Les Portes dans la porte
1 … ici ce matin. Je pensais à la - la première fois que je suis venu à Flagstaff. Il y a de cela environ, je pense, environ 38 ans, peut-être 40. Je parlais du fait de gravir la colline. Il n'y avait pas de neige, mais ma petite voiture Modèle T n'arrivait guère à gravir la colline. Elle pouvait parcourir 30 miles par heure [Environ 48 km/heure - N.D.T.], mais c'était 15 dans un sens et 15 dans l'autre, vous savez, sur certaines de ces routes que nous avions ici. Et c'était vraiment une...
[Un frère sur l'estrade dit : "Pourquoi ne déclamez-vous pas pour nous ce poème sur cette Ford?" - N.D.E.]. Frère Carl... ["S'il vous plaît." - N.D.E.] Oh! il me parle d'un petit poème que j'avais composé autrefois sur ma Ford.
Ma Vieille Ford
De ma vieille Ford, ils se sont tous moqués,
Disant qu'elle remonte aux environs de 1901;
Eh bien, peut-être que c'est vrai, mais voici mon pari :
Elle peut encore faire un grand nombre de kilomètres.
Le pare-brise est cassé, et le radiateur a une fuite,
La courroie du ventilateur est coupée, et le cheval-vapeur grince;
Elle a un bruit de ferraille par-devant, et un grincement derrière,
Et elle a pour volant un casse-tête chinois.
Elle fait du bruit, et les verrous sont desserrés,
Mais elle consomme 3,78 gallons d'essence sur une distance de 30 miles [48,km - N.D.T.];
Si je ne peux pas trouver de l'essence, je roule avec le kérosène;
Je l'ai même conduite avec le vert de Scheele.
Quand on achète de nouvelles voitures, on a beaucoup d'outils,
De pièces de rechange et un manuel d'utilisation;
Mais tout ce que j'ai trimbalé pendant les 30 dernières années,
C'était une bonne paire de coupe-fil et une paire de cisailles.
Mais j'espère vivre assez longtemps
Pour la voir être mise en pièces, comme le traîneau à un cheval;
Alors, si Henry Ford est toujours en activité,
Je m'achèterai une autre de la même vieille marque.
William Marrion Branham.
Ici, ce n'est pas l'endroit approprié pour déclamer cela, Frère Carl.
2 Nous sommes donc très reconnaissants. Et j'ai eu beaucoup de bons témoignages ce matin, que j'ai appris de ces frères, j'en ai rencontré quelques-uns. Et un ministre a parlé ici il n'y a pas longtemps, un jeune frère espagnol qui a cédé son... le tour du petit garçon pour chanter. N'était-ce pas merveilleux de la part d'un garçon de 6 ans? Oh! la la! pour un petit garçon comme ça, c'est la plus belle petite voix que j'aie jamais entendue.
3 Eh bien, ce frère, les frères avaient oublié cela, mais il tient une série de réunions ici dans votre ville. Je pense que c'est là à l'Église de Dieu. [Le frère dit : "Les Assemblées." -N.D.E.] Les Assemblées de Dieu, là chez les Assemblées de Dieu. Et je suis sûr qu'ils apprécieront votre - votre présence. Vous... les réunions continueront jusque quand, frère?
4 Jusque dimanche, jusque dimanche soir. ["Ce soir, nous avons un sing-spiration." - N.D.E.] Pardon? ["Ce soir nous avons un sing-spiration." - N.D.E.] Ce soir, le sing-spiration [service de chants, souvent suivi d'un sermon, une caractéristique des groupes qui chantent des cantiques spécialement dans les églises de réveil - N.D.T.] Bon, vous êtes tous cordialement invités à cette réunion. [Ce soir à 19h30. - N.D.E.] Ce soir, à 19 heures 30. Et où se trouve cette église, frère? Voudriez-vous bien nous indiquer où elle se trouve? ["113, West Clay". - N.D.E.] 113, Rue West Clay, ici même dans la ville de Flagstaff. Et - et je suis sûr que vous allez... Le petit garçon est-il avec vous? Non, son papa va chanter. Vous chantez, n'est-ce pas? D'accord, c'est bien, je pensais que ce n'était que pour une fois.
5 Eh bien, c'est vraiment rare que l'on voie cela; mais c'est… Généralement s'il y a un talent dans une famille, cela provient des - des autres, je pense. Ils ont donc... ["Tout a commencé par le jeûne et la prière, Frère Branham." - N.D.E.] Le jeûne et la prière, eh bien, c'est... c'est très bien. Or, vous savez, si l'Amérique, si tous ensemble, si toutes nos familles américaines étaient ainsi, eh bien, on congédierait simplement toute la police. Le Millénium commencerait, n'est-ce pas? On - on serait alors dans la première classe. C'est vrai. La mort disparaîtrait complètement, toutes les maladies, la tristesse, toutes les déceptions, et nous serions avec Christ.
6 Ainsi nous sommes heureux, et j'entends tous ces bons témoignages. Et j'ai eu le privilège de rencontrer frère Earl, pour la première fois. Et - et, hier soir, je parlais à sa femme, et... et elle avait été appelée et elle a été guérie plusieurs fois dans les réunions; elle a dit qu'à la dernière réunion elle était sur l'estrade.
7 Cela nous donne un peu, on dirait, un peu le sens de l'humour. Je ne me souvenais pas de frère Earl, bien que je lui aie serré la main quelque part. Et... et hier soir, j'étais assis près de la fenêtre, attendant qu'il vienne. Et un homme très élancé s'est avancé, il avait une moustache noire. J'ai dit : "Le voici qui vient."
Et alors quand... Mon fils, Billy, a dit : "Oh, non, a-t-il dit, ce n'est pas frère Earl. Il est beaucoup plus jeune que cet homme." Et puis, j'ai finalement eu à rencontrer la soeur Earl ici hier soir, et j'ai eu le privilège d'être dans leur belle maison ici, dans la ville.
8 C'est un bel endroit, ici. J'aime toujours appeler cela Flagpole plutôt que Flagstaff [Flagpole signifie le mât portant le drapeau; flagstaff signifie lance de drapeau. - N.D.T.], très loin au sommet de cette colline. Voyez? Et je vous assure, s'il y a quelqu'un du Texas ici, eh bien, vous vous vantez. J'ai quitté Tucson hier, où il faisait environ 72 ou 75 degrés Fahrenheit [28,8°C ou 30,9°C - N.D.T.] quelque part là, et je suis ici ce matin en pardessus. Voyez, ce qu'ils ont au Texas, nous l'avons en Arizona, n'est-ce pas? C'est vrai. Nous sommes juste ici.
9 Ce moment de communion... Le brave Docteur Bosworth, un ami à moi, beaucoup parmi vous ont peut-être connu frère Bosworth. C'était l'un des vieux hommes les plus saints. Et il m'a dit une fois, il a dit : "Frère Branham, savez-vous ce que signifie communion?"
J'ai dit : "Oui, je pense, Frère Bosworth."
Il a dit : "C'est deux amis [two fellows. - N.D.T.] à bord d'un bateau [ship -N.D.T.], ainsi, ils doivent partager un peu."
10 C'est cela donc la communion, nous recevons et nous donnons, nous partageons l'un avec l'autre; avec frère Carl Williams, tous les autres, frère Outlaw. Oh, c'est l'un des premiers à parrainer l'une de mes réunions en Arizona, c'était - était frère Jimmy Outlaw, et depuis, nous sommes des frères intimes. Et nous sommes très heureux pour vous tous, pour les ministres et les frères que nous rencontrons par ici. Le temps me manque pour serrer la main à tout le monde, comme je le souhaite, mais c'est une communion, là où nous nous rassemblons.
11 Cela me rappelle bien la convention de - de Phoenix. J'ai eu le privilège, depuis le tout début des chapitres, de - d'organiser les chapitres et d'y prêcher. Et c'est la seule organisation dont je suis membre, et ce n'est pas une organisation. C'est juste un organisme qui oeuvre parmi les gens. Et si certains de vous, hommes, qui êtes ici présents ce matin, qui - qui n'êtes pas membres de cette communauté des Hommes d'Affaires Chrétiens, le Plein Evangile, que - Si vous croyez, si vous me croyez sur parole, c'est l'un des meilleurs groupes des gens. Et... et, quant à vous les frères ministres, cela n'est pas contre votre église; c'est pour votre église. Voyez, c'est leur façon de placer dans la - dans l'église.
12 Il est arrivé que j'ai vu cette charmante dame ici, qui vient de chanter ce cantique il y a quelques instants. J'ai entendu beaucoup essayer cela, mais cette dame a une voix qui a rendu cela comme il faut, vous savez, sans pousser des cris aigus, comme ça. Je - j'ai beaucoup aimé cela, madame; c'était très, très bien. On a dit que c'est la femme d'un ministre ici. Et, frère, vous devriez lui demander de chanter pour vous chaque nuit pour dormir, ce serait donc très bien, très bien. C'était un très bon cantique. J'apprécie ça.
13 Et ce matin, ça me rappelle en quelque sorte une petite - une petite histoire que... je - j'aime chasser et pêcher, et c'est une des raisons pour lesquelles je suis ici en Arizona, c'est donc pour chasser et pêcher. Et j'aime cela. Et ainsi une fois, je pêchais dans le New Hampshire. Et je pense que j'ai ici beaucoup de partenaires qui aiment pêcher, aussi bien les hommes que les femmes. Ils... Nous aimons tous cela. J'avais donc une petite tente portable que j'avais amenée là très haut, là au sommet où, vous savez, les amis, quelque peu lourds ou quelque chose comme cela, ne pouvaient pas monter là. Et il y a beaucoup de ces belles "truites de rivières" des truites "brunes", des "Square-tail" et "cutthroat" [espèces de truites - N.D.T.]. Oh, ces petits affluents qui descendent du sommet des montagnes dans le New Hampshire en sont pleins. Et ce sont de petites truites de, peut-être, 14, 16 pouces de long [35,36cm, 40, 64cm - N.D.T.], il y en a beaucoup. Et je... seulement... J'allais là et je les attrapais, juste pour le plaisir de les attraper, puis je les relâchais. Si j'en tuais une, alors je - je la mangeais, voyez, je l'amenais.
14 J'avais donc un... un de ces vieux saules d'élan qui poussait, et - et chaque fois que je lançais ma ligne à mouche... J'avais un petit Royal coachman [manche artificiel utilisée pour la pêche - N.D.T.]. Je ramenais cela là-dedans, Je faisais enrouler cela autour d'un tas de saules d'élan. Et je me disais : "Eh bien, je - je vais prendre une hache à main et monter là ce matin pour - pour abattre ce saule d'élan, afin que ma ligne ne s'y accroche plus." Oh, j'ai regardé en arrière en dessous d'une sorte de petit et vieux barrage de castor, et elles s'étendaient simplement là, attendant juste que cette Coachman les atteigne.
15 Et alors, durant toute la nuit... J'avais l'habitude de dire : "C'est entré dans mes cheveux." Mais je n'ai plus assez de cheveux pour qu'elles y entrent donc. Ainsi, je - je... C'est juste la façon dont ils... la façon dont on les observait. Et je suis donc allé là ce matin-là, j'ai tenu cette petite vieille hache à la main, et j'ai coupé ce saule d'élan. Et j'en ai attrapé trois ou quatre, j'allais me préparer un petit déjeuner, puis revenir. Et je ne suis pas un très bon cuisinier. Et je disais à ma femme que je ne pouvais pas faire bouillir de l'eau sans l'assécher, vous savez, c'était donc vraiment embêtant de faire la cuisine.
16 Ainsi sur mon chemin de retour, il y avait une mère ours avec deux petits, et ils étaient entrés dans ma petite tente. Et vous parlez de détruire quelque chose; vous ne savez pas comment les choses peuvent être détruites jusqu'à ce que vous ayez laissé un ours entrer dans la tente. Il... Ils... Le problème ce n'est pas qu'ils détruisent, je veux dire ce qu'ils mangent, il s'agit de ce qu'ils détruisent. J'avais un petit poêle, ce petit poêle de berger là-dedans, et ils étaient montés sur ce petit poêle et avaient sautillé là-dessus, vous pouviez entendre la queue crépiter, et ils ont tout simplement réduit cela en pièces, vous savez. Et quand je suis arrivé… J'avais un petit fusil rouillé, calibre 22, qui était là-dedans, mais j'avais une... cette hache en main.
17 Et, vous savez, quand je suis arrivé, la vieille mère a fui d'un côté, et elle a roucoulé à l'intention de ses petits. Et un petit l'a suivie, bien, mais l'autre est resté assis, un tout petit compagnon. C'était en mai, vous savez, ils venaient de sortir. Il m'avait tourné le dos tout arqué, comme ça. Et je me suis dit : "Que fait-il?" Eh bien, alors il a jeté un coup d'oeil dans ma direction. Et j'ai cherché un arbre pour voir si c'était assez proche, en effet, ils peuvent vous griffer, vous savez, ces petits. Et ils... Vous ne pouvez pas les faire sortir de là. Vous voyez? J'ai alors surveillé la vieille mère un instant, vous savez. Elle a continué à roucouler, et à faire du bruit, quelque chose comme un oiseau. Il fallait savoir qui pousse de tels cris. Elle a donc continué à roucouler à l'intention de ce petit, mais ce dernier ne voulait pas venir.
18 Eh bien, j'ai pensé à mon fusil. Et je me suis dit : "Non, si j'entrais là en courant et que je m'emparais de ce fusil, et que je tirais sur la vieille mère, je laisserais deux orphelins dans les bois." Je ne voulais pas être coupable de cela. Et, en plus, son attaque pourrait être telle que le calibre 22 serait peu efficace, vous savez. Et parfois, il ne fait pas mouche, il faut tirer trois ou quatre fois pour faire partir le coup. Alors je me suis dit : "Eh bien, je monterai du coup sur cet arbre-là, si elle s'avance vers ici. Je monterai sur l'arbre, je me trouverai un petit fouet et les fouetterai vraiment au nez." Leur nez est très tendre. Et ils poussent simplement des cris perçants, puis se retirent, vous savez, et ils vous laissent tranquille. Je me suis alors dit : "Je monterai sur cet arbre-là."
19 Mais à cause de la curiosité que suscitait ce petit, oh, assis comme ceci, je me suis demandé : "Que fait-il?" J'ai donc continué à me faufiler là, en surveillant la mère, vous savez, m'éloignant un peu et m'approchant davantage de l'arbre, car elle continuait à roucouler à l'intention de ce petit. Je me suis alors un peu éloigné, et savez-vous ce que ce petit avait fait?
Eh bien, j'aime des crêpes "flapjacks", ou des crêpes "pancakes" [Frère Branham utilise deux mots différents en anglais pour exprimer la même chose. - N.D.T.] je crois que c'est comme ça que vous les appelez ici. Là, au Sud, nous les appelons flapjacks. Je ne sais pas très bien les faire, mais j'en suis certainement un bon consommateur.
20 Et, vous savez, j'étais un baptiste. Et je n'aime pas asperger; J'aime vraiment les baptiser, les couvrir vraiment de la mélasse. Je m'étais donc procuré une boîte de mélasse de cette dimension-ci, elle se trouvait là, un petit seau de demi-gallon pour mes crêpes. Et ce petit ami... Vous savez, l'ours aime les choses sucrées, de toute façon. Il avait ouvert ce seau de mélasse. Et il était assis là avec sa petite patte d'à peu près cette dimension. Et il tenait cela dans ses bras, et il flanquait simplement sa petite patte là au fond, et léchait comme ça, vous savez.
21 C'est vrai. Et il... il léchait avec sa petite langue. Et j'ai commencé... En... Si seulement j'avais un appareil photo, j'aurais bien voulu montrer cela ce matin, pour juste voir cela. Et il était là, plongeant là-dedans sa petite patte, et la léchant comme cela. Et j'ai crié : "Sors de là", comme cela. Et il n'a fait aucun cas de moi, et il a simplement continué à lécher comme cela. Il a vidé ce seau. Voyez?
22 Et je lui ai crié comme cela, il s'est retourné et m'a regardé comme cela. Il n'arrivait pas à ouvrir les yeux, il était tout recouvert de la mélasse, vous savez. Partout sur les yeux, son petit ventre, il était recouvert de la mélasse. Et alors, quelques instants après, il a marché en vacillant de côté et a couru vers sa mère. Ils l'ont amené dans les buissons et se sont mis à le lécher. Ils avaient peur de se mettre autour du seau, mais ils pouvaient le lécher.
23 Et j'ai dit : "N'est-ce pas là un type d'une bonne vieille réunion de la Pentecôte : on est simplement plein de bonnes choses et des choses succulentes, on en sort, et quelqu'un d'autre lèche cela. C'est cela une vraie réunion de communion. Maintenant, nous venons simplement comme ceci pour plonger nos mains dans le seau, chacun de nous, avoir des bénédictions de Dieu jusqu'au coude. Et je suis sûr que vous trouverez cela au réveil qui se tient là chez les Assemblées de Dieu, qui est en cours là maintenant. Que le Seigneur vous bénisse.
24 L'autre jour, j'ai dit à Phoenix, un petit... J'espère que cela n'a pas l'air sacrilège, c'est une petite plaisanterie au sujet d'un ministre qui allait chaque matin à l'estrade. Et pendant vingt ans d'affilée, il prêchait pendant vingt minutes, et puis c'était fini, et les gens n'arrivaient pas à comprendre ce qu'il en était. Et alors, un matin il a prêché pendant environ quatre heures. Et les - les diacres l'ont rappelé, et - et ils ont dit : "Pasteur, nous vous aimons beaucoup." Ils ont dit : "Nous... nous pensons que vos messages sont merveilleux." Et ils ont dit : "Nous savons, en tant que conseil des diacres, nous vous avons observé et nous vous avons chronométré, c'est exactement vingt minutes chaque dimanche matin." Et ils ont dit : "Ce matin, c'était quatre heures." Ils ont dit : "Nous ne comprenons tout simplement pas."
25 Il a dit : "Je vais vous le dire, frères." Il a dit :"Chaque matin, quand je me mets à prêcher, a-t-il dit, quand vous m'appelez à l'estrade, je prends l'une de ces pastilles et je la mets sous ma langue." Et il a dit : "Vingt minutes après, quand cette pastille est épuisée, a-t-il dit, je - je - je termine", il a dit : "Je sais qu'il est temps d'arrêter." Et il a dit : "Ce matin, l'erreur, c'est que j'ai mis un bouton...?..."
Carl Williams et Jewel Rose, des frères qui me sont très proches, de véritables amis intimes, ils sont allés l'autre jour en ville, et ils ont acheté un bouton à peu près gros comme ça, pour me le donner, et... mais je ne l'ai pas ce matin.
26 Nous sommes donc reconnaissants d'être ici. Eh bien, y a-t-il quelqu'un ici qui connaît le Docteur Lee Vayle? Je ne pense pas... Peut-être pas. Il était un prédicateur baptiste, Docteur en théologie, et il a des diplômes. Il était pour commencer professeur, et un excellent érudit. Et mes bandes sur Les Sept Ages de l'Eglise, je les lui ai envoyées pour en arranger la grammaire. En effet, ma vieille langue du Kentucky avec ses hit, hain't, et tote, et carry, et fetch [expressions argotiques - N.D.T.], cela n'est pas approprié pour les gens qui lisent les livres, il allait donc en arranger la grammaire pour moi. Et alors, après qu'il a terminé, il l'a renvoyé bien des fois pour d'autres mentions. En fait, ce livre va aller sous presse après environ trois ou quatre ans. Il m'a posé une question et a dit : "Puis-je écrire un livre, juste mes commentaires?"
Et j'ai dit : "Eh bien, c'est très bien, Frère Lee." Et je me suis dit...
Alors il a dit : "Je vais vous dire quelque chose." Il a dit : "Il ne sera pas vendu; il sera distribué."
J'ai dit : "Eh bien alors, je suis sûr que c'est en ordre." Voyez?
27 Et ils avaient donc un parrainage de dix personnes à peu près, pour parrainer cela, cela leur a coûté environ mille cinq cents dollars, je pense, d'après ce qu'on m'a fait entendre, pour dix mille exemplaires. Et ainsi, nous - nous avons eu cela; le tout a été publié il y a quelques jours, et nous en avons reçu deux ou trois hier, et Billy les a apportés. Et on - on les distribue. Eh bien, je n'ai jamais lu cela; je ne sais pas ce qu'il a dit. Mais je suis... C'est par la foi. Mais je suis sûr, si vous voulez en avoir un, si vous nous écrivez simplement, on vous en enverra un gratuitement. Voyez? Et il a comme titre Le prophète du vingtième siècle.
28 Et ainsi, j'ai vu une photo ici à la fin… sur la première face du livre, beaucoup parmi vous ont cette photo, bien sûr, et l'ont vue, c'est quand l'Ange du Seigneur a été photographié à Houston, au Texas. Mais ils En ont coupé une partie. Puis, je vois ici au dos … Et combien ici ont déjà été dans l'une des réunions? Voyons. Je pense, pratiquement vous tous. Vous m'entendez souvent dire : "Cette ombre est suspendue sur quelqu'un."
29 Maintenant, voyez, si vous faites une déclaration qui n'est pas la vérité, Dieu n'aura rien à faire avec cela. Vous savez que Dieu n'est pas associé aux mensonges, mais Il ne soutient que ce qui est vrai. Ainsi, quand Il a parlé à Moïse, quand Il l'a rencontré là dans le désert, sous forme de la Colonne de Feu, là dans ce buisson ardent... Alors, quand Il a fait sortir ces gens, et ceux qui avaient accepté de suivre Moïse dans ce voyage, alors Il est descendu sur le Mont Sinaï, cette même Colonne de Feu, et a confirmé que ce que Moïse avait dit était la vérité. Eh bien, Dieu fera cela. Il le fait, toujours. Ainsi, cette Lumière-ci, bien sûr, nous L'identifions à Dieu, parce qu'Elle a la même nature et tout ce qu'Il a fait quand Il était ici sur terre.
30 Alors, à ce sujet, quand il est dit : "Cette personne-ci, je vois que vous êtes couverte par l'ombre de la mort, une ombre sombre."… Combien... Beaucoup parmi vous ont entendu cette déclaration. Eh bien, ici tout récemment dans une réunion, il y avait quelqu'un de curieux, il voulait voir s'il pouvait en prendre une photo, quand cela avait été dit. Alors, ils... il y avait une dame assise tout près, et cet homme avait un appareil photo. Et j'ai dit : "Cette dame qui est assise ici, c'est Mme Untel", qui que c'était. J'ai dit : "Elle est couverte de l'ombre de la mort, et elle a le cancer." Et juste à ce moment, il a pris une photo, en effet, c'était tout près. Et c'était là, voyez, ce cancer sous forme de capuchon, un cancer noir de la mort suspendu au-dessus de cette femme. Puis le Saint-Esprit a encore parlé. Eh bien, quand ils ont mis cela dans le livre, ils ont coupé cela, ils ont donc tout simplement mis cela ici jusqu'à ce qu'ils ont imprimé le livre. Et c'est pourquoi vous verrez cette feuille volante là-dedans.
31 Je pense, c'est la Voix de la guérison qui a imprimé ce livre. Et c'est donc absolument gratuit. Et ceux qui ont parrainé figurent ici à la fin du livre, ceux qui ont donné mille cinq cents dollars pour que cela soit publié, pour qu'il soit à la disposition du public. C'est donc gratuit, et c'est un bon petit livre. Et je n'en connais pas le contenu, je ne l'ai jamais lu; le Père le sait.
32 Mais, voyez, c'était... Pour moi, c'est la vérité absolue. Ce que nous cherchons, c'est la Vérité. Jésus a dit : "Vous connaîtrez la Vérité; la Vérité vous affranchira." Et Il est cette Vérité. Il est, Lui Jésus, le Fils de Dieu, Il est la Vérité de la Parole, parce qu'Il était la Parole qui a été faite chair. "Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu… Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous." Cela fait donc de Lui la Vérité, parce que la Parole est la Vérité, et Il était la Vérité.
33 Aujourd'hui, quand nous Le voyons revenir en ces derniers jours, ce grand mouvement de Dieu, parcourant les nations du monde, rassemblant un peuple pour former l'Epouse, c'est la vérité.
34 Il y a des années, les gens disaient que le parler en langues n'existait pas; c'était une absurdité. Dieu l'a promis, et Il a prouvé que c'était vrai. C'est vrai. Ce matin quelqu'un a dit : je crois que c'était notre noble soeur là, celle qui s'occupe bien souvent des enfants pour leur baptême; elle a dit : "Vous pouvez entendre quelqu'un parler en langues. Mais entendre quelqu'un chanter en langues (voyez?), c'est une très belle chose."
35 Je me souviens de ma première expérience; j'étais au Redigar Tabernacle, à Fort Wayne, dans l'Indiana. Et je prêchais, j'avais un service de guérison après la mort de - de frère B. E. Redigar. Et, frère Bosworth était là, Paul Rader. Et beaucoup d'entre vous, qui êtes avancés en âge, qui... comme moi, vous vous souvenez de Paul Rader; c'était un baptiste, et nous étions... nous étions donc de grands amis.
36 Et ainsi, pendant que je prêchais là, j'allais prier pour les malades. C'était donc une chose étrange pour les gens, mais une dame avait amené un petit garçon estropié, et quand celui-ci est venu à l'estrade, une vision du Seigneur est apparue et lui a dit tout le problème qu'avait le petit garçon. Et j'ai demandé à la jeune fille de me donner - me donner le petit garçon. Maintenant, juste pour le témoignage de la soeur, afin que vous voyiez quelle joie et ce que le véritable phénomène de - de la grâce de Dieu, ce que cela a pu faire, quand cela a opéré selon la Parole de Dieu (voyez?), la promesse de Dieu pour l'heure...
37 Eh bien, la promesse de Dieu à Noé ne marchera pas pour nous aujourd'hui. La promesse de Dieu à - à Moïse, nous ne pourrons pas recevoir le Message de Moïse. Moïse ne pouvait pas recevoir le Message de Noé. Nous avons reçu le Message de l'heure. Nous ne pouvons pas recevoir le Message de Luther. Nous ne pouvons pas recevoir le Message de Wesley. Ceci est un autre temps. Dieu a alloué Sa Parole à chaque âge. Et quand cet âge arrive, Il y envoie quelqu'un pour confirmer cette Parole, pour prouver qu'Elle est vraie. Et ce... Nous voyons donc dans chacun d'eux, juste comme ce que Jésus a dit quand Il était sur terre, Il a dit : "Vous bâtissez les tombes des prophètes, et ce sont vos pères qui les y ont mis."
