Être Conduit

Date: 65-1031A | La durée est de: 59 minutes | La traduction: VGR
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1 [Un groupe d’enfants chante La religion du bon vieux temps.–N.D.É.] Si elle est assez bonne pour vous, elle est assez bonne pour nous aussi.

2 [Un frère dit : “Maintenant ils vont vous offrir un cadeau.”–N.D.É.] Oh, c’est gentil. [Les enfants offrent un cadeau à Frère Branham.] Merci. [Une soeur dit : “C’est juste un petit cadeau, Frère Branham. Les enfants ont économisé leurs sous, en pièces d’un cent, et de cinq cents. Et...?...”] Merci. Merci, mon petit frère. Merci, les enfants. Vraiment, je vous remercie beaucoup. Et que Dieu vous bénisse.

3 Vous savez, Jésus a dit : “Toutes les fois que vous avez donné au plus petit de ceux-ci, c’est à Moi que vous l’avez fait.” Ce sera vous les hommes et les femmes de demain; s’il y a un demain, ce sera vous.

4 [Espace non enregistré sur la bande. Un groupe chante un autre chant.–N.D.É.] Je crois que je pourrais prêcher pendant quatre heures maintenant, après tout ça. Je commençais à penser que j’étais fatigué. Ce n’est pas étonnant que vous, les petites filles, vous chantiez si bien, vous, les petites filles et les petits garçons; écoutez comme vos grandes soeurs chantent, et vos mères : des chanteuses formidables. C’est vraiment beau. Qui est cette jeune fille qui conduisait ce chant? N’est-ce pas vous la jeune fille que j’ai rencontrée là-bas? Vous avez vraiment une belle voix; chacun de vous. Vous... Je crois que les plus beaux chants que j’aie jamais entendus, c’est ici. Est-ce que vous vous exercez tout le temps? [Un frère répond : “Non. C’est comme ça que nous chantons.”] Eh bien, je vous le dis, vous–vous êtes vraiment bénis, vous avez de très beaux chants.

5 J’aime les beaux chants. J’aime beaucoup les très beaux chants. J’ai toujours dit : quand je vais arriver au Ciel, je veux aller là où l’on chante, et écouter. Je ne pourrais jamais me lasser des chants.

6 Vous savez, chanter donne du courage. Vous savez ça, n’est-ce pas? Les soldats, quand ils vont au combat, vous savez ce qu’ils font? Ils jouent de la musique, ils chantent, et tout, pour se donner du courage. Et nous, quand nous allons au combat, nous chantons, et–et ça nous donne du courage pour continuer.

7 Je vous remercie, les enfants, pour ce beau cadeau. Et c’est... Mme Branham, et de la part de Rébecca, de Joseph, de Sara, de nous tous, nous vous remercions beaucoup. Ce n’est pas facile à dire, comment dire à ces enfants : “Non. Vous avez économisé vos sous.” Je–je ne veux pas prendre ça. Vous savez ce que je ressens, je ne veux pas prendre ça. Pourtant, j’ai regardé là-dedans, et ils ont mis un billet de dix dollars dans cette carte. Je me suis dit : “Est-ce que je peux prendre ça?” Je me suis dit : “Comment est-ce que je le pourrais?”

8 Mais je me rappelle une petite histoire que je veux vous faire connaître. Un jour, il y avait une veuve, elle avait beaucoup d’enfants. Peut-être que son... le papa de ces petits enfants-là n’était plus là. Et elle n’avait que deux pièces d’un cent. Et elle descendait la rue, une fois... C’était de l’argent mis de côté pour la dîme, juste des pièces d’un cent, comme vous ici, vous avez économisées, et elle a mis ça dans le trésor de Dieu. Jésus se tenait là, à l’observer. Et je me suis demandé : “Qu’est-ce que j’aurais fait, si moi, je m’étais tenu là?” Je serais probablement allé vers elle en vitesse, et j’aurais dit : “Non, non, soeur, ne faites pas ça. Nous–nous n’en avons pas vraiment besoin. Vous en avez besoin pour vos enfants.” Voyez? Moi, je ne l’aurais pas laissée faire. Mais Jésus, Il l’a laissée faire. Voyez-vous, Il l’a laissée faire. Pourquoi? Il savait qu’il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. Il savait ce qu’Il allait faire pour elle, voyez-vous.
Alors, je vous remercie, les enfants, de tout mon coeur.

9 Je veux remercier chacun de vous sans exception, pour ces bons moments de communion fraternelle, Frère Léo et Frère Gene. En fait, ç’a été trois jours d’adoration pour moi. Même là-bas dans la jungle, quand j’essaie de me détendre et de me dire que je suis à la chasse, n’empêche que je vous regarde et que je vous écoute parler. Cet après-midi, j’ai eu le privilège de vous rendre visite dans vos maisons. Jamais je n’ai vu, jamais je ne suis entré dans, je vais appeler ça un village, où j’aie vu autant de maisons, et autant de gens, aussi propres et aussi soignés, et autant de respect pour Christ et pour l’Évangile. Je–je n’ai jamais vu ça nulle part. Vous avez certainement commencé sur la bonne voie, continuez simplement à avancer, et Dieu sera avec vous. Et j’ai pu voir certains d’entre vous. L’autre jour, j’avais vu quelques-unes des soeurs, je ne les ai même pas reconnues, parce qu’à peu près tout ce que j’avais pu voir, c’était leurs yeux et leur nez, qui dépassaient de leur capuchon. Maintenant je crois que je vous connais mieux, grâce à la courtoisie de Frère Léo et de Frère Gene, qui m’ont emmené visiter vos maisons; et j’ai pu serrer la main aux–aux petits enfants, les prophètes et les prophétesses de l’âge à venir, s’il y a un âge à venir.

10 Vous savez, Jésus aime les petits enfants. Vous savez, Il les aime vraiment. Et, il y avait un petit garçon, une fois, nommé Moïse. Nous allons parler de lui tout à l’heure. Et c’était un très brave... Savez-vous ce qui a fait de lui, ce qui a contribué à faire de lui un brave garçon? Il a eu une bonne mère pour l’élever. Voyez? C’est ça. Elle l’a instruit sur le Seigneur. Et vous, les petits garçons et les petites filles, vous avez le même genre de mère, pour vous élever, vous instruire sur le Seigneur. Écoutez-les.

11 Savez-vous quel–savez-vous quel est le premier Commandement de la Bible, le premier Commandement avec promesse, avec une promesse? C’est peut-être un peu difficile pour vous de comprendre ces Commandements. Le premier Commandement, c’est de “ne pas avoir d’autre dieu que Lui”. Mais le grand Commandement... et le premier Commandement auquel est rattachée une promesse, voyez-vous, s’adresse aux enfants. Le saviez-vous? Voyez-vous, Il a dit : “Enfants, obéissez à vos parents, afin que vos jours se prolongent sur la terre que l’Éternel, votre Dieu, vous a donnée.” D’écouter vos parents et de faire ce que vous faites là, ça peut vous donner une vie plus longue sur la terre que l’Éternel vous a donnée, plus de temps pour Le servir.

12 J’espère qu’aujourd’hui, je suis en train de regarder un groupe de prédicateurs, de chanteurs et d’évangélistes de l’époque à venir, s’il y a une époque après la nôtre.

13 Le seul problème chez vous, c’est que vous–vous gâtez vos amis à mort. J’ai mangé jusqu’à ce que je n’arrive plus à manger, et je–et je n’ai jamais été si bien traité. Même si j’avais été un Ange, descendu du Ciel, je n’aurais pas pu être mieux traité. La seule chose que je peux vous dire, c’est : “Merci.” Et, quand vous passerez à Tucson, il se peut que je ne sois pas capable de vous traiter aussi bien, parce que je ne sais pas comment le faire, je n’ai pas la manière, mais je ferai de mon mieux. Venez.

14 Je veux vraiment remercier Frère et Soeur Shantz. J’ai eu le privilège de faire la connaissance de votre jolie jeune fille et de votre fils, cet après-midi. Et–et, le remercier de nous avoir permis d’utiliser sa maison, ici, pour le culte. Ce sont des choses comme celle-là qui se passaient à l’époque de la Bible, vous savez, où l’Évangile était... Je sais que ça semble bien peu de chose. Nous, nous pensons que ce n’est pas le cas, mais c’est exactement pareil, que Dieu... pour Dieu, que ces choses-là, à l’époque.

15 Souvenez-vous, s’il devait s’écouler encore beaucoup d’années, les gens regarderaient en arrière, vers cette époque-ci, et ils diraient : “Si seulement j’avais vécu en ces jours-là, à Prescott! Si seulement j’avais vécu...” Voyez? Or nous, nous vivons à cette époque-là. Voyez? Puis nous arrivons au bout du chemin, et alors nous attendons notre récompense, au grand Jour.

