Venez et plaidons
1 Chantons maintenant:
Crois seulement,
Tout est possible, crois seulement
Crois seulement.
Pouvons-nous incliner la tête juste un instant pour un mot de prière? Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour cette nouvelle réunion, et du fait que Tu nous as gardés, par la grâce étonnante de notre Seigneur Jésus-Christ, au travers des pièges et des dangers du jour, et Tu nous as ramenés ici, une fois de plus, dans cette église ce soir, pour T’adorer dans la beauté de l’ancienne mode, celle de l’adoration en Esprit et en Vérité. Nous Te remercions pour ces choses.
Et maintenant, Seigneur, nous nous soumettons humblement à Toi, priant que par le Sang versé du Seigneur Jésus, tout péché soit ôté, chaque… toutes nos iniquités sous le Sang, et que le Saint-Esprit puisse avoir la priorité ce soir, totalement dans chaque cœur, de sorte que lorsque nous partirons, nous puissions dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Nos cœurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin.» Car nous le demandons en Son Nom. Amen.
2 Bonsoir mes amis. C’est un très grand plaisir pour moi d’être de retour ici une fois de plus ce soir, ce mardi soir pour–pour cette série de réunions de Chicago. Et ce grand rassemblement que frère Boze, l’Église de Philadelphie tient ici dans une convention. Il m’a demandé de venir il y a environ un an, pour être sûr que nous nous rencontrerions à cette convention. Il se tenait ici il y a quelques instants lorsqu’on nous photographiait, peut-être pour son magazine, que… Et il me parlait des ministres d’aujourd’hui, parlant de la réunion d’hier soir, la façon surnaturelle dont le Saint-Esprit agit en ces jours-ci. Cela a en quelque sorte changé ma pensée sur certaines choses dont je voulais parler. Peut-être que j’en parlerai juste pendant un moment.
3 Et, vous savez, après tout, les ministres sont les bergers des troupeaux. Cela–cela est vrai. Et s’ils peuvent seulement… Vous entrez dans un groupe… Souvent, j’ai été à des endroits où vous trouvez des ministres qui sont méfiants. Je vous assure, vous feriez tout aussi mieux de retourner à la maison, car la réunion est fichue. Mais lorsqu’on trouve les gens d’un commun accord, et que tout le monde… Alors je vous assure, il n’y a rien de plus doux sur la terre. Amenez les bergers… Eh bien, ils ont le droit d’être méfiants. Vous voyez, ils paissent les brebis, le troupeau. Et je ne les condamne pas. Si j’étais méfiant, je–je le déclarerais. Et ainsi je–je ne les condamne pas. Ce sont les bergers des troupeaux. Et ma prière est que Dieu les bénisse. C’est pour être sûrs de ce dont ils parlent, car nous vivons en un jour où les brebis peuvent manger des ordures, vous savez, et on doit veiller à ce qu’on leur donne. Donnez-leur la vraie Parole. C’est vrai. C’est ce que–celle-ci contient plus de vitamines que tout ce que les pharmacies de cette ville ont, la vraie Parole du Dieu vivant.
Eh bien, nous sommes heureux. Hier soir, j’étais–j’étais avec un ami à moi, qui est venu après les réunions, concernant les réunions, pour ailleurs, à une autre convention. Et je venais de recevoir un coup de téléphone et je suis censé être quelque part, là très loin, dans un État de l’est. Et je–je dois me retrouver à beaucoup plus d’endroits que quiconque que j’aie connu.
4 L’autre jour, une dame a téléphoné à ma femme, et… à partir d’une certaine ville, et elle a demandé: «Sœur Branham, a-t-elle dit, quelque chose est-il–est-il arrivé à frère Branham?»
Elle a dit: «Non, à ce que je sache. Pourquoi?»
Elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, il est censé être ici. Voici maintenant la troisième soirée, a-t-elle dit, nous l’attendons tous, et…»
Elle a demandé: «Quoi?»
Elle a dit: «Oui, dit-elle, le pasteur de cette église», cette femme pasteur a dit qu’elle lui avait parlé la veille au soir et elle a dit: «Cela a été annoncé ici dans les journaux et tout.» Elle a dit: «Il est censé être ici.»
Et alors le–elle a dit: «Eh bien, je suis désolée, il est en Allemagne pour deux semaines et il ne sait rien à propos…»
5 Et vous savez, cela me fait très mal. Je n’aimerais pas que vous tous, vous pensiez en mal de moi au sujet de ces choses. Hier soir, un ami… et c’est pour ça qu’il me passait un savon, en disant: «Vous ne tenez pas vos promesses.» Eh bien, c’est une chose dure. Et je–je–en grande partie, c’est ma faute, je–je pense. Et… mais il y a… de cela… en partie, ce n’est pas ma faute. (Merci.) En partie, ce n’est pas ma faute, car j’ai vu cela, des fois cela a été annoncé à trois ou quatre endroits différents.
Laissez-moi vous donner juste un petit aperçu, pendant un instant, s’il vous plaît. Comment voulez-vous, vous êtes chez vous, ici se trouve quelqu’un dans cette pièce, il dit: «Le Seigneur m’a dit, Frère Branham, que vous êtes censé venir chez nous à tel endroit, sinon Il interrompra votre ministère. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Un autre dans cette pièce dit: «Non, c’est faux. Vous êtes censé être ici, car c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Et un autre derrière dans cette pièce dit: «Non, tous les deux sont en erreur.» Voyez? Et comment supporteriez-vous cela un instant? On ne voudrait pas être rude. On ne voudrait pas blesser les sentiments de quelqu’un. Mais je–je vous assure, c’est une bonne chose si vous avez beaucoup de patience, parfois.
6 Et puis, d’autres écrivent, disant: «Maintenant, Frère Branham, nous avons déjà fait des annonces. Le Seigneur a dit que vous viendriez ici.»
Eh bien, s’Il le disait, il semble qu’Il m’aurait dit quelque chose là-dessus, vous savez. Alors, Il–Il–Il–je crois que lorsqu’Il voudra… Mais c’est ainsi que cela le rend… Ce dont j’ai vraiment besoin, c’est de mon propre journal, quelque part, qui pourrait–qui pourrait effectivement faire des annonces sur les réunions. Mais, mes amis, je–je ne suis pas un homme d’affaires. Comment pourrais-je tenir un journal? J’ai à peine l’intelligence pour conduire une voiture, que dire alors de tenir un journal, ainsi… Autrefois, j’en avais un, et j’ai laissé tomber cela, La Voix de la Guérison. Ainsi… je… juste… où que c’est publié…
7 Mais supportez-moi, j’essaie de faire le mieux que je peux, de toute façon. Ainsi, si vous… si pourtant n’importe quelle série de réunions ou n’importe quoi, si ça va être officiellement annoncé, ça sera dans ce Héraut de la foi, ici, Frère Joseph; en effet, il téléphone toujours monsieur Moore. Je ne fais pas des arrangements pour les réunions. J’y vais en suivant les ordres généraux. Et c’est très difficile de toute façon pour moi de–d’avoir des réunions programmées.
J’essaie maintenant de mon mieux, si Dieu m’aide, pour de–pour entrer en quelque sorte dans un ministère d’un autre genre, si je le peux, pendant… spécialement en Amérique. Et ces signes et ces prodiges qui ont été accomplis, et ce surnaturel, qui est–qui est–dont nous avons parlé. Eh bien, pendant huit ou dix ans, cela a balayé tout le pays, et tout le monde en est informé. Je demande à notre Seigneur, s’Il veut tout simplement me laisser prier pour Ses enfants malades, et régler aussi la question à ce sujet. Alors, je peux faire des arrangements.
8 Mais l’office de ce genre, mon ami, c’est un office différent de ce que vous vous imaginez. Je ne peux faire des arrangements pour quoi que ce soit, car je ne sais pas ce qu’Il me dira. Et je peux–je me suis retrouvé en plein milieu d’une série de réunions, où ceci serait le–le balcon, ou serait la chorale, presque, et j’ai arrêté après deux jours et je suis allé ailleurs, parce qu’Il me l’avait ordonné, et je fais mieux d’obéir. Vous savez ce qui est arrivé plusieurs fois, du fait que je n’avais pas fait cela. Je dois donc faire cela, juste…
Et je ne peux pas programmer mes réunions comme frère Roberts, et Billy Graham et beaucoup d’entre eux qui, deux ans à l’avance, savent très exactement où leurs réunions se tiendront. Si j’établissais un itinéraire comme ça, ce serait difficile de dire ce que le Seigneur fera pour moi. Je dois tout simplement aller et, eh bien, juste… Si je me sens conduit à aller quelque part, je–je Lui demande à ce sujet. Et Il me laisse aller, je pars tout simplement; c’est tout. Et ça doit faire l’objet d’une annonce à court terme.
Et généralement, je téléphone à frère Moore. Tout celui qui se renseigne sur les rendez-vous ou les réunions, on l’appelle donc, et j’agis alors simplement par son canal. Et lorsque je suis conduit à aller quelque part, par exemple si c’était, (oh!) dans une certaine ville, je lui téléphone et je lui demande: «Quel contact a-t-on là-bas, il semble que le Saint-Esprit me conduit de ce côté-là?» Eh bien, alors il me dira, et puis nous entrons en contact avec les autres. Puis, si nous avons du temps, nous publions cela dans le journal, sinon, eh bien, naturellement nous ne le pouvons pas.
9 Maintenant, j’y ai un peu pensé chaque soir pour les ministres, je suis sûr que les laïcs me supporteront là-dessus. J’ai rencontré un groupe de braves prédicateurs dans ma vie, et particulièrement ici à Chicago. Certains des plus braves hommes que je n’aie jamais rencontrés, c’étaient des serviteurs de Dieu, dans les contrées de ce pays, dans tous les coins du pays, partout dans le monde.
Et maintenant que je m’efforce vraiment à passer aux réunions du genre évangélique, juste prêcher, et–et faire tout simplement venir les gens et prier pour eux. Et–et beaucoup de questions m’ont été posées, plusieurs fois, concernant le–l’opération du petit don que le Saint-Esprit m’a accordé. Oh! personne ne peut expliquer cela, mais chaque soir je vais essayer de le faire, si possible, Dieu voulant, juste un court message d’abord, avant que nous priions pour les malades, pour essayer de vous donner juste une petite idée.
10 Maintenant, ce soir j’ai pensé… Hier soir, je parlais du surnaturel quand cela se manifeste, avec des photos et tout le reste. Maintenant, ce soir, je voudrais prendre juste environ euh – dix minutes sur une autre version de cela. Et cela est, je présente cela comme ceci: «Les dons et les appels sont sans repentir.» Voyez? Maintenant, vous… Les dons ne sont pas donnés aux gens selon leur désir. «Cela ne dépend ni de celui qui court ni de celui qui veut, mais de Dieu qui fait miséricorde.» Voyez? Et «les dons et les appels sont sans repentir.»
Les prédicateurs ne peuvent rien au fait d’être prédicateurs, s’ils sont vraiment appelés de Dieu. Paul a dit: «Malheur à moi si je ne prêche pas l’Évangile.» Ils sont prédicateurs parce que… peut-être pas parce que c’était leur désir, mais parce que le Saint-Esprit les a appelés à être prédicateurs.
11 Je ne souhaiterais pas… je–je ne souhaiterais pas que mon garçon, ou l’un d’eux, devienne prédicateur, s’ils doivent aller juste recevoir un tas de psychologie, et quelque chose comme cela, et se présenter pour faire une scène devant des gens. Je voudrais qu’ils aillent à la chaire, sous l’onction du Saint-Esprit et qu’ils prêchent parce qu’ils aiment le Seigneur Jésus. Non pas un gagne-pain, juste pour… parce qu’ils aiment le Seigneur et font cela à cause du bien que cela fera pour le Royaume de Dieu. En dehors de cela, je–je ne voudrais pas qu’il devienne même un évêque ni un… quoi qu’il puisse devenir, je ne le souhaiterais pas.
Et ainsi… maintenant, la question m’a été plusieurs fois posée, et même à mes proches collaborateurs lorsqu’ils me disent qu’ils ne pensent pas cela, mais pourtant, bien des fois… La raison pour laquelle je ne rencontre pas beaucoup de gens, c’est que je découvre des choses, lorsque cette onction est sur moi, que je ne voudrais pas savoir. Voyez?
12 J’ai rencontré des prédicateurs, qui me tapotaient dans le dos, et m’appelaient frère, et je savais sur-le-champ que c’était faux. Il me faut les aimer; je ne veux pas avoir de telles pensées Et lorsque je le sais, alors je–je préférerais ne pas savoir cela. C’est l’une des raisons pour lesquelles je ne rencontre pas les gens.
Autre chose, les visions montrent, et vous découvrez des choses que vous n’aimeriez pas savoir. Je préférerais ne rien savoir à ce sujet. J’aime les gens; j’aimerais faire passer mes bras autour de chaque personne, et–et je–je les aime. Et je voudrais avoir les pensées les meilleures et les plus nobles. Mais parfois, il y a de petits secrets que chacun de nous a dans sa vie, et dans ce genre de circonstances, cela ne peut pas être caché.
13 Et maintenant, une chose au sujet… l’une des choses étranges que mes proches collaborateurs ont toujours pensée (pas eux tous, certainement pas, mais beaucoup de gens) ils n’arrivent pas à comprendre que je devienne faible sur l’estrade: «Pourquoi juste peu de temps et vous êtes parti?» J’ai reçu beaucoup de gens qui m’ont dit: «Frère Branham, je crois que vous vous dérobez.» Eh bien, si j’étais hypocrite à ce point-la, je quitterais cette estrade ce soir. Certainement. Bien sûr que non, c’est faux.
Maintenant, je voudrais rester Scripturaire. Tout ce qui n’est pas Scripturaire, je ne voudrais rien à voir avec cela. Maintenant, considérons ceci pendant un instant et pendant que je cherche à expliquer cela, et ce qu’est une vision. Et si vous tous vous le désirez aussi, voudriez-vous m’accorder assez de temps, juste pendant un moment? Oui, monsieur, merci.
14 Ceci est pour les prédicateurs. Voyez, ils ont une–une convention ici, et j’aurais bien voulu aller à la convention la journée et parler avec ces hommes. Et j’apprécierais vraiment cela. Et j’apprendrais beaucoup de leur part, que je ne connais pas. Je suis sûr que je le pourrais. Mais je ne peux pas faire ça, pendant que je tiens ce type de réunions.
Maintenant, une vision, c’est une… Je m’en vais vous donner une petite parabole. Tenez-vous ici afin que je vous voie très bien. Et prenons cela comme ceci maintenant, à la manière de petits enfants, afin que tout le monde comprenne cela.
Maintenant, nous sommes tous de petits enfants, et nous sommes… Vous rappelez-vous que lorsque nous avions l’habitude de… nous n’avions pas une pièce de dix cents pour aller au carnaval, lorsque cela se passait dans la ville ou au cirque? Assurément nous n’en avions pas. Et alors «les dons et les appels sont sans repentance.»
15 Nous nous tenons tous autour d’une immense clôture; c’est une immense clôture. Et à l’intérieur de cette clôture, il se déroule un grand carnaval ou un cirque, avec toutes sortes d’animaux et tout. Et nous tous, les petits garçons et les petites filles, nous nous tenons là tout autour. Et nous voudrions–nous voudrions savoir ce qui se passe à l’intérieur.
Eh bien, il se fait que c’est moi, votre frère, qui suis de grande taille. Or, il y a… cela ne me rend pas supérieur à un frère. Il y a un autre frère, peut-être à côté de moi, qui est court, trapu et fort. S’il y a un fardeau à soulever, il peut le soulever. Mais j’ai… Dieu m’a tout simplement fait plus élancé que mon frère.
16 Eh bien, la première chose, vous savez, là très haut, presque au sommet, il y a une petite ouverture dans la–dans la clôture, par lequel vous pouvez regarder. Mais mon frère un peu court, il ne peut pas arriver à cette hauteur, mais moi je le peux. Maintenant, Dieu m’a créé élancé. Or, je ne suis pas devenu élancé parce que je voulais devenir élancé. Me suivez-vous? Je suis élancé parce que je suis né pour être élancé.
Vous êtes un prédicateur, parce que vous êtes né pour être un prédicateur. « Dieu a établi dans l’Église–Dieu a établi dans l’Église premièrement des apôtres… « Un apôtre… je ne sais pas pourquoi les gens désirent toujours les appeler apôtres. Un apôtre est un missionnaire, c’est le même mot, missionnaire, c’est la même chose. « Et premièrement les missionnaires, les prophètes, les évangélistes, les docteurs…» Dieu a établi. Dieu a ordonné ces choses d’avance pour qu’elles soient, et elles sont placées dans l’Église, par la prescience de Dieu. Et alors…
Moïse ne pouvait s’empêcher d’être Moïse. Et Jérémie, Dieu l’avait appelé avant qu’il soit même formé dans le sein de sa mère, et Il a dit: «Je t’avais connu, et je t’avais sanctifié et je t’avais ordonné prophète pour les nations.». Ça n’avait rien à avoir avec lui. C’est Dieu qui fait cela. Dieu a établi…
17 Eh bien maintenant, sur ce petit gradin où nous nous tenons tous, il se fait que je suis un tout petit peu plus élancé que mon frère. Maintenant, il peut soulever le fardeau, que moi je ne peux pas soulever, mais je peux voir juste un tout petit peu plus haut que lui. Voyez?
Peut-être que c’est frère Joseph et moi. Il peut–il peut prêcher d’une façon qu’il m’est impossible de prêcher. Et peut-être que je peux voir une vision, ce que lui ne peut jamais voir. Et je ne peux pas prêcher comme lui. Et c’est ainsi que Dieu nous a faits tous, juste comme le mobilier d’une maison.
Il y a une chose: je peux vous prouver que ce soir – qu’il y a des voix surnaturelles qui traversent cette salle, que vous ne pouvez pas percevoir. Si vous ne le croyez pas, allumez votre radio quelque part, voyez si ce n’est pas vrai. Vous ne voyez pas cela, vos sens n’ont aucun moyen de vous manifester cela, mais cela se trouve là. Qu’arriverait-il si une pièce de métal… il y a ici un enregistrement sur bande magnétique, en train d’enregistrer cette voix, mais cet enregistreur ne peut pas capter cette voix, tant que quelque chose, un cristal d’un certain genre opère pour le rendre sensible à ça. Est-ce vrai?
18 Eh bien, il y a aussi des images, des images en direct qui traversent cette salle. Savez-vous cela? Allumez la télévision. Maintenant, qu’arriverait-il si tout le mobilier dans la maison, s’il y avait la télévision, la radio, le réfrigérateur, et le–le canapé et d’autres le–le–le, oh, tout le mobilier qu’il y a dans la maison. Eh bien, alors l’un, la radio, peut capter une voix, mais elle ne peut pas capter l’image. La télévision peut capter l’image, mais elle ne peut pas être le réfrigérateur. Voyez?
Nous avons tous différents rôles. Dieu a placé le mobilier dans la maison. Eh bien, vous voyez la télévision dire: «Je ne serai plus la télévision, si je ne peux pas être un réfrigérateur.» Voyez? La télévision est dans l’erreur. Mais si nous tous, nous découvrons notre appel en Dieu et que nous restons là! Voyez? Dieu sait quand nous utiliser, et comment nous utiliser. Et–et il ne faut pas que nous sautions ici et là. Soyez là où Dieu vous a placé. Soyez original. Soyez juste ce que Dieu veut que vous soyez.
19 Maintenant dans ce cas-ci, frère, mes frères et sœurs qui se tiennent derrière, disent: «Maintenant, regardez là et voyez ce que vous pouvez voir.»
Très bien, je tends mes longs, grands et maigres bras et je saisis mes–les planches, et je m’étire très fort sur les pointes de mes pieds, je regarde et dis: «Tiens!» je redescends, par exemple, c’est un travail difficile.
– Qu’as-tu vu?
– Un éléphant.
– Vraiment?
– Oui oui.
– Quoi d’autre?
«Eh bien, je ne sais pas, j’essaie.» Et je monte très haut et je m’en empare encore, et je m’étire de toute ma force, je regarde: «Tiens!» Lorsque je redescends…
– Qu’as-tu vu?
– Une girafe.
20 Eh bien, il en est ainsi de ces visions sur l’estrade. Vous voyez? Il s’agit de voir une vision. C’est donc un don de Dieu. Maintenant prédicateurs, comprenez ceci. C’est un don de Dieu. Ainsi, lorsque Jésus était ici sur la terre, Il était le plus grand don que Dieu ait jamais fait à la terre, parce qu’Il était Dieu. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. La plénitude de Dieu habitait en Jésus-Christ. Il avait l’Esprit sans mesure. La Bible dit cela.
Maintenant en Lui, si c’est en termes de comparaison, je dirais comme ceci, que toute l’eau qu’il y a dans la mer, c’était cela le Don de Dieu, qui était en Jésus-Christ. Maintenant, ce petit don qui est dans Son serviteur inutile qui se tient ici, c’est juste une cuillerée d’eau de cet océan. Maintenant, vous savez ce que la quantité de cette cuillerée d’eau représente par rapport à l’océan; rien. Mais rappelez-vous, les mêmes éléments chimiques qui se trouvent dans cette cuillère, se trouvent dans l’océan, seulement ce n’est pas autant que cela. Voyez?
Eh bien, Dieu me donne ce don avec mesure. Il vous le donne avec mesure. Il le donne à cet homme avec mesure pour prêcher. Il le donne à tel homme avec mesure pour chanter. Mais Il le donne à Jésus sans mesure. C’était juste… tout Dieu était en Lui; Il était Dieu manifesté en chair.
21 Eh bien, mais nous sommes les fils de Dieu comme Lui l’était, mais des fils adoptés de Dieu par Sa grâce. Par la mort de Jésus, le Fils de Dieu, Il nous fait entrer dans la relation avec Dieu. Ainsi donc, Dieu avec Ses fils adoptés, a établi dans l’Église, certains comme apôtres, d’autres comme docteurs, d’autres comme prophètes, d’autres comme évangélistes, et ainsi de suite comme cela. Bon, ce ne sont que de petits dons.
Maintenant, nous allons voir si Jésus-Christ S’affaiblissait ou pas avec toute cette puissance. Un jour, Il passait et une femme a touché Son vêtement. Et elle… c’était son point de contact. Elle croyait en Lui de tout son cœur. Et elle a fui dans l’assistance en courant. Jésus S’est retourné et Il a demandé: «Qui donc M’a touché?»
Et les apôtres ont dit: «Eh bien, Seigneur, qui T’a touché? Eh bien, dirent-ils, tout le monde Te touche. Pourquoi dis-Tu que quelqu’un T’a touché?»
Il a dit: «Mais je sens qu’une vertu est sortie de Moi.» Est-ce vrai?
22 Que signifie une vertu? «Une force.» Est-ce vrai? Je me sens faible, en d’autres termes. Quelqu’un m’a touché, je me sens faible. Eh bien, qu’est-ce que cette femme avait fait? Cette femme, par sa foi en Jésus-Christ, en tant que Don de Dieu, avait tiré profit de Lui par sa foi. Est-ce clair? Sa foi avait fait agir le don de Dieu, qui était en Jésus-Christ.
