Un Homme Qui Fuit La Face De L’Eternel

Date: 65-0217 | La durée est de: 1 heure et 33 minutes | La traduction: VGR
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1 Courbons la tête. Dieu bien-aimé, cet après-midi nous sommes heureux d’avoir le privilège de nous assembler encore une fois. Et Toi seul, Seigneur, Tu sais combien nos coeurs ont soupiré après cette heure où nous pourrions être de nouveau ici devant Ton peuple, pour apporter ce Message dont nous sentons de façon si vitale qu’il est si urgent en cette heure. Tu nous as accordé ces quelques jours maintenant, et nous prions, Dieu bien-aimé, que Ta main miséricordieuse soit sur nous, pour nous guider et nous diriger. Et donne-nous ces choses dont nous avons besoin, Seigneur, car nos coeurs désirent ardemment mieux Te connaître.

2 Nous voyons le grand champ de la moisson, blanc, mûr, et nous savons que le blé est prêt maintenant pour cette glorieuse époque du battage. Dieu bien-aimé, nous prions que Tu fasses s’ouvrir la balle autour de nous, puissions-nous reposer dans la Présence du Fils ces quelques jours qui viennent, et mûrir pour le Royaume de Dieu.

3 Bénis chaque chant qui sera chanté. Bénis chaque prière, et réponds à chacune qui sera priée, Seigneur. Sauve tous les perdus. Rappelle à la maison du Dieu vivant, et à la communion fraternelle, ceux qui se sont éloignés.

4 Nous Te prions, ô Dieu, de guérir tous les malades qui viendront sous notre toit. Accorde-le, Seigneur. Qu’il n’y ait plus personne de faible parmi nous à la fin de ces réunions.

5 Et, Dieu bien-aimé, aussi pour nous-mêmes, nous qui nous disons l’Église aujourd’hui, les Appelés à sortir, ceux tout autour du monde qui sont sortis de Babylone pour être participants de cette merveilleuse communion en ce dernier jour, nous Te prions, ô Dieu, de vraiment bénir nos coeurs. Nous sommes véritablement affamés, Seigneur, et complètement vidés de toutes les choses du monde, pour autant que nous le sachions. Seigneur, nous avons déposé tous les fardeaux qui nous enveloppent si facilement, et maintenant courons avec patience dans la carrière qui nous est ouverte. Accorde-le, Père. Et qu’à la fin de cette réunion nous soyons des Chrétiens plus entiers, plus forts, meilleurs que ce que nous étions en entrant. Que Dieu reçoive toute la gloire, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

6 Je pense que c’est un grand privilège, ce soir, que j’attends depuis assez longtemps. L’autre jour, je disais à ma femme, je disais : “Je deviens tellement impatient, à attendre d’arriver au Tabernacle.” Je... J’ai d’autres amis, bien sûr que j’en ai, dans le monde entier, mais il y a quelque chose de spécial au sujet de ce tabernacle ici.
J’ai été pris de la poussière de ce coin-ci, quand Dieu m’a donné la vie sur terre, et je pense que, s’Il tarde, je serai enterré ici quelque part. Quand Il viendra, Il me trouvera quelque part par ici.

7 Mais on dirait qu’il y a quelque chose, quand je pense à Jeffersonville. L’autre jour, je me sentais tellement seul, j’ai dit à ma femme, j’ai dit : “J’ai la nostalgie, et je ne sais pas de quoi j’ai la nostalgie, à moins que ce soient ces gens qui prient pour moi.” J’ai dit : “Eh bien, je vais... Tout ce que je peux faire, c’est de retourner faire quelques jours de réunions, voir si on ne peut pas apprendre quelque chose du Seigneur, peut-être qu’Il veut que nous sachions quelque chose.”
Et le grand sujet vital qu’on a devant nous maintenant, c’est le mariage et le divorce. Et s’il y a une question, il doit y avoir une réponse. Il ne peut pas y avoir de question sans qu’il y ait une réponse. Peu importe ce que c’est, il doit y avoir une réponse. Et, si le Seigneur le veut, j’essaierai d’en parler dimanche matin.

8 Et alors, demain soir, je pense qu’on sera là-bas à la... Elle s’appelle comment déjà, cette école? [Frère Neville dit : “Parkview.”–N.D.É.] La salle Parkview. Comment? [“L’école secondaire Parkview.”] L’école secondaire Parkview. Combien savent où c’est? Bien, je pense qu’ils vont mettre des panneaux, n’est-ce pas, Frère Neville? [“Oui.”] Il y aura... C’est un peu plus haut, à à peu près–à peu près trois quarts de mille [un kilomètre], et il y aura un panneau. Vous tournez pour quitter la route. C’est un beau bâtiment, en pente, et il y a de quoi appuyer vos bras et prendre des notes de ce que vous voulez écrire, et–et–et tout. Et je suis sûr que vous aimerez ça un peu mieux que comme vous seriez, plutôt serrés aux réunions ici au–au Tabernacle. Il y aura beaucoup de place, beaucoup de places de stationnement.

9 Et je pense qu’il y a une petite consigne qu’on a promis de respecter, c’est qu’on ne doit pas arriver sur le terrain avant six heures et demie [dix-huit heures trente]. [Frère Neville dit : “Pas avant dix-sept heures trente, il ne faut pas arriver avant dix-sept heures trente.”–N.D.É.] Et à quelle heure... [“L’ouverture des portes est à dix-huit heures trente.”] Je pense que ce serait une bonne idée qu’on arrive là-bas à six heures et demie [dix-huit heures trente].
Maintenant, ils ont une autre salle, ici en ville, de six mille places. Si ça va vraiment bien cette fois-ci, peut-être qu’ils nous laisseront avoir l’autre une fois, pour une grande réunion, peut-être dans le courant de l’été, quand je rentrerai d’outre-mer.

10 Et je pense que des places, il y en a... Combien est-ce qu’il y a de places là-bas? [Frère Neville dit : “Il y a à peu près quatre mille places.”–N.D.É.] Quatre mille. Alors, vous voyez, on ne manquera pas de place. Il n’y aura pas besoin de se presser. Alors, venez à six heures et demie [dix-huit heures trente]. Comme ça tout le monde pourra entrer à l’heure juste, tout le monde ensemble, et je suis sûr que vous–vous aurez une bonne place. C’est en pente comme ceci, et–et il y a des choses, là, sur lesquelles vous pouvez écrire et prendre des notes, et tout. Et ça commencera, si le Seigneur le veut...

11 Maintenant je pense, ce soir, comme c’est la réunion de prière du mercredi soir, on a... La salle est à peu près pleine, alors je pense qu’il vaudrait peut-être mieux aller là-bas demain soir. On l’a louée au cas où il n’y aurait pas assez de place pour tout le monde, on pourrait aller là-bas. Mais je crois que c’est... ce serait mieux d’aller là-bas, vous ne trouvez pas, Frère Neville, d’aller directement là-bas demain soir? Combien trouvent que c’est une bonne idée? Et là vous aurez beaucoup de–de place. C’est–c’est déjà loué. C’est payé par des frères de l’assemblée ici. Ça ne coûte que cinquante dollars par soir, ce qui est très très... J’aimerais avoir ça partout, pouvoir avoir autant de place pour cinquante dollars par soir, un bâtiment tout neuf, une belle estrade. Et, mais on...

12 Bien sûr, je pense bien qu’on va ramasser l’offrande. On ne veut pas que ces frères paient ça de leur poche, on va payer... les rembourser. Mais quand les frais, et tout, seront couverts, alors bien sûr, on pourra arrêter de ramasser l’offrande. On ne...

13 S’il y a des étrangers avec nous, c’est un principe chez nous de ne jamais quêter, quémander, soutirer l’argent des gens. On fait passer le plateau à offrandes, et c’est seulement... C’est un geste religieux. J’ai souvent essayé de ne même pas du tout faire passer le plateau à offrandes, mais ça ne marche pas. Voyez? C’est que donner, ça fait partie de notre religion. C’est une partie de notre devoir. Peu importe si c’est juste une pièce de dix cents, ou quoi que ce soit, ou une pièce d’un cent, c’est...

14 Vous vous souvenez, un jour Jésus a vu une veuve qui passait, quand les riches mettaient beaucoup de leur trésor dans le tronc. Et cette veuve est passée, avec peut-être quelques enfants affamés à côté d’elle, et elle a donné tout ce qu’elle avait : trois pièces d’un cent. Et Jésus a dit : “Qui a payé le plus?”

15 Maintenant, si moi, j’avais été là, j’aurais dit : “Ne faites pas ça, soeur. On–on, écoutez, on a assez d’argent.” Mais Lui, Il ne l’a pas arrêtée. Voyez? Il–Il savait qu’Il lui réservait quelque chose de mieux au bout du chemin. Alors, vous voyez, après tout, elle avait une maison dans la Gloire, vers laquelle elle allait. Et Il ne l’a pas arrêtée. Il l’a laissée mettre ses trois cents, parce qu’elle tenait à le faire. Et il fallait qu’elle y tienne, alors qu’elle avait des enfants, qu’elle était veuve, et qu’elle n’avait que trois cents pour vivre. Elle–elle devait vraiment y tenir. Alors, vous voyez, quand les gens veulent donner, il faut leur donner l’occasion de le faire.

16 Mais je pense à ceux qui se tiennent là, et les gens qui disent : “Qui veut donner cinquante dollars? Qui veut donner vingt dollars?” Je–je pense que c’est dégradant pour votre–pour votre intelligence. Je–je pense que les gens comprennent qu’il faut de l’argent pour–pour organiser des–des réunions. Et je ne leur ai jamais laissé faire une chose pareille, les administrateurs. J’ai dit : “Quand vous devrez faire ça, alors il sera temps que je retourne au Tabernacle. Alors on n’aura pas besoin de le faire.” Mais je–je crois vraiment qu’il faut faire passer le plateau à offrandes pour–pour que le culte soit complet.

17 Alors, ils feront probablement passer un petit plateau à offrandes, chaque soir, et ils diront quelque chose comme : “Eh bien, maintenant nous allons ramasser l’offrande.” Et ils feront passer le plateau à offrandes, et ce sera–ce sera tout.

18 Et chaque soir, si le Seigneur le veut, je pense que le Seigneur m’a mis à coeur un Message bien précis pour l’Église. J’ai passé plusieurs jours à prier. Et je ne vais pas commencer à en parler maintenant. C’est que l’autre jour, il s’est produit quelque chose de vraiment phénoménal, de vraiment merveilleux. Et j’ai bien hâte de vous en parler. Et maintenant, le sujet principal, je pense, pour lequel Billy disait que la plupart avaient appelé, c’était sur le mariage et le divorce. Ce qui est un sujet très–très important, et je–je ne savais pas comment l’aborder. Alors je suis allé prier à ce sujet, et le Seigneur m’a rencontré. Et je sais que j’ai... moi, je ne l’ai pas, mais Dieu me l’a donnée, maintenant je l’ai, Dieu m’a donné la réponse juste, voyez, voyez, et je–je sais que c’est vrai.

19 Et alors, je ne sais pas encore exactement, peut-être, dimanche il se peut que je demande à nos soeurs de ne pas venir à la réunion de dimanche, elles, mais je–je ne sais pas. Ça dépendra si les femmes mariées veulent venir avec leurs maris. Il y a–il y a des choses vraiment capitales qui doivent être dites, la vérité là-dessus, et comment... Alors, nous voulons l’exposer entièrement comme il faut, par l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, alors vous l’aurez. Alors, vous connaîtrez exactement la Vérité. Et je compte sur Lui pour le faire.

20 Et, maintenant, j’étais là-bas au restaurant l’autre jour, en train de manger, et–et Jerry et les autres vous cherchaient. Ils disaient, ils disaient : “Eh bien, on...” Quelqu’un, un des gars était là, il disait qu’un type avait dit : “Je vais m’en tirer pas mal cette semaine,” il disait, “ils ont... Ou ces deux prochaines semaines.” Il disait : “Il y a une–une réunion ici, du basket-ball, ou quelque chose comme ça.” Il a dit, puis il a dit : “Branham là-bas, va avoir une réunion.” Il a dit : “J’aurai beaucoup de monde à nourrir.” Au Ranch House, un de ces restaurants là-bas. Et ils ont été... ils étaient très gentils.

21 Et je suis très content de vous, parce qu’ils ont dit tout plein de bonnes choses à votre sujet.

22 Là-bas au Ranch House, le gérant m’a rencontré l’autre jour; j’arrivais vers les deux heures et demie du matin, de l’Arizona. Et il a dit : “Eh bien, Frère Branham, j’ai entendu dire que vous alliez encore faire une série de réunions.” Il a dit : “J’ai embauché de la main-d'oeuvre supplémentaire”, qu’il a dit. Et il a dit : “Et puis je veux dire une chose, c’est que ces gens qui viennent de là-bas, ce sont vraiment des gens bien.” Là, j’étais vraiment fier de vous, voyez.
Parce qu’après tout, pour moi, vous êtes un peu comme mes chevreaux, et je–je... ou, mes enfants plutôt. [Le mot anglais kid (chevreau) signifie également “gamin”.–N.D.T.] Alors... Un chevreau, c’est un bouc, et vous n’êtes pas des boucs. Vous êtes mes agneaux. Qu’est-ce que vous dites de ça? Vous êtes les agneaux du Seigneur, qu’Il m’a chargé de nourrir. Et j’ai confiance que ça–ça... qu’Il me permettra de le faire. On continue notre chemin.