16 Maintenant nous allons ouvrir la Parole de Dieu et lire. Mais, juste avant de le faire, parlons-Lui un petit instant.

17 Cher Jésus, je ne peux exprimer mes–mes sentiments et ma gratitude envers Frère Mercier, Frère Goad, et tous ces braves gens et leurs petits enfants, pour la gentillesse qu’ils nous ont témoignée depuis que nous sommes ici. Leur gentillesse dépasse toutes nos attentes. Nous savions qu’ils étaient aimables et gentils. Mais nous ne savions pas que nous serions traités d’une façon si royale. Seigneur, je prie que Ta Présence soit toujours dans ce camp de gens, que le Saint-Esprit remplisse chaque coeur ici, et que Tu leur donnes la Vie Éternelle. Et puissions-nous, comme nous apprécions la journée d’aujourd’hui, puisse-t-il y avoir un Jour sans fin, où nous nous rencontrerons dans la Présence de Celui que nous adorons et que nous aimons, pour Lui donner toute la louange pour ces choses. En attendant ce temps-là, Seigneur, garde-nous loyaux envers Lui et envers Sa Parole. C’est au Nom de Jésus que nous prions. Amen.

18 Bon, je vous ai gardés si longtemps ce matin que je vais tâcher de faire très vite cet après-midi, et de parler d’une manière compréhensible pour les enfants et pour les plus âgés également.

19 Je veux lire un–un passage de l’Écriture ici, qui se trouve dans le Livre de Marc, et je veux en lire un bout, à partir du verset 17 du chapitre 10 de Marc. Comme Jésus se mettait en chemin, un homme accourut, et, se jetant à genoux : Bon maître, lui demanda-t-il, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle? Jésus lui dit : Pourquoi m’appelles-tu bon? Il n’y a de bon que Dieu seul. Tu connais les commandements : Tu ne commettras point d’adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; tu ne feras tort à personne; honore ton père et ta mère. Il lui répondit : Maître, j’ai fait, obéi, observé (plutôt) toutes ces choses dès ma jeunesse. Jésus, l’ayant regardé, l’aima, ce jeune homme, et il lui dit : Il te manque une chose; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras des trésors dans le ciel. Puis viens, prends ta croix, et suis-moi. Mais, affligé de cette parole, cet homme s’en alla tout triste; car il avait de grands biens.

20 Maintenant, pour les enfants, pour les adultes, et pour tous, je voudrais apporter ce petit Message de manière qu’il soit aussi opportun que possible, et aussi bref que possible. Je veux prendre comme texte : “Suis-moi”, et je veux prendre comme sujet : Être conduit. Suivre, et quelqu’un qui conduit; Être conduit, et “suis-moi”. Les jeunes, les gens, les...

21 Souvenez-vous que, pour le tout premier pas que chacun de nous a fait, quelqu’un nous conduisait. Vous, les mères, vous vous souvenez des premiers pas que le tout-petit, et que la petite fille ont faits, eux ne s’en souviennent plus. Mais il y a eu quelqu’un qui vous a conduit, pour votre premier pas. Je me souviens de Billy Paul, quand il a fait son premier pas, de Joseph et de chacun, quand ils ont fait leur premier pas.

22 Généralement, c’est la mère qui va conduire un enfant pour son premier pas, parce qu’elle est à la maison, pendant que le papa est au travail, qu’il essaie de gagner sa vie. Mais c’est, ils font leur premier pas. Et le soir, quand il rentre, le père, on ne cesse de lui dire : “Oh, papa,” elle dit, “Johnny, et Marie,” le petit garçon ou la petite fille, “sait marcher! Viens voir!” Et rien qu’un pas, peut-être que sa mère doit le tenir, il doit tenir le doigt de sa mère; en effet, vous étiez un peu faible, et un peu tourné de travers, vous savez, et vous tombiez un peu. Alors vous avez dû tenir la main de maman, pour faire votre premier pas.

23 Donc, quelqu’un vous a aidé, quand vous avez fait votre premier pas. Et pour le–le tout dernier pas que vous ferez dans la vie, quelqu’un vous conduira. Voyez-vous, c’est vrai. Je veux que vous vous souveniez bien de ça. Pour votre premier pas, quelqu’un vous conduisait. Et pour votre dernier pas, quelqu’un vous conduira.

24 Nous devons être conduits. Vous savez, Dieu nous compare à des brebis. Et saviez-vous qu’une brebis ne peut pas se diriger elle-même? Elle va s’éloigner du chemin et s’égarer, elle–elle ne peut tout simplement pas se diriger elle-même. Elle doit avoir quelqu’un qui la conduise. Et parfois... C’est le berger qui est censé conduire les brebis. Or ça, ça se passait à l’époque du Seigneur Jésus, c’était Lui le bon Berger qui conduisait les brebis.

25 Mais aujourd’hui, voyez-vous, nous vivons à une autre époque, tout a été transformé et perverti. Savez-vous de quoi l’homme se sert pour conduire les brebis aujourd’hui? D’un bouc. Et savez-vous où ce bouc les conduit? Tout droit à l’abattoir. Les petites brebis ne savent pas où elles vont, alors le bouc va à un–un enclos, à l’abattoir, et comme les brebis ne savent rien faire d’autre que suivre un conducteur, il les conduit tout droit à l’abattoir. Ensuite, le bouc saute par-dessus la piste, et les brebis entrent et se font tuer. Voyez? Le bouc : un faux conducteur.

26 Mais Jésus, le bon Berger qui conduisait les brebis, Il les a conduites à la Vie, et Il les a tenues par la main. Voyez? Mais quelqu’un doit conduire les brebis.

27 En premier lieu, il y a la bonté de la mère, puis vient la parole du père. Après que votre mère vous a fait faire votre premier pas, alors vous vous tournez vers votre papa, c’est ce que nous faisons tous, pour acquérir de la sagesse, parce que c’est lui le chef de la maison. Et habituellement, il... Non pas qu’il soit plus intelligent, mais il–il a simplement été placé là comme conducteur de sa famille, alors nous suivons ce que notre papa nous dit de faire. Quand il dit : “Maintenant, fiston, j’aimerais que tu fasses telle et telle chose”, alors nous l’écoutons, parce que c’est la sagesse. Mais nous écoutons; voyez-vous, lui, il a appris beaucoup de choses, et nous devons le consulter, pour voir ce qu’il a appris, et alors nous pourrons tirer profit de ce que lui, il a appris. Il nous dit : “Maintenant, ne va pas faire ceci, parce que moi-même je l’ai fait. Mon père m’avait dit de ne pas le faire, mais je l’ai fait, et c’est à cause de ça que ceci m’est arrivé, quelque chose de mauvais.” Donc, voyez-vous, nous... Alors, notre papa, il nous dit comment procéder et comment faire ce qui est bien.

28 Ensuite, après que notre mère nous a conduits, jusqu’au moment où nous avons eu besoin de recevoir de notre papa un peu de sagesse, pour comprendre, après ça, nous recevons un autre–nous recevons un autre conducteur : une institutrice, une bonne maîtresse d’école. Elle va tâcher de vous enseigner et de vous donner de l’instruction, pour que vous puissiez mieux vous adapter dans la vie, pour que vous soyez en situation, en position de–de lire votre Bible, de lire les cantiques, et d’apprendre au sujet de Dieu, de lire par vous-même, voyez-vous. Et puis, autre chose, peut-être que vous aurez un commerce, et que quelqu’un vous écrira une lettre, que maman, papa, quelqu’un, vous écrira une lettre, et vous ne pourriez pas la lire. Voyez? Donc, l’institutrice, alors c’est elle qui s’occupe de vous, et qui vous conduit pour–pour–pour que vous appreniez à écrire et à lire. Et c’est une bonne chose, d’avoir une bonne institutrice pour bien vous enseigner. Mais, bon, après que vous quittez ça, vous... après que vous quittez l’institutrice, que vous êtes passé d’un professeur à l’autre, à partir du moment où vous étiez un petit écolier du primaire, un petit écolier de première année, jusqu’à ce que vous sortiez du secondaire ou que vous alliez à l’université. Puis, quand vous quittez l’université, alors les professeurs ont fini de vous conduire. Voyez?

29 Donc, maman vous a appris à marcher, voyez-vous. Papa vous a appris à être un brillant et gentil jeune homme, à vous débrouiller tout seul et à bien vous conduire. Le professeur vous a fait acquérir l’instruction, vous a appris à lire et à écrire comme il faut. Mais maintenant vous quittez papa, vous quittez maman, et vous quittez le professeur; maintenant quelqu’un d’autre doit vous conduire à partir de maintenant. Alors, qui voulez-vous qui vous conduise à partir de maintenant? [Un enfant dit : “Jésus.”–N.D.É.] C’est exact. Que ce soit Jésus qui vous conduise à partir de là. Bien. Ça, c’est une très bonne réponse, très bien. C’est Jésus qui vous conduit à partir de là.

30 Maintenant, voyez-vous, ce jeune homme dont nous parlons, on l’appelle le jeune homme riche. Or, cet homme, il avait été assez bien guidé. Bon, sa mère lui avait appris à marcher. Et, voyez-vous, il était encore un jeune homme, peut-être qu’il venait de sortir du secondaire, et il était un jeune homme très populaire. Et, comme il avait été bien élevé, peut-être qu’il marchait droit, et tout, selon ce que sa mère lui avait enseigné.

