LE BON BERGER DES BREBIS
1. Restons debout juste quelques instants et inclinons la tête pour la prière.
Notre très Bienveillant Père céleste, c’est un privilège pour nous ce soir de venir dans Ta Présence Te rendre grâces pour toute Ta bonté envers nous. Et nous sommes indignes des bénédictions que Tu nous accordes en fait. Mais nous savons que nous avons la promesse que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Oh ! comme nos âmes se reposent sur cette Parole !
Et nous Te prions ce soir de déverser de Tes bénédictions sur nous. Que Ton Saint-Esprit vienne à chaque cœur et nous accorde ce dont nous avons besoin, car nous sommes dans l’attente, avec nos cœurs ouverts, au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2. Demain matin, le Seigneur voulant… Je ne sais pas le devant ni le derrière de ce machin. Que le technicien veuille le relever, autant que possible, parce que je suis enroué. Merci.
[Espace vide sur la bande – N.D.E.]… avoir le petit-déjeuner, un petit-déjeuner des ministres… Et Dieu voulant, j’espère que chaque ministre de Phœnix sera là. J’aimerais leur parler un tout petit peu. Ainsi, arrangez-vous pour être là, mes frères, si c’est possible. Je ne connais pas l’endroit. La cafétéria Miller… Je pense qu’ils ont fait réserver une salle pour le petit-déjeuner. Et ça sera à 9h, est-ce cela, Frère Groomer ? 9h ? 9h.
3. Cet endroit, la chaire, n’est pas un lieu de plaisanteries. Mais j’ai juste un petit quelque chose que je viens d’apprendre il y a quelques instants, lors d’un entretien téléphonique; cela m’a vraiment amusé. J’ai un petit garçon de dix-huit mois, et sa grand-mère s’occupe de lui quand ma femme sort avec moi. La maman était tellement enrouée qu’elle n’arrivait pas à parler, elle voulait savoir ce qui n’allait pas. Le petit Joseph est allé, l’a enfermée hors de la maison et elle ne pouvait pas entrer, elle ne pouvait pas du tout entrer sans clef, et la clef était à l’intérieur ; âgé de dix-huit mois, et finalement, il a dû aller à la porte pour l’ouvrir lui-même et la faire rentrer. Chérie, tient-il cela de toi ? Je payerai pour ça ce soir.
Oh ! il fait si bon être ici. On me dit qu’il y a une grande couche de neige sur le sol chez moi, qu’il fait très froid. Je pense que frère Sothmann (il a appelé l’autre soir), chez lui, ça fait -5°. Donc, vous avez tous de quoi être très reconnaissants pour Phœnix ici, en cette période-ci de l’année.
4. Maintenant, ce soir, nous allons lire, le Seigneur voulant, pour juste un petit sujet, peut-être que le Seigneur nous en accordera le contexte, dans l’Evangile de saint Jean au chapitre 10. J’aimerais lire les versets 7 et 14 de Saint Jean 10.
Jésus leur dit encore :
En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.
Et au verset 14…
Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent.
Maintenant, veuillez bien remarquer comment est écrit le verset 7 :
En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.
Et ici, Il dit qu’Il est le Bon Berger.
5. Je ne pense pas qu’il y ait une chose plus glorieuse dont nous pourrions parler ce soir que du Seigneur Jésus. Il est la Personne la plus glorieuse dont nous pourrons parler. Et j’aime vraiment parler de Lui et Le vanter, car Il est digne de tout ce qu’on pourrait dire. Et je n’ai pas encore trouvé dans ma voix, ou plutôt dans ma pensée un mot qui puisse donc exprimer ma gratitude envers Lui pour tout ce qu’Il a fait pour moi et pour les autres.
Et ce soir, j’aimerais parler de Lui en tant que Le Bon Berger des brebis. Vous savez, nous apprenons beaucoup de choses sur ce petit animal, la brebis. Et je me disais que peut-être, le Seigneur voulant, demain soir, si je ne suis pas obligé de prendre l’avion pour le sud de l’Arizona, demain après le petit-déjeuner, j’aimerais parler sur L’Agneau et la Colombe. Et j’ai pensé, ce soir, parler sur l’agneau, ainsi, je pourrais peut-être écourter le sujet demain soir.
6. La brebis nous apprend beaucoup de choses. Si seulement nous pouvons la regarder et observer son comportement… Et une brebis est un animal de sacrifice. Un petit animal innocent, et une fois perdue, elle est sans secours. Je pense que la raison pour laquelle Jésus nous a identifiés aux brebis, c’est qu’elles sont incapables, semble-t-il, de se débrouiller. Elles doivent dépendre de leur conducteur. Et elles ne peuvent pas se conduire l’une l’autre. Elles ne le feront simplement pas. Et cela me prouve une chose : si on nous identifie aux brebis dans l’héritage de Dieu, alors nous ne pouvons pas nous conduire l’un l’autre. Nous sommes sans secours. Et il nous faut compter sur le Grand Berger des brebis, le Seigneur Jésus.
Et une fois, j’ai remarqué dans un abattoir… Quelqu’un me parlait de l’abattage des brebis. Et quand on veut faire sortir une brebis du corral et faire remettre la passerelle là où elle sera abattue, c’est un bouc qui la conduit là. Elle suivra le bouc. Et ce bouc la conduira jusqu’au lieu d’abattage, puis il traversera d’un bond le bord, laissant la brebis aller tout droit à la mort. C’est exactement ça, la nature du bouc.
7. Et si quelqu’un ne connaît pas très bien sa brebis, il lui sera difficile de distinguer le bêlement de la chèvre et celui de la brebis. Il y a beaucoup de ressemblance. Mais leur nature prouve ce qu’elles sont. Il en est de même pour les chrétiens de nom et les vrais chrétiens. Le bouc représente le monde. Il vous conduira droit sur le mauvais chemin, vers votre séparation éternelle d’avec Dieu. Il vous entraînera dans des difficultés. Si donc nous sommes des brebis, nous ferions mieux de veiller au genre de berger que nous avons.
Les brebis sont de drôles de petites créatures dans un sens. Voici une autre chose que nous pourrions apprendre des brebis ce soir. Quand il fait très chaud, avez-vous déjà observé des brebis ? Elles ne se sépareront pas, l’une étant à un endroit et l’autre à un autre. Mais au moment le plus chaud de la journée, les brebis vont toutes se tenir ensemble. Savez-vous ce qu’elles font ? Elles font en sorte que l’ombre de l’une couvre l’autre. Elles communient.
8. Et ne serait-il pas bon que toutes les brebis de Dieu, pendant qu’il fait chaud, se tiennent ensemble ? Quand les épreuves frappent très durement, qu’il fait chaud et des choses surgissent de tout côté, si toutes les petites brebis de Dieu se tenaient simplement ensemble, nous aurions chacun la fraîcheur produite par l’ombre de l’autre, le réconfort, en nous appuyant les uns contre les autres.
Eh bien, quelqu’un dira : « Est-ce nécessaire, Frère Branham ? » Certainement. Il n’y a rien de comparable au fait d’avoir un très bon ami sur qui compter, auprès de qui, quand les problèmes surgissent, qu’il fait chaud, vous pouvez aller, vous vous asseyez, vous lui expliquez simplement cela, vous en parlez en confidence, et puis vous vous agenouillez et priez ensemble, et vous savez que cette personne est un brave homme ou une brave femme sauvée par Dieu, en qui vous pouvez avoir confiance. Oh ! c’est bon de faire cela. « Venez et plaidons », disent les Ecritures. Ou plutôt : « Venez et mettons-nous ensemble. »
Et j’ai remarqué une autre chose en observant les brebis dans un pays froid. Et quand toutes les brebis… Quand les blizzards soufflent, pour contrecarrer les effets du vent, toutes ces nombreuses brebis quitteront un côté du champ vers l’autre et elles se serreront les unes contre les autres; cela les garde au chaud les unes les autres. La chaleur du corps de l’une aide à réchauffer l’autre.
9. Et je pense que quand l’église devient vraiment froide et indifférente, les brebis de Dieu devraient plutôt se serrer les unes contre les autres et prier les unes pour les autres. Et la chaleur d’une très bonne communion chrétienne, oh! cela représente beaucoup. David en a parlé dans le Psaume 1; il a dit : « Heureux l’homme qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs, qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs, mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Eternel, et qui la médite jour et nuit. Il est comme un arbre planté près d’un courant d’eau, et dont le feuillage ne se flétrit point. Tout ce qu’il fait lui réussit. »
10. Et, vous savez, si vous sortez, surtout dans ma contrée, pour avoir un petit pique-nique, il vous faudra bien avoir un peu d’ombre pour avoir un pique-nique. Eh bien, si un petit arbre planté l’année dernière par quelqu’un a poussé, nous ne pourrions pas être vraiment certains de trouver beaucoup d’ombre là. Mais allez là où se trouve un gros vieux chêne majestueux, que les épreuves, les tentations, les balancements des branches ont secoué au point que ses racines sont profondément enfoncées dans le sol; vous pouvez bien croire qu’il se tient toujours là.
C’est pareil, j’aime aller auprès d’un vieux saint sauvé par Dieu, qui a tenu le coup et dont les racines sont toujours profondément ancrées dans l’amour de Dieu; ça vaut beaucoup d’aller auprès d’une telle personne et avoir un petit moment de communion.
Eh bien, c’était quelque chose d’étrange ; Jésus dit ici, dans Saint Jean 10 : « Je suis la Porte. » Je me suis toujours demandé comment Il pouvait être une Porte alors qu’Il était un Homme. Cela m’a toujours intrigué. Comment pouvait-Il être la Porte et être encore un Homme ?
Quand j’étais là en Orient, j’ai compris ce que cette Ecriture voulait dire. Il dit ici : « Je suis la Porte. Et tous ceux qui étaient venus avant Moi sont des voleurs. » Et alors, je me demandais ce que c’était.
