Un Son confus

Date: 61-0315 | La durée est de: 1 hour and 51 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci beaucoup, Frère Sullivan. Vous pouvez vous asseoir.
Je puis à peine m’exprimer pour remercier Dieu, en effet, je suis très reconnaissant d’être de retour ici dans ce tabernacle ce soir. Je me suis souvenu longtemps de la visite que j’ai effectuée la dernière fois ici, où j’ai été avec frère Sullivan et le peuple, et de la manière dont le Seigneur nous avait bénis, un dimanche matin à l’église. Et quand je suis arrivé il y a juste quelques minutes, j’ai entendu ces gens chanter La joie dans mon coeur et la paix dans mon esprit, c’est ce que chantent les chrétiens, c’est ce dont les chrétiens peuvent parler, à savoir qu’ils ont la joie dans leur coeur et la paix dans leur esprit, et il n’y a que Dieu qui puisse faire cela.

2 Et ça semble agréable d’être de retour ici, sortant du smog [brouillard des régions humides et industrielles. – N.D.T.] de la Californie, ici où l’on peut vraiment respirer à pleins poumons de temps en temps. Cela... Pour moi, les gens peuvent prendre toute la Californie. Et j’aime les gens qui y sont, mais certainement pas le smog qu’ils ont là dans cette vallée.
Je suis né là sur l’une de ces crêtes du Kentucky, et je ne peux tout simplement pas m’en éloigner, vous savez que je... Je... c’est... Il se peut... Tout le monde peut se ruer vers là-bas, s’il veut, mais quant à moi, je préférerais rester ici où vous pouvez au moins respirer. Mes yeux s’irritaient; ma gorge s’enflammait.
Et je – et je vous assure, je crois que le péché voyage naturellement, eh bien, il se déplace toujours, et il s’est déplacé avec la civilisation.

3 Le péché vient toujours par la civilisation. Avant qu’il y ait un seul Blanc dans l’Ouest, quand il n’y avait que les Indiens, il n’y avait pas de péché. Ils étaient... menaient une vie bonne et tranquille, et ils avaient de petits ennuis de temps en temps, avec leurs guerres tribales et tout, mais pour ce qui est du péché, il est venu avec la race blanche, quand la civilisation est venue. L’Indien s’est lancé dans les femmes, le whisky, les jeux d’argent et les meurtres.

4 Et comme le soleil est allé de l’orient vers l’occident, la civilisation se déplace avec lui. Et je crois que le Seigneur doit avoir un grand écran radar sur la Côte Ouest, car si elle va plus loin, elle retournera à l’orient. Je pense donc qu’elle se brise contre cela et qu’elle recule comme une vague. Et je dis que c’est certain, nous vivons vraiment dans un temps terrible, un temps terrible.
Or, cela ne s’applique pas uniquement à la Côte Ouest, et moi qui suis là à vanter les habitants de l’Ohio, ceux de l’Indiana ainsi que ceux du Kentucky par ici, mais on a aussi cela ici, vous savez, mais là-bas c’est plus.

5 Ces cinq soirées que nous avons eues, juste maintenant avec... encore ici dans l’Ohio... Je crois que demain soir, ils vont aller dans un auditorium ou quelque chose comme ça, mais je – j’étais content de pouvoir venir à l’église. J’aime l’église. Oui. Je – je crois, Frère Sullivan, que lorsqu’on – on voyage, je trouve que les meilleures réunions sont toujours celles tenues dans des églises.

6 Eh bien, j’ai – j’espère que je ne suis pas superstitieux; si je le suis, je l’ignore. Mais alors, quand vous entrez dans ces endroits où l’on organise des divertissements, des jeux d’argent et des danses, et il me semble tout simplement qu’il y a partout de petits démons, vous savez. Et c’est en quelque sorte leur repaire. Ils y demeurent tout simplement. Et alors, vous devez entrer, prendre environ cinq soirées à prêcher pour les faire tous sortir, vous savez, avant que vous puissiez commencer les réunions.

7 Mais dans le bâtiment de l’église, je crois que les anges de Dieu campent tout autour, parce que les saints s’y rassemblent. Pour Dieu, c’est un endroit distingué, où Il vient rencontrer Son peuple.
Il m’a toujours semblé très agréable d’être dans une église. J’aime mieux cela, vous pouvez donc être un... On s’y sent comme à la maison. Vous savez, c’est – c’est là que nous communions ensemble et que nous avons des choses en commun.
Quand nous avons eu l’occasion, frère Sullivan et nous, de revenir, j’étais vraiment heureux.

8 Nous avons été chez nos voisins, là en Virginie, la semaine passée. Et là à Richmond, nous avons passé un glorieux moment là-bas avec ces gens du sud. Ils l’appellent le Lieu de naissance de la nation. Et ils sont aussi tous de bien braves gens du sud. Ils aiment vraiment le Seigneur, là-bas, et nous avons passé de merveilleux moments. Mais j’étais impatient de retourner à la maison, ici, pour que nous puissions adorer un peu ensemble.

9 Bon, je suis heureux de voir ici mes amis venus du nord. A quelle distance d’ici es-tu, Charlie? A quelle distance habites-tu...? [Il répond: «A soixante dix milles.» – N.D.E.] A environ soixante dix milles [ Environ 112,6 km. – N.D.T.] Eh bien... [Le frère dit : «Juste à la frontière de l’Etat de l’Indiana. – N.D.E.] Juste de ce... à la frontière de l’Etat de l’Indiana. Rodney et tous... Oh! C’est de ce côté-ci – de ce côté-ci de la frontière de l’Etat de l’Indiana. Il est presque rentré en grâce, mais il a raté la chose de justesse, de justesse – juste à la frontière de l’Etat.
Eh bien, si vous veniez au Kentucky, vous seriez bien. Combien de gens du Kentucky y a-t-il ici? Oh! la la! [Quelqu’un parle depuis l’audience. – N.D.E.] C’est moi qui vous le dis. [Frère Branham rit pendant que quelqu’un parle depuis l’audience. – N.D.E.] Il y a un...

10 J’ai dit une fois à... [Quelqu’un parle depuis l’audience. – N.D.E.] S’il vous plaît? [Frère Sullivan pose une question. – N.D.E.] Je ne sais tout simplement pas, Frère Sullivan.
Ma mère tenait une pension à Jeffersonville, et j’y ai un tabernacle de la taille de celui-ci, je pense. Alors que je prêchais un soir, j’ai dit : «Que tous ceux qui viennent du Kentucky se lèvent.» Personne n’est resté assis. Tout le monde... et j’ai dit : «Eh bien, les gens du Kentucky et les marmottes se sont emparés du pays sans un seul coup de feu!» J’ai dit : «Ils – ils sont en fait entrés du coup, ils l’ont envahi et s’en sont emparés. Eh bien, ai-je dit, on a dû envoyer ici des missionnaires venus d’ailleurs pour que ce soit... de...» [Frère Branham rit. – N.D.E.] Maintenant, je ne parle pas de l’Ohio. Eh bien, attendez une minute; je parle de l’Indiana, de là dans l’Indiana.

11 Mais où que vous alliez, dans le monde entier, vous verrez que le peuple de Dieu est toujours à peu près le même.
J’ai remarqué là en Afrique ainsi que dans d’autres pays où j’ai été, que certains d’entre eux ne savent même pas distinguer la main gauche de la main droite, mais savez-vous ce qui arrive quand ils reçoivent le Saint-Esprit, ce qu’ils font? La même chose que vous faites quand vous recevez le Saint-Esprit, ils agissent de la même façon.

12 Et ils – ils parlent en langues. Et ils... Vous penserez peut-être, s’ils parlaient entre eux, si vous entendez leur langue peut-être comme... Il y a là une sorte qui m’a toujours étonné, quand ils parlent, ils clappent un peu de la langue. Je crois qu’on appelle cela le Bazutu, je crois que c’est... non, le Cloza. Et si vous dites juste Cloza, ça ne va pas. Vous devez clapper de la langue, [Frère Branham produit un son de clic. – N.D.E.] Cloza, quelque chose comme Cloza. Et tout ce que vous dites doit être accompagné d’un clappement, mais quand ils se mettent à parler en langues, ils parlent parfois anglais. Vous voyez? Et juste... Vous... Chaque fois que les gens dans ces pays païens reçoivent le Saint-Esprit, ils agissent comme toute autre personne, peu importe où c’est, ils... Cela prouve que c’est pour «quiconque veut venir qu’il vienne».
Bon, notre... Bon nombre de nos frères sont debout maintenant, et je – j’ai vraiment... je suis désolé. J’aurais aimé leur donner une place assise, mais on n’en a pas. Je vais donc... je ne prêcherai pas plus de trois heures ou quelque chose comme ça, je pense. Je ne faisais que des taquineries. Mais aussitôt que nous pouvons avoir... sentir le Seigneur nous bénir et nous dire que c’est assez, eh bien, alors il nous faudra... nous allons congédier [l’assemblée]. Mais pour passer ce moment de communion par ici, un homme ne sait vraiment pas par où commencer. C’est si merveilleux et si bien.

13 Nous avons tenu d’importantes réunions à la Côte Ouest, comme je le disais. Cette fois-ci, le Seigneur a puissamment béni la Côte Ouest. Je suis allé aux environs de Visalia, là-bas, c’est-à-dire à Bakersfield, à Fresno et partout là. C’étaient des gens aux coeurs vraiment affamés, là dans ces vallées.
Je crois que la raison pour laquelle je – je suis affamé, c’est parce que Dieu est en train de rassembler Son Eglise, laquelle se régale de la Parole de Dieu. Bon, avant de commencer, nous devrions parler à l’Auteur, je pense, avant de lire Sa Parole. N’êtes-vous pas de cet avis? Inclinons donc la tête maintenant, et mettons de côté tous nos petits enfantillages et portons nos regards sur la partie la plus solennelle et la plus sacrée, la Parole.

14 Notre Père céleste, alors que nous sommes rassemblés ici ce soir dans cette église, l’église qui porte Ton Nom, les gens qui sont rassemblés ici sont appelés de Ton Nom. Et Tu nous as fait une promesse dans Ta Parole éternelle : «Si les gens qui sont appelés de Mon Nom se rassemblent et prient, J’écouterai alors des cieux.» Eh bien, c’est Ta promesse, et nous savons que Tu tiens toutes Tes promesses envers Ton peuple.

15 Nous Te remercions pour cette église, pour chaque personne qui est représentée ici et pour chaque église qui est représentée. Et nous Te prions, Seigneur, de nous bénir ensemble, comme Tes enfants qui croient.
Ce soir, nous Te demandons spécialement pour notre bienveillant et loyal frère Sullivan, de le bénir infiniment, vu que le désir de son coeur est de Te servir et de faire quelque chose pour Toi, et de consacrer toutes ces heures au profit du Royaume, faisant venir dans cette ville des ministres, différents ministres qui ont différents types de ministères, afin qu’ils puissent être efficaces et qu’ils puissent paître le troupeau sur lequel le Saint-Esprit les a établis surveillants. Nous T’en remercions.

16 Et comme le choix est tombé sur nous à présent, si c’est Ta volonté que nous paissions le troupeau pendant les prochains quatre ou cinq jours, nous prions que le Saint-Esprit pourvoie à la – la nourriture des brebis, la Parole, qu’Il L’apporte avec puissance et manifestations du Saint-Esprit. Bénis-nous alors que nous nous attendons à Toi.
Sauve tous ceux qui peuvent être sauvés, Seigneur. Remplis les croyants qui attendent patiemment de recevoir le Saint-Esprit. Nous Te prions de faire que chaque personne qui est dans cette condition quitte ce lieu ce soir, heureuse, sauvée et remplie de l’Esprit.
Guéris les malades, Seigneur. Tu nous as donné la commission : «Quand vous entrez dans une ville, guérissez les malades de cette ville ou... et prêchez que le Royaume est proche.» Et, ô Dieu, nous Te prions de nous accorder ces choses en tant que Tes serviteurs, en tant que Tes ambassadeurs, car nous croyons vraiment que le Royaume est proche. Et aide-nous à apporter cette Parole de cette façon-là, afin que les gens puissent voir et croire en Toi. Et qu’en ce grand jour des comptes qui vient pour chacun, qu’à cause de nos efforts, littéralement des milliers se tiennent là, rachetés par le Sang, à cause des efforts que nous essayons de fournir maintenant.
Père, alors que nous sommes rassemblés, nous parlons en tant que des enfants. Nous sommes heureux. Et maintenant, nous Te prions de nous permettre de mettre cela de côté, et d’entrer dans l’oeuvres du Royaume, et d’être des sujets du Saint-Esprit, car nous le demandons au Nom de Jésus et à cause de Lui. Amen.

17 Maintenant, en guise de petit contexte, je puis attirer votre attention sur I Corinthiens, chapitre 14, verset 8. Et si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat? Nous vivons dans un temps de confusion. Presque tout ce que nous considérons aujourd’hui est confus. Nous vivons dans un temps où on dirait que c’est difficile de trouver quelque chose de sûr.

18 Notre sécurité nationale, très incertaine... C’est ce qu’on y voit, la raison pour laquelle on... toute la chose... la sécurité internationale dis-je, parce que nous sommes bien à la fin de l’âge.

19 Il y a quelques jours, en Californie, un message a été donné quand un frère baptiste est venu imposer... ou plutôt me serrer la main, après la réunion des Hommes d’affaires lors – lors du petit déjeuner au cafétéria Clifton. Je crois que c’était le frère de Marilyn Monroe, la vedette de cinéma. Il est baptiste, et il allait me serrer la main, quand il l’a fait, il s’est mis à parler dans une langue inconnue. Et il s’est fait qu’une femme venue de la Louisiane était présente. Et elle comprenait le français, et elle a dit : «Ce garçon a parlé en français.»
Il a dit : «Je ne connais pas un seul mot de français.»

20 Et quand elle a alors donné l’interprétation de ce qu’il avait dit, l’interprète de l’O.N.U. qui était présent est venu vers la dame et vers les – les Hommes d’affaires et il a dit : «L’interprétation de la dame est tout à fait correcte.» Il a dit qu’il était interprète à l’O.N.U. Un message m’étant donné...
Et puis, je crois que c’était le sénateur d’un Etat qui parlait à frère Shakarian. Là au Groenland où cette nation s’est préparée à détruire la terre, à partir du Groenland, avec l’arme atomique. Il suffit de toucher un bouton et chaque nation disparaîtra de la terre. Vous voyez, tout ce qu’on entend, c’est : «Ils ont une bombe qui peut faire une telle chose», mais ils en ont une plus grosse que cela, vous savez. Ils ne... vous ne laissez pas vos... divulguer tous vos secrets quand cela... des affaires d’Etat.

21 Et cet homme vient à Miami en juillet, au moment où je dois tenir des réunions à Miami, en Floride. Et un – un missile était apparu sur l’écran et ils... quelque chose sur l’écran. Et cet homme avait reçu les ordres de tirer la manette, ce serait parti. Mais il a dit lui-même qu’il ne pouvait la tirer, ce qui aurait libéré je ne sais combien de grosses roquettes et que sais-je encore. Et la bataille aurait commencé.

