Le Livre d’Exode, Deuxième partie
1 Qu’Il vous bénisse. Nous pouvons prier.
Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour
Jésus, le Fils de Dieu, qui est venu sur la terre mourir, afin que nous
puissions avoir communion les uns avec les autres tandis que Son Sang
nous purifie de toute impureté, nous rassemble en ce moment agréable de
communion. Et nous prions qu’Il nous soit favorable ce soir et qu’Il
nous accorde Ses bénédictions. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.
Merci, Frère Joseph. Je ne mérite pas un tel
compliment. Mais je sais que c’est. J’espère que le Seigneur aura de
moi une opinion aussi favorable, quand je quitterai le monde. Merci,
Frère Joseph. Priez tous pour moi. Et je vous remercie aussi, mes amis,
pour votre bon compliment …?…
2 Une fois, quelqu’un… je prêchais, puis je suis
sorti, il y a eu un. Quelqu’un, un frère a dit: «Oh, Frère Branham,
j’ai beaucoup apprécié cela.» Il y avait un homme qui se tenait là, il
a dit: «Vous savez, je n’accepterais pas que les gens disent cela à mon
sujet.» Il a ajouté: «Je n’aime pas que les gens disent des choses. Je
n’aime pas qu’ils me vantent.» J’ai dit: «Moi, j’aime ça.» J’ai ajouté:
«Il y a simplement une différence entre toi et moi, c’est que moi, je
suis sincère là-dessus.» Et je pense que c’est vrai. Nous aimons tous
que quelqu’un nous dise quelque chose de bien, n’est-ce pas? Oui. Mais.
Et puis, je crois que Jésus veut que nous disions aussi combien nous
L’aimons. Ne le pensez-vous pas? C’est vrai.
3 Merci. Je suis un tout petit peu fatigué ce soir.
Nous avons eu un service cet après-midi, et–et ainsi, nous. C’est–c’est
donc huit soirées de suite, ainsi c’est. Je suis juste un tout petit
peu fatigué, pas trop, mais juste assez fatigué jusqu’à ce que je
puisse me sentir bien. Je ne dors pas la nuit, c’est cela le problème.
Je ne dors pas suffisamment. Et c’est ce qui, on dirait, me
dérange un peu. Maintenant, tout le monde L’aime-t-il ce soir de tout
son cœur? [L’assemblée répond: «Amen.»–N.D.É.] Amen. C’est ça; c’est
bien.
Eh bien, demain soir, vendredi soir, et j’espère que
Madame Branham pourra arriver samedi; je ne sais pas si elle arrivera
ou pas. Et–et j’espère qu’elle amènera Joseph …?…
4 Vous savez, je me rappelle, le petit Joseph,
environ six ans avant sa naissance. J’étais en train de prier à
Minneapolis. J’étais juste en train de lire la vie de Joseph. Quelle
merveilleuse personne il était! Et alors, il y avait. Je suis entré
dans une petite penderie où j’avais suspendu mes habits, j’ai fermé la
porte. Et je pleurais vraiment, et–et remerciais le Seigneur pour ce
Joseph-là.
Et Quelque chose m’a tout simplement dit, pas une
vision, mais Quelque chose m’a tout simplement dit: «Tu auras un
garçon, et tu l’appelleras Joseph.» Je me suis donc dit: «Eh bien
alors, c’est bien. Je Te remercie, Seigneur.» J’ai donc commencé à en
parler aux gens. Eh bien, aussitôt, vers, oh! environ un an plus tard,
un petit enfant est né dans notre foyer. Et quand on attendait cet
enfant, certaines personnes ont demandé: «Est-ce Joseph?» J’ai dit: «Je
ne sais pas.» J’ai dit: «Je ne saurais le dire.» En effet, l’autre
enfant que nous avions eu était une fille, depuis quatre ans. Et puis
alors, quand ce petit enfant est né, c’était une petite fille. Vous
parlez donc de me taquiner, surtout mes frères, vous savez, mes frères
dans la chair qui disaient: « Je pensais que cela était toujours
parfait, Billy?»
J’ai dit: « C’est toujours parfait. Ne vous en
faites pas. Il sera là.»
Ils ont dit: « Oh! oui. Meda a trente-cinq ans,
et chaque fois, c’est la naissance par le sexe.» J’ai dit: «Je sais
qu’il sera là.»
J’ai ajouté: «Assurément.»
Ils ont demandé: «En êtes-vous sûr?»
J’ai dit: «J’en suis sûr.» J’ai dit: « Dieu dit
toujours la vérité. J’aurai un enfant et il s’appellera Joseph.»
Et alors, ils ont dit: «C’est impossible. »
Deux ans, un an est passé, deux, trois, quatre, on
entrait dans la cinquième année. Toujours pas–pas de Joseph. Quelque
temps, quand Joseph est venu, eh bien, j’étais là à l’hôpital, et ma
femme était dans une chambre là haut. Et une infirmière est descendue.
Et certaines personnes me demandèrent: «Est-ce Joseph?»
J’ai dit: «Je ne sais pas.» J’ai dit: «Je sais que
Joseph viendra. Je ne sais quand.» J’ai dit: «Il sera là.»
L’infirmière descendait les marches et a dit:
«Révérend Branham!»
J’ai dit: «Oui.»
Elle a dit: «Vous avez un beau garçon de sept
pounds.» [Environ 3,17 kg–N.D.T.]
J’ai dit: «Joseph, tu as fait long temps pour être
là. Mais je suis vraiment content que tu sois là.» J’ai dit …?… Ainsi,
je…
5 Quand le Seigneur vous dit quelque chose, croyez en
Lui, car Il–Il va accomplir cela. Voyez? Ne vous en faites pas. Cela
peut prendre un peu de temps, mais Il l’accomplira au moment opportun
pour Lui, n’est-ce pas? Et ainsi, nous L’aimons, car c’est ainsi que
nous pouvons croire en Lui pour chaque promesse. Tout ce qu’Il dit,
c’est exactement ce qu’Il va accomplir. Et nous croyons cela de tout
notre cœur. Eh bien, en regardant ici dans la–dans la fosse
d’orchestre, est-ce correct, comment appelez-vous cela? [Un homme dit:
«Oui, c’est correct.»–N.D.É.] Je ne vois pas beaucoup de musiciens, je
ne pense pas, mais je vois des gens faire des bandes. Je suis content
de vous voir, Leo et Gene, mes frères qui sont là à l’intérieur. J’ai
appris que vous aviez mal à la bouche, à cause d’une dent arrachée. Eh
bien, je suis content que ça aille mieux. C’est bien. Très bien. Que le
Seigneur soit donc miséricordieux envers nous alors que nous L’adorons
ce soir.
6 Et j’aimerais lire comme texte ici, un court
passage qui s’avère être la suite de notre service, là où nous étions
hier soir, dans le Livre de Rédemption. Et j’ai appris que samedi, il y
aura un déjeuner et–et que dimanche après-midi, mon petit frère Tommy
Hicks va parler ici. Est-ce vrai? Et je suis sûr que vous apprécierez
tous Tommy, comme il vient de rentrer de la Russie, de l’autre côté de
l’horizon.
Et vous savez, chose étrange là-dessus, quand il
avait annoncé qu’il allait s’y rendre, nous étions tous au déjeuner des
Hommes d’Affaires Chrétiens, et il a annoncé qu’il allait se rendre en
Russie. Alors M. Fisher, peut-être qu’il est assis ici maintenant,
c’est l’avocat des Hommes d’Affaires Chrétiens; un très bon, il est de
la première génération de la Pentecôte de la vieille Rue Azusa, il est
très connu, un homme beaucoup respecté dans toute la nation.
Et alors, M. Fisher a prononcé un discours. Et
il a dit: «Eh bien, je–je crois bien qu’il ira de l’autre côté. »
Et il lui a demandé: «Eh bien, pourquoi, M. Fisher?»
Il a dit: «Eh bien, d’abord, dit-il, les Russes
donc. Eh bien, voyez, ils le laisseront entrer, dit-il, c’est par la
suite qu’ils découvriront qui en réalité est chrétien et qui ne l’est
pas, les communistes. Et il a dit: «Autre chose, ils se diront que ce
pauvre petit garçon insensé ne fera aucun mal ici.» Ainsi, ils l’ont
effectivement fait. Ils–ils l’ont donc laissé entrer.
Mais je m’imagine qu’il leur a effectivement fait du
mal; en effet, c’est un–c’est un prédicateur de l’Évangile, et un
excellent. Je suis donc reconnaissant qu’il ait été là-bas. Eh bien,
chose étrange, j’avais pris des risques en disant: «Eh bien, Tommy, si
tu y vas et que tu en reviennes, alors je m’y rendrai.» Ainsi, je ne
sais pas maintenant. Eh bien, je suis cuit. Ainsi, je–j’aimerais y
aller, très bien. Mais je–j’espère, en y allant, que c’est la conduite
du Seigneur.
7 Maintenant, dans l’Évangile de. Maintenant, le
Livre de l’Exode, plutôt, chapitre 14. J’aime la fin de ce chapitre 13,
la Colonne de Feu, une Colonne de Feu qui conduisait les enfants
d’Israël le jour comme la nuit. Pendant la journée, Elle prenait
l’aspect d’une nuée, et la nuit, Elle prenait l’aspect d’une Colonne de
Feu, conduisant Israël. Et c’était l’Ange de l’Alliance, ce n’était
rien d’autre que Jésus-Christ Lui-même, avant qu’Il soit fait chair et
qu’Il entre dans le sein de Marie. C’était Christ. Moïse suivait
Christ. Christ a dit, les Écritures déclarent qu’Il était au désert
avec Moïse. Et c’est ce qu’Il était, l’Ange de l’Alliance. Et
maintenant au verset 15, nous lisons ceci:
Et le Seigneur dit à Moïse: pourquoi cries-tu vers
Moi? Parle aux enfants d’Israël, qu’ils marchent.
J’aime bien cela. Pas vous? Que le Seigneur ajoute
Ses bénédictions à Sa Parole.
8 Eh bien, ce soir, c’est le milieu de la semaine, et
ce soir, j’allais faire venir tous ceux qui ont des cartes de prière.
Mais après j’ai commencé par ici, je suis vraiment très fatigué, je
pense que je vais simplement continuer et tenir le service ordinaire
pour les malades. Et peut-être que demain soir, Dieu voulant,
j’aimerais prier pour chaque personne qui a une carte de prière, demain
soir.
Frère Moore m’a même dit, frère Brown aussi, que
c’est ainsi que nous avions commencé au début; ils ont dit: «Nous
viendrons vous aider sur l’estrade, Frère Branham.»
Et ils avaient vraiment l’ardent désir de me voir
reprendre ce genre de services. Et moi aussi, je désire ardemment
reprendre ce genre de réunions. Cela peut sembler un peu étrange
pendant un moment, mais cela marchera de loin mieux que ce qui se fait
maintenant. Et ainsi, demain soir, tout celui qui a une carte de prière
sera appelé à l’estrade. Je pense qu’on a distribué les cartes de
prière. J’ai demandé au jeune homme, il y a juste quelques instants,
ainsi qu’aux frères qui sont là, si on avait distribué des cartes de
prière. Ils ont répondu: «On en a déjà distribué environ deux cents.
C’est la série «I» et la série «K». Et ils ont dit que le… ce sont ces
lettres-là, et ils ont dit que, si je voulais en appeler une partie ce
soir, je devrais en appeler quelques-unes de celles-là, et puis demain
soir, nous prierons pour tous les autres.
9 Eh bien, hier soir nous parlions et parcourions une
série de–de passages des Écritures dans le Livre d’Exode. Nous voyons
que l’Exode signifiait «l’appel à sortir», Dieu séparant Son peuple des
incrédules. Et par la suite, comme Il a pris. Nous voyons dans les
Écritures qu’il y eut une foule mélangée qui est montée. Et c’est ce
qui causa des ennuis aux vrais croyants, le fait qu’il y avait une
foule mélangée. C’était eux qui avaient fondu leurs boucles d’oreille
et tout, et en avaient fait un veau et… pour retourner en Égypte.
Eh bien, quand le–le surnaturel s’est produit, que
le miracle de Dieu était accompli, tout le monde s’est rallié à cela,
et, une foule mélangée a aussi suivi, car ils allaient. Ils avaient été
circoncis et ils avaient observé la Pâques et le reste, mais ils
étaient néanmoins une foule mélangée: des incroyants avec les croyants.
Et finalement, ils ont été dévoilés là-dessus. Eh bien alors, nous
voyons qu’il y a trois grands principes sur lesquels nous allions
parler. Et cela. Et ce Livre d’Exode a appelé à sortir, a séparé, et
c’est aussi un livre de Rédemption. Et les trois principes sur lesquels
nous allions parler, c’était la puissance du diable, la puissance de la
foi et la puissance de Dieu.
10 Et hier soir, nous avons vu que le diable a
effectivement une puissance, et que cette puissance est la mort. Et
après la mort, le diable ne peut rien faire d’autre. Il s’arrête à la
mort. Et comment il a amené le. Moïse jusque là, quand il a vu qu’il
allait naître, eh bien, il avait tué tous les enfants, essayant
d’éliminer le serviteur de Dieu qui allait devenir un vase choisi. Il a
fait la même chose avec Abel, quand il a vu que la Semence Juste allait
venir par la lignée d’Abel. Et alors Dieu, bien entendu, a suscité Seth
pour prendre sa place. Et puis, dans Chroniques, en rapport avec la
Semence royale, et aussi dans le Livre de Matthieu, Jésus, comment il a
tué tous les enfants, essayant d’interrompre ou d’arrêter le programme
de Dieu. Mais il n’y a pas du tout moyen d’arrêter le programme de
Dieu.