11. Et en Orient, oh ! comme ils prennent soin de leurs brebis, le berger les ramène la nuit, et il les compte toutes pour voir si chacune est entrée. S’il y en a une qui manque, il ne se couchera pas avant d’aller aux déserts, ou partout où il les a gardées toute la journée, et il retrouvera cette brebis, la mettra sur les épaules et la ramènera. Alors, quand elles sont toutes dans la bergerie, alors le berger se couche à la porte. Il est la porte de la bergerie. Il n’y a pas d’autre passage; c’est un corral recouvert d’un toit. Et rien ne peut entrer pour aller auprès de ces brebis sans dépasser le berger.
Et quel soulagement, quelle belle chose de savoir que, quand nous sommes cachés sous Sa protection bénie, Il devient la Porte, et rien ne peut vous arriver. Peu importe ce que c’est, tout cela devra passer par le Berger. Si c’est la maladie, elle est peut-être pour votre correction. Elle peut servir de témoignage contre l’ennemi. Elle peut être pour exalter le Nom de Christ. Mais rien ne peut vous arriver sans qu’Il l’ait permis. Il est la Porte de la bergerie.
12. Il a dit que tous ceux qui viennent sont des voleurs, tous ceux qui s’approchent de Lui, cherchant à vous avoir, cherchant à vous faire sortir de Sa bergerie, sont des voleurs, des mauvais qui cherchent à vous enlever de sa bergerie. Mais ils ne peuvent pas vous avoir. J’aime vraiment le dire d’un ton bêlant. Rien ne peut vous déranger si vous êtes dans la bergerie de Dieu. Car Il est Lui-même la Porte, et il n’y a pas d’autre passage. Tout doit être permis par Lui.
Parfois vous dites : « Pourquoi suis-je tombé malade? » C’est peut-être pour Sa gloire.
Une fois, alors qu’ils dépassaient un aveugle, les disciples ont demandé : « Qui a péché, cet homme ou ses parents? »
Et Jésus a dit : « Dans ce cas-ci, ni lui ni ses parents n’ont péché, mais c’est afin que les œuvres de Dieu puissent être manifestées. »
13. C’est à peine s’il le savait, dans sa jeunesse, alors qu’il était aveugle. Il était né aveugle et, dans sa jeunesse, il lui était peut-être difficile de comprendre cela. Mais peu après, il a découvert que c’était pour rendre témoignage au Seigneur Jésus. Eh bien, Dieu fait des choses comme cela.
Maintenant, une autre chose concernant ces brebis, c’est qu’il leur faut un berger. Et un homme, un propriétaire des brebis, quand il allait chercher un berger, il devait... Il allait chercher jusqu’à ce qu’il trouve le meilleur berger qui puisse être trouvé, parce qu’il aimait ses brebis. Et cet homme doit être spécial, formé sur la façon de prendre soin des brebis. Il doit connaître le genre de nourriture qu’elles mangent.
Vous savez, il y a beaucoup de nourriture de brebis, et il y a plusieurs sortes de nourriture qui, si vous les donnez à vos brebis, les tueraient. Et je suis très content de ce que Dieu s’est assez soucié de Ses brebis pour obtenir le bon genre de Berger, le Seigneur Jésus. Il sait ce qu’est la Nourriture des brebis. Et savez-vous ce qu’est la Nourriture des brebis? C’est la Parole de Dieu. « L’homme ne vivra pas... » Puis-je changer cela juste un peu : « Les brebis ne vivront pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. » Les brebis de Dieu se nourrissent de la Parole de Dieu. Le Saint-Esprit en vous, c’est ce qui fait de vous une brebis, qui vous nourrit solennellement de la Parole. Et Il nourrit seulement avec la Parole. Tout ce que vous jetez dans l’enclos en dehors de la Parole, Il le déracinera pour le jeter d’un côté et le laissera là de côté. C’est assez fort. Je ne sais pas si vous comprenez ce dont je parle ou pas.
14. Mais Il ne prendra que la Nourriture des brebis. Et Dieu a choisi le Grand Berger du troupeau, le Seigneur Jésus, et Lui a donné toute l’autorité. Eh bien, autre chose, avant que le berger ne puisse aller conduire ses brebis, celles-ci doivent connaître la voix du berger. Le berger… Un autre berger pourrait appeler, ces brebis-là ne lui répondront jamais. Elles ne prêteront jamais attention à un berger autre que lui.
Et dans le naturel, si quelque chose arrive au berger et qu’il est renvoyé ou révoqué, oh! quel temps un éleveur des brebis passera dans ces contrées-là pour trouver quelqu’un qui s’occuperait encore de ces brebis! Il doit être gentil. Il doit être aimable. Sa voix doit être d’un certain timbre. Jésus a dit : « Mes brebis entendent Ma voix. » Et, en d’autres termes : « Mes brebis entendent Ma Parole; elles ne suivront pas autre chose en dehors de ça. »
15. Il a dit qu’un véritable berger donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’écoutera pas. Il fuira et laissera les brebis. Mais le véritable berger reste avec les brebis. Et je suis très content qu’Il ait prononcé ces Paroles : « Voici, Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » Tant que Dieu aura une brebis, Dieu a un Berger pour conduire cette brebis. Combien nous devrions être heureux ! Les brebis de Dieu sont conduites par le Berger de Dieu.
Combien de temps cela devra-t-il durer ? « Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, Je vous conduirai, vous nourrirai, vous guiderai, vous garderai jusqu’à la fin du monde. » Le Berger de Dieu, Il n’a pas à enlever l’un et proposer l’autre. En effet, l’homme ne peut pas être le Berger de Dieu, dans ce sens-là. L’un meurt, un autre le remplace. Mais ce seul Berger-ci, le Grand Berger du troupeau, Il donne Sa vie une seule fois, et cela devient immortel. Et Son Esprit, aujourd’hui, ne peut jamais être tué. Et Il est le Conducteur et le Nourrisseur constant et perpétuel du troupeau jusqu’à ce que Son corps de chair vienne de la gloire et qu’Il s’asseye sur le trône de David ; et tous les agneaux seront autour de Lui. Oh ! béni soit le Nom du Seigneur ! J’en suis si content, le Grand Berger du troupeau qui a donné Sa vie pour nous, afin que nous, des brebis indignes…
16. Je pense que vous avez appris l’histoire du berger qui avait une fois brisé la patte de sa brebis. Beaucoup de petites histoires ont été racontées à ce sujet. Et on a demandé à ce berger : « Cette brebis est-elle tombée du haut d’une montagne pour subir ceci? »
Il a répondu : « Non. »
On a demandé : « Que s’est-il passé ? »
Il a répondu : « Je lui ai cassé la patte. »
On a demandé : « Pourquoi la lui avez-vous cassée ? N’êtes-vous pas un berger cruel ? »
Il a répondu : « Non, j’aime cette brebis. Mais cette brebis a commencé à s’éloigner de moi. Et elle continuait à vagabonder seule. Et je connais la nature des brebis. Et je sais que, si elle s’éloigne trop loin, le loup va l’attraper. J’ai donc dû lui casser la patte afin de la garder près de moi, de l’attirer sur mon sein, pour lui donner un peu de nourriture spéciale. Et je serai très gentil envers elle, de sorte qu’une fois sa patte rétablie, elle ne me quittera plus jamais. »
17. Et des fois, Dieu est obligé de nous terrasser avec des maladies, des maladies et des afflictions, afin de pouvoir juste nous dorloter dans Son sein, nous donner une touche spéciale de Sa divine puissance de résurrection pour prouver qu’Il est toujours le Seigneur Jésus. Et un homme qui a déjà été guéri par Dieu sait ce que Dieu est. Il ne voudra pas s’éloigner. Jacques a éclairci cela, il a dit : « La prière de la foi sauvera le malade, et Dieu le relèvera; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné. » Le Berger de Dieu sait comment prendre soin de Ses brebis.
Maman, vous vous êtes parfois posé des questions quand la mort a arraché ce petit enfant de vos bras. On raconte une petite histoire qu’il y avait une brebis, il y avait un – un tableau du Seigneur Jésus peint par un artiste. Je ne connais pas son nom. Mais Il tenait une brebis, un petit agneau, dans Son bras. Et la mère avait levé les yeux, chemin faisant, les yeux fixés sur Lui. Et ce peintre, cet homme, avait vu, à un moment donné, un berger passer par-là. Il avait demandé à ce berger qui transportait un petit agneau : « Pourquoi portez-vous cet agneau? Est-il boiteux ? »
« Non. »
Il a dit : « Qu’est-ce qu’il a, cet agneau ? »
18. Il a dit : « Il n’y a rien qui cloche avec cet agneau ; le problème, c’est la brebis, la mère. » Il a dit : « Elle en est arrivée à ne plus m’écouter. Et elle ne m’écoute plus. J’ai donc dû prendre l’agneau; et maintenant, elle me regarde toute la journée. »
Des fois, Dieu est obligé de faire ça. Ces pauvres petites mères égarées, qui courent aux cocktails, courent partout et qui se mettent à mal élever ce petit enfant, parfois Jésus peut être obligé de prendre cet agneau pour vous amener à lever les yeux. Et alors, si vous n’écoutez pas cela, le loup vous dévorera. C’en est alors fini de vous. Oh ! nous pouvons apprendre beaucoup de choses de la brebis.
Et autre chose sur le berger. Le berger est toujours à la tâche. Savez-vous que le berger des brebis reste avec elles jour et nuit ?
19. Il y a quelque temps là, dans le Colorado où je fais la chasse, j’ai remarqué le… On avait permis à quelques brebis de brouter là, de l’autre côté de l’endroit que nous appelons Sheep Mountain [Montagne pour brebis. – N.D.T.]. Et j’ai observé ces bergers-là, ces pasteurs des brebis, certains des jeunes gens avec une très longue barbe. Ils restent nuit et jour avec ces brebis. Ils sont toujours à la tâche.
