La Religion de Jézabel
1 Restons debout un petit instant, pendant que nous rendons grâces à Dieu pour ceci. Courbons la tête.
Ô Dieu, notre Père bienveillant et saint, nous sommes si heureux que Tu sois un–un Dieu et un secours qui ne manque jamais au moment de la détresse. Nous Te remercions pour ce que Tu as fait pour nous. Nous ne savons vraiment pas comment exprimer à quel point, du fond du coeur, nous sommes reconnaissants de ceci, et de ce que Tu viens à notre secours au moment où nous sommes dans la détresse. Au fil des années, nous avons appris à Te faire confiance et à Te croire.
Je Te prie, cet après-midi, Seigneur, de répandre Tes bénédictions sur ces gens. Qu’il n’y ait pas une seule personne faible au milieu de nous à la fin de ce service. S’il y avait quelqu’un ici qui ne soit pas en règle avec Dieu : que la Puissance qui a ressuscité Jésus de la tombe rende la vie à leur corps mortel, Seigneur, et à leur âme, et les amène à se tourner vers Toi. Accorde-le, Seigneur. Quant à ceux qui n’ont pas le Saint-Esprit, puisse ce jour-ci être le grand jour qu’ils n’oublieront jamais; en effet, puisse ce jour être celui où Dieu répandra Son Esprit sur eux. Accorde-le, Seigneur. Pardonne nos péchés.
Nous Te prions de bien vouloir bénir Frère Sullivan, notre aimable et précieux ami, ainsi que ce qu’il a dans son esprit pour les gens, d’essayer de leur fournir tous les moyens possibles, en vue de leur venir en aide. Je Te prie de bénir Frère Sullivan.
Bénis les ministres, d’un bout à l’autre du pays, partout. Donne-leur infiniment, en abondance, Seigneur. Puissent-ils se tenir bravement en chaire, et proclamer la Parole de Dieu, car nous vivons aux dernières heures de l’histoire de ce monde. Que Ta bonté nous couvre de son ombre en ces temps-ci. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.
Je vous suis vraiment très reconnaissant, à vous ici, et à Dieu, de ceci. Frère Sullivan avait décidé de s’en charger lui-même. Vous voyez, ce ne serait pas juste que Frère Sullivan fasse ça, alors nous nous étions préparés en conséquence. Nous vous remercions de votre bonté.
2 Et maintenant, quant à–à l’offrande d’amour, là... vous n’aviez pas besoin de faire ça. Non, ce n’était pas nécessaire. Voyez-vous, juste... ils ont payé nos dépenses, la note d’hôtel et la nourriture, ce que nous avons mangé, et c’est tout ce qui est nécessaire. Mais, un grand merci, et ça va être utilisé pour soutenir l’oeuvre missionnaire et pour amener les gens à Dieu. On n’achètera pas de cigarettes avec ça, pas de whisky, ni rien qui soit mauvais, ça va être utilisé pour ce qui est bien. Et je prie que Dieu verse cette somme sur votre compte, là-haut, et qu’il multiplie ça par dix mille, chaque dollar, ou–ou chaque pièce d’un cent, ou chaque pièce de cinq cents que vous aurez donnée pour soutenir cette réunion.
3 Et maintenant, je tiens à remercier l’armée des États-Unis de nous avoir permis d’utiliser ce bâtiment pour y faire ces réunions. Je les remercie vraiment de tout mon coeur.
4 Et si j’ai bien compris, Frère Sullivan a dit que tout allait être bien réglé. Nous ne sommes encore jamais repartis d’une ville avec une dette, ne serait-ce que d’un cent, sans que tout ait été réglé; nous ne croyons tout simplement pas qu’on doive agir autrement. Il ne faut rien devoir à personne, il faut être honnête et franc. Et si vous devez quelque chose à quelqu’un, allez voir ces gens, dites-leur que vous êtes en dette avec eux, mais que, s’ils veulent bien vous accorder un petit délai, vous allez payer votre dette. Voyez? Toujours, c’est un meilleur... c’est un bon signe qu’on est Chrétien, ça : d’être honnête, droit.
5 Il faut vivre les choses dont vous parlez. Si vous ne les vivez pas vous-mêmes, comment voulez-vous que quelqu’un d’autre les vive, voyez-vous. Donc, vous êtes des lettres écrites, lues de tous les hommes; alors, soyez toujours honnêtes, justes, fidèles. Dites la vérité, peu importe combien fâcheuses peuvent être les conséquences. Dites la vérité quand même, parce qu’ainsi vous pourrez toujours raconter la chose de la même manière, chaque fois. Si vous dites un mensonge, vous serez obligés d’user de détours, de faire un million de milles, et il faudra quand même que vous en reveniez à ce mensonge-là; et ce que vous aurez fait là, c’est quelque chose de très vilain. Soyez simplement honnêtes, alors vous pourrez toujours raconter la chose de la même manière, puisque c’est la vérité.
6 C’est pareil pour la Bible. Dites-le exactement comme la Bible le dit, ne faites aucun compromis là-dessus, dites-le tel quel, tout simplement... c’est écrit ici même, et–et vous pouvez pointer le doigt là-dessus. C’est–c’est... c’est ça le moyen de vaincre Satan. Satan a dit à Jésus : “Si Tu es le Fils de Dieu, que je Te voie accomplir un miracle. On dit que Tu es ‘un faiseur de miracles’. Change ces pierres en pains, et nous allons bien voir. Tu as faim.”
7 Il a dit : “Mais il est écrit : ‘L’homme ne vivra pas de pain seulement.’” Voyez? Il a employé la Parole du Père, et Il a vaincu le diable sur son propre terrain. Donc, vous pouvez faire la même chose, vaincre le diable sur son terrain, par la Parole du Seigneur.
8 Donc, je serai toujours reconnaissant à Frère Sullivan. C’est... Pardonnez-moi cette expression : je pense qu’après avoir fait Frère Sullivan, Il a tout simplement cassé le moule. Il est unique en son genre. Je n’ai rencontré dans ma vie qu’un seul homme qui me rappelait Frère Sullivan, c’était E. Howard Cadle. Je ne sais pas s’il a déjà fait sa connaissance ou pas, il était du–du... Frère Cadle, c’était vraiment un bon vieux gars de la campagne, comme Frère Sullivan. Il enfonçait ses mains dans ses poches, tellement que ses bretelles descendaient très bas, et il parlait avec la tête de travers – il était tout simplement unique, c’était E. Howard Cadle. Et alors, je suis–je suis vraiment heureux d’avoir Frère Sullivan comme ami et comme frère dans l’Évangile. Et je prie que Dieu le bénisse, et qu’il bénisse sa petite église ici, sa précieuse épouse, ses bien-aimés.
9 Et à vous, les autres ministres qui sont ici, à vous et à ceux de votre assemblée, aux prédicateurs du Plein Évangile, je dirai ceci : sur des petits points de détail de l’Écriture, il se pourrait que nous ne soyons pas d’accord les uns avec les autres. Je ne suis pas d’accord avec ma femme sur certains points. Savez-vous sur quoi? Elle, elle aime la tarte aux pommes, et moi, j’aime la tarte aux cerises; donc, nous ne sommes pas d’accord. Et je vais vous dire ce que je fais de la mienne : j’aime bien un bon morceau de tarte aux cerises chaude (et ça ne me ferait pas de tort du tout en ce moment), ensuite je verse du beurre dessus, et puis je verse de la mélasse par-dessus; et là, frère, on a vraiment quelque chose qui est digne d’être mangé! Ma femme a peur de ça. Je pense qu’elle a peur des calories. Peut-être bien qu’elle aimerait ça, mais vous savez comment sont les femmes, elles ont peur... Elles deviennent tellement maigres qu’en les piquant avec une aiguille, on peut les entailler jusqu’à l’os, mais elles veulent–elles veulent encore maigrir. C’est dans leur nature, je pense, alors... Et, mais moi, j’aime bien ça. Bon, nous ne sommes pas d’accord là-dessus; sur d’autres points, ça va bien entre nous. Mais, vous voyez, nous ne sommes pas en parfait accord. Donc, nous pourrions constater la même chose, frères; mais l’essentiel, c’est que nous mangeons de la tarte, c’est ça l’essentiel.
10 Surtout sur le baptême du Saint-Esprit, sur la venue de Christ, et sur les grandes doctrines évangéliques fondamentales de la Bible, sur ces points-là, bien sûr que nous marchons ensemble, la main dans la main. Comme un grand bloc de frères unis, sans barrière dénominationnelle, sans rien pour nous faire obstacle, nous marchons en direction du Calvaire, tous ensemble, comme une grande armée.
11 Si jamais je peux vous aider en quoi que ce soit, je le ferai volontiers. Et je suis sûr que vous me diriez la même chose. Et vous pouvez effectivement m’aider. Il y a une chose que vous pouvez faire, ça je le sais, c’est de prier pour moi, que Dieu ne me laisse jamais faire fausse route. Je–je–je... Je ne voudrais absolument pas faire fausse route, je–je veux marcher droit, je veux faire ce qui est bien. En effet, je suis conscient, comme Frère Jack Moore me l’a dit, une fois, il m’a dit : “Frère Branham, au Jour du Jugement, je ne voudrais pas être à votre place, avec toute l’expérience que vous avez; en effet, Dieu vous demandera des comptes pour beaucoup de choses,” il a dit, “parce qu’Il vous a confié des millions de gens.”
12 Or, si je sais que j’aurai à me tenir là et à répondre de ces gens-là, alors quel genre d’Évangile est-ce que je dois prêcher? Et avec quelle sincérité, puisque j’ai entre mes mains ceux qu’Il s’est acquis par Son Sang? Et alors qu’Il m’a donné un don de... Sans l’ombre d’un doute, toute personne sensée saurait que ça ne peut venir que de Dieu. Et compte tenu de ça, si j’entraînais quelqu’un dans la mauvaise voie rien que parce qu’un certain groupe dit quelque chose, Dieu me le ferait payer au Jour du Jugement.
13 Mais, quand j’ai eu la vision, il n’y a pas longtemps, et que j’ai entendu ces gens s’écrier... Est-ce que vous avez eu votre brochure, hier soir? La–La Voix des Hommes d’Affaires. C’est bien. Et dans la vision (à un moment donné, on va la faire imprimer avec tous les détails, car elle n’y est pas au complet)... mais là, quand j’ai vu ça, et j’étais debout là-bas, tout comme–tout comme je suis debout en ce moment. Et je me voyais étendu là-bas sur le lit, et je regardais ma femme, et pourtant j’étais debout ici, en train de me regarder. Et il y avait ces gens qui étaient tout autour comme ça, quand j’ai dit : “Est-ce que Paul devra être jugé selon l’Évangile qu’il a prêché?
14 – Oui.”
15 J’ai dit : “J’ai prêché chaque Parole exactement comme lui l’avait prêchée.”
16 Et ces millions de gens se sont écriés : “NOUS NOUS REPOSONS LÀ-DESSUS!”
17 C’est comme ça que je veux que ce soit, quand je traverserai là-bas, voyez-vous. Je veux que ce soit comme ça, exactement comme ça, exactement ce que Paul a dit. Je ne veux pas Y ajouter quoi que ce soit, ni En retrancher quoi que ce soit. Exactement ce que la Bible dit, c’est exactement comme ça que je veux maintenir la chose, voyez-vous. Évidemment, quand on maintient cette position, alors les dénominations, de toutes parts, elles vont faire obstacle à Cela.
18 Et puis, souvent, les frères, ils pensent que je suis contre mes frères. Dieu sait que ce n’est pas ça; pourvu que Lui, au moins, Il sache ce qui est la vérité. Voyez? Ce n’est pas contre les frères que je suis, c’est contre le système qui nous empêche d’être des frères. Ce n’est pas la Parole de Dieu qui nous empêche d’être des frères, c’est le système auquel nous adhérons qui nous empêche d’être des frères. C’est vrai. Alors, à quoi devons-nous nous en tenir? Tenez-vous à la Parole, et Dieu attirera tous les hommes à Elle (c’est vrai), tenez-vous à–à ça. N’en faites jamais une organisation, ni une dénomination, mais gardez la chose selon Dieu, et continuez simplement à avancer; en gardant les yeux fixés sur le bout du chemin, tenez ferme, et Dieu accomplira le reste.
19 Vous avez fait tant de choses pour moi, et je l’apprécie. Maintenant, si je peux vous aider, soit en vous donnant un linge de prière, ou quelque chose. Bon, ne me demandez pas de répondre à des questions doctrinales, parce que je–je n’ai aucune envie de le faire. Tellement de gens m’écrivent des questions sur le mariage et le divorce, et ainsi de suite, ce qui est un problème complexe dans l’église. Je leur dis toujours de s’adresser, je dis : “Posez la question à votre pasteur.”
20 Des gens m’ont écrit des lettres, ici, ils disaient : “Qu’en est-il de ceci? Et qu’en est-il de cela?” Je renvoie la lettre, vous allez la recevoir. Consultez votre pasteur sur ces petits points, parce qu’après tout, c’est lui votre berger. Voyez-vous, c’est lui–c’est lui que Dieu a envoyé pour qu’il veille sur vous. Il se pourrait que nous ne soyons pas d’accord sur la question, et alors ça mettrait la confusion dans votre église. Et nous ne voulons pas ça. Non! Non! Tout ce que nous voulons, c’est que vous cessiez de faire des choses qui sont condamnables, des choses qui ne sont pas selon la Bible, et que vous continuiez simplement à avancer en vous rapprochant de Dieu. Voyez? Et si on provoque des petites frictions et des choses du genre, ça perturbe l’église, ça. Alors, j’aimerais mieux que ce soit votre pasteur qui vous parle du mariage, et du divorce, et de ces choses-ci, et de ces choses-là, que ce soit lui qui le fasse. Lui aussi, il est le serviteur de Dieu, et il a ce qu’il faut pour le faire.
