AVOIR SOIF DE LA VIE
1 …?... Merci …?... Merci, mes amis. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] C’est un privilège de revenir une fois de plus ce soir à la tente pour – pour parler encore ce soir au Nom de notre Seigneur.
Et maintenant, avant d’ouvrir Sa Parole, adressons-Lui d’abord juste un mot, alors que nous inclinons la tête.
Seigneur Dieu, c’est vraiment un privilège pour nous de venir auprès de Toi. C’est ce que nous a recommandé Ton cher Fils, le Seigneur Jésus. Et nous sommes sûrs que Tu nous exauceras, comme nous venons en Son Nom, car Il a rendu cela évident, en disant que si nous demandons quelque chose au Père en Son Nom, cela nous sera accordé. Et ô Dieu, nous sommes ici ce soir dans aucun autre but, si ce n’est pour Ta gloire, Ton honneur, l’honneur de Ton Royaume, et pour le – l’avancement de Ton Royaume, afin que nous puissions tous entrevoir d’une nouvelle façon ce soir le Sauveur béni, pour qu’Il vienne parmi nous, qu’Il ôte toute notre iniquité, et qu’Il ôte les chagrins de nos cœurs. Ôte les maladies de nos corps et donne-nous la joie, la bonne santé, la force, et fortifie notre être intérieur, car nous nous attendons à Son apparition visible et imminente pour enlever Son Eglise, appelée Son Epouse.
2 Accorde, Seigneur, que chaque péché, et chaque péché par action ou par omission, peu importe ce que c’est, soit ôté de nous ce soir, et que ceci soit le commencement d’un grand – d’un réveil sans fin jusqu’à ce que Jésus revienne. Accorde-le, Père.
Maintenant, alors que nous tournons les pages, personne ne peut interpréter la Parole si ce n’est Toi. Et nous demandons à l’Auteur de ce Livre d’interpréter le message pour nous ce soir. Sème la semence profondément dans les cœurs, reçois-en la Gloire, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
3 Je venais d’entrer avec ma femme et ma famille là, il y a quelques instants. J’ai reçu ici un petit message écrit, de la part d’Ed Bibbord. Il voulait savoir si j’avais un lien de parenté avec la famille Branham de Burkesville, dans le Kentucky. Ed, tu es mon cousin. Frère Bibbord, à Indianapolis, votre frère, et celui qui est à Evansville, dans l’Indiana, dans la grande église des Assemblées de Dieu là-bas, est… Nous sommes de véritables cousins consanguins, où que vous soyez. J’aimerais vous rencontrer et vous serrer la main d’ici peu après le service. Que le Seigneur vous bénisse.
4 Et puis, je voulais aussi annoncer que ce soir, sur la table des livres, je ne sais pas où ça se trouve, il y a – il y aura des bandes et des disques des réunions.
Monsieur Mercier et monsieur Goad, mes associés, qui prennent les disques, ou plutôt qui prennent les messages et les enregistrent sur bandes, et à partir des bandes ils les enregistrent sur disques, et les disques et les bandes sont maintenant disponibles au kiosque à journaux, et on peut les acheter à… presque au tiers du prix que vous payerez pour un disque dans un bazar, si vous avez un … Et si vous n’avez pas de centreur, eux en ont.
Nous ne sommes pas ici pour vendre. Ce n’est pas cela notre but. Quiconque me connaît le sait. Je n’ai jamais été coupable de commercialiser Jésus-Christ. Voyez-vous ? Et je – je n’y crois pas, et je … La seule raison pour laquelle j’aimerais faire ça, c’est parce que je pense que cela peut aider quelqu’un. Et les jeunes gens, quand ils prenaient les bandes et les vendaient… J’ai envoyé des gens pour qu’ils m’achètent une bande chez un évangéliste, et je pense que ça coûtait environ trois fois le prix auquel ces garçons vendent les bandes, parce qu’ils en achètent des milliers et des milliers en gros, et ils en achètent. C’est simplement pour l’avancement de l’Evangile. C’est …
5 Et puis, les livres que nous avons, certainement, nous ne les avons pas ici, parce qu’ils sont imprimés ici. Frère Gordon Lindsay, notre frère qui est notre associé ici présent, a écrit le livre : Un homme envoyé de Dieu, et c’est en vente ; et frère Lindsay les imprime ici, et moi je les achète chez frère Lindsay (Quand je les amène dans des réunions) avec une réduction, je pense, d’environ quarante pourcent sur ce que Lui… ce que je devrais… sur leur prix réel. Et alors, je les prends, et j’engage quelqu’un pour les vendre, et ainsi de suite. Et s’il y a ici quelqu’un qui a jamais vendu les livres, il sait que ce n’est pas facile de les vendre de toutes façons, et de réaliser des bénéfices, parce que si quelqu’un se présente, et qu’il n’a pas d’argent, mais qu’il veut avoir le livre, on le lui donne de toute façon. Que ce soit les photos, ou quoique ce soit, c’est pareil.
6 Et il nous faut imprimer cette photo de l’Ange du Seigneur qui est sous copyright. Frère Lindsay et tous les autres connaissent tout à propos, il nous faut avoir l’autorisation pour en avoir beaucoup, et les vendre juste au prix auquel nous les achetons. Ainsi vous voyez…
Et nous ne sommes pas là à racoler et tout, mais j’en ai juste fait mention pour que si vous en avez besoin, ce sera une bonne chose de vous en procurer à – à la fin du service à la – à la concession ou à l’étalage de livres, n’importe où ça se trouve.
7 Et maintenant, nous nous réjouissons certainement de notre séjour ici et nous avons bénéficié d’une très chaleureuse conception, ou plutôt réception. Aujourd’hui, je me suis rendu dans un petit magasin, et mon … J’ai dit : « Madame, fait-il plus chaud ici au Texas ? »
Elle a dit : « Vous auriez dû être ici en août. »
J’ai dit : « J’étouffe pratiquement. » Ainsi, vous savez, je… je suis né dans le Kentucky, et je suis à cheval sur le Nord et le Sud. Mais vous savez, étant donné que vous êtes tous un groupe de sudistes ce soir, je suis un sudiste, parce que je suis né dans le Kentucky.
8 Nous sommes venus récemment des Etats de la Nouvelle Angleterre, et là-bas, je leur ai tous dit: « C’est nous qui avons gagné la guerre. » Vous le savez tous, n’est-ce pas ? Certainement, c’est nous qui avons gagné la guerre. Voici comment nous y sommes parvenus : nous avons survécu à tous les autres. C’était simplement… Il y a un sudiste qui était resté et aucun nordiste. Et quand le dernier nordiste, joueur de tambour, est mort, avez-vous remarquez dans le journal, juste avant qu’il ne meurt, le sudiste lui a envoyé un message, disant : « Que Dieu vous bénisse, yankee. J’espère vous revoir bientôt. »
Pourquoi ne pouvaient-ils pas avoir de telles pensées au début ? C’est… Tout serait alors terminé. C’est vrai. Eh bien, des guerres, nous en aurons jusqu’au retour de Jésus, et alors nous n’aurons plus de troubles ni de guerres. Ne sera-ce pas un temps merveilleux ? Nous L’aimons de tout notre cœur.
9 Et maintenant… Ce matin je parlais dans un petit restaurant. J’y étais en visite, et j’ai rencontré un homme qui s’est approché, il m’a serré la main, et m’a dit : « Peut-être que vous ne me connaissez pas, Frère Branham », mais il a dit : « Je… Vous avez prié pour ma fillette, qui souffrait (je pense que c’est ce qu’il a dit) des crises d’épilepsie. » Il a dit : « Depuis ce moment-là, elle n’a jamais piqué une autre crise. » Et alors, il a dit : « J’ai eu… » Quelqu’un dans son voisinage, quand il a entendu cela, il avait deux valves de son cœur, qui étaient bouchées. Et il a téléphoné, et je lui ai envoyé un petit mouchoir. Il a dit : « L’homme s’est levé, il a marché, et s’est rétabli. »
Cet homme est ici dans la réunion ce soir. C’est un prédicateur ; je – j’ai sa carte dans ma poche, mais il ne voudra peut-être même pas que je… Si vous le voulez, frère, vous pouvez lever la main, celui à qui je parlais dans le... Là derrière tout au fond, le voilà, là derrière au fond.
10 Ainsi donc, de venir et d’entendre des témoignages et tout, ça a été bon. Et aujourd’hui, j’ai payé le tribut, d’aller visiter l’école que fréquentait mon garçon, ici à Waxahachie. J’ai vu leur bonne école. Ça me fait de la joie, de savoir que les gens du Plein Evangile ont une école où ils peuvent élever leurs enfants dans la voie du Seigneur. Je suis très reconnaissant pour, je pense qu’on l’appelle, l’Ecole biblique du Sud-Ouest de Waxahachie.
11 Alors, à mon bon ami Jack Coe, je suis passé par là et j’ai vu son établissement. Quelque chose juste… Je suis capricieux de toute façon, et quelque chose… Quand j’ai vu le nom de Jack et… sur l’orphelinat là-bas, et cette bande de petits enfants qui jouaient tout autour d’une petite tente, je me suis dit : « Ô Dieu, que sa vaillante âme repose en paix. »
Et j’ai parlé à son beau-frère il y a quelques instants. J’étais dans une petite épicerie pour acheter quelque chose pour les enfants. Et j’ai rencontré son beau-frère et – et le prédicateur qui l’aide là-bas, la sœur qui travaille dans l’église. Et il était courtois de m’inviter à son église pour tenir une réunion pour lui un jour. Et j’ai dit : « Si le Seigneur le permet, j’aimerais bien le faire, à une condition, que tu me fasses la promesse, avant de venir, que tout ira dans ce petit orphelinat là-bas. Voir ces petits gosses qui jouent là sans papa, sans maman, ni… ni … et le conducteur qui a reçu cette grande vision est allé dans la gloire. Que Dieu fasse reposer en paix l’âme de mon frère Jack, c’est vraiment une vaillante âme.
12 Je me rappelle quand je l’ai vu pour la première fois, ça, je ne l’ai jamais oublié ; c’était le petit ami le plus curieux, il était très mince. Et il s’est approché de moi, et m’a dit : « Dites-moi le problème de cette femme qui est dans la voiture et je vous croirai. »
J’ai dit : « Monsieur, ça, je ne – je ne peux pas le faire. » J’ai dit : « Il faut Dieu pour le faire. »
Il a dit : « Eh bien, je suis – je suis curieux. J’aimerais savoir. »
Et j’ai dit : « Je vais aller là-bas demander [à Dieu]. » Et quand je suis arrivé là-bas, le Saint-Esprit a révélé qui elle était et tout au sujet de cette femme.
Il a dit : « Pour moi, c’est réglé. »
Et j’ai dit : « Tu es simplement un petit prédicateur curieux. Et un jour, tu feras cette même chose, prier pour les malades. »
La fois suivante que je l’ai vu, c’était à Chicago, environ dix ans plus tard. Et il avait certainement grandi. J’ai dit : « Frère Jack, que s’est-il passé ? »
Il a dit …?... « Deux steaks après chaque réunion et deux ou trois… de lait malté… »
J’ai dit : « On n’a certainement pas extrait les calories », j’ai dit… Juste un homme bien, et oh ! Ma prière est que Dieu fasse reposer son âme en paix. D’être ici dans les parages de l’endroit où Jack Coe a autrefois prêché…
13 Eh bien, un jour je serai aussi parti. Un jour, nous serons tous partis. « Qu’en partant, nous laissions derrière nous les empreintes des pas sur le sable de temps. » Que Dieu fasse continuer Son œuvre. Puissions-nous marcher en étant fidèle à la cause pour laquelle Il est mort, c’est ma prière.
Maintenant j’aimerais juste lire quelque chose dans la Bible. J’aime vraiment la lecture de la Parole. Vous savez, le Saint-Esprit se nourrit de la Parole. Jésus a dit : « Il est écrit que l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. » Et si vous La prenez simplement chaque jour, non pas simplement par routine, mais simplement pour… oh ! je dirais, simplement parce que vous le désirez ardemment dans votre cœur, de sorte que vous vous asseyez là chaque jour et vous lisez beaucoup la Bible. Vous serez surpris de voir ce que cela fera dans votre croissance spirituelle. Cela le fera certainement. « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. »
14 Ainsi, ce soir, prenons … que j’ai choisi comme sujet, ou comme référence, référence biblique dans Psaumes, Psaume 63. Et j’aimerais lire juste une portion de cela ici, les versets 1 et 2, et peut-être le 3.
O Dieu ! tu es mon Dieu, je te cherche, Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi, dans une terre aride, desséché, sans eau.
Ainsi je te contemple dans le sanctuaire, pour voir ta puissance et ta gloire.
Car ta bonté vaux mieux que la vie, Mes lèvres célèbrent tes louanges.
15 Avez-vous déjà lu de telles Paroles ? « Combien mon âme soupire après Toi dans une terre aride, sans eau. » C’est plutôt un texte inhabituel, mais Dieu est inhabituel ; Dieu fait des choses inhabituelles, et Il travaille par des voies mystérieuses, pour accomplir Ses merveilles.
Et nous vivons dans un jour inhabituel et dans un temps inhabituel, mais nous servons le Dieu qui a été dans tout les temps. Et quand j’ai pensé à ce… Vous savez, mon âme a soif de Toi… Si votre âme, c’est la chose qui vous dirige, c’est que c’est elle qui fait de vous ce que vous êtes. Une conversion c’est … L’âme, c’est la nature de l’esprit. Et quand un homme est converti, il ne reçoit pas un autre esprit. Son esprit change, une conversion veut dire changer sa manière de penser, changer sa manière de vivre et ainsi de suite. Ainsi, mon âme à soif de Toi.
16 Et je méditais sur ceci : « Car Ta bonté vaut mieux que la vie. » Qu’y a-t-il de plus grand que la vie ? Dites-moi juste une chose, ce soir. Qu’y a-t-il de plus grand que la vie ? Rien n’est plus grand que la vie.
Et il n’y a qu’une seule sorte de Vie Eternelle, et cette Vie-là vient de Dieu. Tout ce qui a un commencement a une fin. C’est ce qui n’a pas de commencement, qui n’a pas de fin. Et au commencement, Dieu, la Vie Eternelle… Et puis la Vie Eternelle qui, en Grec, est appelée « Zoé », ou « La Vie de Dieu… »
L’amour agapao, et l’amour philéo, et ainsi de suite, comme nous descendons comme cela de l’amour agapao qui est l’amour même de Dieu. L’amour philéo, c’est l’amour que vous avez pour votre femme ou votre ami.
17 Eh bien, bien des fois, les églises sont tellement embrouillées qu’elles essaient de prendre l’amour philéo, qui signifie « l’amitié », pour l’amour agapao. Mais voici la différence : si vous aimez votre femme comme vous le devriez, et qu’un homme l’insultait, vous tueriez cet homme, parce que vous seriez jaloux de votre femme. C’est ce à quoi l’amour philéo conduirait. Mais l’amour agapao vous amènerait à prier pour son âme perdue. Voilà la différence. Voyez-vous ? C’est ça la différence. Dieu…
Tout ce qui existe maintenant, c’est quelque chose qui a été correct. Et toute injustice, c’est la justice pervertie. Il n’y a rien qui n’ait existé avant. Par exemple, tout péché, c’est de la justice rendue péché.
Eh bien, vous avez entendu des gens dire que le diable peut guérir. Il n’y a qu’une seule chose qui cloche dans cette déclaration-là. L’homme qui a fait cette déclaration ne connaît même pas sa Bible pour commencer, ni le Dieu qui L’a écrite. Le diable n’a aucune puissance de guérir, et il ne peut pas guérir ; il n’a jamais guéri, et il ne guérira jamais.
18 Je connais un collège luthérien à Minneapolis, dans le Minnesota ; ce soir, des signes et des prodiges s’accomplissent parmi ces gens. En effet, le prédicateur m’a écrit une lettre disant : « Un homme comme toi qui prêche à un aussi grand nombre de gens, soutenir que le diable ne peut pas guérir… Et il a essayé de baser cela sur une sorcière, ou une femme, au près de qui les gens vont, et qui les tâte, et leur dit que… Eh bien, elle arrache une petite poignée de cheveux de leur tête et les imbibe du sang de leurs veines ; elle descend à la rivière et y jette cela, et se met à rentrer ; si elle est contrainte de regarder en arrière, la maladie reviendra. Mais si elle avance, alors les gens sont guéris.
Il a dit : « Nous avons observés cela, et vingt ou trente pourcent de ces gens sont guéris, et vous dites donc que le diable ne peut pas guérir. »
J’ai dit : «Ce qui est étrange, chez vous, docteur Aegery, est que (et je suis surpris), vous étant un doyen chez les Luthériens, vous pouvez baser votre doctrine sur une expérience plutôt que sur la Parole de Dieu. » C’est vrai. Jésus a dit : « Satan ne peut pas chasser Satan. » Cela règle la question.
19 J’ai dit : « Naturellement, beaucoup de gens disent que des guérisseurs divins parcourent le pays. Ça n’existe pas. Je n’en ai jamais vu un seul de ma vie et jamais je n’en verrai. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Mais parfois les gens s’approchent de ceux qui font de telles déclarations, et sont guéris. C’est vrai. J’ai vu des sorciers – des sorciers guérisseurs qui guérissent les gens, mais qu’est-ce ?
J’ai vu des gens aller auprès des idoles. Là-bas, dans l’Alsace-Lorraine, en France, ils vont au près d’une idole, une femme morte et ils sont guéris, mais ce n’est pas à cause de cette femme morte. Ce sont les gens qui pensent qu’ils s’approchent de Dieu à travers cette femme.
De même qu’il en est pour les guérisseurs divins, de même il en est pour les – les sorcières. Les gens pensaient s’approcher de Dieu à travers la sorcière, et Dieu doit honorer leur foi peu importe où on la place. C’est vrai. Ainsi, il n’y a pas de guérison…
20 C’est quoi, la guérison ? La guérison, c’est le développement des cellules, une multiplication des cellules, la formation des cellules qui se remettent.
Vous pouvez vous casser le bras. Le médecin ne peut pas guérir votre bras ; il peut simplement le remettre en place. Il faut Dieu pour le guérir. Car Il est le seul Créateur qui soit. Satan ne peut pas créer. Il pervertit ce que Dieu a créé.
J’ai un auditoire mixte, bien entendu, et je suis votre frère. Et vous écoutez votre médecin. A vous les hommes mariés, vous avez votre femme ; vous vivez avec votre femme. L’acte entre une femme et son mari est un acte légitime au possible. Mais le même acte avec une autre femme, vous êtes perdus. Qu’est-ce ? La justice pervertie. C’est vrai. Tout péché, c’est la justice pervertie.
Eh bien, je ne suis pas un enseignant de la Bible, je vais donc laisser cela pour revenir à mon sujet.
21 La vie, c’est quoi, la vie ? Eh bien, la vie est le… c’est ce qui vous contrôle. La vie, c’est ce qui fait de vous ce que vous êtes. Et la vie qui est en vous, fait de vous une épître écrite, lue de tous les hommes. Ainsi, pendant que nous parlons de la vie…
Il y a quelque temps, j’étais en train de réfléchir, là dans les Etats du Sud, au temps où l’on pratiquait l’esclavage, et où on conduisait les esclaves comme des animaux. Et – et on les exposait là et on les vendait aux enchères comme vous le feriez dans un parking de voitures d’occasion, et comme vous le feriez… Et les courtiers venaient et achetaient certains esclaves. Et ils passaient et achetaient de grands hommes de couleur corpulents ; ils les emportaient et les vendaient à quelqu’un d’autre, et réalisaient des bénéfices sur eux, juste comme vous le faites aujourd’hui avec vos voitures et tout.