Savent-ils que c’étaient les bergers qui veillaient sur leur troupeau la nuit où Jésus était né (un Agneau était né là) et que c’étaient ces bergers qui sont partis Le chercher ? Comprenez-vous ce que je veux dire ? Les bergers cherchaient les agneaux. Et tout… Il se peut qu’il y ait des éleveurs des moutons assis ici. Et vous savez que quand vos–vos brebis mettent bas, c’est plus particulier que jamais. C’est à peine si le berger peut s’éloigner de ses brebis. Il prend son sac de camp et se couche juste là parmi elles quand elles mettent bas, car elles ont besoin d’une attention particulière.
20. Qu’est-ce que cela représente ? Quand nous avons un réveil à l’ancienne mode et que les agneaux naissent à chaque instant, le berger se couche juste au milieu de son troupeau, veillant à ce que ces petits entrent dans le Royaume de la bonne façon. Alléluia ! Je suis si content de ce qu’Il est à la tâche nuit et jour. Il a dit : « Je ne te quitterai point, Je ne t’abandonnerai point. Je serai toujours avec toi, même jusqu’à la fin du monde. »
David a dit dans les Psaumes : « Si je me couche au séjour des morts, Te voilà. »
Oh ! Peu importe où vous êtes… Si l’entrepreneur des pompes funèbres vous enterre à une profondeur de six pieds [1, 95m – N.D.T.], il ne pourra jamais cacher cette brebis aux yeux du Berger. Il connaît l’endroit exact où vous vous reposez, et vous êtes marqué. Un glorieux jour, Il appellera et je répondrai. Oh! comme c’est merveilleux ! Les brebis connaissent Sa voix ; elles ne suivront pas un étranger.
21. Pourquoi le berger doit-il être tout le temps à la tâche ? Il doit se rassurer qu’aucune de ses brebis n’est perdue. N’êtes-vous pas contents de cela ? Si le berger perd une brebis, c’est une honte pour le berger. « Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » Les bergers ne perdront pas leurs brebis. Eh bien, si vous êtes une brebis, très bien…
« Tout ce que le Père M’a donné viendra à Moi. Et Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi. Mais Je lui donnerai la Vie Eternelle. » Et même si l’entrepreneur des pompes funèbres l’enterre, elle, ma brebis, entendra Ma voix et Je la ressusciterai au dernier jour. Gloire soit rendue au Dieu vivant ! « Mes brebis entendent Ma voix. » Jésus a dit : « En ce jour-là, tous ceux qui seront dans la tombe entendront la voix du Grand Berger et viendront (Alléluia !) – viendront à la Vie Eternelle. » Oh ! en ce glorieux jour de la Venue du Berger des brebis.
22. Les larmes de chagrin ne peuvent jamais tenir le Berger au loin. La corruption, Il a prouvé cela à la tombe de Lazare. Lazare était l’un de Ses petits agneaux. Et son corps reposait là, tout au fond de la fosse avec une pierre roulée dessus ; son corps était décomposé; le nez s’était affaissé ; les vers le rongeaient. Mais le Berger en Chef s’est approché de la tombe. Et Il connaît Ses brebis par leurs noms. Et s’Il prononce votre nom maintenant et vous appelle, répondez. En effet, il y aura un temps, a dit le prophète, où Il appellera et je Lui répondrai.
Lazare était mort depuis quatre jours. Son corps se corrompait. Mais le Berger a parlé, et la corruption a reconnu son Maître. Et l’âme qui avait effectué un voyage de quatre jours est retournée dans ce corps-là. Ce corps-là avait été embaumé, il n’y avait pas de sang, les cellules étaient décomposées. Il pourrissait dans la tombe. Mais le Berger de la Vie a prononcé le nom de Son agneau, et Son agneau a bêlé, disant : « Me voici. »
23. Oh ! Il est un Berger merveilleux ! Laissez-Le vous nourrir. Il vous nourrira de Sa Parole. Le Saint-Esprit vit de la Parole de Dieu. Ce Grand Berger du troupeau… Certainement. Il ne peut en perdre aucune. Ce serait une honte. Vous direz : « Frère Branham, est-ce ce que vous voulez dire ? » C’est ce que dit la Bible.
Ecoutez. Dieu a dit à Israël là loin en Egypte : « Je vous ai donné la Palestine. » Eh bien, Il pouvait simplement aller là et les excommunier tous, les chasser tous avec un fléau, les tuer tous. Il aurait pu aller là et répandre la peur au milieu d’eux et les chasser du pays. Mais Il a dit : « Israël, c’est pour vous. Allez-vous en emparer. » Ils ont dû combattre pour chaque pouce du terrain sur lequel ils se tenaient.
Et chaque promesse dans le Livre du Grand Berger est pour Ses brebis. Mais, frère, Il ne descendra jamais les chasser loin de vous ; vous devez combattre pour chaque pouce de cette promesse. Pourtant, c’est pour vous, cela vous appartient.
24. Moïse, un type parfait du Grand Berger… Et quand ils sont arrivés devant la mort, au Jourdain, et que les vagues déferlaient, qu’ont-ils fait quand ils sont arrivés devant la mer de la mort ? Dieu a frayé une voie. Et Moïse, le grand berger, a conduit chaque vrai agneau de l’Egypte en Palestine. Il n’en a perdu aucun. Ils n’étaient pas affamés, leurs habits ne s’étaient même pas usés. Moïse, le berger, les a conduits. Certainement. Il était un type de Christ. Certainement. Ceux qui suivront ne seront jamais perdus. Suivez le Berger.
Eh bien, nous venons de dire qu’il y avait une multitude de gens de toutes espèces. Vous direz : « Ce sont ceux qui sont tombés dans le désert. » Exactement, mais les vraies brebis sont allées droit dans la Terre promise, les brebis. Et elles savaient quel genre de nourriture manger. Quand toute cette bande, dix, est revenue et a dit : « Nous ne pouvons pas nous en emparer ; nous ne pouvons pas nous en emparer », ils regardaient à ce qu’étaient les obstacles. Ils regardaient aux circonstances.
25. Mais il y avait deux petits agneaux qui se tenaient là, répondant aux noms de Josué et Caleb; ils bêlaient à tue-tête : « Dieu l’a dit ; nous pouvons nous en emparer. » Certainement que nous le pouvons. Ils suivaient le Berger. Et Dieu conduira Ses brebis. « Je suis le Berger de la bergerie. » Béni soit le Nom du Seigneur !
J’observe beaucoup les brebis. Une fois, quand j’étais dans un pays étranger, je roulais avec un homme à bord d’une petite jeep anglaise. Je traversais une ville là, loin dans le Sud. Et tout d’un coup, j’ai vu un agent de la circulation faire retentir un petit sifflet, et toutes les voitures se sont arrêtées net. Je pensais que le maire de la ville devait être en route. Qu’est-ce que ça pouvait être pour que tout s’arrête ? Et j’ai demandé à cet homme : « Qu’est-ce qui se passe ? »
Il a dit : « Tenons-nous sur l’aile de la jeep. »
26. Et savez-vous ce que c’était ? C’était un berger qui traversait la ville avec ses brebis. Tous lui accordaient la priorité. Je vous assure, frère, c’était un spectacle. Et je me suis dit : « Un de ces jours, ce petit groupe méprisé de saints exaltés, quand le Grand Berger du troupeau viendra... Ils sont rejetés dans des ruelles et tout, mais un jour, le monde sera à l’écart pendant que le Grand Berger du troupeau conduira Ses brebis dans les rues de la Palestine, ils contempleront Sa bonté. » J’ai dit : « Je n’ai jamais vu pareille chose de ma vie. »
Il a dit : « C’est un berger ; c’est lui qui a la priorité. »
Monsieur Baxter, mon organisateur (il était… A présent, il est pasteur d’une grande église en Colombie-Britannique.), nous étions là à l’époque où le roi George est venu dans la contrée. Et feu roi George, un brave homme, un homme bon, et alors qu’ils se tenaient là au coin… Le roi George souffrait de la gastrite et il avait la sclérose en plaques. C’est lui qui m’a envoyé chercher pour que je prie pour lui. Et le Seigneur l’en a guéri.
27. Et alors, quand il passait dans la rue (il était très malade ce jour-là), il a montré qu’il avait le sang royal. Il s’est tenu debout dans la voiture ; on ne pouvait jamais remarquer [qu’il était malade]. Pourquoi ? Il était un roi. Et la belle reine était assise à ses côtés dans son beau vêtement bleu. Et quand le cortège passait dans un certain coin où se tenait ce Canadien corpulent, un ami à moi, celui-ci a incliné la tête et s’est mis à rire très fort, il a levé la main comme ceci et a commencé à pleurer. J’observais. J’ai dit : « Qu’y a-t-il ? »
Il a dit : « Voilà mon roi qui passe ; mon cœur bondissait alors qu’on jouait Dieu sauve le roi. »
28. Je me suis dit : « Si cela peut faire qu’un homme qui vit sous le drapeau de la couronne britannique se sente comme cela quand un roi terrestre passe, qu’en sera-t-il quand notre Roi des rois viendra sur un cheval, un de ces jours, avec Sa belle Epouse toute vêtue, qui s’est Elle-même préparée? Même s’Il a des cicatrices dans Ses mains et des marques de clous, Il se tiendra comme le Roi, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs. J’aimerais voir ce jour-là. »
Je me suis souvent demandé, ces anges, quand ils verront cette grande investiture avoir lieu, quand Jésus reviendra dans un corps physique…
Il y a environ deux ans, monsieur Moore, monsieur Brown et moi-même revenions de Roosevelt Dam [barrage Roosevelt]. Et nous avions été là, contemplant la nature et tout, et communiant. Et nous nous sommes mis à chanter, le mieux que nous pouvions, les anciens cantiques de la Rédemption par le Sang. Et on dirait que ces collines du désert s’étendaient continuellement.