22 Mais quelque chose ne lui a pas permis de la tirer. Je me demande si ce n’était pas Dieu, à cause de quelqu’un ici qui n’est pas encore sauvé. En effet, cela ne peut pas du tout arriver avant que ce ne soit chose faite. Cela montre combien nous sommes à la fin.
Vous voyez, l’Ange a dit à Lot : «Sors d’ici, car je ne puis rien faire jusqu’à ce que tu y sois arrivé.» Il doit d’abord sortir avant qu’Il puisse faire quoi que ce soit à ce sujet.
Il y a donc des années, les grandes nations dominaient, celles qui avaient de grands navires et beaucoup d’hommes, comme la Chine, la Russie et les Etats-Unis; c’étaient des nations dominantes. Ce n’est plus le cas. N’importe quelle petite nation peut détruire toute la terre. Ce n’est donc plus sa taille qui compte; elle attend simplement l’occasion.

23 Eh bien, ne prenons pas cela trop à la légère. «Oh! dites-vous, Frère Branham, ce n’est pas la première fois que je – j’entends ces choses-là.» Je le sais. Mais un jour, vous allez l’entendre pour la dernière fois. Et tout le reste est très imminent, je m’y attends à chaque instant. Et quel genre de personnes devrions-nous être en ce moment? Les pécheurs devraient être en train d’implorer miséricorde. Et les chrétiens devraient être en train de crier des louanges à Dieu. C’est juste.

24 Quelqu’un a dit une fois, il a dit : «Frère Branham, vous effrayez les gens en disant que Jésus revient très bientôt. Oh! C’est une chose horrible que de penser que notre monde arrive à la fin.»
J’ai dit : «Pas pour le chrétien. C’est la chose la plus glorieuse à laquelle il puisse songer, juste de penser que notre Seigneur peut revenir à n’importe quel moment. Tout aura alors changé. Ce sera fini.»
Je crois que les garçons ont eu un petit livre ici que les Hommes d’affaires ont imprimé, sur la vision que le Seigneur m’a donnée récemment. J’espère que vous aurez l’occasion de le lire.

25 «Oui, a dit Paul, j’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais, la couronne de justice m’est réservée; le Seigneur, le juste Juge me la donnera en ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé Son avènement.» Oh! Quand vous aimez le Seigneur, toute la crainte disparaît. Vous allez Le rencontrer.

26 Dernièrement, quand mon vieil ami le docteur F. F. Bosworth mourait à Miami, je suis allé le voir. Il avait environ... approchait les quatre-vingt-dix ans. Et je lui ai demandé, j’ai dit : «Frère Bosworth, quel a été le moment le plus heureux de votre vie, cela fait maintenant entre cinquante-cinq et soixante ans que vous prêchez?»
Il a répondu : «Cette heure-ci est la plus glorieuse que j’aie jamais vécue!»
Et j’ai demandé : «Pourquoi – pourquoi dites-vous cela?» Je posais simplement des questions à ce brave vieux saint.
Il a dit : «Frère Branham, tout ce pour quoi j’ai vécu depuis que j’étais un jeune homme, c’était Jésus-Christ.» Et il a ajouté : «A tout instant, je m’attends à ce qu’Il vienne à la porte pour m’amener avec Lui.» Il a dit : «C’est le... le plus glorieux. Tout ce à quoi j’ai jamais pu penser ou la plus glorieuse expectative dans laquelle j’aie jamais pu être, c’est de savoir que maintenant, je serai bientôt entre les mains de mon Seigneur, pour être avec Lui pour toujours.» C’est un vrai chrétien qui meurt. Pas un vrai chrétien qui meurt, c’est plutôt un vrai chrétien qui s’en va pour être avec Lui.

27 C’est comme Paul Rader l’a dit à l’heure de sa mort... Los Angeles. Ce que nous appelons la mort... Il a appelé son frère, Luc. Il a dit : «Penses-y, Luc. Ça fait longtemps que nous sommes ensemble, mais, a-t-il dit, dans cinq minutes, je serai dans la Présence de Jésus-Christ, revêtu de Sa justice.» Il a serré la main de son frère et est allé Le rencontrer.

28 Oh! Cela me fait penser au Psaume de la vie de Longfellow : La vie des grands hommes nous rappelle à tous
Que nous pouvons rendre nos vies sublimes.
En partant, nous laissons derrière nous
Des traces de pas sur le sable du temps.
Combien cela encourage le chrétien!

29 J’avais un livre (je crois que je l’ai quelque part à la maison), sur les dernières paroles de grands hommes, avant qu’ils ne quittent le monde, aussi bien des pécheurs que des saints. J’ai celles de Dwight Moody ainsi que celles de nombreux autres saints éminents qui ont quitté le monde.
Moody, quand la mort l’a frappé, a dit : «Et vous appelez cela la mort?» Il a dit : «C’est le jour de mon couronnement!»
Et les reines... Une reine d’Angleterre, une très méchante, a dit qu’elle donnerait son royaume pour quinze minutes de plus à vivre.

30 Vous voyez, le bout du chemin est révélateur. Et c’est là que nous en sommes, au bout du chemin.
Il n’y a plus de certitude dans la sécurité nationale, car il vous est impossible de creuser assez profondément sous la terre pour empêcher les gens de vous faire sauter. Il vous est impossible... il n’y a rien à faire. Nous sommes tout simplement au bout du chemin. Et nous allons donc prendre d’autres cas pour montrer qu’il n’y a aucune certitude.

31 Je suivais au bulletin d’informations, en venant ici, qu’il y a plus de chômeurs aujourd’hui qu’il n’y en avait au temps de la crise économique sous le – sous le président Hoover, qu’il y a plus de chômeurs qu’il n’y en avait sous son administration et pendant les années trente, durant ce temps-là. Beaucoup d’entre nous qui sommes de cette époque-là s’en souviennent, cette époque où nous mangions un petit peu – peu de pommes de terre en robe de chambre [Pommes de terre cuites avec leur peau. – N.D.T.], et nous mangions et la peau et le tout, car nous en obtenions par moments et les prenions comme petit déjeuner, comme dîner et comme souper, combien c’était dur.

32 Et maintenant, ils peuvent avancer comme raison que la population des Etats-Unis a augmenté de près d’un tiers par rapport à cette époque-là.
Et l’autre jour, en allant à Richmond, à Louisville et à beaucoup d’autres endroits... Vous savez, je pense que c’est notre façon de diriger les choses qui est à la base de ceci, que l’on voie aux coins des rues des femmes policières. Est-ce le travail d’une femme que d’être policière, de lutter avec des personnes ivres et ce genre de choses, là-bas? Ça devrait être une profession pour homme. Et si on remettait certaines de ces femmes à leur place, à la cuisine, les hommes auraient plus d’emplois, ils seraient plus nombreux à travailler. Mais ils... C’est pourtant précisément cette heure-là. Le chômage...

33 Il n’y a pas de temps. Il ne reste plus rien, à peine pour... sinon la Venue du Seigneur pour rectifier toutes choses. Des emplois...
La vie du foyer est confuse. On n’a jamais connu un temps où il y a eu tant de divorces en temps de paix comme on en a aujourd’hui. Notre vie de foyer est brisée. Et il y a des années, la mère et le père restaient à la maison le soir, en dehors des heures de l’église ou quelque chose comme ça. Et ils ne laissaient jamais leurs enfants traîner dans les rues et courir çà et là toute la nuit. Mais de nos jours, cela semble être en quelque sorte une opinion populaire.
Oh! Allez seulement dans les foyers modernes d’aujourd’hui. Regardez ce que c’est. Papa doit se précipiter vers la salle de billard. Les garçons jouent au billard, au bowling ou à quelque chose d’autre, lui et maman. La soeur est au bistrot, quelque part, ou est allée à une partie de rock and roll. Junior a un bolide, il est sorti voir jusqu’à quelle vitesse il peut rouler. Et c’est à peu près ça la vie du foyer.
Et la Bible? Oh! C’est un grand Livre, mais Elle est rangée quelque part dans un tiroir jusqu’à ce que le pasteur vienne ou quelqu’un d’autre. Et nous n’avons tout simplement plus la vie de foyer que nous avions. C’est un... La vie du foyer est très confuse.

34 Un homme, de nos jours, qui se marie... Vous, jeunes gens, vous feriez mieux de prier un long moment. Demandez à Dieu de vous donner une compagne. Vous, jeunes dames, pareillement, car c’est si confus.
La Californie, j’ai découvert là-bas, je – je pense, que c’était quinze ou vingt pour cent, quelque chose comme ça, de dépravation. Le nombre de dépravés a augmenté au cours de l’année dernière ou des deux dernières années. Oh! C’est – c’est épouvantable. Et cela... La vie du foyer est confuse.

35 La politique, confuse... Il n’y a plus de certitude dans la politique. Les partis ne peuvent même pas avoir une quelconque assurance. Il n’y a même plus d’honnêteté entre eux. Eh bien, quelqu’un pourrait dire : «Vous ne devriez pas parler politique à la chaire.» C’est vrai. Mais on doit parler de la bienséance et du Christianisme à la chaire. C’est juste. Je... pas un politicien, je suis un chrétien.

36 Les deux camps sont corrompus. Et tout récemment, lors des élections présidentielles, ils ont même dû vérifier de nouveau et ils ont découvert que ces machines à voter, quand vous... ils les ont réglées de telle sorte que lorsque vous votiez pour l’un, vous – vous deviez aussi voter pour l’autre, du truquage. On ne sait pas qui était élu. Ils ne savent plus le dire. Il n’y a pas de certitude là-dedans. Vous les avez installées pour compter les voix, mais quelqu’un a fait assez de truquage pour fausser le comptage. Les partis exercent la pression pour établir leur homme, pas d’honnêteté.

37 Eh bien, si Monsieur Kennedy était un républicain ou – ou que sais-je, un démocrate... Monsieur Nixon... ça n’a rien changé. Tout est faux, du moment que les machines sont réglées de façon à fausser le vote. Et le F.B.I. [police spéciale américaine – N.D.T.] a prouvé que c’est ce qui s’est fait, mais ils n’ont rien fait à ce sujet. Vous voyez? Pourquoi?

38 Vous vous demandez pourquoi de telles choses passent par-dessus la tête des gens, comment cela est-il arrivé. C’est parce que ces choses doivent arriver; nous sommes au temps de la fin. Cela doit être là. Il fallait que cet homme soit élu. Nous sommes à la fin. Et je suis sûr que vous pouvez tirer la conclusion que nous sommes au temps de la fin. Et ces machines, peu importe combien ils peuvent prouver qu’elles ont été truquées, cela doit rester tel quel.

39 Et quelqu’un m’a dit... Un ministre m’a téléphoné, l’un des sponsors des prochaines réunions, l’une des prochaines réunions au niveau national, il a dit : «J’apprends que vous avez beaucoup prêché contre les soeurs de nos églises qui se coupent les cheveux, qui portent des shorts et tout.»
J’ai dit : «Effectivement.» J’ai dit : «Eh bien, si – si vous n’écoutez pas cela, ne me faites donc pas venir.» Vous voyez?
Et il a dit : «Pensez-vous que vous y mettrez fin?»
J’ai répondu : «Non. Croyez-vous que vous arriverez à mettre fin au péché?»
Il a répondu : «Non.»
J’ai dit : «Eh bien, pourquoi prêchez-vous donc contre cela?» Vous voyez?

40 On appelle le mal par son nom. Il faut que quelqu’un parle contre cela. C’est vrai. Dites la vérité, car quand la colère de Dieu va se déverser, alors vous ne – vous serez sans excuse. Oui, la politique, les opinions politiques, les emplois, la sécurité nationale, tout est confus.

41 Nous en venons maintenant à l’église. La prétendue église est confuse. A présent, nous comptons environ neuf cents différentes dénominations dans le... ces Etats-Unis, maintenant... et chacune d’elles est contre l’autre. Où saurez-vous donc ce que... Comment saurez-vous ce qu’il faut faire à ce sujet? Vous êtes simplement... Nous sommes tout simplement au temps de la fin. Nous sommes au bout de la route.

42 Et autant que je respecte ceux-ci, chacun d’eux, je préfère avoir un méthodiste ici, un baptiste là, un presbytérien ici, et ainsi de suite, et les avoir partout dans le pays, plutôt que d’avoir des maisons de contrebande d’alcool, des cabarets mal famés et tout. Ils feront un peu de bien, peu importe où ils sont.
Il y a de petites missions et – et...

43 C’est comme l’a dit quelqu’un, j’espère que je ne blesse les sentiments de personne, quand quelqu’un a dit: «Je préférerais être un – un campbellite plutôt que de n’avoir aucune lumière du tout.» Je pense donc que c’est juste. Eh bien, peu importe ce qu’est la personne, elle fera un – un peu de bien. Et nous avons besoin d’eux tous.
Mais ce n’était pas le programme de Dieu. C’était notre programme, de fonder nos églises et nos dénominations. Nous avons essayé de le faire dans le jardin d’Eden. Cela remonte à l’Eden.

44 Religion signifie couverture. Et Adam a essayé de se couvrir, de faire sa propre voie, de se couvrir, mais ça n’a pas marché.

45 Dieu rencontre l’homme à un seul endroit; ce n’est pas dans son instruction; ce n’est pas dans sa dénomination, dans son affiliation; c’est sous le Sang. Et le seul endroit où Dieu ait jamais rencontré et rencontrera jamais la race humaine, c’est sous le Sang. C’est là le lieu. Dans le jardin d’Eden, Dieu a établi le programme du Sang versé. Et quand Dieu prend une décision, Il ne peut jamais la changer, car Il est parfait, et tout ce qu’Il fait et dit est parfait. Par conséquent, Il ne peut pas changer Son programme aussi longtemps qu’il y aura un monde et qu’il y aura un pécheur. Il n’y a qu’une seule voie, depuis le jardin d’Eden, où le péché a été commis pour la première fois, jusqu’au dernier péché qui sera commis. Il n’y a qu’un seul plan de la rédemption, c’est par le Sang versé. Rien d’autre ne marchera.

46 Nos crédos, nos dénominations et tout ont joué un rôle, et un bon, mais ce n’est pas le programme de Dieu. Son programme, c’est qu’on rentre au Sang.

47 Les églises donnent donc aussi un son confus. L’une d’elle dit : «Les jours des miracles sont passés.» Par rapport à la Bible, c’est vraiment confus. Vous voyez? L’autre dit, eh bien... diverses choses et... «Vous devez réciter ce credo», vous devez faire ceci, cela, et ainsi de suite. Bien... C’est si confus, car il y en a tellement.

48 Elles fabriquent toutes sortes de – de – de différentes choses qui se contredisent, qui sont contraires à ceci, à cela, et qui sont à environ quatre-vingt-quinze pour cent contraires à la Bible.
Il y a donc un son confus dans les églises, dans la politique, dans les foyers. Tout semble confus.

49 Or, la Bible a dit ici dans II Timothée 3.7 que ces choses viendraient. Il est dit que les gens seraient emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, aimant le plaisir plus que Dieu. Eh bien, c’est juste.

50 La télévision est entrée dans les maisons et garde les gens loin des réunions de prière. Elle a une belle et séduisante attraction. Et je ne dis pas que certains programmes ne sont pas bons. Bon nombre ne le sont pas. Nous savons cela. Mais je ne... Oui, quatre-vingt-dix-neuf pour cent de cela n’est pas bon. Mais je dis qu’il y a un pour cent de cela. Eh bien, ce que vous tirez de ce un pour cent, voudriez-vous abandonner ce un pour cent pour l’Eglise du Dieu vivant où c’est bon à cent pour cent, plutôt que de rester mercredi soir loin des réunions de prière?