Il n’y a pas longtemps, on a fait une proclamation
ici que personne ne pourrait plus crier, et faire toutes ces choses,
qu’on allait essayer de faire adopter cela au congrès, on disait qu’on
allait fermer toutes les portes, et que tout celui qui n’est pas membre
d’une quelconque dénomination, lorsque la confédération des églises
s’était unie (ils y entrent maintenant pour former la marque de la bête
pour ce pays, pour ce monde). Lorsqu’ils se seront tous rassemblés dans
cette confédération, qu’ils fermeront chaque porte et scelleront chaque
porte. Et ils le feront l’un de ces jours.
Et tout celui qui n’est pas membre d’une quelconque
dénomination qui est dans cette confédération des églises, devra porter
cette marque. Et en faisant cela, eh bien, alors, ils pensent qu’alors
ils arrêteront toutes les choses, telles que la guérison divine et
toutes ces choses que les–que les églises n’acceptent pas. Mais ils n’y
parviendront jamais; c’est impossible. L’Église de Dieu ira de l’avant
tout aussi certainement que le monde existe. On a essayé cela avant, on
les a donnés en pâture aux lions, on les a brûlés sur le bûcher, mais
l’Église de Dieu a continué à avancer malgré tout. Il a dit: «Les
portes de l’enfer ne peuvent pas prévaloir contre Elle.» Cela montrait
que toutes les portes de l’enfer seraient contre Elle, les puissances
de l’enfer aussi, mais qu’elles ne prévaudront pas. Dieu continuera
bien à avancer avec Son église. Il en sera toujours ainsi.
11 Ils ont essayé d’arrêter Cela. Ils ont essayé
de faire sortir Cela de gens en Le brûlant. Ils ont essayé de donner
Cela en pâture aux lions, mais les lions ne pouvaient pas manger Cela.
Ainsi donc, ils–ils ont essayé beaucoup de choses pour faire sortir
cette ancienne religion, mais Elle continuera à être bonne jusqu’à la
Venue de Jésus. Amen. Il n’y a donc pas moyen d’arrêter cela.
Le diable est un type malin, c’est vrai. Et il
détient la puissance de la mort, mais il ne peut pas aller plus loin
que ça: la mort. Mais, nous avons donc vu que la foi est alors entrée.
À la mort, alors la foi est entrée en scène et a
reconnu le Dieu de la résurrection. Peu importe quand nous irons à la
tombe et que nous déposerons nos bien-aimés, les larmes coulant sur nos
joues, de la tristesse, et qu’on verra une jeune mère avec son enfant
dans les bras, comme je l’ai fait pour ma propre femme. Et toutes ces
choses sont là.
12 Je me souviens de ce jour-là, on était là, et le
petit Billy Paul m’a étreint, c’était un tout petit enfant de dix-huit,
environ dix-huit mois, je le tenais dans mes bras, regardant sa mère et
sa petite sœur placée dans les bras de sa mère, pendant qu’on les
faisait descendre. Alors le prédicateur ramassa de la poussière de
la terre et dit: «La cendre retournera à la cendre, la poussière à la
poussière et la terre à la terre.» Quand j’ai entendu ces mottes de
terre tomber sur le visage de mon enfant et de ma femme, oh! la la! mon
cœur était déchiré. Mais pendant que je me tenais là, j’ai entendu
comme venant à travers ces vieux arbres de pin, on dirait le son d’un
cantique: «Il y a un pays au-delà de la rivière.» Voyez? Au plus fort
même de la mort, là où je voyais ce que Satan avait fait, juste au-delà
de cela, j’ai vu la résurrection.
«Je suis la Résurrection et la Vie», dit Dieu, celui
qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Quiconque.
Qu’était-ce? C’était la foi. Je me suis avancé là et j’ai dit: «Que
Dieu vous bénisse, ma chérie, qu’Il accorde du repos à vos âmes. Et un
jour, je vous reverrai.» Amen.
13 Il n’y a pas longtemps ici, Billy et moi, nous
avions amené une petite fleur à la tombe de sa mère. C’était. Il
n’était qu’un petit garçon, il avait environ huit ou dix ans et il
s’est mis à pleurer pendant qu’on se dirigeait à la tombe. C’était
juste avant l’aube. J’ai posé la fleur. Il tenait son chapeau en main.
Et nous nous sommes agenouillés à côté de la tombe. Il a placé sa tête
sur moi, il s’est mis à pleurer, disant: «Papa, ma mère se trouve là.»
J’ai dit: «Non non, non non, ta mère est là, voyez,
pas ici.» J’ai dit: «Mon chéri, nous regardons par delà un remblai ici,
voyez, on a fait une monticule.» J’ai dit: «En effet, je l’avais mise
dans un coffret en ciment.» J’ai dit: «Cela ne s’affaissera pas, il y a
plutôt un remblai ici qui a formé un monticule. Mais de l’autre côté de
la mer, il y en a une là dont les portes sont brisées. Et c’est. Et
Celui qui est ressuscité des morts a dit: «Celui qui entend Mes Paroles
et qui croit en Moi, vivra quand bien même il serait mort.» Et
quiconque vit et croit en Moi, ne mourra jamais.
Je lui ai dit qu’elles étaient en sécurité dans
Ses bras. Ainsi, au-delà de tout ce nuage sombre que nous voyons, la
foi a un aperçu de la résurrection par Dieu, au-delà. Ainsi, je suis
très reconnaissant qu’il y ait de l’espérance au-delà de la tombe, et
la foi qui nous amène à cette place-là. Même si je. La foi peut prendre
position sur le Rocher de la Parole de Dieu, et toutes les vagues de
l’enfer peuvent heurter contre son fondement, mais elle se servira de
son œil d’aigle et montera plus haut au-delà de ces nuages et verra le
Dieu de la résurrection et de la promesse. J’en suis très reconnaissant
ce soir. Et je sais que c’est le cas pour vous aussi. Et c’est le cas
pour chaque croyant.
14 Pensez-y. Nous avons une Ancre (Amen.), c’est
derrière le voile. Parfois, nous ne pouvons pas La voir, mais nous
savons qu’Elle est là. C’est comme un petit garçon qui faisait voler un
cerf volant. Les gens lui demandaient: «Où est-il?» Il répondait: «Je
ne le vois pas.»
Il disait: «Je sais qu’il est toujours là, car je
peux sentir cela.» Cela est donc vrai. Peut-être qu’il nous est
impossible de voir cela; le temps peut devenir sombre. Les nuages
peuvent cacher Sa face bénie pendant un temps, mais ne l’oubliez pas,
les nuages peuvent cacher Sa face, mais ils ne Le cachent pas. Ils ne
peuvent pas vous cacher le soleil, mais il continue à briller au-delà
des nuages. Et la foi voit le soleil au-delà des nuages.
Et la mère de Moïse se trouvait là dans un conflit
où sa foi était mise à l’épreuve. Et chaque enfant, chaque fils qui
vient à Dieu, doit premièrement être éprouvé. Dieu éprouve votre foi.
Eh bien, on dirait que Dieu aurait pu tout simplement contourner tout
cela et ne pas avoir un–un moyen approprié, et prendre juste un
raccourci, mais c’est mieux qu’Il vous donne un test, et qu’ensuite, Il
vienne à vous lorsque vous êtes dans le test. J’aime cela, pas vous?
Les plus grandes expériences de ma vie, c’est lorsque je me butte à une
montagne que je ne peux ni franchir, ni traverser par le dessous, ni
contourner. Alors, je me tenais tout simplement tranquille, et Dieu
ôtera cela. Et Il ôtera. Peu importe combien les nuages sont obscurs,
la foi voit au-delà de cela avec ses yeux qui voient au-delà de tout ce
que le diable peut placer devant vous. En effet, Dieu est notre
victoire. Amen.
15 Même la mort elle-même n’inspire pas la terreur.
Il n’est pas étonnant que le croyant puisse se tenir et dire: «Ô mort,
où est ton aiguillon? Ô tombe, où est ta victoire? Mais grâces soient
rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur
Jésus-Christ.» C’est cela la foi qui ne fait pas honte. C’est cela la
foi qui remporte la victoire.
Et maintenant, cette mère avec son unique enfant,
autant que nous sachions, non, excusez-moi, ce n’était pas son unique
enfant. Elle avait eu un autre: Miriam. Ainsi, nous. La mère avec son
petit enfant, couché dans un petit panier de joncs enduit de bitume,
cela par la foi, afin que Dieu, entrant en action par révélation…
16 Savez-vous que toute l’Église du Dieu vivant est
bâtie sur la révélation du Seigneur Jésus? Dans le jardin d’Eden, après
que les enfants d’Israël. Pardonnez-moi. Après que Caïn, Abel et les
autres furent chassés du jardin, avez-vous remarqué comment Caïn (il
n’était pas un communiste) qui est allé adorer le Seigneur, et–et qui a
offert un sacrifice et–et qui a fait tout ce qu’il pouvait. Caïn était
très religieux. Mais Abel n’est pas allé avec des ouvres, mais par la
foi, dit la Bible. Il a offert à Dieu un sacrifice plus excellent que
celui de Caïn, Dieu confirma que ce… qu’il était juste; en effet, il
avait vu le programme de Dieu, qui lui avait été révélé.
Eh bien, ils n’avaient pas. En ce temps-là, la Bible
n’était pas écrite. Si donc Caïn, son frère qui suivait le même
enseignement dispensé par le père et la mère, a apporté le fruit comme
offrande. Mais Abel, par révélation, a vu que ce n’étaient pas les
fruits qui nous avaient fait partir du jardin d’Eden, comme certaines
personnes continuent à le penser. Mais ce n’étaient pas les fruits.
C’était le sang de sa mère qui avait fait de lui un mortel, plutôt de
son père. Ainsi, il alla offrir le sang d’un agneau par révélation
divine. Il n’y avait personne pour lui dire quoi que ce soit là-dessus,
mais lui, par la foi, a vu venir le Fils de Dieu, et il a offert un
agneau comme un type symbolique, étant donné que Jésus était l’Agneau
immolé avant la fondation du monde. Et Dieu a rendu témoignage que
c’est la vérité. Dieu rendra toujours témoignage à la vérité.
C’est la raison pour laquelle je suis très heureux
lorsque nous pouvons présenter aux nations du monde un Jésus-Christ
ressuscité. Ce n’est pas une histoire fictive, une histoire fiction.
C’est une déclaration absolument vraie de Jéhovah Dieu Lui-même, qu’Il
a ressuscité Jésus des morts. Et cela peut être prouvé. C’est cela le
bon côté de la chose.
Eh bien, Caïn, lorsqu’il a vu son frère, il a
effectivement tué son frère, par jalousie. Mais, remarquez comment Abel
a reçu cela.
17 Eh bien, Jésus, lorsqu’Il est venu sur la terre,
un jour, en descendant de la montagne de la Transfiguration, ou plutôt
de la montagne, Il a demandé: «Qui dit-on que Je suis Moi, le Fils de
l’Homme? Et certains d’entre eux ont dit: «Eh bien, certains disent que
Tu es Moïse; et d’autres: ‘Élie’; et d’autres encore: ‘le prophète’.»
Il a demandé: «Mais vous, qui dites-vous que Je suis?»
Pierre a répondu: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu
vivant.» Et Il s’est tourné vers Pierre et lui a dit: «Tu es heureux,
Simon Bar Jonas (en d’autres termes, fils de Jonas), car la chair et le
sang ne t’ont pas révélé cela. Tu ne l’as jamais appris à l’école. Tu
ne l’as jamais appris par un séminaire. Tu ne l’as jamais appris par
une quelconque instruction. Voyez? La chair et le sang ne t’ont pas
révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux qui t’a révélé
cela. Et Moi, Je te dis que tu es Pierre, et sur ce Rocher.» Quoi? La
révélation spirituelle que Jésus est le Christ, pas une conception
mentale, mais la révélation spirituelle. « La chair et le sang ne
t’ont pas révélé cela, mais Mon Père qui est dans les cieux t’a révélé
cela. Et sur ce Rocher, je bâtirai Mon Église et les portes de l’enfer
ne prévaudront point contre Elle.
18 Qu’est-ce? Une révélation. Qu’est-ce que la foi?
C’est Dieu qui vous révèle par l’Esprit quelque chose qu’Il va faire ou
qu’Il a promis. Maintenant si vous ne faites qu’entendre: «La foi vient
de ce que l’on entend», mais entendre n’est pas la foi. Un morceau de
pain est acheté à vingt-cinq cents. Mais vingt-cinq cents ne sont pas
un morceau de pain. Voyez? Entendre fait. Entendre ne fait qu’apporter
la Parole qui produit la foi. Mais «la foi est une ferme assurance de
choses que l’on espère, une démonstration de celles que l’on ne voit
pas.» Alors vous voyez, vous entendez la Parole, Dieu vous révèle le
«Je», et le «Je» est la vérité, et par la vérité révélée par l’Esprit,
Il confirme votre foi en Dieu. Vous comprenez cela?
Maintenant remarquez. C’est cela donc l’Église que
Dieu a bâtie sur le Rocher, contre Laquelle les portes de l’enfer ne
peuvent pas prévaloir. Maintenant, si nous remarquons comment Miriam,
la… ou pas, plutôt la mère de Moïse, lorsqu’elle se tenait là avec son
enfant pour le déposer dans la mort.
Chaque enfant mâle était jeté dans le fleuve
aussitôt qu’il naissait. Ils. On voyait si c’était un mâle, on le
jetait dans le fleuve.
Et là se tenait donc la maman, elle savait qu’il
était un enfant particulier, il était un fils prédestiné de Dieu.
Maintenant, ne faites pas.
19 Le mot prédestiné n’est pas le mot qu’il faut ici.
Le mot «prescience» est mieux. La prédestination regarde en arrière
vers la prescience et la prescience regarde vers la destinée. Mais
Dieu, sans avoir déterminé, a prévu cela, un petit trou par lequel vous
devez passer et vous ne pouvez pas aller autrement; mais Dieu, pour
être Dieu, connaissait la fin dès le commencement; ainsi, Il pouvait
prédire cela et placer les choses en ordre pour que ça arrive.
