La Reine de Séba
1 Merci, Frère Joseph. Restons maintenant debout juste un moment pour la prière.
Seigneur, nous voulons Te rendre grâces pour Ta bonté, pour avoir épargné nos vies et pour le privilège que nous avons de venir auprès de Toi par cette soirée froide d’hiver, sachant que nous ne sommes que la poussière de la terre, mais qu’au-dedans de nous, il y a un esprit qui vit éternellement.
Et ce soir, nous Te prions, Seigneur, de nous pardonner nos manquements et de nous accorder de préparer nos coeurs pour Te rencontrer en ce jour-là. Ces petits fils fragiles sur lesquels nous marchons, appelés les « fils de la vie », nous ne savons vraiment pas à quel moment ils peuvent se rompre et nous plonger dans une éternité. Mais comme David d’autrefois l’a dit: « Je ne craints aucun mal, car Tu es avec moi », même si nous traversons la vallée de l’ombre de la mort, Tu viendras certainement à notre rencontre.
Garde-nous dans une paix parfaite, Seigneur, alors que nos coeurs sont attachés à Toi. Guéris les malades et les infirmes. Tire la gloire de ce service et bénis ces braves gens qui se sont rassemblés ici ce soir par cette soirée froide, défiant le [mauvais] temps juste pour venir entendre la Parole de Dieu. Je suis certain que dans Ta bonté Tu les renverras avec un bon repas complet, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2 Je suis donc très heureux d’être ici ce soir. Et Billy est revenu il y a quelques instants et m’a dit : « Papa, il n’y aura pas cent personnes là-bas par une soirée comme celle-ci. » Eh bien, nous les gens du Sud nous avons un petit, vous savez, plutôt un sang faible, peut-être. Et c’est… Pour nous, ça, c’est un temps froid.
3 En venant, pendant qu’on venait dans l’ascenseur Il y a quelque temps, la jeune fille de couleur a dit, elle a dit : « Eh bien, révérend, a-t-elle dit, ça, c’est vraiment un beau temps. » Eh bien, j’aime cela ; j’aime vraiment cela. Je pense qu’il fait un très beau temps lorsqu’il fait sec et froid. N’importe quel temps est beau aussi longtemps que le Seigneur est là.
J’aimerais me hâter pour commencer tout de suite et vous lire la Parole, et puis prêcher immédiatement, et nous prierons pour les malades. Et ce soir, nous nous attendons à ce que Dieu fasse des choses infiniment au-delà de toute mesure pour nous ce soir. Je… Vous savez, certaines des réunions les plus glorieuses auxquelles j’ai assisté, c’étaient celles qui réunissaient juste un petit groupe de gens. Voyez, vous êtes plutôt tous confinés dans un petit groupe, parfois comme dans une réunion de prière dans une maison.
4 C’est ce que je disais à frère Sothmann aujourd’hui. J’ai dit que je me rendrais à Houston, sa ville natale, si le Seigneur le veut, dans l’intervalle de temps entre les réunions pour aller pêcher avec lui. Et j’ai dit : « J’aimerais visiter la petite église de là. »
Et il a dit : « Eh bien, c’est juste un tout petit groupe. »
J’ai dit : « Amenez les gens dans votre maison, et entrons dans la chambre et fermons les portes, et restons-là toute la nuit et le jour suivant juste à parler du Seigneur. » C’est ainsi que j’aime la chose juste – juste un lieu où nous pouvons donc nous rassembler. Christ vient dans de grandes foules et dans, de petites foules, Il – Il marchera même seul avec vous. Juste partout où vous aimeriez Le rencontrer et si votre coeur est droit, Il vous rencontrera.
5 J’aimerais juste aborder un petit sujet court ce soir, le Seigneur voulant, et je ne sais pas… Vous savez, parfois lorsque les évangélistes sont occupés pendant la journée avec des entretiens, et que les gens viennent et partent, parfois vous n’avez même pas l’occasion de jeter un coup d’oeil à la Bible. Et j’ai simplement pris un bout de papier il y a quelques instants, sur lequel j’ai écrit quelque chose dont j’ai déjà parlé quelque part, je ne sais où. Mais je me suis dit que j’utiliserais cela comme référence biblique ce soir. Peut-être que ce n’était pas à Chicago.
Et maintenant, les jeunes gens qui s’occupent des bandes sont ici, mes garçons, frère Léo Mercier et Gene. Et maintenant, ils ont ici les bandes à vendre. Et comme je le disais l’autre soir, nous ne vendons pas les bandes le dimanche. Et c’est au courant de la semaine qu’il vous faut les acheter. Et j’en suis sûr, ces jeunes gens… Je les connais depuis des années. Ils étaient de mes… en quelque sorte des convertis lorsqu’ils… Ces deux jeunes gens, l’un d’eux provenait d’une famille catholique et l’autre… Je ne sais pas exactement d’où provient frère Gene, de quelle confession est sa famille, peut-être que ce sont des méthodistes ou quelque chose comme ça. Et ils sont venus à la réunion juste pour avoir une idée générale de la chose. Et le Seigneur leur a parlé.
6 Ils ont suivi jusque chez moi, jute comme une petite équipe à eux du F.B.I. pour voir si ces visions viennent partout en dehors des réunions. Et il s’est fait que le Seigneur a simplement fait certaines choses glorieuses juste là dans la – pendant qu’ils étaient présents pour voir cela et je les appelle mes étudiants : ce sont de braves jeunes gens, de véritables, de véritables frères chrétiens. Et j’ai appris à aimer ces jeunes gens, et ils sont loyaux.
Et ils voulaient m’accompagner, quelque chose dans les réunions et je les ai laissé le faire et enregistrer les bandes, parce que nous n’avions personne qui en réalité enregistrait les bandes, quelqu’un d’officiel, et ainsi, ils se sont mis à enregistrer les bandes et ils voulaient savoir s’ils pouvaient… Les gens ont commencé à chercher ces bandes. J’ai dit : « Jeunes gens, aussi longtemps que ces bandes ne sont pas trop coûteuses pour les gens… »
7 Il n’y a pas longtemps, j’ai commandé une bande d’un évangéliste, et je suis en mesure d’acheter trois de nos propres bandes, les mêmes espèces de bandes, au prix que j’ai dû payer pour celle-là. Ainsi, je sais qu’elles sont très proches de – au prix coûtant. Et c’est comme cela que nous voulons y aller.
Les livres que je reçois de M. Lindsay, qui est… Il était ici hier soir ; il sait très exactement ce que… Ces livres ne sont pas à moi ; ils sont à lui. Nous achetons ces livres et il nous accorde là dessus une petite réduction ; ensuite il nous faut payer le fret de ces livres pour qu’ils nous parviennent. Et puis nous devons prendre quelqu’un pour aller les vendre. A ce propos, on en perd beaucoup. Et juste avec une marge bénéficière réduite… Et ces livres, même si c’est moi qui les imprimais, je ne pense pas que les gens devraient payer. Ainsi c’est la campagne les qui supporte.
8 La photo, elle ne m’appartient pas. Elle appartient aux Studios Douglas. Nous devons les acheter et les vendre au prix auquel on les a achetées. Ainsi, donc vous voyez, ce n’est pas du tout quelque chose avec quoi nous faisons du commerce. Nous le faisons simplement… Et elles ne seraient pas ici ; aucune d’elles, s’il ne s’agissait pas de quelque chose que vous vous réclamez, et que nous sommes en mesure de mettre à votre portée. Ainsi, elles sont sur les étalages là quelque part, et vous pouvez en parler à vos amis et à ceux qui veulent les recevoir.
Maintenant, passons à la Parole. Dans le Livre de Saint Matthieu, l’Evangile, chapitre 12, verset 42 ; j’aimerais lire juste un petit passage qui nous servira de – pour avoir un contexte. Maintenant, le verset 42…
Et la reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu"elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.
9 J’aime méditer sur ceci, sur le fait que lorsque j’ai lu un passage de la Parole éternelle du Dieu éternel, chaque petit mot de la Parole de la Bible, vous pouvez vous Y attacher parce que c’est la vérité. Et les hommes au cours de tous les âges quand ils L’ont lue, ils ont reçu quelque chose de nouveau. Il y a quelque chose dans la Parole.
Je parlais à M. Lindsay aujourd’hui dans ma chambre d’hôtel. Et j’ai fait mention des visions et il m’a parlé. Et il a dit : « Frère Branham, lorsque j’étais assis sur l’estrade hier soir, j’observais comment le Saint-Esprit commençait à… c’était plus glorieux que d’habitude. »
Et j’ai dit : « Mais ce qui me bouleverse, c’est le fait que cela peut paraître comme si c’est moi, et que les gens n’arrivent vraiment pas à comprendre cela. »
10 Il a dit : « Ils ne le comprendront probablement pas. Pendant que vous parliez depuis l’estrade… Vous aurez peut-être à sceller votre témoignage un jour de votre sang et alors les gens prendront conscience de ces choses et ils diront : ‘Eh bien, nous ne savions point ces choses.’ » Ça sera peut-être ça l’issue. Je sais bien moi-même en tant que croyant chrétien, que cela vient vraiment de Dieu. Et aucune fois, je n’ai vu cela faillir. »
Et de voir même cette photo… Lorsque j’étais encore un petit garçon, alors que j’avais pratiquement moins de trois ans, je pense que j’avais environ dix-huit mois. Vous pourriez vous dire : « Frère Branham, vous n’avez pas vu ou vous n’avez pas gardé des souvenirs de cet époque-là. »
11 Si. Et je me souviens lorsque Cela m’a parlé alors que j’étais un petit garçon, et tout au long de ma vie ; j’ai décrit Cela des années avant qu’on En ait pris la photo. Et maintenant, ils En ont trois photos officielles : l’une de l’Allemagne et deux autres des Etats-Unis, des photos de l’Ange du Seigneur que les hommes de science de l’Allemagne et ceux des Etats-Unis ont marqués de leur sceau, pour attester que c’est un Etre surnaturel, décrivant très exactement cette Colonne de Feu.
A mon avis, et si je suis dans l’erreur que Dieu me pardonne, et en tant que votre frère, je pense que c’est la même Colonne de Feu qui a conduit les enfants d’Israël. Je ne dis pas cela parce que Cela s’est laissé prendre un photo avec moi ; en effet, ce n’est pas à moi que Cela est destinée, c’est destiné à l’Eglise, l’Eglise entière.