51 Mais le péché est attrayant. Considéré sous tous les aspects, le péché est attrayant pour l’être humain, car il est un sujet de – de la race déchue que nous sommes. Et c’est attrayant. Satan sait comment le rendre attrayant. Il est – est doué pour son travail.
Et il... Et s’il ne peut pas amener cela là dans les affaires du monde, il amène cela en plein dans l’église. Il vient sur notre propre terrain. Voilà, frères, soeurs, la raison pour laquelle nous devrions L’identifier. Le moment est venu pour que l’église soit spirituelle pour identifier, connaître Dieu, non pas par un credo, non pas par la dénomination, mais par une expérience, en étant remplie du Saint-Esprit.

52 Il y a quelques jours, là en Californie, je venais de quitter Beaumont et différents endroits où nous tenions des réunions. Et à ce moment-là, j’étais sous une grande onction du Saint-Esprit, comme cela vous arrive ainsi qu’aux autres d’entre nous. Et vous pouviez sortir dans la rue et sentir la pression. Eh bien, si cette onction n’est pas sur vous, vous n’y ferez pas tellement attention. Vous continuerez tout simplement.

53 Ecoute, église, c’est pour cette raison que certains pensent que je suis très dur envers eux. Ce n’est pas le cas. Je ne veux pas être rude envers les gens. Mais si seulement il vous arrive d’être sous l’onction au point de sentir la Présence de Dieu, et qu’ensuite vous vous retrouviez en présence du péché, cela vous bouleverse. Et vous ne pouvez pas vous tenir tranquille, vous devez dire quelque chose. Et c’est l’onction du Saint-Esprit.

54 Et quand vous demandez aux gens : «Êtes-vous chrétiens?» Bien, ils vous répondront aussitôt qu’ils sont membres d’une certaine dénomination ou organisation. Vous voyez? Et ils – ils se contentent de cela. Ils semblent croire que c’est tout ce qu’il faut, que c’est tout ce qui doit... Du moment qu’ils sont membres d’une – une certaine organisation, c’est tout ce qu’ils doivent faire.

55 Bien, cela était courant. Nous traitions ces gens de baptistes et de méthodistes froids et formalistes, mais maintenant, il s’agit des pentecôtistes froids et formalistes, ils sont devenus aussi ainsi. Cela – cela – c’est dans l’Eglise pentecôtiste. Chacun veut dire : «Je suis membre de ceci ou je...» Et c’est bien; je ne condamne pas cela. C’est bien.

56 Mais ce que vous devez être, quand vous confessez la Pentecôte... La Pentecôte est une expérience à partir de laquelle un homme ou une femme, garçon ou fille, naît de nouveau par l’expérience de la Pentecôte du Saint-Esprit.
Et aussitôt que vous recevez cela, il vous semble ployer sous le poids du monde entier. Oh! Vous vous êtes mis sous le joug de Christ. Et cela a rempli Ses yeux de larmes de chagrin, et a même amené Son corps à la mort, lorsqu’en ce temps-là le monde a été vraiment plongé dans le péché. Que pensez-vous que cela fait aujourd’hui?

57 J’étais quelque part, je pense que c’était à Athènes ou ailleurs. Je – j’ai vu un – un tableau sous la forme d’une plaque sur un mur. Non, je – je m’excuse. J’ai cela dans un – dans un enregistrement ou dans une séquence du fameux film Minuit moins trois, dont la science dit que c’est l’époque où nous vivons.

58 Minuit moins trois, et on a déclaré cela il y a environ trois, quatre, cinq ans. Je crois que nous vivons maintenant les secondes de l’expiration du temps. Eh bien, je peux me tromper, mais c’est l’impression que j’ai.

59 Et ils avaient un tableau de Christ comme sur une plaque, et il y avait des gouttes de larmes qui tombaient de Son visage alors qu’Il avait les yeux baissés vers la terre.

60 Et je me demande si les choses ne sont pas comme elles étaient au temps de Noé, quand Dieu avait dit qu’Il était même affligé d’avoir fait l’homme. Je me demande si les choses ne sont pas de nouveau arrivées à ce point-là ce soir, où l’homme même qu’Il a créé, pour lequel Il S’est livré, et qu’Il a racheté, afin que... pour racheter cet homme, et ce dernier Lui renvoie cela à la figure. Cet âge horrible où nous vivons, où on se contente d’adhérer à une église... C’est...
Si vous pensez être chrétien, et si quelque chose vous a dit que vous êtes un chrétien parce que vous avez fait une confession et que vous avez adhéré à une église, c’est un son confus.

61 C’est pour cette raison qu’aujourd’hui les gens ne s’intéressent pas à un réveil. C’est pour cette raison que le monde n’en veut pas. Il nous faut un son distinct, un son distinct.

62 Et c’est la raison pour laquelle, aujourd’hui, quand nous tenons une longue réunion ou un long rassemblement, les gens n’entendent pas le véritable son distinct. Mais quand ils ont eu un réveil le jour de la Pentecôte, un son distinct est venu du ciel, comme un vent impétueux qui a rempli toute la maison où ils étaient. C’était un son distinct. C’était une évidence que Dieu était parmi eux.

63 L’église d’aujourd’hui, c’est exactement comme c’était en – en Eden, à l’est de la porte. Il y avait Caïn. Il a fait un – un autel. Il l’a bâti là, l’a bâti comme mémorial à Jéhovah. Il n’était pas un incroyant. Il a fait l’autel et... en commémoration de Jéhovah, et il a mis un sacrifice dessus, il s’est étendu lui-même à l’autel, et il a invoqué Dieu.

64 Mais Dieu a refusé son invocation, parce qu’elle ne donnait pas le son qu’il fallait. Il n’y avait rien là qui pût faire entendre un cri, quelque chose qui mourait. Il n’y avait rien, pas de mort pour L’apaiser, le prix de ce péché-là, c’était la mort. «Le jour où vous en mangerez, vous mourrez.»

65 Et il a mis des fleurs et il a embelli cela, mais il n’y avait rien là qui montrait qu’il y avait eu la mort. Et de l’autel d’Abel est venu le cri d’un agneau. Et il y avait la mort pour payer le prix. Le sang était en train d’être versé.

66 Et aujourd’hui, quand Dieu... Exactement comme c’était ce jour-là quand Il a parlé à Caïn, Caïn était découragé. Il a dit : «Ça, c’est le mieux que je puisse faire. C’est à prendre ou à laisser. Fais comme bon Te semble à ce sujet, mais c’est tout ce que je puis faire à ce sujet.»

67 C’est ainsi qu’adore le chrétien moderne aujourd’hui : «Je vais à l’église. J’assiste les prédicateurs. Je paye ma dîme. Je – je – je... Quand on a des fêtes, je – je – j’y apporte ma contribution. Et quand le – quand on a besoin d’une offrande missionnaire, je – j’y apporte mon assistance.» C’est bien. Mais ce n’est pas ça que Dieu exige.
Il Lui faut entendre le son de la mort. Que Dieu soit béni, ce que Dieu veut aujourd’hui, c’est que vous mouriez, mourir aux choses du monde et à vous-même, c’est qu’Il entende crier : «Seigneur, reçois-moi tel que je suis.»

68 C’est ce que Dieu veut. Il veut ce son de la mort, ce bruit de la mort du vieil homme, Adam, qui agonise, afin que Lui puisse entrer pour prendre Sa place, vous diriger et être votre Seigneur. Oh! En quel temps nous vivons!

69 Maintenant, nous voyons... Dieu a parlé à Caïn; Il a dit : «Va de l’avant et adore comme ton frère Abel. Et tu auras bien fait. Va de l’avant et fais comme lui. Les choses marcheront bien pour toi.» Mais, sinon le péché est couché à la porte. Et c’est la même chose aujourd’hui... Nous voyons donc qu’il n’y a pas de son distinct pour la prétendue église – église.

70 Maintenant, l’église... nous faisons de l’église, de l’église d’aujourd’hui, qu’on appelle l’église, une organisation. Nous disons que c’est l’église. «Euh, de quelle église êtes-vous membres?» Eh bien, il n’existe qu’une seule Eglise. Il n’En existe qu’une seule. Il y a beaucoup d’organisations, mais une seule Eglise, beaucoup d’organisations. Et comme je voudrais rendre cela clair, je n’ai rien contre elles; elles ont joué un grand rôle. Mais ce n’est pas encore cela la chose. Ce n’est pas la chose.
A travers... l’«église» signifie «ceux qui ont été appelés hors de, ceux qui sont séparés».

71 Et deux personnes ne peuvent vivre en vous en même temps. Vous devez mourir aux choses du monde, pour servir Dieu. Vous ne pouvez pas aimer Dieu et Mammon en même temps. Et aussi longtemps que l’amour du monde sera dans le – le – le coeur du croyant, il s’exclut et se prive des privilèges que Dieu lui a donnés.

72 Dieu ne veut pas que vous soyez sans privilèges. Il veut que vous disposiez de chaque privilège pour lequel Il est mort. Il veut que vous jouissiez de chaque privilège qu’Il a donné à l’Eglise, ils sont vôtres.

73 Qu’arriverait-il si j’achetais à mon petit garçon une bicyclette ou un... qu’il la rejetait devant moi, en disant : «Je n’ai que faire de cette histoire!», sans reconnaissance? Qu’arriverait-il si vous achetiez une – une petite poupée à votre fillette et qu’elle la prenait et vous la renvoyait ingratement? Vous voyez, c’est ce que nous faisons quand nous cherchons à vivre en dessous des privilèges que Dieu nous a donnés. Christ est mort afin que nous puissions disposer de ces privilèges. Oh! Comment doit-Il Se sentir ce jour-ci où nous avons adopté un autre programme et où nous Lui avons renvoyé le Saint-Esprit à la figure, disant : «Nous n’avons plus besoin de ce fanatisme.» «Je vais tout simplement adhérer à l’Eglise. Je – je suis un...»

74 Vous ne pouvez pas adhérer à l’Eglise. Ça n’existe pas, adhérer à l’Eglise. Vous – vous pourriez adhérer à une organisation, mais vous ne pouvez pas adhérer à l’Eglise, car vous devez naître dans l’Eglise. Vous ne pouvez pas Y adhérer. Il vous faut Y naître.
Et tous les croyants naissent dans l’Eglise de Dieu, l’Eglise de... pas l’organisation ecclésiastique de Dieu, mais l’Eglise du Dieu vivant, qui est Christ ressuscité des morts et qui est vivant parmi nous. C’est... maintenant...
Il y a donc des sons confus quand ils disent : «Je suis des Assemblées Pentecôtistes. Je suis des Pentecôtistes Unis. Je suis de l’Eglise pentecôtiste de Dieu. Je suis pentecôtiste de la sainteté. Je suis méthodiste. Je suis baptiste. Je suis presbytérien.» Tout ça, c’est bien, en ce qui les concerne.

75 Je ne veux pas être sacrilège en disant ceci. Le vieil homme de couleur qui mangeait du melon... On lui en avait donné une tranche. On a apprêté cela et il l’a mangée. Et elle est descendue du coup comme cela, et il en a rejeté les graines par le coin de la bouche. On lui a demandé : «Comment as-tu trouvé ça, Mose?»
Il a jeté un coup d’oeil sur l’autre gros morceau, vous comprenez, d’où provenait le petit morceau; il a dit : «Patron, c’était bon, mais il y en a encore!» C’est donc ainsi. Ces organisations, c’est bien, mais il y en a encore, encore. C’est ce que nous voulons, encore de cela.

76 Oui, «apprenant toujours, et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité; emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants et ennemis des gens de bien». Avez-vous remarqué cela?

77 Au début du chapitre, il est dit : «L’Esprit dit expressément que dans les derniers jours...», il en serait ainsi. Dans les derniers jours, les hommes seront égoïstes, orgueilleux, fanfarons, blasphémateurs, oh! profanes, insensibles, même insensibles. «Déloyaux, calomniateurs, intempérants, ennemis des gens de bien, ayant la forme de la piété...»
Or, c’est la Parole de Dieu, et Elle doit s’accomplir. «Ayant la forme de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.»

78 Ne voyez-vous pas? Ils se sont éloignés de ce son distinct. Ils ont adopté un son confus. Ils sont entrés et ont dit : «Le... Nous avons adhéré à l’église. Nous avons été baptisés et nous avons inscrit notre nom dans le registre.» Eh bien, c’est un son confus. Et ce qui est de plus hypocrite au monde, c’est d’avoir un son qui est presque identique au véritable son, sans être le son qu’il faut.

79 Le plus gros mensonge qui ait jamais été raconté, c’est celui qui renferme une bonne part de vérité et qui juste à la fin contient un mensonge.
C’est de cette manière que Satan a parlé à Eve. Elle a été séduite par cela. La femme n’en avait pas l’intention, mais elle fut séduite, car cela donnait un son très véridique. Vous voyez?
Et quand on vous dit que vous pouvez juste adhérer à une église et être en ordre, ou être aspergé, baptisé d’une certaine façon, ou faire quelque chose, que ce sera en ordre, ce n’est – ce n’est pas cela la chose, frère.
Un homme doit naître de nouveau d’eau et d’Esprit, et être rempli du Saint-Esprit. Vous voyez? Il est alors une nouvelle créature. Vous avez alors un son distinct qui résonne bien.

80 Bon, quand le son pénètre, il change les capacités d’audition de vos oreilles. Vous voyez? Auparavant, vous n’entendiez pas. Maintenant vous entendez cela. Quelqu’un prêchait la guérison divine, la puissance de Dieu, vous restiez assis là tout aussi incirconcis d’oreilles que possible, vous n’entendiez rien. «Mon pasteur ne croit pas cela. Je pense que c’est du fanatisme.»

81 Mais quand un autre son résonne, comme un vent impétueux, et qu’il circoncit ces oreilles, alors cela devient un son agréable, quand vous vous mettez à écouter ce son du... impétueux.
Oh! La première chose, vous savez, cela déverse des torrents de joie dans votre âme, et vous criez : «Amen. C’est juste. Prêchez la chose, frère. Alléluia! C’est bon.» Vous voyez? Cela vous met alors en action; vous êtes en route vers quelque part.

82 Mais aujourd’hui, tout ce qu’il y a, c’est juste : «Adhérez à l’église!» Vous voyez, c’est un son confus. «Emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu...», c’est II Timothée 3 – II Timothée 3 verset 7, «apprenant toujours, et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité». Vous voyez?

83 Apprenant toujours, apprenant toujours... Frère, nous avons des séminaires, des écoles, des doctorats d’Etat, des Dh.D., des D.D.D., des Q.S.T. et toutes sortes de choses, «apprenant toujours, et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité». C’est juste. On a un diplôme de docteur, et on envoie son enfant au – au séminaire quelque part, on lui donne un très grand diplôme ou quelque chose d’autre de ce genre. Et il en sort, et – et il – il – il... Il y a toujours quelque chose qui cloche.
Vous ne pouvez pas...

84 Ce qu’il nous faut aujourd’hui (et permettez-moi de rectifier ma déclaration), prêcher aujourd’hui... Un ministre, un prédicateur de l’Evangile, ce n’est pas tellement un homme qui peut être... Il peut malgré tout avoir cela et être un prédicateur, mais nous comptons sur un – un diplôme que nous détenons, sur le fait que nous sommes détenteur d’une licence en lettres, et sur le fait que nous avons pris la Bible et que nous avons étudié ceci.

