QUAND L’AMOUR DIVIN S’ELANCE, LA GRACE SOUVERAINE INTERVIENT
1. Bonsoir, les amis. Nous sommes très heureux d’être de nouveau ici ce soir, dans la Présence du Seigneur. Et je suis sûr que c’est pour nous un grand privilège que d’être réunis au Nom du Seigneur Jésus. J’en suis heureux, et je sais que vous l’êtes aussi.
2. Eh bien, demain matin… Cela fait énormément plaisir de visiter le – l’Eglise baptiste de Spencerville, le matin. Je dois tenir des réunions avec notre brave frère, le Dr Lee Vayle, qui est le pasteur de la Première Eglise baptiste à Spencerville, dans l’Ohio. Et demain matin à 10 heures, je dois tenir son… le service dans l’auditorium principal, je pense, demain matin, un service de prédication.
3. Et puis, demain dans l’après-midi, à quatorze heures trente, [je tiendrai] un autre service de prédication ici à l’église. J’ai un message pour l’église, demain dans l’après-midi, le Seigneur voulant.
4. Ensuite, demain soir, c’est la soirée de clôture de… de cette campagne, il y aura un service de guérison ou plutôt la prière pour les malades, je voulais dire demain soir. Nous nous attendons donc à de grandes choses.
5. Et au courant de la semaine, nous avons tenu des services en prêchant la Parole, et il y avait l’onction du Saint-Esprit dans le discernement, ou plutôt par le don prophétique du Seigneur Jésus, nous avons le privilège de Le voir revenir parmi nous et faire exactement les mêmes choses qu’Il a faites quand Il était ici sur terre. Et je suis sûr que nos cœurs sont ravis de Le voir faire cela.
6. Et d’habitude dans des réunions, nous avons ce que nous essayons d’appeler une salle d’urgence. Mais comme nous n’en avons pas cette fois-ci, hier soir, nous avons décidé, si c’est la volonté du Seigneur, que ce soir nous puissions avoir ce que nous appelons une ligne d’urgence. Et ce serait… D’habitude, quand le…là dans le discernement, c’est lent et les visions peuvent se produire dans la salle, partout dans la salle.
7. Et le Seigneur agit exactement comme Il l’a fait avant Sa crucifixion comme une preuve, une preuve infaillible de Sa résurrection. Il n’est pas mort, mais Il est vivant pour toujours. Et cela nous donne une très grande consolation de savoir que Celui que nous aimons, Il nous honorera par Sa Présence parmi nous, en se manifestant comme étant vivant, après deux mille ans. Il est donc le Dieu immortel, le Dieu infini, infaillible et omnipotent.
8. Et maintenant, ce soir nous allons essayer quelque chose de neuf. Apparemment le… Et je le dis avec respect et amour. Le peuple américain ne semble pas être en mesure de saisir la chose comme c’est le cas outre-mer. Les mêmes choses qui se sont produites ici, se sont produites une fois en Afrique du Sud, et trente mille purs païens sont venus à Christ en une fois. Voyez-vous? Pensez-y.
9. Et je me suis simplement arrêté à la troisième personne et j’ai offert une prière, une prière collective pour toute la congrégation, on a estimé à vingt-cinq mille personnes le nombre de ceux qui ont été guéris en une seule fois. Pensez-y. Il y avait sept camions remplis de béquilles et de fauteuils roulants qui avaient été ramassés au sol et qu’on avait emportés, avec des gens qui marchaient derrière comme une armée, et qui chantaient Crois Seulement en Afrikaans.
10. En Inde, il y a eu beaucoup plus que cela. Mais ici, il semble que le peuple américain est enseigné de tant de différentes façons ; il leur est difficile de saisir la chose de toute façon. Des gens aimables, mais il leur est difficile de saisir la chose, de tendre simplement la main par la foi… Il semble… et cela donne lieu aux fanatiques (vous voyez, voyez-vous?), cela donne lieu à l’élément humain.
11. Nous voulons garder le côté humain loin de cela. Il s’agit de Dieu. Ce n’est pas si un homme vous touche, c’est Dieu qui vous touche. Voyez-vous? Ce – c’est une œuvre achevée. C’est quelque chose que Christ a déjà accompli pour vous. Et c’est votre propriété personnelle, pour chaque croyant. Il s’agit de regarder et vivre. Le serpent d’airain ne pouvait prier pour personne, ni toucher quelqu’un. Mais les gens regardaient et vivaient. Et c’était un type de Christ. Et si le type a pu faire ce qu’il a fait, que fera donc l’antitype quand il viendra, le fait de regarder pour vivre?
12. Maintenant, j’aimerais vous parler sur un petit message évangélique. Alors nous allons faire venir les gens… le Seigneur voulant. Mon fils a dit qu’il a distribué un tas de cartes de prière pour les cas urgents, la catégorie de gens qui ne sauront pas attendre jusqu’au service de demain soir qui sera l’apogée tel que nous croyons que Dieu nous l’accordera. Et nous allons faire venir les gens ici, je vais prier pour eux sans attendre les visions les concernant. Ainsi, je peux donc les faire passer pour que l’on prie pour eux parce que ce sont des cas urgents, et nous ne pourrions pas en prendre beaucoup, nous ne saurons vraiment pas le faire.
13. Maintenant, j’aimerais lire juste une portion des Ecritures. Et avant de le faire, parlons à l’Auteur juste un instant pendant que nous inclinons la tête.
14. Notre Bienveillant Père céleste, c’est avec l’adoration même de nos cœurs que nous Te remercions Toi, le Dieu vivant, d’avoir vraiment songé à nous envoyer Ton Fils bien-aimé, comme Rédempteur afin de nous ramener, nous, créatures indignes de la terre, à la communion avec Toi.
15. Et ce soir, lorsque nos esprits sondent les coulisses de générations, là dans les temps reculés, quelle belle communion cela a dû être, lorsque Dieu appelait Ses enfants dans la fraîcheur du soir et qu’Il communiait avec eux ! Ensuite, Il les embrassait, pour ainsi dire, sur la joue et Il les faisait coucher pour qu’ils se reposent la nuit; et les bêtes sauvages du champ, Il les installait pour la nuit sans aucun dérangement, sans aucun mal, il n’y avait pas de mal là, il n’y avait pas de mort, il n’y avait pas ni maladie ni trouble ; et ils se réveillaient dans un nouveau jour, marchant dans la Présence de leur Créateur, sans crainte ni maladie. Ô Dieu, nos esprits soupirent de voir encore ce temps-là. Car, c’est pour cela que nous avons été créés.
16. Et nous prions ce soir, Père céleste, que si la mort avec son ombre est en train de suivre de près une personne ce soir, et que celle-ci ne soit pas encore préparée à rentrer dans cette grande bénédiction, qui a été préparée pour nous avant la fondation du monde, puisse ceci être le soir où elle prendra cette unique décision finale et éternelle, Te disant: «Oui, mon Seigneur, je vais maintenant Te croire et Te prendre comme mon Sauveur.» Et puisses-Tu alors les remplir de Ton Saint-Esprit, les baptisant dans Ton bien-aimé Corps des saints et les placer dans leur position, afin qu’ils soient des ouvriers dans cette grande œuvre qui est la Tienne sur la terre.
17. Sois miséricordieux, guéris les malades et les affligés. Car, c’est dans ce but que Tu as fait l’expiation au Calvaire, et nous sentons que c’est notre propriété personnelle que Tu as donnée cette bénédiction rédemptrice à quiconque a été racheté. Et nous sentons que nous avons le droit de venir devant le Dieu vivant et de Lui demander ces bénédictions, car Il nous a gracieusement promis de le faire, en disant: «Tout ce que vous demanderez au Père en mon Nom, Je le ferai.»
18. Et maintenant Père, puisse le Saint-Esprit prendre la Parole, ouvrir le Livre, et libérer la puissance de l’Esprit afin qu’elle entre dans la Parole, et que Celle-ci trouve Son lieu de repos dans chaque cœur. Car nous le demandons au Nom de Ton Enfant bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.
19. Ce soir, j’ai choisi juste pour un petit moment… parce qu’il y a très peu de gens pour qui on doit prier ce soir. Et ce soir, j’aimerais que vous tous, vous puissiez prier avec moi dans la ligne de prière. Mais ne pensons pas à la ligne de prière en ce moment, mais tournons nos pensées sur quelque chose de plus grand que la ligne de prière. Tournons nos pensées sur le Seigneur Jésus, Son retour et Son amour pour nous.
20. Je vais lire un vieux passage qui vous est familier à vous tous, un passage qui est très familier. Peut-être que vos pasteurs et les autres ont lu cela maintes fois. Peut-être le – un des plus petits enfants ici peut citer cela. C’est le passage d’or de la Bible, Jean 3.16:
Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.
21. Pendant que j’étais assis là dans ma chambre, un – il y a quelque temps, après avoir passé ce temps de communion avec mon bon ami, le pasteur Boze de Chicago, je me disais: « Ô Dieu, que puis-je dire ce soir à ceux que Tu as rachetés par Ton Sang?» Car, se présenter devant une assistance, qu’elle soit petite ou grande cela importe peu.
22. Hier soir, nous avions… Je parlais de cela, comment Dieu rencontre de grandes foules ou de petites foules, juste là où les cœurs l’accueillent bien. Et voyant que vous qui êtes venus ce soir pour exprimer votre foi et ouvrir vos cœurs pour entendre la Parole de Dieu, vous….
23. Je me suis souvent demandé comment je me sentirais, si je pouvais avoir le privilège de tenir dans ma main deux gouttes du sang littéral de Jésus placées sur une assiette ou dans un verre. Que ferais-je avec deux gouttes du sang littéral de Christ? Oh! Je crois que je les porterai à mon cœur, je les garderais, je verserais des larmes. Mais, vous savez, aux yeux de Celui qui a librement versé Son Sang, j’ai devant moi [quelque chose] de plus grand ce soir. Car, j’ai reçu le privilège de parler à ceux qui ont été rachetés par Son Sang. Dieu a tant aimé le monde, qu’Il a donné Son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.
24. Donc, cette portion de l’Ecriture, un tout petit carré d’un pouce, sur un… juste sur un simple bout de papier, cependant si on adopte une attitude correcte vis-à-vis de cette Ecriture, cela pourrait changer la – cela changerait la destinée éternelle de ce monde. Ce n’est pas la taille qui compte, c’est la qualité.
25. Il n’y a pas longtemps, je lisais l’histoire d’un garçon qui était monté dans un vieux grenier. Et dans le grenier, il a par hasard trouvé un timbre postal de moins d’un pouce carré [2,54cm – N.D.T]. Et il l’a amené chez le collectionneur de timbres, et ce collectionneur de timbres lui a donné un dollar pour cela. Plus tard, ce timbre était vendu à 100 dollars. Et il est passé d’un collectionneur à un autre. Et si je comprends bien, maintenant, ce même timbre postal vaut presque 250.000 dollars, juste un petit morceau de papier. Mais ce n’est pas… ce n’est pas le papier qui le rend si précieux, c’est ce qui est sur le papier qui le rend précieux.
26. Et c’est ce qu’il en est de Jean 3.16. Ce n’est pas la longueur de l’Ecriture qui compte, mais c’est ce qu’Elle contient qui compte. Elle contient un message pour le monde comme quoi Dieu a tant aimé…
27. Et maintenant, j’aimerais prendre comme sujet, si on peut le prendre comme tel, pendant les quelques prochaines minutes, Quand l’Amour de Dieu s’élance, la grâce souveraine intervient. Quand Dieu a tant aimé le monde, l’amour divin de Dieu envers la race d’Adam, quand Il a tant aimé celle-ci, Christ est apparu et la grâce souveraine est intervenue. La grâce souveraine a rencontré l’amour de Dieu. Dieu a donné Son Fils unique. Vous voyez cela?
28. Eh bien, autrefois, je pensais que Dieu était fâché contre moi, mais que Christ m’aimait. Mais j’ai fini par découvrir que Christ est le cœur même de Dieu. Et dans ce beau type de la sortie des enfants d’Israël, Christ sous forme de type, était ce rocher frappé. Et le seul moyen que ce peuple… Après avoir cherché l’eau partout… ils périssaient. Et Moïse, le serviteur de Dieu, a pris la verge du jugement, laquelle était une verge de jugement... Elle avait apporté le jugement sur les incroyants de l’Egypte: les mouches, les moucherons, toutes sortes de maladies et d’afflictions. La verge du jugement de Dieu qui était agitée dans la main de Son serviteur, a frappé le rocher, et le rocher a donné de son eau, et un peuple qui périssait a été sauvé. Quel beau type de Jean 3.16!
29. Dieu a tant aimé le monde qu’Il… Lorsque les justes jugements qui devaient tomber sur nous ont frappé, ils sont tous tombés sur Christ. Et de Lui sont sortis des fleuves d’eaux vives (qui parlaient de l’Esprit) afin qu’un peuple qui périssait puisse vivre. Les eaux de la vie qui sont sorties de Lui, un Sacrifice frappé, Celui qui a été accepté… Et peu importe combien c’est petit… J’aime Dieu pour cela.
Certaines personnes disent: «Eh bien, ça m’est parfaitement égal, que je reçoive cela ou pas.» Ce n’est pas vrai.
«Eh bien, je ne suis qu’une petite ménagère.»
30. « Je ne suis qu’une dame de couleur qui habite là au fond de la rue.» Cela… Peu importe qui vous êtes, que «celui qui veut, qu’il vienne…» Peu importe combien on est petit comme ce passage biblique, peu importe combien il est court…
31. Je me suis souvent posé des questions; quand je vais en forêt au printemps, après l’hiver froid et venteux, je vois des toutes petites fleurs, pas plus grandes qu’un demi-pouce [1,27cm – N.D.T], et il me faut parfois m’abaisser pour les voir. Combien insignifiantes elles sont par rapport à un grand et imposant chêne qui se tient à côté d’elles! Mais Dieu est tellement soucieux de cette toute petite fleur qu’Il veille à ce qu’elle soit préservée pendant l’hiver, qu’elle puisse croître encore et s’épanouir. Et parfois parmi elles, il y a des bleues et des rouges. Dieu les connaît toutes. Dieu se soucie de nous tous.
32. Il n’y a pas longtemps, une petite fille nous a enseigné une leçon, quand l’illustre roi George, pour lequel j’avais eu le privilège de prier, quand le Seigneur l’avait guéri de la sclérose en plaques… Et il visitait une ville canadienne, et toutes les écoles étaient allées assister. Et les gens ont pris des drapeaux canadiens et ils sont allés aux coins des rues.
33. Et pendant que le roi passait… Je n’oublierai jamais l’expression sur le visage de mon manager, monsieur Ern Baxter, un Canadien. Et lorsque le roi passait, alors qu’à ce moment-là, il était souffrant de l’estomac et de la sclérose en plaques, il était debout ou plutôt assis à côté de sa belle reine vêtue de bleu… Lorsque la carrosse a tourné l’angle, j’ai vu cet homme de 240 livres [108,86 kg – N.D.T.] mettre ses mains sur son visage et pleurer. Et il a dit: «Imaginez-vous, le roi est en train de passer.» Et alors, il a crié: «Oh! Qu’arrivera-t-il un jour, quand le Roi des rois passera?»
34. On a retrouvé une petite fille, après que les rues étaient dégagées. Elle se tenait là à côté d’un poteau télégraphique avec ses petites mains élevées contre le poteau, en train de pleurer, sanglotant de tout son petit cœur. Et l’enseignante cherchait à retrouver l’enfant…. Elle avait son petit drapeau canadien sur l’épaule et elle pleurait. Et la dame, l’enseignante a dit: «Chérie, pourquoi pleures-tu? N’as-tu pas agité ton petit drapeau vers le roi pour montrer que tu es patriote?»
Elle a répondu: «Si, madame, j’ai agité mon petit drapeau.»
L’enseignante a dit: «Tu n’as donc pas vu le roi?»
La petite a répondu: «Non, madame, ce n’est pas que je n’ai pas vu le roi. J’ai vu le roi.»
L’enseignante a demandé: «Alors pourquoi pleures-tu?»
Elle a dit: «Le roi ne m’a pas vue.»
35. Oh! combien c’est différent avec le Roi des rois? Vous ne pouvez pas être trop petit. Il voit tout mouvement que vous faites. Il connaît tout ce qui est en vous. Il… Même pas un moineau ne peut tomber dans la rue sans que Lui le sache. Pas une petite fleur ne peut germer, un petit crocus, sans que Lui ne le sache.
36. Ainsi, combien ne valez-vous pas plus qu’une fleur? Et si vous êtes étendu ici malade ou affligé, ne savez-vous pas que le Roi des rois veille sur vous? Ne savez-vous pas qu’Il s’intéresse à votre guérison et à votre bien-être? Vous pouvez être vraiment coupable, mais saviez-vous qu’Il s’intéresse à ce que vous deveniez Son sujet? Vous direz: «Mais je ne suis qu’une personne insignifiante.» Mais vous ne l’êtes pas aux yeux de Dieu. Dieu a besoin de vous. Il vous aime. Et Dieu vous a tant aimé quand Son amour a été projeté, la grâce souveraine est intervenue et Il a envoyé un Sauveur pour vous racheter et vous ramener à Lui.
37. Et dans ce Sauveur… Il a été blessé pour nos péchés, parce que Dieu vous a aimés. Dieu a vu les afflictions de Son peuple, et par Ses meurtrissures vous avez été guéris, la grâce de Dieu a frayé une voie, car Son amour exigeait cela.
38. Et quand Son amour a projeté Son sentiment, Christ est sorti pour prendre Sa place. Il fallait que quelque chose prenne cette place. Seul Son amour a été manifesté pour vous. Et la grâce a pourvu à un Sacrifice pour vous. Maintenant, on vous demande simplement de croire cela: «…Quiconque croit en Lui, ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle.» J’espère que vous saisissez la vision…
39. L’amour, c’est l’un des plus grands instruments qui existe dans la grande économie de Dieu. Dieu est Amour. La Bible dit qu’Il est amour. Et quand vous devenez un de Ses enfants, vous devenez une partie de cet amour. Vous êtes une partie de l’économie de Dieu. Vous devenez un sujet de Son domaine. Et quand vous faites cela, vous devenez un fils et une fille de Dieu. Et Il a dit qu’Il vous donnerait la Vie Eternelle.
40. Eh bien, si je ne suis pas mal enseigné, et si je comprends correctement… Je n’ai pas d’instruction, je n’ai fait que l’école primaire. Mais je suis enseigné par des érudits, qui devraient connaître que le terme utilisé «donner la Vie Eternelle» en grec c’est «Zôê», qui signifie «la Vie de Dieu.»
41. Puis l’amour de Dieu projeté vers vous, vous ramène et fait de vous une partie de Lui dans la nouvelle naissance. Alors vous devenez un enfant qui est – un «né de» ou «qui vient de». Et cela vous met en relation avec Dieu, si bien que vous êtes [ses] fils et [ses] filles.
42. Et Dieu le Créateur, Qui a créé toutes choses par Sa puissance, par Sa Parole parlée… Et tout ce qui existe, c’est par la Parole de Dieu rendue manifeste; le monde entier a été créé. Et combien nous commettons une erreur quand nous essayons d’ignorer la Parole de Dieu ou que nous essayons de limiter la puissance de Dieu par notre propre imagination. Car la terre même sur laquelle vous vous tenez ce soir, n’est que la Parole de Dieu rendue manifeste. Dieu a créé le monde par Sa Parole parlée. Oh! la la! la poussière, tous les minéraux, l’or, toutes les eaux, et tout ce qui existe, ce n’est que la Parole parlée de Dieu. Si ce n’est pas le cas, où est-ce qu’Il a eu cela? D’où cela est-il venu? Dieu a dit: «Que ceci soit», et cela fut. Alors quelle foi devrions-nous avoir en Lui et dans Sa Parole?