38 Eh bien, ma famille est catholique, comme vous le savez, étant un Irlandais. Eh bien, nous... Eh bien, les gens - les gens parlent de saint Patrick; les catholiques le revendiquent. Eh bien, il est presque autant catholique que je le suis. Ils parlent de Jeanne d'Arc. Ils ont brûlé cette fille sur le bûcher, prétendant qu'elle était une sorcière (nous le savons tous.), parce qu'elle était spirituelle et voyait des visions. En effet, des centaines d'années plus tard, ils ont déterré les corps de ces prêtres, et faisant pénitence, ils les ont jetés dans la rivière. Mais ce n'est pas là ce qu'il faut. Voyez? Les gens manquent toujours cela. L'homme loue toujours Dieu pour ce qu'Il a déjà fait, s'attend à ce qu'Il fera, mais il ignore ce qu'Il est en train de faire. C'est simplement la nature de l'homme. Et il n'a pas changé de nature, l'homme du monde.
39 Ainsi, nous trouvons que notre Message que nous avons aujourd'hui : "Sortez de Babylone, et soyez libres, et - et soyez remplis de l'Esprit, et que vos lampes soient nettoyées et claires, et levez les yeux, notre rédemption approche", nous... Ces choses sont étranges pour beaucoup de gens qui croient et invoquent le beau Nom de notre Seigneur. Mais cependant, au milieu de tout cela, nous n'avons rien contre ces gens, ces gens de dénominations. Ce sont des gens bien; ce sont de braves gens. Ils sont nos... ils sont nos collaborateurs dans l'Évangile, car Jésus a dit : "Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l'attire. Et - et tous ceux que le Père m'a donnés, viendront."
40 Ainsi, notre seule responsabilité, c'est de semer les Semences. Une partie est tombée le long de la route, une autre sur différentes sortes de terre; une autre est tombée là et a produit au centuple. Ainsi, nous sommes simplement des semeurs de Semences. C'est Dieu qui oriente Cela quand Ça tombe. Et maintenant, nous prions que, peut-être, ce matin une petite Semence qui pourrait encourager quelqu'un tombe quelque part.
41 Et juste comme un - un - un homme... Et pour terminer mon témoignage sur cette petite dame, ce dont j'allais parler, cette dame a amené ce petit bébé, un petit garçon, je pense, d'environ dix, douze ans, et peut-être pas aussi âgé que cela, parce que cette femme le portait. Et elle l'a donné. Et juste à ce moment, pendant que j'offrais la prière pour l'enfant, le petit enfant a sauté de mes bras et s'en est allé en courant sur l'estrade, il y avait environ trois mille cinq cents ou quatre mille personnes. Et alors, c'était la première fois que les gens voyaient cela, la mère, assise sur le siège de devant, s'est simplement évanouie et elle est tombée.
42 Et une petite fille Amish... Connaissez-vous les Amish? Je ne sais pas si vous en avez par ici : de longs cheveux, des gens très doux, très purs et du genre noble. Vous savez, parmi tous les Mennonites, les Amish, et autres, nous n'avons pas enregistré un seul cas de délinquance juvénile. Taxez-les des gens bizarres, si vous voulez, mais ils ont quelque chose que nous, nous - nous manquons dans nos maisons. Ils n'ont pas un seul dossier aux tribunaux sur une - une mauvaise conduite des jeunes qui serait survenue parmi eux. Ils élèvent leurs enfants dans une seule voie, et c'est la voie qu'ils suivent.
43 Et cette jeune dame était une pianiste renommée, une belle jeune femme, avec de longs cheveux blonds, attachés dans le dos. Et quand elle a regardé à... Eh bien, elle était Amish; elle ne savait rien de la Pentecôte, moi non plus. Mais quand elle a regardé à l'estrade, et qu'elle a vu ce petit garçon aller, marchant là, elle a levé les mains.
44 Eh bien, je sais qu'il existe du fanatisme, et j'espère que je ne suis pas enclin à cela. Je - je ne suis pas un menteur. Et je - je ne suis pas... si je suis dans l'erreur, je - je ne le suis pas volontairement; Je le suis sans le savoir. Mais cette fille a levé les mains, et ces cheveux sont retombés sur les épaules, et elle s'est mise à chanter dans une langue inconnue. Et elle jouait ce cantique Le Grand Médecin est ici maintenant, le compatissant Jésus. Et quand elle a sauté de là... Je sais que ceci a l'air bien étrange donc. Mais cette fille ne savait rien du parler en langues, mais elle a chanté dans une langue inconnue Le Grand Médecin est ici maintenant, le compatissant Jésus. Et ce piano a continué de jouer Le Grand Médecin est ici maintenant, le compatissant Jésus.
45 Eh bien, les gens se sont entassés à ces autels, au balcon et dans la salle, en train de crier. Cette fille se tenait là, le visage relevé comme ceci, parlant en d'autres langues; et sur le piano, les touches en ivoire continuaient à jouer :
Le Grand Médecin est ici maintenant,
Le compatissant Jésus,
Il console les coeurs découragés,
Pas d'autre Nom que Jésus!
46 Oh, c'est... "L'oeil n'a point vu, et l'oreille n'a point entendu, ce qui nous est réservé." Savez-vous à quoi je pense? Pourquoi accepterions - pourquoi accepterions-nous un substitut ou juste un faux-semblant alors que le Ciel est plein de ce qui est authentique, de la véritable puissance de Dieu qui peut libérer une âme, qui peut faire quelque chose pour nous?
47 Que Dieu vous bénisse. Eh bien, il y a tant de choses. Je ne vous ai point dit où trouver ce livre. Voyez? Boîte postale 325, Jeffersonville. Et si vous écrivez, eh bien, on vous l'enverra. Ou, soit, si vous venez à l'une des réunions; on le distribuera.
48 Maintenant, je suis très reconnaissant pour ce bon moment de communion. Et ce matin, je pensais à une petite histoire que j'avais l'habitude de raconter aux Hommes d'Affaires Chrétiens, sur Zachée. Beaucoup parmi vous m'ont entendu raconter cela, comment ce petit homme ne croyait pas au discernement, et... du Seigneur. Evidemment, je pense, comme nous l'avons dans chaque âge, vous voyez ce qui est authentique, puis vous voyez l'imitation. Et nous avons dû tolérer cela. Mais les bons et vrais penseurs et les hommes versés dans les Ecritures comprennent. Voyez? En fait, nous, et peu importe...
49 Quand Mme Aimee Semple McPherson, quand elle était ici sur terre, dans son ministère, on raconte que presque chaque femme prédicateur portait ces histoires semblables aux ailes, vous savez, ou comme des toges, et portait la Bible. Regardez tout simplement les Billy Graham qu'il y a dans le pays aujourd'hui. Mais, vous savez, Billy Graham ne peut jamais prendre votre place. Je - je ne peux pas prendre la place de Billy; il ne peut pas prendre la mienne. Je ne peux pas prendre la vôtre, et vous ne pouvez pas prendre la mienne. Vous êtes un individu en Dieu. Dieu vous a créé tel que vous êtes dans un but. Si seulement nous pouvions trouver notre place, et ensuite y demeurer. Si donc nous essayons de faire quelque chose de différent, alors (voyez?) nous sommes - nous sommes sur le territoire de quelqu'un d'autre, et nous faussons simplement l'image de Dieu.
50 Prenons par exemple Billy Graham dans le monde dénominationnel aujourd'hui, tel qu'il est, supposons qu'il soit un joueur de football, c'est lui qui a le ballon. Or, si vous cherchez à arracher le ballon à votre propre coéquipier, vous semez la discorde dans votre équipe. Protégez votre coéquipier. Voyez? Continuez à le protéger, retenez les autres afin que lui puisse filer. Et nous aurons un toucher après quelques instants, et Jésus viendra, et alors tout sera fini. Que le Seigneur vous bénisse.
51 Eh bien, je vais… Je parlais de cet homme Zachée. Et il était dans cet arbre, vous savez, ayant ramené toutes les feuilles autour de lui. Et puis, quand il est descendu de l'arbre, il est allé chez lui avec Jésus. Et j'ai dit : "Il est devenu un membre du chapitre des Hommes d'Affaires du Plein Évangile." S'il y a donc un Zachée ici ce matin, j'espère que vous prendrez ce bon conseil en devenant un membre des Hommes d'Affaires du Plein Évangile.
52 Vous dites : "Plein Évangile." Certainement. C'est tout ce que Jésus aurait prêché, vous savez, c'était le Plein Évangile. C'est vrai. N'est-ce pas vrai? Assurément, car Il était le Plein Évangile. C'est vrai. Il ne pouvait pas Se renier.
53 Mais maintenant, j'ai quelques passages des Ecritures notés ici, pour un petit - un petit texte ordinaire; il ne me prendra que quelques minutes, si vous me supportez. Et avant que nous le fassions... Maintenant, dans notre petite communion, étant réunis, et parlant des pattes de l'ours dans le seau, et autres, mettons tout cela de côté maintenant même, et je pense bien que nous avons fait connaissance. Et - et nous sommes - nous voulons entrer maintenant dans la partie essentielle de la Parole. Inclinons la tête maintenant, comme nous abordons Cela. En effet, nous n'avons aucun droit d'aborder la Parole sans d'abord parler à l'Auteur.
54 Avec nos têtes inclinées, nos yeux fermés, et j'espère que nos coeurs sont inclinés avec notre tête, je me demande, alors que je lève les yeux pour regarder l'audience, s'il y a quelqu'un ici qui voudrait dire, par la main levée : "Frère, ministre, souvenez-vous de moi dans la prière. Je - je suis dans le besoin aujourd'hui." Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Eh bien, Il voit votre main. Il sait ce qui est caché derrière votre main, dans votre coeur. Puisse-t-Il l'accorder, c'est ma prière.
55 Dieu bien-aimé, comme nous sommes reconnaissants pour ce bâtiment-ci sous lequel nous, Tes humbles enfants, nous pouvons nous assembler, et parler simplement et communier, juste être entre nous, alors que nous nous abandonnons à Christ, avec le désir d'être davantage semblable à Lui... Nous sommes… Des frères dans le ministère sont assis ici, Seigneur, des hommes qui sont de loin plus capables que moi, Ton indigne serviteur, de se tenir ici pour apporter cette Parole; le sort est tombé sur moi. Et, Père, je prie, aujourd'hui, que s'il arrive que je dise quelque chose qui n'est pas conforme à la volonté de Dieu, qu'avant que je le dise, que Tu fermes ma bouche, comme Tu avais un jour fermé la gueule aux lions, de sorte qu'ils n'ont pas dérangé Daniel.
56 Et, Père, nous Te demandons maintenant de Te souvenir de chacun sans exception, de chaque ministre; et de ce réveil qui est en cours ici dans la ville, Seigneur, là dans les Assemblées de Dieu. Je Te prie, ô Dieu bien-aimé, d'envoyer là un réveil tel que toute cette ville sera secouée par la puissance de Dieu, de sorte que tous les gens qui sont dans ces bars et ces enfants errants dans la rue seront amenés au trône de Dieu, pour être remplis de Sa bonté et de Son Esprit. Accorde-le, Père céleste.
57 Et nous prions aujourd'hui, que s'il y a un homme ou une femme, un garçon ou une fille, qui a été amené ce matin à cette réunion, sous cet abri contre la neige, que le glorieux Saint-Esprit visite son coeur et lui parle de façon mystérieuse. Peut-être que c'est quelqu'un qui a erré, qui T'avait autrefois reçu, Seigneur, mais qui maintenant s'est éloigné, ramène-le, Seigneur, ce matin. Et nous prions pour ce chapitre, pour frère Earl, pour sa femme, et pour les autres. Accorde-le, Seigneur.
58 Maintenant, rompt pour nous le Pain de Vie, comme nous ouvrons les pages de la Parole, car nous savons que la Bible n'est l'objet d'aucune interprétation particulière. Mais Dieu n'a pas besoin que nous interprétions Sa Parole; Il est Son Propre interprète. Un jour, Il a dit : "Que la lumière soit.", "et la lumière fut". Il a dit : "Une vierge concevra", et elle conçut. "Et dans les derniers jours, Je répandrai de Mon Esprit sur toute chair"; peu importe ce que disait le monde, Il l'a fait. Il n'a besoin d'aucun interprète. Il interprète Sa propre Parole en La vivifiant et en La confirmant. Viens dans nos coeurs, Seigneur Jésus, et interprète pour nous aujourd'hui les choses dont nous avons besoin. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
59 Maintenant, dans la Bible, veuillez L'ouvrir. Je crois que je n'ai jamais eu un message que j'ai essayé d'apporter, sans que j'aie d'abord lu la Parole. En effet, ma Parole faillira; je suis un homme. Mais Sa Parole ne peut simplement pas faillir; Il est Dieu.
60 Ouvrons donc pour juste un petit texte maintenant, et nous allons sortir juste dans... environ dans trente, quarante minutes, le Seigneur voulant. Maintenant, nous voulons aller dans Apocalypse, Apocalypse chapitre 3, à partir du verset 14. Et nous voulons lire juste un... le passage, c'est le message à l'église de l'âge de Laodicée. Et je crois, et je... je suppose que presque tous les hommes remplis de l'Esprit et les lecteurs de la Bible qui croient, peuvent dire ' amen' à cela, que nous sommes dans l'âge de l'église de Laodicée, en effet, c'est le dernier âge. Écoutez le message sur la condition de l'église de ce temps. Ecris à l'ange de l'église de Laodicée : Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu; Je connais tes oeuvres... tu n'es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, Je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. Celui qui vaincra, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, comme moi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône. Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Eglises!
61 Que le Seigneur bénisse la lecture de cette Parole. Maintenant, je voudrais, juste pour quelques instants, prendre un petit sujet intitulé Les portes dans la porte, les portes dans la porte. Eh bien, c'est un même... les portes dans la porte, ça fait trois mots [en anglais : doors in door; littéralement en français : portes dans porte - N.D.T.], "les Portes dans la Porte". Vous pouvez me dire... "Frère, il y a à peu près cent personnes ici. Là... Ne pensez-vous pas plutôt que c'est un petit sujet, alors que vous avez devant vous une centaine d'âmes"? Eh bien, ça... ça peut être vrai, c'est un - un petit sujet. Mais ce n'est pas la longueur du sujet qui... qui compte, c'est son contenu. C'est... c'est ce que dit le sujet qui compte.
62 C'est comme, je crois que c'était à Louisville, dans le Kentucky, il y a quelque temps, un - un petit garçon était dans le grenier, jouant avec de vieilles malles dans la mansarde, et il est tombé sur un ancien timbre postal. Eh bien, la première pensée qui lui est venue à l'esprit, c'est qu'il pouvait s'acheter un cornet de glace avec cela. Il y avait un collecteur au bas de la rue, il a donc couru dans la rue de toutes ses forces. Et il a dit : "Que me donneras-tu en échange de ce timbre?"
Le collecteur a examiné le timbre, et celui-ci était un peu terni. Il a dit : "Je vais te donner un dollar."
63 Oh! la la! c'était vite vendu. Le petit enfant aurait donné cela pour cinq cents, et alors être content de pouvoir se procurer une glace, mais cela a été vendu à un dollar. Le collecteur l'a vendu à cinq cents dollars. Et plus tard, je ne sais pas exactement où cela est parti; il a coûté des centaines de dollars. Vous voyez, le petit morceau de papier n'était pas grand-chose, c'était juste un bout de papier que vous ne ramasseriez pas du sol. Mais ce n'est pas le papier qui comptait; c'est ce qui est sur le papier qui compte.
64 Et il en est de même quand on lit la Parole de Dieu. Ce qui importe ce n'est pas le papier, la valeur du papier, ni la dimension du papier, mais ce qui est écrit sur ce papier. Et un seul mot suffit pour sauver un monde, s'il est reçu tel quel.
65 Il y a quelque temps, il y avait… J'ai lu une histoire d'un... du temps de notre noble... L'un des plus grands présidents, à mon avis, que notre nation ait jamais eu, c'était - c'était Lincoln. Pas parce que qu'il venait du Kentucky, mais parce qu'il était un grand homme. Il n'avait pas d'instruction, mais cependant il y avait - avait quelque chose dans son coeur, un objectif. Je... j'aime un homme de vision. J'aime les gens qui ont quelque chose pour lequel ils combattent, pas juste rester là : "Eh bien, tout ce qui arrivera c'est en ordre." Oh, levez-vous et mettez-vous à l'oeuvre.
66 Et Lincoln n'a jamais laissé son manque d'instruction constituer un obstacle pour lui; il avait quelque chose à faire. Je pense que chaque chrétien doit être ainsi; trouvez-vous un objectif et mettez-vous-y. Chaque membre de ce chapitre, ce n'est pas seulement : "Eh bien, nous avons un petit déjeuner une fois par mois." Ce n'est pas ça, ou "une fois chaque samedi". Ayez un objectif dans la vie, quelque chose que vous allez accomplir. Que... Dieu vous a placé ici; faites quelque chose à ce sujet, chaque membre de chaque église. Il y a un réveil dans la ville. Ce réveil est là dans un but. Tirons-en profit. Faisons quelque chose à ce sujet.
67 M. Lincoln... il y avait un homme qui.. un jeune homme, il - il était à la guerre, et - et c'était - c'était un lâche pour commencer. Et au moment de s'acquitter de son devoir, il - il - il a déserté; et il a été retenu contre lui quelque chose pour lequel il devait être fusillé. Et, oh, il... C'était terrible. Et un jeune homme qui l'aimait beaucoup, alla auprès de M. Lincoln pour obtenir une mesure de grâce. A l'époque, c'était lui le président ici aux États-Unis. Le garçon alla donc solliciter la grâce auprès de lui.
68 Et il lui a dit, comme il descendait de sa voiture; et M. Lincoln, un homme élancé, barbu, un sudiste typique, maigre, et il lui a dit : "Monsieur Lincoln, il y a un garçon qui va mourir dans deux jours, il sera fusillé pour avoir déserté pendant la bataille." Et il a dit : "Monsieur Lincoln, le garçon n'est pas un mauvais garçon. Mais il était devenu nerveux à la suite de tous ces tirs de mousquets et - et des gens qui se mouraient. Et il a été tellement bouleversé qu'il - qu'il a levé les mains et s'est mis à crier. Il a fui." Il a dit : "Je connais ce garçon." Il a dit : "Monsieur Lincoln, il n'y a que votre nom sur ce morceau de papier qui peut lui épargner la vie. Voulez-vous le faire?"
Evidemment, ce gentleman chrétien a vite signé ce papier: "Untel est gracié." Il a signé de son nom: "Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis".
69 Le messager est rentré avec entrain. Et il a couru à la cellule; il a dit : "Tu es libre. Tu es libre. Voici la signature de M. Lincoln, de M. Lincoln. Tu es libre."
Il a dit : "Pourquoi es-tu venu te moquer de moi, alors que tu sais que je vais mourir demain?" Il a dit : "Ôte ça d'ici; tu ne fais que te moquer de moi." Et il n'a pas voulu accepter cela. Il a dit : "Non, je... je n'en veux pas." Il a dit : "Tu ne fais que..." Il a dit : "Si c'était le... le Président, a-t-il dit, il y aurait les - les armoiries, et ce serait sur son papier avec en-tête."
Il a dit : "Mais ça, c'est bien sa signature."
Il a dit : "Comment reconnaîtrais-je sa signature?" Il a dit : "Tu ne fais que te moquer de moi, tu cherches à me réconforter." Et il s'est simplement mis à crier, il lui a tourné le dos. Le garçon a été fusillé le lendemain matin.
70 Alors, après la mort du garçon, alors que le nom du Président était sur ce morceau de papier, comme quoi il a été gracié, et quoi alors? Et on a amené le cas en justice, à la cour fédérale. Et voici ce qu'a été la décision de nos cours fédérales qui sont la plus haute instance de toutes nos cours. Ce qu'elles disent, parfois, nous n'aimons pas leur décision, mais nous devons nous y soumettre de toute façon, voyez, parce que c'est cela le poteau d'attache. C'est la plus haute instance. Maintenant, voici la décision qui a été rendue : "La grâce n'est grâce que si elle est reçue comme grâce."
71 Et il en est de même de la Parole de Dieu. C'est une grâce si elle est reçue comme grâce. Et C'est la Parole de Dieu; c'est la puissance de Dieu pour ceux qui La croient et L'acceptent. Peu importe que vous La regardiez, et que vous disiez : "Oh, Elle a été embrouillée, il y a un million de traductions, et tout." Elle est peut-être cela pour quelqu'un d'autre. Mais pour moi, c'est toujours la Parole de Dieu, Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui et éternellement. Il est tenu d'être fidèle à la Parole.
72 Eh bien, Il doit juger l'église un jour. Et s'Il la juge par l'Eglise catholique, comme on dit qu'Il le fera, alors par laquelle des églises catholiques va-t-Il la juger? Elles sont différentes les unes des autres. S'Il la juge par l'Eglise méthodiste, vous les Baptistes, vous êtes perdus. S'Il la juge par les Pentecôtistes, vous autres le reste, vous êtes perdus. Mais Il ne la jugera pas par l'église. La Bible dit qu'Il jugera le monde par Jésus-Christ, et Christ est la Parole. Vous voyez donc que nous sommes sans excuse.
73 C'est par la Parole de Dieu qu'Il juge; ainsi peu importe combien c'est minime, la signification d'un mot ajoutée à Ceci, dit Apocalypse 22.18... Je vais d'abord commencer par la Genèse. Dieu a donné à la race humaine Sa Parole pour qu'Elle lui serve de forteresse contre la mort, le péché et l'affliction, ou n'importe quel désastre : une chaîne de Sa Parole. "Tu ne toucheras pas à tel arbre, car le jour où tu en mangeras, ce jour-là, tu mourras. Et la force d'une chaîne se mesure à son maillon le plus faible. Et nos âmes sont tirées au-dessus de l'enfer, accrochées à cette chaîne; brisez-en un maillon, c'est tout ce qu'il vous faut faire.
74 Eve n'avait point brisé une phrase; elle a brisé un Mot, sous l'influence de Satan. Ça, c'était au début du Livre. Au milieu du Livre, Jésus est venu et a dit : "L'Homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole", pas d'une partie de Cela, juste d'une parole ici et d'une parole là-bas, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu."
Après qu'Il était mort, ressuscité, qu'Il est allé au ciel, Il est revenu, et Il a donné à Jean... en fait Il a dit là après Sa résurrection, Il a dit : "Et si…", on Lui a demandé : "Qu'arrivera-t-il à cet homme?"
75 Jésus a dit : "Que t'importe s'il demeure jusqu'à ce que Je vienne? On ne savait pas exactement si c'était sa vie qui continuerait, mais toujours est-il que c'est son ministère qui a continué. Et Il l'a enlevé, dans Apocalypse chapitre 4, et Il lui a montré tout ce qui devait arriver, ce que nous vivons, jusqu'au passage d'aujourd'hui. Et puis, au chapitre 22, le dernier chapitre, au verset 18, Il a dit : "Quiconque retranche une Parole de ce Livre, ou Y ajoute un mot, sa part sera retranchée du Livre de la Vie." Voyez? Nous croyons donc que l'homme vit de toute Parole de Dieu. Je le crois, et je sais que c'est vrai. Peu importe combien c'est petit. Il suffit juste d'une seule Parole et ça y est.
76 En pensant à ce qui est insignifiant - je vois qu'il y a beaucoup de mes amis canadiens assis ici. Je me souviens que j'étais au Canada quand le Roi George, j'avais eu le privilège d'aller prier pour lui, il avait été guéri de la sclérose en plaques; ce jour-là il souffrait de la sclérose, et il avait aussi des troubles gastriques, un ulcère; comme beaucoup parmi vous les Canadiens le savent, et les Américains aussi. Mais quand on le voyait passer là, à bord d'une voiture, il - il était roi. Il se comportait comme un roi. Sa belle reine était assise à côté de lui, en robe bleue.
77 Et comme il passait dans les rues... Un ami à moi et moi-même, nous nous tenions ensemble. Et quand cette voiture est passée, mon ami a simplement détourné la tête et s'est mis à pleurer. J'ai mis ma main sur son épaule, et j'ai demandé : "Qu'y a-t-il?"
Il a dit : "Frère Branham, c'est mon roi et sa reine qui passent là." Eh bien, je - j'ai pu apprécier cela.
78 Je me suis donc dit : "Si un Canadien, sous le gouvernement, pas sous le gouvernement, mais encore même sous l'autorité anglaise, si le passage du roi a amené un canadien à pleurer, à détourner la tête et à pleurer, qu'en sera-t-il quand nous verrons notre Roi?" Et penser que nous tiendrons la place de la Reine!
79 On avait alors fait sortir tous les enfants des écoles, les petits enfants; on leur avait remis un petit drapeau britannique. Le drapeau canadien porte un autre nom. Frère Fred, comment appelle-t-on le drapeau canadien? [Frère Fred Sothmann dit : "Union Jack." -N.D.E.] Union Jack. Mais on leur avait remis un petit drapeau britannique à agiter. Et quand le roi est passé, tous les petits enfants se sont levés, agitant leur - leur petit drapeau, et criant à l'intention du roi. Et - et des orchestres jouaient Dieu sauve le Roi pendant qu'il marchait dans les rues. Oh, si seulement vous pouviez avoir un... Vous aurez un aperçu de ce qui se passera là à la résurrection.
80 Et quand on leur a demandé, les petits enfants, de rentrer à l'école aussitôt après le - le défilé, alors quand les petits enfants sont retournés à l'école, une fille n'a pas été retrouvée dans une école. Et on est allé chercher la petite écolière partout, ça et là dans les rues. Et finalement, on a trouvé debout derrière le poteau télégraphique, une toute petite fille chétive, pleurant de tout son coeur. Eh bien, la maîtresse l'a prise et... [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Qu'y a-t-il? N'as-tu pas vu le roi?"
Elle a dit : "Si, j'ai vu le roi."
Elle a demandé : "N'as - n'as-tu pas agité ton drapeau?"
Elle a dit : "Si, je - j'ai agité mon drapeau."
Elle a demandé : "Eh bien alors, pourquoi pleures-tu?"
Elle a dit : "Vous voyez, maîtresse, je suis très petite, les autres se tenaient devant moi; ils étaient plus grands. Et j'ai agité mon drapeau, mais lui ne l'a pas vu."
81 Et cela l'avait bouleversée. Eh bien, il se peut que ce roi George n'ait pas vu cette petite enfant à cause de sa taille. Il se peut qu'il n'ait pas vu son coeur patriotique, et les sentiments qu'elle éprouvait à son égard. Elle était trop courte.
82 Mais ce n'est pas le cas avec notre Roi à nous. Oh! la toute petite chose que nous faisons, Il voit cela. Et Il connaît même les choses et les pensées de nos coeurs, tout ce que nous faisons, peu importe combien c'est minime. Et comment Le servons-nous? En nous servant les uns les autres. Si je ne vous aime pas, vous, comment puis-je L'aimer, Lui? Voyez? "Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, c'est à moi que vous les avez faites." Voyez?
83 Ce sont les - ce sont les petites choses que nous négligeons parfois de faire, qui brisent toute la chaîne, voyez, et nous amène dans le relâchement, nous souciant juste de notre dénomination, oubliant ces petites choses qui sont en fait des - des choses essentielles. Tout, chaque Parole de Dieu est essentielle. Rien ne peut être laissé de côté. Il nous faut prendre chaque Parole de Dieu, telle que Cela est écrit.
