La Résurrection de la fille de Jaïrus

Date: 54-0302 | La durée est de: 1 hour and 23 minutes | La traduction: Shp
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1 Bonsoir, mes amis. C’est pour moi un grand privilège d’être ici ce soir, dans cette vallée ensoleillée, pour représenter Jésus-Christ, le Fils de Dieu, devant cet auditoire de croyants, par la prière pour les malades et la manifestation de Sa Présence. Et nous prions Dieu d’accomplir ce soir infiniment au-delà de toute mesure, des choses plus glorieuses que celles qu’Il a accomplies dans les réunions passées, et cela pour Sa gloire.
Ça a été certainement merveilleux, ces deux journées de réunion que nous avons déjà eues. Aujourd’hui, je me disais qu’au mieux de mes souvenirs, cette vague d’enthousiasme spirituel, à Phoenix, s’élève plus haut que celles que j’aie jamais connues, en n’importe quel moment, même quand j’étais ici pour la première fois. Voyez ?
Vous êtes apparemment sur le point d’avoir un grand réveil. Je prie Dieu que ça commence maintenant. Il y a deux grands end–endroits remarquables où les gens sont en masse, dans la ville ce soir, à ce que je sache ; il y a deux réunions d’évangélisation, beaucoup d’églises qui prient.

2 Je vais vous livrer un petit secret. Peut-être que vous ne le savez pas, mais c’est vrai. Il y a deux femmes qui sont cachées (des chrétiennes), et elles n’apparaîtront pas avant la fin de la réunion. Elles ne mangent point, ne font rien, elles prient pour moi pendant que je suis sur cette estrade. Ça fait maintenant sept jours qu’elles sont là, priant pour cette série de réunions.
C’est ce qui produit ces résultats. Que Dieu res… bénisse leurs vaillantes âmes. Pendant qu’elles jeûnent et prient afin que Dieu nous accorde la victoire… Il le fera certainement. Il sera obligé de le faire, si seulement nous le Lui demandons et croyons qu’Il le fera.
Ce soir, je suis content, ce soir, d’avoir une fois de plus avec moi frère Jack Moore et frère Young Brown, qui étaient mes premiers associés à être avec moi ici à Phoenix, la première fois que j’y suis venu. Et ce sont certainement deux braves frères. Je ne le dis pas parce qu’ils sont ici. Et vous savez ce que j’ai toujours dit.
Des hommes qui représentent beaucoup pour moi dans la vie et dans ma carrière spirituelle, des hommes qui croient totalement en Dieu, qui croient qu’Il est capable, qu’Il est disposé et qu’Il fera tout ce qui doit être fait… Tout ce que Son peuple désirera et demandera, Il le fera. Et cela me console beaucoup.

3 Je me demande où se trouve la petite chorale espagnole. Aujourd’hui, j’ai dit à frère Moore que, l’autre soir, ils avaient chanté pour nous. Et je vous assure, cela allait… Nous aimerions assurément les photographier pendant qu’ils chantent. Je leur ai dit qu’ils avaient un peu progressé et s’étaient améliorés dans leurs chants, les petites filles et les petits garçons de la chorale. Et c’est certainement merveilleux. Nous apprécions cela.
Juste quand j’entrais, tout à l’heure, frère Moore est revenu me dire : « Deux dames venaient de chanter, a-t-il dit, on se croirait au Ciel par ici. » Ah ! C’est merveilleux. Je… Quand je serai de l’autre côté… J’ai toujours dit aux gens que s’ils veulent me retrouver, eh bien, ce sera juste là où coulent les eaux, la mer de la Vie qui sort d’en dessous du Trône, vous savez… Quand elle descend dans cette direction-ci, puis tourne vers l’est, juste de l’autre côté, sur ce grand virage, là se trouve cette chorale d’anges. Ils chantent tout le temps ; en effet, il n’y a pas de nuit. Ils chantent, toutes ces belles voix qui étaient sur cette terre, qui se sont rassemblées là, chantent des louanges à l’Agneau sur Son Trône. Je serai assis juste en face, sur l’autre rivage, les écoutant. Vous–vous pourrez donc me chercher là. C’est là que vous me trouverez.

4 J’aimerais bien m’asseoir sous cet arbre toujours vert, me détendre tout simplement pendant quelques milliers d’années, rien que pour contempler tout cela. Ne sera-ce pas merveilleux ? Cela peut paraître un mythe, mais peut-être que ce ne sera pas exactement ainsi, mais de toute façon, par la grâce de Dieu, j’aimerais être là. Oui, j’aimerais y être.
Et je crois que par Sa grâce, la grâce imméritée, que j’obtiens de mon propre… ce n’est pas la mienne propre, celle qu’Il m’a accordée sans que j’aie eu à présenter des mérites, je serai là. « Car ceux qu’Il a appelés, Il les a choisis. Et ceux qu’Il a–qu’Il… Ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés. Et ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés (déjà). Et quand cette tente où nous habitons sur terre sera détruite, nous en avons déjà une autre qui attend. » Amen.
Juste devant Lui ce soir, à Ses yeux, nous sommes déjà glorifiés : « Ceux qu’Il a justifiés, Il les a (au passé) glorifiés. » Et ce qui fait de vous un chrétien, c’est que… qui vous fait ardemment désirer cette perfection, c’est parce que la perfection est placée juste là, cet autre corps glorifié. Quand vous quittez celui-ci, vous entrez dans l’autre.
N’est-ce pas merveilleux ? De quoi avons-nous alors peur ? Croyons simplement, et puis, le Maître de tout cela a dit : « Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. » Rien ne peut nous nuire. On est tout aussi paisible que des petits enfants qui jouent. Juste… Nous avons un Père céleste qui veille sur nous. Et tout ce qu’Il voit dont nous avons besoin, Il nous l’accorde.

5 Autrefois, je me débrouillais tout seul, mais depuis que j’ai découvert en Lui mon Père, eh bien, c’est Lui–Lui qui agit pour moi. J’ai vu cela pendant mes vingt et un ans d’expérience dans la prédication de l’Evangile : tout travail du Seigneur qui est trop grand pour que je l’exécute, à quoi me sert-il de l’essayer? Je Le laisse simplement s’en occuper, ainsi… Voyez ? Je le Lui confie simplement. Il a promis de prendre soin de moi. Quand l’opposition surgit, je la Lui confie simplement. En effet, Il a dit qu’Il s’en occuperait pour moi. Et s’Il ne peut pas le faire, je sais que c’est inutile pour nous d’essayer cela. Ainsi, nous vivons en toute quiétude et nous allons de l’avant. Il s’en occupe bien. Ça ne sert à rien de se tracasser et de se mettre dans tous ses états à ce sujet. Eh bien, Il va tout arranger. Amen.
Je L’aime pour cela, pas vous ? Lisons une portion de Sa précieuse Parole, ainsi je ne serai pas en retard à la réunion du soir. La raison pour laquelle je lis chaque fois Sa Parole, c’est que je sais… Si je lis un seul passage des Ecritures à cet auditoire, les Rachetés par Son Sang, ici dans Sa Parole, si vous ne recevez que ça, vous serez bénis d’être venus ici.

6 Et ce que je lis ici, c’est Sa Parole. Elle ne changera jamais ; Elle ne passera jamais. Elle est éternellement vraie. La mienne peut faillir, car je ne suis qu’un homme, je parle comme tout autre homme, je commets des erreurs et tout. Mais quand Lui parle, prenez garde à Ses Paroles ; c’est la vérité. Voyez ?
Et Ceci est Sa Parole. Avant tout, Ceci est–Ceci est le Fondement. Et chaque église, chaque personne née de nouveau est bâtie sur ce Fondement, Jésus-Christ, la Pierre Angulaire. Et Il est la Porte, la Porte d’accès à toutes les bénédictions éternelles. Il est la Porte, la Porte de la bergerie.
Et cette Bible est Sa Parole. Et si un homme, une femme ou n’importe qui affirme quelque chose de contraire à cette Bible, cela est faux. C’est ça. C’est absolument faux. Mais si un homme parle et que cela se fonde sur cette Bible, alors c’est la vérité. Chaque Parole de Cela est vraie.

7 Et j’ai essayé, avec l’aide de Dieu, d’exercer le ministère que le Seigneur Jésus… de Le présenter aux gens sur un Fondement de base solide, la Parole éternelle de Dieu. Cela doit se retrouver ici.
Si je venais vous dire que–que Dieu m’a donné le pouvoir d’aller faire voir les aveugles et faire entendre les sourds, ce serait contraire à Sa Parole. Voyez ? Si je vous disais que–qu’en touchant ce poteau là-bas, vous serez guéri, ce serait contraire à Sa Parole. Voyez ?
Mais quand je viens prêcher l’Evangile, l’Evangile, c’est la Bonne Nouvelle que Jésus est venu, nous a rachetés, Il est mort à notre place, Il est monté au Ciel et s’est assis à la droite de la Majesté divine, intercédant sur base de notre confession ; c’est ça l’Evangile. Voyez ? Que fait-Il ? Il intercède sur base de notre confession.

8 Peu importe le degré de la faiblesse, la gravité de la maladie, la profondeur du péché, l’état de la situation, Il est là pour intercéder sur base de ce que nous confessons qu’Il a fait pour nous. Et tout ce qui est compris dans l’expiation… « blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris », toutes ces choses, ces attributs de Sa mort que nous recevons dans notre coeur, que nous croyons être la vérité et que nous confessons qu’Il a fait cela, avant donc qu’Il… que nous ayons senti quoi que ce soit à ce sujet, Il se tient devant Dieu pour arranger cela, pour intercéder.
Si j’étais paralysé et que je croyais dans mon coeur qu’Il m’a guéri, je confesserais que je suis guéri. Quand bien même je ne pourrais pas bouger un–un muscle, je ferais… et si je le croyais, je confesserais que je suis guéri.
Et alors, selon… Si je suis sincère dans mon coeur, pas juste embrouillé dans mon esprit, mais si je suis sincère là-dessus du fond de mon coeur, Il intercède devant Dieu sur base de ma confession. C’est vrai. Et Il doit accomplir cela. Pensez-y tout simplement.

9 Maintenant, dans Sa Présence… Voyez ? Hébreux 3.1 dit : « Il est le Souverain Sacrificateur de notre profession. » Professer et confesser, c’est la même chose. Professer quelque chose ou confesser quelque chose ; confesser signifie dire la même chose.
Si Dieu a dit : « C’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris», alors moi, je dis : « C’est par Ses meurtrissures que j’ai été guéri. » Il dit : « Il a porté mes péchés », je dis : « Il a porté mes péchés. » Je ne les ai plus ; Il les a portés. Il dit qu’Il m’a guéri quand Il était mort pour moi au Calvaire, étant meurtri. » Je dirais : « Il m’a guéri là. Je le crois maintenant même et je l’accepte. » Ça règle la question.
Et maintenant, peu importe ce que je sens, comment ils–ils… cela paraît… Si je disais : « Eh bien, maintenant, écoutez. Vous dites que vous êtes guéri et que vous avez bonne mine, regardez votre corps. » Cela n’a rien à faire avec la chose, rien du tout. Dieu l’a déjà dit. Il ne s’agit pas de ce que je vois, il s’agit de ce que je crois.