Et un certain courtier est passé dans une – une vieille plantation et a demandé : « Combien d’esclaves avez-vous dans cette plantation ? »
Et le propriétaire a répondu : « Environ cent cinquante. »
« Y en a-t-il à vendre ? »
Il a répondu : « Oh, je ne sais pas ; nous pouvons peut-être faire le troc ou quelque chose d’autre. » Et quand il est parti les voir…
22 Eh bien, les Boers (les Afrikaans) vendaient les esclaves, ici aux Etats-Unis. Ils les amenaient ici depuis l’Afrique et les vendaient. Et ils étaient loin de leurs pères, de leurs mères, de leurs enfants, de leurs maris, de leurs femmes et ils ne les reverraient plus jamais tant que le temps s’écoulerait. Ils étaient tristes, on devait les fouetter à maintes reprises pour les faire travailler. On amenait des fouets et on les frappait avec pour les faire travailler ; en effet, ils étaient tristes et opprimés.
Et ce certain acheteur a remarqué qu’il y avait un esclave parmi les autres qu’on n’avait pas à fouetter, un jeune homme, qui était à la tâche, menton relevé, la poitrine bombée, disposé à travailler n’importe quand. Et l’acheteur a dit au propriétaire : « J’aimerais acheter cet esclave-là. »
– Oh, lui dit-il, mais celui-là n’est pas a vendre.
Il a dit : « Qu’est-ce qui fait qu’il est si différent des autres ? Est-ce que vous le fouettez ? »
Le propriétaire a dit : « Jamais. »
Il a dit : « Qu’est-ce qui le rend si différent ? Est-il le chef de tous les autres ? »
Il a dit : « Non, ce n’est qu’un esclave. »
Il a demandé : « Peut-être que vous le nourrissez mieux que les autres ? »
Il a répondu : « Non. Il mange dans la cuisine avec tous les autres. »
Il a dit : « Eh bien, qu’est-ce qui le rend si différent des autres ? »
Et le propriétaire a dit : « Monsieur, je me suis moi-même posé cette question pendant longtemps, jusqu’à ce que j’ai découvert la vérité. Et, la voici. » Il a dit : « J’ai découvert que là-bas dans son pays, il est le fils du roi de la tribu. Et bien qu’il soit étranger, parmi les étrangers, ce pendant il se comporte en fils du roi. »
23 Oh ! si cela pouvait faire qu’un nègre, qui savait que son père était un roi et qu’il était un étranger, garde le moral et se comporte en fils du roi, qu’est-ce que cela devrait faire aux enfants de Dieu, aux fils et aux filles de Dieu ? Nous devrions nous comporter en véritables fils du Roi. Nous devrions être sans peur quand il s’agit de prendre une décision au sujet de la Parole de Dieu.
Si Dieu dit quelque chose, tenez-vous-en à cela. Dieu l’a dit. Cela ne peut faillir. Si Dieu nous a promis la Vie Eternelle, nous avons la Vie Eternelle. Il ne peut mentir pas plus qu’Il ne peut cesser d’être Dieu.
24 Et après avoir prêché dans des églises, j’ai trouvé une chose, j’ai trouvé qu’il y a deux catégories de gens : ce sont les fondamentalistes et les pentecôtistes. Et je trouve que pour ce qui est de leur position, les fondamentalistes, ils savent où ils se tiennent, seulement ils n’ont pas de foi. Et les pentecôtistes par contre ont beaucoup de foi, mais ils ne savent pas où ils se tiennent.
C’est juste comme un homme qui a de l’argent en banque et qui ne sait pas établir un chèque. L’autre peut remplir un chèque, mais il n’a pas d’argent en banque. Si vous pouviez les mettre ensemble !
Si les pentecôtistes pouvaient reconnaître qui ils sont… ce sont des fils et des filles de Dieu. Tous les préjugés, les systèmes dénominationnels, et – et les divergences seraient brisés, et ils s’embrasseraient les uns les autres, ils se serreraient la main, et la gloire de Dieu tomberait universellement, si seulement ils se reconnaissaient et réalisaient qu’ils sont des fils et des filles de Dieu.
25 Peu importe même si nous sommes dans un monde étranger. Même si nous sommes parmi les étrangers, nous sommes pèlerins et étrangers, mais nous cherchons une cité à venir dont Dieu est le Constructeur et l’Architecte. Pourquoi alors nous soucier de ce monde, et de tout ce qu’il a de fantastique et toute sa gloire ? Il périra complètement un jour. Cette nation est sur le point d’être réduite en cendres à n’importe quelle minute, en ce moment même, et cela peut arriver avant le matin.
Je me suis tenu là où se sont tenus des Pharaons et il vous faut creuser jusqu’à vingt pieds [6,48 mètres – N.D.T.] de profondeur pour retrouver leur trône, et là où les empereurs romains se sont tenus, et il vous faut creuser très profondément dans la terre pour retrouver là où était leurs royaumes. Mais, frère, comme des fils et des filles de Dieu, nous recevrons en nous un royaume qui subsistera dans tous les âges éternels.
26 Pour nous, il n’y a rien de quoi nous inquiéter. Nous avons tout ce qu’il faut pour être heureux. Ce n’est pas étonnant que les gens fassent des bruits. C’est assez pour leur faire faire des bruits. Je prends bien plaisir à un peu de bruit ; c’est un signe de vie. Vous savez, tout ce qui… Scientifiquement parlant, je peux prouver que tout ce qui ne fait pas un peu de bruit, c’est mort. Donc, si votre religion ne produit pas un peu de bruit, vous feriez mieux de l’enterrer, et d’en chercher une autre qui a quelque chose.
Quand Aaron, le souverain sacrificateur, était oint pour entrer dans le saint des saints, il portait une clochette et une grenade – une clochette et une grenade au bords de ses vêtements, et c’était dans un but, c’était pour témoigner qu’une fois entré dans ce lieu saint, s’il n’y avait pas de bruit, il était tué. Mais tant qu’il se faisait du bruit, il y avait encore la vie.
Ainsi donc, tant que vous pouvez encore voir les gens, qui ont assez de Dieu dans leurs cœurs, dire « Amen » devant leur patron, leur voisin, ou devant qui que ce soit, cela montre que Dieu vit encore. La vie, qu’est-ce qui vaut mieux que la vie ?
27 Eh bien, quand j’ai pensé à ces choses comme David, ce très aimable psalmiste, qui en parlait… J’ai toujours aimé son… le lire, parce que nous avons eu certaines choses en commun, nos idées, le fait que l’un et l’autre nous aimons le Seigneur et nous aimons aussi le plein air. David, avec les – les pâturages ombragés, ou des verts pâturages et les eaux paisibles, rester seul avec Dieu…
Aujourd’hui, je parlais à un homme, un prédicateur, du Colorado. Souvent j’effectue un petit voyage (J’aurais aimé en effectuer un après ici.), juste là dans les montagnes pour rester seul, contempler Dieu pendant un moment.
28 Un jour, je me souviens… Je sais que je suis un tout petit peu sorti de mon sujet, mais nous ne sommes pas formalistes, et… J’étais donc là chasser l’élan. Il faisait tard, la neige n’avait pas encore commencé à tomber et je devais monter là haut dans ces montagnes. Et le propriétaire du ranch où j’avais l’habitude de m’occuper du bétail, eh bien, il a pris une autre route. Je devais le rencontrer deux ou trois jours plus tard.
J’ai attaché mon cheval de somme et je suis parti à la montagne. Et il n’y avait pas encore de neige pour contraindre les – les élans à descendre, et je marchais dans le… tard en automne, une – une pluie est tombée, et puis, il y a eu de la neige, et alors le soleil a brillé, ainsi de suite. Et il y a eu un grand ouragan, comme nous l’appelons là-bas au nord, une tornade. Et je suis allé derrière un arbre et je me suis tenu là.
29 Et, pendant que la tempête soufflait, je me disais: « Ô, Dieu, un jour Elisée s’est retiré dans une caverne et la tempête est passée, mais il ne T’a pas entendu dans la tempête. » Je pensais donc à cela. La tempête s’est arrêtée, et – et le soleil est apparu, brillant à l’ouest ; Son grand et majestueux œil regardait à travers les fentes du rocher.
Et j’ai remarqué, après que la pluie était tombée et qu’elle avait gelé les arbres à feuilles persistantes, un arc-en-ciel est apparu. Et l’arc-en-ciel a formé un cercle. Je me tenais là a le regarder ; j’ai dit : « Ô Dieu, combien Tu es grand. Te voilà dans cet arc-en-ciel. Tu as fait à Noé, une promesse à ce sujet, que Tu ne détruirais plus le monde par l’eau. »
30 Et puis, Jean a vu Jésus dans Apocalypse, chapitre 1, avec un arc-en-ciel au-dessus de Lui, et Il avait l’aspect d’une pierre de jaspe et de sardoine, qui représentaient Benjamin et Ruben. Et – et alors que je pensais à ces choses, j’ai senti l’Esprit de Dieu Se mouvoir sur moi. Et vous savez ce que vous ressentez…
Ma mère est une demi-indienne, et ma – et ma conversion n’avait jamais ôté cela de moi. Et j’ai entendu le vieux loup gris hurler sur la montagne et la compagne répondre là dans la vallée.
David a dit : « Quand la profondeur appelle la profondeur… » Alors, il s’est vraiment mis a appeler. Et puis, j’ai entendu le vieil élan, qui était perdu du troupeau, bramer. J’étais très heureux ; je me suis sentis si religieux ; pour vous, vous pouvez penser que j’étais fou, et j’ai déposé mon fusil contre un arbre et je me suis mis à tourner tout au tour de l’arbre, de toutes mes forces, en criant à tue tête. Oh ! seul avec Dieu.
Je pense que si quelqu’un était venu dans les bois et qu’il m’ait vu, il aurait pensé qu’il y avait là quelqu’un, sorti d’un asile de fous, mais je ne me souciais de rien. J’étais en train d’adorer Dieu, et ce que quelqu’un dirait ne changerait rien. Je me réjouissais vraiment.
31 Et j’ai dit : « Ô Dieu, Te voilà dans le coucher du soleil. Te voilà dans l’arc-en-ciel. Te voila dans le cri du loup. Te voila dans le beuglement de l’élan. Oh ! Tu es partout. » C’est vrai.
Et juste alors, un vieux petit écureuil de pin (il est en quelque sorte le policier au veston bleu de la foret, faisant des histoires, c’est tout ce qu’il fait) a sauté sur une petite vieille souche là près d’un arbre abattu par le vent. Et il jacassait comme s’il allait me mettre en pièces. Et j’ai dit : « Eh bien, écoute mon petit ami, tu n’as pas besoin d’être excité à ce point. Tu ne peux inquiéter personne, et personne n’a peur de toi. Alors pourquoi es-tu en train de faire des histoires ? Pour commencer, je ne peux pas te faire du mal. » Et oh ! il était simplement en train de me mettre en pièces. Et j’ai pensé : « Eh bien, pourquoi m’as-tu alors arrêté d’adorer le Seigneur ? Est-ce que je t’ai effarouché ? Je suis en train d’adorer le même Dieu qui t’a créé. »
32 Et comme j’étais là a penser un petit peu, j’ai remarqué qu’il inclinait sa petite tête de travers et regardait en bas, là à cet endroit où les arbres étaient abattus par le vent. Ce n’est pas moi qu’il regardait ; il y avait quelque chose qu’il regardait là en bas.
Et le vent avait poussé un grand aigle… Nous avions des aigles bruns dans le Colorado – le vent l’avait forcé à descendre jusqu’en dessous de ces arbres qui avaient été abattus par le vent. Et il était tout excité à cause de cet aigle. Et ce grand aigle a sauté sur une branche, majestueusement. J’ai pensé : « Seigneur Dieu, Te voilà ; Tu es partout dans la nature, comme David T’a vu ; Tu restes toujours dans la nature. Tu demeures dans les gens. Tu es simplement le même Dieu. Pourquoi m’arrêterais-Tu alors que je suis en train de T’adorer ? »
33 Vous voyez, Dieu fait concourir toutes choses pour le bien. Vous direz : « Qu’en est-il de cet enfant malade ? » Pour le bien : Dieu donne un témoignage (gloire) afin qu’Il la guérisse pour le salut d’une âme. Toutes choses concourent pour le bien. Et alors comme ils ont commencé à L’adorer…
Et je pensais : « Pourquoi ai-je été arrêté ? » J’ai remarqué qu’il y avait quelque chose dans cet aigle qui faisait qu’il n’avait pas peur. Vous savez, Dieu ne peut pas utiliser des lâches. Si vous avez peur, restez loin de toute façon. Si vous ne voulez pas accepter Sa Parole pour le but pour lequel Il L’a prononcée, retirez-vous simplement de l’armée ; c’est tout. Il ne peut simplement pas vous utiliser.
34 Ainsi, j’ai remarqué qu’il n’avait pas peur, et j’ai dit : « Toi, grand aigle, sais-tu que je peux t’abattre ? » Et mon fusil était posé contre l’arbre et il … Ces grands yeux gris regardaient vers moi, il savait qu’il pouvait être au-delà de la limite de cette forêt avant que ma main n’atteigne ce fusil. Et il – il … Il avait quelque chose qui faisait qu’il savait où il se tenait.
J’aime voir des chrétiens pareils, résolus : pas quelqu’un qui est méthodiste aujourd’hui, baptiste demain, et autre chose le lendemain. Sache où tu te tiens. Sache qui est ton Rédempteur et d’où vient ta vie.
35 Et j’ai remarqué que la – la raison pour laquelle il faisait cela, c’était parce qu’il avait beaucoup confiance dans ses ailes. Il continuait à tester ces plumes pour voir si elles étaient toutes en ordre.
Je me suis dit : « C’est ça la chose. C’est ce que Tu veux que je sache, Seigneur, que Tu as donné deux ailes à cet aigle-là, et qu’il sait ce qu’il peut faire avec ces deux ailes. Et il connaît la distance qui me sépare de ce fusil, et le saut qu’il doit faire ; il peut presque disparaître de ma vue avant que je ne prenne le fusil.
Et j’ai pensé : « Si un aigle, avec deux ailes, pouvait connaître où il se tenait, que devrait faire l’Eglise avec le Saint-Esprit, de savoir…?... Mais la chose est que, tant que vous pouvez sentir qu’Il est près de vous, c’est la chose essentielle.
36 Il a écouté… Je ne le dérangeais pas ; je l’admirais. Mais ce petit écureuil de pin agissait comme s’il allait le mettre en pièces. Il en avait marre, ainsi à-t-il simplement fait un grand saut en donnant environ deux coups d’ailes.
Alors, j’ai vu la chose par laquelle Dieu a changé mon opinion. J’ai vu ce grand aigle. Il n’avait jamais continué à battre les ailes. Il savait comment disposer ses ailes. Et chaque fois que le vent soufflait, il montait plus haut et il continuait à monter plus haut, plus haut, plus haut, jusqu’à ce qu’il est devenu juste un petit point. Et j’ai pleuré comme un bébé. J’ai dit : « C’est cela, Seigneur. Il ne s’agit plus de se joindre aux méthodistes, aux baptistes, aux presbytériens ; ce n’est pas le fait d’affluer à un service de guérison et puis à un autre. Il est simplement question de savoir comment disposer vos ailes dans la puissance de Dieu, et quand le Saint-Esprit entre, élevez-vous au-dessus de ces choses… Elevez-vous au dessus de ces choses.
37 Il avait marre d’entendre continuellement ce jacassement. Il en est de même d’un homme de Dieu, qui connaît comment disposer ses ailes dans la foi de Dieu. Et immédiatement, quand le Saint-Esprit entre comme une vague… Eloignez-vous de ce jacassement répété par ici, qui dit : « Le temps de miracles est passé ; la guérison divine, ça n’existe pas ; une religion qui vient du fond du cœur, ça n’existe pas. » Tenez simplement vos ailes dans la foi et la puissance de Dieu et montez loin de cela, éloignez-vous-en. Certainement. Recevez la Vie, la Vie de Dieu.
38 Et David, en voyant ces choses… Il a dit : « Dans une terre aride, desséchée, mon âme a soif de Toi, ô Dieu. Je désire contempler Ta puissance comme je l’avais vue dans Ton sanctuaire, car Ta bonté vaut mieux que la vie. »
Alors, je me suis demandé : « Mieux que la vie ? Qu’est-ce qui peut être mieux que la vie ? » La vie a donc deux significations. L’une d’elle, c’est ce que les gens appellent la vie aujourd’hui ; ce n’est pas ça la vie, mais c’est la mort. Beaucoup de gens pensent que le péché, la boisson, les jeux d’argent, les divertissements… Ils appellent cela la vie.
39 Si vous allez ici dans l’un de ces bars, ce soir, vous verrez les gens en train de danser, les jeunes dames et les jeunes gens de cette belle ville, vous les verrez en train de danser et vous les entendrez pousser des cries en buvant, et s’écriant : « Oh ! nous vivons ! » Vous faites erreur. Vous êtes en train de mourir.
Cette sorte de vie ne peut pas être celle dont David parlait, parce que cette vie-là est si lamentable que les hommes prennent un pistolet, se le braquent sur la tête et se font sauter la cervelle, avec cette sorte de vie. Les hommes montent à l’étage le plus haut, dans leurs chambres d’hôtel, et là haut, ils vivent avec les femmes, ils boivent ; ils se tiennent les mains et sautent pour se donner la mort ; voilà à quoi cette sorte de vie conduit.
Ainsi, David ne pouvait pas parler de cette sorte de vie. Elle est donc pervertie, vous voyez. C’est une vie pervertie. Alors, si cette sorte de vie n’est pas la véritable, alors quelle est la véritable sorte de vie ? Ta bonté vaut mieux pour moi que la vie. Eh bien, et mon âme a soif de Toi, ô Dieu. Je désire Te voir. Eh bien, qu’est-ce qui donne à l’homme le désir de faire quelque chose de pareil ?
40 Il y a longtemps, dans une grande ville… et ça fait environ une année ; c’était l’été passé dans une grande ville au Canada. Et quand j’ai vu les Américains venir, j’avais honte d’eux : ils étaient ivres et ils faisaient des histoires. Il y avait là une sorte de réunion dans un local. Et ce soir-là, quand je revenais de l’arène, je suis entré dans le grand hôtel, et j’ai commencé à monter, et il y avait des bouteilles de whisky, des bouteilles vides partout dans l’ascenseur. Et j’ai parlé au jeune homme, disant : «Ils doivent être… Quelqu’un doit avoir été terriblement assoiffé. »
Et il a dit : « Oh ! c’est un gâchis causé par des personnes ivres, pasteur. » Et il m’a fait descendre à mon étage. Et alors, je suis sorti de l’ascenseur ; j’ai regardé, et voici venir dans le hall deux Américaines, de belles jeunes femmes d’environ vingt-cinq, trente ans, toutes deux portant des alliances de mariage, elles portaient des alliances, elles n’avaient rien sur elles, sauf leurs sous-vêtements, elles tenaient des bouteilles de whisky, elles marchaient là sur le plancher, et les hommes les traînaient d’une chambre à une autre, et peut-être que leurs maris gardaient les enfants à la maison. Mais qu’est-ce ? Elles sortent pour un petit amusement innocent. Le salaire du péché, c’est la mort.
41 Et il y avait des hommes, c’était exactement la même chose… Ces hommes qui traînaient ces femmes, des hommes dont les femmes gardaient les enfants à la maison, ne sachant pas où étaient leurs maris. Cela montre que, qu’il s’agisse de l’homme ou de la femme, Dieu hait le péché. Il aime le pécheur, mais Il hait le péché.