84 Je me tiens à la porte, dit Jésus dans cet âge de Laodicée, et Je frappe." Avez-vous remarqué que c'est le seul âge de l'église où Il est mis en dehors de Son église? Dans tous les autres âges de l'Eglise, Il était à l'intérieur de l'Eglise. Du temps des méthodistes, des luthériens et autres, Il était à l'intérieur de l'église. Mais ici, Il est dehors; nos crédos et autres L'ont mis hors de l'église. Mais Il se tient là dehors et continue à frapper : "Celui qui entend et ouvre la porte, J'entrerai chez lui, Je souperai avec lui, et Je lui accorderai la guérison de ses yeux, et - et des vêtements, et Je lui donnerai les richesses du ciel; celui qui M'entendra frapper."
85 Je pensais pouvoir me rappeler le nom de cet artiste qui a dessiné ce tableau, qui a plutôt peint un tableau où Il se tient à la porte. Quand il... Vous savez, tous les tableaux célèbres doivent d'abord passer par la ligne, ou plutôt par la chambre de critiques, avant d'être accrochés dans le musée. Cette peinture originale coûterait aujourd'hui des millions de dollars. Mais, voyez, c'est tout comme l'Eglise qui doit passer par la chambre de critiques. Nous passons par-là. On vous taxera de saints exaltés, on vous taxera de tout. Mais si seulement vous pouvez garder votre position en Christ, alors un jour, Il nous amènera dans le musée.
86 Mais il nous faut d'abord supporter les critiques. C'est là que réside notre petitesse; c'est là que ça se manifeste. Celui qui ne peut pas endurer le châtiment est un enfant illégitime, et non un enfant de Dieu. Peu importe combien il a adhéré à l'église, ce qu'il a fait, il est néanmoins… s'il ne peut pas endurer le châtiment, il est un enfant illégitime, mais il n'est pas un véritable enfant de Dieu.
87 Mais un véritable et authentique enfant de Dieu ne se soucie pas de ce que le monde dit; tout le reste est secondaire. Sa pensée est fixée sur Christ, et cela règle la question. Oui. Tout ce que Christ dit de faire, il le fera. Partout où l'Agneau va, il est avec Lui, partout. Et alors vous verrez Son apparition, Sa Présence, et ce qu'Il fait. Il est toujours avec Son peuple, Son Epouse. Il lui fait la cour. Un jour il y aura un souper des noces.
88 Toutefois cet artiste… lorsque cela a été examiné par les critiques, un groupe de critiques s'est rassemblé autour de cet artiste. Je ne me rappelle pas son nom. J'essaie de penser à Michel-Ange, mais lui était le sculpteur de la statue de Moïse. Mais le nom de l'autre m'échappe. Mais, cependant, il a dit : "Votre tableau est extraordinaire, a-t-il dit, je n'ai rien à dire contre le tableau." Il a dit : "En effet, Il tient une lanterne en main; cela montre qu'Il vient à la… à l'heure la plus sombre de la nuit." Il a dit : "Et puis, Il est à la porte, avec Sa tête, Son oreille, de façon qu'Il ne soit pas - qu'Il soit sûr de ne pas manquer l'invitation la moins audible. Il a Son oreille tournée vers la porte, et Il frappe à la porte." Il a dit : "Mais, vous savez, monsieur, il y a une chose que vous avez oubliée dans votre tableau."
89 Et cet artiste, qui avait passé toute sa vie à peindre cela, a dit : "Qu'est-ce que j'ai oublié, monsieur?"
Il a dit : "Peu importe à quel point Il frappe, voyez, vous avez oublié d'y mettre une serrure de sûreté. Il n'y a pas de serrure de sûreté sur la porte." Si vous regardez bien la porte, il n'y a aucune serrure de sûreté.
"Oh! a dit l'artiste, j'ai peint cela ainsi. Vous voyez, monsieur, a-t-il dit, la serrure de sûreté est à l'intérieur. C'est vous qui devez ouvrir la porte. C'est vous qui ouvrez la porte."
90 Oh! pourquoi un homme frappe-t-il à la porte de quelqu'un? Il cherche à entrer. Il cherche à entrer. Il se peut qu'il ait quelque chose qu'il aimerait vous dire ou dont il aimerait parler avec vous. Il a un message pour vous. Et c'est pourquoi les gens frappent les uns à la porte des autres. C'est pour une raison qu'ils le font. Cela ne peut pas se faire sans raison. Vous n'iriez pas chez quelqu'un sans raison, si ce n'est pour lui rendre visite, lui apporter un message, ou quelque chose de ce genre. Il y a une raison qui pousse un homme à aller frapper à la porte de quelqu'un.
91 Là où il y a une question, il doit y avoir une réponse. Il ne peut y avoir une question sans réponse. C'est donc ce que nous cherchons dans la Bible, les questions en rapport avec ce jour; la Bible a la réponse à cela. Et Christ est cette Réponse.
92 Or, bien des personnages importants ont dans la vie frappé à des portes, et beaucoup l'ont fait dans les temps passés; et si peut-être il y a encore du temps, il y aura encore beaucoup de gens plus importants [qui le feront.] Eh bien, la première chose, peut-être, si quelqu'un frappait à votre porte, si vous le pouviez, vous vous faufileriez et vous tireriez le rideau pour voir la personne qui se tient là.
93 Si vous êtes occupé, comme nous le prétendons aujourd'hui : "Trop occupé pour aller à l'église; trop occupé pour faire telle chose. Et, vous savez, mon église ne croit pas dans ce genre d'histoires." Et je... Voyez, nous sommes parfois un peu dépourvus des provisions de la Parole. Mais vous tireriez le rideau, ensuite vous chercheriez à voir qui se tient là. Et si c'est un homme important, vous courez vite à la porte.
94 Maintenant, remontons un peu dans le passé et prenons quelques personnages qui ont frappé à des portes. Allons dans le passé et considérons le Pharaon d'Egypte, d'il y a plusieurs centaines d'années. Que serait-il arrivé si - si Pharaon, roi d'Egypte, s'était rendu chez un paysan, et un paysan qui n'aurait pas, disons, oh! d'accord avec Pharaon (il ne croyait pas à sa politique) et qui n'était pas d'accord avec lui? Et - et, mais voilà que Pharaon se tient là, debout à la porte d'un - d'un briquetier ou d'un tripoteur de la boue, comme on les appelait, là en Egypte. Alors il tire son rideau, et voilà que le puissant Pharaon se tient à la porte, et il frappe, tout souriant. [Frère Branham frappe sur quelque chose. - N.D.E.]
95 Eh bien, ce paysan ouvrirait la porte, et dirait : "Entrez, grand Pharaon, que votre humble serviteur trouve grâce à vos yeux. S'il y a quelque chose dans ma maison, je suis tout autant votre esclave, ô Pharaon. Vous m'avez honoré plus que mes frères. Vous êtes venu chez moi, moi un pauvre homme. Vous qui ne rendez visite qu'aux rois et - et à de grandes personnalités. Et moi, je ne suis rien. Mais vous -vous me rendez visite; vous m'avez honoré, ô Pharaon. Que peut faire votre humble serviteur?" Peu importe ce que Pharaon lui aurait demandé, même sa vie, il la lui aurait donnée. Assurément. C'est un honneur.
96 Ou, prenons par exemple, le feu Adolphe Hitler, quand il était le Führer d'Allemagne. Que serait-il arrivé s'il s'était rendu chez un soldat? Et ce groupe de petits soldats Nazis campait là tout autour, et que tout d'un coup, vous savez, eh bien, quelqu'un frappe à la porte; et le petit soldat dit : "Ah! je ne me sens pas bien ce matin! Madame, dis-lui de s'en aller."
Et celle-ci se glisse vers la porte, tire le rideau et dit : "Chéri, chéri, lève-toi vite."
"Qu'y a-t-il? Qui est là?"
"Hitler, le Führer d'Allemagne."
Oh! la la! Ce petit soldat sauterait, mettrait vite ses vêtements, et se tiendrait au "garde à vous". Il s'avancerait là à la porte, la déverrouillerait, l'ouvrirait et dirait : "Heil Hitler." [Salut Hitler - N.D.T.] Voyez, il était un grand homme à son époque, en Allemagne. "Que puis-je faire pour vous?"
97 S'il lui disait : "Va sauter de cette falaise-là", il l'aurait fait. Pourquoi? Il n'y a pas plus... il n'y avait pas, en Allemagne, un homme plus important, du temps des Nazis, qu'Adolphe Hitler. Il était un grand homme. Et il... Et quel honneur, alors qu'il ne rendait visite qu'aux généraux et aux grands hommes, mais le voici à la porte d'un petit fantassin. Oh! ç'aurait été assurément un grand honneur pour lui!
98 Eh bien, maintenant, qu'en est-il de Flagstaff? Nous allons ramener cela plus près de nous. Qu'arriverait-il si cet après-midi notre président, M. Johnson, L.B. Johnson, débarque d'un avion, quelque part ici? Et maintenant, nous sommes tous les gens d'une même classe. Nous sommes tous des pauvres. Peut-être que l'un a un petit travail meilleur, peut-être une petite maison meilleure, mais, après tout, nous ne sommes que des humains. Mais qu'arriverait-il s'il venait chez vous à la maison ici, peut-être chez le plus humble parmi nous, et qu'il frappait à la porte; et qu'en allant à la porte vous trouviez debout là le président L. B. Johnson? Eh bien, ce serait un grand honneur.
99 Vous pouvez ne pas être d'accord avec sa politique. Mais ce serait un honneur pour vous que d'avoir le président des États-Unis debout à votre porte. Qui êtes-vous ou qui suis-je? Et là se tient Lyndon Johnson à votre porte. Que vous soyez socialiste ou républicain, ou que vous soyez totalement en désaccord avec lui, mais ce serait malgré tout un honneur.
100 Et vous savez quoi? Comme cet honneur vous a été accordé, eh bien, cela passerait à la télévision le soir. Assurément. Les méd-… les journaux porteraient cela à la une le lendemain : Durand Dupont, le président des États-Unis a pris un avion hier pour Flagstaff, où il n'était pas attendu, il a simplement débarqué là, sans invitation, et a frappé à votre porte. Humble! ce président aurait la réputation d'être un homme humble, aussi important qu'il est, parce qu'il est venu devant ma porte ou la vôtre; nous qui ne sommes rien, il est venu nous parler.
Eh bien, vous descendriez la rue et diriez : "Oui, c'est moi l'homme en question! Le Président m'a rendu visite."
"Ne bougez pas, laissez-moi avoir votre - laissez-moi vous prendre une photo de profil. Regardez-moi en face. Eh bien, quel air affichez-vous quand vous marchez?" Vous seriez un grand homme. Assurément.
101 Et si la reine d'Angleterre venait, quand bien même vous n'êtes pas sous son empire, ce serait cependant un honneur pour certaines d'entre vous femmes de recevoir la reine d'Angleterre, quoique vous ne soyez pas sous son autorité. Mais, cependant elle est une personne importante; elle est la plus grande reine du monde à l'heure actuelle. Certainement, elle l'est; du point de vue politique. Mais si elle vous demandait un petit objet décoratif rare ou curieux qui est sur votre mur, qui est très précieux pour vous, vous le lui donneriez. Ce serait pour vous un honneur de le faire. Assurément, elle est la reine d'Angleterre. Et vous seriez honoré par le Président. Et tout le monde parlerait de l'humilité de la reine d'Angleterre, qui a pris un avion pour venir voir une femme à Flagstaff, une petite personne de rien. Et les journaux publieraient cela, et les nouvelles seraient diffusées là-dessus.
102 Mais, vous savez, la Personne la plus importante de tous les temps, Jésus-Christ, frappe à notre porte. Et Il est rejeté plus que tous les rois et les potentats qui aient jamais existé. C'est exact. Et si peut-être vous L'acceptez, que vous sortez dire quelque chose là-dessus, le monde extérieur vous rirait en face. Aucune nouvelle ne sera... Qui de plus grand que Jésus-Christ pourrait venir chez vous? Qui de plus grand que Jésus-Christ pourrait frapper à votre porte? Qui pourrait faire cela?
103 Le Fils de Dieu! Qui pourrait frapper chez vous, qui serait plus important? Et pourtant Il frappe jour après jour. Et même si vous L'acceptez, vous serez taxé de fanatique. Voyez-vous donc comment le monde reconnaît les siens? C'est exact.
104 Mais maintenant, Il ne viendrait pas à moins qu'Il ait une raison de venir. Et pensez-vous… L'humilité du président Johnson, ou de la reine d'Angleterre, ou de n'importe quelle grande personnalité, oh, combien cela serait démontré, l'humilité de cette grande personnalité du fait de frapper à votre porte. Qu'en est-il de l'humilité du Fils de Dieu? Qui sommes-nous, sinon des pécheurs souillés, nés dans le péché, conçus dans l'iniquité, venus au monde en proférant des mensonges? Et le Fils de Dieu vient frapper à notre porte.
105 Or, la reine d'Angleterre pourrait vous demander un service. Elle pourrait vous prendre quelque chose. Le président aussi, il pourrait vous demander de faire des choses que vous n'aimeriez pas faire. Il pourrait vous demander des trésors que vous ne voudriez pas abandonner, et qui ne représenteraient rien à ses yeux. Mais Jésus vous apporte quelque chose quand Il frappe. Il apporte le pardon. Ne rejetez pas cela. Sinon, de même que nos tribunaux avaient tranché ici, ainsi en sera-t-il dans le Royaume des cieux. S'Il frappait à la porte et apportait le pardon, et que vous, vous rejetiez cela, vous mourriez dans vos péchés, vous périrez. Quand bien même vous avez eu l'honneur d'être assis dans une réunion comme celle-ci, quand bien même vous avez eu l'honneur d'assister aux réunions du réveil ou de fréquenter l'église, et que vous avez entendu votre pasteur prêcher un Message de l'Evangile; et que vous avez eu l'auditoire...?... Vous diriez : "Oui, j'étais là." Peut-être, vous, c'est difficile de dire tout ce que vous pourriez dire. "J'ai entendu le chant. J'ai apprécié cela. J'ai entendu les témoignages. C'était authentique." Mais vous avez rejeté cela.
Qu'arriverait-il si j'étais un jeune homme et que je trouvais une jeune demoiselle qui est une belle fille et une chrétienne? Elle ferait... qui aurait toutes les qualif... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
106 Vous ne pouvez pas trouver de faute là, mais il vous faut mettre de côté les traditions des hommes. Vous dites : "Oh, je crois que c'est vrai. Je vois que Dieu l'a dit." Mais vous devez L'accepter. Vous... Alors cette femme devient une partie de moi. Alors vous devenez une partie de la Parole, qui est l'Epouse. S'Il est la Parole, l'Epouse sera une Epouse-Parole, voyez. Elle le sera certainement. Voyez, vous devez accepter Cela. Vous pouvez... Vous pourriez dire ce que vous voulez; vous pourriez vous vanter au sujet du président; mais généralement, quand c'est le tour de Jésus de venir à notre porte, nous Le rejetons carrément. Voyez, nous ne voulons simplement rien avoir avec Lui. Nous disons : "Bien, un autre jour."
107 Qu'arriverait-il si vous frappiez à la porte, chez quelqu'un? Eh bien, changeons d'image une minute. Et qu'arriverait-il si vous alliez frapper à la porte, chez quelqu'un, et que vous ayez quelque chose pour lui, et qu'après tout, il se comporte envers vous à peu près comme vous l'avez fait envers Dieu, eh bien, si vous le faites, c'est en ordre, mais il n'y a rien qui vous lie. Ainsi, quand on frappe à la porte de quelqu'un, et que ce dernier jette un coup d'oeil par la fenêtre, et ferme le rideau; ou soit il vient à la porte et dit : "A un autre moment…"
"Eh bien, j'aimerais..."
"Je n'ai pas de temps ce matin."
108 Savez-vous ce que vous feriez? Probablement la même chose que moi, les autres aussi, vous ne reviendriez plus.
109 Mais ce n'est pas le cas pour Jésus : "Voici, Je me tiens là et Je frappe", Je frappe continuellement. [Frère Branham continue à frapper. - N.D.E.] Voyez? "Celui qui cherche sans cesse (non pas qui cherche une fois, mais qui cherche sans cesse); celui qui frappe sans cesse (non qui frappe une fois; c'est une action continue, qui frappe sans cesse) voyez. Celui qui cherche sans cesse, celui qui frappe sans cesse, il va…" Pas juste…
110 C'est comme la parabole du juge inique. La femme est allée réclamer vengeance - qu'on lui fasse justice, mais elle n'arrivait pas à obtenir cela. Il... elle a continué à frapper et à supplier. Et il a dit...
"Juste pour se débarrasser d'elle, je lui ferai justice contre sa partie adverse."
111 Combien plus le Père céleste le fera-t-il? C'est nous qui devrions frapper à Sa porte. Il fallait que ce soit Adam qui parcourait le jardin, en criant : "Mon Père, mon Père, où es-Tu? Mais par contre - par contre, c'était Dieu qui parcourait le jardin disant : "Mon Fils, mon fils, où es-tu?"
Voyez, cela montre simplement ce que nous sommes. Nous nous cachons toujours, au lieu de nous présenter là et confesser la chose. Nous cherchons à fuir, à nous cacher derrière quelque chose. C'est simplement la nature de l'homme; c'est là notre nature. Oui, oui.
112 Vous donneriez à ces gens ce que vous avez de meilleur, tout, mais vous ne voulez pas, vous - vous - vous n'acceptez pas Jésus. Je ne parle pas de vous, mais je parle des gens qui sont ici. Ou vous pourriez peut-être dire ceci, peut-être; vous pourriez dire : "Prédicateur, c'est effectivement ce que j'ai fait. Je - je - j'ai simplement ouvert mon coeur et j'ai laissé Jésus entrer.
" J'ai fait cela il y a dix ans."
" J'ai fait cela il y a vingt ans."
Eh bien, il se peut que ça soit tout à fait vrai, mais est-ce là tout ce que vous avez fait? Voyez?
113 Je voudrais vous poser une question maintenant. Si vous invitiez quelqu'un chez vous à la maison, et qu'ensuite une fois que la personne franchisse la porte... Ou plutôt quelqu'un vous a invité, disant : "Entrez."
"Oui, j'ai un objectif; j'irai là en ville et je serai honoré." Vous-voyez? C'est ainsi que beaucoup de gens acceptent Christ. "Je vais - je - je suis membre d'église. Je suis membre de telle grande église par ici, que fréquente tel Dr en philosophie, en droit, vous savez. Et c'est la plus grande église. Le maire la fréquente et tout, vous savez. Je - je suis membre de cette église-là." On Le laisse entrer jusqu'à ce point seulement. "Ouais, je veux bien L'accepter." Voyez, pour un gain personnel.
114 Mais que se passe-t-il alors quand Jésus entre dans le coeur? Beaucoup de gens L'acceptent parce qu'ils ne veulent pas aller en enfer. Mais quand Jésus entre dans votre coeur, Il veut être le Seigneur, pas seulement le Sauveur; mais le Seigneur aussi. Seigneur, ça sous-entend la domination. Il entre pour diriger.
115 "Eh bien, direz-vous, est-ce vrai, Frère Branham?" Assurément. Qu'arriverait-il si - si je vous invitais chez moi, et vous veniez à la porte; que vous frappiez à la porte, et que je regardais dehors et disais : "Oui, entrez. Si vous pouvez m'aider, eh bien, allez-y donc. Mais alors, comme vous entrez, eh bien, je ne veux pas que vous vous mêliez des affaires de ma maison. Tenez-vous juste là à la porte."
116 Souvenez-vous, notre sujet, c'est les portes à l'intérieur de la porte. Eh bien, à l'intérieur du coeur humain, il y a beaucoup de petites portes, derrière ces petites portes, il y a beaucoup de choses. Le seul fait de Le laisser entrer, ce n'est pas tout, le fait qu'Il entre.
117 Quand j'entre dans votre maison, si vous m'accueillez à la porte, eh bien, en disant : "Entrez, Frère Branham. Je suis très heureux de vous voir."
Je dirais : "Eh bien, c'est pour moi un privilège d'entrer chez vous."
"Oh! ne voudriez-vous pas venir vous asseoir? Frère Branham, visitez notre maison; faites comme chez vous."
118 Oh! la la! J'irais au réfrigérateur, je me procurerais un de ces très gros sandwichs, gros comme ceci, j'ôterais mes chaussures, et j'entrerais dans la chambre à coucher et m'étendrais. Et j'aurais bien un... un véritable jubilé gastronomique. Voyez? Pourquoi? C'est parce que je me suis senti bien accueilli. Vous m'avez réservé un bon accueil. J'apprécierais donc cela, si vous me faisiez bon accueil.
119 Mais si j'entrais chez vous, et que vous me disiez : "Tenez-vous là à la porte, eh bien, ne vous mettez pas à toucher à tout par ici". Je ne me sentirais pas très bien accueilli. Et vous non plus. Voyez? Vous ne vous sentiriez pas bien accueilli. Quelqu'un vous a invité, puis il dit : "Eh bien, attendez. Ouais, entrez, mais tenez-vous juste là."
120 Eh bien, à l'entrée du coeur humain, il y a une petite porte. Nous parlerons juste de quelques-unes de ces portes. Voyez? Nous n'avons pas le temps d'examiner toutes ces portes, car il y en a beaucoup. Voyez? Mais, disons, pendant les dix prochaines minutes, parlons de quelques-unes, de trois portes. Eh bien, du côté droit du coeur humain, quand vous franchissez la porte, il y a une petite porte à droite, et elle porte le nom de "porte de l'orgueil". Oh! la la! "Ne franchissez pas cette porte." Les gens ne veulent pas que le Seigneur franchisse cette porte : là, c'est l'orgueil. "Je suis de sang noble. Je fais bien attention. Oh, oui, regardez donc, je vous assure, je... je..." Voyez, c'est l'orgueil. "Ne vous mêlez pas de mes affaires là-bas."
121 Or, Il ne peut pas se sentir le bienvenu aussi longtemps que vous gardez cette porte de l'orgueil fermée Il doit vous humilier. Voyez, c'est pour cela qu'Il entre."Voulez-vous me dire que je dois aller. là et - et agir comme les autres?" Eh bien, vous n'êtes pas obligé; ça, c'est une chose sûre. "Eh bien, je vous assure, que pensez-vous donc que je ferai quand je me rendrai à la prochaine réunion d'affaires? Que ferais-je quand je rencontrerai mon - mon patron le lendemain? Avec ça, il me faudra attraper cet Esprit, et je sauterai là, en plein travail, et je me mettrai à parler en langues, oh, cela va m'humilier. Non, restez là dehors."
122 Oh, vous y êtes. Voyez? Ouais, vous laisserez Jésus entrer; vous adhérerez à l'église et vous ferez inscrire votre nom, vous accepterez Jésus comme votre Sauveur; mais qu'en est-il de Lui comme votre Seigneur, quand Il exerce le plein pouvoir? Quand Il devient le Seigneur, Il a - tout Lui appartient, voyez, vous, vous vous êtes alors complètement abandonné à Lui. Mais ce petit orgueil : "Oh, voulez-vous dire que nous les femmes, nous devrons laisser pousser nos cheveux?"
"Eh bien, c'est ce qu'Il a dit."
"Il nous faudra cesser de mettre les manucures ou ce maquillage?"
"C'est ce qu'Il a dit."
"Eh bien, que dirait, à votre avis, mon club de couture? Ils me taxeraient de démodée."
"Eh bien, continuez avec votre orgueil. Allez de l'avant. "
123 Il se tiendra à la porte. Il ne pourra aller plus loin que çà. Mais quand vous serez prêt à ouvrir cette porte, à Le laisser entrer; Il nettoiera cela pour vous à fond. Les shorts seront jetés ici dans la poubelle, et le maquillage retournera à la poubelle, et le coiffeur mourra de faim si tout ce qu'il a à faire, c'est couper les cheveux de femmes, pour une véritable croyante.
124 Eh bien, direz-vous, cela ne fait pas... "Oh, oui, c'est aussi ça. C'est ce que la Bible dit. C'est vrai. Voyez, il y a un petit mot là, et vous ne voulez pas qu'Il s'en mêle... Eh bien, mon pasteur..." Peu m'importe ce que le pasteur a dit. C'est ce que la Bible dit qui compte : "C'est une honte pour une femme de faire cela."
125 "Eh bien, direz-vous, on devrait nous apprendre des choses, Frère Branham, comment recevoir le Saint-Esprit, et comment devenir ceci ou cela." Comment allez-vous apprendre l'algèbre si vous ne connaissez pas votre abc? Les gens ne savent même pas comment se comporter, paraître comme une personne, s'habiller comme une personne... ça fait honte de voir ces femmes dans la rue aujourd'hui.
126 Hier, je suis allé quelque part, quand, oh, une bande de pervertis est entrée. Ils... Les hommes avaient des cheveux qui leur descendaient jusqu'au niveau des yeux, et qui leur pendaient dans le dos, et comme des justaucorps, comme ce que les petits enfants portent à l'école, avec des souliers très gros et bizarres, la bouche à moitié ouverte. On n'hésiterait pas à dire que c'était des délinquants. Et ils sont entrés là comme ça, ils ont dit : "Nous sommes Français."
127 Qui donc voudrait engager une personne comme celle-là dans son affaire? Comment gagnent-ils leur vie? Et j'ai vu quelques vrais garçons assis là. Ils venaient de cette université, ces hippies. Ou je pense qu'on les appelle bugs [insectes - N.D.T] ou Beatles, ou quelque chose comme ça - certaines de ces histoires venant de l'Angleterre. Et alors, une telle histoire, qui voudra engager un tel homme à son service? Engageriez-vous un tel homme dans votre affaire, vous les hommes d'affaires? Si vous le faites - vous - vous êtes - il y a quelque chose, vous ne vous êtes pas encore approché suffisamment de la croix.
128 Regardez ces femmes là-bas sur la rue. C'est une disgrâce! Peut-être que ce sont d'innocentes petites femmes qui portent ces tout petits habits. Voyez, eh bien, c'est une disgrâce, à voir leur apparence. "Eh bien, direz-vous, eh bien, femmes, vous commettez adultère."
129 Elles diront : "Une minute, jeune homme! Je suis aussi vertueuse que je…" C'est peut-être cela d'après vos propres pensées. Et cela pourrait être vrai; même un examen médical peut le confirmer. Mais, rappelez-vous, au jour du Jugement, vous allez répondre d'avoir commis adultère..
130 Jésus a dit : "Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur", et c'est vous qui vous êtes exposée à lui. Voyez-vous comment le diable les a aveuglées? C'est une disgrâce. C'est une honte. Vous voyez, il y a un esprit sur elles. C'est un esprit qui fait cela. C'est un esprit impie. Mais le véritable Saint-Esprit amènera une femme à s'habiller décemment et à avoir l'apparence d'une sainte.
131 Une fois, ma femme m'a dit... Nous descendions la rue et nous avions vu une femme portant une robe, là dans notre contrée. C'était une chose très étrange. Voyez, il n'y a pas beaucoup des pentecôtistes là-bas. Ainsi, nous avons vu qu'elle portait une robe. Et elle a dit : "Billy", elle a dit : "Je connais certaines de ces femmes. Elles chantent dans des chorales ici dans ces églises."
