d’une bande d’illettrés
comme ceux à qui vous enseignez.»
J’ai dit: «Ce ne sont pas là vos pensées? Continuez
à fréquenter votre grande église et mourez donc.» J’ai dit: «Si vous
voulez être guérie, venez.»
Elle a dit: «A–a–avant que je me rende là et que je
pleure comme un veau comme les autres…» Elle a dit: «Cela me donne des
frissons quand je les entends faire ça.»
Et j’ai dit: «Vous allez geler si jamais vous
arrivez au ciel, car vous en entendrez beaucoup là haut.» Ce–c’est
exact. J’ai dit: «Je vais vous dire une chose», ai-je dit, si vous ne
pouvez pas… juste comme Naaman, il disait: «Les eaux de mon pays ne
sont-elles pas meilleures que ces eaux boueuses du Jourdain?» Et il
s’est retourné et s’est mis à repartir tout enflé. Il ne voulait pas
s’humilier.
Et il a dit: «Très bien, si vous voulez retourner
avec votre lèpre, allez de l’avant.» Ainsi, lorsqu’il est descendu de
ses grands chevaux, qu’il est descendu là, s’est humilié et s’est
plongé dans ces eaux boueuses où Dieu avait dit qu’il devait se
plonger, il a été purifié de sa lèpre. C’est exact. Vous devez suivre
la voie de Dieu, pas votre voie, Sa voie.
18 Et remarquez. Oh! comme je peux donc voir David
venir là en courant en vêtu de sa petite tunique de berger, en peau de
brebis peut-être, il entre en courant, un petit garçon ayant l’air
d’une femmelette. La Bible dit qu’il était tout blond. Et il eut un
bout d’homme… ayant l’air d’une femmelette, un tout petit garçon qui
entra là en courant. Alors le Saint-Esprit vint sur le prophète et dit:
«Répands de l’huile sur sa tête; Je l’ai choisi.» Quelle déception
c’était pour tous ces hommes qui se tenaient là, s’attendant à ce que
ce soit ces hommes beaux, très grands et très robustes, qui deviennent
roi. Mais il a répandu l’huile sur la tête du petit David. Et depuis ce
jour-là, le Saint-Esprit était avec David. Dieu était avec lui. Il est
retourné heureux au désert.
19 Ils sont retournés, et l’Esprit a quitté Saül. Il
a rétrogradé et il s’est tellement éloigné de Dieu que l’Esprit l’a
quitté, et un mauvais esprit a pris Sa place, il est venu sur Saül. Et
Saül était hors de lui et de mauvaise humeur, et–et il traînait des
choses ici et là, et il était de mauvaise humeur comme les gens le sont
lundi matin. Ainsi, ils–il était tout le temps de mauvaise humeur.
Savez-vous que c’est un mauvais esprit? Absolument. Ainsi, il n’est…
Les médecins ne pouvaient pas l’en guérir. Ils avaient beaucoup de
médecins là, mais ces derniers ne pouvaient rien contre cela, parce que
c’était un état spirituel. Ainsi, l’un des hommes est allé ici et là
visiter quelques endroits, les gens ont dit: «Eh bien, nous savons où
trouver un guérisseur divin.» «Eh bien, qui est-ce?»
Il a dit: «Isaï a un garçon là-bas, il…» Oui, c’est
un guérisseur divin. Assurément qu’il l’était. Il guérissait par la
musique. Amen. C’est ce qu’il faisait. Il avait un don de chasser les
mauvais esprits. Le Saint-Esprit n’était pas venu en ce temps-là, il
les chassait donc par la musique, il jouait en proclamant les Paroles
de l’Éternel: «L’Éternel est mon berger; je ne manquerai de rien. Il me
fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux
paisibles.» Et cela troublait tellement les mauvais esprits qu’ils
quittaient Saül.
20 Honte à vous qui ne croyez pas dans la musique
jouée sur un instrument à cordes. Il n’est pas étonnant que les mauvais
esprits n’aiment jamais cela. Ils doivent s’en éloigner. David chassait
les démons en jouant de son instrument à cordes. C’est ce que les
Écritures déclarent. C’est exact. Et quand David se mettait à jouer, le
mauvais esprit quittait Saül. Est-ce vrai? Ainsi, ce petit garçon était
né dans le monde dans un but. Croyez-vous cela?
Et il savait que Dieu était avec lui. Certainement
qu’il le savait. En effet, il était capable de… Il était un tireur
d’élite. Il était un homme de bois. Et il avait une petite fronde là.
Et un vieux lion s’était emparé d’une… et un jour un ours a accouru et
s’est emparé d’une petite brebis et a détalé avec. David a pris sa
fronde, il a assommé le lion et il a arraché la brebis de sa gueule. Et
quand le lion s’est relevé, qu’il est revenu à lui-même et qu’il s’est
relevé, David l’a saisi par la crinière et lui a enfoncé son couteau de
chasse et c’en était fini de lui. Ainsi, il savait que Dieu était avec
lui. Il a aussi tué un ours. Il savait que Dieu était avec lui.
Et maintenant, ensuite, il jouait et chassait les
démons. Si ce n’était pas là un homme rempli de l’Esprit, je n’en ai
jamais vu un. Il pouvait être petit et blond, mais c’était un homme
rempli de l’Esprit. Dieu était avec lui.
21 Alors, tout d’un coup, vous savez, une guerre a
éclaté, et les Philistins sont venus et ont dit: «Eh bien, nous allons
entrer en guerre contre Israël.» Et Saül a rassemblé tout son peuple.
Et, ce petit garçon blond a été renvoyé là loin, sur le flanc de la
colline, pour surveiller les brebis de son père. Et alors, on a donc
envoyé de grands guerriers pour livrer la bataille, disant «Ce petit
garçon ne peut pas combattre. Nous le renvoyons donc là auprès des
brebis. Nous n’enverrons donc que ces grands gaillards là-bas pou faire
le travail.» Il a donc envoyé tous ses jeunes gens là et il leur a
donné l’épée et tout le reste, et leurs lances. Ils étaient des
guerriers entraînés. Ils sont allés là avec leurs doctorats d’État et
tout le reste pont livrer la bataille. Et l’ennemi était toujours là
pour leur lancer le défi.
22 Alors, un grand gaillard est apparu, Goliath, il
mesurait neuf pieds et trois pouces [environ trois mètres–N.D.T.], un
grand gaillard très élancé. Il est apparu, il a dit: «Je vais vous
faire une proposition. Pourquoi tous ces hommes doivent-ils mourir?» Il
a dit: «Envoyez-moi un homme ici et que je me batte avec lui. Et s’il
me tue, nous serons vos serviteurs. Si je le tue, eh bien, vous serez
nos serviteurs.» Assurément, l’ennemi, lorsqu’il a l’avantage sur vous,
il aime se gonfler et faire des histoires semblables.
Oh! il s’est glorifié. Ainsi, chacun d’eux, avec
tous ces grands diplômes, ils avaient froid au dos, ils avaient peur de
ce gaillard, parce que c’était un–un homme imposant. Il s’est donc
vanté comme cela pendant quarante jours. Avez-vous déjà remarqué que
quarante est un–le chiffre de la tentation? Certainement. Moïse est
resté sur la montagne pendant quarante jours, il en est revenu, il a
été tenté. Jésus est allé au désert pendant quarante jours et Il a été
tenté. Quarante jours de tentation. Il a plu pendant quarante jours,
ainsi de suite; quarante, c’est le chiffre de Dieu pont la tentation.