43. Alors, quand vous devenez un fils ou une fille de Dieu, votre disposition change; votre attitude change, tout votre être, votre façon de considérer la vie et les autres change. Cela ne signifie pas que vous vous êtes joint à l’église; ça signifie que vous avez été régénéré. Vous êtes devenu une nouvelle création en Jésus-Christ, que vous avez… Les choses anciennes sont passées, et Dieu vous a parlé, et vous êtes devenu une nouvelle créature. J’aimerais que ceci pénètre profondément même dans des membres d’église.
44. Alors quand vous aimez rester dans la Présence de Christ, et que vous devenez une partie de Christ, alors les gens aiment rester dans votre présence, parce que vous êtes devenu une partie de Dieu, un fils ou une fille de Dieu.
45. Avez-vous déjà vu des gens dont vous aimez la compagnie? Ils ont quelque chose qui rayonne et qui fait que vous aimez leur parler. Et d’autres gens qui sont de bonnes gens (cependant nous ne disons pas ceci par méchanceté), mais c’est à peine si vous pouvez rester à leurs côtés. C’est à cause de l’atmosphère que vous créez. Car vous, en tant que fils de Dieu, vous êtes un petit créateur, parce que vous êtes une partie de Dieu.
46. Et c’est pourquoi vous pouvez croire la Bible, pour tout ce qu’Elle déclare; car la Parole, c’est la Parole de Dieu. Vous, étant une partie de Dieu, vous serez d’accord avec la Parole.
47. Alors, comprenez-vous la raison pour laquelle les gens disent : «Ceci n’est pas inspiré, et cela n’est pas inspiré, et ceci, c’est pour une autre époque»? C’est parce qu’ils n’ont jamais été en contact. Oh! peu importe combien de diplômes ils peuvent exhiber, cela n’a rien à faire avec la chose. Mais ils ne sont jamais entrés en contact avec Dieu pour naître de nouveau. Oh! Ils peuvent avoir sauté, ils peuvent avoir fait ceci; ils peuvent être des docteurs d’Etat. Ils peuvent avoir parlé en langues, ils peuvent avoir dansé en Esprit, mais Jésus a dit: «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.» Car là où il y a l’Esprit de Dieu, il y a l’amour; il y a la compréhension; il y a quelque chose qui fait que vous aimiez y rester.
48. Et oh! Combien c’est pitoyable dans cette heure dans laquelle nous vivons, que l’église du Dieu vivant n’ait pas encore trouvé ceci ! Car si Dieu habite abondamment dans nos cœurs, les barrières dénominationnelles ne pourraient jamais nous séparer; les barrières raciales ni rien d’autre ne pourraient jamais nous séparer; car rien du présent, rien du futur, que ce soit la faim ou quoi que ce soit, rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ.
49. Tous, en une seule grande Eglise de Dieu rachetée, debout, unis, faisant front commun, laissant la Parole de Dieu être le plan ou la carte qui nous aide à voyager vers la gloire avec… Juif ou Gentil, esclave ou homme libre, catholique ou protestant, devraient se tenir ensemble comme une très puissante armée, à cause de nos relations. Et si nous sommes les enfants de Dieu, nous sommes donc des frères. Pas du fait que nous avons tous des relations de fils avec Dieu, mais par la régénération, nous sommes des fils de Dieu. Nous sommes des fils d’Adam par nature, nous sommes des fils de Dieu par naissance.
50. Cela marche, beaucoup comme cela. Et j’ai remarqué cela dans ma vie, au fur et à mesure que je prends de l’âge, j’observe comment cela agit. Eh bien, je vous parle sur base d’une expérience, et c’est parfaitement en accord avec la Parole de Dieu.
51. Dans notre propre maison… Et essayez ceci chez vous. Et si jamais il y a une maison qui – qui est vraiment dans la confusion et déchirée, c’est la nôtre. Les gens de partout dans le monde entier, ils viennent et repartent jour et nuit, tout le temps... Et j’ai remarqué, il n’y a pas longtemps, que mon aimable petite femme, à 37 ans, elle a les cheveux complètement blancs; elle s’est tenue entre moi et le public. S’il y a d’éloges à faire à la famille Branham, faites-les à elle. Le téléphone vous rend comme fou jour et nuit.
52. La maison était pleine de monde toute la journée. J’étais sorti, et mes gosses, la petite Sara et la petite Rebecca se battaient pour le jeu de construction, petit Joseph, le bébé, était assis là au sol en train de crier à tue-tête, ma femme dans la cuisine se tenant le visage avec les mains, en train de pleurer… Quand finalement je ne trouvais plus personne dans la maison, certains étant allés dans telle chambre, d’autres dans telle autre chambre et d’autres au sous-sol ; je suis entré, et je me suis dit: «Oh! quelle confusion !»
53. Elle m’enlaçait et, disait: «Billy, je vais devenir folle.» Elle a dit: «Je n’ai pas réussi à donner le dîner aux enfants.»
54. Une fois, des fous furieux, et je le dis avec révérence, parfois une bande de fanatiques, font des va-et-vient dans la maison, disant: «Le Seigneur a dit ceci, le Seigneur a dit que si je ne suis pas votre manager… Le Seigneur a dit ceci.» Eh bien, si le Seigneur ne m’a pas parlé à ce sujet-là… s’Il avait quelque chose à dire… Mais vous n’y pouvez rien; c’est tout à fait humain.
Et elle a dit: «Les enfants n’ont pas eu de quoi manger, et je ne sais quoi faire.»
55. Eh bien, je me suis dit: «Maintenant, il ne reste qu’une chose à faire. Eh bien, je suis fatigué, mais je vais faire cela. Maintenant, Père céleste, dans mon cœur, aide-moi à être ce que Tu voudrais que je sois dans cette scène.» Et je me suis dit: «Eh bien, si je peux seulement la calmer !» Je me suis alors dit: «Chérie, veux-tu vite sortir avec moi pour dîner?»
56. «Oh! je vais laver les enfants», ceci et cela. Et c’est à peine si vous pouvez vous entendre penser, avec le petit Joseph qui frappe le plancher de toutes ses forces.
57. Alors, je me suis glissé quelque part, j’ai pris un tablier et je l’ai mis sur moi et j’ai commencé à l’aider. Puis je lui ai dit: «Chérie, tu sais quoi? J’ai vu la plus jolie robe l’autre jour. Je voudrais vraiment te l’acheter. Et c’était dans une certaine ville juste tout près d’ici, et nous irons l’acheter.» Et je priais constamment dans mon cœur: «Père céleste, calme cette chère petite femme.» Et, j’ai mis ma main sur elle… Elle ne savait pas ce que je faisais. Je disais: «Oui, chérie, oh! Elle était jolie.» «Ô Seigneur, calme cette petite femme.» Et je continuais, vous savez, elle ne savait pas… Qu’est-ce que j’étais en train de faire? J’étais en train de projeter, de créer une atmosphère différente. Marchez dans l’amour de Dieu; ayez la communion.
58. Et quelque temps après, elle s’est tranquillisée. Et alors, quand elle est devenue calme, Sara et Becky se sont partagés le jeu de construction; Joseph a pris quelque chose avec quoi jouer; et la paix a régné dans la maison.
59. Qu’était-ce? Projeter l’amour. Ils étaient miens, mes enfants, ma femme, et j’étais dieu. Et alors, Dieu donne son Esprit, et par cet Esprit, avec l’amour pour ma famille, la grâce souveraine est venue et a tranquillisé la famille. Elle le fera. Je sais qu’elle le fera.
60. Il y a quelque temps, je m’étais intéressé à une grande chose, avec monsieur Krause, un membre des Hommes d’Affaires du Plein Evangile (beaucoup d’entre vous le connaissent), un très bon ami de notre très honorable et bien-aimé frère Oral Roberts. Et ainsi, monsieur Krause, qui était un bon ami à Oral Robert, a dit: «Oh! si j’ai un problème, je suis un ami d’Oral Roberts. »
61. Ainsi, finalement un jour, monsieur Krause a été atteint de la maladie de reins. Alors, il est allé dîner avec frère Roberts. Et frère Roberts a dit: «Oh! frère Krause, pour Dieu c’est juste une petite chose.» Il a posé ses mains… Et frère Oral avec cette véritable (excusez-moi l’expression, mais) foi opiniâtre [en anglais, «bulldog faith»: foi de bouledogue – N.D.T.], il lui a imposé les mains et a dit: «Je réprimande cette maladie.» Il a dit: «Frère Krause, ne t’inquiète pas, tu seras guéri.»
62. Et frère Krause a dit: «Je me suis vraiment senti mieux.» Mais quelques jours après, la chose est encore revenue. Il a dit: «Je suis encore allé chez frère Roberts.» Et il a dit: «Il s’est passé la même chose.» Il a dit: «Alors, je me suis dit que je connaissais William Branham, j’irai donc auprès de lui.» Et il a dit: «Il a vu des visions; ainsi, je me tiendrai devant William Branham; il est un bon ami à moi, et William Branham pourra donc m’aider.»
63. Alors, il a téléphoné là et il a appris que j’étais à Shreveport, en Louisiane. Monsieur Krause et son épouse sont venus en avion jusqu’à Shreveport, et ils ont assisté aux réunions. Et il a dit: «Frère Branham, j’ai peu de temps, mettons nous à l’écart; et j’aimerais voir ce que le Seigneur me dira.»
64. Et j’ai dit: «D’accord, Frère Krause, mettons nous à l’écart.» Je me suis tenu là pendant 45 minutes et le Seigneur n’a rien dit. J’ai dit: «Je vais prier frère Krause.»
65. Il a dit: «Si le Seigneur vous révèle quelque chose, appelez-moi.» J’ai prié pour lui. Il a dit: «Vous savez, je me sens mieux. Je crois que le Seigneur m’a simplement guéri sans me révéler la maladie.»
J’ai dit: «Eh bien, nous sommes reconnaissants à Dieu.»
66. Ainsi je… Ce soir-là, étant un cher ami à frère Krause, j’ai prié pour lui, j’ai prié sans arrêt. Et environ quelques semaines après, il est encore revenu. Il a dit: «Tenons-nous devant le Seigneur et voyons ce qu’Il me dira. Je suis dans un état grave.» Je me suis encore tenu pendant une heure ou plus, et le Seigneur n’a rien dit.
Ainsi donc, il est allé chez le médecin. Le médecin a dit: «C’est un travail trop grand pour moi; vous feriez mieux d’aller chez Les Mayo.
67. Il est allé chez Les Mayo. Les Mayo l’ont examiné et [le médecin] a dit: «Monsieur, vous n’avez qu’une chance sur mille de vivre. Il faut immédiatement une opération.» Eh bien, il a dit: « J’accepte cela.»
68. Il est sorti et il a dit: «Je me suis dit que si j’étais si près de la mort, je ferais mieux de m’examiner vis-à-vis de Dieu.» Il a donc dit: «Seigneur, Tu sais que je T’aime, et j’ai essayé de tout mon cœur de soutenir tout ce qui est correct.» C’est un homme riche. Et il a dit… Il fabrique des charrues. Vous pouvez le connaître; il est en Arkansas.
69. Puis il a dit: «J’ai essayé de mener une vie correcte, et Tu sais, Seigneur, que je T’aime. Maintenant, si Tu es prêt à me ramener à la maison, je suis d’accord. J’ai vécu assez longtemps, et je suis prêt à venir. Mais Seigneur, si Tu peux m’utiliser, eh bien, je suis d’accord.» Il a dit: «Je me suis tenu devant Tes serviteurs Oral Roberts et William Branham, et c’est comme si leurs prières n’ont pas eu d’effets pour me guérir.» Et il a dit: «Peut-être que c’est quelque chose que j’ai fait, mais certainement, Tu aurais révélé cela pendant que je me tenais là devant le discernement.» Il a dit: «Mais si c’est mon temps de venir, je suis prêt à partir. Et je T’aime, je vais donc dans la salle d’opération, l’unique chance que j’ai.»
Et les médecins l’ont encore examiné, et ils ont dit: «Monsieur Krause, êtes-vous sûr de vouloir subir cette opération?»
Il a dit: «J’ai prié et je suis sûr de vouloir subir cela.»
70. Ainsi, dans la salle d’opération où ils sont allés, la dernière chose dont il s’est souvenu, c’est d’avoir dit: «Seigneur si Tu es prêt en ce qui me concerne, je T’aime, Seigneur. Je T’aime, Seigneur.» Et ils l’ont anesthésié. Et quand il est revenu à lui-même, la salle tout entière a commencé à s’illuminer. Et il a vu les médecins debout autour de lui. Et ils sont vite allés vers lui et ils ont dit: «Monsieur Krause, quelque chose est arrivé. Nous n’avons jamais vu une opération si parfaite. Et nous pensions que vous alliez mourir, mais tout d’un coup, vous êtes devenu normal.»
Qu’était-ce? Quand l’amour divin a été projeté, la grâce souveraine est venue pour prendre place. Elle devait intervenir. Obligatoirement.
71. Il y a quelques mois, dans l’ancien Mexico, je tenais une réunion. Et un jour… Je ne peux pas dire que ceci est vrai. Tout ce que je sais, c’est ce que je vais dire. Le jour précédent, un bébé avait été rejeté par un médecin pour aller mourir.
72. Il pleuvait. Les gens n’étaient pas assis sur des chaises comme vous. Ils étaient debout, les uns contre les autres comme des brebis dans un pâturage, ils étaient venus à 9 h ce matin-là, pour m’entendre prêcher à 9 h du soir. Ils se sont tenus sous un soleil accablant; des estropiés, des affligés… Et quand je suis entré… Le soir précédent, le Seigneur avait accompli un grand miracle et sur l’estrade dans cette grande arène, on avait empilé des tas d’habits sales, qui formaient une pile aussi haute que ça, afin que je puisse prier dessus: de vieux chapeaux, des châles. Mon cœur brûlait. Et il pleuvait dehors. Nous étions tous dehors en plein air.
73. Et alors, une petite mère était en train de crier quand j’ai appelé la ligne de prière. Et Billy est venu vers moi, et a dit: «Papa, tu dois faire quelque chose.» Il a dit: «Le bébé d’une mère est mort à trois heures de cet après-midi. C’est une petite femme catholique. Son bébé est mort, et elle l’a couvert.» Billy a dit: «Quand frère Espinosa a distribué les cartes de prière, elle n’a pas reçu de carte. Mais il n’y a plus assez d’huissiers pour empêcher la femme de monter sur l’estrade. Elle a ce bébé et elle est en train de crier à tue-tête: ‘Padre, padre’, (ce qui signifie: Père.)»
74. Et j’ai regardé à travers la longue file de lumières, et cette petite femme, une belle petite dame, se déchaînait, les larmes lui coulant sur les joues et une couverture dans ses bras, elle criait à tue-tête. Et j’ai dit à frère Moore, qui se tenait là sur l’estrade, un des managers, j’ai dit: «Descendez et priez pour le bébé et peut-être cela va la consoler.» Et l’amour de la petite maman pour ce bébé…
75. Et quand je me suis retourné vers – vers l’assistance au-dessus de l’audience pour continuer de prêcher, j’ai regardé et j’ai vu un petit bébé espagnol assis, en train de gazouiller. Frère Moore essayait de la tranquilliser, mais cela n’a pas satisfait son petit cœur. L’amour d’une mère était projeté vers Dieu.
76. Et j’ai dit: «Un instant, Frère Moore.» Je suis descendu. Et le bébé était enveloppé dans des couvertures. Je ne pouvais ni parler ni comprendre l’Espagnol. Mais j’ai simplement posé mes mains sur la petite couverture qui était trempée.
77. Eh bien, on me dit que le bébé est mort depuis 3 heures juste. Je ne sais pas. Je ne saurais l’affirmer. Les personnes mortes que j’ai inscrites dans mon livre, c’est authentique, elles ont été ressuscitées, ressuscitées par le Seigneur. Le médecin ou l’entrepreneur pourrait le confirmer.
Mais quand j’ai imposé les mains au bébé, quelque chose a donné un coup de pied sous cette couverture, et il a poussé un cri comme vous n’en avez jamais entendu dans votre vie.
78. Qu’était-ce? L’amour divin a été projeté vers le cœur du Dieu d’amour et la grâce souveraine a renvoyé une vision pour la guérison de l’enfant. Certainement.
79. Je me rappelle qu’environ une heure après cela, presque une heure, un pauvre vieux Mexicain est venu sur l’estrade. Ses pieds étaient ridés; il était pieds nus, son visage était couvert d’une barbe grise, il avait des cheveux gris, et il était aveugle. Comme il s’approchait de moi (on le conduisait), j’ai regardé et j’ai pensé: «Si mon père était en vie, il aurait presque cet âge.» Et il marmonnait quelque chose. Et quand il est arrivé près de moi, il a sorti une paire de – ou, un chapelet.
80. Et certains d’entre eux lui ont dit, Frère Espinosa… Il voulait savoir où j’étais et il était là en train de tâter mon visage. Je me suis tenu tranquille. Et ses vieilles et faibles mains tremblaient; ses joues étaient vraiment creuses; et les larmes sur ses joues. Puis je pensais: «C’est le papa de quelqu’un; c’est l’enfant d’une mère.»
81. Et il a commencé avec ses grains de chapelet, et j’ai dit: «Ce n’est pas nécessaire, papa.» Et il s’est mis à pleurer et il a trouvé mon visage, et il m’a tapoté, et il s’est agenouillé. Je l’ai encore relevé. Je pensais: «Regardez-moi ça!»
82. Vous voyez, mes amis, si vous n’entrez pas dans la communion, si quelque chose en vous ne réclame pas à grands cris l’autre et réciproquement, si quelque chose ne projette pas un amour…Vous savez, les gens ne sont pas si insensés; ils comprennent si vous simulez ou pas. Ils comprennent cela. Les animaux sauvages comprennent cela. Ainsi, vous devez entrer dans cette communion-là.
83. Et comme le vieil homme se tenait là, je l’ai regardé, et mon cœur s’est mis à battre sérieusement, et je me suis dit: «Pauvre vieil homme. La nature a été si cruelle envers toi. Probablement que tu ne t’es jamais assis pour prendre un bon repas de toute ta vie. Probablement que tu n’as jamais porté un costume de ta vie.»
84. J’ai placé mon pied à côté du sien. J’allais ôter mes souliers pour les mettre à ses vieux pieds poussiéreux et ridés. Mais j’ai vu qu’ils ne lui conviendraient pas. Avec ses épaules plus larges que les miennes, même mon veston ne lui conviendrait pas. Alors j’ai pleuré; je pensais: «Oh! et après tout ceci, tu es donc assis dans un monde des ténèbres. Tu ne peux pas voir où tu vas. Tu n’as jamais eu un beau costume. Et probablement que tu ne t’es jamais couché sur un bon lit. Tu n’as jamais pris un bon repas. Et peut-être que tu n’as jamais eu une bonne paire de chaussures de ta vie. Et maintenant, tu es dans les ténèbres.» Oh! combien cruel le diable peut être!
85. Et à propos, cela projetait l’amour vers le vieil homme. Et comme je l’enlaçais et que je l’étreignais contre ma poitrine, sans attendre une vision, je l’ai simplement tenu contre ma poitrine, j’ai dit: «Ô Dieu notre Père, sois miséricordieux envers ce pauvre vieil homme, le père de quelqu’un.»
86. Et je l’ai entendu crier: «Gloria a Dios!» Et il a fait un bond vers l’arrière de là où j’étais; et il a frotté ses yeux; il est tombé sur le plancher; il a embrassé ma main; il criait: «Gloria a Dios!» ce qui signifie: «Gloire à Dieu.» Et il a traversé l’estrade, il voyait aussi parfaitement que n’importe qui dans l’assistance.
87. Qu’était-ce? L’amour divin qui était projeté, a fait que la grâce souveraine intervienne. L’amour divin ne peut aller que jusque-là. Mais quand on s’en tient à cela fidèlement jusqu’à la fin, la grâce souveraine intervient et produit ce que l’amour ne peut pas accomplir.