J'ai dit : "Certainement."
Elle a dit : "Eh bien, et elles prétendent être chrétiennes?"
J'ai dit : "Chérie, écoute. Voyez, nous ne sommes pas…"
Elle a dit : "Pourquoi nos gens…"
J'ai dit : "Ecoute, chérie, nous ne sommes pas du tout de leur - leur race."
Elle a dit : "Quoi?" Elle a dit : "Ils sont Américains."
J'ai dit : "Oui, mais pas nous."
Elle a dit : "Pas nous?"
J'ai dit : "Non non." J'ai dit : "Quand je vais en Allemagne, je trouve un esprit de l'Allemagne. Quand je vais en Finlande…" Au sauna, là-bas, beaucoup d'entre vous Finlandais le savent, les femmes lavent les hommes. Ça, c'est tout simplement un esprit finlandais. De très braves gens, mais vous trouvez que n'importe où vous allez, il y a un esprit national.
132 Si vous entrez dans une église et que vous observiez le pasteur, s'il est emporté et fait des histoires, l'assemblée fera de même. Voyez? Les gens reçoivent l'esprit les uns des autres, au lieu du Saint-Esprit. C'est la raison pour laquelle nous avons tant d'enseignements pervertis sur la Bible. Au lieu de revenir au plan, ils ont pris l'esprit d'une certaine dénomination. Voyez? Ne… Mais la Parole est pour eux tout aussi étrangère qu'à l'époque où Jésus était venu présenter le véritable et authentique Evangile. Ils ont dit : "C'est un démon. C'est Béelzébul." Voyez? Mais là vous saisissez la chose.
133 Et elle a dit : "Eh bien, si nous ne sommes pas Américains, qui sommes-nous?"
J'ai dit : "Notre Royaume est d'En haut." Voyez, nous sommes libres par la nouvelle naissance. Le Royaume de Dieu est en vous. Voyez, agissez comme là haut, vous êtes des délégués de là. J'ai dit : "Nous sommes des citoyens d'ici, nous vivons ici dans la chair. Mais, par notre Esprit, nous sommes des pèlerins et des étrangers." Nous sommes étrangers vis-à-vis de ce monde maintenant, même vis-à-vis de notre propre nation, car nous avons accepté l'invitation, quand on a frappé à la porte de notre coeur, pour que nous devenions une partie de Lui, de Sa Parole. Et la Parole nous prépare, nous fait vivre et nous fait agir comme des chrétiens.
134 Il y a quelque temps, dans le Sud, c'est une petite histoire... Il y avait un roi… ou plutôt un acheteur. On vendait des esclaves. C'était à l'époque de la ségrégation, et on pratiquait l'esclavage dans le Sud. Ils étaient… Les gens allaient acheter les esclaves juste comme on achèterait une voiture d'occasion, dans un parking. Eh bien, je suis un intégrationniste, absolument… Je veux dire un ségrégationniste. Je suis un ségrégationniste. En effet, peu m'importe combien on discute, vous ne pouvez pas être chrétien et être un intégrationniste. C'est tout à fait vrai. Dieu sépare même Ses nations. Il sépare Son peuple. "Sortez du milieu d'eux!" C'est un… C'est un ségrégationniste. "Ne… même… ne touchez pas aux choses impures!" Il a fait sortir Israël, la race juive, de toutes les races de la terre. Il est un ségrégationniste.
135 Mais je ne crois pas qu'un homme doit être un esclave. Dieu a créé l'homme; l'homme a fait des esclaves. Je ne pense pas que quelqu'un devrait dominer sur l'autre quelle que soit sa race, sa couleur, ou n'importe quoi. Mais il existe une ségrégation; l'Epouse de Christ est séparée du reste des églises, c'est tout à fait vrai : l'église naturelle et l'Eglise spirituelle; l'église charnelle, l'Eglise Parole. Il en a toujours été ainsi. "Jésus est venu vers les Siens, et les Siens ne L'ont pas reçu; mais à tous ceux qui L'ont reçu…"
136 Ainsi, ce… il y avait des acheteurs, des négociants qui passaient acheter ces esclaves. Une fois, il y en a eu un qui était passé à une grande plantation et il les a observés. Les esclaves étaient sérieusement frappés et tout, vous savez. Ils étaient loin de chez eux, ils n'allaient plus jamais retourner. Les Boers, les Hollandais, étaient allés là et les avaient pris, les avaient amenés ici et les avaient vendus. Et ils n'allaient plus jamais voir papa, maman, leurs enfants. Ils les croisaient les uns avec les autres; ils choisissaient un homme robuste, l'unissaient à une femme robuste, un homme qui était éloigné de sa femme, pour faire des esclaves plus robustes. Oh, Dieu leur fera répondre pour cela un jour! C'est vrai.
137 Ce n'est pas correct. Comme Abraham Lincoln avait dit une fois, lorsqu'il est sorti du bateau là à New Orléans; il enleva son chapeau en tuyau de poêle… En descendant, il avait vu trois ou quatre petits nègres, se tenant là sans chaussures, là où ils avaient… Une vache s'était couchée là et avait - avait dégelé la terre, ils se tenaient là après avoir fait entrer les vaches. Leurs pauvres petits pieds avaient des gerçures et saignaient. Ils chantaient : "Vous avez des chaussures, j'ai des chaussures, tous les enfants de Dieu ont des chaussures."
138 Lorsqu'il sortit de ce bateau là-bas, il s'avança vers un enclos à taureau, il y avait un grand nègre vigoureux qui se tenait là, on le fouettait, pour tester son coeur. On lui faisait monter et descendre la rue en courant, avec ce fouet derrière lui; ensuite on testait son coeur, pour voir s'il était en bon état. (Sa pauvre petite femme se tenait là avec deux ou trois enfants dans ses bras comme cela) pour qu'on le vende, afin de le croiser à une femme plus robuste. Le vieil Abraham Lincoln enfonça cela dans son chapeau… son chapeau sous son bras, comme cela et frappa du poing; il dit : "Ce n'est pas correct! Et un jour, je frapperai cela, même si ça me coûte la vie." Et là-bas, dans le musée de Chicago, se trouve un habit avec du sang dessus, le sang qui a libéré ce nègre de cela.
139 Et je dis que le péché et ces choses ne sont pas corrects. Que Dieu m'aide ainsi que tous les autres ministres de l'Evangile à frapper cela. Nous sommes nés des enfants de Dieu libres. Nous n'avons rien à faire avec n'importe quel credo ou culte qui nous fera entrer dans le Conseil Mondial des églises. Nous sommes des hommes nés libres, dans le Saint-Esprit. Nous avons un droit. Nous sommes sortis de telles histoires pour être des pentecôtistes. C'est juste. Maintenant, nous sommes libres. Nous n'avons pas à être enchaînés à ces choses de nouveau.
140 Mais cet acheteur a dit, en regardant ses esclaves, une centaine ou quelque chose comme ça d'entre eux dans une grande plantation, il a dit : "Dites donc!" Il y avait un petit gars là, on n'avait pas besoin de le fouetter; il avait la poitrine bombée, le menton relevé, il était toujours entrain de travailler! L'autre a dit : "Dites donc! J'aimerais l'acheter."
Il a dit : "Oh, non!" Le propriétaire a dit : "Il n'est pas à vendre. Non non."
Il a dit : "Eh bien, est-il esclave?"
Il a dit : "Oui."
Il a dit : "Eh bien - eh bien, qu'est-ce qui le rend si différent?" Il a dit : "Le nourrissez-vous différemment?"
Il a dit : "Non, ils mangent tous ensemble là-bas dans la cuisine."
Il a dit : "Est-il le chef des autres?"
Il a dit : "Non, ce n'est qu'un esclave."
"Eh bien, a-t-il dit, comment est-il différent?
Il a dit : "Vous savez, je me suis moi-même posé cette question." Mais, a-t-il dit, vous savez, là-bas dans sa patrie, en Afrique d'où ils viennent, le père de ce jeune homme est le roi d'une tribu. Et même s'il est un étranger, il se conduit comme le fils d'un roi."
141 "Oh, ai-je pensé quel exemple pour une jeune dame chrétienne et un jeune homme chrétien?" Femmes, cessez de porter ce genre de vêtements! Hommes, cessez de raconter ces sales plaisanteries et toutes ces histoires-là. Nous sommes des fils et des filles du Roi. Habillez-vous comme une reine, habillez-vous comme une - une dame. Comportez-vous en gentleman, ne laissez-pas pousser vos cheveux comme cela. La Bible dit que ce n'est pas correct (la nature vous l'enseigne) pour un homme d'avoir de longs cheveux. Et c'est une disgrâce et même une chose vulgaire pour une femme de prier, les cheveux coupés."
142 Et qu'en est-il de ces… "C'est une - c'est une abomination pour une femme de porter un vêtement d'homme." Le grand Dieu immuable ne change pas. Mais cependant, aujourd'hui, cela est aussi relâché que tout le reste dans notre nation. C'est une honte! Comportons-nous en fils et filles de Dieu. Vivons de cette façon. Nous sommes… nous sommes des fils d'un Roi. Nous sommes... Nous sommes corrompus…? ce tas de confusion, de saleté et de souillure, ici tout autour, les gens se disent chrétiens tout en continuant d'agir ainsi.
143 Mais, rappelez-vous, un jour on a frappé à notre porte, et nous Lui avons ouvert pour qu'Il entre. L'orgueil et tout, c'est parti. Amen. Peu importe de quoi on me taxe!
Oh! je pense que je suis simplement un peu démodé.
Mais mon Sauveur était aussi un démodé.
Est-ce vrai? Vous avez entendu ce cantique. Soyez démodé! N'essayez pas de vous modeler sur quelqu'un d'autre. C'est Lui votre exemple. Cherchez à être comme Lui, et l'Esprit en vous vous aidera à faire cela. Faites que votre vie soit semblable à la Sienne. Oui, il y a une porte là.
144 Je veux citer une autre porte. Je suis trop nerveux. Il y a une autre porte là, juste après cette porte, en allant du côté droit, et cette porte-là est la porte qui mène à votre vie privée. Oh! oh, vous ne voulez pas qu'Il se mêle de cela. "Maintenant, si je désire aller à un petit cocktail, qu'est-ce que cela vous fait? Quelle est l'église qui me dira ce que je dois faire?" Oui oui? Vous y êtes, voyez.
"Un dixième de mon salaire? Qui va me dire quoi faire? C'est ma propre vie privée! C'est moi qui gagne cet argent."
"C'est ma propre vie. Je porterai des culottes si je le veux. C'est mon privilège en tant qu'Américain." C'est vrai. Assurément. C'est juste.
145 Mais si vous êtes un agneau, et non pas une chèvre, voyez… Ce sont les agneaux qu'Il cherche. Ils seront séparés un jour. Une brebis porte la laine. C'est tout ce qu'elle a. Et elle ne peut pas fabriquer cette laine. Il ne nous est pas demandé de fabriquer le fruit de l'Esprit, mais de porter le fruit de l'Esprit. Et aussi longtemps que c'est une brebis, elle en portera. Elle n'a pas à en fabriquer. Les glandes et tout, ce qu'elle a, sont d'une brebis. Elle produira la laine parce que son intérieur a les glandes, l'adrénaline et les substances qu'il faut pour fabriquer la laine.
146 Et si vous êtes un chrétien, vous vous conformerez à la Parole. Peu importe ce que quelqu'un d'autre dit. Vous n'avez rien à fabriquer, rien à apporter, à tirer, à pomper. Vous êtes un chrétien. Vous portez automatiquement le fruit de l'Esprit. Voyez? Voyez, et il en est ainsi. Voyez? Mais, les gens aujourd'hui ne veulent pas que vous touchiez à leur vie privée.
147 Tout ce qu'il vous faut faire, c'est d'ouvrir complètement chaque porte, puis de dire : "Entre, Jésus." Observez ce qui arrive. Lorsque vous voyez dans le Livre que vous êtes censé faire ceci, faites-le. Pourquoi? Vous êtes donc une brebis, pour commencer. Mais si vous voulez juste vous asseoir et Le garder à la porte… et dire simplement : "J'ai adhéré à l'église, je suis aussi bon que vous, voyez. J'ai accepté Christ." (Peut-être c'est tout ce que vous avez fait.) Mais avez-vous fait de Lui le Seigneur?
148 Voyez? Eh bien, le Seigneur ne peut pas établir un livre de règles et prononcer une Parole, et ensuite Se retourner et La nier. Et si vous dites que vous avez le Saint-Esprit, et que la Bible dit que vous devez faire une certaine chose, et vous, vous dites : "Oh! je ne crois pas cela," rappelez-vous simplement, l'esprit qui est en vous n'est pas le Saint-Esprit, parce qu'Il ne peut pas Se renier. C'est vrai. Il ne peut pas Se renier. Il a écrit la Parole et Il veille sur Elle, pour L'accomplir. Voyez?
149 Ainsi, ce n'est pas le Saint…C'est un esprit, certainement. Il se peut que ce soit un - un esprit de l'église. Il se peut que ça soit l'esprit du pasteur, il se peut que ça soit l'esprit du monde, c'est possible. Je ne sais pas ce que c'est, mais, quoi que ce soit, c'est… Il se peut que ça soit un esprit dénominationnel.
"Je suis méthodiste."
"Je suis baptiste."
"Je suis presbytérien."
"Je suis pentecôtiste."
"Je suis ceci, cela."
150 La Pentecôte… Maintenant, souvenez-vous, laissez-moi tirer la chose au clair. La Pentecôte n'est pas une organisation; la Pentecôte, c'est une expérience que vous faites. Vous méthodistes, baptistes, catholiques, tous, vous pouvez expérimenter la Pentecôte. Vous ne pouvez pas adhérer à la Pentecôte, parce qu'il n'y a pas moyen d'Y adhérer. Je suis de la famille Branham depuis cinquante-cinq ans. Vous savez, on ne m'a jamais demandé de devenir un Branham. Je suis né un Branham. Et c'est de cette manière que vous êtes chrétien; vous êtes né chrétien. C'est vrai.
151 Maintenant, oh, cette vie privée! "Oh, je vous assure, mon pasteur va à ces bals, et nous, nous dansons le twist. Ils organisent cela." Très bien, voyez. "Ne venez pas me dire ce que je peux faire et ce que je ne peux pas faire." Très bien, voyez. Vous ne voulez pas Le laisser entrer. Laissez-Le entrer une fois, et ensuite rentrez au twist et au rock'n'roll ou à tout ce que vous allez faire. Voyez, ce que vous pouvez faire. Vous ne pouvez pas le faire. Laissez-Le entrer une fois, et ensuite mettez-vous à porter des culottes, certaines d'entre vous femmes.
152 Je sais que je vous prends beaucoup de temps, mais je désire dire encore une chose, si ça ne dérange pas, en rapport avec ceci. Je pense que la plus grande réunion que le Seigneur m'ait jamais laissé tenir pour Lui, c'était à Bombay, où j'avais environ cinq cents mille, mais… et deux cents mille et quelques en - en Afrique, à Durban, au champ de course. Cet après-midi-là, j'avais dit, après avoir vu de si grandes et merveilleuses choses que notre Bienveillant Seigneur était descendu faire, j'ai dit: "Les missionnaires vous ont enseigné la Parole, mais la Parole est vivifiée et rendue vivante. Ce qu'Il dit doit être manifesté." Et je… Et puis lorsqu'il y a eu vingt-cinq mille guérisons en une seule fois, et qu'il y avait là des tas et des tas de bonnes vieilles chaises, juste par une simple petite prière, ils avaient vu le Saint-Esprit. Juste… Ces gens qui ne savaient même pas qui ils étaient et d'où ils venaient, c'est tout ce qu'ils voulaient voir. Voyez?
153 Et j'ai demandé : "Combien veulent recevoir Christ?" Trente mille se sont levés, des indigènes, portant des idoles. Docteur Bosworth, Docteur Baxter et les autres se mirent à pleurer. Et Frère Bosworth accourut, il a alors dit : "Frère Branham, ceci est le jour de votre couronnement."
Frère Baxter a dit : "Frère Branham, ça m'étonne, je pense qu'ils parlaient de la guérison physique."
154 Ce garçon était sur ses mains et ses genoux. Et le Saint-Esprit lui a dit d'où il venait, ce qui était arrivé, Il a dit : "Tu parleras - Pense à ton frère. Il est à peu près à un demi-mile [environ 800m - N.D.T] là derrière. Il était monté sur une chèvre jaune, et il s'est fait mal à la jambe." J'ai dit : "Mais, AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est guéri." Et voilà le garçon s'avancer avec des béquilles en mains, comme cela. Et il a fallu à la milice environ vingt minutes pour calmer les gens.
155 Et puis, ce garçon, sur ses mains et ses pieds, comme cela, par terre, il ne pouvait même pas se lever, il était nu. Oh! la la! quelle chose horrible! Il pensait se présenter là aux touristes, vous savez, pour en quelque sorte exécuter la - la danse de la jungle. Et j'ai pris la chaîne et j'ai secoué cela. J'ai dit : "Si je pouvais aider cette pauvre créature, et que je ne le faisais pas, je serais un… Je ne serais pas digne de me tenir ici derrière." Mais, ai-je dit, je ne suis pas capable de l'aider. Mais, eh bien, j'ai un petit don, je peux simplement le mettre en action, tout ce que le Seigneur dit."
156 Et lorsque le Seigneur montra, lui dit qui il était, Il a dit "Sa mère et son père sont assis là, ce sont des Zoulous." Et il a dit : "Ils sont minces, c'est inhabituel." Un zoulou atteint une moyenne de trois cents livres [136 kg - N.D.T] pour l'homme. Ainsi, ensuite Il a dit : "C'est inhabituel. Mais ce garçon est né dans un foyer chrétien, parce que sur son… du côté droit, lorsqu'on franchit la porte, il y a une image de Christ, dans la petite hutte en paille." Et c'était tout à fait vrai.
157 Sa mère et son père se sont levés. Et voilà son nom, ce qu'il était, et ainsi de suite. Ils n'en revenaient pas. J'ai regardé de nouveau, et je l'ai vu se tenant debout, là dans la vision, aussi droit que possible. Il ne s'était jamais tenu debout de sa vie. Il était né ainsi. J'ai dit : "Le Seigneur Jésus le guérit."
Il n'était même pas dans son bon sens, il essayait de faire : "Heu, ba, ba, ba,", comme cela. Et j'ai saisi la chaîne et je l'ai secouée comme cela.
J'ai dit : "Jésus-Christ, te rétablit fiston. Tiens-toi debout." Là, il s'est levé. Des larmes coulaient jusque sur son ventre noir, pendant qu'il descendait comme cela. J'ai vu trente mille indigènes donner leurs coeurs à Jésus-Christ.
158 Lorsqu'à un club Kiwanis, j'ai dit… Eh bien, et les gens m'ont dit que j'allais devenir un saint exalté, quand j'ai quitté l'Eglise baptiste, de sorte que je pouvais communier avec tout le monde. Ils ont dit : "Eh bien, tu deviendras un saint exalté." Je me suis assis avec un groupe de mes frères baptistes.
J'ai dit - j'ai dit : "Vous avez envoyé des missionnaires là-bas, durant les cent cinquante dernières années. Qu'ai-je trouvé chez ces gens? Ils portaient toujours des idoles." J'ai dit : "Par la puissance de résurrection de Jésus-Christ", trente mille ont reçu Christ en une seule fois.
159 Maintenant, je désire dire ceci, à vous les femmes : Savez-vous ce qui est arrivé à ces femmes-là? J'ai dit : "Juste sur le terrain où vous vous tenez, le Saint-Esprit vous remplira." Et lorsqu'elles levèrent leurs mains pour accepter Christ comme leur Sauveur, et lorsqu'elles s'en allèrent de là, nues, n'ayant sur elles qu'un petit morceau d'étoffe, un bout d'étoffe, devant. Et lorsqu'elles se sont éloignées de là, elles avaient leurs mains croisées comme ceci, parce qu'elles étaient devant les hommes, après avoir reçu Christ.
160 Maintenant, comment pouvons-nous, soeurs, comment pouvons-nous dans cette nation où nous prétendons croire et être des chrétiens, et chaque année elles se dévêtissent davantage? Alors que cette autre personne n'avait même jamais entendu parler du Nom de Christ, mais elle L'a simplement accepté dans son coeur? Non, vous ne pouviez pas leur dire qu'elles étaient nues, elles ne le savaient pas. Mais elles se sont couvertes comme ceci, pour s'éloigner. Le jour suivant, ou deux jours après, on les a vues portant un certain genre d'habits.
161 Oh! la la! Il y a quelque chose qui cloche quelque part. C'est de la théologie tordue. La puissance de résurrection de Jésus-Christ, comme Il le fit à l'homme qui s'appelait "Légion" : on a vu qu'il s'était habillé et était dans son bon sens. Et je commence à croire que c'est un esprit qui est sur les gens, qui les conduit dans cet américanisme ou francisme et toutes sortes de tendances du monde et des églises. Mais qu'ils viennent une fois à ce Maître, et qu'ils entendent ce coup à la porte, ils mettront des habits et se comporteront comme des femmes et des hommes, et ils seront des chrétiens nés de nouveau. Amen.
162 Oui. Maintenant, je suis foutu, il est douze heures moins vingt, juste - juste quelques minutes, je vais sauter quelques Ecritures, juste un instant, quelques Ecritures. J'aimerais ouvrir encore une porte. Est-ce que ça vous arrange? La porte suivante, menant là-bas, c'est la foi. Voyez, votre vie privée… la porte de l'orgueil, votre vie privée, maintenant ouvrons la foi. Il y en a tout un tas, voyez, mais entrons dans la foi.
163 Vous savez, il y a quelque temps, j'étais dans un hôpital, et une femme allait subir une opération. Elle m'a appelé, et elle a dit : "Frère Branham, je suis une rétrograde. Voudriez-vous prier pour moi?"
J'ai répondu : "Oui, madame, je serais heureux de le faire."
J'ai dit : "Etes-vous une rétrograde?"
"Oui."
J'ai dit : "Eh bien, attendons juste une minute. Permettez-moi de vous lire les Ecritures."
164 Il y avait une femme couchée là dans un lit, qui me regardait d'une façon vraiment drôle, elle et son fils d'environ vingt ans, un véritable Ricky, et il se tenait là à me regarder comme cela. Et j'ai dit : "Oui, madame", j'ai dit… (je lui ai lu les Ecritures : "Même si vos péchés sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la neige, même s'ils sont rouges comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la laine."
165 Et, oh! la la! je lui ai lu cela. J'ai dit : "Si vous vous êtes égarée, voyez, vous vous êtes éloignée de Dieu, mais Dieu ne s'est jamais éloigné de vous, autrement vous ne m'auriez pas appelé." Elle s'est mise à pleurer. J'ai dit : "Nous allons prier."
Cette dame dans le lit voisin a dit : "Attendez une minute! Attendez une minute là!"
J'ai dit : "Oui, madame!"
Elle a dit : "Tirez ce rideau."
Et j'ai dit : "N'êtes-vous pas chrétienne?"
Elle a dit : "Nous sommes des méthodistes!"
J'ai dit : "Eh bien, qu'est-ce que cela a avoir avec la chose?" Voyez, cela ne signifie rien de plus que de dire que vous êtes un - vous étiez un poulain, si vous étiez dans une porcherie. Voyez? J'ai dit : "Ça ne veut rien dire." Voyez? Mais, voyez-vous, c'est là que ça aboutit, cette autosatisfaction.
"C'est contraire à notre foi!"
J'ai dit le…
"Nous ne voulons pas de la guérison divine dans notre église, ou un truc de ce genre!"
Voyez, voyez-vous ce que je veux dire? Voyez, ils ne laisseront pas quelqu'un entrer par cette porte là. "C'est contraire à notre foi!"
166 Il n'y a qu'une seule foi. "Une seule foi, un seul Seigneur, un seul baptême." Cette foi…
Ma foi regarde à Toi,
Moi, Agneau du Calvaire,
Sauveur Divin;
Maintenant, écoute-moi quand je prie.
Ôte toute mon incrédulité.
167 Le péché! Le péché! Il n'y a qu'un seul péché; c'est l'incrédulité. L'homme qui boit n'est pas un pécheur. Voyez, ça - ça - ça, voyez, ce n'est pas un péché. Ce n'est pas un - ce n'est pas un péché que de boire. Ce n'est pas un péché que de commettre adultère. Mentir, voler, ce n'est pas un péché. Ce sont des attributs de l'incrédulité. Si vous étiez un croyant, vous ne feriez pas cela, voyez.
168 Il n'y a que deux catégories : vous êtes soit un incroyant soit un croyant, voyez; l'un ou l'autre. Vous ne faites pas toutes ces choses et toutes ces ordonnances religieuses comme ça, juste parce que vous êtes un incroyant; si vous êtes un croyant; c'est dans la Parole que vous croyez, parce que Christ est la Parole. Voyez? Et ainsi vous êtes juste un incroyant parce que vous croyez dans une certaine tradition, ou dans certains dogmes qui ont été ajoutés à la Bible, ou quelque chose de ce genre, et c'est ce que les dénominations font. Mais un véritable croyant ne s'en tient qu'à cette Parole. Et Dieu n'oeuvre qu'au travers de cette Parole, juste au travers, pour L'accomplir dans cette génération où nous vivons.
169 Et maintenant, remarquez, et vous dites : "Oh, je… Frère Branham, le Seigneur…" Eh bien, c'est très bien, plusieurs Philistins incirconcis étaient aussi allés une fois. Et une bande d'Egyptiens avaient essayé de suivre Moïse au travers de - de la mer Rouge, mais finalement… De même que Jannès et Jambrès s'opposèrent à Moïse, eh bien, nous voyons la même chose dans les derniers jours, la Bible le dit.
170 Maintenant, juste un peu plus loin… Jésus a dit, concernant cet - cet âge-ci : "Parce que tu dis : 'Je suis riche et je me suis enrichi…" Regardez seulement comment nous sommes aujourd'hui, l'église la plus riche qu'il y ait jamais eu! Eh bien, vous savez, vous pentecôtistes, vous seriez de loin mieux si vous étiez là au coin, avec un tambourin comme vos pères et vos mères. Mais vous avez de meilleures églises que les autres maintenant, la croissance la plus rapide au monde; mais où est cet Esprit de Dieu qui était parmi nous? Vous avez abandonné la chose réelle. "Parce que tu dis : 'Je suis riche.'" Rappelez-vous, c'est aux pentecôtistes que cela est adressé, parce que l'âge pentecôtiste est le dernier âge.
171 Voyez, tous ces réveils que nous avions eus, il n'y a pas eu une autre organisation qui a commencé. Il n'y en aura pas. C'est la fin. Ce blé est mûr maintenant. Il est passé au travers des feuilles, et de la tige et de la balle, et il est maintenant dans le blé. Voyez, il n'y aura plus rien. Ils avaient commencé une petite "Dernière Pluie", mais cela s'est simplement effondré; toute autre chose s'effondrera. Cela va… Voici venir le blé. Voyez.