21 Vous vous souvenez du bon Samaritain, qui avait trouvé un homme blessé? Il l’a conduit à l’hôtellerie (ça, c’est l’église) et il a donné deux deniers à l’homme qui était là, en lui disant que s’il lui en fallait plus, il le lui paierait à son retour. Donc, il a deux deniers, il est capable de vous soigner, s’il est un homme de Dieu. S’il est un homme de Dieu, qui se tient à la Parole de Dieu, il–il a ce que Dieu lui a donné : l’Esprit et la Parole. Pas vrai? Comment est-ce que nous devons adorer? En Esprit et en Vérité. Et la Parole est la Vérité. Pas vrai?
22 Bon, encore une fois, un grand merci. Et maintenant, je suis extrêmement fatigué, et très fatigué cet après-midi. J’ai l’intention de ne plus jamais loger à un hôtel, aussi longtemps que je vivrai. Une grande soûlerie, et toute la nuit, ça claque les portes, et ça crie, et les femmes... Oh! c’est bien simple, je suis resté éveillé toute la nuit. Voilà tout. Et donc, je–j’ai l’intention de ne plus jamais descendre à un hôtel. J’irai à un motel. Je vais me procurer un camion, pour pouvoir dormir dedans, sur le terrain, dehors, quelque part. Je vais me procurer ça; me procurer une tente et un sac de couchage, ou un endroit où je peux être seul, quelque part. C’est vrai.
23 Cette nation est tellement remplie de péché, ça n’a rien d’étonnant! Elle est ravagée, pourrie jusqu’à la moelle. Pas loin d’ici, ailleurs dans votre État... Ce n’est pas seulement dans cet État-ci, c’est partout. Pas loin d’ici, il y a quelques années, j’ai participé à un–un service religieux, ici, dans cet État, dans une grande ville. Et ce soir-là, un groupe religieux, une église orthodoxe qui comptait des adolescents, avait fait une convention. Jamais je–je... J’ai été en Afrique, j’ai vu des pratiques vaudou et tout, et je n’ai jamais rien entendu de semblable. Et le lendemain matin, – je ne peux pas tout vous raconter, nous avons un auditoire mixte, – par terre, il y avait des actes immoraux qui s’étaient passés là, des bouteilles de whisky partout. Et ces jeunes-là, garçons et filles, avaient passé toute la nuit ensemble dans la même chambre. Et le lendemain matin, le “saint père” était là, et ils venaient se prosterner devant lui, comme ça; au Nom de Jésus-Christ!
24 Est-ce que je suis devenu fou? Qu’est-ce–qu’est-ce qui m’arrive? Je ne peux tout simplement pas supporter ces choses-là! Ça, c’est quelque chose qui me bouleverse terriblement, de voir ces choses. Est-ce que c’est ça qui doit représenter mon Seigneur Jésus? Une partie de débauche, une soûlerie, où des objets immoraux, là... dont ils s’étaient servis, les jeunes hommes et les jeunes femmes, il y en avait par terre et dans les corbeilles à papier, et des bouteilles, et... Oh, miséricorde! Est-ce qu’on peut appeler ça le Christianisme? Ce n’est pas étonnant que le monde soit dans un état de péché. Eh bien, qu’est-ce que le pécheur dit, quand il regarde ça? Ils étaient des milliers.
25 Ces jeunes filles, tellement ivres qu’elles pouvaient à peine se tenir debout, et elles ont passé la nuit dans la chambre avec ces garçons, et ça racontait les pires cochonneries que vous ayez jamais entendues de toute votre vie. Je mettais les oreillers sur ma tête, comme ceci, pour essayer de dormir. Dans les couloirs, ivres, et ça courait partout dans les couloirs, des gens religieux!
26 Bon, je peux m’attendre à ça de ces gens qui sont pécheurs, comme ceux qui se donnent le nom de sportifs, là, qui jouent au bowling. Si un de mes enfants partait pour aller dans un bowling, je le chasserais du pays. Ah oui. Ils appellent ça du sport, ce n’est pas du sport. Qu’est-ce que... Si vous voulez marcher droit, mettez-vous en règle avec Dieu. C’est vrai.
27 Je voudrais vous lire une petite parole de la Bible. Vous trouverez ça, ces quelques paroles que je voudrais lire ici comme texte, ils se trouvent au chapitre 17 de I Rois, au verset 1. ...L’Éternel est vivant, le Dieu d’Israël, devant qui je me tiens! il n’y aura ces années-ci ni rosée ni pluie... selon ma parole. (I Rois, chapitre 1... chapitre 17, verset 1.)
28 Si jamais vous désiriez que je vous envoie un linge de prière, n’importe quand, vous n’avez qu’à m’écrire; mon secrétaire est ici présent, en ce moment, Frère Maguire. Combien ont déjà reçu de nous un linge de prière? Levez la main. Lève-toi, Frère Jim. Je voudrais qu’on voie... toi, et ton épouse aussi. Voici mon secrétaire et son épouse, ce sont eux qui travaillent, qui envoient... Voilà le jeune homme et la jeune femme qui vous envoient les linges de prière, de la réunion. Tous deux sont des Chrétiens consacrés. Et la voix, cette petite voix douce que vous entendez au téléphone quand vous m’appelez, c’est celle de cette jeune femme qui est assise là, son épouse. Son père, sa mère, et d’autres, sont ici parmi nous aujourd’hui; et–et les bien-aimés, tout autour. Alors... Et puis, vous connaissez mon secrétaire de mission, M. Mercier, Frère Léo Mercier, il est ici quelque part, et Frère Gene Goad. Et donc, si jamais vous désiriez que nous vous envoyions un linge de prière, ou s’il y a quoi que ce soit que nous puissions faire, prier pour vous au téléphone; tout ce que nous pouvons faire, nous le ferons.
29 Cet homme à l’allure bizarre, qui avait un bâton à la main, le pas ferme, les yeux qui brillaient de la Gloire de Dieu, la barbe qui flottait au gré du vent, enveloppé d’une vieille peau de mouton à longs poils, il avançait d’un pas très énergique, en descendant la route qui menait à Samarie. Il ne payait pas de mine, mais il avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR pour cette grande nation qu’était Israël. Oui, Élie, le Thischbite, un prophète du Seigneur. Il ne payait pas de mine, mais il avait la Parole du Seigneur.
30 Il n’avait pas peur de se tenir devant le roi, car il avait été en Présence de plus grand que le roi, il avait été en Présence de Jéhovah. C’est pourquoi il savait à quoi s’en tenir. Et quand il s’est présenté devant le roi, il n’a pas bégayé et bafouillé, il savait de quoi il parlait. Il a pu dire au roi : “AINSI DIT LE SEIGNEUR, LE DIEU D’ISRAËL : ‘Il n’y aura ni pluie ni rosée tant que je ne l’aurai pas ordonné.’” Pourquoi est-ce qu’il a dit ça : “Tant que je ne l’aurai pas ordonné. Sinon à ma parole”? Parce qu’il avait la Parole du Seigneur, il était prophète, et le prophète a la Parole du Seigneur.
31 C’est frappant de voir la similitude qui existe entre l’Israël de l’Ancien Testament et l’Amérique d’aujourd’hui. Toutes les deux ont été de grandes nations. Toutes les deux avaient été fondées, et leurs peuples étaient venus là-bas, par suite de persécutions religieuses.
32 Israël avait été persécutée par Pharaon et avait été en esclavage pendant des centaines d’années, où on les avait privés du droit d’adorer le Dieu vivant et vrai, où on les avait privés de ce privilège; et ils étaient devenus des esclaves. Mais Dieu leur avait fait la promesse, dans Sa Bible, ou dans Sa Parole, et par Ses prophètes, qu’Il allait leur donner un pays. Et ils étaient entrés dans ce pays, ils avaient chassé les habitants de ce pays, et ils avaient pris possession de leur héritage; en effet, Dieu avait fait ça dans un but.
33 Et c’est la même chose pour notre grande nation à nous. Nous sommes venus ici et, au rocher de Plymouth, cette nation a été fondée sur la liberté de religion; en effet, nos ancêtres avaient fui le persécution romaine, du système de la Jézabel moderne, et ils étaient venus ici, et ils avaient subi beaucoup de grandes persécutions et de martyres sous ce faux système de Jézabel. Et, selon la Bible, Apocalypse, chapitre 13 , Dieu leur avait promis une oasis, et un lieu, car la femme avait été emportée au désert, où elle a été nourrie pendant un temps, du temps, et la moitié d’un temps. Dieu avait fait cette promesse à l’Amérique, ou à l’église (à la femme), qu’elle viendrait dans ce pays-ci.
34 Avez-vous remarqué Apocalypse 13 ? Toutes les autres bêtes étaient montées de la mer, des eaux; dans Apocalypse 17 .17 , il est dit : “Les eaux que tu as vues, ce sont la masse et les foules de gens.” Toutes les autres bêtes étaient montées de l’eau, de la masse et des foules de gens. Mais quand les États-Unis sont montés, “celle-là est montée de la terre, où il n’y avait pas de gens”. Et, souvenez-vous, quand celle-là est montée, elle était semblable à un petit agneau.
35 Or, l’agneau a deux cornes, qui sont le pouvoir civil et le pouvoir ecclésiastique. Mais une fois qu’ils se sont unis, souvenez-vous, alors cet agneau a parlé comme le dragon l’avait fait avant lui; et le dragon, c’était Rome.
36 Quand le dragon se tint devant la femme, afin de dévorer son enfant dès qu’elle l’aurait enfanté, le dragon rouge... Qui est-ce qui s’est tenu devant la femme, Israël, afin de dévorer son enfant, dès qu’elle l’aurait enfanté, et qui a lancé une persécution, et tué tous les enfants de deux ans ou moins? “Rome, le dragon, se tint devant la femme, afin de dévorer son enfant dès qu’elle l’aurait enfanté.”
37 Et alors, nous voyons que ce pays, quand il a été formé, c’était un pays libre, et qui... il avait un agneau, c’est-à-dire l’Agneau de Dieu. Mais, quelque temps après, le système même que nous avons, il parlait comme le dragon et il exerçait toute l’autorité que le dragon avait eue avant lui.
38 Elles sont similaires l’une et l’autre, parfaitement. Et, souvenez-vous, alors que ces... Israël est arrivée là et elle a fait de la Palestine sa patrie, elle a chassé tous les habitants de ce pays, et elle a pris possession du pays. Nous, nous sommes arrivés et nous l’avons ôté aux Indiens, nous les avons chassés et nous avons pris possession du pays. Il y a une raison pour laquelle Dieu a fait ça. Dieu allait montrer au monde ce qu’Il pouvait faire avec une–une petite bande de gens qui voulaient avoir la liberté, et la liberté de religion pour pouvoir servir Dieu.
39 Qu’est-ce qu’Israël a accompli grâce à ces choses? Il a fait d’Israël la nation la plus puissante du monde, et elle l’est demeurée jusqu’à ce qu’elle abandonne la volonté de Dieu. Qu’est-ce qu’Il a fait de l’Amérique? Il a fait d’elle la nation la plus puissante du monde; et ce, jusqu’à maintenant, où elle abandonne la volonté de Dieu. Tout à fait similaires, l’une et l’autre.
40 Quand Israël est entrée dans le pays, ils étaient un–un grand peuple, parce qu’ils avaient de grands conducteurs. Ils étaient gouvernés par des hommes qui avaient la crainte de Dieu, tels que David, que le roi Salomon. Le monde entier les craignait, et ils ont joui du privilège de ne pas avoir de guerre, de ne pas avoir d’ennuis, et de vivre sous la puissance de Dieu, à tel point que des gens venaient des quatre coins du monde connu d’alors, pour les visiter. Dieu leur avait donné un don de discernement, ce don était en Salomon. Et la reine du Midi, de... la reine de Séba a traversé tout le désert du Sahara (ça lui a pris trois mois), rien que pour venir entendre la sagesse de Salomon. Et quand elle a vu que Salomon pouvait discerner les esprits, et qu’il lui avait révélé les secrets de son coeur, elle a dit : “Tout ce que j’avais appris à ton sujet était vrai, et même plus encore.” Elle était convaincue que c’était Dieu.
41 Et l’Amérique, en se fondant sur ce principe, de nos ancêtres qui étaient venus ici pour avoir la liberté de religion... À cette époque-là, nous avions des hommes saints comme conducteurs : Georges Washington, Abraham Lincoln, des hommes de renom qui avaient du caractère, des hommes de Dieu. En ce temps-là, l’Amérique était l’Amérique.