Là, et cette tradition… Ils vont peut-être à l’école du dimanche et ils sont membres d’une certaine église quelque part. Oh ! je suis entré dans des chambres où j’ai trouvé des enseignants de l’école du dimanche agir ainsi.
Ce n’est pas étonnant que nous n’ayons pas de réveil. Nous pouvons avoir dix mille Billy Graham et ne jamais avoir de réveil tant que l’église n’est pas purifiée et que les gens ne vivent pas comme des chrétiens le devraient. C’est parce qu’ils sont entrés par une lettre, par une poignée de mains, ou par un petit isme. Vous devez naître, avoir la Vie Eternelle en vous, avant de devenir un chrétien. Oh ! c’est vraiment horrible d’y penser.
42 Et comme j’observais ces belles jeunes mères (Je pense que c’est ce qu’elles étaient), un homme a saisi l’une d’elles, et elle est tombée sur le plancher, et le petit vêtement qu’elle portait s’est relevé par derrière. Et cet homme tentait de le lui ôter, et j’ai reculé dans un petit endroit sombre. J’ai pensé : « Ô Dieu, comment peux-Tu regarder une telle chose ? Certainement, ça ne fera pas longtemps. »
Et aussitôt qu’elle s’est relevée, l’homme était trop ivre pour se relever après être tombé. Ainsi, elle a tenu son amie autour du cou et elles sont entrées dans la chambre. Et elle a relevé cette petite robe qu’elle portait, elle a jeté sa jambe en l’air, elle s’est écriée, « Whoopee ! C’est la vie. »
43 C’était trop pour moi, cette bouteille de whisky dans sa main, et la bave coulant de sa bouche. Je me suis présenté avec ma Bible à la main. J’ai dit : « Juste un instant. J’aimerais vous parler. »
Et elle a dit : « Bonjour, chéri… »
J’ai dit : « Juste un instant. Je suis un prédicateur de l’Evangile. » Et Je les ai saisies toutes deux par la main. J’ai dit : « N’avez-vous pas honte de vous-mêmes ? J’aimerais vous corriger sur ce que vous avez dit. Vous avez jeté votre pied en l’air, tout à l’heure, et vous avez bu ce whisky et vous avez dit : ‘C’est ça la vie.’ » J’ai dit : « C’est la mort. La Bible dit : ‘Celle qui vit dans le plaisir est morte bien qu’elle soit vivante.’ » Et elles ont détalé, suivant le hall, et elles sont parties à toute vitesse. Elles n’avaient pas le temps de résister.
44 Mais frère, cette sorte de vie se termine par un suicide. Elle se termine dans un tribunal de divorce. Mais qu’est-ce qui fait qu’une personne aime faire cela ? Eh bien, voici où se trouve mon sujet, et voici là où je veux en arriver avec vous. La raison pour laquelle vous faites cela, que les gens font cela, et qu’ils ont soif de la vie, c’est parce que Dieu les a créés pour avoir soif de la vie. Et Il a créé l’homme de sorte que, dans son mécanisme, celui-ci ait soif de la Vie de Dieu. Mais, le diable pervertit cela et essaie d’étancher cette soif bénie avec le péché.
C’est ce qui fait que les femmes fument la cigarette. C’est ce qui fait que les hommes fument la cigarette. C’est ce qui vous pousse à sortir et à vous déshabiller dans la rue et à porter des shorts. C’est ce qui fait que les gens font ce qu’ils font. C’est ce qui amène les hommes et les femmes à mener une vie déshonorante l’un vis-à-vis de l’autre. C’est pourquoi vous restez à la maison le mercredi soir pour regarder Nous aimons Suzie. ou quelque chose du genre, au lieu de rester dans une réunion de prière, et c’est parce que le diable vous a donné quelque chose qui ne vaut rien. Il a perverti cette sainte soif qui est en vous et il essaie de vous satisfaire avec sa soupe à cochons de l’enfer. C’est vrai. Dieu vous a créé pour avoir soif.
45 Qu’est-ce qui pousse les hommes à jouer à l’argent ? Qu’est-ce qui pousse les hommes à faire des histoires ? Qu’est-ce qui pousse ces petites filles et ces petits garçons à aller là dans ces endroits impies où l’on joue du boogie woogie, et du rock’n’roll ? C’est parce que l’école du dimanche s’est relâchée, et le foyer s’est relâché, les parents se sont relâchés, et la nation s’est aussi relâchée.
Les hommes chantent les chansons selon leur inspiration. La raison pour laquelle ils chantent les chansons d’Elvis Presley All shook up, c’est parce qu’on ne leur a pas enseigné les chants comme Rocher d’âges, fendu pour moi. Voilà la raison.
La raison pour laquelle ces gens ne croient pas dans le fait de pousser des cris ce soir, alors qu’ils poussent des cris au match de base-ball, c’est parce qu’on leur a enseigné de pareilles choses et qu’on les a gardés loin de la glorieuse Présence du Seigneur Jésus qui leur donne cette portion satisfaisante.
46 Oh ! comme les gens agissent ! Vous agissez ainsi parce que le diable vous a arraché cette chose sacrée et bénie que Dieu vous a donnée, et il essaie d’étancher cette sainte soif qui est en vous, cette soif que Dieu vous a donnée pour avoir soif de Lui, il essaie de la satisfaire avec les choses du monde. Vous n’y arriverez jamais. C’est impossible. Et si vous pensez que vous vivez, parce que vous menez une vie un peu meilleure que quelqu’un d’autre, une vie un peu plus élevée dans ce monde, vous n’avez jamais commencé a vivre, jusqu’à ce que vous laisseriez cette soif être étanchée par cette « Fontaine remplie de sang, tiré des veines d’Emmanuel, là où les pécheurs, plongés dans ce flot, perdent toutes taches de leur culpabilité. »
Il n’y a pas de satisfaction jusqu’à ce que cette soif soit étanchée par la Présence de Dieu. Mais le diable vous dit : « Vous devez être moderne. »
« Oh ! si seulement je peux être comme Suzie », ou n’importe quelle femme qui les fait tous rester à la maison le mercredi soir pour voir Nous aimons Suzie ou quelque chose du genre. Lucie, c’est vrai. Oui. Vous devenez très relâchés, c’est ça. Je l’avoue.
47 Et quand notre nation en arrive au point où… L’autre jour je me tenais là, et j’étais choqué, quand dans ma chambre d’hôtel, qui est juste en face du YMCA… et on était en train d’apprendre le rock’n’roll aux jeunes enfants dans le YMCA. Pas seulement là-bas, mais on l’enseigne même dans les églises. Comment pouvez-vous vous attendre à quelque chose d’autre, si ce n’est qu’à une bande d’adolescents voyous et tapageurs comme nous en avons aujourd’hui.
On appelle ça des parents… Qu’est-ce qu’un parent moderne, un membre d’église moderne ? Je n’aimerais pas vous blesser, mais je ferais mieux de vous faire un peu peur un tout petit peu maintenant au lieu que vous soyez perdu un jour en enfer, et que moi je sois responsable de cela.
Où trouvez-vous maman ? Dans une partie de cartes. Et papa ? Là dans une piscine. Et junior ? Là dehors à un – en train de rouler dans sa voiture gonflée, montant et descendant la route, filant à toute vitesse. C’est le dimanche. Où est la sœur ? A une fête de rock’n’roll. Et parlez-leur de Dieu, ils diront : « Je suis membre de telle église. Je suis aussi bon que toi. » Ils n’en savent pas plus au sujet de Dieu qu’un hottentot au sujet d’un chevalier égyptien. C’est vrai. L’unique chose qu’ils connaissent, c’est le catéchisme ou un credo d’église, leurs noms sont inscrits dans un registre, et ils ne sont jamais nés de nouveau de l’Esprit de Dieu. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un réveil de la Pentecôte à l’ancienne mode envoyé de Dieu. Ce n’est pas seulement l’église méthodiste qui en a besoin, où l’église baptiste, nous en avons besoin parmi les pentecôtistes… ?...
48 Il y a quelque chose qui cloche. Au début, les choses marchaient parce que le monde – l’église, autrefois, ne se souciait de rien, la vie de gens était consacrée à Dieu, ils allaient de l’avant. C’est vrai.
Et puis, il y a un autre moyen que le diable utilise pour essayer d’étancher cette soif-là. Il essaie de vous faire croire que vous êtes en ordre, juste parce que vous êtes un membre d’église. Frère, ça, c’est l’astuce du diable. Jésus a dit : « Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut en aucun cas entrer dans le Royaume. » Il vous laisse inscrire votre nom dans un registre. Il va vous laisser être baptisé de cette manière-ci, de cette manière-là, en étant renversé… Que faites-vous ? C’est exactement comme le dit le vieux dicton : « Vous descendez un pécheur sec et vous vous relevez un pécheur mouillé. » Cela ne vous fera aucun bien. Peu importe combien on vous a aspergé, on vous a versé de l’eau dessus, on vous a baptisé, on vous a immergé, ou que sais-je encore. Cela ne vous fera aucun bien. Ce n’est pas ce dont l’Eglise a besoin ce soir. Elle n’a pas besoin de discuter pour savoir si nous devrions être aspergé, ou si on doit nous verser de l’eau dessus, ou si on doit être baptisé trois fois face en avant, ou trois fois face en arrière, ou comment… ça, ce ne sont que des querelles. Que se passera-t-il si nous étions des fils et des filles de Dieu, nous allions nous conduire en conséquence. C’est vrai. Ce dont nous avons besoin, c’est d’un réveil à l’ancienne mode.
49 Une fois, moi et mon jeune frère, qui est déjà décédé… Nous nous promenions en forêt, et nous avions trouvé une vieille tortue d’eau douce. Je ne sais pas si vous les gens du Texas vous savez ce que c’est qu’une tortue d’eau douce ou pas. Elle a plutôt une drôle de marche. Et nous nous sommes dit que c’est la chose qui a l’apparence la plus drôle que nous ayons jamais vue. Ainsi je … Quand nous nous sommes approchés d’elle… Elle me rappelle beaucoup des gens qui vont dans une réunion de l’Evangile, aussitôt que quelque chose est dit, quelque chose qu’ils n’apprécient pas, ils se lèvent et sortent, juste en pleine prédication. C’est juste comme cette vieille tortue qui s’était repliée dans sa carapace. Eh bien, j’ai dit : « Tu sais… Je me demande comment on pouvait la forcer à courir encore. » Alors, j’ai dit : « Maman me fait courir par une baguette. » Alors je suis allé prendre une baguette. Et j’ai fait simplement pleuvoir des coups sur lui. Cela n’a fait aucun bien. Vous ne pouvez pas y aller de cette manière-là. Certainement pas, vous ne le pouvez pas.
Ainsi, j’ai réfléchi un tout petit peu, et j’ai dit : « Eh bien, il y a un petit ruisseau qui coule par là. Il faut qu’elle marche sinon je vais la noyer. » Je l’ai amenée là-bas et je l’ai jetée dans l’eau. Il n’y a que quelques glouglous qui sont montés et c’est tout ce qu’il y a eu.
50 Vous…?... Cela ne change rien. Vous pouvez les baptiser de cette manière-ci ou de cette manière-là. Cela ne fait aucun bien. Vous ne pouvez pas les amener à courir pour le Seigneur comme cela. Mais savez-vous ce que j’ai fait ? J’ai fait un petit feu et j’ai posé la pauvre créature dessus ; alors, elle s’est vraiment mise à courir. Ce dont nous avons besoin ce soir, ce n’est pas d’une discussion sur un petit credo, mais ce dont nous avons besoin ce soir, c’est du Saint-Esprit et du feu…?... La puissance de Dieu à l’ancienne mode pour consumer le péché, l’égoïsme, le manque de respect l’un envers l’autre, consumer cela en nous par l’amour de Dieu. C’est vrai. Ta…
51 « Mon âme a soif de Toi dans une terre aride et desséchée ; je désire voir Ta Puissance comme je l’avais vue. » Si cela n’est pas une image de l’Eglise pentecôtiste… « Je désire voir cela, comme je l’avais vue autrefois dans Ton sanctuaire, il y a longtemps, quand les vieux saints avaient l’habitude de marcher le long de l’allée et de crier et… Oh ! je me rappelle cela dans mon église baptiste à l’époque.
Eh bien, je proviens d’un groupe de baptistes. Docteur Davis peut être ici même ce soir ; il vit ici à Fort Wayne ou Fort Woth… C’est lui qui m’a baptisé dans l’Eglise baptiste. Et nous voyions les gens marcher le long des allées et les femmes pousser des cris… elles avaient ces très grandes et longues épingles à cheveux qu’on avait à l’époque, et elles volaient partout dans la salle. Vous ne pouvez plus trouver assez de cheveux sur la moitié de femmes dans la salle pour y mettre une épingle à cheveux. Il y a quelque chose qui cloche. Mais elles avaient l’habitude de le faire dans l’Eglise baptiste. Et nous professons être un peu plus haut que cela. Elles les ont tout coupés.
52 Vous savez, la Bible dit que leurs cheveux, c’est leur gloire. Ce n’est pas étonnant que toute la gloire soit partie. Ainsi nous… Mais je ne le dis pas pour plaisanter. Ici, c’est la chaire. Ça, c’est l’endroit où le jugement doit venir. Je prêche la Bible. Je vous dis ce que Dieu dit dans Sa Parole. Et comme le monde s’est infiltré et a pris l’orgueil et l’a placé dans les cœurs des gens, dans les hommes et les femmes, c’est la raison pour laquelle nous désirons encore voir ces jours-là. « Mon âme a soif de Toi. » Oh ! la la !...
David aussi a dit : « Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après Toi, ô Dieu. » Je pense à cela, à ce Psaume, comment David chassait dans les bois. Il faisait la chasse aux lions et aux ours, et ainsi de suite avec sa fronde. Comment il observait la nature… et il savait comment chasser la biche, peut-être qu’il était élevé dans cela. Et comment la biche… Quel animal rusé il est. Et comment une biche… On a le loup ou le chien sauvage. En Afrique, c’est le chien sauvage. Et en Amérique, on l’appelle le loup.
53 Vous pouvez voir une – une petite biche en train de paître, et le – le loup va furtivement se glisser là. Et s’il peut attraper cette biche-là qui est distraite, juste comme le diable attrape l’église qui est distraite… Ce que l’église désire c’est un immense et beau bâtiment et un pasteur qui sort droit d’un cimetière ou plutôt d’un séminaire, qui peut dire… (Excusez-moi, je ne voulais pas dire cela), qui peut se tenir, vous savez, et qui peut dire : « Ahhh-men, » magnifiquement. Frère, et quant à l’habillement…
Qu’y a-t-il avec le monde aujourd’hui ? Nous avons beaucoup d’évangélistes à la Hollywood aux cheveux frisés, au lieu d’avoir des… à l’ancienne mode envoyés de Dieu …?... C’est vrai. Ils courent ça et là sur le plancher, et on a à l’estrade des femmes portant de grosses boucles d’oreille, qui pendent à leurs oreilles…?... et tout, et ces robes dans lesquelles elles sont moulées, ce n’est pas étonnant que le pécheur… Ecoutez, nous avons besoin des femmes à l’ancienne mode. Je sens cette religion à l’ancienne mode, reçue au fond du bois, claire et qui tue le péché. C’est vrai, frère. Elle ne vous blanchira pas, mais elle vous lavera et vous rendra blanc. C’est vrai. Elle vous purifiera complètement de l’intérieur à l’extérieur. Et Jésus-Christ est l’Auteur de ce salut – la Fontaine ouverte pour tous.
54 Et si vous voyez ces petites biches, quand ce chien s’approchent d’elles à la dérobée… Bien des fois ici au Sud, en Louisiane, on – on fait la chasse à la biche avec des chiens. J’ai toujours pensé que c’est cruel. Si le chien va chasser, laissez-le aller. Allez chasser seul, et laissez donc le chien à la maison. Ainsi donc… quand le … J’ai observé les chiens quand ils poursuivent ces petites biches.
Et David a vu cela. Et alors quand le – quand le chien se glisse furtivement là, et qu’il voie cette petite biche, il a une – une astuce pour lui couper la gorge. Le loup a deux crocs de sang, qui sont saillantes comme cela. Il observe la biche, et lorsqu’il est près d’elle, il va courir très vite, il va s’élancer à toute vitesse, si rapidement que la biche ne le verra même pas, il attrape la biche et lui enfonce ces crocs dans une veine jugulaire, comme un serpent, juste derrière son oreille, la veine qui est juste derrière son oreille. Et puis, le loup va balancer sa proie en jouant de son poids et avec ses crocs saillants comme deux couteaux, il coupe la gorge de cette biche et descend avec elle jusqu’au sol, parce que la biche était distraite.
55 C’est ce qu’a été le problème de l’église : elle est distraite. Il y a quelque chose qui ne marche pas. Oh ! frère Caddie avait l’habitude de chanter un chant : « Nous avons laissé tomber les barrières. Nous faisons des compromis avec le péché. Nous avons laissé tomber les barrières. Les brebis sont sorties, mais comment les boucs sont-ils entrés ? » Nous avons laissé tomber les barrières, c’était tout ; nous avons commencé à faire des compromis. Les trois…
L’assemblée, quand elle procède au vote de leur pasteur, elle choisira un petit homme subtil, au lieu d’un homme, qui est vraiment un prédicateur qui soit une boule de feu et de soufre, à l’ancienne mode, qui manie l’Evangile avec ses mains nues au lieu de porter des gants à la Hollywood.
Le monde est plein de cette évangélisation à la Hollywood. Nous n’en avons pas besoin parmi les pentecôtistes. Laissez cela aller là où il a sa place. Nous avons besoin de ce genre de prédicateurs à l’ancienne mode, le genre de prédicateurs qui connaissent la Vérité, qui mettent la cognée à la racine de l’arbre et qui laissent les copeaux tomber là où ils peuvent. C’est vrai. Retournez à l’Evangile, frère. Je préférerais être dans un groupe de cinq personnes qui vont à la rencontre de Jésus plutôt que d’en avoir un de cinq mille et ne pas aller à Sa rencontre. C’est différent. La sincérité et la pureté de l’âme et du cœur dans la Présence de Dieu… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
56 Eh bien, si cette petite biche est vraiment rapide, et qu’elle se tienne là, comme beaucoup de ces petites filles ce soir, ces petites filles effrontées qui descendent la route… Et elles vont sortir là, étourdie, et elles se mettent beaucoup d’histoires au visage, elles se fardent, et arrangent leurs sourcils comme cela. Si Dieu voulait que vous soyez ainsi, Il vous aurait créée comme cela pour commencer.
Et vous savez, ici parmi les pentecôtistes, on nous enseigne, j’ai entendu cela plusieurs fois, l’émancipation de la femme. Qu’est-ce que… Qu’est-ce qui vous prend ? L’émancipation ? Christ libère du monde. C’est l’unique émancipation que nous avons. Je pense que vous les hommes qui enseignent cela, vous avez besoin d’une libération des liens de la prison. Il n’y a pas d’émancipation, si… Lorsque vous êtes en Christ… Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous. C’est ce que dit la Bible.
57 C’est une forte déclaration pour un calviniste, mais je suis un calviniste tant que Calvin s’en tien à la Bible. Quand il sort de la Bible, je deviens alors un arminien. Je crois dans la Vérité authentique de la Parole de Dieu. Tous deux avaient quelque chose, mais chacun a suivi sa branche et ils sont morts là. Mais la Bible est toujours vivante dans le tronc de l’arbre. C’est tout à fait vrai. C’est dans le Saint-Esprit. Si vous aimez Dieu, vous n’aurez même pas le désir de faire ces choses-là. C’est vrai. Si vous en avez le désir, alors l’amour de Dieu n’est plus en vous. C’est ce que déclarent les Ecritures.