Remarquez, "et parce que tu dis : 'Je suis riche, et je me suis enrichi, je n'ai besoin de rien; et tu ne sais pas que tu es misérable, malheureux, aveugle, nu et tu ne le sais pas; je te conseille…'" Oh! la la! "Je frappe à ta porte." [Frère Branham frappe sur quelque chose. - N.D.E.] "Laodicée, je frappe à ta porte, je te conseille de venir à Moi pour - pour acheter de Moi de l'or éprouvé par le feu; un vêtement blanc, pour que ta nudité ne soit pas exposée." Ôtez ces choses, et habillez-vous tel que vous le devriez, voyez, de la justice de Christ, la Parole. Non pas de ma justice; de Sa justice! "Et je te conseille aussi de - de venir te procurer du collyre pour que tu puisses oindre tes yeux, pour que tu voies."
172 Le collyre…Je suis du Kentucky. Je suis né dans les montagnes, et nous avions un vieux petit endroit là au grenier. Et nous les enfants, nous dressions une - une vieille petite échelle de bois, pour monter chaque nuit. Et nous nous couchions. On devait nous couvrir d'un morceau de toile lorsqu'il neigeait. Eh bien, les étoiles… les vieux bardeaux… Combien ici savent ce qu'est un bardeau? Eh bien, frère, pourquoi n'ai-je pas porté ma salopette ici? Je suis vraiment chez moi, voyez.
173 Eh bien, ils avaient ces vieux bardeaux…Combien savent ce qu'est un matelas de paille? Eh bien, qu'est-ce que vous connaissez? Je pensais que je me sentais vraiment religieux à propos de quelque chose. Eh bien, je pense que je suis vraiment chez-moi maintenant. C'est bien. Et je ne connaissais rien d'autre jusqu'à il y a quelques années. Combien savent ce qu'est une vieille lampe, et le vieux verre? Vous savez, c'était la grande lune et un hibou sur le côté. On demandait à celui qui, dans la maison, avait la plus petite main, pour nettoyer ce vieux bidon à lait, vous savez. Je devais utiliser un vieil éclabousseur. Et cela m'éclaboussait; ainsi je prenais ce verre de lampe et le tournais par-là; pour empêcher que ça n'éclabousse. Oui, assurément.
174 Eh bien, mon grand-père était un trappeur. Ma grand-mère venait des réserves. Il avait épousé une indienne venant des réserves Cherokee, là dans le Kentucky et dans le Tennessee. Vous savez où? Dans la vallée des cherokee. Et ils… Il - il faisait la chasse et tendait des pièges, tout le temps. C'est ainsi qu'il gagnait sa vie.
175 Et nous les enfants, dormions là-haut, eh bien, parfois, il faisait très froid. Et cette brise entrait par-là, on attrapait froid aux yeux, et - et nos yeux se collaient et restaient fermés la nuit, vous savez. Maman appelait cela "la matière". Je ne - je ne sais pas ce que c'est, mais le froid entrait aux yeux et ils attrapaient froid. Et elle disait : "Vous avez attrapé 'la matière' dans les yeux" à cause de - de… oh, vous savez, de la brise qui soufflait là, le courant d'air qui entrait la nuit. Nos yeux devenaient enflés et collés. Et maman s'approchait là, de l'échelle, le matin après qu'elle avait cuit les petits pains. Elle déposait sur la table de la mélasse de sorgho. Et elle disait : "Billy!"
Je disais : "Oui, maman?"
"Descendez, toi et Edward?"
"Maman, je n'arrive pas à voir!" J'appelais mon frère, nous l'appelions "Humpy". Je disais : "Lui non plus n'arrive pas, tu vois, il y a de la matière dans les yeux."
Elle disait : "Très bien, juste une minute."
176 Et grand-père, lorsqu'il attrapait un raton laveur… combien savent ce qu'est un raton laveur? C'est ce que… Et elle… Il attrapait un raton laveur; il en extrayait la graisse et la mettait dans une boîte. Et cette graisse de raton laveur était un remède dans notre famille. On nous la donnait pour une forte grippe, avec de la térébenthine dessus et du pétrole. Nous l'avalions pour une angine. Alors, elle prenait cette graisse chaude de raton laveur et elle venait masser nos yeux, et nos yeux s'ouvraient, voyez, c'était la graisse de raton laveur qui faisait cela. Voyez?
177 Maintenant, frère, soeur, nous sommes passés par une période de grippe dans l'église. Et, c'est juste, beaucoup de courants d'air religieux sont passés, et tout le monde a attrapé la grippe. Et beaucoup de gens ont les yeux complètement fermés, et il y a un grand Conseil Mondial des Eglises qui s'avance, ici, qui va forcer chacun de vous à y entrer. Ils sont en train de s'éloigner de cette Parole, nos propres groupes le font. Je suis lié par le devoir vis-à-vis d'un Message; non pas pour être différent, mais à cause de l'amour... L'amour est correctif. Retournez! Tenez-vous éloignés de cette chose-là. Vous frères dans le ministère, peu importe ce que vos groupes font, tenez-vous-en éloignés! Restez hors de cela! C'est la marque de la bête. Tenez-vous-en éloignés! Voyez.
178 Jésus est en train de frapper à la porte dans cet âge de Laodicée. Voyez-vous où ils L'ont mis dehors? Il cherche à atteindre les individus, non pas - non pas les organisations et les groupes de gens. Il cherche à atteindre un ici et un là, et un autre là-bas. "Je châtie tous ceux que j'aime." C'est comme le jeune frère qui a eu la vision ici, et il a dit qu'il avait eu une vision. Et il a dit : "La même Lumière que vous recevez, causera également votre mort." Voyez? "Je châtie tous ceux que j'aime; sois zélé et reviens. Je me tiens à la porte, et Je frappe."
179 Maintenant, écoutez, la graisse du raton laveur ne fera aucun bien pour ceci, mais :
Il y a une Fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d'Emmanuel;
Les pécheurs plongés dans ce flot
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Ce voleur mourant s'était réjoui de voir
Cette Fontaine en son jour
Là, puis-je, bien qu'aussi vile que lui…
180 Il a ouvert mes yeux, avec Son collyre. Son Esprit est descendu et a réchauffé la Bible, Son collyre. Je ne pouvais pas voir cela. J'étais un - juste un pasteur baptiste local. Mais un jour, Il a envoyé Son Esprit, ce n'est pas la graisse de raton laveur qu'Il a réchauffé, mais Il a envoyé le Saint-Esprit et le Feu! Un petit collyre a ratissé ma Bible - mes Bibles et je pouvais voir avec mon oeil… je veux dire, a ratissé mes yeux pour que je voie ma Bible. Et j'ai vu qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. "Que toute parole d'homme soit un mensonge et la Mienne vraie. Je me tiens à la porte, et Je frappe."
181 Encore une autre petite histoire. Avons-nous du temps? [La congrégation dit : "Amen." - N.D.E.] Juste ça, ensuite, je vais m'en aller. Il y avait un vieux noir là-bas dans le Sud. Et son pasteur, je le connaissais, un brave vieil homme. Nous l'appelions Gabe. Son nom était Gabriel, et nous l'appelions simplement. Gabe. Tout le temps il… Le pasteur et moi, nous - nous allions bien souvent faire la chasse. C'était un vieux frère de couleur, et nous sommes allés chasser. Et ainsi le brave Gabe aimait la chasse plus que n'importe qui à ma connaissance, mais c'était un mauvais tireur.
182 Ainsi, un jour, son pasteur et lui sont allés chasser. Et nous n'arrivions jamais à amener le brave Gabe à s'aligner avec l'église. Il ne voulait simplement pas le faire. Il ne voulait pas venir à l'église. Il disait : "Ah, je n'irai pas là où il y a des hypocrites."
Je disais : "Mais, Gabe, aussi longtemps que tu te tiens dehors, ils sont plus grands que toi. Tu te caches derrière eux, tu vois." Je disais : "Tu te caches derrière eux. Tu es plus petit qu'eux; ils y vont et font un effort, tu vois."
Et alors il a dit : "Je - je… je… j'ai beaucoup de considération pour vous, monsieur Bill." Mais, il dit : "Je… je suis - je connais le vieux Jones qui va là-bas et il ne vaut rien; il joue aux dés avec moi là-bas."
J'ai dit : "D'accord, Gabe, tu vois, d'accord. Mais, souviens-toi, Jones devra répondre pour cela, toi tu n'auras pas à répondre, tu vois, si tu pars tout simplement…" J'ai dit : "Tu as un bon pasteur."
"Oh, le pasteur Jones est l'un des plus braves gens de la contrée!"
J'ai dit : "Qu'il soit ton modèle, si tu ne peux pas voir plus loin que cela. Qu'il soit ton modèle."
183 Ainsi un jour, frère Jones a dit qu'il a amené le brave Gabe à la chasse. Et il a dit : "Ce jour-là nous avions attrapé beaucoup de lapins et d'oiseaux, si bien que nous avions de la peine à les transporter." Et il a dit : "Nous sommes rentrés le soir." Il a dit : "Le brave Gabe suivait derrière et il était tout chargé, vous savez, comme cela."
Et sa femme était une chrétienne authentique et loyale. Elle occupait toujours une place juste là, une femme remplie du Saint-Esprit, et elle était toujours à son poste du devoir.
Ainsi il était… Le brave Gabe suivait derrière, vous savez. Et le pasteur Jones a dit qu'il regarda tout autour, il pouvait voir que le brave Gabe regardait sans cesse par-dessus son épaule, comme cela, le coucher du soleil." Il a dit : "C'était descendu très bas, et il faisait frais." Il dit : "Après un moment," il dit qu'il marchait, il a dit que le brave Gabe s'est approché. Au canon de son fusil de chasse étaient suspendus beaucoup de lapins, d'oiseaux et tout.
Il a dit qu'il a tapoté le pasteur à l'épaule et a dit : "Pasteur."
184 Il a dit qu'il s'est retourné et a dit : "Oui, Gabe, qu'est-ce qu'il y a?" Alors, il a regardé, et de très grosses larmes coulaient sur ses joues noires, où la barbe grisonnait.
Il a dit : "Pasteur, je marche depuis environ une demi-heure le long de cette rive-ci." Il a dit : "J'observe ce soleil qui se couche." Il a dit : "Vous savez, ma moustache et mes cheveux grisonnent." Il a dit : "Vous savez, mon soleil se couche aussi, Pasteur."
Il a dit : "C'est juste, Gabe." Et il s'est arrêté et s'est retourné. Il a dit : "Qu'est-ce que tu as?"
185 Il a dit : "Mon soleil est en train de se coucher aussi." Il a dit : "Savez vous quoi?" Il a dit : "Je réfléchissais, a-t-il dit, pendant que je marchais là-bas." Il a dit : "Vous savez, a-t-il dit, le Seigneur doit m'aimer."
Il a répondu : "Certainement qu'Il t'aime, Gabe."
Il a dit : "Vous savez, je suis un mauvais tireur." Il a dit : "Je ne - je ne peux rien atteindre, mais, a-t-il dit, nous - nous avions réellement besoin de cette viande à la maison." Et il a dit : "Regardez à ce très beau tas de gibier qu'Il m'a donné, ces oiseaux et ces lapins." Il a dit : "J'ai de quoi nous nourrir toute la semaine prochaine." Il a dit : "Il doit m'avoir aimé, en effet je ne peux rien atteindre, vous savez." Il a dit : "Je ne pouvais pas atteindre un…, mais je… a-t-il dit, regardez simplement ce qu'Il m'a donné aujourd'hui." Il dit : "Il doit m'aimer sinon Il ne m'aurait pas donné ceci."
Il a dit : "C'est juste."
Et il a dit : "Eh bien, j'ai entendu un étrange petit coup à ma porte là au fond. Il m'a dit de faire volte-face, il a dit: 'Gabe, ton soleil se couche, aussi'." Il a dit : "Pasteur, vous savez ce que j'ai fait, Pasteur?" Il a dit : "Je Lui ai fait une promesse."
Il a dit : "Gabe, je veux te demander quelque chose." Il a dit : "Quel est le sermon que j'ai prêché qui a fait que tu te sentes ainsi?"
Il a dit : "Pasteur..." ou plutôt il a dit : "Eh bien, attendez une minute."
Il dit : "Quel - quel - quel cantique de la chorale?"
186 Il a dit : "Oh, sûrement que j'aime ce qu'on chante à l'église, Pasteur." Il a dit : "J'aime chaque message que vous prêchez, parce que cela vient tout droit de ce bon Livre, et je sais que c'est juste. Mais, a-t-il dit, ce n'était pas ça." Il a dit : "Il a juste frappé et j'ai regardé ici tout autour et j'ai vu combien Il a été bon pour moi, pour ce qu'Il m'a donné." Il a dit : "Dimanche matin, je vais juste monter devant, là où tu te tiens." Il a dit : "Je vais vous donner ma main droite, a-t-il dit, parce que j'ai donné mon coeur au Seigneur, juste là près de la colline." Il a dit : "Je vais me faire baptiser et prendre ma place juste à côté de ma femme, et je vais rester là jusqu'à ce que le Seigneur m'appelle dans les lieux plus hauts." Voyez, il lui est juste arrivé de regarder autour pour voir combien Dieu avait été bon pour lui.
187 Je suis un missionnaire. Si vous regardiez à travers les yeux par lesquels je regarde maintenant, et que vous voyez en Inde et dans ces endroits-là ce petit peuple affamé, ces mères qui meurent de faim dans la rue, leurs petits qui ne peuvent même plus pleurer à cause de la faim, et pensez seulement à ce que nous avons ici aujourd'hui. Regardez les voitures à bord desquelles vous êtes venus. Regardez les vêtements que vous portez. Regardez combien vous êtes riches. Mon ami, ne pouvez-vous pas sentir ce petit coup, là quelque part?
188 Prions Avec nos têtes et nos coeurs inclinés, alors que les minutes filent maintenant, il est presque midi moins sept, mon frère, ma soeur, la science nous dit que nous sommes au-delà de minuit moins trois. Maintenant, si vous pouvez juste regarder autour de vous et réfléchir juste une minute, vos petits enfants étant assis là près de vous. Combien de petits handicapés moteurs… Regardez votre gentille femme, frère, et pensez combien d'hommes qui ont une fortune de millions de dollars aiment de tout leur coeur une femme qui est un pilier de bistrot. Ils donneraient ses millions froids pour obtenir que cette femme l'aime comme votre femme vous aime.
189 Et vous, femme, combien de femmes…Combien de mères ici ce matin ont de petits enfants, combien de pères? Eh bien, il… Oh! la la! Eh bien, beaucoup d'hommes regardent dans un berceau, un pauvre petit recroquevillé, une pauvre petite créature estropiée, mais regardez quels beaux petits enfants vous avez. Voyez? Et beaucoup de pauvres petits, peut-être… Oh Dieu! Il y a tant de choses, si vous regardez simplement. Il a été si bon pour nous les Américains.
190 Maintenant, ne sentez-vous pas que vous aimeriez avoir un peu de collyre ce matin? "Ouvre un peu plus mes yeux, Seigneur, ouvre mes yeux." Comme notre soeur l'a si bien chanté : "Son oeil veille sur le moineau, un tout petit moineau, et je sais qu'Il veille sur moi." Eh bien, Il veille juste sur vous maintenant. Entendez-vous quelque part, un petit coup comme ceci? [Frère Branham frappe sur quelque chose. - N.D.E.] "Je viens en visite ce matin."
191 C'est le plus grand honneur qui peut vous être fait, si vous entendez ce coup à votre coeur. Voulez-vous juste lever la main et dire : "Par ceci, Seigneur, par Ton aide et Ta grâce, dès aujourd'hui, je vivrai aussi près de Toi que je le peux. C'est tout ce que je peux Te demander"? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. "Par Ton aide et Ta grâce aujourd'hui, dès aujourd'hui, je n'oublierai jamais ceci."
192 "Voici, Je me tiens à la porte et Je frappe. Si quelqu'un…" Maintenant, rappelez-vous, où est-ce qu'Il frappait? A la grange? Non. Au bar? Non. Où frappe-t-Il? A l'église! "Si quelqu'un entend Ma voix et M'ouvre, J'entrerai et Je souperai avec lui, et lui avec Moi."
193 Dieu bien-aimé, ces quelques paroles un peu entrecoupées et mélangées qui ont été prononcées ce matin, puisse le Saint-Esprit les interpréter d'une façon ou d'une autre aux coeurs des gens. Eh bien, il y en a plusieurs, Seigneur, peut-être sur ces cent personnes qu'il y a ici, vingt ou trente personnes ont levé leurs mains. C'est impossible de savoir ce dont ils ont besoin, Seigneur. Mais je sais qu'il sera midi dans quelques minutes, et il en est ainsi de la Venue du Seigneur; cependant, avant que cette neige fonde sur le sol, nous pouvons être appelés, et ceci peut être le moment qui déterminera tout le futur, savoir si les gens resteront ici ou s'en iront au ciel.
Dieu bien-aimé, humblement, nous acceptons Jésus, nous acceptons toute Sa Parole. Remplis-nous, Seigneur, remplis-nous de Ton Saint-Esprit pour que notre vie porte automatiquement les fruits. Accorde-le, Seigneur.
194 Pardonne-nous nos nombreuses fautes. Oh, nous en avons beaucoup, Seigneur. Et nous n'avons rien à T'offrir, Seigneur, parce que tout ce que nous avons, c'est Toi qui nous l'a donné. Comme Gabe l'a dit dans la petite histoire que nous venons de raconter, Toi, Tu nous aimes sûrement, Seigneur, sinon Tu n'aurais pas fait ceci." Et de penser que ces gens sont assis ici depuis tôt ce matin, ils sont ici depuis huit heures, cela fait quatre heures qu'ils sont ici. Ils T'aiment, Seigneur. Ils T'aiment. Maintenant, Père, nous Te prions d'envoyer le collyre du Saint-Esprit, pour ouvrir nos yeux.
Puissions-nous…Que ceux qui sont ici dans la ville, accourent à ce réveil ce soir. Qu'il y ait une grande effusion! Accorde-le, Seigneur. Qu'un réveil à l'ancienne mode commence ici dans la ville. Accorde-le.
195 Bénis chaque homme qui fournit… chacun de Tes serviteurs à travers le monde, qui fournit un effort. Sois avec eux, Seigneur, et aide-les. Ouvre nos yeux pour que nous voyons de plus en plus l'image de Christ. Accorde-le, Seigneur. Pardonne-nous nos péchés.
196 Et maintenant, ceux qui ont levé la main, Père, je Te les confie. Reçois-les. Maintenant je cite Ta propre Parole, Seigneur qui dit que "les cieux et la terre passeront", mais, Tu as dit : "Il" ["He", qui signifie aussi "celui" - N.D.E.] c'est un pronom personnel, "celui qui entend Mes Paroles…" Seigneur, elles peuvent avoir été entrecoupées, et simples, mais quelqu'un les a entendues. La Semence est tombée. "Celui qui écoute Mes Paroles et," conjonction, "croit en Celui qui M'a envoyé", parce qu'il a fait ceci, "Il a (au présent) la Vie Eternelle, et ne viendra pas (au futur) en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie."
197 Ils ont levé la main Seigneur, ils ont brisé la… chaque loi scientifique; la pesanteur garde nos mains baissées. Mais ils ont prouvé qu'ils ont un esprit, qui a entendu le coup à la porte, et ils ont tendu la main droite vers le ciel. Maintenant, ouvre la porte. Ouvre, Seigneur, et entre. Nous sommes à Toi. Reçois-nous, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Je L'aime, je L'aime
Parce qu'Il m'aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
L'aimez-vous? Pouvons-nous fermer les yeux, s'il vous plaît juste un instant. Maintenant de tout nos coeurs, avec les mains levées.
Je L'aime, je L'aime…
Parce…
198 Nous recevons favorablement Tes coups [à notre coeur] ce matin, Seigneur. Mes mains sont levées. Toutes nos mains sont levées, Seigneur. Maintenant, entre. Seigneur Jésus. Entre dans nos coeurs et soupe avec nous, et nous souperons avec Toi.
Et…
… le bois du Calvaire.
199 L'aimez-vous? Oh! je pense qu'Il est si merveilleux! Pas vous? [L'assemblée dit : "Amen." - N.D.E.] Ne sentez-vous pas que Sa Présence en quelque sorte vous récure? Je me sens très religieux maintenant même, je me sens très bien, quelque chose de ce genre. Voyez?
Ma foi regarde à Toi
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur divin;
Maintenant, écoute-moi quand je prie
Ôte tous mes péchés
Oh! laisse-moi, dès ce jour,
Etre entièrement à Toi!
Maintenant, je veux que vous… pendant que nous fredonnons le vers
suivant de ce bel hymne, ce vieil hymne de l'église, je veux que vous serriez la main à quelqu'un. Restez simplement à votre place; dites simplement : "Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, soeur. Très heureux d'être avec vous ici." Faisons cela. [Frère Branham et l'assemblée fredonnent Ma foi regarde à Toi, et les gens serrent la main l'un à l'autre - N.D.E.]
Que Dieu te bénisse, Carl. Je suis heureux d'être ici. Ça me plaît! Merci, merci. [Frère Branham et l'assemblée continuent de fredonner le cantique. - N.D.E.] Pensez simplement, les mains des méthodistes ont saisi celles des pentecôtistes, celles des baptistes ont saisi celles des presbytériens.
Oh laisse… dès ce jour
Etre entièrement à Toi!
200 Eh bien, comme nous chantons doucement, maintenant, et aussi du fond de notre coeur... Vous savez, après un Message de récurage, de réprimande, je pense qu'il est bon d'entrer dans l'Esprit et de chanter pour…?… la douceur du Saint-Esprit. "Oh! qu'il est doux pour des frères de demeurer ensemble dans l'unité!" La Bible dit : "C'est comme l'huile d'onction qui était sur la barbe d'Aaron, et qui descendait sur le bord de ses vêtements."
201 Vous êtes un peuple merveilleux ici. J'espère revenir vous revoir avant que Jésus m'appelle ou avant le Millénium. Si je ne reviens pas, je vous verrai là de l'autre côté de la rivière. Je vous rencontrerai à la rivière. Amen. Je vous fixe un rendez-vous.
Lorsque je marche dans le sombre labyrinthe de la vie
Et que le chagrin se répand autour de moi,
Sois mon Guide.
Ordonne que les ténèbres se changent en jour (La petite Lumière dont on parle)
Essuie toute larme de tristesse.
Oh! laisse-moi dès ce jour,
Etre entièrement à Toi.
(Chaque porte ouverte… Oh, touchez simplement le petit bouton, et observez-les tous se mettre juste en cercle - dire : "Entre, Seigneur Jésus, sois mon Seigneur, mon tout.")
Oh! laisse-moi dès ce jour (Ne pas Te laisser à la porte) ,
Etre entièrement à Toi!
202 Vous qui avez levé la main et qui voulez être conduits plus loin vers le Seigneur, je vous demande d'aller à ce réveil ce soir. Et je suis sûr que ce pasteur-là voudra bien vous amener d'ici à l'auberge. Il a six centimes, ou tout ce qu'on lui a remis pour prendre soin, et le vin et l'huile à verser. Il peut terminer le travail. Que Dieu vous bénisse maintenant. Je vais remettre le service à, je - je pense, frère Williams, ou qui que ce soit… Très bien.
1 ... here this morning. I was thinking of my time coming into Flagstaff the--the first time. It's been about, I guess, around thirty-eight years ago, maybe forty. I was talking about getting up the hill. There wasn't no snow, but my little Model-T couldn't hardly get up the hill. It could go thirty miles an hour, but that's fifteen this way and fifteen this a way, you know, over some of these roads we had here. And it was quite a...
[A brother on the platform says, "Why don't you give us that Ford poem."--Ed.] Brother Carl... ["Please."--Ed.] Oh. He's telling me about a little poem I had one time of on my Ford.
[My Old Ford -- (Inserted here for the reader)
1 Of my old Ford they all make fun,
They said she was born about 1901;
Well, maybe she was, but this I'll bet,
She's good for a many a long mile yet.
1 The windshield's gone, and the radiator leaks,
The fan belt's loose, and the horsepower squeaks;
With a rattle in the front, and a grind in the rear,
And a Chinese puzzle for a steering gear.
1 She makes noise, and the bolts are loose,
But she gets thirty miles on a gallon of juice;
If I can't get gasoline, I'll burn kerosene;
I've even driven her in on paris green.
1 When you buy other cars, you get a lot of tools,
Extra parts and a book of rules;
But all I've carried, for the last thirty years,
Has been a good pair of wire cutters and pair of shears.
1 But I hope I live to see the day
When she breaks up, like the one-horse sleigh;
Then, if Henry Ford stays in the game,
I'll buy me another one by the same old name.
1 William Marrion Branham]
It's not a good place to give it, Brother Carl.
So we're very grateful. And I had so many nice testimonies this morning, hearing from these brethren, met some of the men.
And there was just a minister that just spoke here, a little Spanish brother that gave his--the little boy's time to sing. Wasn't that wonderful for a six-year-old boy? My, the nicest little voice I ever heard for a little boy like that.
5 Now, this brother, the brethren forgot it, but he's holding a meeting here in your city. I think it's down at the Church of God, or Assemblies of God? [The brother says, "Assemblies."--Ed.] Assemblies of God, down at the Assemblies of God. And I'm sure they would appreciate your--your presence. You... How long is the meeting lasting, brother? Through Sunday, through Sunday night. ["We're having a sing-spiration tonight."--Ed.] Sir? ["We're having a sing-spiration tonight."--Ed.] Sing-spiration tonight. Now, you're all cordially invited to come to this meeting. Seven-thirty, tonight. And where is the church located, brother? Would you just tell us where it is? ["113 West Clay."--Ed.] 113 West Clay Street, right here in the city of Flagstaff. And--and I'm sure you'll...
6 Is the little boy with you? No, his daddy will sing. You sing, do you? Well, that's fine, I guessed that just right for one time. Well, that's very seldom you see that; but it's, usually, if there's one talent in the family, it takes from--from the rest of it, I think. So they have... ["It all started out in fasting and prayer, Brother Branham."--Ed.] Fasting and praying, now that's--that's really nice.
Now, you know, if America, all together, all of our American families was like that, well, they'd just dismiss all the police force. The millennium would be on, wouldn't it? We'd...?... We'd be right in first class then. That's right. All death would fade away, all sickness, sorrow, all disappointments, and we would be with Christ.
8 So we are happy, and I hear all these fine testimonies. And had the privilege of meeting Brother Earl for my first time. And--and last evening I was talking to his wife, and--and she's been called out and healed several times in the meetings; said, at the last meeting she was on the platform.
So makes us a little, kind of a little sense of humor. I didn't remember Brother Earl, though I'd shook his hand somewhere. And--and I was setting at the window, last night, looking for him to come up. And a great tall man come up, was wearing a black mustache. I said, "Here he comes." And then when... Billy, my son, said, "Oh, no," said, "that's not Brother Earl. He's much younger than that fellow." And so then I got to meet Sister Earl here last evening, and has had the privilege of being in their lovely home here in the city.