Jésus ne connaissait pas la femme. Il ne savait pas qui L’avait touché. Il aurait dit: «C’est vous qui M’avez touché.» Il ne le savait pas. Il a dit: «Je ne sais rien, ou je ne fais rien, à moins que le Père me le montre premièrement, alors Je m’en vais le faire.» Et cette femme avait touché et elle avait reçu de Jésus le désir même de son cœur, parce qu’elle croyait qu’Il était Emmanuel. Et voyez, sa foi…
23 Alors, Il s’est retourné, Il a dit… Il a regardé. Alors quand cette vertu était sortie, Il a vu d’où cela venait, là où la… parcourut tout, probablement beaucoup plus de gens qu’il y en a ici ce soir. Il a regardé là au fond de l’assistance, et Il lui a dit: «Ta foi t’a guérie.» La perte de sang s’était arrêtée. Voyez? Eh bien, elle avait retiré de Jésus ce qu’elle cherchait auprès de Dieu. Car Dieu–Jésus était le représentant de Dieu, le corps dans lequel Dieu habitait ici sur la terre. Maintenant, pour–maintenant ça, c’est quand une personne a fait agir le don de Dieu.
Maintenant écoutez, ce n’est pas moi, ça doit être pour vous. Maintenant, je suis sur le point de terminer ces services, juste dans une ou deux soirées, et commencer à prier pour les malades. Et cela ne m’a jamais–je n’ai jamais été… je n’en sais rien. C’est votre foi en Dieu, qui déclare la même chose. Ce–c’est un don de Dieu. Je ne suis pas le don de Dieu. Cette Lumière et–et l’Ange dont vous voyez les photos. Le monde scientifique, maintenant dans le monde entier, en Allemagne, aux États-Unis et partout, en a pris des photos. C’est cela le don de Dieu.
24 C’est au moment de ma naissance que ce don m’a été souverainement donné. Mais je ne pouvais rien faire avec ce don, si vous, vous ne l’aviez pas cru. C’est votre foi dans ce que je vous dis concernant Jésus-Christ, qui tire profit de ce que Dieu a fait pour vous en Jésus-Christ. Voyez-vous cela?
Eh bien, c’est ce qui m’affaiblit sur l’estrade. C’est pourquoi… la raison pour laquelle on doit me transporter pour me faire sortir. Voyez-vous cela selon les Écritures maintenant? Voyez, c’est vous qui utilisez le don de Dieu, pas moi, c’est vous.
Maintenant, si chacun de vous me rejette donc tout simplement, disant: «Je ne crois pas; c’est un hypocrite, et je ne crois rien de cela», rien ne s’accomplira. C’est vrai.
25 Jésus entra dans une ville et… là où Il était né, et il est dit: «Il ne pouvait pas accomplir beaucoup d’œuvres puissantes–Il ne pouvait pas à cause de leur…» [L’assemblée dit: «Incrédulité.»–N.D.É.] Exact. Ils devaient croire cela. Observez l’approche, observez n’importe qui. Observez cette femme, comment elle a touché Ses vêtements, et elle a été guérie. Mais observez le soldat romain, qui Lui avait bandé le visage avec un lambeau et qui L’avait frappé à la tête, disant: «Maintenant, si Tu es un prophète, vois des visions, dis-nous qui T’a frappé.» Il n’a senti aucune vertu, parce qu’il ne croyait pas en cela pour commencer.
Mais cette femme-là, elle a senti une vertu, ou plutôt Lui a senti une vertu Le quitter, parce que la femme avait la foi. Elle avait eu ce pour quoi elle était venue, parce qu’elle avait approché cela de la bonne manière. C’est la raison pour laquelle la femme Sunamite, devant Élie qui était le représentant de Dieu, elle a obtenu ce qu’elle demandait, en effet, elle avait approché le don de Dieu avec révérence. C’est la raison pour laquelle Marthe a reçu ce qu’elle demandait, lorsque Lazare était mort; en effet, elle avait approché le don de Dieu avec révérence. Voyez? Vous devez croire cela. Sans la foi…
26 Maintenant, ce n’est pas moi. Vous dites: «Frère Branham, pouvez-vous me dire ce qui ne va pas en moi?» Non non, je ne le peux pas. C’est vrai. Mais si–si vous croyez cela de tout votre cœur, eh bien, non pas imaginer cela, mais croire cela de tout votre cœur, Dieu vous dira ce qu’il en est.
Mais maintenant, je ne sais pas ce que je dis. Je peux m’entendre moi-même, mais je suis dans un autre monde–un autre… C’est un–c’est le sixième sens, ou la quatrième dimension, c’est… ou quoi que ce soit. C’est dans une dimension où ces images et les autres choses …?… alors. Nous allons tout simplement prendre ça pour les besoins de la discussion. Ou les voix qui traversent cet endroit, même les chanteurs qui sont enregistrés, qui chantent maintenant; il y a des gens qui crient, il y a toutes sortes des choses qui se passent, les ondes qui traversent cet endroit, mais vous ne pouvez pas capter cela. Une radio le peut. Ces images qui passent par ici, vous ne pouvez pas les voir. Vous n’avez aucun moyen pour …?… mais la télévision peut les montrer.
27 Maintenant, vous voyez, une chose est placée pour la télévision, une autre est placée pour la voix, une autre pour autre chose, et pour autre chose, et ils ne peuvent pas s’en empêcher. C’est quelque chose… Maintenant, le poste de télévision est placé–la télévision est euh–est muette, la radio aussi, elle est sourde-muette, à moins que quelque chose la fasse fonctionner. Il doit y avoir un émetteur pour envoyer cette onde, sinon peu importe les performances de votre radio, elle n’émettra jamais un son. Est-ce vrai? Elle est absolument muette. Et c’est mon cas en ce qui concerne les visions, absolument muet, à moins que le Saint-Esprit ici émette cette puissance de Dieu, fasse exactement ce que Jésus a dit qu’Il ferait en ces jours-ci. Voyez? Ainsi–ainsi, c’est un don de Dieu. C’est cela donc qui m’affaiblit.
28 Eh bien, comme exemple, nous nous tenons là, de nouveau, à la clôture, moi et ces petits garçons et filles – d’il y a quelques minutes. Nous revenons à la clôture une fois de plus. Là, c’est vous qui utilisez le don de Dieu. Qu’adviendrait-il donc si Dieu veut utiliser Son propre don? Je ne fournirais aucun effort, je n’aurais pas à subir cela. Je marche tout simplement le long de la route, ou je suis assis dans la maison, ou–ou ailleurs, et Dieu m’apparaît, et Il me parle. Cela ne m’affaiblit pas, cela me réjouit.
Et maintenant, à la clôture, le maître du cirque ou le chef du carnaval, vient au cirque et dit: «Voudriez-vous voir tout le spectacle? Je veux vous montrer quelque chose.» Il me prend tout simplement par la nuque et me soulève, il dit: «Voyez-vous ici? Voici ce qui va passer ici. Cette girafe va venir ici, elle fera ceci et cela, telle et telle chose, et c’est ici que se déroulera tout le spectacle.»
29 Maintenant, ici sur l’estrade, c’est tout simplement votre–votre foi qui tire de ce don. Et Il …?… peut-être que des fois, les visions apparaissent et déclarent tout ce qui se passe. Mais alors, quand Dieu donne une vision, Il élève tout simplement comme ça. Je ne sais pas quand cela arrive. Et Il me montre, disant: «Maintenant, va à tel endroit; tiens-toi là. Il se passera juste à un certain temps.» Je peux me trouver dans la même ville, à cinquante… cent… deux… ou deux mille miles de distance [environ 3 km–N.D.T.], la chose arrivera exactement comme telle.
30 C’est comme le petit garçon que j’ai ressuscité là en Finlande, et là en Suisse. Toutes ces choses que vous voyez, ç’a été annoncé des mois et des mois avant, et parfois des années avant. Il m’indiquera l’endroit exact où je vais me tenir, exactement où je dois être, Il me dit tout. Quand j’en sors, je suis tout aussi heureux que possible. Là, c’est Dieu utilisant Son don. Dieu utilise Lui-même Son don, n’importe quand qu’Il veut nous parler, et Il donne ça aux gens pour l’utiliser, selon que vous aurez la foi pour l’utiliser. Amen. Que le Seigneur vous bénisse et vous…
31 Maintenant, cela… était-ce Scripturaire? C’est tout à fait Biblique. Ainsi, il n’y a donc pas de quoi être méfiant. Il n’y a pas de quoi tirer des conclusions, pour dire que c’était de la télépathie mentale. Nous savons que nous… le diable a un imitateur de chaque chose véritable que Dieu a. C’est vrai. Il en a toujours. Il y avait Jannès et Jambrès, mais… et il y avait Moïse et Aaron. C’est vrai. Il y avait Simon le magicien, il y avait Philippe qui opérait la guérison. Voyez? Il y a toujours eu le pour et le contre. On en aura toujours jusqu’à ce que Jésus revienne, et alors tout le négatif sera ôté.
La danse, cela a d’abord commencé dans la Bible. Le diable s’en est emparé et a séparé les… humains–les familles. Certainement, toutes les choses que vous voyez: chanter, ç’a d’abord commencé par les louanges de Dieu. Maintenant, observez ici tout ce vieux, sale et scandaleux boogie-woogie, comme vous l’appelez, ou toutes ces sortes de non-sens et d’histoires. Je n’ai jamais entendu pareille chose dans ma vie. Un Esprit chrétien ne peut pas écouter pareille niaiserie et rester droit. Voyez?
32 Mais quel bien cela fait-il? Le diable chante, certainement. Mais observez ce qu’il en est, écoutez ce qu’il déclare, le mal. Et un diseur de bonne aventure, et tout vous fait dépenser des dollars et il vous dépouille de votre argent et va ça et là faire certaines choses, et c’est à moitié correct, et l’autre moitié ne l’est pas, et tout comme ça, et il ne proclame pas Christ, et il ne parle pas de la résurrection, et on n’appelle pas les pécheurs à la repentance.
Ce n’est qu’un tas de non-sens au sujet d’une personne morte, et ils intercèdent, assurément, avec les morts qui sont là sous terre, les âmes qui sont en prison, qui ne s’étaient pas repenties, et tous les perdus qui sont là-dedans. Il vous parle de votre–d’un vieil homme qui est mort il y a des années; cette sorcière est à la base de cela; c’est tout ce qu’il sait; c’est tout ce dont il peut parler. C’est ce dont parle le médium. Mais l’Esprit de Dieu parle de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de la seconde venue de Christ, de la guérison divine et des choses qui lui sont précieuses. Ainsi, ne soyez pas la superstition, mon frère–superstitieux, mon frère. Soyez des hommes, conduisez-vous en chrétiens.
33 Il y a quelque temps ici, je dis ça avant que j’aborde mon petit message. Au début de 1900, lorsque les… avant la Guerre mondiale, les Allemands amenaient des esclaves ici, ou plutôt des Africains, les nègres, et on les vendait ici au sud comme esclaves. Et lorsque le pauvre nègre était déporté de sa patrie et placé là en esclavage, eh bien, oh! la la! Il ne pouvait plus jamais rentrer chez lui. Il avait traversé la mer à bord d’un petit navire en bois. Et oh! quelle chose horrible! Il était très loin, un étranger. On les fouettait avec les fouets de vache et tout le reste pour les faire travailler. Il n’avait pas de dynamisme, il… juste… il–il avait la nostalgie, et il–il n’avait pas de dynamisme.
34 Dans une grande plantation là-bas, on avait autrefois demandé, là où il y avait plus de cent esclaves, ils étaient tous… on était obligé de les fouetter ici et là, et tout le reste. Mais un jeune homme avait toujours la tête haute, il était noble comme tout. Et ce jeune homme, aussitôt que son maître disait quelque chose, il soutenait cela et accomplissait bien son travail.
Et quelques acheteurs d’esclaves passèrent par là un jour et dirent: «Nous voudrions vous poser une question.» Ils ont demandé: «Qu’est-ce qui rend ce jeune homme comme ça?»
«L’avez-vous établi chef des autres?»
Le propriétaire a répondu: «Non.»
Ils ont demandé: «Eh bien, le nourrissez-vous un peu mieux que tous les autres, ou lui donnez-vous une meilleure place pour dormir?»
Il a répondu: «Non.»
Ils ont demandé: «Eh bien, qu’est-ce qui le rend si noble? Et qu’est-ce qui fait qu’il est en forme et actif? Qu’est-ce qui fait qu’il se conduit comme ça?»
Il a dit: «Eh bien, monsieur, ce n’est que tout récemment que je l’ai su.» Il a dit: «J’ai fini par découvrir que dans la tribu d’où il vient, il est le fils du roi. Et il en est toujours conscient, bien qu’il soit étranger. Et il se conduit devant ses frères comme un jeune futur roi.»
35 Que Dieu nous vienne en aide. Ne soyons pas des gens prétentieux et ignorants de ces choses. Conduisons-nous en fils de Dieu. Une fille de Dieu ne va pas là vivre dans les débits de boissons, et se fardant le visage, se coupant les cheveux, se comportant comme une prostituée. Conduisez-vous en filles de Dieu. Vous êtes une fille du Roi. C’est vrai.
Les fils de Dieu ne se présentent pas là avec la Bible pour dire: «Oh! les jours des miracles sont passés», et cela, et toutes sortes de niaiseries. Ils soutiennent tout ce que Dieu a dit. Nous sommes peut-être des pèlerins, et des étrangers, et des gens d’ailleurs, mais nous sommes des fils et des filles du Roi. Redressez votre buste, et vivez comme les hommes et les femmes devraient vivre. Vivez comme de véritables chrétiens. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.É.]
36 Là dans le livre d’Ésaïe et le–au chapitre 2, nous lisons au verset 18, juste un petit paragraphe ici, juste euh–euh–juste quelques paroles de ce verset 1, juste pour un petit sujet. Et nous allons essayer de prier pour les malades dans les quinze prochaines minutes.
Venez donc! et plaidons, dit le Seigneur.
Puisse-t-Il ajouter Ses bénédictions à Sa Parole. Notre Père céleste, nous Te remercions pour Ta Parole. Ta Parole est la vérité. Et maintenant, viens-nous en aide, Seigneur, comme nous sommes venus ce soir pour comprendre. C’est Toi le grand Enseignant; maintenant, aide-nous à comprendre. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.
37 Maintenant, que le Seigneur vous bénisse très richement ce soir, alors que nous parlons de la Parole pendant quelques instants. «Venez et plaidons.» Je pense que c’est l’un des versets les plus doux de la Bible, ne le pensez-vous pas?
Eh bien, Ésaïe, ce jeune prophète, à son époque, l’église s’était complètement éloignée de Dieu, et ils offraient des sacrifices étrangers. Et Dieu lui a dit, c’en était fini de tout. Et il était là au temple un matin, comme un jeune homme, probablement qu’il était dans la quarantaine. La prophétie d’Ésaïe, ce qu’il a écrit ici, il était un prophète majeur, l’un des plus grands dans la Bible.
38 Il y a soixante-six livres dans la Bible, et il y a soixante-six chapitres dans Ésaïe. Ésaïe commence par la génération, la–dans la… je veux dire là la création. Au milieu du livre, il termine l’Ancien Testament, et il introduit «la voix de celui qui crie dans le désert,» et il termine là par le millénium, là où on va – les soixante-six versets, les soixante-six chapitres de la… comme dans le livre de l’Apocalypse. C’est en soi une Bible complète.
Ésaïe est un prophète de la grâce. Il était celui qui a présenté les choses clairement, au sujet du Sang de Jésus, de la venue du Juste, et de la façon dont Dieu allait purifier Son Église et tout, par Sa grâce souveraine.
39 Là au temple un matin, oh! j’aurais bien voulu être à Sa place. Il était à genoux dans la prière un matin, et en regardant là, il a vu euh–euh des chérubins, volant ici et là dans le temple. Ils avaient six ailes, deux couvraient leur visage, deux couvraient leurs pieds, et ils volaient avec deux et criaient: «Saint, saint, saint, l’Éternel Dieu tout-puissant.»
Et Ésaïe a levé les yeux et a dit: «Malheur à moi, car j’ai vu la gloire de Dieu. Et je suis un homme aux lèvres impures, et j’habite au milieu du peuple aux lèvres impures. Et malheur à moi.»
40 Mais un Ange est allé à l’–l’autel où on brûlait des sacrifices et il a pris des pincettes, et il a pris un–un charbon ardent, brûlant, de l’autel, et il s’est approché et a touché ses lèvres avec cela et a dit: «Maintenant, tu es pur, et tes péchés sont expiés, maintenant va prophétiser.» Oh! je voudrais l’entendre, ce qu’il a à dire.
Et il a dit: «Venez donc, plaidons.» Maintenant, nous voudrions être… Maintenant, je ne vais pas prêcher, juste vous parler pendant quelques minutes. Et demain soir, Dieu voulant, je voudrais aborder une série de sujets pendant quelques soirées qui vont suivre, donc, sur la Rédemption, et là où nous avons été rachetés de nos maladies, et–et par le Sang de Christ.
41 Maintenant, la discussion, il y a des discussions pour tout. Plaidons. «Venez et plaidons, dit l’Éternel.» Ne voudriez-vous pas vous asseoir dans le conseil de l’Éternel et discuter?
Quelqu’un m’a dit il n’y a pas longtemps, il a dit: «Frère Branham, je donnerais n’importe quoi si je pouvais voir une vision.»
J’ai fait passer mon bras autour de lui, un véritable frère, j’ai dit: «Mon frère bien-aimé, chaque fois que vous ouvrez la Bible, vous voyez une vision, Dieu Se révèle. Voici la vision de Dieu.» Ouvrez-la tout simplement et–ouvrez, dites: «Ô Dieu, maintenant ouvre mes yeux afin que je Te voie.» La Parole est Dieu. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.» Et voici Dieu, et chaque fois que vous ouvrez la Bible, vous voyez une vision de Dieu, qui vous parle. Asseyez-vous avec un cœur humble.
42 Des fois, je La lis, et je me lève, je cours tout autour de la chaise, et je crie à tue-tête, et je pleure un peu, puis je m’assois et je lis un peu plus, et je me lève et je cours encore tout autour. Je pense que le… si la femme de chambre ou quelqu’un d’autre passait par là, il penserait qu’on a enfermé un fou là, dans cette chambre, là peut-être. Mais je… vous savez, j’aime ça. Peu importe comment j’agis là, je–je–je me sens bien; je vais dans un autre pays. Voyez? Et j’aime entendre parler de cela. Et vous pouvez voir une vision chaque fois que vous regardez dans la Bible.
Or, certains, en lisant la Parole de Dieu, limitent la Parole de Dieu. Certains la réduisent à un credo. Oh! voici ce que la Parole de Dieu dit, notre credo que nous proclamons dans notre église. D’autres réduisent Cela à l’instruction. Ils envoient leurs pasteurs et leur donnent une instruction de très haut niveau, de sorte qu’ils puissent parler couramment, et–et–et c’est… ils ont une voix, mélodieuse, exercée, et comment ils doivent dire leur « ah-men», comme il faut. Et les gens se mettent là, et pour moi ça ressemble à un veau agonisant. Je–je n’aime pas ça. Je–j’aime ceci, si on dit: «Amen», dites:«Amen». C’est tout. Voyez-vous? Et ainsi ils… Je n’ai pas dit cela pour plaisanter; je–je ne crois pas dans cela. Voyez-vous? Ce n’était pas là mon intention en disant cela, et pardonnez-moi. Et je…
43 Mais en réalité, les gens, oh! comme ils ont limité Dieu! Certains ont limité cela juste à la hauteur de leur marche; c’est tout. Eh bien, si nous ne pouvons pas marcher au niveau où Josué avait marché, et où Énoch avait marché, ne vous tenez pas sur le chemin de quelqu’un d’autre qui essaie de marcher là, n’importe comment. Soyons vraiment raisonnables là-dessus: si vous ne croyez pas ça, eh bien, quittez le chemin de quelqu’un d’autre, et laissez-le continuer sa marche. Si vous pouvez marcher seulement au niveau de l’enseignement de vos credos, eh bien, sortez alors du chemin et laissez celui qui suit… N’essayez pas de le ramener en arrière; laissez-le continuer.
Oh! la la! je voudrais marcher sur les traces de Josué, pas vous? Oh! cet après-midi je lisais, je crois, dans la Bible, là où Josué après qu’il eut traversé, et qu’Israël se fut sanctifié, et qu’il eut traversé la rivière, après, qu’ils eurent mangé du vieux maïs, le type même du Millénium… Et Josué, se promenant un après-midi, examina le lieu, où la grande bataille devait avoir lieu. Je pensai: «Oh! la la! c’est vrai.» Oh! considérant le lieu, là même où il savait que la bataille allait se dérouler. Il avait progressé jusque là. Dieu lui avait dit d’aller de l’autre côté, mais Il n’avait cependant pas dit: «Prenez Jéricho». Voyez-vous? «Avancez jusqu’ici.»
44 Quelqu’un a dit l’autre jour, il a dit: «Frère Branham, où dois-je aller?» Là, dans la ville voisine où j’étais, à Shawano. Il a dit–le petit pasteur a dit: «Où dois-je aller maintenant?»
J’ai dit: «Dieu vous a-t-Il envoyé à Shawano?»
Il a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Restez juste là, jusqu’à ce que Dieu vous dise d’aller ailleurs. Alors vous savez que vous êtes dans la volonté de Dieu. Restez juste là jusqu’à ce qu’Il vous appelle de là.»
45 Et–et Josué avait progressé jusque là, et il avait installé les camps d’Israël. Et un jour, il effectuait une petite promenade, et il marchait là près des murs de Jéricho, et tout d’un coup, il a vu un Homme se tenir là contre le mur. Josué tira son épée et accourut à sa rencontre. L’Homme aussi tira Son épée et vint à la rencontre de Josué. Josué leva la main et demanda: «Es-tu des nôtres, ou es-tu de nos ennemis?»
Il a dit: «Non, Je suis le Chef de l’armée de l’Éternel.» Amen. Oh! la la! Qu’était-il arrivé? Cette Colonne de Feu avait été faite chair, Elle se tenait donc là, une préfiguration du Seigneur Jésus-Christ, le Chef de l’armée de l’Éternel. Amen.
46 Il a dit: «Maintenant.» Il était revêtu de toute l’armure. Et peut-être que nous n’avons pas assez de foi pour accepter la Parole de Dieu comme Josué, et faire les tours du mur, et crier jusqu’à ce que celui-ci tombe. Il se peut que je n’aie pas ce genre de foi, mais si vous, vous en avez, je ne voudrais certainement pas me tenir sur votre chemin. C’est vrai.