Mais maintenant, frère, si vous remarquez comment les églises sont plongées dans ce fatras de gaieté, qu’est-il arrivé ? Autrefois, vous ne permettiez pas à vos enfants d’aller au cinéma. Le diable vous a eu là-dessus. Il a placé la télévision dans votre maison. C’est vrai. C’est ce qu’il a fait. Eh bien, je – je ne dis pas qu’il n’y a pas de bonnes choses qui passent à la télévision, mais il faut veiller pour savoir quand l’allumer et quand l’éteindre. Si vous avez Oral Roberts ou quelqu’un d’autre qui passe ou quelque chose de bien comme cela, suivez cela. Si ce n’est pas le cas, éteignez-la. C’est vrai. Si vos enfants ne veulent pas y aller comme cela, gardez la chose loin de votre maison. C’est tout à fait vrai. Vous feriez mieux de vous en débarrasser. C’est vrai.
Dans toutes vos histoires-là, c’est comme si la chose entière est – la chose entière est malade de la tête aux pieds, ce n’est qu’un amalgame de péchés et de souillures ; c’est ce à quoi ça ressemble. Ce n’est pas étonnant que la Bible ait dit : « Toutes les tables sont pleines de vomissements. » C’est vrai.
58 « A qui enseignerai-je la doctrine ? Qui peut… Est-ce à ceux qui viennent d’être sevrés… ? » Allez simplement et dites-leur…
« Eh bien, gloire à Dieu, je – j’ai le Saint-Esprit. J’ai fait ceci, cela. » Si vous ne vivez pas cela, frère, il y a quelque chose qui ne va pas. C’est vrai.
Avoir soif de Dieu… Oh ! comme cela peut être… Même un prophète a dit qu’il avait même rougi quand il était entré dans la Présence de Dieu. Que pense le Saint-Esprit ce soir, Lui qui est notre Tuteur qui se présente devant le Père pour donner le rapport sur la condition de l’Eglise, comment nous les ecclésiastiques ce soir, nous permettons que de pareilles choses continuent à passer à notre chaire, comment nous laissons tomber les barrières, nous les gens, nous qui prétendons connaître Dieu tout en laissant ces choses passer comme si de rien n’était. Que Dieu soit miséricordieux envers nous. Il nous fera répondre au jour du jugement pour ces choses. C’est vrai.
59 Eh bien, considérons la chose juste une minute. Cette petite biche, si elle est très rapide, et qu’elle voie le – le … Si le – le loup fait un certain mouvement, et qu’elle voie le loup venir, elle peut se sauver. Et parfois elle peut faire des manœuvres. Eh bien, l’autre endroit, l’un des meilleurs endroits pour le loup s’il n’arrive pas à lui couper la gorge… S’il lui coupe la gorge, la biche ne fera que quelques sauts et elle meurt, c’en est fini d’elle. Et juste quelques minutes après, tous les chiens s’abattront sur elle, et vous ne ramasserez que les os décharnés.
Et écoute, chère sœur, cette première petite fête de rock-and-roll où tu t’es rendue furtivement sans en avertir maman (Voyez-vous ?), et où tu as pris le… Tu – ta maman t’a enseigné à ne pas porter ces histoires et à – à ne pas faire des choses que tu fais, mais toi, tu penses que c’est agréable. Ecoute, ma chère sœur, et toi, mon ami… Toi qui fumes cette petite cigarette, et qui le fais parce que des jeunes gens t’ont traité d’efféminé. Je préférerais être traité de tous les noms tant que je sers Christ. Qu’est-ce que ça change ? C’est vrai. Et quoi ?
60 Vous sortez là-bas… Et pourquoi faites-vous ces choses ? Si votre mère vous laisse porter ces shorts et tout dans la rue, une petite jeune fille comme vous, elle devrait avoir honte d’elle-même. C’est tout à fait vrai ; elle doit avoir honte. Mais pourquoi faites-vous cela, chérie ? J’aimerais vous poser une question. J’ai deux filles qui sont aussi assises ici même. J’aimerais vous poser une question. Pourquoi le faites-vous ? Vous ne le faites pas pour apparaître devant Dieu. Vous n’appliquez pas cette manucure au visage… J’ai commis une erreur là-dessus, ce n’est pas cela, peu importe ce que vous appliquez, c’est du maquillage… Tout – tout ce que vous… Vous n’appliquez pas cela au visage pour rencontrer votre mari. Si vous avez un mari qui veut vous voir être parée comme cela, vous êtes quitte. C’est en ordre. Vous faites cela pour apparaître devant les hommes. Vous ne vous en rendez pas compte. Vous portez ces pauvres petites robes, comme je vous l’avais dit l’autre soir, ces petites robes sexy, et ces garçons vous sifflent, on appelle cela le sifflet du loup. [Frère Branham illustre cela. – N.D.E] C’est l’enfer (C’est très exact, c’est très exact.) qui vous pourchasse. Et il vous attrapera si vous ne faites pas attention. Eloignez-vous de lui rapidement. Et si vous pouvez esquiver assez rapidement, vous allez vous échapper.
61 Si le chien ne peut pas attraper la biche par la gorge, il va l’attraper à l’endroit suivant, juste par le flanc. Il y a un endroit, juste sur le flanc, parce que c’est le milieu de l’équilibre de la biche. La partie postérieure est plus lourde que le devant. Ça, nous le savons. Et avec le cou, et tout, cela met la biche en équilibre.
Et alors, si le loup peut l’attraper et manquer le cou, et s’il peut l’attraper encore, rapidement, et attraper la biche par le flanc, il va se mettre à la balancer de gauche à droite comme cela, jusqu’à ce qu’il atteigne le milieu de la biche, il va la balancer. La pauvre petite biche ne saura plus se tenir sur ses pattes. Puis il le jettera par terre. Juste dans quelques minutes, elle est envahie.
C’est comme cela que le diable s’y prend, sœur. C’est comme cela qu’il s’y prend, mon ami. C’est vrai. Et la première chose vous savez, vous vous êtes fixés un rendez-vous avec ce petit garçon, vous avez commencé avec votre première partie de rock-and-roll. Qui a déjà entendu… ? Et vous essayez tous de dire …
62 Et ces gens qui vous disent qu’Elvis Presley (je n’ai rien contre l’homme ; seulement, c’est un pécheur, mais j’aimerais dire quelque chose.), qui vous disent qu’il est croyant du fait qu’il chante les cantiques sur le… » Frère, cela… je… Voici mon opinion. Il n’y a qu’une différence entre Judas Iscariot et Elvis Presley. Il était un garçon pentecôtiste. Judas Iscariot lui, avait trente pièces d’argent ; Elvis Presley a un parc de Cadillacs et un million de dollars. Tous deux ont trahi. C’est tout a fait vrai. Le plus grand séducteur que je connaisse de… Pat Boon et tous les autres. C’est exact. Arthur Godfrey et Pea Picker Ernie n’importe qui d’autre, si vous écoutez des histoires pareilles, cela montre que c’est le diable qui satisfait cela avec cette soupe à cochons de Hollywood. Toute – toute cette loyauté que vous témoignez à des vauriens de ce genre, vous auriez dû avec ça donner cette gloire au Dieu Tout-Puissant, car Il est un Dieu jaloux.
Ces gars peuvent se tenir là, chanter des cantiques, et vous faire couler des larmes aux yeux comme des crocodiles.
63 Ecoutez, j’ai élevé des brebis. Il faut un véritable berger pour distinguer le cri du loup et celui de l’agneau ou de la chèvre. Tous poussent des cris identiques. Cela n’a rien à voir. Si votre vie ne s’accorde pas avec la Bible de Dieu, vous êtes toujours dans les ténèbres. C’est vrai.
Et la chose la plus trompeuse qui soit dans ce monde, elle est religieuse, elle se revêt de la religion.
On avait un gars là-bas à Louisville qui s’est suicidé l’autre jour. Il allait danser le rock-and-roll toute la nuit, et allait à ces grandes fêtes et revenait le dimanche matin, pour prêcher l’Evangile à la radio. C’est une disgrâce. Ce n’est pas étonnant que les pécheurs ne sachent quoi faire. Il n’est pas étonnant qu’ils ne sachent quoi en dire. Oui. Et ils disent : « Eh bien, ils obtiennent des résultats. » Dieu honorera Sa Parole, même si Elle était prêchée par une prostituée. Il honorerait Sa Parole ; mais que Dieu vienne en aide à cette âme pécheresse qui imite et essaie de faire quelque chose de pareil. Oh ! frère. Vous les gens, si vous avez échappé au loup, que Dieu bénisse votre âme.
64 Et si le loup n’y arrive pas, il va jeter la biche par terre. Et dans quelques minutes, la biche est dévorée. Votre moralité va être ruinée, ma sœur, mon frère ; vous ne la rachèterez plus tant que vous vivrez sur cette terre. Peu importe combien vous pardonnez…
Il n’y a pas longtemps ici, une belle jeune femme ne faisait que pleurer, à l’autel. Et nous n’arrivions pas à l’amener à accepter Christ. Et je suis allé là derrière dans une petite – dans une – dans une salle et je lui ai posé la question, disant : « Qu’y a-t-il, sœur ? »
J’ai vu qu’elle attendait famille. Et elle m’a dit ; elle a dit : « Frère Branham, j’ai été élevée dans une famille chrétienne. Je – je – je – mon père et ma mère sont des nazaréens. Et nous avons strictement été élevés dans une vie de sainteté. » Et elle a dit : « Une fois, je suis sortie avec un petit garçon, qui portait un flacon dans sa poche. Il était très populaire. Il pouvait danser et … Moi, je ne voulais pas faire des choses pareilles. J’ai été élevé différemment. » Et elle a dit : « Maintenant, Frère Branham, a-t-elle dit, alors la première chose, vous savez, il … j’ai pris une gorgée de Coca un soir, et cela était corsé avec une espèce de – de comprimé qui vous fait perdre conscience, et a-t-elle dit, je me suis réveillée dans une chambre de motel, le lendemain matin. Ma moralité était ruinée. Et voici que j’attends famille. »
J’ai dit : « Dieu va te pardonner, jeune fille. »
Elle a dit : «Oui, Frère Branham ; c’est vrai. Il va me pardonner, mais cette marque, je la porterai tout au long de ma vie. » C’est vrai. Cela va vous hanter. Vous ne regarderez jamais votre mari en face et être encore innocente. Vous ne regarderez jamais votre femme en face et être encore innocent. Dieu va vous pardonner, mais cette cicatrice est là.
65 Ecoutez, quand cet animal est attrapé, cette petite biche, et que le loup la secoue… Eh bien, si la biche et vraiment maligne, si jamais vous l’avez observée, la biche peut se tourner si rapidement et sauter, loin de côté, et si le loup ne l’a pas attrapée avec une forte prise, il va arracher une grande poignée de chair, ou plutôt une grande bouchée, du flanc de la petite biche.
Alors, que doit faire la petite biche, pendant que le loup va se jeter à terre et se vautrer là avec cette bouchée de viande ? Le sang va commencer à gicler. Et à ce moment-là, la biche doit se mettre à courir pour sauver tout ce qui est restée en elle, et tout.
Et ô Dieu, s’il y a un temps où les femmes et les hommes devraient courir, c’est ce soir, courir pour se sauver. Courez pour sauvez votre vie, cher ami. Courez pour sauver votre vie.
66 Remarquez, c’est ici que David a pris la chose. Eh bien, mon frère chasseur qui est ici, qui que vous soyez, vous savez cela ; cette petite biche saignante comme cela doit atteindre l’eau. J’en ai blessé moi-même, j’ai tiré sur elles, sur la montagne ou dans la vallée, un seul coup, et observez-la… Si jamais elle atteint l’eau, vous ne l’attraperez plus. Elle va simplement continuer à traverser en faisant des va-et-vient. Elle ne quittera plus cette eau-là. Elle va juste continuer à faire des va-et-vient, et vous ne pourrez pas l’attraper s’il vous le faut, s’il arrive qu’elle s’arrête pour prendre une bonne gorgée d’eau, elle va filer sur la colline, puis elle retourne, revenant sur ses pas. Vous pouvez la traquer tout au long de la journée, mais si elle trouve de l’eau, elle est – elle restera en vie. Mais si vous la gardez loin de l’eau, elle va mourir.
67 Et oh ! frère, David a dit : « Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après Toi, ô Dieu ! » Je dois Le trouver sinon je vais périr. J’ai été blessé, et je dois trouver les Eaux de la Vie, autrement je vais périr. « Ô Dieu, j’ai adhéré aux églises. J’ai avancé par saccades de ci de là, d’un piège à l’autre. » Mais si vous ne trouvez pas les Eaux de la Vie, vous allez périr. Mais une fois que vous entrez dans cette Eau, c’est là qu’Il est. Il va rester là où se trouve une fontaine de la Vie, qui coule librement ce soir dans la maison de David, dans la cité de Dieu. Ô peuple, dépêchez-vous, vous qui avez faim et soif. « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés ! » Vous voyez, c’est obligatoire. Ce soir, si vous êtes blessé, si le démon a arraché de vous un gros morceau de chair et que vous avez soif et que vous vous demandez, disant : « Que puis-je faire, Frère Branham ? » Si Jésus venait ce soir…
68 Ecoutez, il n’y a rien qui nous garantit qu’on ne pourra pas être réduit en cendres le matin. C’est vrai. Juste une gorgée de plus de Vodka et ça entraîne tout. Et l’une de ces bombes, où est-ce que cela va exploser ? Elle ira jusqu’à 175 pieds [environ 57 mètres – N.D.T.] de profondeur, sur une étendue de 150 miles carrés [240 km2 – N.D.T.]. Dans quelle sorte d’abri allez-vous entrer ? « Il n’y en a pas. » Pardonnez-moi. Il y en a un. C’est fait de plumes, nous demeurons sous Ses ailes. Avant que cela n’arrive, l’Eglise sera partie à la Maison.
69 Si ce soir, vous avez été blessé, ma sœur ou mon frère, allons maintenant à la Fontaine, alors que nous inclinons la tête juste un moment. N’essayez pas de substituer quelque chose à cette soif-là. Ecoutez, mon enfant, mon frère et ma sœur. J’apprécie le fait que vous soyez baptiste, méthodiste, pentecôtiste ou nazaréen. C’est bien. J’apprécie cela. Mais oh ! mon enfant, écoutez un prédicateur à l’ancienne mode qui croit que Dieu vit et règne. Vous ne serez jamais satisfait avant que vous ayez bu l’Eau de la Vie. Alors vous ne quitterez plus jamais cette Fontaine. Venez, et goûtez.
Pendant que nous attendons, juste un moment. « Il y a une fontaine, remplie de Sang. » Ne voulez-vous pas vous approcher de cette Fontaine, là même où vous êtes, dans votre siège, maintenant ? Je veux que vous soyez sincère. Il faut que je vous parle de quelque chose que je ressens dans mon cœur, tout de suite, Maintenant même, je vais vous poser une question. Votre besoin a-t-il été vraiment satisfait ? Votre amour est-il toujours porté vers le monde, vous – êtes-vous vraiment content d’entendre les choses du monde ou de faire les choses du monde ? Si c’est le cas, voulez-vous simplement lever la main ? Maintenant, que chaque œil soit fermé, s’il vous plait.
70 Voulez-vous simplement lever la main vers Christ, et dire : «Ô Christ, j’ai soif de Toi. Mon cœur Te désire ardemment comme une biche blessée soupire après des courants d’eau. Je veux avoir un caractère ici en tant qu’étranger ici bas, je veux me conduire comme un véritable croyant. Ô Dieu, que je sache que Tu es mon Père, et je veux être sûr que Tu es avec moi ce soir. Je veux me rassurer de Ta Présence, comme l’aigle dont nous avons parlé l’a fait avec ses ailes. Je veux me comporter comme ce nègre-là qui était étranger dans un pays étranger, mais qui savait qu’il était le fils d’un roi. J’aimerais fuir loin de l’ennemi, Seigneur. Je – je m’efforce de m’échapper, ce soir. Je dois Te trouver, ô Dieu. J’ai soif ; je dois Te recevoir ou mourir. » Ressentez-vous cela ? Si vous ressentez cela, voulez-vous lever la main vers lui et dire : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. » ? Levez simplement la main où que vous soyez, et dites : « Sois miséricordieux envers moi, ô Dieu. J’ai besoin de Toi. »
Et là dehors ? Que Dieu vous bénisse. Levez la main, et dites : « Ô Dieu Sois miséricordieux envers moi. J’ai maintenant besoin de Jésus. » Vous voulez dire qu’il n’y a qu’une seule personne ici ce soir dans cette salle contenant environ mille personnes ? Deux ? Merci, et que Dieu vous accorde ces bénédictions. Trois, là derrière. Je pense qu’il y a environ six cent, sept cent personnes ici, c’est possible, et vous voulez dire… Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est bien.
71 Si vous êtes vraiment sérieux du plus profond de votre âme, si votre âme a soif de Dieu, levez la main, et dites : « Ô Dieu, vraiment… » « Oh ! je suis pentecôtiste, Frère Branham. J’ai reçu le Saint-Esprit. J’ai parlé en langues. Je – je – j’ai dansé en Esprit. J’ai chanté en Esprit. » Tout ça, c’est très bien. Frère, je n’ai rien contre cela. C’est tout a fait vrai. C’est Dieu. Mais attendez une minute. Si vous n’avez pas reçu cette véritable chose qui vous garde…
72 Il n’y a pas longtemps, un monsieur est venu vers moi, et il a dit qu’il était allé partout.
Il est allé chez Billy Graham, et celui-ci a dit : « Levez la main, et recevez Christ. » L’homme a continué : « Billy a dit : ‘Maintenant, c’est terminé.’ » Il a dit : « Je suis allé chez les méthodistes libres ; ils ont dit : ‘Si vous n’êtes pas assez heureux, au point de crier, vous ne l’avez pas reçu.’ Alors, j’ai prié jusqu’à ce que je fusse assez heureux pour crier. Il a dit : « Je ne L’ai pas reçu. » Il a dit : « Je suis allé chez un autre évangéliste (Je n’aimerais pas citer son nom, vous le connaissez très bien ici) ; il m’a dit que je ne l’avais pas reçu tant que je n’avais pas parlé en langues. » Le monsieur a continué : « Je suis resté là et ils sont restés là avec moi, fidèles, jusqu’à ce que j’ai parlé en langues. » Et il a dit : « Frère Branham, je ne l’ai toujours pas reçu. »
73 « J’aimerais vous dire quelque chose », j’ai dit : « Cher ami (Voyez-vous ?), qu’est-ce que tu m’as dit il n’y a pas longtemps, qu’il fut un temps où tu étais un grand homme d’affaires. Tu avais dit à ta femme que tu étais parti à l’Eglise pentecôtiste et que tu étais sauvé. » Il a dit : « Elle a reçu l’Esprit sur elle. Elle a mené une vie différente. » Il a dit : « Elle est partie dans le Tennessee. » Il venait de Minneapolis. Il a dit qu’il était parti dans le Tennessee, c’est ce qu’elle avait fait, elle était partie à une réunion, à une réunion sous tente. Et il était en train de vendre une voiture, quand il est rentré, il a introduit la main dans sa poche pour prendre les clés pour les donner à la dame, et il a trouvé un petit billet, sur lequel il était écrit : « Où passeras-tu l’éternité ? »
74 Il a dit : « Après tout, j’ai plus de quarante ans. Il faut que ce problème soit réglé. » Il a dit à sa femme qu’il ne s’était jamais soucié de Dieu. Il a dit qu’il n’était allé à l’église qu’une seule fois de sa vie. Il a jeté ce petit billet dans la poubelle. Il ne pouvait pas s’en débarrasser. Il l’a ramassé à nouveau. Il l’a jeté une fois de plus et l’a encore ramassé. Il a vendu ses voitures et a donné l’argent aux prédicateurs, essayant de trouver grâce auprès de Dieu.
