Le Résultat de la Décision

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Date: 55-1008 | La durée est de: 1 heure 54 minutes | La traduction: MS
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1    Chantons maintenant:
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.
    Restons debout juste un instant, pendant que nous prions, avec nos têtes inclinées.
    Notre Père céleste, nous Te remercions pour le–cette merveilleuse occasion que nous avons d’entrer dans Tes parvis avec actions de grâce dans nos cœurs. Nous Te sommes très reconnaissants de nous avoir envoyé Jésus et de nous avoir sauvés quand nous étions dans le péché. Lorsque nous étions malades et que les médecins nous avaient abandonnés, Tu L’as encore envoyé et Tu nous as guéris lorsque nous… il n’y avait pas d’espoir pour nous.

2    Et puis, pour cette glorieuse occasion que nous avons de rendre notre témoignage, de parler aux autres et de les persuader de venir et de croire en Lui pour être sauvés, sachant aussi que ceci n’est que le commencement, ceci est le… juste les arrhes de notre salut, qu’un jour, ces vieux corps vils que nous avons seront changés. Et ils deviendront alors immortels, ils ne vieilliront plus jamais ni ne tomberont jamais malades. Et cette âme que nous avons maintenant ne mourra jamais. Elle va… Un jour, elle sera au-dessus de la tentation, et nous vivrons dans Ta Présence, en tant que Tes enfants. Et nous Te remercions pour ces glorieuses choses.
    Père, nous prions ce soir, s’il y en a ici ce soir sans cette espérance, puissent-ils venir Le recevoir ce soir. Et s’il y en a ici sans… dont le corps n’est pas bien portant, puissent-ils être guéris ce soir. Ramène ceux-là, Père, qui se sont égarés. Et reçois la gloire pour Toi-même. Car nous le demandons au Nom de Ton tendre Fils, Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3    Bonsoir, mes amis. C’est un privilège d’être encore dans cette école secondaire Lane Tech à la veille de la clôtu–la clôture de cette convention et de ce réveil. C’est effectivement un jour glorieux pour moi.
    J’ai eu le privilège ce matin d’être chez les Hommes d’Affaires Chrétiens, les hommes d’affaires du Plein Évangile, à leur déjeuner, ce matin, dans le–l’un de vos beaux hôtels ici dans la ville, où beaucoup de gens s’étaient rassemblés. Et nous avons eu un temps de réjouissance et de rafraîchissement. Nous avons entendu les différents messages de la part de prédicateurs. [Frère Branham s’éclaircit la voix–N.D.É.] Pardonnez-moi.

4    Et j’étais assis derrière et je me réjouissais et–et pleurais de joie. Et Tommy Hicks, un jeune ministre de Texas, juste un jeune garçon de ferme que Dieu a suscité et a… Il est allé là, il ne prétend pas avoir des dons quelconques ni rien; c’est tout simplement un prédicateur qui a beaucoup de foi. Et Dieu l’a merveilleusement utilisé pour amener les âmes à Christ dans–dans le vieux pays. Et ce matin, il nous a donné son témoignage, comment Dieu l’avait envoyé là en Argentine, et il a vu le–le premier ministre là, et le–et ce qu’un… comment il a travaillé par la foi et comment Dieu a été avec lui. Je vous assure, c’était une histoire qui rendrait les ministres honteux d’eux-mêmes, ceux qui n’essaient pas de faire quelque chose pour Jésus. Et quelle merveilleuse histoire!
    Et demain dans l’après-midi, il sera mon invité ici, au… pour parler l’après-midi, raconter aux gens son voyage là derrière le Rideau de fer, demain après midi. Et je suis sûr que vous apprécierez ce merveilleux discours que notre bien-aimé jeune frère apportera demain après-midi. Et maintenant, si tout est possible, nous aimerions certainement que vous veniez entendre frère Tommy Hicks demain après-midi.

5    Il est présentement avec un prédicateur du nom de Valdez, qui tient un service à une sorte de centre de réveil. Je crois que c’est à Milwaukee, je le crois bien. [Un frère parle à Frère Branham–N.D.É.] Oh! je m’excuse, Frère Tommy. Vraiment, je n’ai même pas vu que vous étiez assis là. [L’assemblée rit] Dieu sait que c’est vrai. Eh bien… Maintenant, je peux …?… je ne… [L’assemblée rit] ce que je dis maintenant. Je… Eh bien, Frère Tommy, je–je ne pouvais rien dire de mal à votre sujet, et je–je–je dirais derrière votre–votre dos exactement ce que je vous dirais en face de toute façon. Ainsi, c’est–c’est juste… Eh bien, je ne savais pas que je disais tout cela devant lui, de toute façon. Je suis aussi un garçon de ferme, Frère Tommy. Mais vous savez, Dieu utilise parfois des garçons de ferme, n’est-ce pas, Frère Hicks? Certainement qu’Il le fait. Ainsi, je–je suis–je suis reconnaissant que Frère Hicks soit ici ce soir.
    Et le frère assis à côté de lui, je l’ai rencontré ce matin. Je ne me rappelle pas son nom maintenant. Je connais un homme qui est allé là où frère Hicks et moi, nous ne sommes pas allés, je pense, dans le monde entier ou… Il a eu de grandes expériences Outre-mer. Quel est le nom de ce frère? [Quelqu’un dit: «Sumbroe»] Sumbroe. Frère Esther Sumbroe. Et nous sommes sûrs… étions heureux d’entendre son discours ce matin. Cela a ravi nos âmes là chez les Hommes d’Affaires Chrétiens.

6    Maintenant Frère Hicks, je peux tout aussi bien aller de l’avant et dire ce que j’allais dire, n’est-ce pas?
    Frère Hicks a dit, vous savez, que le–qu’on lui avait dit là qu’il ne pouvait pas voir ce chef-là en Argentine. Est-ce un premier ministre ou une autre autorité? [Un frère répond: «le président»–N.D.É.] Le président. Eh bien, vous connaissez le niveau de ma connaissance sur les affaires nationales. Si le président disait que vous ne pouviez pas le voir… Il faudrait beaucoup de semaines, vingt-quatre jours ou vingt-quatre heures, je ne sais plus quoi, Frère Hicks a eu cela …?…
    Il a dit, eh bien, bien sûr que c’était leur entretien scientifique là-dessus. Mais il a dit qu’il n’a jamais appris cela par la science, que le bourdon était trop lourd pour voler, il ne pouvait simplement pas voler. Ainsi, le bourdon ignorait ce que la science disait à son sujet, il a simplement volé donc, de toute façon. C’est ainsi qu’il a fait… Ils disent que les miracles ne peuvent se produire, mais nous n’avions qu’à faire comme le bourdon, n’est-ce pas frère Hicks, nous envoler tout simplement de toute façon, et faire l’œuvre du Seigneur.
    Eh bien, demain après midi, le frère sera ici, et je me disais… Je suis quelque peu confus après avoir vu frère Hicks assis là.

7    Frère Valdez, est-il ici? Il–il n’est pas ici. Très bien. On dit qu’Il a un merveilleux centre de réveil là, et j’allais dire que frère Hicks y tient un service ce soir, mais c’est une erreur. Ainsi, soyez ici demain après-midi pour entendre frère Tommy raconter le reste de son histoire. Et vous qui étiez là ce matin donc, il a juste parlé de l’Argentine et–et de quelques pays satellites de la Russie. Demain après-midi, il y aura quelque chose de nouveau, que vous n’avez pas entendu; ainsi, si vous avez déjà entendu cela aujourd’hui, venez demain écouter la suite.
    Et puis, demain soir, c’est la clôture de la convention et des prédications. Et si le Seigneur le veut, je prierai encore pour les malades demain soir. Et ainsi, que le Seigneur soit miséricordieux envers vous. Je prie tout simplement qu’Il vous bénisse infiniment et abondamment.

8    Et maintenant, nous… Vous qui êtes des visiteurs ici dans la ville, vous qui venez de–de l’extérieur, et qui êtes ici pour être avec nous dans cette convention et dans cette série de réunions, veuillez vous trouver l’une de ces bonnes églises du Plein Évangiles et allez-y pour l’école du dimanche le matin! Ce sera vraiment bien. Je ne connais pas beaucoup de prédicateurs qui sont ici dans la réunion. Jamais… je–je ne sais pas où se trouvent leurs églises, à part celle de frère Joseph qui est là, laquelle est sur l’avenue Clark, L’église de Philadelphie.
    Et ainsi, si vous le pouvez, allez rendre visite à frère Joseph. C’est lui que, je… Quelqu’un a téléphoné à ma femme il n’y a pas longtemps et il a dit… Ma femme a dit: «Bonjour!» Et il a demandé: «Sœur Branham, est-ce que frère Branham est outre-mer?»
    Elle a répondu: «Non, il est–il est en Amérique.»
    Il a demandé: «Est-il là à la maison?»
    Elle a répondu: «Non.»
    Il a demandé: «Eh bien, est-il… Où est-il?»
    «Il est soit à Chicago soit à Shreveport, en Louisiane, l’un ou l’autre. Il va là plus que partout ailleurs.»
    Il s’agit de ces deux hommes qui sont assis ensemble… leurs églises. Frère Joseph ici de–de Chicago et frère Jack Moore de Shreveport, en Louisiane.
    Je suis donc à Chicago. J’espère que je n’abuse pas du bon accueil de l’un ou de l’autre de ces endroits. Et j’espère revenir encore à Chicago une fois de plus. [L’assemblée applaudit vivement–N.D.É.] Je prie que je sois une aide pour vous. Merci beaucoup. Merci, c’est gentil. Cela me fait–me fait me sentir deux fois le bienvenu, de savoir que vous allez encore bien m’accueillir.

9    Maintenant, nous allons essayer de prier pour autant de gens que nous le pouvons. Hier soir, nous avions un type différent de ligne de prière. C’est la première que j’ai eue depuis longtemps, et je n’ai pas vérifié auprès de frère Joseph les témoignages qui arrivaient. J’espère qu’ils étaient glorieux.
    Et maintenant, ce soir nous ne savons pas exactement… Les jeunes gens ont dit qu’ils ont distribué à peu près une centaine de cartes de prière il y a quelque temps. Et nous sommes très heureux de les faire venir et de prier pour eux.
    Mais juste avant que nous–que nous fassions cela, je voudrais continuer un tout petit peu avec notre–notre message dont nous parlions. Et c’est ce que nous avions commencé dans le Livre d’Exode depuis la semaine passée, et ainsi donc, nous cherchons à terminer cela ce soir, si possible. Et si Dieu le veut, demain soir, je voudrais parler sur La communion. Comment avoir une parfaite communion avec Dieu.

10    Et maintenant, nous parlions du Livre de l’Exode, qui est le Livre de «l’appel à sortir», le Livre de la Rédemption dans l’Ancien Testament. J’aime cela parce que c’est un beau Livre. Et je crois qu’il est vraiment avantageux pour nous d’étudier cela maintenant, car je crois que l’Église est dans un autre exode, un appel à sortir.
    L’exode signifie «appelé à sortir». Les appelés à sortir, cela signifie l’Église. Et maintenant, Dieu appelle Son peuple de toutes les couches sociales à venir, et–et à Le recevoir, et à croire en Lui. Et Il opère de grands signes et de grands prodiges dans ces derniers jours. Et Il appelle les gens, les ministres de toutes les couches sociales, Il les appelle au ministère.