23 Et là, en ce qui concerne le mariage et le divorce, j’ai toujours voulu en parler, depuis que ces Sept Sceaux. Vous savez, les myst-... Tous les mystères devaient être révélés là-dedans, dans l’ouverture de ces Sept Sceaux, tous les mystères de la Bible. Et je me dis que maintenant, comme je commence à me faire vieux, je–je me dis que je... je pense que je ferais mieux au moins de le mettre sur bande, au cas où il m’arriverait quelque chose, alors l’Église se demanderait : “On se demande ce qu’il avait à l’esprit. Qu’est-ce qu’il aurait dit?” Et tous ces sujets qui ont l’air d’être si difficiles, je pense que le, qu’avec l’aide du Seigneur, je vais tâcher de vous les apporter. Comme ça–comme ça, s’il arrivait quelque chose, et que je doive m’en aller avant qu’Il revienne, alors vous–vous aurez l’information.

24 Je pense qu’on a des nouveaux livres qui sont parus. Je vois Soeur Vayle. Je ne sais pas si le docteur est ici ou pas. Est-ce qu’il est ici, Soeur Vayle? Il doit être dans la réunion. Je ne le vois pas. Mais, oh oui, tout au fond. Et Frère Vayle a écrit un livre, et c’est... Je pensais, je crois qu’aujourd’hui on m’a dit : deux. Frère Vayle, est-ce que c’est juste, vous en avez deux, là, maintenant? Deux livres. Maintenant je ne sais pas, je... d’après ce que j’ai compris, chaque personne peut en avoir un exemplaire. Alors je... Si vous... C’est ce que j’ai compris. Je peux me tromper.

25 Il y a aussi Les Sept Âges de l’Église qui sont terminés (c’est bien ça, Frère Vayle?), et ils sont sous presse maintenant. Et je suis sûr que vous voudrez vous les procurer, parce qu’ils apportent la réponse à une foule de questions qui vous tenaient à coeur. Et après ça, on va essayer d’avoir les Sept Sceaux ouverts, vous savez, en livre, pour que chacun puisse le lire sous une forme qu’ils–qu’ils veulent, qu’ils peuvent comprendre, et qu’ils puissent l’étudier. Je trouve que, quand c’est écrit, si ça...

26 D’abord, on l’a pris directement de la bande, comme c’était écrit, ou dit. Vous savez, on peut apporter une prédication, c’est une chose, mais rédiger un livre, c’en est une autre. Voyez, comme s’il m’arrivait d’effleurer un sujet, comme je vous dirais à vous, vous comprendriez, je dirais : “Maintenant, la semence du serpent,” vous voyez.
Eh bien, maintenant, celui qui lirait ce livre, si on transcrivait ça, il se demanderait : “Qu’est-ce que c’est que la semence du serpent?” Vous voyez? Et ils ne sauraient pas. Si ça arrivait dans un endroit comme Princeton ou quelque part, alors ils–ils penseraient qu’on est des gens sans intelligence.
Alors j’ai demandé à Frère Vayle de m’aider un peu avec ça et de garder la même idée, et d’arranger la grammaire là-dedans. Et je suis certain que ma grammaire à moi, ils... ce serait un mystère pour eux, sûrement. Alors le... Frère Vayle est vraiment fort là-dedans, alors il est comme un...

27 Et puis, en faisant ça, je pense que notre précieux frère a dû y trouver un peu d’inspiration en plus, d’une certaine manière, et il a dit qu’il allait lui-même écrire quelques livres en s’inspirant de ceux-là. Alors il en a écrit un qui s’appelle, je crois, Le Prophète du vingtième siècle, et un autre, L’Église de Laodicée, je crois, ou quelque chose comme ça.

28 Et Billy m’a dit ça ce soir, que je crois qu’il en est arrivé plusieurs milliers aujourd’hui; quelqu’un les a apportés du Texas. Et comme ça, ils seront ici. Et ils vont annoncer ça, je pense, à combien ils sont. Je pense qu’ils sont déjà payés. Je ne suis pas sûr. Et s’ils le sont, ils vous seront donnés, vous voyez, pour... gratuitement. Et nous espérons qu’ils vous plairont. Si oui, serrez la main à Frère Vayle là-derrière et dites-lui combien vous appréciez. Pour moi, je n’ai jamais lu ça. Si je les lisais, je pourrais changer d’avis là-dessus, alors je vais essayer de les lire cette semaine, pendant que j’en ai l’occasion, si je peux.

29 Maintenant, comme on est mercredi soir, notre série de réunions commencera officiellement demain soir. Mais je trouvais que, vu que je suis ici parmi vous, je–je–je ne pouvais simplement pas rester là-bas à la maison en–en sachant que vous étiez tous ici. Je... Vous savez, c’est comme quand on a de la famille qui arrive et qu’on se dépêche d’aller les accueillir au bout de l’allée, vous savez. Et–et je–j’ai pensé que j’allais tout de suite venir vous–vous souhaiter la bienvenue à Jeffersonville. Et alors, la semaine dernière je...
Non, excusez-moi, c’était il y a à peu près trois semaines, je suis rentré. J’étais parti essayer de... j’avais été à des réunions dans tout l’Arizona, là-bas, et j’étais rentré pour essayer de me détendre. Alors je suis parti à la chasse, et j’ai eu le record de l’Arizona pour le plus gros puma! Je l’ai poursuivi sur vingt milles [trente-deux kilomètres] à travers la forêt pour l’attraper.

30 Mais pourtant, quand j’y pense, que je n’aurais jamais cru, quand j’étais un jeune garçon... Juste pour montrer comment ces choses arrivent, une petite maison que le Seigneur nous a donnée là-bas, pour les mois qu’on passe là-bas, et l’école pour les enfants.
J’étais un jeune garçon. Je pense que Jimmy Poole est ici ce soir, peut-être que son père est ici, Jim le baraqué. On allait à l’école ensemble, et je me souviens que j’étais assis là, un petit garçon en guenilles, et j’avais des chaussures, des chaussures de tennis avec les orteils qui sortaient; j’empruntais une feuille à l’un, un crayon à l’autre.

31 À l’époque, j’écrivais des poèmes. Et Mme Wood, qui est ici, m’a fait réciter ça, cet après-midi, ça a été enregistré, celui sur ma vieille Ford, vous savez, et il n’est–il n’est pas mal. Maintenant, elle a dit : “Eh bien, vous devriez envoyer ça à M. Ford!”
J’ai dit : “Il y a trop de vérité, je crois”, sur l’avant qui vibre, la boîte de vitesses qui grince et le volant qui ressemble à un casse-tête chinois. Mais je... C’est–c’est un... Mais j’ai toujours dit que la seule chose que j’avais à faire, c’était de compter les quatre pneus et de la secouer assez pour qu’elle démarre, et puis de monter dedans. Je disais : “Ce n’était pas mal quand je la démarrais dans une côte. Elle commençait à tirer très lentement, et elle faisait : ‘Je pense que j’y arrive, je pense que j’y arrive, je pense que j’y arrive.’ Et puis, de l’autre côté, elle reprenait en faisant : ‘Je pensais bien que j’y arriverais, je pensais bien que j’y arriverais.’” Voyez?
C’est comme ça qu’on monte cette côte, comme Le voyage du pèlerin. Alors on...

32 J’avais un petit poème que j’ai écrit, quelque chose comme ceci. Et il disait... Maintenant, pensez donc, j’avais seulement une douzaine d’années. Et l’autre jour j’étais là, je regardais vers le canyon; et j’étais en train de penser que ce puma serait exposé ici dans mon bureau, derrière une vitrine, dans une vitrine de verre. Je pensais à ce petit poème. Je suis retourné le chercher, quelque chose comme ceci. Pensez seulement comment Dieu...

33 Est-ce que vous croyez que Dieu est dans tout ce qui est inspiré? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Dieu doit écrire un chant. Est-ce que vous croyez que Dieu est dans les chants? [“Amen.”]
Jésus l’a dit. Il s’est reporté à David : “Ne savez-vous pas ce que David a dit dans les Psaumes?”, vous savez,...

34 Pensez à la crucifixion elle-même. David l’a chantée, dans le Psaume 22 : “Mon Dieu! mon Dieu! pourquoi m’as-Tu abandonné? Tous Mes os ils Me regardent. Ils percent Mes mains et Mes pieds.” Vous savez, et c’était un chant. Les Psaumes, c’est un–c’est un chant.

35 Et cette poésie, regardez bien comme elle s’est accomplie. J’étais assis là, un pauvre gamin avec une feuille de papier empruntée, je disais : Je m’ennuie, oh! je m’ennuie de ce lointain sud-ouest,
Où les ombres tombent au plus bas derrière la montagneuse crête.
Je vois un coyote aux aguets. Tout autour, la brume mauve.
J’entends hurler le loup gris dans le pâturage des boeufs.
Quelque part dans un canyon, j’entends gémir un puma
Dans les lointains monts Catalina, au bord de l’Arizona.

36 Quarante ans plus tard, je me retrouve dans ce même canyon, face à face avec ce puma.
Ô Dieu, il y a un Pays de l’autre côté du fleuve, quelque part, mes amis. Il est là, c’est tout, c’est certain. Voyez? Il y a–il y a trop de choses qui en témoignent. Toutes ces choses ne sont pas que des mythes; elles sont... Elles sont réelles. Ce sont des réalités. Je suis si heureux d’être ici ce soir, d’être avec ces gens avec lesquels je m’attends à vivre pour toujours Là-bas, où il n’y aura plus ni maladie, ni mort, ni séparations. Et voyager ne sera plus rien pour nous à ce moment-là.

37 Maintenant, je trouve qu’aucune réunion n’est complète sans qu’on lise la Parole et qu’on fasse un petit...
Frère Neville, je me suis avancé tout bonnement. Billy m’avait dit que vous vouliez que je prêche. C’est bien ça, Frère Neville? [Frère Neville dit : “Amen! Oui, bien sûr.”–N.D.É.] Je prends peut-être un peu trop de libertés, mais ça... ça m’a fait tellement plaisir. [“C’est bien, amen! Bien sûr!”]
Alors maintenant, vous qui avez des chants et tout, allez voir Frère Neville, quand vous allez chanter, et on pourra faire ça, là-bas. Il y aura à peu près une demi-heure d’introduction, et qu’on entre tout de suite dans ces Messages vraiment profonds et voir ce qu’on verra le Seigneur faire. Et j’ai bien confiance que...

38 Je–je crois que nous avons la Vérité! J’en suis convaincu. Et je crois que le blé est, tout à fait, que la balle est en train de s’en écarter. Vous savez. Et, vous voyez, je donnerai peut-être un petit prélude là-dessus demain soir, vous voyez, sur la balle qui est en train de s’écarter du blé. Mais le blé doit reposer dans la Présence du Fils pour mûrir. Et c’est pour ça qu’on est ici, mes amis, pour rester dans la Présence du Fils, jusqu’à ce que notre petit groupe de gens ici, jusqu’à ce qu’il soit tellement mûr pour Christ qu’il devienne du pain sur Sa table. Voilà ce que je veux.

39 Et maintenant, avant d’aborder la Parole, après avoir récité des poèmes, et tout, prions encore. Ensuite nous prendrons notre sujet.

40 Bien-aimé Jésus, aide-nous maintenant ce soir, pour ces quelques mots, comme nous nous attendons à Toi. Et nous prions que Ta grâce et Ta miséricorde soient avec nous, Seigneur. Et attendris nos coeurs, enlève toute la balle, les épines, les chardons, que les rayons bénis du soleil de Dieu viennent sur la Parole, Seigneur. Et que nous ayons une réunion si glorieuse qu’il n’y ait plus personne parmi nous qui ne soit pas sauvé, tous les enfants seront dans le Royaume de Dieu. Ceux qui n’ont pas le baptême de l’Esprit, qu’ils Le reçoivent, Père. Que tous les grands mystères que nous devons connaître dans cet âge, Seigneur, nous soient dévoilés; et nous verrons Dieu clairement, ainsi nous saurons comment nous comporter et comment agir, en nous corrigeant et en soumettant les membres de nos corps par la discipline de la Parole, afin que nous sachions comment nous devons vivre en ce jour-ci alors que le Seigneur Jésus est proche.