J’ai dit : « Monsieur, vous n’aviez pas à vendre vos voitures pour donner l’argent aux prédicateurs. Vous n’aviez pas à faire cela. J’ai dit : « Vous avez déjà reçu Christ. »
Il a dit : « Frère Branham, ai-je reçu Christ quand j’ai parlé en langues, quand j’ai crié, ou quand j’ai élevé les mains ? »
J’ai répondu : « Rien de tout cela. Vous L’avez reçu quand Il a frappé à votre porte. Qu’est-ce qui vous a changé ? Qu’est-ce qui faisait la différence ? Vous descendiez le chemin, en allant seulement dans un sens sans vous soucier de Dieu. » J’ai dit : « Crier, c’est très bien. Elever les mains, c’est très bien. Parler en langues c’est très bien. Toutes ces choses sont bonnes, c’est très bien, mais ce n’est pas toute la vérité. Recevoir Christ, c’est recevoir la Personne de Christ, c’est ça recevoir Christ. Alors, les cris, les parlers en langues se produisent après cela.
75 Recevoir Christ. Vous pouvez crier, parler en langues et ne pas L’avoir. Ainsi donc, si vous n’avez pas ce sentiment qui fait que vous éprouvez de la compassion pour votre frère, qui est membre de l’Eglise de Dieu, alors que vous, vous êtes membre de l’Assemblée de Dieu, ou vice versa, ou membre des unitaires, des binitaires, des trinitaires, peu importe ce que c’est, et membre de n’importe laquelle de ces églises… Si le – si les barrières dénominationnelles ne sont pas brisées dans votre cœur, il y a quelque chose qui cloche. Si vous ne pouvez pas laisser le champ libre à votre frère, si vous ne pouvez pas l’aimer malgré tout ce qu’il a fait ou ce que vous pensez de lui, si vous l’aimez, vous irez chez lui dans un esprit de bonté, d’amour. Aimez-le de toute façon. Restez bienveillant envers lui. Soyez simplement très salé, et alors il aura soif d’être comme vous.
C’est ce dont je parle, Eglise pentecôtiste. C’est ce dont nous avons besoin. C’est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas avoir des services de guérisons comme nous devrions en avoir. Nous devons avoir une fondation où reposer cela. Dieu ne peut pas le faire avant que l’Eglise revienne là où elle devrait être. Nous ne pouvons pas y arriver, cher ami. Nous devons encore avoir la vie qui agit. Tant que vous n’avez pas la vie, vous ne pouvez rien faire.
76 Le forgeron ne peut pas battre son fer avant que ça devienne vraiment chaud et rouge. Alors, il le place sous le marteau à bascule. Ce qu’il faut à l’église ce soir, c’est un appel à retourner à Dieu. Nous mettons… Un pécheur peut s’avancer à l’autel… j’ai assisté à beaucoup de nos réunions pentecôtistes ; les saints se teindront là à observer l’homme, en disant : « Eh bien, c’est très bien. » Pitié, oh ! Bonté Divine.
Eh bien, dans la vieille Eglise baptiste de Kentucky, je me souviens d’un pauvre garçon, un pécheur, qui est venu du dehors, ou de quelque part, il n’était jamais allé à l’autel ; quinze ou vingt hommes âgés se sont mis autour de lui, en disant : « Ô Dieu, combien nous Te sommes reconnaissants ; nous prions pour ce garçon depuis des années. » Certainement. Ils l’ont pris là à l’autel et ils l’ont tapé dans le dos jusqu’à ce qu’il est arrivé à la chose. C’est vrai. C’est encore ce qu’il nous faut ce soir.
77 Ce dont nous avons besoin, c’est de l’intérêt. Vous savez, le Saint-Esprit n’a marqué que ceux qui soupiraient et gémissaient à cause des abominations qui se commettaient dans la ville. C’est ce que dit la Bible.
Qu’en serait-il s’Il venait à Dallas ce soir ? Pouvez-vous aller et imposer les mains à n’importe quel pentecôtiste, baptiste, presbytérien, luthérien, qui gémie, prie, et jeûne, jour et nuit à cause des péchés qui se commettent dans la ville de Dallas ? Réfléchissez-y maintenant : Est-ce votre foyer où celui du voisin ? Où est cet ami ? Gardez cela à l’esprit. Réfléchissez-y maintenant.
Voulez-vous lever la main, et dire : « Ô Dieu, place en moi une telle faim pour les âmes afin que je ne puisse me reposer ; je dois faire quelque chose à ce sujet. Ô Dieu, que j’aie soif de Toi. »
« Peut-être que le démon m’a mordu et m’a empoisonné, sans que je le sache, mais mon âme n’est pas à la hauteur de cela. » Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse, là, madame. C’est bien ça. Levez la main. N’ayez pas honte, certainement pas. Si vous avez honte de Lui… Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Si vous avez honte… Que Dieu vous bénisse là-bas, madame. Que Dieu vous bénisse là-derrière, monsieur. C’est bien.
« Si vous avez honte de Moi… » Quoi ? Qui est-Il ? Le Saint-Esprit, qui se meut juste ici dans la salle. C’est Lui. Très bien. C’est terminé ? Je voudrais prier. Que Dieu vous bénisse, vous jeune homme. Priez pour que Dieu bénisse votre petite âme, chéri, qu’Il fasse de vous un grand homme. Que Dieu vous bénisse là-bas, chère sœur, vous êtes juste au tournant de votre vie, que Dieu vous bénisse.
78 Avec vos têtes inclinées, j’aimerais dire ceci. J’ai eu le privilège d’aller en Inde il y a quelques – il y a environ deux ans. Il y avait un article dans le journal qui disait : « Les tremblements de terre doivent être terminés. En Inde on n’a pas des clôtures et autres comme vous en avez ici au Texas et aux environs. Leurs clôtures sont faites en pierres. Et à la veille du tremblement de terre, tous les petits oiseaux qui vivaient dans ces clôtures et ces rochers et… se sont envolés et ont fui dans les bois. Toutes les brebis, et tous les bétails qui restaient à l’ombre près des murs ont quitté pour se tenir au soleil. Pourquoi ? Dieu était en train de leur Parler. Ces murs allaient tomber. Et ils sont restés là jusqu’au deuxième jour, et puis ils sont tous revenus. Les gens ont su que c’était là un signe montrant que le tremblement de terre s’était arrêté.
Si Dieu peut parler à un animal, à un petit oiseau pour qu’il s’envole et qu’il reste en sécurité, à un animal pour qu’il s’en fuie et qu’il aille en plein dans le champ, et qu’il s’éloigne des murs, combien plus le Saint-Esprit peut vous parler ce soir, disant : « Sortez de cette Babylone moderne. Sortez de toute cette confusion et – et de la soi-disant religion d’aujourd’hui. Envolez-vous et fuyez jusqu’en plein milieu de – de la grâce de Dieu. Envolez-vous et fuyez jusqu’à la croix et accrochez-vous-y, et dites : « Ô Jésus, sauve-moi. »
79 Dieu peut avertir les animaux comme Il l’a fait du temps de Noé, et Il le fait encore aujourd’hui. Il peut certainement avertir les gens qui ont le Saint-Esprit. Et sachant qu’à une certaine heure, d’ici peu, cet Amérique doit subir les jugements… Si Dieu ne juge pas l’Amérique, Il sera obligé de ressusciter Sodome et Gomorrhe et leur demander pardon pour les avoir brûlées. L’Amérique est tombée aussi bas que l’était Sodome en ce temps-là. Et un Dieu juste ne peut pas supporter cela. C’est ma nation, oui, mais elle est pourrie jusqu’à la moelle.
Ce n’est pas le communisme qui nous détruit. Non, non, c’est notre corruption qui nous détruit. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picote la pomme qui la détruit ; mais c’est le ver qui est dans le noyau. Oui.
[Espace vide sur la bande – N.D.E.] C’est ce qu’il faut craindre. Levez la main maintenant, et dites : « Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je veux maintenant venir. » Que Dieu vous bénisse, monsieur. Une fois de plus, nous allons de gauche à droite. Levez la main. Dites : « Souvenez-vous de moi, Frère Branham, pendant que vous priez. » Que Dieu vous bénisse, petit ami, ici. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse là derrière, vous, oui, il y a une douzaine ou deux mains là au fond. Que Dieu vous bénisse. Ici du côté gauche. Eh bien, là tout au fond. Oui, là les – les gens de couleur, qui sont là tout au fond, là derrière. Que Dieu vous bénisse, là tout au fond. Que Dieu soit avec vous. Mes amis mexicains, que Dieu vous bénisse. Très bien, prions.
80 Eh bien, juste – juste avec douceur et humilité, j’aimerais que vous gardiez la tête inclinée.
Dans votre cœur, dites : « Maintenant, Seigneur, me voici. Je suis blessé et je dois venir vers l’eau. Je dois Te trouver, Seigneur. Mon âme a soif. »
Seigneur, prends les – les fruits ; c’était environ… peut-être une centaine de mains ou peut-être pas ce nombre-là, mais ces quelques mains qui se sont levées. Ce sont les petits trophées du message de ce soir. Ils sont venus et ont levés leurs mains, et je crois à la – à la sincérité de leurs cœurs. Tu sais bien, Seigneur, qu’ils T’aiment. Et ils sont – ils ont honte de la vie et des choses qu’ils ont abandonnées, et ils veulent venir à Toi. Ô Dieu, puisse le Saint-Esprit descendre dans leurs âmes maintenant même. Parle-leur doucement et paisiblement, et dis-leur : « Mon enfant, si tes péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la laine.» Accorde-le, Seigneur.
81 Eh bien, tu as dit : « Celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors. Il est encore écrit : « Nul ne peut venir, si Mon Père ne l’attire. » Qu’est-ce que cela veut dire ? Ça veut dire que Dieu est ici dans cette salle, en train de parler aux individus, et ceux-ci lèvent leurs mains pour accepter Christ. Maintenant, ô Dieu, Tu leur donneras à Christ, Ton Fils, et ils sont les dons d’amour. « Nul ne peut les arracher de Ta main. » Accorde-le, Seigneur. Si je ne leur serre plus jamais la main dans ce monde, que je sois capable de le faire après que nous aurons traversé. Un jour quand cette vie-ci sera terminée, que le grand souper des noces sera préparé, et que les longues tables seront dressées, et que nous nous regarderons à travers la table, j’espère que j’entendrai quelqu’un dire : « Frère Branham, j’étais à Dallas ce soir-là », et les larmes nous couleront sur les joues. Le Roi apparaîtra et essuiera toutes les larmes de nos yeux, en disant : « Ne pleurez plus, mes enfants. Tout est terminé maintenant. Entrer dans les joies du Seigneur. » Ô Dieu, nous attendons impatiemment ce jour-là. Garde-les, Seigneur, dans Ta parfaite grâce jusqu’à ce que nous Le verrons, au Nom de Christ, amen.
82 Je suis très désolé de vous avoir gardés si longtemps, il est vingt-deux heures. Je suis désolé d’avoir pris trop de temps. Combien aiment l’Evangile ? Je n’ai jamais prétendu être un prédicateur. Je suis en quelque sorte un pneu de réserve, et j’ai … vous utilisez un pneu de réserve lorsque vous connaissez une crevaison. Mais nous n’avons pas connu de crevaison. Vous voyez cela. Nous avons beaucoup de bons pneus, mais je – je suis simplement venu pour parler. Et c’est la première fois que je tiens ce genre de réunion depuis quelques temps.
Mais j’étais frappé aujourd’hui quand mon… un de mes associés, monsieur Mercier, m’a dit que les gens dormaient dans ces buissons ici, attendant la réunion de prière. Est-ce vrai ? Combien sont venus pour le service de guérison ? Faites voir la main. Ceux qui sont venus, et qui voulaient que je prie pour eux ? Levez la main.
83 J’aimerais vous dire quelque chose. La raison pour laquelle j’ai consacré cette série de réunion, comme vous l’avez lu dans les annonces, uniquement pour la prédication, c’est parce que je viens de tenir une série de réunion de trente jours. Je suis très fatigué et épuisé : Ces visions me tuent presque.
Il y a un grand homme qui est sur cette estrade ce soir, qui a connu une dépression. Regardez Tommy Hicks maintenant. Voyez-vous ? Il va de dépression en dépression. Regardez ces hommes qui quittent le champ missionnaire. Je n’en connais aucun qui a vu des visions. C’est ce qui vous tue. Voilà pour quoi je l’ai fait. C’est ce que j’avais prévu, mon ami. C’était ça mon objectif pour les trois prochaines réunions : uniquement prêcher. C’est ce que je suis venu faire.
84 Mais lorsque aujourd’hui quand j’ai entendu … j’étais là dans… mes petits amis indiens vivent ici dans le même motel que moi, quand ils étaient assis ici, malades, j’ai compris cela. Je ne pouvais pas les laisser retourner comme cela. Ils sont venus de très loin, de la campagne. Et ils avaient simplement appris que je serais ici. Et ils ont dit : « Nous pensions que vous alliez prier pour les malades. » Ils n’avaient assez d’argent que pour y rester pendant deux nuits. Je n’avais pas assez de quoi leur donner en ce moment-là. Je suis un homme pauvre, et je – je ne…
Vous le savez vous-mêmes, je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Je n’ai pas l’intention de… la grâce de Dieu. Voyez-vous ? Les gens me donnent un petit quelque chose de temps en temps, c’est… jamais je ne… je ne viens pas pour ça. Dieu sait que j’ai les mains nettes à ce sujet. C’est vrai. Et je suis… Si jamais il me restait quelque chose, je l’envoie directement aux missions au tant que possible, Dieu sait que c’est la vérité. Voyez-vous ? Je n’ai pas beaucoup d’argent. Mais quand monsieur Mercier m’a parlé, disant : « Il y a des gens ici dans ce… qui pendant la nuit dorment dans des voitures, dans ces buissons par ici. Frère Branham, ils veulent que tu pries pour eux. »
85 Je ne le savais pas. Si cela ne vous dérange pas et que vous voulez que je prie pour vous, demain soir nous commencerons les services de guérison. Nous allons commencer à tenir des services de guérison. Je serai content de le faire. C’est tout à fait en ordre. Je suis bien disposé pour ces services, à faire tout ce que je peux pour vous rendre la vie plus heureuse et meilleure. Voyez-vous ?
Et j’apprécie tous les frères prédicateurs ici et tous les autres. Nous allons venir en aide. Et le Seigneur voulant, demain soir, combien aimeraient que nous ayons un service de guérison comme ce service de guérison à l’ancienne mode ? Levez la main. Peu m’importe qui vous êtes, juste… Très bien. C’est pour moi la confirmation que Dieu veut donc que je le fasse. Ça va.
86 Et demain après-midi, j’enverrai Billy pour distribuer les cartes de prière ; et demain soir, après que le message sera terminé, nous prierons pour les malades. Et s’il arrivait que je me fatigue et que je m’effondre, j’ai beaucoup des gens ici qui vont m’aider et me soutenir.
L’aimez-vous ? Que Dieu vous bénisse. Eh bien, ceci m’exige beaucoup. Les visions… Combien ont déjà assisté à l’une de mes réunions ? Faites voir la main. Combien n’ont jamais assisté à l’une d’elles ? Faites voir la main. Ça fait le double de ceux qui y ont déjà assisté. Très bien. Que le Seigneur accorde…
Eh bien, demain, voici ce que vous allez faire : appelez les gens au téléphone, amenez les vôtres qui sont malades et affligés. Vous verrez la gloire de Dieu. Voyez s’Il n’est pas autant Guérisseur que Sauveur. Voyez s’Il est aussi puissant dans la bataille qu’Il L’est hors de la bataille. Il est Le même Seigneur Dieu. L’aimez-vous? Dites : « Amen. » Je suis content de vous entendre dire cela. Maintenant, que Dieu vous bénisse.
87 Inclinons la tête juste un moment. Je vais poser une question : « Combien aimeraient qu’on se souviennent d’eux dans la prière pour autres choses, peut-être une marche plus intime et que sais-je encore ? Levez la main, le voulez-vous ? »
A quelle heure se tiendront vos services de demain, l’après-midi ? A treize heures trente. Bon, je verrai si Billy a des cartes. S’ils n’en ont pas, nous en chercherons ou nous vous donnerons quelque chose d’autre. Eh bien, en avez-vous déjà eues ? Eh bien, ça va. Très bien. Ainsi nous pouvons garder les gens en ligne.
Tous ceux qui ont besoin de Dieu maintenant, de n’importe quelle manière, levez la main vers Lui et dites : « Ô Dieu, Je T’aime. » Comme vous le faites d’habitude. « Ô Dieu, je T’aime. » Avec nos têtes… je demanderai à frère Vinyard qui est ici maintenant s’il peut...E-1 ...?... Thank you...?...
Thank you friends. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
It's a privilege to be back again tonight at the tent to--to speak in
the Name of our Lord again tonight.
And now, before we open His Word, let's have just a word to Him first,
as we bow our head.
Lord God, it's indeed a privilege that we have of coming to You. We've
been bid to do so by Thy dear Son, the Lord Jesus. And we're sure that
You will hear us, as we come in His Name, for He has made it clear,
that if we ask the Father anything in His Name, it shall be granted.
And God, we are here for no other purpose tonight, but to the glory and
honor of Thee, and of Thy Kingdom, and for the--the furthering of Thy
Kingdom, that we would all catch a new glimpse tonight of the blessed
Saviour, that He might come into our midst, and would take away all of
our iniquity, and take the sorrows from our hearts. Take sickness from
our bodies and give us joy, and good health, and strength, and
strengthen our inner man, for we're looking for His soon and visible
appearing to take away His church, called His Bride.
E-2 Grant, Lord, that every sin
and sin of trespass or omission, whatever it might be, will be taken
from us tonight, that this will be the beginning of a great
en--unending revival until Jesus returns. Grant it, Father.
Now, as we pull back the pages, there's no one can interpret the Word
but You. And we would ask that the Writer of this Book would interpret
the message for us tonight. Sow the seed down deep into the heart, get
glory, for we ask it in Jesus' Name. Amen.
E-3 I was just coming in with the wife and family, out there a few moments ago. I received a little message here, wrote, and it's from Ed Bibbord. Wanted to know if I was any relation to the Branhams in Burkesville, Kentucky. Ed, you are my cousin. Brother Bibbord, at Indianapolis, your brother, and the one at Evansville, Indiana, at the big Assembly of God church there, is--we are own blood cousins, wherever you are. I'd like to meet you and shake your hand after the service, sometime. The Lord bless you.
E-4 Then, I also want to
announce that tonight, at the book table, wherever it is here, there
is--will be the tapes of the meetings and records.
And Mr. Mercier and Mr. Goad, my associates, who takes the records, or
takes the messages and puts them on tape and on from tape to record,
and record and tapes both is at the bookstand now, can be purchased at
a--about one third the price that you'd pay for a record in a ten cent
store, if you got a... And if you haven't got a adapter, they got that.
We're not here to sell. That isn't our purpose. Anyone that knows me,
knows that. I've never been guilty of ever commercializing Jesus
Christ. See? And I--I don't believe in that, and I... Only thing that I
want to do this for, is because I think it would help somebody. And the
boys, when they taken the tapes, and were selling the tapes... I sent
off to another evangelist and got a tape, and I think it was about
three times the price that these boys sell them, because they buy
thousands times thousands of them in groups, and they have them. That's
just for the furthering of the Gospel. That's...