Eh bien, remarquez. Par la sage providence de Dieu,
Il a révélé par la révélation spirituelle qu’il allait être Son vase
choisi. Et sa mère n’a pas eu peur des commandements du roi. Car par la
foi, elle le voyait avec les enfants d’Israël, les plaçant dans la
Terre Promise. Amen.
Quels yeux de la foi, quelle puissance la foi a! Oh!
elle va loin au-delà de la puissance du diable. Le diable vous amène à
la mort, mais la foi regarde au-delà de cela. Le diable vous montre le
cimetière, disant: «Vous tous, vous irez là.» C’est vrai. Mais grâces
soient rendues à Dieu, nous reviendrons. Lorsque Jésus reviendra, ceux
qui dorment en Lui viendront avec Lui. Ainsi, la foi est de loin plus
puissante que n’importe quelle chose dont dispose le diable.
Le diable peut vous présenter des épouvantails et
tout le reste, vous attrister, disant: «Le matin, vous allez mourir. Et
voici votre dernière heure. Et voici telle ou telle autre chose.» Mais
cela n’effraie pas le croyant. Ce n’est qu’un bluffeur. Si Dieu me
révèle que cela ne va pas arriver, peu m’importe ce qu’il dit. Je m’en
tirerai de toute façon.
20 Lorsque les frères Mayo m’ont dit qu’il ne me
restait que quelques jours à passer dans la chair, vivant, que j’allais
partir, je les avais crus. J’ai dit: «Eh bien, on dirait que ç’en est
fini de moi.» Par après, le Saint-Esprit m’a révélé: «Ton ministère ne
fait que commencer.» Alléluia. Peu importe ce que les frères Mayo ont
dit, je n’ai pas considéré ce qu’ils ont dit; j’ai pris en
considération ce que Dieu a dit.
Il n’y a pas longtemps, je me tenais ici dans un
hôpital avec un jeune ami il y a environ six, sept ans, peut-être un
peu plus, un jeune homme se mourait de la diphtérie noire. Le vieux
papa m’a fait venir pour prier pour l’enfant, ou plutôt pour le jeune
garçon. Il avait environ quinze ans. Et le jeune homme se mourait. Et
le–le docteur ne voulait pas me laisser entrer; il disait: «Vous ne
pouvez pas entrer. Vous avez des enfants.»
J’ai dit: «Mais je vais courir le risque.»
Il a dit: «Mais vous transmettrez cette diphtérie à
vos enfants.»
J’ai dit: «Si j’ai assez de foi pour entrer là où il
y a la diphtérie, j’ai assez de foi pour croire que Dieu ne laissera
pas mes enfants contracter cela.»
Il a dit: «Vous ne pouvez pas entrer. C’était un
homme de foi catholique.»
J’ai dit: «Eh bien, si j’étais un prêtre, ici, et
que j’allais là pour administrer à ce jeune garçon l’extrême onction,
me laisseriez-vous?»
«Oh! dit-il, ça, c’est autre chose.» Il a dit.
J’ai dit: «Non, ce n’est pas différent. Ceci est
tout aussi sacré pour nous que l’extrême onction le serait pour vous.»
21 Eh bien, je l’ai persuadé. Ainsi, il est allé et
m’a habillé tout en blanc, et–et m’a mis un grand truc sur le visage.
Et je–je ne pouvais guère voir où j’allais. Et je suis venu passer par
là dans une robe qui pendait derrière moi. Vous ne m’y auriez jamais
reconnu alors. Je suis passé par là, c’était très bien. Il n’y a qu’un
seul moyen d’accéder là, c’était de suivre les instructions. Jouez
toujours le jeu selon les règles et vous gagnerez.
J’y suis donc allé, la mère et le père ont suivi. Le
garçon était couché là, mourant, depuis deux jours il était
inconscient. Je me suis approché; j’ai essayé de lui parler. Il ne
pouvait pas parler. Alors je me suis agenouillé, j’ai regardé le père
et il m’a regardé. Il y avait des larmes dans ses yeux. J’ai posé mes
mains sur le jeune garçon. J’ai dit: «Bien-aimé Père céleste, Tu as
dit: ‘Je suis la Résurrection et la Vie.’ C’est Toi qui nous as promis
ces choses. Et le père de cet enfant m’a fait venir ici pour prier, il
croit que Tu m’as envoyé pour prier pour les malades. Et ceci, je.
Père, j’offre de tout mon cœur la prière de la foi, qui peut toucher
Tes vêtements. Et avec une foi infaillible, autant que je sache dans
mon cœur, je crois pour que ce jeune homme recouvre la santé.» J’ai
dit: «Je demande ceci au Nom de Jésus.» Amen. Je me suis levé.
22 Le vieux père a regardé la mère et a dit: «Oh!
mère, n’est-ce pas merveilleux?» Le jeune garçon était tout aussi
mourant qu’il l’était avant. Et il a dit: «Oh! je suis très heureux.»
Et la petite infirmière qui se tenait là, en train de pleurer, s’est
retournée et a dit: «Monsieur, je ne comprends pas.» Elle a dit:
«Savez-vous que votre garçon se meurt?»
Il a dit: «Non, Madame, je ne le sais pas.»
Elle a dit: «Eh bien, vous voyez donc.»
Il a dit–il a dit: «Mon garçon ne se meurt pas, mon
garçon va vivre.» Il a dit: «Dieu l’a promis. Et il a dit.»
«Eh bien, écoutez, c’est bien d’avoir la foi,
dit-elle, Monsieur. Mais, dit-elle, je vous assure», elle a dit:
«Quelque chose comme le cardiogramme, ou je ne sais quoi, qu’ils
faisaient, une sorte d’appareil qu’on avait placé sur son cœur. Et elle
a dit: «Quand cela descend si bas comme cela, il n’a jamais été
enregistré, dans toute l’histoire de la médecine, que cela soit
remonté.» Elle a dit: «Le garçon ne peut pas survivre au-delà d’environ
trois ou quatre heures.»
23 Et je ne l’oublierai jamais, ce vieil homme a mis
sa main sur l’épaule de cette petite jeune dame, elle était
probablement vers la fin de l’adolescence; il a dit: «Sœur bien-aimée»,
il a dit: «Toi, tu regardes à cet appareil, c’est tout ce que tu as à
regarder; mais moi, je regarde à une promesse divine.» Amen. Le
lendemain matin, le jeune homme a pris son déjeuner. Et il est marié et
a maintenant un enfant. Voyez? La femme, tout ce qu’elle savait,
c’était de faire exactement ce que cet appareil montrait. Mais ce vieil
homme regardait, la foi perçait au-delà de cela. Et il a vu Dieu qui
était capable d’accomplir au-delà de toute mesure, le Dieu qui a promis
de ne jamais nous décevoir, ni nous abandonner, ni nous délaisser. Il.
Ça dépend de ce à quoi vous regardez. Le chrétien regarde aux choses
qu’on ne voit pas, car ils marchent par la foi. Est-ce vrai? Nous
croyons cela parce que la Bible l’a dit. Ils croient cela. C’est ainsi
que nous croyons, c’est parce que Dieu l’a dit. La foi testée, éprouvée
se confirme à cent pour cent. Dieu est obligé de répondre à ce genre de
foi.
24 Observez ce qu’elle a fait pour cette mère qui se
tenait là, alors qu’elle plaçait son bébé dans la même mort où tout
autre bébé avait été placé. Et un petit panier grand comme ceci, avec
l’enfant couché dedans, un bébé d’environ trois mois, probablement,
couché dans un petit panier d’à peu près cette longueur-ci, il n’y
avait qu’un tas de joncs et de saules entremêlés avec de la poix et du
bitume, et cela fut poussé dans des iris des marais où étaient les
crocodiles et tout le reste. Par… Eh bien, cela signifierait la mort.
Eh bien, assurément. C’était juste dans cette même rivière de la mort.
Mais par la foi, une expiation avait été faite pour lui, par la foi,
pas par un acte de lois naturelles, mais par la foi. Les lois
naturelles auraient juste prouvé que les alligators avaient senti
l’odeur de l’enfant, et ça aurait mis fin. Voyez? Ou bien, que la toute
première vague renverserait cela, ce qui mettrait fin à tout. Mais la
foi a regardé au-delà de cela.
Elle savait que la main de Dieu était sur cet
enfant-là. Par conséquent, elle n’avait pas peur de ce que disait le
roi. Et regardez ce qu’a fait la foi. La foi l’a fait sortir de la
rivière de la mort et l’a amené à la résurrection, elle l’a amené au
palais du Pharaon, qui l’a élevé et l’a instruit juste au palais même
de l’instrument du diable. Et si ce n’est pas là une occasion où Dieu a
berné Satan. Pharaon était l’instrument du diable, qui tuait les
enfants. Et Dieu lui a envoyé les enfants mêmes qu’il voulait tuer et
Il l’a amené à l’élever. Alléluia!
25 Ne vous croyez jamais plus avisé que Dieu. Dieu
agit de façon mystérieuse pour accomplir Ses prodiges. Pharaon, l’homme
au cœur dur, possédé de démons, tuait chaque enfant juif, car il était
oint par le diable; il a fait entrer dans sa maison leur roi, et il l’a
élevé, l’a instruit et l’a nourri; et en plus de cela, il a fait venir
sa mère pour qu’elle soit sa nourrice. Amen. Voilà ce que fera la foi.
La mère avait vu cela. Par la foi, elle avait vu cela. C’est la raison
pour laquelle elle est allée là, elle s’est tenue là et a attendu que
sa fille vienne l’appeler pour être la nourrice. Voyez, elle avait déjà
eu cela à l’esprit, en effet, Dieu le lui avait révélé. Amen.
Si Dieu vous révèle ce soir que votre maladie est
terminée au travers de l’expiation, de même qu’il en était pour cette
mère, c’est terminé. Amen. La puissance de la foi, elle a placé son
enfant en plein dans les mâchoires de la mort, par la puissance de la
foi, sachant qu’il ressusciterait. Amen. Elle l’a directement mis dans
les mâchoires de la mort.
26 Parfois les épreuves nous arrivent, les gens
disent: «Oh! j’aurais souhaité ne pas avoir. Dieu. Si je suis un
chrétien, pourquoi ceci m’est-il arrivé, Frère Branham?» Dieu a permis
que cela vous arrive, afin qu’Il puisse vous montrer votre–Son amour
envers vous. Afin qu’Il puisse vous prouver: «Je suis la Résurrection
et la Vie.» La mort dit: «J’ai le droit.» L’ordre du roi, c’est de
noyer tous les enfants, de les jeter à l’océan. Elle a dit: «Je le
place dans l’océan, ou dans les–les eaux qui sont en dessous de ceci,
par révélation. J’ai préparé une échappatoire.» Amen. Et elle l’a placé
dans la mort. Et la foi l’a racheté et a fait de lui le fils de la
fille de Pharaon, et a fait d’elle la nourrice. Voyez-vous comment Dieu
a agi? Dieu a travaillé d’un bout à l’autre pour Sa propre gloire et Il
a mis cela juste sous le nez de Satan, et Il a dit: «J’aimerais tout
simplement te montrer combien tu es aveugle, Satan. » Il a placé
l’enfant juste sous ses yeux et a amené Satan à le nourrir et à rendre
soin de lui, le nourrir jusqu’à ce qu’il devint l’homme même qui allait
détruire toute la nation et conduire le peuple à la victoire. Alléluia!
Oh! notre Dieu est merveilleux. Ayez foi. Qui est plus fort que la
mort? Certainement, la foi est plus forte que la mort. Voici donc la
puissance de la foi entrer en action.
27 Et maintenant remarquez. Eh bien, alors que la
journée il était. Je pense que l’Égypte était le pays le plus puissant
du monde sur le plan militaire, le plus grand centre commercial du
monde entier. Et sans doute que Moïse avait reçu un entraînement de
ROTC [Une formation donnée à un groupe d’étudiants dans certains
collèges et universités que l’on prépare à devenir des officiers de
l’armée–N.D.É.] et tout le reste. Dieu devait l’entraîner comme cela,
car il allait conduire une armée. Et Dieu a amené Satan à former Moïse
à conduire une armée qui le détruirait lui Satan. Alléluia! C’est cela
la puissance de la foi.
Par la foi, elle a vu cela. Et non seulement cela,
mais elle a fait des préparatifs pour cela. Elle a placé l’enfant dans
l’expiation, s’est avancée là et s’est tenue sur le rivage, attendant
qu’on la fasse venir. Gloire! Voilà! Attendant le temps, car par la foi
elle avait persévéré, voyant Celui qui est invisible. Elle savait que
c’était un enfant particulier. Elle savait ce que Dieu avait promis. Le
temps de la délivrance des enfants approchait, et elle savait que
c’était l’enfant en question. Amen.
28 Et alors, la journée, les officiers en chef, la
meilleure formation qui pouvait être donnée. Son dîner était servi sur
un plateau par Satan, qui le nourrissait.
Oh! la la! si c’était aujourd’hui, ce serait des
poulets frits, des steak, des patates, du thé et tout. Il était assis
là derrière et Dieu disait: «Tu vois ce dont je suis capable, Satan.
Après tout, tu n’es pas si grand que ça.» Voyez? Nous l’avons placé
dans la mort comme tu l’avais exigé, mais cette mère avait vu ce que Je
ferais là par Jésus-Christ pour tous ceux qui croiront en Moi. Par la
foi, elle a fait cela.»
Et après que Moïse eut bien suivi la formation d’un
véritable officier, en effet il. Pharaon pensait qu’il conduirait.