29. Et j’ai dit : « Frère Moore, ce n’est pas une vision réelle, mais j’ai une vision de ce qui arrivera un jour quand Jésus viendra. Quand tous les rachetés de tous les âges se tiendront sur la surface de cette terre et chanteront, raconteront l’histoire, ils ont été sauvés par la grâce, et ils chanteront ces cantiques de la Rédemption, les anges se tiendront loin de la terre, les têtes inclinées, ne sachant pas ce dont nous serons en train de parler. Ils n’ont jamais eu besoin de la Rédemption. C’est nous qui étions perdus. C’est nous qu’Il a rachetés. Eux sont des êtres qu’Il a créés, mais nous, nous étions perdus, mais maintenant nous sommes retrouvés. Nous pouvons chanter la Rédemption. Quel jour ce sera !
Dans le cas précis de ce berger… Je pourrais aller un peu plus loin avec vous, pendant que nous avons encore un peu de temps. J’ai observé ce berger traverser la rue. Et sur la rue… En Palestine et dans différents pays, partout en Orient, on ne prend pas des vivres pour les exposer derrière de beaux comptoirs en vitre comme nous le faisons. Ils ont simplement une petite branche qui s’élève là, ou plutôt juste un tas de fruits déposé là, et des articles, là même dans les rues.
30. Et voici venir ce berger, allant droit vers un de ces endroits. Et je me suis dit : «Maintenant, on va assister à une émeute, certainement. »
Et alors que nous nous approchions pour voir, chose étrange, ce berger traversa directement ces larges rangés de fruits, de friandises, comme des poires et des légumes, des choses que les brebis aiment. Et il semblait vraiment que ces brebis allaient sauter de part et d’autre, mais elles suivaient ce berger de si près qu’elles n’ont point regardé ni à droite ni à gauche. Elles ont traversé chaque tentation, suivant le berger. Je me suis dit : « Ô Dieu! une véritable brebis du troupeau née de nouveau traversera les tentations de cette vie en suivant le Berger. ‘Mes brebis connaissent Ma voix.’ » Il leur a simplement parlé.
Et j’ai remarqué qu’en ces grands moments de détresse, de ces grandes tentations, ces pauvres petites brebis regardent d’un côté et de l’autre. Et si jamais un agneau osait, la mère lui donnerait un petit coup de coude. Nous avons besoin de plus de mamans à l’ancienne mode qui donnent des coups de coude à nos enfants ce soir quand ils agissent mal.
31. Et j’ai vu ce berger presser le pas, marchant comme ceci. S’il pressait le pas comme ceci puis ralentissait, chaque brebis le suivait, elle suivait exactement les mêmes pas. Elles sont bien passées là, elles sont entrées, puis elles sont sorties, chacune suivant tout du long ces autres.
Ô frère ! Ce n’est pas une brebis qui sort de rang, c’est la chèvre qui va de côté à cause de la tentation. C’est la chèvre qui sort et s’empare d’une poire, ou tout ce qu’elle peut prendre, pas la brebis ; c’est la chèvre. Ceux qui tombent, ce sont seulement ceux qui titubent et vacillent.
Pas plus tard que la veille, avant de quitter le pays, j’observais la route et il y avait là un homme, et il faisait paître un grand troupeau d’animaux. Et j’ai vu qu’il y avait des mulets, et aussi du bétail ; il y avait des chèvres ; et il y avait des brebis. Et j’ai dit : « Comment appelez-vous cet homme? »
Et l’homme qui était avec moi a dit : « C’est un berger. »
« Oh ! ai-je dit, un berger ? »
« Oui. »
« Eh bien, ai-je dit, un berger, ce n’est donc pas seulement pour les brebis? »
Il a dit : « Non, ‘berger’ signifie ‘celui qui fait paître.’ »
Et j’ai dit : «Eh bien, avez-vous remarqué que les brebis, les chèvres, les mulets, et autres broutent dans le même pâturage? »
Il a dit : « C’est exact. »
« Bien, ai-je dit, alors un berger a un bon cœur. »
32. « Oui. Mais, a-t-il dit, le moyen pour lui de déterminer ce qui est sien, c’est quand la nuit tombe et qu’il fait sombre, a-t-il dit; le berger va appeler, et chaque brebis dans le champ va venir vers lui, et lui va faire entrer ces brebis dans l’étable, ou dans le corral, il va se coucher devant elles. Mais les mulets, le bétail et les chèvres resteront dans le champ. »
J’ai dit : « Excusez-moi, frère, j’aimerais juste dire un mot à mon Berger maintenant même. »
Peu m’importent la théologie, un quelconque grand diplôme ou une personne importante. Tout ce que je veux être, c’est une brebis humble qui, quand la nuit commence à tomber sur moi, je veux qu’Il m’appelle pour entrer. Il peut y avoir des mulets, des chèvres et autres qui mangent cette même nourriture, mais il n’y a que le berger seul qui fait entrer ses brebis, seulement la nuit.
Frère, si vous imitez le christianisme, si vous avez un esprit comme celui d’un mulet, ou un esprit comme celui d’une chèvre qui barbotte dans ce monde, un de ces jours la nuit va tomber et vous ne reconnaîtrez pas la Voix du Berger. Pourquoi ne pas connaître Cela ce soir et savoir ce que représente être une brebis ? Inclinons la tête pendant que nous y pensons sérieusement.
33. J’aimerais que vous réfléchissiez. Vous direz : « Ô frère Branham! j’aime la Parole de Dieu. » Oui, frère, la pluie tombe sur les justes et sur les injustes. Les mauvaises herbes là se sentent tout aussi bien, elles se réjouissent tout autant d’avoir cette eau qui tombe du ciel, elles s’en réjouissent tout autant que votre coton, que votre jardin. C’est la même eau. Mais au temps de la fin, qu’est-ce qui se passe ? Il envoie les anges pour rassembler toutes les ronces et toutes les mauvaises herbes, les mauvaises choses, et cela est jeté au feu.
Mais qu’est-ce qui arrive au blé et au grain ? Cela est emporté au grenier. Les mulets, les ânes, les chameaux, tous les autres animaux qui broutent sur le sol, ils mangent certainement le même genre de nourriture que chaque homme qui va à l’église. Mais seules les brebis sont appelées au coucher du soleil. Etes-vous une brebis ce soir, frère ?
Chère sœur, êtes-vous l’une des petites agnelles de Dieu ? Si vous n’en êtes pas sûre, rassurons-nous-en maintenant même. Voulez-vous lever la main vers Christ et dire : « Par ceci, Christ, je T’accepte maintenant comme mon Sauveur ; sois miséricordieux envers moi » ?
34. Que Dieu vous bénisse, madame assise ici. Que Dieu vous bénisse, monsieur assis à côté d’elle. Là en bas, quelqu’un, que quelqu’un d’autre lève la main et dise : « Christ… » Que Dieu vous bénisse, monsieur. « Je veux maintenant devenir une brebis. Je suis sûr que cet esprit qui est en moi, qui est colérique, mauvais, indifférent, bien que je sois membre d’église… » Que Dieu vous bénisse, jeune homme. « Bien que je sois membre d’église… » Que Dieu vous bénisse là derrière, madame. « Bien que je sois membre d’église et que mon nom figure dans le registre, je sais que l’esprit qui est en moi n’est pas bon. » Que Dieu vous bénisse par ici, la dame espagnole.
Là, aux balcons à ma droite, quelqu’un qui voudrait lever la main pour dire : « Seigneur Jésus, je veux que Tu me transformes » ? Que Dieu vous bénisse, jeune homme. « Transforme-moi, juste là où je suis. » Que Dieu vous bénisse là-haut. Transforme-moi pendant que je suis assis ici. Et débarrasse-moi de ce vieil esprit et fais de moi une de Tes brebis. Je T’aime, Seigneur. Et quand mon soleil se couchera, j’aimerais entendre la douce voix de la colombe de Dieu me roucouler de l’autre côté du Jourdain. Je lève maintenant la main en ce moment solennel après ce message. Je veux que Tu sois mon Berger. Je Te suivrai, Seigneur. »
« Et, oui, quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi. » Tant que c’est le Berger qui conduit, tout ira bien. Y en a-t-il un autre maintenant avant de terminer pour avoir la prière ? Rappelez-vous, il est question de votre âme. C’est à vous que j’apporte ce message. Si vous n’êtes pas une brebis de Dieu, alors vous ne connaissez pas la voix du Berger. N’importe quelle petite chose peut vous contrarier.
35. Mais si vous êtes une brebis, vous connaissez la voix du Berger. Et un jour, quand chaque voix terrestre se taira, quand vous entendrez maman crier, vous entendrez papa crier, vous entendrez votre mari crier, vous entendrez votre femme crier, des frères crier, ces voix se tairont peu après. Mais alors, pourrez-vous entendre le roucoulement du Grand Berger de l’autre côté du fleuve, disant : « Venez, vous, les bénis de Mon Père »? Avez-vous besoin de Lui ? Il est vôtre si vous Le demandez, s’Il frappe à votre cœur. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un a levé la main? Oui, ma sœur, que Dieu vous bénisse. Cette seule âme de plus, vous ne savez pas ce qu’elle représente.
Nous prêchons l’Evangile, nous prions pour les malades, quelle honte que de laisser des âmes se débrouiller ! Acceptez-Le ce soir, ne voulez-vous pas le faire? Je vous persuade maintenant au Nom de Christ, à la place de Christ, soyez réconcilié avec Dieu par Christ, par le renouvellement (que Dieu vous bénisse, frère), par le renouvellement de votre esprit, par le lavage d’eau de la Parole. Ne voudriez-vous pas venir maintenant, avec douceur et humilité, à Christ pour L’accepter ?
Continuez simplement votre musique, sœur. J’attends tout simplement. Peut-être qu’il y en aura une de plus. Il se pourrait qu’on dise en ce jour-là : « Frère Branham, vous avez attendu juste un peu plus longtemps, puis Quelque Chose m’a parlé, et j’ai levé la main. Cela a réglé tout le problème, Frère Branham. Je suis si content d’être ici maintenant. » Que représenterait cela? Que représenterait cela?