11    Et maintenant, nous avons vu que dans… Il y a principalement trois thèmes dont nous voulions parler dans le Livre d’Exode. Et ces thèmes étaient la puissance de Satan, la puissance de la foi et la puissance de Dieu.
    Et hier soir, nous avons parlé de la puissance de la décision. Et ce soir, nous voulons parler des résultats de tout cela, Dieu établissant Israël dans la terre promise. Et comme texte, si nous pouvons l’appeler ainsi, pour avoir le contexte de ce… le Livre de l’achèvement, nous allons lire ce soir dans Josué chapitre 3, verset 7:
    Et le Seigneur dit à Josué: aujourd’hui je commencerai à t’élever aux yeux d’Israël, afin qu’il sache que Je serai avec toi comme J’ai été avec Moïse.
    Quelle merveilleuse promesse était-ce pour Josué, le… ce nouveau jeune homme et chef militaire d’Israël, et il avait… eh bien, il était le prophète qui succédait à ce grand homme, Moïse.

12    Bon, nous avons vu comment la puissance de la mort a pu régner par Satan, mais il… à la mort, il ne peut que… Il ne peut aller que jusque là. Et nous prenons cela juste un peu comme arrière-plan, maintenant, pour arriver à notre–la pensée sur laquelle nous aimerions parler, juste pendant quelques instants, et essayer de nous préparer pour la ligne de prière dans les prochaines vingt ou trente minutes, afin que nous puissions consacrer le gros du temps maintenant à la–la ligne de prière.
    Et vous avez de merveilleux ministres partout ici qui–qui sont des prédicateurs, et ils peuvent vous prêcher l’Évangile, mais ceci… juste récapituler comme pour une école du dimanche. Et je suis un prospecteur. Vous ne le saviez pas, n’est-ce pas? Oui, je creuse profondément dans la Bible et je déterre des pierres précieuses, je les nettoie un peu, vous savez, je les examine. Elles… J’aime creuser dans le Livre de l’Exode, parce qu’il y a là beaucoup de pierres précieuses là. Et s’il vous arrive d’observer, chacune d’elles a été détachée du Seigneur Jésus, elle pointe, en retour, vers Lui, de nouveau.
    Ainsi, en Lui demeure toute la plénitude, et toutes les bénédictions, toute la Rédemption, toute la guérison. Tout ce qui existe ne se trouve qu’en Jésus-Christ. Et vous en Lui, vous avez le droit de demander au Père tout ce que vous voulez, en Son Nom. Il a dit: «Je le donnerai; Je le ferai». Quelle promesse!

13    Eh bien, Satan fait… Nous ne voudrions pas nous tromper. Satan a une puissance. Et cette puissance, c’est la mort. Et il peut… Il a la–une puissance de mort. Satan est celui qui vous ôte la vie lorsque Dieu le laisse faire. Mais Dieu a le pouvoir de retenir votre vie et Satan ne peut l’ôter, à moins que Dieu le laisse faire. Il ne peut utiliser cette puissance que quand Dieu le laisse faire. N’est-ce pas merveilleux? La mort! Vous savez, quelqu’un a dit une fois: qu’est-ce que la mort?
    Il a dit: «Dieu a attelé la mort à une calèche, et la seule chose que la mort peut faire, c’est de tirer le croyant jusque dans la présence de son Créateur». Ainsi, ce n’est pas une mauvaise chose après tout, n’est-ce pas?
    Vous savez, je n’aimerais pas vivre dans cette vieille maison pestiférée tout le temps. Et vous? Eh bien, voyez ce que quarante-six ans ont fait de moi. Hum! Je pensais il n’y a pas longtemps, j’étais un tout petit garçon aux mains potelées, jouant aux billes. Ça n’a été, on dirait, que deux saisons de lune depuis le temps où j’étais un jeune homme aux épaules redressées, et j’ai gagné le championnat de poids coq dans les Golden Gloves et j’ai eu des combats professionnels, et je–je pensais que j’étais un grand gaillard.

14    Et je me tenais debout, et peignais une touffe de cheveux noirs ondulés. Je mettrais certainement du temps ce soir à faire cela.
    L’autre jour, je me peignais les cheveux, pas l’autre jour, il y a quelque temps, et ma femme m’a dit, elle a dit: «Billy, tu sais que tu deviens totalement chauve.»
    J’ai dit: «Bien, chérie, mais gloire à Dieu, je n’ai perdu aucun d’eux.»
    Elle a dit: «Eh bien, où penses-tu qu’ils sont?»
    J’ai dit: «Dis-moi où ils étaient avant que je les aie; ils étaient quelque part; ils ont dû venir ici. Et maintenant, où qu’ils soient maintenant, ils sont là où ils étaient avant que je les aie; ils m’attendent que j’aille vers eux.» Amen. Amen. [L’assemblée rit et applaudit–N.D.É.] N’est-ce pas la vérité?
    Il y eut un temps où ils n’existaient pas, et puis ils ont existé, et enfin ils ne sont plus. Autrefois, j’étais, et je suis; je n’étais pas, je suis maintenant, et je serai de nouveau. Dieu prend tout simplement ce vieux pétrole et l’humidité, et–et les lumières–la lumière cosmique, et tout ce dont nous sommes formés. Et quand Il en aura fini ici avec cette âme et qu’Il l’aura amenée dans Sa Présence, alors quand ce Roi des esprits quittera la gloire l’un de ces jours, le Seigneur Jésus-Christ, Il libérera mon esprit à partir de la Gloire; et pendant qu’Il sera en train de pousser des cris, toute la lumière cosmique, et le calcium et le… tout ce dont je suis composé, et l’humidité et le pétrole se rassembleront dans un jeune homme rayonnant de santé et je ne changerai plus jamais. Alléluia! Oui oui.

15    Pensez-y tout simplement… J’ai demandé au médecin il y a quelque temps, j’ai dit: «Docteur, est-ce vrai que chaque fois que je mange, je renouvelle ma vie?»
    Il a répondu: «Absolument.»
    J’ai dit: «Eh bien, comment cela se fait-il?»
    Il a dit: «Votre nourriture se transforme en sang, et vous formez de nouvelles cellules de sang–de nouvelles cellules de sang à partir de votre nourriture.»
    J’ai dit: «J’aimerais alors vous poser une question.» J’ai dit: «Quand j’avais seize ans, je mangeais des pommes de terre et des haricots, et du pain de mais, exactement la nourriture que je mange maintenant. Et chaque fois donc que je mangeais, je renouvelais ma vie et je devenais plus gros et plus fort. Je mange le même genre de nourriture maintenant et je deviens plus vieux et plus faible. Comment cela?» J’ai dit: «J’aimerais que la science m explique cela.»
    Si vous déversez de l’eau dans un verre et que celui-ci se remplisse toujours jusqu’à ce qu’il atteigne un peu… jusqu’à peu près le milieu, et alors vous déversez… continuez à déverser de l’eau, elle ne se répand pas, mais d’une façon ou d’une autre, il ne se remplit pas, et elle devient… elle diminue tout le temps, plus vous déversez de l’eau dedans, plus elle diminue… Cela ne marchera pas. Et c’est Dieu qui l’a dit. Voilà la raison. C’est vrai.

16    Dieu est en train de peindre un tableau. Et un homme, lorsqu’il grandit et qu’il atteint un certain âge, alors après un temps, il arrive au bout. Dieu amène l’image au point exact où Il veut cela et Il dit: «C’est ça». Très bien.
    Lors de la résurrection, c’est exactement ce que nous serons à la résurrection, l’aspect que nous avons quand nous sommes en meilleure forme. Ainsi, nous n’avons pas de quoi nous faire des soucis. Servez tout simplement le Seigneur Jésus, soyez né de nouveau, et Il a promis que nous serions–que nous Y serions, et nous Y serons. Ne vous en faites pas. Très bien.
    C’est une promesse que–que vous voyez lorsque vous vous trouvez dans une situation où Satan a arraché un petit enfant du foyer, il a emporté un petit enfant qui n’a pas pu vivre pour être élevé. Là où vous allez pour voir l’aimable épouse que vous aviez déposée là. Vous vous tenez à la tombe, des nuages sombres sont partout. Oh! la la! Lorsque vous entendez: «Les cendres retourneront aux cendres, et la poussière à la poussière».
    Mais, la puissance suivante, celle de la foi, la grâce, va au-delà de ce nuage sombre de la mort et voit le Dieu de la résurrection se tenir de l’autre côté. Amen. Il voit la résurrection; et par sa foi, il sèche tout simplement ses larmes et dit: «Gloire à Dieu, je Le reverrai.» Voyez? C’est ça.

17    Dieu… Par la foi, Moïse a observé la Pâque, par la foi, c’est ce que Moïse a fait. Et maintenant, nous trouvons Israël pris au piège à la rivière. Puis, quand Dieu a déployé Sa puissance par la Lumière du Saint-Esprit, là où nous en étions, et qu’Il leur a fait passer ce piège et qu’Il les a amenés de l’autre côté, Dieu manifestait Sa puissance. Il a permis qu’ils tombent dans un piège afin qu’Il puisse manifester Sa puissance. Il a montré qu’Il les aimait.
    C’est ce qu’Il fait parfois pour vous. Il permet que vous attrapiez une petite maladie afin qu’Il puisse vous montrer combien Il vous aime.

18    Mon histoire du vieux berger, on racontait qu’un homme parcourait autrefois la Palestine, et–et il était… Il avait là ses brebis… Il l’avait fait… il avait brisé sa patte gauche. Et on a dit: «Oh! c’est vraiment méchant, monsieur.» On a dit: «Votre brebis s’est cassé la patte, je pense?»
    Il a dit: «Non, c’est moi qui l’ai cassée.»
    «Eh bien, a-t-il demandé; vous êtes un berger au cœur cruel. Vous voulez dire que vous avez cassé la patte de votre propre brebis?»
    Il a dit: «Oui. Voici pourquoi je l’ai fait.» Il a dit: «Je n’arrivais pas à avoir son attention vers moi et ainsi, je lui ai cassé la patte afin de pouvoir lui montrer à quel point je l’aime, et que je lui donne une nourriture spéciale, et que je la caresse un peu.» Et il a dit: «Cela l’amène à m’aimer et quand sa patte sera rétablie, elle me suivra partout, et je la préserverai des ennuis.»

19    Des fois, Dieu fait cela. Il laisse quelque chose vous frapper afin qu’Il puisse vous montrer un peu plus de miséricorde, vous savez, juste un peu plus de Sa bonté, afin que vous puissiez marcher un peu plus près de Lui. Ainsi, la Bible dit: «Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu.»
    Ainsi, cela doit concourir au bien. Dieu laisse tout simplement cela arriver afin que cela puisse concourir au bien. Il est un bon Dieu. Il est merveilleux.

20    Eh bien, nous les avons suivis hier soir tout au long de leur pèlerinage, nous avons vu là où ils avaient eu faim, Dieu a fait venir pour eux des cailles parle vent. Et lorsqu’ils ont eu soif, ils ont frappé le rocher et l’eau est sortie du rocher. Nous avons comparé cela avec Jean 3.16 pour le monde qui périt et qui se meurt aujourd’hui.
    Ensuite, nous voyons que lorsqu’Ils étaient tombés malades, Dieu a promis… Cela était un type de ce voyage d’aujourd’hui, où nous sommes en route vers la terre promise. Et ils… après qu’ils eurent quitté l’Égypte, nous avons vu qu’ils ont traversé le désert, c’était des pèlerins. Ils étaient des étrangers. Ils allaient vers une terre promise; ils ne l’avaient pas encore atteinte. Et ils étaient sortis d’un autre pays et ils étaient entre les deux, en voyage dans le désert, ce qui est un beau type de l’Église en route aujourd’hui vers la gloire.