23 Et puis, par la suite, Isaï a envoyé chercher son
petit garçon, il a dit «David, va prendre du pain et du grain rôti et
tout, va là-bas voir si les jeunes gens se portent bien. Et tu m’en
donneras des nouvelles sûres, s’ils continuent à vivre correctement
devant Dieu, et reviens.» Alors David a pris son petit âne, je pense,
il l’a scellé, et il a jeté du grain rôti et du pain là-dessus, il s’en
est allé à la bataille. Eh bien, à peu près au moment où il est arrivé
sur le lieu de la bataille, eh bien, ce matin-là, ils se tenaient tous
là, les deux armées avaient peur. Eh bien, ce grand Goliath s’est
avancé là ce matin-là avec toute son énorme cuirasse pesant des kilos,
et sa grande jambière et tout, il s’est avancé là et a dit, il était là
à se vanter et il a dit: «Je lance un défi à l’armée d’Israël.» Frères,
ce matin-là, cela était tombé dans l’oreille qu’il ne fallait pas, pour
lui. Il y avait là un petit garçon qui savait où il se tenait. Amen.
24 Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est de
quelqu’un d’autre qui sait où il se tient. Ce dont nous avons besoin ce
soir, c’est des hommes et des femmes qui connaissent leur position en
Jésus-Christ. Et quand le diable se vante… Bien sûr qu’il se vante. Il
continue à se vanter. Nous avons toujours des Goliath. Nous avons aussi
toujours des David. Grâces soient rendues à Dieu pou cela. Il s’est
vanté, et cela est tombé dans les oreilles d’un gars qu’il ne fallait
pas, un petit garçon qui se promenait là, à qui il fallait lever les
yeux comme ça pour voir, que c’est un homme, comme ça. Mais il savait
qu’il était élu par Dieu et qu’il avait l’onction sur lui. Il avait mis
Dieu à l’épreuve et il savait qui était Dieu. Il savait où il se
tenait. Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez combien ceci est
beau, pour vous. Nous allons nous dépêcher maintenant parce que j’ai
dépassé d’environ trois minutes mon temps, maintenant.
25 Remarquez, David était appelé par élection. Il
était élu, appelé, oint et placé (Voyez?): élu par Dieu, appelé de
derrière les brebis qu’il paissait, pour devenir roi; oint et placé
dans sa position. Regardez. Abraham, Isaac, Jacob, Joseph; Abraham:
l’élection; Isaac: la justification; et Jacob: la grâce; et Joseph: la
perfection, rien contre Joseph. Très bien, voilà, appelé. Êtes-vous un
David? Appelé, élu d’abord par Dieu…
Combien de chrétiens y a-t-il ici? Levez la main.
Vous n’êtes pas un chrétien par votre désir; vous êtes un chrétien par
le désir de Dieu. Amen. «Nul ne peut venir à moi à moins que mon Père
ne l’attire premièrement.» Vous avez été élu pu Dieu avant la fondation
du monde, pour être un chrétien. C’est l’Écriture. Jésus a dit: «Nul ne
peut venir à moi, à moins que mon Père ne l’appelle.»
Premièrement, vous avez été élu, appelé. Ensuite,
après que Dieu vous a élu, Il vous a ensuite appelé et vous avez écouté
Son appel. Alors, Il a répandu l’huile d’onction sur vous, le
Saint-Esprit. Quand la cruche d’huile… Qu’est-ce que l’huile représente
dans la Bible? Le Saint-Esprit. Quand Il a répandu l’huile sur lui, Il
l’a baptisé du Saint-Esprit sous forme symbolique.
Amen. J’espère que vous saisissez ça. Cela vient
fraîchement d’arriver. Il a répandu l’huile sur lui, cela a coulé sur
tout son corps, toute une corne remplie d’huile (Amen.) il n’en a pas
épargné. Et c’est ainsi que Dieu répand le Saint-Esprit sur un homme,
sans en épargner, Il le baptise tout simplement là-dedans, l’oignant de
l’Esprit. Remarquez, alors il… Aussitôt que cette onction l’a frappé,
il a été placé dans la position du roi. Amen. Vous êtes placés dans la
position des rois et sacrificateurs en Jésus-Christ. Est-ce exact?
Aussitôt que vous recevez le Saint-Esprit, Dieu vous place dans le
Royaume, un héritier. Quel beau tableau! Voilà.
26 Abraham: l’élection, Isaac: la justification,
celui qui est venu sera justifié par la foi. Jacob: la grâce, il n’y a
rien que vous ayez fait, sinon par la miséricorde de Dieu. Et Joseph:
la perfection, placé. Amen. David, élu, appelé, oint et placé: vous
avez été élu, appelé, oint et placé dans le corps de Jésus-Christ. Car
par un seul Esprit, nous sommes tous placés dans le Corps de Christ,
côté position. Avez-vous déjà expérimenté cela? Chaque homme ou chaque
femme qui est ici, qui est un chrétien, sait que quelque chose est sur
lui toute sa vie. Quand vous étiez un enfant, vous aviez le désir de
servir Dieu. Quelque chose frappait à votre cœur, c’était l’élection de
Dieu.
27 David, avant que n’importe quoi ne soit jamais
arrivé, avant qu’il ait eu l’huile d’onction sur lui, ou quoi que ce
soit, il savait que Dieu était avec lui. Il avait tué un ours; il avait
tué un lion avec cette fronde. Et il savait que c’était quelque chose
au-delà de ce qu’un homme ordinaire pouvait faire. Il savait ce qu’il
pouvait faire. Il savait que Dieu était avec lui, parce que tout son
cœur cherchait Dieu.
Il a dit dans le Psaume 47, je crois, ou quelque
part là: «Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon
âme a soif de toi, ô Dieu.» Il n’est pas étonnant qu’en jouant, il ait
chassé les mauvais esprits avec sa musique, il avait quelque chose
qu’il pouvait jouer. Et cela venait de son cœur. Et le diable savait
que cela venait de son cœur. Et il savait que David était élu de Dieu.
Et là, il fut élu, appelé, oint, et il occupait déjà la position de
roi. Amen.
28 Laissez insinuer ceci. Ne pensez pas que je suis
agité; je ne le suis pas. Écoutez, laissez-moi insinuer ceci. Ceux qui
avaient passé… Combien ici sont justifiés par la foi, du fait d’avoir
cru au Seigneur Jésus-Christ? Que chacun de vous qui êtes justifié lève
la main. Est-ce vrai? Les Écritures déclarent: «Ceux qu’Il a appelés,
Il les a justifiés; et ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés.»
Amen. Dans la Présence du Dieu Tout-Puissant, votre nom est écrit avec
le Sang de Jésus-Christ de façon indélébile, glorifié dans Sa présence,
placé dans une position ici sur la terre dans un but, pour accomplir la
volonté de Dieu. Vous voyez votre position, chrétiens?
29 Oh! la la! ces gens-là ne pouvaient pas comprendre
cela, mais David avait l’huile d’onction sur lui. Il savait où il se
tenait. Le pauvre Goliath s’est tenu là. Et il a dit: «Eh bien,
regardez, plaidons là-dessus. Eh bien, point n’est besoin que l’armée
de Dieu soit vaincue. Eh bien, regardez cet homme-là, il se vante.» «Eh
bien, nous savons que Dieu l’a fait, mais les jours de miracles sont
passés.» Pas pour David, il était oint. Il connaissait sa position.
30 Vous dites: «Frère Branham, puis-je accepter
Christ comme mon Guérisseur maintenant?» Absolument. «Eh bien, si je ne
suis pas guéri dans cinq minutes, qu’en est-il donc?» Vous êtes guéri
de toute façon. Si vous croyez cela, vous ne me poserez pas cette
question, si vous croyez cela. Il n’y a pas de question dans votre
esprit quand vous le croyez réellement. Vous ne doutez pas de cela,
vous le croyez. D’autres personnes peuvent douter de cela, mais vous,
vous n’en doutez pas.
Si vous me demandiez: «Frère Branham, donnez-moi un
chêne.» Vous venez donc du sud de l’Indiana, là où il y a de grands
chênes blancs et tout le reste. «Donnez-moi un chêne.» Je vous donnerai
un gland de chêne. Eh bien, vous avez potentiellement un chêne. C’est
sous forme d’une semence. Mais c’est un chêne; vous avez cela sous
forme d’un gland. Quand nous recevons la Parole de Dieu, nous La
recevons sous forme d’une semence. Quand nous pouvons accepter la
guérison divine par la Parole de Dieu, cela règle la question. Amen.