41 Alors que je lirai de Ta Parole ce soir, Seigneur, il se peut qu’à cause de mon peu d’instruction, je réussisse à lire certains mots, et peut-être que j’en prononce mal d’autres. Mais, Seigneur Dieu, Toi seul peux en faire sortir le contexte. Tu es le Seul qui puisse le faire. Il n’y a aucun–aucun moyen pour qu’un être humain puisse jamais y arriver; c’est entre Tes mains, Seigneur. Alors donne-nous, chaque soir, ces choses qui sont cachées dans Ta Parole, afin que nous soyons de meilleurs Chrétiens et que nous vivions comme il faut à l’heure où nous sommes, comme des Chrétiens modèles. Nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

42 Maintenant, beaucoup d’entre vous, dans vos Bibles, j’aimerais que vous preniez le Livre de Jonas. C’est un... On parle tellement souvent de ce que Jonas était rétrograde et tout. J’ai toujours pris le parti de Jonas. Je ne crois pas que Jonas était rétrograde. Je–je ne crois pas ça. Je crois simplement que... Des fois, on l’utilise pour dire de quelqu’un : “C’est un Jonas.” Mais si on... J’en ai déjà parlé, d’une autre manière, j’ai dit ce que je pensais là-dessus, Jonas, ce qui était arrivé. La parole de l’Éternel fut adressée à Jonas, fils d’Amitthaï, en ces mots : Lève-toi, va à Ninive, la grande ville, et crie contre elle! car sa méchanceté est montée jusqu’à moi. Et Jonas se leva pour s’enfuir à Tarsis, loin de la face de l’Éternel. Il descendit à Japho, et il trouva un navire qui allait à Tarsis; il paya le prix du transport, et s’embarqua pour aller avec les passagers à Tarsis, loin de la face de l’Éternel.

43 Quelle triste fin. Un homme qui fuit la face de l’Éternel, et c’est mon sujet.

44 Maintenant, d’abord nous voulons penser à ceci : Jonas était... La raison, la principale raison, je crois, pour laquelle il a fait cette chose extraordinaire, là, c’est parce que Jonas était Juif. Et il lui a été demandé d’aller dans une ville des nations, pour crier contre elle, et il pensait qu’il ne serait pas reçu. En effet, les Gentils se diraient : “Qu’est-ce que ce Juif a à faire avec nous?” Mais, vous voyez, autre chose, ça nous fait voir quelque chose de glorieux ici, c’est que Dieu n’est pas seulement le Dieu des Juifs, mais Il est aussi le Dieu des Gentils. Il est le Dieu de tous les peuples.

45 Il avait choisi les Juifs, c’est tout. Les Juifs étaient appelés le peuple choisi de Dieu. Ils avaient été choisis dans un but particulier, et ce but, c’était de leur donner la loi, et ils n’arrivaient pas à s’y conformer. Et Il s’est simplement servi de ce peuple-là pour montrer qu’il était impossible de se conformer à la loi, qu’Il était un–un–un Dieu de justice et que la loi exigeait une vie droite, mais il n’y avait pas de grâce dans la loi pour qu’un homme puisse s’en sortir. La loi n’avait pas expié de peine, mais il a fallu la grâce pour expier la peine à laquelle la loi nous avait condamnés.

46 Et ici, Jonas, un des petits prophètes de la Bible, a été appelé à descendre dans cette ville.
Et là, on voit un exemple de nous tous. Chacun d’entre nous, on fuit toujours quelque chose. On fuit les difficultés. On fuit les responsabilités. On–on a tous tendance à faire ça. On–on est, on est plus portés à fuir qu’à rester là et à faire face. Vous voyez, c’est simplement qu’on... on–on–on se met à fuir.
Des fois, on est portés à fuir le travail. On ne veut pas, on ne veut pas travailler. Il y a des gens qui s’imaginent simplement qu’ils peuvent gagner leur vie sans travailler. Mais, je pense, c’est Salomon qui a dit que c’est là qu’on peut trouver la réponse, en observant une fourmi.

47 Vous savez, une petite fourmi, on m’a dit que si cette fourmi (chacune), si elle ne travaille pas pour faire des provisions, cette fourmi ne mange pas non plus, cet hiver-là. Alors chacun doit–doit travailler.

48 On a tellement de choses qu’on doit faire, tellement de responsabilités auxquelles on doit faire face. Tout le monde doit faire face à une certaine responsabilité.

49 Quand vous–quand vous allez pour–pour choisir votre épouse, pour vous marier, ou choisir votre mari, vous–vous devez prendre une responsabilité. Et alors vous devez vous souvenir... Peut-être que vous construisez une maison; une belle maison, jolie. Et alors, souvenez-vous, en tant que femme mariée, vous devez penser à la responsabilité d’élever des enfants. Et vous devez penser que ces beaux murs bien lisses seront pleins de traces de petites mains sales. Ensuite vous avez la responsabilité d’éduquer vos enfants. Vous avez la responsabilité de les vêtir et de les nourrir.

50 Tout est une responsabilité. Et c’est si facile, quand les responsabilités sont devant nous, de les esquiver. Et on découvre que le mariage est une responsabilité, à tous les points de vue.

51 Même, très souvent, on trouve... Ce n’est pas facile à dire, mais c’est vrai, que des serviteurs de Dieu, souvent, esquivent une responsabilité de prendre position pour la vraie Parole de Dieu quand ils Y sont confrontés. Ils esquivent cette responsabilité. Quand nous, les êtres humains, on est confrontés à la Vérité de la Parole de Dieu, on a... on a tendance à reculer jusqu’à la dernière limite.

52 Je viens juste d’avoir une conversation avec mon petit neveu, là-bas. Il est catholique, et il... Et j’ai baptisé ce garçon, au Nom de Jésus-Christ, ici il y a quelques années, et il s’est mis à sortir avec une fille et il s’est fait catholique. Et j’ai tenu la main de sa mère quand elle était en train de mourir là-bas. Elle m’a dit, les derniers mots : “Prends soin de Melvin.” Et dernièrement, il a eu des songes. Il ne peut simplement pas... Chaque, chaque jour, la semaine passée, il a eu des songes. Il a dit : “J’entrais dans ton église, oncle Bill, et tu étais là, debout en train de prêcher. J’accourais pour me mettre à faire une confession. Je me réveillais.” Il a dit : “J’ai–j’ai eu tort.”
Je lui ai dit : “Melvin, tu n’as pas besoin d’interprétation pour ça. Ta place, c’est là-bas, c’est là que tu dois être.” C’est ça. Voyez?

53 Mais d’assumer des responsabilités, parfois, ça nous écorche, de faire ça. Et comme père, d’assumer la responsabilité de donner une correction à votre enfant. Ces petits enfants, vous ne voulez pas faire ça. Mais en tant que père ou que mère, vous devez assumer la responsabilité d’élever cet enfant, parce que la Bible a dit : “Ménage la verge et tu gâteras ton fils.” Et ça tient encore bon aux yeux de chaque psychologue qu’il y a dans le monde. Ça reste toujours la Vérité de Dieu. S’il y avait eu plus de ça mis en pratique, on n’aurait pas eu tant de délinquance juvénile et tout ça, et la pourriture qu’on a dans le monde aujourd’hui. Mais la vieille règle d’or du foyer a été transgressée, il y a longtemps, et ils laissent les enfants faire tout ce qu’ils veulent.

54 Mais, comme je disais, même des prédicateurs, ils vont être confrontés à la Vérité, et ils vont s’En détourner. Voyez, ils ont–ils ont juste... Il semble qu’il y a quelque chose, qu’ils–ils ne veulent pas l’assumer.

55 Souvent des gens sont venus me voir en disant : “Je sais que c’est vrai, Frère Branham, mais si je faisais ça, ils me mettraient à la porte de l’église.” Et alors? Si vous ne le faites pas, c’est Là-haut que vous serez mis à la porte. De toute façon, vous devez être mis à la porte quelque part, voyez. Alors, vous faites mieux d’y faire face, au lieu de fuir et de dire : “Eh bien, je vais aller ici, je n’y retournerai pas.” Retournez-y, c’est sûr, écoutez-En encore.
Sondez les Écritures. Jésus a dit : “Sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Éternelle : Ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.” Mais on découvre que les gens ne veulent pas faire face à ça.

56 En étant amenés, dans la Présence de Dieu, et de voir quand Dieu a fait une promesse, et Dieu est tenu par cette promesse. Et quand Il fait s’accomplir cette promesse, alors les gens ont peur de faire face à la responsabilité d’assumer le Message de l’heure. On trouve ça partout.

57 Qu’en est-il de vous les luthériens? Combien de luthériens ont eu peur, de gens ont eu peur d’assumer la Vérité de Luther quand il est venu avec la justification? Regardez ce que ça vous a coûté, peut-être votre propre vie, de sortir et de confesser ouvertement Jésus-Christ et–et de devenir un–un luthérien.

58 Regardez, vous les méthodistes, comment c’était autrefois, on vous appelait des exaltés. Je pense que vous saviez ça. Et ils entraient dans l’Esprit, et ils étaient secoués par des spasmes. Et on disait qu’ils–qu’ils avaient “la danse de Saint-Guy”. Les métho-... Ça, non, ce n’est pas des pentecôtistes, c’étaient des méthodistes, il y a bien des années. Et ils étaient secoués, et ils tremblaient, et tombaient sous la puissance de Dieu. Et on leur versait de l’eau sur la figure, et on les éventait avec des éventails, on pensait qu’ils s’étaient évanouis. Et, maintenant, on vous considérait comme une bande d’exaltés. Mais vous avez dû, vos mères et vos pères, ont dû soit L’accepter, faire face à la Vérité et aux faits, soit la rejeter.

59 Et vous les pentecôtistes, qui avez reçu la restauration des dons, quand le baptême du Saint-Esprit est sorti, avec le parler en langues, et les dons de l’Esprit qui revenaient dans l’église? Eh bien, les méthodistes ont voulu vous mettre à la porte, et ils l’ont fait. Mais vous avez dû y faire face. C’est quelque chose que vous deviez faire.
Qu’est-ce qu’il en est de la question, quand elle est sortie, du baptême au Nom de Jésus-Christ, et vous avez vu que c’était la Vérité? Vous avez dû y faire face, ou en faire quelque chose.
Vous avez une responsabilité, tout le monde en a, et vous devez faire face à ces choses. Très bien.

60 Et puis, quand vous voyez, en ce jour maintenant, quand la Parole de Dieu a fait ces promesses de choses que nous voyons arriver maintenant, alors nous avons la responsabilité soit d’Y faire face, soit de nous En éloigner. Vous avez... Vous ne pouvez simplement pas rester neutre. Vous devez Y faire quelque chose. Dit... Quelque chose doit être fait.
Vous ne pouvez pas entrer par la porte de cette église et ressortir la même personne que quand vous étiez entré. Vous êtes soit plus loin, soit plus près de Dieu, chaque fois que vous entrez ou que vous sortez.

61 Oh, comme c’est facile pour les gens d’esquiver ces choses. Et je veux qu’on pense à celles-ci, quand on commencera la série de réunions officielles demain soir, c’est que, je veux que vous remarquiez que, quand on se trouve devant quelque chose, si on... s’il y a une question à ce sujet. S’il y a une question à ce sujet, il doit y avoir une réponse.

62 Disons, par exemple, si je disais que je veux aller vers l’ouest, et que vous m’indiquiez par là, eh bien, avant longtemps, je manquerais complètement mon but, et je vais trop... je vais vers le nord-ouest. Bon, et si quelqu’un m’indiquait par ici, et que j’y aille? Je manquerais encore mon but; je serais allé vers le sud-ouest. Eh bien, tant qu’il y a une question, où se trouve l’ouest, il doit y avoir une réponse directe quelque part.
Et quand ces questions se trouvent devant nous, sur les Vérités bibliques, il doit y avoir la bonne réponse quelque part. C’est vrai. Elle doit y être.

63 Et quand on voit Quelque Chose présenté. Je pense qu’au lieu de fuir, de dire : “Oh, c’est absurde. Je ne peux pas croire une chose comme Celle-là! Je ne pourrais pas croire Ça.” Pourquoi ne pas prendre la Bible, et s’asseoir et Y faire face? Étudiez-Le! En ce moment vous êtes ici à la réunion, examinez-Le, vérifiez-Le, vous-mêmes, avec la Parole. Vérifiez la Parole, par la Parole. C’est la seule manière de Lui faire dire la Vérité. Et Elle doit dire la Vérité, de la Genèse à l’Apocalypse.

64 Christ est la révélation de toute la Bible. En Lui, Christ, toute (la plénitude) l’accomplissement de toutes les prophéties de la Bible est réalisé sans condition en Christ Jésus, parce qu’Il était Dieu manifesté dans la chair.

65 Maintenant quand on découvre ces choses, toutefois, qu’on y est confronté et qu’on entre dans une réunion, et qu’on voit la Puissance de Dieu en train d’agir et de faire des choses, et de faire des oeuvres surnaturelles, qu’on les voit s’accomplir, qu’on regarde dans la Bible et qu’on voit que c’est promis pour cette heure; alors quand on voit ces choses-là, alors on se trouve devant la responsabilité soit de l’accepter, je veux dire, pour nous-mêmes.

66 Maintenant, beaucoup de gens sympathisent, beaucoup de gens disent que c’est vrai. Mais ça ne–ça n’en fait pas ce que... Ce n’est pas de ça que vous êtes responsable. Comme j’ai dit, et si...

67 Si j’étais un jeune homme, et que je cherchais une épouse, pour me marier, et qu’il y avait ici une jeune fille qui ait toutes les qualités que je trouve nécessaires à une femme. Eh bien, côté moral, c’est une reine, et charmante, et–et un bon caractère, une vraie Chrétienne, tout ce que je peux espérer, pour me faire une bonne épouse. Peu importe combien je dis qu’elle est parfaite, qu’elle est juste comme il faut, elle n’est pas à moi tant que je ne l’ai pas acceptée et que je n’ai pas pris la responsabilité de l’avoir comme femme.