21    Nous ne sommes plus en Égypte; nous avons démonté les piquets de nos tentes et nous sommes partis, nous avons traversé la mer Rouge, le Sang du Seigneur Jésus, nous avons vu toutes les vieilles habitudes et les choses de la vie être noyées, les chefs de corvées qui nous menaient dans des bars et au salon des cocktails et ailleurs, on a vu tout cela être noyé, comme Pharaon et ses chevaux. Et ensuite, maintenant nous sommes dans le désert, allant de l’avant, suivant l’Ange de l’Alliance, le Saint-Esprit. Et nous savons que nous sommes en route vers un glorieux Pays qui sera là et pendant le Millénium. Et nous désirons ardemment ces mille ans de règne millénaire.
    Maintenant, beaucoup de gens comparent la terre promise là, la Palestine, au Ciel. C’est impossible. Il y avait des guerres et des histoires en Palestine. Il n’y a donc pas de guerres et autres au Ciel. C’est un type du règne de mille ans sur la terre avec Christ. Il y a trois étapes du voyage. Et nous sommes prêts maintenant, l’Église est prête, à mon avis, du point de vue spirituel, à entrer dans le troisième acte. Et c’est la scène que nous abordons ce soir dans notre texte.

22    Nous avons vu qu’ils avaient eu besoin de la guérison. Eh bien, alors, ils avaient un médecin avec eux, c’était Moïse. Et… En fait, vous savez que Moïse était effectivement un vrai médecin. Pensez-y, il avait environ deux millions de gens là avec lui. Combien d’enfants naissaient toutes les vingt-quatre heures? Combien de gens étaient blessés, tombaient malades, attrapaient le rhume et autres?
    Vous savez, je–je crois vraiment que beaucoup de ces… s’il y a des médecins ici ce soir, nous devrions regarder dans le cabinet médical du docteur Moïse et voir exactement quel genre de médicament il avait. Ne le croyez-vous pas? Il a gardé deux millions de gens constamment actifs, et il n’y avait pas une seule personne faible parmi eux lorsqu’ils en sont sortis, quarante ans durant. Dites donc, docteur, vous devriez regarder dans sa trousse de médecin pour voir ce qu’il avait. Jetons-y un coup d’œil. Voudriez-vous y jeter un coup d’œil? [L’assemblée dit: «Amen. »–N.D.É.] Très bien, nous allons tout simplement examiner et voir ce que Moïse avait.
    La voici. Moïse ouvre sa trousse de médecin: «Je suis l’Éternel qui te guérit.» C’est tout ce qu’il avait. Amen. C’est tout ce dont il avait besoin. «Je suis l’Éternel qui te guérit de toutes tes maladies.» C’est cela tout le médicament dont il avait besoin, et qu’il avait aussi utilisé.

23    Ainsi, lorsqu’ils sont arrivés au point où… Moïse ne pouvait pas prier pour eux tous. Ainsi donc, Dieu lui a dit d’aller élever un serpent d’airain, de le placer sur une perche. Nous avions sauté cela hier soir, disant tout simplement qu’ils avaient un serpent d’airain.
    Prenons-en un symbole. Premièrement, le serpent d’airain représentait Jésus Lui-même, car le serpent représentait le péché déjà jugé depuis le jardin d’Éden. Et Jésus a été fait péché pour nous, Lui qui ne connaissait pas le péché. L’airain à partir duquel le serpent a été fait représentait le jugement divin. L’airain, c’est le jugement divin.
    Si vous remarquez bien l’autel d’airain, le jugement où le sacrifice était consumé. Et Élie, à l’époque où Israël s’était éloigné de Dieu, et le jugement divin allait frapper le… Il a dit que les cieux avaient l’aspect de l’airain: le jugement divin. Et la perche, bien sûr, c’était la croix. Et le serpent d’airain ne pouvait prier pour personne. Les gens regardaient tout simplement au serpent d’airain et vivaient: Regardez et vivez. Et c’était le type de Christ. Et s’ils ont pu regarder au type et ils ont vécu, à combien plus forte raison devrions-nous regarder à l’antitype, Jésus Lui-même, et vivre? Amen.

24    Nous trouvons que souvent les gens se fient à leurs symptômes, après que l’on a prié pour eux. J’allais chercher le rapport auprès de frère Joseph, voir combien de gens ont quitté hier soir avec vraiment… Après toute une semaine d’enseignement sur l’Évangile, sur comment être guéri, ceux qui s’en sont allés, disant: «Eh bien, cela est toujours là.» Voyez? Et vous aurez probablement toujours cela (voyez?), si vous avez ces penséeslà.
    La foi ne regarde pas à cela. La foi voit ce que Dieu dit. La foi ne voit pas du tout des symptômes. La foi refuse de voir des symptômes. Vous dites: «Eh bien, Frère Branham, s’ils sont là, ne devrions-nous pas dire qu’ils sont là?» «Non. Non, non.»

25    Vous dites: «Il est le Seigneur qui…» Confessez: «Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession», Hébreux 3 et chacun de vous, frères sait «que confesser» et «professer», c’est la même chose. Ainsi, Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Il ne peut rien faire avant que, premièrement, nous confessions qu’Il a déjà fait cela.
    Il n’y a pas de guérison dans l’homme; il n’y a pas de guérison dans le médicament. Je vous l’ai prouvé l’autre soir. Il n’y a pas de guérison dans le médicament; la médecine ne prétend pas guérir. C’est un traitement, il assainit la place pendant que Dieu guérit. Le médicament ne reproduit pas le tissu; le médicament ne peut pas remettre un os en place. Le médicament ne peut guérir une plaie ni une entaille. Certainement pas, il ne fait qu’assainir le lieu pendant que Dieu guérit. C’est Dieu qui guérit. Et le médicament ne fait qu’assainir cela. Un médecin vous dira la même chose.
    Il a dit: «Je suis l’Éternel qui te guérit de toutes tes maladies.» Chaque maladie est guérie par Dieu. Le médicament ne fait qu’assainir le lieu pendant que Dieu opère la guérison. Maintenant, les médicaments vous tranquillisent et tout le reste. L’aspirine, ça tranquillise vos nerfs, et autres, pendant que Dieu opère la guérison.

26    Maintenant remarquez, pendant ce grand voyage, Dieu leur a promis qu’Il s’occuperait d’eux et Il l’a fait. Il devait tenir Sa Parole.
    Ainsi, Il… Ce serpent qui avait été élevé sur la perche représentait Jésus. Maintenant, les gens regardaient au serpent et croyaient que c’est Dieu qui l’avait érigé et ils étaient guéris. Le serpent ne pouvait pas prier pour eux. Eh bien, ils regardaient et vivaient. Et si sous le type, s’ils ont pu regarder et vivre, à combien plus forte raison devrions-nous vivre quand nous prions même les uns pour les autres…

27    Remarquez, les symptômes. Je viens juste de penser à quelqu’un qui avait eu un cas vraiment désagréable de symptômes une fois. Et c’était un homme du nom de Jonas. Jonas avait eu un cas de symptôme, pire que celui de n’importe qui que je connaisse. Il en a vraiment eu un. D’abord, c’était un rétrograde. Eh bien, c’est un gros mot pour un prédicateur baptiste, n’est-ce pas? Rétrograde, mais certainement qu’il l’était. Quiconque ne fait pas cas de Dieu est un rétrograde.
    Ainsi, il avait rétrogradé sur une mer en tempête, les mains liées derrière lui, les pieds liés par le bas, il fut jeté dans l’océan et un grand poisson affamé l’a avalé et il est descendu jusqu’au fond de la mer. Et le… Jonas était dans le ventre d’un grand poisson, au fond de la mer, rétrograde. Vous parlez des symptômes, il en avait vraiment eu. Et s’il regardait de ce côté-ci, il voyait le ventre du grand poisson; partout où il regardait, il voyait le ventre du grand poisson. Mais savez-vous ce qu’il a dit? Il a dit: «Ce sont des vanités trompeuses»

28    Il a dit: «Une fois de plus je regarderai vers Ton saint Temple, ô Seigneur.» Car il savait que lorsque Salomon avait consacré le temple, il avait prié en ces termes: «Ô Dieu, si Ton peuple est en difficulté n’importe quand, et qu’ils regardent vers ce saint lieu, exauce donc du haut de cieux.»
    Et il croyait cela. Alors il a détourné son regard du ventre du grand poisson et de tous les symptômes qu’il y avait tout autour de lui, et il a regardé vers le temple de Dieu. Et du haut des Cieux, Dieu a entendu et a très vite envoyé là une tente à oxygène. Et cela l’a gardé en vie pendant trois jours et trois nuits; et cela l’a amené à destination, comme une course en taxi, et il l’a fait sortir. Et il a prêché de telle façon qu’une ville de la dimension de Saint Louis s’est repentie. Amen.
    Or, si Jonas dans pareilles circonstances… S’il n’y a personne qui se retrouve dans une situation aussi mauvaise que celle-là ce soir, vous avez au moins vos deux pieds sur terre. Mais remarquez, dans ces circonstances-là, il a pu refuser de considérer cela et il a regardé vers le temple, là où un homme qui avait finalement rétrogradé, Salomon, avait offert une prière de foi dans un temple terrestre, à combien plus forte raison, vous dans votre situation, vous tournerez le regard vers le trône céleste où Jésus est assis à la droite de Dieu, intercédant avec Son propre Sang sur base de vos confession, et Il vous invite à venir. Alors, les symptômes disparaissent lorsque l’on reçoit cela là. Lorsque nous nous mettons à considérer cela, nous levons les yeux vers le haut.

29    Quelqu’un est venu il n’y a pas longtemps et il m’a dit: «C’est vous frère Branham?»
    J’ai dit: «Oui, monsieur.»
    Il a dit: «Oh! je vais vous raconter ce que j’ai fait.» Il a dit: «Je suis allé chez Oral Roberts et je lui ai demandé de faire quelque chose pour moi.» Il a dit: «Il a fait de son mieux, mais il n’a pas pu me venir en aide.» Il a dit: «Je suis allé auprès de deux ou trois autres évangélistes et ils ont prié pour moi, a-t-il dit, ils n’ont pas pu me venir en aide.» Il a dit: «Je suis venu voir ce que vous pouvez faire pour moi.»
    J’ai dit: «Vous vous en irez de même.» J’ai dit: «Ça, c’est une chose sûre.» J’ai dit: «Vous allez au mauvais endroit. Vous continuez à aller après les hommes, alors que l’on devrait regarder vers le haut, dans cette direction-ci». Le secours vient d’En Haut. Voyez? Ce sont de braves gens. Ils peuvent prier, et c’est tout ce que nous pouvons faire, c’est prier pour vous.

30    Votre foi contacte Dieu, et produit des résultats. Jésus a dit lorsqu’Il mourait, ou plutôt: «Il a été blessé pour nos transgressions, par Ses meurtrissures nous avons été guéris.» Personne ne peut donc vous sauver. Jésus l’a déjà fait. Vous devez tout simplement accepter cela. Le prédicateur peut vous prêcher, mais il n’est pas un sauveur. Il n’est qu’une aide, qui vous aidera à voir ce que Dieu a déjà accompli pour vous.
    Chaque personne ici a été sauvée, il y a mille neuf cents ans. Il se pourrait que vous ayez accepté cela la semaine passée, hier soir, il y a six ans, il y a vingt ans, mais vous avez été sauvé, il y a mille neuf cents ans, pour Dieu. Et vous avez été guéri au même moment. Amen. Vous devez croire cela.

31    Et Dieu envoie certains dans l’église, premièrement les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes, Il établit les dons dans Son Église le parler en langues, les interprétations, toutes sortes de signes et tout, pour le perfectionnement de l’Église, pour rassembler les gens, et les amener à savoir qu’il est le Dieu vivant, qu’Il vit parmi Son peuple.
    Regardez donc à cela et croyez. Par la foi, vous regardez au Calvaire, là où le Sacrifice Suprême a été payé pour chaque individu. Et elle vous appartient ce soir. Chaque personne malade ici ce soir est déjà guérie, quant à Dieu. Amen.
    Oh! j’aime cela, pas vous? Le fait d’en parler, cela me donne un sentiment religieux, d’en parler. De penser combien c’est merveilleux, quand il nous était impossible de nous tirer nous-mêmes d’affaire, Dieu nous a alors aidés.