31 En plus, c’était un–un jeune homme qui avait bien réussi, parce que, remarquez, il était déjà riche. Et il n’était qu’un–qu’un jeune homme, de dix-huit ans peut-être, qui venait de sortir du secondaire, et il était riche. Or, voyez-vous, il avait eu le professeur qu’il lui fallait, pour lui apprendre à marcher comme il faut. Et il avait eu le professeur qu’il lui fallait, son père; si bien que, même s’il était encore un jeune homme, il avait–il avait déjà de l’argent plein les poches, il avait gagné beaucoup d’argent. Il se peut qu’il ait été un vrai... C’était un chef, même à cet âge-là, il avait très bien réussi. Voyez? Et donc, il avait eu un–un professeur, qui lui avait enseigné, qui lui avait enseigné ce qui est bien, comment procéder. Il avait de l’instruction.

32 Et puis, il y a un autre professeur que ce jeune homme avait eu – et pour celui-là, ça dépend de la façon dont on a été élevé, mais ce jeune homme-là avait reçu un enseignement religieux chez lui.

33 Or, il y a des enfants, saviez-vous qu’il y a beaucoup de petits enfants qui ne reçoivent aucun enseignement religieux chez eux? Leur père et leur mère ne croient pas en Dieu. Et leur père et leur mère boivent, fument, se battent, et sortent chacun de son côté, le soir, et tout, et ne préparent pas le souper de leur petit garçon et de leur petite fille, et tout. N’êtes-vous pas heureux d’avoir un père et une mère qui sont de très bons Chrétiens? Quand vous aurez des enfants, n’est-ce pas que vous voudrez être un père et une mère comme votre père et votre mère? Voyez? Bon, mais tout ça, c’est bien.

34 Alors, ce jeune homme avait reçu, en plus, il avait reçu un enseignement religieux. Voyez-vous, ça dépassait de beaucoup ce que certains ont reçu, parce qu’eux n’ont pas reçu d’enseignement religieux. Mais ce jeune homme avait reçu un enseignement religieux, puisque, voyez-vous, puisqu’il a dit qu’il avait observé les Commandements depuis qu’il était tout jeune.

35 Or, vous aussi, vous avez eu de bons enseignants religieux, chacun de vous. Et vous, les jeunes adolescentes et les jeunes adolescents, vous avez tous eu de bons enseignants, votre père et votre mère, ici dans ce camp, qui vous ont inculqué tout... toutes les capacités qu’on peut imaginer, qui soient possibles, pour que vous deveniez un homme et une femme vraiment très bien, un serviteur de Dieu.

36 En effet, souvenez-vous : un jour, vous allez mourir, ou bien vous serez enlevés au Ciel. Et si vous mourez avant Sa Venue, c’est vous qui serez enlevés en premier. Saviez-vous ça? Saviez-vous que ceux qui sont morts... Si maman et papa meurent avant vous, et que Jésus ne vienne pas dans notre génération, savez-vous que c’est eux, papa et maman, qui ressusciteront en premier, seront glorifiés avant vous? Voyez? La trompette de Dieu sonnera, et les morts en Christ ressusciteront premièrement; ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons enlevés avec eux. Nous serons changés comme ça. Nous devons nous souvenir que c’est ça l’essentiel, dans la vie. Vous comprenez maintenant? C’est ça l’essentiel, dans la vie; ce que nous devons faire, c’est de nous préparer à rencontrer Dieu.

37 Or, n’avoir que de la religion, sans plus, ça ne marchera pas. Voyez? Ce jeune chef, ici, il a dit : “Bon Maître...” Maintenant, souvenez-vous, avant que je dise ça. On lui avait enseigné à marcher droit. Il avait reçu une bonne éducation. On l’avait instruit dans les affaires. Il était riche, il était un chef, et il avait de la religion. Mais il a été confronté à un autre problème, un problème auquel tous, nous sommes confrontés : la Vie Éternelle. La religion ne nous donne pas la Vie Éternelle. Être religieux, c’est une couverture, mais ça ne nous donne pas la Vie Éternelle. Lui qui pourtant avait été instruit par les meilleurs professeurs qu’il y avait, il lui manquait quand même quelque chose. Et ce jeune homme le savait, puisqu’il a dit : “Bon Maître, que puis-je faire pour hériter la Vie Éternelle?”

38 Or vous, ici, vous croyez que Jésus est Dieu, n’est-ce pas? Donc, Il connaissait les pensées du jeune homme, alors Il lui a dit : “Observe les Commandements.” Il s’est reporté tout de suite à sa religion, pour voir ce qu’il allait dire de sa religion. Il a dit, en d’autres termes, là : “Pratique ta religion.”

39 Il a dit : “C’est ce que j’ai fait, dès ma jeunesse”, comme vous, les petits garçons. “Ma maman et mon papa, et mon sacrificateur, m’ont enseigné la religion. Mais je sais que, malgré ma religion, je n’ai toujours pas la Vie Éternelle.” Voyez?

40 Vous pouvez être bon. Vous ne volez pas. Vous ne fumez pas. Vous ne mentez pas. Ne mentez pas à papa et à maman. Ne dites pas ce premier mensonge, parce que, quand on en a dit un, alors c’est facile d’en dire un autre, voyez-vous. Mais vous ne devez pas faire ça. Ne dites pas un premier mensonge.

41 Saviez-vous que votre corps n’est pas fait pour mentir? Vous savez, ils ont maintenant un appareil, qui–qui est relié à vos nerfs. Ils peuvent vous mettre une petite bande autour du poignet ici, et vous en installer une autre autour de la tête, ensuite vous pouvez dire, là, disons que vous vous dites : “Je–je–j’ai menti là-dessus, mais je peux le dire de façon tellement décontractée qu’ils–ils vont croire que je dis la vérité.” Et vous pouvez dire...

42 S’ils disent : “Est-ce que vous étiez à un certain endroit, par exemple, est-ce que vous étiez assis dans la roulotte de Frère Shantz, quand Frère Branham prêchait, le dimanche après-midi, tel jour?”
Et vous dites : “Non, monsieur. Je n’y étais pas. Non, monsieur.”

43 Savez-vous ce que dira ce détecteur de mensonge? “Oui monsieur, vous y étiez. Oui monsieur, vous y étiez.”
Vous direz : “Non, je n’y étais pas.”
Ça va dire : “Oui, vous y étiez.”

44 Pourquoi? C’est parce qu’un mensonge, c’est quelque chose de tellement horrible. Le corps n’a pas été fait pour mentir. Et c’est quelque chose de tellement horrible que ça bouleverse tout le système nerveux, quand vous mentez. Fiou! Un bouleversement tel que ça va vous causer des ulcères, des tumeurs fongueuses, ça pourrait vous tuer. Et puis, un mensonge, c’est quelque chose de vilain, parce que, voyez-vous, vous n’êtes pas censé mentir, ni voler, ni faire aucune de ces choses.

45 Bon, donc, ce jeune homme avait probablement été... il n’avait pas menti, il n’avait jamais volé, et il était conscient qu’il avait besoin de recevoir la Vie Éternelle. Alors, il a dit : “Que puis-je faire pour L’avoir?”

46 Maintenant Jésus montre ici que ce n’est pas par la religion qu’on y arrive. Alors, Il reprend tout de suite, en lui disant : “Observe les Commandements.”

47 Il a répondu : “Maître, j’ai fait ceci depuis mon tout jeune âge, ou tout jeune, lorsque je n’étais qu’un tout petit enfant. J’ai fait ceci.” Mais il savait qu’il n’avait pas la Vie Éternelle. C’est alors qu’Il a dit : “Si tu veux entrer dans la Vie, la Vie Éternelle, si tu veux être parfait, alors, va vendre ce que...”

48 Voyez-vous, bon, il n’y a pas de mal à avoir de l’argent. Voyez-vous, il n’y a pas de mal à avoir de l’argent, à être riche. Et être un chef, il n’y a pas de mal à ça. Par contre, il–il y a la façon dont vous agissez après que vous le soyez devenu, voyez-vous.

49 Il lui a dit : “Va vendre ce que tu as, et donne-le aux pauvres, aux gens qui n’ont rien; puis viens, suis-Moi, et tu auras des trésors dans le Ciel.” Mais ce jeune homme avait tellement d’argent qu’il ne savait pas quoi faire de tout ça. Or, voyez-vous, il était très populaire, ce jeune homme-là l’était.

50 Et il–il–il avait toutes les compétences nécessaires pour affronter la vie, si on considère les compétences dont son père, sa mère, les sacrificateurs et tous les autres l’avaient pourvu, mais quand même il savait qu’il lui manquait quelque chose. Maintenant, je parle aux adultes. Il–il savait qu’il lui manquait quelque chose, là. Il n’avait pas la Vie Éternelle. Il le savait. Voyez?

51 La religion ne produit pas la Vie Éternelle. Les formes, les sensations, de ressentir quelque chose; vous–vous pourriez avoir peur, et ressentir quelque chose. Voyez? Pleurer, c’est bien; pousser des cris, c’est bien; mais encore là, Ce qu’il faut, ce n’est pas ça, voyez-vous. Vous êtes confronté à la Vie Éternelle.