Après qu’on lui avait fait mettre le pied sur le trône. Et Pharaon
disait: «Un jour, il deviendra Pharaon.» Et alors, après qu’il lui eut
donné la meilleure formation possible, et c’était Dieu qui faisait tout
cela, C’est pour que les Amor… les Amoréens et les autres n’aient
aucune chance face à cet homme bien formé, Moïse, lorsqu’il mettra son
armée en ordre, là, et qu’il s’occupera d’eux. Eh bien, certainement
pas. Il s’est emparé d’eux juste comme Grant s’était emparé de
Richmond. Il… Ils n’avaient rien à faire là-dedans. Je vous assure. Il
continua tout bonnement, car il avait été instruit dans toute la
sagesse des Égyptiens.
Et alors, après qu’il revenait de l’école, après
l’étude du soir, sa mère l’amenait dans la chambre à coucher et
l’enseignait (Alléluia), une enseignante de la justice. Vous voyez donc
que chaque mère est un prédicateur. Elle a une petite. Elle a–elle a
sa–sa petite assemblée à la maison.
29 Elle enseignait donc Moïse en lui faisant des
révélations. Bien, il disait: «Maman, je comprends. Bien, nous avons
reçu toute cette formation aujourd’hui, mais maintenant tu disais que
Jéhovah ferait quoi?» Elle se mettait alors à lui lire par la foi.
Et lorsqu’il avait atteint l’âge d’occuper le trône, il refusa d’être
appelé le fils de la fille de Pharaon. Car par la foi (Alléluia), il a
vu ce qu’elle avait produit pour sa mère, et il adopta la même chose.
Je vois ce que cela a fait pour Paul; je vois ce que
cela a fait pour Pierre. Je vois ce que cela a fait pour les autres. Je
désire la même chose par la foi. Peu importe combien les nuages
paraissent sombres, ça ne fera rien. Le soleil brille juste au-delà de
cela. Nous avancerons tout droit jusqu’à ce que le soleil brille. Les
orages ne peuvent pas cacher Sa face bénie. Amen. Oh! Il n’a pas promis
une traversée facile, mais Il a toujours fait cette promesse: «Je serai
avec vous.» Amen. Ainsi, qu’importe l’impétuosité de l’orage, tant
qu’Il est près? Les vagues et les vents obéissent à Sa volonté. Amen.
30 Eh bien, oh! nous pourrions passer des heures
là-dessus, sur cette merveilleuse chose qu’est la foi: comment il a
observé la Pâques par la foi, comment il a rencontré Dieu et Lui a
parlé. Par la foi, il est allé là et a observé l’agneau pascal, il est
sorti et s’est mis en route. Dieu opérait tout cela par la puissance de
la foi. Voyez-vous ce que peut faire la foi?
31 Bien, Il fut conduit tout droit sur la route vers
la Terre Promise. Vous connaissez tout le conflit entre Dieu et
Pharaon, là-bas, comment par la foi il a fait telle chose, par la foi
il a fait telle chose et par la foi il a fait telle autre chose.
Et maintenant dans notre texte de ce soir, nous les
voyons en route dans leur voyage. Et ils ont regardé là, et il y avait
la mer Rouge, des montagnes s’élevaient de deux côtés; et ils levèrent
les yeux et regardèrent derrière, là venait Pharaon avec toute son
armée, tous ses soldats formés, ses chars et le capitaine de chaque
char et tout. De là s’élevait un grand nuage de poussière pendant que
des dizaines de milliers, oui, peut-être, un million ou plus des hommes
armés s’amenaient. Et voici ce troupeau de petites brebis avec à leurs
trousses une meute de loups. Qu’arriva-t-il alors? C’est simplement
humain, juste comme nous le ferions tous: «N’y avait-il pas assez
de tombes là en Égypte pour que nous y soyons enterrés?» C’est de cette
manière que nous pensons. Ils avaient oublié ce que toute la foi avait
fait pour eux quelques jours avant. C’est ce que nous faisons. À la
toute première petite souffrance qui nous frappe, après qu’on a prié
pour vous: « Oh! eh bien, je pense que j’ai perdu cela. » Oh!
la la! et on les entend dire qu’en venant à l’estrade, ils ont été
guéris de cancer, les yeux des aveugles ont été ouverts, les boiteux
ont marché encore, et toutes ces choses, et nous les voyons, nous
observons cela, nous examinons cela, et nous allons droit de l’avant.
Et puis, au premier petit conflit qui surgit, nous oublions tout à ce
sujet. On voit le Seigneur Jésus-Christ dans la puissance de Sa
résurrection, mais nous oublions très vite. Ça, c’est le côté humain de
la chose.
32 Mais ils avaient vu cela, et ils étaient
impuissants. Eh bien, quel endroit! Pouvez-vous vous imaginer? Un
peuple qui avait marché avec révérence devant Dieu, qui avait observé
chacun de Ses préceptes, ils avaient mangé l’agneau pascal, ils avaient
aspergé le sang, ils avaient suivi chaque instruction, exactement comme
Moïse l’avait donnée, avec révérence. Et puis, Dieu les a directement
conduits là et les a pris au piège. Oh! la la! Impuissants, ils ne
pouvaient rien faire.
Là se trouvait la mer Rouge. De deux côtés, il y
avait des montagnes. Et ils étaient acculés juste là dans un petit
coin, et là venait l’armée de Pharaon. Dieu les avait conduits dans un
piège. Oh! mais, oh! la la! Dieu avait établi la carte de leur
pèlerinage avant la fondation du monde, pour qu’ils passent par-là.
Alléluia. Ne pensez pas que je suis toqué parce que
je crie ‘Alléluia’. Je ne puis m’en empêcher; j’exploserais, je crois,
avec ceci. «Alléluia » signifie «gloire à notre Dieu». Alléluia,
gloire à notre Dieu. Très bien. C’est le seul mot que je peux prononcer
en allemand ou dans n’importe quelle autre langue, même celle des
Hottentots de l’Afrique du Sud. Peu importe l’endroit, c’est le même
terme; Alléluia reste comme tel. Gloire à notre Dieu!
33 Eh bien, les voilà tout coincés; Dieu, faisant
sortir Ses enfants de cette partie de–de l’Égypte et les amenant là
pour les prendre au piège, juste en cet endroit. Le Dieu du ciel les
conduisait par une Colonne de Feu et Il les a amenés là dans ce piège.
Eh bien, l’incrédulité dira: «Pourquoi? Pourquoi a-t-Il fait cela?»
Observez, aussitôt après être sortis de là, ils sont allés droit dans
le désert de Sin, ils sont sortis de là pour tomber droit dans les
murmures, et tout. Dieu conduit Ses enfants au travers des telles
voies.
Certains par les eaux,
Certains par les flots,
D’autres par de grandes épreuves,
Mais tous par le Sang.
Amen. C’est ça, suivez tout simplement. Peu importe
là où Il vous conduit, continuez tout simplement à suivre. Et c’est ce
qu’Israël a fait et ils se sont dirigés tout droit dans un piège. Mais
le côté humain, ils ont oublié tous les miracles, ils ont tout oublié,
ce grand Dieu qui les avait conduits, et ils ont commencé à se poser
des questions: «Que pouvons-nous faire?» Alors Moïse cria au Seigneur.
Et une Voix lui répondit: «Tiens-toi tranquille (Alléluia) et vois le
salut de Dieu.» Vois quoi? Le salut. Eh bien, Dieu.
34 La démonstration a été faite par Satan: La mort à
la rivière. La foi, la puissance de la foi a été confirmée par la
destruction, la sortie de l’Égypte, et tout ce qu’ils avaient fait. La
foi avait démontré qu’elle était puissante. Maintenant, qu’en est-il de
Dieu? Eh bien, ils sont dans un piège, c’est maintenant le temps pour
que Dieu manifeste quelque chose. Les gens ne pouvaient rien faire de
plus. Ils avaient observé chaque précepte et ils se retrouvaient dans
un piège. C’est maintenant le temps pour Dieu d’agir. Vous dites:
«Pourquoi a-t-Il fait cela?» Pour leur montrer Son amour.
Peut-être que c’est pour cette raison que vous êtes
tombé malade. Il veut vous manifester Son amour. Il veut que vous en
arriviez une fois au bout. Vous savez, parfois, c’est vraiment
désagréable, mais Dieu doit nous amener à nous coucher sur le dos afin
que nous levions de temps en temps les yeux en haut. Est-ce vrai? Oui.
Il voulait manifester Son amour. Il voulait manifester Sa puissance.
Dieu aime manifester Sa puissance.
Il avait dit à Abraham quatre cent quarante ans
avant (vingt ans avant cela, plutôt c’était quatre… quarante) – avant
ce temps-là, qu’Il ferait sortir les enfants d’Israël par une main
puissante. Dieu doit tenir Sa promesse. Le même Dieu qui a dit qu’Il
les ferait sortir par une main puissante et qui a accompli cela à la
lettre, le même Dieu a dit: «S’ils imposent les mains aux malades, les
malades seront guéris.» Il accomplira cela littéralement. Peu importe
combien de critiques et des gens se lèvent avec leurs théologies et
leur conception intellectuelle de la Parole, sans révélation, Dieu
tiendra malgré tout Sa Parole. Amen. Je ne vous crie pas dessus, c’est
cette histoire-ci qui émet un son fort, je me sens vraiment bien
maintenant même. Je vais donc m’en éloigner.
35 Remarquez. Voir Dieu entrer en action, n’est-ce
pas merveilleux? Il y a quelque temps, ici à Arlington, au Texas,
j’étais là dans un petit. Un soir, en rentrant à l’hôtel où je restais,
j’ai entendu une femme pleurer. Et je me suis dit: «Quelqu’un est en
difficulté.» Je me suis retourné pour voir; et cela provenait d’un
petit bâtiment. Il y avait là deux jeunes filles dans leur… oh!
probablement au début de la vingtaine, vingt et un, vingt deux ans,
elles se tenaient là, l’une avait une chevelure blonde et l’autre, une
chevelure noire. Elles avaient mis les bras l’une autour de l’autre et
elles pleuraient. Alors j’ai demandé: «Pardonnez-moi, mademoiselle,
puis-je.» J’ai dit: «Je suis un prédicateur, puis-je vous venir en
aide?»
Et elle a dit: «Oui, Frère Branham.» J’ai su qu’elle
me connaissait.
Et j’ai demandé: «Qu’y a-t-il?»
Elle a dit: «Nous avons compris que nous ne pourrons
pas recevoir une carte de prière pour entrer dans la ligne. Comme nous
connaissions l’hôtel où vous restez, nous sommes donc restées ici même,
espérant que peut-être votre ombre passerait sur ma petite amie, et
qu’elle serait guérie.» Oh! la la!
J’ai demandé: «Qu’a-t-elle?»
Elle a dit: «Elle a des troubles mentaux. Je
l’ai amenée ici.»
36 Me tenant là avec cette grande foi, pas une
soi-disant foi, mais une foi authentique, une vision est apparue, j’ai
dit: «Oui. Vous venez du Nord de Texas, près de Lubbock.» J’ai
dit: «Vous l’avez amenée ici dans un véhicule Buick jaune, vous avez
suivi une route qui était à moitié en béton et à moitié macadamisée.
J’ai dit: «Vous avez pris le virage, vous riiez toutes les deux, le
véhicule s’est renversé, vous avez presque eu un accident.» Et elle a
lâché un cri à tue-tête. Et j’ai dit: «Et AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle
est guérie.» C’est vrai. Et là.
Le lendemain, c’est comme si elle allait embraser
toute la ville, elle avait secoué le nid du diable. Laissez-moi vous le
dire. Si vous voulez que le diable soit provoqué, commencez tout
simplement à prêcher la guérison divine. Le jour de la Pentecôte,
Pierre avait prêché et trois milles âmes avaient été sauvées, et Satan
n’a même pas été ébranlé. Mais quelques jours plus tard, il avait guéri
un boiteux à la porte appelée la Belle, et tout l’enfer avait été lâché
sur lui. C’est vrai. Le diable n’aime pas voir Dieu déployer Sa
puissance. Il pense avoir beaucoup de puissance, mais c’est–c’en est
fini de lui. Amen. Notre Christ a la prééminence. Prenez l’initiative;
ne le laissez pas vous forcer à faire quelque chose.
37 Ce même jour. Quelques jours après cela, ces
jeunes filles arrivèrent là. Frère Baxter entra et dit: «Frère
Branham», il dit: «On a jeté de l’huile dans le feu.»
J’ai demandé: «Qu’y a-t-Il?»
«Oh! dit-il, cela… il a dit: «On va vous dénoncer ce
soir comme étant Simon le magicien.»
J’ai dit: «Oh! est-ce vrai?»
Il a dit: «Oui.» Il a dit: «Frère Branham, on a
distribué des cartes partout dans la ville», et il a ajouté: «Ces deux
jeunes filles, vous savez, celles qui ont été guéries?»
J’ai dit: «Oui.»
Il a dit: «Elles sont au rez-de-chaussée, en train
de pleurer, elles font leurs valises pour rentrer à la maison.» Il dit:
«Oh! c’est pathétique, Frère Branham.»
J’ai demandé: «Qu’y a-t-il?»
Il a dit: «Eh bien, elles ont dit qu’elles en
souffraient, car c’est leur témoignage qui a provoqué une si terrible
agitation ici. Elles étaient méthodistes. Et alors, elles ont dit:
‘Cela a provoqué une telle agitation qu’on va. le FBI va vous arrêter
ce soir pour vous dénoncer comme étant Simon le magicien.’»
«Eh bien, ai-je dit, si c’est vrai, je mérite d’être
dénoncé.» Voyez? J’ai dit: «Assurément.»
Il a dit: «Eh bien, vous feriez mieux de descendre
pour leur parler.» Il a dit: «Elles sont au rez-de-chaussée.
Maintenant.»
38 J’ai dit: «Dans quelle chambre se trouvent-elles?»
Il me l’a indiqué. Et je suis allé et j’ai frappé à la porte. Et elles
pleuraient tout en faisant leurs valises.