85 Le diable en sait sur la Bible plus que vous n’en saurez jamais. Je vous le dis maintenant. Il connaît tout au sujet... Celui... Certains des meilleurs érudits de la Bible que j’aie jamais rencontrés étaient des incroyants. Ils étudient cela jour et nuit (c’est vrai), pour se disputer avec vous là-dessus. Cela – cela... La Bible n’est pas destinée à être discutée; la Bible doit être vécue. Vous voyez, si vous placez cette semence dans une terre infertile, elle ne vivra pas. Mais si vous la placez dans une terre fertile, elle vivra.

86 Avez-vous lu, il n’y a pas longtemps, comment les gens sont allés découvrir du blé dans le grenier en Egypte, ce que Joseph avait conservé là, on a trouvé une graine de tournesol vieille de quatre mille ans – une graine de tournesol vieille de quatre mille ans, ils l’ont mise en terre, et elle a produit un tournesol. Amen! Le blé a produit le blé. Pourquoi? Elle avait le germe de vie. Ce germe ne meurt pas. Vous voyez, il reste dedans.

87 Et peu importe où on vous mettra, si vous êtes né de nouveau et rempli du Saint-Esprit, vous pourriez ne pas être un – un – un – même pas un... assez de cendres qu’on pourrait mettre sur le petit ongle, mais vous ressusciterez à la résurrection, parce que vous avez la Vie. Vous avez été revêtu de puissance, et... d’en haut, et la Vie est en vous. Un son s’est produit, un son, un son distinct, qui a fait que vous sachiez ce qui est arrivé. Vous êtes mort et vous êtes né de nouveau. Vous êtes devenu une nouvelle créature.

88 Des sons confus... Le son confus concernant les emplois, l’incertitude dans les affaires nationales, l’incertitude dans la politique, l’incertitude dans les foyers... Vous pourriez alors me demander : «Frère Branham, vous dites que tout est incertain. N’y a-t-il rien qui soit sûr?» Si, il y a une chose qui est sûre ...?... C’est éternellement vrai. C’est éternellement sûr. Oh! Vous ne pourrez jamais vous en éloigner, c’est ce chapitre, Jésus a dit, au verset 35, Il a dit : «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.»

89 C’est donc éternellement sûr. Maintenant, vous voyez, nous ne pouvons plus mettre notre confiance dans les affaires nationales, dans les emplois, dans la politique ni – ni dans nos dénominations et tout le reste. Mais la chose qui est certaine, c’est la Parole de Dieu et la Promesse de Dieu. Quand Dieu dit une chose, c’est réglé pour toujours.

90 Il n’y a pas longtemps, les gens ont essayé de dire que – que Dieu a commis beaucoup d’erreurs. Vous savez, ils ont dit que quand David jouait de sa harpe... La science a carrément essayé de prouver qu’il n’existait pas de harpe du temps de David, qu’ils n’avaient pas de harpes. Mais finalement, ils ont déterré des preuves attestant qu’il existait des harpes.

91 Ils ont dit, quand Abraham a pris ses chameaux et est allé à Guérar, ils ont dit qu’il n’y avait jamais eu de chameaux là-bas. Mais maintenant, tout récemment, ils ont déterré des ossements et ont découvert qu’il y avait des chameaux là-bas. Vous voyez? Ainsi...

92 Ils disaient que la Bible était erronée. Ils sont allés creuser et ils ont trouvé le... ce qu’ils ont appelé le jardin d’Eden, prouvant qu’il y a eu quelque part un début de civilisation. Et quand ils ont creusé, essayant de contredire la Bible, ils ont déterré le... un rocher portant des écrits qui disaient comment Esaïe avait guéri Ezéchias des ulcères. Juste pour prouver que...

93 Et ils ont dit que les murailles de Jéricho n’étaient pas tombées, qu’elles n’avaient pas existé; qu’ils avaient creusé partout là, et que les murailles n’avaient pas existé. Et un certain docteur s’y est rendu et a creusé, creusé , creusé et il a découvert qu’elles étaient là, à vingt ou trente pieds [6 ou 9 mètres – N.D.T.] sous terre, là où ils – ils avaient creusé, et elles étaient là, rabattues les unes sur les autres, exactement tel que le dit la Bible. Donc Dieu avait après tout raison. Mmm...

94 Ils ont dit que votre arrière-arrière-arrière grand-père, s’il était un critique, il disait : «Il ne peut y avoir une calèche qui avance sans qu’un cheval y soit attelé», mais nous l’avons de toute façon. C’est juste. Et toutes ces choses dont Dieu a parlé sont des vérités éternelles.

95 Il n’y a pas longtemps, une question fut soulevée au sujet de Salomon dans la Bible, là où il a dit : «Un homme est tel que sont les pensées de son coeur.»
Eh bien alors, l’homme de science a dit : «Ecoutez ça. Il n’existe pas de facultés mentales dans le coeur humain. Salomon voulait dire sa tête.» Hum! S’il voulait dire tête, il aurait dit tête. C’est cela.

96 Je – je crois la Bible exactement telle qu’Elle est écrite. Juste... Je crois que c’est la Parole de Dieu. Juste... Je crois que c’est Dieu. Dieu n’est pas plus que Sa Parole. Vous n’êtes pas plus que votre parole. C’est votre propre parole que l’on jugera là, en ce jour-là.

97 Bon, à Chicago, il y a environ quatre ans... La jeune fille de frère Mattsson-Boze, Joyce, elle doit se marier le mois prochain. C’est une charmante jeune fille. Elle me raconte toujours quelque chose d’amusant. Elle a toujours une petite blague à me raconter, disant quelque chose qui est une petite plaisanterie qu’elle doit faire au sujet de quelque chose. Et elle m’a dit, elle a dit : «Avez-vous appris ce qui a paru aujourd’hui dans le journal?»
Et j’ai dit, j’ai dit : «Eh bien, j’attend une minute, Joyce. Eh bien, que – que vas-tu me raconter maintenant? Que peut...»
Elle a dit : «Non, ce n’est pas cela, Frère Branham.» Elle a dit : «Je vais vous l’apporter pour le montrer.»

98 Elle a dit : «Je vous ai entendu dire que l’homme pense dans son coeur.» Je l’ai lu dans la Bible. Elle a dit : «Eh bien, aujourd’hui, on a découvert et prouvé cela. Ce n’est pas dans le... hu-... Ça ne se trouve dans aucun autre coeur que celui de l’homme. Ça ne se trouve pas dans le coeur des animaux. Mais il y a un petit compartiment dans le coeur qui est, d’après la science, le lieu où demeure l’âme.»

99 Ainsi donc, Dieu avait raison quand Il a dit : «Tel qu’un homme pense dans son coeur...» Vous voyez? Il y a une faculté mentale dans le coeur.

100 Maintenant, quand vous dites : «Bien, maintenant... Je – je...» Vous est-il déjà arrivé... Ceci vous est arrivé à vous tous : des fois où vous vous dites : «Bien, je – je ne sais pas si ceci peut arriver ou pas.» Et tout à coup quelque chose vous dit que ça va arriver; en dépit de ce que quelqu’un d’autre dit, vous êtes sûr que ça va arriver. Nous avons tous fait ces expériences. C’est alors que votre coeur vous parle. C’est votre coeur qui vous dit...
Eh bien, l’esprit raisonne, mais le coeur ne raisonne pas. Il croit simplement la chose.

101 Si jamais j’arrivais à faire comprendre cela à l’un de mes auditoires, j’aurais un véritable service de guérison. Si je peux amener mon auditoire à voir cela, qu’il ne s’agit pas du tout de ce que pense votre tête. C’est là que réside le diable. Mais l’homme raisonne la chose. «Je – je suis malade. Je ne peux pas me rétablir. Je – j’ai ce... ou je ne peux pas être sauvé. Je – je – j’ai fait trop de choses.» Vous voyez, c’est le raisonnement.

102 Mais nous devons renverser les raisonnements. C’est juste. Renverser nos raisonnements, nous croyons avec notre coeur.
Dans le jardin d’Eden, l’homme a été réparti en deux . Le diable a choisi sa tête et Dieu a choisi son coeur. Le diable l’amène à regarder aux circonstances et à dire : «Eh bien, ça ne peut pas arriver. Je peux raisonner sur cela.» Et Dieu a choisi son coeur pour y demeurer, pour l’amener à croire des choses dont sa tête ne sait absolument rien. C’est juste.

103 C’est donc dans votre coeur que vous pensez. C’est d’ici en dessous que vient le véritable son distinct, du coeur. C’est là que Dieu parle. Et c’est d’ici que le diable parle. Renversons donc ce qu’a dit le diable, et prenons un son distinct. Et ce son distinct, c’est Dieu qui parle dans notre coeur. C’est la vérité, les promesses de Dieu.

104 Faisons une enquête pendant les trois ou quatre prochaines minutes. Voyons certaines personnes qui avaient pris Ses promesses, et si celles-ci étaient réelles ou pas. Elles ne raisonnaient pas là-dessus. Dieu vous fait penser et faire des choses qui ne sont pas raisonnables pour la tête de l’homme. Savez-vous cela?

105 Voici un petit garçon assis ici dans une chaise, un fauteuil roulant. Peut-être, il est possible que sa maman et son papa l’aient amené et qu’il... Peut-être que le docteur a fait tout ce qu’il pouvait faire pour lui. Vous voyez? Il a dit : «Il n’y a plus d’espoir.» Bien, maintenant, si – si vous allez écouter ce qu’il vous dit, alors il n’y a plus d’espoir.

106 Mais si quelque chose se met en action ici dedans, frère, alors cela – c’est différent. C’est un autre son. Maintenant, ce son dit : «Il n’y a plus d’espoir.» Mais ce son-ci est un son distinct. Il reniera celui-ci. Or, cela dépend... et celui-ci cherchera à renier celui-là, et vice-versa. Mais cela dépend de celui que vous écoutez.

107 C’est comme il en était de l’Indien, l’autre fois, qui était sauvé. On lui a demandé : «Comment ça va, chef?»

108 Il a dit : «Eh bien, depuis que j’ai reçu le salut, il y a deux chiens en moi.» Et il a dit : «L’un est blanc et l’autre, noir. Et le blanc veut que je fasse le bien, et le noir veut que je fasse le mal.»
Il a dit : «Ils se battent tout le temps.»
On a demandé : «Bien, comment... comment t’en tires-tu? Lequel gagne, chef?»
Il a répondu : «Cela dépend de celui que le chef nourrit le plus.»

109 Eh bien, c’est cela. Si vous vous mettez à écouter le raisonnement, vous ferez que ce gars-ci soit toujours vaincu. Mais si vous écoutez un Son distinct, la Parole de Dieu, oeuvrant dans votre coeur, vous vaincrez celui-ci. Lequel nourrissez-vous?

110 N’écoutez pas le son confus, car nous avons absolument l’évidence tout au long de chaque âge que Dieu accomplit des miracles, opère des choses dont la science ne sait rien. C’est juste. Ne faites donc aucun cas de ce que dit ce gars. Quand il se met à parler, faites que ce gars-ci s’écarte du chemin. C’est juste.

111 Maintenant, prenons comme exemple juste deux ou trois personnes dans la Bible, qui ont écouté et qui n’ont jamais laissé parler leurs raisonnements. Ils ont exprimé à leur... ce son distinct.
Dieu a rencontré Noé, et Il a dit : «Noé, il va pleuvoir. Et Je – Je veux que tu construises une arche maintenant, pour le salut de ta famille.» Or, savez-vous que jusqu’en ce temps-là pas une seule goûte de pluie n’était tombée sur la terre? Il n’avait jamais plu. Maintenant, pouvez-vous imaginer, quand la science... Vous direz : «Ils n’étaient pas...»

112 Oh si, ils l’étaient aussi! Ils étaient la descendance de Caïn. Oui oui, de grands hommes de science, dépassant de loin ceux que nous avons aujourd’hui, leur science était plus avancée.
Ils ont construit le Sphinx et les pyramides en ce temps-là. Nous n’arriverons pas à le faire aujourd’hui. Ils avaient des matériaux comme... Et ils avaient une énergie qui dépassait tout ce que nous avons, en dehors de la puissance atomique. Ils en avaient la maîtrise. Et ils réalisaient des choses que nous ignorons.

113 En ce temps-là, ils pouvaient faire une momie. Nous n’y arriverons pas aujourd’hui s’il nous fallait le faire. Ça n’existe pas, faire une momie aujourd’hui, mais eux le faisaient. Vous voyez? Ils pouvaient embaumer de sorte que la personne conservait son aspect naturel jusqu’à aujourd’hui, des milliers d’années plus tard. Nous n’avons pas cela.
Ils avaient des teintures qui duraient, et tant de choses en ce temps-là, que nous n’avons pas. Leur science était plus avancée que la nôtre.

114 Eh bien, la science a essayé de – a dit : «Eh bien, je voudrais vous poser une question. D’où viendra donc cette eau? Je vois jusqu’aux étoiles. Je vois jusqu’à la lune. Je vois jusqu’au soleil. Nous avons ici des instruments qui peuvent envoyer un message vers la lune. Nous pouvons aller jusqu’aux étoiles et aller jusque sur Mars, des choses comme cela. Dites-moi où se trouve l’eau, s’il vous plaît, Monsieur Noé.»

115 «Eh bien, je vais vous le dire. Un jour, j’ai entendu un son, et c’était la Voix de Dieu, qui m’a dit de construire une arche. Et je... Aussi sûr qu’il existe un monde où nous vivons, Dieu va le détruire par l’eau. Et la pluie va bel et bien tomber du ciel. Dieu est capable de la mettre là-haut. S’Il a dit qu’elle tombera, Il fera une voie à cet effet.» C’est juste.
Maintenant, s’il n’était pas sûr et positif que ce son était distinct, à la première critique, il aurait dit : «Bien, peut-être que je... peut-être que j’ai mal compris.» C’est ce que font les gens aujourd’hui.
Le docteur dit : «Vous n’allez pas mieux.»
«Bien, peut-être que j’ai mal compris. Peut-être que je – je...» Oh! la la! Vous voyez? Mais si vous êtes sûr de ce son distinct...

116 Si la trompette rend un son confus, qui saura se préparer au combat? S’il est confus, que fera un soldat, si – si c’était... ils se préparaient au combat, et que le – et que le – qu’on sonne et que cela ne sonnait pas exactement comme le – le son habituel pour aller au combat, il ne saura pas s’il faut battre en retraite, s’il faut aller au combat, ou s’il faut camper, ou – ou prendre son dîner, ce qu’il faut faire, ou aller au lit, si le son n’est pas émis d’une façon bien précise.

117 La Parole de Dieu ne suscite donc pas des doutes; elle rend un son distinct, un son distinct. Quand Dieu parle à un individu, c’est clair. Peu m’importe ce que quelqu’un d’autre dit, ce que la science dit, ce que la nation dit, ce que le monde dit, ce que l’église dit, ce que quelqu’un d’autre dit, c’est clair. La Parole de Dieu est un son distinct. Tout homme qui L’a entendue et qui Y a obéi a aussi fait quelque chose.

118 Bon, Noé, étant averti par Dieu, est passé à l’action et a préparé une arche pour sauver sa famille. C’était un son distinct. Dieu avait dit qu’il pleuvrait, et il a plu. Et ceux qui avaient trouvé un moyen d’échapper, le prirent; ceux qui n’en avaient pas trouvé un, périrent.

119 Le même Dieu qui a dit : «Il va pleuvoir», a dit : «Le feu va tomber du ciel et détruire le monde.» Et il y a une issue préparée pour vous. Ceux qui l’accepteront y échapperont; ceux qui ne l’accepteront pas périront. Le pécheur périra avec le monde de péché, mais le racheté sera racheté par le Saint-Esprit.