Vous direz : « J’ai déjà entendu cela. » Mais, frère, vous allez l’entendre un jour pour la dernière fois. Vous ne l’entendrez plus jamais après cela. L’arbre tombe du côté où il penche.
36. Notre Bienveillant Père céleste, nous Te confions maintenant ceux qui ont levé la main, car ils sont venus à Toi, et personne ne peut les arracher de Ta main. Tu es le Grand Berger; personne, aucun démon, aucune puissance, rien du tout ne peut jamais les arracher de Ta main. « Tout ce que le Père M’a donné viendra à Moi et aucun d’eux ne sera perdu, sauf le fils de la perdition, afin que les Ecritures puissent s’accomplir. » Et Tu continues à appeler; les hommes et les femmes se soumettent toujours et viennent. Et je Te prie, ce soir, de recevoir ceux-ci dans Ton Royaume. Je pourrais ne jamais avoir le grand privilège de leur serrer la main. C’est une réunion ardue, et elle est en cours à l’heure actuelle, et beaucoup de malades attendent. Mais, ô Christ, sachant que ces fruits me précèdent, je les remets entre Tes mains. Accorde-le, Seigneur. Par la prédication de Ta Parole, ils ont cru et sont venus à Toi.
Et s’il y en a ici, Seigneur, qui auraient dû venir, mais qui ne sont pas venus, aie pitié d’eux, et puissent-ils aussi venir. En effet, ils mèneront une vie misérable jusqu’à la fin. Accorde-le, Seigneur. Ecoute notre prière; nous prions au Nom de Jésus. Amen.
37. Puisse le Seigneur Dieu du Ciel et de la terre bénir chacun de vous. Croyez-vous que Dieu est ici pour vous accorder le désir de votre cœur ? Combien se sentent vraiment bien après que le Saint-Esprit a été ici, se mouvant au-dessus de vous comme cela ? Je crois qu’Il donnera à chaque croyant ce qu’il croit et désire ardemment. Si vous croyez cela de tout votre cœur, dites : « Amen. » La Parole ne vous fait-Elle pas quelque chose? Savez-vous ce que c’est ? C’est la Nourriture ; c’est la Nourriture de Dieu pour Ses brebis. Et la Bible est la Nourriture des brebis de Dieu. N’est-ce pas bon ? La Bible dit, je crois que c’est David qui l’a dit : « C’est comme le miel sur le rocher. » Oui. La Parole de Dieu est si douce. J’ai vu Cela entrer dans le cœur des gens par la prédication à l’ancienne mode de la Parole sanctifiée. Elle descendait à tel point que les gens se léchaient vraiment les lèvres comme s’ils avaient littéralement goûté quelque chose de bon, quand les bénédictions du Seigneur étaient si proches, si affectueuses et si bonnes.
38. Et je sais, mon cher frère, ma chère sœur, que ce soir, Jésus-Christ, le Bien-aimé Fils de Dieu, aime chacun de vous au point que vous ne pourriez pas vous permettre de vous représenter le Ciel sans Lui. Quelqu’un a dit l’autre jour, sous forme d’un petit interrogatoire, il a dit : « Frère Branham, voulez-vous me dire que vous croyez que si un homme est–est réellement un enfant de Dieu, il peut vraiment reconnaître qu’il est un enfant de Dieu ? »
J’ai dit : « Absolument. Quand votre esprit s’accorde à Sa Parole et à Son Esprit, vous êtes fils et filles de Dieu. Quand votre expérience s’aligne avec la Bible de Dieu, et que vous avez satisfait à chaque exigence, que Dieu vous l’a certifié, que toute la mondanité est partie, et que vous êtes devenu une nouvelle créature, alors vous êtes passé de la mort à la Vie. » C’est Dieu qui l’a fait.
39. Maintenant, nous allons prier pour les malades juste dans un instant. Attendez… Billy, l’as-tu fait ? Il a encore distribué les cartes de prière ce soir. Et le Seigneur voulant, combien aimeraient qu’on forme une ligne demain soir, le Seigneur voulant, soit demain soir, soit dimanche soir, l’un ou l’autre, là où tout le monde peut venir sur l’estrade pour qu’on prie bien pour lui? Aimeriez-vous avoir l’une de ces soirées, comme ça? Peut-être nous le ferons peut-être demain. J’enverrai le jeune homme avec un autre très grand tas de cartes de prière à distribuer, et nous allons probablement faire passer les gens dans la ligne.
Non pas exactement les lignes rapides, mais nous les ferons venir sur l’estrade. Je l’ai fait ici il n’y a pas longtemps, et c’était une merveille, ce que le Seigneur avait accompli. On a enseigné aux Américains qu’on doit leur imposer les mains. Et je pense qu’on devra bien le faire ; c’est tout ce que je sais. Je suis... j’essaye de vous amener à croire cela sur base d’une instruction plus élevée, accepter cela sans imposition des mains : croyez simplement cela et avancez. D’ailleurs, il y a une Ecriture. Le...
Jaïrus, il était un Juif. Il a dit : « Viens imposer les mains à ma fillette et elle sera guérie, ou plutôt elle vivra. » Il était un Juif. Jésus a dû traverser la ville pour aller imposer les mains à cette fille, car c’est ce que Jaïrus croyait.
40. Mais le Romain, le Gentil, a dit : « Tu n’as pas à faire cela pour moi, Maître. Je suis un homme soumis à des supérieurs, et je dis à tel homme : ‘Va’, et il va. Et à l’autre : ‘Viens’, et il vient.» Il a dit : « Prononce simplement la Parole ; c’est tout. Prononce simplement la Parole et mon serviteur vivra. » Il a dit : « Je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit. »
Jésus s’est retourné, Il a regardé ces Juifs et a dit : « Je n’ai pas trouvé une telle foi en Israël. » C’est vrai. C’est ce que j’essaye d’apporter aux gens. Vous ne voyez pas une aussi grande foi que celle-là en Amérique. Frère Julius, vous trouvez cela en Afrique, en Inde et à des endroits comme cela, mais pas en Amérique. Simplement… Vous avez trop de théologie en Amérique. Vous avez trop d’hypo spirituels. Ce dont vous avez besoin, c’est d’un vrai opium qui apaise la douleur. Il est le Lys de la vallée. Où trouvez-vous de l’opium ? Dans le lys. Et ce Lys a été écrasé au Calvaire ; Il a tout l’opium dont vous avez besoin. C’est vrai. Il apaise chaque douleur.
41. L’opium sert à calmer la douleur, à ôter la peine. On s’enivre avec l’opium, comme avec les stupéfiants d’aujourd’hui. Mais aussitôt l’effet de cet opium terminé, vous avez des maux de tête et votre état devient pire que jamais. Mais cet opium dont je parle, qui vient du Seigneur Jésus, ne se termine simplement pas. En Lui se trouve… « Celui qui croit en Moi a la Vie Eternelle. Si tu connaissais Celui à qui tu parles, Je te donnerais les eaux à boire que tu ne viendras pas chercher ici, a dit le Seigneur ; des sources d’eau jaillissant dans votre âme. » Voilà le genre d’eau dont nous avons besoin.
Maintenant, nous allons former la ligne de prière ce soir. 1 à 100 ? 1 à 100. Z, avez-vous dit ? P, très bien. Carte de prière P comme Phœnix. Commençons à mettre quelqu’un debout quelque part. La carte de prière, bien, commençons par le numéro 1, s’il a commencé par le numéro1, commençons par le numéro 1. Amenez le numéro… Qui a le numéro 1 ? La carte de prière, comme Phœnix, P numéro 1 ? Voulez-vous lever la main ? Je n’arrive pas à voir dans l’auditoire. Très bien, madame, venez ici juste une minute.
42. Numéro 2, voulez-vous lever la main ? Numéro 3, voulez-vous lever la main ? Numéro 4, voulez-vous lever la main ? Observez cela, peut-être que c’est quelqu’un qui ne peut pas lever la main. Ça pourrait être quelqu’un qui n’entend pas. 1, 2, 3, 4, je pense que ce sont eux. Numéro 5 ? Très bien, madame. Numéro 6, voulez-vous lever la main, numéro 6 ? Numéro 7, 8, 9, 10. Très bien. Eh bien, qu’ils s’avancent d’abord.
Très bien. J’essayais juste d’attendre de sentir l’onction avant de prier pour ceux-ci. Vos mouchoirs sont posés ici ; j’attendais simplement de savoir qu’Il était... que l’onction est sur moi pour prier pour ces mouchoirs. Ecoutez, ceci représente peut-être des petits enfants malades. Et si c’était mon bébé qui était malade ? Voyez, j’aimerais qu’on s’y prenne avec toute la sincérité possible pour mon enfant. C’est le cas pour vous aussi. J’aimerais avoir toute petite chose que Dieu, ou le prédicateur, ou n’importe qui d’autre peut faire pour mon enfant, ma femme, mon bien-aimé, mon ami. Vous aussi, n’est-ce pas ? C’est donc ce que nous voulons faire : être profondément sincère pour croire de tout notre cœur.
43. Combien ? La carte de prière P numéro 4 n’est pas là. Billy a dit qu’il n’était pas encore venu. Voulez-vous regarder la carte de votre voisin ? Peut-être que quelqu’un a manqué cela. C’est peut-être un aveugle qui ne voit pas sa carte. Tout celui qui a une carte, jetez-y un coup d’œil, ou jetez un coup d’œil sur la carte de votre voisin : Numéro 4. C’est sur le dos de la carte, c’est une toute petite chose ; cela a… Ici, cela porte ma photo dessus. Sur le dos, cela porte la lettre P, et là, cela porte un numéro. Nous faisons cela pour garder les gens en ligne ; c’est la seule raison.