52 Vous dites : “Eh bien, j’ai été un baptiste, un méthodiste, un presbytérien, ou un pentecôtiste vraiment convaincu.” Encore là, ce n’est pas la question.

53 Ce jeune homme aussi, il l’était, on lui avait enseigné la religion de l’époque, mais il n’avait toujours pas la Vie Éternelle, alors, il voulait savoir ce qu’il fallait faire. Il avait été très bien guidé jusque-Là. Mais quand il Y a été confronté, il a refusé d’être guidé vers la Vie Éternelle, ou d’Y être conduit. Ses autres conducteurs avaient eu tellement d’emprise sur lui, qu’il ne voulait pas abandonner tout ça. Voyez?

54 Ça, c’est quelque chose qui est un peu, – ce que Frère Branham est en train de dire là, – il y en a une partie qui est un peu trop profonde pour vous, voyez-vous.

55 L’instruction, c’est bien, vous devriez aller à l’école et apprendre. Voyez? C’est bien, mais ce n’est pas ça qui va vous sauver. D’avoir beaucoup d’argent, c’est bien, vous pourrez élever vos enfants, leur fournir de bons vêtements, et tout. Comme papa et maman, qui ont travaillé pour vous, et tout ça. C’est bien, mais ce n’est quand même pas ça qui va vous sauver. Voyez? Ou, vous pourriez aller dans un laboratoire et apprendre à mélanger différentes choses, à faire la fission des atomes, ou toutes ces choses qu’ils font, et–et monter dans une–une fusée, et–et aller sur la lune, mais ce n’est pas ça qui va vous sauver.

56 Vous devez faire face à une chose, la Vie Éternelle, et Ça, il n’y a qu’une seule Personne qui peut vous La donner. Maman ne peut pas vous La donner. Papa ne peut pas vous La donner. Votre pasteur ne peut pas vous La donner. Votre conducteur, ici, ne peut pas vous La donner. Toute personne qui a reçu la Vie Éternelle a dû venir à Jésus-Christ. Cette Partie-là, il n’y a que Lui qui peut La donner.

57 Votre institutrice peut vous donner de l’instruction, elle peut vous enseigner; vous devez apprendre ces choses. Votre–votre mère peut vous apprendre à marcher; vous devez apprendre à marcher. Votre père peut vous apprendre à être un homme d’affaires, ou quoi encore; vous devez apprendre ça. Mais il n’y a que Jésus qui peut vous donner la Vie Éternelle. Voyez?

58 Votre prêtre, votre conducteur, et ainsi de suite, peuvent vous enseigner votre religion, vous pouvez apprendre le Message que nous essayons d’enseigner, mais encore là, ce n’est pas ça qui va vous donner la Vie Éternelle. Il faut que vous acceptiez la Personne, Jésus-Christ. Est-ce que vous comprenez ça, tous? Il faut que vous acceptiez la Personne, Jésus-Christ, pour avoir la Vie Éternelle. Bon, mais parfois, d’autres conducteurs ont tellement d’influence sur nous, que nous ne savons pas quoi faire, là, quand cette–cette heure arrive.

59 Or, quelle erreur fatale, de rejeter la conduite qui mène à la Vie Éternelle, parce que, voyez-vous, ça, c’est une Vie qui ne pourra jamais avoir de fin. Bon, l’instruction, c’est bien, ça va nous aider ici-bas. Les affaires, c’est bien. L’argent, c’est bien. Être un bon garçon et une bonne fille, c’est bien. Mais, voyez-vous, quand on arrive à la fin de cette vie-ci, tout ça, c’est terminé. Vous comprenez? Vous les adultes, vous comprenez? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Voyez? Tout ça, c’est terminé. Mais alors, pour avoir la Vie Éternelle, il faut que nous acceptions Jésus-Christ. Il n’y a que Jésus qui peut vous conduire à Elle.

60 Bien que, voyez-vous, ce jeune homme ait atteint toutes ces réalisations, à l’école, et avec l’aide de ses parents et tout, il–il a perdu la plus grande chose qu’il aurait pu avoir, la conduite du Saint-Esprit, car Jésus lui avait dit : “Viens, suis-Moi.”

61 Et vous les jeunes filles, qui sortez de l’école, certaines d’entre vous vont probablement obtenir leur diplôme prochainement, et vous les jeunes hommes : la plus grande conduite qui existe, c’est celle de Jésus-Christ, car c’est cette Conduite-là qui mène à la Vie Éternelle. Or, tous les êtres humains sont confrontés à cette Conduite-là, l’occasion est donnée à chacun, de choisir.

62 Et c’est un grand privilège que nous avons dans la vie, celui de choisir. Un jour... Vous savez, votre papa et votre maman, ils ont choisi d’avoir un gentil petit garçon et une gentille petite fille, comme vous–vous tous.

63 Et puis, vous–vous avez le droit, un peu plus tard, de choisir si vous voulez apprendre de votre professeur ou pas. Le professeur peut vous enseigner, mais vous pouvez être un–un mauvais petit garçon, qui ne veut tout simplement pas apprendre; une mauvaise petite fille, qui ne veut pas du tout écouter. Voyez-vous, vous–vous avez le choix, même si vous êtes petits.
Votre mère dira : “Est-ce que tu as eu ‘excellent’ comme notes, sur ton bulletin scolaire?
– Non, j’ai eu ‘très mauvais’.” Voyez? Or, vous pouvez...

64 Votre mère dira : “Maintenant, tu dois étudier.” Et c’est ce que vous devez faire, là, étudier sans relâche comme votre mère vous l’a dit, comme votre papa vous l’a dit. Voyez-vous, vous devez étudier.

65 Mais vous avez le choix, vous pouvez le faire ou ne pas le faire. Vous pouvez dire : “Je ne veux pas.” Voyez-vous, vous avez le choix.

66 Un peu plus tard, vous aurez à faire un choix : la jeune fille que vous allez épouser, le garçon que vous allez épouser.

67 Vous avez un choix à faire, dans tous les domaines de la vie. Et puis, vous avez un autre choix à faire : si vous voulez vivre après cette vie-ci, ou si tout ce que vous voulez, c’est être une personne bien, très en vue, une vedette de cinéma, une danseuse, ou quelque chose comme ça.

68 Regardez les petites filles qui ont cette belle voix, qui ont chanté tout à l’heure. Cette enfant, à cultiver sa voix, elle pourrait devenir une chanteuse d’opéra, ou un autre genre de chanteuse. J’ai entendu les voix des petits garçons, ces garçons-là; vous pourriez être quelqu’un comme Elvis Presley, vendre votre droit d’aînesse. Voyez-vous, vous ne voulez pas de ça. Voyez-vous, c’est un talent que Dieu vous a donné, et vous devez choisir pour qui, si vous allez utiliser ce talent-là pour Dieu, ou si vous allez l’utiliser pour le diable. Voyez?

69 Frère Léo, ici, votre frère, voyez-vous, lui, il avait un talent de meneur d’hommes. Maintenant, qu’est-ce qu’il va en faire? Est-ce qu’il va lancer une entreprise, et devenir millionnaire; ou bien est-ce qu’il devrait venir s’installer ici, recueillir les gens qui veulent se réunir ici, vous y emmener tous, vous les petits enfants? Voyez? Vous devez choisir ce que vous allez faire.

70 Chacun de nous doit faire un choix. Nous y sommes confrontés. Mais nous sommes tous confrontés à cette chose-ci en particulier : “Qu’est-ce que nous allons faire au sujet de la Vie Éternelle? Est-ce que nous allons vivre après cette vie-ci, ou pas?” Alors, nous devons venir à Jésus pour recevoir Cela. L’occasion de choisir, ça, c’est quelque chose que Dieu nous a donné. Il ne nous impose pas quoi que ce soit. Il nous laisse simplement faire notre propre choix. Alors, vous devez, non pas le faire par la force, mais simplement faire votre propre choix.

71 Maintenant suivons donc, – les adultes et tous, là, pendant quelques minutes, et les enfants, tous ensemble, – suivons ce jeune homme, et le choix qu’il a fait, et voyons où ça l’a mené.

72 Maintenant, ces jeunes filles qui ont de belles voix, ces jeunes garçons. Bon, peut-être que vous vous avancez ici et que vous êtes, que vous avez une voix de chanteur. Maintenant, prenons donc cet exemple-là, vous pourriez, oh, un jour, il se pourrait que vous vous en serviez : “Je...”

73 Vous connaissez ce jeune homme du nom d’Elvis Presley? Vous avez entendu mes bandes. Vous m’avez entendu, je ne dénigre pas ce jeune homme, mais ce jeune homme a eu l’occasion que vous, vous avez. Voyez? Et ce qu’il... Il s’est rendu compte qu’il savait bien chanter. Et regardez bien ce qu’il a fait, exactement la même chose que ce que Judas avait fait, Judas Iscariot : il a vendu Jésus. C’est Jésus qui a donné à ce jeune homme cette belle voix. Et qu’est-ce qu’il fait? Il fait volte-face et il la vend au diable. Voyez? Il devra arriver au bout du chemin. Voyez? Il a refusé de marcher avec Jésus.