«Oh! dirent-elles, Frère Branham, nous sommes
vraiment désolées.»
J’ai demandé: «Pourquoi êtes-vous désolées? »
J’ai dit…
Elle a dit: «Oh! nous avons provoqué tant d’ennuis.
Nous vous avons mis en difficulté.»
J’ai demandé: «C’est vrai? Pour avoir guéri
quelqu’un?» J’ai dit: «Vous ne m’avez pas mis en difficulté; vous avez
mis le diable en difficulté.» J’ai dit: «C’est… C’est lui qui est en
difficulté, pas moi.»
Et elles ont dit: «Eh bien, Frère Branham», elle a
dit: «Nous sommes vraiment désolées.» Elle a dit: «Nous étions assises
à côté d’une femme aujourd’hui, et elle a demandé: ‘N’êtes-vous pas
avec l’équipe Branham?’»
Elle a dit: «Non, madame.»
Elle a dit: «Oh! oui, vous l’êtes.»
Elle a dit: «Non, j’ai tout simplement été guérie
là, dans un–dans un hôtel l’autre soir.»
Elle a dit: «Écoutez», elle a dit: « Cet
homme-là est un sorcier.» Elle a dit: «Nous en sommes sûrs.» «Eh bien,
dit-elle, madame, voici mon–mon amie qui est venue avec moi, elle
allait être internée dans un asile de fous. Et elle a été examinée,
elle est parfaitement normale.»
Elle a dit: «Oh! oui, je le sais. J’ai une fois
placé un garçon dans ma réunion–dans sa réunion, il souffrait de la
tuberculose. Et il est allé là et il a fait ses tours de passe-passe
sur lui. Et elle ajouta: «L’enfant a été guéri de la tuberculose, mais
c’était du diable.»
39 Et quiconque n’en sait pas plus que le diable n’a
aucune puissance ni rien pour guérir. Je défie cela. Si le diable peut
guérir, c’est qu’il est dans–il est de mèche avec Dieu. Je suis
l’Éternel qui guérit toutes tes maladies. Le diable n’a pas… C’était le
grand conflit entre les–les Égyptiens là, lorsqu’ils ont fait venir
leurs diseurs de bonne aventure et autres. Ils étaient capables de
faire des choses, mais ils ne pouvaient pas guérir. Chaque fois que
les–les–les magiciens faisaient quelque chose… Quand Moïse faisait
quelque chose, eux imitaient cela. Cependant, ils pouvaient faire
apparaître cela – mais ils ne pouvaient pas faire disparaître cela.
Ainsi, cela montre que Dieu est le seul qui peut guérir.
40 Alors, elle a dit: «Nous sommes désolées. Nous
rentrons à la maison.» Et elle a dit: «Nous sommes vraiment désolées.
Nous sommes…»
J’ai dit: «Écoute donc, tu sais que la jeune fille
a été guérie.»
«Oui.»
J’ai dit: «Dieu n’est-Il pas merveilleux dans la
guérison?»
Elle a dit: «Si.»
J’ai dit: «Il te faudrait Le voir dans la bataille.
Ma fille, Il est merveilleux.»
Elle a dit: «Vous n’allez pas vous rendre là-bas?»
J’ai dit: «Eh bien, tu ne t’attends pas à me voir
fuir, n’est-ce pas?» J’ai dit: «Certainement que je vais m’y rendre.»
Elle a dit: «Frère Branham, le FBI va vous
dénoncer.»
J’ai demandé: «Dénoncer quoi? Qu’ont-ils à
dénoncer?» J’ai dit: «Je fais de mon mieux pour être dénoncé, essayant
de mon mieux pour apporter l’Évangile à tout le monde, autant que
possible. J’ai dit: «J’aimerais être un peu aidé.»
Elle a dit: «Vous voulez dire que vous irez là?»
41 J’ai répondu: «Assurément.» J’ai dit: «Viens voir
l’Éternel dans la bataille. Tu sais qu’Il est merveilleux dans la
guérison. Vois-Le une fois dans la bataille, vois ce que… combien Il
est grand là.» J’ai dit: «Oh! Il est merveilleux dans la bataille.»
J’ai dit: «Jamais je ne L’ai vu s’engager dans une bataille, jusqu’ici,
sans en sortir victorieux. Même lorsqu’on L’a mis dans le séjour des
morts. Il a mis Sa tête – oh! Son pied sur le coup du diable et Il lui
a arraché les clés de la mort, Il est ressuscité le troisième jour;
même dans la mort, Il en est sorti victorieux. J’ai dit: «Satan n’a
rien qui a de l’emprise sur Lui. » Donc, je suis parti. Et ce
soir-là, lorsque je suis arrivé là, on avait… Le concierge avait envoyé
quelques petits garçons espagnols ramasser… Il était écrit: « Ceci
a été écrit dans un esprit de prière. La guérison divine peut être
vraie, mais Simon le magicien est toujours à l’ouvre. » Et alors,
je me suis avancé… J’ai dit: «Frère Baxter, vous tous, quittez tout
simplement le bâtiment, allez derrière.» Il y avait environ trois ou
quatre mille personnes, ou cinq mille. Juste… La réunion venait de
commencer. J’ai dit: «J’ai ici un petit bout de papier où il est écrit
que je suis Simon le magicien et que le FBI va me dénoncer.» J’ai dit:
«Nous ferions tout aussi bien de nous débarrasser de cette question
tout de suite. Venez me dénoncer ici. J’aimerais que vous veniez.» J’ai
attendu un petit instant. Alors j’ai dit: «Où êtes-vous? Pourquoi ne
venez-vous pas?» J’ai donc attendu, je me demandais ce que c’était. Je
ne savais pas ce qu’il en était.
42 J’ai remarqué, au coin, à ma droite une grande
ombre noire qui se tenait là. Je me suis demandé pourquoi c’était là?
J’ai de nouveau regardé derrière. Elle s’est déplacée de là, ç’a
traversé là où il y avait les gens, elle est allée au balcon et elle
est restée suspendue au-dessus d’un homme en costume bleu, et d’un
autre en costume gris. Alors une vision est apparue.
J’ai dit: «Il ne s’agit pas du FBI. Ce sont ces deux
prédicateurs rétrogrades qui sont assis juste là.» Ils se sont inclinés
comme ceci. J’ai dit: «Ne vous inclinez pas.» J’ai dit: «Maintenant…»
Et trois ou quatre de ces gaillards de Texas aux mains rudes sont allés
se saisir de lui. J’ai dit: «Non, non, non. Ne faites pas cela. Ceci
n’est pas une affaire de la chair et du sang. Laissez-les tranquilles.»
En effet, ils lui auraient mis une corde au cou, alors j’ai dit: «Ne
faites pas cela.»
Mais laissez-moi vous montrer quelque chose. Si je
suis Simon le magicien, je mérite d’être dénoncé. Venez ici sur cette
estrade, si je suis Simon le magicien. Et si je suis Simon le magicien,
je tomberai raide mort sur cette estrade. Et si je suis un homme de
Dieu, venez ici, et si vous êtes dans l’erreur, et que moi, je suis un
homme de Dieu, c’est vous qui tomberez raide morts sur cette estrade,
et que cet auditoire voie qui a raison et qui a tort. Et que Dieu
témoigne qui a raison.»
Alors ils sont restés assis là un petit instant,
j’ai dit: «Eh bien, nous allons chanter un cantique.» Lorsque j’ai
commencé à chanter un cantique, ils se sont levés et ils ont emprunté
le couloir et ils sont sortis. Nous avons attendu pendant environ
trente minutes, et personne n’est jamais venu. Ils ne sont pas venus
depuis lors. Certainement.
43 J’ai dit: «Je suis malade et fatigué de cette
histoire, partout». Dieu est puissant dans la bataille. S’Il vous a
envoyé, n’ayez pas peur. Tenez-vous là et voyez le salut de Dieu. Il a
dit: «Tenez-vous tranquilles.» Il n’y a qu’un seul qui peut apporter le
salut, c’est Dieu. Personne d’autre ne peut sauver en dehors de Dieu.
Il a dit: «Eh bien, tenez-vous tranquilles et voyez le salut de Dieu.»
Là s’avançait l’armée. Oh! lorsque je pense à cela… Là s’avançait
l’armée et la poussière s’élevait. Et quand Moïse s’est tenu tranquille
pour voir le salut de Dieu, la grande Colonne de Feu qui était
suspendue au-devant d’eux, Celle qui les avait conduits dans ce piège,
s’est déplacée, est passée par-dessus eux, et Elle s’est tenue entre
Israël et l’armée de Pharaon. Et ils avaient rejeté la Lumière.
Et quiconque rejette la Lumière reçoit la même chose
qu’ils reçurent. Elle a produit une obscurité comme à minuit pour eux.
La même Lumière qui donnait de la Lumière pour les enfants d’Israël,
afin qu’ils s’en servent pour marcher, avait aveuglé les yeux de
Pharaon et de son armée. Et le même Évangile du Saint-Esprit qu’on taxe
de non-sens, qui amènera l’Église dans la Gloire, aveugle les yeux des
théologiens modernes ce soir.
44 Le même Saint-Esprit avec Sa puissance qui a
ressuscité Jésus-Christ, qui se tient–qui est dans ce bâtiment ce soir,
aveugle les yeux du prédicateur de ce temps moderne et ceux de son
église. Et c’est la Chose qui les a aveuglés qui a donné la Lumière
(Alléluia.) depuis la résurrection de Jésus et le jour de la Pentecôte.
Dieu le fera. Pouvez-vous expliquer cela? Mais si vous n’acceptez pas
la Lumière, Elle deviendra ténèbres pour vous. Vous critiquerez Cela,
vous taxerez Cela de saint exalté, et il aurait été mieux qu’on
suspende une meule à votre cou, et que vous soyez noyé au fond de la
mer. Vous blasphémez contre le Saint-Esprit. Il n’y a pas de pardon. Il
a dit: «Celui qui prononce une parole contre le Fils de l’Homme sera
pardonné. Mais si vous prononcez quelque chose contre le Saint-Esprit,
cela ne vous sera jamais pardonné.»
Mais oh! vous le savez très bien. Ainsi vous vous
êtes moqué des gens qui étaient dans l’Esprit de Dieu, qui croyaient
dans la guérison divine et la résurrection de Christ, et les puissances
de Dieu. Vous vous êtes moqué de cela, vous avez fait le dégoûté et
vous êtes sorti de l’église. J’aimerais que vous voyiez ce qui arrive
lorsque vous vous tiendrez devant le Roi qui a envoyé ce Message. Oui
oui. Oh! vous avez fait l’important, mais attendez tout simplement que
ce jour arrive. Ceci est le jour de l’homme, le jour de l’Éternel
vient. C’est vrai.
45 Remarquez. Comme c’est merveilleux. Le même… Je…
Oh, j’ai déjà débordé. Je ferais mieux d’arrêter. Dieu dans Sa
puissance… Juste un instant. Dieu agissant par Sa puissance, Il a dit:
«Moïse, pourquoi cries-tu vers Moi? Prends ta verge en main, lève ta
main et va de l’avant.» Alléluia! Voilà Moïse avancer, verge en main,
et l’autre main levée, disant:
Nous marcherons dans la Lumière.
Quelle merveilleuse Lumière,
Elle vient, là où les gouttes de la miséricorde brillent.
L’Ange de Dieu les précédait dans une Colonne de
Feu, les conduisant jusqu’au rivage; et lorsqu’ils sont arrivés là,
Elle a érigé des murs pour eux (Alléluia) et ils sortirent directement
du piège, Dieu déployant Son amour et Sa puissance. Lorsque rien
d’autre ne pouvait vous secourir… Amen.
46 La puissance de Satan est limitée. La puissance de
la foi amène la révélation révélée de Dieu à s’accomplir. Dieu vient en
aide à ceux qui ne peuvent pas agir et s’aider eux-mêmes.
Le vieux dicton qui déshonore Dieu dit: «Aide-toi et
le Ciel t’aidera.» …comme c’est ridicule, Dieu aide ceux qui ne peuvent
pas s’aider eux-mêmes. Amen. Oh! n’est-Il pas merveilleux? La puissance
de Dieu, ce qu’elle fait. La puissance de Dieu est l’unique chose qui
peut donner la Vie éternelle. La puissance de Dieu est l’unique chose.
C’est la puissance de Dieu qui fait pousser un arbre. Toute la science
du monde ne peut pas faire pousser un arbre. La puissance de Dieu a
fait pousser l’arbre. La puissance de Dieu me garde en vie.
47 Si Dieu vous appelle, tous les hôpitaux, toutes
les tentes à oxygène, toutes les bonbonnes du monde ne peuvent vous
garder en vie ici. Le salut appartient à l’Éternel. C’est la puissance
de Dieu qui nourrit les passereaux. C’est la puissance de Dieu qui
parle au petit canard là. Personne ne va là pour le chasser du lac, en
disant: «Descends en Louisiane.» Non non. C’est la puissance de Dieu
qui le fait partir du lac. Ce petit oiseau ne sait quelle direction
prendre. C’est la puissance de Dieu qui le dirige vers le Sud.
Alléluia.
C’est la puissance de Dieu qui conduit les gens à
Jésus-Christ. C’est la puissance de Dieu qui avait conduit les mages
vers la crèche. C’est la puissance de Dieu qui ravit l’âme de chaque
croyant. Amen. La puissance de Dieu pour aider ceux qui ne peuvent pas
s’aider eux-mêmes. Amen.
Peut-être que vous avez lu la brochure, une petite
histoire (avant de terminer), je suis un chasseur; vous le savez,
j’aime le bois. Il y a quelque temps, environ trois, quatre, ou
peut-être trois mois, j’étais assis avec ceux que j’appelle mes deux
étudiants ici, Leo et Gene, vos jeunes gens d’ici. Ils viennent là et
me tiennent compagnie partout. Ils étaient assis sur la véranda, et je
leur enseignais les choses de Dieu.