68 C’est la même chose avec le Message. Vous pourriez dire : “C’est vrai, ou ceci, cela ou autre chose.” Et dire : “Je sympathise avec. Je crois que C’est la Vérité.” Mais vous devez L’accepter; et Il doit devenir une partie de vous, et vous une partie de Lui. Vous devez... Alors, Il est à vous.

69 Quand vous épousez cette femme que vous avez choisie, c’est là que vous–que vous devenez un.
Et c’est comme ça que vous êtes avec Christ. Quand vous Le voyez manifesté et rendu réel, alors vous êtes une partie de Lui, et Il est une partie de vous. Et, ensemble, vous êtes une partie du Message.

70 Oh, combien on a de navires dénominationnels qui vont à Tarsis, pour les Jonas de ces jours-ci, il y en a neuf cents et quelques, de navires qui prennent le chemin de la facilité. Ils ne veulent pas y faire face.
Jonas ne voulait pas faire face, le fait d’aller vers les non-Juifs. Il ne voulait pas leur apporter ce Message cruel là-bas : “Dans quarante jours, vous périrez si vous ne vous repentez pas.” Ça le rebutait. Et il se disait : “Ces non-Juifs, on ne sait pas à quoi s’attendre de leur part.” Mais il devait y faire face. Voyez? Seulement il a pris le bateau de la facilité et il est allé à Tarsis, il est descendu au fond du bateau et il s’est endormi; Il a choisi le chemin de la facilité.

71 C’est un chemin facile, c’est un chemin qui a du succès auprès des gens. C’est facile de prendre le chemin où tout le monde vous passe la main dans le dos et dit que vous êtes un brave type, et : “Voici Untel, le...”, et où le monde vous tient en haute estime. C’est facile de suivre le chemin du plus grand nombre.
Mais quand–quand vous devez faire quelque chose de différent, quand vous devez vous tenir à votre conviction de ce que vous savez être la Vérité, c’est là qu’il y a la partie difficile, c’est là que les frictions arrivent, c’est en plein là.

72 Oh, comme on a souvent chanté ce vieux cantique : Qu’il est facile, quand on navigue sur une mer calme,
De se confier dans la force du grand bras de Jéhovah. Mais, oh, que les vagues se mettent à souffler, que–que le vent souffle et soulève les vagues, alors qu’est-ce que vous faites?

73 Quelque chose comme on m’avait raconté, une fois, qu’une dame avait dit. À l’époque des voitures à cheval, elle a dit que le cheval s’était emballé avec elle, en rentrant de l’église. On a dit : “Qu’est-ce que vous avez fait?”

74 Elle a dit : “J’ai fait confiance au Seigneur jusqu’à ce que les rênes lâchent.” Eh bien, c’est là le moment de faire confiance au Seigneur, après que tout... après que les rênes ont lâché. Vous faites confiance aux rênes jusqu’à ce qu’elles aient lâché. Oui.

75 Et alors, on découvre qu’il y a beaucoup de chemins faciles, de bateaux qui vont à Tarsis, c’est que c’est facile, pas de responsabilités. Ça va tout seul, vous avez tout qui vient, tout le monde vous aime bien. Et, tout le monde, vous êtes un... Personne n’est en désaccord avec vous, vous n’êtes en désaccord avec personne. Maintenant, ça, c’est une vraie lavette! C’est ça. Aucune personnalité, tout passe! Oh, n’importe qui, peu importe qui vous êtes, ni ce que vous défendez... En fait, des gens qui ont l’esprit normalement tourné auront plus d’estime pour vous si vous tenez ferme sur votre conviction de ce qui est juste. C’est vrai. Peu importe...

76 Prenez une femme, elle aura beau ne pas être très attrayante, et quoi qu’elle soit; mais que cette femme prenne position pour les principes de la féminité, qu’elle se tienne comme une dame; et si n’importe quel homme a un tant soit peu de virilité en lui, il la défendra. Absolument. On apprécie quelque chose que–que quelqu’un a, qu’il croit être la vérité, et qu’il tient ferme pour ce qu’il pense être juste.

77 Tellement mous, voilà comment trop de Chrétiens sont aujourd’hui, ils sont si ramollis et tout, qu’ils pensent que tout ce qu’il y a à faire, c’est de se joindre à une église, entrer quelque part, mettre leur nom sur un registre, ou faire un petit quelque chose, sauter, crier, ou–ou quelque chose comme ça, et appeler ça être Chrétien.
Être Chrétien, c’est une vie de tous les jours, rude, vivre pour Dieu dans le... dans ce monde présence. C’est avoir le Feu et l’amour de Dieu qui brûlent constamment, dans le coeur, qui vous enflamment et qui vous font aller là-dehors avec les gens, et faire des convertis à Christ. Des responsabilités.

78 Mais c’est facile de suivre le train du monde. C’est facile de suivre le courant.
Allez là-bas vous asseoir dans votre bateau, sur la rivière. Prenez vos rames et mettez-vous à ramer à contre-courant; vous n’allez pas bien vite, et c’est dur. Mais lâchez seulement les rames et regardez à quelle vitesse vous passez devant les arbres, en descendant, mais regardez où vous allez!
Quand les choses flottent facilement, souvenez-vous, vous allez vers une–une grande cataracte là-bas, en quelque sorte. Vous allez vers les chutes, et avant longtemps vous allez être précipité dans ces chutes. De flotter simplement avec le monde, facilement, comme ça va, vous ne voulez pas ça. Non monsieur. Mais vous devez res-... accepter votre responsabilité.

79 Maintenant, vous Le croyez, et vous avez... Vous pensez que C’est la Vérité.

80 Et la responsabilité que Dieu nous a donnée aujourd’hui, d’apporter ce Message! Et, comme je prends de l’âge, et je sais que mes jours raccourcissent, je ressens cette responsabilité plus que jamais. Avancer, sans relâche, nous devons le faire! Nous devons nous y mettre, partout où nous allons, et annoncer le Message; et–et dire aux gens que Jésus-Christ revient, qu’Il est Dieu et qu’Il vient bientôt. Il ne reste aucun–aucun autre espoir pour le monde que la Venue du Seigneur.

81 Là-bas au fond, je vois des amis qui étaient avec moi là-haut quand l’Ange du Seigneur... Ces gars, qui sont assis ici, je pense qu’ils ont trouvé l’endroit où ça s’est passé là-haut. Et souvenez-vous simplement de ce que le Seigneur a dit ce jour-là, à Frère Wood. Il montait la colline. Et–et il était en quelque sorte en train de pleurer, parce que sa femme était malade. Et le Seigneur a dit : “Ramasse ce caillou et lance-le en l’air, et dis : ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR.’” Et j’ai fait ça. Et Frère Wood est assis comme témoin.

82 Et j’ai dit : “Frère Wood, il ne se passera pas longtemps avant que tu voies arriver quelque chose.” Et le lendemain, pendant qu’on était debout là, nous tous ensemble... Et beaucoup de ces hommes sont ici même ce soir.

83 Un jeune prédicateur était là, et il était un... J’ai remarqué... Je venais de le rencontrer le soir d’avant. Il était dans notre camp. Il était monté pour être avec nous. Et il m’a dit, il a dit : “Frère Branham, est-ce qu’il vous arrive d’avoir des visions, dehors comme ceci?”

84 J’ai dit : “Oui, monsieur. Mais je viens ici pour m’en éloigner, en quelque sorte pour me reposer un petit peu.” Il a dit... J’ai dit : “Eh bien, je–je... Bien sûr, Il me montre des choses ici.” Et j’ai dit : “Juste de l’autre côté de la colline ici, c’est là que les sept Anges sont apparus, là-bas.”
Il a dit : “Oui, je comprends.” Il a dit : “J’étais un des commanditaires de vos réunions là-bas en Californie.”
J’ai dit : “Eh bien, je suis bien content d’apprendre ça.”

85 Et pendant que je me tenais là, j’ai regardé autour, et j’ai vu un docteur assez corpulent qui lui examinait les yeux, et je l’ai entendu dire : “Vous allez perdre cet oeil, parce qu’il y a une allergie là-dedans. Et je l’ai soigné pendant deux ans, et vous allez perdre cet oeil.” J’ai dit : “La raison pour laquelle vous m’avez demandé ça, c’est que votre docteur vous a dit l’autre jour que vous alliez perdre cet oeil.”
Et il a dit : “C’est vrai”, et il a regardé autour comme ça.

86 Et j’ai vu sa mère enlever un de ses bas et tenir son pied sorti, avec des petites tumeurs qui pendaient entre ses orteils, un peu partout sur sa jambe; et elle a dit : “Si tu vois Frère Branham, dis-lui de prier pour ça.”
Et je lui ai dit : “Votre mère a tendu son... a sorti son pied comme ça, et elle a dit qu’elle avait... elle a plein de petites tumeurs partout sur ses–ses orteils, et comme ça; et elle a dit : ‘Fais prier Frère Branham.’”
Il a dit : “Frère Branham, c’est la vérité.”

87 J’ai regardé en arrière. Quand je l’ai fait, je l’ai vu qui se tenait là en me regardant, comme ça, les yeux tout ce qu’il y a de plus clairs. Je l’ai rencontré cet automne; il avait de meilleurs yeux que n’importe qui dans le camp. Le Seigneur l’a guéri, et lui a redonné la santé.

88 Pendant que j’étais debout là, le Seigneur a dit, Il m’a montré ce qui allait arriver. “Le jugement va bientôt frapper la Côte Ouest.” Et Il a dit : “Va là-bas, à côté de ce foyer.”

89 Et j’avais une pelle à la main; j’ai marché pour aller par là. Et Frère Roy Roberson, on le connaît tous ici. Il n’est pas ici ce soir, pour autant que je sache; il est là-bas en Arizona. Il est le président des administrateurs ici, et je savais que c’était un ancien combattant. Et quelque chose allait se passer; une belle matinée calme, vers les dix heures du matin. Et les gars étaient tous là autour, on était dix ou douze, en train de démonter les tentes, de dépouiller des sangliers, et tout. Alors on... J’ai marché autour, j’ai dit : “Roy, cache-toi, vite. Quelque chose est sur le point d’arriver.” Je n’ai pas pu lui en dire plus. Mais j’étais à peine arrivé là-bas...
Et le tourbillon de Dieu est descendu du ciel, et il a claqué, comme, il a fait trembler les collines, il est entré dans cette montagne, il a ouvert une tranchée tout autour, à environ cinq pieds [un mètre cinquante] au-dessus de ma tête, et il a arraché la cime de tous ces arbres, pendant que les pierres sortaient. Il est monté en l’air et il est redescendu, avec un autre grand baptême, et il a frappé la montagne d’un bout à l’autre, et il a projeté les pierres comme ça. Il l’a fait trois fois, et puis il est monté en l’air.
Et Frère Banks est venu vers moi, il a dit : “C’est ça que tu disais hier?”
J’ai dit : “Oui, monsieur, c’est exactement ça.” Voyez?

90 Et deux jours après, l’Alaska a failli être englouti, là-haut. Et cette Côte Ouest n’a pas arrêté d’être secouée, les tonnerres et les poussées, et tout ce qui se passe. Et un de ces jours, elle va glisser sous l’océan. C’est vrai. Qu’est-ce que c’est? Nous vivons à l’heure de la Venue du Seigneur.

91 Quand on voit s’élever des ismes et tout, et toutes ces différentes choses, on sait qu’il doit y avoir une bonne réponse à ça.
Il y a des gens là dans le pays maintenant, qui vont dans des cavernes et tout, “Et le seize mars,” vous l’avez lu dans le journal, “le Seigneur va revenir.” Vous savez que c’est faux.
Jésus a dit : “Aucun homme ne connaît la minute ou l’heure.”

92 Quand on voit toutes ces choses, et les choses qui se produisent comme elles le font, et il y a forcément la vraie réponse quelque part. Il doit y avoir une Vérité. Il y a un est; et un ouest; mais il y a un sud-est, et nord-ouest, ou quelque chose. Mais il y a forcément la vraie réponse, quelque part, au problème. [espace non enregistré sur la bande –N.D.É.]

93 Esquiver ça? Nous devons dire aux gens que nous vivons aux heures de la Venue du Fils de Dieu. Nous voulons–voulons veiller, et (Dieu) être en marche, tout le temps, prêts à donner à un homme une réponse juste.

94 Ça a toujours été comme ça. C’est–c’est dans l’homme, il s’est esquivé et il s’est éloigné de Dieu, depuis Adam, dans le jardin d’Éden. Quand Adam était dans le jardin d’Éden, quand il s’est trouvé devant la responsabilité de faire son choix : est-ce qu’il resterait avec Dieu ou est-ce qu’il irait avec sa femme? Il a dû faire cette res-... il a dû faire ça, la–la responsabilité lui revenait. Il devait prendre soit ce que sa femme disait, soit ce que Dieu disait. Et quand il a choisi de suivre la voie de sa femme, et quand il a fait ça, alors il a perdu sa condition originelle. Et il a soumis le monde entier à la mort, quand il a dû prendre la responsabilité, ou soit d’accepter une lumière nouvelle que sa femme avait trouvée, qui était contraire.
Ô Dieu! Pensez-y. Dieu leur avait seulement donné environ huit ou dix Mots à garder : “Mais de cet arbre-là, tu n’en mangeras pas.” C’est tout ce qu’ils avaient à garder. Et même avec... [espace non enregistré su .la bande – N.D.É.] ...de Parole, ils L’ont transgressée. Alors Adam a dû faire face : “Est-ce que, est-ce que je vais faire ce que ma femme m’a dit de faire, ou est-ce que je vais faire ce que Dieu m’a dit de faire?” Et il s’est éloigné les yeux ouverts. Il devait prendre la responsabilité. Ça a précipité la race humaine tout entière dans la mort.