Il se peut que je n’aie pas la foi comme celle d’Énoch pour prendre… ou plutôt pas Énoch, mais comme celle d’Élisée, qui avait ôté son manteau et avait frappé les eaux, et il avait traversé le fleuve à la marche sur son chemin de retour, après qu’il eut reçu, sous forme de type, le Saint-Esprit, une double portion de l’Esprit d’Élie. Il se peut que je n’aie pas la foi pour faire cela, ni pour jeter un pot de sel dans l’eau, et changer cela, de l’eau amère en eau potable. Il se peut que je n’aie pas ce genre de foi. Il se peut que vous n’ayez pas ce genre de foi. Mais si quelqu’un d’autre en a, ne vous tenez pas sur son chemin. Laissez-le continuer. C’est vrai.
47 Bien des fois, ces enseignants aiment désigner les gens et dire: «Eh bien, regardez ceci, voyez-vous comment celui-là est allé à l’extrême? Il est allé tellement loin qu’il a perdu la tête.» Vous entendez ces enseignants dire ça. Mais ils manquent de dire, lorsqu’ils trouvent une personne qui devient un peu fanatique, qui a perdu la tête, du fait d’être allé trop loin. Ils ne pointent pas de doigt des milliers et des milliers qui ont perdu la tête du fait de n’être pas du tout partis. C’est vrai. Ils n’étaient pas partis assez loin.
Maintenant, soyons raisonnables sur ces choses. Plaidons. Nous savons que nous avons des fanatiques. Nous en avons ici à Chicago. Nous en avons partout, mais nous avons aussi du véritable matériel authentique du Saint-Esprit. Plaidons.
Oui, ils–ils voudront certainement pointer quelqu’un qui est allé très loin, celui-là, mais ils ne pointent pas des dizaines de milliers qui ont perdu l’esprit, du fait de n’être pas allés assez loin. C’est vrai.
48 Il y a quelque temps ici, je lisais un article de quelqu’un qui disait: «Je sais.» Eh bien, je vous parle d’un autre cas. Je me suis arrêté, je me procurais des pommes chez un vieil homme, là dans l’Indiana. Et il y est toujours, un vieil homme gentil. Et j’achetais de lui des pommes. Et il a dit–il a regardé là sur la–ma petite camionnette et il a dit: «Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui, et pour toujours.»
Et il a regardé là et il a dit: «Hein, a-t-il fait, oh! Jeffersonville! Vous habitez à Jeffersonville?»
Et j’ai dit: «Oui monsieur.»
Il a dit: «Dites donc, connaissez-vous ce guérisseur qui est là-bas?»
Et j’ai dit: «Non, je ne pense.» Et il a dit…
J’ai dit: «Quel guérisseur?»
Et il a dit: «Oh! ils ont un guérisseur là-bas.» Et il a dit: «N’avez-vous jamais entendu parler de lui?»
J’ai dit: «Non.» J’ai dit: «J’ai entendu parler d’un Guérisseur, pas seulement à Jeffersonville, mais dans le monde entier, c’est Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et pour toujours.»
Il a dit: «Voyons, ce gars s’appelle Branham, ou quelque chose comme ça.»
J’ai dit: «Oh! oui, ai-je dit, je le connais.»
Et il a dit: «Eh bien, savez-vous ce que je pense? C’est le plus grand hypocrite du monde.»
J’ai demandé: «Vraiment?» J’ai dit: «Eh bien, ai-je dit, je pense que c’est bien pour lui.» Voyez-vous? J’ai dit: «Tout le monde n’est pas de cet avis là.» J’ai dit: «Je suis de toutes les façons de ceux qui pensent le contraire.»
49 Il a dit… eh bien, il a dit: «Vous savez, a-t-il dit, je connaissais quelqu’un qui avait amené là une certaine vieille dame d’ici. Elle avait l’arthrite.» Et il a dit: «On l’a amenée là, et on a prié pour elle, et elle ne s’est jamais rétablie, pas le moins du monde.»
Je lui ai demandé, j’ai dit: «Quelle église fréquentez-vous?» Et il me l’a dit. «Oh! ai-je dit, je comprends.»
Et il a dit: «Eh bien, si jamais vous voyez ce gars, dites-lui que j’ai dit qu’il est un hypocrite.»
J’ai dit: «Vous êtes en train de le lui dire maintenant même.»
Il a dit: «Est-ce vous?»
Et j’ai dit: «Justement.» J’ai dit: «Justement.»
Alors il a dit… Eh bien, voilà, quelqu’un vous montrera une personne qui n’a pas assez de foi pour être guérie. Alors qu’ils ont honte et ne sont pas assez honnêtes pour vous montrer des milliers et des milliers qui ont été guéris.
50 Il n’y a pas longtemps ici, un article était publié dans un journal, où une femme de la Science Chrétienne, et s’il y a quelqu’un de la Science Chrétienne ici, j’ai beaucoup d’égard pour vous, et je n’ai rien du tout à dire contre vous. Seulement sur le plan de la théologie, je suis en désaccord. Je ne crois pas que les maladies soient des pensées, je crois que ce sont des réalités; ce sont des démons. Et c’est une forme des démons. Et je crois que si vous êtes malade, vous êtes vraiment malade, mais Dieu est le Guérisseur, Il peut guérir. Ainsi donc, je suis… Mais c’est en ordre, tout ce que vous croyez, eh bien, cela vous regarde.
Mais cette femme de la Science Chrétienne, elle avait un enfant malade, qui avait l’appendicite, je pense que c’était ça. Vous avez tous vu cela dans le journal, il y a de cela environ huit ou dix ans, peut-être. Et elle ne voulait pas consulter un médecin. Eh bien, je n’approuve pas cela, je–je… c’est tout à fait en ordre. Je n’ai rien contre les médecins et les hôpitaux, car c’est Dieu qui est le Guérisseur de toutes les façons; peu importe ce qu’ils font, ils ne peuvent pas guérir.
51 Ainsi, elle ne voulait pas consulter le médecin. Et elle a dit: «Non», que son enfant allait se rétablir de toutes les façons, et l’enfant est mort. Oh! la la! les journaux ont pris ça et ils ont répandu cela de la Californie jusque dans le Maine. «Oh! la guérison Divine n’est pas vraie. C’est du fanatisme; c’est l’hérésie; on devrait mettre fin à ça. Voilà un cas, ce pauvre petit enfant a perdu sa vie, parce qu’une mère fanatique ne voulait pas consulter un médecin.»
Et au moment même où ce journal était encore sous les yeux du public, les médecins tuaient des milliers de gens, et on ne disait rien à ce sujet. Soyons raisonnables.
52 Si une seule personne est morte par manque de foi pour la délivrance, en se confiant au Seigneur, et que pour cela toute l’œuvre de Dieu doit être taxée de fanatisme, alors si le médecin perd un seul malade, c’est donc du fanatisme aussi. Ce qui vaut pour l’un vaut aussi pour l’autre. Vous connaissez le vieux dicton. C’est donc vraiment raisonnable. Est-ce vrai?
Maintenant, c’est vrai. Non, nous, les médecins, les institutions, les prédicateurs, nous devrions tous être bras dessus bras dessous, cherchant à travailler pour le bien des êtres humains. On ne devrait pas se critiquer, on devrait s’aimer les uns les autres, et s’entraider, certainement.
Maintenant, réfléchissez bien, qu’arriverait-il si je pouvais aller ici à votre cimetière ce soir, l’un de vos grands cimetières de Chicago et ressusciter chaque personne du cimetière, et dire: «Maintenant, je voudrais que tout celui qui était mort, en se confiant au Seigneur se tienne de ce côté-ci. Et que tout celui qui est mort, à la suite du traitement médical, se tienne de ce côté-là.» Qui l’emporterait? Soyons raisonnables. Venons plaider.
53 Et maintenant, il y a quelque temps, ce grand… je… comme je l’ai prouvé ici ce soir, je ne suis pas appelé, vous, je suis… Asseyez-vous bien tranquille une minute. Voyez?
Maintenant remarquez, ici… ceci… lorsqu’on découvre un genre de sérum qui pourra–qui pourra aider quelqu’un, oh! la la! les journaux publient cela partout. Oh! la la! la pénicilline ou quelque chose comme cela, oh! comme ils en diffusent la nouvelle partout. Ce vaccin Salk [un vaccin contre la poliomyélite découvert par Jonas Edward Salk en 1954–N.D.T.], et autre, oh! comme ils ont répandu la nouvelle partout, parce qu’ils avaient découvert quelque chose qui pouvait aider les gens.
Je salue ces gens; que Dieu les bénisse. J’en suis très heureux. Mais ils vont publier ça dans chaque petit journal à travers le pays. Et le Dieu tout-puissant peut faire voir l’aveugle, faire entendre le sourd, faire parler le muet, ils vont rejeter cela et ne vont pas le publier dans le journal. Ils diront: «C’est du fanatisme.»
54 Venez et plaidons. Soyez des hommes et des femmes. Est-ce vrai? Assurément. Et écoutez, pas toujours… Maintenant, je dis ceci avec révérence; je dis cela comme une chose raisonnable. Nous voudrions… nous parlons ce soir sur ce qui est raisonnable, la logique des choses.
Écoutez, savez-vous que le médicament tue presque autant des gens qu’il en guérit? Ça ne guérit personne, mais ça aide. C’est vrai. Ça garde tout simplement cela propre, pendant que… aide la nature, pendant que Dieu opère la guérison.
Regardez combien de gens–regardez quand ce vaccin Salk est sorti, voyez combien de milliers de petits enfants sont morts à cause de ce vaccin. On a administré cela à ces petits enfants pour leur donner la polio et cela les a tués. Eh bien alors, si quelqu’un prie pour le malade et que ce dernier meurt: «Du fanatisme!» Et ils donnent le vaccin et disent: «Gloire! Alléluia! oh! regardez juste ce que ça fait. Oh! la la! cet ingénieux gars a découvert ceci.» Est-ce vrai?
55 Mon père a été tué par une dose de médicament, mon propre père. Le médecin est venu le voir, il avait quelque chose qui n’allait pas au cœur. Il lui a donné un petit comprimé; il a vécu pendant cinq minutes. Nous avons fait venir un autre médecin et il a dit: «Eh bien, il–il lui a donné la strychnine.» Et il est allé et il a pris cette strychnine; c’était la moitié d’un comprimé de strychnine. Il a dit: «Je connaissais votre papa; a-t-il dit; son–son cœur n’a pas pu supporter un grain de strychnine.» Mais une dose de médicament a tué mon papa.
56 Une dose de médicament a presque tué mon garçon, Billy Paul. Il y a environ deux, trois ans, Billy Paul avait contracté une habitude, s’était mis à errer, c’est la raison pour laquelle j’ai dû l’envoyer à Waxahachie, à l’école. Notre école officielle, avec cette bande de petits garçons et autres, qui fument tous la cigarette et tout. Et un jour, Billy est rentré à la maison et a dit: «Comment vas-tu, papa?»
J’ai subitement eu une vision sur lui. J’ai dit: «Viens ici un instant, j’aimerais te parler.»
Il a demandé: «Qu’y a-t-il, papa?»
J’ai dit: «Qu’as-tu à fumer des cigarettes?»
Il a dit: «Je ne fume pas.»
J’ai dit: «Ne me trompe pas, Billy.» Il a commencé à pleurer
«Eh bien, a-t-il dit, je–je ne ferai plus cela, papa.» Et il est sorti. Et il a continué à faire cela. Il ne cachait pas cela, il ne peut pas cacher cela, non non. Ainsi… et j’ai vu une vision, et le Seigneur m’a montré que Billy m’avait désobéi, et qu’il avait sauté par une fenêtre, et il s’en allait en riant, faisant des culbutes… comme cela, là, jusque dans l’éternité, tournant sans cesse. Et quant je suis sorti de la vision, je criais à tue-tête: «Ô Dieu, ne prends pas mon garçon. Le seul garçon que j’ai, ne le prends pas, Seigneur.» Et je criais à tue-tête. J’en ai parlé à Billy.
57 Et alors, Billy, ce jour-là, il est allé pêcher. Il était resté longtemps sur la rivière. Il y avait là un homme qui était venu de l’Inde pour me voir, et d’autres ministres aussi. Ainsi et nous sommes allés à New Albany avec ma femme. Elle devait aller là pour se procurer une certaine chose. Et alors, nous sommes allés là, et j’étais assis là en train de parler avec les ministres, et tout d’un coup Quelque Chose m’a dit: «Sors de–d’ici, très vite.» Je pensais que c’était juste mon imagination.
Et je–j’ai dit: «Eh bien alors, frères, nous sommes sur le point d’aller en Inde aussitôt que nous le pourrons.»
Quelque chose a dit: «Sors d’ici, mets-toi à l’écart.»
Et je suis sorti de la voiture et j’ai dit: «Excusez-moi, frères, juste un instant, je voudrais me mettre à l’écart dans un coin.» Et je suis allé par là et j’ai regardé, personne ne me voyait, j’ai dit: «Père, qu’est-ce?»
Il a dit: «Va vers Billy Paul tout de suite.»
58 Et je suis rentré très vite en courant et Meda, mon épouse remontait la rue, et j’ai dit: «Vite chérie, vite. Quelque chose ne va pas chez Billy.» Et nous avons couru, nous avons sauté dans une voiture, et on est allé à Jeffersonville, à environ cinq ou six miles [8 ou 9 km environ–N.D.T.], Quand je suis entré dans la cœur, ma belle-mère se tenait dans la cœur, criant à tue-tête, disant: «Billy est mourant, on l’a amené à l’hôpital.»
J’ai demandé: «Qu’est-ce qui est arrivé?»
Elle a dit: «Eh bien, il est venu là, il avait mal à la gorge, et il craignait que vous ne puissiez l’attraper avec ce mal de gorge, et que vous lui dévoiliez qu’il continue à fumer la cigarette. Et il est allé là, et votre brave ami (le meilleur médecin qu’il y a dans le pays, l’un des meilleurs, docteur Sam Adair), il lui a fait une piqûre de pénicilline, et il a gonflé comme ceci juste en trois minutes. Et il a couru là, on l’a enveloppé dans des couvertures, et on l’a vite amené à l’hôpital.»
59 Et je suis sorti très vite en courant, et voilà venir le docteur comme cela, il a enlevé son chapeau et il a dit: «Bill, j’ai tué ton garçon.»
Et j’ai dit: «Oh! Doc, certainement pas.» Et je suis vite entré dans la chambre; on l’avait mis sous oxygène et tout, on était en train de pomper, et lui administrait de l’adrénaline au cœur. Et il était juste… Le cœur ralentissait sans cesse. Et j’ai dit: « Puis-je rester un instant avec lui.» Et alors, il est tout simplement sorti de la chambre. Je me suis agenouillé, j’ai mis mes mains sur lui; j’ai dit: «Dieu bien-aimé, de grâce, mon cœur n’est-il pas assez brisé dans ma vie? De grâce, Jésus, oh! Dieu, accorde à mon garçon une autre occasion. Ne… Seigneur, de grâce, je Te prie de tout mon cœur, en tant que Ton serviteur, d’épargner la vie de mon garçon. Il est si bon envers moi, et il m’aide dans les réunions, et il est très loyal envers moi. J’ai besoin de lui. Ô Dieu, de grâce, ne le reprends pas. Je–je Te demande de ne pas le faire.»
60 Et j’ai regardé, je l’ai vu en vision en train de tomber comme cela, tournant sans cesse, comme c’était il y a quelques nuits avant cela, lorsque je l’avais vu en vision. Alors j’ai vu deux grands bras s’étendre et le saisir comme ceci, et commencer à le ramener en haut, le remontant comme cela. Je me suis levé, et Billy s’est retourné, il était tout aussi noir que possible. Et ses lèvres avaient gonflé, ses yeux étaient devenus très rouges, et il s’est retourné.
Il a demandé: «Papa, où es-tu? Où es-tu, papa?»
J’ai dit: «Je me tiens juste ici, mon chéri. Tout est terminé maintenant.» Amen.
61 Je vous le dis, n’eût été Dieu, une dose de médicament aurait tué mon garçon. Par ailleurs, la pénicilline a aidé beaucoup de gens qui prenaient le sulfamide et tout, au front pour les jeunes garçons et des choses comme cela, mais vous devez faire attention, cela en a tué des centaines. C’est vrai.
Mais si cela tue une personne, ce à quoi je veux en venir, c’est… voici mon but, si cela tue une seule personne, c’est du fanatisme. Si l’on prie pour le malade, et que cette personne meure, alors vous devez traiter cela du fanatisme, par conséquent, ceci doit aussi être du fanatisme. Est-ce juste?
Ce n’est pas du fanatisme; ce sont juste des gens qui ne peuvent pas réfléchir sur des choses, des gens qui ne sont pas raisonnables. Et sur ces choses, notre cher peuple américain est le moins raisonnable que j’aie jamais vu, de toutes les nations du monde. C’est vrai. Le peuple le moins raisonnable, ils ne veulent pas écouter. Ils ne veulent pas s’asseoir pour réfléchir là-dessus.
62 Je ne parle pas de vous les gens du Plein Évangile qui croient en ces choses; ce sont les églises. Mes frères, je n’ai rien contre mon église Baptiste, d’où je suis venu; les presbytériens, les luthériens, quoi qu’ils soient, ce sont mes frères. Mais ils sont si irréfléchis, la raison, c’est que ces–ces dénominations ont érigé des barrières. Et les credos et tout le reste les ont séparés.
Certains de ces hommes croient. Ne me dites pas le contraire, ils viennent chez moi à la maison et s’entretiennent avec moi, passent mon bras autour de moi et disent… passent leur bras autour de moi et disent: «Frère Branham, j’aimerais croire cela, mais par… je serais excommunié si je le faisais.»
J’ai dit: «Que Dieu bénisse votre cœur, soyez excommunié ici, et on vous fera entrer là-haut.» J’ai dit: «Ne… laissez tout simplement la chose aller.»
63 J’aimerais plutôt… c’est un gagne-pain, frère. Je préférerais me coucher sur mon estomac, et boire de l’eau plate, et manger des biscuits secs, et prêcher la vérité, plutôt que de prendre des poulets frits trois fois par jour et faire des compromis. C’est vrai. Certainement oui. Avoir la Vérité…
Soyez raisonnable. Nous pouvons prouver ce soir, et partout dans le pays que des milliers et des milliers de gens se seraient retrouvés dans leurs tombes ce soir, n’eût été Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Plaidons. Soyons raisonnables. Dieu fait des choses raisonnables, alors soyons raisonnables.
64 Maintenant, juste une autre remarque ou deux, et nous allons–nous allons arrêter. Maintenant, comment les médecins découvrent-ils leurs médicaments? La première chose, vous savez, quelqu’un cherche une solution et la trouve, il s’imagine cela, il voit que cela marche, il écrit cela dans un livre. Un autre médecin prend cette revue médicale, il dit: «Eh bien, voici, cela agit comme ça, je vais commencer à exercer.»
C’est ainsi qu’ils font: ils trouvent cela en lisant ou en écoutant. De même pour nous, la foi vient en lisant ou en écoutant. Ce que je fais ce soir, et vous pensez que ces visions et autres choses sont très mystérieuses, je l’ai lu dans un Livre. Alléluia! Et ce Livre n’est rien d’autre que la Bible, et Son Auteur n’est pas un inventeur; Il n’est rien d’autre que le Créateur Lui-même (Amen), qui a promis la guérison divine. Il a écrit le Livre, Il l’a inspiré. Et c’est la Parole inspirée de Dieu.
65 Comme vous, j’ai lu ici quelque chose sur les autres médecins qui exercent l’art de guérir et qui ont du succès. J’ai lu là où les apôtres et les prophètes avaient des visions, ils avaient pratiqué la guérison divine, et ils avaient eu du succès. J’ai un droit, ceci est ma revue médicale. Amen. Je crois dans cela de tout mon cœur. Et j’ai du succès là-dessus, pas parce que c’est moi; mais parce que je respecte les instructions de ce Livre. Amen. Alléluia.
Lorsqu’Il était ici sur terre, Il pratiquait ce qu’Il prêchait. J’aime cela chez Lui. Il pratiquait ce qu’Il prêchait. Il n’avait pas besoin de rayons X; Il était le rayon X. Il voyait ce qui ne marchait pas; Il n’avait pas besoin de rayons X, Il est le même ce soir. Il n’avait pas de besoin de médicaments pour stimuler la vie; Il était la vie. Amen. Il n’avait pas besoin de remèdes, Il était la cure. Amen. Il est le même ce soir. Il est ressuscité des morts, et Il a prouvé qu’Il est le rayon X de Dieu.
66 Dieu jette le regard sur le cours de temps, et ne voit pas seulement le physique pour… dans votre cœur, mais Il voit le surnaturel dans votre cœur. Il voit vos pensées. Amen. Jésus voyait leurs pensées. Vous parlez de rayon X (Amen. Alléluia.), Il était le rayon X de Dieu, et non seulement Il l’était, Il l’est encore. Il est le rayon X de Dieu ce soir. Il vous parle, Il sait ce qui ne va pas en vous. Il sait tout à votre sujet. Il sait plus à votre sujet que vous ne le savez vous-même.
Il est Celui qui stimule la vie; Il est Celui qui donne la Vie. Il n’a pas besoin de vous donner des vitamines; Il est la vitamine, la vitamine J-E-S-U-S, la meilleure à ma connaissance, l’unique dont je me soucie. Amen. J-E-S-U-S, essayez cela une fois, c’est merveilleux. Les bénédictions, elles ne font que tomber, les vitamines spirituelles. Oh! la la! Combien je les aime. Les averses de cela ne font que se déverser sur vous, certainement.
67 Après Sa résurrection, Il a prouvé qu’Il était toujours le même Grand Jéhovah. Sur le chemin d’Emmaüs, ce jour-là, alors que ces hommes, Cléopas et son ami, marchaient là, vers l’Emmaüs, dans leur voyage, cela… Lorsque Jésus est entré dans la maison avec eux, Il a fait là quelque chose qui… Pendant toute la journée, ils avaient marché en Sa compagnie; ils ne L’avaient pas reconnu, mais lorsqu’Il est entré à l’intérieur, et qu’Il les a fait asseoir, alors Il a fait quelque chose comme ce qu’Il avait l’habitude de faire. Personne d’autre ne pouvait faire cela de cette façon-là. Il l’a fait de la manière dont Il le faisait.
Je crois que c’est plus qu’une simple histoire; c’est une parabole. Pardonnez-moi, mes frères, mais c’est une prophétie. Nous avons marché aujourd’hui, pendant longtemps, mais c’était au temps du soir, qu’Il avait accompli les choses comme Lui. Et le jour est très avancé maintenant, le temps du soir approche. Et Jésus nous a enfermés ici ce soir. Il peut accomplir des choses comme avant, s’Il peut trouver les matériaux qui Lui permettront de S’enfermer avec. Amen. Soyons raisonnables, car c’est le temps du soir, et Il est ici. Parlons-Lui un moment dans la prière.
68 Notre Père céleste, le prophète a dit: «Au temps du soir, la Lumière paraîtra.» Il y eut un jour, le soleil s’est levé à l’horizon, à l’est, sur le peuple juif, et Il a répandu le Saint-Esprit. De grands signes et des prodiges se sont produits; quand les apôtres ont tendu les mains; ils ont fait descendre les puissances de Dieu; ils ont guéri les malades, ils ont eu des visions. Ils ont agi comme Jésus leur avait demandé de faire.