48 Une jeune femme de notre ville avait donné
naissance à un enfant, et elle n’en voulait pas. C’était donc une belle
jeune femme. Et elle a pris l’enfant et l’a enveloppé dans une
couverture et elle l’a lié avec un fil, elle a pris un taxi et est
allée sur le pont et l’a jeté dans la rivière. On l’a attrapée. Ainsi,
nous étions assis là, parlant de cela, M. et Mme Wood ici présents, le
vendeur de livres, ils étaient là; ils habitent juste de l’autre côté –
ce sont de très proches voisins à moi. Le laitier venait d’arriver et
nous étions assis là sous la véranda ce matin-là, il faisait chaud
comme tout, j’ai vu venir sur la route, puis prendre le virage, (il y a
quatre maisons entre la mienne et Artic Springs, une forêt qui est là);
voilà venir une vieille opossum, en se traînant, elle a dépassé toutes
ces maisons qui n’avaient pas de clôture et elle est entrée chez moi,
où il y avait un mur en pierre et une clôture. Et elle s’est engagée
dans la–l’allée.
49 Eh bien, maintenant je comprends parfaitement bien
les animaux. Je les ai étudiés. J’ai été un garde chasse pendant des
années. Et j’aime la faune, je vis là, j’étudie cela. Et l’opossum est
aveugle pendant la journée, comme le hibou. Il se déplace la nuit.
Pendant la journée il ne se déplace pas, à moins qu’il ait été dérangé
ou pourchassé.
Eh bien, voilà venir cet opossum et je me suis
demandé pourquoi elle s’était directement dirigée jusque chez moi. J’ai
dit: «Il peut avoir la rage.» J’ai donc dit à Gene et Leo ici
présents: «Je vais…» Je suis sorti et j’ai pris un râteau qui
traînait là dans la cour, où je pense, frère Wood s’en servait, il
ratissait la pelouse. Et alors, je–j’ai posé ce râteau sur l’opossum.
Et souvent, ils font ce qu’on appelle jouer à l’opossum, c’est-à-dire
plier les lèvres comme pour faire un large sourire tout en restant
couché.
Mais au lieu de cela, elle a mordu le râteau. Et je
me suis demandé: «Eh bien», j’ai dit: «Je pense que soit elle a la
rage, soit elle a une blessure vraiment mortelle.» Et j’ai remarqué
ici, excusez-moi ceci, c’est sale de le dire. Mais il était couvert
d’asticots et de chiures de mouches; ainsi que de mouches vertes qui
s’accrochaient à lui. Et cette patte-ci avait été broyée par un chien,
ou–ou par un véhicule qui avait marché dessus ou quelque chose comme
cela, et c’était fracturé, et il la traînait comme cela avec peine. Eh
bien, elle… Il mordit à cela.
50 Et j’ai pu remarquer, lorsqu’elle était très
épuisée, lorsque j’ai posé sur elle le râteau… Eh bien, un opossum, le
kangourou et l’opossum sont les seuls animaux à avoir des pochettes où
ils portent leurs petits. Et évidemment, cela est soutenu par un… comme
un nerf, qui retient cela bien en place. Et elle était si épuisée que
la pochette lâchait. Et j’ai compris pourquoi elle se débattait si
durement, elle avait neuf petits nus, de cette taille-ci. Et
lorsqu’elle s’est affaissée, eh bien alors, j’ai dit aux jeunes garçons
et j’ai dit: «Eh bien, mes garçons, venez ici. Je vais vous donner une
leçon. Cette bête sans intelligence, cet opossum, est plus mère que
cette femme qui a noyé son enfant.» C’est vrai.
J’ai dit: «Voyez, cette femme-là était en bonne
santé, jeune et belle; rien que pour pouvoir fréquenter des boîtes de
nuit et s’amuser, elle a noyé ce pauvre petit enfant innocent dans la
rivière.» Alors j’ai dit: «Eh bien, cette mère opossum, probablement
qu’il ne lui restait que vingt minutes de plus pour vivre, ou trente.
Elle était blessée à mort.» Alors j’ai dit: «Elle ne peut pas vivre
plus de trente minutes. Et elle consacrera ces trente minutes à lutter
pour ses petits.» J’ai dit: «Cet opossum est plus mère et a plus de
vertus que dans cette autre femme-là.» Il y a un… Une femme, c’est une
merveilleuse chose, un homme aussi, mais lorsqu’ils s’éloignent de
Dieu, ils tombent plus bas que les bêtes. C’est vrai. Ils feront des
choses qu’une bête ne ferait pas. J’ai donc fait cette observation.
51 Et alors, j’ai enlevé le râteau de dessus elle et
elle n’a pas hésité une minute. Elle s’est levée et s’est tenue tout
droit, et elle s’est couchée juste à côté de mes pieds. Eh bien, je
suis allé là et je–je lui ai donné un tout petit coup, et elle n’a même
pas bougé. C’en était fini d’elle. Les autres ont dit: «Elle est
morte.» J’ai dit: «Je ne sais pas.» J’ai posé un bâton sur elle. Et
non, elle n’était pas morte. Et ces pauvres petits opossums étaient en
train de téter, ils essayaient de téter.
Eh bien, madame Wood, elle est assise ici, c’est une
aimable chrétienne née de nouveau de Dieu, si jamais j’en ai vu une.
Mais elle est une vétérinaire. Elle a dit: «Frère Branham, la seule
chose que l’on puisse humainement faire maintenant pour cet opossum,
c’est de le tuer.» Elle a dit: «Je vous assure, Frère Branham»; elle a
dit: «Vous voyez ces petits sont en train de téter. Et peut-être
qu’elle est morte ou qu’elle le sera dans quelques minutes.» Et elle a
dit: «Ces petits vont mourir. Voyez?» Elle a dit: «Ils vont tout
simplement crever de faim.» Elle a dit: «L’unique chose à faire, c’est
de prendre ces petits et de les tuer, et tuer la vieille mère
opossum, comme vous ne saurez pas élever les petits, ils sont si
petits. Elle a dit: «Vous ne saurez pas les élever.»
52 J’ai dit: «Sœur Wood, je sais que cela est vrai.»
Mais j’ai dit: «Je ne peux tout simplement pas faire cela.»
«Eh bien, dit-elle, vous êtes un chasseur, n’est-ce
pas?»
J’ai dit: «Oui, mais je ne suis pas un tueur.»
J’ai dit: «Je–je ne peux tout simplement pas faire
cela.» Et elle… J’ai dit: «Ces opossums, on les mange. Les gens mangent
ces animaux, c’est de la nourriture.» J’ai dit: «J’en ai tué plus d’un,
mais j’en ai tué pour manger.» Mais j’ai dit: «Pas–pas juste comme ça.»
Alors elle a dit: «Eh bien, que Banks le fasse.» C’est son mari, mon
cher copain. Et elle a dit: «Laisse Banks le faire.»
Alors j’ai dit: «Je–je n’aimerais tout simplement
pas qu’il le fasse.» Eh bien, elle est tout simplement allée de
l’avant. C’est tout ce qu’elle pouvait faire. Oh! le jour avait été
long, j’avais essayé de nourrir cet opossum, elle n’avait plus bougé,
et ces pauvres petits opossums essayaient de téter. Et puis, ils
étaient couchés là sous ce soleil chaud, qui brillait juste sur elle,
je me suis dit: «Oh! la la! quel spectacle!» Et sa patte était gonflée
jusqu’ici, et des chiures partout et elle était couverte de mouches.
J’ai essayé de déverser de l’eau sur elle, vous savez, pour chasser ces
mouches. Et elles revenaient. Et oh! il y avait de la gangrène et tout.
Alors j’ai dit: «Oh! la la! c’est horrible à voir.»
53 Ainsi, la soirée fut longue, frère Wood vint et
dit: «Eh bien, Frère Branham, tu as été occupé aujourd’hui, avec ces
gens qui font des va-et-vient, et tout,» il a dit: «Tu ferais mieux de
faire un petit tour.» Ainsi, lui et sa femme, moi et ma femme, nous
sommes montés à bord du véhicule et nous avons fait un tour dans la
contrée. Et nous roulions quand tout d’un coup, je crois que c’était ma
femme qui a dit: «Oh! avez-vous vu ce petit chien qui est couché là?»
Et je me suis retourné et je suis rentré. Eh bien,
je suis sorti pour le ramasser, et cette pauvre petite bête avait à peu
près cette taille et cette longueur, et il avait de la gale partout,
c’était croûte sur croûte, avec des puces partout, ou plutôt des
mouches; vraiment rongé. Alors j’ai dit: «Pauvre petite bête.» La sœur
Wood a dit: «Je crois que vous devriez la tuer», elle a dit: «Parce
qu’elle finira par mourir de toute façon.» J’ai dit: «Je vais le
ramener avec moi à la maison, cette pauvre petite bête.» Alors je suis
allé me procurer un produit contre la gale et une poudre et je l’ai
soigné. Et oh! la la! c’est un grand et beau chien aujourd’hui.
54 Mais alors, quand je suis allé à… Je suis revenu à
la maison cette nuit-là vers vingt-deux heures trente, ou vingt-trois
heures, ce vieil opossum était couché là. Frère Woods a dit: «Elle ne
se déplacera jamais.» Il a dit: «C’est quand il faisait noir qu’elle
pouvait se déplacer, mais maintenant elle ne se déplacera plus jamais.»
Eh bien, elle est restée couchée là toute la nuit.
Mon esprit ne pouvait pas se détacher de cet opossum. Le lendemain
matin, je suis sorti, Billy est arrivé. Il était allé à la pêche ou
ailleurs, il est revenu vers minuit, et le vieil opossum était toujours
couché là. Alors je… Le lendemain matin, je suis sorti vers six heures
trente ou sept heures, lorsque je me suis levé, je suis sorti et ce
vieil opossum était couché là. Eh bien, je me suis dit: «Elle est
morte.» Alors je lui ai donné un tout petit coup de pied, comme cela.
Et j’ai vu un genre de petit ricanement, on dirait, au coin de lèvres,
quand je lui donnais des coups de pied. Alors j’ai dit: «Oh! la la! Et
ces pauvres petits opossums, on dirait, essayaient encore de téter. Je
me suis dit: «Que c’est pitoyable. Elle ne pouvait pas avoir la force
de faire entrer cette pochette.»
55 Eh bien, ma petite fille Rébecca, vous savez,
celle qui s’assoit dans des réunions et prie pour les malades, et elle
est alors sortie, elle a regardé et elle a dit: «Oh! papa, regarde
cette pauvre bête.»
J’ai dit: «N’est-ce pas horrible, ma chérie?»
Et elle a dit: «Oh! je ne peux pas la regarder.» Et
elle est rentrée dans la maison.
Et moi, je suis entré dans mon bureau, je me suis
assis, j’ai levé mes mains comme ceci, j’ai dit: «Oh! la la! je pense
qu’aujourd’hui, j’ai dit: «Je ne sais pas ce qu’il me faudra faire avec
cet opossum. Et j’étais assis là pensant comme cela. Et tout ce que je…
Quelque chose a dit: «Eh bien», Cela a dit: «Tu as prêché un sermon sur
elle hier, disant qu’elle est une vraie mère.»
J’ai dit: «Oui, je sais cela.»
56 Et j’ai dit: «Je prêchais à Leo, à Gene et aux
autres, leur parlant d’elle, quelle. et au–au laitier et tous les
autres, montrais combien elle était une vraie mère. C’est vrai.»
Il a dit: «Eh bien, dit-Il, Tu disais qu’elle
voulait prendre soin de ses petits.»
J’ai dit: «Oui, ce–c’est vrai.» Et j’ai dit: «Eh
bien, qu’en est-il?»
Il a dit: «Eh bien», Il a dit: «Bon, Je l’ai envoyée
ici. Et elle est venue et s’est couchée à ta porte, comme une dame,
pendant vingt quatre heures, attendant son tour pour que l’on prie pour
elle. Et tu n’as pas dit un seul mot en sa faveur. » Et j’ai dit:
« Eh bien, je… » Je me suis dit: «À qui est-ce que je parle?»
Je me suis dit: «Eh bien, qu’est-il arrivé ici? À qui est-ce que je
parlais? Eh bien, ai-je dit, je répondais à quelqu’un. » Et juste
alors, j’ai senti Cela, vous savez. Et j’ai pensé: «Ô Dieu, était-ce
Toi? Pardonne Ton pauvre serviteur sans intelligence.»
Et je suis allé là où était cet opossum. Je vous
rencontrerai au Jugement avec ceci. Je suis allé là, j’ai vu cela
arriver à d’autres occasions, pas seulement sur l’opossum, mais…
[Espace vide sur la bande–N.D.É.] …chose.
57 Et je suis allé là où se trouvait cet opossum, et
elle était couchée là, sans vie. J’ai dit: «Père céleste», j’ai dit:
«Je sais que Tu me montres des visions des êtres humains qui sont
malades. Tu parles à leur cœur pour qu’ils viennent et qu’on prie pour
eux. Et Tu m’as montré frère Bosworth, la vision exacte, la minute
exacte, et l’Ange de Dieu a tapé le télégramme ici vingt-quatre heures
selon l’heure de l’Afrique du Sud, me disant qu’il était couché là
comme cela. Mais est-ce Ta grâce souveraine en faveur de ce pauvre
animal sans intelligence?» Elle n’avait pas d’âme. Elle ne connaissait
aucune révélation. Mais le Dieu d’amour, le Dieu de la Vie, qui connaît
les passereaux alors qu’ils sont si dépourvus de valeur qu’on en vend
deux à un sou… Jésus a dit: « Ne vend-on pas deux passereaux pour
un quart du penny; mais votre Père les connaît tous.»