10 Une fois, j’étais tombé si gravement malade que je n’arrivais pas à conserver une bouchée de nourriture dans mon estomac ; les meilleurs médecins du pays qui m’avaient examiné ont dit : « C’est impossible pour lui de se rétablir. » Et j’ai lu la Parole de Dieu. J’ai demandé à Dieu de me venir en aide.
Alors, j’ai mangé du pain de maïs, des haricots et des oignons. Et j’en ai pris une bonne bouchée, et ma mère a eu peur et a fait venir le médecin. J’ai avalé cela et alors cela est directement remonté. J’ai gardé la main sur la bouche. Oh! non. Ça ne peut pas se faire. Dieu l’a déjà dit.
Alors, j’ai ravalé cela ; c’est remonté ; je l’ai de nouveau ravalé, j’ai simplement continué jusqu’à ce que c’est resté en place. J’ai pris une autre bouchée et j’ai continué comme cela. Jour après jour, je marchais dans la rue, j’étais obligé de me tenir l’estomac avec la main, ça me faisait très mal, je louais Dieu pour ma guérison. Les larmes me coulaient des yeux et un tel soufre… je souffrais terriblement.
Certaines personnes me demandaient : « Comment vous sentez-vous, monsieur Branham ? »
Je répondais : « Merveilleusement bien. Gloire au Seigneur. Je suis guéri. »
« Vous êtes guéri ? »
Je répondais : « Oui, oui. Gloire au Seigneur, je suis guéri. » Juste comme d’aplomb. Pourquoi ?

11 Quelqu’un a dit : « Vous mentiez, Frère Branham. » Non, jamais. Je crois que quand Jésus est mort, Il m’a guéri. Et j’ai accepté cela. Il devait en être ainsi. Je ne confessais pas mes sensations; je confessais ma foi. Je crois que Sa Parole est la Vérité éternelle ; Elle ne peut pas passer. C’est la Vérité absolue. Et je… Mes sensations n’avaient rien à faire avec la chose. C’est vrai.
C’est ainsi que je L’accepte pour mon salut. Je ne suis pas sauvé ce soir du fait que je me sens heureux. Ce n’est pas à cause de cela que je suis sauvé. Je ne suis pas sauvé du fait d’avoir crié. Je ne suis pas sauvé du fait d’avoir parlé en langues. Cela ne me sauve pas. Ce soir, je suis sauvé pour avoir satisfait aux exigences que Dieu a données dans la Bible. C’est vrai.
Dieu l’a dit, et c’est ma foi. Je crois que je suis sauvé parce que j’ai fait ce qu’Il a dit. Jésus a dit : « Quiconque écoute… Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » Je le crois. C’est sur cette base-là que je l’ai accepté. C’est réglé. Je suis sauvé.
Satan peut vouloir me faire hésiter par mes sensations. Un homme ivre peut entrer et dire : « Je me sens tout aussi bien que vous. » C’est probablement vrai. Mais il n’a pas foi dans ce que moi, j’ai. Voyez ? Je suis sauvé, parce que… non pas parce que j’éprouve ce sentiment. Je suis sauvé pour avoir satisfait aux exigences de Dieu. Et c’est de même que vous êtes guéri.

12 Comme cette petite histoire que j’ai souvent racontée, l’une des plus grandes choses, les ennemis de Dieu… ou de la race humaine (Et… de Dieu ; tous vos ennemis sont Ses ennemis, bien sûr), c’est le temps contre lequel on lutte. Un homme me dira : « Prouve-le-moi et je le croirai. Je ne peux pas le croire si je ne le vois pas. Voir, c’est croire. » Vous avez entendu cela. Permettez-moi juste de vous montrer quelle erreur est-ce. (Venez ici, Frère Brown.) Permettez-moi de vous montrer cette erreur.
Devant moi se tient un homme un peu plus élancé que moi, en costume bleu et en cravate bleue. Combien croient cela ? Assurément, tous ceux qui voient savent que c’est vrai. Eh bien, c’est par ce moyen que je sais qu’il est là. Eh bien, je sais qu’il est là maintenant, mais je ne le vois pas. Donc, voir n’est pas croire, n’est-ce pas ? Comment est-ce que je sais qu’il est là ? Je peux le toucher, est-ce vrai ? Donc, voir n’est pas croire. Voulez-vous me dissuader qu’il n’est pas là ? C’est…
Je suis sûr qu’il est là tout autant que s’il se tenait ici et que je le voyais. Voyez ? En effet, il est là ; je l’ai touché.
Maintenant, il m’est impossible de le toucher, il est hors de ma portée. Mais il est là ; en effet, je le vois. (Merci.) La vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe, Dieu a donné ces sens à l’homme pour qu’il entre en contact avec sa demeure terrestre. Mais c’est par la foi que vous croyez en Dieu.

13 Eh bien, qu’est-ce que la foi ? « La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. » Vous direz : « Cette chemise est blanche. » Oui. Eh bien, alors, si votre foi déclare que vous serez guéri (tout aussi sûr que vous êtes… tout aussi vrai pour vous et tout aussi réel que votre vue déclare que c’est blanc), ça ne sert à rien qu’on prie pour vous, vous êtes déjà guéri. C’est ça. Vous pouvez rentrer chez vous, vous serez donc rétabli. Vous ne pouvez pas ne pas l’être. Voyez ?
Ce n’est pas juste une émotion ; ce n’est pas quelque chose de mystique ; c’est une réalité, une vérité. La vue faillira. La foi… Tout, sauf la foi, faillira. La foi ne peut pas faillir (Voyez ?), car elle entre dans des sphères surnaturelles et elle ne peut pas faillir.
Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Méditez ces choses pendant que je lis un chapitre dans Sa Bible, ici, et que je fais peut-être quelques commentaires, pendant à peu près les quinze prochaines minutes. Puis, nous aurons la ligne de prière. Gardez ceci à l’esprit. La Parole de Dieu ne faillira jamais.
Peu importe combien vous… Si vous avez accepté la mort, étant assis là, estropié là dans ce fauteuil… Si vous acceptez les enseignements du Seigneur Jésus et que vous L’acceptez comme votre Guérisseur, et même si on vous faisait sortir d’ici ce soir dans ce fauteuil, c’est pareil, cela n’aura rien à faire avec la chose, vous serez néanmoins guéri. Absolument.

14 Beaucoup de gens pensent que les symptômes… Quand ils voient des symptômes, ce–c’est ce qu’ils considèrent. Vous ne pouvez pas être sauvé sur base de ce que vous voyez. Vous devez être sauvé sur base de ce que vous croyez. Est-ce vrai ? Vous n’êtes pas sauvé par les sensations ; vous n’êtes pas guéri par les sensations.
Eh bien, quand je venais d’être converti et que j’ai reçu le Saint-Esprit, le diable m’a durement combattu, plus que jamais. Je continuais à croire que j’avais le Saint-Esprit. En effet, j’avais satisfait aux exigences de Dieu. Et Dieu m’a donné le Saint-Esprit, et je sais qu’Il l’a fait. Voyez ?
Eh bien, c’est la même chose. Eh bien, prenons l’exemple d’un homme dans la Bible (je ne vais vous donner que celui-là avant de lire). Il y eût dans la Bible un homme qui avait réellement un cas affreux de symptômes. Et cet homme s’appelait Jonas. Le Seigneur lui avait dit de faire quelque chose et il ne l’avait pas fait, alors il avait rétrogradé. Et il est parti par mer, et la mer mugissait sans cesse, et–et le bateau était sur le point de sombrer parce qu’il y avait à bord un ministre rétrograde.

15 Et il a confessé que c’était lui le coupable. Il n’a pas voulu que toute l’assemblée périsse avec lui. Ils lui ont donc lié les mains derrière et l’ont jeté hors du bateau. Dieu était déterminé à ce que Sa Parole soit malgré tout prêchée. Et un gros poisson, ou une baleine, engloutit Jonas.
Et alors que ce poisson, quand il rôde dans ses… les eaux jusqu’à ce qu’il trouve… ce qu’il est… de la pâture. Ensuite, il descend au fond reposer ses nageoires, au fond de la mer. Nourrissez vos poissons rouges et observez-les faire de même.
Eh bien, maintenant, considérez ce prédicateur maintenant. Il s’est retrouvé, rétrograde, sur une mer agitée, les mains liées derrière lui, dans le ventre d’un gros poisson, au fond de la mer. Vous parlez des symptômes ! Il en avait. Qu’il regarde par ici, c’était le ventre du gros poisson. Qu’il regarde par-là, c’était le ventre du gros poisson. Peut-être qu’il était assis là, dans le ventre du gros poisson, et les algues enroulées autour de son cou dans cette vomissure du gros poisson. Il… De chaque côté qu’il se tournait, c’était le ventre du gros poisson. Et son cas était pire que celui de n’importe qui ici ce soir. Eh bien, il a considéré tout cela, mais il… Qu’avait-il dit ? « Ce sont des vanités mensongères. » Il a dit : « Je verrai encore Ton temple, Seigneur. »

16 En effet, quand Salomon a consacré ce temple-là, la Colonne de Feu est allée s’installer au fond de ce temple ; Salomon a demandé à Dieu que, si Son peuple connaissait des troubles quelque part et qu’il priait, les regards tournés vers ce temple, qu’Il l’exauce alors du haut des Cieux.
Et Jonas croyait que–que Dieu avait entendu la prière de Salomon. Et vous savez quoi ? Dieu l’a gardé en vie pendant trois jours et trois nuits, puis Il l’a directement ramené et l’a délivré ; Il l’a débarqué à Ninive pour prêcher l’Evangile.
Eh bien, Jonas, dans ces circonstances, a pu refuser de considérer le ventre du gros poisson, il a pu refuser de considérer sa condition de rétrograde, mais par la foi, il a regardé au-delà de cette mer agitée, de sa condition de rétrograde, des profondeurs de la mer, du gros poisson, de sa condition et de l’endroit où il se trouvait ; il a dit : « Je verrai Ton saint temple... » Et Dieu l’a délivré sur base de cette foi dans ce temple terrestre. A combien plus forte raison vous… devriez-vous ce soir refuser de voir votre gastrite, votre maladie du coeur, quoi que ce soit, et regarder au-delà du voile là-bas, là où Jésus-Christ est assis à la droite de la Majesté divine, portant Ses vêtements ensanglantés flottant au vent, intercédant sur base de votre confession. Oh ! la la !
Refusez simplement de considérer tout ça. C’est le diable qui vous l’a apporté. Rejetez-le-lui droit en face et éloignez-vous-en. Refusez simplement d’avoir cela. C’est ce qu’il nous faut faire. Est-ce vrai ?