74 Or, ce jeune homme-ci, ce jeune chef riche, il a fait la même chose. Suivons-le et voyons ce qu’il a fait. Sans doute qu’en étant un grand homme comme ça, probablement un beau jeune homme, ses cheveux noirs bien ramenés sur le côté, avec de beaux vêtements, les jeunes filles se disaient : “Dis donc, quel beau jeune homme!” Oh, elles... il les saluait peut-être de la main, et elles aussi, elles flirtaient avec lui, et tout.

75 Et il croyait qu’il était quelqu’un de grand, un grand personnage, voyez-vous, parce qu’il était beau, qu’il était jeune. Il ne regardait pas là-bas, au bout du chemin. Il ne regardait qu’ici. “Je suis jeune. Je suis beau. Je suis riche. Je peux acheter tout ce que je veux. Je peux avoir ces filles-là, mon gars, elles ont toutes un penchant pour moi. Et elles savent que je suis un grand homme.” Voyez-vous, il avait tout ça. Il avait suivi les instructions de son père, et tout. “Et je suis très religieux. Je vais à l’église.” Et là, il pouvait suivre cette ligne-là, voyez-vous : très populaire, riche et célèbre. Et–et il...

76 C’est comme, aujourd’hui, si vous aviez l’occasion de devenir une vedette de cinéma, voyez-vous, ou quelque chose comme ça. La plupart des gamins aujourd’hui, parlez-leur, ils en savent plus long sur ces vedettes de cinéma qu’ils n’en savent sur Jésus. Voyez? Voyez, vous–vous, les enfants, vous apprenez au sujet de Jésus. Alors qu’eux, ils vont s’asseoir, et si on présente un téléfilm, un film de cinéma, ou quelque chose d’autre, ils connaissent les acteurs et tout ce qui s’y rapporte. Ils connaissent tout ça, mieux que Cela. Parlez-leur de la Bible, ils ne connaissent rien de la Bible. Voyez-vous, c’est de faire le mauvais choix. Donc, un chanteur, qui vendrait le talent que Dieu lui a donné, à cause de la célébrité!

77 Puis nous le voyons à la fin de sa vie. Suivons-le un peu plus loin. Savez-vous ce que la Bible dit de ce jeune homme? Il a réussi encore mieux. Alors, parfois, la réussite, ça ne signifie pas que vous avez fait le bon choix. Savez-vous ce qu’il a fait? Il est reparti, et il s’est payé du bon temps à profusion, il organisait de grandes fêtes, et il dépensait beaucoup d’argent et tout, pour les filles, et tout. Ensuite, il s’est marié et peut-être qu’il a fondé une famille. Et–et il–il a tellement prospéré qu’il a été obligé de bâtir de nouveaux greniers et tout. Et il disait : “Vous voyez, je n’ai pas suivi Jésus, et regardez donc ce que j’ai!” Voyez?

78 Il se peut que vous entendiez des gens dire ça, moi j’en ai entendu : “Mais, regardez donc, Il m’a béni.” Ça ne veut pas dire que c’est tout ce qui compte. Voyez?

79 Au bout d’un certain temps, ses greniers se sont remplis d’abondance, au point qu’il a même dit : “Mon âme, repose-toi. J’ai tellement d’argent et tellement bien réussi! Et je suis un si grand homme! Je fais partie de tous les clubs. Et j’ai la richesse du monde entre les mains. Je suis propriétaire de grandes étendues de terre et de grosses sommes d’argent, et, eh bien, oh, tout le monde m’aime, là, je suis quelqu’un de très bien.”

80 Mais vous savez, la Bible dit que, cette nuit-là, Dieu lui a dit : “Je vais te redemander ton âme.”

81 Alors qu’est-ce qui s’est passé? Or, il y avait un mendiant, un pauvre vieux Chrétien qui se couchait là, à sa porte. Et juste quand ils...

82 À Jérusalem, là-bas, ils–ils mangent sur le toit. Et les miettes de pain tombent, comme ceci, et les morceaux de viande, et tout, tombent par terre, quand ils en laissent tomber. Et ils ne les ramassent pas, parce que tout, à Jérusalem, la vieille ville, c’est–c’est...

83 Est-ce que je peux dire une petite plaisanterie ici? Là-bas, c’est F.O.B. Savez-vous ce que ça veut dire, ça? Des mouches sur le pain, des mouches sur le boeuf, des mouches sur le beurre [en anglais, F.O.B. : flies on the bread, flies on the beef, flies on the butter], F.O.B., des mouches partout. Elles vont dans la rue, dans les caniveaux et tout, elles reviennent, et elles se posent là-dessus.

84 Donc, ces gens, là, ils montent sur le–le toit. Et ils mangent, et alors ils font tomber ceci, et après, d’un coup de balai ils jettent ça du haut du toit. Et les chiens, dans la rue, mangent les miettes. Et il laissait ce pauvre vieux Chrétien, couché là dans la rue, manger seulement les miettes qui tombaient de son assiette, de son lit, ou plutôt de sa table.

85 Et alors, quand il est rentré, quelque temps après, il avait des ulcères, et il n’avait rien qu’il pouvait appliquer sur ses ulcères. Il s’appelait Lazare. Et les chiens sont venus lécher ses ulcères, pour essayer de l’aider à se rétablir.

86 Eh bien, vous savez, quelque temps après, cet homme riche, là, il voyait qu’il avait assez d’argent pour se payer des médicaments de toutes sortes, s’il tombait malade, avoir toutes sortes de médecins. Mais, vous savez, parfois les médecins ne peuvent pas nous aider, les médicaments ne nous aident pas, rien ne peut nous aider; nous sommes à la merci de Dieu. Et il est arrivé au bout du chemin; les médecins n’ont pas pu l’aider, les infirmières n’ont pas pu l’aider, les médicaments n’ont pas pu l’aider, et il est mort. Et alors, quand son âme a quitté son corps, voyez-vous, elle a laissé derrière elle tout son argent, toute son instruction, tout ce qu’il avait, toute sa popularité. On lui a fait des funérailles grandioses, peut-être qu’on a mis le drapeau en berne, et–et le maire de la ville est venu, et ils, et le prédicateur est venu et–et il a dit : “Maintenant notre frère s’en est allé dans la Gloire”, et tout, comme ça.

87 Mais la Bible dit que “dans le séjour des morts, il leva les yeux, en proie aux tourments, et il regarda au loin, de l’autre côté de ce grand abîme, là, et il vit au Ciel ce mendiant qui s’était couché là-bas, à sa porte. Et il s’est écrié : ‘Envoie Lazare ici avec un peu d’eau. Ces flammes me font souffrir cruellement.’ Il lui a répondu : ‘Oh, non. Tu vois, tu as fait le mauvais choix, dans la vie.’”

88 Voyez-vous, quand il est arrivé au bout du chemin, au moment de quitter cette vie. Il avait été conduit par la religion. Il avait été conduit par l’instruction. Il avait été conduit par l’influence de sa–de sa réussite. Mais, voyez-vous, il n’avait rien qui puisse le tenir par la main; ces choses prennent fin là. Tu comprends, mon petit? Vous les adultes, vous comprenez ce que je... Voyez-vous, il n’avait rien qui puisse le soutenir. Son argent ne pouvait pas le soutenir. Ses amis et les médecins ne pouvaient pas le soutenir. Les médicaments ne pouvaient pas le soutenir. Son sacrificateur, sa religion, ne pouvaient pas le soutenir. Alors, il ne lui restait plus qu’une chose à faire. Et il avait–il avait refusé d’accepter Jésus, la Vie Éternelle. Alors, qu’est-ce qu’il a dû faire? Sombrer dans la mort, dans le séjour des morts. Quelle erreur fatale ce jeune homme avait commise, quand il avait refusé de marcher avec Jésus, d’être conduit par Jésus. Il avait refusé de le faire.

89 Tant de jeunes commettent cette erreur-là, aujourd’hui : ils refusent d’être conduits par le–par le Seigneur Jésus. Maintenant, nous voyons combien il est fatal de refuser la Vie Éternelle, de refuser d’être conduit par Jésus, une Conduite, alors qu’Il a dit : “Viens, suis-Moi.”

90 Vous voyez ce que ce beau jeune homme disait, cet après-midi? Quand vous quittez l’école, quand vous sortez de là, vous avez besoin d’un autre conducteur, mais que ce soit Jésus. Et Jésus est la Bible. Croyez-vous ça? Ceci, c’est la Vie de Jésus et Ses Commandements pour nous, sous forme écrite. Donc, nous devons examiner Ceci, pour voir. Ceci est le plan. Ceci est la carte qu’Il nous a dit de suivre pour–pour nous engager dans la Vie Éternelle.
Donc, nous voyons que ce jeune homme a été perdu.