42 Georges Washington, ici à Valley Forge, avant de traverser le Delaware, il avait prié toute la nuit, si bien qu’il était trempé jusqu’à la ceinture, de s’être agenouillé dans la neige. Et le lendemain matin, quand les Américains se sont mis à traverser, il n’y avait qu’environ vingt pour cent d’entre eux qui avaient des chaussures aux pieds – l’armée américaine. Mais ils avaient un principe, une cause pour laquelle ils combattaient. Advienne que pourra, ça leur était égal. (Les cultivateurs venaient là-bas; il arrêtait les labours, il dételait son boeuf, il prenait sa carabine, et il allait combattre pour la liberté qu’il avait connue.) Et le lendemain, je crois qu’il y avait quatre ou cinq trous de balle, des balles de mousquet qui avaient traversé son manteau et son chapeau, sans l’atteindre.
43 Des hommes de Dieu, qui ont fondé cette nation, de grands hommes! Ce n’est pas étonnant qu’on ait écrit :
Que longtemps notre pays soit éclairé
De la lumière sainte de la liberté;
Protège-nous par Ta puissance,
Ô grand Dieu, notre Roi!
44 Il y a quelque temps, je parlais à un vieillard, à Corydon, dans l’Indiana. Il me parlait de l’époque où le Capitole se trouvait à Corydon, et il me disait... il me racontait qu’il se rendait là-bas en char à boeufs, pour aller écouter le discours du–du gouverneur. Et lui et le gouverneur étaient les deux seuls qui portaient un costume deux-pièces, un complet. Il me racontait qu’il faisait l’élevage des moutons, et qu’il les avait tondus, qu’il en avait lavé la laine, que ses soeurs l’avaient filée et lui en avaient fait une veste assortie à son pantalon. Et ce brave vieux, assis là, il devait avoir quatre-vingt-cinq ou quatre-vingt-dix ans, il lissait sa barbe, comme ça, et il disait : “Billy, ça, c’était l’époque où ‘l’Amériqui’ était ‘l’Amériqui’.”
45 Je regardais le brave vieux, et je pensais : “Mon gars, tu... Beaucoup des jeunes d’aujourd’hui ne veulent pas croire ça, mais tu dis la vérité.”
46 Qu’est-ce qui est arrivé à Israël, après tout ce passé historique saint? Ils sont devenus insouciants. Ils en sont venus à être, eh bien, à être indifférents à ce qui se passait. Ils ont commencé à se relâcher dans le culte qu’ils rendaient à Dieu, bien qu’ils aient maintenu une forme de religion, tout comme nous, nous l’avons fait. Ils avaient une forme extérieure de piété. Mais ils se sont mis à laisser leurs fidèles faire ce qu’ils voulaient, et–et ils se sont mis à introduire diverses hérésies dans leur église. Le culte des Baals a commencé à s’infiltrer, et Israël est devenue ivre, avide de plaisirs, et de ce genre de chose, et a fini par porter au pouvoir un conducteur qui ne connaissait pas Dieu : Achab, qui avait succédé à son père. Et son père était un impie, un homme riche, mais un impie. Et il a commis tous les péchés, plus de péchés que tous ceux qui l’avaient précédé. Mais Israël – abrutis par l’alcool, ils ont porté au pouvoir un homme comme celui-là, ils l’ont mis sur le trône pour qu’il règne sur eux. Ils pensaient qu’il n’y avait pas de mal à ça. Tout comme beaucoup d’Américains aujourd’hui : “C’est un bon politicien, alors qu’est-ce que ça peut faire, ça? Ça ne change rien à l’affaire, puisque c’est un bon politicien.”
47 Beaucoup d’Américains, beaucoup trop, ont vendu leur droit d’aînesse comme Américains, et ils disent : “Qu’est-ce que ça peut faire, ça, pourvu qu’on reçoive du gouvernement quelques dollars de plus, et qu’on ait de quoi vivre?” Ils ont renié leurs principes à cause de leur ventre, et à cause des convoitises et de la soif d’un monde rempli de péché, et ils ont oublié le but même pour lequel nous avons débarqué au rocher de Plymouth. Ils ont oublié notre patrimoine, et ils sont allés trahir tout ça pour suivre la foule avide de plaisirs. Ce qui est arrivé du temps d’Israël est arrivé de même aujourd’hui, l’Amérique a suivi la même voie, s’est engagée exactement dans le même sentier : le plaisir!
48 Au bout de quelque temps, le gouvernement donnait son appui au péché : “Pourvu qu’on ait une synagogue, qu’est-ce que ça peut faire, ça?” C’est exactement ce que l’Amérique a fait. Et nous avons commencé à nous organiser, et à former des petits groupes, avec plus de péché, et plus de péché, et encore plus de péché. Si seulement nous étions restés fidèles aux vrais principes pour lesquels nous avons débarqué ici! Le péché a commencé à s’infiltrer dans les églises, tout comme c’était arrivé à cette époque-là. Les femmes ont commencé à se couper les cheveux, à porter des vêtements indécents, et chaque année, c’est un peu plus court. Et les hommes ont commencé à faire ceci, cela et autre chose, à jouer aux cartes, et à jouer au loto dans l’église, et ils sont tout aussi mondains qu’eux l’étaient : avides de plaisirs, abrutis par l’alcool.
49 Les ministres qui sortent du séminaire avec un diplôme, et l’évêque qui dit : “Mes garçons, prêchez ce que vous voudrez. Quant à moi, je crois que le sang de Jésus-Christ a séché il y a mille neuf cents ans.” On en est au point où l’église n’est rien d’autre qu’une organisation, comme un club. Puissiez-vous ne jamais oublier cet après-midi! C’est devenu comme un club, le monde a commencé à s’infiltrer, les ministres se sont mis à faire des compromis, exactement comme du temps d’Achab. Remplie de péché, pourrie jusqu’à la moelle, et ça a continué, et continué, sans relâche.
50 Bien que Dieu leur ait envoyé un prophète après l’autre, et qu’Il ait supplié les gens, étendant sur eux Ses compassions, ils ont quand même tourné le dos à Cela. Ils ne voulaient en faire qu’à leur tête : ils étaient Israélites, ils étaient libres, ils étaient une grande nation, leurs ancêtres avaient fait ci et ça (David et Salomon), ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient. C’est exactement ce sur quoi nous, nous nous appuyons, exactement ça : ce que Washington, ce que nos ancêtres, leurs convictions à eux. Mais, frère, nous sommes à un million de milles de ces choses; nos églises sont à un million de milles de ça.
51 L’ancienne... L’église méthodiste d’aujourd’hui, par rapport à ce que l’église méthodiste était autrefois! Ce que l’église pentecôtiste est aujourd’hui, et ce qu’elle était autrefois! Ce que l’église baptiste est aujourd’hui, par rapport à ce qu’elle était autrefois! Si nous avions le temps de retourner en arrière, et de parler de John Smith et de beaucoup des premiers réformateurs. John Smith a dit, avant sa mort, il a dit : “Ce qui est terrible, c’est que les femmes méthodistes commencent à porter des bagues en or aux doigts.” Les méthodistes! Qu’est-ce qu’il dirait aujourd’hui, en les voyant les cheveux coupés, le visage peinturluré, et en shorts? C’est à cause du péché!
52 Qu’est-ce que Dieu a fait, en Amérique? Il a envoyé un réveil après l’autre, un réveil après l’autre. Des ministres ont prêché la Parole, ont cherché à ramener les gens à Dieu. Et eux, qu’est-ce qu’ils ont fait? La même chose qu’Israël, ils ont rejeté Ça! Ils se sont moqués d’eux! Ils les ont traités d’ “exaltés”! Ils les ont jetés en prison!
53 Si une de mes soeurs et un de mes frères, de l’assemblée qui est ici aujourd’hui, s’étaient trouvés à l’hôtel, hier soir, et qu’ils avaient levé les mains, loué Dieu, et poussé des cris dans cette chambre, aujourd’hui ils seraient en prison à cause de ça. Mais une bande d’idiots, ivres, abrutis, des “exaltés impies”, eux, ils peuvent rester là à crier toute la nuit; et ivres, et jurer, et arracher les vêtements de sur les femmes, et se conduire n’importe comment, et tomber par terre, et crier toute la nuit, mais on ne peut pas dire un mot là-dessus. Ce n’est pas étonnant que nous soyons sous la condamnation de la main de Dieu!
54 Remarquez, sans relâche, Dieu a envoyé des ministres, Il a accompli des signes et des prodiges, Il a démontré Sa Parole. Et dans la plupart des cas, beaucoup de membres modernistes du clergé ont rejeté Ça et se sont moqués de chaque réveil. Par exemple, la prétendue église de Christ, et les autres : “Les jours des miracles sont passés.” Ils font tout ce qu’ils peuvent pour bloquer ça, pour que ce petit reste de Dieu ne le reçoive pas. Ce qui est arrivé en Israël arrive de même aujourd’hui. Bien souvent, Dieu est obligé de retirer les Siens de ces organisations et de ces dénominations, de les emmener dans le désert, tout seuls, pour leur parler. Et Il aura un reste, ne vous en faites pas pour ça. Il en a eu un à cette époque-là, Il en aura un maintenant. Ils ont continué à s’enfoncer dans le péché, à patauger dans ces choses. À cause de quoi? Leurs conducteurs; il n’y avait rien pour mettre le holà à ça.
55 Eh bien, je vais vous dire franchement, je connais beaucoup de pays où, si on surprenait des gens à se promener dans la rue habillés comme nous, ici en Amérique, on les mettrait en prison. Quand je suis allé à Saint-Ange, à Rome (or, pensez-y, dégradé comme c’est là-bas), il y avait un écriteau là-bas, près des catacombes de Saint-Ange : “À l’intention des femmes américaines : ‘Veuillez vous habiller pour honorer les morts.’”
56 S’il y a quelque chose qui rend malade, c’est bien de voir une bande de soi-disant Américains arriver quelque part. Je m’étais attablé, à Lausanne, où nous mangions un bon steak, un jour, Frère Arganbright et moi. Le lendemain, nous y sommes retournés, parce qu’on y mangeait bien; là-bas, je pouvais avoir de l’eau. Ils refusaient de nous servir autre chose que du vin. Alors j’allais chercher de l’eau, il fallait que je me promène avec une bouteille d’eau sous le bras, tout le temps, parce qu’ils refusaient de servir de l’eau aux tables. Donc, je suis allé là-bas, et tout était bon, jusqu’à ce que “Miss Amérique” arrive, avec un sale petit caniche, tout morveux; elle portait tout plein de bijoux de pacotille, comme ça, et elle avait une cigarette au bout d’un long truc, comme ceci, elle s’est assise là, et elle prenait de grands airs; et elle a fait asseoir son caniche sur la table, cet animal sale, malpropre.
57 C’est... le pire animal dont Dieu parle, c’est bien le chien. Même que la dîme du prix d’un chien ne peut même pas être payée dans la maison de Dieu. “C’est comme la prostituée, la dîme d’une prostituée”, dit la Bible. Et pourtant, voilà. Elles vont pratiquer le contrôle des naissances, et débourser presque mille dollars, pour une espèce de petit chien. Elle va le traîner partout et lui donner l’amour qu’elle aurait pour son enfant, et alors elle va pouvoir sortir toute la nuit. Et elle va pratiquer le contrôle des naissances.
58 À quoi s’attendre, si ce n’est au chaos? Il se pourrait que vous n’entendiez plus jamais ma voix, mais je veux que vous vous souveniez de ceci : Nous sommes à la fin!
59 Là nous voyons ce qui s’est passé, ce qu’il y a eu. Finalement, la grande heure est arrivée : Achab a été élu, et une fois élu, il a épousé Jézabel; cette espèce de femme pourrie qui a entraîné tout Israël dans l’idolâtrie. Et, tout comme Israël l’avait fait à cette époque-là, eh bien... Il fallait qu’ils soient dans un état rétrograde, pour laisser une chose pareille arriver dans leur nation; les lois sont faites par le peuple et pour le peuple. Et nous, nous avons fait la même chose!
60 Il fut un temps où l’Amérique n’aurait pas... ils se seraient bien gardés de laisser la vieille prostituée, la vieille impudique qui a bu le sang des martyrs (qui les a tués)... Et la raison pour laquelle ils s’étaient réfugiés ici, c’était pour la liberté; ils n’auraient pas accepté une chose pareille. Ça montre que nous sommes dans un état rétrograde, la nation tout entière, d’avoir élu une chose pareille. Oh, naturellement, là, vous... certains d’entre vous, les bons démocrates endurcis, ce que vous vous figurez, c’est que : “Oh, eh bien, il–il fera un bon chef politique.” Ça, ça sonne peut-être bien comme raisonnement, pour la pensée charnelle. Mais pour la Parole de Dieu, et pour la pensée spirituelle, ça ne tient pas debout. Certainement pas. Pour quelques dollars de plus et quelques réductions d’impôt ou autres choses du genre.
61 Et nous avons beaucoup de difficultés, nos missionnaires sur le champ de mission aujourd’hui, parce que maintenant on nous considère comme un pays catholique. Voyons, c’est sûr, la Russie est considérée comme communiste, parce que son chef est communiste. La Chine populaire est considérée comme communiste, parce que son chef est communiste. On nous considère comme catholiques, parce que notre chef est catholique.