Cela grandira.
Prenez ce vieux gland de chêne et enterrez-le, et
tenez-vous loin de cela, observez cela pendant un temps, et voyez ce
qui se passe. Votre chêne va bien pousser à partir de cela. Parce que
la vie se trouve dans la semence, et la Parole de Dieu est une semence,
et Elle est vivante. Si seulement vous pouvez recevoir Cela, prendre
Cela dans la Bible et dire: «Cela me concerne (Amen), alors vous avez
quelque chose. C’est vrai. Tous les démons ne peuvent pas vous en
empêcher. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, vous ne voudriez
pas croire cela parce que vous savez où vous vous tenez.»
31 David a dit: «Vous voulez me dire que vous allez
laisser ce Philistin, cet incirconcis, se tenir là et jeter un défi à
l’armée du Dieu vivant? Eh bien, dit-il, je ne supporterai pas cela.»
Et alors son frère a dit: «Je connais la malice de ton cœur, c’est pour
voir la bataille et tout que tu es venu.»
Il est allé vers Saül. Saül a dit: «Faites venir cet
enfant ici. Voyons à quoi il ressemble.» On l’a amené là, c’était un
tout petit garçon. Il a dit: «Eh bien, tu ne peux pas te battre avec
cet homme-là. Eh bien, il pourra peut-être te ramasser dans une main et
te suspendre là comme ça…»
Il a dit: «Mais, écoutez, Saül, dit-il, je fais
confiance au Seigneur. Et je sais, même le… il y a longtemps j’avais
pris ma fronde et j’ai tué un agneau–un–un lion et j’ai tué un ours. Et
j’avais du coup arraché des choses… l’agneau directement de sa gueule.
Et quand il s’est dressé, eh bien, je l’ai tué avec… je l’ai tué.» Et
il a dit: «Et combien plus Il livrera entre mes mains ce Philistin, cet
incirconcis?»
32 Alléluia! Voilà. Il savait où il se tenait.
C’était un homme de foi. Il croyait en Dieu. Dieu était en lui. Il
savait qu’il était oint. Et vous savez la même chose. Si vous avez…
Vous êtes chrétiens. Et si Dieu ne vous avait pas élus pour être
chrétiens, vous ne seriez pas chrétiens. C’est le choix de Dieu, pas le
vôtre. Personne ne cherche Dieu. Nul n’a, à aucun moment, cherché Dieu.
Vous n’avez pas cherché Dieu, mais c’est Dieu qui vous a cherché. Ce
n’était pas vous qui avez cherché Dieu, c’est Dieu qui vous a cherché.
Et alors, quand Dieu vous a appelé, cela a prouvé
qu’il vous avait élu. Vous avez accepté l’appel, c’était la
justification. Puis, vous avez donné votre cœur à Christ et vous avez
été rempli du Saint-Esprit. Maintenant donc, vous êtes placé dans une
position dans le Corps de Christ. Eh bien, si cela vous a amené à
arrêter les mauvaises habitudes et à agir comme un chrétien le devrait,
s’il a pu en être ainsi pour vous, cela guérira votre corps, car c’est
une promesse. Amen. Voilà.
33 Remarquez, David connaissait sa position, il a
dit: «Oui, monsieur.» Il savait que Dieu était avec lui. Aussi a-t-il
dit: «J’irai me battre avec ce Philistin.»
C’est comme tout jeune homme, aussitôt qu’il reçoit
un appel au ministère, on doit tout de suite l’envoyer au séminaire.
Voyez? On l’a donc amené auprès de Saül, et il a dit: «Attends donc, tu
dois te battre comme nous voulons que ça se fasse ici. Eh bien, la
première chose que tu dois faire, tu dois revêtir le casque.»
«Je peux me représenter la petite tête de David dans
ce gros casque, qui glissait sur sa tête, probablement qu’il devait
tenir sa tête redressée comme ceci pour voir. Ses yeux couvrant ses
oreilles. Et ensuite, son grand chapeau ne lui convenait pas.» Et
alors, Saül a dit: «Revêts mon armure.» Et représentez-vous un homme de
sept pieds et quelques [environ 2,30 m–N.D.T.], avec un petit homme de
probablement cinq pieds et demi [1,67 m], portant son armure qui
pendait jusqu’ici, et on dirait qu’il portait une jupe. Pouvez-vous
vous représenter cela? Et puis, avec son grand bouclier et une épée
pendant à son côté…
34 David s’est habillé comme cela, toute cette
expérience de séminaire, il a dit: «Dites donc, je ne sais rien au
sujet de cette histoire. Je ne sais comment prêcher la théologie et
toutes ces autres choses dont vous parlez, et toutes ces belles prières
avec le chapelet.» Il a dit: «Laissez-moi aller avec la même confiance,
le même Dieu qui avait livré le lion entre mes mains.» C’est ce dont
nous avons besoin ce soir, frères.
Je n’ai rien contre les séminaires, ni contre les
écoles secondaires, ni contre l’instruction et tout le reste. Mais
voici, quand Dieu vous a appelé, allez-y. Quelqu’un vous parlera de la
formation pour devenir un missionnaire pendant environ quinze ans, puis
on va les envoyer là en Afrique. Ce sont des absurdités. Dieu vous
appelle, allez-y. C’est tout.
Les disciples n’avaient jamais attendu pour avoir
l’instruction, personne parmi ceux qui ont abouti à quelque chose n’a
jamais attendu cela. Dieu vous appelle, Il est prêt pour vous,
mettez-vous en action. La chose suivante, vous savez, vous serez
tellement endoctriné que la petite portion de Dieu qui est en vous sera
ôtée.
35 David ne savait comment combattre avec ce genre
d’habits. C’est comme un homme qui essaie de prêcher, comment peut-il
prêcher alors qu’il a tout un tas d’affaires, il vous faut vous tenir
debout pour lire cela aussi vite que possible, et lever les yeux vers
le microphone, lire cela aussi vite que possible.
Vous ne pouvez pas le faire. Moi non plus. La
meilleure chose à faire, c’est d’aller là et dire: «Seigneur, me voici.
Ce que Tu veux que je dise, dis-le-moi. Je le leur dirai.» Amen.
N’attendez pas en disant: «Maintenant, attendez jusqu’à ce que les
Durand Dupond s’éloignent de moi, et alors je croirai cela, mais je
dirai «amen» sur-le-champ. Dites «amen», de toute façon, si c’est Dieu
qui l’a dit, faites-le. C’est exact.»
«Eh bien, je sais que madame Susie est assise là,
habite à côté de moi.» Vivez correctement. Vivez correctement. Vous
n’avez pas honte de votre vie, n’est-ce pas? Si vous en avez honte,
alors vous avez besoin d’une conversion. C’est exact. Madame Susie
s’attend à ce que vous disiez «amen», elle s’attend à ce que vous
croyiez en Dieu, elle s’attend à ce que vous manifestiez ce dont vous
parlez. Ouf. Cela vous écorche, n’est-ce pas? Mais ça vous fait du
bien. C’est exact.
36 David connaissait sa position. Il a dit: «Oui
monsieur, Dieu livrera ce Philistin, cet incirconcis entre mes mains.»
Il a donc dit: «Débarrassez-moi de ça.» Et Saül a trouvé que sa veste
ecclésiastique ne convenait pas à un homme de Dieu. C’est exact.
David a dit: «J’ai confiance dans cette petite
fronde, je vais donc bien la garder.» Je vous assure, c’était le
Saint-Esprit qui m’avait sauvé, peu m’importe ce qui peut arriver. J’ai
connu un homme qui avait reçu le Saint-Esprit, qui était allé dans le
champ missionnaire juste pour devenir populaire et il a renié Cela. Je
connais des femmes et des hommes qui ont reçu le Saint-Esprit à
l’ancienne mode, et qui sont allés dans le champ missionnaire et juste
à cause d’une petite popularité, et ils ont tout renié à ce sujet.