91 Maintenant, prenons-en un autre. Est-ce que vous aimeriez, est-ce que vous avez le temps de considérer un autre jeune homme riche, qui, lui, a agi comme il faut? Est-ce que vous aimeriez écouter ça? Très bien, on va essayer, là. Maintenant, considérons un autre jeune homme riche, qui a été confronté à la même chose. Or, nous voyons où ce jeune homme-là s’en est allé, lui qui avait mené une assez bonne vie, mais il est mort, et il était perdu, dans le séjour des morts. Et maintenant, ici, nous allons parler d’un autre jeune homme qui a été confronté à la même chose. C’était un homme riche, un jeune homme, et c’était un chef, et, mais lui, il a accepté d’être conduit par Christ; comme le jeune homme nous le disait, tout à l’heure, que nous devrions Le laisser nous conduire. Il a accepté ça.

92 Le passage de l’Écriture qui se rapporte à ça se trouve, si vous voulez le chercher après que j’aurai terminé, voyez, c’est dans Hébreux, au chapitre 11, et du verset 23 au verset 29. Je vais Le lire. Ça vous va? Vous allez me supporter encore un petit instant, n’est-ce pas? Vous n’y verrez pas d’objection, si moi, je n’en vois pas, n’est-ce pas? Voyez? Alors, nous allons simplement... Nous allons simplement le lire, comme ça vous pourrez dire : “J’ai entendu Frère Branham lire ça dans la Bible.” Voyez? Et comme ça vous savez que c’est bien là. Ce n’est pas ce que moi, j’ai dit; c’est ce que Lui a dit. Maintenant, écoutez, ici, ce que la Bible dit de ce brave jeune homme, voyez-vous. Maintenant, regardez bien. C’est par la foi que Moïse, à sa naissance, fut caché pendant trois mois par ses parents, parce qu’ils virent que l’enfant était beau, et qu’ils ne craignirent pas l’ordre du roi. C’est par la foi que Moïse, devenu grand, refusa d’être appelé fils de la fille de Pharaon, (écoutez) Aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d’endurer pour un temps la jouissance du péché, Regardant l’opprobre de Christ...

93 Il y a très longtemps, du temps de Moïse, encore là, c’était Christ. Voyez? Il est le Seul qui a la Vie Éternelle. Voyez?

94 “Regardant l’opprobre”, d’être traité de fanatique, d’exalté, ou de quelque chose comme ça, vous savez. Voyez? Regardant l’opprobre de Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération.

95 Maintenant, savez-vous ce que ça veut dire, ça? Ça veut dire ceci : à sa naissance, Moïse était un garçon pauvre, très pauvre. Son père s’appelait Amram. Sa mère s’appelait Jokébed. Et ils étaient très pauvres, mais c’étaient des Chrétiens. Ils travaillaient dur. Ils étaient en esclavage. Ils devaient faire des briques avec de la boue, et tout, pour le vieux roi. Savez-vous quoi? Un jour, la fille de ce roi est descendue au fleuve, où la mère...

96 La mère de Moïse, Jokébed, l’avait pris et l’avait déposé dans un petit radeau, là, sur le fleuve, comme ça. Et les vieux crocodiles avaient dévoré tous les petits bébés; on les tuait, et on les jetait dans le fleuve. Or, c’est en plein là qu’elle l’avait déposé. Et savez-vous comment elle a pu éloigner les crocodiles de lui? Elle avait fabriqué cette petite–petite arche, dans laquelle elle l’avait mis, elle l’avait fabriquée de poix. Savez-vous ce que c’est, ça? C’est de la térébenthine. Un vieil alligator qui approchait, il se disait : “Hm! Un petit enfant hébreu bien grassouillet, je vais me le taper!” Il l’avait entendu pleurer, comme ça. Il arrivait là : “Fiou! Quelle odeur! Hum!” Voyez? Voyez-vous, cette mère avait été conduite vers ce moyen de protéger son bébé. Alors, il faisait marche arrière, il ne voulait avoir rien à faire avec ça.

97 Et puis il a continué à descendre le fleuve, un peu plus loin. Et sa petite soeur, qui s’appelait Miryam, elle le suivait en longeant le fleuve, elle veillait à ce que...

98 Et puis la fille de Pharaon est arrivée, elle voulait aller le chercher, vous savez, et elle l’a retiré de là. Vous savez, tout... Vous savez, votre mère pense que vous êtes le plus bel enfant du monde; voyez-vous, c’est ce qu’elle devrait penser. Mais la Bible dit que ce petit garçon était vraiment beau, vraiment un beau petit garçon. Et, oh, il ne faisait que crier et gigoter. Sa maman lui manquait, voyez-vous. Et alors, savez-vous ce qui s’est passé? Alors Dieu a mis dans la fille de Pharaon, la fille du roi, tout l’amour qu’une mère pourrait avoir pour un petit bébé. Son coeur s’est vraiment épris de lui. Elle a dit : “C’est mon bébé.”

99 Mais, vous savez, c’était une jeune femme. Voyez? À cette époque-là, ils n’avaient pas de biberons, à l’aide desquels vous, bébés, vous avez été nourris, alors ils devaient aller chercher une mère qui était, qui avait eu un bébé, et qui avait, qui pouvait allaiter.

100 Miryam était justement là, sur place, alors elle a dit : “Je vais aller te chercher la mère qu’il lui faut.
– Eh bien, va la chercher.”

101 Savez-vous qui Miryam est allée chercher? La propre mère de Moïse. C’est vrai. Oui, elle est allée la chercher. C’était de la sagesse, ça, n’est-ce pas? Donc, elle est allée chercher la propre mère de Moïse. Et celle-ci a dit : “Je vais prendre ce petit garçon et l’élever pour toi.”

102 Elle a dit : “Sais-tu quoi? Je vais te payer trois cents dollars par semaine, pour élever ce petit. Et tu pourras demeurer dans le palais.” Voyez-vous comment Dieu agit quand vous Lui faites confiance, voyez-vous, quand vous avez l’assurance de la foi. Ce petit était prophète, voyez-vous, et elle le savait.

103 Alors, ils sont allés au palais, et–et elle a élevé Moïse, et – sa mère, sa propre mère – elle touchait trois cents dollars par semaine, pour s’occuper de tout. Pensez un peu à ça!

104 Et puis, vous savez, quelque temps après, ça a continué comme ça pendant un petit bout de temps, et puis Moïse est parvenu à l’âge de savoir lire et écrire. Elle lui a appris à lire et à écrire. Ensuite elle lui a dit, elle a dit : “Moïse, tu es un bon enfant, de naissance. Ton père et moi, nous avons prié. Dieu nous a révélé que tu es prophète, et que tu seras un libérateur pour le peuple, dans les jours à venir.”

105 Et vous savez, quand il a grandi, alors qu’est-ce qui lui est arrivé? Il a été adopté dans la famille du roi. Oh! la la! Il n’avait pas à...

106 Il regardait son propre peuple, et eux, ils n’avaient pas de vêtements. C’étaient des Chrétiens, et ils pleuraient. Et ces vieux oppresseurs les frappaient avec des fouets, et le sang giclait de leur dos. Ses–ses cousins et ses oncles, son papa et sa maman, tous; on les frappait avec des fouets, là-bas, dans les bourbiers. Et alors, mais Moïse, parce qu’il y avait quelque chose au fond de son coeur, il savait qu’ils étaient le peuple promis de Dieu. Il le savait.

107 Bon, ce qu’il allait faire ensuite, c’était de devenir roi. Il allait être roi de tout, un homme riche, oh, avec tout l’argent de l’Égypte. Et en ce temps-là l’Égypte dominait le monde. Mais, regardez, la Bible dit : “Il a regardé l’opprobre”, d’être un tripoteur de boue, comme eux là-bas, un Chrétien. Alors qu’on les ridiculisait, qu’on se moquait d’eux, qu’on leur donnait des coups de pied. S’ils répliquaient, on les tuait. Voyez? Mais Moïse a choisi d’aller avec ce groupe-là, plutôt que d’être appelé le fils du roi.

108 Regardez ça! Voyez-vous, c’est parce qu’il avait vu le temps de la fin! Voyez-vous ce jeune homme riche-là? Mais lui, il avait vu Jésus, comme nous, nous Le voyons, dans une vision, qu’au temps de la fin, c’est ce qui allait être récompensé. Bon, et lui, il a accepté d’être conduit par Christ, Moïse a regardé l’opprobre comme des trésors plus grands.

109 Vous savez, parfois, vous, les petits garçons, quand vous êtes à l’école, des petits garçons vont dire des mots grossiers, et ils veulent que vous aussi, vous en disiez. Vous, les petites filles, des petites filles vont dire des grossièretés, et elles veulent que vous aussi, vous en disiez. Vous dites : “Non. Moi, je suis Chrétien.”

110 Ils disent : “Ah, espèce de grosse poule mouillée!” Vous savez, ils s’en prennent à vous, comme ça.

111 Voyez? Prenez position, dites : “Je suis heureux de l’être.” Voyez? En effet, voyez-vous, c’est ça que Moïse a fait. Il a regardé l’opprobre de Christ comme des trésors plus grands que tous ceux de l’Égypte. Maintenant, suivons-le, lui qui était conduit par Christ, et voyons ce qu’il a fait.