88. Oh! mes amis, c’est ce dont l’église a besoin. Ce n’est pas d’une nouvelle organisation, pas d’un tas de fantastiques, pas d’une discussion, pas d’un débat, elle a besoin du baptême de l’amour, pour s’aimer les uns les autres. Elle n’a pas besoin de nouveaux dons; elle a besoin de l’amour pour faire opérer les dons qu’elle a. C’est ce dont elle a besoin.
89. Ceci peut paraître très étrange, et si c’est le cas, eh bien! nous nous rencontrerons un jour. Les animaux connaissent l’amour. Je les ai observés. Etant un chasseur et un homme qui aime la nature, j’ai observé comment Dieu y a pourvu. J’ai observé un poisson avec un hameçon dans la bouche. Ne vous tracassez pas à son sujet. L’acide de son corps va engloutir cela peu de temps après. J’ai observé un chien avaler un os. Ne vous tracassez pas à son sujet. L’acide de son corps prendra soin de cela. Dieu a offert une voie.
90. Il y a quelque temps, chez moi, j’avais un… J’avais l’une de ces tondeuses électriques. Et je tondais la cour au presbytère. Et je faisais quelques tours et si quelqu’un entrait chez moi, je me glissais là derrière, je me changeais et j’entrais vite pour prier pour les malades; et puis je ressortais peut-être et tondais une autre tranche et quelqu’un d’autre venait. Et vous savez, le gazon repoussait dans la cour du devant avant que je ne revienne pour celle de derrière. C’était vraiment pénible.
91. J’étais donc dans la cour de derrière par un après-midi chaud du mois d’août. Et je suis simplement allé là, personne ne me voyait, et j’ai ôté mon maillot; je suis resté torse nu. Il faisait très chaud, et la chaude tondeuse… Et je tondais le gazon et je chantais: «Oh! combien j’aime Jésus», pensant à la bonté du Créateur céleste. Et j’étais tellement emporté dans le – l’Esprit de ce à quoi je pensais, le Seigneur, que j’avais oublié que là au coin de la clôture, il y avait un grand nid plein de frelons. Et pendant que je tondais le gazon et que je chantais, les yeux fermés, et que je priais, j’ai heurté ce nid de frelons. Et tout d’un coup, sans penser… J’étais complètement couvert de frelons. Et ils peuvent vous ôter la vie. Ce sont de gros insectes. L’un d’eux peut vous faire tomber à terre.
92. Eh bien, ceci peut vous sembler un peu fictif, mais savez-vous que la vérité est plus étrange que la fiction? Mais quelque chose est arrivé. J’aimerais que ça reste comme cela.
93. Avez-vous déjà lu mon livre, au sujet du fou là à Washington? Avez-vous lu cela? Ce fou s’est précipité vers l’estrade, un homme de 260 livres environ [118 kg – N.D.T.] ou plus, et il a dit: «Je vais briser tous les os de ton corps.» Et la police et les ministres avaient tous fui dans toutes les directions, et je suis resté sur l’estrade avec le fou. Il s’est produit quelque chose.
94. A l’époque, je pesais 128 livres [58,05 kg – N.D.T.] Et le maniaque se tenait comme cela, les dents serrées, les yeux… Il a dit: «Toi, espèce d’imposteur, tu es ici prétendant être un homme de Dieu.» Il a dit: «Je te montrerai à quel point tu es un homme de Dieu. Je vais briser tous les os de ton corps.» Il a tiré son gros poing en arrière, et il était bien capable, physiquement, d’accomplir ses menaces.
95. Il s’est produit quelque chose. Au lieu de mépriser l’homme, j’ai eu pitié de lui. J’ai pensé: «Pauvre homme, tu n’aurais pas dû me traiter de cette manière-là. Eh bien! tu es un homme comme moi. Tu n’as pas été créé pour agir de la sorte. Tu as été créé pour aimer, pour être un père pour tes enfants, et – et pour les aimer, et aimer tout homme. Tu as été créé pour être un fils de Dieu; mais le diable s’est saisi de toi.» J’ai eu pitié de cet homme-là.
96. Et il a dit… Il s’est approché de moi, et il a [Frère Branham émet le son du crachat – N.D.E.] craché sur mon visage. Je l’ai regardé. Oh! cela m’est arrivé avec des sorciers et autres. Ne vous en faites pas. Si Dieu est avec vous, qui peut être contre vous?
97. Ainsi, j’ai regardé l’homme et je me suis dit: «Pauvre homme, je t’aime, mon pauvre frère perdu.» Je n’avais prononcé aucune parole. Et il s’est approché de moi et il a levé son grand poing vers l’arrière. Et la foule était assise là, le souffle coupé, une foule de six mille personnes à l’intérieur, et il y en avait presque autant qui se tenaient sous la pluie. Et il a tiré son grand poing en arrière.
98. Il venait de frapper un prédicateur. Il était sorti d’un asile de fous. Vous pouvez vous enquérir auprès de la police là-bas. Ce cas a été enregistré au casier judiciaire. Et il a frappé un prédicateur, et lui a brisé la mâchoire et la clavicule.
99. Il est entré là en courant, il a couru vers l’estrade et a dit: «Ce soir, je vais briser tous les os de ton corps.» Et je l’ai regardé, pas avec haine, mais avec amour. Et comme il prononçait ces paroles et qu’il commençait à s’avancer vers moi, Quelque Chose en moi a dit: «Mais ce soir, tu tomberas sur mes pieds.»
100. Il a dit: «Tomber sur tes pieds? Je te montrerai, toi espèce d’imposteur, sur les pieds de qui je tomberai.» Et il a couru vers moi et il a tiré son grand poing en arrière pour me frapper. J’ai dit: «Satan, sors de cet homme.» Ses yeux se sont immobilisés, sa tête est allée vers l’arrière, il est tombé et a coincé mes pieds contre le plancher. La police a dû l’écarter en le roulant. Oh! c’est cela: l’amour.
101. Quand ces frelons m’avaient couvert et que j’étais conscient que je serais piqué à mort dans les quelques instants qui suivaient, au lieu de fuir ou d’avoir peur…
102. Il n’y a que deux choses qui peuvent vous diriger: c’est soit la foi, soit le doute. Et ce… Le doute accompagnera – la peur accompagnera le doute. Donc, si vous êtes… Jésus a dit: «N’ayez pas peur.» N’ayez pas peur. Dieu tient Sa Parole. Peu importe la condition dans laquelle vous vous retrouvez ce soir. Dieu tient Sa Parole.
103. Eh bien! Nous allons terminer dans quelques instants, écoutez attentivement. Qu’est-il arrivé? J’ai aimé ces frelons. Cela paraît étrange, mais je l’ai fait. Et voici pourquoi… Je – Je leur ai parlé. Eh bien! je ne dis pas qu’ils m’ont compris, mais il y a quelqu’un qui m’a compris, car j’ai dit: «Petites créatures de Dieu, je vous ai interrompues. Vous dormiez et je vous ai interrompues. Mais je suis serviteur de votre Créateur, et Ses enfants malades sont chez moi pour que je prie pour eux. Je tondais le gazon et je regrette de vous avoir dérangées, petites créatures de Dieu. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, votre Créateur, mon Seigneur, retournez vite chez vous et je ne vous dérangerai plus.»
104. Et quand je vous rencontrerai au jugement… Ces frelons qui fourmillaient sur moi ne m’ont jamais touché, et ils ont formé une seule ligne et ils sont rentrés droit dans leur nid. Quand l’amour est projeté, la grâce souveraine intervient.
105. Pendant sept ans, j’étais garde-chasse dans l’Indiana. Un jour, pendant que je mettais des poissons dans l’eau… Je ne sais pas pourquoi je dis ces choses. Mais pendant que je traversais un champ où un grand taureau avait tué un homme de couleur; et ce taureau était du pâturage de monsieur Gurnsey à Sellersburg, dans l’Indiana. J’avais oublié que ce taureau était là; en effet, il y avait des écriteaux partout: «N’entrez pas.» Mais j’avais acquis un petit fusil que j’étais censé porter, mais je l’avais jeté dans la voiture. Et j’étais en train de traverser ce champ, sur la colline, pour aller prier pour un homme malade que je connaissais.
106. Et je marchais dans le champ, je ne remarquais rien. Et tout d’un coup, ce grand bourreau est sorti d’un bond du milieu d’un buisson, il m’a regardé et il a poussé un mugissement; il a baissé sa tête et il a planté ses cornes dans la terre et les a retirées. Immédiatement, j’ai cherché mon fusil. Il était dans la voiture. Je me tenais là seul. La clôture était à environ 250 yards [228,6 m – N.D.T.], et le taureau était à environ 30 yards [27,432 m – N.D.T.]; il n’y avait pas d’arbres ni rien. J’ai dit: «Eh bien! C’en est fini de moi.» J’ai dit: «Je n’aimerais pas mourir en lâche, mais je me tiendrai ici et je mourrai comme un chrétien devrait mourir.» Et alors que je pensais à moi-même; ce grand taureau s’est retourné, je savais que c’était la mort, que je serais tué à coup de cornes dans les quelques instants qui suivaient. Oh! avec ma force, je n’étais pas en mesure de l’affronter.
107. Et je suis reconnaissant que je n’avais pas de fusil; en effet, quelque chose s’est produit. Oh! excusez mon émotion, mais quelque chose s’est produit. L’amour est descendu. Maintenant, ceci peut paraître étrange, mais c’est la vérité. J’ai parlé à ce taureau. J’ai dit: «Je t’ai dérangé, mais je suis le serviteur de ton Créateur. Je suis en route pour aller prier pour mon frère qui est malade. Je suis désolé de t’avoir dérangé. Maintenant, ne me fais pas de mal, car je t’aime. Et comment peux-tu me faire du mal alors que moi je t’aime.»
108. Et le voici venir. Je n’avais pas peur de l’animal, pas plus que je n’en ai de mes frères qui sont assis ici. Il est venu et je me suis tenu simplement là. Et j’ai dit: «Je t’aime parce que c’est Dieu qui t’a créé. Je t’ai dérangé, et je le regrette.» Et comme il s’approchait de moi, je suis resté tranquille, et il est arrivé à environ dix pieds [3,04 m – N.D.T], il a projeté ses pattes en avant et s’est arrêté; il avait l’air très épuisé. Il a regardé de part et d’autre. J’ai dit: «Au Nom du Seigneur Jésus, toi, créature de la création de Dieu, rentre et va te coucher.» Et Dieu est mon témoin; le taureau s’est retourné et il est allé se coucher; et je suis passé à environ 5 pieds [1,52 m – N.D.T.] de lui.
Qu’était-ce? La mort était proche. L’amour a été projeté, et la grâce souveraine a arrêté le taureau.
109. Qui n’a jamais entendu parler de l’histoire de l’opposum? Pendant que je termine… Elle a fait le tour du monde. L’été passé… Léo et Gene qui sont assis là, mes deux jeunes gens qui enregistrent les bandes… Le frère et sœur Wood sont assis là. Léo et Gene, ce sont deux bons garçons qui m’accompagnent dans les réunions; l’un est issu d’une famille catholique, et l’autre avait formé un petit FBI à lui. Ils allaient et faisaient des investigations sur moi. Et ils l’ont fait. Et dès lors, ils voyagent avec moi pour enregistrer les bandes. Et ce sont de bons jeunes gens chrétiens. Et quand ils l’ont fait, ils étaient là, assis sous le porche, et je les appelle mes étudiants. Et je leur enseignais l’amour de Dieu.
110. Monsieur et madame Wood. Wood – Madame Wood était de l’église de Dieu, monsieur Wood était un témoin de Jéhovah. Et ils avaient un garçon estropié qui avait une jambe raccourcie. Ils sont venus à la réunion de Louisville, et ils ont vu le Seigneur accomplir des œuvres. Monsieur Wood, un entrepreneur très bien connu partout dans le nord du Kentucky, a dit: «Je suis un témoin de Jéhovah, mais ça c’est de Dieu.» Il s’est donc rendu à Houston, au Texas, à la réunion suivante et c’est là que l’Ange de l’Eternel est descendu, et a été photographié. Monsieur et madame Wood étaient présents pour voir cela.
111. Je suis allé outre-mer en Suède. Sur mon chemin du retour, j’ai commencé mes réunions dans l’Ohio, à Cleveland, dans l’Ohio. Ce soir-là, ils sont venus à la réunion, ils étaient assis au fond; ils étaient assis et ils priaient. Et pendant que j’étais sur l’estrade, le Saint-Esprit m’a fait retourner par leur foi et Il a dit quelque chose, peut-être pas en ces termes, mais en rapport avec ce problème. «La dame, l’homme et le petit garçon qui sont assis là, l’homme est un entrepreneur, il vient du Kentucky; et ils ont un petit garçon qui est estropié suite à la paralysie qui a fait que sa jambe se soit raccourcie. Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est guéri.» Ils ne savaient quoi dire. Quelque temps après, ils ont dit: «David, lève-toi.» Et David était aussi normal que n’importe quel autre garçon. L’amour a été projeté.
112. Il a abandonné son travail d’entrepreneur, il a tout liquidé et a acheté une maison à côté de la mienne, et il est mon voisin. Madame Wood est une vétérinaire. Elle aime les animaux et elle aime aller dans les bois, c’est une très bonne dame. Et sa famille est méthodiste, je pense.
113. Ce matin-là, je donnais un enseignement sur l’amour à ces jeunes gens. Maintenant, écoutez attentivement avant qu’on termine… J’ai regardé sur la route, et j’ai vu venir une petite chose qui se roulait et boitait pendant qu’elle descendait la route. Et j’ai regardé et il était environ, je pense, 10 heures du matin, mes amis. Et qu’était-ce ? C’était un opossum. Vous savez ce que sont les opossums ici. Eh bien, quiconque connaît les animaux sait que les opossums se promènent la nuit. Ils ne voient pas pendant le jour.
114. Voici donc que cet opossum se promenait pendant le jour. Et il est venu par-là où il n’y avait pas de clôture, sur une distance de deux ou trois maisons, il venait de la forêt, à environ 500 yards [457,2 m – N.D.T.] de l’autre côté de la grande route. Voilà qu’il venait longeant l’allée. Et ma maison est clôturée et a un portail ayant une construction en pierres. Et quand l’opossum est arrivé juste chez moi, il est entré. J’ai regardé et j’ai dit: «Il y a un opossum là, quelque chose lui est arrivé. Il a peut-être attrapé la rage. Regardez comment il fait, il fait des culbutes, il se roule, il se débat, essayant d’entrer.
115. Et monsieur Wood était en train de ratisser la cour et il avait un râteau dont on se servait pour la cour, qui était là. Et j’ai dit aux jeunes gens: «Venez ici juste un instant.» J’ai couru, j’ai pris le râteau, et je l’ai jeté sur l’opossum. A ce moment-là, le laitier est venu, monsieur Guilmore. Nous avions les regards fixés sur l’opossum, et j’ai dit: «Elle doit avoir la rage.» J’ai dit: «Oh! non, et regardez.» Oh! excusez ceci, mais sa jambe était toute couverte d’asticots, de chiures de mouches. Les chiens l’avaient dévorée ou plutôt une voiture lui était passé dessus et l’avait écrasée.
116. «Oh! ai-je dit, regarde comment cette patte est enflée, celle qui est devenue grosse comme ça et l’autre.» J’ai dit: «Elle est – elle est mourante.» Et pendant que je maintenais le râteau sur l’opossum, à ma surprise… Un opossum, et un kangourou, ce sont les seuls animaux qui transportent leurs enfants dans une poche. Et sa poche s’est ouverte et elle avait neuf petits, des tout petits nus. Et j’ai dit: «Venez ici, jeunes gens. Et je vais vous enseigner plus au sujet de la Bible.» J’ai dit: «Peut-être que cet opossum est entré…»
117. Le jour précédent, une très jolie et belle jeune dame de couleur de notre ville avait donné naissance à un enfant illégitime. Elle l’a enveloppé dans une couverture et l’a tué en l’étouffant. Elle l’a amené à bord d’un taxi jusqu’à la rivière et l’a jeté dans la rivière.
118. Et nous parlions de cela. J’ai donc dit: «Cette charmante jeune dame n’avait rien d’une mère par rapport à cette [maman] opossum.» Pas parce qu’elle était une fille de couleur, non; des blanches, des brunes, des jaunes, toutes celles qui sont sans Christ font la même chose. Mais j’ai dit: «La moralité de cette [maman] opossum est supérieure à celle de cette femme-là; en effet, cette femme-là ne voulait pas de son bébé et elle lui a ôté la vie.» La police l’avait mise en prison. Mais j’ai dit: «Cette vieille maman opossum n’avait pas plus de 30 minutes pour vivre.» Et elle mordait le râteau, c’est tout ce qu’elle pouvait faire.
119. Généralement, lorsque vous les touchez, ils tombent, (ils font le mort comme on le dit). Mais elle était en train de se frayer le chemin quelque part. Et j’ai dit: «Elle était en train de mordre ce râteau et elle est vraiment prise de panique; mais elle est une véritable mère. Elle va consacrer ces trente dernières minutes de sa vie à se battre pour ses petits.» J’ai dit: «C’est ça l’amour d’une mère.» Elle aimait ses petits.
120. J’ai soulevé le râteau; l’opossum a roulé; et elle est allée jusqu’à ma porte; et elle est tombée là, épuisée. J’ai dit: «Elle est morte.» Et je suis allé là-bas, et je l’ai piquée avec le râteau. Mais j’ai vu qu’elle n’était pas morte. Elle pouvait encore – de petites grimaces sur le côté. Et j’ai regardé cette patte, qui était complètement écartée et tendue et ces petits qui tétaient cette pauvre mère mourante.
121. Et alors, monsieur et madame Wood sont venus. Et madame Wood qui est une douce, chère et femme chrétienne (mais d’après ses connaissances, étant une sorte de vétérinaire), elle a dit: «Frère Branham, tue cet opossum et tire-le de sa misère.» Et elle a dit: «Les petits ont une bouche ronde. Ils ne peuvent pas prendre du biberon et ils sont tout petits de toute façon. Ils sont trop jeunes de toutes les façons. Ils n’ont que quelques heures. Il vous faudra donc amener ces petits pour les tuer.»
Oh! je me suis dit: «Je ne peux pas faire cela.» j’ai dit: «Je ne peux simplement pas faire cela.»
122. «Oh! a-t-il dit, Frère Branham, vous n’allez pas laisser ce pauvre animal s’étendre là comme cela et ces petits opossums en train de téter le lait de cette mère mourante. Ils mourront d’une mort affreuse.»
123. Eh bien! la femme avait raison. Mais quelque chose en moi ne voulait pas que ça se passe ainsi. Elle a dit: «Eh bien! Vous êtes un chasseur. Allez prendre votre fusil et abattez-la.»
J’ai dit: «Je suis un chasseur, mais je ne suis pas un assassin.» J’ai dit: «Et je ne peux pas faire cela.»
Elle a dit: «Que Banks…» C’est son mari bien-aimé, mon copain. Elle a dit: «Qu’il la tue?»
J’ai dit: «Je ne le peux.»
124. Elle a dit: «Vous voulez dire que vous laisserez ce pauvre animal rester étendu là, sous ce soleil accablant, et ses petits brûler, comme leurs petits corps nus sont frappés par les rayons directs de ce soleil d’aujourd’hui, alors qu’elle est couchée là, gémissant, morveuse et mourante?»