17 Maintenant, dans les Écritures, Luc, chapitre 8, verset 50 : Mais Jésus, ayant entendu cela, dit au chef de la synagogue : Ne crains pas, crois seulement, et elle sera sauvée. Inclinons la tête pendant que nous parlons à l’Auteur de cette Ecriture.
Bienveillant Père céleste, nous nous approchons de Toi au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus, pour Te remercier des bénédictions que Tu nous as accordées, à nous, des gens indignes. Et Tu nous as complètement rachetés par grâce. Par l’élection de Dieu, Tu nous as appelés à cette espérance bénie que nous avons ce soir en Jésus-Christ.
Et nous Te rendons grâce pour cela. Et maintenant que nous sommes rassemblés ce soir dans cette belle et grande ville, nous Te prions de descendre parmi nous. Il n’y a aucun bâtiment sur terre qui soit digne que Tu y entres. Il n’y a aucun peuple qui soit digne que Tu lui parles. Mais ce n’est pas ça que Tu as considéré.
Tu es venu chez les plus pauvres, chez les gens de basse classe, les ignorants, les rejetés, et nous Te rendons grâce car nous sommes contents de ce que Tu es un tel Dieu. Que pourrions-nous faire si Tu étais hautain et indifférent ? Mais Tu n’es pas–pas ce genre de Père. Tu es doux et aimable, Tu pardonnes. Et cela fait que nous T’aimons davantage.
Maintenant, Père, Tu ne nous frappes pas comme Tu frappes un serpent cruel, mais Tu nous aimes d’un amour dont seul le Père peut aimer. Pardonne-nous, Seigneur, nous sommes tous coupables de péché et d’indifférence à Ton égard. Et puisse Ton sang faire expiation pour nous ce soir.
Et pour ces quelques mots qui vont suivre, circoncis les lèvres de l’orateur et les coeurs des auditeurs, afin que Jésus-Christ puisse être exalté devant l’auditoire, car nous le demandons en Son Nom. Amen.

18 Notre texte de ce soir porte évidemment sur la résurrection de la–de la fille de Jaïrus.
Notre doux et aimable Sauveur avait pris beaucoup de temps juste avant ceci. Il était tout le temps occupé, allant d’un endroit à un autre, traversant les mers, calmant les vagues, restituant aux fous leur bon sens. Il était toujours occupé aux affaires du Père. Il était un Fils très humble, obéissant même jusqu’à la mort.
Une nuit ou deux avant cela, Il traversait la mer et les disciples étaient très épuisés ; et Il calma la mer pour eux, Il traversa jusqu’à Gadara, là où se trouvait un fou, courant le risque de traverser une mer agitée alors que les démons de la mer avaient juré de Le noyer cette nuit-là.
Mais Il est allé là pour répondre au cri d’une seule personne. Un fou misérable qui avait perdu la tête, peut-être qu’autrefois il avait été un homme de bien, qui avait une bonne conduite devant Dieu, mais qui, probablement, a eu de mauvaises fréquentations. Peut-être qu’il s’est mis à boire ou quelque chose comme cela, il a perdu la tête. Et il avait sa demeure dans les sépulcres, là où restaient des démons. On l’avait lié avec des chaînes, et il avait une force surnaturelle. Il brisait ces chaînes, sautait sur des hommes, les battait et les tuait si possible, quand ils passaient.
Et ce pauvre homme, peut-être qu’il avait une vieille mère grisonnante, quelque part, qui priait pour lui. Jésus a traversé la mer et est allé jusqu’à Gadara pour accorder la miséricorde à un seul homme.
Il fera de même ce soir. Là où il y a une seule âme humble qui L’invoque, Il traversera les mers ou quittera les Cieux pour répondre à cette prière. C’est le même Jésus hier, aujourd’hui et éternellement.

19 Il a gravi la montagne avant ce moment, et Il a observé le petit bateau alors qu’il s’élançait sur l’océan. Les disciples avaient quitté le rivage. Et ils étaient partis sans Lui. Ils ont eu des ennuis.
Vous savez, avez-vous déjà vu cela ? Si vous et moi partons sans Jésus, nous aurons aussi des ennuis. Le diable nous tendra un piège aussitôt que nous quittons l’abri de Sa protection.
Le diable a tendu un piège à Jésus… aux disciples. Mais voilà le côté positif : quand bien même ils étaient partis sans Lui, Il était monté sur une montagne et veillait sur eux. J’aime ça.
Ce soir, Il est monté sur les remparts de la Gloire et veille sur nous. Son oeil veille sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi. Il a dit que même un passereau ne pouvait pas tomber par terre sans que le Père le sache.
A combien plus forte raison Il sait que cet homme est sur le fauteuil roulant, que ce petit bébé est couché là, que la dame assise là souffre du cancer et ainsi de suite ! Oh ! Il sait tout, Il connaît tout. Il est intéressé au possible. Il connaît tout.

20 Et alors, quand Il est venu vers eux… Nous remarquerons que là, sur l’autre rivage, se trouvait un–un petit homme du nom de Jaïrus. Et c’était un petit homme sympathique. Je pense que Jaïrus croyait en secret. Il ne voulait pas que les gens le sachent.
Des gens comme ça, il y en a beaucoup ici à Phoenix ce soir, ils se seraient retrouvés ici même dans cette réunion si le pasteur n’allait pas les chasser de l’église le dimanche pour être venus. C’est vrai. Ils croient la chose, mais ils ont peur.
Jaïrus aussi croyait, mais il avait peur. Il croyait. Mais quand il a entendu parler de Jésus, des oeuvres qui étaient accomplies, de ce que Jésus était différent des autres, il avait reconnu que c’était le Serviteur de Dieu, le Fils de Dieu. Jaïrus savait que Jésus devait être plus qu’un homme. Et il croyait au ministère, quand bien même il était totalement lié par une organisation au point qu’il ne pouvait pas bouger. En effet, on avait formellement ordonné que quiconque entendrait ce fanatique serait… il pouvait tout aussi bien prendre sa carte de membre et s’en aller. En effet, vous serez excommunié de la synagogue, étant considéré comme hérétique.
Ainsi, vous savez, quiconque a une profonde sincérité comme Jaïrus, parfois Dieu est obligé de faire des choses pour amener quelqu’un à devenir croyant, à se présenter et à confesser certaines choses. Ne le croyez-vous pas ? Il le fait.

21 Il avait une fillette d’environ douze ans. Elle tomba malade. Et comme le ferait pratiquement tout le monde, il fit venir le médecin, je suppose. Et le médecin consulta l’enfant et dit : « Eh bien, peut-être que je vais lui donner des médicaments. »
Et le lendemain, il est revenu, et l’état de l’enfant s’empirait et ne faisait que s’empirer tout le temps. Je m’imagine Jaïrus se dire, là-bas, au fin fond de son âme : « Je me demande où se trouve Jésus. Si je parviens à Le trouver, vous savez… »
Mais c’est comme ça que beaucoup de gens pensent. C’est vrai. « Je–je crois réellement cela, mais je… à cause de mon prestige dans la société, je ne peux absolument pas confesser cela comme ça. » Le monde est plein de pareilles gens ce soir. On regarde aux hommes, on a peur des hommes. « Ne craignez pas les hommes qui peuvent tuer le corps, mais craignez Celui qui peut tuer et l’âme et le corps. » Ne vous souciez pas de ce que les gens disent.

22 Il y a beaucoup de gens qui ont…?… en ville et on les retrouve ce soir roulant dans de très belles Cadillac et tout, à la page, dans ce qu’on appelle la haute classe du monde ; ils aimeraient avoir l’expérience de l’un de ces pauvres bien-aimés assis ici ce soir, qui, peut-être, ne savent même pas d’où leur viendra le repas de demain. Ils aimeraient avoir ça. Mais à cause de leur standing social…
Voyez quelle malédiction apportent l’argent ainsi que les richesses. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit : « Un riche peut difficilement entrer dans les portes du Ciel. » C’est comme pour un chameau qui passe par le chas d’une aiguille, il doit se décharger, se mettre à genoux et ramper. Il peut y arriver, mais il doit d’abord se décharger.

23 Jaïrus… L’heure était finalement arrivée où le médecin sortit, parla à Jaïrus, disant : « Jaïrus, tu es un sacrificateur ici au temple et un brave homme. Je t’apprécie, et j’ai été ton médecin pendant plusieurs années (C’est peut-être ce qu’il a dit.), Et je suis désolé de te le dire, mais ton enfant va mourir. »
« Oh ! la la ! Elle va mourir ? »
« Oui. » Et tout le monde s’est mis à pleurer.
Eh bien, c’était le moment d’agir, non pas : « J’attends revoir Jésus », ou : « J’attends le moment favorable », ou : « Un soir, j’irai furtivement pour L’écouter. » Mais le temps d’agir était arrivé.
Si jamais il y a eu un temps pour agir, c’est maintenant. Minuit a sonné. Vous devez agir. « Je dois L’atteindre. »
Peut-être que quelqu’un lui avait déjà dit que Jésus venait. Quelqu’un vous a-t-il déjà dit cela, « Jésus vient » ? Au même moment, Jésus traversait la mer, se dirigeant vers lui. Dieu place toujours Ses hommes là, au bon moment. Juste… si vous croyez en Lui. Est-ce vrai ?

24 Je le vois donc prendre son petit manteau, l’enfiler, tirer son chapeau vers le bas ou quoi que ce soit qu’il avait, et s’engager dans la rue. J’entends l’un de ses fidèles dire : « Où vas-tu ? »
« Je vais voir Jésus. »
« Eh bien, alors, écoute ça. Ne jette pas l’opprobre sur notre église, en perdant le temps avec un tel fanatique. Ne sais-tu pas que le souverain sacrificateur a dit qu’il chasserait tous ceux qui iraient Le voir ? Eh bien, au prochain concile général, nous, la petite église, nous te chasserons. » Cela existe encore. « Nous tiendrons notre prochaine réunion ; nous veillerons à ce qu’on ait un autre pasteur. Nous ne pouvons simplement pas supporter ce genre d’histoire dans notre église. »
Mais Jaïrus avait un besoin. Son enfant était couchée là, mourant. Le médecin avait fait tout son possible. Il devait contacter Dieu. Quand un homme est poussé à bout comme cela, il va trouver quelque chose. Alléluia ! C’est là que j’ai dû en arriver une fois.
C’était un moment de désespoir, quand les Mayo m’ont regardé en face et ont dit : « Il ne lui reste que quelques minutes à vivre. » J’étais désespéré. Et je L’ai trouvé. Je ne condamne pas Jaïrus ; je suis avec lui. Je suis vraiment content de L’avoir trouvé. C’est vrai.

25 Quand il… le petit Jaïrus s’est engagé dans la rue, peu lui importait qu’on le chasse du conseil ou quoi que ce soit… Dites donc, un instant, je pense qu’il y a une organisation pentecôtiste appelée conseil. Je ne parle pas de ce conseil-là, mais je parle de n’importe quel conseil, eh bien, peu importe ce que c’est. Oui, oui.
Très bien. Il a donc dit… Il s’est mis en route. Peu lui importait qu’il perde son église, qu’il perde chaque ami qu’il avait. Il avait un seul choix, c’était trouver Jésus. Quelqu’un lui avait dit que Jésus venait, il est donc allé à Sa rencontre.
Et je vois le vieux petit bateau, ou plutôt la petite barque que les disciples ramaient, avec Jésus assis derrière, la tête inclinée. Elle est engagée au milieu des saules et j’entends les saules aller de part et d’autre alors que la petite barque arrive sur le rivage. Et Simon Pierre saute, se saisit de la corde et l’enroule autour d’un poteau quelque part.