95 Alors cet autre Adam est venu, qui était Christ, il n’y a jamais eu Quelqu’un comme Lui! Quelqu’un dire qu’Il n’était pas Dieu? Son caractère unique a prouvé qu’Il était Dieu. Il n’y a jamais eu une créature qui a vécu comme Lui. Il vivait dans un monde à Lui. Il est né en dehors du domaine...?... naturel. Alléluia! Il est le Créateur Lui-même fait chair.
Qui aurait jamais pu se tenir où Il s’est tenu? Qui a jamais parlé comme Lui? Qui aurait jamais pu dire les choses qu’Il a dites? Qui aurait jamais pu faire les choses qu’Il a faites? Son caractère unique a prouvé qu’Il était Dieu. Il n’y a aucun prophète ou quoi que ce soit d’autre qui aurait pu faire ce qu’Il a fait, qui aurait pu appeler les morts à sortir de la tombe, qui aurait pu arrêter le ciel et faire tout ce qu’il voulait. Il était Dieu. Qui aurait jamais pu prendre Sa place? Qui? Qui pouvait-Il être d’autre que ce Dieu parfait, immortel, qui a été fait chair et qui a habité parmi nous!

96 Il n’y a jamais rien eu qui Lui soit comparable. Il vivait dans un monde à Lui. Aucun homme n’a jamais parlé comme Lui. Dès qu’Il ouvrait la bouche, il y avait quelque chose là, qui était différent de n’importe qui d’autre. Quelqu’un a dit qu’il était seulement un homme ordinaire. Je proteste. Il était Dieu. Voilà ce qu’Il était. Car aucun homme n’a jamais parlé comme Lui, aucun homme n’aurait pu parler comme Lui, parce qu’Il était la Parole vivante Elle-même, faite chair, la manifestation de la plénitude de Dieu.

97 Je l’admets, les prophètes avaient leur message. Ils l’avaient à l’époque; ils l’ont aujourd’hui. Mais là, il y avait, dans un corps, la plénitude de la Divinité, manifestée là. Il était l’Unique, et c’est Lui qui a dû affronter la question. Avec toute la puissance qu’Il avait, Il aurait tout à fait pu être le roi du monde. Il le sera; et Il, pour Ses saints, Il l’est déjà.

98 Il s’est tenu là. Quel homme aurait été pauvre, n’aurait pas eu d’endroit où reposer Sa tête, alors qu’Il savait même où se trouvait un poisson qui avait avalé une pièce de monnaie? Qui, quel homme aurait pu prendre ces grandes cruches d’eau et les transformer en vin, et ne pas avoir d’endroit où reposer Sa tête? Il a dû assumer les responsabilités qui Lui avaient été confiées. Quel homme aurait pu ressusciter de la tombe un homme qui était mort depuis quatre jours et qui était en train de pourrir?
Est-ce qu’Il n’aurait pas pu Se sauver Lui-même? Bien sûr qu’Il aurait pu; mais s’Il l’avait fait, Il ne nous aurait pas sauvés. Il a dû assumer les responsabilités, et à cause de Son obéissance à la Parole! Alors que la désobéissance d’Adam, qui, lui, avait pris le raccourci, le–le chemin de Tarsis. Mais Jésus a pris le chemin de Ninive, vers les nations, pour Se chercher une Épouse. Je suis heureux ce soir qu’Il l’ait fait. Alors on devrait se rendre à l’évidence qu’on Lui appartient, et renoncer au monde. Amen!

99 Chaque homme a dû l’assumer, qui a une responsabilité devant Dieu. Prenons, par exemple, Noé. Il a dû le faire. Noé, Moïse, Élie, et tous les autres, chaque âge, ils ont dû assumer la responsabilité. Et ils ont dû le faire. Et c’est justement pour ça qu’ils ont été envoyés, chacun dans son temps.

100 Regardez Noé dans son âge de science, et comme il a dû affronter quelque chose qui était tellement contraire à la science. Oh, il n’y avait aucune–aucune–aucune raison que ce ne soit pas contraire à la science... Vous voyez, c’était–c’était contraire à la science, plutôt. Oh, on leur disait qu’il allait pleuvoir du ciel. Il n’y avait jamais eu de pluie qui était tombée du ciel. Maintenant, il a dû l’assumer. Dieu avait dit qu’il allait pleuvoir. Et alors il...

101 Alors la foi sans les oeuvres est morte; si vous dites : “Je le crois”, et que vous n’agissez pas. Comme le Message, si vous dites : “Je le crois”, et que vous n’agissez pas, ça vous avance à quoi? Voyez? Noé s’est mis au travail avec son marteau et il a construit une arche, pour confirmer ce dont il parlait. C’est ça que nous devons faire, nous aussi. Nous devons nous mettre au travail et prouver notre foi, par nos oeuvres. Nos oeuvres prouvent notre foi.

102 Moïse a dû le faire, et Élie a dû le faire. Chaque prophète dans son âge a dû se tenir debout et faire face à ses responsabilités. Mais il y en a beaucoup qui n’ont pas fait comme Jonas. Il a fui; eux, non.

103 Remarquez. “Crie contre elle.” Oh! la la! C’est ça. Voilà ce que c’est : “Crie contre elle.” C’est là qu’on peut vérifier. Rien qu’aller là-bas dire à ces gens : “Dites, je suis venu me joindre à vous, les gars. Vous savez, je crois que je vais vous dire ce que je vais faire. J’ai une petite chose ici, je pense que je peux en faire un... tous nous rassembler, et on fera ceci, cela ou autre chose.”
Mais c’était : “Crie contre elle”, quand vous devez crier contre quelque chose. Maintenant, il a dû crier contre tout ce qu’il y avait là-bas; crier contre la ville, crier contre leur travail, crier contre leur Église, crier contre leurs prophètes, crier contre leurs prédicateurs, crier contre leurs prêtres. “Crie contre elle, contre tout! Crie contre elle!”

104 Noé a crié contre son âge. Bien sûr, il l’a fait, contre les Églises de son âge.
Moïse a très certainement crié contre son–son âge; contre les gens, les prêtres, et ainsi de suite. Il a crié d’un bout à l’autre du désert. À chaque croisement, il criait, il criait sans arrêt après le peuple.
Élie était très mal vu dans son jour, parce qu’il criait contre cet âge-là. Il l’était certainement.

105 Jean-Baptiste était très mal vu dans son âge. Il a crié contre son âge. Il a dit au roi, le–le potentat du–du pays; il–il avait, il avait épousé la femme de son frère. Il a dû prêcher sur le mariage et le divorce, un matin. Alors il a crié contre ça, il a dit : “Il ne t’est pas permis de l’avoir.” Ça lui a coûté d’avoir la tête tranchée plus tard, mais il a crié et il est resté à son poste.
Il n’a jamais pris le bateau pour Tarsis en disant : “Eh bien, je veux bien être d’accord avec toi, Hérode. C’est bon. Puisque tu trouves qu’elle est gentille, qu’elle est une bonne épouse pour toi, vas-y.” Oh, miséricorde. Ces lavettes, vous voyez, oui, n’importe quelle petite chose... Ça, ce n’est bon rien qu’à nettoyer des assiettes sales.

106 Mais, remarquez, Jean n’était pas comme ça. Il a pris le taureau par les cornes. Il a dit : “Il ne t’est pas permis de l’avoir.” Oui monsieur. Et il s’est élevé contre ça.

107 Ils n’ont pas fui. Jean ne l’a pas fait. Ils sont restés là et ils ont regardé les choses en face. Une fois, Moïse a essayé de fuir comme Jonas, mais Dieu l’a ramené. Beaucoup d’entre eux ont essayé d’y échapper; ils se mettaient à...
Mais, écoutez, si Dieu vous a appelé, et que vous êtes sûr que Dieu est dans le Message, rien ne pourra vous faire reculer. Ça n’a pas fait reculer Jonas. Non monsieur.

108 Amos, il y a bien longtemps, s’est écrié, il a dit : “Le lion a rugi : qui ne serait effrayé? Dieu a parlé : qui ne prophétiserait?” Qui ne prophétiserait, quand on voit Dieu parler et dire qu’une certaine chose va arriver, et la voilà qui arrive?

109 Un lion rugit, tout le monde a peur, oui monsieur, si vous en avez déjà entendu un rugir dans la jungle. Vous pouvez entendre ceux-là qui miaulent dans les cages, par ici, de ces lions apprivoisés, mais vous devriez une fois en entendre rugir un vrai, un sauvage. Ça fait tomber les pierres de la montagne à cinq cents verges [quatre cent cinquante mètres] de là. Je ne comprends pas comment tant de vacarme peut sortir de ces poumons. Et il baisse la tête, sa crinière s’ébouriffe; je n’ai jamais rien entendu... C’est comme un–un coup de canon, quand il fait sortir ce grand rugissement de ses poumons. Qui pourrait ne pas avoir peur?
On dit que si jamais vous êtes tué par un lion, c’est sans douleur. Il vous fait mourir de peur avant de vous attraper. Vous voyez, vous ne le sentez pas. Il vous épouvante par ce gros rugissement féroce, et le voilà sur vous en une fraction de seconde.

110 Il a dit : “Le lion a rugi : qui ne serait effrayé? Dieu a parlé : qui ne prophétiserait?” Quand vous voyez Dieu faire quelque chose, vous dites... “Il se peut que je ne sois pas prophète...” Jonas a dit... “Il se peut que je ne sois pas prophète, ni fils de prophète. Mais Dieu a parlé : qui ne prophétiserait?”

111 Il se peut que je ne sois pas prophète, il se peut que je ne sois pas ceci, cela ou autre chose. Quand je vois Dieu faire quelque chose, et que je le vois ici dans la Parole, et qu’Il l’a promis, qui peut se taire et rester tranquille? Bien sûr, Il l’a fait.

112 On ne peut pas non plus se cacher derrière des crédos, et tous ces groupes, ici, et descendre à–à Tarsis. On ne veut pas aller avec ces groupes.

113 Mais il y en a beaucoup, comme Adam, qui font la même chose, ils essaient de se faire un substitut en quelque sorte, ils cherchent un moyen de s’en sortir, et–et ils se font un substitut pour affronter Dieu. Une fois qu’ils savent qu’ils ont tort, quand ils ont été confrontés à la Vérité, il a suivi sa femme et il a fait exactement ce que Dieu lui avait dit de ne pas faire. Il a avancé tout droit et il l’a fait, quand même. Alors il s’est retrouvé nu, elle et lui, tous les deux, dans le jardin d’Éden. Leurs yeux se sont ouverts. Ils savaient ce qui était bien et ce qui était mal, à ce moment-là. Et là, il a essayé de trouver un substitut, pour se couvrir avec ça.
Maintenant, c’est à peu près comme ça qu’on fait aujourd’hui, une excuse, on dit : “Eh bien, je vais te dire, si c’était ici, ou si ceci.” Ou : “Si, si, si”, c’est comme... Voyez? Mais vous devez faire face à la chose. Ou bien c’est juste, ou bien c’est faux. Et si c’est juste, qu’on s’en tienne à ça. Si c’est faux, qu’on s’en éloigne. C’est tout. Prenez ce qui... Trouvez ce qui est juste. Pas question d’attendre plus longtemps. Trouvons tout de suite ce qui est la Vérité et ce qui est juste, et qu’on s’en tienne à ça. Nous savons que c’est vrai.

114 Maintenant, nous trouvons aujourd’hui que les gens sont tellement... On dirait qu’il n’y a plus aucune sincérité dans les Églises. Je... Dans la...

115 Là-bas, on habite dans la maison d’une précieuse soeur qui vient à l’église ici. Elle est probablement assise ici ce soir. Et elle la loue à ses... aux gens. Et elle a été vraiment très gentille avec nous pour cette maison, de nous laisser avoir la maison. Alors je mentionnerais bien son nom, mais elle ne voudrait peut-être pas que je le fasse. Et elle a été si gentille avec nous, et on ne voudrait–on ne voudrait surtout pas la dénoncer. Mais elle a été une femme très, très gentille. Et, dans la maison, il y avait une télévision, là dans un coin. On a une petite, deux, des maisons jumelées.
J’ai une grande famille, et pas mal d’enfants, et on... et, vous–vous savez, il leur faut des lits, il y en a plein, et des tas d’affaires dessus, alors on doit enjamber ceci et cela, quand on entre et quand on sort.