120 Noé s’est tenu juste à la porte de cette arche et a amené le jugement sur la terre, il a jugé ces gens-là, parce qu’ils n’avaient pas cru le message, ce que Dieu allait faire. Et il a amené la colère de Dieu sur la terre en se tenant à la porte de son arche et en prêchant la justification. Il s’est tenu à la porte et a proclamé la Parole de Dieu, parce qu’Elle lui avait été manifestée comme un son distinct, à savoir que Dieu allait faire quelque chose.

121 Ce soir, comme votre frère, je me tiens à la porte de cette Arche, Jésus-Christ, et je vous déclare qu’Il est le Sauveur, le Guérisseur, le Roi qui vient. Et ces messages des ministres à la porte amèneront la colère de Dieu sur la nation dans un jugement sur le monde. C’est un son distinct. Nous connaissons Cela; C’est la Parole de Dieu.

122 Et tous ceux qui ne cherchent pas Christ pour le salut périront. Ceux qui pèchent périront avec le péché. Ils sont du monde, ils périront avec le monde.
Noé a nav-... navigué par-dessus lui à bord de son arche, parce qu’il s’était tenu à la porte du seul dispositif que Dieu avait pour échapper. Et je dis, aujourd’hui, que votre église ne vous sauvera pas. Votre credo ne vous sauvera pas. Il faudra Dieu, le Saint-Esprit, pour vous sauver, que vous soyez baptisé par le Saint-Esprit dans l’Arche de Jésus-Christ, «car nous avons tous, en effet, été baptisés d’un seul Esprit pour former un seul corps». C’est la seule chose qui vous sauvera. Écoutez cela! Ne prenez pas un son confus : «Je suis méthodiste; je suis baptiste; je suis pentecôtiste; j’ai fait ceci; j’ai fait ce... Je...» Ne prenez pas cela; c’est un son confus. Mais quand Dieu vient, c’est un son distinct. Vous avez une certitude à ce sujet. Tout... aussi longtemps que vous vivrez sur cette terre, vous en serez toujours certain : c’est quelque chose qui vous arrive.
C’était un son distinct qui avait amené Noé à se comporter comme un fou avant que la chose ne se manifeste, avant qu’elle n’arrive.
Il en est de même aujourd’hui de l’église qui accepte Christ et qui est née du Saint-Esprit. Les gens pensent que ces gens sont fous. L’un d’eux m’a demandé : «Frère Branham, êtes-vous toujours baptiste?»
J’ai répondu : «Non, je suis un pentecôtiste.»
– Un quoi?
J’ai répété : «Un pentecôtiste.»
– Que voulez-vous dire?

123 J’ai dit : «Je – je suis né de l’Esprit de Dieu et j’ai reçu le Saint-Esprit.» J’ai dit : «Je suis un pentecôtiste.»
Il a dit : «Pfft! Vous avez perdu la tête!»

124 J’ai dit : «Non, j’ai simplement entendu un son distinct et cela... voici d’où c’est venu. Cela a retenti depuis les pages de cette Bible, tout aussi clairement qu’une cloche. Quand j’ai reçu cela, je sais ce qui est arrivé; j’étais là. Je sais que cela est arrivé.» ...distinct. Cela m’a fait passer de la mort à la Vie. Cela a fait quelque chose pour moi. C’est un son distinct. Cela...
Je sais que pour les gens je me comporte comme un fou, et vous aussi pour les gens vous vous comportez comme un fou, vous qui avez reçu cela. Mais nous savons où nous nous tenons. Nous savons de quoi nous parlons. C’est un son réel. C’est exactement le même genre de son qui s’était fait entendre dans la Bible, il nous fait agir de la même manière. Cela amènera le Noir, le Jaune, le Brun, tous, à se comporter de la même manière, parce que c’est le même son. Amen. Un son distinct.
Quand la trompette rend un son confus... Bien, je peux être méthodiste, baptiste, presbytérien, pentecôtiste de nom ou que sais-je encore. Vous voyez, il n’y a pas de certitude dans cela. Mais quand ce son distinct retentit, alors vous le reconnaissez. C’est un son distinct.

125 Maintenant, que dire de Noé debout là, prêchant sans relâche qu’il va pleuvoir? Eh bien, les gens se sont moqué de lui. Mais un jour, cela a été rendu manifeste. C’est juste. Noé a travaillé d’arrache-pied, il a continué à se tenir, et a placé sans relâche le bois de construction, travaillant d’arrache-pied. Puis il est sorti là et il a enduit l’arche de poix : il a mis du poix dessus.
Or, elle était faite de bois d’acacia, et si vous remarquez, c’est le bois le plus léger qui existe; il est plus léger que le balsamier. Et c’était de cela que l’arche était faite. C’est ce que Chr-... C’est de cela que vous êtes faits, les bois de construction de cette arche.

126 Elle était faite de – d’un bois mince, d’un bois léger. Que faisait-on avec? On devait en extraire toute la sève pour le rendre léger, on le séchait, jusqu’à ce qu’il soit devenu très léger. Et alors il devient flexible. Vous pouvez vous en servir.
Il y a tellement de choses en nous que chaque fois que nous faisons un mouvement pour nous courber, nous nous brisons. Mais vous devez faire sortir de vous toute la – toute la sève du monde, toute la sève du monde de vous, et ensuite garder la chose au-dessus d’un feu. Et le feu en fera sortir la sève. Et je vous le dis, c’est ce qu’il faut pour faire sortir la sève de nous maintenant, la sève du monde.

127 Ensuite, que faisait-on avec? On prenait un arbre et on abattait un arbre à colophane. Et au lieu de – de le découper tout simplement, on le prenait et on le battait. Et on battait cet arbre jusqu’à ce qu’on en fasse sortir la résine. Ensuite, on en extrayait la résine et on versait celle-ci dans ce bois d’acacia. Et cela fait, elle remplissait toutes les fissures et cela devenait plus dur que l’acier. C’est juste.

128 C’était alors mis dans l’arche. Et Dieu en a enduit l’extérieur... ou plutôt Mo-... ou plutôt Noé; il en a enduit l’intérieur et l’extérieur. Bien, c’était exactement tel que Dieu lui avait dit de la construire.

129 Et c’est de cette façon que nous la construisons aujourd’hui. On ne peut pas déverser ces eaux et ces choses dans l’église et en faire quelque chose. Vous pouvez être baptisé face en avant, en arrière, tout ce que vous voulez, ça ne fera aucun bien, aucun. On discute sur des crédos, sur le fait d’asperger, sur le fait de verser, sur ceci, cela. Eh bien, ça sert à quoi si c’est tout ce qu’on a? C’est juste. Et j’ai dit que le seul moyen qu’ils ont de jamais...

130 Autrefois, quand j’étais un petit garçon, il y avait... Mon frère et moi étions derrière la ferme et il y avait... Nous avons trouvé une vieille tortue alors qu’elle était... Vous savez comment elles marchent avec leurs pattes comme cela, ce sont des créatures drôles à voir. Et mon frère et moi, nous trouvions que c’était la créature la plus drôle que nous n’ayons jamais vue. Quand je me suis donc approché d’elle, elle s’est mise à faire sssshhhh [Frère Branham produit un son. – N.D.E.], elle est rentrée comme cela.
C’est exactement, vous savez, comme quand on se met à prêcher l’Evangile et qu’on ne mâche vraiment pas ses mots, on voit ces vieilles tortues qui veulent rentrer dans une carapace. «...?... je m’en vais.» Oui.

131 Et je me suis approché d’elle; j’ai dit : «Je me demande si on pourrait la faire marcher.» Eh bien, nous – nous l’avons pincée, nous avons fait tout ce qui nous était possible. Elle – elle ne marchait pas. On l’a poussée, malmenée, cela ne l’amenait pas à marcher. Eh bien, je suis allé me chercher une baguette et j’ai fait pleuvoir des coups sur elle, et elle – elle n’a pas marché. Et j’ai dit : «Eh bien...» Et je... vous... C’est ça. Vous – vous ne pouvez pas – vous ne pouvez pas faire entrer la chose en eux à coups de fouet. Aussi ai-je donc dit : «Je – je – je vais la châtier, mon vieux.»
Nous sommes allés là à la source et... un point d’eau. Je l’y ai tout simplement plongée. Je me suis dit que je la noierais ou elle marcherait. Et je l’ai maintenue là en dessous : juste quelques bulles sont montées et c’était tout. Elle était tout simplement à son aise. Et, frères, vous... l’eau ne le fait pas.
Mais, savez-vous comment je l’ai fait marcher? Je me suis procuré un bout de papier et j’ai fait un petit feu sur lequel je l’ai posée. Frère, elle a alors marché. Oui!

132 S’il y a quelque chose qui fera marcher l’Eglise correctement, se comporter correctement, se manifester, c’est le baptême du Saint-Esprit et de feu qui descend du ciel d’auprès de Dieu, cela redressera l’Eglise, pas une dispute sur ceci ou sur cela, mais un baptême de l’amour ardent de Dieu qui descend et balaye les choses de votre coeur et qui fait de vous une nouvelle créature en Jésus-Christ. Les femmes laisseront pousser leurs cheveux et les hommes cesseront de fumer des cigarettes, et je vous assure... et toutes ces choses seront redressées si – si vous faites descendre le feu sur elles. C’est vrai.
Bon, ça semblait très étrange quand Noé faisait cela, mais il était... avait entendu ce son distinct. C’est ce qu’il lui fallait.

133 Bon, prenons quelqu’un d’autre. Il y avait un homme du – du nom de Moïse, il était derrière le désert... aussi plein de doctrines qu’il pouvait l’être. Il connaissait tous les – les tenants et les aboutissants de toutes choses; il pouvait même enseigner aux Egyptiens, le peuple le plus intelligent du monde. Il pouvait leur enseigner de la théologie. Mais un jour, là-bas, il – il a vu quelque chose en feu, et cela, naturellement, a attiré son attention. C’est ce qu’il faut aujourd’hui, une église en feu pour attirer l’attention de certains de ces Moïses par ici quelque part, pour attirer certains de ces pécheurs.

134 Il faut le feu pour qu’il y ait une attraction. Qu’un – un – un cri monte de la rue : «Au feu!», très... tout le monde va sauter dans sa voiture pour essayer de le suivre. Le feu a quelque chose qui attire. Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est du Saint-Esprit et du feu. Ça va attirer le croyant qui voit quelque chose.

135 Je me souviens d’un vieil ami à moi du nom de Ben Pemberman. Oh! C’est un sacré gars! Il tenait une réunion sous tente là à Saint-Louis, et personne ne voulait y assister. Il a donc parcouru la rue là, un petit tronçon, au beau milieu de l’allée, en criant là : «Au feu! Au feu! Au feu! Au feu!» Et il a remonté la rue en lançant son chapeau aussi fort qu’il le pouvait.

136 Il avait une tente là et tout le monde s’est mis à accourir pour voir ce qui n’allait pas chez ce toqué. Il monta là en courant et sauta sur un poteau, puis en redescendit (juste comme un clown), redescendit et sauta à la chaire, cria : «Le Saint-Esprit et le feu!», et il se mit alors à prêcher aussi fort qu’il le pouvait. C’est... Vous voyez, quelque chose... Attirer l’attention. Et la meilleure chose pour attirer un homme entêté, c’est le Saint-Esprit et le feu. C’est ainsi que Dieu l’a fait.

137 Bon, Moïse ne pensait pas qu’il pouvait le faire. Il a essayé cela de son propre point de vue doctrinal, et ça n’a pas marché. Mais Dieu lui a parlé un jour et a dit : «Ôte tes souliers, Moïse. Je sais que tu es un prince en Egypte, mais tu n’es rien à Mes yeux. Ôte tes souliers. Tu te tiens sur une terre sainte. Fais tout... débarrasse-toi de toutes ces histoires que tu as en toi.» Et il a entendu un son. Il a dit : «Je vais t’envoyer délivrer Mon peuple.» Eh bien, ce n’était pas confus.
Maintenant, comment Moïse a-t-il su que ce n’était pas confus? Et s’il avait dit : «Qui me parle? Qu’est-ce?» C’est parce que la Voix qui lui a parlé s’accordait parfaitement avec les Ecritures. C’est de cette façon que l’on sait si c’est un son distinct ou pas – ou un son confus.

138 Si les Ecritures... Si la voix qui vous parle n’est pas scripturaire, alors ne l’écoutez pas. Vous voyez? Mais si elle est scripturaire, écoutez-la, car c’est la voix de Dieu. Vous voyez? Il a dit : «J’ai entendu les cris de Mon peuple, et J’ai vu leurs corvées, leurs souffrances et leurs oppresseurs, ce qu’ils ont fait, et Je Me suis souvenu de Ma promesse et de Mon alliance.» Vous voyez?
Moïse a dit : «C’est parfaitement les Ecritures!» Eh bien, c’est ce qu’il vous faut faire : distinguer le genre de son que cela rend. Voyez si c’est un son scripturaire. Si c’est un son scripturaire, alors c’est un son distinct, car les promesses de Dieu sont vraies. Si la Bible...

139 Si vous entendez un petit érudit qui sort du séminaire dire : «Pfft! La guérison divine n’existe pas; ce sont des excitations.» Ecoutez, frère, c’est un airain qui résonne et une cymbale qui retentit. N’écoutez pas ça. Oui, oui. Mais quand vous L’entendez dire : «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement», c’est un – c’est un son distinct. Cela – c’est exact, «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies», c’est un son distinct. Vous voyez? Eh bien, écoutez le son distinct, pas celui qui est confus. Maintenant... Et Moïse est allé et a délivré les enfants, parce qu’il avait un son distinct.

140 Les enfants hébreux ont entendu un son distinct, sans doute, ce soir-là à la réunion de prière. «Notre Dieu est capable de nous délivrer. Néanmoins, nous n’accepterons rien d’autre que Sa Parole. Nous Y sommes parfaitement fidèles. Peu importe ce qui arrive, nous al-...» C’était un son distinct. C’est juste. Ils savaient de quoi ils parlaient.

141 Abraham, un fermier de soixante-quinze ans, probablement un païen, il venait de Babel et de la tour où ils avaient toutes ces superstitions là-bas, et tout. Mais un jour, pendant qu’il travaillait là dans le champ, il a entendu un son, et c’était un son distinct. Vingt-cinq ans plus tard, ne possédant aucune évidence que ce son serait manifesté, il y croyait deux fois plus qu’au commencement. Vous y êtes!

142 Dieu a dit : «Abraham, tu vas avoir une fe-... va avoir... Ta femme aura un enfant. Et – et elle a maintenant soixante-cinq ans, et tu en as soixante-quinze, mais Je suis l’Eternel. Je – je vais prendre cet enfant et à travers lui, faire de toi un père des nations du monde. Je vais maintenant faire de toi un père de nombreuses nations.» Et après quelque temps, Il l’a rencontré et a changé son nom de «Abraham» – de «Abram» en «A-bra-ham», en lui donnant une partie de Son Nom, «Elohim». Et ainsi... en effet, il était un père, Il a fait de lui un père des nations...

143 Maintenant, Abraham a tout simplement continué à croire à cette promesse. Le premier mois, le deuxième mois, premiè-... première année, troisième année, cinquième année, vingt-cinquième année, il y croyait toujours. Et la Bible dit qu’il ne douta point par incrédulité à la promesse de Dieu, mais qu’il fut fortifié, donnant gloire à Dieu. Vous voyez? Il a entendu un son distinct. Peu importe combien de temps ça prend, ça n’a rien à voir avec la chose. C’est le son qui est correct, peu importe ce que c’est. Fiou!