Ensuite le soleil s’est couché, pas totalement, mais c’était en quelque sorte un jour qui n’était ni nuit ni jour. Cela a traversé les nations; maintenant c’est le temps du soir ici sur le monde occidental maintenant. Et Tu as promis de faire briller le même soleil. Et gloire soit rendue à Dieu, les nuages se dissipent. Le même soleil qui était descendu le jour de la Pentecôte avec les mêmes résultats est encore revenu. Car Il a dit que la Lumière paraîtra au temps du soir.
69 Et ce soir, je Te prie, ô Père, comme nous laissons le monde à l’extérieur, nous nous enfermons par la foi avec Jésus-Christ, et nous réfléchissons dans notre cœur, disant: «S’Il a dit ceci, Il est éternel; Il est omniprésent, omniscient, omnipotent et Il peut tout faire, car Il est ressuscité des morts.» Et Père, nous prions que Tu Le laisses être manifesté ici devant Ses enfants ce soir, afin qu’ils voient que ce n’est pas de la fiction, et que cela a été expliqué par la Parole de Dieu, et les résultats prouvent que c’est la vérité.
Et maintenant, plaidons, Père. Si Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Grand Jéhovah, qui a créé les étoiles et les lunes, qui les a placées dans leurs firmaments, et qui a créé tout le système solaire, et qui a créé la terre, et qui fait toutes ces choses, s’Il est ici ce soir avec nous, et qu’Il nous invite à venir auprès de Lui, pourquoi devrions-nous être abattus. Relevons donc la tête, et recevons Dieu par la foi, et agissons comme des fils et des filles du Dieu vivant ce soir. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
70 Que le Seigneur vous bénisse. Je suis désolé de vous avoir gardés au-delà du temps que j’avais indiqué. Mais soyons vraiment raisonnables maintenant. Jésus est ici. Il est ressuscité des morts. Il a promis que là où deux ou trois sont réunis en Son Nom: «Je serai au milieu d’eux.» À-t-Il dit cela? Ainsi, les visions ne sont pas du tout de la fiction après tout, n’est-ce pas? C’est vraiment réel, c’est vraiment Dieu. Il ne sert à rien d’être méfiant.
Maintenant, j’étais très prudent avec ceci, mon ami, parfois lorsque vous allez voir les choses qui sont manifestées comme cela. Jamais vous ne m’avez entendu, pour ce qui est de parler, dire: «Dieu a fait de moi Son prophète.» J’ai entendu des gens dire, ils ont entendu cela sur la bande lorsque l’inspiration était en cours, mais c’était Lui qui parlait, pas moi. Voyez? C’est mieux que Lui vous le dise au lieu que ce soit moi, qui vous le dis. Voyez-vous? Vous pouvez croire davantage en Lui; vous avez le droit de douter de moi.
71 Mais vous voyez, j’ai–j’ai en quelque sorte évité ces choses. Je me suis tenu loin de gens, à cause de, je–je–je–je n’aime pas que quelqu’un dise: «Oh! Frère Branham, ceci et cela.» Cela–cela–cela… je ne suis même pas là-dedans. Voyez? C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Voyez? Regardez tout simplement à Lui. Certaines personnes disent: «Oh, si–si je–si seulement je pouvais aller et–et pouvoir… me tenir sur l’estrade, il prierait pour moi…»
Cela n’a rien à faire avec la chose. Il n’est pas question de me toucher; il est question de Le toucher. Voyez-vous? Placez seulement votre foi là, et touchez-Le, et voyez si quelque chose n’entre pas au fond de votre cœur et dit: «Oui, maintenant c’est terminé.» Voyez-vous?
72 Il y a quelque temps ici (pendant que nous nous détendons juste un instant), je tenais une réunion quelque part, et il y avait là une salle pour les fous et les–les cas de psychopathes. Et je suis entré dans la salle, et je n’oublierai jamais cela. Après que les frères m’ont amené là, je suis entré dans la salle, et il y avait, oh! des gens en camisole de force, et faisant des histoires.
73 Et un très célèbre ministre était là ce soir-là, il a une émission internationale. Je ne mentionnerais pas son nom, il se pourrait qu’il n’apprécie même pas cela. Il était membre d’une organisation ecclésiastique différente de celle-ci. Et alors, il–il était là sur place. Et ceci… il est entré, et une belle jeune femme était assise là, et elle a dit: «Bonsoir, Frère Branham.»
Et j’ai dit: «Bonsoir.»
J’ai dit: «Eh bien, je… » et quelqu’un était assis là à côté d’elle, un homme âgé.
Et il a demandé: «Frère Branham, voudriez-vous d’abord prier pour ma fille. »
Et j’ai demandé: «C’est laquelle?»
Il a dit: «La voici.»
J’ai dit: «Vous?» J’ai dit: «Que faites-vous dans cet asile de psychopathes? »
Elle a dit: «Je pense que j’en suis une.»
Et j’ai dit: «Eh bien, qu’y a-t-il, sœur?»
Elle a dit: «J’aimerais le savoir, Frère Branham.»
J’ai dit: «Eh bien, vous n’agissez pas comme une malade mentale, à mon sens.»
Elle a dit: «Eh bien, je vais vous raconter mon histoire. Serait-ce correct?»
Et j’ai dit: «Oui, madame.»
Et c’était une très belle femme, elle semblait avoir environ vingt-trois, vingt-quatre ans. Elle passerait pour une reine pour le cœur de n’importe quel homme; très soignée, très bien habillée, une personne chic.
74 Et elle m’a dit, elle a dit: «Eh bien, Frère Branham, j’ai été élevée dans un bon foyer. Voici mon père.» Et elle a dit: «J’ai été élevée dans la foi catholique.» Et elle a dit: «On m’a enseignée à faire ce qui est correct.» Elle a dit: «Mais lorsque j’étais jeune, dit-elle, je sortais avec un garçon qui buvait», et elle a dit: «J’ai commencé à boire, à fumer la cigarette et tout le reste». Et elle a dit: «Je suis devenue une ivrogne perpétuelle.»
Il y a une petite femme ici quelque part, qui fait généralement des enregistrements quelque part ici. Elle m’a écrit une lettre l’autre jour. Une petite dame en a été guérie, juste ici à Hammond, une aimable petite créat-… La voilà maintenant, une parfaite alcoolique, et allez à Byery, là-bas, et demandez à n’importe quel médecin si un parfait alcoolique peut être guéri avec des médicaments. Je–je vous assure, ils ont tous ces Alcooliques Anonymes. Et j’en ai eu des douzaines qui vont là et en ressortent aussitôt, et dans l’espace d’un an ou deux, ils boivent comme jamais avant. Mais il y a une fille qui a été parfaitement délivrée par Jésus-Christ. C’est vrai. Réfléchissons ensemble sur ces choses. Voyez? Ce que les docteurs ne peuvent pas faire…
Et ceci… je vais arrêter de parler d’elle, je disais des choses aimables, et maintenant elle est assise ici (Voyez?), ainsi…
75 Des toutes les façons, cette–cette jeune dame, elle a dit: «Et je me suis mise à boire», et elle a dit que cela l’a amenée à la prostitution.» Et elle a dit: «Alors j’ai été envoyée au Home du Bon Berger. J’y suis restée pendant un temps.» Et elle a dit: «Bien sûr, j’étais très bien là.» Et elle a dit: «Et aussitôt que j’en suis sortie, dit-elle, ce n’était pas parti, mais c’était juste un tout petit peu »; elle a dit: « Je me suis remise à boire, la prostitution s’y est encore installée.» Et elle a dit: «Je suis une alcoolique, et je n’y peux rien.» Elle a dit: «Je suis allée chez les Anonymes, et j’ai suivi un traitement contre cela, et je suis restée là pendant un temps. » Et elle a dit: «Cela ne m’a fait aucun bien.» Dès que je sentais l’odeur du whisky, j’étais portée à boire de nouveau.»
76 Et elle a dit: «Alors la chose suivante est arrivée, dit-elle, on m’a envoyée à la prison pour femmes, après que j’eus eu vingt et un ans, et là, j’ai servi pendant plus d’une année.» Et elle a dit: «Quand j’en suis sortie, et je me suis remise à boire.» Elle a dit: «Quelqu’un m’a dit de changer d’église», que je devrai devenir une–une chrétienne dans l’Église protestante.» Et elle a dit: «J’ai fait cela, dit-elle, et cela ne m’a fait aucun bien.» Elle a dit: «J’ai continué à boire malgré tout.» Elle a dit: «J’ai accepté Christ comme mon Sauveur personnel.» Elle a dit: «Cela ne m’a fait aucun bien.» Elle.
Et j’ai dit: «Je voudrais vous poser une question.» J’ai dit: «Sœur, au fond de votre cœur, vous n’avez jamais voulu faire cela?»
Elle a répondu: «Non monsieur, jamais.»
J’ai dit–j’ai dit: «Quelque chose vous pousse à cela.»
Elle a dit: «Oui, monsieur.»
J’ai dit: «C’est le diable.» Et elle a dit… J’ai dit: «Cela peut être démodé, mais c’est le diable.» Et elle a dit: «J’ai toujours cru cela, Monsieur Branham.» Et j’ai dit… Elle a dit: «Me conseillerez-vous d’adhérer à votre église?»
J’ai dit: «Je n’en ai pas une à laquelle adhérer.» Mais j’ai dit: «Je voudrais que vous fréquentiez la même église que moi.»
Elle a dit: «Je serai contente de faire cela.» Elle a dit: «Comment y arriver?»
J’ai dit: «Eh bien, agenouillez-vous.» Voyez? Ainsi donc, elle s’est agenouillée. Et j’ai dit: «Maintenant, soyez vraiment sincère avec Dieu et priez.»
77 Eh bien, j’ai suivi sa prière. Elle s’est levée, elle a promis à Dieu qu’elle ne boirait plus jamais, s’Il l’aidait; elle s’est relevée, et elle s’est approchée. J’étais assis et je l’entendais, je gardais ma tête inclinée. Elle s’est approchée, elle m’a serré la main; elle a dit: «Frère Branham, je vais certainement en sortir et avoir un nouveau début. »
J’ai dit: «Ma bien-aimée sœur, ce n’est pas fini; c’est vrai, ce n’est pas fini.»
Et elle a dit: «Eh bien, je vais faire de mon mieux.»
J’ai dit: «C’est en ordre. Mais ce n’est pas fini.»
Elle a dit: «Eh bien, que dois-je faire?»
J’ai dit: «Prions encore.» Nous nous sommes agenouillés là, et elle s’est mise à prier; elle s’est mise à pleurer. Je lui ai imposé les mains, et j’ai dit: «Dieu bien-aimé, cette pauvre mortelle ici, liée par ce démon et ces circonstances ici, regarde où elle en est; elle ne veut pas faire cela. Satan, sors d’elle au Nom de Jésus-Christ.»
78 Après quelques instants, elle s’est relevée, elle a continué à prier; elle s’est du coup arrêtée deux minutes environ après cela, et elle s’est relevée et m’a regardé. Et ses énormes yeux noirs, et les larmes coulant, elle a dit: «Frère Branham, il s’est produit quelque chose.»
Elle a dit… J’ai dit: «Maintenant, c’est fini, sœur, maintenant, c’est fini.»
Environ deux ans plus tard, je l’ai rencontrée dans la rue. Elle… j’allais payer l’électricité dans ma propre ville, et cette jeune fille a crié après moi.
Elle a dit: «Frère Branham.» Elle a dit: «Je cherchais à savoir où vous étiez.» Elle a dit: «Voici mon mari; voici mon enfant.» Elle a dit: «Je n’ai plus jamais eu un besoin physiologique de whisky depuis ce jour là. Je suis délivrée.»
79 Voyez, mes amis, ce n’est pas intellectuel; cela doit provenir d’ici au fond. C’est vrai, Quelque chose doit se passer ici. Que Dieu vous bénisse. Puisse cela arriver là ce soir. Puisse le Dieu véritable et vivant, qui est ici, sortir de votre pensée, et entrer dans votre cœur. Dites: «Ô Jésus, oui, c’est raisonnable. Si Tu es ici, et que Tu peux guérir les autres, Tu peux aussi me guérir; et maintenant j’accepte cela.» Et continuez tout simplement à dire cela dans votre cœur jusqu’à ce qu’après un instant quelque chose s’ancre là au fond, et que vous soyez certain d’être guéri, tout autant que vous savez que cette chemise est blanche. C’est alors fini. C’est vrai.
Vous vous lèverez et vous irez chez votre voisin et direz: «Quelque chose s’est produit.» Oui oui. Ça sera fini. C’est vrai. Que Dieu vous bénisse.
80 Billy Paul, où es-tu? Ne te mets pas toujours derrière moi, je ne te vois pas. Quel… K, très bien; commençons donc par le numéro 1, K, numéro 1. Nous allons amener quelques-uns à se lever. Qui a K, numéro 1? Levez la main. As-tu dit K? [Espace vide sur la bande–N.D.É.]
81 Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions maintenant. Maintenant, nous allons juste prendre un… Je suis vraiment désolé d’être allé jusque si tard. Peut-être que demain soir, dès que je viendrai, je ferai aligner les gens. Maintenant, vous qui avez les cartes de prière, gardez-les, car nous allons prier pour vous, de toutes les façons. Voyez? Nous allons vous faire venir jusqu’ici et prier pour vous, Dieu voulant. Et je verrai si le Seigneur bénira d’une autre façon, c’est ce que je Lui demande de faire. Vous prierez pour moi, n’est-ce pas, mes amis? Voyez?
Oh! Quel sentiment ça me ferait, si je pouvais tout simplement entrer dans ce… Voyez, il y a une traction maintenant. Maintenant, qu’arriverait-il si un malade se tenait ici, et qu’il n’ait pas du tout de foi, et que les gens disent: «Oui oui, je–je pensais qu’il connaissait ces choses. Je pensais que Christ les lui révélait.» Voyez? Voilà.
82 Maintenant, combien parmi vous là veulent être guéris ce soir? Levez la main. Voy… voyons, ceux qui ne seront pas appelés sur l’estrade. Très bien, regardez ici et croyez. Ayez foi. Combien parmi vous n’ont pas de cartes de prière, c’est cela que je voulais dire. Faites voir vos mains maintenant. Maintenant, si je vous appelle, vous qui n’avez pas une carte de prière, si vous–vous avez une carte de prière, venez de toutes les façons à l’estrade. J’aimerais que ceux qui n’ont pas de cartes de prière répondent. Bien sûr, je–je n’en sais rien maintenant; je dois tout simplement suivre la façon dont l’Ange de l’Éternel me conduit, et m’amène à aller. Je suis donc tout simplement cela.
Et maintenant, c’est votre foi qui fait cela. Maintenant, combien comprennent ce que je veux dire par se tenir sur les pointes des orteils et jeter un coup d’oeil. Maintenant, c’est comme cette personne qui se tient ici et dit: «Eh bien–eh bien, qu’est-ce qui ne va pas dans cette personne?» Je lui parle juste un instant, j’ai une façon de m’y prendre. Bien sûr, c’est entre Dieu et moi. Voyez? Et ensuite je–je vais à la rencontre du Saint-Esprit, je m’abandonne totalement à Lui, et je vois ce qu’Il dit. Je sens l’esprit qui est sur la personne bouger. Je vois, peut-être que c’est un–c’est un croyant, alors cela va bien marcher. Je peux parler à cette personne, parce que c’est un croyant.
83 Y a-t-il quelqu’un qui manque, Frère Wood? Vous ne pouvez pas… non… oh! tout est en–tout est en ordre. Alors si vous… Alors voyez, alors je m’approche, pour ainsi dire, la traction. Voyez-vous? J’y entre. Maintenant, par exemple, c’est un–un–un–un cancer. Oh! la la, lorsque cela me quitte, je–juste alors, c’est pire que prêcher pendant deux heures. Voyez-vous? Et peut-être, cela ne règle pas le problème. Je regarde de nouveau le malade, il est–il–il est encore très loin, alors qu’il devrait être par ici.
Voyez, l’unique chose que cela fait, c’est d’élever la foi. Le seul moyen pour que quelqu’un soit guéri… La guérison divine, c’est par la foi. Est-ce vrai? Le seul moyen par lequel vous pouvez être sauvé, c’est par la foi, ce n’est pas en allant faire quelque chose; vous devez avoir la foi; ce n’est pas par les œuvres, c’est par la foi. Voyez-vous?
84 Et maintenant, ici se tient quelqu’un, peut-être qu’il a le cancer. Et je–je verrai. Il peut dire: «Eh bien, je sais qu’il ne me connaît pas, en effet, je ne l’ai jamais vu.»
Eh bien, le Seigneur dira: «Cette personne a le cancer.»
Eh bien, cela peut la secouer un peu, mais cela n’a pas encore fait la chose. Aussitôt après, vous prenez quelqu’un d’autre, et vous dites: «Eh bien, celui-là a… vous avez telle chose.»
Eh bien, elle peut s’élever: «Eh bien, oui, cela… Il–il doit avoir raison.» Voyez-vous? Et ensuite, quand vous restez là pendant longtemps avec celui-là pour l’amener jusqu’au niveau où il accepte réellement… Alors, cela ne signifie pas qu’il est guéri. Cela signifie que la vie qui était là-dedans est morte, elle a disparu… la–la vie qui est dans le cancer est sortie. Elle peut revenir, le temps que vous descendiez là.
85 Mais lorsque vous entendez cela continuer sur les bandes là, et ici, car nous… observez les enregistrements. Nous écoutons tout ce qui est dit. Voyez? Et lorsque vous entendez cela dire: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», alors une vision revient; ce n’est pas moi. Je ne me mêle pas de cela; c’est Lui-même qui m’y implique. Et une vision apparaît, et alors, je vois très loin dans la ligne, ce qu’Il a dit de faire. Alors, cela leur parle de cela.
Eh bien, alors ici, cela les quitte maintenant, ils partent ayant un sentiment agréable, merveilleux, s’ils continuent à se sentir ainsi… Jamais de ma vie je n’ai prié pour une personne, en étant vraiment sincère là-dessus, sans que quelque chose soit arrivé sur-le-champ. Maintenant, pensez-y. Jamais je n’ai demandé une chose à Dieu avec sincérité… Voici vingt-trois ans que je prêche, et jamais de ma vie je n’ai demandé à Dieu quelque chose qu’Il ne m’ait donné, ou qu’Il ne m’ait dit pourquoi Il ne pourrait me le donner. C’est vrai. Il est Dieu. Alléluia!
86 Oh! la la! Je L’aime vraiment de tout mon cœur. C’est juste comme si je–je peux avoir l’air d’un fanatique pour certains d’entre vous tous. Mais je vous assure, parfois c’est comme quelque chose qui frappe mon cœur, et c’est comme si je vais enfler, lorsque je pense à Lui. Il est ici. Il est ici même. Cet Ange de Dieu, Il ne se tient pas à deux pieds de l’endroit où je me tiens maintenant même, Il se tient ici même. Si seulement vous pouviez sentir cela! Il est toujours à ma droite.
J’ai oublié de laisser ces photos, hier soir, afin que vous les voyiez. Comment cela vient à droite et ça apparaît à la droite sur la photo. Voyez-vous?
87 Maintenant, que le Seigneur soit bienveillant envers vous. Maintenant, je vais me dépêcher, et prier pour juste… Maintenant, je vais vous poser une question, et mes bien-aimés frères et sœurs… et frère Wood, et vous tous ici qui m’aidez, où est Billy, où que ce soit, vous… Frère Boze, veillez, ne–ne me laissez pas prendre trop de temps (Voyez-vous?), parce que j’aimerais aller jusqu’à la fin de la semaine. Et maintenant, restez très calmes pendant quelques instants. Voulez-vous faire cela pour moi? Tenez-vous calmes, soyez révérencieux et priez. Priez pour moi, et je ne serai pas très long. Nous vous laisserons sortir juste dans quelques instants.
Très bien, où–où est parti Billy Paul? Que dites-vous? Oh! c’est frère Wood, oui, ok. Je… les gens… parce que sur l’estrade, je connais l’esprit de Billy. Je connais tout ce qui ne va pas chez lui. Et lorsque l’onction me frappe, je peux sentir des choses venir vers moi, et pour Billy, je–je–je sens là où il est. Voyez-vous? Mais je–je n’arrive pas à le voir.
88 Il est avec moi, je l’ai porté dans mes bras, je gardais son biberon ici lorsque je voulais… sans mère, vous savez. Et j’ai dû être à la fois papa et maman. Nous n’avions pas les moyens pour garder le feu toute la nuit. Et savez-vous comment je gardais son petit biberon chaud? Je mettais cela sous l’oreiller, en dessous de ma tête, et je gardais cela chaud. Alors, lorsqu’il se réveillait la nuit, sa mère étant morte, vous savez, je lui donnais son petit… il avait un petit biberon coke avec un petit–une petite tétine au bout pour téter la nuit. Oh! nous avons passé des moments difficiles, mais nous sommes restés ensemble et Dieu a été bon envers nous. J’espère qu’il deviendra un prédicateur.
89 Très bien, que Dieu vous bénisse, madame. Maintenant, sœur, je pense que vous et moi, nous sommes étrangers l’un à l’autre, est-ce vrai? Ne parlez-vous pas anglais? Oh! vous parlez anglais, très bien. C’est bien, comme vous pouvez parler anglais. Maintenant, je–j’aimerais tout simplement vous parler, juste une ou deux minutes. Et je ne vous connais pas. Et Jésus vous connaît, cependant. Si vous étiez probablement… Êtes-vous née en Suède? Oh! nous sommes nés à bien des kilomètres de distance donc, n’est-ce pas? Eh bien, j’aimerais donc vous dire, que vous venez d’un bon pays, d’un très beau pays, la Suède.
Vous connaissez frère Pethrus, frère Lewi Pethrus? C’est un brave homme, n’est-ce pas? Je l’aime; c’est un homme très gentil, vraiment un brave homme. Maintenant, vous savez que je vous parle pour une certaine raison, n’est-ce pas? Je dis que je vous parle pour une certaine raison. En effet, je vous détends. Voyez-vous? J’aimerais que vous vous détendiez, en fait vous–vous êtes un peu nerveuse, inquiète, maintenant même. C’est–c’est pourquoi je vous parle ainsi. Je voudrais que vous soyez calme et détendue, afin que vous tiriez profit de votre présence ici. Voyez-vous?
90 Et maintenant, je ne connais rien à votre sujet et ceci est la première fois que nous nous rencontrons dans la vie; si Jésus me révèle ce que vous êtes venue Lui demander ici… Vous êtes venue non pas pour voir frère Branham, vous êtes venue pour voir le Seigneur Jésus. Et maintenant, croyez que–que je suis juste comme ce microphone. Voyez-vous? Ce microphone ne peut pas parler, à moins que quelque chose parle au travers de cela. Voyez-vous? C’est juste un morceau de métal. Il faut qu’un son frappe premièrement cela ici, avant que cela ne fasse retentir un écho (Voyez?), avant que cela n’opère la transmission. Eh bien, c’est ainsi que je suis; je suis juste comme le microphone. Voyez-vous?