112 Or, voyez-vous, ce jeune homme était riche, le premier jeune homme, mais il n’a pas voulu de Christ. Il n’a pas voulu être un disciple de Jésus. Alors, nous voyons qu’il était très populaire, il se peut qu’il soit devenu une vedette de cinéma, et quelqu’un de remarquable dans tout, dans toutes les–les choses qu’il a pu entreprendre, et tout ce qu’il a voulu. Mais, quand il est mort, il n’avait personne pour le conduire. Alors, son instruction, c’était bien; son argent, c’était bien; mais quand la mort est venue, tout ça, c’était terminé, il ne pouvait plus s’en servir. Il ne pouvait pas acheter son entrée au Ciel à prix d’argent. Et il ne pouvait pas, en se servant de son instruction, il ne pouvait pas aller au Ciel. Voyez?

113 Mais ce jeune homme-ci, bon, il avait toutes ces choses. Lui aussi, il avait de l’instruction. Il était intelligent. Il était allé à l’école, et sa mère lui avait enseigné, et–et il avait acquis une bonne instruction. Et il était très intelligent, au point qu’il pouvait même enseigner aux Égyptiens. Il enseignait à son professeur, tellement il était intelligent. Regardez combien il était intelligent. Mais, savez-vous quoi, par-dessus toute cette intelligence, par-dessus tout ce qu’il avait, toutes les capacités qu’il avait, malgré tout ça, il a dit : “Je vais renoncer à tout ça, pour suivre Jésus.” Savez-vous ce qu’ils lui ont fait? Ils l’ont chassé. Il est devenu un–un esclave tripoteur de boue, comme les autres.

114 Mais un jour, devenu adulte, il faisait paître les brebis derrière le désert. Et qu’est-ce qui est arrivé? Est-ce que quelqu’un peut me dire ce qui est arrivé? Qu’est-ce qu’il y a eu? [Un enfant dit : “Il y avait un Feu dans le buisson.”–N.D.É.] C’est exact, il y avait un Feu dans le buisson, Ce qui a attiré son attention. Il s’est détourné. Et savez-vous quoi?

115 Au lieu que j’enseigne aux enfants, maintenant ce sont les enfants qui vont se lever et m’enseigner. [Frère Branham rit.–N.D.É.] Et, donc, ce petit garçon-ci, il a tapé en plein–en plein dans le mille. Qui est ton papa? [L’enfant dit : “Monsieur Shantz.”] Monsieur Shantz est ton papa. Ce garçon-là a été enseigné, n’est-ce pas? Chacun d’eux, tous avec leurs petits yeux brillants, ils regardent dans la même direction, chacun veut devancer l’autre, voyez-vous.

116 Donc, maintenant, regardez, c’est ce qu’il a fait, et ce–et ce–ce buisson l’avait attiré, en feu, alors il a dit : “Je vais me détourner pour voir ce que c’est.”

117 Et Dieu a dit à Moïse : “Ôte tes souliers, la terre sur laquelle tu te tiens est sainte. Je t’ai choisi pour aller délivrer Mon peuple. Je te donne de la puissance; tu pourras frapper la terre de plaies, tu pourras changer l’eau en sang, tu pourras faire venir des puces et des poux. Rien ne pourra te faire du mal. Je te choisis.” Pourquoi? Parce qu’il avait choisi Christ. Voyez? Vous choisissez Christ, et Lui, Il vous choisit. Voyez? Alors, Il a dit : “Tu M’as choisi, et Je t’ai choisi pour descendre en Égypte.”

118 Et regardez ce qu’il a fait. Il a conduit deux millions de personnes, deux millions de personnes sont sorties, son peuple, et il les a amenées dans le pays promis. Et, donc, il a suivi. Nous le suivons, tout au long du désert; vous les enfants, vous avez entendu Frère Léo, Frère Gene, votre papa et votre maman, vous raconter tout ce qui s’est passé dans le désert, qu’il a fait descendre du pain du ciel et a nourri les affamés, et toutes ces choses.

119 Et maintenant le voici devenu un vieillard, il est très vieux, il a cent vingt ans. Et il est dans le désert.

120 Et d’ailleurs, les gens ne le traitaient pas avec beaucoup d’égards. Voyez-vous, parfois, les gens qui se disent Chrétiens ne vous traitent pas avec beaucoup d’égards. Mais Jésus vous traite toujours avec beaucoup d’égards. Voyez? Voyez? Et donc, nous voyons que les gens se sont révoltés contre lui, mais il est quand même resté avec eux. Il était le conducteur, et il devait rester avec eux. Et les Anges de l’Éternel lui parlaient. Vous aimeriez que ça vous arrive, ça, n’est-ce pas? Alors, faites le bon choix, choisissez Jésus, et Il le fera.

121 Et puis nous voyons, là, qu’au bout du chemin, il se faisait très vieux. Il ne pouvait plus prêcher, et sa voix s’était affaiblie. Alors, il a béni Josué, et il est monté jusqu’au sommet de la colline, pour mourir.

122 Savez-vous ce qui est arrivé quand il est mort? Là-bas, qu’est-ce–qu’est-ce qui s’est passé? [Un garçon dit : “Il est mort, puis Il l’a ressuscité des morts.”–N.D.É.] C’est tout à fait exact. C’est tout à fait exact.
Maintenant, vous dites : “Où est-ce que ça se trouve, ça?”

123 Un instant, là, ce garçon a raison, voyez-vous. Il a été ressuscité des morts. Maintenant, et...?... Voyez? Voyez? Maintenant, regardez. Il l’a ressuscité des morts. Pourquoi? Parce que, huit cents ans plus tard, le voilà en Palestine, il était encore là, avec son Conducteur, Jésus, lui qui avait regardé l’opprobre de Son Nom comme des trésors plus grands que toutes les richesses de l’Égypte. Il avait regardé... Son Conducteur était là. Vous savez, Il a été appelé...

124 Dans la–dans la Bible, vous savez, il y avait un Rocher qui accompagnait Israël. Et quand Moïse était sur le point de mourir, il est monté sur ce Rocher. Et ce Rocher, c’était Jésus. Vous vous souvenez, quand Jésus parlait, dans–dans Jean, chapitre 6?
Eh bien, il disait : “Nos pères ont mangé la manne dans le désert!”

125 Il a dit, Il a dit : “C’est Mon Père qui vous a donné cette manne.” Il a dit : “Oui, ils ont mangé la manne. C’est vrai. Et ils sont tous morts, parce qu’ils n’ont pas voulu continuer à avancer, voyez-vous.” Il a dit : “Ils sont tous morts.” Mais, Il a dit : “Je suis le Pain de Vie qui est descendu du Ciel, d’auprès de Dieu.”

126 “Nos pères ont bu à un Rocher. Moïse a frappé le Rocher,” ils ont dit, “et les eaux sont sorties.”
Il a dit : “Je suis ce Rocher qui était avec lui.”

127 Et regardez, quand Moïse est mort, il est monté sur ce Rocher. Savez-vous ce qui s’est passé? La Bible dit que des “Anges” sont venus l’emporter.

128 Comme c’est différent de l’autre jeune homme! Ce jeune homme-là, voyez-vous, quand lui, il est mort, il n’avait personne pour le soutenir, alors il a simplement sombré dans les ténèbres, dans le séjour des morts, et il s’y trouve maintenant, voilà.

129 Alors, quand Moïse a quitté cette vie, qu’il s’en est allé, lui, il avait choisi un Conducteur. Sa maman l’avait bien conduit, son père lui avait bien enseigné. Ensuite, quand il a atteint la maturité, un jeune homme, alors il a dit : “Je vois la Vie Éternelle, si j’accepte d’aller avec ces pauvres gens délaissés, et que je marche avec eux, parce qu’ils sont le peuple de Dieu. Je ne suis pas obligé de le faire. Je pourrais devenir roi, mais je ne veux pas être roi. Je pourrais avoir tout l’argent de l’Égypte, parce que c’est à moi que tout ça va appartenir. Je n’en veux pas. Je préfère marcher avec Jésus.” Et puis, quand il a traversé cette vie, et puis qu’il était sur le point de quitter cette vie, voilà Son conducteur qui le prend par la main.

130 Ne voulez-vous pas ce Conducteur-là? Tous, nous voulons ce Conducteur-là, n’est-ce pas, qu’Il nous tienne par la main?

131 Des centaines d’années plus tard, il a été vu avec son grand Conducteur. Il avait conduit... Il avait fait le–il avait fait le choix, de sa jeunesse, et par conséquent, Dieu le soutenait.

132 Savez-vous quoi? L’homme riche est dans le séjour des morts, ce jeune homme riche qui avait refusé. Voyez? Or, souvenez-vous, il avait de l’instruction, il avait de la religion, il allait à l’église, c’était un brave homme, mais il avait refusé Jésus. Voyez?