Et la raison pour laquelle je les fais monter ici... Vous n’avez pas à–vous n’avez pas à le faire. Combien savent que, les deux ou trois dernières soirées, les gens ont été appelés n’importe où? De toute façon, ne vous en faites pas. C’est simplement une conception, ils veulent que quelqu’un leur impose les mains. Vous voyez ? C’est tout ce qu’il en est. On n’est pas obligé de le faire. Mais juste pour amener des gens sur l’estrade, afin qu’ils puissent comprendre…
44. Très bien, 10 ? Les avez-vous tous là maintenant ? Tous sauf le numéro 4. Très bien, 11, 12, 13, 14, 15 dans la série P, comme Phœnix. Si c’est possible, et que vous voulez venir occuper votre place, c’est en ordre. S’ils... si vous voulez venir… Eh bien, vous direz : « La ligne est un peu longue, Frère Branham ; il se peut que vous ne la terminiez pas. » C’est possible. Cela dépend du nombre de gens qui croient là. Je… Si vous remarquez bien ce soir, frère Moore est d’un côté, frère Brown de l’autre, Billy se tient là en train d’observer ; ils m’observent. Quand c’est assez pour moi, ils m’emportent.
Pouvez-vous vous imaginer l’effet que cela produit ? L’autre nuit, je me suis réveillé, longeant la route après, je ne savais pas quand j’avais quitté le bâtiment, je suis sorti dans la rue, m’en prenant à moi-même de ce que j’avais échoué totalement. Je ne voyais pas pourquoi le Seigneur me laissait encore en vie plus longtemps. Je me suis retrouvé en train de pleurer et tout. Vous ne savez pas ce que ça représente que de sortir de là. Je sais que vous… Voyez, je ne comprends pas cela. Je n’arrive pas à l’expliquer. Mais je peux le prouver par la Bible.
45. Qu’en est-il d’Elie, quand il était sous l’onction et qu’il a fait descendre le feu du ciel, qu’ensuite il a fait descendre la pluie du ciel, a tué quatre cents prêtres et a fait ce qu’il a fait? Et alors, quand l’onction l’a quitté, il a fui devant une femme, Jézabel, et s’est caché dans le désert, ne sachant pas où il était pendant quarante jours et quarante nuits. Et Dieu l’a retrouvé là, au fond d’une caverne. Est-ce vrai ? Ce n’était pas quand il se tenait là, un prophète oint. Non, non; c’est quand l’onction l’a quitté. C’est vrai.
Qu’en est-il de Jonas qui avait l’inspiration de Dieu, et il est resté vivant dans le ventre du gros poisson pendant quatre jours et quatre nuits, ou plutôt trois jours et trois nuits, et il en est sorti et a prophétisé sur une ville de presque un million d’habitants? Et ils se sont même repentis au point de faire porter des sacs aux animaux. Et cet homme est allé sur une montagne, et quand l’onction l’a quitté, il a prié Dieu de lui ôter la vie. C’est vrai.
46. Oh ! ce dont les pentecôtistes ont besoin, c’est d’une bonne leçon de la Bible, un bon enseignement ; alors, vous n’aurez pas besoin de beaucoup de ces choses qui se passent. Voyez ? Jésus-Christ était le Fils de Dieu. Il avait l’Esprit sans mesure. Croyez-vous cela ? En Lui n’habitait point juste une partie de Dieu, mais tout Dieu était en Son Fils Jésus-Christ. Il était la plénitude de la Divinité dans un corps. Tout Dieu était déversé en Christ. Tout ce que Dieu était, était en Christ. Et tout ce que Christ est, Il l’a déversé dans l’Eglise. Mais vous continuez à rejeter cela. Voyez ? Les œuvres que… « Si Je ne fais pas les œuvres de Mon Père, ne Me croyez pas. Et comme le Père M’a envoyé (Comment le Père L’avait-Il envoyé ? Le Père qui L’avait envoyé est allé avec Lui et était en Lui.), Moi aussi, Je vous envoie. »
47. Il envoie l’Eglise comme Dieu L’avait envoyé. Le Dieu qui est allé, qui L’a envoyé, est allé avec Lui. Le Christ qui envoie l’Eglise va dans l’Eglise. Et les œuvres même… Dieu était en Christ, faisant quoi ? S’exprimant au monde. Personne, à aucun moment, n’a vu le Père ; le Père est l’Esprit. Mais le Fils Unique engendré du Père L’a fait connaître. Il est ici. Dieu était en Christ se manifestant au monde, ce qu’était Son attitude, ce qu’Il pensait du monde. Oh! comme Il aimait le monde! Il a tellement aimé le monde qu’Il a donné Sa propre Vie pour cela. Et le seul moyen pour Lui de pouvoir mourir comme un mortel, c’est de devenir un mortel, absolument. Dieu était en Christ.
Et ce que Christ était, Il l’a directement déversé dans l’Eglise et Il nous a rachetés par Son Sang. « Et les mêmes œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. » Et une fois, une femme a cru cela. Elle a touché Son vêtement, elle est entrée dans la foule et s’est tenue là. Et Jésus a dit : « Qui M’a touché ? » Combien savent que c’est l’Evangile ? Certainement, c’est ça.
48. Eh bien, Pierre L’a repris. Tout le monde disait : « Oh ! bonjour, Maître. Es-Tu le grand Prophète ? Ou – ou j’aimerais Te voir, puis-je Te serrer la main ? Veux-Tu m’accompagner dîner ? J’aimerais Te recevoir chez moi. Dites donc, mon pasteur ne croit pas en Toi, mais moi, je crois. » Voyez ? Mais une petite femme qui ne pouvait même pas s’approcher suffisamment s’est faufilée entre les jambes des gens, a touché Son vêtement, et a quitté cet endroit en courant. C’est tout ce qu’elle voulait faire.
Jésus s’est arrêté et a dit : « Qui M’a touché? »
Comment a-t-Il su que quelqu’un L’avait touché ? Pierre a dit, il était aussi terre à terre, il a dit : « Bien, toute la foule Te touche. » Il L’a repris.
Il a dit : « Je suis devenu faible ; une vertu est sortie de Moi. »
49. Qu’est-ce qu’une vertu ? C’est une force. « Je suis devenu faible ; Ma force M’a quitté », parce qu’une seule petite femme a touché le Fils de Dieu, qui avait la plénitude de Dieu. Voici comment je me le représente. Si chaque goutte d’eau sur la terre et quatre cinquièmes de la terre sont couvertes d’eau, si chaque goutte d’eau sur la terre représentait l’Esprit qui était en Christ, ce qui était en Christ, et que ce petit don ici n’est qu’une petite cuillérée de cela, vous ne manquerez jamais cela. Dieu n’a pas besoin de m’avoir, mais moi, je dois L’avoir. Mais je ne suis qu’une petite cuillérée.
Mais maintenant, laissez-moi vous montrer le bon côté de la chose. Les mêmes éléments chimiques qui se trouvent dans tout l’océan se trouvent dans la cuillérée, le même genre d’éléments chimiques, seulement pas une même quantité. Ainsi, les mêmes œuvres que Christ avait faites, le serviteur aussi les fait, car la Vie de Christ est dans le serviteur. « J’irai avec vous et Je serai en vous jusqu’à la fin du monde. » Voilà ce qui vous rend faible.
50. Eh bien, si Christ, le Fils de Dieu né d’une vierge, Lui qui avait la plénitude de Dieu, est devenu faible du fait qu’une petite femme L’avait touché, qu’en sera-t-il de moi un pécheur sauvé par la grâce ? S’Il n’était pas là pour me soutenir, je ne supporterais pas que l’une de ce genre se passe.
Le grand prophète Daniel a eu une vision et il a eu des maux de tête pendant plusieurs jours. Maintenant, arrivez-vous tous à comprendre ? C’est ce qui affaiblit. « Qu’est-ce qui provoque ces visions, Frère Branham ? » C’est vous ; ce n’est pas moi. Les visions que Dieu… Ceci est un don de Dieu ; ce n’est pas le mien ; c’est le don de Dieu.
51. Aujourd’hui, ma femme m’a dit, elle a dit : « Billy, tu ne restes jamais à la maison. Ça fait presque quinze ans que nous nous sommes mariés et c’est à peine si tes enfants te connaissent. » Aussitôt que tu prends le téléphone, il y a peut-être trente, quarante appels par jour : «Venez ici, Frère Branham. Venez par ici. Venez par ici. » Eh bien, ça vous emballe.
J’ai dit : « Mais, chérie, regarde. Ma vie ne m’appartient pas, elle ne t’appartient pas non plus. Je suis… Dieu m’a offert comme un don au public, j’appartiens au public. »
Eh bien, ce que vous en faites, ça, c’est entre vous et Dieu. Ce n’est pas moi. Moi, je suis un homme. Mais l’Esprit qui est ici dedans est un service public de Dieu pour vous. Vous pouvez recevoir cela ou le rejeter. Ce que vous en faites, c’est votre problème. Vous pourrez penser que ça doit se faire avec éclat. Nous aurions aussi pensé que Jean aurait eu de l’éclat, mais il s’est tenu avec la boue probablement jusqu’au niveau des genoux, sur les rives du Jourdain, en train de prêcher.
52. Tous les prophètes avaient annoncé que ça serait un temps glorieux, ils pensaient que le–l’arc-en-ciel se faufilerait à l’horizon et qu’un grand roi descendrait du Ciel sur un cheval. Qu’était-ce ? Un petit Homme ordinaire descendait les rives du Jourdain. Il a été baptisé par un homme qui se tenait là et qui n’était même pas bien habillé; il s’était drapé dans une peau de brebis. La Bible dit qu’à ce moment-là toute vallée sera relevée et tout lieu élevé sera abaissé. Et quand les montagnes verront cela, elles sauteront comme de petits béliers, et toutes les petites collines battront les mains.
Qu’était-ce ? Un prédicateur, qui était considéré comme un saint exalté, s’est tenu sur la rive et a baptisé un Jeune Homme qui passait pour un enfant illégitime, venu là pour être baptisé. C’est alors que cela a eu lieu. Ce que le monde appelle grand, Dieu l’appelle folie. Ce que le monde appelle folie, Dieu l’appelle grand. Voyez, cela dépend de là où vos pensées… de ce que vous regardez. Eh bien, croyons en Dieu de tout notre cœur, de toute notre pensée.