Maintenant, il faut qu’il y ait une vraie intelligence ici derrière, Quelque chose qui vous connaît, et sait tout à votre sujet, qui sait pourquoi vous êtes ici, pour parler au travers de ces lèvres et dire cela. N’est-ce pas vrai? Maintenant, l’assistance croit cela, n’est-ce pas, l’assistance? Voyez-vous? En effet, nous ne nous connaissons pas, mais Il peut me le révéler. Alors croyez en Lui.
91 Une chose pour laquelle vous êtes venue pour que l’on prie pour vous, ce sont vos yeux, vos yeux sont ce que… Bien sûr, vous portez des lunettes et tout, parce que vous–vous avez mal aux yeux. Et je vous vois chez vous et tout, eh bien cela vous dérange beaucoup chez vous. Ensuite, il y a autre chose qui ne va pas chez vous, et c’est, c’est dans votre estomac. Vous avez la gastrite, et c’est vraiment très grave. Vous avez une–une perforation à votre estomac. Et il y a une–il y a là une grosseur, une sorte de tumeur à l’estomac.
Et maintenant, je vous vois dans un… vous n’êtes pas d’ici; vous venez d’ailleurs. Vous… Oui, c’est une région où il y a du blé, là dans le Minnesota. Vous êtes venue ici pour qu’on prie pour vous. C’est vrai. Croyez-vous maintenant? Vous pouvez alors rentrer dans le Minnesota et être bien portante. Jésus-Christ, guéris ma sœur ici présente au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.
92 Venez et soyons raisonnables. Très bien. Ayez foi en Dieu, sœur, en venant. Je ne vous ai jamais vue dans ma vie, et je ne vous ai jamais connue, autant que je sache. Mais Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous connaît tous les deux, n’est-ce pas? Vous êtes consciente qu’il y a Quelque Chose ici, n’est-ce pas? Si cela est vrai, si vous sentez cela, qu’il y a juste Quelque Chose de vraiment doux, voudriez-vous juste lever la main à l’intention du public, afin que les gens voient? C’est vrai. C’est cette Lumière que vous voyez sur cette photo. C’est le Seigneur Jésus.
Maintenant, nous sommes étrangers l’un à l’autre. Vous avez l’air d’une femme en très bonne santé, à vous voir. Mais je vous vois vous éloigner de moi. Et je vois quelque chose se produire; c’est juste sous vos côtes, du côté droit. C’est une–c’est une vésicule, une maladie de vésicule biliaire. Et je vois on–on voit là-dedans que votre–votre–votre–votre foie, c’est entièrement… vous avez une–une grosseur au foie, cela cherche même à sortir, ça fait une percée. Et vous êtes dans un état critique. AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT. Cela est vrai. Croyez-vous maintenant?
93 Bien-aimé Père céleste, il est vrai que cette femme marche dans l’ombre de la mort, mais maintenant elle se tient dans l’ombre de la Vie et de la Lumière. Ô Dieu, que l’obscurité soit repoussée, et que la lumière brille. Et puisse-t-elle vivre, je prie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, allez en croyant et en vous réjouissant. Votre maladie vous rendait très nerveuse, ainsi ne vous inquiétez plus maintenant. Partez et soyez heureuse, vous êtes rétablie. Amen.
94 Gloire à Dieu, à notre Seigneur Jésus. Il–Il est ressuscité des morts; Il vit à jamais. Il ne peut jamais faillir. Il est omniscient, omniprésent, tout-puissant. Oh, Il est tout. Combien je L’aime. Qu’Il est merveilleux! «Si vous pouvez croire, a dit le Maître, tout est possible.
Sœur Downy, je–j’aimerais vous parler maintenant, parce que je vous connais, vous êtes assise là. Mais vous êtes inquiète au sujet de votre mère, là. Voyez-vous? Vous priez donc pour elle. J’ai saisi cela tout à l’heure. Mais n’ayez donc pas peur; je crois que tout ira bien. Voyez-vous? Je–je vous connais, c’est pour cela que je vous ai vue apparaître et j’ai vu votre mère, et je vous ai vue venir. Ainsi, je–j’ai pu reconnaître la personne dans la vision. C’était vous.
95 Quelqu’un d’autre tirait de ce côté-ci, mais cela… et c’était à la fois au niveau de la poitrine et au flanc. C’est cette femme qui est assise ici avec une affection de vésicule biliaire, assise juste là au bout. Et si elle croit… Oui madame, c’était vous. C’est vrai. Levez-vous juste un instant. Maintenant, allez et soyez guérie, la dame là au bout. Que Dieu vous bénisse aussi, sœur, si vous aviez une affection de vésiculaire biliaire, croyez aussi cela. Il y a une dame que j’ai vue en vision, là même, elle portait une veste. Et Que le Seigneur bénisse.
Ne L’aimons-nous pas? Combien notre Seigneur Jésus-Christ est merveilleux! Vraiment Il est si réel. Maintenant, si seulement vous pouvez vous rendre compte que c’est Lui! Voyez? C’est le Dieu tout omnipotent.
96 Je vois une dame. Je vais juste la regarder une minute, parce qu’elle a la tête inclinée; ses yeux sont fermés. Elle a une robe rougeâtre, ou un porte-monnaie ou quelque chose comme cela. Elle a des cheveux grisonnants. Elle prie; elle est assise juste ici dans la rangée. Elle essaie de son mieux de contacter le Seigneur Jésus, car elle sait qu’elle ne peut pas venir ici à l’estrade. Croyez-vous que je suis Son serviteur, sœur? La dame aux cheveux grisonnants, assise juste ici, celle qui prie avec ferveur. Croyez-vous? Vous voulez être guérie de ces troubles cardiaques, et croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Croyez-vous cela? Très bien, tout devient lumière autour de vous maintenant. Je crois qu’Il a entendu votre prière. Maintenant, partez. Que Dieu vous bénisse.
97 Oh, Il est vraiment réel, si seulement vous pouvez croire en Lui. Oh! comme c’est merveilleux! Sœur, vous avez été guérie de troubles nerveux, et tout vous a quittée il y a quelques instants pendant que je me tenais là, ainsi vous… rentrez tout simplement à la maison, réjouissez-vous, disant: «Grâces le–le Seigneur bien-aimé», et allez de l’avant et soyez bien portante. Amen. Disons: «Grâces soient rendues à Dieu.» Combien je L’aime, Il est vraiment réel.
Très bien, la malade. Bonsoir, sœur. Croyez-vous? Très bien. Je crois que vous aussi. Sommes-nous étrangers l’un à l’autre? Très bien. Je suis très heureux de savoir que nous… je suis heureux de faire votre connaissance maintenant, mais je suis heureux de savoir que nous sommes étrangers l’un à l’autre. Alors je ne sais pas ce qui ne va pas en vous. Vous savez cela. Je n’ai aucune idée, mais Dieu le sait. Il sait pourquoi vous êtes ici, et Il peut–Il peut me le dire. Et s’Il me le disait, allez-vous alors croire?
98 Ayez vraiment foi et soyez vraiment révérencieux, juste quelques minutes donc. Ne doutez pas, on a toutes sortes de foi. Madame, vous qui avez levé la main il y a quelques instants, vous désiriez vraiment être guérie là, lorsque cette dame a été guérie, celle qui est à côté de vous. Voyez-vous? Vous le désirez. Oui oui. En effet, vous aviez l’hypertension, et vous vouliez vraiment être guérie de cela. Voyez-vous? C’est vrai. Mais je–je crois que c’est parti maintenant; j’attendais tout simplement avant que je le dise aux gens. Amen.
Ayez tout simplement foi en Dieu. C’est vrai. La petite dame assise là, en train de pleurer, un peu grosse, et qui me regarde maintenant. L’Ange de l’Éternel se tient là au-dessus d’elle. Ne voyez-vous pas cela, assistance? Regardez, Il se tient juste ici. Ne pouvez-vous pas voir cette Lumière, juste… suspendue juste ici? Maintenant, cette femme, là, je ne peux pas la guérir, mais elle a une affection de vésicule biliaire, elle veut en–en être guérie. C’est vrai, n’est-ce pas? Et si vous croyez, vous pouvez être guérie. C’est très bien, monsieur. Que Dieu vous bénisse.
99 L’homme assis juste là, à côté de vous, il a la sclérose des artères, il veut aussi être guéri. Il–il pense que Dieu le guérira, n’est-ce pas, monsieur? Croyez-vous qu’Il a donc fait cela? Je voudrais vous poser une question. Au moment où je parlais à cette femme, et qu’elle a manqué sa guérison, et cela est allé au-dessus de vous, juste à ce moment-là par Sa grâce souveraine, lorsque cela est allé au-dessus de vous, une sensation vraiment étrange vous a alors envahi, n’est-ce pas? En effet, vous vous demandiez pourquoi cette femme ne s’était pas levée, n’est-ce pas? Voyez, elle a manqué cela, car l’Ange la quittait pour aller vers vous. N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, agitez la main, une sensation vraiment étrange. C’est vrai. Cela est donc parti, frère. Votre foi a saisi la vision. Amen.
100 N’est-Il pas merveilleux? Oh! la la! rien n’est comparable à notre Seigneur Jésus. Ayez tout simplement foi. Très bien. Croyez-vous de tout votre cœur? Je dois vous parler, car c’est juste… ça y est. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Ce n’est pas pour vous-même. Je vois cela maintenant. C’est–c’est un–c’est un jeune homme. Et ce jeune homme est à l’hôpital. Et il porte une sorte d’uniforme. Et cela ressemble à–à l’uniforme de–de l’armée de l’air. Il est–il est dans les forces aériennes. Il s’est blessé–fracturé–fracturé le cou ou quelque chose comme cela. Et vous êtes ici, vous êtes préoccupé par le cas de ce jeune homme. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Le mouchoir que vous avez en–en main, ramenez ce mouchoir et envoyez-le-lui. Posez cela sur lui. Ayez foi en Dieu, et le jeune garçon s’en tirera, et sera, sera rétabli.
101 Très bien, mon ami… Croyez-vous? Nous sommes étrangers l’un à l’autre, mais pas étrangers pour Christ. Ce jeune homme mince assis juste là au bout de la rangée, là-bas, atteint des troubles cardiaques… Oui, croyez-vous, monsieur? Vous avez également quelque chose qui ne va pas, dans vos poumons. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablira? Je vous ai vu vous tenir ici sur l’estrade, je vous ai suivi jusqu’à votre siège. Vous êtes là, assis là en train de prier. Croyez-vous qu’Il vous a guéri? Alors vous pouvez avoir ce que vous avez demandé. Que Dieu vous bénisse. Allez et soyez rétabli.
Oh! n’est-Il pas merveilleux? La dame m’est étrangère. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Nous sommes de parfaits étrangers, l’un à l’autre. Est-ce vrai, Madame? Certainement. Et nous voici ici. Je crois qu’il y a un instant, pendant que je prêchais, il y a quelque temps, cet après-midi ou ici au service du soir, je disais quelque chose au sujet des gens de couleur. Comment le jeune esclave se conduisait, parce qu’il était un–il était un–il était un fils de roi. Nous devons nous conduire aussi comme cela.
102 Moi, étant étranger pour vous, et vous étant étrangère pour moi, nous nous tenons ensemble ici, ne nous connaissant pas l’un et l’autre; vous êtes une femme de couleur, moi un homme blanc, cependant nous deux, nous aimons le Seigneur Jésus… Il est mort pour nous sauver tous les deux, pour nous amener dans un même Ciel. Un jour, tout sera terminé, sœur. Nous n’allons plus nous tenir et prier les uns pour les autres. Jésus viendra. C’est Lui que nous aimons, et c’est Lui dont j’essaie de parler aux gens, qui sont ici.
Vous souffrez, je vous vois chercher à sortir d’un lit. Et vous n’y arrivez pas. Vous avez l’arthrite. C’est vrai. La vision est en train de se déplacer maintenant; vous ne pouvez pas cacher votre vie. Vous vous éloignez aussi de la table, surtout de la nourriture qui est pleine de graisse, et autres. Vous avez la gastrite. C’est vrai. Et vous avez–vous êtes très nerveuse. Vous êtes vraiment très nerveuse. Et parfois vous pensez que vous êtes sur le point de partir… de perdre la tête. Et c’est cela qui cause la gastrite, c’est parce que cela cause du spasme à votre estomac. Et vous avez quelque chose comme la dyspepsie, cette histoire qui vous remonte jusque dans la bouche lorsque vous mangez.
103 Et disons donc que vous–vous n’êtes pas d’ici. Vous habitez près d’une–d’une grande rivière, et un endroit qu’elle draine. Et je vous vois descendre dans la quatrième rue à Louisville. Vous venez de Louisville, dans le Kentucky. Vous venez de là. Oui oui. Vous êtes madame Alberta, et votre nom de famille est Lee. N’est-ce pas vrai? Maintenant, la nervosité vous a quittée, n’est-ce pas vrai? Et vous êtes guérie; vous pouvez rentrer à la maison maintenant et être bien portante au Nom de Jésus.
Disons: «Gloire soit rendue au Dieu vivant!» Croyez-vous? Ayez foi. Raisonnable, mes amis. Jésus-Christ est ici.
Madame, voudriez-vous être guérie de cette maladie de femme? Levez la main et dites: «J’accepte Jésus.» Amen. Allez en croyant de tout votre cœur, et vous pouvez être, vous en serez guérie.
104 L’aimez-vous de tout votre cœur? Croyez en Lui alors de tout votre cœur. Dieu peut guérir vos yeux, vous rétablir. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Assurément, continuez à croire en Lui. Dites: «J’ai confiance en Toi, Seigneur.» Il ne veut pas que vous soyez aveugle; Il veut que vous–Il veut que vous voyez, et tout–tout. Croyez tout simplement en Lui de tout votre cœur maintenant. Allez et soyez rétablie.
Sœur, une ombre de la mort, appelée cancer, mais Dieu est omnipotent. Croyez-vous cela? Il peut tuer ce cancer-là, l’anéantir au possible, maintenant même. Croyez-vous cela? Je condamne cette chose au Nom de Jésus-Christ. Puisse cela sortir de cette femme. Amen. Allez, croyant maintenant de tout votre cœur, disant: «Merci Seigneur Jésus …?…»
105 Dieu peut guérir les troubles cardiaques, n’importe quoi d’autre; Il peut guérir cela complètement. Croyez-vous cela, jeune dame? Levez la main, dites: «Je Le remercie.» C’est la nervosité qui vous attire cela. Allez en croyant maintenant, et vous serez rétablie, et vous n’aurez plus cela. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Qu’est-ce que l’arthrite pour notre Dieu? Il peut vous rétablir. Ne croyez-vous pas cela? Passez par ici comme une jeune dame, au Nom du Seigneur Jésus, allez et soyez–soyez rétablie. Amen.
Croyez-vous, mère? Je… L’onction devient si forte dans l’assistance, et je m’affaiblis beaucoup, je peux à peine me tenir ici. Mais le… je vois quelque chose comme une affection du côlon chez une personne qui est assise juste ici, un côlon qui bouge dans le… Oui madame, je… Croyez-vous de tout votre cœur, de toute votre âme, de toute votre pensée? Je vois une grande clinique, comme la clinique de Frères Mayo. Avez-vous été chez les Frères Mayo, à la clinique, ou à un genre de clinique là qui–qui a été déplacée et, je vois un–comme un grand clocher. Croyez-vous de tout votre cœur que Jésus-Christ vous rétablira? Croyez-vous cela, Madame? Alors vous pouvez vous lever et recevoir votre guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen. Alléluia! Ayez foi en Dieu.
106 Billy, est-ce votre prochain malade? Ayez foi. Croyez-vous? Qu’arriverait-il si je vous disais que vous étiez guéri maintenant même, accepteriez-vous cela? L’accepteriez-vous? Descendez donc de l’estrade en disant: «Merci, Seigneur Jésus.» Et vous n’aurez plus jamais à prendre le di… cette insuline ni rien. Jésus-Christ vous rétablira si vous croyez cela. Amen.
Disons: «Gloire soit rendue à Dieu!» Oh! la la! maintenant c’est au-dessus de l’assistance, quel temps donc! Béni soit le lien qui unit nos cours dans l’amour chrétien. Si j’ai trouvé grâce à votre cœur ce soir pour vous dire la vérité par la Bible du Dieu tout-puissant, et la confirmation de Jésus-Christ ressuscité, Il guérira chaque personne ici. Et Il l’a déjà fait, si vous pouvez croire cela.
107 Êtes-vous malade, Madame? Croyez-vous de tout votre cœur? Croyez-vous que Jésus vous rétablira? Si je vous dis ce qui ne va pas chez vous, et vous savez que nous sommes étrangers, l’un à l’autre, accepterez-vous cela? Vous souffrez à la suite d’un accident. Vous étiez tombée, et vous avez une sorte de blessure ici à l’intérieur, et des choses, et… Non, c’est la dame, derrière vous; c’est une vision qui revient là, disant… voici la dame, juste ici. C’est vrai. Croyez-vous, Madame, de tout votre cœur? Que Dieu vous bénisse. Allez en… Votre foi vous a vraiment guérie.
Disons: «Gloire au Seigneur!» pendant que… Alléluia! Il Se tient ici. Croyez-vous? Levez-vous vite maintenant et acceptez-Le, juste là où vous êtes… Levez les mains vers Lui maintenant même, maintenant pendant que nous prions.
108 Ô Dieu, Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, déverse Tes bénédictions, Seigneur, sur cette assistance en ce moment-ci. Tu es présent, omnipotent, ô Dieu, aie pitié de cette assistance, et guéris chacun d’eux. Accorde-le, Seigneur, par Jésus, le Fils de Dieu, je le demande.
Maintenant, avec vos mains levées en l’air, levez les mains, tout le monde maintenant. Gardez les mains levées, et faites ce que je vous dis de faire. Maintenant, répétez ces paroles après moi: «Seigneur, je crois. Satan, tu es vaincu. Je suis guéri au Nom de Jésus.» [L’assemblée répète après Frère Branham–N.D.É.] Rendez-lui gloire maintenant, et vous pourrez recevoir ce que vous demandez.
E-1 Only
Believe,
All
things are possible, only believe
Only
believe...
Shall we bow our heads, just a moment, in a word of prayer? Our
heavenly Father, we thank thee tonight, for this another gathering
together. And how that by the amazing grace of our Lord Jesus Christ,
You've kept us through the toils and dangers of the day, and has
presented us here again in this church tonight to worship Thee in the
beauty of the old fashion way, of worship in the Spirit and Truth. We
thank Thee for these things.
And now, Lord, we humbly submit ourselves unto Thee, praying that by
the shed Blood of the Lord Jesus, that every sin will be remitted,
every--all of our iniquities under the Blood, and the Holy Spirit may
have the right-of-way tonight, perfectly in every heart, in such a way,
that when we leave, we will say like those who came from Emmaus, "Did
not our hearts burn within us as He talked with us along the way." For
we ask it in His Name. Amen.
E-2 Good evening, friends. Very great pleasure for me to be here, back again tonight, the Tuesday night of the--of the meeting in Chicago. And this great rally that Brother Boze, the Philadelphian Church is having here, in a convention. He spoke for me to come about a year ago, to be sure to meet at this convention. He was standing there a few moments ago when we were having some pictures taken, perhaps for his magazine, that... And he was telling me about the ministers today, talking about last night's meeting, the phenomenal of how the Holy Spirit is moving in this day. Kind of changed my mind about some things I wanted to speak about. Maybe I will just talk about that for a few moments.
E-3 And you
know, after all the ministers are the shepherds of the flock.
That--that's right. And if they can just... you get in a group... I've
went to places many times, where you get preachers that was suspicious.
I tell you, you just might as well go home, 'cause the meeting's
ruined. But when you get them when they're in one accord, and
everybody... Then I tell you, it's nothing sweeter on earth. Get the
shepherds... Well, they've got a right to be suspicious. You see, they
feed the sheep, the flock. And I don't blame them. If I was suspicious,
I'd--I'd say I was. And so I--I don't blame them. They're the shepherds
of the flock. And God bless them, is my prayer. Is to be sure that they
know what they're talking about, for we're living in a day when the
sheep could be eating garbage, you know, and have to watch what you're
giving them. Give them the true Word. That's right. That's what--this
got more vitamins than all the drug stores has in the city, the real
Word of the living God.
Now, we're happy. Last evening, I was--was with a friend of mine, that
come over after the services, about services, and for another place, at
another convention. And I just had a call, and I'm supposed to be
somewhere, way up, some eastern state. And I--I'm the most places for
any person I ever seen.
E-4 The
other day, there was a lady called my wife, and--from a certain city,
and said, "Sister Branham," said, "Is--is something happened to Brother
Branham?"
She said, "Not as I know of, why?"
Said, "Well,", said, "He's supposed to have been here. This is the
third night," said, "We're all waiting, and..."
Said, "What?"
Said, "Yes," said, "the pastor of this church," this lady pastor here,
said she was talking to him last night, and said, "It's been advertised
here in the papers and everything." Said, "He's supposed to be here."
And so the--she said, "Well, I'm sorry, he's been in Germany, for two
weeks, and he knows nothing about..."
E-5 And you
know, that hurts me awfully bad. I don't want you all think hard of me
for those things. A friend last night--that's what he was riding me
over the coals about; said, "You don't keep your promises." Well, it's
a hard thing. And I--I--there's much of it is my fault, I--I suppose.
And--but there's--of that... There's some of it, it isn't my fault.
(Thank you) There's some of that isn't my fault, because I've seen
it--times where it would be advertised at three or four different
places.
Let me give you just a little inside, for a moment, will you do that?
How would you like to be standing in your own home, here's someone in
this room, saying, "The Lord has told me, Brother Branham, that you're
supposed to come to this place, at our place, or He will cut your
ministry off. That's THUS SAITH THE LORD."
Another one in this room, saying, "No, she's wrong. You're supposed to
be over here for THUS SAITH THE LORD."
And another one back in this room, saying, "No, they're both wrong."
See? And how would you like to put up with that awhile? You don't want
to be rude. You don't want to hurt anyone's feelings. But I--I tell
you, it's a good thing you had a lot of patience, sometime.
E-6 And
then, some peoples write in, say, "Now, Brother Branham, we've already
got the advertisement out. The Lord said that you was going to be here."
Well, if He did, looked like He'd of said something to me about it, you
know. So He--He--He--I believe when He want... But that's the way it
makes it... What I really need, is a paper of my own, somewhere, that
would--that would really advertise the meetings. But friends, I--I'm
not a businessman. How could I operate a paper? I haven't got hardly
intelligence to drive a car, let alone operate a paper, so... I had one
started one time, and give it up, "The Voice of Healing." So I
just--wherever it comes out...
E-7 But you
bear with me, I'm trying to do the best I can, anyhow. So if you--if
any meetings or anything though, it'll be officially announced, it
would be in this, "Herald of Faith," here, Brother Joseph, 'cause he
always calls Mr. Moore. I don't make any arrangements for meetings. I
work on it just general orders. And it's so hard anyhow, for me to--to
have set meetings.