62 Oh, quand Achab était sur le trône... Vous dites : “C’est lui qui est sur le trône.” C’est vrai, mais Jézabel était la tête derrière ce trône-là. C’était elle qui menait la barque. Regardez ce qu’elle a fait des lois mêmes du pays, elle les a déformées, et ce, à son propre avantage et à cause de son avidité, amenant Achab à le faire, parce qu’elle était mariée avec lui. Et c’est la même chose pour notre chef, aujourd’hui. Je ne dis pas qu’il n’est pas un homme sympathique, mais regardez ce qu’il y a derrière lui : la prostituée, la chose même pour laquelle nous sommes venus nous réfugier ici (pour être l’Amérique); les principes mêmes sur lesquels l’Amérique a été fondée. Nous, de notre plein gré, nous avons élu une chose pareille.
63 Maintenant vous voyez pourquoi on va bientôt arrêter ma voix. Mais quelqu’un aura été mis au courant! Oui! Pourquoi? Dans Apocalypse 2.20 , elle se dit “prophétesse”. Regardez bien la vague de péché qu’il va y avoir maintenant. Regardez bien la moelle, ça va descendre au plus profond de la moelle. Regardez bien les modernistes, regardez bien les choses impies qui vont se produire dans les églises. “Et finalement, il va y avoir une persécution”, la Bible le dit, AINSI DIT LE SEIGNEUR! C’est certain, il va y en avoir une.
64 Alors, qu’est-ce qui va se produire? Exactement comme à cette époque-là, ce sera la même chose maintenant. C’était elle la puissance derrière ça, c’était elle qui dirigeait la chose. Lisez le... je crois que c’est le dix-sept-... vers le chapitre 17 ou 18, quelque part par là, vous verrez ce que Jézabel a fait : comment elle s’y est prise avec Achab, et lui, il ne pouvait pas dire un mot là-dessus, parce que c’était sa femme. Regardez ce sur quoi la nation était fondée à l’époque, sur un Israélite rétrograde qui avait une femme païenne (derrière lui) qui se livrait au culte des Baals. Et qu’est-ce qu’elle a fait? À la fin, elle avait tout arrangé pour que ce soit tellement moderne, et tellement beau, et les gens avaient la vie tellement facile, que l’église tout entière s’y est laissé prendre, les prédicateurs et tout. Élie n’a-t-il pas dit : “Seigneur, il ne reste plus que moi”? Et ce qui est arrivé à l’époque correspond à ce qui arrive aujourd’hui.
65 Ils avaient tous peur de dire quoi que ce soit. N’est-ce pas tout à fait pareil aujourd’hui? Ils avaient peur d’en parler. Donc, nous voyons qu’ils avaient vraiment une conduite relâchée, qu’ils se conduisaient un peu n’importe comment, ils s’enivraient, ils faisaient toutes sortes de choses déplacées, ils étaient avides de plaisirs, et tout le reste, exactement comme ça se passe aujourd’hui. Jézabel qui déformait les Écritures... Qu’est-ce qu’elle... Ou, les lois, comme–comme Jézabel les déformera. Souvenez-vous, Jézabel, elle se dit “prophétesse”, pour subjuguer le peuple, et elle dit être “la seule voix de Dieu sur terre”. Elle fera croire ça à la pensée charnelle, aussi sûr que deux et deux font quatre.
66 “On instaurera le culte d’une femme, aux États-Unis, et ce sera celui de Marie.” Je l’ai vu, trente... 1931. Sept choses se sont produites. Je l’ai ici même sur papier, avec moi, j’ai écrit ça en 19 31. Alors que j’ai dit : “Le Président actuel, Franklin D. Roosevelt, il entraînera le monde entier, il contribuera à précipiter le monde dans une guerre.” On n’avait pas encore eu la guerre, c’était durant la dépression. J’ai dit : “De plus...” Et ma mère, une démocrate endurcie, elle m’a foudroyé du regard quand j’ai dit ça. J’ai dit : “Peu m’importe qu’il soit républicain, ou qu’il soit socialiste, ou quoi qu’il soit, ceci, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.” Et j’ai dit : “Et c’est ainsi qu’ils ont accordé aux femmes le droit de vote. Et quand ils ont fait ça, ils ont amené la plus grande disgrâce que cette nation ait jamais amenée.” Et j’ai dit : “Un jour, ils vont le payer cher.” Et c’est ce qu’ils ont fait, à la dernière élection. Voilà ce qui l’a élu : les femmes.
67 Et vous, les précieuses gens de couleur, du sud, regardez comment vous avez voté! Vous dites : “Vous ne devez pas dire ça du haut de la chaire.” Oh, mais si : c’est la Parole de Dieu! Alors que la tache de–d’Abraham Lincoln, celui qui vous a libérés, est exposée là-bas, dans ce musée, sur la robe d’une femme, et vous, vous vendez votre droit d’aînesse. Honte à vous.
68 Et vous autres, à cause de la politique, pour la simple raison que vous êtes de bons démocrates, vous avez voté pour une chose pareille; et vous avez vendu votre droit d’aînesse, en tant qu’Américains et en tant que Chrétiens, pour céder ça à la prostituée, alors que c’est elle qui nous avait fait fuir vers ce pays-ci, et c’est ce qui avait fait de nous ce que nous étions. Vous voyez comment elle s’est infiltrée? Très doucement, et maintenant la voilà sur le trône. Bien sûr! Le trône de la Maison Blanche.
69 Regardez bien! Déjà... Avez-vous vu, l’autre jour, la question des écoles catholiques et des écoles protestantes? Fournir une aide financière aux écoles catholiques, mais pas aux écoles protestantes. Voyez? Oh, frère! Attendez-vous à une vague de toutes sortes de choses qui vont déferler maintenant. Remarquez, et quand ils ont fait ça, regardez ce qui s’est passé. Tout ce péché qui s’accumule. Ils en sont arrivés là, et ils ont entraîné la nation dans ce genre de démarche chancelante.
70 Il y a quelques années, quand il y a eu... quand les pentecôtistes sont apparus, au début, c’est ce qui a sauvé la nation, il y a quelques années, quand Al Smith allait se présenter. L’Amérique avait fait preuve de plus de jugement, à l’époque. Mais les pentecôtistes sont devenus tellement mondains, ils se sont laissé embarquer et ils ont vendu les droits qu’ils avaient, en tant que Chrétiens, à la politique, et ils font passer la politique avant la Bible. Oh! la la!
71 Maintenant, un petit instant, et vous allez voir à quoi tout ça va aboutir. Alors, nous voyons que ce qu’ils ont fait, et les choses qu’ils ont faites, nous voyons que ça correspond parfaitement à ce qu’on a ici : le péché partout. Jézabel est arrivée, elle a charmé tout le monde. Et, remarquez, finalement, elle s’est mise à bâtir de grands temples aux Baals. Pas vrai? Et les prêtres de Baal affluaient de partout, pour entrer dans ce lieu, et ils ont commencé à contaminer le pays avec le culte des Baals.
72 Regardez comment ils s’y sont pris, regardez comment ils se sont infiltrés, très sournoisement. Rien que par les choses qu’ils ont faites, regardez où ils en sont aujourd’hui. Regardez le catholicisme qui gagne du terrain, et gagne du terrain, et gagne du terrain; ils y entrent par des mariages, ils brisent, là, exactement ce que Daniel avait dit qu’ils feraient. Le fer et l’argile ne s’allieraient point, mais ils mélangeraient les semences les uns avec les autres, ils briseraient. Toute protestante qui épouse un catholique doit élever ses enfants dans la foi catholique. Toutes ces choses, ils se marient, ils font des croisements comme ça, si bien qu’on en est au point où ils se sont infiltrés partout aux États-Unis.
73 Qu’est-ce que nous allons faire, en tant que missionnaires, nous qui allons au loin, pour libérer les gens, en Amérique du Sud et dans toutes les régions du monde, Tommy Osborn et les autres, nous essayons de faire sortir les gens de ce paganisme, et ils peuvent nous montrer du doigt, nous répliquer que c’est nous qui avons élu notre chef, et que c’est pareil. Qu’est-ce–qu’est-ce qui va arriver à ce monde? Ça devrait secouer toutes les personnes qui sont ici. Qu’est-ce que nous allons répondre à ça? Qu’est-ce que le missionnaire va dire, quand ils disent : “Vous venez ici pour nous libérer de ceci, alors que c’est justement à ça que votre propre peuple a accordé le pouvoir, a mis sur le trône”? Comment est-ce que nous... Qu’est-ce que...
74 Regardez en arrière, dans les pages de l’histoire, faites un examen rétrospectif, voyez si ce–si ce n’est pas absolument anticonstitutionnel, presque, une telle situation. Ils n’auraient pas fait ça, il y a des années, mais, voyez-vous, nous avons vendu les droits que nous avions en tant que Chrétiens, à la politique, et c’est comme ça que le diable s’est infiltré. Achab, tout ce qu’il était, c’était l’homme de paille de Jézabel. Et tout ce que celui-ci sera, c’est un homme de paille, rien de plus. Il ne le fera pas lui-même, mais c’est le système qui est derrière lui qui va le pousser à ça. C’est tout à fait vrai! Pincez votre conscience, vous qui êtes Chrétiens. Réveillez-vous, il est plus tard que vous le pensez. L’état dans lequel nous sommes, l’état dans lequel eux, ils étaient, et comment ils s’étaient relâchés.
75 Combien le coeur rempli d’amour, de Dieu, a dû s’écrier, pleurer, quand Il a vu Ses missionnaires. Il avait fait d’eux un exemple, toutes les nations venaient, de partout, parce que Dieu les avait bénis, on voyait qu’ils étaient dans l’unité, qu’ils servaient Dieu spirituellement. Et alors, de penser qu’Il–qu’Il désirait tant les voir retrouver leur premier amour, et faire ce qui est bien, mais ils continuaient toujours à s’éloigner, et à s’éloigner, et à s’éloigner, jusqu’à ce que finalement, Jézabel s’introduise. C’est exactement ce que nous avons fait. Nous avons dévié des principes de Christ. Quand Dieu a envoyé Ses ministres d’un bout à l’autre de la nation, ceux-ci prêchaient la sainteté – les pèlerins de la sainteté, les nazaréens, les pentecôtistes : “Revenez à Dieu! Revenez à Dieu!”
76 Et les églises vraiment établies de longue date ont simplement ri et se sont moquées d’eux. Beaucoup de ces croyants modernistes, eh bien, eux, ils condamnaient tout ce que ces hommes faisaient, et ils déclaraient que “c’était du diable”. Qu’est-ce que cela eu pour conséquence? Alors l’église a commencé à écouter ça, la plupart des gens ont commencé à écouter. Et ça n’a pas tardé : “Si les catholiques peuvent porter ce genre de chose, les protestantes aussi. Si l’église catholique peut faire ceci, l’église protestante aussi. Et si les méthodistes le peuvent, alors qu’en est-il des baptistes? Et si les baptistes le peuvent, alors qu’en est-il des pentecôtistes?”
77 Voyez-vous, voilà dans quoi vous entraînent les systèmes faits de main d’homme. Alléluia! C’est vrai. C’est pour ça que je suis contre ça, c’est parce que la Parole de Dieu est contre ça. Le système fait de main d’homme : Dieu est contre ça, Sa Parole est contre ça, Ses prophètes seront contre ça, Ses vrais serviteurs seront contre ça, tous ceux qui sont nés de l’Esprit de Dieu seront contre ça.
78 Regardez ce qu’Israël est devenue, elle suivait le courant, à tel point que finalement, Jézabel est arrivée. Regardez ce que l’Amérique est devenue, elle a suivi le courant du monde, à tel point que finalement, Jézabel est montée sur le trône. C’est vrai. Bon, en fait, Jézabel n’était pas elle-même sur le trône de l’Égypte... ou, sur le trône d’Israël, mais c’était essentiellement elle qui gouvernait derrière le trône. Et la hiérarchie catholique n’est pas sur le trône des États-Unis, mais elle est le système derrière ça, puisqu’il est marié avec elle. Et la Bible dit que, dans ce pays, on ferait “une image semblable à la bête”.
79 Oh, frère, soeur, qu’est-ce qu’il y a? Eh bien, je–je sais ce qu’il y a. La Bible dit qu’ils en arriveraient à cet âge de Laodicée, et nous en sommes là. Vous me haïssez peut-être en ce moment, mais un jour ce ne sera plus le cas, quand vous découvrirez la Vérité. Il se peut que vous ne soyez pas d’accord, que vous vous leviez et que vous sortiez de la salle en tapant du pied, ça, tout ce que ça montrera, c’est que vous êtes un illettré. Mais un jour, vous vous apercevrez, un jour, vous désirerez ardemment, et vous saurez que c’est la Vérité! Je Le dis au Nom du Seigneur! Je m’expose comme cible, ce qui va finir par m’envoyer à la tombe. Je serai un témoin jusqu’à ma mort, si Dieu me vient en aide. C’est vrai.
80 Nous voici, dans l’état où nous sommes aujourd’hui, toutes ces choses qui suivent leur cours, comme ça. En Israël, la façon dont Achab se conduisait, l’homme de paille de Jézabel, parce qu’il était–qu’il était marié avec elle. En Amérique, notre chef, comment est-ce que... Étiez-vous au courant que notre chef était un homme riche? Combien savent ça? Un multimillionnaire. Quelqu’un m’a dit que, dans un magazine, ou à une émission de radio ou de télévision, ou quelque chose comme ça, que Jack Benny ou quelqu’un avait fait... je crois que c’était Ernie Ford. Quelqu’un disait que “son père l’avait aidé à obtenir deux États qui ne lui appartenaient pas”. C’est que pratiquement tous les autres lui appartiennent. Comment a-t-il eu ça? Comment a-t-il eu cet argent? Par le trafic du whisky, et de l’alcool. C’est pour ça qu’il a réduit les taxes sur le whisky et ce genre de chose. C’est ce qui a fait de lui un homme riche. La chose même qui a damné notre nation, la chose même qui a corrompu la pensée des gens de chez nous, la chose à cause de laquelle nos garçons sont devenus des ivrognes et nos filles sont devenues des prostituées, c’est l’argent de ça qui a fait de lui un homme riche.