26 Là, sur une colline, se trouvait une femme en train de tricoter. Elle a dit : « Je me demande pourquoi tout ce découragement, tout ce remue-ménage là-bas » Elle a baissé le regard.
Quelqu’un a demandé : « Connaissez-vous ce Guérisseur ? Il est venu dans notre ville. C’est Lui qui est là-bas. N’y allez donc pas. » Mais cette pauvre petite femme avait souffert d’une perte de sang depuis plusieurs années. Elle avait vendu tout ce qu’elle avait, elle l’avait donné aux médecins, mais aucun d’eux n’avait pu l’aider. Ils n’arrivaient pas à arrêter cette perte de sang.
Elle a dit : « Si cet Homme est le Fils de Dieu, ce qu’Il déclare être, je n’aurais pas à Lui demander de prier pour moi. J’irai là, je vais seulement toucher le bord de Son vêtement et je serai guérie. » C’est vrai. « Je vais simplement toucher Son vêtement et je serai guérie. » En d’autres termes : « Si je peux établir un certain contact, je serai guérie. »
Et je la vois venir, le visage pâle, amaigrie ; elle a laissé son tricotage. Et la voilà descendre la colline. Le sacrificateur se tenait là et a dit : « Où vas-tu ? »
« Je vais voir cet Homme, Jésus. »
« Te rends-tu compte que nous allons te chasser de l’église ? »
« Ça m’importe peu. » Et elle est partie. Elle est passée juste au milieu d’eux.

27 Un autre homme là disait : « Sais-tu que les jours des miracles sont passés ? Ne sais-tu pas que je suis un enseignant des Ecritures ? Nous n’avons pas eu de miracles depuis la mort du dernier prophète. Eh bien, nous n’avons pas de miracles. Ces jours-là sont passés. Moïse avait fait des miracles, mais ce gars-ci n’est qu’un fanatique. Ce n’est qu’un tas de psychologie. C’est tout ce qu’il en est. »
Je peux bien la voir ; les gens disaient : « Tu ne peux pas partir. » Je la vois baisser subitement sa petite tête, se glisser sous leurs jambes et aller carrément de l’avant. Elle voulait atteindre Jésus. En effet, elle disait : « Si je peux L’atteindre, je vais Le toucher et je serai guérie. » C’est ça. Ça, c’est quelque chose. Et elle est partie.
Tout le monde était autour de Jésus comme cela, et elle s’est glissée derrière Lui. Et elle a touché Son vêtement. Et quand elle a touché Son vêtement, Il s’est arrêté. Il a regardé dans l’auditoire : « Quelque chose s’est passé. » Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Il fera la même chose ici. Touchez-Le simplement une fois et voyez.
Il a regardé tout autour et a dit : « Ma fille, ta foi t’a guérie. » Amen. Ce n’est pas caché ; c’est dans la Bible. Voyez ? « Ta foi t’a sauvée. » Et la femme a senti dans son corps que cette perte de sang s’était étanchée… arrêtée.

28 Le petit Jaïrus L’avait rencontré et a dit : « Maître, ma fillette est couchée là à l’article de la mort. Ne veux-tu pas venir la guérir ? »
Et Il a dit : « J’irai. »
Il a dit : « Viens lui imposer les mains. »
Eh bien, ça, c’était son point de contact, imposer la main. Pour la femme, son point de contact était de toucher Son vêtement. « Qu’il te soit fait selon ta foi.»
Le voilà partir. Ils avancent. Et je m’imagine que le coeur du petit Jaïrus battait lourdement de toute façon. Il regardait tout autour pour voir qui était autour de lui. Tous ceux qui étaient tout autour de lui disaient : « N’est-ce pas Jaïrus ? N’est-ce pas notre… l’un de nos pasteurs locaux ici dans la ville ? Eh bien, voilà qu’il a un… Je parie qu’Il vient faire un saut pour sa fille ; en effet, nous avons entendu dire qu’elle est malade depuis quelque temps. Attendez jusqu’au prochain conseil, nous allons régler le problème de ce gars. Nous allons le chasser. Nous lui apprendrons à croire ces fanatiques. Hmm! Hm ! Nous nous occuperons de lui. »

29 Et je peux voir le petit Jaïrus; il n’en faisait pas cas. Il était déjà en contact avec Jésus. Une fois qu’un homme entre en contact avec Jésus, c’est un homme différent. C’est vrai. Oh ! il souriait. Il n’en faisait pas cas. Tous les sacrificateurs se tenaient là : « Bonsoir, frères. » Il s’avançait, il n’en faisait pas cas. Il n’y avait pas de trace de rougeur sur son visage. Il avait contacté Jésus. Il a regardé et a vu Jésus : « Tout va bien maintenant. Il vient chez moi. »
Et, frère, quand Jésus vient chez vous, tout va alors très bien. Amen. C’est tout. « Il vient chez moi. »
Eh bien, Satan fait toujours ces choses, vous savez, comme ceci. Et en ce moment-là, voici venir un petit gars, peut-être avec la tête couverte de cendre, ce qui était un signe en ce jour-là, en Orient, un signe d’un message de tristesse. Il a dit : « Ne dérangez pas le Maître. Votre fille est déjà morte. » C’est alors qu’il a explosé.
Je peux voir le coeur du pauvre petit Jaïrus s’arrêter de battre une seconde. Il a regardé autour de lui et s’est mis à crier. Et il a regardé vers Jésus ; je peux Le voir tourner lentement la tête : « Ne–n’aie pas peur. Crois seulement. » Tout va bien. Son coeur reprit à battre normalement. Comme Jésus avait dit : « Crois seulement », la question était réglée pour lui. Il savait qu’il était un croyant. Il s’est redressé, a aspiré à quelques reprises pour se remettre le coeur en place et s’est remis à marcher. Jésus a dit : « N’ai-Je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? » Il s’est avancé…

30 Arrivé à la maison, il y avait là, dans la cour, des gens qui criaient et faisaient des histoires. « Voilà venir notre pasteur avec ce fanatique. » Je peux entendre certains d’entre eux dire : « Si ton médecin a dit qu’il n’y avait rien qui pouvait être fait pour la jeune fille, tu devrais le savoir et ne pas perdre ton temps avec ces fanatiques. Si ton médecin a dit que rien ne pouvait être fait, rien ne pouvait être fait. » Mais il était en erreur bien qu’il eût fait de son mieux. Ce n’est pas pour le mépriser. Et souvent, il est également en erreur aujourd’hui. Il n’est qu’un homme comme toi et moi.
Il a dit : « Si donc ton médecin qui la connaît… La jeune fille est morte et elle est couchée là. Et maintenant, tu as jeté l’opprobre sur l’église de la jeune fille. La jeune fille est déjà morte et est couchée là. Maintenant, tu as amené Jésus ici et, voilà, la jeune fille est là, morte. Elle est morte pendant qu’Il venait. Quel opprobre tu as jeté sur notre église ! »
Cela n’a pas dérangé Jaïrus. Il s’est carrément avancé. Jésus ne… avait déjà dit : « Crois seulement. »
« Dans mon coeur, a-t-il dit, je crois. Jésus m’a dit que si je croyais, je verrais quelque chose. Je crois. J’avance. » C’est ainsi qu’il faut s’y prendre.

31 Je peux voir quelqu’un de son entourage courir et dire… Eh bien, les gens voulaient peut-être qu’il quitte le quartier. Mais Il est allé droit là. Les gens là…
Et Jésus a dit : « Faites la paix… ou plutôt de la place. Pourquoi faites-vous tout ceci ? Pourquoi ces cris et ces pleurs ? Ne faites pas cela. » Il a dit : « La jeune fille n’est pas morte. Elle dort. »
Eh bien, ils ont dit : « Maintenant, nous savons qu’Il est fou. Nous savons maintenant que c’est un fanatique. Nous savons que cet Homme ne sait pas de quoi Il parle. En effet, nous savons qu’elle est morte. Nous l’avons embaumée et nous l’avons couchée sur ce lit, nous avons mis des fleurs autour d’elle. Nous savons qu’elle est morte. » Mais Jésus en savait mieux. Alléluia !
Ce que les gens disent ne change rien; c’est ce que dit Jésus qui compte. Ce que maman dit ne change rien ; c’est ce que dit Jésus qui compte. Ce que le pasteur dit ne change rien, c’est ce que dit Jésus qui compte. Ce que frère Branham a dit ne change rien, c’est ce que dit Jésus qui compte. Ce que le médecin a dit ne change rien, c’est ce que dit Jésus qui compte. Il a dit : « Crois seulement. »

32 Alors, Jésus les a tous fait sortir de la maison. Vous savez, ça, c’est une très bonne leçon là. On a fait sortir ceux qui ne voulaient pas croire en Lui. Je pense qu’il y en aura tout un groupe à la résurrection ; ne le pensez-vous pas ? Il les a fait sortir. Il a dit : « Faites-les sortir. » Et Il a pris les vrais croyants. Je peux voir Jaïrus… Il s’est avancé là au coin et a dit : « Maintenant, mère, comporte-toi correctement. C’est Lui. C’est Celui dont les prophètes ont tous parlé. Et Il m’a dit de ne pas avoir peur. Et, mère, depuis que je L’ai rencontré, quelque chose s’est passé dans mon coeur. »
Je peux entendre la mère dire : « Tu sais quoi ? Quand je L’ai regardé, quelque chose m’est arrivé. » Amen. C’est cela. Entrez seulement en contact avec Lui. C’est tout.
Il a dit : « Pourquoi ? » Les autres n’avaient pas de besoins. Ceux-ci avaient un besoin. Seuls ceux qui ont un besoin entrent en contact. Il a dit : « Je crois en Lui. J’ai… je ne L’ai entendu dire que : ‘La paix.’ C’est tout ce que je L’ai entendu dire. Mais quelque chose… La paix est entrée en moi. Et je crois avec toi. »

33 Je peux voir Jésus regarder tout autour et dire : « Maintenant, vous père et mère, venez avec Moi. Et vous, Pierre, Jacques et Jean, venez aussi (La foi, l’espérance et la charité.). Venez avec Moi. » Et ils sont entrés dans la chambre, ils ont fait sortir tous les étrangers. Et Il se tenait là et le mur du dehors L’entourait. « Quelle audace, ce fanatique ! Moi, un sacrificateur, et Il me fait sortir de la maison ! »
Ce que vous êtes ne change rien. Vous n’êtes qu’un homme devant Dieu. C’est tout. Il se peut que vous jouissiez d’un grand prestige dans la société et que vous ayez un doctorat en théologie accroché à votre nom, mais cela ne fait pas de vous plus qu’un contrebandier de boissons alcooliques qui a été converti il y a une heure. C’est vrai.
Il a dit : « Eh bien, regardez qui je suis. J’ai un rang social. Je suis un parfait érudit, et Il m’a fait sortir. » Un tel mur ! Mais c’était au dehors.