12 Maintenant, si nous remarquons bien, nous savons que c’était l’Ange de l’Alliance qui – qui conduisait les enfants d’Israël, Lequel était le Logos, ou Christ, l’Esprit de Christ. Et lorsqu’Il était ici sur terre, Il a dit : « Je suis venu de Dieu, et Je retourne à Dieu. »
Et puis, après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, Paul, sur le chemin de Damas, a été terrassé par une Lumière, la même Colonne de Feu. Aucun des autres ne L’a vue. Paul L’a vue. Elle était si réelle pour lui qu’Elle lui a fait perdre la vue pour un temps. Pierre, cette Colonne de Feu est entrée là, une Lumière, est entrée dans la prison en traversant les barreau et l’a fait sortir de la prison.
Eh bien, nous voyons que scripturairement parlant, il semble que c’est la même Colonne de Feu. Et observez aujourd’hui, Elle accomplit le même genre d’oeuvres qu’Elle a accompli lorsqu’Elle était dans notre Sauveur béni, le Seigneur Jésus.
13 Et je – je n’arrive vraiment pas à comprendre de voir comment cela passe par-dessus de la tête des gens. Mais vous savez, il y a certaines choses qui doivent se passer, et ensuite, après qu’elles soient terminées, les gens disent : « Eh bien, je – je ne voyais vraiment pas cela de cette façon-là. » Cela doit arriver dans la suite des temps, juste comme Georges J. Lacy l’a dit, le responsable du F.B.I. pour les empreintes digitales et pour les documents photographiques qui a fait une déclaration et qui a examiné la photo.
Eh bien, dans ce… Il y a quelque temps une vision est apparue et m’a dit d’aller en Afrique. Et moi, j’ai pensé qu’elle voulait dire d’aller premièrement en Afrique, et puis en Inde. Et le Seigneur m’a parlé disant d’aller premièrement en Afrique, et ensuite en Inde. Eh bien, je me suis dit que cela concordait bien avec la vision.
14 Et ensuite, j’ai oublié cela, et je me suis rendu premièrement en Inde, et alors, Il m’a réprimandé au Portugal, comme vous en connaissez l’histoire. Et Il a dit : «‘Je crois t’avoir dit d’aller premièrement en Afrique.’ » Et alors, j’ai été réprimandé. Et tout le temps, c’est ce que je m’imaginais, maintenant cela revient à l’esprit, la révélation commence à me pousser d’aller en Afrique, et j’ai lu la vision, et la vision disait réellement : « Va en Inde premièrement puis retourne en Afrique. » C’est très exactement ainsi que cela va se passer.
Maintenant, voyez-vous, le Seigneur m’a parlé, sachant que moi, je faillirais, mais la vision ne peut pas faillir. C’est ce que Dieu a déjà dit et cela ne peut pas faillir. La vision, je l’ai écrite sur une feuille de garde de ma Bible. J’amènerai peut-être la Bible pour vous le faire voir. Il est effectivement dit que je me rendrais premièrement en Inde et qu’ensuite, je retournerais en Afrique ; mais Il m’a dit d’aller premièrement en Afrique et puis en Inde, tout en sachant que moi, je faillirais, mais la vision ne peut jamais faillir. Dieu l’a dit. Il doit en être ainsi.
15 Oh ! quel jour que celui dans lequel nous vivons ! Quelle heure que celle à laquelle nous faisons face, le temps de la fin ! En fait, les gens aujourd’hui semblent être comme ceux dont il est question dans notre passage biblique de ce soir qui disaient : « D’où ceci vient-il ? Comment a-t-Il reçu cette sagesse, Lui le Fils d’un charpentier ? » Ils ne se rendent pas compte qu’il ne s’agit pas de la personne ; c’est le Christ, Dieu.
Jésus a dit : « Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, si vous ne pouvez pas Me croire, croyez aux oeuvres. » Voyez ? Et puis, il est écrit que quoique Tu aies accompli plusieurs oeuvres, ils ne pouvaient pourtant pas croire parce qu’Esaïe avait dit : « Ils ont des yeux mais ils ne peuvent pas voir, ils ont des oreilles mais ils ne peuvent pas entendre. » Ces gens, le monde, ne se sont pas réellement rendu compte que c’était là le Fils de Dieu jusqu’à ce qu’Il soit mort, enseveli et qu’Il soit ressuscité.
16 Eh bien, tout au long des âges, Dieu a eu un moyen de Se manifester à chaque génération, au cours des âges. Il… Là au jour du jugement, il n’y aura aucune excuse pour qui que ce soit de n’importe quel époque. Le Dieu infini s’est manifesté à chaque génération d’une façon particulière et remarquable. Et Dieu, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, a parlé à nos pères par les prophètes, et en ces derniers jours, Il nous a parlé par Son Fils, Jésus-Christ. Il a toujours frayé une voie, et ç’a toujours été le surnaturel qui a attiré l’attention du croyant prédestiné et qui a aveuglé les yeux de ceux qui sont destinés à la condamnation. C’est tout à fait vrai. Vous ne pouvez pas croire si Dieu ne vous appelle pas à croire. C’est tout à fait vrai.
17 L’Ecriture ne peut pas faillir. Jésus n’est point venu sur terre simplement pour dire : « Eh bien, Je vais mourir et Je vais voir qui sera – qui aura pitié de Moi et peut-être c’est celui-là qui sera sauvé. » Ce n’était pas ça. Il est venu pour mourir pour ceux que le Père connaissait par Sa prescience qui devaient être sauvés ; et Il est venu pour sauver ce reste-là que Dieu, avant la fondation du monde, connaissait qui devait être sauvé. C’est tout à fait vrai. Il a dit : « Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement. » C’est vrai. Cela ne dépend ni de celui qui veut ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde. C’est exact.
Eh bien, en nous référant aux âges passés, nous aimerions baser ce petit message sur ceci, à savoir que là dans les âges passés, lorsque Dieu envoyait quelque chose sur terre pour Se manifester au peuple, si le peuple en général acceptait la chose, ils avaient un temps glorieux de jubilé. S’ils rejetaient la chose, ils étaient rejetés.
18 Ici, Jésus parlait aux gens et accomplissait des miracles. Il était capable de discerner les pensées des gens. Et les érudits bien formés, ces ecclésiastiques de l’époque disaient qu’Il était Beelzébul. Eh bien, lorsque vous retournerez chez vous, lisez ce chapitre et vous verrez que ces érudits ne disaient pas tout haut que Jésus était Beelzébul, mais c’est dans leurs coeurs qu’ils pensaient que Jésus était Beelzébul. Et Jésus pouvait discerner leur pensée. C’est ce que dit la Bible. C’était simplement dans de leurs pensées.
Vous n’avez pas besoin de le dire tout haut. Dieu connaît vos pensées. Ils pensaient dans leurs coeurs : « Cet homme est un spirite. C’est un devin ou un grand prince des démons, Beelzébul.
Et Jésus, connaissant leurs pensées, a alors commencé à leur dire : « Satan peut-il chasser Satan ? S’il le peut, alors son royaume est divisé contre lui-même. »
19 Alors Il a fait cette très forte déclaration : « Si vous M’appelez Beelzébul, Je vous le pardonnerai. Mais lorsque le Saint-Esprit viendra, si vous blasphémez contre Cela, il n’y aura jamais de pardon, ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir, cela ne vous sera jamais pardonné. »
Maintenant, dans l’Evangile de Saint Marc, comme Il l’a déclaré, Il a dit que comme les gens L’ont taxé d’un esprit impur… Les oeuvres qu’Il accomplissait, le discernement de leurs pensées, les miracles venant de Dieu, qu’Il accomplissait, eux, ils ont appelés cela un démon, un esprit impur. L’oeuvre de Dieu était considérée comme un esprit impur. Et Jésus a dit que c’est un blasphème qui ne peut jamais pardonné.
20 Qu’en est-il donc de l’Amérique ? Qu’en est-il du jour dans lequel nous vivons ? Qu’en est-il donc du péché impardonnable qui a été commis des milliers et des milliers de fois ? Quand l’église et les grands enseignants et autres disent : « N’assistez pas à ces réunions. Eh bien, c’est du diable », ils se séparent éternellement de la Présence de Dieu. Peu importe combien ils sont importants, combien ils ont prêché et tout ce qu’ils ont accomplis, la Parole de Dieu ne peut pas faillir. Peut importe qui vous êtes. Il n’y a point d’acception de personne. Docteur, érudit…
Jésus a dit que ces pharisiens qui étaient si religieux, de telle sorte qu’il leur fallait provenir d’une certaine lignée et être d’une certaine naissance, et ils devaient être formés, être saints, justes, honnêtes, et droits, Il leur a dit : « Vous êtes de votre père, le diable. » C’est vrai. Le diable est religieux et peut revêtir une apparence très religieuse et accomplir des actions qui relèvent de la sainteté. Mais Dieu regarde au coeur.
Dans un certain passage Jésus a dit : « Comment pouvez-vous dire de bonnes choses ? Car c’est de l’abondance du coeur que la bouche parle. » Si donc votre coeur pense une chose et que votre bouche en déclare une autre, Jésus a dit : « Vous êtes des hypocrites. »
21 C’est donc ce qui se passe dans ce monde aujourd’hui ; c’est même plus qu’à cette époque-là. Mais maintenant, nous Le voyons comme Il… Ces gens lui disaient : « Cet Homme est Béelzébul, parce qu’Il est un diseur de bonne aventure. C’est un – un devin ou un mauvais esprit. » Et Jésus a renvoyé ces gens à l’oeuvre de Dieu dans les jours passées. Il a parlé de Jonas. Et ensuite, Il est descendu au temps de Salomon. Salomon était un grand homme. Il était un fils de David et préfigurait le Seigneur Jésus. Ainsi son royaume, naturellement, c’était un royaume terrestre et celui-ci a été détruit. Mais le Fils de David, qui est Jésus, Son Royaume ne tombera jamais.
Et nous remarquons qu’au temps de Salomon… Et Jésus a déclaré que le jour dans lequel ils vivaient était plus grand que le jour dans lequel Salomon avait vécu. Et combien celui-ci plus glorieux donc, puisque le blasphème pouvait être pardonné à l’époque, mais en ce jour-ci il ne peut être pardonné. Quel jour plus glorieux que celui-ci par rapport à celui-là. Même lorsqu’Il marchait en Galilée, Ses actions et Ses oeuvres aujourd’hui devant les hommes, c’est un plus grand péché de rejeter cela que ça l’était à l’époque où Il était ici sur terre. Oh ! si seulement l’église pouvait être éveillé vis-à-vis de ces choses !
22 Maintenant remarquez. Aux jours de Salomon, Dieu a envoyé un grand don sur terre. C’était un don de discernement. Et c’est Salomon qui avait ce don. Et oh ! toute la nation croyait cela. Tout Israël était d’un commun accord, lorsqu’il a vu cette grande sagesse de Salomon, que le Seigneur lui avait donné ; toute la nation s’est réjouie de ce que Dieu avait donné ce grand don.