32    Là, dans leur pèlerinage, nous les avons hier à Kadès Barnéa, à la frontière. Nous avons vu que lorsqu’ils étaient arrivés à la frontière pour traverser, ils avaient envoyé les espions de l’autre côté pour faire la reconnaissance dans le pays, dix hommes ou plutôt douze, un de chaque tribu. Et dix d’entre eux revinrent tout découragés.
    Nous avons fait un parallélisme entre cela et l’âge. Nous avons fait un parallélisme entre ces trois étapes du voyage et les trois dispensations de la grâce pour l’église: comment Martin Luther s’est levé par la justification, la sortie de l’Égypte; et nous avons vu John Wesley se lever pour prêcher la sanctification. Et maintenant, nous voyons que la Pentecôte a été suscitée, le baptême du Saint-Esprit et la restauration des dons.
    Et quand l’Église a progressé vers ce pays-là, la Pentecôte a progressé vers là, toute l’Église a progressé vers cet âge, ils ont envoyé des gens et ils ont dit: «Nous ne pouvons pas faire cela. Nous serons des fanatiques. Cela minera notre Église; nous ne pouvons pas faire cela.» Mais Dieu avait quelqu’un pour traverser et ramener l’évidence que c’était un bon pays. J’aime ce Pays-là. Oh! la la!

33    Ils disent: «Oh! nous serons… Les gens penseront que nous sommes fous si–si nous essayons de retourner à cela une fois de plus.
    Eh bien, frères, de toutes les façons ils diront que vous êtes fous. Ainsi… Vous savez, j’ai été de loin plus heureux depuis que je suis ce genre de fou que je ne l’étais lorsque j’étais autrement. Ainsi, quant à moi, j’aimerais rester comme cela, juste rester comme ceci. Il prend soin de moi, Il m’aime et je L’aime, et Il est bon envers moi.
    Nous voyons donc que beaucoup d’entre eux étaient restés à la frontière. Il en est de même aujourd’hui. Nous avons beaucoup de prédicateurs frontaliers, qui prêchent juste une partie de la vérité, mais qui n’accepteront pas le reste. Ils croient que Jésus était né d’une vierge. Oui. Ils croient qu’Il est le Fils de Dieu, certainement. Ils sont tous très orthodoxes dans ces choses, mais oh! la guérison divine et ces autres choses; ça, c’était pour les jours… pour une autre époque: «Ce n’est pas pour aujourd’hui.» Ça, c’est un prédicateur frontalier. J’aime le plein Évangile moi, pour un homme tout fait. Prêchez l’Évangile, prêchez toute la Parole de Dieu. Croyez-La dans Son entièreté. Mettez tout cela en pratique. Amen.

34    Quelqu’un m’a filé un petit pamphlet quand les gens entraient il y a quelque temps, il a dit; «Lis ceci, Frère, quand vous serez entré.»
    J’ai regardé, là où une certaine église de cette ville… Eh bien, ils ont un discours très châtié, un cerveau humain. Hum. Je suis très content de ce que mon Seigneur soit ressuscité des morts, Il parle. Il est vivant. Ce n’est pas un vieux crâne mort. Oh! combien nous sommes reconnaissants de savoir qu’Il est ressuscité des morts. Et ce soir, nous avons le Saint-Esprit comme témoin de Sa résurrection.

35    Et nous trouvons maintenant Israël là à Kadès Barnea, le grand siège du jugement du monde d’autrefois. La grande source et plusieurs petites sources, cela représentait le grand siège du jugement, le trône blanc au Ciel et les églises, ce qui est en fait, le… Le jugement commence dans la maison de Dieu, pour ce qui est du jugement. Et Israël était là en marche, en déplacement.
    Ce matin, quand nous étions chez les Hommes d’Affaires Chrétiens, frère Hicks nous a tous fait chanter En avant soldats chrétiens. Je me suis dit: «Oui. C’est vrai tant que nous marchons parfaitement, mais n’arrêtez pas.»
    Israël avait commis une erreur lorsqu’il s’est arrêté. S’ils avaient continué, ils auraient pris possession de la terre promise là même, car Dieu leur avait fait la promesse. Il est fidèle à Sa promesse. Ils ont avancé jusque là, mais ils ont arrêté de marcher. Et remarquez, lorsqu’ils commencent… dès qu’ils ont arrêté de marcher, ils ont commencé à errer. C’est ce qui arrive.

36    Chaque fois que l’église s’arrête… C’est ce qui est arrivé, il y a longtemps, aux pentecôtistes; ils se sont arrêtés. Vous avez commencé à vous organiser, à scinder les gens en différents groupes: les Assemblées de Dieu, l’Église de Dieu, les Foursquare de Dieu, les Unitaires de Dieu, les Binitaires, les Trinitaires, ceux qui croient en quatre Dieux, ô toutes ces autres choses. Vous vous êtes arrêtés. Pourquoi n’avez-vous pas continué à avancer? Maintenant, vous avez erré pendant quarante ans dans le désert. Mais la grâce souveraine de Dieu nous amènera jusqu’au bout de toute façon.
    Errant ici et là… Dieu a dit: «Je leur aurais donc donné du repos, juste à ce moment-là, s’ils avaient continué.» Il a dit dans le Livre des Hébreux: «Le repos», le type de sabbat.
    Maintenant, je ne m’adresse pas à vous les sabbatiques ici, mais le jour n’était qu’une ombre.

37    Un homme m’a même écrit une lettre… Je l’ai reçue aujourd’hui et il a dit: «Frère Branham, observez-vous le septième jour comme le sabbat? Je vous ai entendu dire que vous… ce matin au déjeuner que vous–que vous mangez les œufs et les saucisses.» Il a dit: «Un saint homme comme vous manger de la saucisse!»
    Eh bien, frère, je vous aime de tout mon cœur mais le seul fait pour moi de manger de la saucisse, ne m’empêcherait point d’entrer au Ciel.
    Remarquez, frère, observer le jour de sabbat était… C’est tout à fait bien si vous voulez faire cela. Je–j’ai comme principe à la chaire, de ne pas parler de la religion de quelqu’un d’autre. C’est vrai. Mais à cause de cela, maintenant je dis ceci, qu’observer le jour de sabbat n’était que l’ombre du vrai sabbat. Dieu allait leur donner le sabbat là même après qu’ils auraient traversé le Jourdain. Le Jourdain représente la mort. Et lorsque vous êtes prêts à mourir à vous-mêmes, Dieu va vous accorder le Sabbat. Amen.

38    J’ai dit: «Le Sabbat, c’est le Saint-Esprit.»
    Il a dit: «C’est du non-sens. Le sabbat est un jour.»
    J’ai dit: «Autrefois, cela était limité à un peuple donné, mais aujourd’hui le Sabbat, c’est le baptême du Saint-Esprit.» C’est vrai.
    Il a dit: «Oh! c’est impossible.»
    «Pourquoi?»
    Il a dit: «Dieu a donné le jour et Il l’a scellé avec un mémorial, de sorte que c’est un jour qu’il faut observer.»
    J’ai dit: «Pour un peuple, mais aujourd’hui, Éphésiens 4.30 dit: ‘N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous êtes scellés jusqu’au Jour de votre Rédemption’.»
    Le Saint-Esprit est le sceau de Dieu qui sera apposé sur le front, ou la connaissance, à la main… Les œuvres de tout celui qui est entré dans le Royaume de Dieu, il sera baptisé du Saint-Esprit. Le sceau de Dieu dans ces derniers jours, c’est une distinction, une marque qui sera placée sur les gens. Je souhaiterais que nous ayons une semaine de réveil là-dessus.

39    Remarquez, Ésaïe a dit dans Ésaïe 28.8, il dit: «Ça sera précepte sur précepte», en parlant d’aujourd’hui, «quand les tables seront pleines de vomissures» et autres… Tout homme… Les gens prennent la communion aujourd’hui. Ils pensent que comme ils prennent la communion, ils iront au Ciel. La Bible dit que quiconque prend cela indignement, est coupable envers la mort et le Corps du Seigneur Jésus-Christ. Amen. C’est une ordonnance sacrée. Je ne crois pas dans tout ce qu’ils appellent aujourd’hui prendre la communion.
    Je suis allé à une église il n’y pas longtemps, ils ont pris un morceau de pain et un pain léger, et ils l’ont découpé en morceaux. Et là les gens qui avaient bu, joué à l’argent, fumé, maudit et menti, prenaient cela; et vous espérez aller au Ciel. Frère, vous condamnez votre propre âme en faisant une chose pareille. Il n’est pas étonnant que les tables du Seigneur soient remplies des vomissures. Absolument.

40    Il a dit: «Mais précepte doit être sur précepte, ligne sur ligne. Un peu ici, un peu là-bas, retenez fermement ce qui est bien. Car c’est par des lèvres balbutiantes et par d’autres langues que je parlerai à ce peuple, et voici le sabbat.» Amen.
    Hébreux 4 dit: «Il reste un sabbat que le peuple doit observer, car nous qui sommes entrés dans Son repos, nous nous sommes reposés de nos œuvres comme Dieu s’est reposé des Siennes.»
    Dieu a travaillé pendant six jours, et le jour de sabbat, Il s’est reposé, et Il n’est plus jamais retourné. Et un homme peut travailler dans ce monde-ci jusqu’à l’âge de vingt ans, trente, quarante, soixante-dix, mais quand il se repose de ses œuvres mondaines, il entre dans un repos éternel avec Dieu, comme Dieu y est entré au commencement.

41    Oh! frère, si ce soir vous vivez à la frontière, traversez. Traversez le Jourdain. C’est merveilleux. Il y a de gros raisins là. Nous avons l’évidence initiale, nous avons… Alléluia! Nous avons des Josué, des Caleb qui ont traversé la frontière et qui ont ramené l’évidence que c’est un beau pays. Chaque promesse que Dieu a faite est ici. Le plein Évangile, toute la Bible, la guérison divine, la réjouissance, le bonheur, la paix, chaque chose que la Bible a promise, chaque fruit, dans ce pays-ci. Amen.
    Cela vous appartient sur demande. Mais la première chose qu’il vous faut faire, c’est traverser le Jourdain. Vous ne pouvez pas rester là dans le désert et vous attendre à recevoir cela, car les raisins ne poussent pas comme cela là-bas. C’est vrai. C’est cela le problème de l’église ce soir; les gens sont devenus anémiques. Ils ont besoin d’une transfusion sanguine, ils ont un visage pâle. Amen.

42    Oh! la la! C’est des pentecôtistes que je parle. Je ne parlais pas des presbytériens ni des luthériens. Je parle des pentecôtistes. Il y a longtemps on avait l’habitude de tenir de bonnes vieilles réunions, frère. Tous y venaient, ils criaient, louaient le Seigneur, ils étaient libérés et ils laissaient le Saint-Esprit avoir libre cours. Et entrez dans certaines d’entre elles aujourd’hui, frère, le thermomètre spirituel indique quarante [4,4° Celsius–N.D.T.] en dessous de zéro. C’est vrai.
    Oh! la la! Quel est le problème? Le problème, c’est que, vous avez rejeté cela. Dieu voulait nous faire traverser. Josué et Caleb sont revenus. Ils ont dit: «C’est un bon pays.» Et jamais vous… Alors si vous aviez traversé, plutôt que de vous établir à un endroit et vous faire des organisations et des dénominations, ce qui a été prouvé être une malédiction pour vous, si vous étiez restés juste comme vous étiez, Dieu aurait fait couler chaque don spirituel dans l’église maintenant même, et le Millénium serait en cours. Amen.

43    Mais non, vous avez dû vous coller un nom. C’est ce qui a placé la malédiction sur vous. C’est vrai. Maintenant, je n’ai rien contre les dénominations. Cela… Elles sont en ordre. Mais, frère, vous cherchez à agir comme tous les autres. Vous regardez et vous dites: «Eh bien, maintenant écoutez, je suis membre de telle–telle église».
    Qu’importe à Dieu, l’église dont vous êtes membre. Si vous n’êtes pas né de nouveau, vous n’irez en tout cas pas au Ciel. Absolument pas. Sortez de cette condition frontalière. Ils étaient devenus errants.