This is a nice place. I always want to call it flagpole instead of Flagstaff, way up on top of the hill here. See? And I tell you, if there's anybody here from Texas, now you brag. I left Tucson yesterday, about seventy-two or seventy-five, somewhere along there, and up here this morning with an overcoat on. See, what they got in Texas, we got in Arizona, haven't we? That's right. We're right here.
11 This time of fellowship... Old Doctor Bosworth, a friend of mine, many of you might've knowed Brother Bosworth. He was one of the saintliest old men. And he said to me one time, he said, "Brother Branham, you know what fellowship is?"
I said, "I think so, Brother Bosworth."
Said, "It's two fellows in one ship, so they have to share a little bit."
So that's what fellowship is; we take and give, share with each other; with Brother Carl Williams, all the rest, Brother Outlaw. Oh, one of the first people in Arizona that ever sponsored one of my meetings was--was Brother Jimmy Outlaw, and we've been bosom brothers since that time. And we are very happy for all of you, for the ministers and the brethren that we meet around here. I don't have time, shake hands with everybody, as I like to, but it's a fellowship where we get together.
14 It just reminds me of--of the Phoenix convention. I've had the privilege, since the chapters first started, to--to help organize the chapters and speak in them. And it's the only organization I belong to, and it's not an organization. It's just a organism working among the people.
And if some of you men here this morning, that--that doesn't belong to this fellowship of this Christian Business Men, Full Gospel, let... If you believe and will take my word, it's one of the finest groups of people. And--and to minister brothers, it's not against your church; it's for your church. See, it's their way of placing in to the--to the church.
I just happened to look around at this lovely lady here that just sang that song a few moments ago. I've heard many attempts of it, but that lady had a voice could carry it right, you know, without squeaking it, like. I--I liked that so much, lady; it was very, very fine. Said it was a minister's wife here. And, brother, you ought to have her sing you to sleep each night, so that would be very fine, very fine. It was very fine singing. I appreciate it.
17 And this morning it kind of reminds me of a little--a little story that... I--I like to hunt and fish, and that's one of the reasons I'm here in Arizona, so, is getting hunting and fishing. And I like it. And so I was fishing one time in New Hampshire. And I guess I got a lot of partners in here that likes to fish, both in the male and female too. They... We all like it.
So I had a little pup tent I'd packed way high, above where, you know, the fellows, kind of a little heavy or something, couldn't walk up there. And there's many fine of those Brook Trout, and Brown, Square-tail, Cutthroat. Oh, they're just full of them little tributaries coming down out of the top of the mountains in New Hampshire. And little trout, maybe fourteen, sixteen inches long, just many of them. And I'd only... I'd go over there and catch them, just for the fun of catching them, turn them loose. If I killed one, then I--I eat that one (You see?), bring him in.
20 So I had a--some of this old moose willow growing up, and--and every time I'd switch my fly line... I had a little Royal Coachman. I'd fly back in there with it, I'd switch it around a bunch of moose willow. And I thought, "Well, I'm--I'm going to take a hatchet and go up there this morning and--and chop that moose willow down, so that I won't catch my line on it." Oh, I looked back under a little old, like a beaver dam, and they were just laying in there, just waiting for that Coachman to get on them. And now, all night long... I used to say, "got in my hair." But I ain't got enough hair for them to get into now. So I just--I just... It just how they would--how they would watch them. And so I got up there that morning took this little old hatchet, and cut down this moose willow. And I had three or four, was going to fix for breakfast, and come back. And I'm not a very good cook. And so I told my wife I couldn't boil water without scorching it, so you know that'd be pretty bad job of cooking.
21 So on my road back, there'd been an old mother bear and two cubs, and they'd got in my little tent. And you talk about rim-wrecking something; you don't know how things could be rim-wrecked till you let a bear get in the tent. He... They... It's not what they destroy--what they eat, I mean; it's what they destroy. I had a little stove, this little sheepherder's stove in there, and they'd get on this little stove and just jump up-and-down, you could hear the pipe rattle, and just mash it to pieces, you know. And when I come up, I had a little old rusty twenty-two rifle laying in there, but I had a--this axe in my hand.
And, you know, when I come up, the old mother run off to one side, and she cooed to her cubs. And one cub followed along, all right; but the other one set, little bitty fellow. In May, you know, had just come out. Had his back all humped up to me, like that. And I thought, "What's he doing?" Well, then she looked over at me. And I looked for a tree to see just how--how close it was, 'cause they can scratch you, you know, about them young ones. And they... You can't talk them out of it. You see? So I watched the old mother a little while, you know. She kept cooing, and making noise, something like a bird. You'd have to know what one sounds like. So she kept cooing that cub, and that cub wouldn't come.
23 Well, I thought about my rifle. And I thought, "No, if I'd run in there and grab that rifle, if I'd shoot the old mother, leave two orphans in the woods," and I didn't want to be guilty of that. And besides, her charging, that twenty-two would be kind of small, you know. And sometimes it didn't go off, have to snap it three or four times to make it go off. So I thought, "Well, I'll just get in that tree there, if she starts over here. I'll get up there in the tree, get me a little switch and just whip them across the nose." Their nose is very tender. And they just squeal, then go down, you know, and they leave you alone. So I thought, "I'll get in that tree."
But the curiosity of that little fellow, oh, setting up like this. And I thought, "What's he doing?" So I kept slipping around, watching her, you know, getting a little further away, and getting close to the tree, 'cause she kept cooing to that cub. So I got over a little further, and you know what that little fellow had done?
25 Now, I like flapjacks, or pancakes, I believe you call them, out here. Down south, we call them flapjacks. I'm not very good at making them, but I'm sure good at eating them. And, you know, I was a Baptist. And I don't like to sprinkle; I really like to baptize them, really put the molasses to them. So I had me a can of molasses about this high, setting there, a little half-gallon bucket for my flapjacks.
And that little fellow... You know, a bear likes sweet, anyhow. He'd got that bucket of molasses open. And he was setting there with that little paw about that wide. And he had it up in his arms, and he was just socking his little foot down, and licking like that, you know. That's right. And he--he'd lick that little tongue. And I started... Any... If I just had a camera, I'd love to have showed that this morning, just to look at it. And there he was, putting his little foot down there, and licking like that. And I hollered, "Get away from there," like that. And he didn't pay any attention to me, and just kept licking like that. He sopped that bucket out. See?
27 And I hollered at him like that, he turned around and looked at me like that. He couldn't get his eyes open, he was just so full of molasses, you know. All over his eyes, his little belly, just as full of molasses as he could be. And then, after while, he staggered off sideways and run over to his mother. They got him up there in the bushes and started licking him. They was afraid to set at the bucket, but they could lick him.
And I said, "If that isn't a type of a good, old Pentecostal meeting: just get so full of good, sweet stuff, they go out, and somebody lick off of it. That's a real fellowship meeting. Now, we just come like this to get our hands in the bucket, each one of us, plumb up to the elbow of God's blessings. And I'm sure you'll find that at the revival that's being down at the Assemblies of God, going on down there now. The Lord bless you.
29 I said in Phoenix, the other day, a little... I hope it didn't sound sacrilegious, about a little joke about a minister that would go to the platform every morning, and for twenty years solid, he preached twenty minutes, and then be done, and so they couldn't understand why it was. And so, one morning he preached about four hours. And the--the deacons called him back, and--and said, "Pastor, we really love you." Said, "We--we think your messages are wonderful." And said, "We know, as a deacon board, we've watched you and timed you, exactly twenty minutes every Sunday morning." And said, "This morning was four hours." Said, "We just don't understand."
Said, "I'll tell you, brethren." He said, "Every morning, when I go to preach," said, "when you call me to the platform, I reach in and put one of these Life Savers under my tongue." And said, "In twenty minutes when that Life Savers is gone," said, "I--I--I'm finished," he said, "I know it's time to quit." And said, "What was the mistake this morning, I got a button...?..."
31 Carl Williams and Jewel Rose, real bosom brothers and friends of mine, they went downtown the other day, and got a button about that big around to give me, and--but I haven't got it this morning. So we're grateful to be here.
Now, does anyone in here know Doctor Lee Vayle? I don't think... Maybe not. He was a Baptist preacher, Doctor of Divinity, and he's got his degrees. He was a high school teacher to begin with, and he's a very fine, scholarly man. And my tapes of "The Seven Church Ages," I sent them to him to grammarize them. Because my old Kentucky "hit, hain't, and tote, and carry, and fetch," that don't go good for people who reads the books, so he was going to grammarize it for me. And then, after he got through, sent it back a couple times for more statements. Which the book is going to press now after about three or four years.
He asked me, he said, "Can I write a book, just my comments?"
And I said, "Well, it's all right, Brother Lee." And I thought...
Then he said, "I'm going to tell you something." Said, "It's not to be sold; given away."
I said, "Well, then, I'm sure that's all right." See?
35 And so they had a sponsorship of about ten people to sponsor it, which cost them about fifteen hundred dollars, I think, I understand, for ten thousand of them. And so we--we got them; it all come off the press a couple days ago, and we got just two or three, yesterday, and Billy brought them up. And they're--they're giving them away. Now, I've never read it; I don't know what he said. But I'm... This is by faith. But I'm sure, if you'd like to have one, if you'd just write us, it'd be sent to you free. See? And it's called "Twentieth-Century Prophet."
And then I noticed in the picture here in the front of the book, many of you has got this picture, of course, and seen It, that's where the Angel of the Lord was taken at Houston, Texas. But they cut part of It off.
37 Then I see here in the back. And how many here has ever been in one of the meetings, let's see? I guess practically all of you have. You hear me say many times, "That shadow hanging over someone." Now, see, if you make a statement, and it isn't the truth, God won't have anything to do with it. You know God is not associated in lies, but He only backs up what's truth.
So when He told Moses, when He met him back there in the wilderness in the Pillar of Fire, back in that burning bush... Then when He brought those people out, and those who would follow Moses out for the journey, then He came down upon Mount Sinai, that same Pillar of Fire, and vindicated that what Moses had said was the truth.
Now, God will do that. He always does that. So this Light here, of course, we associate It with God, because It has the same nature and everything that He did when He was here on earth.
40 Then on that, saying, "This person here, I see you're shadowed to death, dark shadow." How many... Many of you has heard that said. Well, here just recently in a meeting, there was somebody curious, wanted to see if they could get a picture of that, when it was said. So they... There was a lady setting close, and this man had a camera. And I said, "This lady setting here is Mrs. So-and-so," whatever it is. I said, "She's shadowed to death, and she's got cancer." And just then he snapped the picture, 'cause it was close. And there it was (See?) that hooded, black cancer of death hanging over the woman. And then the Holy Spirit spoke back again.
Now, when they put this in the book, they had it cut off, so they just put this in here just till they make that a printing of the book. And that's why you'll see that loose leaf in there. I think "The Voice Of Healing" was the one who printed the book.
42 And now it's absolutely free. And the sponsors back here in the back of the book, who put fifteen hundred dollars in it, just to get it out to the public, let the public read it. So it's free, and it's a nice little book. And I don't know what the contents is, I've never read it; the Father knows that.
But see, it was... To me, it's absolute truth. That's what we look for, is Truth. Jesus said, "You shall know the Truth; the Truth shall set you free." And He is that Truth. He is Jesus, the Son of God is the Truth of the Word, because He was the Word made flesh. "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us." Then that made Him the Truth, because the Word is the Truth, and He was the Truth.
Now, when we see Him return in these last days, this great move of God, moving across the nations of the world, gathering a people for the Bride, that is Truth.
45 Years ago they said there was no such a thing as speaking in tongues; it was nonsense. God promised it, and He proved it to be Truth. That's right.
Someone said this morning; I believe it was our noble sister there who deals with the children so much about their baptism; she said, "You can hear someone speak in tongues. But to hear someone sing in tongues (See?) it was such a beautiful thing."
I remember my first experience; I was at Redigar Tabernacle in Fort Wayne, Indiana. And I was speaking, having a healing service after the death of--of Brother B. E. Redigar. And Brother Bosworth had been there, Paul Rader. And many of you older men that--like me, you remember Paul Rader; and he was a Baptist, and we was--so we were great friends. And so while speaking there, was going to pray for the sick. It was a strange thing to them then, but a lady brought a little boy down that was crippled, and as he come across the platform, the vision of the Lord appeared and told him all about what was the matter with the little lad. And I asked the girl to hand--to hand me the little boy.
48 Now, just for the sister's testimony, that you might see what joy and what the real phenomena of--of grace of God, what it could do, when it worked according to the Word of God (See?) God's promise for the hour...
Now, God's promise to Noah won't work for us today. God's promise to--to Moses, we couldn't have Moses' message. Moses couldn't have had Noah's message. We got the Message of the hour. We couldn't have had Luther's message. We couldn't have had Wesley's message. This is another time. God allotted His Word to each age. And as that age comes along, He sends someone there to vindicate that Word, to prove that that's true. And that... We see in each one then, just like what Jesus said when He was on earth, He said, "You build the tombs of the prophets, and your fathers put them in there."
50 Now, my people are Catholic, as you know, being an Irishman. Now, we... Now, they--they talk about Saint Patrick; the Catholics claim him. Why, he's just about as much Catholic as I am. They talk about Joan of Arc. They burnt that girl to the stake for a witch (We all know that.), because she was spiritual and seen visions. 'Course, a couple a hundred years later, they dug up them priests' body, and done penance, and throwed them in the river. But that ain't what it takes. See?
They always miss it. Man is forever praising God for what He did do, looking forward for what He will be, and ignoring what He's doing. That's just the nature of man. And he hasn't changed his nature, the man of the world.
52 So we find that our Message is today, the Message that we have of, "Come out of Babylon, and be free, and--and be filled with the Spirit, and your lamps trimmed and clear, and look up, our redemption's drawing near," we--these things are foreign to many people who breathe and call our lovely Lord's Name.
But yet in the midst of all that, we don't have nothing against those people, those denominational people. They're all right; they're fine. They're our--they're our associates in the Gospel, because Jesus said, "No man can come to Me except My Father draws him. And--and all the Father hath given Me, they will come."
So we're only responsible for sowing Seeds. Some fell by the wayside, some different kinds of ground; some fell over and brought a hundredfold. So we are just Seed sowers. God is the One Who directs It when It's falling. And now, we pray that maybe, this morning there'd be a little Seed drop along somewhere, that might encourage someone. And just as a--a--a man...
55 And to finish my testimony concerning the little lady that I was going to speak of, this lady brought this little baby, a little boy, I guess, about ten, twelve years old, and maybe not that old, 'cause this woman was packing him. And she handed him over. And just then, while I was offering prayer for the child, the little fellow jumped out of my arms and went running down the platform, of about thirty-five hundred or four thousand people. And when they did, first thing they ever seen done, the mother, setting on the front seat, just fainted and pitched over. And a little Amish girl...
Are you acquainted with the Amish? I don't know whether you have them out here: long hair, they're very sweet people, and very clean and nice type. You know, in all the Mennonites, or Amish, and so forth, we've not got one record of a juvenile delinquent. Call them funny if you want to, but we--we got something lacking in our homes, that they have. They haven't one record in the courts of a--of a juvenile misbehavior coming among them. They bring up their children just in one way, and that's the way they go.
57 And this young lady was a famous pianist, a beautiful young woman, and long, blond hair fixed up in the back. And when she looked across... Now, she was Amish; she knowed nothing about Pentecost, and neither did I. But when she looked across the platform, and seen that little boy going, walking across there, she threw up her hands in the air.
Now, I know there's fanaticism, and I hope I'm not prone. I--I'm not a liar. And I--I'm not... If I'm wrong, I--I'm not willfully wrong; I'm ignorantly wrong.
But that girl threw her hands in the air, and that hair fell down across her shoulders, and she started singing in a unknown tongue. And she was playing that hymn, "The Great Physician now is near, the sympathizing Jesus." And when she jumped up from there... I know this sounds very strange now. But this girl had never knowed nothing about speaking in tongues, but she was singing in an unknown tongue, "The Great Physician now is near, the sympathizing Jesus." And that piano continually played, "The Great Physician now is near, the sympathizing Jesus." Well, they piled them altars, and down through the balcony, into the floor, people screaming. That girl standing over there, with her face up like that, speaking in other tongues; and the piano the ivory keys still moving:
The Great Physician now is near,
The sympathizing Jesus,
He speaks the drooping hearts to cheer,
No other Name but Jesus!
60 Oh, it's... "Eye has not seen, and ear has not heard, what's in store for us." You know what I think? Why would--why would we ever accept a substitute or just something that's a make-belief, when the heavens is full of the genuine, the real power of God, that can set a soul free, that can do something for us? God bless you. Now, there's so many things.
I never told you where to get this book. See? Post Office Box 325, at Jeffersonville. And if you'd write, why, they'd send it to you. Or, either, visit one of the meetings; they'll be giving them away.
Now, I am very grateful for this fine time of fellowship. And this morning I was thinking about a little story I used to tell at the Christian Business Men, about Zacchaeus. Many of you has heard me tell it, about how that this little fellow didn't believe in this discernment, and--of the Lord. 'Course, I guess, as we have in every age, you see a genuine, then you see an impersonations. And we just have to put up with that. But good, solid thinkers and Scriptural men understand. See? Which, we, and no matter...
63 When Mrs. Aimee Semple McPherson, when she was here on earth in her ministry, they say that pretty near every woman preacher wore those wings like, you know, or gowns like that, and packed the Bible.
Just look at the Billy Graham's is in the land today. But, you know, Billy Graham could never take your place. I--I couldn't take Billy's place; he couldn't take mine. I can't take yours, and you can't take mine. You're an individual in God. God made you the way you are for some purpose. If we would just find our place, and then abide there. If we try to do something different, then (See?) we're--we're in somebody else's territory, which we just gaum up the picture of God.
We take like Billy Graham in the denominational world today, as he's, if we'd call it maybe to the football player; he's got the ball.
Now, if you try to take the ball away from your own man, you're just messing up your team. Guard your man. See? Keep guarding him, keep the rest of them so he can make the run. And we'll have the touchdown after while, and Jesus will come, and then it'll all be over. The Lord bless you.
67 Now, I'm going to the saying about this man Zacchaeus. And I had him up in this tree, you know, with leaves all pulled around him. And then when he come down out of the tree, he went home with Jesus. And I said, "He became a member of the Full Gospel Business Men chapter." So if there's any Zacchaeus's here, this morning, I hope that you take that good advice and become a member of the Full Gospel Business Men.
You say, "Full Gospel?" Yes, sir.
That's the only thing Jesus would've preached, you know, would've been the full Gospel. That's right. Isn't that right? Sure, for He was the full Gospel. That's right. He couldn't deny Himself.
69 But now, I have a few Scriptures wrote out here, of a little, common little text; it won't take me but just a few minutes, if you'll suffer with me. And before we do this... Now, in our little fellowship of get-together, and talking about the hands of the bear in the bucket, and so forth, now let's just brush aside all of this now, and just think we're getting acquainted. And--and we're--want now to enter into the deep part of the Word.
Let us bow our heads now, as we approach It. 'Cause we have no right to approach the Word without speaking to the Author first.
With our heads bowed, our eyes closed, and I trust that our hearts are bowed with our head. I wonder, while I raise my eyes and look over the audience, if there would be someone here would say, in raising their hands, "Brother, minister, remember me in prayer. I--I'm needy today"? God bless you. God bless you. Now, He sees your hand. He knows what's beneath your hand in your heart. May He grant it, is my prayer.
72 Dear God, as we are grateful for this building that we, Your humble children, can assemble ourselves together under here, and just talk and have fellowship, just to be ourselves, as we yield ourselves to Christ, and desire to become more like Him... We are ministering brothers setting near, Lord, men who are far more capable of standing here to deliver this Word than I, Your unworthy servant; but it has fallen my lot. And, Father, I pray, today, that if I might say something that would not be just according to the will of God, that before I say it, You'd close my mouth, like You did the lions' mouths one day so they wouldn't bother Daniel.
And, Father, we ask You now to remember each and every one, every minister. And this revival that's going on here in the city, Lord, down to the Assemblies of God, I pray, dear God, that You'll send such a revival in there that this whole city will be stirred by the power of God, that all these barrooms and wandering children around on the street will be brought to the throne of God, and be filled with His goodness and with His Spirit. Grant it, heavenly Father.
74 And we pray that today, that if there be man or woman, boy or girl, that's been brought into this meeting this morning, here under the shelter from the snow, that the great Holy Spirit will visit their heart and speak to them in a mysterious way. Maybe some that's wandered away, that once entertained You, Lord, but now has gone away; bring them back, Lord, this morning.
And we pray for this chapter, for Brother Earl and for his wife, and for the others. Grant it, Lord.
Now, break to us the Bread of Life, as we open back the pages of the Word, because we know the Bible is of no private interpretation. But God doesn't need us to interpret His Word; He's His Own interpreter. He said one day, "Let there be light," and there was light. He said, "A virgin shall conceive," and she did. "And in the last days I'll pour out My Spirit upon all flesh"; no matter what the world said, He did it. He needs no interpreter. He interprets His own Words by making It live and vindicating It to be so. Come to our hearts, Lord Jesus, and interpret to us today the things we have need of. We ask it in Jesus' Name. Amen.
77 Now, in the Bible, if you will turn. I believe I've never had a message that I tried to undertake to speak on, that I never first read the Word. Because my word will fail; I'm a man. But His Word just can't fail; He's God. So let's turn now for just a little text, and we're going to be out just in--just about thirty, forty minutes, the Lord willing.
On Revelations now, we wish to turn to the 3rd chapter of Revelations, begin with the 14th verse. And we want to read just a--the portion, it's a message to the Laodicea church age. And I believe, and I--I suppose most all Spirit-filled people and Bible readers believe, could say 'amen' to that, that we are in the Laodicea church age, 'cause that's the last age. Listen to the message of the condition of the church at this time.
And to the angel of the church of... Laodicea write; These things saith the Amen, the faithful and true witness, the beginning of the creation of God;
I know thy works,... thou art neither cold nor hot: I would that thou wert cold or hot.
So then because thou art lukewarm, and neither cold nor hot, I will spue thee out of my mouth.
Because thou sayest, I am rich, and increased with goods, and have need of nothing; and knowest thou not that thou art wretched,... miserable,... poor,... blind, and naked:
I counsel thee to buy of me gold tried in... fire, that thou mayest be rich; and white raiment, that thou mayest be clothed, and that thy shame of thy nakedness do not appear; and anoint thine eyes with eyesalve, that thou mayest see.
As many as I love, I rebuke and chasten: be zealous therefore, and repent.
Behold, I stand at the door, and knock: if any man hear my voice, and open the door, I will come in to him, and will sup with him, and he with me.
To him that overcometh will I grant to sit with me in my throne, even as I also overcome, and am set down with my Father in his throne.
He that has an ear, let him hear what the Spirit saith unto the churches.
79 The Lord bless the reading of this Word. Now, I want to take for just a few moments, a little text, called, "Doors in Door," "Doors in Door." Now, this is a very... "Doors in Door," is three words. "Doors in Door."
You might say to me a..., "Brother, there's probably a hundred people here. There... Don't you think that's kind of a small text, when you have before you a hundred souls?"
Well, that--that may be true, the--the text is small. But it isn't the size of the text that--that counts, it's what it is. It's--it's what the text says that counts.
82 Like, I believe it was in Louisville, Kentucky, some time ago, a--a little boy was up in the attic, fooling around with some old trunks up in the garret, and he run onto an old fashion postage stamp. Well, the first thing in his mind, he might get an ice cream cone for that. There was a collector down the street, so he took off down the street, just as hard as he could go. And said, "What will you give me for this stamp?"
The collector looked it over, and it was kind of faded out. He said, "I'll give you a dollar."
My, that was easy sold. He would have let it went for a nickel, and then been happy for it to get an ice cream, but it was sold for a dollar. The collector sold it for five hundred dollars. And later, I don't know just where it did go; it went into the hundreds of dollars. You see, the little piece of paper wasn't very much, just a piece that you wouldn't pick up off the floor. But it wasn't the paper that counted; it's what's on the paper that counts.
And that's the way it is with reading God's Word. It isn't just the paper, the value of the paper, or the size of the paper; it's what's wrote on that paper. And one word is enough to save a world, if it'd be received that way.
86 Sometime ago there was... I read a story of a--in the days of our noble... One of the greatest Presidents I think the nation ever had was--was Lincoln. Not because that he come from Kentucky, but because he was a great man. He was deprived of an education, but yet was--was something in his heart, some purpose.
I--I like a man of vision. I like people that's got something they're fighting for, just not just lay around, "Well, ever what comes along will be all right." Oh, be up and at it. And Lincoln never let his education stand in the way; he had something to do. I think every Christian ought to be that way; find your purpose and go do it.
Every member of this chapter, just not, "Well, we have a breakfast once a month," that isn't it, "or once every Saturday." Have a purpose in life, something you're going to do. Let's... God has placed you here; do something about it, every member of every church. There's a revival in town. That revival's there for a purpose. Let's get something out of it. Let's do something about it.
89 Mr. Lincoln... There was a man that--a young fellow, he--he was in the war, and--and he was--he was coward to begin with. And in the time of duty he--he--he withdrew from his post; and they found something against him, that he was going to have to be shot. And, oh, he... It was terrible. And one young fellow loved him so well went to Mr. Lincoln to get a pardon. He was President at the time in the United States here, and so he went to him for a pardon. And he said to him, as he was getting out of his carriage; and Mr. Lincoln, a tall, bearded, typical southern, skinny. And he said, "Mr. Lincoln, there is a boy that's going to die in two days from now, be shot, because that he run in time of battle." And he said, "Mr. Lincoln, the boy isn't a bad boy. But all those muskets a-firing, and--and people dying, he was nervous. And he was so upset that he--he threw up his hands and started screaming. He run." Said, "I knowed the boy." Said, "Mr. Lincoln, only your name on this piece of paper can spare him. Will you do it?"
'Course, this Christian gentleman, quickly signed the paper, "Pardoned, So-and-so." Signed his name, "Abraham Lincoln, President of the United States."
92 Went the messenger back as hard as he could. And he run to the cell; he said, "You're free. You're free. Here's Mr. Lincoln's, Mr. Lincoln's signature. You're free."
He said, "Why would you come to mock me, knowing that I die tomorrow?" He said, "Take that away from here; you're only mocking me." And he would not receive it. He said, "No, I--I don't want it." Said, "You're only making..." Said, "If that was the--the President," said, "it would have the--the coat of arms, and it would have his right paper."
He said, "But it's his signature."
He said, "How will I know his signature?" He said, "You're just mocking me; you're trying to make me feel good." And he just started screaming, turned his back. The boy was shot the next morning.
Then after the boy being dead, and the President's name on this piece of paper that he was pardoned, then what? And they tried it in the federal court. And here was the decision of our federal courts, which is the ultimate of all of our courts. What they say sometimes, we don't like their decision, but we have to abide by it anyhow (See?), because that's the tie post. That's the ultimate. Now, it said this decision, "A pardon is not a pardon unless it be received as a pardon."