144 Oh! Si seulement vous pouviez saisir cela, église, tout serait terminé. C’est moi qui vous le dis. Les choses seraient différentes si nous pouvions saisir cela (Vous voyez?), ce son distinct, que c’est Dieu. Comment le savons-nous? Il l’a dit! «Comment sais-tu, Abraham, que tu auras cet enfant de Sara?»
– Dieu l’a dit.
– Bien, regarde ici, elle a soixante-cinq ans.
– Peu m’importe, même si elle avait cent soixante ans. Peu importe ce que c’est. Dieu l’a dit, cela règle la question.
– Je pense que vous, si cela... Oh! Je... Bien, Je reviendrai l’année prochaine voir comment – comment se porte cet enfant. Je – Je serai de retour dans neuf mois pour voir ton enfant.
– Il se peut qu’il ne soit pas là dans neuf mois. Je crois qu’il sera là. Mais s’il n’est pas là dans neuf mois, il se pourrait qu’il soit là dans les neuf mois qui suivront (Vous voyez?); il sera là.

145 Des années s’écoulèrent; des années s’écoulèrent. «Qu’en est-il?» Il fut fortifié de plus en plus, disant : «Gloire à Dieu! Dieu l’a dit. Oh! Je ne pourrais douter de cela, même si je devais...?...»

146 Fiou! Comme par hasard, je me suis tourné ici et j’ai vu frère et soeur Kidd assis ici. Eh bien, il a dit... Il n’y a pas longtemps, je... Un docteur a produit un son; ce vieil homme était mourant. Vous voyez? Et j’ai failli griller les pneus de ma voiture pour venir ici lui dire au revoir. Quand je suis arrivé là dans la chambre, un matin, le Saint-Esprit a dit : «Non, il ne va pas mourir.» Voyez? Le voici. J’ai appris qu’il a gagné vingt-cinq livres [environ 11 kg – N.D.T.]. Oh! la la! Oh! la la! Oh! la la! Vous voyez donc que c’est un son distinct. Vous voyez? C’est une certitude; si Dieu l’a dit, c’est ainsi.

147 L’autre jour, je revenais de la Californie. Je n’avais pas fait entrer ma valise; cela faisait deux mois que j’étais absent de la maison, exactement deux mois. Je venais de faire entrer environ la deuxième valise, quand le téléphone a sonné; c’était une dame.

148 Bien, elle était en quelque sorte une amie à moi, il y a des années, quand j’étais pasteur de l’église baptiste de Milltown.
Elle avait deux charmantes filles. Et elle a épousé un homme admirable, frère Huff. Et il était un constructeur de moulins. Il a eu cela... perdu l’un de ses doigts ainsi que les pouces, un frère très aimable. Et ils avaient – avaient deux jumelles – jumelles et une autre fille, soit trois enfants. Et les jumelles étaient des chrétiennes ferventes, elles – elles étaient de l’U.B.E., mais elles – elles croyaient vraiment en Dieu. Et ainsi, elles...

149 L’une des jeunes filles, en allant à l’école, a attrapé un complexe. Les filles lui disaient : «Bien, pourquoi ne fumes-tu pas comme nous? Penses-tu être meilleure que nous? Pourquoi ne vas-tu pas aux danses?» Eh bien, elles n’allaient pas aux danses, ne buvaient ni ne dansaient. Et elles se moquaient de...

150 La fille qui était plus solide a dit : «Hum! Qu’elles aillent se faire cuire un oeuf! Moi, je sers Christ. Elles, elles ne veulent pas le faire, qu’elles aillent de l’avant.»

151 Mais l’autre, elle s’est mise à penser : «Oh! Peut-être que je pourrais faire quelque chose.» Et elle a développé un complexe, elle est devenue nerveuse. Elle est devenue folle. On l’a gardée dans un établissement psychiatrique pendant deux ans. Et on essayait donc de la soigner, en lui administrant toutes sortes d’histoires et de traitements, et – et tout. On... C’était sans succès.
Ainsi donc, quand je suis entré dans la maison, on a dit : «Frère Branham... On l’a amenée là à cet établissement psychiatrique catholique, là-bas, et lundi, on va l’envoyer à Madison. C’est dans une cellule matelassée. Ça ferait l’affaire.»

152 Elle a dix-huit ans, et elle est un génie. Elle est l’une de ces perfectionnistes. Elle enseigne même l’opéra et joue des ouvertures, et à dix-huit ans, elle enseigne la musique. Vous voyez? Une fille très intelligente. Et ainsi, elle... une très bonne chrétienne... Et on n’arrivait pas à comprendre cela.
Et ainsi, quand on a dit qu’on allait la mettre dans une cellule capitonnée, c’était terminé. On lui a donné, j’oublie combien de traitements de choc, et ça, c’est un tir à l’aveuglette, vous savez, et cela a donc juste empiré son état. Le docteur a donc dit : «Il n’y a plus d’espoir pour elle, c’est pourquoi nous allons l’envoyer à Madison le lundi.»
Et la petite mère a donc dit : «Je me souviens de notre... Frère Branham se trouvait ici à... et il nous disait que Christ est un Guérisseur.» Elle a ajouté : «Je... Et j’ai entendu parler de toutes sortes de reportages de journaux et tout, sur ce qui s’est passé là où il a été.»
C’étaient des gens de la campagne, qui sont tout là-bas dans la campagne et des choses semblables. Et elle a dit : «Si seulement je pouvais mettre la main...» Ils ont donc appelé Jeffersonville, le bureau, et on leur a dit que j’étais en Californie; que je serais de retour à la maison à une certaine date. Elle a dit : «Bien, cela nous donnera juste...» Je crois que c’était un vendredi. Quand je suis arrivé, c’était le lundi qu’on allait l’amener.
Il est donc allé demander au docteur si je pouvais venir... Et le docteur a répondu : «Non. Non! Ne l’excitez pas.» Il a ajouté : «On... Rien ne peut être fait à ce sujet», le psychiatre et les autres étaient là.

153 Ils ont donc continué, mais frère Huff a dit : «Ecoutez!» C’était un hôpital catholique. Il a dit : «Notre – notre frère... c’est juste comme si vous alliez donner le dernier sacrément ou quelque chose comme ça, un prêtre.»
Il a dit : «Bien, il est... Rien ne peut être fait.» Il a dit : «Permettez-moi de parler à ce prédicateur.» Il a dit : «D’accord.» Et il lui a donné mon numéro. Il a appelé; j’étais sorti. Il a dit... et il a dit à ma femme : «Je lui retéléphonerai.»
J’ai appelé toute la journée du samedi et toute – toute la nuit, et jusqu’à vingt-quatre heures, samedi soir. Il n’a pas décroché. J’ai compris qu’il m’évitait (Vous voyez?), qu’il m’empêchait de venir.
Et frère Huff a téléphoné et a dit : «Frère Branham, on va l’amener lundi.»
J’ai dit : «Je vais vous dire quoi, Frère Huff, il ne me connaît pas, faites-moi donc entrer en tant qu’un visiteur. Faites-moi tout simplement entrer en tant qu’un visiteur.»

154 Et il a dit : «D’accord.» Ainsi, le lendemain, il est venu me prendre comme un visiteur. Et le... son... La jumelle, l’une des jumelles et l’autre fille sont montées dans la voiture pour aller avec moi. Nous avons traversé la rivière, et le père et la mère roulaient donc devant. Et je me suis mis à interroger les filles. Elle a dit : «Vous savez, ce qu’il y a de plus étrange, Frère Branham, a-t-elle dit, ce matin...» Un très aimable petit être, elle a dit: «Vous savez, notre pasteur a dit... avait commencé à prêcher sur une certaine chose, et il a changé son sujet et s’est mis à parler de la guérison par l’huile.» Et elle a dit : «Papa et maman ont commencé à pleurer parce que... et nous aussi, parce que nous savions que vous veniez... pour vous prendre.» Il a dit: «Il existe un type de guérison que les gens pratiquent dans la Bible, au moyen de l’huile.»
J’ai dit : «Je... Soeur, ai-je dit, je sais de quoi vous parlez.»
Elle a dit : «Vous croyez que ça avait un rapport, que Dieu cherchait à nous parler par notre pasteur que nous avions une chance par ce moyen-là?»
J’ai répondu : «Nous verrons quand nous arriverons là-bas et nous verrons bien ce que dira le Saint-Esprit.»

155 Et quand ils ont ouvert la porte, vous savez, ils ouvrent la porte et puis la referment derrière vous, ils ouvrent l’ascenseur et vous font monter, puis ils le referment, vous savez, ils empêchent les gens... Ils vous font entrer dans la cellule.
Assise là... une belle petite créature, une petite de dix-huit ans, une petite chérie, de cette taille-ci, à peu près, ayant de très grands yeux doux et beaux, assise là, juste – juste – oh! juste dans un état épouvantable, juste – comme cela. Et j’ai dit : «Tu te souviens de moi, Margaret?»
Elle a fait : «Oh! Oh! Oh! ...»

156 Et j’ai dit : «Je suis frère Branham, ne te souviens-tu pas de moi? Tu avais l’habitude de m’appeler ‘Billy’, là-bas... toi et moi... Quand tu es venue, tu étais comme une petite semence de potiron, une toute petite fille, la dernière fois que je vous avais vues toutes, avec de toutes petites robes comme cela. Ne te souviens-tu pas de moi?»
Elle a fait : «Euh...» avec de très grands yeux, vous savez, regardant comme cela.
Et je me suis dit : «Ô Dieu...» Je me suis assis avec mon... J’ai en quelque sorte mis ma jambe au bout du lit. Il y avait un homme assis là qui essayait de retenir sa femme; elle était dans un état épouvantable. Cette fille était assise ici et le père se tenait à côté de la fille. La mère était assise à l’autre coin du lit. Nous étions assis là... Je me demandais sans arrêt : «Seigneur, veux-Tu bien dire quelque chose? Veux-Tu bien dire quelque chose?»
J’ai dit : «Ne te souviens-tu pas de moi, Margaret?» Et elle continuait simplement à me regarder. Elle ne pouvait rien comprendre.

157 On m’a dit : «Frère Branham, elle... Tout ce dont elle ne cesse de parler, c’est du sang sur l’autoroute et de choses de ce genre, a-t-on dit, de choses des plus curieuses...»
Et j’ai demandé : «Depuis quand est-elle dans cette situation?»
On a dit : «Deux ans.»

158 Et j’ai continué à lui parler. Oh! Néanmoins la grâce de Dieu... Au bout de quelques minutes, le Saint-Esprit a commencé à agir. J’ai dit : «Margaret, tu ne me reconnais pas, mais, ai-je dit, toute ta vie, depuis que tu es devenue assez grande pour en savoir au sujet des garçons, tu as toujours eu en vue d’épouser un prédicateur. Tu voulais épouser un prédicateur.»

159 Et elle a commencé à sourire. Cela avait eu de l’effet. Vous voyez? Et j’ai vu que le Saint-Esprit avait trouvé la chose. Et j’ai donc dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR, c’est terminé.» Et je me suis demandé : «Qu’ai-je dit?»
Beaucoup d’entre vous ont lu l’histoire des écureuils et tout. J’ai dit: «C’est terminé.»

160 «Bien, me suis-je dit, s’Il a dit cela, je m’en tiendrai à cela.» J’ai dit : «Frère Huff, je ne sais pas pourquoi j’ai dit cela. Je ne peux pas vous le dire.» J’ai dit : «J’ai simplement dit cela et c’est tout ce que je sais, j’ai simplement dit cela.» Et j’ai dit : «Mais observez simplement.

161 Dans les quelques heures qui vont suivre, un changement va s’opérer ici.» C’était vers cinq heures de l’après-midi. J’ai dit : «Un changement va s’opérer ici dans les quelques heures qui vont suivre.»

162 Je venais d’en parler à l’église ce matin-là, là au Tabernacle. Je pense qu’il y a des gens du Tabernacle ici maintenant. Fred Sothmann et les autres, à ma connaissance, étaient là. Là... eux, là-bas, qui avaient entendu cela être dit. Oh! Je crois que ces garçons qui sont assis juste ici étaient là. Combien ici présents se souviennent que j’ai dit au Tabernacle...? Oui, ils sont ici. Vous voyez? J’ai dit : «Soyez en prière, ai-je dit, quelque chose est sur le point d’arriver; quelque chose est sur le point d’arriver.»
Et quand je suis ressorti, je suis arrivé à l’extérieur du... Ils ont ouvert les portes et m’ont reconduit à l’extérieur. Et alors, quand je suis monté dans la voiture et que j’ai tourné le coin, j’ai dit : «Père céleste, pourquoi ai-je dit cela? Pourquoi ai-je dit cela?» Ce n’était pas différent de la fois où j’avais parlé pour ces écureuils et autres, et qu’ils étaient apparus; j’avais dit : «Quelque chose est sur le point de se produire.»
Cela fut de nouveau confirmé ici à la réunion qui a suivi, cette dernière réunion-ci, comme cela, ce qui allait arriver.

163 Et quand je suis rentré à la maison, j’ai juste changé d’habits et j’allais rentrer à l’église; frère Huff m’a téléphoné. Il a dit : «Frère Branham, je ne pouvais pas garder cela plus longtemps.» Il a dit : «Vous savez quoi? Après votre départ, environ une – une demi-heure après votre départ, les docteurs sont venus.» Il a dit : «Margaret était assise sur le lit...» Et pendant que j’étais assis là, j’ai dit : «Margaret, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est terminé.» Et sa mère m’a simplement frappé au genou comme cela, et elle a crié à sa fille, ne sachant même pas ce qu’elle faisait, elle a dit : «Chérie, Il ne se trompe jamais!» Comme cela, «Il ne se trompe jamais!» Et je suis sorti du bâtiment.

164 Monsieur Huff m’a téléphoné et a dit : «Frère Branham, les docteurs sont entrés ici et ont demandé : ‘Que s’est-il passé?’ Ils ont dit : ‘La fille est revenue à elle.’»
Il a dit : «Nous allons la ramener à la maison demain. Elle a été libérée. Elle est aussi normale et en forme que n’importe qui.» Elle est à la maison ce soir, se réjouissant. Pourquoi? Il y a eu un son distinct. Peu importe ce qui est contraire, c’est un son distinct. Ô Dieu, ce son distinct...
Encore deux ou trois seulement, environ cinq minutes de plus. Un son distinct... Comme nous pourrions continuer!

165 L’autre jour, quelque chose est arrivé sur la route. C’est la même chose, cela continue à se mouvoir, de plus en plus, de plus en plus, de plus en plus. Pourquoi? C’est un son distinct, car là-bas dans ces bois, ce jour-là, frère Fred, frère Tom et le reste d’entre vous qui êtes ici, frère Leo, vous... Quand cet homme...

166 L’Ange du Seigneur S’était tenu là dans les bois et a dit ceci : «Prononce cette Parole et observe-La S’accomplir», ce n’était pas un son confus. C’était un son. Je sais que c’est la vérité. Je le crois de tout mon coeur, avec cette Bible sur mon coeur, c’est Dieu. Nous sommes au temps de la fin.