E-5 Then the books that we have, of course, we don't have them here, because they're printed here. Brother Gordon Lindsay, our associating brother here, he wrote the book, "Man Sent From God," and it's on print, and Brother Lindsay's prints it here, and I buy them from Brother Lindsay (when I take them out in the meetings) on a discount of, I believe, about forty percent less than what He a... what I'd... the original cost of them is. And then I take them out, and hire somebody to sell them, and so forth. And anyone ever sold books, knows that you can't hardly sell them anyway, make on them, because if anybody comes by and hasn't got the money, wants the book, they get it anyhow. Picture, anything, it doesn't make a bit of difference.
E-6 And we have to print this
picture that was taken of the Angel of the Lord under a copyright. And
Brother Lindsay and all of them knows all about that, which we have to
get permission for so many, and just out at the price that we get it
for. So you see...
And we're not soliciting or so forth, but I just made this mention,
whether if you wanted them, it would be all right to pick them up at
the--the end of the service at the--at the concession or the book
stand, wherever it is.
E-7 And now, we sure enjoying
our stay here and just getting a very warm conception, or reception,
down here, rather. I went over to a little store today, and my... I
said, "Lady, does it get any hotter here in Texas."
She said, "You ought to be here in August."
I said, "This is about smothering me." So you know, I... born in
Kentucky, and just half between the north and the south. But you know,
being that you all are a bunch of southerners, tonight, I am a
southerner, by being born in Kentucky.
E-8 Just come out of the New
England states, and I told them all up there, "We won the war." You all
know that, don't you? Sure, we did. How we did it, we outlived the rest
of them. It was just... There's one southerner left and no northerners.
And when the last northern drummer boy died, did you notice in the
paper, just before his death, the southerner sent him a message, and he
said, "God bless you, Yankee. I hope to see you again soon."
Why couldn't they have thought that in the beginning? That's... It'd
all been over then. That's right. Well, we'll have them till Jesus
comes, and then we won't have any more troubles and wars. Won't that'll
be a wonderful time? We love Him, and with all of our hearts.
E-9 And now... I was talking
this morning in a little restaurant. I been visiting around, and I met
a man that come up, and shook my hand, said, "You might not know me,
Brother Branham," but said, "I... You prayed for my little girl that
was having (I believe he said) epileptic spells." And said, "From that
very hour, she's never had another one." And then he said, "I had..."
Somebody in his neighborhood, when they heard it, had two valves in his
heart had closed up. And He called, and I sent him down a little
handkerchief. He said, "The man was up, going, well again."
The man's here in the meeting tonight. He's a minister; I--I got his
card in my pocket, but he might not want me to even... If you want to,
brother, you can raise up your hand, whoever I talked in the... Way
back there in the back, there he is, back there at the back.
E-10 So then, getting around and hearing testimonies and so forth, it's been good. And today, I paid tribute to go down to see school that my boy was at, at Waxahachie, down here. Seen their fine school. Makes me happy to know that the full gospel people has a school that they can bring up the children in the way of the Lord. I'm so thankful for Waxahachie's, I believe, Southwestern, it's called, Bible School.
E-11 Then to my good friend Jack
Coe, I passed by and seen his place. Something just... I'm
temperamental anyhow, and something... When I seen Jack's name and--on
the orphanage out there, and that bunch of little kids out there
playing around a little tent. I thought, "God, rest his gallant soul."
And I talked to his brother-in-law awhile ago. I was at a little
grocery to get some stuff for the kiddies. And I met his brother-in-law
and--and the minister that's helping over there, the sister that's
carrying on the church. And he was gracious to invite me to his church
and to have a meeting for him sometime. And I said, "If the Lord
permits, I'd like to do that, under one thing, that you'd make me a
contract, before coming: everything would go to that little orphanage
down there. See those little tots playing around down there with no
papa, and no mama, and a... not a... and a leader that's gone on to
glory, who seen that great vision. God rest the soul of my Brother
Jack, a great soul indeed.
E-12 I remember the first time I
saw him. I never forgot it. He was the most curious little fellow, real
skinny. And he come up to me, and he said, "Tell me what's wrong with
this woman in the car and I'll believe you."
I said, "Sir, I don't--can't do that." I said, "That takes God to do
that."
He said, "Well, I'm--I'm curious. I want to know."
And I said, "I shall go over and ask." And when I got over there, the
Holy Spirit told who she was and all about her.
He said, "That settles it for me."
And I said, "You're just a little curious preacher. And someday, you'll
be doing this very same thing, praying for the sick."
The next time I saw him was in Chicago, about ten years later. He'd
sure growed up. I said, "Brother Jack, what's happened?"
He said...?... "Two T-bone steaks after each meeting and some two or
three malted milks..."
I said, "They surely didn't take the calories out," I said... Just a
fine fellow, and God rest his soul is my prayer. To be here on these
grounds around close to where Jack Coe once ministered...
E-13 Now, someday I'll be gone
too. Someday we'll all be gone. "Partings leave behind us, footprints
on the sands of time." May God ever let his work continue on. May we
walk faithfully in the cause that he died behind, is my prayer.
I wish to read just some now from the Bible. I just love the reading of
the Word. You know, the Holy Spirit feeds on the Word. Jesus said, "It
is written, man shall not live by bread alone, but by every Word that
proceedeth out of the mouth of God. And if you just take it each day,
not as just a routine, but just to, oh, I'd say, to just make it that
your heart craves for it, to just set down each day and read so much
out of the Bible. You'd be surprised what it'll do to your spiritual
growth. It certainly will. "Man shall not live by bread alone but by
every Word that proceedeth from the mouth of God.
E-14 So let us turn tonight,
that I've chosen for a subject or reading, Scripture reading, out of
the Psalms, 63rd Psalm. And I wish to read just a portion of it here,
the 1st, and 2nd, and perhaps, 3rd verse.
O God, thou art my
God; early will I seek Thee: My soul thirsteth for thee, my flesh
longeth for thee in a dry and thirsty land, where no water is.
To see thy power and
thy glory, as I have seen it in thy sanctuary.
Because thy
lovingkindness is better than life, my lips shall praise thee.
E-15 Did ever you read such
words? "How my soul longeth for Thee in a thirsty land, where no water
is." This is rather an unusual text, but God is unusual; God does
unusual things, and He works in mysterious ways, His wonders to perform.
And we're living in an unusual day and an unusual time, but we're
serving the God that's been in all times. And when I thought of this...
You know, my soul thirsts for Thee... If your soul is what directs you,
it's what makes you what you are. A conversion is... A soul is the
nature of the spirit. And when a man is converted, he doesn't get
another spirit. He gets a spirit change, a conversion means to change
his thinking, change his way of living and so forth. So my soul thirsts
for Thee.
E-16 And I thought, because of
Thy lovekindness is better than life. What is greater than life? Just
tell me one thing, tonight. What's greater than life? Nothing is
greater than life.
And there's only one type of Eternal Life, and that Life comes from
God. Anything that had a beginning has an end. It's those things which
have not a beginning, has no end. And in the beginning, God, Eternal
Life... And then out of Eternal life, which in the Greek is called
"zoe," or "God's Life."
Agapao love, and phileo love, and so forth, as we drop down like from
agapao love is the love that's God's love. Phileo love is the love that
you have for your wife or your friend.
E-17 Now, many times, the church
gets that mixed up, and they try to apply phileo love, which means
"friendship," to be like agapao love. But here's the difference. If you
love your wife, as you should, and some man would insult your wife,
you'd kill him, because you'd be jealous of her. That's what phileo
love would lead to. But agapao love would make you pray for his lost
soul. That's the difference. See? It's the difference. God...
Everything that is now, is something that has been right. And all
unrighteousness is righteousness perverted. There is nothing that what
has never been. For instance, all sin is righteousness made sin.
Now, you've heard people say that the devil can heal. There's only one
thing wrong with that statement. The man who made that statement
doesn't know his Bible to begin with, neither does he know the God Who
wrote It. The devil has no power to heal, and cannot heal, and never
did heal, and never will heal.
E-18 I've got a Lutheran college
in Minneapolis, Minnesota, tonight with signs and wonders among their
people, because the minister wrote me the letter and said, a man that
speaks to the people as many as you do, and say that the devil cannot
heal... And he tried to base upon a witch, or woman, that people comes,
and feels around, and she tells them that... Well, she'd pluck a little
hair our of their head, and rub it in some blood out of their veins,
and goes down, and throws it in the river, and starts walking back, if
she's constrained to look around, the disease comes back. But if she
goes on, then the people gets well. He said, "We've watched, and twenty
or thirty percent of those people are healed, and then you say the
devil can't heal."
I said, "The strange thing is, to you, Dr. Aegery, is this. I'm
surprised, that you, being a Lutheran dean, would base your doctrine
upon an experience in the stead of the Word of God." That's right.
Jesus said, "Satan cannot cast out Satan." That settles it.
E-19 I said, "'Course, there's a
lot of people saying that Divine healers going through the land. There
is no such a thing. I've never seen one in my life and never will see
one. God's the Healer. But the people sometime approaching people that
makes such statements, get healed. That's true. I've seen witch--witch
doctors have the people healed, but what is it?
I've seen them go to idols. There at Alsace-Lorraine, France, they go
up to an idol of a dead woman and get healed, but that isn't because
that the dead woman done it. It's the people thinking they're
approaching God through the woman.
Like it is with the Divine healers, like it is also with the--the
witch. They thought they were approaching God through the witch, and
God has to honor faith, regardless of where it is. That's right. So
there is no healing...
E-20 What is healing? Healing is
the developing of cells, a multiplication of cells, making cells,
mending.
You might break your arm. Doctor can't heal your arm; he can set it.
God has to heal it. But He's the only Creator there is. Satan cannot
create. He perverts what God has created.
I've got a mixed audience, of course, and I am your brother. And you
listen at your doctor. To you married men, you have your wife; you live
with your wife. The act of being wife and husband is just as legitimate
as it can be. But the same act with another woman, you're gone. What is
it? Righteousness perverted. That's right. All sin is righteousness
perverted.
Now, I'm not a Bible teacher, so I'll get off of that onto my subject.
E-21 Life, what is life? Well,
life is the--what controls you. Life is what makes you what you are.
And the life that is within you, makes you the written epistle, read of
all men. So while we speak of life...
I was thinking sometime ago, way down in the southern states, when they
had slavery, and when they would drive the slaves like animals.
And--and they would put them up and auction them off like you would in
a used car lot, and would make... And they'd come around, brokers, and
would buy these certain slaves. And they'd come by and buy some big,
heavy colored man and take him out and sell him to some one else, and
make profit on them, just like you do on your cars and so forth today.
And there was a certain broker came by a--an old plantation and he
said, "How many slaves have you got on this plantation?"
And the owner said, "About hundred and fifty."
"Is there any for sale?"
He said, "Oh, I don't know; maybe we could trade or do something." And
when he went to look them over...
E-22 Now, the slaves were sold
to the states here by the Boers, which were Afrikaans. And they brought
them over here from Africa and sold them. And they were away from
father, mother, babies, husband, wife, never would see them no more as
long as time rolled on. And they were sad. And they would have to be
whipped many times to make, work. They'd carry whips and stripe them
with it to make them work, because they were sad and downtrodden.
And they noticed, this certain buyer, that there was one slave among
them, that they didn't have to whip him, a young fellow, right up and
at it, chin up, chest out, just ready to act at any time. And the buyer
said to the owner, "I would like to buy that slave."
"Oh," he said, "but he's not for sale."
He said, "What makes him so much different from the rest of them? Do
you ever have to whip him?"
He said, "Never."
He said, "What makes him so much different? Is he the boss over all the
rest of them?"
He said, "No, he's just a slave."
He said, "Maybe you feed him a little better than you feed the rest?"
Said, "No. He eats out in the galley with all the rest of them."
He said, "Well, what makes him so much different from the rest of them?"
And the owner said, "Sir, I questioned that myself for a long time,
until I found the truth. And this is the truth." He said, "I found out,
that over in the homeland he is the son of the king of the tribe. And
though he's an alien, and amongst strangers, yet he conducts himself as
a king's son."
E-23 Oh, if it would make a
negro, who knowed that his father was a king and he was an alien, hold
hisself up to conduct hisself as a king's son, what ought it do to the
children of God, the sons and daughters of God? We should conduct
ourselves as real children of the king. We should be fearless when it
comes to making the decision on God's Word.
If God says so, stand by. God said it. It can't fail. If God promised
us Eternal Life, we have Eternal Life. He can no more lie than He can
cease to be God.
E-24 And the one thing that I've
found about ministering in the churches, I find two types of people:
that's the fundamentalists and the Pentecostals. And I find
fundamentalists, position, know where they stand, but they haven't got
any faith. And Pentecost has got plenty of faith, but don't know how
they stand.
It's just like a man's got money in the bank and can't write a check.
The other one can write a check and hasn't got no money in the bank. If
you could ever get them together!
If the Pentecostal people would ever recognize who they are... They are
sons and daughters of God. All prejudices, and nominationalisms,
and--and difference would be broke down, and they'd be hugging one
another, and shaking hands, and the glory of God falling universally,
if they would only characterize themselves and realize, that they are
sons and daughters of God.
E-25 No matter if we are in an
alienated world. If we are amongst aliens, we are pilgrims and
strangers, but we're seeking a city to come, whose Builder and Maker is
God. What do we care about this world then, and about all of its
fantastics and all of its glory. Every bit of it will perish someday.
This nation's on the verge of going into ashes at any minute, right
now, and it could happen before morning.
I've stood where the Pharaohs stood and have to dig twenty feet to find
their throne, and where the emperors of Rome has stood, and you'd dig
way beneath the ground to find where their kingdoms was. But brother,
we receive a Kingdom inside of us, as sons and daughters of God, that
all through eternal ages it'll remain.
E-26 We've got nothing to be sad
about. We've got all to be happy about. No wonder the people get noisy.
It's enough to make them noisy. I kindly like a little noise; it's a
sign of life. You know anything... I can prove, that scientifically if
it hasn't got a little noise about it, it's dead. So if your religion
don't get a little noisy, you'd better bury it, and get one that's got
something.
When Aaron, the high priest, was anointed to go into the holiest of
holies, he had a bell and a pomegranate--bell and a pomegranate on the
ends of his garments, and that was for a purpose, that when he went
into this holy place, if there wasn't any noise, he'd been slain. But
as long as there was noise, there was still life.
So as long as you can still see people that's got enough God in their
heart to say, "Amen," in the presence of their boss, or their neighbor,
whoever it might be, it shows that God still lives. Life, what is
better than life?
E-27 Now, when I've thought of
these things as this lovely Psalmist was speaking of it, David... I
always liked his--to read after him, because we had a few things in
common, our ideas, that we love the Lord together and we also like
outdoors. David, with the--the shady pastures, or the green pastures
and the still waters, get alone with God...
I was talking to a man, a minister, today, about Colorado. How oft have
I went for a little trip (Wished I could after this.), just up in the
mountains to be alone, watch God for a little while.
E-28 One day, I remember... I
know I'm a little off my subject, but we're not formal, and... So I was
up there elk hunting. And it was late, and the snow hadn't come yet,
and I had to go high into the mountains. And the rancher where I used
to ranch, well, he took another route. I was to meet him in two or
three days later.
And I tied up my pack horse and went way up in the mountain. And there
was no snow yet to drive the--the elk down, so I was walking along in
the... In the fall of the year, late, there come a--a rain, and then a
snow, and then the sun will shine and so forth. And it come a great
gusher come down, as we call it up there northerner, twister. And I got
in behind a tree and was standing there.
E-29 And I was thinking as the
storm blowing by, "Oh, God, Elisha pulled back in a cave one day, and
the storms come by, but he didn't hear You in the storm." So I was
thinking on this. The storm ceased, and--and the sun came out shining
in the west, its great majestic eye looking through the crevasses of
the rock.
And I noticed as the rain had fell and froze the evergreen, there come
a rainbow. And the rainbow made a circle across. And I was standing
looking at it; I said, "O God, how great You are. There You are in that
rainbow. You promised that with a promise," and I said, "to Noah, that
You would destroy the world no more with water."
E-30 And then John saw Jesus
setting in Revelations 1, with a rainbow over Him, and He was to look
upon as jasper and sardis stone, which was Benjamin and Reuben.
And--and as I thought of those things, I got to feeling the Spirit of
God moving on me. You know how you get to feeling...
My mother's a half Indian, and my--and my conversion never took that
out of me. And I heard the old gray wolf, howl up in the mountain and
the mate answering down in the valley.
David said, "When the deep calleth to the deep..." It really begin to
call then. Then I heard the old elk bugle that got lost from the herd.
And I got so happy; I got so religious, to you might think I was crazy,
but I set my gun down against the tree and around and around and around
the tree I went, just as hard as I could go, screaming to the top on my
voice. Oh, alone with God.
I guess if someone would've come into the woods and seen me, they'd
thought they had someone out of the insane institution out there, but I
didn't care. I was worshipping God, and it didn't make any difference
what anybody said. I was just enjoying myself.
E-31 And, "Oh," I said, "God,
there You are in the sunset. There You are in the rainbow. There You
are in the call of the wolf. There You are in the bugle of the elk. Oh,
You're everywhere." That's true.
And just then, a little old pine squirrel (kind of the blue coat
policeman of the wood, just all fuss, and that's about all there is to
him) jumped up on a little old stump there by the blow-down. And he act
like he was going to tear me to pieces. And I said, "Now, look little
fellow, there's no need of you getting so rough. You can't whip nobody,
and nobody's afraid of you. So why are you carrying on? First place, I
wouldn't hurt you." And oh, he was just a cut-me-up. And I thought,
"Well, what'd you stopped me from worshipping the Lord for? Did I
excite you? I'm a worshipping the same God that made you."
E-32 And as I thought there, a
little bit, I noticed in the cocking his little head over and looking
down where that the old blow-down was. And he wasn't watching me; it
was something down beneath there he was watching.
And the winds had blowed a big eagle--we had brown eagle in
Colorado--forced him down under this blow-down. And he was all excited
about that eagle. And the big fellow jumped up on the limb, graceful
looking. And I thought, "Lord God, here You are; You're in nature
everywhere, as David saw You; You still remain in nature. You remain in
people. You're just the same God. So why would You stop me from
worshipping You?"
E-33 You see, God does
everything for the good. You say, "What about that sick child?" For the
good: God give a testimony, glory, maybe salvation of soul, for healing
it. Everything works together for good. And then as they begin to
worship Him...
And I thought, "Why was I stopped?" I noticed there's something about
that eagle, that he wasn't afraid. You know, God can't use cowards. If
you're afraid, just stay away anyhow. If you don't want to take His
Word for what He said, just stay out of the army; that's all. He just
can't use you.
E-34 So I noticed that he wasn't
afraid. And I said, "Big fellow, do you know I could shoot you?" And my
rifle was setting against the tree and he... Those great big gray eyes
looked at me, and he knew that he could be in that timberline before I
ever got my hand on that gun. And he--he... There was something about
him that he knew where he was at.
I like to see Christians like that, who's just not wishy-washy: that
you're Methodist today, and a Baptist tomorrow, and something else the
next day. Know where you're standing. Know Who your Redeemer is, where
your life come from.
E-35 And I noticed the--the
reason he was doing that, he had a lot of confidence in his wings. He
kept feeling those feathers to see if they was all in running order.
I thought, "That's it. That's what you want me to know, Lord. That You
gave that eagle two wings, and he knows what he can do with those two
wings. And he knows the distance I have to go for that gun, and the
jump that he'd have to make; he could be out of my sight nearly, before
I got the gun.
And I thought, "If a eagle knowed where he stood with two wings, what
ought the church to do with the Holy Ghost to know...?... But the
thing, as long as you can feel that He's around you, that's the main
thing.
E-36 He listened at... I wasn't
bothering him; I was admiring him. But that little pine squirrel was
acting like he was going to cut him to pieces. He got enough of it, so
he just made a great big jump and about two flops.