Ô Dieu, ait pitié! C’est le baptême du Saint-Esprit
qui m’a amené jusqu’à ce niveau-ci, c’est le baptême du Saint-Esprit
qui continuera à me faire progresser. C’est tout. Oui, monsieur. Si
cela a été bon pour moi dans le passé, cela est bon pour moi maintenant
même et cela sera bon à l’heure de ma mort, exactement de la même
façon. Si ça a été bon pour vous dans le passé, cela est bon pour vous
maintenant, et ce sera bon pour vous à l’heure de votre mort. Amen.
Pensez-y.
37 Nous y sommes. David a dit: «Assurément, je sais
faire confiance à cette fronde.» Alors il est allé là et il a pris
son–il s’est préparé pour la bataille. Eh bien, je me représente Saül
disant: «Maintenant, si ce gars a refusé mes instructions et mes
stratégies d’attaque, et ma formation–ma capacité de former les hommes,
et le genre d’armure qu’ils doivent avoir, avant de devenir
missionnaires ou quoi que ce soit…» Il a dit: «Je me demande ce que ce
gamin va bien pouvoir faire?»
Je vois donc David là en tain de regarder ici et là,
ramassant quelques cailloux. Pouvez-vous vous imaginer juste un garçon
de campagne, ramassant des cailloux, il a fait sortir sa petite fronde,
il l’a dépliée comme ça. Il a dit «Eh bien, je me demande ce qu’il va
en faire?» Il a ramassé cinq petits cailloux, cinq petits cailloux. Et
il les a placés dans une petite sacoche ici à son côté. C’est un petit…
euh–euh. À vrai dire, ce que cela était, les Écritures déclarent que
c’était une gibecière. Savez-vous ce qu’on y mettait? Comme je l’ai
souvent dit, généralement, les bergers portaient du miel dans la
gibecière. Et quand l’une de leurs brebis tombait malade, ils prenaient
un peu de ce miel poussaient… plaçaient sur un rocher.
On faisait simplement fondre cela et on le déversait
sur le rocher, comme cela. Et la brebis s’en approchait, elle aimait
cette chose sucrée, et se mettait à lécher le calcaire sur le rocher;
et après avoir léché tout le miel, elle se mettait à lécher le calcaire
et cela guérissait la brebis malade.
Ainsi donc, j’ai toute une gibecière pleine de miel
ici, et je vais placer cela sur le Rocher, Jésus-Christ; et vous les
brebis malades, mettez-vous à lécher très vite, et vous verrez que la
guérison se produira. C’est exact. Et nous ne placerons pas cela sur
une quelconque église, une quelconque dénomination; nous placerons cela
à l’endroit qui convient, sur Jésus-Christ, le Rocher, là où il y a
toute guérison, sur le Rocher, Jésus-Christ.
38 Et ainsi donc, il avait une petite gibecière. Et
pas seulement cela, mais la gibecière, en réalité, contenait de
l’argent dans une poche. Et le mot «script» signifie argent. [La
traduction anglaise du mot «gibecière» est «scrip bag»,
c’est-à-dire «une trousse porte-monnaie »–N.D.T.] Il avait donc de
l’argent là-dedans. Qu’est-ce? L’argent, c’est le pouvoir d’achat.
Voici la gibecière de Dieu. Chaque voyageur, ou
berger là a une gibecière. Ainsi donc, si vous voulez quelque chose là,
le pouvoir d’achat, si vous êtes malade, étendez la main ici et voyons
ce que j’ai dans la gibecière: «Je suis l’Éternel qui te guérit.» Très
bien, faites sortir cela. C’est le pouvoir d’achat. «Tout ce que vous
croyez, quand vous priez, croyez que vous recevez ce que vous
demandez.» «Si vous désirez cela, priez et croyez que vous le recevez;
et vous recevrez cela.» Cela se trouve dans la gibecière. Il n’est pas
étonnant qu’il ait placé des cailloux là-dedans, c’est un bon endroit
pour les cailloux, n’est-ce pas?
Ces cailloux, de petits cailloux… Nous sommes des
pierres qui sont dans cette gibecière, enroulées dans le miel,
enroulées dans l’argent. Oh! la la! Oh! la la! Et le Berger,
Jésus-Christ, qui n’a jamais perdu une bataille, le Berger des brebis
garde l’Église ce soir sous Sa propre glorieuse protection. Amen.
39 Il a pris cinq pierres… Que–que représente cinq?
Cinq pierres, l’une d’elles, c’était un J, l’autre c’était un E, et
S-U-S, Jésus, cinq pierres… Et vous êtes des pierres dans cette Pierre,
Jésus-Christ.
Et il a placé cela dans sa petite gibecière afin que
cela soit totalement couvert de miel, et non seulement cela, mais
qu’elles soient aussi revêtues de la puissance d’En haut. Quand Dieu
pourra de nouveau rassembler l’Église dans un seul accord au point de
La revêtir de la puissance d’En haut… La puissance pour quoi? pour
croire Sa Parole, et La manifester. Et il était là avec toutes les
petites boules de miel enroulées donc dans cette gibecière. Et voici
tout ce miel se trouvait là, et tout cet argent était là-dedans. David
a placé des cailloux là-dedans, et il a cherché du regard pour voir là
où Goliath se tenait. Chacun de vous ce soir est un–un David.
40 Et quand David est allé à la rencontre de Goliath,
Goliath l’a regardé et a ri, en disant: «Eh bien, suis-je un chien pour
que tu viennes à ma rencontre comme cela, un pauvre gamin au teint
coloré?» Il–il était blond, petit. Savez-vous comment Saül l’a appelé?
Il a dit: «Qui est ce jeune homme?»
C’est ce que Saül a dit. «Qui est ce jeune
homme-là?» Juste comme un gamin, vous savez, un petit ayant l’air d’une
femmelette, probablement aux épaules affaissées, et le voici venir avec
cette petite fronde, mais il connaissait Dieu; c’est ça l’essentiel.
C’était un croyant. Il était élu. Il était appelé. Il était oint, il
était placé. Alléluia! Peu importe que vous soyez juste…
41 Vous dites, est-ce que cela peut… «Eh bien, Frère
Branham, je n’ai pas été appelé à être un prédicateur.» Il se peut que
vous soyez appelée à être une ménagère, mais vous avez votre position
en Jésus-Christ par le Saint-Esprit. Amen. Vous êtes tout autant David
que les autres l’étaient.
42 La bataille est engagée, les Philistins sont en
rang. Goliath a chargé. Voyez-le descendre. David aussi vient. Il étend
la main et regarde là, et il regarde, il a parcouru Goliath du regard
de haut en bas comme cela. Mais au-delà de Goliath, il a vu la
victoire, car il faisait confiance à Dieu. Il s’est dit: «Combien ce
lion-là était plus dangereux que Goliath. C’est un animal sauvage.
J’avais fait confiance à Dieu pont qu’Il dirige mon coup directement à
la tête de cet animal. Et je peux faire confiance à Dieu pour qu’Il
dirige ce coup-ci. En effet, j’ai tué le lion pour sauver une brebis.
C’est exact. Dieu m’a permis de sauver la brebis, parce que j’avais foi
qu’Il sauverait cette brebis-là.»
Que Dieu nous accorde des David pour le bien des
brebis. Juste. Il a dit: «Si donc il s’est soucié de sa brebis, à
combien plus forte raison Se souciera-t-Il de toute l’armée du Dieu
vivant. Et je ne laisserai pas cet orgueilleux et ce vantard sortir là:
«La guérison divine, c’est du passé. Je vais en débattre avec vous
n’importe où.» Oh! la la! Vous rencontrerez un David l’un de ces jours.
Très bien.
43 Alors il s’est pré–il s’est précipité là, et il
s’est moqué de lui et l’a maudit au nom de ses dieux et a dit: «Je
donnerai ta chair en pâture aux oiseaux et aux animaux de champ
aujourd’hui.»