Et ce vieil opossum se trouvait là, et
j’ai dit: «Si le Saint-Esprit a conduit ce vieil opossum, et elle
est couchée ici, un animal sans intelligence, inconsciente, ô Dieu,
pardonne-moi.» J’ai dit: «Alors et… si Tu veux… et si aussi Tu as voulu
que je prie pour elle, et que c’est pour cela que Tu l’as envoyée ici,
et j’ai été si stupide que je n’ai pas compris cela, je Te prie alors
Père, au Nom de Jésus, guéris cette mère.
58 Et Dieu est mon juge, ce vieil opossum s’est
retournée et m’a regardé, elle s’est levée, a rassemblé ses petits et
les a rentrés dans sa petite pochette, sans boiter ni rien, elle a
regardé en arrière vers moi comme pour dire «merci, monsieur». Elle
pavanait dans la cour comme cela. Elle a franchi la porte et s’en est
allée chez elle, bien portante et en bonne santé, autant que possible.
Qu’est-ce? La puissance de Dieu. Alléluia. Dieu
règne dans la nature. Qui garde les étoiles suspendues là la nuit?
Quelle science peut faire cela? Qui amène le soleil à se coucher le
soir et à se lever le matin? Qui garde la terre dans son orbite? La
puissance de Dieu. Qui garde votre âme dans Son …?… la puissance de
Dieu. Alléluia. La puissance de Satan est limitée. La puissance de Dieu
est illimitée. Je crois en Dieu.
59 Prions. Notre Père céleste, nous Te remercions ce
soir pour Jésus, le Fils de Dieu, pour Sa miséricorde et pour tout ce
qu’Il a fait pour nous. Nous Te remercions pour les exemples dans cette
vieille Sainte Bible. Cette précieuse vieille Bible, à couverture
noire, Elle a montré la voie au pèlerin tout au long des âges. Nous Te
remercions, Seigneur, Ton Saint-Esprit Se meut au-dessus d’Elle, telle
la Gloire de la Shekinah. Puissent les hommes ouvrir cette Bible, La
regarder en face, et entrer dans le Saint des saints, vivre sous la
Gloire de la Shekinah, dans la Présence du Dieu tout -puissant, et
traverser le voile déchiré. Oh! gloire à Son Nom!
Nous Te rendons grâces pour Ta puissance. Et ce
soir, Dieu tout-puissant, viens sur cette estrade à côté de Ton
serviteur inutile, et fais ce que Tu avais fait lorsque Tu étais ici
sur la terre, afin que les gens puissent reconnaître que ni l’homme ni
la science ne peuvent faire cela. Cela doit venir par la puissance de
Dieu. Qui fait pousser la fleur? Qui met la couleur rose dans une fleur
rose et la–la couleur jaune dans l’autre fleur? Qui peint les
cieux? Qui prend la brosse en automne et s’en sert pour enlever la
gelée blanche et peindre les feuilles en rouge et en jaune? Alléluia.
C’est la touche du Maître, le Dieu de toute éternité. Il relève les
malades lorsqu’ils sont couchés à l’ombre de la mort? C’est Dieu seul.
Je prie, ô Père, qu’au Nom de Jésus, Tu viennes ce
soir guérir les malades et soulager les affligés pour Ta gloire. Amen.
60 Je suis vraiment désolé de vous avoir gardés
jusque tard. Oh! je L’aime! De penser tout simplement que nous vivons
dans la Présence du Roi. Avez-vous déjà chanté ce vieux cantique?
Alléluia, alléluia;
J’ai traversé le voile déchiré, là où les gloires ne manquent jamais,
Alléluia, alléluia;
Je vis dans la Présence du Roi.
Alléluia. J’ai traversé le voile déchiré, là où les
gloires ne manquent jamais, là où la Gloire de la Shekinah de Dieu
garde en vie, préserve de la corruption, empêche de se livrer au monde
et met à l’écart, sanctifie les croyants, ôte de l’esprit toutes les
choses du monde, tous les doutes et toutes les ténèbres, et place un
cœur pur. Jadis Dieu avait écrit Ses lois et les avait placées sur des
tablettes dans l’arche. Et aujourd’hui, l’homme qui vit dans la Gloire
de la Shekinah, sous ce trône de miséricorde, Dieu écrit Ses lois sur
son cœur et les préserve. Je n’aimerais pas reprendre. Amen. Je suis
très content que nous puissions vivre dans la Présence du Roi.
61 Je crois qu’il y a une série K et I ou J ou…
Quelqu’un a-t-il une carte de prière série K? Voyons si ce que je
disais était juste. Très bien. Essayons donc à partir de quelque part
là, faites venir quelques personnes. Voyons. Je n’en voudrais pas trop.
Voyons. Quelqu’un a-t-il la carte de prière K-85? Levez la main.
Regardez pour voir si vous avez K85. Oui, la dame? C’est bien. Très
bien. 86, qui a 86? Veuillez Lever la main. K-86? Très bien. 87,
celui-ci? 87, très bien. 88, venez jusqu’ici. 89, qui a 89? Cette
dame-ci, avez-vous 89? 89, qui a cela? Levez la main, s’il vous plaît,
si vous le pouvez. Sinon, dites à celui qui est assis à côté de vous,
levez la main. 89? Très bien, c’est bien. 90? Très bien, cette dame-ci.
91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100. Qui a la carte de prière 100?
Levez la main. La carte de prière K100. Très bien.
Eh bien, si nous pouvons terminer ceci. Reprenons
là. Le prochain, je crois, c’était la série J ou la série I, l’un ou
l’autre. Nous commencerons par l’un d’eux.
62 Oh! L’aimez-vous? [L’assemblée répond:
«Oui.»–N.D.É.] N’est-Il pas merveilleux? Nous chantions un petit
cantique:
La foi dans le Père, la foi dans le Fils,
La foi dans le Saint-Esprit, ces trois sont Un;
Les démons trembleront et les pécheurs seront réveillés;
La foi dans Jéhovah ébranlera tout.
Amen.
Les démons haïssent ces vieux cantiques de jubilé.
Chantons cela ensemble. Allons-y.
La foi dans le Père, la foi dans le Fils,
La foi dans le Saint-Esprit, ces trois sont Un;
Oh! les démons trembleront et les pécheurs seront réveillés;
La Foi dans le Père ébranlera tout.
63 Amen. Cela ébranle les soubassements du séjour des
morts juste sous les yeux du diable. C’est vrai. Dieu leur fera savoir
qui est qui. Frère Groat, êtes-vous ici? Savez-vous où j’ai appris ce
cantique? Henri Groat, êtes-vous dans le bâtiment? Levez la main. Où
est-il? Je l’ai vu aujourd’hui. Eh bien, ici derrière moi. Vous
rappelez-vous que nous chantions cela ensemble dans un champ de maïs.
Oh! la la, oh! la la. C’est merveilleux.
Son papa priait pour moi. Je dois le dire. Je l’ai
dit dans l’église aujourd’hui. Son papa, un petit hollandais typique,
il a une petite moustache. Je ne sais pas. Est-il ici? J’espère qu’il
me pardonnera ceci. Il était là dans notre ville. Vous savez, c’est
comme toutes les autres villes. Il y avait une jeune dame qui sortait
du magasin habillée de façon immorale, en tout petits vêtements
bizarres, comme ce qu’on porte ici et partout ailleurs, vous savez,
vraiment indécents.
Vous les femmes, écoutez, mes sœurs, mes chéries,
laissez-moi vous dire quelque chose. Savez-vous ce qui est sur vous?
C’est un esprit impur qui vous amène à faire cela. C’est vrai. C’est un
démon. Vous ne le savez pas. Je ne dis pas que vous êtes immorales.
Mais vous vous amusez sur un mauvais terrain là. Ce n’est rien d’autre
qu’un esprit impur qui peut faire cela.
64 Alors elle est sortie habillée comme cela. Et le
petit frère Groat, il est de toutes façons un tout petit peu
plaisantin. Il a dit: «Oh, oh,» il a dit: «Sœur, tu as oublié ta jupe?»
[Frère Branham imite un rire moqueur–N.D.É.]
Il m’a amené dans un champ de maïs et il priait pour
moi. Et il a mis son bras autour de moi, il s’est agenouillé pour
prier, il a dit: «Maintenant, Papa Dieu,» il a dit: «Viens guérir frère
Branham.» Papa Dieu.
Où es-tu, Frère Groat? Il est quelque part ici. Oh!
le voilà au fond avec la main levée. Tu te rappelles ce jour là au
champ de maïs? Amen. Il l’a fait, frère Groat. Amen. Oh, Il est
merveilleux.
Je me sens vraiment bien ce soir, vraiment très
religieux. Amen. Est-ce que tout le monde L’aime? Et maintenant, qu’en
dites-vous, frères? Cette lumière a été forte, mais avez-vous…
Êtes-vous… Est-ce que la ligne de prière est formée jusque là au fond,
frère Rasmusson, ou n’importe quelle personne qui les met en ligne là
au fond? Très bien.
Où êtes-vous, Frère Wood? Êtes-vous… Voulez-vous
m’aider? Je ne vois pas Billy. Et alors, venez m’aider, s’il vous
plaît. Très bien.
65 Je me demande maintenant… [Un frère parle à frère
Branham–N.D.É.] Oh! c’est très bien, si vous les éteignez, je crois que
ce serait une bonne chose, car c’est–c’est très puissant et puis,
parfois on regarde directement vers quelqu’un, elles s’embrouillent
dans le… pendant que je parle aux gens. C’est bien. Merci, à celui qui
a fait cela. Cela semble de loin mieux. Pourquoi n’ai-je pas pensé à
cela il y a quelques instants? Très bien.
Maintenant, que le Seigneur Jésus, le Fils de Dieu
vienne sur la scène maintenant, comme Il l’avait fait pour Israël. Me
voici dans un piège, coincé ici. Mais je sais ce que Dieu a promis. Il
a laissé les enfants hébreux enter dans la fournaise ardente pour
prouver qu’Il était Dieu. Il a laissé Daniel entrer dans la fosse aux
lions pour prouver qu’Il était Dieu. Il a laissé Lazare mourir et
pourrir dans la tombe pour prouver qu’Il était Dieu. Amen. Et Il peut
faire la même chose ce soir, n’est-ce pas? Il peut prouver qu’Il est
Dieu.
66 Maintenant, cette dame qui se tient devant moi, je
suppose que nous sommes étrangers l’un à l’autre, n’est-ce pas, Madame?
Nous les sommes. Mais il y a une chose sûre, il y a Quelqu’un qui nous
connaît tous les deux, sœur. C’est vrai. Et un jour, nous nous
tiendrons dans Sa présence et nous rendrons compte de chaque chose que
nous avons faite dans cette vie-ci. En êtes-vous consciente?
Je vous assure, quelque chose est arrivée.
Maintenant même, avant de dire n’importe quoi d’autre, l’Ange de
l’Éternel est venu et a oint maintenant même. Il l’a fait maintenant
même. Gloire à Dieu. Cela a même frappé cette dame, vite. Vous savez
cela. Quelque chose vous a frappée lorsque j’allais dire quelque chose.
Est-ce vrai? C’est vrai.
Eh bien, étant un étranger pour vous, ne vous
connaissant pas, je ne vous ai jamais vu de ma vie, si Dieu me laisse
savoir ce qui ne va pas en vous, ou la raison pour laquelle vous êtes
ici, accepterez-vous Jésus? Le ferez-vous? Est-ce que l’auditoire fera
cela?
Eh bien, nous sommes dans Sa présence. Et Il
pourrait–Il pourrait nous retrancher, ou Il pourrait nous frapper d’une
maladie et nous en mourrons. Il est Dieu, ainsi nous devons être
révérencieux dans Sa présence. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Ainsi,
je vois la dame. Vous êtes très nerveuse, vous êtes dérangée par des
troubles nerveux, vous êtes extrêmement nerveuse. Et je vois, vous avez
été chez un docteur au sujet de quelque chose. Il s’agit d’une–il
s’agit d’une infection. Vous avez une infection. Et cette infection est
au niveau du sein. C’est vrai. Et elle est au sein gauche. Et je vois
le médecin déclarer qu’il ne sait pas ce que c’est. C’est vrai.
67 Maintenant, ce n’était pas moi qui parlais;
c’était mes lèvres qui prononçaient les paroles, mais je n’en avais
aucun contrôle. Mais ce qu’Il a dit est la vérité. Est-ce vrai? Eh
bien, Jésus, est-Il ressuscité des morts? Rappelez-vous, mon ami, c’est
ce que Jésus a fait lorsqu’Il était ici sur terre. C’est Jésus ce soir.
Et voici ce qu’Il a dit, les dernières Paroles qu’Il a prononcées
lorsqu’Il quittait la terre. Je vais vous les citer. Il a amené Ses
disciples jusqu’à Béthanie, et Il les a bénis. Et Il a dit:
« Allez par tout le monde (y compris Chicago aussi, n’est-ce pas?)
et prêchez la Bonne Nouvelle à chaque créature. Celui qui croira et qui
sera baptisé sera sauvé. Celui qui ne croira pas sera condamné. Et
voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru jusqu’à la
fin du monde. » Jusque quand? Jusqu’à… Cet Évangile… Jusque quand?
Après les apôtres? Jusqu’à la fin du monde. «En Mon Nom, ils chasseront
les mauvais esprits, ils parleront de nouvelles langues. S’ils boivent
quelque breuvage mortel ou s’ils saisissent un serpent, cela ne leur
fera aucun mal. Et s’ils imposent les mains aux malades, les malades
seront guéris.» C’est ce qu’Il a dit.
Vous croyez cela? Ainsi, Il est ici présent… Croyez.
Je crois que si je vous impose les mains et que je prie, Dieu a fait
une promesse; si vous croyez cela, vous serez guéri. Est-ce vrai?
Approchez donc.