167 Jésus, quand Il était sur la terre, Il ne rendait point de son confus. Il a dit : «J’ai le pouvoir de donner Ma vie. J’ai le pouvoir de la reprendre.» Il n’y avait rien de confus là-dedans! C’était un son distinct. Pourquoi? Il l’avait entendu de Dieu. C’est juste. Alléluia! J’ai maintenant envie de crier. Je me sens religieux maintenant. Maintenant, nous quittons le côté négatif pour entrer dans le positif, un son distinct.

168 «Si la trompette rend un son confus, qui saura se préparer?» Et la trompette sonne. Nous sommes au temps de la fin. C’est conforme aux Ecritures. «Au temps du soir, la lumière paraîtra... Voici les signes...», et ainsi de suite. Cela – c’est ici. La trompette rend le son qu’il faut. Préparons-nous. C’est juste. Soyons prêts. Quelque chose va arriver, frère, soeur.

169 Jésus a dit : «J’ai le pouvoir de donner Ma vie. J’ai le pouvoir de la reprendre.» Pas : «Peut-être que Je vais... J’espère que J’ai...» Il a dit : «J’ai.» Amen. C’est cela!

170 Quand Marthe est sortie à Sa rencontre, après que Lazare eut été mort depuis quatre jours, elle a dit : «Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort, mais même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»

171 Jésus a dit : «Je suis la Résurrection et la Vie.» Pas : «J’espère que Je suis. Je suis.» Amen. «Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?» Il n’y avait rien d’incertain là-dedans. «Je suis.» «Je serai. J’espère être.» «Je suis maintenant. J’ai toujours été et Je serai toujours. Je suis la résurrection et la Vie. Je suis; Je suis.» Oui. Il n’y a rien d’incertain là-dedans.
«Où l’avez-vous mis?» Ha, ha, ha, ha... Amen. Rien... Je ne vais pas... Eh bien, pas, rappelez-vous, pas : «Je vais aller voir ce que Je peux faire à ce sujet.» «Je vais le réveiller.» Il n’y avait rien d’incertain à ce sujet. Ça l’était, c’était certain. Pourquoi? Dieu le Lui avait dit. C’est juste.

172 «Je ne fais rien avant que Mon Père Me l’ait montré premièrement.» Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-Même, mais seulement ce qu’Il voit faire au Père. Le Père montre ce qu’Il fait au Fils.» Amen. Il n’y a rien d’incertain là-dedans.

173 «Il est mort. Il a pourri dans la tombe, mais Je vais le réveiller. (Amen!) Je vais le réveiller.» Il n’y avait rien d’incertain dans ce... N’oubliez pas cela: «Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort.» Il n’y avait rien d’incertain là-dedans. C’est aussi réel que Dieu l’est. Oh! N’êtes-vous pas heureux qu’Il vous connaisse?

174 N’êtes-vous pas heureux que votre nom figure dans Son Livre? «Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort.» Amen. Fiou!
«Je suis la résurrection et la Vie», et je suis en Lui. En Le ressuscitant, Dieu a prouvé qu’Il me ressuscitera aussi.

175 Je suis déjà assis dans les lieux célestes, ressuscité. Pour Dieu, c’est vrai. «Ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a appelés. Ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés. Ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés.» Amen! Maintenant même, à un – à un stade de glorification, assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ, dans un état glorifié, ayant en nous la puissance de la résurrection qui nous a changés de pécheurs en saints. Fiou! Il n’y a rien d’incertain là-dedans, aucune incertitude.

176 «Comment le savez-vous?» Cela vit en moi. Comment le savez-vous? C’est en vous. Amen! C’est pourquoi ces choses arrivent. Il n’y a rien d’incertain là-dedans; nous sommes passés de la mort à la Vie, car nous sommes vivants. «Celui qui croit en Moi vivra, même s’il meurt.»

177 Et tout celui qui croit en Lui et qui vient à Lui, «Je lui donnerai la Vie Eternelle». Maintenant même, nous avons la Vie Eternelle, et nous serons ressuscités dans les derniers jours. Fiou! Oh! la la! C’est cela. Il n’y a rien d’incertain là-dedans. Non, c’est déjà fait.

178 «Nul ne peut venir à Moi à moins que Mon Père ne l’appelle. Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.»

179 Combien sont chrétiens? Levez la main. Bien, vous êtes déjà dans un état glorifié. Amen. «Tous ceux que le Père M’a donnés viendront. Et tout celui qui viendra, Je ne le rejetterai pas... Je lui donnerai la Vie Eternelle et le ressusciterai au dernier jour. Je vais...»
– Peut-être que Je le ferai.
Non. «Je le ferai.» C’est un son distinct. C’est certain. Nous ressusciterons dans un état glorifié. «Ce corps mortel revêtira l’immortalité ...?... résurrection.» Il n’y a rien d’incertain. De quoi avons-nous peur? Ohhh! Alléluia! Il n’y a pas de quoi être excité... il n’y a pas de quoi avoir – avoir peur, je veux dire. Oh! la la! Pourquoi?

180 Il n’y a rien d’incertain; nous sommes certains. «Je le ressusciterai... Ce corps mortel sera... revêtira l’immortalité. Le type de corps que nous aurons n’a pas encore été révélé, mais nous savons que nous aurons un corps semblable à Son propre corps glorieux, car nous Le verrons tel qu’Il est.» Amen. Il n’y a rien d’incertain là-dedans. «Nous Le verrons.» Gloire! Rien d’incertain; c’est tout à fait certain.
Oh! Vous pouvez aller de l’avant et prendre ce son confus, si vous voulez, mais j’aime la trompette de l’Evangile qui donne un son distinct.

181 Qu’est-ce que la trompette de l’Evangile? C’est la Bonne Nouvelle. C’est vrai. Il est ici maintenant. Eh bien, il n’y a rien de confus concernant Dieu. Très bien.

182 Il n’a pas dit : «Je vais voir ce que Je pourrai faire au sujet de Lazare. Je vais voir ce que Je peux faire. J’irai et J’essayerai de voir si Je peux le ressusciter.» «Il ressuscitera.» C’est certain, c’est sûr.

183 Bien, vous dites alors : «Vous parlez de Jésus. Vous parliez d’Abraham. Qu’en est-il de vous?» Ouais! Nous avons aussi une certitude. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous.» C’est une certitude, une certitude : «Je serai.»
«Peut-être que Je serai... peut-être que Je serai...?» Non : «Je serai.» C’est certain. «Je serai avec vous, même en vous.» Vous pouvez appeler cela du fanatisme si vous voulez, mais c’est un son distinct pour moi, que je suis sauvé. Amen.

184 «Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» C’est certain que vous le saurez. Comment savez-vous que vous êtes certain? Très bien, «les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi». C’est un signe. «Je vous donnerai un signe pour prouver – pour prouver que Je suis avec vous. Ce ne sera pas incertain... Vous dites : «Bien, oh! la la! Comment saurais-je si je suis émotif ou pas, si je suis excité ou pas?»

185 «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Il n’y a aucune incertitude.
«Comment pouvons-nous savoir si nous sommes chrétiens ou pas? Eh bien, nous allons dans le monde entier prêcher l’Evangile, et nous sommes baptisés, et ainsi de suite, comment pouvons-nous savoir que nous sommes – nous sommes chrétiens?»
«Voici les miracles qui les accompagneront... Je vous donnerai une certitude, un son distinct, un signe certain.»
Bien, voici ce qui arrivera : le prédicateur dit : «Venez, adhérez à notre église, et récitez notre credo, ou soyez baptisé ou aspergé, ou qu’on verse de l’eau sur vous, ou, oh! que sais-je encore (vous voyez?), et cela – c’est ce qu’il faut.» Jésus n’a jamais rien dit à ce sujet. C’est un son confus.
Vous direz : «Bien, ma mère était membre de cette église.» C’est très bien. «Bien, je – je vous le dis, je me suis approché et j’ai été confirmé.» Cela – cela – c’est aussi très bien, mais cela – cela – ce n’est pas – c’est toujours incertain. Vous voyez?

186 Jésus a dit : «Je vais vous donner un signe certain. Voici les miracles...» Marc 16, les dernières paroles qu’Il a adressées à Son Eglise : «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.» Jusqu’où? Par tout le monde. A combien? A toute la création. Ça signifie encore rien, d’avoir atteint des millions par exemple, pendant que des milliards et des milliards n’ont pas encore été touchés. Vous voyez?
Eh bien, Il – Il a dit...
«Bon, eh bien, disent-ils, alors cela a pris fin avec les disciples.» Non, non. Voici le son distinct : «Par tout le monde et à toute la création.» C’est certain. Quand l’Evangile est prêché, «voici les miracles qui accompagneront (pas qui le feront peut-être, qui devraient le faire... Ils le feront!)». C’est certain.

187 Oh! Frère, je suis heureux d’être pentecôtiste du coeur. Oui, oui. «Oh! Voici les miracles...» C’est certain. «Voici les miracles qui accompagneront certainement ceux qui auront cru : en Mon Nom, ils chasseront des démons, ils parleront de nouvelles langues, s’il arrivait qu’ils doivent saisir des serpents ou boire un breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Un signe certain.

188 – Ce qui arriva du temps de Noé...
– Comment savez-vous que nous sommes au temps de la fin? Qu’arrivera-t-il au temps de la fin, Seigneur? Bien, comment savons-nous que nous sommes au temps de la fin?
«Ce qui arriva du temps de Lot, arrivera de même. Il en sera de même...», pas peut-être que cela arrivera, ou devrait arriver en ce temps-là, non, cela arrivera, le même Esprit, habitant dans la chair humaine, discernant les pensées du coeur, disant qui était derrière Lui. Vous comprenez ce que je – ce que je veux dire. Nous sommes au temps de la fin. «Ce sera comme au temps de Lot.» Quelqu’un doit se lever; quelque chose doit le faire.

189 Mais il est aussi dit qu’au temps de la fin... que l’église va devenir tiède, tomber dans l’apostasie. Elle le deviendra; il est inutile d’essayer d’arrêter cela, elle le deviendra. Mais il y en a là-dedans... Il Se tenait... Parmi les sept âges de l’église, l’âge de Laodicée est le seul âge de l’église où on trouve Jésus hors de Son église, frappant à la porte, essayant d’y rentrer. C’est juste, le seul âge de l’église... Oui, monsieur.

190 Et dans ce soi-disant âge de l’église pentecôtiste de Laodicée, les gens ont fabriqué tellement de crédos et de dénominations que l’on a mis Jésus dehors, et Il Se tenait à la porte et frappait. [Frère Branham frappe à plusieurs reprises. – N.D.E.]

191 «Moi, Je reprends et Je châtie tous ceux que J’aime.» Eh bien, ne vous fâchez pas contre moi, quand je vous dis que vous devriez laisser pousser vos cheveux, cesser de fumer des cigarettes et – et cesser de porter des shorts, et de faire tous ces genres de choses, et vivre comme devraient vivre des chrétiens. Vous voyez, «Moi, Je châtie et Je reprends tous ceux que J’aime. Sois zélé et repens-toi». Ce qu’Il a dit...

192 «Et celui qui ouvrira la porte et qui Me fera entrer, J’entrerai et Je souperai avec lui et lui avec Moi. Je le ferai, si seulement vous ouvrez la porte.» Pas : «Peut-être que Je le ferai, Je vais bien examiner cela, Je vais le faire.» «J’entrerai chez tout celui qui ouvrira la porte.» Oh! Ces sons distincts. J’aime cela, pas vous? Oui, oui.
Vous direz : «Bien, maintenant, Frère Branham, je vais vous dire ce que j’ai fait. Je – je suis allé adhérer à une église. Je crois maintenant que je suis sauvé.» Ce n’est pas cela. Non, non. Pierre a dit le jour de la Pentecôte, il a dit : «Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés, et vous recevrez le Saint-Esprit.» Pas... pas... ma... vous... Peut-être que vous le recevrez. Il n’y a pas, pas, pas de peut-être à ce sujet. «Vous Le recevrez, car la promesse est pour vous, pour vos enfants (et pour ceux qui sont à Middletown), et en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.

193 (C’est certain.) Et à tous ceux qui L’ont reçu, Il leur a donné le pouvoir (Gloire à Dieu!) de devenir fils de Dieu.» A l’église étaient ajoutés tous ceux qui croyaient. Comment êtes-vous entrés dans l’église? «Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul Corps.» Il n’y a rien d’incertain là-dessus; c’est certain, un son distinct.
Ai-je déjà fait deux ou trois bandes maintenant, Leo? Je vais arrêter. Je vous ai vraiment retenus ici, la moitié de la nuit. Oh! la la!

194 Hébreux 13.8 : «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Est-ce vrai? Le sera-t-Il en partie? Le sera-t-Il en partie par rapport à...? Il demeurera le même; il n’y a aucune incertitude là-dessus, n’est-ce pas? Pas du tout.

195 Très bien. «Celui qui croit en Moi a la Vie Eternelle.» Il n’y a rien d’incertain là-dessus. «Celui qui entend Mes Paroles et qui croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle.» Il n’y a rien d’incertain là-dessus. Est-ce vrai? C’est une promesse de Dieu. La repentance envers Dieu, être rempli du Saint-Esprit, la guérison divine et toutes ces choses, c’est certain; ce sont des promesses de Dieu. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»

196 Bon, vous dites : «Frère Branham, je suis membre des Assemblées.» C’est bien. Je pourrais tout de suite me faire membre tant des Assemblées que de n’importe quelle autre église. C’est une bonne église. Les Assemblées de Dieu sont l’un de mes plus grands sponsors.
«Je suis membre de l’Eglise de Dieu.» Bon, c’est bien, moi aussi. De l’Eglise de Dieu, et je suis aussi membre des Assemblées. Vous voyez? Et... Eglise de Dieu, l’un de mes grands sponsors.
«Je suis membre de l’Eglise des Quatre Coins [secte religieuse du sud de la Californie. – N.D.T.]», dites-vous. Bien, moi aussi. Vous voyez? C’est – c’est une belle église. Je – je – je... un beau groupe de gens. Il n’y a qu’une seule église parmi eux tous : ils sont tous ensemble en tant qu’une église, mais cela... ce sont de beaux groupes. Vous voyez?

197 «Je suis membre de l’Eglise Unie.» Evidemment, moi aussi. Vous voyez? Ils sont bien, ce sont d’excellents frères. Vous voyez? Bien. Je suis aussi l’un d’eux; je suis l’un d’eux, car je suis dans la même église qu’eux. Tout celui qui a été rempli du Saint-Esprit... Car, nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit, pour former un seul Corps. Est-ce juste?

198 Eh bien, ce – ce – ce n’est pas un son confus. C’est I Corinthiens, chapitre 12 : «Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps, et nous sommes devenus membres de ce Corps.» Amen.

199 Maintenant, voici ce qu’il en est. Jésus a dit qu’en ce jour-là, Il séparera les brebis des boucs. Il a promis qu’il y aurait une – une – une brebis et un bouc. Et la – et Il a promis qu’il y aurait une – une vierge sage et une vierge endormie. Elles seront là. Tout ce qu’Il dit est certain. Et je – je suis si heureux, ce soir, de savoir sans l’ombre de tout doute, que – que je suis né de nouveau du Saint-Esprit. Vous – vous – vous aimez cela? Croyez-vous cela?

200 Eh bien, c’est là que je me tiens juste comme... et je fais la remarque suivante pour terminer. Paul Rader, un – un ami à moi, je l’ai cité il y a quelques minutes, au moment de sa mort, quand il s’en allait. Paul Rader a dit, une fois, qu’il avait l’habitude... Il venait de l’Oregon; c’est là qu’était sa maison. Et il coupait du bois.