133 Et ce jeune homme-ci, il était instruit, et il avait de la religion, mais lui, il a voulu de Jésus. Voyez-vous, Moïse aurait été un homme beaucoup plus riche que–que ce jeune homme, parce que tout ce que lui avait, c’était de l’argent, probablement des fermes et des choses comme ça, et peut-être qu’il faisait de la politique et tout, mais Moïse, il allait devenir roi de la terre. Et il a renoncé à tout ça.

134 Et, savez-vous quoi, les enfants? Quand il n’y aura plus d’Égypte, et quand il n’y aura plus de trésors, il y aura toujours un Moïse, parce qu’il a fait le bon choix. Voyez? Il a choisi ce qu’il fallait, pour le conduire.

135 Quand il n’y aura plus de grandes pyramides! Vous avez lu au sujet des pyramides en Égypte? Un de ces jours, elles seront réduites en poussière, sous l’impact de la bombe atomique. Toutes les richesses du monde, les gens les lanceront en l’air, et ils pousseront des cris, et ils diront que la rouille de leurs richesses ronge leur chair, et ils pousseront des cris et des hurlements. Voyez-vous, elles auront une fin.

136 Mais ceux qui acceptent que Jésus les conduise, ils ne mourront jamais. Ils ont la Vie Éternelle. Même s’ils meurent naturellement ici, Jésus les ressuscitera.

137 Vous devez faire un choix. Votre choix déterminera ce que sera votre destination Éternelle. Souvenez-vous, Jésus demande à chacun de nous : “Suis-Moi, si tu veux la Vie.” Voyez? Être conduit : “Suis-Moi, et tu auras la Vie Éternelle.” Et je suis sûr que même nous, les adultes, nous retirons aussi quelque chose de ceci. Si vous voulez la Vie, vous devez L’accepter. Vous voulez la religion, acceptez-la. Si vous voulez... Ce que vous devez faire, ce que vous accepterez, c’est ce que vous recevrez. Mais, quant à moi, et à vous, et à ces petits enfants, souvenez-vous, vous avez une invitation. Jésus a dit : “Suis-Moi, et reçois la Vie Éternelle.” C’est ce que nous voulons faire, n’est-ce pas?

138 Maintenant, combien d’entre vous veulent vraiment suivre Jésus, et vous vous dites : “Eh bien, eh bien, quand je serai assez grand et assez vieux pour faire mon choix, et pour faire ce que... Peu m’importe combien j’ai d’argent, combien je suis pauvre, combien les gens se moquent de moi, et tout le reste, moi, je veux suivre Jésus. Je veux faire le choix de Moïse, et non celui du jeune homme riche”? Combien veulent faire ça, ici même? Maintenant, vous voulez vraiment le faire?

139 Je veux que vous vous leviez avec moi. Je veux que vous posiez votre main gauche sur votre coeur, et que vous gardiez votre main droite levée. Je veux que vous fermiez les yeux, maintenant, et que vous courbiez la tête, et que vous répétiez simplement après moi les paroles suivantes. [L’assemblée répète chaque bout de phrase après Frère Branham, dans la prière suivante.–N.D.É.]

140 Cher Jésus, [“Cher Jésus,”] je m’engage à Te donner ma vie. [“je m’engage à Te donner ma vie.”] J’ai écouté cette prédication, [“J’ai écouté cette prédication,”] alors que deux jeunes hommes avaient fait leur choix. [“alors que deux jeunes hommes avaient fait leur choix.”] Je ne veux pas suivre la voie du jeune homme riche. [“Je ne veux pas suivre la voie du jeune homme riche.”] Mais je veux suivre la voie de Moïse. [“Mais je veux suivre la voie de Moïse.”] Je ne suis encore qu’un enfant. [“Je ne suis encore qu’un enfant.”] Conduis-moi, cher Jésus, [“Conduis-moi, cher Jésus,”] à la Vie Éternelle. [“à la Vie Éternelle.”] Amen. [“Amen.”]
Maintenant, courbez la tête.

141 Cher Jésus, un jour, pendant Ton pèlerinage ici sur terre, on T’a amené des petits enfants comme ceux auxquels j’ai parlé cet après-midi. Et les disciples ont dit : “Le Maître est trop fatigué. Il a prêché ce matin. Il a prêché ceci et cela, et Il est trop fatigué. Ne L’importunez pas.”

142 Mais, Jésus, Toi, Tu as dit : “Laissez venir à Moi les petits enfants, car le Royaume des Cieux est pour ceux qui leur ressemblent.”

143 Seigneur Dieu, aujourd’hui, reçois ces petits garçons et ces petites filles ici, dans cette école de justice, ici où notre frère est venu à l’écart, du côté du désert, ici, pour y emmener les familles qui désirent se séparer des choses du monde, afin que leur séjour se fasse uniquement pour Toi. Et maintenant, leurs petits sont ici, ils observent la vie de leur père et de leur mère; puisque nous–nous servons d’exemple dans tout ce que nous faisons. Ô Dieu bien-aimé, Créateur des Cieux et de la terre, guide nos pas, Seigneur, afin que nous ne fassions rien devant ces petits, qui mette une pierre d’achoppement sur leur chemin. En effet, il est dit qu’il vaudrait mieux pour nous qu’on mette à notre cou une pierre de moulin et qu’on nous jette dans la mer, que si nous scandalisions un de ces petits. Tu as dit : “Leurs Anges voient continuellement la face de Mon Père qui est dans les Cieux”, l’Ange magnifique, et l’Ange gardien, de chacune de ces petites âmes.

144 Alors qu’ils sont restés assis cet après-midi, leurs petits yeux grand ouverts, à regarder, et à répondre aux questions, et à écouter les petites histoires bibliques pour enfants, de ces deux jeunes hommes qui ont fait leur choix – chacun d’eux, ils T’ont consacré leur vie. Ô Jéhovah Dieu, conduis-les, protège-les. Et puissent-ils trouver ce grand Conducteur, Jésus-Christ, qui les conduira, quand leur père, leur mère et les professeurs auront terminé avec eux. Puisses-Tu les conduire à la Vie Éternelle comme Tu l’as fait pour Moïse, alors que leur humble petite prière d’enfant est montée jusqu’à Toi. Je Te les remets, Seigneur, en tant que Ton serviteur, comme des trophées et des joyaux pour Ta couronne. Utilise-les, Seigneur, pour Ton honneur, sur la terre. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

145 Vous les petits, les enfants, vous pouvez... Maintenant, vous vous sentez mieux, là? Vous savez que Jésus va vous conduire et vous guider. Vous croyez ça, n’est-ce pas? Et Jésus va faire de vous, les petits garçons, exactement ce qu’Il a fait de Moïse, et de Miryam, la prophétesse, et le prophète, Il va faire de vous des gens remarquables.

146 Maintenant, nous, les plus âgés, qui L’avons accepté, nous voulons qu’Il nous conduise jusqu’au bout, n’est-ce pas? Je veux qu’Il me conduise jusqu’au bout, qu’Il guide mes pas, qu’Il tienne ma main. Voyez? Et même quand j’arriverai au fleuve, je–je veux prendre Sa main. C’est ce que nous voulons tous, n’est-ce pas?

147 Cher Jésus, conduis-nous aussi, Père. Maintenant, nous allons bientôt nous séparer les uns des autres. Je dois retourner à Tucson. Je dois me préparer pour les réunions à venir. Ô Dieu, je remets ce groupe de gens, Frère Léo et Frère Gene, et tous les fidèles ici, entre Tes mains, pour que Tu puisses les bénir et les aimer, pardonnant toutes leurs iniquités, guérissant toutes leurs maladies, les gardant à jamais dans l’amour et dans la communion, et encourageant ceux qui auraient... seraient abattus. Et parfois, il se peut que Satan vienne et les amène à se décourager, mais, souviens-Toi, Tu as enduré la même chose, le découragement, abandonné des–des hommes de cette terre, et des gens. Et parfois, ce sont nos amis les plus chers, voire même nos proches, qui nous abandonnent. Mais il y en a Un que nous avons choisi – Lui, Il ne nous délaissera point, et Il ne nous abandonnera point.

148 Conduis-nous, Seigneur, à la Vie Éternelle. Je Te prie de nous accorder de pouvoir nous réunir, encore bien des fois, sur terre, pour parler de Toi et nous entretenir de Toi. Et puis, en ce grand Jour, – quand le monde sera arrivé à sa fin et que tout le temps se sera fondu dans l’Éternité, – puissions-nous nous rencontrer dans ce grand Royaume, comme des familles intactes, pour vivre ensemble désormais pour toujours. Accorde-le, Seigneur. En attendant, puissions-nous oeuvrer, travailler de toutes nos forces, pendant que le soleil brille encore. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

149 Que Dieu bénisse chacun de vous. [espace non enregistré sur la bande –N.D.É.]

Que par Son conseil, Il vous guide, vous soutienne,
De Ses bras, vous garde en sûreté dans Sa bergerie;
Dieu soit avec vous, jusqu’à ce que nous nous revoyions! Jusqu’à ce que nous nous revoyions,
Réunis aux pieds de Jésus!
Jusqu’à ce que nous nous revoyions! (Merci, à vous les gens d’ici.) Dieu soit avec vous, jusqu’à ce jour!
Que Dieu vous bénisse tous.

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