116 Et alors là-bas il y avait une télévision. Et sur cette télé, le dimanche matin, ces enfants se sont mis à regarder un genre d’émission où on chante des cantiques. Vous savez, il–il y aurait presque eu de quoi vous faire honte; s’il n’y avait pas un vrai Christianisme quelque part, sur lequel vous puissiez mettre la main, de voir ce que les gens appellent le Christianisme. Oh, on dirait qu’il n’y a plus aucune sincérité là-dedans. Oh, ils ne, on dirait qu’ils ne... Oh, c’est affreux de les voir brandir le poing et se battre, à l’écran, tout en essayant de chanter des cantiques et tout ça; ils font des blagues que même un marin ne ferait pas, ils disent tout ce qui leur passe par la tête, ils plaisantent et ils font n’importe quoi. Vous savez, on dirait que le caractère sacré du–du–du Christianisme a perdu sa place.

117 Maintenant, je vais à l’église et–et je vois le pasteur monter sur l’estrade et annoncer qu’il–il va y avoir un–un concours de natation. Toutes les femmes vont mettre leur maillot de bain, elles vont toutes aller là-bas. Il va y avoir un concours de natation pour les femmes. Et il va y avoir un–un genre de fête, on va faire plein de–de poulet frit, et jouer au loto, et–et des tas de choses comme ça. À mon avis, ça, ça enlève la vraie sincérité du Christianisme; on se permet n’importe quoi.

118 En venant ici, j’ai remarqué, on voit... Vous savez, on voit plus de nos soeurs porter des shorts, ici où il fait froid, qu’on en voit là-bas où il fait chaud. Voyez, c’est vrai. Là-bas, où il fait vraiment chaud, il n’y en a pas tellement qui en portent. Mais ici, où–où il fait froid, elles–elles le font. Vous voyez, c’est, elles ne se rendent pas compte que c’est le diable qui fait ça. Voyez? Maintenant, si c’était pour être bien, pour être plus à l’aise, ce serait autre chose. Sur un homme, je trouve que c’est affreux à voir sur un homme, mais–mais on–on ne ferait–on ne ferait pas attention à un homme. Mais la femme, son–son corps est sacré, et elle doit le garder sacré. Et de voir des vieux...

119 On peut voir, les gens aujourd’hui. Il y a deux esprits. Et l’un d’eux, c’est le Saint-Esprit; l’autre, c’est un esprit malsain. Et c’est par ça qu’on est gouverné. Et ils sont tous les deux religieux. Eh oui, c’est ça qui est étonnant, ils sont tous les deux religieux. Comme Jacob et Ésaü, tous les deux religieux; comme Caïn et Abel, tous les deux religieux; comme Judas et Jésus, tous les deux religion, tous les deux religieux. Et on le voit aujourd’hui, religieux des deux côtés. Vous voyez, c’est le même esprit. Les gens meurent, mais l’esprit ne meurt pas, il continue. Tous les deux religieux.
Il y a un côté qui possède le Saint-Esprit, ceux-là vivent la vie qu’ils doivent vivre, et ils marchent dans la piété et l’honnêteté. Ils ne vous rouleraient pas d’un centime, et ils–ils font tout aussi honnêtement qu’ils peuvent, pour vous aider. Et les autres vont... Aussi gentils qu’on peut l’être.
Et les autres, on voit, c’est tout à fait l’inverse. Et pourtant, tous les deux sont des esprits religieux, les deux; l’un, le Saint-Esprit, et l’autre, un esprit malsain. Et, si vous remarquez, même s’ils se disent religieux, ils vont se moquer de vous, ils vont vous traiter d’exalté; ils font tout ce qu’ils peuvent.

120 Ils ne tiennent pas compte de la–l’immuable Parole de Dieu, comme si Elle n’avait jamais été écrite.
Voyez, vous avez beau dire : “Bon, écoutez, si–si le baptême...
– Mais, j’ai le Saint-Esprit!
– Et vous êtes là, un cigare à la main, en train de fumer?
– Oui, j’ai le Saint-Esprit! Moi, je ne pense pas que ce soit mal de prendre un petit verre. Moi, je ne pense pas que...” Voyez?
Et vous avez remarqué : “Moi, je ne pense pas”? Mais Dieu, Lui, Il pense autrement, vous voyez, d’après Sa Parole. Voyez? Voyez, ils... Et ce qu’ils–ils font, en fait, c’est que–qu’ils crachent dessus. C’est tout à fait ça.

121 Tout comme ce type, là, cet infirme qui est arrivé en rampant cette fois-là, quand David était excommunié de son trône. Il montait la montagne des Oliviers, il s’en allait en pleurant alors qu’il montait, il regardait en arrière. Et ce type-là est sorti en se traînant, là, et il lui crachait dessus. Et le garde, là, a dit : “Je laisserais la... la tête de ce chien sur lui, qui crache sur mon roi?”
David a dit : “Laisse-le.” Voyez? Ils lui ont craché dessus.

122 À peu près huit cents ans plus tard, ils ont aussi craché sur son Fils, Jésus-Christ.
Et aujourd’hui, ils crachent encore dessus, comme si Ce n’était... Ils n’ont aucun respect, ils s’en fichent, ils haussent les épaules et ils s’en vont, et ils vous rient au nez. Pourquoi? Ils sont sur un bateau pour Tarsis. C’est...
Cet appel à Dieu, vous devez crier contre le mal, crier contre le péché, crier contre ce qui est faux. Maintenant, souvenez-vous, ce sera.
Eh, dites donc, l’heure. Vous savez, j’ai deux heures de décalage. À Tucson, il est seulement sept heures dix [dix-neuf heures dix]. Et–et je commence à ne plus trop–à ne plus trop être à ma place ici. Bon.

123 Maintenant, souvenez-vous qu’on devra en répondre. Souvenez-vous, ceux qui crachent sur Christ vont en répondre.
Quand David est revenu de son exil, quand il avait fui, quand il est revenu, souvenez-vous que ce type-là s’est jeté face contre terre, et il a imploré sa miséricorde. Il avait craché sur David quand il sortait, mais il aurait été prêt à baigner ses pieds de larmes quand il est revenu.
Et un jour, ceux qui ont percé Jésus le verront.
Et ceux qui Le percent aujourd’hui le verront aussi. Un jour, ça les rattrapera. Souvenez-vous, Apocalypse 22, Il exige de nous que nous gardions chaque Parole qu’Il a écrite; chaque Parole.

124 Maintenant nous savons que Sa Présence est ici. C’est confirmé, nous l’avons. Et nous sommes confiants que ce sera encore confirmé parmi nous cette semaine; que les malades seront guéris, et que de grandes choses vont se passer.
Nous ne voulons pas l’opinion populaire. Nous voulons la Vérité. Et nous ne... nous (voulons) ne voulons pas–nous ne voulons pas accepter autre chose que ce que Dieu a dit qui est la Vérité. Mais : “Sachez que vos péchés vous atteindront toujours.” S’ils ne le font pas ici, ils vous auront au Jugement. Alors, vous–vous... Quelque part, ça vous rattrapera. Oh oui!

125 Mais si vous êtes un vrai Chrétien, vraiment appelé, comme Jonas, alors Dieu a déjà payé le prix de votre voyage. Descendez donc de ce bateau pour Tarsis. Dieu vous a prédestiné à cette vie. Oui monsieur. Si vous êtes un vrai enfant de Dieu, appelé, venez à Christ. Entrez dans Sa plénitude. Votre voyage est payé vers où? Il est payé vers Ninive, pas vers Tarsis. Vous êtes prédestiné. Votre bateau... Il y a un bateau qui part à l’instant même, il se met en route. Alors la seule chose à faire, c’est d’embarquer. Et si vous étiez comme Dieu, vous ne pourrez jamais trouver la paix...

126 C’est comme mon neveu, tout à l’heure. Ça fait à peu près dix ans maintenant qu’il erre à droite et à gauche. Des fois, le matin, il va à cette église, cette église catholique, là-bas, et il prend celle-là à cause de ce que dit un saint père là-bas, et puis un autre par-ci, et un autre par-là. Et qu’est-ce qu’il y gagne au bout du compte? Voyez? Et maintenant il a encore faim et soif. Je lui ai dit : “Mon garçon, ta place, c’est là-bas à l’autel.” Voyez?
Il n’y a pas moyen d’y échapper. Quand Dieu est à vos trousses, vous faites mieux d’abandonner la partie et d’y aller. C’est tout.

127 Souvenez-vous, Dieu! Eh bien, Dieu était dans le bateau. Dieu était dans la tempête. Dieu était dans le poisson. Partout où il allait, Dieu était là.
Voyez, Dieu est là. Et ça n’arrêtera pas de vous poursuivre. Alors pourquoi attendre plus longtemps? Commençons ce réveil comme il faut. C’est ça. Qu’est-ce que vous attendez? Nous croyons que la Venue du Seigneur est proche, et qu’Il aura une Épouse, et qu’Elle sera prête. Nous ne voulons pas de bateaux pour des Tarsis. Nous allons à Ninive. Nous allons dans la Gloire. Amen. C’est vrai. Nous allons là où Dieu va bénir, et c’est ce que nous voulons faire.

128 Rester dans la Présence de Dieu, alors, avec nos coeurs, pas tellement nos mains, mais nos coeurs devant Dieu, jusqu’à ce qu’Il nous ait imprégnés et réimprégnés, comme ça, des rayons de Sa gloire, et qu’Il ait cuit en nous Sa–Sa bonté, et qu’Il ait fait mûrir ce que nous avons, pour que ça devienne une réalité, voyez-vous, et qu’alors nous puissions montrer à d’autres que Jésus-Christ est vivant. Oh! la la! Nous voulons croire ça.

129 Et souvenez-vous, partout où Jonas allait, Dieu était dans le bateau; Dieu était dans la tempête; Dieu était dans le poisson. Il a continué à suivre Jonas jusqu’à ce que Sa volonté parfaite se fasse. C’est vrai.
Et si jamais Il est à vos trousses, vous pouvez vous esquiver par-ci, et vous esquiver par-là, mais vous serez malheureux tant que vous ne reviendrez pas faire la chose que vous aviez commencé à faire pour Lui au départ. Voyez? N’allez pas fuir la Présence de Dieu. Regardez les choses en face. Si vous croyez que c’est la Vérité, alors... Si c’est la Vérité, ça vaut la peine de vivre pour Elle, de mourir pour Elle, et tout le reste. Et si jamais Il vous a confirmé que c’est la Vérité, alors pas moyen de fuir, nulle part. Il sera là de toute façon. Vous ne pouvez pas le faire.

130 Par le prophète auquel Il avait pourvu, celui qu’Il avait établi pour aller là-bas apporter ce message. Bon, on pourrait penser qu’Il aurait pu envoyer un autre prophète, mais c’est Jonas qu’Il avait établi pour ça; et même Élie n’aurait pas fait l’affaire; Jérémie n’aurait pas fait l’affaire, Moïse n’aurait pas fait l’affaire. C’est Jonas qui devait aller à Ninive, un point, c’est tout. Il l’a commissionné et Il lui a dit d’y aller. Et quand Il dit : “Va là-bas, Jonas, va à Ninive”, personne d’autre que Jonas ne peut y aller.
Et quand Dieu vous dit quelque chose, il faut que vous le fassiez; et personne d’autre que vous. Voyez, on n’a qu’à l’accepter, et, et aller le faire.

131 Nous croyons que nous vivons à l’heure où Dieu est en train de faire quelque chose. Nous croyons que nous vivons maintenant parmi eux maintenant. Je crois que je prêche ce soir à cette assemblée qui–qui est là, en train d’attendre là pour mûrir. Je–je le crois vraiment, de tout mon coeur. Je dirais que c’est maintenant comme ça a toujours été.

132 Maintenant, nous croyons que l’heure est venue où Jean 14.12 doit s’accomplir. Nous–nous croyons que Malachie 4 doit s’accomplir. Nous croyons que Luc 17.30 doit s’accomplir. Nous croyons que toutes les prophéties qu’Il a annoncées comme devant s’accomplir en ce jour, nous croyons qu’elles doivent s’accomplir; et nous croyons que nous les voyons s’accomplir maintenant même. C’est tout à fait vrai.

133 Arrêtez de fuir. Ne sortez pas de Sa Présence, mais entrez dans Sa Présence. C’est vrai. Et je sais que c’est ce que vous désirez, parce que là-dehors j’ai vu des plaques d’immatriculation du Texas, de la Louisiane, et de partout. C’est pour ça que nous sommes ici, non pas pour fuir Sa Présence, mais pour accourir dans Sa Présence.
Revenez, descendez de... [espace non enregistré su .la bande – N.D.É.] ...été un Jonas, si vous vous êtes demandé vers où aller, ou que faire, venez, embarquez avec nous sur le bateau ce soir. Nous allons à Tarsis, pour crier... ou à Ninive, pour crier. Nous laissons ce bateau pour Tarsis y aller s’ils le veulent. Nous, nous avons un devoir envers Dieu, un Message dont nous sommes responsables.

134 Alors, pendant la semaine qui vient; ce soir, c’est juste un petit préliminaire, pour que vous sachiez. Si je crie, frères, c’est que je suis seul responsable d’un Message. Vous, les prédicateurs qui êtes assis ici, je ne suis pas ici pour vous blesser. Et vous, les femmes et les hommes, quand nous en viendrons à cette affaire du mariage et du divorce, je veux que vous vous souveniez de ce soir. J’ai dit tout ça pour vous faire comprendre ceci : je ne suis responsable qu’envers Dieu.
Et puis, je suis responsable envers vous aussi, responsable de vous dire la Vérité. Et je ne vous dirai rien d’autre que la Vérité, à condition que Dieu me fasse connaître la Vérité. Tant que je ne connaîtrai pas la Vérité, je ne dirai rien à ce sujet, voyez-vous, je ne dirai rien là-dessus. Mais je crois vraiment que Dieu me montre la Vérité sur le mariage et le divorce, et j’ai confiance qu’Il me permettra de le faire ressortir.