125. Humainement parlant, c’était la chose à faire, mais je ne pouvais tout simplement pas le faire. J’ai parlé à Léo et à Gene. Plus tard, ils sont partis. Tout au long de la journée, elle est restée couchée là. Je suis parti. Les petits opossums s’efforçaient toujours de téter…
126. Ce soir-là, monsieur Wood est venu et il a dit: «Eh bien, Frère Branham, tu étais occupé toute la journée. Tu dois simplement tout abandonner. Viens, je vais t’offrir une petite promenade en voiture.» Nous avons pris ma femme et nous sommes allés faire un tour. Et j’ai trouvé un petit pauvre chien couché au bord de la route, il était galeux, rongé, couvert de puces. Et je l’ai ramassé en sorte que les puces montaient sur mes mains. Et ma femme a dit: «Billy, tu ne vas [quand même]pas l’amener.»
127. J’ai dit: «Mais chérie, ce n’est qu’un petit animal. Quelqu’un l’a jeté parce qu’il est galeux.» J’ai dit: «Il a le droit de vivre.» Et je l’ai amené à la maison, je l’ai lavé, je lui ai administré des médicaments, j’ai prié pour lui. C’est un gros chien, un magnifique gros chien de berger écossais.
128. Quand je suis rentré vers 23 heures, la vieille [mère] opossum était couchée là-dehors, étalée par terre. Frère Wood a dit: «Eh bien, elle est donc morte.» Et les petits continuaient à téter… J’ai dit: «Eh bien, peut-être qu’elle est morte.»
Il a dit: «Eh bien! pourquoi est-ce que tu ne la tues pas, Billy?»
J’ai dit: «Je ne le peux vraiment pas.»
129. Alors, mon fils est revenu de la rivière, vers minuit, revenant de la pêche, et le vieil opossum était toujours étendu là. Toute la nuit, j’ai pensé à cet opossum. Je ne pouvais tout simplement pas ôter cela de mon esprit. Et le lendemain matin, je me suis levé très tôt et je suis sorti. Et quand je suis allé à l’extérieur, le vieil opossum était toujours couché là. Ce soir-là, monsieur Wood m’a dit: «Tu sais, Frère Branham, si cet opossum allait se déplacer, elle serait partie au coucher du soleil.» Il a dit: «Tu as assez tendu des pièges et chassé pour le savoir.»
J’ai dit: «C’est vrai.»
130. Et le lendemain matin, je suis sorti. J’ai une petite fille qui a eu sa première vision tout récemment, une petite fille de 11 ans. Elle est sortie sous le porche, la petite Rébecca. Et elle a regardé [cet opossum] et elle s’est mise à crier. Elle a dit: «Papa, elle est une véritable mère, n’est-ce pas?»
131. J’ai dit: «Oui.» Je l’ai tapée du pied. Elle était couverte de rosée et les mouches à viande étaient toujours sur elle. Elle a dit: «Papa, que vas-tu faire de cette maman opossum?»
J’ai répondu: «Chérie, papa ne sait pas.»
Elle a dit: «Vas-tu la tuer, papa?»
132. Et j’ai dit: «Papa ne peut pas faire cela, chérie.»
J’ai dit: «Chérie, tu t’es levée trop tôt», juste avec son petit pyjama… J’ai dit: «Rentre dans la maison et retourne au lit auprès de maman.» Ainsi, je la hâtais de rentrer en chambre. Et je suis entré dans mon cabinet de travail et je me suis assis. Je pensais: «Ô Dieu, combien cette pauvre vieille maman opossum a souffert! Combien elle doit aimer ses petits!» Et pendant que j’étais assis là, je me suis dit: «Eh bien! En tout cas, je n’aimerais pas la voir être tuée.»
Pendant que j’étais assis là, Quelque Chose m’a dit: «Hier tu prêchais à son sujet. Tu l’as utilisée comme ton sujet.»
J’ai dit: «C’est vrai.»
«Tu as dit qu’elle était une véritable mère.»
J’ai dit: «C’est vrai.»
133. La voix a dit: «Je l’ai envoyée à ta porte, et elle est couchée à ta porte depuis 24 heures, comme une dame, attendant son tour afin que tu pries pour elle, et tu n’as rien dit.»
134. J’ai dit: «Eh bien, je n’ai pas…» J’ai dit: «A qui est-ce que je parle? Suis-je en train de parler à moi-même?» J’ai sursauté. Je me suis dit: «Oh! est-ce Toi, Dieu?»
135. Je suis sorti sur le porche et la petite Rébecca se tenait encore là, en train de regarder cette mère opossum. Elle était immédiatement sortie de la maison. Je suis allé vers l’opossum. J’ai dit: «Ô Dieu, je sais que Tu connais chaque fleur. Tu connais chaque moineau. Etant donné que cette grande et horrible chose est arrivée chez les femmes, cette chose en rapport avec cette belle jeune fille qui a tué son bébé… et Tu as voulu montrer que Tu peux même conduire les animaux. Et elle est venue et s’est couchée à ma porte, attendant son tour pour que l’on prie pour elle.» J’ai dit: «Je suis désolé d’avoir fait cela, ô Dieu!» J’ai dit: «Je ne le savais pas, ô Dieu! Je l’aurais fait.» Mais j’ai dit: «Si c’est dans Ta providence divine que Tu as cherché à faire ceci, et que Tu veux que je prie pour l’opossum, alors je fais ceci au Nom de Christ. Aide-la, Père. Son amour pour ses petits a été si grand…» J’ai pensé: «Ô Dieu, pourquoi fais-Tu ceci?» Et quand je dis cela…
136. Eh bien, cela peut paraître étrange. La chose s’est répandue… J’ai reçu des lettres de l’Afrique, de l’Inde, du monde entier à ce sujet. La presse associée, je pense, s’est saisie de cela. Et cette vieille mère opossum s’est levée, elle a repris ses petits dans sa poche, elle a descendu cette allée marchant aussi normalement que le pouvait n’importe quel autre opossum. La queue relevée; elle est descendue vers le portail, elle s’est retournée comme pour dire: «Merci, gentil monsieur.» Elle a traversé la route, elle est rentrée dans le bois. Autant que je le sache, elle est heureuse avec ses petits ce soir.
137. Si Dieu peut penser de la sorte à un opossum, combien ne peut-Il pas penser à vous, quand votre amour est produit et projeté dans le cœur du Dieu vivant? Si Dieu… Rien que par instinct, cet opossum n’avait pas d’âme. C’était un animal muet. Et si cela a pu être fait de cette manière-là par instinct, et que le Saint-Esprit a pu conduire une vieille mère opossum là, sachant qu’Il me demanderait de prier pour cet opossum, et que sa vie serait épargnée, combien valez-vous plus qu’un opossum?
138. Pourquoi êtes-vous venus ici ce soir pour qu’on prie pour vous? Où se tient votre âme vis-à-vis de Dieu, c’est cela ma question? Inclinons la tête juste un instant. J’ai parlé longtemps, je ne sais pourquoi. Vous êtes si aimables. Et je sais qu’un jour, après demain, peut-être que nous serons obligés de nous séparer à des miles.
139. Pendant que nous sommes assis avec nos têtes inclinées, je me pose la question pendant que je vous demande, si: «Dieu a tant aimé le monde, qu’Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croît en Lui, ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle», je me pose la question. Avez-vous apprécié cela à tel point que vous avez accepté Son don de la Vie Eternelle pour vous?
140. Maintenant, soyez sincère, que chaque tête soit inclinée, et chaque œil soit fermé. Etiez-vous en train de penser de façon particulière à quelque chose? «Oh! Je ne suis qu’un membre d’église; je n’ai jamais accepté Son amour envers moi, pour rendre ma vie ce qu’elle devrait être. J’aimerais avoir cela. J’aimerais que Dieu vienne à moi ce soir, qu’Il me remplisse de Son Esprit, qu’Il me pardonne mes péchés.» Voudriez-vous lever la main vers Dieu pendant que chaque tête est inclinée? Je le ferai. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse madame. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, monsieur et vous, vous. Oh! la la! Que Dieu vous bénisse, vous, madame, vous, vous et vous, frère et vous et vous, frère et vous, sœur, vous, frère, vous.
141. Oh! Il y en a partout dans le bâtiment. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse, ma sœur, là-bas. Là, au-dessus, aux balcons maintenant, combien là-haut peuvent dire: «Frère Branham, je vais être sincère avec Dieu. Quelque Chose a parlé à mon cœur depuis que je suis assis ici. Vraiment, je ne suis pas tout à fait ce que je devais être»?
142. Que Dieu vous bénisse, frère. «Je lève maintenant ma main…» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, fiston. Oh! la la! Que Dieu vous bénisse, petite fille. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous là au-dessus. Je… Que Dieu vous bénisse, mon frère. Que Dieu vous bénisse, mon frère.
143. « De toute façon, Frère Branham, là au fond de mon cœur…» Que Dieu vous bénisse, sœur. «Je me sens très étrangement réconforté, mais il y a quelque chose que je manque en moi. Je veux que Dieu remplisse ce vide, maintenant même, de Son amour.» Que Dieu vous bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous, et vous. Oh! la la! juste partout.
144. J’ai besoin de Dieu maintenant, avec Sa miséricorde, car je suis amoureux de Lui. Je veux qu’Il me donne l’amour divin, la grâce souveraine enverra le baptême du Saint-Esprit sur moi afin de me rendre une personne différente.»
145. Combien parmi ceux qui sont ici, qui ont accepté Christ et qui n’ont jamais été remplis du Saint-Esprit, voudraient aimer Dieu à tel point qu’Il les remplira du Saint-Esprit? Voudriez-vous lever la main? Oh! partout dans la salle, partout, au moins deux cents ou plus de cent cinquante pécheurs ont levé la main, quelque deux ou trois cents personnes ou plus cherchent le baptême du Saint-Esprit.
146. Si Dieu s’est tant soucié d’une pauvre vieille mère opossum, combien plus vous aime-Il?» Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique…» Vous direz: «Frère Branham, qu’est-ce que ça change si je levais la main?» Pour vous, c’est une question de vie et de mort. «Oh! Ce n’est qu’une petite chose.» Je sais. Il en est de même de Jean 3.16. Mais c’est une question de vie ou de mort. C’est ce que c’est.
147. Jésus a dit dans Saint Jean 5.24: «Celui qui entend Mes paroles et croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne viendra pas en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»
148. Y aurait-il quelqu’un d’autre qui est en dehors de Christ, qui n’a pas levé la main et qui aimerait le faire maintenant et dire: «Souviens-Toi de moi. Ô Dieu, me voici. Me voici.» Là, au balcon? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur, vous. C’est bien. Un…Y aurait-il quelqu’un d’autre, certainement quelque part, qui est en dehors de Christ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu voit votre main. Que Dieu vous bénisse, la petite dame.
149. Oh! c’est vraiment quelque chose que de reconnaître que le Dieu vivant est présent maintenant, pour accomplir pour vous ces choses que vous ne pouviez pas faire par vous-même. Que Dieu vous bénisse monsieur. C’est une question de vie ou de mort pour vous.
150. Y a-t-il encore quelqu’un au rez-de-chaussée qui aimerait dire: «Souviens-Toi de moi, ô Dieu. Je lève ma main, pas tellement… pas pour que frère Branham la voie, mais j’aimerais que Toi, Tu me voies, ô Dieu» ? Que Dieu vous bénisse, là contre mur là-bas. Que Dieu bénisse la dame de couleur. Je vous vois. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, monsieur.
151. Là-bas dans les halls, là-dehors et dans les couloirs là au-dessus, ceux qui ne peuvent pas entrer, voudriez-vous lever la main et dire : «Souviens-Toi de moi.»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu vous voit. Dieu vous voit…?...
152. En bas, dans cet autre couloir, voudriez-vous dire: «Dieu, souviens-Toi de moi. Je veux que Tu te souviennes de moi, Seigneur. Et ce soir, je lève ma main comme un signe que je crois maintenant et que j’accepte l’amour de Dieu»?
Si vous êtes membre d’une église, vous êtes un membre d’église; c’est très bien. Mais j’aimerais que vous soyez un chrétien en plus de cela.
153. Très bien. Y a-t-il quelqu’un d’autre juste avant de prier? Que Dieu bénisse ce petit garçon qui est assis ici. Que Dieu bénisse le petit…?... là au-dessus. Oh! certainement, juste un autre qui veut se repentir. Que Dieu te bénisse, fiston, toi qui te tiens là, ce petit garçon d’environ dix ans. La Bible dit: «Laissez les petits enfants venir à Moi, ne les empêchez pas.» Que Dieu vous bénisse, mon frère qui se tient là. Certainement.
154. «J’ai été étrangement touché dans mon cœur, Frère Branham. Quelque Chose est venu à moi et a dit: ‘Mets cela en ordre maintenant même. Je suis l’Amour de Dieu qui frappe à ton cœur. J’aimerais entrer ce soir. Je t’ai tant aimé que j’ai donné la meilleure chose que J’ai. Maintenant, veux-tu me donner ta vie?’»
«Qu’est-ce que…?... En faire, allez-vous la détruire?»
«Non, je la ressusciterai.»
155. Quand le froid d’hiver sera terminé, vous viendrez directement à ce…?... Vous reviendrez comme un homme nouveau, un jeune homme, une jeune femme, et vous resterez ainsi éternellement. Il n’y aura plus de vieillesse ni de rides, ni de cheveux gris, ni de corps défigurés ni de maladie qui vous dérangeront à la résurrection. Vous serez immortel, fait à Sa ressemblance. Vous avez le choix ce soir. Très bien, pendant que nous inclinons la tête, et si la sœur qui est au piano…
156. Ô Dieu, c’est l’heure; c’est le moment où partout beaucoup de mains se sont levées… Ces gens sont sincères, Seigneur. Et moi, comme Ton serviteur, j’intercède pour eux. J’implore la miséricorde. Accorde-le, ô Dieu. Qu’ils soient tous sauvés et remplis du Saint-Esprit. Et puisse l’amour de Dieu qui a été abondamment répandu par le Saint-Esprit remplir chaque cœur. Et puissent-ils sortir de cette salle, libérés de toutes leurs rancunes et leurs différends.
157. Nous savons que le péché est noir et sombre, mais les plus grands éléments du péché peuvent devenir une simple goutte, comme si cela tombait dans une très grande cuve de décolorant. Essayer de les retrouver. Oh! on ne peut plus retrouver cela. Lorsque l’ancre tombe dans le décolorant, l’ancre va… L’ancre devient le décolorant. Et lorsque l’injustice d’un pécheur repentant tombe dans le sang du juste, elle devient la justice de Dieu. Oh! Jésus, nous croyons Ta Parole à ce sujet. Ta Parole est éternellement vraie.
158. Quand Tu as dit: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui m’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie...» Et je prie, comme seulement un serviteur peut le faire, pour chaque main qui s’est levée ; Toi qui connais leurs cœurs, Tu leur accorderas réellement satisfaction à chaque besoin qu’ils ont.
159. Peut-être que je ne leur serrerai jamais la main, pas même sur cette terre, mais lorsque tout sera fini avec cette vie et qu’un jour, nous nous rassemblerons à la tombée du jour, et que le grand souper de noces sera dressé, et que nous verrons les rachetés de tous les âges autour de la table… Et quand, les uns en face des autres, nous nous regarderons à table, de petites larmes couleront sur nos joues, quand nous verrons nos amis qui auront traversé en toute sécurité. Alors le Roi sortira et essuiera toutes les larmes de nos yeux, et dira: «Ne pleurez pas. C’est fini. Entrez dans les joies du Seigneur, qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.»
160. Ô Dieu, accorde que chaque personne qui est dans la Divine Présence ce soir, soit dans la Divine Présence à ce moment-là. Si nous avons trouvé grâce à Tes yeux, nous T’offrons cette prière en leur faveur, au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.
161. Je ne veux pas dire qu’il faut être comme un bébé pour pleurer. Mais il y a quelque chose en rapport avec le Saint-Esprit qui vous fait non pas pleurer de chagrin, mais de joie. Il y a quelque chose qui jaillit. Pensez combien les anges doivent être en train de se réjouir maintenant.
162. Combien se sentent vraiment, vraiment bien dans leur âme? Voudriez-vous lever la main vers Dieu? Oh! la la! Pourrions-nous chanter une fois de plus comme nous l’avions fait hier soir, Je Le louerai? Pouvez-vous nous frapper un accord, sœur, s’il vous plait? Tous ensemble maintenant.
163. Que quelqu’un m’aide ici. Je ne suis pas un chanteur. Et si quelqu’un peut m’aider à conduire le cantique, soit le Dr Vayle, soit… voudriez-vous le faire? Pendant que nous chantons: «Je Le louerai, louerai l’Agneau immolé pour les pécheurs; rendez-Lui gloire, vous tous les peuples, car Son Sang peut ôter chaque tache.» Levons les mains pendant que nous chantons cela. Tout le monde maintenant.
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car son Sang a ôté chaque tache.
Oh! n’est-ce pas beau? Chantons-le encore. Allons-y tout le monde.
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs
Rendez-Lui gloire, vous tous les peuples,
Car Son Sang a ôté chaque tache.
164. Oh! tendez simplement la main et saluez quelqu’un qui est assis à côté de vous et dites: «Gloire au Seigneur.» Vous tous, méthodistes, baptistes, les gens du Plein Evangile, et tous ensemble, serrez-vous la main. Oh! n’est-ce pas merveilleux? Combien c’est agréable d’être un chrétien! Oh! n’est-Il pas merveilleux?
165. Maintenant, mes amis, il se fait un peu tard; nous allons demander, peut-être à certains d’entre vous de devoir s’en aller, et nous les laisserons partir pendant que nous appellerons la ligne de prière. Et maintenant, ce soir, nous allons essayer quelque chose de nouveau, que je n’ai pas fait il y a longtemps. Dr Vayle va prendre un micro, il se tiendra là au coin, il recevra les gens et les appellera. Et je vais essayer sans le discernement, si le Saint-Esprit me le permet, de prier pour ceux qui doivent rentrer, et leur imposer les mains.
166. Bon, demain matin, allez dans votre église. Et si vous êtes ici comme visiteur, allez dans certaines de ces bonnes églises des environs. Le pasteur sera content de vous voir. Allez-y et serrez-lui la main. Dites-lui que vous étiez ici à la réunion, souhaitez-lui une chaleureuse bienvenue à la réunion de demain après-midi.
167. Si vous êtes à Spencerville, il y a une église méthodiste là-bas; un frère de couleur a une église méthodiste. Et je suis sûr qu’il sera content de vous voir. D’habitude, il s’assoit par ici, c’est un très brave homme. Je ne pense pas qu’il soit ici ce soir, mais il était ici chaque soir.
168. Et puis, il y a d’autres églises dans le voisinage. Demain matin, si vous voulez venir à la Première Eglise Baptiste [First Baptist Church – N.D.T.], je prêcherai là de 10 heures à 11 heures. Et puis demain après-midi à 14h30, nous reviendrons dans cette salle pour le service, le message; et demain soir, [on tiendra] un service de guérison à l’ordinaire. Et ce soir, nous allons essayer de prendre tous les cas urgents dans la ligne de prière et leur imposer les mains.
169. Eh bien, où est Billy? Quelle – quelle était la série des cas urgents ? Est-ce la série Y? On a écrit un Y pour les cas urgents. Vous avez une carte qui porte la lettre Y. Combien? De 1 à 50. Eh bien, commençons par le numéro 1. Qui a le numéro 1 de la série Y, pouvez-vous lever la main? La dame là-bas, numéro1. Numéro 2? Numéro 3? 4? 5? 6, 7, 8, 9, 10. C’est la série Y de 1 à 10. Tenez-vous juste ici, s’il vous plaît.
170. Très bien. Et maintenant, nous allons prier. Je vais vous demander une chose. Vous qui êtes venus à Christ, voudriez-vous faire ceci? Faites ceci. Demain matin si vous êtes ici dans les parages, allez dans une bonne église, et dites: «Pasteur, je vais adhérer à cette église. Je veux être baptisé. Je veux être membre ici.»