Et vous savez, cela est appelé l’âge d’or d’Israël. C’était, pour ainsi dire, leur millénium. Je pense qu’Israël a prospéré plus sous le règne de Salomon que sous le règne de n’importe quel autre roi, qu’ils aient jamais eu, parce qu’ils croyaient au don que Dieu avait envoyé. S’ils avaient rejeté cela, ils auraient été assujettis et déportés par d’autres nations et ainsi de suite.
23 Et aujourd’hui, si Dieu envoie quelque chose et que l’église rejette cela, comment pouvons-nous nous attendre à autre chose que la confusion ? Comment pouvons-nous nous attendre à autre chose qu’aux dénominations, aux barrières, aux organisations, à toutes sortes d’imitations et que sais-je encore aujourd’hui, étant donné que nous rejetons cela. Lorsque Dieu commence à faire quelque chose, le – dans un… peut-être au sein d’un peuple, les autres disant : « Eh bien, ça, ce n’est pas notre dénomination. Eh bien, nous allons chercher quelqu’un desnôtres pour faire cela. » Et vous provoquez des imitations charnelles, ce qui est mauvais aux yeux de Dieu, et vous vous éloignez de la chose véritable. C’est vrai.
24 Il y a quelque temps quand un petit garçon est apparu, je suis allé voir ce petit garçon d’environ dix ou douze ans… Il s’appelait le petit David Walker, un merveilleux petit prédicateur. Il ne racontait pas de petites histoires comme celles que maman lui avait apprises par des cajoleries, les histoires du petit enfant Jésus. Il a ôté son veston, il a pris un passage des Ecritures et il L’a manipulé comme un homme.
Et je me suis entretenu avec certains frères. J’étais tout nouveau dans le monde du Plein Evangile. Je ne savais pas qu’ils avaient le même problème que nous les baptistes nous avions, avec toutes sortes de divisions. Je pensais qu’ils étaient des anges. Ainsi donc, nous avons découvert que l’un d’eux disait : « Eh bien, nous sommes membres d’un certain groupe. »
J’ai dit : « Qu’est-ce que cela change-t-il, le groupe dont son père fait partie ? Il est le don que Dieu a envoyé à l’église. »
25 J’ai dit : « Si vous les frères, vous laissiez tomber vos différentes petites idées, et que vous vous mettiez autour de ce petit garçon, et que vous ne le laissiez pas devenir tout enflé d’orgueil, mais que vous l’envoyiez, il gagnerait des milliers de petits enfants au Seigneur, des petits garçons et des petites filles. »
Mais que s’est-il passé ? Tout le monde s’est cherché un petit David. Partout où on allait, je… Le petit ami est allé à Miami et a connu des problèmes, et je suis allé là-bas pour l’aider. Et deux pages entières [du journal] étaient pleines de petits David. La jalousie, cela montre que c’est charnel et que ce n’est pas de Dieu. N’importe quelle église qui fera un tour pareil, n’est pas de Dieu. C’est impossible. Et voilà où nous en sommes aujourd’hui. Les gens ne veulent rien croire, mais ils essaient d’imiter la chose. Et en le faisant, ils en ont des conceptions charnelles. Et en le faisant, ils en n’ont des manifestations charnelles. C’est tout ce que cela produira.
Mais ce n’était pas ainsi au temps de Salomon. Ils croyaient tous que Dieu leur avait envoyé un Salomon et que ce dernier était le serviteur de Dieu. Ils s’étaient tous rassemblés autour de ce don. Ils n’avaient pas cinquante Salomons, ils avaient un seul Salomon.
26 Et ils n’y avaient pas cinquante Moïses. Une fois, il y avait un homme qui s’appelait Koré. Il s’est levé et a dit : « Eh bien, attendez un instant. Il y a beaucoup de prophètes et beaucoup de saints hommes comme Moïse. Il n’y a pas que Moïse seul. »
Dieu dit à Moïse : « Sépare-toi de lui. » Et Dieu a ouvert la terre et celle-ci l’a englouti.
La Bible prédit que dans les derniers jours la même chose se répéterait, et que les gens périraient dans la révolte de Koré. C’est vrai. C’est l’Ecriture.
27 Et remarquez, mais au temps de Salomon… Jésus les a ramenés au – au temps de Salomon, au temps où il y avait ce grand don. Considérons cela. Eh bien, tout le monde commençait à témoigner, disant : « Le Seigneur Dieu est avec nous. Il est réellement avec nous. Car Il nous a donné un grand et puissant don, notre frère Salomon. Le Seigneur lui a donné le discernement afin qu’il puisse révéler et – et … nous révéler les choses que nous devrions faire. Et l’Esprit du Seigneur est vraiment sur notre frère. » Et tout le monde d’un commun accord…
Cela a commencé à se propager partout en Palestine, d’une nation à l’autre, d’une ville à une autre jusqu’à ce qu’il fût connu du monde entier que Salomon était le serviteur de Dieu et qu’il y avait un grand et puissant don qui était envoyé du ciel, et que seul le ciel pouvait envoyer à une – une église ou à un mortel. L’homme ne pouvait pas accomplir ces choses par lui-même. Et ils croyaient tous d’un commun accord.
28 Et voyez-vous ce que cela a fait ? Il lui fut construit un temple imposant. Cela lui a donné la richesse du monde. Cela leur a fait gagné la faveur de chaque nation ; toutes les nations craignaient Israël parce qu’elles voyaient la puissante union parmi le peuple à cause d’un don que Dieu leur avait envoyé. Finalement, très loin aux extrémités du monde connu, il y avait une petite reine, une païenne. Et ici elle est appelée la reine du Midi, c’est-à-dire Seba. Et elle était loin dans son pays au-delà de ces déserts. Et tous ceux qui passaient disaient : « Oh ! il vous faudra aller là à Jérusalem, là en Palestine, car ils ont un grand Dieu là qui les a visité par un grand don. Et il s’y accomplit des signes et des prodiges par un homme appelé Salomon qu’ils ont fait roi. »
29 Vous savez, la foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend de la Parole de Dieu. La foi vient de ce qu’on entend. Maintenant, comment le monde extérieur peut-il croire lorsque l’église condamne l’un, élève l’autre, boute dehors celui-ci, met ce… Comment peut-il croire ? Vous voyez ?
Mais il n’en était pas ainsi à l’époque. D’un même accord tout le monde témoignait. C’était merveilleux. Et cette petite reine a commencé à entendre cela. Eh bien, elle n’était pas de l’une des tribus d’Israël. Elle était une Gentille, une païenne. Mais la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole. Et lorsque vous continuez à entendre de tels témoignages, cela suscite à produire la curiosité. Les gens commencent à se demander : « Est-ce possible? »
C’est, sans doute, le sentiment que cette petite reine a commencé à éprouver. Et au fur et à mesure que la foi continuait à croître, elle s’est dit : « Vous savez, il n’y a qu’un seul moyen pour moi d’être sûr de ceci, c’est en allant voir de moi-même. »
C’est la bonne chose à faire. Ne considérez pas ce que quelqu’un d’autre a dit ; allez voir de vous-même. Soyez convaincu.
30 Et sans doute que cette petite femme avait beaucoup de choses auxquelles elle devait faire face. Et il y avait beaucoup de choses l’ont contrecarrée et ont contrecarrée son voyage. La première chose, c’est que sa religion ne lui permettait pas d’y aller. Son église à elle n’aurait pas collaboré dans cette campagne qui se tenait là-bas. Mais pour elle, ça lui était égal. Elle voulait découvrir la chose. Elle voulait être sûre.
Ainsi, il y avait encore un fait, c’est qu’elle avait à effectuer un long voyage, et elle n’était qu’une femme. Et souvenez-vous, dans ces déserts à l’époque, les fils d’Ismaël étaient là, c’étaient des brigands. Et maintenant, la petite femme, comme quelque chose au-dedans d’elle a commencé à tirer, l’obligeant d’aller voir d’elle-même… J’aime cela.
31 Lorsque Philippe a trouvé Nathanaël et que se dernier a dit : « Maintenant, peut-il venir quelque chose de bon de Nazareth ? » Philippe a répondu : « Viens et vois de toi-même. Viens, sois convaincu.»
Et la petite reine s’est dit la même chose. Combien c’était mieux de la part de cette reine d’avoir eu de telles pensées, comparé à ce que font des dizaines des milliers de gens, oui, des millions de gens de Chicago ce soir. Les réunions sont annoncées à travers les journaux et tout. Pouvez-vous voir combien cette nation est prête pour le jugement ? Et Dieu voulant, si ma voix s’améliore un peu, je vais prêcher dans quelques soirées sur les Spoutnik moderne. Ainsi donc, je dois prendre quelque chose le soir suivant, parce que cela vous met vraiment dans une situation difficile.
Eh bien remarquez. Mais de voir les gens d’aujourd’hui rejeter Christ, simplement à cause des dénominations, parce qu’ils sont plus satisfaits en regardant la télévision et autres, qu’en écoutant l’Evangile. Leurs coeurs ne sont pas affamés. Cela leur est égal. Eh bien, ils ne veulent pas sortir par une soirée comme celle-ci. Beaucoup de riches qui peuvent rouler dans des Limousines et des Cadillacs là-bas, et qui ont lu ces annonces et autres, eh bien, ils disent : « Notre pasteur dit que c’est un démon. » Et ils ont foi en lui.
Oh ! il n’est pas étonnant qu’ils soient devenus deux fois plus des enfants de la géhenne qu’ils ne l’étaient au départ. Cela est certainement la vérité.
32 Eh bien, cette petite reine a dit : « J’irai et je vais découvrir la chose. » J’aime cela. Eh bien, elle n’est point allée pour voir un Ange. Vous savez, les gens se mettent en tête aujourd’hui que si Dieu va faire quelque chose, Il faut qu’Il le fasse par un Ange, qu’Il doit envoyer un ange du ciel et lui ordonner de faire la chose. Dieu n’envoie pas des Anges. L’homme, c’est le serviteur de Dieu. Dieu prêche l’Evangile au travers des hommes.
La Bible dit qu’Elie était un homme de la même nature que nous, non pas un Ange, un homme. Il était vraiment un homme. Et il avait des hauts et de bas comme nous en avons, vous et moi, au point que cela est passé par-dessus la tête des gens ordinaires ou de – de tout le peuple.