44    Adam, il a fait la même chose, lorsqu’il avait manqué de garder la Parole de Dieu, chaque Parole. Il était devenu errant. Caïn a fait la même chose lorsqu’il–lorsqu’il n’a pas voulu accepter le même sacrifice que Dieu avait agréé de la part d’Abel. Il est devenu un errant.
    Et chaque homme, chaque femme ce soir qui est maintenant dans ces réveils des derniers jours, qui traverse le pays, et voit la puissante action de Dieu, mais qui refuse de recevoir cela, deviendra un errant (juste), se débrouillant tout seul.
    Je vous dis ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un bon réveil à l’ancienne mode du style saint Paul et du Saint-Esprit Biblique, une fois de plus, qui ramène les gens au banc des pénitents. Je suis un de ces gars à l’ancienne mode qui croit au réveil à l’ancienne mode. Savez-vous le problème? Nous avons trop de réveils à la Hollywood aujourd’hui. C’est vrai. Continuez…

45    Il n’y a pas longtemps, j’étais dans un réveil où les femmes pentecôtistes étaient sur l’estrade, dans des jupes où elles semblaient avoir été moulées, avec de très grosses et longues boucles d’oreille qui pendaient comme cela, et avec des manucures, ou je ne sais comment vous appelez ces trucs-là, sur tout le visage, on dirait qu’elles avaient mangé des biftecks non cuits avec du sang partout sur les ongles et tout, et elles se disent remplies du Saint-Esprit. «C’est à leurs fruits qu’on les reconnaîtra.» C’est vrai. [L’assemblée applaudit–N.D.É.] C’est vraiment mauvais que vous fassiez cela. Oui oui.
    Vous savez, autrefois, c’était mauvais pour les femmes pentecôtistes de se couper les cheveux. C’était leur gloire. Elles ont certainement perdu la gloire quelque part. C’est vrai. [L’assemblée applaudit] Vous savez que c’est la vérité, frère. Maintenant, ce… on ferait tout aussi bien d’accepter la vérité.
    Maintenant écoutez, la Bible dit: «C’est la gloire de la femme». Vous partagez donc cela avec le diable. C’est vrai. Laissez pousser vos cheveux. Amen. Soyez une dame; ayez l’apparence d’une chrétienne. Arrêtez de chercher à vous conformer au monde. Le diable vous entraîne dans toutes sortes de tourments. Prenez ce cœur-là, entrez là dans la gloire de la Shekinah, là de l’autre côté avec Dieu, passez derrière le voile et laissez cela retomber derrière vous; enfermez-vous loin du monde, là où vous ne pouvez pas voir les choses du monde, mourez à vous-même.

46    Je me souviens de la première fois que j’ai vu les pentecôtistes, c’était là à Mishawaka, dans l’Indiana; il y a de cela plusieurs années, les femmes se mettaient à crier, et ces grosses épingles à cheveux en corne, sautaient sur le plancher. Frère, vous passeriez des moments difficiles pour en trouver une. Vous ne pouviez pas en acheter une, je n’y compte plus. Oh! quelle honte! C’est vrai. Et c’est ainsi que c’était, mais les choses ont changé. Quel est le problème? Chaque dénomination a cherché à construire son organisation plutôt que de chercher à amener les gens à Dieu. Vous savez que c’est la vérité.

47    Maintenant écoutez, ceci peut vous faire mal au cœur, mais… Vous savez, lorsque j’étais un jeune garçon: nous avons été élevés dans la pauvreté. Maman prenait une poêle qu’elle mettait sur un four et faisait fondre les peaux des animaux, qu’elle ramassait à la boucherie, pour en tirer la graisse à déverser sur le pain de maïs, pour faire le–pour faire des gâteaux à base de maïs. Et nous les enfants, nous mangions les gâteaux de maïs, et comme déjeuner, nous prenions une mélasse de sorgho trempé. Je ne sais pas si oui ou non vous avez déjà fait cela, c’est très bon. Mais, vous savez, nous étions obligés de faire cela.
    Et chaque samedi soir, je sais ce que c’était cela, on prenait le bain dans une vieille baignoire en bois de cèdre; et on ne changeait pas l’eau, on y déversait tout simplement plus d’eau pour réchauffer celle qui était là pour la personne suivante. Eh bien, c’était bien. Mais nous avons vécu cela. Je vous le dis, frère. Ce n’est pas tellement l’extérieur qui compte. Si vous preniez soin de l’intérieur autant que vous le faites pour l’extérieur, vous seriez de toutes les façons mieux. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.É.]

48    Il n’y a pas longtemps, j’étais près d’un grand musée. On avait évalué le corps humain. Un homme qui pesait 150 livres [environ 68 kg–N.D.T.] valait 84 cents, en éléments chimiques. Ah ah! Vous portez un chapeau de dix dollars au-dessus de 84 cents. Jeune homme, je vous assure. Vous portez un vison d’environ cent dollars autour de 84 cents et vous levez le nez en l’air, si jamais la pluie tombait, il sera trempé. Vous pensez donc être quelqu’un, mais vous ne valez que 84 cents. Vous prenez certainement soin de cela, mais frère, vous avez une âme qui ne mourra jamais, quelque part. Vous acceptez n’importe quel genre de vieilles foutaises de dogme pour ça. Amen.
    Je ne sais pas ce qui ne va pas avec moi. Mais–mais c’est… [L’assemblée applaudit vivement–N.D.É.] Vos pasteurs sont censés faire cela. Mais… Gloire au Seigneur. Mais ce dont nous avons besoin, c’est de revenir dans la voie. Voyez? Nous sommes… C’est la raison pour laquelle nous ne sommes pas là-bas ce soir, en train de nous réjouir de quelque chose. C’est la raison pour laquelle nous sommes tous divisés et tout. Certainement.

49    Je me souviens dans… Pour terminer mon histoire au sujet de ma maman qui nous faisait tous prendre un bain, elle frottait les oreilles… nous utilisions un vieux sac de farine comme essuie. Je ne sais pas si vous en avez déjà vu, on en retirait des fils, vous savez. Oh! que c’était rude, elle me frottait à m’enlever presque la peau.
    Et puis, la chose suivante qu’elle faisait (après qu’elle eut fait cela, que chaque enfant était prêt), c’était un peu de café remué comme cela avec une cuillère d’huile de ricin. On devait prendre cela chaque samedi soir, pour ainsi s’apprêter à aller à l’école du dimanche le matin. Ça préservait du froid, l’acide–une boule «d’acifidité» suspendue comme ceci, vous savez, un tissu de flanelle sur votre sous-vêtement. Je ne sais pas si vous en avez déjà eu un comme cela, mais c’est ainsi que nous avons été élevés.
    Et j’ai tellement pris de l’huile de ricin que je ne peux même plus regarder à cette affaire-là. Je vous assure, je ne peux simplement pas en supporter l’odeur. Cela me donne la nausée. Et lorsque je m’approchais de maman, je disais: «Oh! maman, s’il te plaît, s’il te plaît.» Je me pinçais le nez comme cela, et j’avais la nausée au possible, je disais: «Maman, ça me donne vraiment la nausée.»
    Elle disait: «Si cela ne te rend pas vraiment malade, cela ne te fera aucun bien.»

50    C’est cela mon intention ce soir. Si ceci ne vous secoue pas un peu, au sujet de laisser pousser vos cheveux, et d’agir un peu différemment, vous éloigner de ces frontières, j’aimerais que cela vous fasse vraiment mal au cœur, afin que cela stimule votre gastronomie spirituelle, afin que vous soyez prêts …?… Amen. Si cela ne vous rend pas vraiment malade, cela ne vous fera aucun bien du tout. Vous voyez? Amen. Cela vous ouvrira largement le cœur, afin que le Saint-Esprit entre, qu’Il débouche et nettoie les canaux et qu’Il vous prépare. Amen.

51    Remarquez. Comme c’est merveilleux. Dieu avait dit que s’ils traversaient la frontière, Il leur donnerait cela, mais Ils n’ont pas voulu faire cela. Alors, ils ont commencé à vagabonder, à s’égarer et à errer. La Bible a dit: «Ne soyez pas emportés par tout vent de doctrine, mais soyez stables». Amen.
    Je crois que si jamais un homme entrait en contact avec Christ, tous les démons de l’enfer ne l’amèneront jamais à renier cela. Si vous ne faites que vous imaginer que vous avez cela, ça, c’est autre chose. Mais, vous savez, peu importe combien je serai défiguré, je reste un humain (c’est vrai), en effet, je suis né un humain. Si jamais vous avez reçu Christ dans votre cœur, vous êtes un chrétien; vous êtes un fils de Dieu, une fille de Dieu. Cela vous fait agir différemment, vous avez une apparence différente, vous marchez différemment, vous parlez différemment, vous vous associez avec un groupe différent de gens. Amen.
    Oh! oui, cela vous met à l’écart. Le monde aime ceux qui mélangent, mais Dieu veut ceux qui séparent. C’est vrai. Amen.

52    Remarquez, comme c’est beau. Et pendant qu’ils étaient là à errer (c’est là qu’ils sont tombés dans toutes sortes d’ennuis), et le diable y a veillé, de sorte qu’ils ont un prédicateur rétrograde pour venir leur prêcher. C’est vrai. Il s’appelait évêque Balaam. Amen. Oh! oui, il était là. Savez-vous ce qu’il a fait? Il les a tous emportés dans des cas de mariage et de divorce. C’est ce que le diable a fait, la même chose. Amen. Alléluia!
    J’ai vu l’autre jour un prédicateur qui avait quatre femmes, des femmes en vie, il a dit: «Je ne sais pas ce qui ne va pas dans mon église.»
    J’ai dit: «Tu ne devrais pas regarder très loin.» Amen.

53    Oh! la la! Oui. Il les a tous embrouillés là, et ils se sont mis à se marier, à contracter des mariages mixtes. C’est ainsi qu’ils ont fait aujourd’hui, lorsque vous avez commencé à errer. Si vous étiez restés sur la ligne de tir de Dieu, vous n’auriez pas fait ces choses. Marier les croyants avec les incroyants, avec ceux qui sont tantôt dedans tantôt dehors et autres, marier ceux qui ont été mariés deux ou trois fois, et qui avaient trois ou quatre femmes, et tout, et les marier de nouveau. Voilà la vieille doctrine de Balaam. C’est vrai.
    Oh! c’était donc bien un gars. Il jouissait d’une grande réputation dans son pays. Alors, un jour, il a sauté sur son mulet et il est parti jeter une malédiction sur un petit groupe de gens qui erraient là. Dieu leur avait donné un peu de ce dont ils avaient besoin, une petite stimulation postérieure par le protoplasme, c’est exactement ce dont chaque adolescent a besoin.
    Ainsi, Dieu déversait vraiment cela sur eux. Et pendant qu’Il leur donnait une bonne fessée, voilà venir ce vieux Balaam. Et vous savez quoi? Il était tellement aveugle, et tellement sûr de gagner cet affrontement, là contre Moïse, qu’il n’a même pas vu l’Ange de Dieu lui barrer le chemin.

54    Vous savez, c’est pareil avec les Balaam modernes aujourd’hui. Oh! il a son D.D.D, son doctorat d’État, son doctorat en droit: je connais tout là-dessous, et vous ne connaissez rien. Vous savez comment la Bible appelle ce D.D. doctorat en théologie? Des chiens muets. C’est vrai. Oui.
    Le voilà venir avec son D.D. doctorat en théologie, vous savez, passant par-là; il allait dire à Moïse les quatre vérités. Et il était si aveugle qu’il ne pouvait voir l’Ange du Seigneur. Gloire. C’est certainement un type de l’église aujourd’hui.
    Les gens disent que cet Ange dont nous parlons et la puissance de Dieu, c’est du non-sens. Il n’y a rien de vrai là-dedans. «Je suis allé à la réunion. Je n’ai rien vu». Ce n’est pas étonnant, vous êtes aveugle. Alléluia!