135 Et d’autres Messages que j’ai l’intention d’apporter cette semaine, ce sont : Qui est ce Melchisédek?, Où Dieu a-t-Il choisi de mettre Son Nom? et certaines choses comme ça, qui sont des Messages à venir, et Les douleurs de l’enfantement. Et–et certains autres dans–dans le même ordre d’idées, et pour compléter Le choix d’une Épouse. Et certaines choses, ces Messages-là, je voudrais en parler cette semaine. Mais je voudrais seulement que l’assemblée...

136 Eh bien, s’il y avait un prédicateur ici; mes frères, je ne suis pas ici... Je ne veux pas que vous ou certains de vos membres retourniez dans votre église en disant : “Frère Branham a dit ceci et cela.”
Je suis lié par un Message qui m’a été donné par le Dieu Tout-Puissant. Comme je me tiens ici ce soir, et Dieu sait que c’est vrai, que tout près d’ici, au bord de la rivière... Il y a peut-être ici des gens qui étaient là, quand l’Ange du Seigneur est descendu là et qu’Il m’a dit ce qu’Il m’a dit, en 1933, tout près d’ici, en descendant la rue Spring. Si vous n’êtes pas d’ici, suivez la rue tout droit. C’est au coin de la rue Spring, là où vous arrivez à la rivière, c’est là que c’est arrivé. C’était en 1933. Ce qui fait qu’il doit y avoir dans les trente-deux ans de ça. Oh, ça fait trente-... ça fait trente-... trente-deux ans, trente-deux ans.
Et de voir comment, depuis ce jour-là, Il a fait arriver ça, chaque chose. On est sortis, pour apporter le Message, et on a vu les malades guéris, les aveugles, et les infirmes, et les boiteux, et les estropiés, et tout. Et on a même vu des morts, dont le décès avait été constaté, être ressuscités d’entre les morts. Des gens mourir, et être ramenés à la vie, et toutes ces choses. Si un Message est proclamé, il y a des signes et des prodiges.

137 Et on verrait encore cette même école de pensée, là, qu’on avait? Ça ne venait pas de Dieu. Dieu n’a pas besoin de...
Dieu cherche à attirer votre attention sur Quelque Chose.

138 Et alors quand Jésus est sorti, Il s’est mis à guérir les malades, à faire des grandes oeuvres, et tout. Il a toujours, Il... Jésus l’a fait. Et Moïse et Jésus l’ont fait, et les autres aussi. Et quand Il était ici, Il l’a fait.
Et Il fait la même chose aujourd’hui. Quand Il envoie une réunion comme ça, des réveils, qu’Il entreprend une réunion sur la terre, et qu’Il se met à faire de grands signes et des prodiges. Et puis que vous voyez revenir ce même enseignement d’avant, il y a–il y a quelque chose qui cloche quelque part. Il y a quelque chose de nouveau qui vient! Quand Jésus est venu, après, quand...

139 “C’est un bon rabbin.” Il pouvait aller à n’importe quelle chaire et prêcher, quand Il guérissait les malades. Quand, oh, ils aimaient bien L’avoir là.
Mais un jour quand Il s’est assis, et qu’Il a dit : “Moi et Mon Père, nous sommes Un”, oh, frère, Il n’a plus été tellement populaire après ça. Quand Il a dit : “Si vous ne mangez Ma chair et ne buvez Mon Sang, vous n’avez pas la Vie en vous-mêmes. Mais celui qui mange Ma chair et qui boit Mon Sang a la Vie Éternelle; et Je le ressusciterai au dernier jour”, à partir de ce moment-là, Il n’a plus été tellement populaire.

140 Ils disaient : “Cet Homme est un vampire. Cet Homme est un Béelzébul. C’est pour ça qu’Il a pu faire ces choses-là. Il peut dire la bonne aventure. Il regarde dans leur–leur esprit et Il perçoit leurs pensées. C’est un diseur de bonne aventure.”
Mais ce que c’était, c’est qu’Il–Il était la Parole de Dieu manifestée pour cette heure-là. Et Il était lié par le devoir. Il a dit : “Je fais toujours ce qui est agréable à Mon Père.” Que Dieu nous aide à faire la même chose, à faire ce qui est agréable au Père.

141 Et j’espère que vous comprendrez. Et si vous n’êtes pas d’accord avec moi sur ces Messages, et ces choses, j’espère que vous n’oublierez pas, et que vous aurez au moins assez de respect pour voir que j’ai une responsabilité, et que je ne vais pas à Tarsis. Je suis en route vers Ninive, et je–je dois crier. Que Dieu vous bénisse tous.
Maintenant, courbons la tête un instant.

142 Il est presque neuf heures et demie [vingt et une heures trente]. Je ne veux pas vous retenir, mais j’aimerais savoir une chose, si possible, ce soir. Est-ce qu’il y en a ici qui–qui ne sont pas exactement où ils devraient être en Christ, mais vous–vous voudriez y être, et vous désirez y être? Alors est-ce que vous voulez juste lever la main, pour dire : “Frère Branham, priez pour moi.” Que Dieu vous bénisse, regardez-moi toutes ces mains. “Je–je veux... je suis ici, Frère Branham, pour me rapprocher de Dieu.”
Et si vous aviez la tête levée, moi–moi aussi, j’ai la main levée. C’est pour ça que je suis ici. J’ai soif, tout comme vous.

143 Mais, oh, l’autre jour, une chose des plus glorieuses est arrivée, et maintenant je–je sais ce que je dois faire. Et je–je prie Dieu de vous donner cette compréhension claire. Elle est là. La... Si une question se pose à votre esprit, il faut qu’il y ait une réponse quelque part, pour répondre à cette question. Ma prière, c’est que Dieu vous fasse voir la réponse à cette question pendant ces moments.

144 Si vous êtes malade, puisse Dieu vous guérir. Nous allons avoir des services de guérison pratiquement chaque soir, je pense, et nous allons prier pour les malades. Nous ferons tout ce que nous pouvons pour vous aider, et vous, faites tout ce que vous pouvez pour nous aider. On travaillera ensemble, confiants que Dieu nous donnera de glorieuses réunions.

145 Maintenant, Dieu notre Père, ces quelques paroles entrecoupées, mais elles sont entre Tes mains maintenant. Seigneur, elles ont été prononcées. Je devrai en répondre. C’est comme... Ces mots ne pourront jamais s’éteindre; ils continuent à tourner autour de la terre, ils sont enregistrés, et un jour j’y serai confronté de nouveau. J’en suis conscient, Seigneur, et je le dis avec une profonde sincérité.

146 Dieu bien-aimé, ce soir, je prie pour chacun de ceux-ci, Tes enfants. Et, ô Dieu, je veux croire qu’avant la fin de cette semaine, ils–ils comprendront, que la question qui les préoccupe tant ce soir sera réglée. Accorde-le, Seigneur.

147 Il y en a ici qui ne Te connaissent pas encore comme leur Sauveur, Père, ou qui n’ont peut-être jamais été remplis du Saint-Esprit. Que ce soit fait ce soir.

148 Seigneur, je ne peux remplir personne du Saint-Esprit, pas plus que je ne peux sauver qui que ce soit. Je peux seulement leur dire ce que Tu as dit : “Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.” Et je Te prie, ô Dieu, de créer une telle soif dans leur coeur.
Beaucoup, Seigneur, forcément qu’ils ont soif, sinon pourquoi est-ce qu’ils feraient des centaines de milles, sur des routes verglacées, et tout, et à travers la pluie dans les montagnes, et à travers les déserts, pour venir dans un petit bâtiment, là, au coin de la rue! Et alors je repense à ce que Tu as dit : “En quelque lieu que soit le Cadavre, là s’assembleront les aigles.” Nourris-nous, Seigneur, de Ta Manne Divine. Donne à nos âmes ce dont nous avons vraiment besoin. Nous avons soif de Toi, Père. Nous sommes entre Tes mains maintenant.

149 Et que le glorieux Saint-Esprit qui est descendu sur la montagne là-bas l’autre jour, qu’Il sature, je Te prie, chaque coeur qui est ici de Sa bonté, de Sa miséricorde, et de compréhension. Père, nous sommes conscients que c’est de ça que nous avons besoin, c’est de comprendre. Car, si nous ne savons pas ce que nous faisons, comment pouvons-nous savoir le faire? Mais il nous faut de la compréhension. Comme Daniel le disait, il avait “compris par les Écrits du prophète Jérémie”. Et, Père, nous, nous comprenons par l’Écriture du Saint-Esprit, comme Il veut nous La révéler dans cette heure-ci. Exauce, Seigneur, les désirs de Toi que nous avons. C’est avec un coeur rempli de tendresse que nous Te le demandons, Père, pour Ta gloire, au Nom de Jésus-Christ.

150 Maintenant, gardons la tête inclinée. Et pendant que notre soeur joue ça, “Il me donnera grâce et gloire, et m’accompagnera jusqu’au bout”, je voudrais que vous priiez en silence, maintenant, et que vous demandiez au Père Céleste de vous accorder ce soir ce dont vous avez besoin.

151 Mon cher frère, ma chère soeur, Il est aussi proche de vous que votre bras. Vous–vous m’avez cru pour–pour d’autres choses, alors croyez-moi pour ça. Il est ici pour vous donner tout ce dont vous avez besoin.

152 Oh, ces dernières semaines, j’étais tellement affamé, tellement assoiffé, j’avais tellement envie de vous revoir. C’est pour ça que j’ai dit : “Billy, rentrons chez nous.”
Méda a dit : “Pourquoi veux-tu retourner là-bas, où il fait froid, Bill? Tu attrapes toujours un mal de gorge, et tout. Tu te retrouves toujours avec un rhume de cerveau, enroué, et tu n’arrives presque plus à parler.”

153 J’ai dit : “Eh bien, je ne sais pas.” Je lui ai dit... Je vois mon ami, Charlie Cox, assis là-bas. Je lui ai dit : “Je suis impatient d’entendre Charlie dire : ‘Le petit écureuil a grimpé sur cet arbre là-bas.’ J’ai tellement envie d’entendre ça.” Je–je veux–je veux être avec vous, c’est tout.

154 Je sais que mon Frère Banks a été très malade. Je l’ai vu en vision, ici il n’y a pas longtemps, il était allongé sur le dos. Et je sais qu’il a bien failli nous quitter dernièrement. Quand je vous regarde, chacun de vous...

155 L’autre soir, j’entrais à la réunion des Hommes d’Affaires Chrétiens, l’internationale. Le vieux “Pop” Shakarian, le père de Démos, d’habitude, il était assis là, et il regardait jusqu’à ce que j’entre, alors il souriait et me saluait avec ce petit signe de la main qu’il me faisait. Là, il n’y était pas. Il est parti.
Et puis j’ai dû aller vers cette famille avec un AINSI DIT LE SEIGNEUR : leur fille aussi va mourir. Florence. Je l’ai vue en vision, je l’ai vue partir. Je sais qu’elle s’en va. Et j’ai dit : “Priez, priez. Vous savez, il y a... Un prophète, une fois, avait été chargé d’aller dire à un roi de mettre sa maison en ordre. Alors il a prié, et Il lui a prêté vie, pour quinze ans de plus.” J’ai dit : “Priez.”

156 Mais de voir, et je–je reviens... L’autre jour j’étais assis là dans un restaurant, en train de manger. Un homme s’est avancé vers moi, il m’a dit : “Tu es bien Billy Branham, n’est-ce pas?”
J’ai dit : “Oui.”

157 Il n’a pas dû me reconnaître, à cause de ça, là, que je porte pour couvrir l’endroit chauve sur ma tête. Je portais ce petit postiche, pour éviter d’attraper un mal de gorge pendant cette série de réunions.
Il s’est approché de moi, et il a dit : “Je pensais bien que c’était toi, Billy.”
J’ai dit : “Oui.” J’ai dit : “Et toi, qui es-tu?”
Il a dit : “Je suis John Warman.”
J’ai dit : “Comment va Zip?”
Il a dit : “Billy, il est mort.” Aïe!

158 Je passais dans le palais de justice; j’étais allé payer ma taxe d’habitation. Et, comme je passais dans le palais de justice, une femme m’a interpellé, et elle a dit : “Savez-vous que John est mort?” Ou un autre nom. Ce n’était peut-être pas John; peut-être Ed ou quelque chose. Et j’ai dit... Je ne reconnaissais pas la dame, je me sentais gêné. Et elle s’est rendu compte que je ne savais pas qui elle était.
Elle a dit : “Est-ce que vous vous souvenez de cette nuit sombre où la rivière en crue emportait les maisons, dans la rue Chestnut, quand vous avez risqué votre vie pour entrer dans une maison et en faire sortir une femme et des jeunes enfants?”
J’ai dit : “C’était vous?”