Eh bien, la ligne de prière est-elle prête ? Numéro 4 et numéro 14 ne sont pas venus. Très bien, nous avons accordé pleinement de temps. Maintenant donc, soyez vraiment respectueux et priez.
53. Bonsoir, madame. Maintenant, je… C’est maintenant le moment où Dieu doit parler. Tout ce que j’ai dit ne serait pas vrai si Jésus ne parle pas Lui-même. Comprenez-vous tous cela ? Eh bien, ici, je me mets dans une situation où, soit cette Bible doit avoir raison, soit Elle doit avoir tort maintenant. C’est le temps du scellement.
Eh bien, la femme qui se tient ici, à ce que je sache, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Nous sommes inconnus, n’est-ce pas ? Nous sommes probablement nés à des endroits séparés de beaucoup de kilomètres et à des années d’intervalle, et c’est la première fois que nous nous rencontrons. Eh bien, si ceci n’est pas une fois de plus l’exact tableau de Saint Jean 4, un homme et une femme… Eh bien, et si cette femme désire la guérison, pourrais-je la guérir ? Non, non. Pourrais-je faire quelque chose pour elle en rapport avec la guérison ? Non, non. Tout ce qui peut être fait…
54. Maintenant, si elle a un – si elle a quelque chose ou autre que l’on puisse faire… le médecin peut l’aider ou lui donner quelque chose… Eh bien, le médecin ne peut pas la guérir; non, non. Les médecins ne guérissent pas. C’est Dieu qui guérit ; les médecins ne font que remettre les os en place et enlever les morceaux, ce qui obstrue ; si quelque chose ne marche pas, ils l’enlèvent, quelque chose de ce genre. Ou ils vous donnent un, comme je l’ai dit l’autre soir, un poison pour rat afin d’empoisonner les rats qui sont en vous, les microbes. Mais il ne peut pas former de nouveaux tissus. C’est Dieu seul qui crée. Le médecin peut ouvrir un flanc et ôter une tumeur, mais qui va guérir ce flanc ? Vous feriez mieux de ne jamais vous lever si Dieu n’a pas guéri cela. Celui-là peut couper, enlever, mais il ne peut pas guérir. Voyez-vous ce que je veux dire ?
Maintenant, et si elle avait des problèmes d’argent ? Et si elle veut... Si ce sont des problèmes de ménage ? Et si c’est un… Et si c’est un péché ? Tout ce dont elle a besoin, c’est en Christ. Eh bien, si Christ me révèle ce pour quoi cette dame est ici, est-ce que chacun croira de tout son cœur ? La petite dame vous dira…
55. Nous ne croyons pas au fait de jurer ; la Bible ne dit pas… Si vous ne pouvez pas croire les gens sur parole, eh bien, juste... c’est juste ça. La Bible dit : « Ne jurez ni par le ciel ni par la terre. » Ne jurez pas du tout.
Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie, à ce que je sache. Et elle a dit que je ne la connais pas. Et elle ne me connaît pas, sinon qu’elle s’est assise là quelque part dans l’auditoire, et m’observait. Mais Dieu connaît tout à son sujet. Et si cette petite dame ici même, si le Saint-Esprit vient et fait pour cette femme la même chose qu’Il fit pour la femme au puits en Samarie, découvrir ses problèmes, et ce pour quoi elle est ici, ce dont elle a besoin, et lui révéler cela… Savez-vous ce que cette femme samaritaine a dit ? « Nous savons que quand le Messie viendra, Il fera ces choses. »
Ça, c’est un signe que notre Dieu (Vous les chrétiens, les chrétiens nés de nouveau, vous avez accepté ce signe) n’est pas mort, mais qu’Il est vivant ici parmi nous ce soir. Bon, que tout celui qui, dans la salle, n’a pas de carte de prière et désire que Dieu le guérisse, lève la main. Très bien. C’est presque partout. Maintenant, ayez la foi.
56. Maintenant, je voudrais juste vous parler, madame. Simplement… Après avoir prêché comme cela, fait un appel à l’autel… Je voudrais juste vous parler un instant. Bien, vous direz : « Pourquoi voulez-vous me parler, Frère Branham ? » Pour saisir votre esprit. Juste comme…
Pourquoi Jésus voulait-Il parler à la femme au puits ? Pour saisir son esprit. Il a dit : « Donne-moi à boire. »
Elle a dit : « Ce n’est pas la coutume que Toi, Tu me demandes une telle chose. »
Ils ont continué à parler, longtemps. Finalement, Jésus a découvert son problème. Et je ne pense pas que cette femme ne Lui ait jamais répondu. Vous n’avez pas à me répondre, mais Il a de toute façon su son problème, comme Dieu le Lui a révélé. Croyez-vous cela ?
Si je pouvais vous aider, madame, et que je ne le faisais pas, je serais une brute. Mais je… Le seul moyen pour moi de le faire, c’est de prêcher la Parole ou par un don divin. Est-ce vrai ? Alors vous accepteriez cela.
Vous êtes ici à cause d’un mal de dos. Et cette maladie est une – une hernie ; c’est une hernie discale dans le dos. C’est vrai. Maintenant, croyez-vous ? La femme en est juge. Voyez ?
57 Maintenant, ce qui devrait se passer, c’est que tout le groupe dise : « Seigneur Jésus, je crois en Toi. Tu es vivant. Ta Parole dit que Tu feras cela. Nous vivons dans les derniers jours, dans l’âge atomique, dont Tu as dit que ce serait le temps de Ta Venue : ‘Redressez la tête.’ Tu as dit : ‘A ce moment-là, ces choses se produiraient.’ Et je les vois ici par Ta Parole. Je crois maintenant que Tu es ici. Je T’accepte comme mon Guérisseur. Cela règle la question. » Cela devrait le faire.
Dieu a dit à Moïse : « Va et accomplis ce signe. » Et Il a dit : « Ils croiront en toi. » Il a accompli le signe, et les gens ont cru en lui. Et ils ont avancé. Mais notre Berger, le Seigneur Jésus, peut venir et accomplir le signe, et nous les Gentils, nous nous tenons à l’écart et disons : « Eh bien, je ne sais pas si c’est Lui ou pas. » Voilà pourquoi nous manquons la bénédiction.
Maintenant, tenez, c’est comme quand j’ai parlé à la femme… Eh bien, je ne sais pas ce que je lui ai dit. Je ne saurais vous le dire. Mais je peux le découvrir dans un moment. Voilà celui qui enregistre pour moi là. Ils ont cela, chaque mot qui est chuchoté. Voyez ?
58. Mais maintenant, si on s’arrête pour parler à la femme pendant quelques instants, est-ce que cela – cela fera que vous vous sentiez mieux si je…juste peut-être… Il se peut qu’Il ne veuille – ne puisse rien dire d’autre. Mais s’Il le fait, cela va-t-il augmenter votre foi, s’Il le fait? Serait-ce le cas pour vous, madame ? S’Il va… Très bien, combien disent que cela va augmenter leur foi ? Faites voir la main comme quoi vous croirez au Seigneur Jésus.
Maintenant, madame, je vous utilise simplement–simplement pour un cas. Puisse le Seigneur accorder cela, c’est ma prière. Mais je voudrais que vous regardiez encore de ce côté-ci, et voyez si le Saint-Esprit fera ce qu’Il a promis. Il le fera, c’est ça, qu’Il veuille bien me le permettre. Ceci est un don. Ce n’est pas moi qui fais opérer le don ; c’est le don qui me fait agir. C’est vous qui le faites. Si vous avez la foi, c’est votre foi, comme la femme qui a touché Son vêtement.
Eh bien, si l’auditoire continue à m’entendre, la femme, oui, c’est dans le dos. C’est un mal de dos ; je revois cela. Et Il a dit que c’était une–une hernie discale, c’est une hernie discale au dos. Et il y a quelqu’un d’autre avec vous, cette femme souffre de nervosité. C’est vrai. Elle habite dans cette maison, la même maison que vous. Elle s’appelle Bidwell. C’est vrai. Et vous habitez, on dirait, sur 1315, Pierce. C’est vrai. Vous vous appelez Edna Anderson. C’est vrai. Croyez-vous maintenant ?
Oh! Bien-aimé Dieu du Ciel, sois miséricordieux envers nous, Tes pauvres sujets, et bénis cette femme pour tout ce dont elle a besoin. Je prie au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame.
59. Bonsoir. Je vous suis inconnu. Je pense que vous êtes un Indien. Bien, j’ai beaucoup de considération pour votre nationalité. Après tout, c’est vous le véritable Américain. Dieu vous a donné ce pays. Eh bien, je ne suis qu’un sur des millions, mais vous pouvez le sentir, et moi aussi, que vous n’en avez pas la part belle. Dieu vous a donné un pays ; l’homme blanc est venu vous l’arracher. Mais j’en connais Un qui ne vous traitera pas injustement ; c’est le Seigneur Jésus.
Vous souffrez d’une nervosité extrême. Et alors, vous êtes allé chez un médecin. Et le médecin vous a dit qu’on devait vous opérer, et c’était à cause de l’affection des reins ; c’est dans le dos. Et c’est votre rein gauche qu’on veut ôter.
Ô Dieu du Ciel, envoie Tes bénédictions sur cette femme et bénis-la ; je le demande au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame, qu’Il vous accorde ce que vous demandez.
Eh bien, le Seigneur Jésus connaît assurément tout, n’est-ce pas ? Il vous connaît et Il me connaît. Il sait pourquoi vous êtes ici. Votre mari pense aussi que vous serez guérie, n’est-ce pas ? Chaque prédicateur devrait croire la Parole de tout son cœur. Mais vous souffrez aussi de nervosité. Et puis, vous avez des douleurs à la poitrine. C’est vrai. Et je vois, je remonte un peu dans le temps, et il y a eu quelque chose au sujet d’un médecin, et c’est dans la vésicule biliaire. Et il a conseillé, il a dit qu’on devrait opérer cela, enlever le calcul biliaire. Cela fait au moins trois ou quatre ans ou plus. C’est vrai, trois ans et neuf mois. Croyez-vous maintenant ? Venez ici.