34 Et Jésus était doté de toutes les bonnes qualités de Dieu. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Alors que tout avait échoué là, Lui était doté d’une puissance telle qu’Il pouvait parler en d’autres langues. Il a appelé dans une langue inconnue : « Talitha… », comme cela. Et l’âme de cette jeune fille, qui était déjà partie là dans l’éternité, revint dans son corps. Alléluia !
Il la saisit par la main (bien sûr qu’on lui avait retiré le sang, étant donné qu’elle était embaumée), Il dit : « Elle est faible maintenant, donnez-lui quelque chose à manger. » Oh ! la la ! Quelle réunion du Saint-Esprit dans cette maison-là !
Je peux voir les yeux du pauvre petit Jaïrus briller, alors qu’il disait : « Ne vous l’ai-je pas dit ? Ne vous l’ai-je pas dit ? » Et là dans la chambre, là dans la rue et partout ailleurs, il le dit à tout le monde : « Ne vous l’ai-je pas dit ? » Voyez-vous ? « N’ayez pas peur. Croyez seulement. Tout est possible à ceux qui croient. »

35 Peu importe les circonstances, ce que papa dit, ce que maman dit, nous croyons ce que Dieu a dit. Et la Bible dit, dans Hébreux 13.8, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai ? Alors, s’Il est le même, Il ne peut pas être un Christ mort tout en étant comme Il était autrefois. Si donc Il était vivant, Il avait marché sur les rives de la Galilée. Il était vivant. Il était… non pas quand Il marchait sur les rives de la Galilée, Il marchait en Galilée. C’est comme c’était sur les rives.
Eh bien, Il est ressuscité des morts, et Il vit ce soir, non pas dans un corps physique ici sur terre, mais sous une forme spirituelle, le Saint-Esprit. Il a été manifesté dans la chair afin d’ôter le péché. « Mais, encore un peu de temps, a-t-Il dit, et le monde ne Me verra plus. » Me, un pronom, un pronom personnel.
« Encore un peu de temps, et le monde (des incroyants, comme c’était le cas chez Jaïrus ce jour-là) ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez… » Qui est le vous ? L’Eglise.
Eh bien, vous direz : « Ses disciples. » Oh ! non ! « Vous Me verrez (Ecoutez la suite), car Je (un autre pronom personnel) serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. »
Ça fait deux mille ans que ce groupe-là de gens n’est plus, mais Lui, Il est toujours dans ce groupe-ci. Et quand ce groupe-ci ne sera plus, Il sera dans un autre groupe de gens. Est-ce vrai ? Il sera le même hier, aujourd’hui et éternellement.

36 Vous pouvez Le toucher de sorte qu’Il se retourne. Est-ce vrai ? C’est le même Seigneur Jésus. C’est le même qui avait dit : « Crois seulement. » Même face à la mort, Il a dit : « Crois seulement. » Croire quoi ? Croire à l’impossible. Le médecin avait déjà dit… La jeune fille, il se peut qu’elle soit morte de cancer, à ce que je sache. Je ne pourrais vous dire de quoi elle était morte, mais elle était morte. Peu importe de quoi elle était morte, elle était morte.
La jeune fille était déjà… Aussitôt que le… quelqu’un mourrait, on embaumait immédiatement son corps, on l’amenait dehors et on l’enterrait environ une heure ou deux plus tard. Et puis, du fait de la distance, d’autant plus Jésus devait venir, cela devait probablement faire plus de deux heures depuis qu’elle était morte. Et quand Jésus est arrivé là auprès d’elle, là où elle était couchée, Jaïrus devait croire à l’impossible.
Mais quand Jésus-Christ parle, l’impossible se fond comme une boule de neige dans un poêle chauffé au rouge. Ils… Vos–vos peurs se calment. Le coeur de Jaïrus battait normalement alors qu’il marchait là, sachant que Christ lui avait dit ces Paroles et il croyait.

37 Un soir, Pierre Lui a demandé, disant : « Si c’est Toi, ordonne que j’aille vers Toi sur les eaux. » (Matthieu 14. 28)
Jésus dit : « Viens. » C’est tout ce que Pierre devait entendre : « Viens. » D’un bond, il sortit de la barque et se mit à se hâter à Sa rencontre. Et déjà, en chemin, quand il fut saisi de peur, il vit de grandes vagues, de grandes vagues à tête d’écume qui s’élevaient, probablement aussi haut que ce bâtiment, il eut peur. Et aussitôt qu’il eut peur…
Voyez, il a détourné sa pensée de ce que Christ avait dit : « Viens. » Il a eu peur. Il avait fixé les yeux sur les symptômes et il avait commencé à sombrer.
Eh bien, ce soir, prenez ceci à coeur, ce que Jésus a dit : « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. Cela vous sera accordé. » Et Il a dit : « Et moi, quand j’aurai été élevé, J’attirerai tous les hommes à Moi. Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi, vous en ferez davantage parce que Je m’en vais au Père. » Il ne disait pas qu’Il était un Guérisseur. Il disait seulement qu’Il faisait ce que Dieu Lui montrait par la vision.
Jésus avait parlé, disant qu’Il ne faisait rien à moins que Dieu Lui ait montré premièrement quoi faire. Cet Homme ne pouvait pas mentir parce qu’Il était Dieu. Voyez ? Il a dit dans Saint Jean 5.19 : « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. »
Eh bien, si le Fils est ressuscité et a dit : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde », alors le Fils de Dieu vit dans Son Eglise pour accomplir les mêmes oeuvres qu’Il avait faites quand Il était ici sur terre.
S’Il vient ce soir, bénit notre rassemblement et accomplit les mêmes oeuvres qu’Il avait faites quand Il était ici sur terre, allez-vous L’accepter comme votre Sauveur et comme votre Guérisseur ? Puisse Dieu vous bénir pendant que nous Lui parlons dans la prière. (Si la soeur veut bien venir à l’orgue.) Voici quelques mouchoirs sur lesquels on doit prier. Eh bien, d’un commun accord, inclinons nos coeurs devant le Créateur…

38 Bienveillant Père céleste, nous nous approchons de Toi pour Te rendre grâce pour cette Parole écrite. De savoir qu’un sacrifice suprême a été offert afin que nous puissions avoir cette Parole ce soir… C’est le Livre le plus persécuté dans le monde entier, et pourtant le plus vendu de toute la littérature qui ait jamais été écrite. C’est le… C’est l’unique Livre absolu dont chaque Parole est infaillible.
Et ces choses, nous les croyons de tout notre coeur. Dans le contenu de ce Livre, il est écrit qu’on retirait du corps de saint Paul des mouchoirs et des linges pour les malades. Et de mauvais esprits ainsi que les maladies sortaient d’eux et ils étaient guéris. En effet, ils avaient vu que c’est Toi qui avais envoyé Paul. Ils l’ont vu avoir des visions, et ce qu’il disait s’accomplissait, et ils croyaient en lui. Et ils croyaient que tout ce qu’il touchait était béni. Et ils retiraient de son corps des mouchoirs et des linges.
Et, Dieu bien-aimé, tant que cette Bible est lue ici sur terre, je crois qu’il y aura quelqu’un qui aura ce genre de foi-là. Et ce soir, je suis reconnaissant d’être en train de parler à un groupe de ces gens qui croient cela de la même façon aujourd’hui. Et je pose mes mains sur ces mouchoirs, parce que les gens les ont amenés avec foi.

39 Nous comprenons bien que nous ne soyons pas saint Paul. Mais Toi, Tu es le même Jésus. Et c’était Toi, Seigneur, que ces gens regardaient, dans Ton serviteur, l’apôtre Paul. Les mains de Paul étaient comme les mains de n’importe quel autre homme. Mais ils Te respectaient au travers de lui, sachant que Tu étais choisi… que Tu l’avais choisi, et ils craignaient Dieu.
Je Te prie maintenant de bénir ces mouchoirs, et quand ils seront posés sur les malades et les affligés, puissent les mauvais esprits sortir des gens. Cette pauvre vieille mère qui attend ce soir et ce petit enfant malade, qui attendent ces mouchoirs, lorsque cela sera posé sur eux, puissent-ils se relever et être rétablis.
Envoie le Saint-Esprit, Seigneur. Qu’Il vienne parmi nous maintenant même et se reproduise pour nous les croyants ce soir, non pas parce qu’Il doit le faire, mais comme une confirmation de Sa Parole que nous croyons. Elle déclare : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. » Puisse-t-Il venir ce soir confirmer cette Parole par des signes et des prodiges, de grands miracles extraordinaires.
Que Celui qui s’est tenu aux côtés de Paul et Silas se tienne à nos côtés ce soir, et étende Ses larges bras de gloire sur ce bâtiment. Et que la puissance de Dieu saisisse chaque coeur, maintenant même. Et qu’il n’y ait aucune personne faible parmi nous quand nous partirons. Et alors que nous nous en allons, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : « Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous ? » Puisses-Tu faire quelque chose comme Tu avais fait ce soir-là.
Tu avais fait quelque chose d’une certaine manière, et personne d’autre ne peut le faire comme Toi, briser ce pain.

40 Et maintenant, Père, dans cette ligne de prière ce soir, fais une chose telle que les gens reconnaîtront que nul, à part Toi, ne peut le faire. Et alors, nous partirons avec les mêmes bénédictions, pour nous réjouir et nous joindre aux autres dans cette ville et dire : « Nos coeurs brûlaient au-dedans de nous. »
« Venez voir l’Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait », comme l’a dit la femme samaritaine. Et nous inclinerons humblement la tête et nous Te rendrons gloire. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, Jésus. Amen.

41 [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… Je–j’ai l’impression que les gens se posent des questions à ce sujet. Ils… Ecoutez : Tous les prophètes, les voyants, les poètes, les gens inspirés, le monde les considèrent toujours comme des névrosés.
Je pense que Stephen Foster était l’un des plus grands paroliers que l’Amérique ait jamais eus. Beaucoup parmi vous connaissent les oeuvres de Stephen Foster : The Old Folks At Home, Suwannee River, Old Kentucky Home. Cette vieille patrie de Kentucky est juste de l’autre côté de la rivière, en face de chez moi.
Un jour, j’étais assis là, il n’y a pas longtemps, à son bureau où… qui valait, j’oublie, des milliers de dollars il y a des années, là où il avait écrit ce fameux cantique : My Old Kentucky Home. J’étais assis là, contemplant son portrait. On dit qu’un Ange l’avait touché et l’avait inspiré ; un homme de belle apparence.
Il n’y a pas longtemps, à l’hôtel Suwannee, quand j’étais là avec E. Stanley Jones, là en Floride, je pensais à la même chose. Je me disais : « Monsieur Foster, vous aviez cela dans la tête, mais pas dans le coeur. » Il s’élevait sous l’inspiration. Il était né sous ce signe-là d’écrivain. Vous, vous ne pouvez pas le faire. C’est un don de Dieu. Vous…

42 Donc, quand il était sous l’inspiration, il écrivait un cantique. Puis quand cela le quittait, ne connaissant pas Dieu en matière de salut et de puissance, il–il en sortait et il–il–il ne savait que faire. Il sortait et s’enivrait.
Et, finalement, il en est sorti un jour et a demandé à un serviteur de lui apporter une lame de rasoir, et il s’est suicidé.
Il n’y a pas longtemps, quand frère Moore… Je ne suis pas sûr… Je pense, frère Moore… Oui. Frère Moore était avec moi en Angleterre. Nous nous sommes tenus au tombeau de William Cowper, ce célèbre poète qui avait composé ce beau cantique : « Il y a une fontaine remplie de sang, tiré des veines d’Emmanuel. Les pécheurs plongés dans ce flot perdent toutes les taches de leur culpabilité. »
Après qu’il a composé ce cantique-là et que l’inspiration l’a quitté, il a essayé de trouver une rivière pour se suicider. Il ne savait pas où il en était. En Angleterre, il était taxé de névrosé. Là, c’étaient des poètes.