171. Eh bien, il y a une – une église qui collabore ici. Elle est appelée l’Eglise de Foursquare. Il y en a une appelée le Full, l’Eglise de Dieu. Frère Vayle…?... Avez-vous annoncé cela? Très bien. Trouvez vos places et prenez… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Un jour à la réserve indienne en Ari… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]…?... Notre sœur est partie au Nom de Christ.
172. Maintenant, avec nos têtes inclinées juste un instant… Quelle était votre maladie, sœur? Oh! la gorge…?... Franchement, je… je n’en reviens pas. J’aimerais que vous remarquiez une grosseur, une petite masse qui était juste ici dans cette petite veine, dans sa gorge, juste ici, le Seigneur Jésus vient de l’ôter maintenant même. Une petite masse presque comme ça, qui était attachée ici à sa gorge, a été enlevée par notre Seigneur. Rendons-Lui gloire et disons: «Merci Seigneur.» Gloire à Dieu.
173. [Frère Vayle dit: «Une attaque d’apoplexie, Frère Branham.» – N.D.E.] Oh! une attaque…?... Eh bien, monsieur, nous savons que seul Dieu peut faire cela. Et je sais qu’Il est mort dans ce but-là. Et maintenant, je… L’Ange du Seigneur m’a envoyé pour prier pour les malades. Ça, je le sais. Maintenant… Et Il m’a dit que si j’amenais les gens à me croire, et que j’étais sincère, Il guérirait les malades. Pas parce que j’ai prié, mais parce que Sa Parole doit s’accomplir.
174. Maintenant, allez-vous Le louer s’Il vous guérit? Allez-vous Lui rendre gloire pour cela? Je prie qu’Il accorde… Maintenant, est-ce le…?... Etiez-vous ici les soirées précédentes? C’est votre première fois. Vous n’avez jamais vu les visions du Seigneur en action.
175. Maintenant, je vais vous demander à chacun d’incliner la tête pour cet homme paralysé suite à une attaque d’apoplexie, afin que vous puissiez prier avec moi, de tout votre cœur, et que nos prières ensemble puissent aider ce pauvre cher frère. Vous êtes un chrétien.
176. Maintenant, Bienveillant Père céleste, nous T’aimons tant, et nous savons que Tu as tout pouvoir au Ciel et sur la terre. Et je pense à ce cher homme, qui se tient ici en train de traîner ce pied, et ce bras qui pend et qui se balance à son côté. Satan est déterminé à l’affliger et à mettre fin à sa vie. Et nous prions de tout notre cœur, demandant que l’amour qui est dans nos cœurs pour lui, soit projeté jusqu’à Ton trône, et que de là, la grâce souveraine de Christ retourne, touche son corps, et ôte cette attaque d’apoplexie. Ô Sauveur béni, puisse notre foi être fortifiée. Et puisse notre frère être guéri, nous le demandons au Nom de Jésus-Christ.
177. Et maintenant, je vais demander à l’assistance de garder simplement la tête inclinée, juste un moment. Ne regardez pas s’il vous plaît, parce qu’en le faisant, vous interférez un tout petit peu. Pouvez-vous garder vos têtes inclinées? Je ne sais pas si Dieu va toucher cet homme. Je ne sais pas. Je le Lui demande simplement. Et maintenant, s’il vous plaît, si vous entendez ma voix, gardez vos têtes inclinées.
178. Maintenant je vais vous demander de…?... Je vais demander de lever la…?... levez la main. Auriez-vous pu le faire? Très bien, vous pouvez lever la tête. Il a fait tomber son chapeau; il a levé les mains; ses pieds sont libérés; et Dieu a guéri cet homme. Retournez par ici. Vous pouvez descendre de l’estrade en étant heureux. Marchez comme un jeune homme…?... Disons: «Gloire à Dieu.»
Voici cette dame; elle avait un appareil orthopédique sur elle, elle l’a simplement enlevé. Grâce soit rendue à Dieu. Amen.
179. Offrons une prière, offrons une prière de remerciement à Dieu. Père Céleste, au Nom de Jésus-Christ, nous Te louons, nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait. Tu es le Christ vivant, et nous réclamons Tes bénédictions éternelles sur ceux qui attendent. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
180. [Frère Vayle dit: «C’est sœur…?... Elle devient aveugle suite à une infection de reins – N.D.E.]
Pouvez-vous venir, sœur? Maintenant, priez s’il vous plaît. C’est dur de supporter la vision. Voyez-vous? Mais je… Les visions; sont un don prophétique qui amène la Présence du Saint-Esprit dans l’auditoire, et vous recevez cela. C’est un don de guérison. L’Ange du Seigneur… Avez-vous lu mon livre? Il a dit avec un… Et je n’ai pas exercé ceci depuis quelque temps. Mais Il a dit: «Si tu amènes les gens à croire…»
J’ai dit: «Ils ne me croiront pas parce que je n’ai pas d’instruction.»
Il a dit: «Deux signes t’ont été donnés pour que tu les manifestes devant les gens, et avec cela, ils te croiront.»
181. Et le Dr Lee Vayle, qui est assis ici aujourd’hui, me disait comment il m’observait là à Portland, Ore… ou à Washington, dans la grande arène [Ice Arena] et à Vancouver, comment les gens étaient guéris. Il a dit: «Frère Branham, qu’est-il arrivé?»
J’ai dit: «Les gens se pressent pour des visions.»
Il a dit: «Y a-t-il un moyen par lequel vous êtes capable…?... juste un petit peu pour exercer le don que Dieu vous a donné?»
182. J’ai dit: «Il m’a dit que si j’étais sincère, rien ne résisterait devant la prière.»
Et je crois que j’ai, peut-être, j’ai sauté beaucoup de choses. Aux Américains, il faut leur imposer les mains. C’est ce qu’ils veulent.
183. Maintenant, sœur, la cécité est une chose horrible et certainement, je n’aimerais pas vous voir aveugle. Mais Jésus de Nazareth a touché l’aveugle à la porte de Jéricho et celui-ci a recouvré la vue. Croyez-vous que Dieu vous guérira ce soir? Maintenant, inclinons la tête juste une minute.
184. Ô Miséricordieux Père divin que nous aimons et en qui nous croyons, nous Te louons et Te rendons gloire. En présence de cette assistance, nous Te remercions pour Jésus, Ton Fils, et nous Te louons pour Sa grâce expiatrice pour nous. Et si Ta présence est ici pour guérir les malades et guérir les affligés… Et maintenant, voici notre chère sœur qui se présente, confessant ainsi sa foi, sachant qu’elle va devenir aveugle. Mais elle est venue à Toi et comme Ton serviteur, je la conduis à Christ, et avec mes mains posées sur elle conformément à la commission de Dieu, je demande à la cécité de quitter ses yeux, et à l’infection de quitter son corps et que tout au long de sa vie, qu’elle reste avec une vue parfaite. Au Nom de Jésus, ceci arrivera.
185. Maintenant, gardez vos têtes inclinées, et vos yeux fermés juste un instant. Eh bien,…?... Maintenant, sœur, ne sachant pas dans quel état étaient vos yeux, j’aimerais que vous regardiez vers moi. Voyez-vous très bien maintenant? Me voyez-vous bien? Pouvez-vous voir mieux que dans l’état où vous étiez quand vous êtes venue à l’estrade? Pouvez-vous me dire maintenant combien de doigts j’ai levés? Vous dites? Pouvez-vous croire que votre cécité est terminée? Pouvez-vous lire cela maintenant?
186. Très bien, vous pouvez lever la tête. La dame ne pouvait pas lire; elle était aveugle sans ses lunettes. Et voici que maintenant, elle peut lire la Bible. Et elle ne pouvait pas… Pouvez-vous voir parfaitement maintenant? Levez la main si c’est le cas. Maintenant, rendons gloire et grâce à Dieu pour Sa bonté, pour avoir guéri cette dame.
187. Oh! nos cœurs sont dans la joie Père, pour Ta grâce de guérison…?... Et puisse notre bien-aimée sœur être complètement guérie dès ce soir. Que ceci ne la dérange plus. Que son médecin mette par écrit son témoignage, comme quoi l’infection a quitté son corps. Nous prions au Nom de Christ et nous Te rendons grâce. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur, et je crois que vous serez guérie.
188. [Frère Vayle dit: «Voici madame Brown d’Adrian, dans le Michigan. Elle a la gastrite.» – N.D.E.] La gastrite, c’est une chose terrible, sœur. Quand on mange, le système nerveux a des répercutions sur l’estomac, et quand l’estomac secrète le suc digestif, la nourriture n’est pas convenablement digérée, et c’est affreux. J’en ai tant souffert lorsque j’étais un jeune homme. Mais, par après, le Seigneur m’a guéri. Et je suis sûr qu’Il vous guérira.
189. Vous êtes une chrétienne, et vous croyez que le Seigneur vous guérira. Et vous êtes consciente que je ne suis que votre frère, mais Jésus est le Christ; Il est ici pour vous guérir. Maintenant, que l’assistance incline la tête et prie avec moi.
190. Maintenant, Bienveillant Père céleste, comme cette nerveuse petite dame vient ici avec sa tête inclinée… Et elle sait que Tu es le grand Médecin. Et son amour s’élance…?... il peut. Et c’est pourquoi elle se tient ici. Son amour s’élance... Et Ton amour est descendu. Et quand l’amour s’élance comme ceci, certainement que la grâce souveraine interviendra et guérira. Accorde-le, Seigneur. Je le demande au Nom de Jésus, à cause de Lui et en faveur de cette femme. Amen.
191. Maintenant, sœur, évidemment, pour le moment, il n’y a rien de visible que nous pouvons vous montrer et que vous pouvez manger pour attester que votre estomac est guéri. Mais croyez-vous qu’il est guéri…?... de tout votre cœur? Très bien. Maintenant, allez simplement de l’avant et mangez, juste comme vous l’avez toujours fait, en rendant gloire à Dieu. Et donnez-nous votre témoignage. Le ferez-vous? Grâces soient rendues à Dieu pour votre guérison. Que Dieu vous bénisse.
192. [Frère Vayle dit…?... Webster, il est tourmenté par des troubles nerveux – N.D.E.] C’est une chose terrible. C’est une chose sérieuse qui est…?... c’est une chose terrible, c’est comme une ombre d’obscurité, et ça vous rend toujours très nerveux. Mais vous savez, tout le monde ne cesse de dire : « Calmez-vous.» Comment? Comment le pouvez-vous alors que quelque chose est en train de vous hanter? Mais vous dites: «Peut-être que vous ne vous sentez pas lié.» Mais…?... c’est toute la vérité. Mais vous savez que Jésus peut vous guérir. N’est-ce pas, sœur? Oui, Que Dieu vous bénisse. Maintenant inclinons la tête juste un instant pour cette jeune sœur nerveuse.
193. Et Père, voici un bébé, une chérie d’une maman, peut-être l’épouse d’un certain monsieur, peut-être la mère d’un certain enfant. Et elle se tient ici avec une obscurité. Satan la rend nerveuse. Oh! il voulait l’amener à se suicider. Il voulait l’envoyer dans un asile de fous, et l’amener à rester dans une cellule capitonnée…?... contre un mur. Mais elle s’est avancée pour confesser son amour. Et en étendant maintenant…?... Ô Dieu, fais descendre Ta grâce souveraine. Et puisse le Saint-Esprit chasser cet ennemi loin d’elle. Que cela la quitte à l’instant même et que ça ne revienne plus jamais. Qu’elle soit heureuse tout le reste de sa vie, libérée de cette maladie et de cette affliction. Au Nom de Jésus.
194. Maintenant, gardons la tête inclinée juste un moment. Maintenant, sœur, n’allez-vous pas tourner le regard de ce côté-ci? Cela vous a quittée? Vous sentez-vous très bien maintenant? Tout est parti? Amen. Maintenant vous pouvez relever la tête. Maintenant, vous pouvez quitter l’estrade heureuse, vous réjouissant, louant Dieu…?... Nous attendons de vos nouvelles. Que Dieu vous bénisse.
195. [Frère Vayle dit: «Le petit David…?... Une excroissance sur son poignet.» – N.D.E.] Le petit garçon est venu pour qu’on prie pour lui. Très bien…?... Une excroissance sur le poignet du petit garçon. Pouvons-nous incliner la tête?
196. Etes-vous son père? Etes-vous chrétien? Croyez-vous que Dieu ôtera cette excroissance? Allez-vous L’aimer, Le louer et élever le garçon pour qu’il Le serve, s’Il permet que cette excroissance soit ôtée de son corps?
197. Bien-aimé Père céleste, comme ce petit enfant blond aux yeux bleus se tient ici, je pense à mon propre petit Joseph qui est chez moi, qui, peut-être ce soir, est en train de pleurer, disant: «Où est papa?» Mais je suis ici comme serviteur de Mon Seigneur, priant pour le chéri de cet Homme, qui vaut autant pour lui que mon fils pour moi. Et, ô Dieu, Tu nous as tellement aimés, nous et nos enfants, que Tu as donné Ton Fils unique, afin qu’au travers de Son sacrifice…?... qu’Il nous sauve et guérisse nos corps.
198. Et cette excroissance qui est sur le poignet de cet enfant, moi maintenant, comme serviteur de Christ, je condamne cela sur base de la confession de cet homme qui vient, qui m’a offert cet enfant pour que je prie pour lui, et je demande cela au Nom de Jésus, le bien-aimé Fils de Dieu, afin qu’Il ôte l’excroissance du poignet de l’enfant, pour la gloire de Dieu et le témoignage de Christ. Car c’est au Nom de Jésus que nous le demandons, en guise de notre amour ; le petit enfant ne comprend pas, nous…?... au bout de ses forces. Et maintenant, puisse la grâce souveraine vous accorder ce que vous avez demandé.
Pendant que chaque tête est inclinée, et que chaque œil est fermé dans la prière… l’excroissance a quitté le poignet du petit enfant…? ...
199. Nous rendons gloire et grâce à Dieu pour Sa guérison…?... Gentil monsieur. Et oui, tout marchera maintenant. Que vous êtes gentil. Que Dieu vous bénisse, monsieur.
200. Voyez combien notre Seigneur est grand? Que Tu es grand. Que Tu es grand. Maintenant, nous remercions Dieu pour Sa bonté. Très bien, Frère Vayle…
201. [Frère Vayle dit: «Madame Holstrom de Colombus. Elle a les jambes gonflées – N.D.E.] Madame Holstrom, je…êtes…Vous êtes une chrétienne…?... Votre expression dans cette réunion nous fera savoir que vous êtes une croyante. Et maintenant, vous êtes venue, comme vous aimez Christ, sachant que ce gonflement est néfaste. Vous aimez le Seigneur. Et vous êtes venu pour projeter votre amour vers Lui. Et je viens aussi offrir le mien avec vous. Et puisse la grâce souveraine descendre, vous guérir et que vous n’ayez plus jamais ce gonflement. Vous allez croire, n’est-ce pas? Puis-je prendre votre main comme point de contact?
202. Bien-aimé Père céleste, comme des centaines de gens dans ce bâtiment, des chrétiens qui croient, des hommes et des femmes nés de nouveau, des garçons et des filles, qui maintenant projettent leur amour vers Toi, en compagnie de cette sœur qui a un gonflement sur son corps… Et elle est ici pour croire, accepter, et projeter son amour vers Toi, pour se présenter devant ces gens ce soir, devant les hommes qui peuvent prier pour elle, croyant que Tu condamneras la maladie de son corps et que Tu lui rendras la bonne santé. Ô Dieu, de tout mon cœur, je prie que Tu lui accordes cette bénédiction. Je le demande dans le précieux Nom de Jésus.
E-1 Good evening, friends. So
happy to be in again tonight, in the Presence of the Lord. And I'm sure
that it's a great privilege for us to be assembled together in the Name
of the Lord Jesus. And I'm happy for this, and I know that you are too.
And now, tomorrow morning it gives great pleasure to visit the--the
Spencerville Baptist Church in the morning. I'm to have services with
our good brother, Dr. Lee Vayle, who's the pastor of the First Baptist
Church at Spencerville, Ohio. And tomorrow morning at ten o'clock I'm
to have his, the service in the main auditorium, I suppose, tomorrow
morning, preaching service.
And then tomorrow afternoon at two-thirty, another preaching service in
the church here. I got a message for the church tomorrow afternoon, the
Lord willing.
And then tomorrow night is the closing night of the--this campaign, a
healing service, or prayer for the sick, I mean to say, tomorrow night.
And we're expecting now, great things.
E-2 And through the week, we
have been having the services by the preaching of the Word and the
anointing of the Holy Spirit in discerning, or as the prophetic gift of
the Lord Jesus, and having the privilege of seeing Him return to us and
do the very same things that He did when He was here on earth. And I'm
sure that thrills our hearts to see Him to do this.
And usually in the meetings we have what we try to call an emergency
room. But not having that this time, last evening we decided, if the
Lord was willing, that tonight we would have what is called the
emergency line. And that would be... Usually when the, on the
discerning there, it's slow and vision would happen in the building,
all over the building.
E-3 And how the Lord does just
as He did before His crucifixion as a proof, infallible proof, of His
resurrection. He is not dead, but He's alive forever more. And it gives
us such great consolation to know that He Who we love, that He will
honor us by being present with us and showing Himself alive, after two
thousand years. So He is the immortal God, the infinite, infallible,
omnipotent God.
And now, tonight we are going to try something new. As seemingly the...
And I say it with respect, with love. The American people doesn't seem
to be able to grasp it like overseas. The same things that happened in
here, happened one time in South Africa, and thirty thousand raw
heathens came to Christ at one time. See? Think of it.
E-4 And just stopped on the
third person and offered a prayer for, in the massive congregation, an
estimated twenty-five thousand got healed at one time. Think of it.
Seven van-loads of crutches and wheelchairs, and--was taken from the
grounds and taken away with an army like, marching behind it singing
"Only Believe" in Afrikaans.
India was just farther, more than that. But here it seems to be the
American people are taught so many different ways, it's hard for them
to grasp it somehow. Lovely, but hard to grasp it, just to reach out by
faith... It seems... And that makes a good target for fantastics (See,
see?), for some human element.
We want to keep the human part away from it. It's God. Not whether man
touch you, it's God touching you. See? It--it's a finished work. It's
something that Christ has already done for you. And it's your personal
property, every believer. And it's to look and live. The brass serpent
could pray for no one, neither could it touch anyone. But they looked
and lived. And it was a type of Christ. And if the type could do what
it did, what will the antetype do when it comes, by looking and living?
E-5 Now, I wish to speak to you
just on a little Gospel message. And then we're going to bring the
people, the Lord willing. My son said he gave out a group of prayer
cards on the emergencies, the kind that cannot wait for tomorrow
night's climax service, as we're trusting God to have. And we're going
to bring those people up, and I'm going to try to pray for them without
looking into the vision for them. Just so I can get them to pass
through and be prayed for, 'cause they're emergencies, and we couldn't
get to too many, then it just couldn't do it.
Now, I wish to read just a portion of the Scripture. And before we do
it, let us talk to the Author just a moment, as we bow our heads.
E-6 Our kind heavenly Father,
it is with the very adorations of our hearts that we express our
gratitude towards Thee, the living God, for ever being so mindful to
send to us Thy beloved Son, as a Redeemer to redeem we unworthy
creatures of the earth back to fellowship with Thee.
And as our minds tonight, search back down through the corridors of
generations, back into the early times, what a beautiful fellowship it
must have been when God called His children in the cool of the evening
and communed with them. Then kissing them, as it was, on their cheeks
and laying them down to sleep for a night's rest; and the wild beast of
the field He bedded down without any disturbance, any harm; no harm was
there, no death, no sickness, and no trouble. And to awake on a new day
to walk in the Presence of their Creator without fear, without
sickness. O God, our spirits groan for that time again. For that's what
we were made for.