33 Jésus était vraiment un Etre humain, c’était vraiment un Homme, juste le Fils d’un charpentier, n’ayant point l’instruction de ce monde à ce que nous sachions, c’était un homme pauvre. Où avait-il reçu cette connaissance ? Certainement qu’Il utilisait des termes comme « his, hain’t, et tote, fetch et carry [langage de la truc – N.D.T.] comme nous aujourd’hui, une – une grammaire qui n’était pas raffinée. Les gens ont dit : « De quelle école sort-il ? Où a-t-Il étudié ? N’est-ce pas le fils du charpentier ? »
Eh bien, Il était tellement humain que…– si réel et si humble que cela est passé par-dessus la tête des gens. Ils n’ont pas compris cela. S’il s’agissait de Caïphe, le souverain sacrificateur, ou d’un grand érudit raffiné, oh ! ils auraient dit : « Oui, votre honneur, honorable et révérend père. Oui, nous – nous croyons cela. »
Mais Dieu rend la chose si humble qu’elle passe par-dessus la tête des gens. C’est vrai. C’est ainsi qu’Il a toujours agi.
34 Eh bien, la reine ne se rendait pas là-bas pour voir un ange ; elle allait là pour voir un homme à qui Dieu avait donné un don, un don qui était réellement prouvé comme étant authentique, tel qu’elle l’avait appris. Aussi, s’était-elle apprêtée pour aller.
Eh bien, si vous mesurez la distance sur votre carte, représentait un long voyage à travers ce désert. Cela devrait lui prendre au moins trois mois pour effectuer ce voyage à dos de chameau. Eh bien, vous direz : « Chicago est un peu trop loin pour moi, j’habite très loin là à l’école secondaire Lane Tech vers le nord et c’est l’hiver. Si seulement vous pouviez faire en sorte que ces réunions se tiennent ici dans mon Eglise ou de l’autre côté de la rue, je viendrai probablement en visite une fois. » Et vous allez au ciel ? Oh ! certainement. Oui, oui.
35 Vous aimez le Seigneur. Vos oeuvres prouvent ce que vous faites. On reconnaît les gens à leurs fruits. Si quelque chose vous tombe tout cuit, vous n’appréciez pas cela de toute façon. Il faut que ce soit quelque chose pour lequel vous combattrez et faites un sacrifice (Certainement, c’est ça.), que vous tirez de la joie.
Eh bien, la petite reine avait quelque chose à affronter. Il a dû voyager à dos de chameau pendant trois mois là dans le désert, pas dans un autocar climatisé donc, mais – ni dans une Cadillac, mais à dos de chameau à travers ces déserts chauds. Pourquoi ? Dieu parlait à son coeur et elle était déterminée à voir si ce don était vrai ou pas. Voilà. Cette femme a effectuée un voyage pendant trois mois pour aller voir où cela était, et les gens ne peuvent pas s’asseoir dans une réunion pendant trois minutes pour découvrir si la chose est vraie ou pas. Voilà la différence. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit : « Elle se lèvera dans les derniers jours et condamnera cette génération. » C’est vrai.
36 Trois mois durant dans un désert chaud, et trois minutes dans un siège en peluche, quelle différence ! Venir à dos de chameau ou dans une Cadillac, comprenez-vous la différence ? Que répondra cette génération au jour du jugement quand la reine de Seba se lèvera ? Certainement. Que dira l’église qui a rejeté le don de Dieu alors que ce groupe d’Israélites là-bas avait acceptée quelque chose qui ne valait pas la moitié de ce qu’on a maintenant ? Que dira-t-elle ? Posez la question.
Salomon n’est allé nulle part. Ce sont les gens qui se rendaient auprès de Salomon. Ils avaient faim. Ils avaient soif. Ils croyaient. Et Dieu était à l’oeuvre. Aujourd’hui, nous sommes rassasiés et nourris, et nous n’avons besoin de rien, comme nous le disons, et comme le dit la Bible : « Tu ne sais pas que tu es pauvre, malheureux, misérable, aveugle et nu, et tu ne le sais pas. » Voilà ce qui est dommage. Vous ne le savez pas.
37 Si un homme était nu et aveugle dans la rue et qu’il s’en rendait compte, il essayerait de s’aider lui-même. Mais lorsque ce dernier ne le sait pas, c’est ce qui est pitoyable. Cet homme n’est donc pas dans un bon état mental. Et, l’église n’est pas dans un bon état spirituel ; elle ne le sait seulement pas. Jésus a dit : « Si vous Me connaissiez, vous auriez connu Mon jour. »
Remarquez. Et puis, elle avait autre chose qu’elle avait arrêté dans son esprit. Maintenant, je ne sais pas. Je n’ai jamais vu cela jusque là, comme je l’ai dit hier soir. Après que vous avez vu l’oeuvre de Dieu, alors Dieu va – peut vous punir à juste titre pour avoir rejeté cela. Or elle, elle n’avait pas encore vu l’oeuvre de Dieu. Mais elle a dit : « Si cela est vrai, je vais supporter cela avec tout ce que j’ai. » Aussi a-t-elle chargé les chameaux d’or, et de tout le reste, de myrrhe et d’encens. Si le don était réellement vrai, elle allait le supporter. C’est vrai.
38 Et si les dons de Dieu sont vrais, vous n’êtes pas tellement obligé de supporter cela financièrement, mais vous devriez supporter cela avec les louanges de Dieu, les témoignages, en conduisant les gens à Christ et en faisant quelque chose pour la gloire de Dieu. Pas seulement avec votre argent ou que sais-je encore, mais vous devez soutenir l’oeuvre de Dieu avec tout ce qu’il y a en vous.
Elle a chargé le chameau. Et en allant, souvenez-vous, elle allait avec tout cet or sur ces chameaux, cet or qui coûtait des milliers et des milliers des dollars, des pierres précieuses, de la myrrhe, de l’encens, des parfums odoriférant de très grand prix. Et lorsqu’elle est allée pour voir si cela était vrai, elle allait pour soutenir cela. Eh bien, considérez quel risque elle a dit courir, avec tous ces brigands du désert qui l’attendaient.
39 Mais si dans votre coeur il y a un appel de Dieu, rien au monde vous garder éloigné de Christ. Toutes les menaces comme quoi vous serez excommunié de votre église, toutes les menaces comme quoi ils vont vous licencier au travail, rien ne nous séparera, ni ne nous empêchera d’atteindre notre but, lorsque dans notre coeur nous nous mettons réellement en ordre et que notre objectif est juste et que nous allons en toute sincérité pour chercher à savoir si c’est Dieu qui a accompli la chose.
Si Jésus est ressuscité d’entre les morts, soutenons la cause. S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, tenons-nous-en à cela. Faisons tout ce que nous pouvons pour amener les gens à voir le Royaume de Dieu.
Elle devait traverser le désert. Ainsi, elle s’est mise en route. Eh bien, si vous êtes déterminé, et que c’est pour une cause juste, Dieu frayera une voie. Après quelque temps, nous voyons le chameau dans le désert, la pauvre petite femme montée dessus, les vents du désert soufflaient, et ses lèvres devenaient sèches ; mais ses yeux étaient tournés vers Dieu. Quoique les chameaux avançaient en trébuchant sur la route, qu’elle avait une toute petite armée des gardes, et que ce grand désert était rempli d’Ismaélites qui auraient pu les assaillir en un instant, toutefois, dans son coeur, elle était déterminé. « S’il y a un Jéhovah Dieu, et qu’Il Se fait connaître, j’aimerais être Sa servante. »
40 Voilà. Ne vous en faites pas. Il y avait des myriades et des myriades d’Anges qui marchaient avec cette troupe alors qu’elle avançait. Aucune flèche qui vole de nuit, ni une terreur de la nuit, ni une flèche qui vole de jour ne pouvait l’atteindre. Elle devait absolument trouver Jéhovah. Elle Le cherchait avec un coeur fidèle.
Il fera de même pour vous. Si simplement vous pouvez voir la simplicité de la chose. Non pas… Dieu ne brille pas dans une sorte de grand éclat. Il ne le fait jamais. Sa grand heure où Il fera cela vient, lorsqu’Il Se révélera Lui-même de la gloire. Mais aujourd’hui, Il travaille dans la simplicité pour accomplir les choses comme Il l’a toujours fait.
41 Et la voilà qui s’en va. Et les vents soufflent, il fait chaud dans les déserts, mais elle se presse vers le but de la vocation céleste. Elle va arriver parce que Dieu veillera à ce qu’elle arrive. La voilà qui s’en va, une petite femme, avec toute cette troupe d’hommes ainsi que ses petites servantes qui l’entouraient, et les voilà qui traversaient ce désert.
Il n’y avait aucun endroit ombragé où elle pouvait s’asseoir pour prendre du repos. Elle est simplement restée sous une espèce de petite voûte – voûte qui était au-dessus d’elle. Et comme le vieux chameau avançait par saccades à travers le désert, la petite femme était ballottée tant tôt d’un côté, tantôt de l’autre, jour et nuit, à travers de grands dangers, des bêtes féroces comme des lions, et autres dans le désert, mais elle continuait d’avancer. Elle ne laissait rien se tenir en travers de son chemin. Tous les évêques, les docteurs, et les archevêques du monde n’auraient pas pu l’arrêter. Elle était déterminée à découvrir si la chose était correcte ou fausse. Il n’est pas étonnant qu’elle se tiendra en jugement avec cette génération. Elle était déterminée à découvrir si la chose était correcte ou pas. Et elle continua son chemin.
Et finalement, sans s’arrêter, étant conduite par l’Esprit, elle est arrivée… Vous vous demanderez : « Conduite par l’Esprit ? » Absolument. Toute personne qui se met en route pour s’avancer vers Dieu est conduite par l’Esprit. Elle l’était absolument. Et les puissants Anges l’ont guidée droit jusqu’à la porte de Jérusalem et l’ont fait entrer dans la ville.
42 Et lorsqu’elle est montée au temple… Eh bien, elle n’y est pas montée simplement pour s’asseoir pendant quelques minutes pour découvrir ce qui se passait. Elle n’était pas allée simplement pour y rester un jour, elle a dû retourner à la hâte vers sont royaume. Elle était allée pour y rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue. Voilà comment il faut y aller. Restez simplement là jusqu’à ce que vous soyez convaincu.
Elle a déchargé les chameaux, elle a dressé ses tentes et que sais-je encore, elle a gardé ses trésors et tout jusqu’à ce qu’elle se soit assise dans la réunion pendant un moment pour découvrir si c’était vraiment la vérité ce qu’elle avait entendu. Certainement, elle avait la foi pour croire que c’était vrai, mais alors, elle voulait voir si la chose était correcte ou pas.