I'm trying now, my best, if God will help me, to--to kindy move off
into another type of ministry, if I can, while--especially in America.
And these signs and wonders that's been done, and the phenomenal, which
is--is--we've talked of. Now, for eight or ten years it's swept across
the nation, and everyone knows about it. I'm asking our Lord, if He
will just let me just pray for His sick children, and settle it at
that. Then I can make arrangements.
E-8 But
this office of this type, friend, is a different office than what you
think it is. I can't make arrangements for nothing, 'cause I don't know
what He's going to tell me. And I can--I've been right in the middle of
meetings, where this would be the--the balcony, or would be the choir,
almost, and stop right after two days and take off somewhere else,
because He told me to, and I better do it. You know what's happened
many times, because I didn't do it. So I must do it, just...
And I can't set my meetings like Brother Roberts, and Billy Graham, and
many of them, who for two years ahead, know just exactly where their
meetings are going to be. If I'd make an itinerary like that, it's hard
to tell what the Lord would do to me. I just have to go and, well,
just... If I feel led to go somewhere, I--I ask Him about it. and He
lets me go, I just take off; that's all. And have to be just in a short
notice.
And usually, I call Brother Moore. Anyone asking for dates or for
meetings, and they call him, and I work right through him then. And
when I have a leading to go somewhere, like if it would be at, oh, some
certain city, I will call him up, say, "What's the contact there, the
Holy Spirit seems to be leading me that way?" Well, then, he will tell
me, and then we get in contact with them. Then if we've got time, we
put it in the paper, if we don't, why of course we can't.
E-9 Now, I
thought just a little bit each night for the ministers sake. I'm sure
the laity will bear with me on this. I've met a fine bunch of ministers
in my life, and especially around Chicago here. Some of the finest man
I've ever met, has been God's servants, around in this parts of the
country, all parts of the country, throughout the world.
And now that I'm trying hard to move off into evangelistic type of
services, just to preach, and--and just call the people up and pray for
them. And--and many questions is been asked me, many times, concerning
the--the operation of the little gift, that the Holy Spirit has given
me. Oh, there's no one can explain it, but each night I'm going to try
to, if I can, if God willing, just before a short message, 'fore we
pray for the sick, to try to give you just a little idea.
E-10 Now,
tonight I thought... Last night I was speaking on the phenomenon of it
coming down, with the pictures and so forth. Now, tonight, I want to
take just about a--ten minutes on another version of it. And that is, I
base it like this, that "gifts and callings are without repentance."
See? Now, you... Gifts are not given to people as they desire it. "It's
not him that runneth, or him that willeth, it's God that showeth
mercy." See? And "Gifts and callings are without repentance."
Ministers can't help because they're ministers, if they are really
called of God. Paul said, "Woe unto me if I preach not the Gospel."
They are ministers, because--maybe not by desire, but because the Holy
Ghost has called them to be ministers.
E-11 I
wouldn't--I--I wouldn't desire my boy, either one of them, to be
ministers, if they just had to go away and get a lot of psychology, and
something like that, and go out to make an act before people. I want
them to go to the pulpit, under the anointing of the Holy Ghost, and
preach because that they love the Lord Jesus. Not a meal ticket, just
to--because they love the Lord, and do it for what good it can be done
for the Kingdom of God. Outside of that, I--I wouldn't want him to be
even a bishop or a--whatever he might be, I wouldn't desire it.
And so--now, the question has many times come to me, and even to my
close associates, when they tell me they don't think that, but yet,
there's many times... The reason I don't meet so many people, I find
out things when that anointing's on me that I don't want know. See?
E-12 I've
met ministers, who've patted me on the back, and called me brother, and
I knowed right then that was wrong. I want to love them; I don't want
to think that. And when I know it, then I'd--I'd rather not know it.
That's one reason I don't meet with people.
Another thing, visions show, and you find things that you don't want to
know. I'd rather not know nothing about it. I love people; I'd just
like to get my arms around every one, and--and I--I love them. And I
want to think the very highest and best. But sometimes, there's little
secrets that every one of us have in our lives, and under them kind of
times, it cannot be hid.
E-13 And
now, one thing about--one of the strange things, that my close
associates has always thought (not all of them, certainly not, but many
people), they can't understand getting weak on the platform: "Why just
a few times and you're gone?" I've had many men to tell me, "Brother
Branham, I believe you're stalling." Well, if I'd be a hypocrite like
that, I'd walk out of this platform tonight. Yes, sir. No, sir, that's
wrong.
Now, I want to stay Scripture. Anything that's not Scriptural, I don't
want nothing to do with it. Now, let's just take this for a moment and
while I try to explain that, and what a vision is. If you all so
desire, would you give me that much time, just for a moment? Yes, sir,
thank you.
E-14 This is
for ministers. See, they're having a--a convention here, and I wished I
could go to the convention in daytime and talk with those men. And I'd
really enjoy that. And I could learn lots from them that I don't know.
I'm sure I could. But I can't do it, and holding these type of meetings.
Now, a vision is a... I'm going to give you a little parable. Stand out
here so I can see you real good. And let's take it like this now, in a
childlike form, so everybody will understand it.
Now, we're all little children, and we're... You remember when we used
to didn't have a dime to go to the carnival, when it come to town, or
the circus? Sure we did. And now, "Gifts and callings are without
repentance."
E-15 We're
all standing around a great big fence; it's a great big fence. On the
inside of this fence is a great carnival or circus, going on, all kind
of animals and everything. And all of us little boys and girls are
standing around there. And we want to--we want to know what's on the
inside.
Well, I happen to be your tall brother. Now, there's--that don't make
me any more of a brother. There's another brother, maybe by me, who's
short and stocky, strong. If there's a load to be lifted, he can lift
it. But I've got... God just made me taller, than my brother.
E-16 Now,
the first thing you know, way up there, almost to the top, there's a
little hole in the--in the fence, that you can look through. But my
little short brother, he can't get up that high, but I can. Now, God
made me tall. Now, I never got tall because I wanted to be tall. Do you
follow me? I'm tall because I was born to be tall.
You're a preacher, because you was born to be a preacher. "God has set
in the church--God has set in the church, first apostles..." An
apostle--I don't know why they ever desire to get them call it apostle.
Apostle is a missionary, the same word, missionary, one and the same.
"And first, missionaries, prophets, evangelists, teachers... God has
set." God foreordained those things to be, and they're put in the
church, by God's foreknowledge. And then...
Moses couldn't help being Moses. And Jeremiah, God called him before he
was even formed in his mothers womb, said, "I knew you, and sanctified
you, and ordained you a prophet to the nations." Had nothing to do with
him. God does it. "God has set..."
E-17 Well
now, at the little bench we're all standing. I happen to be just a
little bit taller than my brother. Now, he can lift the load, that I
can't lift, but I can see just a little higher than he can see. See?
Maybe that's Brother Joseph and I. He can--he can preach like I
couldn't preach. And maybe I can see a vision, where he will never see.
And I couldn't preach like him. And that's the way God has made us all,
just like the furniture in the house.
One, I can prove to you, that this night--that there's supernatural
voices coming through this room, that you can't see. If you don't
believe it, switch on a radio somewhere, see if it isn't. You don't see
it; there's no way for your senses to declare it, but it's there. What
if a piece of metal... Here's a tape recording, taping that voice, but
that tape recorder can't pick up that voice, until something, a crystal
of some sort working makes it positive to it. Is that right?
E-18 Well,
there's also pictures, live pictures, coming through this room. You
know that? Turn the television on. Now, what if all the furniture in
the house, some was television, some was radio, some was icebox, and
some was the--the chesterfield, and some the--the--the, oh, all the
furniture goes in the house. Well, then one, the radio can pick up a
voice, but it can't pick up the picture. The television can pick up the
picture, but it can't be the icebox. See?
We all have different parts. God has put the furniture in the house.
Now, watch the television say, "I will just not be television no more,
if I can't be a icebox." See? Television's out. But if we all just find
our calling in God and abide there. See? God knows just when to use us,
and how to use us. And--and we don't want to be jumping here and there.
Be where God put you. Be original. Be just what God wants you to be.
E-19 Now, in
this case, brother--my brothers and sisters standing behind, said,
"Now, you look over and see what you can see."
All right, I reach my big, long, lanky hands up, and get a hold of
my--the boards, and I pull real hard on my toes up, look and I say,
"Why." I come back down, my, hard work."
What did you see?"
"A elephant."
You did?"
"Uh-huh."
"What else did you see?"
"Well, I don't know, I'm trying." And I go up--a way up high and get a
hold of it again, and I pull with all my might, I look, "Why." when I
come back down...
"What did you see?"
"A giraffe."
E-20 Now,
that's like these visions on the platform. See? It's seeing a vision.
Now, it's a gift of God. Now ministers, get this. It's a gift of God.
Now, when Jesus was here on earth, He was the greatest Gift that God
ever give to the earth, because He was God. God was in Christ,
reconciling the world to Himself. "The fullness of God dwelt in Jesus
Christ. He had the Spirit without measure." The Bible says that.
Now, in Him, would be just like comparing, I'd say like this, of all
the water there is in the sea. That was the Gift of God, that was in
Jesus Christ. Now, this little gift, that's in his unprofitable servant
here, is just a spoonful of water out of that ocean. Now, you know how
much that spoonful of water would be to the ocean, nothing. But
remember, the same chemicals that's in that spoon, is in the whole
ocean, just not as much of it. See?
Now, God give that gift to me by measure. He gives it to you by
measure. He gives it to this man to preach by measure. He gives it to
this man to sing by measure. But He give it to Jesus without measure.
It was just--all of God was in Him; He was God manifested in flesh.
E-21 Now,
but we are sons of God like He was, but adopted sons of God by His
grace. By the death of Jesus, God's son, brings us into relationship to
God. Now then, God with His adopted sons, has set in the church, some
apostles, some teachers, some prophets, some evangelists, and so forth,
down like that. Now, they're just small gifts.
Now, we will take, whether Jesus got weak or not with all that power.
One day He was going along, and a woman touched His garment. And
she--that was her point of contact. She believed Him with all of her
heart. And she run off out in the audience, somewhere. Jesus turned
around, and said, "Now, who touched Me?"
And the apostles said, "Why, Lord, who touched You," why said,
"Everybody's touching You. Why say, 'Somebody touched You?'"
He said, "But I perceive that virtue has gone out of Me." Is that true?
E-22 What
does "virtue" mean? "Strength." Is that right? "I got weak." in other
words. "Somebody touched Me; I got weak." Now, what did that woman do?
That woman, with her faith in Jesus Christ, being the Gift of God,
drawed dividends on her faith from Him. Is that plain? Her faith
operated God's gift in Jesus Christ.
Jesus didn't know the woman. He didn't know who touched Him, He
would've said, "You who touched Me." He didn't know it. He said, "I
don't know nothing, or do nothing till the Father shows Me first, then
I go do it." And this woman touched and she drawed from Jesus, the very
desire of her heart, because she believed that He was the Emmanuel. And
see, her faith...
E-23 Then He
turned around, He said... He looked. Then when that virtue went out, He
seen where it was moving from, where the...?... come over all, probably
many more people than there is here tonight. He looked way back in the
audience, and He said to her, "Thy faith has made thee whole." The
blood issue had stopped. See? Now, she pulled out of Jesus, what she
desired out of God. For God--Jesus was God representative, the body
that God lived in here on earth. Now, to--now, that's when a person
operated the gift of God.
Now, listen, it's not me, that needs to be for you. Now, I'm fixing to
close these services, just in a night or two, start praying for sick.
And it'd never do me--I have never been--I don't know nothing about it.
It's your faith in God, that says the same thing. It--it's a gift of
God. I'm not God's gift. That Light and--and Angel that you see the
pictures of. The scientific world, now all over the world, Germany,
United States, and everywhere, took the picture of it. That's God's
gift.
E-24 I was
borned at the time that gift was sovereignly given to me. But I
couldn't do one thing with that gift, unless you believed it. It's your
faith in what I'm telling you about Jesus Christ, that draws dividends
on what God has did for you in Jesus Christ. Do you see it?
Now, that's what makes me weak at the platform. That's why--the reason
you have to pack me out. Do you see it Scripturally now? See, it's you
using God's gift, not me, it's you. Now, every one of you now just shut
down on me, say, "I don't believe; He's a hypocrite, and I don't
believe nothing of it," there could not be one thing done. That's right.
E-25 Jesus,
went into a city and--where He was borned at, and He said, "Many mighty
works He could not do--He could not do because of their?" [Congregation
says, "Unbelief"--Ed.] Correct.
They had to believe it. Watch the approach, watch anyone. Look at that
woman, how she touched His garments, and got healed. But look at the
Roman soldier, who put a rag around His face, and hit Him on the head,
and said, "Now, if you're a prophesier, see visions, tell us who hit
you." He didn't feel no virtue, 'cause he didn't believe it in the
first place.
But that woman, felt virtue, or He felt virtue leave, because the woman
had faith. She got what she come for, 'cause she approached it right.
That's the reason the Shunammite woman, before Elijah, which was God's
representative, she got what she asked, because she approached God's
gift reverently. That's the reason Martha got what she asked, when
Lazarus was dead, because she approached God's Gift reverently. See?
You've got to believe it. Without faith...
E-26 Now, it
isn't me. You say, "Brother Branham, can you tell me what's wrong with
me?" No, sir, I cannot. That's right. But if--if you will believe it
with all your heart, now, not imagine it, but believe it with your
heart, God will tell you about it.
But now, I don't know what I'm saying. I can hear myself, but I'm in
another world--another... It's a--it's a sixth sense, or a fourth
dimension, it's--or whatever it is. It's in the dimension that these
pictures and things...?... in now. We will just take it like that for a
discussion sake. Or the voices, that's coming through here, even taped
singers, singing now; there's people screaming; there's all kinds of
things going on, air waves going through here, but you can't pick it
up. A radio could. These pictures coming through here; you can't see
that. There's no way for you to...?... but the television would show
them.
E-27 Now, you see, some is set in for television, some set in for voice, some set in for something, and something else, and they can't help that. It's something... Now, the television set is--the television is a--is a mute, and so is the radio, a deaf and dumb mute, unless there's something operating it. There'd have to be a sending station to send forth that wave, or no matter how much radio you had, it would never make a noise. Is that right? It's absolutely a mute. And so would I be towards visions, a absolutely a mute, unless there is a Holy Ghost here to send forth that power of God, to do just exactly what Jesus said He would do in these days. See? Now--now, it's a gift of God. Now, that's what makes me weak.
E-28 Now,
for instance, we stand back at the fence, me and these little boys and
girls--a few minutes. We're back at the fence again. Now, that's when
you're using Gods gift. Now, what if God wants to use His own gift? No
strain for me, I don't have to come under it. I will just be walking
along the street, or setting in the house, or--or anywhere else, and
God appears to me, and He tells me. That don't make me weak, that makes
me happy.
And now, at the fence, the ring master, or the owner of the carnival,
comes over, the circus, said, "Do you want to see the whole thing? I
want to show you something." He just gets me by the back of the neck
and raises me up, and said, "You see over here? This is what's going to
take place here. This giraffe is going to come around, do this, and
this, so-and-so, and here's going to be the whole show."
E-29 Now, on the platform here, it's just merely your--your faith pulling in that gift. And He...?... maybe sometimes, vision breaks, and tells what all is taking place. But now, when God gives a vision, He just picks up like that. I don't know when it's going to happen. And He shows me, "Now, you go to a certain place; you stand there. There'll be just a certain time." I might be in that city, fifty--a hundred--two--or two thousand miles away, it'll happen just like this.
E-30 Like the little boy, I raised up in Finland here, and over in Switzerland. All these things that you see, that's told months and months, and sometime years ahead of time. He will tell me right where I will be standing, right where to be, tell me the whole thing. When I come back out of that, I'm just as happy as I can be. That's God using His gift. God uses His gift Hisself, whenever He wants to speak to us, and turns it over to the people to use it, as you'll have faith to using it. Amen. May the Lord bless you--and you...
E-31 Now,
that--was that Scriptural? That's exactly Bible. So there's nothing to
be suspicious about. There's nothing to draw any conclusions, to say
that it was mental telepathy. We know we--the devil has an impersonator
for every real thing that God has. That's right. They always have. They
had, Jannes and Jambres, but--and they had Moses and Aaron. That's
right. They had Simon the sorcerer. They had Philip who done the
healing. See? They've always had the pro and con. They always will
have, till Jesus comes, and then all of the negative will be taken away.
Dance, that first originated in the Bible. The devil got a hold of it,
and caused separation of human--of families. Certainly, all the things
that you see, singing, first originated in the praises of God. Now,
look out here at all the old, dirty, slander, what you call
boogie-woogie or ever that kind of nonsense, and carry on. I never
heard of such in my life. A Christian spirit couldn't listen to such
stuff as that and stay right. See?
E-32 But
what good does it do? The devil is singing, sure. But look what it is,
look what it's declaring, evil. And fortuneteller, and everything's
charging you dollars, and taking your money to go around and do a few
things, and it's about half right, and half of the other's not, and
everything like that, and don't declare Christ, and don't speak of
resurrection, and don't call sinners to repentance.
It's nothing to it but a bunch of nonsense about some dead person, and
they're interceding, sure, with the dead that's down underneath, the
souls that's in prison, that repented not, and all the lost down in
there. Tell you about your--some old man that died years ago. That
witch is setting there under that; that's all he knows about; that's
all he can speak about. That's what the medium speaks of. But the
Spirit of God speaks of Jesus Christ the Son of God, the second coming
of Christ, Divine healing, and things that's got value to it. So don't
be superstition, my brother--superstitious, my brother. Be men, conduct
yourself as Christians.
E-33 Here sometime ago, I will say this before I take my little message. Early nineteen hundred, when the--before the World War, the Dutch was bringing the slaves over here, or African people, the Negroes, and selling them down here in the south for slaves. And when the poor Negro was brought from his home country, and throwed down there in slavery, why, oh, my. He'd never go back home again. He'd sail that little old wooden ship across the sea. And oh, what a horrible thing, he was way away, a alien. They'd beat them with cow whips and everything else to make them work. He had no get-up about him; he just--he--he was homesick, and he--he didn't have no get-up about him.
E-34 One
great plantation down there, it was asked one time, where they had over
a hundred slaves. All of them were--you had to beat them around and
everything else. But one young fellow kept his shoulders out; he was as
gallant as he could be. And boy, as soon as his boss said something, he
backed up to it, and he done his work good.
And some slave buyers come by one day, said, "Want to ask you
something." Said, "What makes that young man like that?
Did you make him a boss over the rest of them?"
The owner said, "No."
Said, "Well, do you feed him a little better than the rest of them, or
give him a better place to sleep?"
Said, "No."
Said, "Well, what makes him so gallant? And what makes him so
up-and-doing? What makes him conduct himself like that?"
He said, "Well, sir, I didn't know until just recently." Said, "I've
come to find out that the tribe that he's from, he's the son of the
king. And he still realizes that, though he's an alien. And he conducts
himself before his brethren as a young coming king."
E-35 God
help us. Let's not be bold and ignorant about things. Let's conduct
ourselves as sons of God. A daughter of God, don't go out here and live
in beer joints, and paint her face up, and cut her hair off, and act
like a prostitute. Conduct yourself as daughters of God. You're a
daughter to the King. That's right.
Sons of God don't go out here and take the Bible and say, "Oh, the days
of miracles is past," and that, all that kind of stuff. They stand up
for everything that God said. We may be pilgrims, and strangers, and
aliens, but we're sons and daughters of the King. Prick up your
shoulders high, and live like men and women ought to. Live like real
Christians. Amen. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-36 Over in
the book of Isaiah and the--in the 2nd chapter, we read in the 18th
verse, just one little paragraph here, just a--a--just a few words out
of this 1st verse, just for a little text. And we're try to be praying
for the sick in the next fifteen minutes.
Come
now, and let us reason together, saith the Lord.
May He add His blessings to His Word. Our Heavenly Father, we thank
Thee for Thy Word. Thy Word is truth. And now, help us, Lord, as we
come tonight to understand. You're the great Teacher; now, help us to
understand. We pray in Jesus' Name. Amen.
E-37 Now,
may the Lord bless you real richly tonight, as we speak on the word for
a few moments. "Come, let us reason together." I think that's one of
the sweetest verses in the Bible, don't you?
Now, Isaiah, this young prophet, in his days the church had all got
away from God, and they were offering strange sacrifices. And God had
told him, how that everything was gone. And he was down in the temple
one morning, as a young fellow, probably in his early forties. Isaiah's
prophecy, what he wrote here, he was a major prophet, one of the
greatest in the Bible.
E-38 There's
sixty-six books in the Bible, and there's sixty-six chapters in Isaiah.
Isaiah starts off with the generation, the--in the--I mean in the
creation. In the middle of the book, he ends up the Old Testament, and
brings in the, "voice of one crying in the wilderness," and ends off
over in the millennium, where they'll--the sixty-six verse, the
sixty-six chapter of the--like in the book of Revelations. It's a
complete Bible in itself.
Isaiah is a prophet of grace. He was the one who really set forth, that
how the Blood of Jesus, and how the coming of the Just One, and how God
would cleanse His church, and so forth, by His sovereign grace.
E-39 Down in
the temple one morning, Oh, I'd of like to took His place. He was down
in prayer one morning, and he looked around, and he saw a--a cherubims,
flying back and forth through the temple. They had six wings, two was
over their face, two was over their feet, and flying with two, and were
crying, "Holy, holy, holy, Lord God Almighty."
And Isaiah looked up and said, "Woe is me, for I have seen the glory of
God. And I'm a man of unclean lips, and live among people with unclean
lips. And woe is me."
E-40 But an
Angel went over to the--the altar where the sacrifices was burning, and
took the tongs, and took a--a coal, live, hot coal, off the altar, and
come and touched his lips, and said, "Now, you're clean, and your sins
is purged; now go prophesy." Oh, I want to hear him, what he's got to
say.
And he said, "Come now, let us reason together."Now, we'd want to be...
Now, I'm not going to preach, just talk to you a few minutes. And
tomorrow night, if God willing, I want to take a series of subjects for
the next few nights, now, on redemption, and where we're redeemed from
our sickness, and--and by the Blood of Christ.
E-41 Now,
reason, there's reasons to all things. Let's just reason together.
"Come, let us reason together, saith the Lord." Wouldn't you like to
set in the counsel of the Lord and reason?
Someone said to me, not long ago, said, "Brother Branham, I would give
anything if I could see a vision."
I put my arm around him, a real brother; I said, "My beloved brother,
every time you open the Bible, you see a vision, God revealing Himself.
Here is God's vision." Just open it up and--open, say, "God, now open
my eyes that I can see You." The Word is God. "In the beginning was the
Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was
made flesh, and dwelled among us." And here's God, and every time you
open the Bible, you see a vision of God, speaking forth to you. Set
with a humble heart.
E-42 I read
it sometimes, and get up, and run around the chair, and scream to the
top of my voice, and cry a little bit, and set down and read a little
bit more, and get up and run around again. I guess the--if the maid, or
somebody would come by, they'd think they had a maniac shut up in that
room, there sometime. But I--you know, I like it. No matter what I act
like here, I--I--I just feel good; I'm going to another land. See? And
I like to hear about it. And you can see a vision anytime you look into
the Bible.