43 Considérez les prophètes. Considérez Jonas dont nous parlions il n’y a pas longtemps. Après qu’il était gardé en vie trois jours et trois nuits dans le ventre de ce gros poisson, il est entré à Ninive et a parcouru la rue, apportant sa–sa–sa prophétie à une ville de la dimension de Saint Louis, dans le Missouri… Et il a apporté sa prophétie avec une force telle que les gens ont même fait porter des sacs à leurs animaux et se sont repentis. Il a gravi la colline et s’est assis sous un petit arbre, et quand l’inspiration l’a quitté, il a demandé à Dieu de lui ôter la vie. Il ne savait où il en était.
Considérez Elie qui était monté au sommet du mont Carmel et avait défié toute la nation. « Venez prouver lequel est Dieu. » Et il s’est tenu là sur cette montagne ce jour-là et s’est moqué des prophètes de Baal. Il s’est avancé là et a dit : « Eternel, Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël, que l’on sache aujourd’hui que Tu es Dieu et que je suis Ton serviteur. »
Et le feu de Dieu tomba, absorba l’eau et consuma le sacrifice. Puis, il se tint juste là sur… Il inclina sa petite tête entre les… son corps osseux et pria, et le même jour, Dieu envoya la pluie, alors qu’il n’avait pas plu depuis trois ans et six mois. Même pas la rosée ne tombait du ciel.

44 Et maintenant, écoutez. Quel homme puissant ! Mais après, il a fui au désert sous la menace d’une femme. Et il a erré dans ce désert quarante jours et quarante nuits. Et quand Dieu l’a trouvé, il s’était retiré quelque part dans une caverne. Est-ce vrai ?
Il a demandé : « Que fais-tu ici, Elie ? » Vous y êtes. Ne vous posez donc pas de questions. Souvenez-vous simplement que j’essaie de fonder ces choses sur les Ecritures, afin que vous reconnaissiez que ce que je vous dis, tout est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est fondé sur les Ecritures. Voyez ?
Donc, cela–cela n’avait pas été enseigné par les théologiens, bien sûr, mais c’est le Saint-Esprit qui l’enseigne maintenant (Voyez ?) aux gens. Ils trouvent cela dans leurs coeurs. Puisse le Seigneur accorder Ses bénédictions.

45 Voyons. Nous avons appelé environ… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… quinze personnes à la fois, jusqu’à vingt. Appelons ce soir la série M… Commençons vers la fin–fin et remontons jusqu’au début. Commençons par 20. Commençons par 20 ce soir. Qui a M-20, la carte de prière M-20 ? Levez la main. M-20 ? Très bien, madame, venez par ici.
M-21, 22, levez la main. M-22 ? C’est ça la carte de prière M-22 ? Merci, monsieur. Venez. M-23, 23 ? Est-ce que M-23 est là ? Voudriez-vous lever la main, M-23 ? Merci. 24, M-24, voudriez-vous lever la main ? Très bien. M-25, voudriez-vous lever la main ? M-25, M-26, très bien. 27, 28, 29, 30, M-30 ? Oui. (Ne voyez-vous pas M… M-30… vous l’avez ?) 30, 31, 32, 33, 34, 35 ? (Combien…?… Quinze ? Est-ce bien quinze ? Je crois que c’est assez.)
Eh bien, on distribue les cartes de prière deux fois par jour : c’est distribué une fois les après-midi à 15h (entre 14h30’ et 15h, je pense), et la prochaine fois, c’est distribué entre 18h et 19h. Venez chercher votre carte de prière à l’un ou l’autre de ces moments-là.

46 Ces gens qui viennent à l’estrade pour qu’on prie pour eux, il n’y a pas du tout d’insu… d’assurance qu’ils seront guéris. Dieu et leur foi doivent… Pour ce qui est de la guérison, si vous croyez que je suis le serviteur de Dieu, voici ce que je vous déclare, et écoutez attentivement : Chaque personne dans ce bâtiment est guérie maintenant. Je base cela sur l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.
[Espace vide sur la bande – N.D.E.]… en ce qui concerne Dieu. Et chaque pécheur ici présent est sauvé maintenant même, et il l’a été depuis qu’il avait péché. Mais cela ne vous fera aucun bien que ce soit pour l’un ou pour l’autre, pour votre guérison ou pour votre salut, jusqu’à ce que vous acceptiez cela comme votre bien propre. Alors cela aura un effet.
Quand j’inscris mon nom sur un morceau de… sur un acte de propriété que vous tous… que quelqu’un me donne, la chose devient alors légalement mienne. Et Jésus-Christ a donné un carnet de chèques à chacun de vous ce soir, à chaque personne ici présente, à chaque croyant. Et, en bas, c’est signé de Son Nom. Remplissez-le simplement et renvoyez-le ce soir, et voyez s’Il ne va pas reconnaître cela. N’ayez pas peur. N’ayez pas peur. Parfois les caissiers sont un peu occupés, mais ils vont s’en occuper.

47 Tout récemment (pendant qu’ils forment la ligne–la ligne là-bas), je priais pour une femme ; c’étaient deux femmes. Eh bien, puis-je avoir toute votre attention pendant que je vous raconte ceci, afin que vous puissiez bien comprendre ? Et alors, une femme est passée… Eh bien, suivez ce qu’Il a dit. Après une ou deux personnes environ, je suis devenu un peu inconscient. Je sais que je suis ici, mais je ne suis pas juste… C’est… Vous… Je n’essayerai même pas d’expliquer cela, parce qu’on ne le peut pas. Mais de toute façon, il a été dit à la femme qu’elle avait une–une gastrite aiguë.
Et, faites donc attention, je peux vous dire : « Partez » (après que je suis sorti de la vision), dire : « Partez, et que le Seigneur vous bénisse. » Ça, c’est moi qui le dis. « Partez, et que Jésus-Christ vous rétablisse. » C’est… Parfois, je vois que ça devient sombre autour de la personne, et je sais que la mort est sur elle et qu’elle va mourir. Je ne le lui dis point, à moins que je me sente conduit à le lui dire.
En effet, même si Dieu peut prononcer la mort sur cette personne-là, sa prière peut cependant changer cela. J’aimerais voir si vous pouvez dire « amen » à cela. Cela s’est fait une fois.

48 Il y a eu un prophète du nom d’Esaïe, il est allé dire à Ezéchias : « AINSI PARLE L’ETERNEL, tu vas venir… mourir là-même. Tu ne vas pas sortir du lit. » Et Ezéchias a tourné sa face contre le mur et a pleuré amèrement, il a dit : « Ô Eternel, je Te supplie d’avoir de la considération pour moi. J’ai marché devant Ta face avec intégrité de coeur. » Et il voulait avoir quinze ans de plus. Et le prophète…
Eh bien, pourquoi Dieu n’a-t-Il pas parlé–pourquoi Dieu n’a-t-Il pas parlé à Ezéchias ? Il était le plus grand homme de tout le royaume d’Israël ; est-ce vrai ? Il était un roi. Et croyez-vous qu’il parlait à Jéhovah ? La Bible dit qu’il Lui parlait. Il par… Pourquoi Jéhovah ne lui a-t-Il pas répondu ? Dieu a Sa façon de faire les choses.
Au lieu de parler à Ezéchias, Ezéchias s’est tenu devant Jéhovah et a dit : « Jéhovah, veuille m’épargner la vie pendant quinze ans… Aie de la considération pour moi ; le veux-Tu ? » Avec des larmes coulant sur ses joues : « Je sais que Ton prophète vient de me dire que j’allais mourir. Je sais donc qu’il est un prophète, et je sais que ce qu’il dit est Ta Parole. Mais je Te prie d’épargner ma vie, parce que j’ai quelque chose que je désire faire pour Ton Royaume », et ainsi de suite. Il a discuté avec Lui, comme on le ferait avec un homme. Et Dieu, au lieu de répondre directement au roi qui régnait sur Son peuple, a arrêté le prophète. Il a dit : « Va lui dire que Je l’ai exaucé. »

49 Pouvez-vous vous représenter Esaïe revenir, traversant cette foule-là ? Voici Esaïe sortir de… du roi… Des dignitaires se tenaient à la porte. « Qu’en est-il de cela, grand prophète de Dieu ? Qu’en est-il de notre roi ? »
« AINSI PARLE L’ETERNEL, il va mourir. » Cela régla la question.
Il s’est avancé là aux portails et là, à côté, se tenaient les soldats. « Que dites-vous, prophète ? Qu’en est-il de notre roi ? »
« AINSI PARLE L’ETERNEL, il va mourir. »
Il est allé vers les pauvres qui se tenaient au portail. « Oh ! grand prophète, que dit l’Eternel au sujet de notre roi ? »
« AINSI PARLE L’ETERNEL, votre roi va mourir. » Il avait l’AINSI PARLE L’ETERNEL.
Et ensuite, Dieu lui a parlé, disant : « Rentre immédiatement lui dire qu’il ne va pas mourir. » Que s’était-il passé ? La prière. C’est l’arme la plus puissante dont on ait jamais été revêtu le–le… n’importe qui.
Je peux voir Esaïe revenir dire : « Pardonnez-moi, il va vivre. AINSI PARLE L’ETERNEL, il va vivre. AINSI PARLE L’ETERNEL. » Qu’est-ce qui a été à la base de cela ? La prière change les évènements, est-ce vrai ?