55    Vous savez quoi? Ce vieux mulet en savait plus à ce sujet et il était dans un état meilleur que celui de son prophète. Ce vieux mulet de ses yeux, il a vu l’ange. Il nous faudrait avoir le bon sens du cheval, de toutes façons. Ainsi, le–le mulet s’est mis à ses genoux devant l’Ange, et Dieu lui a donné le don de parler en langues. Il l’a fait. Le mulet a parlé en langues (Amen.), lorsqu’il a reconnu que l’Ange de l’Éternel était dans le camp. C’est la vérité.
    Ce n’était pas… Est-ce qu’un mulet a déjà parlé avec une voix humaine auparavant? Certainement qu’il l’a fait, il lui fut donné un don de parler en langues, et il a réprimandé le pasteur là-dessus. Amen. Quelle scène! Oh! oui monsieur, le mulet s’est retourné et l’a réprimandé à ce sujet, car il était à genoux. Il voyait l’Ange, mais Balaam ne voyait rien, si ce n’est chevaucher là pour un gros salaire et une nouvelle église. C’est tout ce qu’il voyait. Mais le vieux mulet avait vu l’Ange de l’Éternel et il s’est mis à genoux. Dieu l’a récompensé.

56    Il s’est du coup abaissé sur place et… observez maintenant ce que cela signifie, frère, votre orthodoxie ne vous procure pas beaucoup. Dieu confirme toujours Son Église par des signes et des prodiges. Saviez-vous cela?
    Voyez ce vieux mulet, il portait le vieux prédicateur rétrograde là-bas pour maudire le peuple de Dieu. C’est ce qu’ils cherchent à faire aujourd’hui. Vous ne maudirez jamais ce que Dieu a béni. Vous feriez tout aussi bien d’arrêter de vous tirailler là-dessus. Vous feriez tout aussi bien de venir vous joindre à cela, si vous voulez aller au Ciel. Amen.
    Vous savez, je crois que tout–presque tout le baptisme a été ôté de moi maintenant. Je–je suis presque en train de devenir pentecôtiste moi-même, je crois.

57    Remarquez donc, ils arrivèrent là, juste là, à cet endroit et… J’aimerais que vous considériez quelque chose ici, si jamais vous avez regardé ça avant. Je ne sais pas. Mais remarquez, Moïse était ici avec les enfants d’Israël, quand bien même ils étaient rétrogrades, ayant erré pendant environ quarante ans, ils se sont de nouveau approchés de la frontière, c’est à peu près là que Dieu a amené l’Église aujourd’hui. Ils se sont de nouveau approchés de la frontière et ils se sont remis à errer, après que Dieu leur eut donné une formation et une leçon… Ils sont revenus vers la frontière et ils voulaient passer ou plutôt traverser pour entrer dans cette église-ci et tenir un réveil, en d’autres termes, là dans le pays de Moab.
    Eh bien, Moab était une dénomination, mais Israël était interdénominationnel. Voyez? Certainement. Ils n’avaient pas leur nation à eux, pas de pays qu’ils pouvaient considérer comme le leur. Ils étaient des pèlerins (c’est vrai), ils habitaient dans des tentes. Mais Moab était tout organisé; ils avaient toutes les armées, ils avaient tout.
    Et Moab n’était donc pas incroyant. Rappelez-vous, c’était le frère d’Israël. Moab est un descendant des enfants de–de… C’était l’enfant de la fille de Lot, qui vint… c’est de là que sont venus les Moabites. Ainsi donc, ils étaient des frères à Israël.

58    Et Israël est arrivé là, sans pays, il était en route vers un pays. Il n’avait pas d’église; il était en route vers l’église. Et le Seigneur était avec lui. Il a dit: «Puis-je traverser votre pays, frère?»
    Il a dit: «Allez chercher l’évêque et qu’il vienne ici maudire cet homme. Nous ne voulons pas que ces sottises commencent ici dans notre pays, pas de ces cris ici, ces hurlements, que cela se passe ici comme cela. Cette bande de saints exaltés.»
    Vous dites: «Étaient-ils des saints exaltés?»
    Certainement, ils étaient des saints exaltés. Lorsqu’ils sont passés par la mer Rouge, après avoir traversé, Moïse a chanté dans l’Esprit et Myriam s’est emparée d’un tambourin, elle s’est mise à en jouer et tous, ils se sont mis tous à crier dans l’Esprit et à danser dans l’Esprit, si ce n’est pas là une réunion des saints exaltés, je n’en ai jamais vu une. Certainement.
    Ils ont dit: «Ne le laissez pas venir ici. Nous ne voulons pas que cette sottise commence parmi nous braves gens. Nous en savons mieux que cette sottise. Oh! la la! Nous savons où nous nous tenons.» Je me le demande.

59    Ainsi il prit… il alla chercher l’évêque et l’amena. Ainsi, il vint là et dit: «Maintenant, je vais vous dire ce que j’aimerais que vous fassiez.» Voyez combien il était orthodoxe. Il a dit: «J’aimerais que vous dressiez pour moi sept autels.» C’était exactement ce que Dieu exigeait, sept autels.
    Il a dit: «J’aimerais que vous tuiez pour moi sept sacrifices, des taureaux purs.» C’est ce que Dieu exigeait. Voyez combien il était fondamentaliste dans la Parole?
    Il a dit: «J’aimerais que vous placiez sept béliers dessus.» Pas des agneaux, des béliers, cela annonçait la venue de Jésus, la seconde Venue–ou plutôt la première venue de Christ. Maintenant, vous savez, vous pouvez être orthodoxe; vous pouvez croire dans la naissance virginale; vous pouvez croire à la mort, à la résurrection et à l’ascension, la seconde Venue, mais frère, il y a une petite chose qui va avec cela.

60    Balaam était tout aussi–tout aussi orthodoxe que Moïse. Écoutez donc, voilà sept autels, sept sacrifices purs, sept béliers à offrir comme holocauste sur la colline, avec toutes les célébrités, les souverains sacrificateurs ou je ne sais quoi d’autre, eux tous se tenaient tout autour des sacrifices fumants, en train de prier Jéhovah Dieu. Tout parfait selon l’exigence de Dieu. Dieu exigeait sept autels, sept sacrifices, quiconque croyait que le Messie viendrait offrait un bélier, en holocauste pour cela, croyant que–qu’il était l’Agneau immolé depuis la fondation du monde. Ils étaient très orthodoxes.
    Maintenant, écoutez. Voici ici sur la colline une bonne nation organisée des gens, tous croyaient en Jéhovah Dieu, ils avaient un très bon prédicateur, un éminent érudit, instruit, qui se tenait là avec toutes les célébrités tout autour de ces feux qui fumaient, tout aussi scripturaires que possible, orthodoxes dans chaque parole.
    Là en bas, dans la vallée, il y avait un groupe de gens qui n’avaient pas de patrie où aller. Ils disaient qu’ils étaient des pèlerins et des étrangers. Ils n’étaient pas organisés. Ils habitaient dans des tentes, et ils étaient… ils avaient sept autels, sept taureaux, et sept béliers. Orthodoxes, l’un était tout à fait comme l’autre. Si Dieu n’exige de nous que d’être orthodoxes vis-à-vis de la Parole, alors Il aurait tort de condamner Moab et d’accepter Israël.

61    Caïn et Abel ont adoré tous deux au commencement. Caïn a bâti un autel, Abel aussi. Caïn a adoré, Abel aussi. Caïn n’était pas un infidèle. Ils ont bâti un autel. Ils ont apporté un sacrifice; ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient faire, tous les deux. Pourquoi Abel a-t-il été agrée? C’est parce que Abel était spirituel. Il avait été révélé à Abel que ce n’était pas les fruits ni les pommes qui nous avaient fait chasser du jardin d’Éden. C’était le sang, et il a offert le sang d’un bélier–un agneau par la révélation spirituelle. Et Jésus a dit qu’Il bâtirait Son Église sur la révélation spirituelle.
    «Ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela», a-t-Il dit à Pierre, tu n’as jamais appris cela dans un séminaire. Tu n’as jamais appris cela en étant orthodoxe. «Mais ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux qui te l’a révélé. Et sur ce rocher, Je bâtirai Mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre Elle.» Comment allez-vous donc arrêter cela? Eh bien, c’était une révélation spirituelle.

62    Moïse était là, il avait son pied sur le trône. Il aurait pu posséder un grand… Il pouvait aller là en Égypte et y rester peut-être, mais la promesse de Dieu était de voyager à travers le désert et d’aller à la terre promise. On doit d’abord prendre position. Et Moise a choisi de souffrir avec le peuple plutôt que d’occuper un trône là-bas, car cela lui avait été révélé spirituellement. Et le voilà partir et Dieu a confirmé cela.
    Voici comment on sait si l’on est ou pas dans le bon groupe. Dieu confirme toujours Son Église avec des signes et des prodiges. Peu importe combien vous êtes orthodoxes, cela dépend si Dieu accepte votre sacrifice.

63    Je parlais à un très bon frère baptiste, que j’aime de tout mon cœur, un bon frère, un érudit si jamais j’en ai vu un. Il disait: «Frère Branham, qu’est-ce qui t’est donc arrivé, mon garçon?»
    Et j’ai dit: «Quoi?»
    «Eh bien, dit-il, tout ce fanatisme que tu essaies d’enseigner.» Il a dit: «Tout ce baptême du Saint-Esprit, dit-il, nous recevons le Saint-Esprit lorsque nous croyons en Dieu.»
    J’ai dit: «Vous les baptistes, vous êtes tout embrouillés là-dessus, dans Actes 19. Paul ayant trouvé quelques baptistes là, il a demandé: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?» Je pensais que vous aviez dit que vous L’aviez reçu quand vous avez cru? Paul a dit: «Vous avez déjà cru, mais avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis lors?» Amen. Oui, Appolos était un grand prédicateur, très bien, mais il avait besoin du Saint-Esprit.

64    Et il a dit: «Frère Branham, Dieu n’a-t-Il pas… Abraham, le père des croyants, n’a-t-il pas cru en Dieu? Quoi d’autre pouvait-il faire sinon croire en Dieu?» Il a dit: «Il a cru en Dieu, et cela lui fut imputé à justice, parce qu’il avait cru en Dieu.»
    J’ai dit: «C’est parfait. Mais après, Dieu a donné–a confirmé sa foi en lui donnant la circoncision, pour prouver qu’Il l’avait agréé.» J’ai dit: «Vous pouvez croire au Seigneur Jésus-Christ jusqu’à ce que Dieu reconnaisse votre foi; Il vous accordera le baptême du Saint-Esprit pour sceller la promesse.»
    Abraham a reçu la circoncision comme sceau, montrant que Dieu avait accepté la justice de sa foi. Et si vous dites que vous croyez en Dieu de tout votre cœur, et Dieu vous donnera le baptême du Saint-Esprit pour vous sceller dans le Royaume de Dieu, pour reconnaître votre vraie foi en Dieu. Amen. C’est la prédication sassafras à l’ancienne mode, mais elle vous sauvera. Frère, je vous assure qu’elle vous gardent quand les épreuves feront rage. Amen.
    Peut-être que je ne sais pas exprimer cela comme il le faut, mais je–je sais de quoi je parle. Amen. Peut-être que je ne sais pas vous le dire, en sorte que vous le compreniez, mais ça me procure des sensations fortes, d’essayer cela. Mais j’aime cela, car je sais que c’est la vérité. Oui oui.
    La circoncision était une confirmation. Dieu confirme toujours donc: «J’ai agréé cela. Je ferai ceci pour confirmer que j’ai agréé cela. Tu as dit que tu as cru, alors je ferais ceci pour confirmer cela.»