43 Ainsi, quand elle est allée à la réunion le lendemain matin, là où Salomon se tenait et où on lui apportait des cas, elle a commencé à observer Salomon et elle s’est rendue compte qu’il n’était qu’un homme ordinaire. Et elle a vu le grand discernement de l’Esprit de Dieu à l’oeuvre au travers de cet homme. Elle a observé cela réunion après réunion. Elle a établi son campement et observait. Et finalement lorsqu’elle était complètement convaincue, elle est allée prendre tous ses trésors, tout ce qu’elle avait, et les a déposés aux pieds de Salomon. Et elle a dit : « Tout ce dont j’ai entendu ces saints témoigner est vrai, c’est vrai et c’est plus que ce que je les ai entendu dire.
44 Pourquoi ? C’était plus parce qu’elle avait expérimenté la chose à ce moment-là, elle qui était une femme païenne. Qu’elle se tienne en jugement contre les presbytériens d’aujourd’hui, les baptistes, les méthodistes, les catholiques, les pentecôtistes, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, les adventistes du septième jour et les gens de la Science chrétienne. Que ces gens… Qu’elle se tienne là en ce jour-là, elle qui était une païenne contre les gens qui sont censés lire la Bible journellement et prier. Observez son témoignage contre les gens de ce jour-ci. Oui, oui.
Elle était une femme païenne, mais elle y est allée, et lorsqu’elle a vu que c’était la vérité, ce grand don que Dieu avait donné, elle a alors reconnu que c’était la vérité car elle avait vu cela de ses propres yeux. Et Jésus a dit qu’elle se lèvera au jour du jugement et condamnera les prêtres, les prédicateurs ainsi que ces gens soi-disant religieux. Elle se lèvera au jour du jugement et condamnera cette génération qui Le taxait de démon. Pensez-y.
45 Pensez-y en ce jour où nous vivons. Mon frère, ma soeur et mon ami, Dieu, dans chaque génération se manifeste toujours. Si les gens s’unissent ensemble autour de Christ et oublient leurs petites divergences, que ce sera glorieux ! Mais en ce jour-ci, lorsqu’Il vient pour se manifester une fois de plus, de toute les manières possibles, plus qu’Il le fit à l’époque…
Jésus s’est tenu sur le rivage de la Galilée, et Il s’est tenu à Jérusalem, dans – dans la ville, Il a déclaré : « Je ne peux rien faire de Moi-même. Le Père Me le montre premièrement et Moi, Je fais ce qu’Il dit. Mais si Je… »
Ils ont vu qu’Il pouvait accomplir cela ; ainsi, ils ont pensé qu’Il était un spirite. Mais lorsqu’ils ont vu la chose s’accomplir, ils ont reconnu que ça ne pouvait pas être un spirite. Mais leur statut de grande église et ainsi de suite les empêchaient d’accepter cela.
Nicodème l’a bien déclaré lorsqu’il a dit : « Rabbi, nous savons que Tu es un docteur venu de Dieu, car personne ne peut faire ces choses et les miracles que Tu accomplis si Dieu n’est pas avec lui. Ça, nous le savons. »
46 Eh bien, pourquoi n’acceptez-vous pas cela ? Pourquoi n’ont-ils pas laissé le Sanhédrin libre, les pharisiens et les sadducéens et tous les autres en disant : « Allez. C’est le Messie. » C’est parce que leurs dénominations et leur orgueil et ainsi de suite ne voulaient pas les laisser aller auprès d’une Personne non instruite comme ils se le disaient. Lui, Il avait l’instruction de Dieu. Il n’avait pas besoin de l’instruction de ce monde. Ainsi Dieu a travaillé en Lui, comme Il avait dû le faire avec Moïse, en faisant premièrement, sortir de Moïse toute la connaissance du monde avant qu’il puisse recevoir la connaissance de Christ en lui. Et aujourd’hui, nous essayons d’avaler la connaissance du monde, et d’expulser de nous la connaissance de Christ. C’est vrai. Nous sommes bourrés de toutes sortes des diplômes…
Eh bien, aujourd’hui, mon ami, Dieu vit encore. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et maintenant, que dites-vous là : « Voici, Je vous dis qu’il y a ici un plus grand que Salomon. » Et eux appelaient cela le diable.
47 Et alors, Il a dit : « Ces choses que Je fais, elles seront proclamées à une autre génération après Moi, à d’autres brebis que J’ai qui ne sont pas de cette bergerie. Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. Les choses que Je fais, vous les ferrez aussi » ; Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Toutes ces choses qu’Il a promises… et en plus de cela, Le voilà qui est descendu dans notre âge mécanique, à une époque où nous sommes un peuple scientifique, et Il a confirmé cela, qu’Il est le même par un appareil photographique scientifique. Qu’allons-nous donc faire ? Le fait est là. Si cet Ange ne fait pas les oeuvres de Jésus-Christ, alors c’est un faux ange. Mais s’il fait les oeuvres de Jésus-Christ, c’est qu’alors, c’est un vrai Ange. C’est vrai. Car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Comment les Juifs ont-ils su qu’Il était le même ? Lorsqu’Il a dit à ce Juif, ce véritable Juif, ce Juif qui était prédestiné à la Vie Eternelle que Philippe était allé prendre… Et il l’a amené là et lorsqu’il a vu Jésus, Jésus lui a dit : « Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude. »
Il a demandé : « D’où me connais-Tu, Rabbi ? »
Jésus lui a dit : « Avant que Philippe ne t’appelât, tu étais sous l’arbre. Je t’ai vu. »
48 Que ferait-Il à la génération des Gentils qui sont dans une époque comme la nôtre aujourd’hui. Il a fait cela pour se confirmer Lui-même aux Juifs. Il l’a fait pour confirmer cela aux Samaritains. Que fera-t-Il pour confirmer cela aux Gentils ? S’Il est le même pour les Juifs que pour les Samaritains, Il est le même pour les Gentils. Que font les Gentils ? Juste comme eux l’avaient fait à l’époque.
Ces grands érudits avec leurs rituels, ces aristocrates et que sais-je encore et ces gens soi-disant instruits et intelligents de ce monde, ils disent : « C’est le diable. N’ayez rien à faire avec cela, c’est une bande des saints exaltés. N’ayez rien à voir à faire avec cela. »
49 Mais Dieu lors de la grande résurrection prendra cette bande des saints exaltés et condamnera le monde. C’est tout à fait vrai. Certainement. Parce qu’ils ont cru, parce qu’ils ont lu cela dans la Bible et ils ont vu cela eux-mêmes. Et ils sont venus à travers un vent froid, à travers la neige, et tout pour reconnaître le grand don de Dieu à l’oeuvre dans ces derniers jours. Et ils disent : « Oh ! c’est mon Seigneur et mon Dieu. » Prions.
Ô Seigneur, notre Refuge dans toutes les générations, le même hier aujourd’hui et éternellement, ô Dieu éternel et béni, si nous devrions nous lever d’ici juste en ce moment pour rentrer chez nous dans nos maisons, nous pourrions nous en aller heureux et en nous réjouissant parce que nous croyons Ta Parole.
50 Mais nous aimerions Te demander, ce soir, que s’il y en a quelques-uns ici qui sont plutôt découragés, comme ceux-là qui revenaient un jour d’Emmaüs... Alors qu’ils étaient en route vers Emmaüs en provenance de Jérusalem, Tu as fait route avec eux, Tu t’es entretenu avec eux et Tu leur as prêché. Et ils se sont dit que Tu avais une façon plutôt étrange d’expliquer les Ecritures, car par après ils ont dit : « Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin ? »
Mais une fois que Tu t’es retrouvé avec eux dans cette petite maison, et que Tu as fermé la porte, Tu as fait quelque chose exactement comme ce que Tu avais fait avant Ta crucifixion et Ta résurrection. Et ils ont reconnu que c’était Toi, car personne à part Toi ne pouvait faire ainsi. Et ils ont dit que c’était le Seigneur. Et ils sont rentrés en courant avec la nouvelle.
51 Seigneur Dieu, fait la même chose pour nous ce soir. Accorde-nous quelque chose que nous savons que personne ne peut faire excepté Toi, afin qu’ils retournent à travers les vents l’âme tellement remplie de feu qu’ils ne feront même pas cas du vent froid, et en disant : « Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous ? N’avons-nous pas été récompensés ? Non pas parce que le prédicateur a prêché ou que la chorale a chanté, mais parce que nous avons vu Jésus Se manifester au travers de Son peuple. »
Accorde-le, ô Dieu éternel, car nous T’aimons, et nous aimerions un jour Te rencontrer lorsque notre vie sera terminée ici et afin que nous entendions la Voix dire : « Monte plus haut vers un meilleur monde et vers un meilleur endroit. »
Alors que nous sommes ici, puissions-nous être des lumières, Seigneur, pour briller dans cette heure des ténèbres juste avant que la grande destruction ne frappe et que ces villes ne soient réduites complètement en poussières. Seigneur, Ton… Avant le jugement, Tu envoies toujours la miséricorde. Que Ton peuple ne rejette pas cela avec mépris. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
52 Eh bien, mes amis, je suis – je ne suis pas… Je ne saurais expliquer les choses que je connais, ce que je ressens dans mon coeur. Je ne saurais exprimer cela. Je ne suis pas instruit. Je n’ai pas reçu une formation pour prêcher. Par conséquent, je n’arrive pas à faire en sorte que mon message au niveau voulu. Et vous… Je… Excusez-moi pour cela. Mais généralement, frère Baxter, et les autres vont là et ils savent expliquer les choses. Et ce sont des prédicateurs qui sont des érudits et des chrétiens, ils ne sont pas seulement des érudits mais des chrétiens, des hommes nés de nouveau. Ils savent comment ordonner leurs sermons pour pouvoir apporter cela au peuple de telle manière que ceux-ci puissent le comprendre.
Eh bien, mon don ne consiste pas en cela. Je… Je ne suis pas en mesure de faire cela. Mon don consiste – consiste à avoir des visions ; et Christ a promis que cela arriverait. Vous voyez ? Et je sais que je n’ai pas de l’instruction et que sais-je encore. Et peut-être… Je ne dis pas peut-être ; je crois qu’Il a voulu que je n’aie point d’instruction, sinon je compterais probablement sur cela plus que je – plus que ce sur quoi je compte effectivement. Je ne m’attends strictement et complètement qu’à ce qu’Il me dit.
53 Eh bien, je crois qu’Il se manifestera. Et s’Il le fait, cela vous fera-t-il retourner chez vous joyeusement, L’aimant davantage et en vous réjouissant ? Si c’est le cas, veuillez simplement lever la main vers Lui, Lui qui est le… Que le Seigneur vous bénisse.