Now, somebody reading God's Word, they limit God's Word. Some people
limit it to creed. Oh, this is what God's Word said, our creed that we
say in our church. Others, they limit it to education. They send their
pastors away, and educate them real highly, so they can speak fluently,
and--and--and it's--have a melodious voice of training, and how they
must say their, "Ah-mans," just right. And the people set out there,
and to me it sounds like a dying calf. I--I don't like that. I--I like
it, if it said, "Amen," say, "Amen." That's all. See? And so they... I
didn't mean that for a joke; I--I don't believe in that. See? I didn't
mean it like that, and you forgive me. And I...
E-43 But the
thing is, that people, how they limited God. Some of them limit it to
just how high they've walked; that's all. Now, if we can't walk where
Joshua walked, and where Enoch walked, don't stand in somebody else's
way, who's trying to walk there, anyhow. Let's just be reasonable about
it: if you don't believe it, why step out of the other fellow's way,
and let him walk on. If you can only walk as high as your creeds teach,
well, then step out of the way, and let the next man... Don't try to
pull him back; let him go on.
My, I'd like to walk where Joshua walked, wouldn't you? Oh, I was
reading this afternoon, I believe it was in the Bible, where Joshua,
after he crossed, and Israel sanctified themselves, and come across the
river. After they'd eat some of the old corn, very type of the
millennium... And Joshua, out strolling one afternoon, looking over the
situation where the great battle was to take place. I thought, oh, my,
that's right. Oh, looking over the situation, just where he knew the
battle was. He'd moved thus far; God had told him to move across, but
He didn't say, "Take Jericho," yet. You, see? "Just move right here."
E-44 Someone
said the other day, said, "Brother Branham, where must I go?" Up here
at the next city I was at, at Shawano. He said--the little pastor said,
"Where must I move now?"
I said, "Did God move you to Shawano?"
He said, "Yes."
I said, "Stay right there, till God says, move somewhere else then. And
you know you're in the will of God. Stay right there, until He calls
you hence."
E-45 And--and
Joshua had moved over, and set up the camps of Israel. And one day, he
took a little stroll, and was walking out near the walls of Jericho,
and all at once he seen a Man standing over against the wall. Joshua
pulled his sword, and run to meet Him. And the Man pulled His sword and
come to meet Joshua. Joshua raised his hand, said, "Are You for us, or
are You of our enemies?"
He said, "Nay, I'm the Captain of the host of the Lord." Amen. Oh, my.
What had happened? That Pillar of Fire had been made flesh, standing
here then, a pre-figure of the Lord Jesus Christ, the Captain of the
host of the Lord. Amen.
E-46 He
said, "Now." They got in full armour. And we may not have faith enough
to take God's Word like Joshua did, and march around a wall, and shout
till it fell down. I might not have that kind of faith, but if you've
got it, I sure don't want to stand in your way. That's right.
I might not have faith like Enoch did, to take--or not Enoch, but like
Elisha, who took his coat off and hit the waters and walked back across
the sea, after he had received in type the Holy Ghost, a double portion
of the Spirit of Elijah. I might not have the faith to do that, or
throw a cruse of salt in some water, and turn it into good water, from
being bitter. I might not have that kind of faith. You might not have
that kind of faith. But if somebody else has got it, don't stand in
their way. Let them go on. That's right.
E-47 These
teachers, many times, they like to point people, to say, "Now, looky
here, you see where that one went too far? He went so far he lost his
mind." You've heard them teachers say that. But they fail to say, when
they find one person who got a little fanatically, and lost his mind,
by going too far. They fail to point to the tens of hundreds of
thousands, who lost their mind because they didn't go at all. That's
right. They didn't go far enough.
Now, let's be reasonable about things. Let's come reason together. We
know we got fanatics. We got them here in Chicago. We got them
everywhere, but we got some real genuine Holy Ghost material, too.
Let's reason together.
Yeah, they'll--they'll sure like to point to the fellow that went too
far, that one, but they fail to point to the tens of thousands that
lost their mind, because they didn't go far enough. That's right.
E-48 Here
some time ago, I was reading an article of somebody who said, "I know."
Well, I tell you another case. I stopped, been getting some apples from
an old man down in Indiana. And he's always, nice old fellow. And I was
buying some apples from him. And he said--looked out on the--my little
truck and said, "Jesus Christ the same yesterday, today, and for ever."
And He looked on there, and he said, "Huh," said, "Oh, Jeffersonville,
you live at Jeffersonville?"
And I said, "Yes, sir."
He said, "Say, you know that healer up there?"
And I Said, "No, don't believe I do." And He said...
I said, "What healer?"
And he said, "Oh, they got a healer up there." And said, "Ain't you
never heard of him?"
I said, "No." I said, "I've heard of a Healer, not only at
Jeffersonville, but all over the world, Jesus Christ, the same
yesterday, today and forever."
He said, "Let's see, this guy's name's Branham, or something like that."
I said, "Oh, yeah." I said, "I know him."
And he said, "Well, you know what I think? He's the biggest hypocrite
in the world."
I said, "You do?" I said, "Well," I said, "I guess that's all right
with him." See? I said, "Everybody don't think that." I said, "I'm one
that don't think it, anyhow."
E-49 He
said--well, he said, "You know," said, "I knowed somebody who took old
lady So-and-so, over here, up there. She had arthritis." And said,
"They took her up there, and she was prayed for, and she never got any
better at all, not a bit."
I asked him, I said, "What church you go to?" And he told me. "Oh, 'I
said, "I understand."
And he said, "Well, if you ever see that guy, you tell him I said he
was a hypocrite."
I said, "You're telling him right now."
He said, "Are you him?"
And I said, "That's right." I said, "That is right."
So he said... Now, there you are, somebody will point to somebody who
didn't have faith enough to be healed. When they're a shame, and not
rightful enough in their mind, to point to the tens of thousands who
was healed.
E-50 Here
not long ago, they had a piece in the paper, where a Christian Science
woman, and if there's a Christian Science person in here, I have great
respects for you, and I have nothing to say against you at all. Only in
theology, I different. I don't believe that diseases are thoughts, I
believe they're a realities; they're the devil. And they're the devil
in form. And I believe if your sick, you're really sick, but God is the
Healer, Who can heal. And so I'm... But that's all right, whatever you
believe, well, that's up to you.
But this Christian Science woman, she had a sick child, who had
appendicitis, I believe it was. You all seen it in the paper; it's been
about eight or ten years ago, perhaps. And she would not have a doctor.
Now, I disagree with that, I--I that's all right. I ain't got nothing
against doctors and hospitals, 'cause God's the healer anyhow; no
matter what they do, they can't heal.
E-51 So she
wouldn't have the doctor. And she said, "No," that their baby was going
to get well, anyhow, and the baby died. Oh, my, did the newspapers pick
that up, and they scattered it from California to Maine. "Oh, Divine
healing is wrong. It's fanaticism; it's heresy; it should be stopped.
Looky here, that poor little baby lost it's life, because a fanatic
mother wouldn't have a doctor."
And the same time that that paper was still before the public, the
doctors killed thousands, and there wasn't nothing said about it. Let's
be reasonable.
E-52 If one
person is lost because they don't have faith for deliverance, trusting
the Lord, and then all God's work has to be called fanaticism, if the
doctor loses one patient, then it's fanaticism too. "Sauce for the
goose is for the gander." You know the old saying. So it's just
reasonable. Is that right?
Now, that is true. No, we, doctors, institutions, ministers, all ought
to have arms around one another, trying to work for the benefit of
human beings. They shouldn't be criticizing each other, they should be
loving one another, and helping one another, sure.
Now, just think, what if I could go out here to your cemetery tonight,
one of your large cemeteries in Chicago, and raise up every person out
of the cemetery, and say, "Now, I want every one that died, trusting
the Lord, to stand over here on this side. And every one that died,
under medical treatment, stand over on this side." Which would
outweigh? Let's be reasonable. Let's come reason together.
E-53 And
now, here sometime ago, this great--I--as I proved here tonight, I'm
not called you, I'm... You just set still a minute. See?
Now, notice, in here--this--when they find some kind of a serum,
that'll--that'll help somebody, my, the newspapers publish it
everywhere. My, penicillin, or something, oh, how they just flash it
everywhere. This Salk vaccine, and so forth, how they flashed it
everywhere, because they found something that would help people.
I'm salute those people; God bless them. I'm so happy for that. But
they'll publish that in every little newspaper throughout the nation.
And Almighty God can make the blind to see, and the deaf to hear, and
the dumb to speak, and they'll turn it down and won't put it in the
paper. Say, "It's fanaticism."
E-54 Come,
let us reason together. Be men and women. Is that right? Sure. And
listen, not always... Now, I say this with reverence; I say it as a
reasonable thing. We want--we're talking tonight on reasonable, common
sense of things.
Look, do you know medicine kills just about as many almost as it cures?
It don't cure anybody, but it helps. That's right. It just keeps it
clean, while--aids nature, while God does the healing.
Look how many people--look when this Salk vaccine come out, look at the
thousands of little children that died with that vaccine. They give
them children that to give polio and killed them. Well, then, if
somebody prays for the sick and it dies, say, "Fanaticism." And they
give the vaccine and say, "Glory, hallelujah, oh, just look what it
done. My this great guy discovered this." Is that right?
E-55 My daddy was killed with a dose of medicine, my own father. The doctor come up to see him; he had something wrong with his heart. He give him a little tablet; he lived five minutes. We called in another doctor, and he said, "Well, he--he give him strychnine." And he went and took that strychnine; it was a half grain of strychnine. He said, "I knowed your dad," said, "His--his heart wouldn't of stood a fortieth of a grain of strychnine." But a dose of medicine killed my daddy.
E-56 A dose
of medicine almost killed my boy, Billy Paul. About two years, three
years ago, Billy Paul got into a habit, got running around there, and
that's the reason I had to send him to Waxahachie, to the school. Our
public school, with the bunch of little boys and things, all smoking
cigarettes and things. And Billy come up home one day and said, "How
you getting along, daddy?"
I seen a vision pop over him. I said, "Come here a minute, talk to you."
He said, "What is it, Daddy?"
I said, "What are you doing smoking cigarettes?"
He said, "I'm not."
I said, "Don't you lie to me, Billy." He commenced to crying.
Well, he said, "I--I won't do it no more, daddy." And he went on out.
He kept on doing it. He wasn't hiding it; he can't hide it, no, no.
So--and I seen a vision, and the Lord showed me that Billy, had
disobeyed me, and had jumped through a window, and was going laughing,
head over heels, like that, down, on through eternity, turning over and
over. And when I come out of the vision, I was screaming to the top of
my voice, "Oh, God, don't take my boy. Only boy I have, don't take him,
Lord." And I was screaming to the top of my voice. I told Billy.
E-57 And so,
Billy, that day, he went fishing. Been hanging down on the river a lot.
There was a man from India, there to see me, and some more ministers.
And we went down into New Albany with my wife. She had to go down there
to get something another. And so, we went down, and I was setting
talking to the ministers, and all at once, something said to me, "Get
out of the--here, right quick." I thought that was just my imagination.
And I--I said, "Well now, brethren, we're fixing to go to India as soon
as we possibly can."
Something said, "Get out of here, and get to yourself."
And I got out of the car, and I said, "Excuse me, brethren, just a
minute, I want to go around the corner."
And I went around there, and I looked, nobody was looking, I said,
"Father, what is it?"
Said, "Go to Billy Paul at once."
E-58 And I
run back real quick, and Meda was coming up the street, my wife, and I
said, "Hurry honey, hurry. Something's wrong with Billy." And we run,
jumped in a car, and took out to Jeffersonville, about five or six
miles. When I went into the yard, my mother-in-law, standing in the
yard, screaming top of her voice, said, "Billy's dying, got him in the
hospital."
So I said, "What happened?"
Said, "Well, he come up down there, and he had a sore throat. And he
was afraid you was going to catch him with that sore throat, and tell
him, he was still smoking cigarettes. And he went down, and your good
friend," the best doctor there is in the nation, one of the best, "Dr.
Sam Adair, gave him a shot of penicillin, and he swelled up about that
big, in just about three minutes. And he run up there, and they wrapped
him in blankets, and rushed him to the hospital."
E-59 And I
run out real quick, here come the doctor down like that, took off his
hat, said, "Bill, I've killed your boy."
And I said, "Oh, Doc, surely not." And I run into the room; they had
oxygen over him and everything, and pumping, and giving him adrenalin
over his heart. And he was just... Heart going on down, and down. I
said could I be with him a moment. And so he just walked out of the
room. I knelt down, put my hands upon him; I said, "Dear God, please.
Hasn't my heart been broke enough in my days? Please, Jesus, oh, God,
give the boy another chance. Don't... Lord, please, I ask you with all
my heart, as Your servant, if You'll spare the life of my boy. He's so
good to me, and helps in the meeting, and he's so loyal to me. I need
him. God, please don't take him. I--I ask You not."
E-60 And I
looked, and I saw a vision of him falling like that, turning over and
over, like it was a couple nights before that, when I seen him in the
vision. And I seen two big arms come out and catch him, like this, and
start bearing him right back up, going right back up, like that. I
raised up, and Billy turned around, just as black as he could be. And
his lips swelled way out, and his eyes turned real red, and turned back.
He said, "Daddy, where are you. Where are you, daddy?"
I said, "I'm standing right here, honey. It's all over now." Amen.
E-61 Let me
tell you, if it hadn't been for God, a dose of medicine would've killed
my boy. Nothing nigh it, penicillin's helped a many on sulfa drug and
thing, on the battle front for the boys and things like that, but you
have to watch, it's killed hundreds. That's right.
But if it'll kill one, what I'm trying to get at, is--this is my point,
if it'll kill one person, it's fanaticism. If praying for the sick, and
that person dies, then you have to call it fanaticism, then this has to
be fanaticism, too. Is that right?
It's neither fanaticism; it's just the people who can't reason things
out, the people that's unreasonable. And our dear American people is
most unreasonable people on them things, I ever seen in all nations in
the world. That's right. Very unreasonable, they won't want to listen.
They won't set down and think it out.
E-62 I don't
mean you Full Gospel people, who believe in these things; it's the
churches. My brethren, I have nothing against my Baptist church, that I
come from. The Presbyterian, Lutheran, whatever they may be, they're my
brothers. But so unreasonable, is because that--that denominations has
brought up barriers. And creeds and so forth has cut them off.
Some of them men believe. Don't tell me; they come right to my
parsonage and talk to me, put my arm around me and say--put their arm
around me and say, "Brother Branham, I'd like to believe it, but by--be
excommunicated if I did."
I said, "God bless your heart, you be excommunicated here, and you'll
be brought in up there." I said, "Don't--you just leave the thing go."
E-63 I'd
rather--it's a meal ticket, brother. I'd rather lay on my stomach, and
drink branch water, and eat soda crackers, and preach the truth, than
to have fried chicken three times a day, and have to compromise. That's
right. Yes, sir. To have the truth...
Be reasonable. We can prove tonight, and across the nation, thousands
times thousands of people that had've been their grave tonight, if it
hadn't been for Jesus Christ, the Son of God. Let us reason together.
Be reasonable. God does things reasonable, and let's us be reasonable.
E-64 Now,
just another comment or two and we will--we will stop. Now, how does
doctors find out about their medicine? The first thing you know,
somebody solves around and gets it, they figure it out, find out that
it'll work, and they write it in a book. Another doctor picks up this
medical journal; he said, "Well, here, this does so-and-so; I will
start practicing."
That's how they do: they find it out by reading or hearing. So to us,
faith cometh by reading or hearing. What I'm doing tonight--and you're
think these visions and things are so mysterious, I read it out of a
Book. Hallelujah. And this Book is none other than the Bible, and the
Author of It is not an inventor; He's none other than the Creator
Himself (Amen), Who promised Divine healing. He wrote the Book; He
inspired it. And it's God's inspired Word.
E-65 I read
in here, like you do, of other doctors who practice medicine and have
success. I read where the apostles and prophets saw visions, and
practiced Divine healing, and had success. I got a right; This is my
medical journal. Amen. I believe in it with all my heart. And I have
success in it, not because it's me, but because I'm following out the
instructions of this Book. Amen. Hallelujah.
When He was here on earth, He practiced what He preached. I like that
about Him. He practiced what He preached. He didn't need any x-rays; He
was the x-ray. He seen what was wrong; He didn't need any x-ray, and
He's the same tonight. He didn't need any drugs to stimulate life; He
was life. Amen. He didn't need any remedies; He was the cure. Amen. And
He's the same tonight. He's raised from the dead, and proved that He is
God's x-ray.
E-66 God
looks right down through the stream of time, and don't only see the
physical to--in your heart, but He sees the supernatural in your heart.
He sees your thoughts. Amen. Jesus perceived their thoughts. Talk about
a x-ray (Amen. Hallelujah.), He was God's x-ray, and He not only was,
He is yet. He's God's x-ray tonight. He tells you; He knows what's
wrong with you. He knows all about you. He knows more about you than
you know about yourself.
He's the Stimulator of Life; He's the Giver of Life. He don't need to
give you vitamins; He is the vitamin, Vitamin J-E-S-U-S, the best I
know of, only one I care for. Amen. J-E-S-U-S, try them some time;
their wonderful. Blessings, they just fall down, spiritual vitamins.
Oh, my, how I love them. Showers of them, just shower down on you,
certainly.
E-67 After
His resurrection, He proved that He was yet the same great Jehovah. On
the road to Emmaus, that day, as those fellows walked along there,
Cleopas and his friends, going down to Emmaus, on that trip, that...
When Jesus got inside the house with them, He done something there
that... All day long they had walked with Him; they didn't know Him,
but when He got inside, and got them settled down, then He did
something like He used to do. No one else could do it like that. He did
it the way He used to do it.
I believe that's more than just a history; it's a parable. Pardon me,
brethren, but it's a prophecy. We've walked along today, a long time,
but it was in the evening time, when He done things like He used to.
And it's getting late in the day now; it's getting evening time. And
Jesus has got us shut in here tonight. He can do things like He used to
do it, if He can find the material that'll let Him get shut in with
them. Amen. Let's be reasonable, because it's evening time, and He's
here. Let's speak to Him a moment in prayer.
E-68 Our
heavenly Father, the prophet said, "It'll be Light in the evening
time." There was a day, the sun rose in the eastern horizon, on the
Jewish people, and shed forth the Holy Ghost. Great signs and wonders
taken place; by stretching forth the hands of the apostles; they
brought down powers of God; they healed the sick; they saw visions.
They did as Jesus bid them to do.
Then the sun went down, not all the way down, but it kind of a day that
wasn't either night nor day. It's crossed the nations; now it's evening
time here on the western world now. And You promised to shine that same
sun. And praise God, the clouds are drifting away. The same sun, the
same results, that fell on the day of Pentecost, is come back again.
For He said it would be Light in the evening time.
E-69 And I
pray Thee, Father, tonight, that as we close off the world on the
outside, and shut ourselves by faith, with Jesus Christ, and reason in
our heart, "If He has said this, He's eternal; He's omnipresent,
omniscient, omnipotent, and He can do all things, because He has risen
from the dead." And Father, we pray that You'll let Him be manifested
here before His children tonight, that they might see that this is not
fiction, and it's been explained by the Word of God, and the results
proves that it's true.
And now, let us reason, Father. If Jesus Christ, the Son of God, the
great Jehovah, Who formed the stars and moons, and put them in their
firmaments, and made all the solar system, and made the earth, and done
all these things, if He is here tonight with us, and is bidding us to
come to Him, why should we be weary. Let us straighten up our shoulders
then, and take God by faith, and act like sons and daughters tonight,
of the living God. For we ask it in Jesus' Name. Amen.
E-70 The
Lord Bless you. I'm sorry to keep you over the time that I said I
would. But let's just be reasonable now. Jesus is here. He's raised
from the dead. He promised wherever two or three were gathered together
in His Name, "I will be in their midst." Did He say that? So visions is
not so fiction after all, is it? Just real, just God. There's no need
of being suspicious.
Now, I've been very careful of this, friend, sometimes when you go to
see things manifested like that. You've heard me never, as far as
speaking, I'd say, "God made me His prophet." I've heard people say, on
tape they picked it up when the inspiration was on, but that was Him
speaking, not me. See? Better for Him to tell you that, than for me to
tell you that. See? More you can believe Him; you got a right to doubt
me.
E-71 But
see, I've--I've kinda shunned those things. I've kept away from people,
because of, I--I--I don't like any, somebody say, "Oh Brother Branham,
this, that." It--it--it--don't even put me into it. See? It's Jesus
Christ, the Son of God. See? Just look to Him. Some people say, "Oh,
if--if I--if I could just go and--and may--get up on the platform, he'd
pray for me..."
That don't have much to do with it. It's not touching me; it's touching
Him. See? You just put you're faith there, and touch Him, and feel if
something don't move back down into your heart and say, "Yes, now it's
over." See?
E-72 Here sometime ago, while we're quietening down just a moment, I was having a meeting in a place, and they had a room for the maniacs and the--the psychopathic cases. And I went into the room; I shall never forget it. After the brethren had taken me in there, I walked into the room, and there was oh, people in straight-jackets and carrying on.
E-73 A very
famous minister was there that night, who has a international
broadcast. I wouldn't call his name; he might not even appreciate it.
He belonged to a different denomination of church than this, and so,
he--he was there at the place.
And this--walked in, and there was a lovely young woman setting there,
and she said, "How do you do, Brother Branham?"
And I said, "How do you do?" I said, "Well, I..." and there was someone
setting there with her, an aged man.
And he said, "Brother Branham, will you minister to my daughter, first?"
And I said, "Who is she?"
He said, "Here."
I said, "You?" I said, "What are you doing in this psychopathic place?"
She said, "I suppose I belong in here."
And I said, "Well, what's a matter, sister?"
She said, "I would like to know, Brother Branham."
I said, "Well, you don't act like a mental case to me."
She said, "Well, I will give you my story. Would it be all right?"
And I said, "Yes, ma'am." And a very lovely woman, looked to be about
twenty-three, twenty-four years old. Looked like would make a queen to
any man's heart, very neatly, nicely dressed, clean looking person.
E-74 And she
said to me; she said, "Well, Brother Branham, I was raised up in good
home. This is my father." And she said, "I was raised a Catholic." And
she said, "I was taught to do right." She said, "But when I was a
girl," she said, "I got out with a boy that drank," and said, "I
started drinking, and smoking cigarettes, and so forth." And said, "I
become a perpetual drunkard."
There's a little lady here somewhere, that usually takes recordings
somewheres in here. She wrote me a letter the other day. A little lady
was healed of that, right down here at Hammond, lovely little pers...
There she is now, a complete alcoholic, and you go to Byery, up there,
and ask any doctor if a complete alcoholic can ever be cured by any
medicines. I--I tell you, they got all this Alcoholics Anonymous. And
I've got dozens of them that go in there, and they come right back out,
and in a year or two, they're drinking like they ever was. But there's
a girl perfectly delivered by Jesus Christ. That's right. Let's reason
things together. See? What doctors could not do...