65    Remarquez donc comment Dieu fait cela, confirmant qu’Il a accepté la justice par la foi. Eh bien, c’est ce que nous devons faire aujourd’hui. C’est ce que… Moab avait une église très orthodoxe, mais Dieu n’avait rien à faire avec cela. Et le même Dieu que les deux tribus invoquaient, toutes les deux offrant le même sacrifice… Dieu a confiné qu’Israël était dans le vrai, car ils avaient la Colonne de Feu suspendue au-dessus d’eux, ils avaient la guérison divine; ils avaient des cris; ils avaient des danses dans l’Esprit; ils avaient la joie. Oh! ils passaient un temps glorieux, et ils étaient en route vers quelque part. Dieu leur donnait la confirmation qu’Il les avait agréés. Et cela a toujours été le signe du croyant. «Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.» Amen.

66    Écoutez le glorieux Saint-Esprit parlant par saint Paul. Quand Jésus est venu, Il était orthodoxe, les juifs l’étaient aussi, mais ils L’ont condamné. Dieu a reconnu que Jésus était Son Fils. Il L’a confirmé. Pierre a dit dans Actes 2, il a dit: «Vous hommes israélites, Jésus de Nazareth, un Homme approuvé par Dieu au milieu de vous par des signes et des prodiges, que Dieu a faits par Lui…»
    Voilà le signe de la chose. Si votre église ne croit pas aux miracles et aux prodiges, vous feriez mieux de commencer à prier pour cette église, qui croit que les jours de miracles sont passés. Vous êtes encore à la frontière. Vous comprenez? De l’autre côté, c’est là qu’il y a les raisins, de l’autre côté. Très bien.

67    Remarquez. Ça, c’est l’Écriture, ce n’est pas une plaisanterie. C’est la Bible. La Bible le déclare. Et écoutez donc le Saint-Esprit parler d’avance du temps à venir, d’aujourd’hui. Il a dit que l’Esprit dit expressément que dans les derniers jours, certains abandonneront la foi, prêtant attention à des esprits séducteurs, et à tout. Comment ils aimeront le plaisir plus que Dieu.
    Regardez l’église aujourd’hui. Eh bien, oh! la la! Les gens restent à la maison mercredi soir, à regarder la télévision. Ils ne vont plus à la réunion de prière. Ils ont des restaurants et de cinémas dans des véhicules, pour ne pas avoir à sortir de leur voiture. Il n’y a plus d’autels, ils ont enlevé tout le feu de l’autel et ils l’ont mis dans la chaudière, ils ont pris la chambre haute et l’ont transformée en salle de souper, ils font bouillir du poulets durs, qu’ils vendent à cinquante cents le plat pour payer le prédicateur. Ce n’est pas du tout le programme de Dieu. Vous êtes hors de la ligne. Dieu ne confirmera jamais pareille chose. C’est vrai. Et vous pentecôtistes, vous tombez juste dans la même ornière. C’est vrai. Amen.

68    Maintenant remarquez comment Dieu a agi. Dieu a dit: «Vous êtes emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs (Oh! ils n’ont rien de vrai), calomniateurs, intempérants, ennemis de gens de bien; ayant la forme de la piété (très orthodoxe), mais reniant ce qui en fait la force: éloigne-toi de telles gens.»
    Si le Saint-Esprit a dit cela, je pense que je peux citer le Saint-Esprit. «Éloigne-toi de telles gens, car c’est le genre qui passe de maison en maison et qui organise de sociétés missionnaires pour femmes et pour faire des coutures et des tricotages, des coutures et des tricotages et des coutures, et–et parler de mademoiselle Unetelle et de toutes les choses du genre.»
    Frère, ce dont vous avez besoin, c’est des réunions de prière. Ramenez les hommes et les femmes à Dieu, à l’ancienne ligne de conduite, une fois de plus. C’est la vérité. Vous savez que c’est la vérité. Et cela peut vous brûler légèrement juste un peu, mon frère, mais mieux vaut pour vous être brûlés légèrement maintenant qu’être consumés d’ici peu. Ainsi, écoutez tout simplement cela. C’est la vérité.

69    Remarquez donc, comment ils ont continué. Dieu a baissé le regard vers les deux sacrifices qui fumaient, et Dieu a béni Israël, car Il était avec Israël.
    Les voici arriver maintenant à la frontière. Moïse était mort et Josué était le nouveau conducteur, il allait faire traverser les enfants de l’autre côté. On a envoyé d’autres espions. Ils devaient aller espionner le pays une fois de plus, quarante ans s’étant écoulés. C’est… Voyez, il vous faut pratiquer encore vos premières œuvres, n’est-ce pas?
    Je pense que si la Pentecôte reprenait une fois de plus avec ce même genre de… liberté, un cœur libre, et–et la liberté dans l’Esprit et tout, je pense que vous feriez mieux de vous mettre à pratiquer encore vos premières œuvres. N’êtes-vous pas de cet avis? Retournez à l’ancienne ligne de conduite, à l’ancienne borne une fois de plus. Revenez à la foi en Dieu. Revenez et laissez de nouveau le Saint-Esprit se frayer la voie dans votre cœur, revenez à l’adoration de Dieu dans l’Esprit et aux œuvres d’autrefois. Débarrassez-vous de ce sentiment bizarre d’indifférence. Oh! la la! Vous ne pouvez pas–vous ne pouvez pas avoir une église comme cela. Vous ne pouvez pas avoir des croyants comme cela.

70    Prenez par exemple une vieille mère oiseau qui couve un tas d’œufs. Vous savez que si elle… Cela–ce n’est pas la mère oiseau qui fait donc éclore les neufs. C’est le–c’est l’atmosphère tout autour des neufs qui les fait éclore. C’est l’atmosphère constante.
    Et si vous avez l’atmosphère qui règne parmi les gens qui ne croient pas, qui s’agitent, se mettent dans tous leurs états, discutent pour savoir s’ils sont membres de telle église ou de telle autre, et vous ne ferez jamais éclore des chrétiens. C’est vrai. Vous ne pourrez jamais le faire.
    Ce vieil oiseau femelle peut se poser sur ce nid et couver ces œufs jusqu’à ce qu’elle devienne si misérable qu’elle n’arrive plus à s’envoler du nid. Si cet oiseau mâle a… Si cet oiseau femelle n’a pas été en contact avec l’oiseau mâle, ces œufs ne vont jamais éclore. Ils pourriront là même dans le nid. C’est vrai.

71    Et c’est ce que l’église doit faire aujourd’hui. Vous prenez pour Pasteur l’homme le mieux instruit que vous pouvez trouver. Vous allez prendre l’homme le mieux habillé, et celui qui peut se tenir sur l’estrade et avoir belle apparence. Celui qui a une très grande taille, un homme grand d’un mètre quatre-vingts, vous savez, aux cheveux ondulés, qui pendent comme cela, et… «Eh bien, voilà le gars que je veux comme pasteur». Frère, vous vous éloignez de la vieille ligne de conduite. C’est la seule chose que je peux vous dire.
    Pour me prêcher, je préférerais avoir un homme en bleu de travail, avec de la boue sur les chaussures, mais qui connaît Dieu, plutôt que tous ceux qui ont ces diplômes de doctorat en théologie, que vous pouvez me présenter. Le… Alléluia! Retournez une fois de plus à la vieille ligne de conduite, frère. C’est là que nous devons aller, quelqu’un qui peut prêcher le plein Évangile, qui croit dans la guérison divine, la puissance de Dieu, la résurrection, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et pour toujours.

72    Observez-les donc. Ils s’approchent de la frontière une fois de plus. Et maintenant, ils ont envoyé les espions et ces derniers ont rencontré Rahab, la prostituée, là. Et elle leur a donné le signe du sang, ce fil rouge cramoisi qui pendait, pour qu’ils puissent s’échapper. C’est maintenant le temps de traverser.
    Je peux me représenter ce que Josué avait pensé. Eh bien, pour terminer. Juste avant que nous formions la ligne de prière, j’aimerais vous laisser avec cette pensée-ci. Pensez-y: errer pendant quarante ans dans le désert. Josué devenait alors vieux. Dieu l’avait choisi, Il avait dit qu’il allait prendre la place de Moïse. Et le voilà, le temps est proche et Josué doit traverser.
    Voyez avec quelle bande de rebelles il a eu à se tirailler. Mais il les a tous rassemblés là un jour, comme il s’approchait du rivage, car il savait que Dieu avait promis le pays, que celui-ci leur appartenait. Et ce matin-là, il a dit: «Euh…» Il leur a dit quoi faire. Il a dit: «Sanctifiez-vous et préparez-vous, car nous allons traverser.»

73    Si jamais un appel a été lancé à l’Église pour qu’Elle se sanctifie et qu’Elle s’éloigne des choses du monde, nous sommes sur le point de traverser. Amen.
    Êtes-vous prêts ce soir à vous mettre à l’écart, à vous sanctifier en vous séparant de votre incrédulité? Vous lisez les journaux, vous entendez les prédicateurs témoigner sur les aveugles, les sourds et les muets. Qu’est-ce qui ne va pas? Ne croyez-vous pas que cela est pour vous aussi? Le même Évangile vous a été prêché tout comme à eux. Êtes-vous prêts à vous sanctifier?
    Il n’y a qu’un seul péché, et ce péché, c’est l’incrédulité. Fumer les cigarettes, boire du whisky et dire des mensonges, et commettre l’adultère, ce n’est pas cela le péché? Ce sont les attributs du péché. Vous faites cela parce que vous êtes un pécheur. C’est ce qui vous fait faire cela. Comprenez-vous? Ce n’est pas le péché en soi; ce sont juste les conséquences du péché.
    Bon, le seul péché qu’il y a, c’est l’incrédulité. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné», a dit Jésus dans Jean 3. Voyez? Il vous faut… Vous–vous–vous ne croyez pas. Il n’y a que deux facultés: l’une d’elles, c’est l’incrédulité et l’autre, c’est la foi. Si vous croyez, vous vivez. Si vous ne croyez pas, vous ne vivez pas. Il n’y a qu’une seule chose.

74    Eh bien, sanctifiez-vous et débarrassez-vous de toute superstition, de tout ce qui pourrait vous dire… Le diable dit: «Eh bien, si on m’appelle sur l’estrade, je pourrais être guéri ce soir.»
    Débarrassez-vous de ce démon-là. Que vous veniez ici ou pas, cela importe peu. C’est soit, vous vous levez là-haut, par la foi, soit pas. Amen. Ayez foi en Dieu. Croyez cela.

75    Josué a dit: «Maintenant, vous allez voir la gloire de Dieu.» En effet, la Colonne de Feu était suspendue au-dessus d’eux. Il a dit: «Eh bien, quand la–quand la Colonne de Feu commencera à descendre vers le Jourdain, dit-il, alors, quand les sacrificateurs la transporteront, que tout le monde se mette en marche derrière, et ne vous En approchez pas trop. Mais ne La perdez pas de vue, car vous n’êtes jamais passés parce chemin-ci.» Je crois qu’il y a une expérience pour l’Église, du genre «vous n’êtes jamais passés par ce chemin-ci».
    Pour vous ce soir, peut-être, si vous ne pouvez pas avoir assez de foi, avançons vers le Jourdain ce soir. Oh! la la! Peut-être que vous n’êtes jamais passés par ce chemin-ci auparavant, mais passons par ce chemin ce soir. Amen.
    Vous dites: « Je ne l’ai jamais fait auparavant, mais je vais essayer cela ce soir. Dieu est ici en train de vous conduire. C’est Lui qui parle à votre cœur et qui vous dit de faire cela, c’est le Saint-Esprit.»