Gene est-il ici, et – et Gene Goad et Billy ? Oh ! il est là. Très bien. Je… Voyons la tranche entre 1 et 100que nous avons prise hier soir. Et je pense que nous avons commencé à partir de 1. Nous n’appelons jamais trop de monde ; nous en appelons peut-être de dix à quinze, quelque chose du genre, juste assez… On ne… Cela ne change rien.
La femme au puits, si cette femme n’avait pas été réellement consacrée à ce qu’elle écoutait, eh bien, cela ne lui aurait fait aucun bien.
Les pharisiens qui se tenaient là et qui ont vu Jésus accomplir ces miracles du discernement de leurs pensées, Jésus a pris la parole et leur a dit : « Pourquoi avez-vous de telles pensées dans vos coeurs ? Pourquoi m’appelez-vous Béelzebul ? » Il n’avait point dit cela à haute voix. Mais Lui, connaissait leurs coeurs, et Il le leur a dit.
Tout au long de la Bible, considérez Son ministère partout. Ce n’est pas qu’Il se soit présenté là et qu’il ait dit : « Voici Je vais faire ceci. » Il a dit : « Je ne fais rien sans que le Père me le montre premièrement. » Voyez ? C’est vrai. Saint Jean 5.19. Observez ce miracle, simplement… Les gens pouvaient faire cela.
54 Et ces choses qui sont accomplies ici à l’estrade, en réalité, ce ne sont pas exactement des visions, et pourtant c’est bien le cas. C’est votre foi qui touche Dieu et qui tire de Lui les choses que vous désirez.
Considérez la femme au – à la perte de sang. Elle a touché Son vêtement et est rentrée dans la foule. Et le… Jésus a demandé : « Qui m’a touché ? » Eux, ils ne le savaient pas. Il ne savait pas qui L’avait touché. Ensuite, Il a dit : « Je me suis affaibli. » Il était donc conscient que quelqu’un L’avait touché. C’était elle qui utilisait le don de Dieu. Elle utilisait le don de Dieu. Jésus n’en a rien su. Mais après qu’elle a touché Son vêtement, Jésus a parcouru la foule du regard jusqu’à ce qu’Il l’a trouvé, qui elle était.
55 Ça, c’était le don de Dieu qui répondait à sa foi à elle. Comprenez-vous cela ? Elle a cru cela, et elle-même a utilisé le don de Dieu. Ensuite, le don qui était en Jésus s’est adressé à la personne qui avait la foi, et lui a dit quel était son problème, et que sa – sa foi l’avait guérie.
Mais maintenant, lorsque Dieu voulait utiliser Son don, Il a simplement pris Jésus, et a dit : « Maintenant, quitte cette maison-ci de Béthanie. Après quatre jours, Lazare va mourir, et ensuite, Tu reviendras et Tu le ressusciteras. » Eh bien, Jésus s’en est allé, et on L’a envoyé chercher pour qu’Il vienne, mais Il savait que la vision avait dit de ne pas y aller, car Il a dit qu’Il ne faisait rien sans que le Père le Lui ait montré. Après quatre jours Il a dit : « Lazare dort. »
Les disciples Lui dirent : « S’il dort, il sera guéri. »
Jésus leur dit : « Il est mort. Mais à cause de vous, Je me réjouis de ce que je n’étais pas là, toutefois, Je vais le ressusciter. » C’est vrai.
56 Et à la tombe, Il a dit : « Je Te rends grâces, Père. Tu M’as déjà exaucé, mais J’ai dit cela à cause de ceux qui se tiennent ici. » Il n’était pas obligé de prier, mais Il connaissait cela. Or, il n’a point dit qu’Il s’était affaibli là. Combien la puissance de Dieu était plus grande pour ressusciter les morts que pour trouver où cette femme était. Toutefois, c’était une femme qui utilisait le don de Dieu, ou plutôt Dieu qui utilisait Son propre don.
Ça va. Ça va. La carte de prière… Joseph est juste allé pour se rendre compte. Carte de prière T, je pense que c’est ce qu’il a dit. Et puis, hier soir nous avons pris de 1 à 15. Ce soir, prenons donc de 85 à 100 ; prenons-en la dernière tranche. Eh bien, nous en aurons 15 ce soir. Et maintenant, un… eh bien, peut-être que nous commencerons demain soir, je ne saurais le dire. Voyez-vous ? Attendons jusque demain soir. Et puis… ?... 85.
57 J… Ça va, ensuite, J au lieu de l’autre série. Ça va. J… Ça va. 85, 99, 100. Cela fera quinze. Très bien, J-85, qui a cette carte ? La dame juste ici. Voudriez-vous venir ici, madame ? 85, 86, 87, 87 ? Frère Gene, je te prie de venir ici pour conduire ces gens à partir de l’estrade. 87, y a-t-il quelqu’un qui avait cette carte ? 88 ? Qui a la carte de prière 88 ? Ça va. 89 ? J-89, voudriez-vous lever la main ? Je… Les lumières frappe en plein ici. Je ne vois pas, je vous prie donc de lever la main afin que… 89, la personne est-elle déjà là ? 89, 90 ?
Oh ! c’est très bien, il n’y a pas de problème ce soir. 90, voudriez-vous lever la main, quelque part ? Levez la main et dites fort « amen » si vous le pouvez. La carte de prière J-90, 90 ? Est-ce qu’il n’y en a pas ici ?
58 C’est… Vous savez, je – j’aurais bien voulu que vous veniez prendre votre carte, vous voyez, ça m’embrouille. Vous voyez ? Et c’est juste ici que je ne suis pas censé être embrouillé. Voyez-vous ? Si vous recevez une carte, ne l’emportez pas. Si les jeunes gens vous en offre une, ne l’emportez pas si vous n’allez pas rester (dans la ville).
Je vous remercie, vous qui avez éteint ces lumières. Ne vous absentez pas. Si vous n’allez pas rester, eh bien, n’emportez pas la carte. Si vous l’emportez, vous devez revenir. Ça va. J-90, 91, 91, quelqu’un a-t-il… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Oh, quel moment ! Vous ne savez pas ce que l’on ressent en se tenant ici. Je pense qu’il y a au moins cinq cents personnes, je pense, là-bas. Plus ? De toute façon, je me suis tenu devant cinq cents mille personnes (vous voyez ?), et j’ai lancé un défi pour Christ devant des dizaines des milliers de païens. Il n’y a rien à craindre. Dieu l’a promis. Ces paroles sont aussi vraies qu’Il est vrai.
59 Eh bien, voici ce soir une belle scène de la Bible. Je me demande ce que vous les Gentils allez dire. Allez-vous être aussi révérencieux et respectueux que cette femme, ou les samaritains l’étaient lorsque la femme est entrée dans la ville, et qu’elle a dit ce que le Seigneur Jésus avait fait pour elle. Et elle a dit : « A cela… » Elle a même dit à ces gens : « N’est-ce pas là le Messie même ? » Assurément. Voyez-vous ?
Les Ecritures, on les comprend spirituellement. Combien savent cela ? On ne comprend pas les Ecritures du fait que vous les avez lues ou transcrites. Dieu a dit qu’Il a caché cela aux yeux des sages et des intelligents.
Ecoutez, même cette vision, j’ai écrit la vision moi-même, et je l’ai lue et relu des milliers de fois ou plus. Je n’ai point vu que j’étais censé aller premièrement en Inde. Je pensais que j’étais censé aller premièrement en Afrique. Mais alors, lorsque cette heure est arrivée, voici qu’elle était écrite juste de ma propre main. Vous voyez ? Je ne pouvais tout simplement pas voir cela. J’étais aveuglé à cela au point que je suis allé de l’avant et j’ai désobéi à Dieu ; cela afin qu’Il puisse me corriger et me montrer que Ses Paroles sont éternelles et ne peuvent faillir. Vous voyez ? Je ne pouvais tout simplement pas lire cela de cette façon.
Biens des gens ont dit : « Oh ! la Bible ne dit pas ces choses. » Si, la Bible le dit. Cela devient une réalité et Dieu confirme Sa Parole.
60 Eh bien, nous sommes étrangers l’un à l’autre, je pense, madame. Nous les sommes. La dame est une dame de couleur, et moi, un homme blanc. Cela fait deux races de gens, deux nationalités. Et c’était exactement ainsi dans Saint Jean au chapitre 4, une Samaritaine et un Juif. Tous deux étaient des gens de races différentes, mais Jésus leur a fait comprendre que Dieu ne fait acception d’aucune race, et qu’Il a créé toutes les races.
Nous venons tous d’un même père et d’une même mère, Adam et Eve, qui étaient les premiers sur cette terre. C’est de là que nous venons. Et nos nations et là où nous avons vécu, ce qui a changé la couleur de notre peau, cela n’a rien à voir avec Dieu. Nous sommes leurs descendants. Il a toutes sortes d’arbres. Il a toutes sortes de fleurs. Dieu ne veut pas que nous nous soyons tous identiques. Saviez-vous cela ? J’aurais aimé m’adresser à certains de ces ségrégationnistes et autres, s’ils peuvent écouter une minute. Oui, oui.
Dieu a créé des fleurs blanches, et Il a créé des fleurs bleues. Il a créé des fleurs rouges. Il les a créées différentes parce qu’Il les veut différentes. Il nous a créés différents parce qu’Il veut que nous soyons différents ; mais, nous sommes tous crée pour Ses louanges. C’est vrai.
61 Cette femme qui se tient devant moi est une chrétienne. Elle pourrait être une athée ou une critique, mais son esprit… Eh bien, lorsque le Saint-Esprit vient, Il fait de moi Son serviteur. Et si je suis Son ambassadeur, et que vous croyez cela de tout votre coeur, ma Parole est la Sienne. Sa Parole est la mienne. C’est vrai.
Si j’allais vers une autre nation en tant qu’ambassadeur de cette nation-ci, alors tout ce que je dis, cette nation doit soutenir cela. C’est vrai. Cela dépend de ce que l’autre nation en pense. Alors, comme je viens en tant que serviteur de Christ, et que je prononce Ses Paroles et qu’Il les confirme, et démontre par l’identification de Son Esprit que je dis la vérité, alors si vous croyez cela, il n’y a rien qui peut se tenir en travers de votre chemin pour vous empêcher de recevoir ce que vous voulez. Tout est possible à ceux qui croient.
Ainsi donc, pour que l’auditoire puisse savoir, nous voici, c’est la première fois de nous rencontrer dans la vie. Nous ne nous connaissons pas. Nous nous tenons simplement ici. Il lui a été remis une carte, soit par Gene, Léo, soit par Billy, ou quelqu’un d’autre.