E-7 And we pray tonight,
heavenly Father, if death is shadowing any person near tonight, that
would not be prepared to enter back to this great blessing, that was
prepared for us before the foundation of the world, may this be the
evening when they will make that one final, eternal decision, saying to
Thee, "Yes, my Lord, I will now believe on Thee and take Thee as my
Saviour." And may then You fill them with the Holy Spirit, baptizing
them into Thy beloved body of saints, and positionally place them, that
they may be workers in this great work of Yours on the earth.
Be merciful and heal the sick and afflicted. For in this Thou has
atoned for at Calvary, and we feel that it is our personal property,
that Thou has given this blessing of redemption to every one that's
been redeemed. And we feel we have a right to come to the living God
and ask Him these blessings, for He so graciously bid us to do it,
saying, "Ask the Father anything in My Name, I'll do it."
And now, Father, may the Holy Spirit take the Word, open the Book, and
loose the power of the Spirit in the Word, and may it find Its resting
place in each heart. For we ask it in the Name of Thy beloved Child,
the Lord Jesus. Amen.
E-8 Tonight, I have chosen just
for a short time, because there's quite a few that must be prayed for
tonight. And I want all of you tonight to pray with me in the prayer
line. But let's not think of the prayer line just at this time, but
let's put our thoughts on something greater than the prayer line. Let's
put our thoughts on the Lord Jesus, and His return, and His love for us.
I'm going to read a familiar old text to you all, which is very
familiar. Perhaps your pastors and so forth has read it many times.
Perhaps the--one of the smallest children in here could quote it. It's
the golden text of the Bible, John 3:16.
For God so loved the
world, that He gave His only begotten Son, that whosoever believeth in
him should not perish, but have everlasting life.
E-9 As I was setting in my room
a--just awhile ago, after having this time of fellowship with my good
friend, pastor Boze from Chicago, I was thinking, "God, what shall I
say tonight, to the purchased of Your Blood?" For coming before
audiences, whether they are small or great that does not matter.
Last evening we had, was speaking on that, how God meets with large
numbers or small numbers, just wherever hearts are giving Him welcome.
And realizing that you who have come tonight to express your faith and
to open your hearts to hear God's Word, you to...
E-10 I've many times wondered
how it would feel to me, if I could have the privilege of holding in my
hand in a charger or a glass, two drops of the literal Blood of Jesus.
What would I do with two drops of the literal Blood of Christ? Oh, I
believe I would take it to my heart, and I would hold it, and I would
weep. But you know in the eyes of Him Who shed His Blood freely, I have
a greater than that before me tonight. For I have had, been given the
privilege to speak to the purchase of His Blood. "God so loved the
world, that He gave His only begotten Son, that whosoever believeth in
Him should not perish, but would have Everlasting Life."
So that little piece of Scripture, just a teeny little one inch square,
on a, just a piece of paper, yet if the right attitude is taken to that
Scripture, it might change the--it would change the Eternal destination
of this world. It isn't the size; it's the quality.
E-11 Some time ago, I was
reading where a little boy was up in an old attic. And in the attic he
run across a postage stamp of less than one inch square. And he taken
it to a stamp collector, and this stamp collector gave him one dollar
for it. Later it was sold for one hundred dollars. And it's gone from
collector to collector. And I understand that now, that same postage
stamp is worth almost a quarter of a million dollars, just one little
piece of paper. But that isn't, the paper isn't what makes it so
valuable, it's what's on the paper makes it valuable.
And that's the way it is with John 3:16. It isn't how much Scripture is
written, it's what it holds. It holds a message to the world, that God
so loved.
E-12 And now, I would take for a
subject, if it should be called that, for the next few moments, "When
Divine Love Is Projected, Sovereign Grace Takes Its Place." And when
God so loved the world, God's Divine love to Adam's race, when He so
loved it, Christ stepped out and sovereign grace took its place. God's
love was met by sovereign grace. God gave His only begotten Son. You
see it?
Now, I used to think that God was angry with me, but Christ loved me.
But come to find out that Christ is the very heart of God. And in this
beautiful type of the coming out of the children of Israel, how that
Christ in type, was the smitten rock. And the only way that those
people... After searching everywhere for water, they were perishing.
And Moses, God's servant, took the judgment rod, which it was a
judgment stick... It had brought judgment upon the unbeliever of Egypt,
flies, gnats, all kinds of diseases, affliction. God's judgment stick
that was waved in the hand of His servant, smote the rock, and rock
gave forth its water, and a perishing people was saved. What a
beautiful type of John 3:16.
E-13 God loved the world that
He... The smiting of the just judgments that belonged to us, they were
all smitten onto Christ. And out of Him came forth rivers of living
waters, speaking of the Spirit, that a perishing people might live. The
waters of life coming from Him, a smitten sacrifice, an accepted One...
And no matter how little... I love God for that.
Some people says, "Well, it won't make much difference whether I
receive it or not." It does.
"Well, I'm just a little housewife."
"I am just a little colored lady that lives back in the alley." It...
No matter who you are, that "Whosoever will, let him come..." No matter
how little, like the text, no matter how small it is...
I've often wondered, as I go into the woods in the springtime, after
the cold blusterous winter, and I notice little, teeny flowers, no
larger than a half a inch, and I have to get down sometimes to see
them. How insignificant it is to the great stately oak that's standing
by it. But God is so mindful that He sees that this teeny, little
flower is taken care of through the winter, that it can raise again and
spread forth its beauty. And in there is sometimes blue and red colors.
God knows them every one. God is concerned about us all.
E-14 A little girl taught us a
lesson some time ago, when the famous King George, of who I had the
privilege of praying for, when the Lord healed him of multiple
sclerosis... And he was visiting a Canadian city, and all the schools
turned out. And they taken the Canadian flag and went to the street
corners.
And when the king passed by... I shall never forget the expression on
my manager's face, Mr. Ern Baxter, a Canadian. And when the king passed
by, suffering at the time with stomach trouble and multiple sclerosis,
and he stood up or set up by the side of his beautiful queen in a blue
garment... Then I seen this two hundred and forty pound man, that when
the carriage turned the corner, the man threw his hands to his face and
wept. And he said, "Think, the king is passing by." And then cried,
"Oh, what will it be someday when the King of kings passes by."
E-15 There was a little girl who
was found after the streets was cleared. She was standing over by the
side of a telegraph pole with her little hands up against the pole,
weeping, sobbing her little heart out. And the teacher trying to find
the child... She had her little Canadian flag across her shoulder and
was weeping. And the lady said, the teacher, "Dear, why do you weep?
Did you not wave your flag to the king to show that you were a
patriotic?"
She said, "Yes, teacher, I waved my flag."
She said, "Then did you not see the king?"
She said, "No, teacher, it wasn't that I did not see the king. I saw
the king."
She said, "Then why are you weeping?"
She said, "The king did not see me."
E-16 Oh, how different it is
with the King of kings. You cannot be too little. He sees every move
you make. He knows all that's in you. He... Not even the sparrow could
fall to the street without Him knowing it. Not a little flower could
come up, a little crocus, unless He knows about it.
So how much more are you than the flower? And if you are laying here
sick or afflicted, do you not know that the King of kings is watching
you? Do you not know that He's interested in your healing and in your
welfare? You may be ever so sinful, but did you know He is interested
in you becoming His subject? You say, "But I'm just an insignificant
person." But you're not in the sight of God. God wants you. He loves
you. And God so loved you, that when His love was projected, sovereign
grace taken its place and sent a Saviour to redeem you back to Himself.
And in this Saviour He was wounded for our transgressions, because God
loved you. And God saw the afflictions of His people, and with His
stripes you were healed, God's grace making a way, for His love
required it.
E-17 And when His love projected
His feeling, Christ stepped out to take His place. It required
something to take the place. His love alone went for you. And grace
provided a Sacrifice for you. Now, you're only to ask to believe it:
"Whosoever believeth in Him should not perish, but have Everlasting
Life." Trusting that you catch the vision...
Love is one of the greatest instruments that there is in God's great
economy. God is Love. The Bible said that He is love. And when you
become one of His children, you become a part of that love. You are a
part of God's economy. You become a subject of His domain. And when you
do that, you become a son and daughter of God. And He said He would
give you Everlasting Life.
E-18 Now, if I'm not mistaught,
and if I understand correctly... I have no education, just my grammar
school. But I am taught by scholars, who should know, that the word
used, "giving Everlasting Life," in the Greek is called "Zoe," which
means "the Life of God."
Then God's love projected to you brings you and makes you a part of Him
in the new birth. Then you become a child which is be--a "borned of,"
or "comes from." And that puts you in relationship with God, so much
that you're now sons and daughters.
And God, the Creator, Who created all things by His power, through His
spoken Word... And everything that is, is the Word of God made
manifest; the entire world was made. And how we do error when we try to
ignore God's Word or try to limit God's power by our own imagination.
For the very earth that you're setting over tonight, is only the Word
of God made manifest. God made the world by His spoken Word. Oh, my!
The dirt, all of the minerals, the gold, all the waters, and everything
that there is, is only God's spoken Word. If not, where did He get it?
Where did it come from? God said, "Let there be," and it was. Then what
faith should we have in Him and in His Word?
E-19 Then when you become a son
or a daughter of God, your disposition changes; your attitude changes;
your all, your look towards life and towards others changes. It doesn't
mean that you just have joined church; it means that you have been
regenerated. You have become a new creation in Christ Jesus, that you
have... The old things have passed away, and God has spoken to you, and
you have become a new creature. I want this to go way down even into
church members.
Then as you would love to be in the Presence of Christ, and you become
a part of Christ, then people love to become in your presence, because
you become a part of God, son and daughter of God.
Did you ever see people that you just love to be in their presence?
There's just something about them that just radiates, that you just
love to talk to them. And other people who are nice people (yet we
don't say this unkindly), but you just can't hardly stay around them.
It is because of the atmosphere that you create. For you as a son of
God are a miniature creator, because you are a part of God.
And that's the reason you can believe the Bible for anything It says,
for the Word is God's Word. You being a part of God, will agree with
the Word.
E-20 Then do you understand that
the reason that people said, "This was not inspired, and that is not
inspired, and this is for another day," it's because that they have
never become in contact. Oh, no matter how many degrees they can show,
that has nothing to do with it. But they have never become in contact
with God to be borned again. Oh, they may have jumped; and they may
have did this; they may be a Ph.D. They may have spoke in tongues; they
may have danced in the Spirit; but Jesus said, "By their fruit, you
shall know them." For where the Spirit of God is, there is love;
there's understanding; there's something that you like to be around.
And oh, what a pity in this hour that we live, that the church of the
living God hasn't met this yet. For if God dwells richly in our hearts,
denomination barriers would never separate us; color lines or nothing
else would ever separate us; for there is nothing present, nothing
future, no matter whether starvation or what it is, can separate us
from the love of God that's in Christ Jesus.
E-21 All one great ransomed
church of God, standing together with one front, letting God's Word be
the blueprint or the map that we're traveling towards glory with... Jew
or Gentile, bond or free, Catholic or Protestant, should stand together
in one great big army, because of our relationship. And if we are God's
children, then we are brothers. Not of sonships of God by everyone, but
by regeneration we are sons of God. We are Adam's sons by nature, God's
sons by birth.
It works, very much so. And I have noticed in my lifetime, as I'm
getting to be an old man, watching how that that works. Now, I'm
telling you from an experience, and it's just exactly with the Word of
God.
E-22 In our own home... And try
this at your home. And if there ever was a home that--that's confused
and torn up much as ours. People from everywhere, all over the world,
coming all the time in and out, day and night, all hours... And I have
noticed here sometime ago, my lovely little wife of thirty-seven years
old and completely gray; she's stood between me and the public. If
there's any praises to be given to the Branham family, give it to her.
The telephone run you wild day and night. And our...
The house had been full all day. And I went out, and my little
children, little Sarah and Rebekah were fighting over some play blocks,
little Joseph the baby, setting in the floor screaming to the top of
his voice, wife in the kitchen with her face buried into her hands, a
weeping... When I finally got the house emptied, some in this room,
some in that room, some in the basement, and I walked in, and I
thought, "Oh, what a confusion."
She put her arms around me, she said, "Billy, I'm going crazy." She
said, "I haven't been able to get the children any dinner."
E-23 Sometime raging maniacs,
and saying it reverently, a bunch of sometimes fanatics, running back
and forth through the house, saying, "The Lord said this, and the Lord
said if I ain't your manager... The Lord said this." Now, if the Lord
wouldn't talk to me about that if He had something to say. But you
can't help it; it's just in the human line.
And she said, "The children hasn't had anything to eat, and I don't
know what to do."
Well, I thought, "Now, there's just one thing to do. Now, I'm tired,
but I'm going to do this. Now, heavenly Father, in my heart, You help
me to be what You would have me to be on this scene." And I thought,
"Now, if I can just get her quiet." So I said, "Sweetheart, would you
rush out with me for dinner?"
"Oh, I'd have to clean up the children," and this and that. And you
could hardly hear yourself think, little Joseph just a beating the
floor as hard as he could.
E-24 So I slipped over, and got
an apron, and put it around me, and I begin to help her. And I said,
"Honey, you know what? I saw the prettiest dress the other day. I just
so wanted to get it for you. And it was in a certain city just here
close, and we'll go get it." And all the time in my heart praying,
"Heavenly Father, quieten this dear, little woman." And I put my hand
on her, not knowing, her not knowing what I was doing. I'd say, "Yes,
honey, oh, it was beautiful." "O Lord, quieten this little woman." And
just kept on you know, her not knowing... What was I doing? Was
projecting, creating a different atmosphere. Walk in the love of God;
have fellowship.
And in a few moments she got quiet. And then when she got quiet, Sarah
and Becky divided up the play blocks; Joseph got him something to play
with; and there was peace in the home.
What was it? Projecting love. They were mine, my children, my wife, and
I was god. And then God giving His Spirit, and through that Spirit,
with love to my family, sovereign grace come in and quietened the
family. It'll do it. I know it will.
E-25 Here sometime ago, I was
interested in a great thing, with Mr. Krause of the Full Gospel
Christian Businessmen (many of you know him), a very good friend to our
most honored and beloved Brother Oral Roberts. And so, when Mr. Krause
was such a good friend to Oral Roberts, "Oh," he said, "if anything
would get wrong with me, I'm a friend of Oral Roberts."
So finally one day, Mr. Krause developed a kidney trouble. So he goes
down to eat dinner with Brother Roberts. And Brother Roberts said, "Oh,
Brother Krause, that's just a minor thing to God." Laid his hands up...
And Brother Oral with that real (excuse the expression, but) bulldog
faith, throwed his hand over on him, and said, "I rebuke it." Said,
"Brother Krause, don't worry you're going to get all right."
E-26 And Brother Krause said, "I
really felt better." But after a few days, it come back again. Said, "I
went down to Brother Roberts again." And said, "The same thing taken
place." Said, "Then I thought that I knowed William Branham, so I would
go over to him." And said, "He saw visions, so I would stand before
William Branham; he's a good friend of mine, and then William Branham
will be able to help me."
So he called around and found out that I was in Shreveport, Louisiana.
Mr. Krause and his wife flew down to Shreveport, and they come into the
meetings. And he said, "Brother Branham, I've just got a little time,
let us go to a side; and I would like to see what the Lord would tell
me."
And I said, "All right, Brother Krause, let us go aside." I stood there
for forty-five minutes, and the Lord said nothing. I said, "I'll pray
Brother Krause."
He said, "If the Lord shows you anything, call me up." I prayed for
him. He said, "You know, I feel better. I believe the Lord just healed
me without showing me any trouble."
I said, "Well, we're thankful to God."
E-27 So I, that night, being a
dear friend to Brother Krause, I prayed for him, continually prayed.
And about a few weeks, he come back again. He said, "Let us stand
before the Lord and see what He will tell me. I am in a serious
condition." I stood for another hour or more, and the Lord never said
anything.
So then away he went to the doctor. The doctor says, "It's too much job
for me; you better go to Mayo's." Up to Mayo's he went. Mayo's looked
him over, and he said, "Sir, you've got one chance out of a thousand to
live. That is immediate operation."
Well, he said, "I'll take it."
And he went out, and he said, "I thought if I was that close to dying,
I'd better check up with God." So he said, "Lord, You know I love You,
and I've tried with all my heart to support everything that's right."
He is a wealthy man. And he said... He manufactures plows. You may know
him; he's in Kansas.
E-28 And he said, "I have tried
to live right, and you know, Lord, I love You. Now, if You are ready
for me to come home, I'm willing. I've lived a good many days, and I'm
willing to come. But Lord, if You can use me, well, I'm willing. "He
said, "I have stood before Your servant Oral Roberts and the William
Branham, and it seems like that their prayers did not take affect to
heal me." And said, "Maybe it's something that I have done, but surely,
You would've revealed it when I stood there before the discernment." He
said, "But if it's my time to come, I'm ready to go. And I love You, so
I'm going to the operating room, the only chance that I have."
And the doctors checked him again, and said, "Mr. Krause, are you sure
that you want to take it?"
He said, "I have prayed up, and I'm sure I want to take it."
E-29 So in the operating room
they went, and the last thing he said he remembered was saying, "Lord,
if Thou art ready for me, I love You, Lord. I love You, Lord." And they
put him to sleep. And when he come to, the whole room begin to turn
light. And he seen the doctors standing around. And they run to him,
and they said, "Mr. Krause, something has happened. We never seen an
operation so perfect. And we thought you were going to die, but all of
a sudden you were at normal."
What was it? When Divine love has been projected, sovereign grace come
in to take its place. It has to. It must do it.
E-30 A few months ago, down in
old Mexico, I was having a meeting. And one day... This I could not say
is true. The only thing that I know is what I'm going to say. There had
been a little baby that had been rejected by the doctor, to die the day
before.
It was raining. They wasn't setting in seats like you. They were
standing like sheep in a pasture, against each other, coming at nine
o'clock that morning to hear me preach at nine that night. Standing in
the hot sun, crippled, afflicted... And as I walked in... The night
before the Lord had did some great miracle, and piled on the platform
in that big arena, was piles of old dirty clothes, piled that high, for
me to pray over, old hats, shawls. My heart was burning. And it was
raining outside. We was all outside in the open air.
E-31 And then, a little mother
was screaming when I called for the prayer line. And Billy come to me,
and he said, "Daddy, you're going to have to do something." Said, "A
mother's baby died at three o'clock this afternoon. She's a little
Catholic woman. And her baby is dead, and she's got it covered up." And
said, "When Brother Espinosa's gave out the prayer cards, she didn't
get one. But there isn't enough ushers to hold the woman from the
platform any longer. She's got that baby, and she's screaming to the
top of her voice, 'Padre, padre.' (Which means 'father.')"
And I looked down through the long streak of life, and that little
woman, frantically, a beautiful little lady, with the tears streaming
down her cheeks, and a wad in her arms, screaming to the top of her
voice. And I said to Brother Moore, standing on the platform, one of
the managers, I said, "Go down and pray for the baby, and maybe that'll
console her." And the little mother's love for that baby...
E-32 And as I turned to--to the
audience to minister again, I looked and over the audience I seen a
little Spanish baby, setting up, gooing. Brother Moore was trying to
quieten her, but that didn't satisfy her little heart. A mother's love
was being projected to God.
And I said, "Just a moment, Brother Moore." And I went down. And the
baby was wadded up in some blankets. I could not speak Spanish or
either understand it. But I just laid my hands on the little blanket
that was wet.
Now, they tell me the baby had been dead since three o'clock. I don't
know. I couldn't say. The dead people that I have got wrote in my book
is authentic that was risen, raised up by the Lord. The doctor would
have to say so, or the undertaker.
But laying hands on the baby, something let out a kick under that
cover, and the scream you never heard in your life.
What was it? Divine love had been projected to the heart of the God of
love, and sovereign grace sent back the vision for the healing of the
child. Certainly.
E-33 I remember a little hour
after that, quite an hour, on the platform came a poor old Mexican man.