David a dit: «Tu viens à ma rencontre en tant qu’un
Philistin, au nom d’un Philistin, avec une armure, avec une lance, avec
toute ta psychologie, ta théologie et tout ce que tu as là.» Mais,
a-t-il dit, je viens à ta rencontre avec une seule chose, au Nom de
l’Éternel Dieu d’Israël. Alléluia! Ce n’est pas moi, mais c’est Lui qui
me donnera ta tête aujourd’hui. Amen. Je jetterai ton corps ainsi que
ceux de vous tous les Philistins, dans le champ, en pâture aux animaux
sauvages et aux oiseaux.
44 Il connaissait sa position. Alléluia! Chaque David
qui est assis ici ce soir, tu es dans ta position en Christ. Dieu a
confirmé cela. L’élection, l’appel, l’onction, le placement… Il vous a
élu et vous a appelé. Il vous a élu et Il vous a appelé. Ensuite, Il
vous a oint du Saint-Esprit, et maintenant Il vous a placé dans le
Corps de Christ, chacun de ces David.
Où est Goliath? «Qui est le Goliath, Frère Branham?»
Ce cancer qui vous ronge (C’est exact.), cette tumeur qui pend sur
vous, cette cataracte dans vos yeux, et ce bras estropié. Tout le monde
regarde à cela et dit: «C’est impossible.» Le diable dit: «Vous ferez
tout aussi mieux d’arrêter de croire. Vous ferez tout aussi mieux de
vous asseoir, parce que vous n’allez jamais guérir. Votre médecin l’a
dit; tous les autres l’ont dit. Vous ne pouvez pas être guéri.»
Mais Christ qui vous a amené à cesser de boire,
fumer, mentir, voler, qui vous a sauvé d’une vie d’ivrognerie, de
dispute, du péché et de la tombe du diable… si Dieu est capable de
faire cela pour vous, Il peut vous sauver de la tuberculose et du
cancer que vous avez. C’est un Goliath, ne considérez pas sa
vantardise. Prenez position au Nom du Seigneur Jésus, et relevez le
défi lors de la confrontation. Amen. Alléluia! Je me sens religieux.
Positionné en Christ. Si le croyant connaissait sa
position, il y arriverait. Le Glorieux Esprit de Dieu est ici, et Son
Saint-Esprit est prêt à descendre sur quiconque croira cela.
Croyez-vous cela? Amen. Dieu l’a promis. Dieu le fera vous êtes en
Christ.
45 Goliath se vante. Goliath dit: «Voyez, vous étiez
ici hier soir et vous n’avez pas été guéri. Vous étiez à d’autres
réunions, vous n’étiez pas guéri.» Qui est cet incirconcis, ce démon?
Qui est ce démon qui n’a aucune relation avec Dieu? Qui est ce démon
qui prend position juste avec une chose vaincue derrière lui? Son
maître a été vaincu au Calvaire par notre Seigneur et notre Conquérant.
Alléluia! C’est un bluffeur. C’est tout. Nous ne croirons plus du tout
en lui. Qu’il s’en aille.
Jésus-Christ a dépouillé Satan de tout ce qu’il
avait. Il a dépouillé les principautés et les puissances et les
dominations. Son Royaume s’étend au ciel et sur la terre. Et nous
sommes les sujets de Son Royaume. Alléluia! Oh! la la! Cela le met à sa
place. Le diable, par terre, et Christ le Vainqueur. Vous êtes des
David. Vous êtes appelé, élu, oint, placé dans une position dans le
Corps de Jésus-Christ par le baptême du Saint-Esprit. Goliath, tu es
vaincu. Amen. Il est vaincu ce soir. Alléluia! Prions.
46 Père céleste, je sens l’Esprit se mouvoir, ô
Seigneur, c’est comme si on pouvait marcher en plein ciel pour sentir
Ton Esprit oindre cet auditoire. Combien nous T’aimons, combien nous Te
louons! Gloire à Ton Nom!
Je Te prie, ô Dieu du ciel, ce soir, d’oindre cet
auditoire d’une puissance qu’ils n’avaient jamais sentie dans ce
bâtiment auparavant ou à n’importe quel moment de leur vie. Et puisse
chacun de ces enfants, comme David, être appelé. Père, ils doivent être
appelés. Ton bien-aimé Fils, le Seigneur Jésus a dit: «Nul ne peut
venir à Moi à moins que mon Père l’appelle.» Et Dieu a dit qu’Il les a
appelés parce qu’Il les avait aussi élus. Nous sommes donc élus.
Ensuite ils ont été appelés. Ils ont donc répondu à l’appel. Et Tu as
déversé l’onction du Saint-Esprit eux et Tu les a baptisés dans le
Corps de Christ. Ils sont, côté position, de petites pierres dans la
grande Pierre. Alléluia!
47 Alors le diable se tient là, essayant de les
bluffer. Alors, Seigneur Dieu, occupe-Toi de leur esprit ce soir,
puissions-nous tailler en pièces chaque Philistin jusqu’au mur.
Alléluia! Puisse Jésus-Christ, le glorieux Fils de Dieu immaculé, le
Grand Chef David, venir maintenant dans Sa puissance ôter toute
incrédulité et ôter les chaînes et l’obscurité de dessus les gens.
Puisse cette glorieuse Lumière du Saint-Esprit inonder ce bâtiment de
Sa Présence. Puisse ceci être une soirée comme nous n’en avons jamais
eu auparavant. Accorde-le, Dieu Tout-Puissant, pour Ta gloire. Au Nom
de Ton Fils, pour Sa gloire, et Ta gloire, la gloire du ciel et de tous
les saints Anges. Et puis, Père, puissent-ils être guéris à cause de
Jésus. Amen.
48 Oh! la la! David, après qu’il eut coupé la tête de
Goliath, savez-vous ce qu’il a fait? Il a soulevé cette tête, il a mis
son pied sur le cadavre, et il a soulevé cela en guise de témoignage à
l’intention des autres. «Voyez ce que vous pouvez faire, a-t-il dit.»
C’est exact. Ayez foi en Dieu. Et ici, l’autre soir, quand cette pauvre
petite femme qui était venue de chez les Frères Mayo, probablement
qu’elle est assise ici ce soir… Ils avaient fait tout ce qu’ils
pouvaient faire, ils n’ont même pas pu trouver ce qui n’allait pas en
elle. Ils sont venus ici. Le diable a dit: «Je t’ai eue.»
Mais la foi vient de ce que l’on entend, ce que l’on
entend de la Parole. Elle a cru en Dieu. Elle a coupé la tête à ce
démon, elle l’a tenue suspendue devant vous, et elle a dit: «Voyez,
j’étais liée dans cette civière, et me voici maintenant, si heureuse
que je ne peux même pas dormir.» C’est exact.
49 Qu’en est-il des milliers dans le pays
aujourd’hui? Certains d’entre vous qui êtes assis ici, je reçois vos
lettres, que vous étiez aveugles, vous étiez cloués au lit. Quand
j’étais ici la fois dernière, vous vous êtes avancés avec l’épée de la
foi et vous avez coupé la tête à ce Goliath, vous la soulevez ce soir
en guise de témoignage.
Qu’est ce que le reste de l’armée a vu? Quand ils
ont vu que c’était faisable, ils ont dit: «Nous pouvons aussi le faire,
car nous sommes aussi israélite.» Et vous tous les enfants de Dieu,
vous avez droit à la bénédiction. «Tirez l’épée maintenant, avançons et
tuons ces Goliath-ci.» Ils ont jeté leurs cadavres dans les vallées,
sur les flancs des collines, aux portails. Assurément. Vous pouvez
aussi le faire. Cela vous appartient. C’est pour vous. C’est tout;
c’est pour chaque croyant.