81 La chose même, ce vieux système de Jézabel, la chose même qui a persécuté les gens de chez nous, la chose même qui les avait forcés à fuir, – le romanisme, – qui les avait brûlés, qui les avait écartelés, et qui leur avait fait subir toutes sortes de choses, le même sang des martyrs (c’est ce que dit la Bible) est en elle! Les voilà mariés ensemble. Et nous, les Américains, nous continuons à avancer en chancelant : “Oh, eh bien, on a quelques dollars de plus, et on se paie du bon temps. On est mieux que tous les autres pays.” Mais, frère, un instant, attendez seulement.
82 Maintenant rapportons textuellement, pendant les quelques minutes qui vont suivre, voyons ce qui s’est passé.
83 Les prédicateurs ont suivi, ils ont courbé l’échine devant eux, ils marchaient avec eux, tout le système. Tout le système d’Israël marchait avec Jézabel, la main dans la main. Ils avaient une forme extérieure, ça oui. La Bible ne nous dit-elle pas que, dans ces derniers jours, nous aurions “une forme extérieure de piété”? Toutes les prophéties sont accomplies, frère, nous sommes à la fin! Sur le plan national, nous sommes à la fin! Sur le plan spirituel, nous sommes à la fin! Tous les systèmes tirent à leur fin! La prochaine chose, c’est la venue du Seigneur et l’enlèvement de l’Église.
84 Dieu a envoyé tous les signes, tous les prodiges, Il a fait tout ce qu’Il a pu, pour essayer d’attirer les gens, et ils ont tout simplement continué à s’enfoncer là-dedans. Considérez cette ville-ci, considérez cette région-ci, où il y a des dizaines de centaines, et des centaines de pentecôtistes; mais, parce que nous nous tenons à la Vérité, eux, où est-ce qu’ils sont, cet après-midi? C’est parce que quelqu’un leur a dit de ne pas collaborer à la réunion. Minables, vous êtes délibérément... Que Dieu soit miséricordieux envers vous, c’est tout ce que je peux dire. Alors que vous, qui êtes Chrétiens, vous n’avez pas plus de colonne vertébrale que ça; vous avez un os de poulet, au lieu d’une colonne vertébrale. C’est vrai! Ce qu’il nous faut, c’est de “prêcher un Évangile qui a des dents”, qui va tailler la chose en pièces. Vous avez suivi exactement la même voie que les autres, et après, vous vous demandez pourquoi nous protestons contre ces choses. Après, voyez-vous, on se fait “snober”. Je m’attends à ça, forcément.
85 Toutes ces choses se déroulaient en Israël. Finalement, un jour, d’un pas décidé un vieux bonhomme poilu est sorti du désert : Élie, le Thischbite. Il n’est jamais sorti d’aucune des organisations, il est sorti du désert! Il n’avait rien à faire avec elles. C’était un prophète du Seigneur. Frère, il a secoué ce royaume de Jézabel comme un prunier. Les gens le haïssaient. Il n’a reçu aucune collaboration, ça, je vous le garantis. La Bible le dit : aucune. Bien sûr. Ces Jézabel au visage peinturluré, j’imagine qu’il les a mises “en furie”. Il a mis la cognée à la racine de l’arbre, comme Jean l’avait fait, que les éclats volent où ils veulent, peu importe, il l’a plantée là-dedans quand même. Il a secoué la nation, en leur montrant qu’ils étaient dans l’erreur, et en essayant de les ramener à un Dieu vivant et vrai, de les ramener à Sa Parole, au lieu d’un culte à la Jézabel.
86 Qu’est-ce qu’ils ont fait? Est-ce qu’ils l’ont reçu? Ils l’ont haï! Mais sa Parole a été proclamée quand même, parce qu’il avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR! Dieu oeuvrait avec lui, et Il a démontré qu’il était un prophète oint, car les choses qu’il disait s’accomplissaient. Et tout ce qu’il faisait prouvait qu’il était le prophète de Dieu. Mais ils ont quand même refusé d’Y croire, parce qu’il démolissait leur théâtre. Il leur disait qu’ils étaient “dans l’erreur!” Achab était un coquin. C’est vrai! Et si vous remarquez, ils ne l’ont pas cru, mais il L’a prêché quand même. Aucun des prédicateurs n’était d’accord avec lui, il a dit : “Il ne reste plus que moi, Seigneur. Regarde-les, ils ne veulent même... pas un, personne ne veut collaborer.” Mais il avait une mission à remplir, et il l’a remplie. Il avait la Parole du Seigneur, l’AINSI DIT LE SEIGNEUR! Et il a attaqué la nation, il a attaqué l’église, il a attaqué tout ce qu’il y avait là, et Dieu était avec lui!
87 Il nous a été promis qu’aux derniers jours il reviendra, et dans ce pays-ci. Je sais, Jésus, quand... dans Matthieu 17 , quand ils Lui ont demandé : “Pourquoi les scribes disent-ils qu’Élie...?”
88 Regardez bien ce qu’Il a dit : “Il est vrai qu’Élie doit venir premièrement”, au passé, au pré-... au futur. Mais ensuite, Il a cité Jean comme exemple. Jean, ce n’était pas Malachie 4. Jean, c’était Malachie 3 : “Voici, J’envoie un messager devant Moi, pour qu’il prépare le chemin.”
89 Dans Malachie 4, Il a dit : Avant que le jour de l’Éternel arrive, ce jour grand et redoutable, où toute la terre brûlera comme du chaume; avant ce jour-là, J’enverrai Élie.
90 Et ce n’était pas Jean, puisque l’Éternel n’a pas du tout brûlé la terre quand Jean est venu. Et, si vous remarquez, et au dernier chapitre, au dernier verset, Il a dit : “Et il (observez : il, en parlant de...) ramènera le coeur des pères aux enfants, et le coeur des enfants aux pères.”
91 Maintenant, regardez bien! Le premier Jean est venu, le premier Élie, qu’est-ce qu’il a fait? Il est venu et il a apporté un Message, il a ramené le coeur endurci des vieux orthodoxes à la foi de la jeune église, aux enfants. Mais l’Élie qui vient ensuite, quand lui, il arrive, au temps de la fin, il doit revenir ramener le–le coeur des pères... le coeur des enfants, plutôt, et, les ramener à la Foi des pères de la Pentecôte. Vous voyez la différence? Il ne sera pas l’un de ces soi-disant, comme nous en avons aujourd’hui, il retournera tout droit à Actes 2, et il repartira de là. Il prêchera l’Évangile sans mélange, il dira exactement les mêmes choses que ce que Pierre avait dit, au Jour de la Pentecôte, parce que ce qu’il avait dit, à la Pentecôte, s’est confirmé tout au long des autres passages de l’Écriture. Quand Élie viendra, il ne fera pas toutes sortes de détours, avec une quelconque organisation. Il haïra les femmes, comme Élie les haïssait, tout comme... ou, les femmes corrompues, tout comme Jean les haïssait. Il sera amoureux des régions sauvages, tout comme eux l’étaient. Il n’épargnera personne. Nous attendons sa venue. Il viendra! Dieu a dit qu’il viendrait, alors il sera là!
92 Je crois même que le Message que nous avons aujourd’hui, il se pourrait qu’il précède sa grande venue à lui. Oui monsieur! Il est en route, déjà né. Tout comme Élie, qui a surgi tout à coup du désert, il se fera connaître quelque part. Il prêchera Actes 2. Il ramènera la Foi des vieux pères de la Pentecôte tout droit à... la foi des enfants de la Pentecôte, tout droit à la Foi des pères de la Pentecôte. Il retournera tout droit à Actes 2, à Actes 2.38 , et ainsi de suite, d’un bout à l’autre. Il apportera le vrai Évangile sans mélange. Il n’aura rien à faire avec Jézabel et son système. Il sera un serviteur de Dieu. Assurément qu’il le sera! La Bible a dit qu’il viendrait. Il prophétisera et fera éclater son Message en plein visage de ces Jézabel, exactement comme Élie l’avait fait au début, dans le cas d’Israël. Ils le haïront! Ils ne collaboreront pas avec lui; non, non. Il viendra! Dieu l’a promis. Il entrera en scène. Il prêchera–il prêchera à l’Église Élue, comme il a été annoncé qu’il le ferait, il secouera l’Élu, il le débarrassera de ce qui est charnel, du–du monde et tout, il le secouera pour qu’il soit bien tassé, il l’épurera, il rassemblera l’Église, un peuple.
93 Je sais que vous dites : “C’est ma dénomination.” Frère, vous vous trompez! Jean est venu en tant que système composé d’un seul homme, afin de présenter Un seul Homme : Jésus-Christ. Et cet Élie ne sera pas un système, ce sera un homme, c’est ce que Jésus a dit. Ce sera un seul homme, oint du Saint-Esprit. Et il ne présentera pas trois ou quatre dieux, il en présentera Un seul : le Seigneur Jésus-Christ; en effet, son Message va secouer les enfants de la Pentecôte pour les ramener de nouveau à la Foi des pères.
94 Souvenez-vous, frère, si je dis ces choses pour être méchant, j’ai besoin d’être à l’autel. Je vous dis l’AINSI DIT LE SEIGNEUR! Si Dieu n’a pas confirmé que je vous ai dit la Vérité, partout dans le pays, partout dans le monde, dans ce cas dites-moi où il y a eu erreur. Je vous dis la Vérité! Revenez à Dieu, faites vite! Sortez de ces systèmes, parce que la Bible dit, dans le Livre de l’Apocalypse, que “la hiérarchie catholique romaine était une prostituée, et qu’elle était la mère des impudiques”. Ça, qu’est-ce que c’est? Des églises, des systèmes.
95 Et d’où est venue l’église méthodiste, d’où est venue l’église luthérienne? D’où les méthodistes, les baptistes, d’où est-ce que toutes les organisations sont venues? Dieu n’a jamais organisé aucune église. L’église catholique affirme qu’elle a eu son origine là-bas, que “Jésus a organisé l’église”. Je veux–je veux qu’on me donne la page de l’histoire, ou la page de la Bible. Il n’y a jamais eu d’organisation, avant trois cent six ans après la mort du dernier apôtre, et c’est alors qu’ils ont formé le concile de Nicée, et qu’ils ont fait une organisation. Et quand Luther est sorti... il était un grand homme de Dieu, mais tout de suite après son départ, ce petit groupe de gens là est allé former une autre organisation. Alors le Saint-Esprit est venu sur John Wesley, qui n’en a jamais fait une organisation, mais après son départ, alors eux en ont fait une organisation. Ensuite le Saint-Esprit est venu, avec les pentecôtistes, et ils sont sortis des méthodistes. Et qu’est-ce qui s’est passé? Alors eux aussi, ils en ont fait une organisation.
96 Mais il y aura un système composé d’un seul homme qui viendra, avec la puissance et l’onction d’Élie, pour accomplir cette prophétie. Alléluia! Il va secouer tout ça. Et, souvenez-vous, il leur avait prophétisé, et prophétisé, et dit toutes ces choses, et Dieu oeuvrait avec lui. Mais son dernier Message a été une attaque lancée sur la Maison Blanche. Ah oui. Quand Jean est venu, son dernier Message à lui a été une attaque lancée sur la Maison Blanche de l’époque. Le dernier Message d’Élie, quand il descendait la route ce matin-là, après avoir été là-bas dans la Présence de Dieu, il descendait la route, le corps couvert de poils, sa tête chauve qui luisait, la barbe qui flottait au vent, ses petits yeux qui brillaient de la gloire de Dieu. Son bâton à la main, et le pas tout ce qu’il a de plus ferme. Qu’est-ce qu’il fait? Il arrive de Samarie, il se présente à la Maison Blanche, et il dit : “AINSI DIT LE SEIGNEUR!” Il n’avait peur de rien. Les églises l’avaient rejeté, les gens l’avaient rejeté, alors il va maintenant lancer sa dernière attaque, sur la Maison Blanche.
97 Ensuite, qu’est-ce qui est arrivé, après ça? Écoutez! Après cette attaque-là, sa voix est restée silencieuse, plus personne ne l’a entendu. Dieu l’a retiré de la scène, Il a dit : “Élie, tu as fait connaître ton Message à tout Israël, c’est fait, ils Le connaissent. Maintenant viens, ici dans le désert, éloigne-toi d’eux, sépare-toi d’eux, parce que Je vais faire quelque chose. Je vais leur montrer ce qu’il en coûte de rejeter Mon Message.” Qu’est-ce qu’il y a eu? La guerre, la famine, la disette.
98 AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT : “Regardez bien ce qui va venir! Regardez bien ce qui va suivre! Il y a eu une famine, il Y AURA une famine!” Oh, peut-être pas de pain, mais d’entendre la Parole de Dieu et Sa Vérité. Toutes les églises entretiendront des relations sociales, et elles continueront à s’enfoncer là-dedans, ce sera pareil, et c’est comme si elles étaient déjà envahies par ça.