And that's the way the Word of God is. It's a pardon if It be received as a pardon. And It's the Word of God; It's the power of God to those who will believe It and accept It.
No matter, you're looking at It, and you say, "Oh, that's been tangled up; there's been a million translations, and all that." It might be that to someone.
But to me, It's still the Word of God, Jesus Christ the same yesterday, today, and forever. He's duty bound to stay by that Word.
99 Now, He's got to judge the church someday. And if He judges it by the Catholic church, which they say He will, then which one of the Catholic churches will He judge it by? They different one from the other. If He judges it by the Methodist's, you Baptists are gone. If He judges it by the Pentecostal's, the rest of you is gone.
But He won't judge it by the church. The Bible said He'll judge the world by Jesus Christ, and Christ is the Word. So you see we're without excuse; it's the Word of God that He judges; so no matter how small, one word significance to This, said Revelation 22:18...
101 First, I'll begin in Genesis. God gave the human race His Word to fortify themselves from death, sin, and sorrow, or any disaster: a chain, of His Word. "Thou shalt not touch this certain tree, for the day you eat thereof, that day you die." And a chain is only its best at its weakest link. And our souls are pulled over hell, holding to this chain; break one of them, that's all you have to do. Eve never broke a sentence; she broke a Word, by Satan. That was the first of the Book.
In the middle of the Book come Jesus and said, "Man shall not live by bread alone, but by every Word," not part of them, just one here and there, but every Word that proceedeth out of the mouth of God.
103 When He was dead, resurrected, and went into heaven, and returned back, and gave John... Which He said there after His resurrection, said, "What if..." Said, "What will happen to this man?"
Jesus said, "What is it to you if he continues till I come? Knowing not exactly his life would, but his ministry would continue. And He lifted him up, in the 4th chapter of Revelations, and showed him all the things that was to come, that we live in, even to this text today.
And then on the 22nd chapter, the last chapter, the 18th verse, He said, "Whosoever shall take one Word out of this Book, or add one word to It, his part will be taken from the Book of Life." See? So we believe that man lives by every Word of God. I believe it and I know it's true. How little, it doesn't matter. It just takes one word to do it.
106 Thinking about how little, insignificant, seeing that many of my Canadian friends setting here. I remember I was in Canada when the King George, the one I had the privilege of going praying for, when he was healed, with that multiple sclerosis; he was suffering that day from the sclerosis, and also he had a stomach trouble, a ulcer; as many of you Canadians know, and Americans also. But seeing him pass down through there, setting in that carriage, he--he was a king. He conducted himself as a king. His beautiful queen setting by him in her blue dress, and as he come down the streets...
And a friend of mine and I were standing together. And when that carriage passed by, he just turned his head and started crying. I put my hand upon his shoulder, and I said, "What's the matter?"
He said, "Brother Branham, there goes my king and his queen." Well, I--I could appreciate that.
So I thought, "If a Canadian, under the government head, not government head, but still also a government head of England, and passing the king by, it could make a Canadian cry, and turn his head and weep, what will it be when we see our King?" And to think of it, our part will be the Queen.
110 Then the children was all turned out from the schools, the little children; they was given a little British flag. The Canadian flag is called something else. Brother Fred, what's the Canadian flag called? [Brother Fred Sothmann says, "Union Jack."--Ed.] Union Jack. But they give them a little British flag to wave. And when the king passed by, all the little fellows stood out, waving their--their little flag, and screaming to the king. And--and there were bands a-playing, "God Save The King," as he marched through the street.
Oh, if you could just get a... You'd get a view of what's going to be at that resurrection there.
112 And when they was instructed, the little fellows to return back to school as soon as the--the parade was over. And the little fellows going back, one school missed a little girl. And they went everywhere to find the little fellow, up-and-down the streets. And, finally, behind a telegraph pole, stood the little, bitty, tiny, dwarf girl, just a-crying her little heart out.
Well, the teacher picked her up and... [Blank.spot.on.tape--Ed.] "What's the matter? Did you not see the king?"
She said, "Yes, I saw the king."
Said, "Did--did you not wave your flag?"
She said, "Yes, I--I waved my flag."
She said, "Well, then, why are you crying?"
She said, "You see, teacher, I am so little, the others was standing in the front of me; they were bigger. And I waved my flag, but he didn't see it." And she was disturbed about it. Well, that might be that King George did not see that little fellow in statue. He might not have seen her patriotic heart, and how she felt towards him. She was too short.
115 But it isn't so with our King. Oh, the least little thing we do, He sees it. And He knows the very things and thoughts that's in our hearts, whatever we do, what little it is. And how do we serve Him? As we serve each other. If I don't love you, how can I love Him? See? "Insomuch as you've done unto these My little ones, you have done it unto Me." See?
It's the--it's the little things that we leave undone sometime, that breaks the whole chain (You see?), and lets us go free, just denominational-minded, and forget about these little things that really are the--the essential things. Everything, every Word of God is essential. None of It can be left out. We've got to take every Word of It, just the way It was wrote.
117 "I stand at the door," said Jesus in this Laodicea age, "and knock." Did you notice, the only church age that He was put out of His church? All the other church ages, He was inside the church. Through the Methodists, and Lutherans, and so forth, He was on the inside, church. But here He's outside; our creeds and things had run Him out of the church. But He's standing out there still knocking, "He that will hear and open the door, I'll come in with him, sup with them, and give him healing for his eyes, and--and clothes, and give him the riches of heaven; he that will hear Me knock."
I thought I could think of the name of that artist that drawed that picture, painted a picture, rather, of at the door. When he... You know, all great pictures first must go through the line, or, the hall of critics, before it can be hung in the hall of fame. That original painting now would run millions of dollars.
119 But, see, it's like the church has to pass through the hall of critics. We go through. You're going to be called "holy-roller," you're going to be called everything. But if you could only hold your position in Christ, then someday He'll take us to the hall of fame. But first we've got to stand criticism. There's where the littleness of us stands; there's where it shows. He that cannot stand chastisement is a illegitimate child and not a child of God. No matter how much he's joined church, and whatever he's done, he's still, if he cannot stand chastisement, he's a illegitimate, and he's not a real child of God. But a real, genuine child of God don't care what the world says; everything else is secondary. He's got his mind on Christ, and that settles it. Yes. Whatever Christ says do, he'll do it. Wherever the Lamb goes, they're with Him, wherever. And then you see His appearing, His Presence, and what He does. He's always with His people, His Bride. He's courting her. Someday there's going to be a wedding supper.
120 And this artist, however, when it went through the critics, a bunch of critics gathered around this artist. I can't think of his name. I'm trying to think of Michelangelo, but he was the sculptor of Moses' monument. But I can't think of his name. But, however, he said, "Your picture is outstanding," said, "I have nothing that I could say against the picture." He said, "Because He's holding a lantern in His hand; it shows that He comes to the--in the darkest of night." He said, "And then He's at the door, with His head, His ear, so he won't be--be sure not to miss the faintest call. He has His ear turned to the door, and He's rapping at the door." He said, "But, you know, sir, there's one thing that you forgot in your picture."
And the artist, taken him a lifetime to paint it; he said, "What is that that I have forgotten, sir?"
He said, "No matter how much that He knocked (See?), you forgot to put a latch on it. There's no latch on the door." If you'll notice the door, there's no latch on it.
"Oh," said the artist, "I painted it thus. You see, sir," he said, "the latch is on the inside. You're the one that opens the door. You open the door."
124 Oh, what does a man knock on a man's door for? He's trying to gain entrance. He's trying to get in. He's perhaps got something he wants to tell you or talk over with you. He's got a message for you. And that's the reason people knock at one another's door. They've got some reason to do it. There cannot be that happen without some reason. You would not go to a man's house unless there's some reason to go; if nothing else to visit, take him a message, or some...?... There's some reason for a man to go knock on another man's door.
Wherever there's a question, there has got to be an answer. There could not be a question without an answer. So that's what we look for in the Bible, these questions of the day; the Bible has the answer. And Christ is that Answer.
126 Now, many important people have knocked at doors down through the time of life, and many knocked in times passed; and there probably times keep on, there'd be many more important people.
Now, the first thing, perhaps, if somebody knocked at your door, if you could, you'd slip around and pull back the curtain, see who's there.
If you're busy, as we claim we are today, "Too busy to go to church; too busy to do this. And, you know, my church don't believe in that kind of stuff." And I... See, we're just a little out of cater, sometimes, from the Word.
But you pull back the curtain, then you want to see who's standing there. And if it's a man of importance, quickly you run to the door.
130 Now, let's go back just a little bit and take a few people that's knocked. Let's go back and think of Pharaoh in Egypt, many hundreds of years ago. What if--if Pharaoh, king of Egypt, came down to a peasant's house? And this peasant had been kind of, oh, disagreeable with Pharaoh, and he didn't believe his policies, and he different with him. And--and, but here stands Pharaoh, standing at the door of a--a brick mason or a mud dauber, as we'd call them, down in Egypt. And he pulls his curtain back, and there stands the mighty Pharaoh at the door. And he's knocking, smile on his face. [Brother Branham knocks on something--Ed.] Why, that peasant would open the door, and say, "Enter, great Pharaoh, may your humble servant find grace in your sight. If there's anything within my walls, I am as much as a slave to you, Pharaoh. You've honored me above my brethren. You've come to my house, and I'm a poor man. You only visit kings and--and nobles, and important people. And I'm of unimportance. But you--you visit me; you've honored me, Pharaoh. What is it thy humble servant could do?" No matter what Pharaoh would ask, even to his life, he'd give it. Sure. It's an honor.
131 Or say for instance, the late Adolf Hitler, when he was Fuehrer of Germany. What if he'd have went down to a soldier's house? And that bunch of little Nazi soldiers all camped around, and, the first thing you know, why, somebody knocked at the door. And the little soldier said, "Ah, I feel bad this morning. Wife, tell them to go away."
And she slipped over to the door and pulled the curtain back. She said, "Husband, husband, jump up, quick."
"What's the matter? Who's standing there?"
"Hitler, the Fuehrer of Germany." Oh, my.
That little soldier jumped back, got his clothes on, quick, and stood at attention. Walked up there at the door, knocked the door--and opened up the door, and said, "Heil Hitler." See, he was a great man, his days in Germany. "What is it could I do?"
If he had said, "Go jump off the cliff out there," he'd a-done it. Why? There's no more... There's not a greater important man in Germany, in the days of the Nazis, than Adolf Hitler was. He was a great man. And he... And what honor, when he only visits generals and great men, but here he is at a little footman's door. Oh, it would certainly been a great honor to him.
135 Well, now, what of Flagstaff? We'll bring it closer to home. What if this afternoon, that--that our President, Mr. Johnson, L. B. Johnson, what if he would've get off of a plane, out here somewhere? And now we are all just in one class of people. We're all poor. Maybe one has a little better job, maybe a little better house, but, after all, we're just human. But what if he come down to your house down here, maybe the humblest of us, and he knocked at the door; and you went to the door, and there stood President L. B. Johnson? Why, it would be a great honor. You might differ with him in politics. But you'd be an honored man to have the President of the United States stand at your door. Who are you or who am I? And there stands Lyndon Johnson at your door. Though you might be a Socialist or Republican, or different with him a million miles, but yet it would be an honor.
136 And you know what? Because that you were granted this honor, why, the television would throw it on the screen tonight. Sure. The mid newspapers tomorrow would have headlines in it, in here in the Flagstaff paper, that, "John Doe... The President of the United States flew into Flagstaff yesterday, uncalled for, and just went down, without even invitation, and knocked at your door." Humble, that President would have a name of being a humble man, as great as he is to come to mine or your door; we're nobody, then come down and talked to us.
Why, you'd walk down the street, and say, "Yes, I'm the fellow. The President visited me."
"Stand still, let me get your--get your profile. Look straight at me. Now, how do you look when you walk away?" You'd be an important person. Sure.
139 What if the queen of England would come, though you're not under her dominion? But it'd be an honor for some of you women to entertain the queen of England, though you're not under her domain. But, yet she's a great person; she's the greatest queen in the world at this time. Certainly, she is; that's political speaking. But if she asked you for some little trinket on your wall, that you valued ever so high, you'd give it to her. It'd be an honor for you to do it. Sure, she's the queen of England.
And you'd be honored by the President. And everybody would talk about the humility of the queen of England, flying over to see a certain woman in Flagstaff, a little nobody. And the papers would pack it, and the news would flash it.
141 But, you know, the most important Person of all times, Jesus Christ, knocks at our door. And He's turned away, more than all the kings and potentates there ever was. That's right. And you might accept Him and go out and say something about it, the outside world would laugh in your face. No news is going to...
Who could come to your house, any greater than Jesus Christ? Who could knock at your door, greater than Jesus Christ? Who could do that? The Son of God, Who could knock at your house, who would be more important? And yet He knocks day after day. And if you even accept Him, you're called a fanatic. So see how the world knows its own? That's right. But now He wouldn't come unless He had a reason to come.
And do you think the humility of President Johnson, or the queen of England, or any great person, how it would be displayed, of the humility of that great important person to knock at your door.
How about the humility of the Son of God? Who are we but sinners, filthy, born in sin, shaped in iniquity, come to the world speaking lies? Then the Son of God will come and knock at our door.
145 Now, the queen of England might ask you a favor. She might take something from you. So might the President, he might ask you to do things that you didn't want to do. He might ask you for treasures that you didn't want to give up, and which would mean nothing, just to him.
But Jesus is bringing something to you when He knocks. He's bringing a pardon. Don't turn it down. Or as it was tried in our courts here, so will it be in the Kingdom of heaven. If He knocked and brought the pardon, and you turned it down, and die in your sins, you'll perish, though you had the honor of setting in a meeting like this, though you had the honor attending the revival, or your church, and heared your pastor preach a Gospel message. And you had the...?... say, "Yes, I was there." Maybe, you, hard to tell what all you could say. "I heard the singing. I enjoyed it. I heard the testimonies. It was real." But you turned it down.
147 What if I was a young man and found a young lady; she was beautiful, she was a Christian? She'd make... She was every qualifi... [Blank.spot.on.tape--Ed.] You can't find no fault with it, but you've got to lay aside traditions of men. You say, "Oh, I believe That's right. I see God said." But you've got to accept it. You... Then that woman becomes part of me. Then you become part of the Word, which is the Bride. If He is the Word, the Bride will be a Bride-Word. See, certainly will. See, you've got to accept It. You would... You could say what you want to; you could brag about the President; but usually when Jesus' turn comes to our door, we just turn Him aside. See, just we don't want nothing to do with Him. We say, "Well, some other day."
148 What if you knocked at somebody's door? Now, let's just turn the picture right around for a minute. What if you went and knocked on somebody's door, and you had something for them? And, after all, they were to you about like you'd be to God; well, if you do, why, all right, but you got no strings tied. So when you knocked on somebody's door, and they peeped out the window, and shut the curtain; or either come to the door, and say, "Some other time..."
"Well, I'd like..."
"I ain't got time this morning." You know what you'd do? Probably the same thing I'd do, and the rest of them, you wouldn't go back any more.
But not Jesus. "I stand and knock," continually knock. [Brother Branham continues to knock--Ed.] See? "He that seeketh (not seek--seeketh); he that knocketh (Not knock is a continuation-- knocketh. See?)... He that seeketh, he that knocketh, it shall..." Not just...
151 Like the parable of the unjust judge. The woman went and wanted avenge--revenge, but she couldn't get it. He... Continually she knocked and pleaded. And she said... "Just to get rid of her, I'll avenge her enemy."
How much more will the heavenly Father? It ought to be us knocking at His door. It ought to have been Adam running up-and-down the garden, hollering, "Father, Father, where are You?" But instead, instead of that, it was God running up-and-down the garden, "Son, son, where are you?" See, that just displays what we are. We're always hiding, instead of coming right out and confessing it. We try to run, hide behind something. That's just the nature of man; we have it that way. Yes, sir.
You would give these people the best you had, everything. But you wouldn't, you--you--you wouldn't accept Jesus. I ain't meaning you, but I mean the people here.
154 Or maybe you might say this; you may say, "Preacher, I just did that. I--I--I just opened my heart and let Jesus come in. I did that ten years ago. I did that twenty years ago." Well, that may be just exactly right, but is that all you done? See?
I want to ask you now. If you would invite anybody in your house, and then when you got inside the door... Somebody invited you in, rather, say, "Come in."
"Yes, I have a purpose; I'll go out of town and be honored. You see?" That's the way a lot of people accept Christ. "I'll... I--I belong to the church. I belong to the big So-and-so place down here, where Doctor Ph. LL. belongs, you know. And it's the biggest church. The mayor goes there, and everything, you know. I--I belong to that church." They let him in, just that much. "Yeah, I'll accept Him," (See?), for a personal gain.
157 But what then when Jesus comes into the heart? Many people accept Him 'cause they don't want to go to hell. But when Jesus comes into your heart, He wants to be Lord, not just a Saviour; but Lord also. Lord is "rulership." He comes in to--to take over.
Now, you say, "Is that right, Brother Branham?" Sure.
What if--if I invited you at my house, and you come in the door? And you knocked at the door, and I looked outside; I said, "Yes, come on in. If you can help me, well, you do so. But now, when you come in, now, I don't want you meddling around in my house. You stand right there at the door."
You remember, our text is doors inside the door. Now, inside the human heart there's many little doors, and them little doors covers up a lot of things. Just to let Him in, that isn't all of it, when He comes in.
160 When I come in your house, if you welcome me in the door, why, if you'd say, "Come in, Brother Branham. I'm so glad to see you."
I'd say, "Well, it's a privilege for me to come into your house."
"Oh, won't you come over and set down? Brother Branham, go through our house; make yourself at home." Oh, my.
I'd go over to the refrigerator, get me one of those great big sandwiches, about like that, take off my shoes, and go in the bedroom, lay down. And I'd just have a--a real gastronomical jubilee. See? Why? Because I felt welcome. You made me welcome. Therefore I'd appreciate it if you made me welcome.
164 But if I went in your house, and you told me, "You stand there at the door, now; don't you go to meddling around." I wouldn't feel too welcome. Would you? No. See? You wouldn't feel welcome. Somebody invited you in, and said, "Now, wait. Yeah, come in, but stand right there."
Now, there is a little door when you're into the human heart. We'll just speak of a couple of them. See? We don't have time to go through all these doors, 'cause there is lots of them. See? But, say, the next ten minutes, let's speak of a couple, three doors.
Now, on the right hand side of the human heart, when you walk into the door, there's a little door on the right side, and that's called in there, the door of pride. Oh, my. "Don't You go to entering that door." They don't want the Lord in there on that door; that's pride. "I'm a blue blood. I take care. Oh, yes, now look, I tell You, I-I..." See, it's pride. "Don't You meddle in there." Now, He can't feel welcome as long as you keep that pride door shut.
167 He's got to humiliate you. See, that's what He comes in for. "You mean to tell me I have to go down there and--and act like the rest?" Well, you don't have to; that's one thing sure. "Well, I'll tell you, what do you think I'd do when I went to the business council the next time? What would I do if I met with my--my employer tomorrow? And that, I'd have to get that Spirit on me, and I'd jump up there in the middle of my work, and go to speaking in tongues, oh, that would humiliate me. No, stay out of there."
Oh, there you are. See? Yeah, you'll let Jesus come in; you'll join church and put your name on, accept Jesus as your Saviour; but what about being your Lord, when He's got full sway? When He's Lord, He's got--it all belongs to Him (See?), you, you're completely surrendered to Him now.
169 But that little pride. "Oh, you mean, for us women, we're going to have to let our hair grow?" Well, that's what He said. "We're going to have to quit wearing manicure, or makeup stuff?" That's what He said. "Well, what do you think my sewing circle would? They'd call me old fashion." Well, just keep your pride. Go ahead. He'll stand at the door; that's all the farther He can get.
But when you're ready to open that door, let Him come in; He'll clean it out for you. Shorts will go out here in the garbage can, and makeup will go back to the garbage can, and the barber will starve to death if he just cut women's hair to a real believer.
Now, say, "That don't..." Oh, yes, It does too. That's what the Bible said. That's right. See, there's a little word there, that you don't want Him meddling...
"Well, my pastor..."
I don't care what pastor said. That's what the Bible said, "It's a shame for a woman to do so."
"Well," you say, "we ought to teach us things, Brother Branham, is how to get the Holy Ghost, and how to be this, that." How you going to learn algebra if you don't know your abc's? Don't know even how to act like, look like one, dress like one... It's a shame to see these women on the street today.
174 I went into a place yesterday, when, oh, some of the perverted gang come in. They... The men had hair in their eyes, come down and hung down on their back, and like legotards, like little kids wear to school, with great big old shoes on, mouth half open. You can tell they were delinquents. And walked in there like that, say, "We're French."
Who in the world would hire a man like that in his business? How will they make a living. And I seen a couple of real boys setting over there... They come from that university down there, these beatniks did, or I believe they call themself bugs or beatles, or something now like that, some of that stuff coming from England. And then in there like that, who would hire a man like that to work for him? Would you put a man like that in your business, you businessmen? If you would, you're--there's something, you ain't got close enough to the cross yet.
176 Look at these women out on the street, and it's a disgrace. Maybe innocent little women with these little bitty clothes on (See?), why, it's a disgrace, the way they look. Well, you say, "Why, woman, you are committing adultery."
They say, "Wait a minute here, young man. I'm just as virtuous as I..." That might be so in your own thoughts. And it might be so, proving even by a medical examination that you might be.
But, remember, at the day of the judgment, you're going to answer for committing adultery. Jesus said, "Whosoever looketh upon a women to lust after her hath committed adultery with her already in his heart," and you presented yourself to him. See how the Devil's got them blinded? It's a disgrace. It's a shame. You see, they--they got a spirit. It's a spirit that does that. It's an unholy spirit.
But a genuine Holy Spirit will make a woman dress decently and look holy.
180 My wife said to me, one time. We was going down the street, and we found a woman with a dress on back in our country. It was a very strange thing (See?): not too many Pentecostals back there. So we find out she had a dress on. And she said, "Billy," said, "I know some of them women. They sing in choirs down here at these churches."
I said, "Sure."
Said, "Well, and them claim to be Christians?"
I said, "Honey, look. See, we're not..."
Said, "Why do our people?"
I said, "Look, honey, we are not of their--their--their race at all."
She said, "What?" Said, "They're Americans."
I said, "Yeah, but we're not."
She said, "We're not?"
I said, "No."
I said, "When I go in Germany, I find a spirit of Germany. When I went in Finland..." At the sauna up there, many of you Finnish know, the women give the men the baths. So that's just a Finnish spirit. Mighty fine people, but, you find, wherever you go, you find a national spirit.
182 You go into a church and watch the pastor, if he's real wild and carries on, the congregation will be the same. See? They take the spirit of one another instead of the Holy Spirit.
That's the reason we got so much perverted teaching of the Bible. Instead of coming back to the blueprint, they take the spirit of some denomination. See? don't... The Word's just as foreign to them as It was in the days when Jesus come forth, introducing the real true Gospel. They said, "He's a devil. He's Beelzebub." See? But there you get it.
And she said, "Well, if then we're not Americans, what are we?"
I said, "Our kingdom is of above." See, we are free born again. The Kingdom of God is within you. See? Act like up There; you're delegates from There. I said, "We're citizens here, living here in the flesh. But our spirits, we are pilgrims and strangers." We are foreign to the world now, even our own nation, for we have accepted the invitation when it knocked at our heart to become part of Him, His Word. And the Word fixes us, makes us live and makes us act like Christians.
186 Sometime ago, in the South, a little story. There was a king--or, buyer. They sold slaves. That was in time of--of segregation, and they had slaves in the south. They was a... They'd go by and buy them, just like you would a used car off of a lot.
Now, I am an integrationist, absolutely... I mean a segregationalist. I am a segregationalist. Because I don't care how much they argue, you cannot be a Christian and be an integrationist. That's exactly right. God even separates His nations. He separates His people. "Come out from among them." He's a... He is a segregationalist. "Don't even... Touch not their unclean things." He pulled Israel, that Jewish race, out of every, all the races in the world. He is a segregationalist.
But I don't believe that any man is to be a slave. God made man; man made slaves. I don't believe one should rule over other, any race, color, or anything.
But there is a segregation, the Bride of Christ is segregated from the rest of the churches; that's exactly right: church natural, and the church spiritual; church carnal, the church the Word. It always has been. "Jesus came to His own, His own received Him not; but as many as received Him..."
190 So this--there used to be buyers, brokers go by and buy these slaves. One time there was one come to a great plantation, and he watched them. The slaves were hard beaten, and everything, you know. They was away from home; they'd never go back again. The Boers, the Hollanders, had went over and got them, brought them here and sold them. And--and they'd never see papa again, mama again, never see their babies again. They bred them with one another; picked a big man, breed him to a big woman, away from his own wife to make bigger slaves. Oh, God will make them answer for that someday. That's right. That isn't right.
191 Like Abraham Lincoln said one time, when he got off a boat there in New Orleans, picked off his stovepipe hat...
He seen three or four little Negroes, coming down, standing there with no shoes on, where they'd... A cow had laid and got--got the frost off the ground, they was standing after running the cows in. Their little old feet bursted, bleeding. They was singing, "You got shoes; I got shoes, and all God's children's got shoes."
When he got off the boat down there, walked up to the bull pen, there was a great big Negro standing up there, whipping him around, testing his heart. And run him up and down the street, with a whip behind him; then check his heart, see if he was all right. His poor little wife standing there, two or three kids under her arms like that; to sell him to breed him to a bigger woman. Old Abraham Lincoln stuck that under his hat--his hat under his arm, like that, and hit his fist; he said, "That's wrong! And someday I'll hit that, if it costs my life." And yonder, in a museum in Chicago, lays a dress with the blood on it that freed that Negro from that.
And I say that sin and things is wrong. God help me to hit it, and all other ministers of the Gospel. We are born free children of God. We have no business for any creed or cult to run us into a World Council of churches. We are free born men in the Holy Ghost. We have a right. We come out of such stuff as that to be Pentecostals. That's right. Now, we are free. We don't have to be bound down to those things again.
195 But this buyer said, looking across his slaves, a hundred or something of them, on a big plantation, he said, "Say." One little fellow there, they didn't have to whip him; had his chest out, his chin up, right on the job. Said, "Say, I want to buy him."
He said, "Oh, no." The owner said, "He's not for sale. Huh-uh."
He said, "Well, is he a slave?"
Said, "Yeah."
He said, "Well--well, what makes him so different?" Said, "Do you feed him different?"
He said, "No, they all eat out there in the galley together."
Said, "Is he the boss over them?"
Said, "No, he's just a slave."
"Well," said, "what makes him different?"
Said, "You know, I wondered that myself." But said, "You know, over in the homeland where they come from, in Africa, that boy's father is the king of the tribe. And though he's an alien, he conducts himself like a king's son."