Then I seen what God changed my opinion about. I seen the big fellow.
He never just kept flopping. He just knowed how to set his wings. And
every time the wind come, he just rode up on it, kept on going, higher,
higher, higher, till he become just a little spot. And I wept like a
baby. I said, "That's it, Lord. It's not join Methodist, Baptist,
Presbyterian; it's not flock to this healing service and to that one.
It's just knowing how to set your wings in the power of God, and when
the Holy Ghost comes in, ride up above it--ride above it.
E-37 He got sick and tired of hearing that chatter, chatter, chatter, chatter. And so does a man of God, that knows how to set his wings in the faith of God. And right away, when the Holy Ghost comes in like a wave... Get away from this chatter chatter, here, "Days of miracles is past; there's no such a thing as Divine healing; there's no such a thing as heartfelt religion." Just set your wings in the faith and power of God and ride away from it, get away. Certainly. Receive life, God's life.
E-38 And David, noticing these
things... And he said, "In a dry and a thirsty land, my soul thirsts
after Thee, O God. I long to see Thy power as I have seen it in Thy
sanctuary, because Thy lovingkindness is better than life."
When I thought, "Better than life? What could be better than life?" So
life has two meanings. One of it people call life today, is not life,
but it's death. Many people think that sin, drinking, gambling,
reveling, they call that life.
E-39 You go down here to one of
the honky tonks, tonight, and you can see them dancing and the young
ladies and young men of this beautiful city, you can hear them
screaming and dancing, and drinking, and they say, "Oh, we are living."
You're mistaken. You're dying.
That kind of a life couldn't be what David was talking of, because that
life gets so miserable till men takes a pistol and put it at their head
and blow their brains out with that kind of life. Men climb to the
highest story in their hotel rooms, up there with living with women,
and drinking and hold their hands, and jump to their death, with what
that kind of life leads to.
So David could not have been a meaning that kind of life. So it's got a
perverted, you see. It's a perverted life. Then if that kind of a life
isn't right, then what is the right kind of a life? Thy loving kindness
is better to me than life. Now, and my soul thirst after Thee, oh God.
I long to see Thee. Now, what makes a man want to do anything like that?
E-40 Some time ago, in a great
city... And it's been about a year ago; it was last summer in a great
Canadian city. When I seen the Americans come in, I was ashamed of
them: drunk and carrying on. There was some kind of a lodge meeting
there. And that night when I come from the arena, and went into the
great hotel, and I started up, and the bottles of whiskey, empty
bottles was all over the elevator. And I said to the boy, I said, "They
must be... Somebody must have been awful thirsty."
And he said, "Oh, it's a drunken mess, preacher." And he let me off at
my floor. And when I did, I stepped outside the elevator, and I looked,
coming down the hall, and here come two American women, young,
beautiful looking women, about twenty-five, thirty years old, both of
them with wedding bound--bands on, and nothing on but just their
underneath garment, bottle of whiskey in their hand, walking down the
floor, men dragging them from room to room, and maybe their husband at
home, baby-setting. But what is it? They're out for a little innocent
fun. That's the wages of sin is death.
E-41 And there was men, just six
to one and half dozen of the other... There was men dragging at these
women, with probably their wife home baby-setting, not knowing where
they were at. It goes to show, either male or female, God hates sin. He
loves the sinner but He hates sin.
There, and that tradition... maybe going to Sunday School and belonging
to some church somewhere. Oh, I've went into the rooms and found out
there were Sunday school teachers acting like that.
No wonder we can't have revival. We might have ten thousand Billy
Grahams and never have a revival as long as the church isn't cleaned up
and living like Christians ought to live. Because they've been taken in
by letter, and by handshake, and by some little ism. You've got to be
born with Eternal Life in you before you can come to be a Christian.
Oh, it's so terrible to think of it.
E-42 And as I watched those
beautiful young mothers (I suppose they were), and one man grabbed her,
and she fell on the floor, and the little garment she had on was up
over her back. And he was trying to strip that off of her, and I just
stepped back in the little dark place. I thought, "Oh, God, how can You
look at such? Surely it won't be long."
And as soon as she got up on her feet, and the man was too drunk when
he'd fell to get back up. So she got her friend around the neck and
down the room they come. And she pulled up that little gown of a thing
she had on, and threw her leg up in the air, hollered, "Whoopee! This
is life!"
E-43 It was too much for me,
that bottle of whiskey in her hand, the slobbers running out of her
mouth. I stepped out with my Bible in my hand. I said, "Just a minute.
I want to talk to you."
And she said, "Hello there, honey..."
I said, "Just a minute. I'm a Gospel preacher." And I caught them both
by the hand. I said, "Aren't you ashamed of yourselves? I want to
correct you on a word. You throwed your foot up in the air, just now,
and drank that whiskey, and said, 'This is life.'" I said, "It's death.
The Bible said, 'She that liveth in pleasure is dead while she is
alive.'" And they jerked loose and down the hall they went, hard as
they could go. No time to stand.
E-44 But brother, that kind of a
life ends up in suicide. It ends up in the divorce court. But what
makes a person want to do it? Now, here's where my text lay, and here's
where I want to get to you. The reason that you do that, and people
does that, and thirst for life, is because God made them to thirst for
life. But He made a man up in his mechanism to thirst for God's life.
And the devil perverts it over and tries to satisfy that blessed thirst
with sin.
That's what makes women smoke cigarettes. That's what makes men smoke
cigarettes. That's what makes you get out and strip yourself on the
streets and wear shorts. That's what makes these people do the way they
do. That's what makes the men and women live dishonorable to one
another. That's the reason you stay home on Wednesday night to watch
"We Love Sucy" or something like that, instead of staying at prayer
meeting, and it's because the devil has give you a lemon. He's
perverted that godly thirst in you and trying to satisfy you with his
own slop out of hell. Right. God made you to thirst.
E-45 What makes men gamble? What
makes men carry on? What makes these little girls and boys out here in
these old boogie woogie, rock-and-roll, ungodly things, is because the
Sunday school has let down, and the home has let down, and the parents
has let down, and the nation's let down.
Men sings the songs that inspires him. The reason they sing Elvis
Presley's "All Shook Up" is because they didn't teach them the "Rock of
Ages, Cleft For Me." that's the reason.
The reason that people don't believe in shouting tonight, but'll scream
at a ball game, is because they've been taught such things and kept
away from the glorious Presence of the Lord Jesus that gives them that
satisfying portion.
E-46 Oh, how people do. It's
because that the devil has taken that blessed holy thing, that God has
give you, and dare you to try to satisfy that holy thirst in you, that
God gave you to thirst after Him, and satisfy it with the things of the
world. You'll never be able to do it. It cannot be done. And if you
think you're living, because you're living a little better than
somebody else, a little higher in the world, you've never started
living, till you let that thirst be satisfied by that "Fountain filled
with blood, drawn from Emmanuel's veins, where sinners plunged beneath
the flood, lose all their guilty stains."
There's no satisfaction until that thirst is quenched by God's
Presence. But the devil tells you, "You want to be modern."
"Oh, if I can just be like Sucy," or ever who that woman is that they
all stay home on Wednesday night to see--"We Love Sucy" or something
like that. "Lucy," that's right. Yeah. You getting pretty "loosey," all
right. I'll admit that.
E-47 And when our nation gets to
a place... The other day I stood, and I was shocked, when my hotel
room, just across from the YMCA... And they were teaching the young
children in the YMCA rock-and-roll. Not only that, but they teach it in
the churches. How can you expect anything else, but a teen-age rioting
hoodlums like we're having today.
They call it the parents... What is the modern parent, the modern
church member? I don't want to hurt you, but I'd rather scare you a
little bit now than you to be lost in hell someday, and me responsible
for it.
Where do you find mama? At some card party. What about dad? Down at the
pool room. What about Junior? Out at a--out running his hot rod,
up-and-down the road, racing. That's Sunday. Where's sister? At a
rock-and-roll party. And you talk to them about God, they say, "I
belong to certain, certain church. I'm as good as you are." They know
no more about God than a Hottentot would know about an Egyptian knight.
That's right. Only thing they know is some catechism or church creed,
their name on some book, and never been born again of the Spirit of
God. What we need is an old fashion God-sent Pentecostal revival. Not
only do they need it in the Methodist and the Baptist church, we need
it in the Pentecostal...?...
E-48 It's getting something
wrong. Things has begin to move up because the world, the church that
once didn't care, their whole life was sacrificed to God, they went on.
It's true.
And then here's another way the devil tries to satisfy that thirst. He
tries to make you think you're all right, just because you join church.
Brother, that's the trick of the devil. Jesus said, "Except a man be
borned again, he can in no wise enter into the Kingdom." He lets you
put your name on a book. He will let you be baptized this way, that
way, up-side-down, up... What do you do? Just as the old saying, "Go
down a dry sinner and come up a wet one." That won't do you any good.
No matter how you're sprinkled, poured, baptized, immersed, or
whatevermore. It won't do no good. The church don't need that tonight.
It don't need to argue over whether we should be sprinkled, or whether
we should be poured, or baptized three times face forward, or three
times backwards, or how... That's just fussing. What if we were sons
and daughters of God, we'd conduct ourself thus. That's true. What we
need is an old fashion revival.
E-49 One time me and my little
brother, that's gone on... We were out walking around in the woods, and
we found an old terrapin. I don't know whether you Texans know what a
terrapin is or not. And kinda walks funny. And we thought that's the
funniest looking thing that we'd ever seen. So I... When we got up to
him... He puts me just in the mind of a lot of people that goes to a
gospel meeting, as soon as something's said they don't like, get up and
go out, just while the preaching's going on. Just like that old turtle
pulled hisself back in his own shell. Well, I said, "You know... wonder
how we could make him run again?" So I said, "Way mama makes me run is
by a switch." So I went and got a switch, and I just poured it on him.
It didn't do no good. You can't do it that way. Certainly, you can't.
So I thought around a little while, and I said, "Well, there's a little
creek running right down there. He'll walk or I'll drowned him." And I
took him down there and stuck him down in the water. Just a few bubbles
come up and that was all there was to it.
E-50 You...?... make any difference. You can baptize them this way or that way. Don't do no good. You can't get them to run for the Lord like that. But you know what I did? I built up a little fire and set the old boy on that; he really went running then. What we need tonight is not a arguing on a little creed, but what we need tonight is the Holy Ghost and fire...?... old fashion powers of God to burn sin and selfishness, disrespect for each other, burn it out of us with the love of God. That's right. Thy...
E-51 "My soul thirsts for Thee
in a dry and a thirsty land; I long to see Thy power like I have seen
it." If that ain't a picture of the Pentecostal church... "I long to
see it, like I once saw it in Thy sanctuary, long ago, when the old
saints used to walk up-and- down the aisle and shout and... Oh, I
remember that in my old Baptist church.
Now, I come out of a bunch of Baptists. Dr. Davis may be right here
tonight; he lives here in Fort Wayne or Fort Worth--who baptized me
into the Baptist church. And we used to see them walk up-and-down the
aisles and women shout--had those great big old long hair pins, and
they would fly all over the building. You can't find enough hair on
half the women in the building to put a hair pin in. There's something
wrong. But they used to do it in the Baptist church. And we profess a
little higher than that. They've cut it all off.
E-52 You know the Bible said
their hair is their glory. No wonder the glory's all gone. So we... But
I'm not saying that jokingly. This is the pulpit. This is the place
where judgment must come. I'm preaching the Bible. I'm telling you what
God says in His Word. And because the world has seeped in and took
pride and put in the people's hearts, both men and women, that's the
reason that we're longing to see those days again. "My soul thirsts
after Thee." Oh, my...
David also said, "As the hart thirsts for the waterbrook, so my soul
thirsts after Thee, oh, God." I think of that, that Psalm, how David
had been a hunter in the woods. He hunted the lions, and the bears, and
so forth with his slingshot. How he watched nature... And he knowed
about deer hunting, perhaps was raised on it. And how the deer, what
a--a cunning animal he is. And how that a deer... They have a wolf or a
wild dog. In Africa it's a wild dog. In America it's called a wolf.
E-53 You see a--a little deer
that's feeding, and the--the wolf will slip up real easy. And if he can
catch that deer off of guard, just like the devil catches the church
off of guard... The thing the church has been wanting is a great big
fine building and a minister right out of the cemetery, or the
seminary, that can say... (Excuse me, I didn't mean to say that.), that
stands up, you know, and can say, "Ahhh-men," so beautiful. Brother,
and dressing...
What's the matter with the world today? We got too many little
kinky-haired, Hollywood evangelists, in the stead of the old fashion
God-sent...?... That's right. Running up-and-down the floor, and women
on the platform with big earrings sticking in their ears...?...
everything, dress that they're poured into them, and no wonder the
sinner... Look, we need the old fashion kind. I feel the old fashion,
back woods, sky blue, sin killing religion. That's right, brother. It
won't whitewash you, but it will wash you white. That's right. Gets you
from the inside out, thoroughly clean. And Jesus Christ is the Author
of that salvation--Fountain open for all.
E-54 And if you see those little
deer, as that sneaking hound dog coming up on them... Lot of times down
in the south here, they, down in Louisiana they--they run the deer with
the dog. I always thought it was cruel. The dog's going hunting, let
him go. You go to hunt yourself, then leave the dog at home. So then...
when the... Watched him when he's running these little deer.
And David saw such. And then when the--the dog slips up real easy, and
he sees the little deer, he's got a--a trick of cutting their throat.
The wolf, he has two blood fangs, sticks out like that. And he watches
the deer, and when he's right at it, he will run real quick, dash
quickly, so fast the deer don't even see him, and he grabs the deer and
sinks those fangs just like a serpent, right in the back of its ear in
a jugular vein, runs right along behind its ear. Then the wolf swings
his weight, like them two knives sticking in there and cuts the little
deer's throat and down he goes, because he was not on his guard.
E-55 That's what's been the
matter with the church: not on the guard. Something's wrong. Oh,
Brother Caddie used to sing a song: "We let down the bars. We
compromise with sin. We let down the bars. The sheep got out, but how
did the goats get in?" Let down the bars, that was all, begin to
compromise. The three...
The congregation, voting for their pastor, would take some little
slicker, in the stead of some man that was really an old fashion,
hell-fire and brimstone preacher, that'd handle the gospel with his
bare hands instead of Hollywood gloves on.
The world's full of Hollywood evangelism. We don't need that in
Pentecost. Let that go on out where it belongs. We want the old fashion
kind, the kind that knows the truth, lays the axe to the root of the
tree and let the chips fall where they want to. That's right. Back to
the Gospel, brother. I'd rather be in a crowd, that'd go to meet Jesus,
with five of those than a hundred thousand otherwise. Different. The
honesty and purity of the soul and the heart in the presence of God... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-56 Now, if that little deer is
real quick, and it stands there, like a many a little girl tonight,
that some little snicklefritz come down the road... And she'll go out,
and don't know any better, and put lot of lip stuff on her face, and
paint herself all up, and make her eyebrows like that. If God wanted
you like that, He'd a made you that way in the first place.
And you know, in Pentecost we're teaching somewhere around in here, I
got it several times, liberation of women. What in the... What's the
matter with you people? Liberation? Christ gives liberation from the
world. That's the only liberation we have. I think you men that's
teaching that need some liberation from the bonds of prison. No
liberation, if... When you're in Christ... If you love the world or the
things that pertains to the world, the love of God's not even in you.
That's what the Bible says.
E-57 That's a big thing for a
Calvinist to say, but I'm a Calvinist as long as Calvin stays in the
Bible. When he gets out of the Bible, I'm an Arminian then. I believe
in the real Truth of God's Word. They both had something, but they went
out on limbs and died out there. But the Bible still lives in the trunk
of the tree. Exactly right. That's in the Holy Spirit. If you love God,
you don't even desire to do those things. That's right. If you desire
to do them, then the love of God's not in you anymore. That's what the
Scripture says.
But now, brother, if you notice how the churches got in this
conglomeration of gaiety, what's happened? Used to be, you wouldn't let
your children go to the picture shows. The devil beat you on that. He
set the television in the home. That's right. He did that. Now, I--I'm
not saying good things don't come through the television, but you just
watch what you turn on and turn off. You got Oral Roberts or somebody
on there, or some good thing like that, look at it. If it isn't, keep
it off. That's right. And if your kids won't do that, keep the thing
out of your house. That's exactly right. You'd be better off. That's
right.
In your everything, it just looks like that the whole thing's-- the
whole thing's sick from the head to the feet, just a sinful,
conglomeration of filth, it looks like. No wonder the Bible said, "All
the tables is full of vomit." That right.
E-58 "Who will I teach doctrine?
Who can... Them that's been weaned from the breast." Just go along,
tell them...
"Well, bless God, I--I got the Holy Ghost. I did this, that, or the
other." If you don't live it, brother, there's something wrong. It's
true.
Thirsting for God... Oh, how it could be... Even one prophet said, "He
even blushed when he come in the presence of God." What does the Holy
Ghost think tonight, which is our Tutor that comes up before the Father
to bring the conditions of the church, how that we, of the church
people tonight, are permitting such things to go on in our pulpit. How
we're letting down the bars, us people, us people who claim to know God
and letting those things get by. God be merciful to us. He will make us
answer at the day of judgment for those things. It's true.
E-59 Now, let's notice just a
minute. That little deer, if he's real quick, if he sees the--the... If
the--if the wolf makes a move some sort, and he sees the wolf coming,
he could jump. And sometimes he can maneuver hisself. Now, the second
best place for the wolf that can't cut the throat... If he cuts the
throat the deer only makes a couple of jumps and it's dead, it's gone.
And just a few minutes it's all picked over by dogs, just pick the
bones bleach.
And listen, sister dear, that first little rock-and-roll party that you
slipped out and didn't tell mom about (See?), and you taken the...
You--your mama taught you not to wear that stuff and to--to do the
things that you're doing, but you thought it was cute. Look sis, dear,
and you, buddy... You that smokes that little cigarette, think it's
because boys called you a sissy. I'd be called anything as long as I'm
serving Christ. What difference does it make? That's right. And what?
E-60 You go out there... And why do you do those things? If your mother lets you wear those shorts and things out on the street, a little young thing like you are, she ought to be ashamed of herself. That's exactly right; she ought to be. But what do you do it for, honey? I want to ask you. I got two girls setting right here, too. I want to ask you something. Why do you do it? You don't do it to appear before God. You don't put manicure on your face... I make a mistake on that, it's not that, ever what it is you put on, is paint... What--whatever you... You don't put that on your face to meet your husband. If you got a husband wants to see you like that, you get in to safety. That's right. You do that to appear before men. You don't realize it. You put on those little old dresses, as I told you the other night, sexy looking, and these boys whistle at you, call it the wolf whistle. [Brother Branham demonstrates it--Ed.]It is, a hound of hell (Exactly right, exactly right.), and he's after you. And he will get you if you don't watch. Get away from him quickly. And if you can dodge quick enough, you'll move it.
E-61 If the dog can't get the
deer by the throat, he catches him next, right in the flank. There's a
place, right in the flank, 'cause it's the middle balance of the deer.
The hindquarters are heavier than the front. We know that. And with the
neck, and so forth, balances it up.
And then, if the wolf could grab and miss the neck, and if he can grab
again, quickly, and catch the deer by the flank, he goes to swinging
it, right and left like that, until the middle of the deer, he's got it
swinging. The poor little thing can't get on it's feet no more. And it
throws it on the ground. Just in a few minutes, she's picked over.
That's the way the devil does it, sis. It's the way he does it, buddy.
That's right. And the first thing you know, you have the date with that
first little boy, started out that first rock-and-roll. Who ever
heard...? And you all trying to say...