99 Qu’est-ce qu’Élie a fait? Il a trouvé une source cachée, très haut dans la montagne, d’où il a eu l’Eau de la Vie, des révélations Divines que Dieu lui a données, pendant qu’il était là-haut, sous la puissance de Dieu. Les révélations, qui étaient une petite source cachée, pendant que tous les autres mouraient de faim. Que Dieu bénisse Ses serviteurs (ces corbeaux) : ils lui ont apporté à manger pendant qu’il était isolé des gens. Et eux, ils étaient là-bas, affamés d’avoir un réveil, et avec tout ce qui se passait : “On n’entend plus parler de ses réveils... Où est-il, ce vieux grincheux, qui est toujours en train d’attaquer nos organisations? Où est-il, maintenant?” Ils ne savaient pas. Il s’était retiré avec Dieu, dans un endroit isolé, où ils n’entendaient plus sa voix. C’est là qu’ils ont commencé à voir.
100 Quand Dieu envoie un Message, qu’Il le proclame aux gens, et que ceux-ci ne Le reçoivent pas, alors Il retire Son serviteur, et Il envoie Ses fléaux : la famine, la mort (spirituelles, et physiques aussi). Attendez-vous à une dépression, frère. Vous pensez avoir vu quelque chose, attendez encore un peu. Vous n’avez encore rien vu. Vous pensez que vous mourez d’envie d’avoir un bon réveil spirituel, attendez encore un peu. Attendez seulement, vous désirerez ardemment entendre la Parole de Dieu et vous La réclamerez à grands cris. La Bible le dit! “Il y aura une famine dans les derniers jours,” a dit le prophète, “non seulement la disette du pain et de l’eau, mais d’entendre la véritable Parole de Dieu.” Cette voix restera silencieuse, quelque part dans le désert, cachée.
101 Il a donné ordre aux corbeaux, Ses serviteurs. Bénis soient ces oiseaux, Ses serviteurs, qui ont maintenu la voix de–d’Élie en vie, pendant la période où il–il s’était isolé de l’église. Les corbeaux lui apportaient de la viande et du pain le matin, et de la viande et du pain le soir, et il buvait à la petite source, pendant que tous les autres, qui étaient là-bas, ils étaient privés de toute nourriture spirituelle et de toute eau spirituelle.
102 Et puis un jour, après que le péché eut fait ses victimes, et que Dieu eut amené Son peuple à fléchir les genoux... Jézabel avait mis la main sur tout, elle s’était emparée de tout, et elle le fera encore! C’est AINSI DIT LA SAINTE BIBLE DE DIEU : “Elle le fera encore.” Elle est là, sur le trône, maintenant même, derrière l’homme de paille; elle fait tout ce qu’elle veut, personne ne va l’arrêter. C’est sûr, personne ne va l’arrêter maintenant; en effet, ce qu’ils n’avaient pas réussi à obtenir dans les cercles religieux, c’est par la politique qu’ils ont introduit–introduit tout ça, et c’est comme ça qu’ils y sont arrivés. Ah oui, c’est exactement ça qu’ils ont fait. Et la politique va servir à un boycottage, et on va se retrouver avec la marque de la bête, aussi sûr que je suis ici devant vous, voyez-vous, comme la Bible le dit.
103 Je sais qu’il se fait tard, je vais me dépêcher. J’aurais une dernière chose à ajouter, si le Seigneur me le permet.
104 Regardez bien! Élie est resté là-haut, tant que Dieu ne l’a pas envoyé ailleurs. Il ne faisait pas de réunions de réveil. Il ne prêchait pas contre quoi que ce soit. Il est simplement resté là-haut, seul avec Dieu, là-bas dans le désert, parce que c’était un homme du désert. Il avait grandi dans le désert. Jean aussi avait grandi dans le désert.
105 Il est allé dans le désert, seul avec Dieu, il a été enlevé à l’église, après avoir apporté son Message. Et l’église avait rejeté Cela, et rejeté Cela. Finalement, comme les organisations ne voulaient pas agir, il s’est trouvé dans l’obligation de s’éloigner. Dieu l’a retiré de la scène, Il l’a emmené au désert, Il a dit : “Viens par ici, ils ne vont plus écouter. Viens, dans ce cas Je vais faire descendre Mon jugement sur eux.” Oh oui, il sera ici, un de ces jours, ouvrez bien l’oeil.
106 Alors, après les jours de sa prophétie, qu’est-ce qui s’est passé? L’église dépérissait, la grande terreur de Jézabel, qui se les était tous appropriés, elle les a tous engloutis. Elle se les était appropriés, elle a construit des idoles et tout le reste.
107 Mais, un jour, de nouveau Dieu l’a fait sortir de là! Le voilà qui sort. Écoutez bien maintenant, et ne vous fâchez pas contre moi. Ce que je suis en train de dire, c’est “AINSI DIT LE SEIGNEUR!” Quand il en est sorti, qu’est-ce que Dieu a fait? Il l’a envoyé vers une veuve. Elle, dans le passé, un–un homme avait eu autorité sur sa tête, mais il a fallu la mort, pour qu’elle soit libérée, et qu’alors elle puisse croire la Parole du prophète. Avez-vous remarqué ça? Elle avait eu un mari, qui la conduisait par-ci par-là, dans l’une des écoles de là-bas. Mais, pendant cette grande sécheresse, il avait été englouti, la mort l’avait emporté. Comme elle n’était plus liée à aucune organisation, elle était maintenant prête à écouter la Parole du Seigneur. Une femme, ce qui signifie l’Église; une veuve dont le mari (l’organisation) était mort, et elle-même, c’était tout juste si elle était encore en vie, pensait-elle. Et Dieu a dit : “Va vers elle maintenant, elle va t’écouter, Je le lui ai ordonné.”
108 Oh, parfois nous considérons, – vous qui êtes un petit groupe, qui êtes si fidèles et qui faites tout ce que vous pouvez pour tenir des réunions, pour essayer de montrer aux gens que votre coeur est droit et que vous désirez qu’ils se mettent en ordre, – vous considérez que vous avez beaucoup de difficultés. Mais, souvenez-vous, Dieu veille sur vous! Vous L’aimez, je sais que vous L’aimez, sinon vous ne seriez pas assis ici, vous n’assisteriez pas à quelque chose comme ceci. Dieu veille sur vous. Oui!
109 Et à ce moment-là, comme son mari était mort, que son organisation était morte, alors elle était maintenant prête à écouter la Parole du prophète. Alors, quand le prophète est arrivé à la porte et qu’il lui a demandé un–un peu d’eau, elle est allée lui en chercher. Ensuite il a dit : “Apporte-moi une mesure de farine.”
110 Elle s’est retournée et elle a dit : “L’Éternel est vivant, je n’ai que la quantité qu’il me faut, rien de plus.”
111 On aurait dit là qu’il avait été envoyé pour lui enlever le peu qu’elle avait, mais c’était le contraire. Au moment où elle a été prête à donner ce qu’elle avait pour soutenir la Parole, Dieu l’a nourrie. Et si vous êtes prêts à donner la portion de l’Esprit que vous avez, la portion de l’Esprit que Dieu vous a donnée, pour soutenir la Parole, alors Dieu vous gardera en vie. Alléluia! Oh, gloire à Dieu! Est-ce que vous le voyez, église? N’allez pas penser que je déraisonne, ce n’est pas ça. Mais ce que vous avez, le peu de foi que vous avez en Dieu, la foi que vous avez, placez-la dans la Parole, pas dans une organisation! Mettez-la dans la Parole de Dieu, Il vous gardera en vie.
112 À ce moment-là, elle était prête, parce qu’avant ça, elle n’aurait pas pu, ils ne l’auraient pas laissée faire. Mais là, elle est prête. Va-t-elle le recevoir? Dieu a envoyé un prophète vers elle. Va-t-elle recevoir sa Parole? Va-t-elle recevoir ce prophète? Oui, elle l’a reçu. Et il lui a dit, il a dit : “Maintenant, le peu de vie que tu as, place-le ici, apporte-le-moi premièrement.” Et qu’est-ce qui s’est produit? Pendant que le reste du monde était en train de dépérir et de mourir de faim, elle et ses enfants, et sa famille, tous, ils mangeaient trois bons repas par jour : la révélation Divine de la Parole. J’espère que vous le voyez, mon ami.
113 Qu’est-ce qui s’est passé? Il est resté là, jusqu’à ce que la famine soit terminée, il a vécu chez cette femme (cette Église) qui l’avait accueilli et qui avait cru sa Parole. Et il l’a gardée en vie (gardé l’Église en vie) par la Parole du Seigneur, parce qu’il avait dit “AINSI DIT LE SEIGNEUR”.
114 Bon, nous n’avons pas le temps de prendre le reste de l’histoire, vous savez, alors qu’il a dû en venir à une épreuve de force avec Baal. Il le fera, un de ces jours, ne vous en faites pas. Quand, d’un pas décidé, il sortira du désert, regardez bien ce qui se produira.
115 Qu’est-ce qui s’est passé? Alors, quand ce brave vieil Élie, le prophète, un véritable serviteur de Dieu, est arrivé au bout du chemin, Dieu lui a dit, un jour, Il a dit : “Élie, maintenant tu as prêché assez longtemps. Tu as combattu Jézabel, et tout son peinturlurage, et toutes ces choses, à tel point que tu en as assez de tout ça.” Il a dit : “Viens au Jourdain!” Et il y va, il descend au Jourdain. Là le vieux fleuve boueux s’agitait, là-bas, cette eau froide, glacée, ce que tout homme doit affronter : le Jourdain, la mort.
116 Mais, quand ce grand serviteur de Dieu est descendu au Jourdain, et que son fils marchait à ses côtés, son fils dans l’Évangile... Oh oui, c’était son fils : “Mon père! mon père! Chars d’Israël et leur cavalerie!” Quand lui et son fils sont descendus bras dessus bras dessous au Jourdain, il regardait partir son papa, ce matin-là.
117 Quand il est arrivé au Jourdain, il a pris ce manteau de puissance qu’il avait sur les épaules, il a dit : “Mort, tu ne peux rien me faire.” Et il a frappé le Jourdain : “Écarte-toi, je traverse, ce matin.” Qu’est-ce qui s’est passé? Le Jourdain s’est retiré, et il est devenu sec comme de la poudre. Qu’est-ce que le vieux prophète faisait? Il regardait de l’autre côté du Jourdain, il savait qu’un char l’attendait, là-bas, avec les chevaux. Il allait rentrer à la maison, son travail était terminé. Son fils dans l’Évangile allait prendre sa place.
118 L’autre jour, je revenais chez moi, de l’Ouest. Ça me vient à l’esprit. J’ai allumé la radio. (J’avais trois jours de route à faire en voiture, deux mille quatre cents milles [trois mille huit cent soixante kilomètres], tout seul.) J’ai allumé la radio, et je... j’écoutais des chants religieux diffusés à partir de Del Rio, au Texas. Un homme racontait quelque chose au sujet d’un vieil homme de couleur, un Noir. Il allait mourir, et il devait descendre au fleuve, il disait : “Ces pantoufles dorées que je vais porter, pour me promener dans les rues pavées d’or.” Ce vieux Noir avait prêché toute sa vie, et le seul réconfort qu’il avait, auquel il pouvait penser, c’était son vieux banjo accroché au mur. Il s’asseyait sur les balles de coton et il jouait les cantiques, il se délassait des tâches de son ministère, avec son vieux banjo. C’était sa façon de se détendre. Il disait que ce vieux cheval écourté qu’il menait autrefois, il serait là-bas avec le char. Je pensais à ces choses. Il disait : “Oh, ces pantoufles dorées que je vais porter, pour me promener dans les rues pavées d’or.”
119 Quand il eut fini de chanter, j’ai éteint la radio. Et je roulais, j’étais au volant. “Oh, c’est bien vrai, ça. Moi aussi, je devrai y descendre. Qu’est-ce qui m’a déjà donné du réconfort? Où est-ce que je trouve mon réconfort, dans le désert?” J’ai une petite carabine, qui s’appelle... Je m’en sers à la chasse, en automne. C’est une 270 , une Remington de modèle 721 . Un homme, un frère, me l’a offerte, en Californie, il y a des années. Ça fait bien des années que je m’en sers, à la chasse. Comme... quel réconfort elle a été pour moi, parce que je–je sais que c’est un bon fusil de chasse, c’est mon réconfort dans le désert.
120 Ensuite j’ai pensé à la vision que j’avais eue. Quand je suis arrivé là-bas et que j’ai vu tous les miens, j’ai entendu un doux hennissement, et mon petit Prince (mon petit cheval de selle) est arrivé et il a appuyé sa tête contre mon épaule. Je me suis dit : “Eh oui, un de ces quatre matins, moi aussi, je descendrai au Jourdain.” Et la vieille 270 dont, autrefois, je... elle est accrochée au mur. Je ne l’en ai pas décrochée, depuis l’automne dernier. “Le petit cheval de selle que je montais autrefois, Dieu l’aura attelé à mon char, le matin où je descendrai au fleuve. Il sera juste là, de l’autre côté du fleuve.” Dieu l’y enverra, je l’ai vu, l’autre nuit. Il sera attelé à mon char, un de ces quatre matins. Je ne serai plus là, je monterai dans les nuées.