50 Ne quittez pas ce bâtiment ce soir sans avoir
laissé le Saint-Esprit couper cette vieille chaîne de cécité qui se
tient là. Rejetez la chose. Dites: «Je crois en Dieu», et partez d’ici
comme un homme ou une femme, un enfant de Dieu avec la victoire et
l’Étoile du Matin en train de vous conduire, marchant comme vers la
Gloire. Assurément.
Le diable s’est levé et a dit: «Eh bien, je pensais
t’avoir eu.»
Dites: «Je t’avais dit que tu ne m’avais pas eu.»
Avancez tout simplement. C’est ça. Revenez à la réunion suivante,
agitez cette vieille tête de ce vieux démon qui vous avait lié, dites:
«Voici. Vous souvenez-vous de moi? C’est moi cette personne qui était
là. C’est moi la personne qui était assise ici et le médecin avait dit
que je ne pouvais vivre que quelques jours. Me voici encore ce soir.»
Alléluia! Alors quelqu’un d’autre dira: «Vous savez, si elle peut faire
cela, moi aussi je le peux; je vais donc Lui faire confiance.» Amen.
Vous ne savez pas ce qui se passe ce soir. Oh!
comment le Saint-Esprit aime entrer dans un groupe de gens comme
celui-ci maintenant. Si seulement vous pouvez être conscients de votre
position. Être seulement conscients… Ne dites pas qu’en étant dans ce
bâtiment, vous êtes en Christ. D’après votre position, tout vous
appartient, tout est pour vous, cela vous appartient. Croyez-vous
maintenant?
Levons les mains alors que nous chantons un chœur
comme le frère nous donne la note sur l’orgue. Pas: «Seigneur, je
crois», mais: «Maintenant même je crois.» Tout le monde avec les mains
levées. Donnez-nous un… Tout le monde donc. Très bien.
Maintenant je crois, maintenant je crois,
Tout est possible, maintenant je crois;
Maintenant, je crois, maintenant je crois,
Tout est possible, maintenant je crois.
51 Oh! comme c’est merveilleux! Si nous disions:
«Congédiez l’auditoire, et serrez-vous la main l’un à l’autre et
rentrez à la maison», je crois qu’il y aurait beaucoup, beaucoup de
guérisons ici ce soir. Certainement, je le crois de tout mon cœur.
Maintenant, si quelqu’un est ici pour la première
fois, peut-être quelqu’un qui est faible dans la foi, qui ne comprend
pas, nous allons former une ligne de prière, prier pour certaines
personnes afin que vous puissiez voir. Qu’est-ce que Jésus a dit là
dans le passé? Quelle était la promesse a-t-Il faite? Juste comme celle
qu’Il avait donnée à David. Il a dit: «Ces oeuvres que Je fais, vous
les ferez aussi.» Il a dit: «Je ne fais rien avant que le Père le
fasse. Tout ce que le Père Me montre, Je le fais.»
52 Cette femme s’était approchée de Lui, Il s’est mis
à lui parler, Il a dit… Après qu’Il lui eut parlé un peu, Il a dit… Il
a discerné son problème, Il a dit: « Va chercher ton mari.»
Elle a dit: «Je n’en ai pas.»
Il a dit: «C’est exact, tu en as eu cinq.»
Elle a dit: «Tu es un prophète.» Elle a dit: «Je
sais que quand le Messie viendra, Il fera cela. C’est le signe du
Messie.»
Il a dit: «Je le suis, Moi qui te parle …?…»
53 Le pauvre petit Philippe est allé là et il–il
venait d’être sauvé, et il passait un moment béni: le Royaume de Dieu
était dans son cœur, il se réjouissait. Il est allé chercher son
copain. Il a cherché partout, il est allé dans la contrée d’où il
venait. Il a dit: «Dites donc…» Il a trouvé Nathanaël sous la prière,
sous l’arbre, en train de prier, sous le figuier en train de prier, là
derrière sa maison, peut-être, quelque part. Peut-être que madame
Nathanaël a dit: «Quand l’autre s’est approché, il a dit… Philippe a
dit… Où est Nathanaël?»
Elle a répondu: «Il est allé là dans la figuerie il
y a quelque temps.» Le voilà donc partir à sa recherche, Philippe
cherchant Nathanaël. Et Nathanaël était là sous l’arbre en train de
prier. Il l’a entendu venir, il s’est relevé et a dit: «Eh bien, salut
Philippe, où étais-tu?»
Il a dit: «Oh! viens par ici; je veux te dire
quelque chose.» Il a dit: «J’ai trouvé Quelqu’un.» Il a dit: «Tu sais
ce que les Écritures avaient annoncé pour–pour ce jour-ci, ce qui
devait arriver? Jésus de Nazareth, a-t-il dit, le Fils de Joseph est
ici, les signes et les prodiges L’accompagnent, et nous savons qu’il
vient de Dieu.»
Il a dit: «Tu dis qu’Il vient d’où?»
Il a dit: «De Nazareth.»
Il a dit: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth
quelque chose de bon?»
Il a dit: «Viens, allons. Ne pose pas davantage de
questions. Viens, découvre.» Voir, c’est croire, Tu penses.
54 Il s’est donc approché, et il est allé en
compagnie de… voici Philippe et Nathanaël faisant route ensemble, Jésus
se tenait comme ceci, quand ils ont rejoint l’auditoire. Après quelque
temps, Jésus a parcouru l’auditoire du regard, Il a vu Philippe se
tenir là et Il a vu Nathanaël se tenir là très curieux, vous savez, et
Il s’est dit… Vous savez, peut-être L’ont-ils vu guérir quelqu’un ou
quelque chose comme cela, il a dit: «Vous savez, je crois un peu cela.»
Peut-être qu’une femme s’est approchée et Il a dit:
«Eh bien, madame, tu es possédée d’une certaine–de certaines maladies,
et si tu peux croire.» Très bien, elle a accepté cela. Eh bien,
j’entends Nathanaël dire: «Eh bien, c’est quoi ça? Eh bien, attendez
une minute. Je parie qu’Il ne pourrait pas savoir quelque chose à mon
sujet.» Et Il a jeté le regard partout et a dit: «Voici, un Israélite
dans lequel il n’y a point de fraude.»
Il a demandé: «Comment m’as-Tu connu, Rabbi?»
«Oh! a-t-Il dit, avant que Philippe t’appelât, quand
tu étais sous l’arbre…»
Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi
d’Israël.»
55 Voici venir Simon, vous savez, comme cela; Il a
dit: «Eh bien, tu es Simon, le fils de Bar Jonas, ou plutôt de Jonas.»
Il a dit: «Mais désormais ton nom sera Céphas, ou plutôt Pierre je
voulais dire.» Il a dit: «Tu es Céphas, ce qui…» Il a dit: «Mais Tu
seras désormais appelé Pierre, ce qui signifie une petite pierre»,
voyez?
Comment l’a-t-Il connu? Qu’est-ce qu’Il a su au
sujet de son nom? Eh bien, Il avait su son nom; Il avait su d’où il
venait. Puis Il a dépassé beaucoup d’estropiés. Il est allé auprès d’un
homme et Il l’a guéri, là dans Jean, un homme qui était couché sur un
grabat, et Il a laissé tous les autres estropiés là-bas.
Eh bien, on a posé des questions là-dessus. Ces
Juifs ont trouvé cet homme portant son lit le jour de sabbat, ils ont
donc interrogé Jésus, eh bien, Il a dit: «En vérité, en vérité je vous
le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il
voit faire au Père, tout ce que le Père montre à Son Fils, le Fils le
fait pareillement. Le Père agit et le Fils agit jusqu’à présent.»
Voyez? Il a dit: «Je ne fais rien de moi-même. Je ne peux rien faire,
sinon ce que Je vois faire au Père, Je le fais aussi.»
56 Maintenant, c’est Jésus hier. C’est Jésus
aujourd’hui. C’est le Dieu même de David, car Il était la Racine et le
Rejeton de David. Est-ce vrai? Il est l’Étoile du Matin. Est-ce vrai?