201 Et il a dit qu’une fois, il... son patron... Et il a fait un rêve. Et son patron l’a envoyé abattre un – un – un certain arbre d’une certaine dimension. Et – et il a abattu l’arbre. Et il a simplement planté la hache dans le rondin.

202 (Et les muscles les plus puissants de l’homme sont ceux du dos. Quand il se met à soulever, c’est à l’aide des jambes, des bras et du dos qu’il soulève. Il est plus fort au dos qu’à n’importe quelle autre partie de son corps.) Il a donc saisi le rondin, il a joint les genoux, et il a lutté, lutté, lutté, lutté, si bien qu’il ne pouvait simplement pas aller plus loin. Il s’est simplement épuisé.

203 Il a dit : «J’étais si épuisé que je ne pouvais plus bouger, j’étais si faible.»
Et ce qui se passait... Il allait dans les champs missionnaires outre-mer. Il était allé tout là-bas, où sévit ce qu’on appelle la fièvre bilieuse hémoglobinurique. Je pense que c’est ce qu’avait Paul. Il n’y avait pas de médecin dans les parages, nulle part, et Paul était un grand croyant en la guérison divine, si vous le savez tous. Et c’était un grand homme.

204 Billy Sunday est venu une fois à Chicago pour y prêcher pendant quelques réunions avec... au Chicago Gospel Tabernacle, et – et Paul prêchait donc là. Et Billy a prêché pendant environ une semaine ou dix jours, et il était à court de sermons, il n’avait plus de sermon. Et Paul y avait prêché pendant environ six ou huit mois. Et il a demandé à Paul, il a dit : «Paul, quand t’est-il déjà arrivé d’être à court de sermons?»

205 Il a répondu : «Quand j’ai un problème dans le tuyau.» C’est... Il va... Ça – ça, c’était Paul... Ainsi,... Quand il avait un problème dans le tuyau, vous savez, quand il était bloqué, il faisait une certaine chose. Quand quelque chose coupait l’approvisionnement. Vous comprenez? Il a dit qu’il allait tout simplement à la chaire.

206 Et vous tous, si quelqu’un a déjà connu Paul Rader, il commençait par la Genèse et prêchait jusque dans l’Apocalypse, dans toute la Bible, et partout ailleurs. Il montait simplement là et se mettait à cogner jusqu’à ce qu’il saisisse un sermon, et il était parti là-dessus.

207 Et il – il – il avait donc attrapé la fièvre bilieuse hémoglobinurique et il... Et les gens pensaient qu’il mourait. Et il a parlé à sa femme, il a dit : «Tiens-toi près de moi, prie.» Il faisait de plus en plus sombre dans la pièce, finalement il faisait complètement sombre. C’est alors qu’il a fait ce rêve.

208 Et il a dit qu’il – il se disait que cette fièvre l’avait vraiment terrassé, au point qu’il était tout simplement mort. Et vous connaissez la fièvre bilieuse hémoglobinurique; on n’en survit pas. Il avait donc cru en Dieu, il comptait toujours sur Lui.

209 Il – il a donc demandé à sa femme de prier, ses mains posées sur lui, et elle priait... Et ils devaient partir en canoë des jours et des jours pour quitter l’endroit où ils étaient. Et il a alors dit... un... Il a rêvé qu’il a essayé sur ce rondin, au point qu’il s’est tout simplement épuisé. Il a dit : «Il... il avait perdu toute sa force.» Il a dit : «Il était si épuisé qu’il s’est assis, qu’il s’est adossé contre l’arbre.»

210 «Et il a dit : ‘C’en est fait de moi. Je n’arrive pas à soulever ce rondin, il... Où est partie toute ma force? Eh bien, je pouvais soulever ce rondin et le mettre sur mon dos d’une seule main, a-t-il dit, et m’en aller d’ici. C’est un petit arbre.’» Et c’était un homme très fort; et il a dit : «J’étais capable... Eh bien, j’ai transporté des arbres plus gros que ça et j’ai marché avec n’importe quand.» Et il a dit : «Il était simplement assis là, et s’est mis à pleurer.» Il a dit : «J’ai perdu toute ma force. Je ne sais rien faire d’autre. J’ai perdu ma force.»

211 Et il a dit qu’il a entendu son pa-... patron venir et il a demandé : «Qu’y a-t-il, Paul?» Et il a dit qu’il trouvait que ce p-... patron avait la voix la plus douce qu’il n’ait jamais entendue. Et il a dit : «C’en est fini de moi. Je – je n’ai plus de force. Je ne peux plus aller plus loin. Je suis incapable de soulever ce rondin. Je suis incapable de me déplacer avec.»

212 Il a dit : «Paul», Il a dit : «De toute façon, qu’as-tu à te débattre avec?» Vous voyez? Il a dit : «Une rivière coule là, elle coule juste à côté de toi.» Et il a dit : «Pourquoi ne le jettes-tu pas simplement là dans la rivière, et ne montes-tu pas dessus pour chevaucher? Le camp est juste en aval de la colline; descends les rapides jusqu’au camp.» Il a dit : «Roule-le simplement jusque dans la rivière et saute dessus. Chevauche; laisse-le t’emporter.»
«Eh bien, a-t-il dit, je n’y avais jamais pensé.» Et il a dit que lorsqu’il s’est retourné, il a vu Qui était son Patron, c’était son véritable Patron.

213 Il a dit qu’il l’a poussé dans l’eau, il a sauté et s’est mis à califourchon sur le rondin, et il a dit qu’il était tout joyeux, il s’est mis à patauger dans l’eau comme cela et à crier : «Je chevauche dessus. Je chevauche dessus. Je chevauche dessus», passant par les rapides, bien vite, voguant comme vers le camp, criant : «Je chevauche dessus.» Et il a dit que quand il est revenu à lui-même, il a sauté en plein milieu de la pièce, sa femme était par terre au coin, où il venait de la projeter, et il criait de toute sa voix, disant : «Je chevauche dessus. Je chevauche dessus. Je chevauche dessus.» Et frère, c’est pareil ce soir.

214 Un jour, j’ai découvert que Jésus-Christ m’aimait. J’ai pris conscience que j’étais né pour être Son enfant. Il m’a appelé et m’a donné la Vie éternelle. Je ne sais pas quand viendra l’heure de ma mort. Je ne... ça m’importe peu.

215 Mais une chose est certaine : chaque Parole qu’Il a promise dans ce Livre, je chevauche dessus. Je chevauche dessus. «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Le baptême du Saint-Esprit est pour quiconque veut, pour quiconque veut venir et veut Le recevoir. La guérison divine est pour tout le monde : quiconque veut peut venir recevoir n’importe quelle bénédiction. Il y a une fontaine remplie de sang,
Tiré des veines d’Emmanuel,
Où les pécheurs une fois plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité. Ce voleur mourant s’est réjoui de voir
Cette fontaine en son temps;
Que je puisse, bien qu’aussi vil que lui,
Y laver tous mes péchés. Depuis que par la foi, j’ai vu ce courant
Ravitaillé par les flots sortant de Tes blessures,
L’amour rédempteur est mon thème
Et le sera jusqu’à ma mort. Alors, dans un chant plus noble, plus doux,
Je louerai Ta puissance salvatrice,
Quand cette pauvre langue qui zézaye et qui balbutie
Reposera silencieuse dans la tombe.

216 Je chevauche dessus, frères. Je chevauche dessus. Je suis venu parmi les pentecôtistes; ils avaient différentes organisations, exactement comme les baptistes. Je ne me suis jamais joint à l’un d’eux. Je me suis tenu entre les groupes et j’ai reconnu qu’ils étaient des frères et que tous... tous les groupes autour; j’ai passé mes bras autour de chacun d’eux comme cela, et ce sont mes frères. «Je chevauche dessus.»

217 L’autre jour, à Beaumont, au Texas, un certain groupe de gens, une église dénominationnelle qui avait amené soixante-douze églises à parrainer mes – mes réunions, tenait une importante réunion. Et j’avais un frère assis à la chaire, oh! oh! à l’estrade, et le – et l’ancien du district m’a appelé ce jour-là; il a dit : «Je n’apprécie pas, Frère Branham, que vous ayez à l’estrade un homme qui a été mal baptisé.» Il a dit : «Comment avez-vous pu faire cela?»
J’ai répondu : «Pourquoi?»
Il a dit : «Eh bien, il – il... était... n’est pas des nôtres. Il – il – il ne le peut pas.»
J’ai dit : «Eh bien, il est mon frère.»
Il a dit : «Savez-vous ce que nous avons fait?» Il a dit : «Nous avons tracé une petite ligne et nous vous avons exclu du milieu de nous.»
J’ai dit : «Eh bien, je – je vais tracer une petite ligne au-dessus de vous et vous réinclure.» J’ai dit : «J’amène...?...» Eh bien, vous êtes mon frère.

218 Je chevauche dessus. Peu m’importe ce qu’ils croient. Je crois que Jésus-Christ n’est pas divisé. «Nous formons tous un seul Corps, un dans l’espérance et dans la doctrine, un dans la charité.» «Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je chevauche dessus.»
Voudriez-vous chevaucher dessus, ce soir? Êtes-vous malade? Êtes-vous nécessiteux? Y a-t-il un pécheur ici qui voudrait dire... lever la main, et dire : «Priez pour moi, Frère Branham, je veux chevaucher sur la promesse de Dieu : ‘Celui qui entend Mes Paroles et qui croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.’ Je veux chevaucher dessus. Je veux prendre position maintenant même.» Levez la main, dites : «Priez pour moi.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse.
Que tout celui qui est ici et qui n’a pas le baptême du Saint-Esprit dise : «Frère Branham, je sais que la promesse est mienne. Il m’a dit là dans Actes 2.38 que si je me repentais et que j’étais baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon des péchés, je devrais recevoir le baptême du Saint-Esprit. Il a dit dans Marc 16 : ‘Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle. Celui qui croira et qui sera baptisé, sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.’ Je vais... Le Saint-Esprit m’a été promis, et il me Le faut. Et je vais chevaucher sur la promesse jusqu’à ce que Dieu me Le donne.» Levez la main, dites: «Je...» Très bien, c’est bien. Que Dieu vous bénisse.
Combien d’entre vous ici diront : «Je suis malade, Frère Branham.» Il se peut que votre cas soit incurable. Je ne sais pas. Du médecin... Il ne peut pas vous guérir. Il peut vous aider, vous assister, jusqu’à ce que Dieu vous guérisse. Mais je... Il n’y a qu’un seul remède; c’est Dieu. Il y a des remèdes. Les médecins disposent des remèdes. Dieu a la guérison. C’est tout. Ils ont beaucoup de remèdes, mais il y a un seul remède, et c’est en Dieu. «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»
«Je suis malade, Frère Branham, j’ai essayé tout ce que je sais. Je... on dirait que je ne peux simplement pas guérir de cela. Mais ce soir, Il est le Seigneur qui guérit toutes mes maladies. Il était blessé pour mes péchés. Par Ses meurtrissures, je suis guéri. Je crois cela. Je vais chevaucher dessus. Je lève la main. Souvenez-vous de moi, Frère Branham, pour que je chevauche sur Sa promesse.» Alléluia! C’est cela.

219 Maintenant, écoutez, mes amis. Je désire juste... Soyez sincère envers moi. Comment cela peut-il faillir? Je vous demande au nom de tout le bon sens, comment cela peut-il faillir? Si vous êtes un pécheur et que vous demandez à Dieu de vous sauver... Il a promis et Il a même envoyé Christ pour mourir afin que vous puissiez être sauvé. Comment pouvez-vous manquer d’être sauvé? Dites-moi comment vous pouvez manquer? La seule raison, c’est parce que vous êtes ici au-dessus et pas ici en dessous. Si vous dites : «Le Saint-Esprit est mien. Je me suis repenti, j’ai confessé mes péchés, j’ai cru en Christ, j’ai été baptisé, je suis prêt pour le baptême du Saint-Esprit», la seule raison pour laquelle vous ne L’avez pas, c’est parce que quelque chose cloche ici. C’est juste. Vous ne pensez pas juste. Si cela venait d’ici en dessous, vous Le recevriez maintenant même.
Vous dites : «Frère Branham, je crois à la guérison divine. Je L’accepte comme mon Guérisseur. Il était blessé pour mes péchés; par Ses meurtrissures je suis guéri.» Oh! frère. Ça règle la question. C’est tout. La seule chose... Si c’est ici en dessous, c’est vrai. Si c’est ici au-dessus, ce n’est pas vrai. Si ce n’est pas le cas, alors, que Dieu soit trouvé un menteur. Il a fait une promesse qu’Il ne sait pas tenir. Il la tient pour les autres. Et vous? N’est-ce pas juste? Pensez-y.
Vous dites : «Je veux le Saint-Esprit.» Il Le donne à quiconque Le désire. Est-ce vrai? «Je veux être sauvé.»
«Quiconque invoque le Nom du Seigneur sera sauvé.» C’est ce qu’il en est. Vous voyez, c’est vous, ici au-dessus. C’est vous, vous laissez le diable se servir de ceci. Il n’y a personne...

220 Quand Dieu prend une décision, elle doit demeurer la même décision chaque fois, s’Il... si c’est pour quelque chose que vous demandez. S’Il a sauvé le premier homme sur base de la foi, Il doit sauver le deuxième qui viendra. Il doit sauver tout celui qui viendra. Je chevauche dessus. Je crois cela. Croyez-vous de tout votre coeur? Levez-vous, alors.
J’enjoins à chaque pécheur ici présent, je vous ordonne, au Nom de Jésus-Christ, de dire à Dieu que vous regrettez pour vos péchés, et que vous acceptez Jésus comme votre Sauveur maintenant même. Et observez ce qui arrive.

221 J’enjoins à chaque croyant ici présent qui a été sauvé, d’accepter Christ maintenant même, pour qu’Il vous remplisse du Saint-Esprit. Prenez-en tout, et confessez vos péchés. Dites-Lui que vous êtes désolé, que...

222 Quel est votre péché? Vous dites : «Frère Branham, je suis déjà chrétien.» Confessez votre péché; votre péché, c’est l’incrédulité, c’est le seul péché qui soit, c’est l’incrédulité. Seulement vous... Votre incrédulité vous éloigne de la chose. Chaque personne malade ici présent, confessez votre foi dans «par Ses meurtrissures nous avons été guéris». Observez ce qui arrive.
Maintenant, combien de croyants y a-t-il ici? Levez les mains. Maintenant, que vous soyez... Maintenant, vous savez que ces gens qui lèvent la main sont des pécheurs et qui qu’ils soient... Je veux que chacun de vous impose les mains à quelqu’un d’autre en ce lieu. Imposez-vous tout simplement les mains les uns aux autres, peu importe où vous êtes... sur l’estrade.
[Espace non enregistré sur la bande. – N.D.E.]... s’ils ne l’ont pas été, qui ont besoin de la guérison. Seigneur... Allez-y tout simplement. Priez.

223 Notre Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous brisons cette emprise maléfique. Nous brisons chaque puissance du diable. Nous la brisons par la foi, pendant que nous proclamons la justice de Christ. Que le diable quitte ce grand endroit ce soir et s’en aille d’ici, au Nom de Jésus-Christ, car le Sang du Seigneur Jésus-Christ a été prêché et la puissance de Dieu a été manifestée. Toi, le diable, lâche-les; sors, au Nom de Jésus-Christ. Amen

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