62 Ils mélangent les cartes et les remettent aux gens et ensuite, quiconque en veut peut en recevoir. Ils en donnent un petit nombre ici, un petit nombre par là, un petit nombre par là, juste… C’est ce que je leur dis de faire. Je n’ai jamais assisté à la distribution. Mais c’est ce qu’ils sont censés faire.
Et cette dame-ci sait que je ne sais rien à son sujet, je ne l’ai jamais vue, et ceci c’est notre première fois de nous rencontrer pour autant que je sache. Vous étiez dans l’une de mes réunions, mais n’étiez pas montée à l’estrade. C’est ça. Donc vous m’avez vu, et il se pourrait que je vous aie vue au cours de la réunion, mais je ne vous connais pas du tout, toutefois, Christ vous connaît.
63 Eh bien, si vous êtes ici pour un certain besoin… Vous pouvez dire : « Je suis – je suis malade. Je souffre de…je – j’ai une maladie. » Et si moi je vous disais : « Eh bien, le Seigneur va vous guérir », vous pourriez bien douter de cela. Vous voyez ? Vous ne saurez pas si mes paroles à ce sujet sont justes ou pas. Mais si le Seigneur vous dit quelque chose dont vous savez que je n’en sais rien, alors, vous serez sûr que cela est venu forcément d’une puissance surnaturelle.
Eh bien, vous pouvez dire : « Eh bien, cela – c’est le diable qui lui a dit cela. » Alors, vous recevrez la récompense du diable. Si vous dites : « C’est le Seigneur qui le lui a dit », alors, vous recevrez la récompense du Seigneur. Est-ce vrai, l’auditoire ? Maintenant, c’est – c’est elle qui provoque cela ; ce sera la même chose pour vous. Je n’ai aucune idée de ce qui cloche avec cette femme. Je n’en ai aucune idée. Mais Dieu le sait.
Et je ne veux pas qu’elle me le dise, parce que je ne le sais pas. J’aimerais que cela vienne d’une force surnaturelle pour permettre à ce petit auditoire auquel j’ai prêché d’être sûr que c’est Dieu qui a accompli ceci. Alors, ce sera à eux de juger ce qu’ils en pensent.
64 Elle n’a aucun problème. C’est une femme en bonne santé, mais elle a dans sont coeur un désir sacré. Cette femme est venue à moi en espérant que je prierais pour elle, que je lui imposerais les mains afin qu’elle reçoive le Saint-Esprit. C’est tout à fait exact. C’est vrai. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Croyez-vous que cela devrait venir de Dieu ?
Voyons si le Seigneur dira quelque chose d’autre pendant que nous nous tenons ici. Je ne dis pas qu’Il le fera. Oui, vous avez un autre désir dans le coeur, et c’est pour un bien-aimé, votre mari. Vous voulez qu’il arrête de boire. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ces choses sont vraies, madame. Levez la main pour…
Maintenant, croyez-vous que cet Esprit qui parle avec frère Branham, qui peut faire couler les larmes sur vos joues comme cela, vous éprouvez une sensation comme vous n’en avez jamais eue auparavant... Vous voyez ? Qu’est-ce ? C’est le Saint-Esprit qui vient sur vous. Vous voyez ? C’est l’Ange du Seigneur dans la Présence duquel vous vous tenez. C’est Lui, c’est Lui qui est votre Sauveur et votre Rédempteur. Maintenant, je voudrais prier pour vous.
Ô Seigneur Dieu, accorde à notre soeur que voici, le désir de son coeur et ce qu’elle a demandé ; puisse-t-elle s’en aller ce soir en étant toute aussi heureuse que la reine qui était venue de Seba, pour voir un don que Tu avais envoyé à Salomon. Et puisse-t-elle rentrer chez elle se réjouissant et recevoir ce qu’elle a demandé. Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous le demandons. Amen. Que Dieu vous bénisse.
65 Maintenant, croyez-vous ? Croyez-vous vous tous ? Etes-vous satisfait ? Voyez, c’est le Seigneur. C’est Dieu. Je n’ai rien à voir avec cela. Je n’ai rien à voir avec cela. Eh bien, je vous demande tous là-bas de vous mettre à prier, vous qui êtes là-bas dans la ligne, vous qui êtes là-bas, vous qui n’êtes pas dans la ligne. Je vous demande de prier, de croire et d’avoir foi en Dieu. Certains d’entre vous qui n’ont pas de carte de prière…
Je prends simplement de mon temps parce que je sais qu’Il se tient ici. Oh ! si seulement je pouvais vous expliquer que ça ne sert à rien d’essayer. Je ne saurais le faire. Maintenant, voyez-vous ceci ? Regardez par là. Ça se trouve juste ici.
66 Vous n’avez pas de carte de prière. Avez-vous une carte de prière, madame ? Vous n’en avez pas. Croyez-vous que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts ? Croyez-vous qu’Il est ici dans la réunion en ce moment ? Vous avez une maladie au côté et à la jambe. Si c’est vrai, levez la main. Maintenant, Jésus-Christ vous guérit. Vous pouvez vous en aller, croyez.
Etes-vous convaincu ? Maintenant, soyez très respectueux. J’aimerais parler à cette dame. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Je – je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Christ vous connaît, n’est-ce pas ? Et si Christ vous connaît, c’est qu’alors Il vous connaissait lorsque vous étiez née, Il connaît… Il vous a nourrie tous les jours de votre vie, et tout ce que vous – tout ce que vous êtes, Il le sait. Et s’Il me révèle…
Je crois que la dernière dame qui était ici, c’était une dame de couleur. Celle-ci est une dame de couleur. Etes-vous la suivante dans la ligne, madame ? Il y a une femme blanche. Ça fera ainsi les deux races, la race blanche et la race de couleur.
67 Si le Seigneur Jésus me révèle ce qu’est votre problème… Je veux que tous les gens de couleur qui sont dans la divine Présence, croient de tout leur coeur, qu’ils veuillent lever la main, tous les hommes de couleur. Celle-ci c’est l’un de vos bien-aimés.
Un jour, il y a bien longtemps, il y avait un Homme qui montait à Golgotha. Il portait une croix sur le dos, et Ses épaules étaient complètement écorchées. Son vêtement était couvert d’une grosse tache de sang. Et Son faible petit corps frêle est tombé sous le fardeau de la croix. Et votre père, Simon, est venu et a pris la croix et L’a aidé à la porter.
68 Maintenant, ici se tient son enfant ce soir après deux mille ans, croyant dans le Christ que Simon a aidé à porter la croix. Certainement que Jésus vous aime. Et Il est ici pour vous aider, s’Il me permet de faire ce que je dis, et qu’Il a promis de faire.
Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. C’est vrai. Il s’agit d’un homme. Il s’agit de votre beau-frère, et c’est un malade mental. Et vous êtes venue pour me demander de prier pour lui. Si je pouvais le guérir, je le ferais. Mais notre foi ensemble en Lui qui est présent fera cela. Voulez-vous croire avec moi ?
Seigneur, je Te prie d’exaucer cette requête. Et puisse notre foi ne pas être instable maintenant, mais puisse-t-elle être suffisante pour guérir cette personne qui n’a pas assez de conscience pour être – accepter la foi d’elle-même. Je prie pour cette bénédiction au Nom de Jésus-Christ. Amen. Soeur, vous pouvez vous en aller, et qu’il en soit tel que vous l’avez pensé. Que Dieu vous bénisse.
C’est un merveilleux petit Livre. Lisez-Le ; il a la Vie.
69 Nous sommes étrangers l’un à l’autre, pour autant que je le sache. Je ne sais pas, mais je pense que nous sommes des étrangers. Je ne vous ai jamais vu, pour autant que je sache. Sommes-nous étrangers l’un à l’autre ? Nous le sommes. Si le Seigneur me révèle ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous croire ? Eh bien, vous êtes une femme blanche. Qu’en est-il des blancs qui sont là, voudriez-vous croire ? Celle-ci est votre soeur, juste comme cette femme au puits…
Eh bien, voyez, je n’ai aucune puissance de guérir. Vous le savez. Je ne suis qu’un homme, comme… Si vous avez un mari comme lui (Vous voyez ?), ou comme votre fils ou qui que ce soit… Moi, je ne suis qu’un homme, comme votre – comme tout autre homme. Mais c’est Son don. Ce n’est pas moi qui peux faire la chose. C’est Lui. Il a promis qu’Il le ferait. Par conséquent, c’est Lui qui me permet d’accomplir cela par Sa grâce et Sa volonté.
70 Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre aussi, et il s’agit d’un malade mental. Il s’agit de votre soeur. Croyez-vous de tout votre coeur que Dieu pourvoira à ce besoin ? Pour votre mari aussi… C’est vrai. Vous souffrez de l’arthrite, et du diabète du coeur. Croyez maintenant. Vous pouvez recevoir ce que vous demandez, si simplement vous ne doutez pas dans votre coeur. Que le Seigneur bénisse notre soeur et lui accorde le désir de son coeur, par Jésus-Christ. Amen.
Croyez-vous, vous les blancs ? Alors pourquoi attendons-nous ou prenons-nous du temps ? Pourquoi ne pouvez-vous pas être guéri maintenant même si vous en avez besoin ? Voyez, voyez? Eh bien, si vous le croyez, il n’y a rien qui peut vous l’ôter (voyez-vous ?), si vous le croyez.
Maintenant, même si Dieu me laissais faire ceci par Sa volonté permissive, assurément je dis la vérité. Dieu accorderait-Il une telle chose à un homme qui enseignerait l’erreur ? A Dieu ne plaise. Cela ne pourrait se faire. Cela ne pourrait se faire. C’est la Vérité.
71 Souvenez-vous de ce que je vous dis : un homme doit naître de nouveau avant de voir le Royaume de Dieu. Vos petites divergences d’églises ne changent rien. Si vous êtes né de nouveau, vous êtes un fils ou une fille de Dieu. Et il vous faut naître d’eau et d’Esprit. C’est vrai. Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. N’oubliez pas cela. Croyez cela. Acceptez cela.
Il a été blessé pour vos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris. Il n’y a aucun homme sur terre qui peut vous guérir, aucun médecin, aucun hôpital, aucun médicament. Nous n’avons aucun médicament au sujet duquel un docteur peut dire que ce médicament peut vous guérir. S’il le déclare, c’est qu’il ne sait certainement pas de quoi il parle.