Il était de A à Z, c’est-à-dire l’Alpha et l’Oméga de l’alphabet grec,
A à Z, Alpha, Oméga, le Commencement et la Fin, Celui qui était, qui
est maintenant, et Celui qui viendra, la Racine et le Rejeton de David.
Oh! la la! le Merveilleux, le Conseiller, le Dieu
puissant, le Prince de la paix, le Père éternel, tout demeure en Lui.
Comme Frère Ekberg le dit: «Toute la plénitude de Dieu habite en Lui»,
c’est exact, dans sa chanson «Descendu de Sa gloire.» Frère Ekberg va
nous manquer. Que Dieu bénisse son cœur. Je l’aime. Ses chansons font
quelque chose à la réunion. Je sais que c’est un homme sincère. Que
Dieu soit avec lui, c’est ma prière, jusqu’à ce que nous nous
rencontrions.
57 Maintenant, je ne sais pas si Billy a distribué…
Avez-vous distribué les cartes de prière? Quelle était… a série B. Très
bien. Combien… Qu’avez-vous… 1 jusqu’à 100? Eh bien, prenons le
premier… commençons par 1 donc. B numéro 1. Qui a… Maintenant, hier
soir nous avions une ligne de prière dans l’auditoire sans que
quelqu’un vienne à l’estrade. Et ce soir nous allons essayer de faire
venir quelques-uns ici, ce ne sera pas juste… Qui a B n°1? Levez la
main. La carte de prière B n°1? [Espace vide sur la bande–N.D.É.]
58 …vous vous rappelez, à partir des témoignages? L’un d’eux consistait
à placer–placer la main sur les gens. Je ne ressens pas la Présence,
mais peut-être que je peux découvrir ceci autrement, alors je peux
parler à la dame un peu plus tard sur peut-être, sur quelque chose.
S’il y a… S’il y a une maladie, eh bien, je pourrai le savoir, sinon,
je ne le saurai pas. Voudriez-vous être en prière? Bonsoir madame. Je
suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Je–je ne vous
connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Est-ce vrai? Nous
sommes parfaitement des inconnus. Je voudrais simplement tenir votre
main, juste un instant, juste placer… Oui, madame, vous di… Ce n’est
pas une maladie spirituelle. C’est une maladie physique. Et ce qu’il en
est, c’est une tumeur. Il y a une grosseur.
Maintenant, voyez, je peux détecter cela…
Laissez-moi vous montrer quelque chose. Regardez ma main. Elle est
comme la main de n’importe qui, n’est-ce pas? Maintenant, je vais
placer ma main sur cette main-là. Il n’y a pas de différence, n’est-ce
pas? Maintenant, laissez-moi… Mettez juste votre porte-monnaie de ce
côté-ci. Laissez-moi avoir cette main-ci ici, mettez cette main sur ma
main. Pas de changement, n’est-ce pas? Très bien, maintenant changez de
nouveau, remettez comme ceci, pour vous montrer ce que le Saint-Esprit…
Maintenant, placez votre main sur la mienne là. Maintenant, regardez
cela. Regardez ma main ici. Ça gonfle, les boursouflures la parcourent.
Est-ce vrai? Maintenant, enlevez votre main, enlevez votre main. Je
vais placer ma main là-dessus. Maintenant, il n’y a plus rien, n’est-ce
pas? Voyez, regardez ceci ici. Voyez? Il n’y en a plus.
Maintenant, plaçons cette main ici, votre main
droite sur ma main gauche, et observez ce qui se passe maintenant.
Maintenant, regardez ma main. Voyez-vous là? Voyez-vous comme ça
gonfle. Voyez-vous ces petites choses blanches qui la parcourent? Cela
montre que vous avez une maladie. C’est un germe, un… C’est une autre
vie en vous qui n’est–qui n’est pas votre vie. Voyez? C’est une autre
vie. Il y a une vie en vous.
59 Maintenant, parlons juste pendant quelques minutes
et voyons si le Saint-Esprit va indiquer par un diagnostic où cela se
trouve, voir s’Il m’en parlera. S’Il ne le fait pas, je sais que c’est
une tumeur. Je sais ce que c’est, et je peux vous dire à partir de la
façon dont cela tire, qu’il s’agit d’une tumeur. Est-ce vrai, jusque
là? Répondez tout simplement. C’est vrai, c’est une tumeur. Très bien.
Maintenant, peut-être, maintenant ça c’est le travail d’un seul don.
Voyez-vous?
Maintenant, si le Saint-Esprit me l’accorde, chose
que je ne peux pas affirmer. Mais s’Il le fait, s’Il me dit où cela se
trouve, où cette tumeur se trouve… Oui, monsieur. La tumeur se trouve à
la poitrine. N’est-ce pas? Maintenant, Il est ici. Voyez? C’est exact.
Vous habitez ici à Chicago. Et votre nom, c’est madame A. Erickson. Et
vous habitez à une adresse, je vous vois aller dans… On appelle ça…
C’est au 1653 Mead Street, n’est-ce pas vrai? Maintenant, rentrez à la
maison et soyez bien portante …?… Ayez foi. Ne doutez pas. Ayez foi en
Dieu.
60 Très bien, venez ici. Bonsoir. Sommes-nous des
inconnus, monsieur? Croyez-vous là, mon frère? Ayez foi. Laissez-moi
prendre votre main une minute, monsieur. Entre vous et moi se tient une
Lumière. Vous éprouvez de la faiblesse, c’est exact, vous êtes ici pour
autre chose, quelque chose de beaucoup plus important que ce que vous
avez. En fait, un homme de votre âge peut avoir des petits problèmes
avec les reins et les prostates, cela vous rend nerveux la nuit, et
vous vous levez et tout. Vous avez cela. Mais il y a autre chose, parce
que cela continue à bouger, et à tirer vers moi. N’est-ce pas vrai?
Vous voudriez… Vous croyez que Dieu peut me révéler vos maladies? Vous
croyez cela de tout votre cœur? S’Il le fait, allez-vous accepter cela
quoi que ce soit, peu importe que ce soit le déménagement, s’il s’agit
de trouver une nouvelle maison, ou quoi que ce soit. Croyez-vous que si
votre désir est assez grand et que comme nous nous tenons dans Sa
présence, s’Il me révèle ce pour quoi vous êtes… Je ne peux pas vous
guérir; je ne peux pas vous donner ce que vous cherchez, mais Dieu le
peut. Croyez-vous cela? Maintenant, je ne peux agir que comme Son
serviteur. Est-ce vrai?
Vous êtes ici pour quelqu’un qui vous est très
proche. C’est un–c’est un fils. C’est votre jeune garçon. Et ce jeune
garçon a un problème des yeux. C’est l’astigmatisme, d’après le
médecin. Le jeune garçon n’est pas avec vous, il est à la maison. Le
jeune garçon a quelque chose comme des crises, il… C’est l’épilepsie.
Il va… Et il est quelque peu un retardé mental. Est-ce… n’est-ce pas
vrai? Vous croyez que vous allez recevoir ce que vous demandez? Très
bien, rentrez donc chez vous, imposez les mains à cet enfant et recevez
cela au Nom du Seigneur Jésus.
61 Croyez Dieu. [Espace vide sur la bande–N.D.É.]
Inclinez la tête juste une minute. Cette femme a un esprit de surdité
sur elle. Certainement. Inclinez la tête juste une minute. Grand Dieu
Jéhovah, qui a créé les cieux et la terre, ainsi que tout ce qui s’y
trouve, je ne sais pas combien critique est la condition de cette
femme, de ses oreilles, mais Toi Tu es ici et Tu peux la guérir. Je Te
prie d’accorder cela. Et fais descendre Ton Esprit sur elle maintenant
et guéris-la. Et je demande maintenant que ce démon qui la lie sous
forme de–de surdité… Sors de la femme. Je t’adjure par le Seigneur
Jésus-Christ de la quitter.
Vous m’entendez maintenant, n’est-ce pas?