Prions.
121 Oh, que vienne cette puissance de Dieu dont je me réjouirai, en me promenant dans les rues pavées d’or! Là-bas, la vieille carabine qui est maintenant accrochée au mur, à ce moment-là je n’en aurai plus besoin. Je me demande si, quand mon char à moi arrivera, si mon petit cheval de selle que j’ai vu en vision sera attelé à mon char ce matin-là, quand je serai là-bas, près du fleuve. Je l’espère. Je veux être enlevé. Je veux que l’Église aussi monte comme ça. C’est ce que je veux pour chacun de vous.
122 Voudriez-vous en être sûr, au moment où vous descendrez au Jourdain? Voulez-vous abandonner les systèmes impies de ce monde, et recevoir Jésus-Christ comme votre Sauveur? Si vous n’êtes pas Chrétien, voudriez-vous lever la main pour dire : “Priez pour moi, Frère Branham. Quand moi, j’arriverai au Jourdain...”? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. “Quand je descendrai au Jourdain, je veux prendre la puissance du Saint-Esprit qui est sur moi, en frapper les eaux froides, et traverser.”
123 Comment pouvez-vous rester assis là, à écouter une prédication comme celle-là, sous une onction du Saint-Esprit comme celle-là, en sachant que le Saint-Esprit me signale l’état dans lequel vous êtes, et ne pas lever la main? Ça montre que le moment est venu de partir pour le désert! Est-ce qu’il y aurait quelqu’un, avant que nous priions, une autre personne? Deux personnes ont levé la main; trois, que Dieu te bénisse, fiston.
124 Notre Père Céleste! Trois; ce sera merveilleux, Seigneur, s’ils–s’ils se retrouvent là, ce jour-là. Je prie qu’ils y soient, Seigneur. Ils ont levé la main, parce qu’ils sont convaincus que les systèmes de ce monde sont en train de mourir, et que les voix de la Parole de Dieu, bientôt ce sera quelque chose de difficile à trouver, Dieu les retirera de l’église. Le cri, l’appel de l’Époux va bientôt se retirer, et le système de Jézabel va l’étouffer. Par contre, eux, ils veulent avoir... vivre près de cette source cachée, comme Élie, pour être gardés pendant le temps de la famine. Ô Dieu, donne-leur le Saint-Esprit maintenant, remplis leur coeur de joie et de paix, et dirige leurs pensées vers la Parole de Dieu, afin qu’ils vivent maintenant et désormais pour toujours. Bénis-les, Père. Ils sont à Toi, par Jésus-Christ notre Seigneur.
Avec nos têtes inclinées.
125 Ceux qui ont levé la main et qui veulent accepter Christ, voudriez-vous vous lever un petit instant, pendant que je prie pour chacun de vous individuellement? Levez-vous simplement.
126 Ô Dieu, aurais-je échoué? Même les trois qui avaient levé la main n’étaient pas assez convaincus pour se lever, pour accepter la chose même qu’ils avaient faite. Seigneur Jésus, je remets tout cela entre Tes mains. J’ai prêché Ta Parole, et je n’ai fait aucun compromis. Maintenant je–je quitte cette maison, je la leur laisse, Père. Agis comme Tu le jugeras bon, et avec l’église, et avec Ton serviteur; tout est entre Tes mains.
127 Père, je prie que Tu sauves les perdus, que Tu rassasies de biens les gens au coeur affamé, que Tu donnes la Vie Éternelle à ceux qui ont soif, que Tu suscites Tes serviteurs pour qu’ils proclament le Message, que Tu donnes la guérison aux malades et aux affligés, que Tu en reçoives la gloire, car je Te remets mon être ainsi que Ta Parole. Et, dans ma main, dans mon coeur et dans ma pensée, écris Tes Lois, par Jésus-Christ notre Seigneur. Amen.
Quand j’arriverai au fleuve à la fin du jour, (Je ne chanterai pas ça.)
Que, semble-t-il, tous mes amis auront disparu,
Quelqu’un m’attendra pour me montrer le chemin,
Je n’aurai pas à traverser le Jourdain tout seul.
128 Tu as distribué des cartes de prière, Bill? J’ai le coeur gros. Qu’est-ce que tu as distribué aujourd’hui? Les B? Tu as distribué des A aussi, n’est-ce pas? Très bien, on va les appeler. Les B en premier, de un à... La carte de prière B, numéro un. Nous allons prier pour vos maladies. B, numéro un, qui a celle-là? La carte de prière B, numéro un, quelqu’un là-bas, tout au fond. Venez, madame. B, numéro deux, levez la main. Cette dame-là? Numéro trois. B, numéro trois, pourriez-vous s’il vous plaît lever la main, pour que je voie où c’est. Trois? Numéro quatre, B, numéro quatre. B, numéro cinq. Pourriez-vous s’il vous plaît lever la main, B, numéro cinq. Cet homme-là? Très bien, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze. Bon, tenez, finalement, que tous les B se lèvent, à ce moment-là, ce sera réglé.
Tous les missionnaires qui oeuvrent sur le champ de travail, où qu’ils soient.
129 Toutes les cartes de prière B, levez-vous, et venez-vous placer par ordre de numéro.
Bon, les suivantes, c’était quoi? Les A? Qui a la carte de prière A, un? A, un, où est-elle? Sûrement qu’elle est ici. A, un? Ça fait deux jours, ou plutôt trois jours maintenant, qu’on en distribue, alors il se pourrait que les gens ne soient pas ici. Tous ceux qui ont les cartes de prière A, maintenant mettez-vous en file par ici. Allez vous placer contre le mur, là-bas, avec respect.
130 Je voudrais parler à ceux d’entre vous qui n’ont pas de carte de prière, pendant un instant, avant de commencer la ligne.
131 Maintenant, votre carte de prière, gardez-la à la main, pour que les frères puissent reprendre votre carte de prière. Vous avez attendu, vous êtes venus tôt dans la soirée, chercher votre carte de prière, alors vous avez le droit de venir dans la ligne. Je vous ai promis de prier pour vous. Maintenant je vais essayer de tenir ma promesse, avec l’aide de Dieu.
132 C’est votre petit garçon? Un petit bonhomme très mignon. Je vous prie de m’excuser. Cette femme-ci est un bon exemple d’une vraie Américaine. Son petit garçon, avec une petite salopette et une veste à rayures. Une jeune femme aux cheveux longs, qui s’habille bien. Que Dieu la bénisse et qu’Il bénisse son foyer, son mari et ses bien-aimés. Ça, c’est vraiment les U.S.A. authentiques, avec le “Christianisme” écrit au-dessus. Puisse notre pays demeurer longtemps comme ça! Excusez-moi, madame, d’avoir dit ça, mais c’est que je... pour que les gens voient quelle est, selon moi, l’apparence d’une Chrétienne : pas de manucure, de ce genre de chose là, une dame, tout simplement.
133 Que Dieu vous bénisse, Frère Sullivan.
134 Le Grand Médecin, si vous le voulez bien.
Le Grand Médecin est proche maintenant,
Le compatissant Jésus;
135 Croyez-vous en Lui? Croyez-vous qu’Il est le Grand Médecin? Maintenant, soyez respectueux un petit instant. Il nous reste encore un peu de temps, j’ai abrégé le message un tout petit peu. Mais j’espère que vous avez saisi ce que j’ai voulu exprimer. Croyez seulement de tout votre coeur. Ils se mettent tous en file, que quelqu’un là-bas aligne les gens sur une file. Ça va? Maintenant tous ceux qui ont des cartes de prière sont debout.
136 Vous qui n’avez pas de carte de prière, dans l’auditoire, est-ce que vous croyez, vous aussi? Si avez la foi, Dieu va vous appeler. Maintenant, toutes les cartes de prière dans la ligne.
137 La petite fille assise là-bas, qui a une jambe malade, ici, sur... Est-ce que tu crois que Dieu va la guérir? Si oui, aie seulement la foi, et Dieu te l’accordera.
138 Pensez-vous que votre père, qui est malade, va se rétablir? Si vous croyez, cela vous sera accordé.
139 Et vous, là-bas, qui priez pour votre neveu qui est malade des nerfs? Pensez-vous que Dieu va le rétablir? La dame assise là-bas, si vous le croyez, cela vous sera accordé.
140 Allez-vous croire, tous?
141 Maintenant je voudrais... Combien y a-t-il de mes frères ici qui sont prédicateurs de l’Évangile, prédicateurs du Plein Évangile, ou quoi qu’ils soient, et qui croient à la guérison Divine? Levez la main. J’aimerais que vous veniez m’aider à prier pour ces gens, pour que les gens voient qu’il n’y a pas que moi qui peux prier pour les malades, vous aussi, vous le pouvez. Venez vous placer sur l’estrade avec moi. Voulez-vous faire ça, frères, vous qui êtes ministres? Venez ici, et placez-vous sur l’estrade, par ici. C’est bien. Merci, frères. Merci. Allez, venez, frères, venez.
142 Vous dites? [Quelqu’un dit : “Est-ce qu’on pourrait former deux rangs?”–N.D.É.] Oui, vous pouvez faire ça. Former deux rangs ici, ce sera très bien. C’est bien. Maintenant tournez-vous de l’autre côté, frères. Tournez-vous de ce côté-ci, je vais faire passer les gens par ici. Maintenant, que quelques-uns d’entre vous viennent de ce côté-ci, près de moi, juste ici, placez-vous de ce côté-ci. C’est ça.
143 Maintenant, je m’adresse à l’auditoire. Vous voyez ces braves hommes qui sont ici? Ce sont des hommes qui acceptent de venir se placer ici, prendre position pour ce même Évangile que moi, je prêche. Voyez? Ils sont venus ici, parce qu’ils Y croient. Maintenant vous devriez être fiers de votre pasteur, qui accepte de venir sur cette estrade; une prédication énergique, dure à entendre. Ce sont des hommes qui ont une révélation, qui savent que... ce n’est pas contre l’homme que je suis, c’est que parfois nous nous faisons piéger par des systèmes qui nous rendent... C’est contre les systèmes que nous sommes; pas contre l’homme, le serviteur de Dieu.
144 Maintenant, si nous opérions le discernement pour tous ceux qui sont ici, d’après vous, combien de temps est-ce que je serais ici? Je m’effondrerais après environ... après environ six, cinq ou six, dix, un peu plus, peut-être la moitié, le quart de la ligne, et je serais vidé; les autres, on ne prierait pas pour eux. Nous ne pouvons pas faire ça. Et alors que... mais vous n’avez pas besoin d’avoir ça. Vous savez quel est votre problème. Vous savez ce que vous avez fait. Maintenant confessez vos péchés. Si qui que ce soit parmi vous, là, a le moindre doute dans son coeur, débarrassez-vous-en tout de suite, et demandez à Dieu de vous pardonner. Si vous n’êtes pas en règle avec Dieu, demandez à Dieu de vous pardonner. Si vous ne le faites pas, et que vous n’êtes pas en règle avec Dieu, ça ne vous donnera absolument rien de passer dans la ligne. Vous ne ferez que perdre votre temps. C’est vrai. Bon, est-ce vrai, frères? [Les frères disent : “Amen.”–N.D.É.] C’est vrai.
145 Regardez. Voici Frère Kidd, debout ici. Mes pneus ont failli lâcher, quand j’ai filé à toute allure pour me rendre auprès de lui, il y a un an ou deux... Il se mourait du cancer, il allait mourir le jour même. Sa femme m’a dit, elle disait : “Faites vite!” Elle disait : “Il est en train de mourir maintenant même.” Quand je suis arrivé là-bas, le Seigneur l’a guéri. Et le voici, il est encore debout. Je pense qu’il a repris beaucoup de poids, et tout. Un vieux vétéran, de cette époque-là, vous savez. C’est de ce genre d’homme là que je parlais, d’il y a des années, qui prêchait, et qui s’en tenait strictement à cette Parole, et dont les gens se moquaient. Lui et sa femme, ils marchaient sur la voie ferrée, et tout le reste, et là-haut dans les montagnes, et dans les mines de charbon, et on les chassait, on les jetait en prison, et tout le reste. C’est ça l’homme qui a combattu pour remporter le prix, c’est ce genre d’homme là.
146 Maintenant, frères, je vous dirai ceci : probablement que vous n’aurez pas l’esprit de discernement; ça, ce n’est pas indispensable, voyez-vous, ce–ce n’est pas nécessaire. Avant toute chose, vous êtes un homme de la Parole. Vous êtes bien meilleurs, de bien meilleurs prédicateurs que moi, parce que moi, je–je ne suis pas un prédicateur extraordinaire. Mais je... mais vous êtes–vous êtes oints, tout homme qui a été appelé à prêcher l’Évangile a été appelé à guérir les malades; la consigne générale, c’est : “Allez par tout le monde, et prêchez l’Évangile à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé. Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, et ainsi de suite, les malades seront guéris.” Si vous avez été appelés à être ministres de l’Évangile, vous avez été appelés à prier pour les malades.