Guérir c’est remplacer ou reconstituer des tissus. Aucun médicament ne peut reconstituer des tissus. Le médicament prend et tue le germe qui détruit le tissu, mais il ne peut pas reconstituer le tissu. Il n’y a que Dieu seul qui peut le faire, car c’est une création.
72 Il est le seul qui peut créer. Satan ne peut pas créer. Il peut pervertir ce qui a été créé, mais il ne peut pas créer. Dieu est le Seul guérisseur qu’il y a.
Il n’y a jamais eu une goûte de médicament, aucun hôpital ni une opération qui ait jamais guéri quelqu’un. La Bible dit : « Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. » Le médicament c’est une bonne chose. On le prend pour empoisonner les germes, juste comme la mort aux rats pour empoisonner les rats. Mais elle ne guérit pas la maison où les rats ont creusé des trous. Vous voyez ? C’est vrai. Ça ne raccommode pas l’endroit. Il faut que ça soit Dieu qui fasse cela par la création.
L’opération c’est une bonne chose. Elle enlève une obstruction, une mauvaise dent, une tumeur, l’appendice et ainsi de suite. C’est très bien. Elle remet en place un bras fracturé après la fracture. C’est très bien. Mais c’est Dieu qui guérit. Vous voyez ? Dieu est le seul qui peut guérir. Il ne peut en être autrement, il n’y a aucun mystère. C’est la pure vérité.
73 Je pense que nous sommes étrangers l’un à l’autre. Le Seigneur Dieu nous connaît tous, n’est-ce pas ? Si le Seigneur Dieu ne révèle ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous donc croire ? Je pense qu’il y avait deux femmes de couleur et voici deux femmes blanches. Est-ce vrai ? Je pense. Ça va. Ceci va régler la chose. Et puis nous allons prier pour le reste de l’auditoire. Ceci devrait être suffisant.
Si le Seigneur me révèle ce que vous désirez, alors vous saurez si c’est la vérité ou pas. Il y a quelque chose de très étrange concernant la femme, parce que chaque fois que je la regarde, il y a juste une vision qui montre un autre cas ailleurs. C’est vrai.
Et il y a une autre femme qui est incluse dans ceci. C’est votre soeur, je pense. Et elle n’est pas ici. Et elle est de l’autre côté des eaux dans un autre lieu. Elle n’est pas de l’autre côté du lac Michigan, parce que c’est un vaste cours d’eau. C’est en Suède. Et elle souffre de quelque chose qui l’empêche de dormir la nuit. Et elle tousse. C’est l’asthme. C’est vrai. AINSI DIT LE SEIGNEUR.
74 Et vous-même vous avez l’hypertension et une maladie du coeur. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Je ne sais pas ce que j’ai dit. C’est donc un mystère pour moi. C’est comme si j’ai rêvé cela. Mais c’était la vérité. C’était ma voix, mais ce n’était pas moi qui parlais. C’était Quelque Chose d’autre utilisant ma voix. Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur que c’était le Seigneur Jésus ? Est-ce que l’auditoire croit la même chose ? Alors demandez ce que vous voulez et cela vous sera accordé. Vous voyez ? « Si vous demandez que cette montagne soit déplacée et que vous ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrivera, cela vous sera accordé. » Croyez simplement cela.
Ça va. Prions, soeur. Ô Dieu notre Père, sois miséricordieux envers cette femme. Et accorde-lui le désir de son coeur. Je demande pour elle cette bénédiction, au Nom de Ton cher Fils, le Seigneur Jésus. Amen. Ne doutez pas. Recevez ce que vous avez demandé.
75 Maintenant, si quelqu’un… Si donc quelqu’un s’est dit : « Cet homme fait la lecture des pensées. » Venez ici, madame. Savez-vous ce que c’est la lecture des pensées ? C’est prendre un nombre dans votre pensée et deviner pendant quelques temps. Maintenant, madame, posez votre main sur la mienne. Si en regardant de ce côté-ci pendant que j’ai le dos tourné vers vous, Jésus me révèle ce qu’est votre problème, accepterez-vous cela et croirez-vous cela ? Qu’Il puisse l’accorder, c’est ma prière.
Dieu sait que je ne vous connais pas. Mais Lui vous connaît. Et si vous croyez en Lui de tout votre coeur, votre estomac ne vous dérangera plus. Croyez-vous que c’est terminé ? Alors vous pouvez vous en aller et soyez guérie.
Dieu peut guérir votre maladie du coeur ; ce n’est qu’une petite chose pour Lui comme un mal de dent. Croyez-vous qu’Il va vous guérir ? Qu’il vous soit fait selon ce que vous avez cru. Que Dieu soit avec vous, mon frère, alors que vous partez.
Il y a quelques instants lorsque j’ai dit : « Maladie de l’estomac », c’était aussi votre maladie à vous. Il n’y a pas que ça, mais vous avez la même maladie que cet homme-ci, une maladie du coeur. C’est vrai. Maintenant, croyez-vous ? Qu’il vous soit fait selon ce que vous avez cru. Vous pouvez partir, et puisse Dieu être avec vous et qu’Il vous guérisse. Ayez foi maintenant et croyez.
76 Combien là dans l’auditoire croient ? Eh bien, regardez. Vous voyez, vous n’avez pas… Regardez par ici, juste cette femme. Croirez-vous, madame, même si je ne vous dis aucun mot, croirez-vous néanmoins que Christ peut vous guérir ? Vous pouvez vous en aller, et que le Seigneur vous bénisse. Croyez-moi sur parole et croyez qu’Il vous guérit. Amen. C’est vrai. Vous voyez ? C‘est ça. Vous n’avez pas besoin qu’on vous dise quoi que ce soit à ce sujet.
Que feriez-vous, madame, si je vous disais ce que vous avez comme problème, me croiriez-vous ? Si je ne vous disais rien, me croiriez-vous de toute façon ? Vous ne le savez pas. Ça va. Je vais vous dire ce qu’est votre problème donc. Vous avez l’arthrite. C’est vrai. Allez croyant et vous serrez guérie. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Ça va, madame. Croirez-vous si je vous disais quelque chose, cela vous donnera-t-il plus de foi ? Alors votre dos sera guéri. Allez et croyez de tout votre coeur.
77 Venez. Vous souffrez de la même maladie. Voulez-vous croire que vous serez guérie ? Alors que le Seigneur vous l’accorde, soeur, et ce sera terminé. Amen.
Disons : « Loué soit le Seigneur. » [L’Assemblée dit : « Loué soit le Seigneur. » – N.D.E.] Croyez-vous ? Voyez-vous, ce n’est pas – ce n’est pas de la télépathie.
Croyez-vous que Jésus-Christ peut guérir votre coeur et vous donner la bonne santé ? Votre maladie du coeur va complètement partir. C’est un coeur nerveux. Ça va. Vous pouvez partir en croyant maintenant et vous serez guéri. Ayez foi en Dieu. Dieu accordera cela.
Ça va. Voudriez-vous vous approcher, madame ? Maladie de dames, trouble gynécologique, trouble cardiaque aussi, la nervosité. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu vous guérira ? De tout… Alors vous pouvez vous en aller et Jésus-Christ vous guérit. Que Dieu vous bénisse.
78 Ayez foi. Croyez. Croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez. C’est tout ce qu’il y a. « Si tu peux croire… », dit la Bible.
Lorsque j’ai dit arthrite juste il y a quelques instants, à la femme qui est assise là, portant un petit foulard autour de sa tête, croyez-vous que Dieu vous a guérie en même temps de votre arthrite ? Eh bien, vous – vous avez senti cela, n’est-ce pas ? Eh bien, vous avez reçu votre guérison juste à ce moment-là. C’est à ce moment-là que vous l’avez reçue. N’est-ce pas merveilleux ?
Qu’en pensez-vous ? Vous la dame âgée qui avez joint les mains à ce moment-là comme si elle allait se mettre à prier ? Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette maladie de la vésicule biliaire ? Croyez-vous qu’Il le fera ? Levez donc la main. Ça va. Eh bien, vous pouvez être guérie. Amen.
Ayez foi en Dieu si vous croyez cela.
79 Qu’en pensez-vous, vous madame assise par ici ? Croyez-vous que cette maladie de la tête vous quittera et que Dieu vous guérira, vous qui êtes assis là-bas ? Si vous croyez cela, vous pouvez obtenir cela. Certainement. Amen. Croyez simplement de tout votre coeur.
Qu’en pensez-vous, vous qui êtes assis par ici, en train de prier, et qui avez cette maladie du pied ? Croyez-vous que Dieu vous guérit ? Ça va, vous pouvez obtenir cela. Amen.
Croyez simplement. C’est tout. Ayez simplement foi en Dieu. Certainement.
Le jeune garçon qui est assis là derrière, croyez-vous, monsieur, que cette maladie de la peau, croyez-vous que Dieu vous guérit ? Croyez-vous ? Ça va. Vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé. Amen.
80 La dame qui est assise là à côté de vous, qui a cette maladie du foie, celle qui s’est tournée vers vous. Ça va, croyez-vous ? Vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé. Vous pouvez vous en aller et croyez. Certainement. Vous voyez, le Saint-Esprit est ici. J’essaie simplement de conserver ma force.
Très bien, c’était vous la dame suivante pour qui on a prié ? Croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous ? Ça va. Pensez-vous que Dieu peut guérir cette maladie de l’estomac que vous avez ? Vous avez une maladie des intestins ? C’est vrai. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous venez de Milwaukee, dans le Wisconsin. Vous avez des maladies internes, des problèmes intestinaux, et vous avez été à l’hôpital plusieurs fois, au moins quinze ou seize fois à l’hôpital pour subir des opérations, et les médecins disent que vous devez retourner encore. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
81 Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu, Son serviteur ? Alors partez, le Seigneur Jésus-Christ réprimande ce démon qui s’est caché aux médecins, mais tu ne peux pas te cacher devant Dieu. Quitte cette femme, sort d’elle, au Nom de Jésus-Christ. Ne doutez pas. Croyez et vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé et ce sera terminé. Amen. Vous pouvez vous en aller en paix maintenant.
Croyez-vous, vous tous ? Ô Seigneur, envoie Ton Esprit, le Saint-Esprit, et remplis maintenant ces gens de Ta Présence. Et puissent-ils être comme la reine de Seba, puissent-ils se tenir sur leurs pieds avec les trésors de Dieu dans leurs coeurs et qu’ils soient guéris, chacun d’eux alors qu’ils vont rentrer chez eux ce soir, et qu’ils soient parfaitement guéris. Au Nom de Jésus, je le demande. Amen.
Croyez-vous cela ? Acceptez-vous cela ? Alors levez-vous et recevez cela au Nom de Jésus. Que Frère Boze vous congédie tous.