His feet was wrinkled; he was barefooted, the gray whiskers on his
face, his hair gray; and he was blind. And as he come to me (They was
leading him along.), and I looked, and I thought, "If my father
would've lived, he'd have been about that age." And he was mumbling
something. And when he got close to me, he took out a pair of--a set of
these rosary beads.
And some of them said here to him, Brother Espinosa's... He wanted to
know where I was at, and here he was feeling for my face. And I just
stood still. And his old, feeble, shaking hands, and the great ditches
in his cheeks, the tears were cutting a way down his cheeks. And I
thought, "That's somebody's daddy; that's some mother's child."
E-34 And he started with his
beads, and I said, "That's not necessary, dad." And he begin to
weeping, and he found my face, and he patted me, and he started to
kneel down. I stood him up again. I thought, "Looky, there."
You see, friends, if you don't enter into the fellowship, if something
in you doesn't cry out for each other, if something doesn't project a
love... You know, people are not so foolish, as they understand whether
you're putting on or not. They understand it. Wildlife understands it.
So you--you have to enter into that fellowship.
E-35 And as the old man stood
there, I looked at him, and my heart begin to beat heavy, and I
thought, "Poor old man. Nature has been so cruel to you. You probably
never set down to a good decent meal all your life. You probably never
had a suit of clothes on in your life."
I set my foot up beside of his. I was going to take my shoes off and
put them on his old, dusty, wrinkled feet. But I seen they would not
fit. With his shoulders much wider than mine, neither would my coat fit
him. So I wept; I thought, "Oh, and after all this, then you're setting
in a world of darkness. You can't see where you're going. You never had
a good suit. You probably never laid on a good bed. You never eat a
good meal, and maybe never had a good pair of shoes in your life. And
now, you're in darkness." Oh, how cruel the devil can be.
E-36 In that, it was projecting
love to the old man. And as I put my arms around him and hugged him to
my bosom, not waiting for any vision, just holding him to my bosom, I
said, "O Father God, be merciful to this poor old man, somebody's
daddy."
And I heard him scream, "Gloria a Dios!" And he jumped back from me; he
rubbed his eyes; he fell on the floor; he kissed my hand; he was
hollering, "Gloria a Dios!" which means "Glory to God." And across the
platform he went, seeing as good as anybody in the audience.
What was it? Divine love projected, resulted in sovereign grace taking
its place. Divine love can only go so far. But when it is held true to
the end, sovereign grace takes its place and produces that which love
could not carry out.
Oh, friends, that's what the church needs. It's not a new organization,
not a bunch of fantastics, not an argument, not a debate, it needs the
baptism of love, to love one another. It doesn't need new gifts; it
needs love to operate the gifts it's got. That's what it needs.
E-37 This may seem very strange,
and if it does, well, we're going to meet again someday. Animal life
knows love. I've watched it. Being a hunter and an outdoorsman, I have
watched how God provided. I've watched a fish with a hook in its mouth.
Don't worry about that. The acid of its body'll eat it up in a little
bit. I've watched a dog swallow a bone. Don't worry about that. The
acid in its body will take care of it. God has provided a way.
Sometime ago in my home, I had a... I got one of these here power
mowers. And I was mowing the yard at the parsonage. And I'd make a
couple rounds and somebody would come in; I'd slip back and change my
clothes, and run in, and pray for the sick; and then maybe, get out and
mow another round, and somebody else come. And you know, the grass was
growing up in the front yard before I could get to the back again. It
was so hard.
E-38 So it come that I was in
the back yard on a hot August afternoon. And I had just went around,
nobody to see me, and I pulled off my underneath shirt, with just my
bare skin from my waistline up. It was so hot, and the hot mowing
machine... And I was a mowing along, singing, "Oh, how I love Jesus,"
thinking about the goodness of the Creator above. And so packed away
into the--the spirit of what I was thinking of, the Lord, and I forgot,
down in the corner of the fence was a great big nest full of hornets.
And shoving my mow and singing with my eyes closed, praying, I ran
right into the nest of those hornets. And all of a sudden, without
thinking... I was completely covered around with hornets, and they can
take your life. They're great big things. One of them can flatten you
on the ground.
Now, this may seem just a little fictitious to you, but did you ever
know that truth is more stranger than fiction? But something happened.
I wish it could stay that way.
E-39 Have you ever read my book,
at the maniac out there in Washington? Have you read that? That maniac
run to the platform, two hundred and sixty pound man, or more, and
said, "I'll break every bone in your body." And police and ministers
fled every way, and I was left on the platform with the maniac.
Something happened.
I weighed at the time a hundred and twenty-eight pounds. And the maniac
stood like that, his teeth set together, his eyes... He said, "You
snake in the grass, up here pretending to be a man of God." Said, "I'll
show how much man of God you are. I'll break every bone in your body."
And he drew back his big fist, and he was well able, physically, to
carry out his threat.
Something happened. Instead of despising the man, I felt sorry for him.
I thought, "Poor man, you wouldn't treat me that way. Why, you are a
man just like I am. You wasn't made to act like that. You were made to
love, and to be a father of your children, and--and to love them, and
to love all man. You were made to be a son of God, but the devil has
took a hold of you." I felt sorry for the man.
And he said... Walked up to me close and went [Brother
Branham makes spitting sound--Ed.] spit in my face. I looked
at him. Oh, I've had it happen with witch doctors and everything. Don't
worry. If God is with you, who can be against you?
E-40 So I looked at the man, and
I thought, "Poor man, I love you, my poor lost brother." Never said a
word. And he walked up to me, and he raised his big fist back. And the
crowd setting breathless, of six thousand inside, and pretty near that
many standing in the rain. He drew back his big fist.
He'd just struck a preacher. He was out of the insane institution. You
might ask the police there. That was on the records to date. And he hit
a minister and broke his jaw and his collar bone.
Run in there, and he run to the platform, and he said, "This night I'm
going to break every bone in your body." And I looked at him, not with
hatred, but with love. And as he did and started towards me, something
inside of me said, "But tonight you'll fall over my feet."
"Fall over your feet," he said, "I'll show you, you snake in the grass,
who's feet I'll fall over." And he ran to me and threw back his big
fist to strike me. I said, "Satan, come out of that man." And his eyes
set, his head went back, and he fell and pinned my feet to the floor.
The police had to roll him off. Oh, that's it, love.
E-41 When those hornets had me
covered, and I knew that I'd be stung to death in a few moments,
instead of running or being afraid...
There's only two elements that you can be controlled by: That is either
faith or doubt. And that is... Doubt will accompany--a fear will
accompany doubt. So if you're... Jesus said, "Fear not." Don't be
afraid. God keeps His Word. No matter what condition you are tonight,
God keeps His Word.
In closing now, in a few moments, listen close. What happened? I loved
those fellows. That seems strange, but I did. And here's why... I--I
talked to them. Now, I do not say they understood me, but somebody
understood me, for I said, "Little creatures of God, I've interrupted
you. You were sleeping, and I interrupted you. But I am the servant of
your Creator, and His sick children are in my home to be prayed for.
And I was mowing the grass, and I'm sorry I disturbed you, little
creatures of God. Now, in the Name of Jesus Christ your Creator, my
Lord, hurry back into your house, and I will not bother you no more."
And when I meet you at the judgment... Those hornets swarming over me
had never touched me as yet, and they lined up in a single line and
went right straight back in their nest. Love projected, sovereign grace
takes its place.
E-42 Seven years I was game
warden in Indiana. One day while I was putting some fish in the
water... I don't know why I'm saying these things. But crossing a field
where a great bull had just killed a colored man, and he belonged on
the pasture of Mr. Gurnsey up at Sellersburg, Indiana. I forgot the
bull was in there, for there was signs all around, "Do not enter." But
I had had a little old gun that I was supposed to patch, and I threw it
in the car. And I was going across the field, over the hill to pray for
a sick man that I knew.
And I was walking through the field, not noticing, and all of a sudden
right out in a bunch of bushes, up jumped this big killer. And he
looked at me; he let out a roar; he threw his head down; and hooked his
horns into the dirt and threw them back. Immediately I felt for my gun.
It was in the car. There I stood, alone. The fence was about two
hundred and fifty yards, the bull was about thirty yards, no trees nor
nothing. I said, "Well, here is the end." I said, "I do not wish to die
as a coward, but I will stand and die as Christian should die." And as
I reckoned myself, and that big fellow turned around, I knew it must be
death, to be gored to death in a few moments. I... Oh, he was more than
a match for my strength.
E-43 And I'm thankful I didn't have the gun for something happened. Oh, excuse my emotion, but something happened. Love come down. Now, this may seem strange, but it's truth. I talked to that bull. I said, "I disturbed you, but I am the servant of your Creator. I'm on my road to pray for my sick brother. I'm sorry I disturbed you. Now, you will not hurt me, for I love you. And how can you hurt me when I love you."
E-44 And here he come. I was no
more afraid of that animal than I am of my brethren setting here. He
come and I just stood there. And I said, "I love you because God
created you. I disturbed you, and I'm sorry." And as he come close to
me, I stood still, and he got within about ten feet. He threw out his
feet and stopped, and he looked so depleted. He looked this way and
that way. I said, "In the Name of the Lord Jesus, you creature of God's
creation, go over and lay back down." And God being my witness, the
bull turned around and laid down, and I walked in five feet of him.
What was it? Death was at hand. Love was projected, and sovereign grace
stopped the bull.
E-45 Who has not heard the
opossum story? As I close... It's went over the world. Last summer...
Leo and Gene setting here, my two boys that takes the tapes... Brother
and Sister Wood sets right out there. Leo and Gene is two fine boys
that goes with in the meetings, one of Catholic family and the other
one had formed a little FBI of their own. They were going to
investigate me. And they did. And they've been going with me ever
since, taking tape recordings. And they're fine Christian boys. And
when they did, they were setting on the porch, and I call them my
students. And I was teaching to them the love of God.
Mr. Wood and Mrs. Wood--Mrs. Woods was a Church of God, and Mr. Wood
was a Jehovah Witness. And they had a crippled boy that had his leg
drawed up. And they come to the Louisville meeting, and they seen the
Lord doing the work. Mr. Wood, a very well-known contractor all over
northern Kentucky, he said, "I might've been a Jehovah Witness, but
that's of God." So he goes to Houston, Texas, to the next meeting, and
there's where the Angel of the Lord come down and had his picture
taken. Mr. Wood and Mrs. Woods was present to see it.
E-46 I went overseas to Sweden.
On my road back, I started my meeting up in Ohio, Cleveland, Ohio. That
night they come to the meeting, setting way back, and was setting,
praying. And while I was on the platform, the Holy Spirit turned me
around to their faith, and said something, maybe not these words, but
on this matter. "The lady, and the man, and the little boy setting back
there, he's a contractor from Kentucky; and they have a little boy
that's crippled by paralysis, that's got his legs drawed up. But THUS
SAITH THE LORD, he's healed." They didn't know what to say. In a few
moments they said, "David, raised up." And David was as normal as any
other boy. Love projected.
He quit contracting, sold out, bought a little place next door to me,
and is my neighbor. Mrs. Wood is sort of a veterinarian. She loves
animals and outdoors, a very fine lady. And their people are
Methodists, I think.
E-47 That morning I was teaching
the boys on love. Now, closely, before closing... I looked coming down
the road, and I seen a little object rolling and tumbling as it come
down the road. And I looked, and it was about, I suppose, ten o'clock
in day, boys. And what it was, it was a opossum. You know what opossums
are up here. Now, anyone who knows wildlife knows that opossums travel
at nighttime. They're blind in the day.
So here was this opossum traveling in the daytime. And he come down
where there was no fences, two or three houses, coming from the woods,
about five hundred yards across the highway. Here he come up the lane.
And my house is fenced with a rock gate. And when the opossum got even
with my house, he turned in. And I looked, and I said, "There's a
opossum, and something has happened. Its perhaps got rabies. And look
how it's acting, tumbling, rolling, fighting, trying to get in."
E-48 And Mr. Wood had been
raking in the yard and had a yard rake laying there. And I said to the
boys, "Come out here just a moment." And I run, got the rake, and threw
it over the opossum. At that time the milkman come up, Mr. Gilmore. We
were looking at the opossum, and I said, "It must have rabies. Oh," I
said, "no, and look." Oh, excuse this, but maggots was all over its
leg, fly-blows. The dogs had chewed it, or either it had been run over
by a car and mashed to pieces.
"Oh," I said, "look how it's swollen up, that great big leg that big
and its other one." I said, "It's--it's dying." And while I was holding
the rake over the opossum, to my surprise... A opossum and a kangaroo
is the only animals that pack their babies in a pocket. And her pocket
let out, and she had nine little, tiny, naked babies. And I said, "Come
here, boys. I will teach you some more of the Bible." I said, "Perhaps
this opossum came in..."
E-49 The day before there had
been a very fine, beautiful, young colored lady of our city that had
had a illegitimate born baby, and had wrapped it up in a blanket, and
smothered it to death, and taken it out in a taxicab on the river, and
dropped it in the river.
And we were talking of that. So I said, "That lovely young lady wasn't
nothing like the mother that this opossum is." Not because she was a
colored girl, no; white girls, brown girls, yellow, they all do the
same without Christ. But I said, "The morals of this opossum is better
than the morals of that woman, for that woman didn't want her baby, and
she took its life." The police had her in jail. But I said, "This old
mother opossum hasn't got over thirty minutes to live." And she was a
biting on the rake for all she could do.
Usually when you touch them they, what you call "play opossum," falls.
But she was making her way somewhere. And I said, "She is biting this
rake, and she's so frantic; but she's a real mother. She'll give this
last thirty minutes of her life, fighting for her babies." I said,
"That's mother love." She loved her babies.
E-50 I raised up the rake; on
went the opossum rolling; and it went right up to my door; and there
she fell, and exhausted. I said, "She's dead." And I went up there, and
I punched her with the rake. But I seen she wasn't dead. She could
still--little grins on the side. And I looked at that leg, laying all
spraddled out, and those little babies nursing on that poor dying
mother.
And then Mr. and Mrs. Wood come up. And Mrs. Wood, which is a dear,
sweet, Christian woman, but in her terms of knowing, being kind of a
veterinarian; she said, "Brother Branham, kill the opossum and get it
out of its misery." And said, "The little ones has a round mouth. They
cannot take a bottle, and they're too young anyhow. They're just a few
hours old. So you'll have to take the little ones and kill them."
Oh, I thought, "I can't do that." I said, "I just can't."
Oh, she said, "Brother Branham, you're not going to let that poor thing
lay there like that, and them little opossums nurse that milk from that
dead mother. They'll die a horrible death."
E-51 Now, the woman was right.
But something in me wouldn't let it happen. She said, "Why, you're a
hunter. Go get your gun and shoot her."
I said, "I'm a hunter, but I'm not a killer." I said, "But I can't do
it."
She said, "Let Banks..." That's her beloved husband, my buddy. Said,
"Let him kill her."
I said, "I can't."
Said, "Do you mean you're going to let that poor animal lay in that hot
sun, and those little ones scorch with their little naked bodies that
gets the direct rays of this sun today, and her laying there groaning,
sniffing, dying?"
E-52 It looked like the humane
thing to do, but I just couldn't do it. I talked to Leo and Gene. Later
on they left. All through the day she laid there. I went... The little
opossums still trying to nurse...
That night Mr. Wood come up and he said, "Now, Brother Branham, you've
been busy all day. You've just got to leave everything alone. Come, I'm
going to take you a little ride." We got the wife and we went out
riding. And I found a little old dog laying on the side of the road,
manged, eaten, flea-bitten. And I picked him up till the fleas was
running over my hands. And my wife said, "Billy, you're not going to
take that."
I said, "But honey, he's just a little fellow. Somebody's dropped him
off, because he's mangy." I said, "He has a right to live." And I took
him home, washed him up, and dosed him up, prayed for him. He's a fine
big collie dog.
E-53 When I went back in about
eleven o'clock, there laid the old opossum, sprawled out. Brother Wood
said, "Well, now she's gone." And the little ones still nursing... I
said, "Well, maybe she is."
Said, "Why don't you kill her, Billy?"
I said, "I just can't."
So my boy come in around midnight from the river, fishing, and there
laid the old opossum, still laying there. All night I thought of that
opossum. I just couldn't get it off my mind. And the next morning
early, I got up, went outside. And when I went outside, there laid the
old opossum. Mr. Wood said to me that night, "You know, Brother
Branham, if that opossum ever was going to move, it would move when the
sun went down." Said, "You've trapped and hunted enough to know it."
I said, "That's right."
E-54 And the next morning I went
out. And I've got a little girl that saw her first vision just
recently, a little eleven year old girl. She come out on the porch,
little Rebekah. And she looked over at that, and she started to cry.
She said, "Daddy, she's a real mother, isn't she?"
I said, "Yes." I kicked her with my foot. She had dew all over her and
the blowflies still on her. Said, "Daddy, what are you going to do with
that mother opossum?"
I said, "Honey, daddy don't know."
She said, "You going to kill her, daddy?"
And I said, "Daddy can't do it, honey." I said, "Sweetheart, you're up
too early," just her little pajamas on... I said, "You go in and get in
the bed with mommy." So I hurried her off into the room. And I went
down into the den room and set down. And I thought, "O God, how that
poor old mother opossum has suffered. How she must love those babies."
And as I set there, I thought, "Well, I'll hope I don't have to see her
killed."
E-55 And as I was setting there,
something said to me, "You were preaching yesterday about her. You used
her as your text."
I said, "That's right."
"You said she was a real mother."
I said, "That's right."
Said, "I sent her to your door, and she's laid at your door like a lady
for twenty-four hours, waiting for her turn to be prayed for, and
you've never said a word."
I said, "Well, I didn't..." I said, "Who am I talking to? Am I talking
to myself?" I jumped up. I thought, "Oh, is that You, God?"
E-56 And I walked out on the porch, and little Rebekah standing there looking at the mother opossum yet. She comes by it from the house. I went out to the opossum. I said, "God, I know that You know every flower. You know every cell. And being that this great horrible thing has happened to womanhood, of this beautiful young girl that killed her baby... And You wanted to show that You can even lead the animals. And she come up and has laid at my gate, waiting for her turn to be prayed for." I said, "I am sorry, God, that I did that." I said, "I didn't know it, God. I would have done it." But I said, "If it be Your Divine providence, that You have sought this, and want me to pray for the opossum, this I do in Christ's Name. Help her, Father. It's her love for her babies has been so great..." I thought, "O God, what would you do this?" And when I said that...
E-57 Now, it may seem strange.
It's went... Oh, I've got letters from Africa, from India, from over
the world about it. The associated press, I think, caught it. And that
old mother opossum raised up, picked her little ones into her pocket,
walked down that lane just as normal as any other opossum could walk,
rat tail hooked up; got down to the gate, and turned around as if to
say, "Thank you, kind sir." And across the road she went into the
woods. And as far as I know is happy with her babies tonight.
If God could think that of a opossum, how much more can He think of
you, when your love is produced and projected into the heart of the
living God? If God... By instinct alone, that opossum didn't have any
soul. It was a dumb animal. And if that could be done that way by the
instinct, and the Holy Spirit could lead an old mother opossum there,
knowing that He would have me to pray for that opossum. and her life
would be spared, how much more are you than a opossum?
E-58 Why have you come here
tonight to be prayed for? Where is your soul standing with God, is my
question? Let us bow our heads just a moment. I spoke at length, I
don't know why. You're so lovely. And I know someday after tomorrow,
perhaps we'll have to be separated for miles apart.
While we are setting with our heads bowed, I wonder as I ask you, if
"God so loved the world, that He gave His only begotten Son, that
whosoever believeth in Him should not perish, but would have Eternal
Life," I wonder, have you appreciated that in such a measure that you
have accepted His gift to you of Eternal Life?
Now, be honest, every head bowed, every eye closed. Have you been
strangely thinking of something? "Oh, I've just been a church member;
I've never received His love to me, to make my life what it should be.