159 Elle a dit : “Cette femme, c’était–c’était moi.” Elle s’était mise à hurler pour son bébé; vous connaissez mon histoire. Elle a dit : “Celui que j’appelais ‘mon bébé’, il est marié et il a une famille.” Voyez? Et la voilà âgée, les cheveux gris; et moi aussi.

160 Comme si, une par une, nos cartes étaient retirées du fichier. Quand on a des réunions, je vois que celui-ci n’est plus là, et que celui-là n’est plus là. Il nous faut tous partir un jour ou l’autre.
Mais, frère, soeur, il y a un Lieu de rassemblement. Assurons-nous bien d’être en règle. Voulez-vous le faire? Que toute notre compréhension de Dieu, et tout, que tout ça ne soit pas en vain. Croyons.

161 Père, ils sont entre Tes mains. Je suis entre Tes mains, Seigneur. Si nous sommes ici maintenant, c’est seulement pour nous consacrer, avant cette série de réunions qui va commencer demain soir. Veux-Tu nous aider, Seigneur? Que nos–que nos conversations soient constamment centrées sur Toi! Que nos coeurs et nos esprits soient toujours fixés sur Toi, et alors, Tu as dit que Tu nous garderais dans une paix parfaite. Il est également écrit dans la Bible : “Ne t’appuie pas sur ta propre compréhension des choses.” Ô Dieu, nous ne voulons pas notre compréhension, nous voulons Ta compréhension des choses. Donne-nous cela, ô Dieu. Et qu’un réveil vienne dans nos âmes, à tel point que ce groupe de gens sera d’un seul coeur et d’un même accord. Accorde-le, Père. Accorde ces choses, puisque nous prions dans le Nom de Jésus-Christ. Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au-delà de la rivière. Dans la croix, dans la croix,
Est ma gloi-... (Levons les mains.) ...à jamais;
Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au-delà de la rivière. Jésus, garde-moi près de la croix,
Là une précieuse fontaine,
Gratuite... (Oui, Seigneur, gratuite.) ...flot qui guérit,
Coule de la fontaine du Calvaire. Dans la croix, dans la croix,
Est ma gloire à jamais;
Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au-delà de la rivière.

162 [Frère Branham commence à fredonner Près de la croix.–N.D.É.] Ô Dieu! S’il y en a parmi vous qui auraient à coeur de venir s’agenouiller autour de l’autel, si vous avez envie de venir, pour dire : “Je ne suis pas où je devrais être, Seigneur. Je–je veux me reconsacrer. Je veux le faire ce soir, Seigneur”, alors je vous invite à venir. Nous serons ici pour prier avec vous. [Frère Branham continue à fredonner Près de la croix.] Dans la croix, dans la croix,
Oh, est ma gloire à jamais; Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au-delà de la rivière. Jésus, garde-moi près de la croix,
Là une précieuse fontaine,
Gratuite pour tous, un flot qui guérit,
Coule de la montagne du Calvaire. Dans la croix, dans la croix,
Est ma gloire à jamais;
Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au-delà de la rivière.

163 Prions, chacun à sa façon, maintenant. Oubliez–oubliez donc l’heure. Courbons simplement la tête dans Sa Présence. Il y a cette petite dame ici, qui crie : “Jésus, je T’aime!” Vous vous souvenez, quand vous avez été sauvé, il y a bien des années, vous vous souvenez comme c’était doux pour vous? Il est tout aussi doux ce soir. Prions, chacun à sa façon maintenant. Consacrons-nous–consacrons-nous donc tous à Dieu, consacrons nous entièrement au Seigneur.

164 Bien-aimé Seigneur Jésus... [espace non enregistré su .la bande – N.D.É.] Mon unique Source de réconfort,
Plus que la vie pour moi,
Qui ai-je sur terre d’autre que Toi?
Ou qui d’autre au Ciel que Toi? Dieu bien-aimé, nous prions maintenant que Ta miséricorde et Ta grâce soient envoyées sur chacun d’entre nous, Seigneur. Nous sommes ici autour de l’autel. Beaucoup n’ont pas pu venir jusqu’ici; Tu les rencontreras à leur place. Quoi que nous offrions, Seigneur, Tu es prêt à l’accepter. Si nous T’offrons seulement notre temps, Tu l’accepteras; du talent, Tu l’accepteras. Mais, Seigneur Dieu, ce soir nous allons plus loin que ça, nous offrons tout ce que nous sommes. Tout ce que je suis, tout ce que je peux m’attendre à être, tout est en Toi, Seigneur. Nous Te prions de prendre nos prières, que voici, dans Ton coeur, Seigneur, et de nous donner de la grande profondeur du Saint-Esprit, afin que nos vies soient changées. Car nous voyons que nous approchons de la fin maintenant. Ça ne peut plus être très long. Comme nous voyons jour après jour nos bien-aimés qui s’en vont, les jeunes comme les vieux, nous savons bien que ça devra bientôt frapper à notre porte aussi. Et ce soir, Seigneur, pendant que nous sommes en possession de toutes nos facultés, assis ici, ou à genoux ici, ou debout ici, dans quelque position que nous soyons, reçois-nous, Seigneur Dieu.

165 Prends-moi, Seigneur. Je ne suis rien, mais quoi que je sois, Seigneur, si Tu peux arriver à Te servir de moi, je me consacre à Toi.

166 Je prie, Dieu bien-aimé, pour chacun de ceux-ci. Ces braves gens pour lesquels j’ai pleuré quand je me tenais là-bas dans les montagnes de l’Arizona, voilà qu’ils sont ici, à genoux autour de l’autel ce soir avec nous, en train de prier, de consacrer nos vies. Nous T’aimons, Père, plus que notre propre vie. Nous T’aimons plus que notre famille. Nous T’aimons plus que femme, enfants, père, mère, soeur, frère, mari, femme. Nous T’aimons, Seigneur Jésus. Fais en sorte que ça devienne une telle réalité dans nos coeurs, Seigneur. Répands une huile de joie dans nos âmes cette semaine, Seigneur. Donne-nous un bain, un lavage de la Parole, par l’eau de la Parole, en distribuant à chacun de nous la Vérité.

167 Il y en beaucoup ici ce soir, Seigneur, et beaucoup aussi qui viendront, qui sont dans la confusion sur ces sujets vitaux. Ô Dieu, ouvre dans la maison de Dieu cette source qui–qui est là pour nous purifier. Je Te prie, ô Dieu, de nous laver et de nous purifier dans Ton Sang, et de faire de nous de nouvelles créatures. Et donne-nous la grâce et la force d’apporter la Parole de Vérité dans Sa révélation Divine de l’Être de Jésus-Christ. Qu’Il apparaisse devant nous, Seigneur. Qu’Il vienne guérir nos maladies, pardonner nos péchés, remplir nos coeurs assoiffés de la bonne nouvelle qui sera le sujet d’une grande joie, l’Évangile manifesté dans nos vies. Bénis chaque pasteur, chaque conducteur de chants, chaque moniteur de l’école du dimanche. Bénis-nous tous, ensemble, Seigneur, car nous T’aimons vraiment. Et maintenant, nous sommes à Toi, Seigneur, dans cette consécration. Dans le Nom de Jésus-Christ, utilise-nous maintenant selon Ta propre volonté. Ma foi regarde vers Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Ô Sauveur divin;
Exauce ma prière,
Enlève tout mon péché,
Oh, qu’à partir de ce jour,
Je sois tout à Toi! Aimez-Vous ça? Chantons-le encore. Comme je marche dans le sombre labyrinthe de la vie,
Et que les chagrins autour de moi se multiplient,
Toi, sois mon Guide;
Ordonne que les ténèbres se changent en jour,
Essuie mes larmes de tristesse,
Et que jamais je ne m’égare
Loin de Toi. Est-ce que vous ne vous sentez pas bien avec ça? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Combien aiment chanter ces vieux chants? [“Amen.”] Moi, je les aime beaucoup. Pas vous? Nous marchons vers Sion,
Magnifique, magnifique Sion;
Nous montons toujours vers Sion,
La magnifique Cité de Dieu. Nous marchons vers Sion,
Oh, magnifique, magnifique Sion;
Nous montons toujours vers Sion,
La magnifique Cité de Dieu. Venons, nous qui aimons le Seigneur,
Faisons connaître nos joies.
Chantons ensemble d’un même coeur,
Chantons ensemble d’un même coeur, Et entourons le Trône,
Entourons... Maintenant, levons-nous pour le chanter. Serrez-vous la main les uns les autres. Marchons vers Sion, Dieu vous bénisse, soeur! Dieu vous bénisse, soeur! Dieu vous bénisse, frère! Dieu vous bénisse, soeur! [Frère Branham continue à saluer les gens.–N.D.É.] La magnifique Cité de Dieu. Levons les mains vers Dieu maintenant. Oh, nous marchons vers Sion,
Magnifique, magnifique Sion;
Nous montons toujours vers Sion,
La magnifique Cité de Dieu. Nous marchons vers Sion,
Magnifique, magnifique Sion;
Nous montons toujours vers Sion,
La magnifique Cité de Dieu. Est-ce que vous ne vous sentez pas merveilleusement bien, avec ça? [L’assemblée se réjouit.–N.D.É.] Oh! la la! Oh, levons les mains, et louons-Le chacun à sa façon.

168 Seigneur Jésus, Toi, la Rose de Saron, le Lis de la Vallée, l’Étoile Brillante du Matin, le Plus Beau entre dix mille pour mon âme. Toi, mon unique Source de réconfort, plus que la vie pour moi! Comme nous T’aimons! Prête l’oreille maintenant, Seigneur. Comme nous Te remercions! Oh! [espace non enregistré su .la bande – N.D.É.] Comme nous Te louons! Bénis-les, ô notre précieux Seigneur et Sauveur! Accorde ces choses, Seigneur. Accorde-le. [Frère Branham et l’assemblée continuent à prier et à louer Dieu.] Près de la croix,
Est ma gloire à jamais;
Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au-delà de la rivière.

169 Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression qu’on va... Il y a quelque chose qui est juste devant nous. Maintenant, souvenez-vous, je crois que je suis en train de prophétiser. De grandes joies nous attendent. Croyez-le. C’est vrai. Beaucoup de coeurs attristés seront... De grands mystères seront éclaircis, et la tristesse des gens se changera en joie. [L’assemblée se réjouit.–N.D.É.] Près de la croix, dans la croix,
Est ma gloire à jamais;
Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Le repos au-delà de la rivière.

170 Comme Jean, il y a bien longtemps, quand il était devenu trop vieux pour prêcher, on m’a dit qu’il restait assis et qu’il criait de toutes ses forces : “Petits enfants, aimez-vous les uns les autres!” Aimez-vous les uns les autres. Ne laissez rien se mettre entre vous, voyez. Ne laissez rien de tel s’approcher de... Oui, peu importe de quoi il peut s’agir, assumez-le. Nous sommes en route vers Ninive. Voyez? N’embarquez pas sur ce vieux bateau pour Tarsis, où vous n’êtes plus en communion. Avançons vers le flot des bénédictions de Dieu. Je crois que nous en aurons. Je crois notre Père.

171 Vous vous sentez mieux maintenant, soeur? C’est bien. C’est comme ça que j’aime voir naître les enfants, les voir percer. [La soeur continue de prier et de se réjouir.–N.D.É.]
Je me souviens, il y a bien des années, à cet endroit même, quand je pense que des milliers sont nés, sont entrés dans le Royaume de Dieu, ici même. On était bien loin de se douter, quand on était là, avec seulement quatre-vingts cents en poche pour construire l’église! Oh, Il a dit : “Moi, l’Éternel, J’ai planté; Je l’arroserai jour et nuit.” Et Il l’a fait. Il l’a fait.
Que Dieu vous bénisse! Maintenant, comme nous courbons la tête...

172 Maintenant, demain soir, souvenez-vous, les réunions auront lieu là-bas à la salle de l’école. Et si... Il y aura quelqu’un pour indiquer le chemin, parce qu’il y aura des nouveaux qui viendront.

173 Si vous L’aimez, dites : “Amen.” [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Oh, n’est-Il pas merveilleux? [“Amen.”]

174 Je me tenais ici au bord de la rivière, et je chantais ce vieux cantique : Au bord du Jourdain je me tiens, Pensez donc, il y a trente ans de ça, trente-trois, trente-trois ans de ça. Mes yeux se portent au loin;
Je vois là-bas mon Canaan,
Terre de mon trésor. Et beaucoup de ceux que j’ai baptisés ce soir-là, sont là-bas maintenant. Ils se tenaient là et ils ont vu de leurs yeux cette Étoile du Matin, quand elle est descendue des cieux en tournoyant comme ça, et qu’il a été dit : “Comme Jean-Baptiste a été envoyé pour apporter, comme précurseur de la première venue de Christ, ton Message sera le précurseur de la seconde Venue.” Comment est-ce qu’on aurait pu l’imaginer? Mais toutes les Paroles de Dieu sont vraies, toutes les Paroles de Dieu. Nous vivons dans la Présence du grand Roi. Que Dieu vous bénisse.

175 Pendant que nous courbons la tête, je vais demander à notre Frère Neville, notre précieux pasteur, de s’avancer pour terminer la réunion par un mot de prière. Que Dieu vous bénisse, Frère Neville.

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