50 Très souvent à l’estrade, je vois la chose devenir sombre ; je dis tout simplement : « Va de l’avant, que le Seigneur te bénisse. (Voyez ?) Puisse le Seigneur te guérir. » Mais quand vous entendez Cela dire : « AINSI DIT LE SEIGNEUR », notez cela dans votre livre. Voyez ce qui se passe. C’est…
Voyez, je n’ai aucun moyen… Il a dit cela. Quand je parle, sous l’inspiration, ce n’est pas moi ; ce n’est pas moi. C’est Lui, cette–cette Colonne de Feu que vous avez vue sur la photo.
Il a été dit à cette femme qui souffrait de la gastrite… (C’est prêt ? Juste un instant.) Il a été dit à cette femme qui souffrait de la gastrite : « AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous allez vous rétablir. Allez manger. »

51 Et une femme est venue après elle, elle avait une grosseur à la gorge. Et il lui a été dit la même chose, qu’elle allait être guérie. La femme, quand elle a quitté l’estrade, elle a tâté sa grosseur. C’était toujours là. Elle a quitté l’estrade en se réjouissant. Elle a dit : « Si Dieu a pu inspirer cette personne pour me dire ce qu’il y avait dans ma vie, je n’oserai pas douter, me disant que ce qu’il a dit ne va pas se produire. » C’est vrai.
La Bible dit : « Allez », et ne faites plus quoi ? « Allez. » Et quoi ? « Ne péchez plus. » Qu’est-ce que le péché ? L’incrédulité. « Allez et ne doutez plus, sinon quelque chose de pire vous arrivera. » Ainsi, ne venez même pas dans la ligne, vous n’êtes pas prêt à croire. Voyez ? « Allez et ne doutez plus, sinon quelque chose de pire va arriver. »

52 La femme est rentrée chez elle à… Elle a essayé de manger. Et chaque fois qu’elle mangeait, cela la brûlait. Elle ne pouvait pas le faire. Des semaines sont passées, six semaines ou plus. Elle continuait à croire.
Et un matin, ses enfants étaient tous allés à l’école, elle a eu très faim, elle a pris un petit morceau de pain grillé et l’a mangé. Cela n’est pas remonté. Elle s’est dit : « C’est étrange. » Une sensation étrange l’a parcourue. Elle a mangé de l’avoine. Cela n’est pas remonté ; alors elle a pris une tasse de café. Cela est aussi resté là.
Eh bien, elle s’est sentie tellement bien qu’elle a dit : « Je pense que je vais aller vite le dire à ma voisine. » Et la voilà qui descend la rue, portant son petit châle, une petite dame dans la trentaine. Et elle a couru dire à l’autre femme, elle a dit : « Ô soeur ! » Elle s’est mise à lui raconter quand elle… à aller raconter ce qui était arrivé, et quand elle a frappé à la porte, elle a entendu quelqu’un crier.
Et elle a ouvert la porte et est entrée en courant, et là se tenait cette femme, criant à tue-tête. La grosseur venait de disparaître de sa gorge. Et elles ont fini par découvrir…

53 Et elles m’ont suivi à une réunion à Chicago et se sont levées là et ont témoigné ; elles ont demandé : « Que s’est-il passé, Frère Branham ? »
« Eh bien, ai-je dit, ne savez-vous pas que parfois quand vous priez, les anges de Dieu ne peuvent pas arriver auprès de vous au même moment ? » Une fois, Daniel a prié, et il s’est passé vingt et un jours avant que l’Ange ne puisse arriver auprès de lui. Est-ce vrai ? Mais quand Dieu a dit quelque chose, cela doit s’accomplir.
Qu’était-ce ? L’Ange de Dieu connaissait ces gens, connaissait ce que Dieu avait annoncé, et Il parcourait des quartiers à ce moment-là même, cherchant ces femmes pour accomplir ce qu’Il avait dit devoir se produire. Et si elles n’avaient pas cru ? Et si elles avaient perdu la foi ? Voyez ? Croyez, advienne que pourra, croyez de toute façon. Eh bien, si je vous dis la vérité, Dieu rendra témoignage à la vérité. Dieu ne rendra jamais témoignage à une erreur. Il rendra toujours témoignage à la vérité.

54 Ainsi, que le Seigneur vous bénisse alors qu’une fois de plus nous… Chantons ceci doucement, comme ceci, maintenant : Crois seulement. Levons simplement les mains et disons : Maintenant, je crois. Tous ensemble maintenant. Maintenant, je crois, maintenant, je crois,
Tout est possible, maintenant, je crois,
Maintenant, je crois, maintenant, je crois,
Tout est possible, maintenant, je crois. Accorde, Seigneur, maintenant même, que cette Parole de Dieu puisse s’accomplir, ce qui a été annoncé par notre Seigneur : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi, et vous en ferez de plus grandes, car Je M’en vais au Père. » Je demande ceci au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, soyez respectueux. Ne vous déplacez pas. Et faites exactement ce qu’on vous dit de faire. Ne l’oubliez pas. Je ne suis pas responsable des critiqueurs. Tout ce qui arrivera à un critiqueur, je n’en suis pas responsable ; à un chrétien qui croit, si.
Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle pour la gloire de Dieu.

55 Eh bien, à ce que je sache, il n’y a personne dans la ligne de prière que je connaisse, ou que j’aie déjà vu de ma vie. Je ne connais personne là au sujet de qui je sais quelque chose. Combien ici sont malades ce soir, n’ont pas de cartes de prière, et cependant veulent que Dieu les guérisse ? Levez la main. Juste… Eh bien, c’est vraiment partout.
Eh bien, ce que je vous demande de faire est de croire ceci : Croire que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et ce qu’Il a fait alors, les–les oeuvres qu’Il a accomplies alors, Il a promis qu’elles accompagneront Son Eglise jusqu’à Son retour. Et croyez que je suis ici ce soir en tant que Son serviteur, indigne ; par la grâce imméritée, eh bien, je suis ici ce soir. Mais par la grâce souveraine et par l’élection de Dieu, Dieu m’a envoyé en tant que témoin de la résurrection de Jésus-Christ. Alors, croyez en Lui.
Et si j’ai dit un mot, si j’ai dit la vérité, Dieu confirmera la vérité. C’est vrai.

56 Maintenant, je dois parler à la femme. En effet, il y a des esprits partout. Et je suis conscient maintenant que l’onction du Saint-Esprit est proche de là où je me tiens. L’Ange de Dieu que vous voyez sur cette photo-ci est vraiment proche de là où je me tiens maintenant même.
Et maintenant, si Jésus de Nazareth se tenait ici, portant ces vêtements, pourrait-Il guérir quelqu’un ? Non. Tout ce qu’Il ferait serait de dire : « Je vous ai guéri quand Je suis mort pour vous. J’ai fait tout ce que Je pouvais là même. »
Mais maintenant, à cette femme-ci, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’Il… à cette femme-ci, Il lui parlerait comme Il l’avait fait à la femme au puits.

57 Pourquoi pensez-vous que Jésus avait parlé à cette femme au puits ? Pour entrer en contact avec son esprit. Il a dit : « Apportez-Moi à boire. »
Elle a dit : « Eh bien, ce n’est pas la coutume pour les Juifs de demander pareille chose aux Samaritains. »
Il a dit : « Mais si tu connaissais à qui tu parlais, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Je te donnerais des eaux que tu ne viendrais pas puiser ici. »
Et elle a dit : « Eh bien, le puits est profond… »
Et la conversation s’est poursuivie jusqu’à ce que Jésus ait découvert quel était son problème. Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « C’est vrai. Tu en as eu cinq. »
Elle a couru, disant : « Voyez un… Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. » Elle a dit : « Je vois que Tu es Prophète. » Voyez, elle a dit : « Le Messie viendra, et Il connaîtra ces choses. Il sera à mesure de nous annoncer ces choses. Je sais que Tu es Prophète, mais quand le Messie viendra, Il nous annoncera toutes choses. »
Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. »

58 Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et que Son onction est dans Son Eglise, indigne, pour accomplir pourtant Sa Parole, alors vous parler serait entrer en contact avec votre esprit ; est-ce vrai ?
Alors, vous savez, soeur, si je pouvais faire quelque chose pour vous venir en aide et que je ne le fasse pas, je serais une brute. Mais cela… La seule chose que je pourrais faire et qui serait une aide pour vous à certains égards, comme prêcher l’Evangile, c’est de cette façon… Dieu a établi certaines personnes pour prêcher l’Evangile, d’autres pour enseigner l’Evangile, d’autres pour jouer la musique, d’autres pour être diacres, d’autres pour parler en langues, d’autres pour interpréter les langues, d’autres pour–pour prier pour les malades, et d’autres pour être prophètes ; est-ce vrai ? Tous ces gens sont établis dans l’Eglise dans quel but ? Dans le but d’édifier l’Eglise, de rassembler l’Eglise.
Maintenant, nous vivons à la fin de l’histoire de ce monde. Le temps est proche. La dispensation des Gentils est à sa fin. Juste comme Il avait fait avec les Juifs, Il leur manifeste une grande mesure de grâce, appelant pour la dernière fois, afin que les incroyants puissent blasphémer contre le Saint-Esprit et être dignes de la con…–de la condamnation qu’ils sont prêts à recevoir.
Mais combien bénis sont ceux qui se tiendront là et brilleront plus que les étoiles, croiront en Lui et en Ses grandes oeuvres de ce jour !

59 Maintenant, je ne suis pas ici pour lire vos pensées, soeur. Je suis ici simplement pour voir ce qu’Il me dira. S’Il me dit… Nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas ? Je pense que c’est notre toute première rencontre au monde. Je ne sais rien à votre sujet et vous, vous ne savez rien à mon sujet.
Mais, eh bien, si Jésus est ressuscité des morts et qu’Il se tenait ici (En fait, Il est ici), eh bien, Il saurait votre problème, ce que vous avez fait, ce que vous devriez faire et tout. Comme Il avait dit à Nathanaël : «Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre. » Il a cru cela.
Eh bien, si Dieu vient ici vers moi, et nous, étant de parfaits inconnus, et qu’Il dise quelque chose de pareil par moi, le même Jésus, qu’Il vous dise quelque chose de pareil par moi, il vous–il vous faudrait croire en Lui, n’est-ce pas ? Il vous faudrait croire en Lui. Eh bien, puisse-t-Il accorder cela.

60 D’abord, vous êtes… vous souffrez de–d’arthrite ; n’est-ce pas vrai ? Je vous vois un matin vous efforçant de vous lever au moment où ça fait plus mal. Le matin, il vous faut prendre une position aisée pour descendre du lit. Je vous vois sortir. Et vous êtes en train de prier. Vous vous efforcez donc de prier… avec raideur. Que Dieu bénisse votre coeur. C’est la vérité, n’est-ce pas ?
Là, ce n’était pas moi. C’était Lui. Eh bien, je ne pouvais pas faire plus à ce sujet. Eh bien, je n’ai jamais vu cette femme, sinon dans une vision. Au mieux de mes souvenirs, concernant ce qui est arrivé, j’ai vu cette femme dans une vision ; elle était dans une pièce et elle essayait de sortir du lit, de côté. Et elle a un problème, son corps raidit. Eh bien, c’est vrai.
Eh bien, c’est exactement ce que notre Maître a dit à la femme. Il a découvert son problème. Eh bien, elle doit croire ; est-ce vrai ? Eh bien, maintenant, si je lui parlais davantage, juste me tenir debout et lui parler un petit moment, alors Il–Il pourrait ajouter d’autres choses. Mais prendre toute la ligne de prière ou quelque chose comme cela, eh bien, alors, cela vous affaiblit de plus en plus.