I would like to have it. I want God to come to me tonight, and fill me
with His Spirit, and forgive me of my sins." Would you just raise your
hand to God, while every head's bowed? I will. God bless you. God bless
you, lady. God bless you, you, you, sir, and you, you. Oh, my! God
bless you, you, lady, you, you, and you, brother, and you, and you,
brother, and you, sister, you, brother, you.
E-59 Oh, they're all over the
building. God bless you, my brother. God bless you, my sister, there.
Up in the balconies now, how many up there would say, "Brother Branham,
I'm going to be honest with God. Something has spoke to my heart since
I've been setting here. Really, I'm not all I could be."
God bless you, brother. "I now raise my hand..." God bless you, lady.
God bless you, lady. God bless you, sonny. Oh, my! God bless you,
little girl. God bless you, lady. God bless you. God bless you up
there. I... God bless you, my brother. God bless you, my brother.
E-60 "Somehow, Brother Branham,
way in my heart..." God bless you, sister. "I been feeling very
strangely warmed, but there's something that has been lacking in me. I
want God to fill it right now with His love." God bless you, sister.
God bless you. God bless you, and you, and you, and you. Oh, my! Just
everywhere.
"I want God just now in His mercy, for I'm in love with Him. I want Him
to give me such Divine love, that sovereign grace will send back the
baptism of the Holy Spirit upon me to make me a different person."
How many here that's already accepted Christ that's never been filled
with the Holy Spirit, and you want to love God so much that He will
fill you with the Holy Spirit, would you raise your hand? Oh, all over
the building, everywhere, where at least two hundred or a hundred and
fifty more sinners has raised their hand, some two or three hundred or
more people seeking the baptism of the Holy Spirit.
E-61 If God so thought of a poor
old mother opossum, how much more does He love you? "God so loved the
world, that He gave His only begotten Son..." You say, "Brother
Branham, what would it mean if I raised my hand?" It's the difference
between life and death for you. "Oh, it's just a little thing." I know.
So is John 3:16. But it's the difference between life and death. That's
what it means.
Jesus said in Saint John 5:24, "He that heareth My words and believeth
on Him that sent Me, hath Everlasting Life, and shall not come into the
judgment, but pass from death to Life."
Would there be another one that's outside of Christ, that never raised
your hand, would raise it now and say, "Remember me. God here I am.
Here I am." Up in the balcony? God bless you. God bless you, sir, you.
That's good. One... Would there be another, surely somewhere, outside
of Christ? God bless you, sir. God sees your hand. God bless you,
little lady.
Oh, it's a real thing to recognize that the living God is present now,
to do for you those things which you could not do yourself. God bless
you, sir. That means the difference between life and death to you.
E-62 Someone on the bottom floor
again, would say, "Remember me, God. I'm raising my hand, not so much,
not for Brother Branham to see it, but I want You to see me, God." God
bless you, way against the wall there. God bless the colored lady; I
see you. God bless you. God sees you, sir.
Down in the halls on the outside and in the corridors up there, that
can't get in, would you raise your hand...?... say... remember me. God
bless you, man. God sees you. God sees you...?...
Down this other corridor and around this way, would you say, "God
remember me. I want to be remembered, Lord. And this night I'm raising
my hand as a sign that I now believe and accept the love of God."
If you belong to church, you're a church member; that's all right. But
I want you to be a Christian plus a church member.
E-63 All right, is there another just before we pray? God bless this little boy setting here. God bless the little...?... up there. Oh, sure, just another that will repent. God bless you, sonny boy, standing there, a little boy of about ten years old. The Bible says, "Suffer little children to come to Me, forbid them not." God bless you, my brother standing there. Certainly.
E-64 "I've been strangely moved
in my heart, Brother Branham. Something came to me and said, 'Make it
right just now. I'm the love of God that's knocking at your heart. I--I
want to come in tonight. I so loved you, that I gave the best I have.
Now, will you give me your life?'"
"What does...?... to do with it, destroy it?"
"No, raise it up again."
E-65 When the cold winter is over, you'll come right to this...?... You'll come back as a new man, young man, young woman, and be forever that way. No more old age or wrinkles, gray hair, broken down bodies, or sickness will bother you at the resurrection. You'll be immortal, made in His likeness. You have the choice tonight. All right, while we bow our heads, and if the sister that's on the piano...
E-66 O God, this is the hour;
this is the time, that wherever many hands has went up... They're
sincere, Lord. And I as Your servant, I'm interceding for them. I'm
asking mercy. God grant it. And may they all be saved and filled with
the Holy Spirit. And may the love of God that's shed abroad by the Holy
Spirit fill each heart. And may they walk out of this building with all
of their grudges and their differences all done away with.
We know that sin is black and dark, but the utmost parts of the sins
could only be a drop, as if it falls from an ink dropper into a great
big tub of bleach. Try to find it again. Oh, it could not be found.
When ink is dropped into the bleach, the ink will, ink becomes bleach.
And when the unrighteousness of a penitent sinner drops into the Blood
of the Righteous, they become the righteousness of God. Jesus, we take
Your Word for it. Thy Word is forever true.
When you said, "He that heareth My Word, believeth on Him that sent me,
hath Everlasting Life, and shall never come to the judgment, but's
passed from death unto Life..." And I pray, as only a servant could do,
for each hand that went up. Thou knowing their heart, will give to them
the very satisfaction of every need that they have.
E-67 Maybe never will I shake
their hands even on this earth, but when all of life is over, and
someday when we gather at the close of the day, and the great wedding
supper is set, and we see the redeemed of all ages around the table...
And as we look across the table to each other, a little tear will
streak down our cheeks, when we see our friends have crossed over
safely. Then the King will come out and wipe all tears from our eyes,
saying, "Do not cry. It's all over. Enter into the joys of the Lord,
that's been prepared for you since the foundation of the world."
God grant every person in Divine Presence tonight, will be in Divine
Presence then. If we have found grace in Thy sight, we offer Thee this
prayer in their behalf, in the Name of Thy beloved Child, the Lord
Jesus. Amen.
E-68 I don't mean to be a baby,
to weep. But there's just something about the Holy Spirit that just
makes you, not weep for sorrows, but for joy. Just something springs
forth. Think how the Angels must be rejoicing just now.
How many feels real, real good in your soul, would you just raise your
hands to God? Oh, my! I wonder if we could sing just once more as we
did last night, "I Will Praise Him!" Will you give us a chord, sister,
if you will? All together, now.
Somebody help me here. I'm not a singer. And if somebody'd help me to
lead the singing, or Dr. Vayle, or would you? While we sing "I Will
Praise Him, praise the Lamb for sinners slain; give Him glory all ye
people, for His blood can wash away each stain." Let's raise our hands
while we sing it. Everybody now.
I will
praise Him, I will praise Him,
Praise
the Lamb for sinners slain;
Give
Him glory all ye people,
For
His blood has washed away each stain.
Oh,
isn't that lovely? Let's do it again. Come on, everybody.
I will
praise Him, I will praise Him,
Praise
the Lamb for sinners slain;
Give
Him glory all ye people,
For
His blood has washed away each stain.
E-69 Oh, just reach over and
shake hands with somebody setting by you, and say, "Praise the Lord."
All you Methodists, and Baptists, and Full Gospel, and all together,
just shake hands. Oh, isn't it wondrous? How good it is to be a
Christian. Oh, isn't He wonderful?
Now, friends, it's just a little late, and we're going to ask, that
maybe some of you have to go, and we'll let those be dismissed while we
call the prayer line. And now, tonight we're going to try something
new, that I haven't done for a long time. Dr. Vayle is going to take a
microphone, and go to the corner, and meet to the people, and call what
they are. And I'm going to try without discernment if the Holy Spirit
will let me, to pray and lay hands on those who have to go back.
E-70 Now, tomorrow morning you
go to your church. And if you're visiting here, go to some of these
good churches around here. The pastor will be glad to see you. Go up
and shake his hand. Tell him you've been here at the meeting, give him
a hearty welcome out to the meeting tomorrow afternoon.
If you're down at Spencerville, there's a Methodist church down there;
a colored brother has a Methodist church. And I'm sure he'd be happy to
see you. The man usually sets along here, a very fine man. I don't
guess he's here tonight, but he has been each night.
And then there's other churches around. And tomorrow morning if you
want to come down to the First Baptist Church, I'll be speaking at ten
o'clock until eleven. And then tomorrow afternoon at two-thirty, back
in the building again for the service, the message, and tomorrow night
a healing service in the regular way. And tonight, we're going to try
to get the emergencies through by praying and laying hands on them.
E-71 Now, where's Billy?
What--what is emergency? Y's? There's a Y for emergency. You got a card
that's got a Y on it. How many? 1 to 50. Well, let's just start with 1.
And who's got Y number 1, could you raise up your hand? Lady there,
number 1. Number 2? Number 3? 4? 5? 6, 7, 8, 9, 10. That's Y-1 to 10
stand right in here if you can.
All right. And now, we're going to pray. And I'm going to ask you one
thing. You people who just came to Christ, would you do this? Do this.
Tomorrow morning, if you live in the vicinity here, go to some good
church, and say, "Pastor, I--I want to join this church. I want to be
baptized. I want to put my membership here."
Now, there's a--a church that's cooperating here. It's called the--the
Foursquare Church. There's one called the Full, the Church of God.
Brother Vayle...?... Have you announced it? All right. Find your places
and take up... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
One day on the Indian reservation in Ari... [Blank.spot.on.tape--Ed.]...?...
our sister, be gone in Christ's Name.
E-72 Now, with your heads bowed
just a moment... What was your condition, sister? Oh, the throat...?...
I--I honestly, I--I don't see any difference. I want you to notice a
growth, a little lump that was setting right here in this little vein
placed in her throat right here, has been taken away by the Lord Jesus
just now. A little lump about like that, sticking here on her throat
has been taken away by our Lord. Let us give Him praise and say, "Thank
you, Lord." Praise be to God.
[Brother
Vayle says "Stroke condition, Brother Branham."--Ed.] Oh, stroke...?... Now, sir,
we know that only God can do this. And I--I know that He did die for
that purpose. And now, I... The angel of the Lord sent me to pray for
the sick. That I know. Now... And told me if I'd get the people to
believe, and be sincere, that He would heal the sick. Not because I
prayed, but because His Word would be fulfilled.
Now, will you praise Him if He will heal you, give Him all the glory
for it? I pray that He will grant... Now, is the...?... Have you been
here nights before? This is your first night. You've never seen the
visions of the Lord work.
E-73 Now, I'm going to ask each
one to bow their heads for this paralyzed man with a stroke, that you
will pray with all your heart with me, that our prayers together might
help this poor dear brother. You are a Christian.
Now, kind heavenly Father, we are so in love with You, and we know that
Thou has all the power in heaven and earth. And I'm thinking of this
dear man, standing here dragging this foot and this arm hanging down,
swinging at his side. Satan has determined to afflict him and stop him.
And we are praying with all our hearts, asking that the love that is
within our hearts for him will be projected to Thy throne, and there
may the sovereign grace of Christ return, and touch his body, and take
away this stroke. O blessed Saviour, may our faith be strong. And may
our brother get well, in Jesus' Name we ask it.
E-74 And now, I'm going to ask
the audience if they will just keep their heads bowed, just a moment.
Please don't look, 'cause in doing so, you just interfere just a
little. Would you just keep your head bowed? I don't know that God will
touch the man. I do not know. I'm just asking Him. And please now, if
you hear my voice, keep your heads bowed.
Now, I'm going to ask you to...?... I'm going to ask to raise
the...?... Raise your hand up. Could you have done it...?... All right,
you may raise your heads. He has dropped his hat; his hands are up; his
feet is loosed; and God has healed the man. Walk back up this way. You
may go off the platform happy. Walk like a young man...?... Let us say,
"Praise the Lord."
Here's the lady with the braces on her has just taken them off. Thanks
be to God. Amen.
Let us say a prayer, pray a prayer to God of thanks. Heavenly Father,
in Jesus Christ's Name we give Thee praise, thanks for all that Thou
has done. Thou art the living Christ, and we ask Your eternal blessings
upon those who are waiting. In Jesus' Name we ask it. Amen.
E-75 [Brother
Vayle says, "This is Sister...?... going blind from kidney
infection--Ed.]
Would you come, sister? Now, please pray; it's hard to hold the vision.
See? But I--I... Visions is a--a prophetic gift that sends the Presence
of the Holy Spirit through the audience, and you receive it. This is a
gift of healing. The Angel of the Lord... Have you read my book? He
said with a... And I haven't exercised this for some time. But He said,
"If you'll get the people to believe..."
I said, "They will not believe me because I'm uneducated."
He said, "You are given two signs to do before the people, and by this
they will believe you."
E-76 And Dr. Lee Vayle, setting
today, telling me how that he watched me up in Portland, Ore, or
Washington, in the big Ice Arena, and in Vancouver, how that the people
were healed. He said, "Brother Branham, what has happened?"
I said, "The people rally for the visions."
He said, "Is there any way that you could...?... off just for a little
bit and exercise the gift that God has given you?"
I said, "He told me if you'd be sincere nothing should stand before the
prayer." And I believe that I have, maybe, passed over many things. The
American people must have hands laid on them. That is their way.
E-77 Now, sister, blindness is
an horrible thing, and I certainly wouldn't want to see you blind. But
Jesus of Nazareth touched the blind man by the Jericho gate, and he
received his sight. You believe that God will heal you tonight? Now,
let us bow our heads just a minute.
O merciful Father God, in Who we love and trust, we give to Thee praise
and glory. In the presence of this audience we thank Thee for Jesus Thy
Son, and praise Thee for His atoning grace for us. And if Thy Presence
is here healing the sick and making the afflicted well... And now, this
our dear sister comes in confession of her faith, knowing that's she's
going blind. But she has come to Thee, and as Your servant I lead her
to Christ, and with my hands upon her as a commission of God, I ask
that the blindness go from her eyes, and the infection leave her body,
and she will remain throughout her life with good sight. In Jesus' Name
this will pass.
E-78 Now, with your heads bowed,
with your eyes closed just a moment. Now...?... Now, sister, not
knowing how well your eyes were, I want you to look up toward me. Do
you see all right now? Do you see me well? Can you see me better,
different from what you did when you come to the platform? Could you
tell me at this time how many fingers I have up? What say? Can you
believe that your blindness has ceased? Can you read that now?
All right, you may raise your head. The lady could not read; she was
going blind without her glasses. And here she now can read the Bible.
And she couldn't... Can you see all right now? Raise your hand if that
is so. Now, let us give God praise and thanks for His goodness for
healing the lady.
Oh, our hearts are happy Father, for Your healing grace...?... And may
our beloved sister be completely well from this night on. May it never
bother her no more. May her doctor write out his testimony of how the
infection left her body. We pray in Christ's Name and give You thanks.
Amen. God bless you, sister, and I believe you'll be all right.
E-79 [Brother
Vayle says, "This is Mrs. Brown of Adrian, Michigan. She has a stomach
trouble--Ed.]
Stomach trouble, that is a horrible thing, sister. In eating, the
nervous system lays in the stomach, and when the stomach sours, the
food doesn't digest right, and it's an awful thing. I suffered so much
with it when I was a young man. But, then the Lord healed me. And I'm
sure He would to you.
You are a Christian, and you believe the Lord will make you well. And
you're conscious that I'm just your brother, but Jesus is the Christ;
He's here to make you well. Shall the audience bow their heads and pray
with me now.
Now, kind heavenly Father, as this nervous little lady comes here, with
her head bowed... And she knows that You are the great Physician. And
her love is reaching out...?... it can. And that's why she's standing
here. Her love is reaching out. And Thy love reaches down. And when
love is projected like this, surely sovereign grace will take its place
and heal her. Grant it, Lord. I ask it in Jesus' Name, and for His
sake, and this lady. Amen.
Now, sister, of course right now, in nothing visibly could we show you
could eat, that your stomach is healed. But do you believe that it is
healed...?... with all your heart? All right. Now, you just go ahead
and eat, just like you always did, giving God praise. And you give us
your testimony. Will you do that? Thanks be to God for your healing.
God bless you.
E-80 [Brother
Vayle says...?... Webster plagued with a nervous disorder--Ed.] That is a horrible thing.
It's a serious thing that is...?... It's an awful thing, a shadow of
darkness like, and it always makes you so upset. But you know,
everybody keeps saying, "Oh, get next to yourself." How? How can you
when something is haunting you? But you say, "Perhaps you're not
feeling bound." But...?... it's all true. But you know that Jesus can
make you well. Don't you, sister? Yes, God bless you. Now, let us bow
our heads just a moment for this little nervous sister.
And Father, this is some mother's darling baby, perhaps some man's
wife, maybe some child's mother. And she stands here with a gloom.
Satan is making her nervous. Oh, he would've had her to commit suicide.
He would send her to the insane asylum, cause her to set in a padded
cell...?... against the wall. But she come forward to confess her love.
And in reaching out just now...?... O God, send down sovereign grace.
And may the Holy Spirit drive away this enemy from her. And may right
now it leave her, and may it never return again. And may she be happy
all the rest of her life, and free from this disease and affliction.
Through Jesus' Name.
Now, with your heads bowed just a moment. Now, sister, won't you look
this a way. Has it left you? You feel all right now? It's all gone?
Amen. Now, you can raise your head. Now, you can go off the platform
happy, rejoicing, praising God...?... Let us hear from you. God bless
you.
E-81 [Brother
Vayle says, "Little David...?... a lump on his wrist--Ed.] Little boy coming to be
prayed for. All right...?... A lump on the little boy's wrist. Shall we
bow our heads?
Are you his father? You are a Christian? You believe that God will
remove this lump? Will you love Him, and praise Him, and raise up the
boy to serve Him, if He will let this growth go away from his body?
Dear heavenly Father, as this little blond-headed, blue-eyed boy
stands, I'm thinking of my own little Joseph at home, who is perhaps
crying tonight, "Where is dada?" But I am here as the servant of my
Lord, praying for this man's darling, that means just as much to him as
my child does to me. And God, You so loved us and our children, till
You gave Your only begotten Son, that through His sacrifice...?... that
He would save us and heal our bodies.
And this growth that's on the wrist of this child, I now as the servant
of Christ, condemn it upon the confessions of this man who comes, who
offered the child to me to pray for, and ask that in Jesus' Name, God's
beloved Son, that He will take the growth from the child's wrist, for
the glory of God and the testimony of Christ. For it is in Jesus' Name
we ask it, as our love, the little one not understanding, we...?... it
to the ends of its strength. And now, may sovereign grace grant what
you've asked for.
With every head bowed, every eye closed in prayer... The lump has gone
from the little boy's wrist...?...
We give God praise and thanks for His healing...?... kind sir. And yes,
it'll be all right now. And bless your heart now. God bless you, sir.
See how great our Lord is? How great Thou art. How great Thou art. Now,
we thank God for His goodness. All right, Brother Vayle..
E-82 [Brother
Vayle says, "Mrs. Holstrom from Columbus. She has swelling in the
legs--Ed.] Mrs.
Holstrom, I... Are... You are a Christian...?... Your expression in
this meeting would let us know that you was a believer. And now you've
come, as your love in Christ, to know that this swelling is evil. And
you love the Lord. And you come now to project your love to Him. And I
come to offer mine with you. And may sovereign grace come down and heal
you, and may you never have the swelling anymore. You will believe,
won't you? Can I just take your hand for a point of contact?
Dear heavenly Father, as hundreds of people in this building, believing
Christians, borned again men and women, boys and girls, who are now
projecting to Thee their love along with this sister who has swelling
in her body... And she is here to believe, and to accept, and to send
forth her love to Thee, to walk out before these people tonight, before
men who could pray for her, believing that Thou will condemn the
disease of her body and will extend her good health to her. O God, with
all my heart I pray that You will grant this blessing to her. In Jesus'
dear Name I ask it.