Ô Adorable Jésus, le Juste Fils de Dieu, guéris cette chère personne qui se tient ici attendant, désirant ardemment Ta puissance guérissante. Je la bénis au Nom de Jésus pour sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame.
60. Si tu peux croire… Eh bien, si seulement vous êtes très gentil (Voyez ?), ne vous déplacez simplement pas si possible. Il y a quelqu’un qui a été guéri ici il y a quelques instants. Je n’ai pas saisi cela, parce que quelqu’un se déplaçait à ce moment-là. Vous dites : « Frère Branham, qu’en est-il de cela ? Vous avez dit… Je pensais que vous ne prêchiez que la Bible. » C’est la Bible.
Jésus, quand Il est entré dans la pièce où la fille de Jaïrus avait été guérie, Il a dit : « Elle dort. »
Les gens ont dit : « Nous savons qu’elle est morte. »
Et Il les a tous fait sortir de la maison. Une fois, Il a éloigné un homme de la foule et l’a amené à l’écart, hors de la ville, pour le guérir. Si tu peux croire…
Croyez simplement, vous qui êtes assis là même avec cette dame. Je ne suis pas sûr. Croyez-vous de tout votre cœur ? Croyez-vous que le Seigneur Jésus m’a envoyé ici pour vous aider ? Si vous croyez de tout votre cœur, Dieu le fera pour vous. Je ne peux pas vous guérir, vous le savez. En effet, je n’ai aucune puissance pour guérir. Mais Jésus-Christ est le seul à avoir la puissance pour guérir. Croyez-vous cela ? Très bien. Si Dieu m’explique ce qui cloche en vous, allez-vous croire cela ? C’est dans votre flanc. Il s’agit d’une grosseur dans votre flanc droit. C’est vrai. N’est-ce pas vrai ? Croyez-vous de tout votre cœur maintenant ? Vous avez eu une quelconque bénédiction, n’est-ce pas ? Et voici ce que c’est : votre mari, qui était malade, a été guéri. C’est vrai. C’est un cas de diabète. N’est-ce pas vrai ? C’est tout à fait vrai. Maintenant, croyez-vous de tout votre cœur ? Venez donc ici.
Père céleste, je Te prie d’être miséricordieux envers cette femme et de laisser Ton Esprit se mouvoir sur elle, pour lui accorder le désir de son cœur, alors que je demande faiblement, mais avec humilité, ces bénédictions et en croyant, au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame.
61. « Si tu peux croire, tout est possible. » Ayez foi, ne doutez pas.
Est-ce vous la dame qui était ici il n’y a pas longtemps ? Vous étiez... aviez quelque chose qui clochait dans votre flanc, n’est-ce pas ? C’est aussi le cas avec la dame assise juste là, à côté de cet homme, la deuxième dame là qui me regarde, juste là derrière, quelque chose cloche sur votre flanc, oui, la–la dame juste ici. N’est-ce pas vrai, vous, avec un petit chapeau rond ? C’est vrai. Vous êtes toutes les deux guéries maintenant. Amen.
Il s’agissait de vous, madame, il y a de cela quelques instants. Bien, ce que c’était, c’est que la même chose attirait ici dans la ligne, de ce côté-ci, et j’ai... je n’arrivais pas à déterminer d’où ça venait. Voyez ?
Oh! n’est-Il pas bon ? Il est si merveilleux. « Si tu peux croire, tout est possible. » Mais cela dépend du fait que vous croyez ou que vous ne croyez pas. »
62. Bonsoir, madame. Croyez-vous de tout votre cœur ? Vous êtes toute triste, n’est-ce pas ? Vous êtes vraiment nerveuse, abattue. Vous venez de perdre quelqu’un : votre mari. C’est vrai. Ne vous inquiétez pas ; Dieu est avec vous. Il a promis d’être un–un Soutien pour vous. Ne soyez pas nerveuse. Il tient tout dans Sa main, chère sœur. Il vous aime, et Il vous bénira, j’en suis sûr. Prions.
Notre Bienveillant Père céleste, je bénis cette petite dame qui se tient ici au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Je demande sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Ayez simplement foi ; ne doutez pas.
Des ténèbres. Dieu peut guérir les cancers et rétablir ceux qui en souffrent. Croyez-vous cela ? Juste un instant, madame. Voilà. Vous, en robe bleue, croyez-vous que Dieu guérit les cancers ? Satan pensait s’en tirer avec cela, mais il a échoué. Croyez-vous cela ? Allez-vous accepter cela, madame ? Croyez-vous de tout votre cœur ? Très bien, vous aurez cela, allez toutes les deux et soyez guéries maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Ayez foi en Dieu. Si tu peux croire…
63. Vous, assis là au bout de la rangée, monsieur, juste là au fond, vous souffrez de l’hypertension, croyez-vous que le Seigneur Jésus va vous guérir ? Il se fait que vous êtes juste en ligne avec cette dame; alors, je pensais que Cela avait quitté, mais Cela est retourné droit sur vous. Vous étiez assis là en train de prier aussi, n’est-ce pas ? C’est vrai. Très bien, si vous croyez de tout votre cœur, vous pouvez recevoir ce que vous demandez. Puisse le Seigneur vous l’accorder. Croyez-vous que vous serez guéri maintenant même par la puissance du Dieu Tout-Puissant ?
Ô Dieu, j’impose les mains à cet homme et je réclame sa guérison. Qu’il soit guéri au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Bonsoir, madame. Croyez-vous que le Dieu qui vous a débarrassé de l’asthme, et vous êtes guérie, arrête cette toux ? Le croyez-vous ? Ô cher Jésus, je bénis cette pauvre petite femme au Nom du Seigneur Jésus-Christ pour sa guérison. Que cela lui soit accordé au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Ses bénédictions reposent sur vous.
Dieu guérit le cancer, n’importe quoi, ce n’est rien devant Lui, si vous pouvez croire cela. Voudriez-vous croire qu’Il vous rétablira ? Ô Jésus, Toi le Fils du Dieu vivant, bénis cette pauvre petite femme, Satan est déterminé à lui ôter la vie. Je Te prie de l’épargner et je condamne cet ennemi au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, madame. Allez, en croyant.
64. Le cœur, c’est là que Dieu demeure. Et Il peut guérir Sa demeure. Ne le croyez-vous pas ? Allez-vous croire qu’Il va vous guérir ? Ô Eternel Dieu, envoie Tes bénédictions sur cet homme que je bénis au Nom de Christ. Qu’il soit guéri pour la gloire de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. Allez en croyant maintenant de tout votre cœur.
Croyez-vous de tout votre cœur ? Ayez foi.
Dieu guérit aussi le rhumatisme. Vous êtes assis derrière cette rangée, en train de prier pour votre rhumatisme. C’est vrai. Je n’aurais jamais saisi cela si je n’avais pas vu l’Ange aller dans cette direction-là. Eh bien, vous pouvez avoir ce que vous demandez, monsieur. Votre foi vous a guéri.
Gloire soit rendue à Dieu! Quel défi pour l’incrédule de croire et d’accepter !
Vous madame, assise juste là, un peu mince, à lunettes, vous souffrez de la sinusite. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit ? Vous pouvez avoir ce que vous demandez. Amen. Que Dieu vous bénisse.
65. Eh bien, la dame à côté de vous, elle a la tête baissée; elle prie pour quelque chose. C’est pour son petit-fils. C’est vrai. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu ? Croyez-vous ? Votre petit-fils souffre de nervosité, il est si nerveux qu’il ne peut même pas aller à l’école. C’est vrai. Mais si vous croyez de tout votre cœur, vous pouvez avoir ce que vous demandez et vous trouverez son état changé, quand vous le verrez.
Béni soit le Nom du Seigneur. Prions pour ces mouchoirs qui sont ici.
66. Ô Jésus, le Fils de Dieu, sois miséricordieux envers ceux qui sont dans le besoin et guéris chacun de ceux que ces mouchoirs représentent. Accorde-le, Seigneur, au Nom de Jésus. Et pour cette femme ici, je Te prie de la guérir et de la rétablir complètement. Puisse-t-elle aller dans la paix de Dieu et être bien portante.
Combien ici croient maintenant même ? Je sais que mon fils, ou l’un d’eux, tient mon manteau; on doit donc être vers la fin, je – je dois partir. Eh bien, soyez vraiment respectueux juste un moment. Si vous croyez solennellement de tout votre cœur que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Berger du grand troupeau de Dieu, est ici, essayant de Son mieux de se frayer un chemin dans votre cœur pour ôter cette incrédulité et toute cette vieille indifférence…
Qu’est-ce que le péché ? Qu’est-ce que le péché ? C’est l’incrédulité. Et si un homme ou une femme, un garçon ou une fille peut s’asseoir dans une réunion comme celle-ci et en sortir sans croire, je–je pense qu’il a dépassé l’espérance. Pourquoi ne pas croire maintenant même ? Allez-vous le faire ? Levez la main vers Lui.
Venez ici, madame. Au Nom de Christ, guéris cette femme, Seigneur, et rétablis-la.
67. Père céleste, je Te prie d’être miséricordieux envers cet auditoire et accorde que le Saint-Esprit… D’une manière ou d’une autre, ô Dieu, je ne sais comment Tu vas le faire, mais je Te demande simplement de le faire. Brise cette puissance de ténèbres ; brise cette puissance d’incrédulité. Déverse Ton Esprit dans cet auditoire, de sorte qu’Il secoue chaque personne là où elle est assise. Et puisse la puissance de Dieu relever les malades et les affligés et les rétablir complètement. Je Te les confie, Glorieux Saint-Esprit. J’ai fait tout mon possible. Et je Te les donne au Nom de Jésus.