E-62 And these people telling
you that Elvis Presley (a nothing against the man, only he's a sinner,
but I want to say something.), saying, "He's religious, because he
sings songs on the..." Brother, that... I... Here's my conception.
There's one difference between Judas Iscariot and Elvis Presley. He was
a Pentecostal boy. Judas Iscariot got thirty pieces of silver; Elvis
Presley got a fleet of Cadillacs and a million dollars. They both sold
out. That's exactly right. The biggest deceiver I know of... Pat Boone
and all the rest of them. Exactly right. Arthur Godfrey and Pea Picker
Ernie, anybody, if you listen to such stuff as that, it shows that the
devil's satisfying that...?... of Hollywood. All--all that loyalty that
you're spending on rascals like that, you ought to be giving that
praise to Almighty God, for He's a jealous God.
Them guys can stand, and sing songs, and make tears come to your eyes
like crocodiles.
E-63 Listen, I happen to raise
sheep. It takes a real sheep man to know the difference between the
bleat of a wolf and a--a bleat of a lamb and a goat. They both bleat
alike. That has nothing to do with it. If your life don't tally up to
God's Bible, you're still in darkness. Right.
And the most deceitful thing there is in the world is the religious
thing, putting on religion.
We got a guy there in Louisville committed suicide the other day. He'd
go down there, and old rock-and-rolls all night long, and out to big
shindigs, and come on Sunday morning, and preach the gospel on the
radio. It's a disgrace. No wonder sinners don't know what to do. What
do they know what to think. Yes. And they say, "Why, they get results."
God will honor His Word, if it was preached by a prostitute. He'd honor
His Word, but God help that sinful soul that impersonates and tries to
do something like that. Oh, brother. You people, if you've missed the
wolf, God bless your soul.
E-64 And if he can't, he will
throw it down. And just in a few minutes it's picked down. Your morals
will be ruined, sis and brother; you'll never live it down as long as
you live on this earth. No matter how much you forgive...
Here not long ago, a beautiful young woman at the altar, she was
weeping and weeping. And we couldn't get her to accept Christ. And I
went back in a little--in a--in a room and ask her, I said, "What's the
matter, sis?"
I seen she was to be mother. And she told me; she said, "Brother
Branham, I was raised in a Christian home. I--I--I--my father and
mother are Nazarene. And we've been raised a strict life, holiness."
And she said, "I went out with a little boy, at one time, and had a
flask in his pocket. He was very popular. He could dance and... I
didn't want to do such as that. I was raised different." And she said,
"Now, Brother Branham," said, "then the first thing you know, he... I
got a drink of Coke one night, and it was spiked with some kind of a--a
knock-out pill," and said, "I woke up in a motel room, the next
morning. My morals was ruined. And here I am to be a mother."
I said, "God will forgive you, girl."
She said, "Yes, Brother Branham; that's right. He will forgive me, but
this mark I'll carry till the longest day I live." That's right. It'll
haunt you. You'll never look your husband in the face and be right
again. And you'll never look your wife in the face and be right again.
God will forgive you, but that scar is there.
E-65 Listen, when that animal is
grabbed, that little deer, and the wolf would shake it... Now, if the
deer's real smart, if you've ever watched it, the deer could twist real
quick and jump, way sideways, and if the wolf hasn't got too deep a
hold, it'll jerk a big handful out, or big mouthful, rather, out of the
little deer's flank.
Then what must the little deer do, while the wolf's a tumbling and
rolling with this mouthful of flesh? The blood begins to spurt. And
when it does, the deer's got to run for what's in it, everything.
And oh, God, if there ever was a time that women and men ought to run
tonight, run for your life. Run for your life, dear friend. Run for
your life.
E-66 And notice, here's where David got it. Now, my hunter brother in here, whoever you are, you know this; that little deer bleeding like that's got to get to water. I've wounded them myself, shot them, and shot them high or low, one, and watch them... If he ever gets to water, you'll never get him. He will just keep crossing back and forth. He will never leave that water. He will just keep going back and forth, and you couldn't get him if you had to, as long as he could stop and get a good drink, take off across the hill, and come right back and double itself back. You could track him all day long, as long as he can find water, he's--he will stay alive. But keep him away from water, he will die.
E-67 And oh, brother, David
said, "As the hart thirsts for the waterbrook, my soul thirsts after
Thee, oh, God." I must find Him or I'll perish. I've been wounded, and
I must find the waters of Life or I'll perish. "God, I've joined
churches. I've jerked from this and from that, from this snare to the
other." But if you don't find the waters of Life, you'll perish. But
once get into that water, He's there. He will stay, where there is a
fountain of Life, flowing freely tonight in the house of David, in the
city of God. Oh, people, rush, hunger, thirst. "Blessed are they that
do hunger and thirst for righteousness, for they shall be filled."
See, they got to. If you're wounded tonight, if the devil has took a
chunk out of you, and you're thirsting, "What can I do, Brother
Branham?" If Jesus would come tonight...
E-68 Listen, there's not a thing to keep us from being ashes in the morning. That's right. Just a extra drink of Vodka, everything's trained. And one of those bombs, where will it blow? A hundred and seventy-five feet deep, hundred and fifty miles square. What kind of a shelter you going to get into? "There's none." I beg your pardon. There's one. It's made out of feathers, under His wings we will abide. Before that happens, the church will be going home.
E-69 If you've been wounded
tonight, sis or brother, let's come to the fountain now, while we bow
our heads just a moment. Don't try to substitute something for that
thirst. Listen, child of mine, brother and sister of mine. I appreciate
you being a Baptist, Methodist, or Pentecostal or a Nazarene. That's
fine. I appreciate that. But oh, child, listen to an old fashion
preacher that believes God lives and reigns. You'll never be satisfied
till you once drink the water of Life. Then you'll never leave that
fountain again. Come, taste.
While we're waiting, just a moment. "There is a fountain, filled with
blood." Won't you just come to it, right where you're at, in your seat,
now. I want you to be honest. I got to talk to you just in a minute
about something, I feel on my heart. Just now, I'm going to ask you
something. Do you really feeled your need? Is your love still for the
world, you--you really enjoy hearing the things of the world or doing
the things of the world? If you do, will you just raise up your hand?
Now, every eye be closed, please.
E-70 Will you just raise your
hands to Christ, and say, "Christ, I'm thirsting for You. My heart
longs for You like a wounded deer longs for the waterbrook. I want to
be a character, here as an alien, I want to conduct myself like a real
believer. God, let me know that You're my Father, and I want to know
that You're with me tonight. I want to feeled Your presence, just like
the eagle did to his wings, that we talked of. I want to act like the
Negro did, that was a stranger in a strange land, but knowed he was a
king's son. I want to run from the enemy, Lord. I--I've just tearing
loose, tonight. I must find You, God. I'm thirsting; I got to have You
or die." Do you really feel that way about it? If you do, will you just
raise your hand to Him and say, "God, be merciful to me." Just put up
your hand, wherever you are. Say, "Be merciful to me, oh, God. I want
You."
Outside? God bless you. Raise your hand, say, "God, be merciful to me.
I now want Jesus." You mean there's just one person here tonight in
this, nearly a thousand people? Two? Thank you, and God grant the
blessings. Three, back there. Just nearly, I guess, six hundred, seven
hundred people here, maybe, and you mean... God bless you, young
fellow. That's right.
E-71 If you really mean it in the depths of your soul. If your soul is thirsty for God, raise up your hand, saying, "God, really..." "Oh, I'm Pentecostal, Brother Branham. I've received the Holy Ghost. I spoke in tongues. I--I--I danced in the Spirit. I sang in the Spirit." All those things are all right. Brother, I have nothing against that. That's all right. That's God. But wait a minute. If you haven't got that real keeping something...
E-72 A guy come to me, not long ago, and said he'd been to everywhere. He'd went to Billy Graham, and Billy said, "Raise up your hand, you receive Christ." Said, "Billy said, 'It's finished now.'" Said, "I went to the Free Methodist; they said, 'You're not happy enough to shout, you haven't received it.' So then I prayed, till I was happy enough to shout, said, "I didn't receive it." Said, "I went to another evangelist (which I won't call his name, that you know here real well); he told me I didn't have it 'less I spoke in tongues." Said, "I stayed there, and they stayed with me faithfully until I spoke in tongues." And said, "Brother Branham, I still don't have it."
E-73 "I want to tell you something," I said, "Fellow (See?), what did you tell me awhile ago, that you was once a great businessman. You told your wife that went up in the Pentecostal church and got saved." Said, "She got the Spirit on her. She lived a different life." And said, "She went up in Tennessee." He was from Minneapolis. Said, he went up in Tennessee, she did, to a meeting, to a camp meeting. And he had been selling a car, and come back, reached down in his pocket to get the keys to give to a lady, and he found a little ticket, said, "Where will you spend eternity?"
E-74 Said, "After all, I'm past
forty years old. That'll have to be settled." He told his wife he never
cared for God. Said he was only in church once in his life. He threw it
in the trash can. He couldn't get away from it. He picked it up again.
He threw it again, and he picked it up again. He sold his cars and give
it to preachers, trying to find grace with God.
I said, "Sir, you didn't have to sell your cars to give to ministers.
You didn't have to do that." I said, "You've already received Christ."
He said, "Brother Branham, did I receive Him when I spoke with tongues,
or when I shouted, or when I raised up my hands?"
I said, "Neither one. You received Him when He knocked at your door.
What changed you? What made the difference? You were going down a road
one way, not caring for God." I said, "Shouting is all right. Raising
up your hands is all right. Speaking in tongues is all right. They're
all, all right, but it's not all the truth. To receive Christ is to
receive the Person of Christ, to receive Christ. Then the shouting and
speaking in tongues takes place, after that.
E-75 Receive Christ. You could
shout and speak in tongues and not have Him. So if you haven't got that
feeling that makes you feel for your brother, the one that belongs to
the Church of God, and you belong to the Assembly of God, or vice
versa, or to the Oneness, Twoness, Threeness, whatever it might be, to
all the rest of them... If the--if the denominational barriers isn't
broke in your heart, there's something wrong. If you can't give room
for your brother, love him regardless of how he has done or what you
think he is, if you love him, you'll go to him in a loving, kind
spirit. Just love him anyhow. Stay right with him. Just be real salty,
and then he be thirsty to be like you.
That's what I'm talking about, Pentecostal church. That's what we need.
That's the reason we can't have healing services like we ought to.
We've got to have a foundation to lay this on. God can't do it until
the church gets back to the place where it should be. We can't do it,
friend. We got to get life working again. Until you get life, you can't
do nothing.
E-76 The blacksmith can't beat
his material until it gets real red hot. Then he puts it under the trip
hammer. That's where the church needs tonight, is a calling back to
God. We set... A sinner can start to the altar... And I've been in a
many of our Pentecostal meetings, and saints will set and watch him,
saying, "Well, that's very good." Mercy, goodness.
Why, I remember in the old Kentucky Baptist church, an old sinner boy'd
come from the outside or somewhere, he'd never get to the altar;
fifteen or twenty old man'd be right on him like that: "Oh God, how
thankful we are; we've been praying for years for this boy." Sure. They
got him down there in the altar and beat him in the back till he come
through. That's right. We need that again tonight.
E-77 What we need tonight, a
interest. You know, the Holy Ghost only marked those who sighed and
cried for the abominations did in the city. That's what the Bible said.
What if He come to Dallas, tonight? Can you go lay your hand on any
Pentecostal, Baptist, Presbyterian, Lutheran, that cries, and prays,
and fasts, day and night for the sins that's did in Dallas? Think in
your mind now: Is that your house? Or is it your neighbors house? Where
is that fellow? Leave it with you. Think of it now.
Will you raise your hand, saying, "God, give in me, such a hunger for
souls that I can't rest; I have to do something about it. God, let me
thirst for You."
"Maybe the devil has bit me and poisoned me, and I don't know it, but
my soul isn't comparing with that." God bless you, lady. God bless you.
That's good. God bless you, here, lady. That's right. Put up your
hands. Don't be ashamed, certainly not. If you're ashamed of Him... God
bless you, young man. If you're ashamed... God bless you over there,
lady. God bless you back there, sir. That's good.
"If you're ashamed of Me..." What? Who is He? The Holy Spirit, moving
right here in the building. It's Him. All right. Are you finished? I
want to pray. God bless you, young fellow. Pray that God will bless
your little soul, honey, make a great man out of you. God bless you
over there, sister dear, just at the turning point of life, may God
save you.
E-78 With your heads bowed I
want to say this. I had the privilege of going into India a few--about
two years ago. There was a piece in the paper said, "The earthquakes
must be over." India don't have fences and things like you do here in
Texas and around. Their fences are made out of rock. And the day before
the earthquake come, all the little birds that lived in those fences
and rocks and--run out into the woods, flew out. All the sheep and
cattle that stayed around the walls in the shade, went out and stood in
the sun. Why? God was speaking to them. Them walls are going to fall.
And they stayed out there until the second day, and then they all come
in again. And they knowed that was a sign that the earthquakes was over.
If God can speak to a animal, to a little bird to fly to safety, and to
an animal to get out into the middle of the field and get away from the
walls, how much can the Holy Ghost speak to you tonight, "Get away from
this modern Babylon. Get away from all this confusion and--and
so-called religion today. Fly right out into the middle of--of God's
grace. Fly right out into the cross, and hold onto it and say, "Oh,
Jesus save me."
E-79 God can warn animals like
He did in the days of Noah, and He's doing it yet today, He could
certainly warn people that's got the Holy Spirit. And knowing that some
hour, shortly, this America has to receive judgment... If God doesn't
judge America, He will be duty bound to raise up Sodom and Gomorrah and
apologize for burning them up. America is just as low down as Sodom
ever was. And a just God cannot stand that. This is my nation, yes, but
it's rotten to the core.
It isn't Communism that's whupping us. No, no, it's our own rottenness
that's whupping us. It isn't a robin that pecks on the apple that hurts
it; it's the worm at the core. Yes.
[Blank.spot.on.tape--Ed.] Fear that, raise your hand
now, say, "God be merciful to me. I now want to come." God bless you,
sir. Once more, we're going around from right to left. Raise your hand.
Say, "Remember me, Brother Branham, as you pray." God bless you, little
fellow, here. God bless you. God bless you back there, you, yeah,
there's a dozen or two hands back. God bless you. Round over here to
the left. Now, way back there. Yeah, there the--the colored folks there
back at the back, on behind there. God bless you, way on back there.
God be with you. My Mexican friends, God bless you. All right, let us
pray.
E-80 Now, just--just a humble
and sweet way, I want you to just keep bowed. And in your heart say,
"Now, Lord, here I am. I'm wounded, and I've got to come to the water.
I must find You, Lord. My soul's thirsting."
Lord, take the--the gatherings; it was around, maybe a hundred hands,
or maybe not that many, but quite a few hands was raised up. They're
little tokens of this message tonight. And they've come and raised
their hands, and I believe to the--with the integrity of their heart.
You know it, Lord, that they love You. And they're--they're ashamed of
the life and the things that they've neglected, and they want to come
to You. God, let the Holy Spirit come right down to their soul just
now. Speak sweetly and peacefully to them, say, "Child, though your
sins be like scarlet, they shall be white like snow; red like crimson,
white like wool. Grant it, Lord.
E-81 Now, You've said that, "He that comes to Me, I will in no wise cast out. And again, it's written, "No man can come, except My Father draws him." What does this mean? That God is here in this building, speaking to individuals, and they're raising their hands to accept Christ. Now, God, You'll give them to Christ, Your Son, and they're love gifts. "No man can pluck them from Your hand." Grant it, Lord. If I never shake their hand in this world, may I be able to do it when we cross over. Someday when life is all over, the great wedding supper comes, and the great tables are set, and we look across the table, I hope to hear someone say, "Brother Branham, I was in Dallas that night," and the tears running down our cheeks. The King will come out and wipe all tears from our eyes, say, "Don't cry any more, children. It's all over now. Enter in to the joys of the Lord." God, we long for that day. Keep them, Lord, in Thy perfect grace, until we see Him, in Christ's Name, Amen.
E-82 I'm so sorry to keep you
late, it's ten o'clock. I'm sorry to be this late. How many loves the
Gospel? I never claimed to be a preacher. I'm just kind of a spare
tire, and I've--you use a spare tire when you got a flat. But we
haven't got a flat. You see that. But we've got plenty of good tires,
but I--I've come to just speak. And it's the first time I've had this
kind of a meeting for some time.
But I was struck today when my--one of my associates, Mr. Mercier, was
telling me that people were sleeping in these bushes around here,
waiting for prayer service. Is that true? How many come for a healing
service, let's see your hands? And come, wanted me to pray for you?
Raise up your hand.
E-83 I want to tell you
something. The reason I taken this meeting, as you seen it advertised,
just preaching only, I just come from a thirty day meeting. I'm so weak
and tired: those visions almost kill me.
There's great man, right on this platform tonight, broke down. Look at
Tommy Hicks now. See? One breakdown right after another. Look at the
men go off the field. And I don't know of any of them seen visions.
It's what kills you. That's the reason I did it. I did it like that,
friend. That was my purpose for the next three meetings: just to
preach. That's what I come to do.
E-84 But when I heard today... I
was over in... My little Indian friends lives right in the same motel
down here with me, when they was setting here and sick. I knew it. I
couldn't let them go back like that. They come all the way from way
over in the country there. They just heard that I was going to be here.
And they said, "We thought you'd pray for the sick." Just enough money
to stay two nights. I didn't have enough to give them at the time. I'm
a poor man, and I--I don't...
You know yourself, I never took an offering in my life. Don't intend
to... God's grace. See? People give me a little something now and then,
it's... I never... I don't come for that. God's knows I'm clear and
clean of that. That's right. And I'm... If there's ever anything I had
left over, I send it just as straight to the missions as I could. God
knows the truth. See? I don't have much money. But when Mr. Mercier
told me, he said, "There's people that's right here in this... sleeping
in these bushes around here at night time in cars. Brother Branham,
they want you to pray for them.
E-85 I didn't know that. If
that's right and you desire me to, we start tomorrow night in healing
services. We'll start having healing services. I'd be glad to do it.
Just perfectly all right. I'm willing to minister, do anything that I
can to make life happier and better for you. See?
And I appreciate all my ministering brethren and so forth here. We'll
help. And if the Lord's willing, tomorrow night, how many would like to
have a healing service like the old fashion healing services? Raise
your hands. I don't care who you are, just... All right. That gives a
witness to me in my heart that God wants me to do it then. All right.
E-86 And tomorrow afternoon I'll
send Billy over, give out some prayer cards, and tomorrow night after
the message is over, we'll pray for the sick. And if I get tired and
fall out, I got plenty of backing up here that'll help me.
You love Him? God bless you. Now, this requires an absolutely, to
myself. Visions... How many was ever in one of my meetings? Let's see
your hands. How many's never been in one? Let's see your hand. Twice as
many has never been. All right. May the Lord grant...
Now tomorrow, here what you do: get on the phone, go to bringing your
sick and afflicted. You'll see the Glory of God. See if He isn't as
much Healer as He is Saviour. See if He is just as mighty in battle as
He is when He's out of battle. He's the same Lord God. Do you love Him?
Say, "Amen." I'm glad that I can hear you say that. Now, God bless you.
E-87 Let us bow our heads just a
moment. I'm going to ask, "How many wants to be remembered in prayer
for other things of, maybe a closer walk and whatevermore. Raise your
hands, will you?
What time is your afternoon services tomorrow? One-thirty. Well, I'll
see if Billy's got some cards. If they haven't, we'll get some or give
you something or other. Well, you're already got some? Well, that's
fine. All right. Just so we can keep the people lined up.
All that has a need of God now, of any way at all, raise your hands to
Him and say, "God, I love You." as you do. "God I love You." With our
head... I ask Brother Vinyard, here now if he will...