And this--I will quit talking about her; I was saying lovely things,
and now she's setting here (See?), so...
E-75 Anyhow, this--this young lady, she said, "And I started drinking, and said that led into prostitution." And she said, "Then I was sent up to the Good Shepherd's Home. I spent a time there." And said, "Course I was all right there." And said, "And just as soon as I come back out," said, "It wasn't out, but just a little bit," said, "I started drinking again, and prostitution set in again." And said, "I'm just a alcoholic, and I can't help it." Said, "I went to the Anonymous, and got a treatment of that, and stayed in there for awhile." And said, "That didn't do me one bit of good. When I smelt whiskey, I was ready to drink again."
E-76 And she
said, "Then the next thing happened. Said they sent me to the woman's
prison, after I got twenty-one, and I served a year and something up
there." And said, "When I come back out, I just started drinking
again." Said, "Somebody told me to change churches, that I should
become a--a Christian in the Protestant church." And she said, "That I
did," she said, "and it didn't do me a bit of good." Said, "I still
drank just the same." She said, "I accepted Christ as my personal
Saviour." Said, "It didn't do me one bit of good." She...
And I said, "I want to ask you something." I said, "Sister, down in
your heart, you never did want to do that?"
She said, "No, sir, I never did."
Said--I said, "Something drives you to it."
Said, "Yes, sir."
I said, "It's the devil." And she said... I said, "It may be old
fashion, but it's the devil." And she said, "I've always believed it,
Mr. Branham." And I said... She said, "Would you advise me to join your
church?"
I said, "I have none to join." But I said, "I want you to go to the
same church that I go."
She said, "I will be glad to do that." Said, "How do I do it?"
I said, "Now, get down on your knees." See? And so, she got down on her
knees. And I said, "Now, you really get sincere with God and pray."
E-77 Well, I
listened to her pray. She raised up, and she promised God she'd never
drink, if He'd help her, got back up, and she walked over. I set down
and listened at her, kept my head down. She walked over and shook my
hand, she said, "Brother Branham, I'm sure going out to make a start."
I said, "Sister dear, it isn't over; that's right, it isn't over."
And she said, "Well, I'm going to do the very best I can."
I said, "That's right. But it isn't over."
She said, "Well, what must I do?"
I said, "Let's pray again." We got down there, and she started praying;
she got to crying. I laid my hands over on her, and I said, "Dear God,
this poor mortal here, bound with this devil and this circumstances
here. Look where she's at; she don't want to do that. Satan, come out
of her in the Name of Jesus Christ."
E-78 In a
few moments, she raised up, kept on praying; she stopped all at once
about two minutes after that, and raised up, and looked at me. And
those great big black eyes, and the tears running down, she said,
"Brother Branham, something's happened."
She said... I said, "Now, it's over, sister, now, it's over."
About two years later, I met her on the street. She--I was going in to
pay the electric light bill in my home town, and this girl hollered at
me.
She said, "Brother Branham." Said, "I was trying to inquire where you
was at." Said, "This is my husband; this is my baby." Said, "I've never
craved whiskey from that day since. I'm delivered."
E-79 See,
friends, it isn't intellectual; it has to come from down here. That's
right. Something has to happen here. God bless you. May it happen down
there tonight. May the true and living God, Who's here, get out of your
mind and get into your heart. Say, "Oh, Jesus, yes, it's reasonable. If
You're here, and can make these others be well, You can make me well
too, and I now accept it." And just keep saying it into your heart,
till after while something anchors down there, and you know you're
healed, just as well as you know that shirt's white. It's over then.
That's right.
You'll raise over to your neighbor and say, "Something happened." Yes,
sir. It will be over. That's right. God bless you.
E-80 Billy Paul, where are you? Don't always get right behind me; I can't see you. What... K, all right, let's begin from number 1 then, K, number 1. We will stand up a few. Who has K, number 1, raise up your hand? Did you say K? [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-81 May the
Lord add His blessings now. Now, we will just take a... I'm so sorry to
be late like this. Maybe tomorrow night, I will just come down, line up
the people. Now, you that's got prayer cards, hold onto them, 'cause
we're going to pray for you anyhow. See? We're going to bring you right
up here and pray for you, God willing. And I'm going to see if the Lord
will bless in some other way, that I'm asking Him to do. You'll pray
for me, won't you friends? See?
Oh, how I'd feel, if I could just get out in this... See, it's that
strain now. Now, what if a patient stands here, hasn't got a bit of
faith, and the people say, "Uh-huh, I--I thought he knowed those
things. I thought Christ told him." See? There you are.
E-82 Now,
how many of you out there that wants to be healed tonight, raise your
hands? Let's--let's see, that ain't going to be called to the platform.
All right, you look this way and believe. Have faith. How many of you
don't have prayer cards, I meant to say? Let's see you raise your hands
now. Now, if I call you without a prayer card, if you--you got a prayer
card you get to the platform anyhow. I want those who answer, don't
have a prayer card. 'Course I--I can't tell here; I just have to follow
the way the Angel of the Lord leads me, or takes me to go. Then I just
follow that.
And now, it's your faith that does it. Now, how many that understands
what I mean, by standing on your toes, peeping through. Now, like this
person stand here and say, "Well--well what's wrong with this person?"
I speak to them just a moment; I have a way of doing it. Of course
that's between me and God. See? And then, I--I go to meet the Holy
Spirit, yield myself to Him perfectly, watch what He's saying. I feel
the spirit of the person move. I see, maybe it's a--it's a believer,
then it's going to be all right. I can talk to that person, because
they're a believer.
E-83 Is
somebody short, Brother Wood? You can't--no--oh, everything's all--all
right. Then if you... Then see, then I move up, as it was, strain. See?
I go in. Now, say it's got a--a--a--a cancer. My, when that leaves me,
I--right then, it's worse then preaching two hours. See? And maybe,
that don't do it. I look back at the patient, they're--they--they're
way down here yet, when they ought to be up here.
See, the only thing that does, is to bring faith up. Only way that
anybody can be healed... Divine healing is by faith. Is that right?
Only way you can be saved is by faith, not by going and doing
something; you got to have faith, not by works, by faith. See?
E-84 And
now, here's a person standing here, maybe have cancer. And I--I will
look. They'll say, "Now, I know he don't know me, 'cause I never seen
him."
Well, the Lord will say, "That person's got cancer."
Well, that might shake them a little, but it still hasn't done it. Then
directly, you hit another one, and say, "Well, that's got--you have
so-and-so."
Well, that may raise, "Well, yeah that... He--he must be right." See?
And then, time you stay there a long time with that one, to get them up
to where the place is, to where they really accept... Now, that don't
mean they're healed. That means that that life that's on them is dead,
gone--the--the life that's in the cancer has gone out. It might come
back again, time you get down there.
E-85 But
when you hear it move on them tapes there, and over here, 'cause
we--look at the recorders. We hear everything that's said. See? And
when you hear it say, THUS SAITH THE LORD, then a visions moves back;
that's not me. I don't go into that; He takes me into that Himself. And
a vision comes back, and then when it does, I see way down the line,
what He said do. Then it tells them just about it.
Well, now here, it's off of them right now, and they go off feeling
fine, wonderful, if they keep feeling that way... I've never in my life
prayed for a person yet, and really got sincere about it, but what
something happened then. Now, think of that. I have never in my life
sincerely asked God for one thing... I've been preaching for
twenty-three years now, and I've never asked God for anything in my
life, that He did not give me, or either tell me why He couldn't give
me. That's right. He's God. Hallelujah!
E-86 My, I
just love Him with all my heart. Just seems to me like I--I may seem
like a fanatic to some of you all. But I tell you, just sometimes it's
like something just strikes my heart, and it just look like it will
swell out of me, when I think of Him. Here He is. He's right here. That
Angel of God, standing not two foot from where I am right now, standing
right here. If you could only feel. Always to my right.
I forgot to leave those pictures, last night, so that you could see
them. How that--comes in on the right, and goes out to the right on the
picture. See?
E-87 Now,
the Lord be graciously to you. Now, I will hurry, and pray for just...
Now, I will ask you something, and my beloved brother and sister... And
Brother Wood, and you all here that's helping, or where's Billy, ever
where it is, you... Brother Boze, you watch, don't--don't let me stay
too long (See?), 'cause I want to finish out the week. And now, you
just set real still for a few minutes. Will you do that for me? Just
set still, and be reverent and pray. Just pray for me, and I won't take
very long. We will let you out just in a few minutes.
All right, where--where'd Billy Paul go? What say? Oh, it's Brother
Wood, yes, okay. I... people... Reason on a platform, I know Billy's
spirit. I know everything's wrong with him. And when the anointing
strikes me, I can feel things coming to me, and I--I--I feel for Billy,
where he's at. See? And I--I can't find him.
E-88 He's been with me; I packed him on my arm, and kept his bottle in here when I'd--no mother, you know. And I had to be mother and daddy. We couldn't afford to keep a fire all night. And you know how I kept his little bottle warm? I'd put it under my pillow, under my head, keep it warm. Then when he'd wake up at night, his mother dead, you know, I'd give his little--had a Coke bottle with a little--the little nipple over the top of it, so that he could nurse at nighttime. Oh, we've had a hard time, but we stuck together, and God's been good to us. I hope he makes a minister.
E-89 All
right, God bless you, lady. Now, sister, I suppose that you and I are
strangers to one another. Are we? You don't speak English? Oh, you
speak English, all right. That's good. Just as long as you can speak
English. Now, I--I just want to talk to you, just a moment or two. And
I don't know you. And Jesus knows you, though. If you was probably...
Was you born in Sweden? Oh, we're born many miles apart then, wasn't
you? Well, I would say to you then; you've come from a good country, a
very nice country, Sweden.
You know Brother Pethrus, Brother Lewi Pethrus? He's a fine man, isn't
he? I love him; he's a very dear man, such a fine man. Now, you know
I'm talking to you for some reason, am I? I say I'm talking to you for
some reason. Because I'm getting you quiet. See? I want you to be
quiet, so you--you're a little bit nervous, upset, just now.
That's--that's why I'm talking to you the way I am. I want you to be
calm and quiet, so you can receive benefit of being here. See?
E-90 And
now, not knowing nothing about you, and this is our first time meeting
in life, if Jesus will tell me, what you come up here to ask Him
about... You come up, not to see Brother Branham; you come up to see
the Lord Jesus. And now, you believe that--that I'm just like this
microphone. See? This microphone can't speak 'less something speaks
through it. See? It's just a piece of metal. It's got to have a sound
here to hit it first, before it will echo (See?), 'fore it'll carry
out. Now, that's the way I am. I'm just like the microphone. See?
Now, there has to be some real intelligence behind here, Something that
knows you, and knows all about you, knows what you're here for, to
speak through these lips to say that. Isn't that right? Now, the
audience believes that, don't you audience? See? 'Cause we don't know
each other, but He can tell me. Then you believe Him.
E-91 One
thing that you have come to be prayed for, is your eyes, your eyes is
what... 'Course you're wearing glasses and so forth, because your--your
eyes are not well. And I see you in your home and so forth, why it
bothers you so much in your home. Then there is something else that's
wrong with you, and that is, it's in your stomach. You got stomach
trouble, and it's very bad. You got a--a leak in your stomach. And it's
a--there's a growth there, some sort of a growth in your stomach.
And now, I see you in a--you're not from here; you come from somewhere
else. You... Yeah, it's a wheat country, up in Minnesota. You come here
to be prayed for. That's right. You believe now? Then you can go back
to Minnesota and be well. Jesus Christ, heal this my sister in Jesus
Christ's Name. Amen. God bless you.
E-92 Let us
come and be reasonable. All right. Have faith in God, sister, as you
come. I'm not never seen you in my life, and never knowing you as far
as I know. But Jesus Christ, the Son of God, knows both of us, doesn't
He? You're aware that something's here, aren't you? If that's right, if
you have a feeling, just like something real sweet about it, would you
just raise up your hand to the public, that they'd see? That is right.
It's that light that you see in this picture. It's the Lord Jesus.
Now, we are strange to each other. You look like a very healthy woman,
to look at you. But I see you moving away from me. And I see something
going on; it's right under your ribs, on your right side. It's a--it's
a bladder, a gall bladder trouble. And I see that--in there it shows
that your--your--your--your liver, is all--you've got a--a growth on
your liver, that's even pushing out, making a--a push place. And you're
in a serious condition. THUS SAITH THE HOLY SPIRIT. That are true. You
believe now?
E-93 Dear heavenly Father, knowing that this woman is walking in the shadows of death, but now standing in the shadow of Life and light. O God, may the darkness be turned back, and light shine in. And may she live, in Jesus Christ's Name I pray. Amen. Now, go believing, rejoicing. It's made you awful nervous, your trouble, so don't worry now. Go be happy, you get well. Amen.
E-94 Praise
be to God, our Lord Jesus. He--He raised from the dead; He lives
forevermore. He never can fail. He's omniscient, omnipresent, almighty.
Oh, He's everything. How I love Him. How wonderful He is. "If thou
canst believe," said the Master, "all things are possible."
Sister Downy, I--I want to speak to you now, because I know you,
setting there. But you're studying about your mother there. You see? So
you're praying about her. I caught it then. But just don't fear now; I
believe everything's going to be all right. See? I--I know you, so
that's the reason I seen you appear up, and I seen your mother, and
seen you coming. So I--I happened to recognize it in the vision; it was
you.
E-95 There
was someone else pulling from this side, but it--and it was both in the
chest and the side. It's this woman setting here with gall bladder
trouble, setting right on the end there. And if she believes... Yes,
lady, it was you. That's right. Stand up on your feet just a moment.
Now, go and get well, the lady at the end there. God bless you too,
sister, if you had gall bladder trouble, you believe it also. There's a
lady there I seen the vision, right there, she had the coat on. And may
the Lord bless.
Don't we love Him? How wonderful our Lord Jesus is. He's just so real.
Now, if you just could realize that that's Him. See? That's the all
omnipotent God.
E-96 I see a lady. I'm just going to look at her a minute, because she's got her head bowed; her eyes is closed. She's got a red-looking dress, or pocketbook, or something. She's gray-headed. She's praying; she's setting right here in the row. She's trying her best to contact the Lord Jesus, 'cause she knows she can't get to this platform. Do you believe me to be His servant, sister? The gray-headed lady, setting right here, that's praying so hard. Do you believe? You want to get over the heart trouble, and believe that God's going to make you well? You believe it? All right, it turns all light around you now. I believe He's heard your prayer. Now, go. God bless you.
E-97 Oh,
He's so real, if you can just believe Him. Oh, how wonderful. Sister,
you was healed of that nervous trouble, and everything left you awhile
ago when I was standing there, so you--you just go on home, just
rejoice, saying, "Thank the, dear lord," and go on be well. Amen. Let's
say, "Thanks be to God." How I love him, He's so real.
All right, the patient. How do you do, sister? You believe? All right.
I believe you do too. We're strangers to each other? All right. I'm so
happy to know that we--I'm glad to know you now, but I'm happy to know
that we are strangers to one another. Then I don't know what's wrong
with you. You know that. I have no idea, but God does. He knows what
you're here for, and He can--He can tell me. And if He will tell me,
will you believe then?
E-98 Just
have faith and be real reverent, just a few minutes now. Don't doubt,
just have all kinds of faith. Lady, that raised up your hand a few
moments ago, you was so interested in getting healed there, when this
lady was healed next to you. See? You was. Uh-huh. 'Cause you had high
blood pressure, and you wanted to get over it so bad. You see? That's
right. But I--I believe it's over now; I was just waiting 'fore I told
those people. Amen.
Just have faith in God. That's right. Little lady sitting out there, a
weeping, kinda heavy set, looking towards me now. There's the Angel of
the Lord standing over her. Can't you see that audience? Look standing
right here. Can't you see that light, right--hanging right here? Now,
the woman there, I can't heal her, but she has a gall bladder trouble,
that--that she want's to be healed of. That's right, isn't it? And if
you believe, you can be healed. That's all right, sir, God bless you.
E-99 The man setting right over from you there, with hardening of the arteries, he wants to get well too. He--he thinks that God would heal him, don't you, sir? You believe that He did it then? I want to ask you something. Just when I was talking to the woman, and she missed her healing, and it went over to you, just then in sovereign grace, when it went over to you, a real strange feeling swept you then, didn't it? 'Cause you wondered why that woman didn't raise up, didn't you? See, she missed it, because the Angel was leaving her and going to you. Isn't that right? If it is wave your hand, real funny feeling. That's right. It ended with you then, brother. Your faith got the vision. Amen.
E-100 Isn't He wonderful? Oh, my, nothing like our Lord Jesus. Just have faith. All right. You believe with all your heart? I have to talk to you, 'cause it's just--here it is. You're here for somebody else. It's not for yourself. I see it now; it's--it's a--it's a young man. And that young man's in the hospital. And he's wearing some kind of a uniform. It looks like it's a--it's a Air Force uniform. He's--he's in the Air Force. And he's had his neck, or something hurt--broke--broken. And you're here, interested in that young man. That's THUS SAITH THE LORD. The handkerchief that you have on your han--arm, go take that handkerchief, and send it to him. Lay it on him. Have faith in God, and the boy will come out of it, and be--get well.
E-101 All
right, friend... You believe? We are strangers one to the other, but
not strangers with Christ. That thin fellow setting right on the end of
the row there with heart trouble... Yes, you believe, sir? You got
something wrong in your lungs too. You believe that Jesus Christ will
make you well? I seen you standing here on the platform, and I followed
you back out to your seat. There you are, setting there praying. You
believe He healed you? Then you can have what you asked for. God bless
you. Go and be made well.
Oh, isn't He wonderful? The lady's a stranger to me. I never seen her
in my life. We're total strangers to each other. Are we, lady? We
certainly are. And here we are. I believe awhile ago, when I was
preaching, sometime ago, this afternoon or here at the service tonight,
I was talking something about the colored people. How the young slave
conducted himself, because he was a--he was a--he was a son of a king.
We should conduct ourselves also that way.
E-102 Me,
being a stranger to you, and you a stranger to me, us standing here
together, not knowing each other, you a colored woman, me a white man,
yet both of us in love with the Lord Jesus... He died to save us both,
take us to the same heaven. Someday it'll all be over, sister. We will
never stand and pray for each other no more. Jesus will come. That's
Who we love, and that's Who I'm trying to say to the people, that's
here.
You're suffering; I see you trying to get out of a bed. And you can't
hardly do it; you got arthritis. That's right. The vision's a moving
now; you couldn't hide your life. You also are moving away from a
table, especially from greasy foods, and so forth. You have a stomach
trouble. That is right. And you have--you're very nervous. You're
really extremely nervous. And sometimes that you think you're just
about going to leave, lose your mind. And that's what's making your
stomach trouble, 'cause it throws your stomach into a spasm. And you
have like dyspepsia, the stuff comes up as you eat into your mouth.
E-103 And
say, you--you're not from here. You live by a--a--great river, where it
runs. And I see you going down 4th street in Louisville. You're from
Louisville, Kentucky. You are. Yes, sir. You're Mrs. Alberta, and your
last name is Lee. Isn't that right? Now, your nervousness is gone,
isn't that right? And you're healed; you can go home now, and be well,
in the Jesus' Name.
Let's say, "Praise be to the living God." Do you believe? Have faith.
Reasonable, friends. Jesus Christ is here.
Lady, you want to get over that female trouble? Raise up your hand,
say, "I accept Jesus." Amen. Go believing with all your heart, and you
can get--you'll get over it.
E-104 You
love Him with all your heart? Believe Him then with all your heart. God
can heal your eyes, make you well. You believe that, don't you? Sure,
go on believe Him. Say, "I trust You, Lord." He don't want you to be
blind; He wants you to--He wants you to see, and all--everything. Just
believe Him with all your heart now. Go, and be made well.
Sister, a shadow of death, called cancer, but God is omnipotent. Do you
believe that? He could kill that cancer, as dead as it can be, right
now. Do you believe it? I condemn the thing in the Name of Jesus
Christ. May it come out of the woman. Amen. Go, believing now with all
your heart, saying, "Thank You, Lord Jesus...?..."
E-105 God can
heal heart trouble, anything else; He can make it all well. You believe
that, young lady? Raise up your hand, say, "I thank Him." It's a
nervous condition that brings that onto you. Go believing now, and
you'll get well, and not have it any more. In the Name of Jesus Christ.
Amen.
What's arthritis to our God? He can make you well. Don't you believe
that? Step across here like a young lady, in the Name of the Lord
Jesus, and go and be made--be made whole. Amen.
You believe, mother? I... The anointing's getting so heavy in the
audience, and I'm getting so weak, I can hardly stand here. But the--I
see something like a colon trouble with a person setting right in here,
a colon, moving in the... Yes, lady, I... You believe with all your
heart, all your soul, all your mind? I see a great clinic, like a Mayo
Brothers Clinic. Have you been to Mayo Brothers, at the clinic, or some
kind of a clinic there that--that moved, and I see a--like a big
steeple like. You believe with all your heart, that Jesus will make you
well? Do you do it, lady? Then you can stand up, and receive your
healing, in the Name of Jesus Christ. Amen. Hallelujah! Have faith in
God.
E-106 Billy,
is this your next patient? Have faith. You believe? What if I told you
were healed now, would you accept it? Would you? Then go off the
platform, saying, "Thank You, Lord Jesus." And you'll never have to
take di--that insulin or nothing. Jesus Christ will make you well, if
you believe it. Amen.
Let's say, "Praise be to God." Oh, my, now over the audience, now what
a time. How blessed be the tie that binds our hearts in Christian love.
If I've found grace in your heart tonight to tell you the truth by the
Almighty God's Bible, and the vindication of the resurrected Jesus
Christ, He will heal every person in here. And has done it, if you can
believe it.
E-107 Are you
the patient, lady? You believe with all your heart? You believe Jesus
will make you well? If I tell you what's wrong with you, and you know
us strangers, one to the other one, will you accept it? You're
suffering from an accident. You fell down, and kinda tore yourself
loose on the inside, and things, and... No, it's the lady behind you:
it's a vision coming back there, saying... Here's the lady right here.
That's right. You believe, lady, with all your heart? God bless you. Go
in... Your faith really makes you whole.
Let's say, "Praise the Lord," while it... Hallelujah! He's standing
here. Do you believe? Raise up right quick now, and accept Him, right
where you're... Raise your hands up to Him right now, now while we pray.
E-108 O God,
heavenly Father, in the Name of the Lord Jesus Christ, the Son of God,
pour out Thy blessings, Lord, upon this audience at this time. Standing
present, omnipotent, O God, have mercy upon this audience, and heal
every one of them. Grant it, Lord, through Jesus, the Son of God, I ask
it.
Now, with your hands up in the air. Put your hands up, everybody now.
Have your hands up, and do what I tell you to do. Now, repeat this
words after me, "Lord, I believe. Satan, you are defeated. I'm healed
in Jesus' Name." [The
congregation repeats after Brother Branham--Ed.] Give
Him praise now, and you can have what you ask for.