147 Et la raison pour laquelle je fais ceci, c’est pour que cet auditoire... afin qu’ils voient qu’ils n’ont pas à attendre quelqu’un de spécial, Oral Roberts, Tommy Hicks, Tommy Osborn, moi-même, que quelqu’un passe par là pour faire un service de guérison. Je veux qu’ils voient que vous êtes des hommes de Dieu. Voyez? Vous êtes des hommes... Vous avez le droit d’imposer les mains à tous ces gens-là, autant que–autant que moi ou que n’importe qui d’autre. Après tout, frères, vous savez tous, comme–comme ministres, que c’est leur propre foi en Dieu qui accomplit l’oeuvre. Pas vrai? Tout ce que nous faisons, c’est de prier pour eux.
148 Bon, direz-vous : “Frère Branham, est-ce que l’Esprit, le Saint-Esprit, est là, avec vous?” Certainement. Oui monsieur!
149 Maintenant, vous qui êtes dans l’audi-... dans la ligne, là, si vous croyez de tout votre coeur que Dieu va vous guérir, levez la main, pour dire : “Je vais l’accepter.”
150 Maintenant venez, que cette–que cette dame vienne par ici. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Si le Saint-Esprit m’indique, alors que mes frères sont ici, dans cette présence, comme ceci, ils sont tous debout autour de moi. Et ce n’est pas tout, mes frères sont ici, et mon Seigneur est ici. Il est leur Seigneur, à eux aussi. Maintenant, s’Il m’indique un problème que vous avez, quel est votre problème, vous saurez si c’est la vérité ou pas. Je veux qu’ils, je veux que l’auditoire, je veux que les gens qui sont là voient que le Saint-Esprit est ici sur l’estrade, pour donner le discernement, mais ça, ça ne guérit personne. Mais, s’Il m’indique quelque chose à votre sujet, dont vous savez que j’ignore tout, tout comme c’était arrivé à la femme au puits... Ce n’est pas le même cas, mais je veux dire, un homme et une femme qui se rencontrent pour la première fois. Jésus, un homme d’âge mûr, et cette femme était probablement une jeune femme, peut-être comme vous.
151 Et s’Il veut bien, s’Il peut me dire la raison pour laquelle vous êtes ici, quel est votre problème, croirez-vous que ce serait forcément l’action de Son Esprit? Est-ce que vous, les frères, vous croyez ça? Que c’est ce même Seigneur Jésus qui est ici? Vous, l’auditoire, croyez-vous la même chose? Vous qui êtes dans la ligne de prière, est-ce que vous croirez la même chose, et vous saurez que ces hommes...? Est-ce que je les ferais monter ici, si je pensais qu’ils n’étaient pas...? Après avoir prêché comme ça, et avoir dit les choses que j’ai dites, ensuite je ferais monter ici des hommes qui ne seraient pas dignes? Je ne ferais pas ça. J’irais à l’encontre même de ce pour quoi je combats. Voyez? Je crois en eux. Je crois que ce sont des hommes de Dieu.
152 Maintenant, voyez si le Saint-Esprit est tout près. Je veux simplement parler avec vous, j’essaie... Vous dites : “Qu’est-ce que vous faites, Frère Branham?” La même chose que ce que Jésus avait fait avec cette femme-là, Il lui avait dit : “Apporte-Moi à boire”, Il voulait simplement lui parler pendant un instant, pour découvrir quel était son problème.
153 Votre problème, c’est la nervosité, c’est de ça que vous souffrez. Si c’est exact, levez la main. Or, ça ne se voit pas du tout. N’est-ce pas, frères? Pas du tout, mais c’est ça son problème. Il y a longtemps qu’elle est comme ça. Vous vous faites toujours du mauvais sang, en anticipant des choses, et tout. C’est vrai. C’est votre tempérament, vous êtes tout simplement faite comme ça, vous êtes nerveuse; vous vous imaginez toujours qu’il va arriver quelque chose, et ça n’arrive pas. Parfois, le diable vous dit “qu’il n’y a rien de vrai Là-dedans, que vous êtes rétrograde, que vous avez franchi la ligne”. Je ne lis pas dans votre pensée, mais je lis ce que... en ce moment je sais de quoi il vous a parlé, parce que je vois ce qui a traversé votre esprit.
154 Or Jésus connaissait leurs pensées. Pas vrai? Eh bien, c’est ce qui vient de se passer, à l’instant même. Pas vrai? Tenez, je vais vous dire quelque chose, pour que vous sachiez. En fait, vous vous tenez ici pour une autre personne. C’est exact. C’est ça qu’il y a, voyez-vous, jusque-là vous n’aviez pas vraiment saisi. Maintenant, si le Seigneur me révèle la raison pour laquelle vous vous tenez ici pour cette autre personne, croirez-vous que je suis Son prophète? C’est pour votre mère. Croyez-vous que Dieu peut me dire quel est son problème? Eh bien, elle souffre du coeur, elle fait de l’hypertension, elle a des calculs biliaires, des complications. C’est exact. N’est-ce pas? Voyez? Or ça, c’est le Saint-Esprit. N’est-ce pas?
155 Alors, il y a quelque chose ici, sur moi et sur ces frères. Voyez? Quelque chose qui est ici maintenant, le Saint-Esprit. Maintenant, croyez, vous, pendant que nous ferons défiler la ligne.
Courbons tous la tête pendant que nous prions pour ces gens.
156 Notre Père Céleste, nous allons imposer les mains à ces gens. Et je prie pour eux en ce moment. Voici Tes serviteurs royaux qui se tiennent ici, et nous allons tous imposer les mains aux malades, parce que Tu nous as dit de le faire. Nous allons le faire au Nom de Jésus-Christ. Que les gens ne passent pas dans la ligne d’une manière nonchalante, mais qu’ils en ressortent guéris, par le Nom de Jésus-Christ. Amen!
157 Que le Seigneur vous bénisse. Maintenant approchez-vous, tout simplement. Au Nom du Seigneur Jésus, guéris... Au Nom du Seigneur Jésus, guéris mon frère. Au Nom du Seigneur Jésus, guéris ma soeur.
158 Bon, un petit–petit instant, voyez-vous. Frère, soeur, comment se fait-il que vous vous réjouissiez quand cette femme, quand il y a eu le discernement, mais quand les autres passent dans la ligne, il n’y a aucune réaction? Les gens passent dans la ligne : “Eh bien, si je ne... il n’y a pas eu de discernement pour moi, eh bien, alors je n’ai rien reçu.” Ça n’a aucun rapport, ça, Il est ici quand même. Voyez?
159 Quand vous passez ici, dans la ligne, venez avec vos mains levées, en disant : “Merci, Seigneur Jésus. Je T’accepte comme mon Guérisseur, et je vais repartir en ayant reçu cela, tout simplement. L’un de ces hommes-là va me baptiser, je vais descendre tout de suite dans le bassin rempli d’eau, me faire baptiser, et ressortir de là en sachant que Tu as promis que je recevrais le Saint-Esprit.”
160 Voyez-vous, ça... le discernement est encore ici. C’est encore ici, exactement comme... Tenez, lequel est-ce? Cet homme-ci? Je vous suis inconnu. N’est-ce pas, monsieur? Je ne vous connais pas. Est-ce que... si Dieu me dit quel est votre problème, est-ce que vous croirez que je suis Son prophète, Son serviteur? Vous le croirez de tout votre coeur? Très bien, monsieur. Merci, monsieur. Voilà un très bon esprit, c’est très bien, ça. Après tout, vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre. C’est exact. “C’est votre petit-fils, il a la polio, il est tombé l’autre jour, et il s’est cassé la jambe”, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR! Est-ce exact? C’est exact! Allez et croyez maintenant, et il se rétablira.
161 Maintenant, venez avec la foi, tout le monde, là, venez simplement... [Les ministres prient pour les malades qui passent dans la ligne de prière.–N.D.É.]
Béni soit le lien
Qui nous unit en Christ,
Le saint amour, l’amour Divin
Que verse en nous l’Esprit.
Au Ciel, vers notre Dieu,
Avec joie et ferveur,
S’élèvent nos chants et nos voeux,
Parfum doux au Seigneur.
162 Il vous soutiendra, petits enfants de Dieu, infirmes, aveugles, déformés. Ministres de l’Évangile, vous savez que nous n’avons pas le pouvoir de guérir qui que ce soit. Mais notre Grand Seigneur, nous savons qu’Il est ici présent, et qu’Il peut produire les signes, et condamner le démon qui vous a liés. Nous condamnons le démon...?... Nous condamnons cette cécité...?...
163 Au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous demandons à Dieu de leur donner la foi, pour qu’ils croient que la prière de la foi a sauvé les malades, que Dieu les relèvera et qu’ils retrouveront la santé. Accorde-le, Dieu Tout-Puissant, par le Nom de Jésus-Christ.
164 Vous, les frères, repartez de là...?...
165 Maintenant, tous les autres, continuez à prier, pendant que nous... les ministres aussi vont maintenant prier sur eux. Nous allons prier, poser nos mains dessus.
166 Père Céleste... Ceux d’entre vous qui sont dans l’auditoire, qui ne sont pas passés dans la ligne de prière, imposez-vous les mains les uns aux autres, maintenant. Imposez-vous les mains les uns aux autres.
167 Notre Père Céleste, nous amenons devant Toi cet auditoire, alors que nous terminons ce service et cette campagne, sous la bannière de Jésus-Christ, le grand Souverain Sacrificateur, oint de Dieu, Emmanuel, qui se tient là, ressuscité des morts, qui est toujours vivant pour intercéder; Sa grande Présence est maintenant avec nous, Sa sainte Puissance est sur nous, pour nous donner d’avoir des visions, de prophétiser, d’imposer les mains aux malades. La Parole infaillible de Dieu ne pourra jamais retourner à Lui sans effet. Je condamne tout démon de maladie, tout pouvoir du péché, toute incrédulité, au Nom de Jésus-Christ, puisse tout cela s’envoler des gens, et qu’ils soient rétablis.
168 Bénis ces frères dans le ministère, Seigneur, alors qu’ils se sont rassemblés, d’un même coeur et d’un même accord, et aussi tous les laïques de l’église. Ô Dieu Tout-Puissant, dans cette grande ville de Middletown, dans l’Ohio, envoie, pour faire suite à ceci, Seigneur, un réveil qui se répandra de part et d’autre, alors que les os s’approcheront les uns des autres, Seigneur, avec des nerfs et de la peau. Et que la puissance de Dieu suscite une église unie puissante, ici dans cette ville, qui aura un tel impact, une église exemplaire, au point que d’un bout à l’autre du pays, des gens viendront dans cette ville pour y voir la puissance de Dieu. Accorde-le, Seigneur. Guéris les malades et les affligés, sauve les perdus, et reçois-en la gloire.
169 Accorde-le, que tous ces mouchoirs et ces petits paquets qui ont été posés ici... Je prie, Seigneur, alors que le Saint-Esprit est sur nous, et qu’Il est dans ce bâtiment, en train de nous oindre, puisse chacun être guéri. Il est écrit dans la Bible que, quand Israël était sur le sentier du devoir, en route vers le pays promis, que la mer Rouge leur barrait le passage. Et l’un des écrivains a dit : “Dieu a abaissé les regards, à travers cette Colonne de Feu, et la mer Rouge a pris peur et s’est retirée, et Israël s’est rendue dans le pays promis, qui avait été promis.”
170 Et maintenant, c’est dans la Bible, c’est écrit : “Par-dessus toutes choses, je souhaite que tu prospères côté santé.” Et, quand ces mouchoirs parviendront aux gens, là où Satan a placé une mer Rouge devant eux, puisse Dieu abaisser les regards, à travers le Sang de Son propre Fils, Jésus-Christ, et condamner toute maladie chez ceux qui n’ont pas pu venir jusqu’ici; et que la maladie se retire, et prenne peur devant la Parole de Dieu, et la promesse de Dieu, et l’onction de Dieu, et que les gens traversent vers cette bonne promesse, d’une bonne santé et de force. Accorde-le, Seigneur. Et nous remettons tout cela entre Tes mains, au Nom de Ton tendre Fils, notre Sauveur Jésus-Christ. Amen.
Auditoire :
171 Devant Celui qui nous connaît tous, devant Celui qui nous a ressuscités afin que nous soyons Son patrimoine dans le monde, dans Son église : que les riches bénédictions de Dieu soient sur vous tous, jusqu’à ce que nous nous revoyions. Notre prochain service, à ce que je sache, se fera au Tabernacle dimanche matin, le matin du dimanche de Pâques. Ensuite je vais à... de là j’irai dans l’Illinois. Dieu vous bénisse, allez chacun à votre église, allez à ces bonnes églises, soyez tous d’un même coeur. Tenez-vous à la Parole de Dieu! Vivez pour Lui, car des choses horribles vous attendent, souvenez-vous-en!
172 Jusqu’à ce que nous nous revoyions, levons-nous et chantons :
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
173 Maintenant, avec respect, serrez la main à quelqu’un derrière vous, devant vous, et à côté de vous.
Je L’aime,... (tout le monde, là) ...je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
174 Maintenant les mains levées vers Dieu, chantez très fort là, que tout le monde fasse retentir sa voix :
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
175 Maintenant courbons la tête.
Jusqu’à ce que nous nous revoyions,
Réunis aux pieds de Jésus!
Souvenez-vous, beaucoup d’entre nous ne se reverront plus jamais, jusqu’à ce jour-là.
Jusqu’à ce que nous nous revoyions!
Dieu soit avec vous, jusqu’à ce jour!
176 Maintenant fredonnez-le. [Frère Branham commence à fredonner le cantique.–N.D.É.] Votre pasteur.