Notre Père céleste, avec mes mains posées sur cette
femme qui est dans un état qu’elle ne sait pas elle même, et son
docteur n’a pas pu le lui dire… Mais, Seigneur, je prie que Tu sois
miséricordieux envers elle et que Tu la guérisses. Je condamne ce démon
qui s’est introduit pour ôter la vie de cette femme. Et sors d’elle,
Satan, au Nom de Jésus-Christ. Tu es vaincu. Toi, esprit de mort, tu es
vaincu. Nous voyons le Seigneur ressuscité. Il est ici. Et par les yeux
de la foi, nous regardons au-delà de cette ombre, au soleil qui brille
pour notre sœur en bonne santé. Nous faisons ceci au Nom de Jésus et
sur Son ordre. Amen. Maintenant, allez de l’avant, vous serez guérie.
Amen. Que Dieu vous bénisse.
68 Très bien, voudriez-vous venir, madame? Ayez foi.
Pendant que vous venez, sœur, croyez en Lui de tout votre cœur.
D’habitude, oh, je–je… lorsque je suis fatigué. Je suis épuisé, mais
c’est donc le meilleur moment, car William Branham a quitté, alors
Jésus peut parler. Je ne vous connais pas. Vous me semblez une petite
femme vraiment sainte. Je ne vous ai jamais vue. Mais Dieu vous
connaît. On dirait qu’il n’y a rien de mal en vous, mais Dieu sait s’il
y a quelque chose ou pas. N’est-ce pas vrai?
Eh bien, il y a quelqu’un dans l’assistance qui a
attiré le Saint-Esprit vers lui. Je n’ai pas saisi cela. Eh bien, soyez
vraiment révérencieux. Ne vous déplacez pas. Restez vraiment
tranquilles maintenant.
Puis-je vous parler encore, sœur? Maintenant, je
vois cette dame s’éloigner de moi, Cela revient vers elle. Elle est
aussi extrêmement nerveuse, en effet elle a des soucis. Elle s’inquiète
de quelque chose. Elle a eu une opération et c’était une opération pour
un cancer. Cela n’avait pas vraiment réussi, et vous êtes inquiète à ce
sujet. Mais ne vous en faites pas. Vous vous tenez dans la Présence du
Seigneur Jésus-Christ. Il est la Résurrection et la Vie. Vous croyez
cela? Venez ici juste un instant.
Père céleste, je bénis cette femme au Nom du
Seigneur Jésus et je prie que Tu la guérisses et que Tu la rétablisses
par la puissance de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma sœur. Allez
et croyez en Lui de tout votre cœur. Très bien.
69 Bonsoir. Eh bien, il y a ce même esprit obscur.
Soyez révérencieux, tout le monde. Ne vous déplacez pas, s’il vous
plaît, ne le faites pas. Voyez, ces choses vont d’une personne à une
autre, et vous allez… La raison pour laquelle je fais cela, vous ne
vous rendez pas compte de cela, lorsqu’un cancer quitte d’ici, il va
ailleurs. Certainement. Et je ne peux pas retenir cela. Si vous vous
déplacez, je ne peux pas dire où cela va. C’est une ombre noire que je
vois… Il y a un cancer qui est suspendu sur cette femme maintenant
même. C’est une ombre noire. Si cette ombre la quitte… Comment est-ce
que je sais ce qui ne va pas? C’est par une vision. Et je vois cette
mort noire suspendue autour de cette femme. Et elle va certainement
mourir si Dieu ne lui vient en aide. Eh bien, lorsqu’il partira d’ici;
il est fâché, s’il est expulsé, il se cherchera une place où aller si
possible. Savez-vous que c’est la vérité? Vous vous rappelez à l’époque
de la Bible, lorsque quelqu’un essayait de chasser une crise
d’épilepsie, vous savez ce qui est arrivé, quelqu’un qui n’avait pas
vraiment l’autorité pour faire cela?
70 Eh bien, vous souffrez du cancer. C’est la mort.
Et Dieu seul peut vous rétablir. Croyez-vous? Eh bien, comme quelqu’un
s’est déplacé, j’aimerais vous parler juste un instant. Vous ne venez
pas de cette ville. Vous venez d’une autre ville. Et je crois que c’est
là où… Je vois une tour; c’est Joliet, en Illinois. Et votre nom, c’est
Klein, Leona Klein. Maintenant, retournez à la maison et soyez guérie;
l’obscurité vous a quittée maintenant. Que Dieu vous bénisse.
Ayez foi en Dieu. Oh, oh! la la! comme le diable
doit reconnaître l’autorité suprême de Jésus-Christ! Pas moi, il me
hait. Il ne fait pas cas de moi, mais il doit faire attention à Celui
que je représente. Il doit tenir compte de Celui qui m’a envoyé ici.
Alléluia.
Bonsoir. Croyez-vous de tout votre cœur, madame? Je
vous suis étranger. Vous m’êtes étrangère. Mais il y a Quelqu’un au
milieu de nous qui nous connaît tous les deux, c’est Jésus-Christ. Si
Jésus me dit ce qui ne va pas, accepterez-vous donc cela, et le
croirez-vous? Très bien. Regardez tout simplement dans cette
direction-ci. La raison pour laquelle je dis: «Regardez», Moïse, dans
la Bible, avait élevé un serpent d’airain, il a dit aux enfants
d’Israël de regarder et de vivre. Est-ce vrai? Il l’a fait. Ils
devaient regarder.
71 Pierre et Jean passaient par la porte appelée la
Belle, ils ont dit: «Regarde-nous.» C’est la raison pour laquelle je
dis: «Regardez.» J’aimerais avoir votre attention. Mais je vois un long
bras de mer, et ce n’est pas… Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous
êtes ici pour une femme âgée. Et cette femme souffre des troubles
cardiaques. Et c’est votre mère. Elle n’est pas dans ce pays. Elle est
quelque part où cette–cette religion connaît des persécutions. Et elle
est quelque part, je vois un soldat russe marcher… Elle est en Russie.
C’est vrai. Maintenant même, elle souffre des troubles cardiaques.
Jésus-Christ, le Fils de Dieu, la guérira. Croyez-vous cela? Allez donc
et croyez de tout votre cœur. Béni soit le Seigneur Jésus-Christ, le
Fils de Dieu. Alléluia.
Ayez foi. Ne doutez pas.
Venez, madame. Venez en croyant. Vous croyez que je
suis serviteur du Seigneur? Ayez foi en Dieu. Je ne vous connais pas.
Mais il y a Quelqu’un ici et nous savons, tous deux, que nous sommes
dans Sa présence. Il nous connaît. Maintenant, vous êtes ici pour me
demander de prier pour vos yeux. Vous avez une maladie des yeux. Et
puis, je vois encore apparaître une étendue d’eau. Et–et il y a un
autre pays où il y a beaucoup de collines. Et c’est beau. Et c’est un
pays de lacs. Et il y a là quelqu’un qui vous ressemble beaucoup. C’est
votre sœur. Et elle se soigne le sang avec quelque chose, une maladie
de sang. Et c’est en Suède? Est-ce vrai? Et ce mouchoir lui appartient.
Bien, allez le lui envoyer au Nom de Jésus-Christ et puisse-t-elle être
guérie. Alléluia.
72 Ayez foi en Dieu. Croyez-vous? Jésus a dit: «Tout
est possible à celui qui croit.» Si vous croyez, tout est possible.
Croyez-vous cela? Ayez foi.
Oui, sœur, assise là en chapeau rouge, vous qui me
regardez, votre foi a donc établi ce contact. Voyez? L’arthrite qui
vous avait rendue si infirme vous a quittée. Ici, vous pouvez… Gloire à
Dieu.
Ici, assise juste ici, juste ici vers la troisième
personne dans cette rangée-ci, vous aussi vous souffrez de l’arthrite
et vous avez une maladie de vésicule biliaire. Si vous croyez, vous
pouvez être… C’est vrai, sœur. Votre foi a établi un contact avec Dieu.
Lorsque cette femme-là a été guérie, cela vous a aussi frappée. Vous
êtes guérie. Jésus-Christ vous rétablit. Alléluia. Béni soit le Nom du
Seigneur. Ayez foi en Dieu.
Jésus a dit: «Je le peux! Si vous croyez.»
Croyez-vous? Croyez-vous que vous avez été guérie de ces maux de dos,
et …?… Pendant que vous étiez assise là dans la chaise à ce moment-là
même? Vous avez été guérie. Amen. Ainsi, allez tout simplement en vous
réjouissant, c’est tout, en disant: «Grâces soient rendues à Dieu.»
73 Venez, madame. Les maladies de sang et autres sont
très faciles à guérir pour Dieu. Vous croyez cela, n’est-ce pas?
Allons, vous et moi, au Calvaire pour une transfusion. Au Nom de
Jésus-Christ, je condamne ce démon qui a tourmenté ma sœur et qu’il
sorte d’elle au Nom de Jésus. Amen. Passez, sœur, allez en vous
réjouissant, croyant que Dieu vous guérit; vous pouvez avoir ce que
vous avez demandé.
Votre maladie de reins est partie, sœur. Continuez
…?… Croyez. Ayez foi. Votre foi vous a guérie. Croyez de tout votre
cœur.
Venez ici, madame. J’aimerais que vous retourniez,
et que vous regardiez dans cette direction-ci. Voyez-vous cette dame
assise là avec ce mouchoir sur la bouche? Elle souffre de la même chose
que vous. Il y a entre vous un faisceau de traits noirs qui vont de
l’une vers l’autre, c’est l’arthrite. C’est vrai. Amen. Alléluia.
Maintenant, quittez l’estrade en remerciant Dieu. Soyez plein de foi.
Gloire. Le Fils de Dieu vit.
74 Le Papa assis là, avec une main baissée, en train
de prier, juste au bout de la rangée, là, oui, Il vous a entendu. Vous
priiez. J’ai entendu votre prière. Vous priiez en silence, mais Il m’a
laissé connaître votre prière. Vous disiez: «Seigneur, laisse-le
m’appeler la fois suivante. Que cela–que cette fois-ci soit mon tour.»
C’est vrai. Oui, vous avez eu une dépression nerveuse, n’est-ce pas?
Oui oui. C’est vrai. Et vous savez, vous n’êtes pas de ce pays-ci. Vous
venez d’un endroit, je peux épeler la ville, c’est U-t-i… Utica, Utica,
dans le Michigan. Très bien, vous pouvez retourner à la maison, votre
dépression est terminée. Votre foi vous a guérie. Alléluia. Jésus, le
Fils de Dieu, vit et règne. Vous croyez?
Venez, madame. Vous croyez que cette maladie de
femme vous a quittée pendant que vous étiez assise là? Très bien, elle
vous a quittée. Amen. Ainsi, ce que vous avez demandé, vous l’avez
reçu. Croyez.
75 Qu’en pensez-vous, madame, vous qui êtes assise
juste là derrière? Vous regardiez partir cette dame qui a été guérie…
Vous croyez cela? Oui, vous souffrez, vous avez une maladie des yeux,
n’est-ce pas? C’est vrai. Vous êtes assise juste ici derrière cette
dame qui porte le blanc au niveau de la taille, l’Ange de l’Éternel Se
tient au-dessus d’elle. Oui. Oui oui. Oui oui. N’est-ce pas
merveilleux, frère? [Un homme dit: «Il vient de répondre maintenant à
ma prière pour cette dame-là–N.D.É.] Amen. C’est bien. Je ne vous ai
jamais vue, madame, de ma vie, n’est-ce pas? Non non, jamais. Mais vous
n’êtes pas d’ici. Vous venez de mon État, de l’Indiana. C’est vrai.
Anderson, dans l’Indiana, à ce… où il y a des moulins. Oui oui.
Alléluia.
76 La dame assise juste à côté de vous là, elle a mal
à la poitrine. C’est vrai. Oui oui. Vous venez de Muncie, dans
l’Indiana. Retournez vite chez vous maintenant, vous réjouissant.
Alléluia. Croyez-vous que vous serez guérie? Au Nom du Seigneur Jésus,
puisse recevoir …?… [Frère Branham parle à quelqu’un dans la ligne de
prière–N.D.É.] Allez en croyant. Ayez foi.
Venez un instant ici, madame. J’aimerais que vous
vous retourniez, regardez dans cette direction-ci. Il y a environ 70%
de gens qui souffrent de la même chose que vous. C’est vrai. Combien
souffrent de troubles nerveux? Levez la main. Voyez combien d’esprits
tirent? Combien croient que Jésus est ici pour vous guérir? Levez la
main. Maintenant, rentrez chez vous. C’est terminé. Amen. Que Dieu vous
bénisse.
77 Disons: « Gloire au Seigneur. »
[L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.»–N.D.É.] J’aimerais vous
demander, madame, au même moment où j’en ai parlé pour les autres, vous
souffriez de la même chose. Et lorsque j’étais… j’ai dit cela, Quelque
chose vous a parcourue, n’est-ce pas? Très bien, vous êtes maintenant
guérie de ces troubles nerveux, c’est la ménopause. Rentrez à la maison
en croyant.
Que pensez-vous, madame? Croyez-vous de tout votre
cœur? Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Dieu a fait
quelque chose. Amen. Vous êtes ici, priant pour quelqu’un d’autre.
C’est un ami à vous. Et je vois une grande église, de petites statues
et autres. Votre amie est une convertie catholique. Et elle a un
cancer. Et ce cancer se localise au visage. C’est vrai. Apportez-lui ce
mouchoir-là et au Nom de Jésus-Christ, qu’elle se rétablisse et qu’elle
soit guérie.
Croyez-vous? Alors, au Nom de Jésus-Christ,
mettez-vous debout et recevez votre guérison, pendant que je prie pour
vous.
Dieu tout-puissant, je chasse chaque démon. Au Nom
de Jésus-Christ, qu’il quitte ces gens, ce soir, et qu’il s’en aille.
Satan, tu es condamné. Les yeux de la foi voient Dieu Se tenir présent
ici. Sors d’eux, Satan, au Nom de Jésus-Christ.
Levez les mains et rendez-Lui gloire.