199 Oh, I thought, what a thing for a Christian young lady and young man. Women, stop that wearing them clothes like that. Men, stop that telling them smutty jokes and all that stuff. We're sons and daughters of the King. Dress like a queen; dress like a--a lady. Act like a gentleman; don't let your hair grow down like this. The Bible said it's wrong (nature teaches you) for a man to have long hair. And it's a disgrace and a common thing for even a woman to pray with her hair cut. And how about these? "It's a--it's an abomination for a woman to put on a garment that pertains to a man." The great unchanging God doesn't change. But yet today it's just as loose as the rest of our nation is, a shame. Let's act like sons and daughters of God. Let's live like it. We are--we are sons of a King. We are--we're rotten...?... this bunch of mess and dirt and filth, around here, people call themselves "Christians" and still acting like that.
But remember, we got a knock one day, and opened Him in, pride and all left. Amen. I don't care what they call me.
Oh, I guess I'm just a little old fashion,
But my Saviour was old fashion too.
Is that right? You've heard the song. Be old fashion. Don't try to pattern after somebody else. He's your Example. Try to be like Him, and the Spirit in you will help you to do that. Make your life like His.
202 Yeah, there's a door there. I want to call another door. I get too wound up. There's another door there, just next to that door, going around the right-hand side, and that door is the door to your private life. Oh. Oh, you don't want Him messing with that. "Now, if I want to go out to a little cocktail party, what is it to you? What church is going to tell me what I'm going to do?" Uh-huh, there you are. See? "A tenth of my wages? Who's going to tell me what to do? That's my own private life. I make this money. I have my own life. I'll wear shorts if I want to. That's my own American privilege." That is true. Sure. Right.
But if you're a lamb and not a goat (See?), lambs is what He's after. They'll be separated someday.
204 A sheep has wool. That's the only thing it has. And it can't manufacture that wool. We're not asked to manufacture the fruit of the Spirit, but to bear the fruit of the Spirit. And as long as it's a sheep, it'll bear. It don't have to manufacture. The glands and everything in it is sheep; it'll make wool because the inside of him has the glands and the adrenalin and stuff it takes to make wool.
And when you're a Christian, you'll cope with the Word. I don't care what anybody else says. You don't have to work up nothing, and bring down nothing, pull, pump up. You're a Christian. You just automatically bear the fruit of the Spirit. See? See, and that's the way it is. See?
206 But, people today, they don't want you fooling with their private life.
Only thing you do, just open up every door around, now say, "Come on in, Jesus." Watch what happens. When you see in the Book, you're supposed to do this, you'll do it. Why? You're a sheep to begin with then.
But if you just want to set, keep Him at the door, just say, "I've joined church. I'm as good as you. (See?) I accepted Christ." Maybe that's just what you done. But did you make Him Lord? See?
209 Now, the Lord cannot set down a Book of rules and say a Word, and then come around and deny It. And if you say you got the Holy Ghost, and the Bible says a certain thing to do, and you say, "Oh, I don't believe that." You just remember, that spirit in you is not the Holy Spirit, 'cause He can't deny Himself. That's right. He can't deny Himself. He wrote the Word, and He watches over It to perform It. See? So it's not the Holy...
It's a spirit, all right. It might be a--a spirit of the church. It might be the spirit of the pastor. It might be the spirit of the world. It might be. I don't know what it is, but whatever it is, it might be a denominational spirit, "I'm Methodist. I'm Baptist. I'm Presbyterian. I'm Pentecostal. I'm this." That's...
211 Pentecost... Now, remember, let me straighten it; Pentecost is not an organization; Pentecost is an experience that you receive. You Methodists, Baptists, Catholics, and all can experience Pentecost. You can't join Pentecost, 'cause there's no way to join it.
I've been in the Branham family for fifty-five years. You know, they never did ask me to become a Branham. I was borned a Branham. And that's how you're a Christian, you're borned a Christian. That's right.
214 Now. Oh, that private life... "Oh, I tell you, my pastor goes to these dances, and we do the twist. They have it." All right. See? "Don't you come telling me what I can do and what I can't do." All right (See?), you won't let Him in.
Just let Him in one time, and then go back to the twist or the rock-and-roll, or whatever you're going to do, see what you can do. You can't do it. Let Him in one time, and then start to put on a pair of shorts, some of you women.
I know I'm taking you a long time, but I want to say one more thing, if it's all right in this regard.
217 I suppose, the greatest meeting the Lord ever let me hold for Him was in Bombay, where I had around five hundred thousand, but--and two hundred and some thousand at--in Africa, Durban, at the race track. That afternoon, I said, after seeing such great marvelous thing that our gracious Lord come down and done, I said, "The missionaries taught you the Word, but the Word is quickened and made alive. What He says has to come to life." And I... And then when there was twenty-five thousand healings taking place at one time, and load after load of good old chairs there; just one simple little prayer, they'd seen the Holy Spirit just... Those people that didn't even know who they were and where they come from, that's all they wanted to see. See?
And I asked, "How many wants to receive Christ?" There was thirty thousand stood to their feet, blanket natives, packing idols.
219 Doctor Bosworth, Doctor Baxter and them, begin weeping. And Brother Bosworth run up and, so he said, "Brother Branham, this is your coronation day."
Brother Baxter said, "Brother Branham, I wonder, I think they meant physical healing."
That boy was on his hands and knees. And the Holy Spirit told him where he come from, what had happened, said, "You'll talk. Think about your brother; he's about a half a mile back there. He was riding on a yellow goat, and he hurt his leg." I said, "But, THUS SAITH THE LORD, he's healed." Here come the boy, with the crutches over his hands, like that. And take them about twenty minutes for a militia to quieten them down.
222 Then this boy on his hands and feet, like that, down, couldn't even raise up, naked. Oh, my, such a horrible thing. He thought he was coming up there to tourists, you know, to kind of do the--the jungle dance. And which I took the chain and shook it. I said, "If I could help that poor creature and wouldn't do it, I'd be a--I wouldn't be fit to stand back here." But I said, "I can't help him. But now I have a little gift; I can just pull it in gear, whatever the Lord says."
And when the Lord showed, called him who he was, said, "His mother and father's setting out in there; they're Zulus. And said, "They're thin, unusual." A Zulu will average three hundred pound per man. So then said, "They're unusual. But this boy was born in a Christian home, because on his--on the right-hand side, as you go in the door, there's a picture of Christ, in the little thatch hut." And that was exactly right. His mother and father raised up. And that's his name. That's who he was, and everything. They couldn't understand. I looked back and I seen him standing in a vision there, just as straight as he could be. Never raised up in his life, he was born like that. I said, "The Lord Jesus makes him whole."
He wasn't even in his right mind, trying to go, "uh, ba, ba, ba," like that.
And I got ahold of the chain, and shook it like that. I said, "Jesus Christ, son, makes you whole. Stand up on your feet." There he raised up. The tears running down, and off his black belly, as he went down like that. I seen thirty thousand blanket natives give their hearts to Jesus Christ.
226 When at a Kiwanis Club, I said now... And they tell me I was going to become a holy-roller when I left the Baptist church, so I could fellowship with all people. They said, "Why, you'll become a holy-roller." I sat with a bunch of my Baptist brethren; said--I said, "You've sent missionaries in there for the last hundred and fifty years, what did I find them? Still packing idols." I said, "But the power of the resurrection of Jesus Christ," thirty thousand received Christ at one time."
Now, I want to say to you women, you know what happened to them women? I said, "Right on the grounds where you're standing, the Holy Spirit will fill you." And when they raised their hands to accept Christ as their Saviour, and when they walked away from there: naked, now, nothing but just a little patch, clout, in front. And when they walked away from there, they folded their arms like this, because they was in presence of men, after they'd accepted Christ.
228 Now, how can we, sisters, how can we in this nation where we claim to believe and be Christians, and every year they take more off? When that person never even heard the Name of Christ, but just accepted Him in their heart. No, you couldn't tell them they were naked; they didn't know it. But they covered themselves up like this to walk away. The next day, or two, you'd find them with clothes on of some kind.
Oh, my. There's something wrong somewhere. It's a twisting up of theology. The power of the resurrection of Jesus Christ, like He did to the man who called "Legion: we found him clothed and in his right mind." And I begin to believe that it's a spirit upon the people that drives them into that Americanism and Frenchism, and all kinds of worldlism and churchism. But let them once come to that Master, and they feel that knock at the door, they'll put clothes on and act like women and men, and they'll be borned again Christians. Amen. Yes.
230 Now, I'm done twenty minutes until twelve, just a--just a few minutes, let me bypass some here. Just a moment, some Scriptures, I'd like to open one more door. Would it be all right?
The next door to there is faith. See, your private life, door of pride, your private life, now let's open faith. Just a whole ring of them (See?) but let's go into faith.
You know, sometime ago I was in a hospital and a woman going under an operation. She called me, she said, "Brother Branham, I'm a backslider. Would you pray for me?"
I said, "Yes, ma'am, I'd be glad to." I said, "You're a backslider?"
"Yeah."
I said, "Now, let's just wait just a minute. Let me read the Scriptures to you."
There was a lady laying there in a bed, looked at me, real funny; her, and her son about twenty years old, a regular Ricky, and standing there looking at me like that.
And I said, "Yes, ma'am," I said. I read the Scriptures to her, "Though your sins be as scarlet, they shall be white as snow. Though they be red like crimson, be white like wool." And when I read that to her. I said, "If you've strayed away (See?) you've got away from God, but God never got away from you, or you wouldn't be calling for me." She started crying. I said, "We'll pray."
That lady over in the next bed, said, "Wait a minute. Wait a minute there."
I said, "Yes, ma'am?"
She said, "Pull that curtain."
And I said, "Aren't you a Christian?"
She said, "We're Methodists."
I said, "Well, what has that got to do with it? See, that's no more than saying you was a--you was a colt, if you was in a pig pen. See?" I said, "That don't mean a thing." See?
But, you see, that's where it's come, that self-righteous. "That's against our faith." I said the... "We don't want Divine healing in our church or that kind of stuff." See, see what I mean? See? They won't let in that door. "That's against our faith."
240 There is only one faith. "One faith, one Lord, one baptism." That faith...
My faith looks up to Thee,
Thou Lamb of Calvary,
Saviour Divine;
Now, hear me while I pray,
Take all my unbelief away.
Sin... Sin, there's only one sin; that's unbelief. A man that drinks isn't a sinner. See, that--that--that (See?) isn't sin. It isn't a--it isn't a sin to drink. It isn't a sin to commit adultery. To lie, to steal, that isn't sin. That's the attributes of unbelief. If you was a believer, you wouldn't do that. See?
There's only two, you're an unbeliever or a believer (See?) one or the other. You don't do all these things and religious orders like that, just because you're an unbeliever; if you're a believer, it's the Word you believe in, 'cause Christ is the Word. See? And so you're just an unbeliever because that you believe some tradition, or some dogmas that's been added to the Bible, or something, and denominations do. But a real believer stays right with that Word. And God works right through that Word, right through to make It come to pass in this generation that we live in.
243 And now notice, and you say, "Oh, I... Brother Branham, the Lord..." Well, that's all right, there's many uncircumcised Philistines went one time too. And a bunch of Egyptians tried to follow Moses across the--the Red Sea, but it--it finally... "As Jannes and Jambres withstood Moses, why, we find the same thing in the last day," the Bible said.
Now, just a little further. Jesus said here in this--this age, "Because thou sayest that, 'I am rich, and increased in goods...'" Just look how we are today, richest the church ever was. And, well, you know, you Pentecosts would be a lot better off if you was out with a tambourine on the corner, like your fathers and mothers was. But you got better churches than the rest of them now, fastest growing in the world; but where's that Spirit of God that used to be among us? You left out the real thing. "Because you say, 'I am rich.'"
245 Remember, this is Pentecostal it's speaking to, 'cause the Pentecostal age is the last age. See, all this revival we've had, there's no other organization starting up. There won't be. This is the end. The wheat's matured now. It's come up through the leaves, and stalk, and husk, and it's out to the wheat now (See?), won't be no more. They started a little Latter Rain, but it just fell right in; anything else will. They'll... This is the wheat is coming forth. See?
Notice. "And because you say, 'I am rich, and increased in goods, have need of nothing,' and knowest not that thou art miserable, wretched, blind, naked, and don't know it; I counsel of thee..." Oh, my. "I knock at your door." [Brother Branham knocks--Ed.] "Laodicea, I knock at your door, and counsel to come to Me, and--and buy gold tried in the fire; white raiment, that your nakedness not be shown."
Take off these things, and put on like you should (See?) the righteousness of Christ, the Words: not my righteousness; His righteousness.
248 "And I also counsel thee to--to come, get some eye salve, that you might anoint your eyes, that you might see." Eye salve...
I'm a Kentuckian. I was born down in the mountains, and we used to have a little old place up in the attic. And--and us kids had boosted up a--a little old pole ladder, that we went there of a night. And we laid down. They had to put a piece of canvas over the top of us when it snowed. Well, the stars, old clapboard shingles...
How many knows what a clapboard shingle is? Well, brother, why didn't I wear my overalls up here? I'm right at home. See? Well, they have old clapboard shingles.
How many knows what a straw mattress is? Now, what do you know. I thought I felt awful religious about something. Well, I guess I am right at home now. That's good. And I never knowed nothing else till just a few years ago.
How many knows what an old lamp is, the old chimney? You know, that was the big old moon and owl on the side. They used to have the littlest hand in the house, have to clean that old churn, you know. I used to have to take an old splasher, and it'd all splash over me; so I took that lamp chimney and turned it over there to keep it from splashing. Yes, indeed.
253 Now, my grandpa was a trapper. My mother's mother come from the reservations. He married an Indian girl from the Cherokee reservations there in Kentucky and Tennessee, you know where, the Cherokee valley. And they--he--he hunted and trapped, all the time, that was his--that was the way he made his living.
And us kids laying up there, why, sometimes it get real cold. And that breeze coming through there, we'd get cold in our eyes, and--and our eyes would stick shut at night, you know. Mama called it "matter." I don't--I don't know what that is, but a cold would get in your eyes, and it'd get cold. And she'd say, "You got matter in your eyes," because of the--of the, oh, you know, the breeze circling through there, the draft that come across at night. Our eyes would swell shut.
255 And mama would get there at the ladder in the morning, when she got the biscuits made. She'd have the sorghum molasses setting on the table. And she'd say, "Billy."
I'd say, "Yes, mama?"
"You and Edward come on down."
"Mama, I can't see." I called my brother, we called him, "Humpy." I said, "He can't see, either. See, our eyes had got matter in them."
She would say, "All right, just a minute."
And grandpa, when he'd catch a coon... How many knows what a raccoon is? That's what, and she'd... He'd catch a coon; he'd get the fat off of it and put it in a can. And that coon grease was a cure-all in our family. They'd give it to us for a bad cold, with turpentine on it, and coal oil. We'd swallow it for a sore throat. Then get that coon grease hot, she'd come and massage our eyes, and our eyes would come open. See? It was coon grease that did it. See?
258 Now, brother, sister, we've went through a cold spell in the church. And, that's right, a lot of religious draft has come through; everybody's caught cold. And a lot of people has got their eyes all closed up, and there's a big World Council of churches coming up, up here, is going to force every one of you into it. They're getting away from that Word, our own groups are. I am duty bound to a Message; not to be different, but because of love... Love is corrective. Come back. Stay away from that thing. You ministering brothers, I don't care what your groups does, stay away from it. Stay out of it. It's the mark of the beast; stay away from it. See, Jesus is knocking in this Laodicea age. See where they put Him out? He's trying to get to individuals, not--not organizations and groups of people. He's trying to get one here, and one there, and one there, trying. "All that I love, I chasten."
259 As the little brother had the vision here, and said he had the vision. And he said, "This same Light that you receive, cause your death too." See?
"As many as I love, I chasten; be zealous, and return. I'm standing at the door and knocking." Now, look, coon grease won't do this any good.
But there is a Fountain filled with Blood,
Drawn from Immanuel's veins,
Where sinners plunged beneath the flood,
Lose all their guilty stains.
That dying thief rejoiced to see
That Fountain in his day;
There may I, though vile as he...
He opened my eyes with His eye salve. His Spirit came down and warmed the Bible, His eye salve. I couldn't see It. I was a--just a local Baptist pastor. But one day He sent His Spirit down, not the coon grease did He get hot, but He sent the Holy Spirit and fire. A little eye salve raked across my Bible--my Bibles... and I could see with my eye, I mean raked across my eyes so I could see my Bible. And I seen that He was the same yesterday, today, and forever. "Let every man's word be a lie, and Mine be true. I stand at the door and knock."
262 One more little story. Have we got time? Just that, then I'll go. See?
There was an old darkie down there in the south. And, his pastor, I knew him, a nice old fellow. We called him Gabe. His name was Gabriel, and we just called him Gabe. He always, pastor and I, we--we went hunting a whole lot. He was an old colored brother, and we went out hunting. And so old Gabe liked to hunt better than anybody I ever knowed, but he was a poor shot. So one day his pastor and him went hunting.
And we could never get old Gabe to line up to church. He just wouldn't do it. He wouldn't come to church. He said, "Ah, I's don't go down there where the hypocrites is."
I said, "But, Gabe, as long as you stay out, they're bigger than you. You're hiding behind them. See?" I said, "You're hiding behind them. You're smaller than they are; they do go down and make an effort. See?"
And so he said, "I--I just... I--I--I thinks a lot of you, Mr. Bill." But said, "I--I's is--I--I know old Jones goes down there, and he ain't nothing; he shoots craps with me over there."
I said, "That's all right, Gabe. See, that's all right. But, remember, Jones has to answer for that; you don't have to. You see? If you just go..." I said, "You've got a good pastor."
"Oh, Pastor Jones is one of the finest men there is in the country."
I said, "Let him be your example, if you can't look farther than that. Let him be your example."
270 So one day Brother Jones said, took old Gabe hunting, and said, "We got more rabbits and birds that day, than we could hardly pack." And said, "Come in in the evening..." Said, "Old Gabe was coming behind, and all loaded down, you know, like that." And his wife was a real, loyal Christian. She had a place right there, a Holy Ghost filled woman, and she always had her post of duty. So he was... Old Gabe was coming behind, you know. And Pastor Jones said he looked around; he could see, "Old Gabe kept looking over his shoulder, like that, the sun setting," said, "getting real low, getting cool." Said, "After while," said he was walking along, said, "old Gabe come up. And he had his shotgun barrel hanging full of rabbits and birds, and things." Said, "He tapped the pastor on the shoulder, and said, 'Pastor?'"
Said, turned around, said, "Yeah, Gabe, what's the matter?"
So he looked, and great big tears running off of his black cheeks, where his beard was turning gray. He says, "Pastor, I's been walking along this bank here for about a half hour." Said, "I've been watching that sun go down." Said, "You know, these gray whiskers of mine, and my hair turning," said, "you know, my sun's setting too, pastor."
Said, "That's right, Gabe." And he just stopped and turned around, said, "What's the matter with you?"
He said, "My sun's setting too." He said, "You know what?" Said, "I got to thinking," he said, "as I was walking along back there." He said, "You know," said, "the Lord must love me."
Said, "Sure, He does, Gabe."
Said, "You know, I'm a poor shot." Said, "I couldn't hit nothing," but said, "we--we really needed this meat at home." And said, "Just look at the big fine bunch of game that He give me, these birds and these rabbits." He said, "I got enough to keep us all next week." Said, "He must've loved me, 'cause I can't hit nothing, you know." Said, "I couldn't hit a... but I," said, "But just look what He give me today." He said, "He must love me, or He wouldn't have give me this."
Said, "That's right."
275 And he said, "Well, I had a strange little knock at my door, down there. He told me to turn around, said, 'Gabe, your sun's setting too.' Said, "Pastor, you know what I done, pastor?" He said, "I made Him a promise."
He said, "Gabe, I want to ask you something." Said, "What sermon did I preach that made you feel that way?" He said, pastor, or said, "Now, wait a minute," said, "what--what--what choir sang?"
He said, "Oh, I sure do love that singing down at church, pastor." He said, "I love every message you preach, 'cause it comes right from that good Book, and I know it's right." But said, "it wasn't that." Said, "He just knocked, and I looked around here, and see how good He was to me, what He give me." He said, "Sunday morning, I's going to walk right up in front there where you standing." He said, "I'm going to give you my right hand," said, "because I done give my heart to the Lord, right down around the hill there." He said, "I's going to be baptized, and take my place right beside of my wife. And I'm going to stay there until the Lord calls me higher." See? He just happened to look around and see how good God had been to him.
278 I'm a missionary. If you could look out through the eyes that I'm looking through now, and see in India and places, them little hungry people, mothers starving on the street, their little kids can't even cry no more from hunger, and just think of what we had here today. Look at the cars you come in. Look at the clothes you're wearing. Look how rich you are. Friend, can't you feel that little knock there somewhere? Let us pray.
With our heads bowed, and our hearts, as the minutes now are fleeting, of about seven minutes until midday. My brother, sister, science tells us it's less than three minutes until midnight. Now, if you can just look around and just think for a minute, your little children setting there by you. How many little spastics...
280 Look at your nice wife, brother, and think how many men that's worth millions of dollars, and loves a woman with all of his heart, she's a barfly. He'd give his cold million to have that woman to love him the way your wife loves you. And you, wife, how many women...
How many mothers here this morning with their little children, how many fathers; why, they... My, there's many a man looking at a crib, a little old drawed-up, poor little thing, crippled, and look at what fine little children you got. See? And many a little old, maybe...
O God, there's so many things, if you'd just look. He's been so good to us Americans. Now, can't you just feel that you'd like to have a little salve this morning, "Open my eyes just a little farther, Lord, open my eyes"? As our sister so lovely sang, "His eye is on the sparrow, just a little sparrow, and I know He watches me."
283 Now, He's watching right at you now. Can you just hear, down somewhere, a little knock like this [Brother Branham knocks on something--Ed.], "I'm visiting, this morning"? It's the greatest honor that could ever be paid, if you can feel that knocking at your heart.
Will you just raise your hand, say, "By this, Lord, by Your help and Your grace, to--from today on, I'll live as close to You as I know how to live. That's all I know how to ask You"? God bless you. God bless you. "By Your help and grace today, from today on, I'll never forget this."
"Lo, I stand at the door and knock. If any man..."
Now, remember, where was He knocking at the barn? No. At the bar? No. Where's He knocking? At the church.
"If any man will hear My Voice, and open unto Me, I will come in and sup with him, and he with Me."
287 Dear God, this little broken, mixed up, few words that's been said this morning, somehow let the Holy Spirit interpret them to the hearts of the people.
Now, there was many, Lord, maybe out of this hundred here was twenty or thirty people raised their hands. I have no way of knowing just what they needed, Lord. But I know that midday is just a few minutes off, and so is the coming of the Lord; yet, before this snow melts from the ground, we may be summoned, and this may be the moment that will change the whole future of whether they'd be left here or go up.
Dear God, humbly we accept Jesus, we accept all of His Words. Fill us, Lord, fill us with Thy Holy Spirit, that our life just automatically would bear the fruit. Grant it, Lord.
Forgive us of our many mistakes. Oh, we are so full of them, Lord. And we have nothing that we can offer, Lord, 'cause, everything that we got, You've give it to us. As Gabe said in the little story we just told, "You--You sure love us, Lord, or You wouldn't do this." And to think, these people set here since early this morning, setting here since eight o'clock, is four hours that they set in here. They love You, Lord. They love You. Now, Father, will You just send the salve of the Holy Spirit, open our eyes? May we...
291 These who are here in the city, may they rush to that revival tonight; may there be such an outpouring. Grant it, Lord. May an old fashion revival start here in the city. Grant it. Bless every man that's putting forth, every one of Your servants throughout the world, that's putting forth an effort. Be with them, Lord, and help them.
Open our eyes that we might see more and more the likeness of Christ. Grant it, Lord. Forgive us of our sins.
And now these who raised their hands, Father, I commit them to You. Receive them. Now, I quote Thy Own Word, Lord, which, "Heavens and earth will fail," but You said, "he (which is a personal pronoun), he that heareth My Words..." Lord, they might've been broke up and simple, but somebody heard them. The Seed fell. "He that heareth My Words and (conjunction) believeth on Him that sent Me (because He did this), he hath (present tense) Everlasting Life, and shall not in the future come to the judgment, but has passed from death unto Life." They raised their hands, Lord. They broke the--every scientific law; gravitation holds our hands down. But they proved that there's a spirit in them, that could listen to a knock at the door, and reach out with their right hand towards heaven. Now, open the door. Open, Lord, and come in. We are Yours. Receive us, in Jesus Christ's Name. Amen.
294 I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
You love Him? Wonder if we could just close our eyes just a moment. Now, from our hearts, with our hands up...
I love Him, I love Him
Be...
We're accepting Your knocking this morning, Lord. My hands are up. All of our hands are up, Lord.
And...
Now, come in, Lord Jesus. Come into our hearts and sup with us, and we'll sup with Thee.
... Calvary's tree.
You love Him? Oh, I think He's so wonderful. Don't you? Don't you feel His Presence just kinda scouring you out? I feel real religious right then, just feel real good, something about it. See?
My faith looks up to Thee,
Thou Lamb of Calvary,
Saviour Divine;
Now, hear me while I pray,
Take all my sins away,
O let me from this day
Be wholly Thine!
297 Now, I want you when we hum this next verse of that beautiful hymn, old hymn of the church, I want you to shake hands with somebody. Just remain in your seat; just say, "God bless you, brother. God bless you, sister. So glad to be with you here." Let's do that. [Brother Branham and congregation hum, "My Faith Looks Up To Thee," and shake hands with one another--Ed.] God bless you, Carl. I'm glad to be here. I'm just enjoying it. Thank you, thank you.
Just think, Methodist's hands caught Pentecostal's, Baptist's caught Presbyterian's.
O let... from this day
Be wholly Thine!
299 Now, as we sing slowly now too, from the bottom of your heart. You know, after a scouring, scolding message, I think it's good to get in the Spirit and sing to...?... the sweetness of the Holy Spirit.
"O how sweet it is for brethren to dwell together in unity." The Bible said, "It's like the anointing oil was on Aaron's beard, that run down to the hems of his skirts." You're wonderful people up here. I hope to get back to see you again before Jesus calls me, or the millennium. If I don't, I'll see you across the river over there. I'll meet you at the river. Amen. Set an appointment.
While life's dark maze I tread,
And grief around me spread,
Be Thou my Guide;
Bid darkness turn to day, (that little Light they talk about)
Wipe sorrow's fears away,
O let me from this day
Be wholly Thine!
301 Every door open... Oh, just touch the little button, and watch them all go right around the circle; say, "Come in, Lord Jesus, be my Lord, my All."
O let me from this day, (not let You stand at the door)
Be wholly Thine!
You that raised your hands and wants to be farther led towards the Lord, I ask you to go down to the revival tonight. And I'm sure the pastor there would take you from here to the inn. He has six pence, or whatever was given to take care, and wine and oil to pour in. He can finish the job.
God bless you now. I'll turn the service back to, I guess Brother Williams, or ever who's...