61 Eh bien, c’est juste l’onction, ça commence à agir maintenant même. Voyez ? Je vais lui parler une minute. Regardez ici une minute, madame. J’aimerais–j’aimerais vous parler encore un moment pour la gloire de Dieu et voir… Je crois que c’était la raideur dans votre corps qui dérangeait. Est-ce vous–vous… ? Vous êtes une croyante. Et vous en êtes guérie. Mais c’est quelque chose que vous avez eu… Non. Vous l’avez été. Vous–vous avez été sérieusement malade.
Je vous vois entourée des médecins pour une certaine raison. C’est une–c’est une maladie du gland, un… grave. Et je les vois s’éloigner en secouant la tête. Et ils vous ont donné une année à vivre. C’est un… Est-ce vrai ? Mais dites donc, ça fait longtemps. Vous n’étiez pas aussi grisonnante que vous l’êtes maintenant. Et c’était un… Ça doit faire deux ans maintenant. Est-ce vrai ? Est-ce la vérité ?
Vous n’êtes pas de cette ville. Mais vous habitez tout près d’ici. C’est un endroit où… Cela a quelque chose comme Dale ou Avondale. Est-ce vrai ? Retournez, rétablie, à Avondale au Nom du Seigneur Jésus-Christ, votre Maître.

62 Ayez foi. Croyez de tout votre coeur ; vous verrez la gloire de Dieu. Comme Jésus a dit : « Ne t’ai-Je pas dit : Crois seulement ? »
Bonsoir. Maintenant, c’est une parfaite illustration, une répétition de Saint Jean, chapitre 4, quand Jésus est arrivé chez une–une femme samaritaine. C’était un problème de race, comme on en a aujourd’hui. Les Samaritains et les–et les Juifs, ils avaient en quelque sorte un petit problème de race comme celui qu’on a entre blancs et gens de couleur.
Mais Jésus lui a fait rapidement savoir que Dieu était avec ceux qui L’adoraient en Esprit et en Vérité. Le mur de séparation était en train d’être démoli. C’est ce qui se passe aujourd’hui. Et le même Jésus qui me sauve, vous sauve. Le même ciel est accessible à toutes les tribus de la terre. C’est vrai. Il n’y a pas de mur de séparation.
Et nous nous tenons ici ce soir, comme c’était le cas alors. Et vous vous tenez… Et je me tiens comme Son serviteur pour Le représenter devant vous en élevant votre foi en vue de votre guérison. Et je crois que Dieu fera quelque chose qui élèvera votre foi afin que vous–afin que vous soyez guérie et rétablie.

63 Mais je vois maintenant… Je vois un–un jeune garçon et une jeune fille. C’est un–c’est un frère et une soeur. Et quelque chose leur est arrivé. Ils sont–ils sont loin de vous. C’est dans un asile de fous. C’est une maladie mentale. Et ils sont dans un autre Etat : la Californie. Est-ce vrai ? Venez ici.
Ô Dieu, Toi qui as créé les cieux et la terre, qu’on sache ce soir que Tu es Dieu, et je Te prie de délivrer ces gens des puissances de Satan. Et je Te prie d’accorder cela. Et au Nom de Jésus-Christ, que cela soit accompli. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Croyez de tout votre coeur et vous recevrez ce que vous avez demandé. Amen.
Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur et Dieu vous accordera cela.

64 Était-ce votre ami qui tenait votre sac à main ? Qu’en pensez-vous, madame ? Pensez-vous que c’est merveilleux ? Oui. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu ? Vous souffrez aussi, n’est-ce pas ? Si je peux vous dire ce qui cloche en vous par la puissance de Dieu, allez-vous accepter le Fils de Dieu comme votre Guérisseur ? Vous souffrez de la vésicule biliaire, est-ce vrai ? Si c’est vrai, levez la main. Levez-vous alors et soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ.
Ayez foi. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est ressuscité des morts. Vous dites : « Vous lisez la pensée de cette femme. » Eh bien, alors, Jésus a connu leurs pensées. Il a fait donc la même chose, n’est-ce pas ? Amen. Ayez foi en Dieu. Croyez en Dieu.

65 (Est-ce le patient, Frère Moore ?) Venez ici, monsieur. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Mais vous êtes un croyant ; j’ai pu le savoir aussitôt que vous êtes venu ici. Votre foi m’est accueillante. Je sais que vous êtes chrétien.
Si vous êtes chrétien et mon frère, je suis votre frère avec le… par le même mérite de la grâce, Jésus-Christ. Si je pouvais vous guérir, je le ferais. Je ne le peux pas. Et cela ne relève que de Jésus-Christ. Mais en tant que serviteur de Dieu, avec un don divin qui a été ordonné par Dieu au… Tout au commencement, Dieu m’avait ordonné à venir apporter cet Evangile dans ce dernier jour. Croyez-vous ceci ? Que Dieu vous bénisse.
Vous aussi, vous êtes loin de chez vous. Vous venez de la Californie : de Long Beach. Et vous avez des pou… quelque chose qui cloche dans vos poumons et dans votre foie. N’est-ce pas que vous avez un mouchoir que vous voulez me remettre de la part d’une certaine femme ? Et elle souffre du coeur, n’est-ce pas ? N’êtes-vous pas ministre de l’Evangile ? Amenez-lui cela au Nom de Jésus-Christ et soyez rétablis. Que Dieu vous bénisse.
Ayez foi en Dieu. Croyez simplement en Lui ; Il est ici, Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.

66 Soeur, vous qui venez d’agiter la main. Comme vous avez été respectueuse envers Dieu, votre arthrite vous a quittée. Levez-vous. Frappez du pied. Tout est parti. La raideur a quitté vos jambes. Vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse.
Disons : « Gloire à Dieu ! » et louons-Le. Nous Te rendons grâce, Père céleste, pour les oeuvres magnifiques du Saint-Esprit qui est présent maintenant pour faire abondamment, au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser. Que Tu bénisses cet endroit. Amen.
Oh ! Il est si merveilleux. Ayez simplement foi. Pourquoi avez-vous sauté il y a une minute, mons… il y a quelques instants, monsieur ? Vous savez que vous avez été guéri, n’est-ce pas ? N’est-ce pas vrai ? Oui, oui. C’est vrai. Vous aviez–vous aviez la gastrite et vous souffrez aussi de coeur, n’est-ce pas vrai ? Si c’est vrai, levez la main. C’est alors que vous avez été guéri. Que Dieu vous bénisse. Vous avez été guéri. Je voulais simplement vous le confirmer. Eh bien, vous pouvez rentrer chez vous, bien portant. Que Dieu soit avec vous.

67 (Est-ce la patiente ? Oui, oui. Eh bien, Frère Moore, excusez-moi, je…) Très bien, venez, madame. Croyez-vous que je suis prophète de Dieu… non pas… serviteur ? Ou peu importe comment vous voulez appeler cela. Je ne suis que Son serviteur, je ne suis qu’un rien. C’est juste Lui maintenant. Je suis… J’ai… Eh bien, Il… C’est Lui.
Et vous êtes–vous êtes consciente d’être dans la Présence de Quelque Chose. Vous savez que ce n’est pas un homme. Et si je pouvais vous guérir, je le ferais. Mais je n’ai aucun moyen de le faire. Mais notre Seigneur Jésus-Christ a un moyen de le faire. Maintenant, regardez-moi juste un instant. Et comme Pierre a dit, alors qu’il franchissait la porte appelée La Belle vers un boiteux : « Regarde-nous. » Ou Elie a dit à Josaphat : « N’eût été par égard pour Josaphat, je ne ferais même pas attention à toi », le roi de Juda… d’Israël.

68 Vous avez une maladie. Vous avez subi une opération. Et c’était quelque chose au dos, on dirait un rein. Et cela n’a pas réussi. On a attaché ce rein à quelque chose. Et c’était vraiment une erreur. Et le médecin qui a fait cela est dans un asile de fous, il a totalement perdu la tête et c’en est fini de lui. Venez ici.
Grand Jéhovah Dieu, sois miséricordieux. Je Te prie de guérir cette femme et de guérir ce médecin. Il n’en avait pas l’intention, Seigneur. Je prie pour eux deux, quelqu’un qui essayait d’aider un autre, maintenant, Seigneur, aide-les tous deux. Et Satan, tu t’es caché devant ce médecin, mais tu ne peux pas te cacher devant Dieu. Sors d’elle. Au Nom de Jésus-Christ, puisse-t-elle s’en aller et être rétablie. Que Dieu vous bénisse, soeur. Allez, et puisse…?…
Ayez foi. Priez simplement. Croyez simplement. Vous verrez la gloire de Dieu.

69 Vous qui avez levé la main là, monsieur, incliné comme cela, voulez-vous guérir de cette hypertension ? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? Croyez-vous que Dieu vous a guéri ? Vous étiez en train de prier alors, n’est-ce pas ? Vous priiez pour que je vous dise quelque chose. Il vous a exaucé. Vous êtes guéri maintenant, et vous pouvez rentrer chez vous, rétabli.
La petite dame, là, à côté de vous, était aussi en train de prier. Celle qui croit là, souffrant d’une maladie de poumons. Il–Il vous a guérie aussi, ainsi vous pouvez rentrer chez vous, rétablie aussi. Que Dieu vous bénisse.
Venez, amenez–amenez cet homme. Bonsoir, monsieur. Je suppose que nous sommes inconnus, monsieur. Je ne vous ai jamais vu de ma vie, je ne connais rien à votre sujet. Nous sommes juste deux hommes qui se sont rencontrés ici dans ce monde, nous nous tenons ici devant cet auditoire. Mais le Dieu du Ciel nous connaît tous deux. Il nous a nourris tous les jours de notre vie.

70 Si–si Jésus-Christ, Son Fils, est ressuscité des morts et qu’Il a été manifesté et qu’Il est dans la… Son église pour accomplir les oeuvres qu’Il avait accomplies dans les jours passés, si donc je témoigne de la vérité, alors Il connaît tout à votre sujet. Est-ce vrai ?
Je vois l’homme s’éloigner de moi. Vous aviez une maladie, une paralysie faciale. Vous avez cela depuis votre enfance. Un petit garçon aux cheveux noirs, le visage paralysé. Vous souffrez maintenant d’un ulcère d’estomac. Cela est causé par le fait de fumer la cigarette. Vous fumez la cigarette ; vous ne devriez pas le faire.
Dis donc, à propos, je vous vois avec un chapelet ou… Vous avez été catholique et vous vous êtes tout récemment converti, est-ce vrai ? Et vous vous préoccupez de votre père et de votre mère. Ils sont encore catholiques. Ils ne sont pas ici, n’est-ce pas ? Votre mère a des varices aux jambes et votre père souffre du coeur, est-ce vrai ? Allez leur apporter l’Evangile au Nom de Jésus-Christ et puissent-ils être rétablis.

71 Ayez foi. Croyez-vous ?
Voulez- vous guérir de cette maladie du coeur, vous avec les mains levées, cette dame assise là ? Le voulez-vous ? Si vous voulez guérir de cela, levez-vous. Très bien, madame. Vous, assise à côté d’elle, vous avez la gastrite, voulez-vous guérir de cette gastrite ? Levez-vous.
Vous autres, voulez-vous être guéris ? Levez-vous. J’exhorte chacun de vous au Nom de Jésus-Christ, levez-vous.
Ô Dieu, Toi qui as créé les cieux et la terre, manifeste Tes bénédictions sur cet auditoire. Et je condamne chaque démon qui a lié les gens. Sors d’eux au Nom de Jésus…

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