M’entendez-vous? Et pas seulement cela, afin que vous puissiez savoir
maintenant que votre ouïe vous a été restituée.
Vous aviez aussi des problèmes gynécologiques,
n’est-ce pas? Cela vous a quittée. Vous acceptez cela, n’est-ce pas? Il
semble y avoir quelque chose d’étrange à votre sujet. Vous êtes… Entre
vous et moi coulent des eaux vertes. Vous venez de quelque–vous êtes
venue… Vous êtes–vous êtes missionnaire. Et vous êtes ici venant de…
vous venez de la Chine. Et vous exercez votre ministère auprès des
jaunes, les Chinois. Et vous voulez me poser une question. Et vous
vouliez me demander si vous devez y retourner ou pas. C’est exact.
Maintenant, croyez-vous que vous allez retourner étant normale et bien
portante. Allez votre chemin en vous réjouissant. Que Dieu soit avec
vous. Ayez foi.
62 Oui monsieur. La gastrite, c’est grave, c’est
sérieux. Laissez-moi prendre de nouveau votre main; oh! oui, c’est une
gastrite très aiguë. Dieu seul peut vous sauver maintenant. Le
croyez-vous? Comment ai-je su que vous avez la gastrite en plaçant ma
main sur la vôtre? C’est absolument vrai, mon frère. Vous croyez que
vous allez guérir? Votre prénom, c’est Allen, est-ce vrai? Et votre nom
de famille c’est Grubbs. N’est-ce pas vrai? Que Dieu vous bénisse. Vous
venez de Waukegan, dans l’Illinois. Rentrez et prenez votre souper.
La maladie de femme. Croyez-vous que vous allez
guérir? J’aimerais vous poser une question. Quand vous avez quitté
votre siège là derrière il y a quelques minutes, quelque chose vous est
arrivé, n’est-ce pas? Maintenant, allez à la maison vous réjouissant,
allez en remerciant Dieu, et soyez heureuse.
63 Des problèmes gynécologiques, l’arthrite, beaucoup
de choses qui ne vont pas. Vous croyez que Jésus-Christ va vous guérir?
Je le crois aussi, ma sœur.
Père céleste, je bénis cette femme au Nom du
Seigneur Jésus. Et maintenant, puisse le Saint-Esprit aller auprès
d’elle, et puisse la bénédiction qu’elle a demandée lui être accordée
au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Allez votre chemin
en vous réjouissant.
64 Croyez-vous? Entre vous et moi coule un flot de
sang qui devient blanc. Eh bien, la cause, c’est que vous avez le
diabète. Et le diabète vous rend aveugle. Croyez-vous que vous allez
retourner chez vous et que vous serez guéri du diabète et que vous
allez recouvrer la vue? Croyez-vous que vous vous tenez, non pas dans
la présence de votre frère, mais dans Sa Présence? Je vous bénis, mon
frère, et je chasse cette chose de vous au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Retournez heureux, vous réjouissant, croyant de tout votre cœur. Et si
je vous disais que vous avez été guéri quand vous étiez assis là même
dans ce siège, croiriez-vous cela de tout votre cœur? Que Dieu vous
bénisse …?…
65 Bonsoir monsieur. Croyez-vous que je suis… Soyez
respectueux, tout le monde; juste un instant. Vous êtes ici pour
quelqu’un. C’est pour votre femme. Il y a quelque chose qui ne va pas
dans son dos. C’est l’affection de dos. Et cette femme a l’arthrite au
dos, elle est assise juste là, juste là derrière en corsage rose. Oui.
Mais elle n’est pas votre femme. Mais vous avez l’arthrite au dos, et
je vous vois vous tenir debout, le visage gonflé, et la dame assise à
côté de vous a aussi l’arthrite. Et la dame juste derrière vous a
l’arthrite, la dame en blanc. Est-ce vrai, madame? Levez-vous, toutes
les trois. Allez… Que Dieu vous bénisse. C’est pour cela que ce démon
tirait vers vous. Voyez? Vous allez trouver votre femme dans un autre
état. Ne vous en faites. Et vous aviez l’affection de rectum, n’est-ce
pas? Allez en croyant en Dieu maintenant et soyez bien portant, mon
frère. Je vous bénis au Nom du Seigneur Jésus. Amen. Que Dieu vous
bénisse.
66 Le diabète, c’est une mauvaise chose. Mais
Jésus-Christ est le guérisseur. Croyez-vous cela? Acceptez-vous cela?
Alors au Nom de Jésus-Christ, allez et soyez bien portant. Ayez foi. La
dame de couleur assise juste là derrière, là en petite robe rouge, on
dirait que Ça se tient au-dessus d’elle. Vous avez une carte de prière,
madame? Vous n’en avez pas, en avez-vous plutôt? Vous n’avez pas une
carte de prière. La dame juste là derrière, en lunettes, vous n’avez
pas une carte de prière. Levez-vous juste une minute si vous n’en avez
pas. Croyez-vous de tout votre cœur? Vous croyez de tout votre cœur?
Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira? Vous êtes sur le point de
subir une opération. Vous saviez cela, n’est-ce pas? vous avez un–un
appendice éclaté, n’est-ce pas vrai? Mais Jésus-Christ vous rétablira
si vous croyez cela.
Placez votre main sur ce jeune garçon as… cet–cet
homme assis là devant vous, car il souffre de nerfs, il est assis là.
Par le Seigneur Jésus, je condamne le démon qui est réprimandé. Au Nom
de Jésus-Christ, quitte-le. Amen. Amen.
67 Faites venir la dame. Oh! enfants du Dieu vivant,
ne vous rendez-vous pas compte que votre Seigneur Jésus est ici? Pas
votre frère, mais votre Sauveur… Ayez foi. Nous sommes des étrangers,
madame. C’est exact. Inclinez la tête juste un instant.
Seigneur, au Nom de Ton Fils, Jésus, ôte cet esprit
de surdité de cette femme afin qu’elle entende de nouveau bien et
distinctement. Père Tout-Puissant, je réprimande ce démon au Nom de
Jésus-Christ. Amen.
Juste un instant. J’aimerais tout simplement
vérifier votre ouïe. M’entendez-vous très bien maintenant?
M’entendez-vous maintenant? Vous entendez difficilement. Je voudrais
vous poser une question. Croyez-vous à la réunion de ce soir?
Maintenant, je pouvais laisser cette femme partir. Mais quelque chose
continue à m’attirer vers elle. Il y a quelque chose de différent.
Voyons votre main juste une minute. Non!
Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous croyez
que les secrets de tous les cœurs sont dévoilés devant Dieu qui sait
tout à ce sujet? Croyez-vous que si Jésus-Christ se tenait ici, C’est
lui qui m’a donné ce costume que je porte ce soir… Quant à la guérison,
Il vous a déjà guéri. Mais Il veut savoir ce pour quoi… Vous êtes… Ce
quelque chose de profond en vous qui vous amène à avoir le désir. Oui.
Vous aviez quelque chose qui ne va pas à l’estomac. C’était une
grosseur. Est-ce vrai? Cela est mort. Cela vous a quitté. Je continue à
voir un petit garçon qui se tient à côté de vous, quelque chose comme
ça. Oh! c’est un petit garçon. Vous avez un petit garçon avec vous. Et…
mais ce n’est pas votre fils. C’est votre petit neveu. C’est exact. Et
il ne peut pas… Et vous ne pouvez pas l’envoyer à l’école, parce qu’il
a les amygdales en très mauvais état. N’est-ce pas vrai? Allez, placez
ce mouchoir sur lui. Il sera bien portant.
68 Croyez-vous? Recevez le Seigneur Jésus maintenant
même. Où êtes-vous? Élu, appelé, oint, placé en Christ, assis ensemble
dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Croyez-vous maintenant?
Levez-vous donc et recevez votre guérison, chacun de vous.
Ô Dieu du ciel, je réprimande chaque démon au Nom de
Jésus-Christ. Sors d’eux au Nom de Jésus-Christ.