76    Eh bien, voyez les gens au fur et à mesure qu’ils progressent. Mais avez-vous remarqué? L’Ange de l’Éternel est entré dans le Jourdain avant eux. J’aime cela. L’Ange de Dieu s’est engagé le premier dans le Jourdain. L’Ange de Dieu vous conduira à chaque étape du chemin. Parfois vous pensez que–que les épreuves sont dures. Dieu n’est pas pressé. C’est seulement vous qui êtes pressé.
    Dieu a laissé les enfants–les enfants hébreux entrer droit dans la fournaise ardente. Il a laissé Daniel entrer droit dans la fosse aux lions et tout, avant qu’Il vienne. Levez-vous simplement et mettez-vous en marche par la foi. «Ô Dieu, je crois en Toi. Je vais à la terre promise. Ô Dieu, Tu m’as promis cela, et me voici. Je suis la conduite du Saint-Esprit. Je vais sortir d’ici ce soir; je vais prouver au monde que je suis un croyant en JésusChrist. J’accepte ma guérison et je marche par la foi maintenant même. Je crois cela.» J’aime cela.

77    Écoutez, ami pécheur. L’un de ces jours, vous allez aussi effectuer une marche, et vous vous dirigerez tout droit vers le Jourdain. Vous feriez mieux de suivre le Saint-Esprit, car je vous assure, c’est une rivière profonde et sombre. Vous ne passerez plus jamais par ce chemin-là. Et il vous faudra aller là un jour, et je me rends compte… Vous dites: «Qu’en est-il de vous, prédicateur?»
    «Oui.» Je sais que je dois emprunter le même chemin, mon ami. Je dois descendre là, et je sais… Je–je ne sais pas quand cela aura lieu. Peut-être que c’est ce soir. Je ne sais pas quand je partirai. Mais il y a une seule chose; je pars avec ceci à l’esprit: je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, et lorsqu’il appellera, je sortirai d’entre les morts. Je sais que je dois affronter cela. C’est vrai. Je ne suis plus un jeune homme, et je–je dois affronter cela un jour.
    Mais mon frère, l’un de ces jours, je pense, je prêcherai mon dernier sermon. C’est vrai. Je prierai pour la dernière personne malade. Je fermerai la Bible pour la dernière fois. Je dois le faire.

78    Presque tous les Branham, lorsqu’ils deviennent un peu vieux, eh bien, ils attrapent tous la paralysie; ils ont la tremblote et lorsqu’ils atteignent environ 70 ou 80 ans. J’espère que je vivrai, si Jésus vient. Et probablement qu’un jour, je deviendrai un vieillard, avec probablement une barbe blanche couvrant le visage, si Jésus tarde. Je dois aussi arriver à cette rivière. Savez-vous cela? Je peux bien regarder là devant et me voir debout à la rivière. Je suis tout à la fin là. Je suis à la rivière, un vieil homme, me tenant probablement appuyé sur un morceau de bâton, tremblotant. Je dois y arriver malgré tout.
    Je revois mon vieux grand-père se tenant là, tremblotant sur son bâton, disant: «Sois un bon garçon, Billy.»
    Probablement que je me tiendrai aussi là et je regarderai en arrière vers mon Billy, un jour, je lui dirai: «Sois un bon garçon, mon garçon, Billy. C’en est fini de papa maintenant. J’entends un interrupteur là. Je sais que c’en est fini pour moi.»

79    Savez-vous ce que je souhaiterais faire? Je souhaiterais m’avancer sur le sable comme un héros, enlever la cuirasse, la déposer par terre, ôter l’armure, prendre la vieille Épée de l’Esprit, ici, et La remettre dans le fourreau de l’Éternité, là, lever mes mains et crier à tue-tête. Ne vous en faites pas, Il sera là.
    Je dirai: Je suis monté à bord du bateau de sauvetage, Seigneur. Je rentre à la maison ce matin. Il sera là.
    Et je descendrai vers les longues vallées de l’ombre de la mort, Il enverra l’Étoile du matin pour éclairer le chemin. Alors, nous aimerions traverser jusque dans l’autre pays et y demeurer.

80    Prions. Notre Père céleste, je ne sais pas, Tes enfants sont des enfants particuliers. En me tenant ici ce soir, je m’attendais à parler juste pendant quelques instants pour essayer d’élever un peu la foi des gens, et là, je me suis tenu ici et je n’en ai même pas parlé, mais ç’a été une réprimande dure par l’Esprit. Toutefois, je n’ai fait que ce que Tu as dit.
    Je ne sais pas à qui Tu parlais là, mais je me suis mis à appeler les malades, Tu m’as détourné. En vérité, Seigneur, nous devons tous arriver à la fin du pèlerinage de la vie. Et je–je dois y arriver. Nous devons tous y arriver. Tout le monde ici y arrivera.
    Et, Père, y a-t-il ici quelqu’un ce soir, qui n’est tout simplement pas prêt à aller à cet endroit-là? Ils sont restés assis dans la réunion, ils ont vu Tes grands miracles divins, ils ont vu ce qu’Il fait. Le Saint-Esprit a parlé à leurs cœurs ce soir. Voici le temps. Accorde que la Parole entre dans leurs cœurs pendant que Tu frappes là.
    Tu as dit: «Nul ne peut venir à Moi, à moins que Mon Père ne l’attire. Je donnerai la Vie éternelle à tout celui qui viendra». Tu as dit: «Celui qui entend mes Paroles, et qui croit à Celui qui m’a envoyé a la Vie éternelle, il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

81    Ô Dieu, je prie que cette personne, homme, femme, jeune garçon ou jeune fille qui est ici, qui doit arriver au bout de la route et qui n’est pas prête, que Tu parles à son cœur maintenant même. Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, je me demande s’il y a ici ce soir une telle personne, qui pourrait dire: «Frère Branham, je… c’était à moi que cela s’adressait ce soir. Je–je ne suis tout simplement pas là où je devrais être.»
    Et laissez tout simplement le Saint-Esprit voir, maintenant, si vous le voulez. Que chaque tête reste inclinée, c’est un moment très sacré maintenant. Si vous n’êtes pas dans le Royaume de Dieu, si vous n’êtes pas né dans le Royaume, voudriez-vous lever la main vers… pas vers moi, mais vers Dieu et dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. J’ai besoin de Toi.»
    Merci, frère. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse. Là en bas? Quelqu’un d’autre? Levez la main et dites: «Dieu, souviens-Toi de moi.»
    Que Dieu vous bénisse, Sœur. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Là au balcon, quelqu’un là-haut, levez tout simplement la main. C’est la chose la plus masculine ou féminine que vous ayez jamais faite dans votre vie. Levez la main et dites: «Jésus, voici ma main. Je–je–je ne T’ai pas servi, et je–je–je voudrais le faire. Voici ma–ma main vers Toi. Je–j’aimerais être en ordre avec Dieu.»

82    Quelqu’un d’autre voudrait-il lever la main très vite, avant… Oui, que Dieu vous bénisse. Il y a une dame ici. Là au balcon, je vous vois là-haut, le jeune homme là-haut. Cette jeune fille ici, je vous vois. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Levez tout simplement la main. Que Dieu vous bénisse, madame. Je vous vois. Quelqu’un d’autre? Levez tout simplement la main.
Oh! j’ai besoin de Toi, Oh! j’ai besoin de Toi;
À chaque heure, j’ai besoin de Toi;
Oh! Bénis-moi maintenant, mon Sauveur,
Je viens à Toi.
Ma foi regarde à Toi, (Que Dieu vous bénisse.)
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur Divin;
Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,
Ôte toute ma culpabilité,
Et que je sois tout à Toi dès ce jour.

83    Voudriez-vous tout simplement lever la main et dire: «Voici ma main, ô Dieu. Je–je Te promets ce soir même, si Tu me pardonnes, alors je–je vais commencer ce soir même. Ce soir sera mon point de départ, ce samedi soir. Je Te choisis maintenant même, ô Seigneur.»
    Beaucoup disent… Peut-être que vous meniez une vie à moitié. Peut-être que vous êtes à moitié rétrograde, froid, formaliste et indifférent. Levez la main et dites: «Christ, ceci… je lève la main.» Dites: «Je Te consacre à nouveau ma vie.»
    Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Oh! la la! Regardez les mains. Eh bien, c’est bien.

84    Maintenant, Père céleste, Tu les connais tous. Et je Te prie au Nom de Jésus, de sauver chacun d’eux. Ramène les rétrogrades. Et accorde le Saint-Esprit à chacun gratuitement, car il y a une Fontaine ouverte ce soir. Et c’est gratuit au possible et, quiconque veut peut venir boire à cette Fontaine.
    Père, j’ai fait ceci, car j’ai senti que Tu m’avais dit de le faire. Je Te prie donc maintenant, ô Dieu, s’il en reste un ici qui n’a jamais levé la main et si nous ne devons jamais nous rencontrer dans ce pèlerinage ici sur cette terre, puissions-nous nous rencontrer dans la Gloire. Accorde-le, Seigneur. Puisse le glorieux Saint-Esprit venir maintenant, convaincre et sauver tout le monde, et leur donner la foi dans l’œuvre accomplie par Christ au Calvaire. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

85    Que le Seigneur vous bénisse, mon frère, ma sœur. Et je suis désolé de prendre trop de votre temps comme je l’ai fait. Mais vous êtes entamés, on dirait que j’ai trop parlé.
    Maintenant, nous allons commencer la ligne de prière. Je me demande combien ici croient effectivement en Jésus-Christ comme étant le même hier, aujourd’hui, et pour toujours? Combien ici n’ont jamais été dans un service où je priais pour les malades? Faites voir les mains, juste un instant. J’aimerais donc vous poser une petite question, pendant que les gens se détendent. S’il vous faut partir dans les prochaines quinze, vingt minutes, c’est maintenant le moment de le faire, car… s’il y a de l’incrédulité et des doutes, il n’est pas bon de rester ici en ce moment-ci.

86    Combien savent que Jésus, lorsqu’il était ici sur terre, ne prétendait pas être un Guérisseur? Combien savent cela? Faites voir les mains. Jésus a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les œuvres; c’est Mon Père.» Est-ce vrai?
    Et Il a dit, quand on L’a interrogé une fois, Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais seulement ce qu’Il voit faire au Père.» Est-ce vrai? Saint Jean 5.19. On L’a interrogé lorsqu’Il est passé par la piscine de Béthesda; beaucoup d’infirmes, d’aveugles, de boiteux étaient couchés là, et Il est allé guérir un homme qui était couché sur un grabat; Il s’en est allé, laissant une multitude là. S’il faisait cela ici ce soir à Chicago, on L’interrogerait encore, n’est-ce pas? Certainement, car Il est le même, et les gens sont les mêmes. Mais Il a dit: «Je ne peux donc rien faire, à moins que le Père me le montre.»
    Maintenant, permettez-moi de vous citer ceci de nouveau. Maintenant écoutez très attentivement. Jésus a dit: «En vérité, en vérité Je vous le dis (lorsqu’on L’interrogeait), le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais seulement ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait également.»

87    S’Il… Combien croient qu’il est le même, hier et pour toujours? Très bien. Je voudrais vous poser une question. Quand Il était ici sur terre, quel genre de ministère avait-Il? Est-Il venu dire: «Amenez-moi un …?… Et je vais vous montrer une guérison.» Non non.
    Qu’a-t-Il fait au début de Son ministère? Juste une petite citation maintenant pendant que les foules se détendent. Suivons-Le juste quelques instants, juste un ou deux sauts dans la Bible et voyons quel genre de ministère Il avait. Et le genre de ministère qu’Il avait à l’époque, Il devra l’avoir aujourd’hui, s’Il est le même. (Est-ce vrai?)
    S’Il continue à œuvrer aujourd’hui. Il ne fait que vous utiliser, vous et moi comme ses sujets et Il œuvre par nous. Il a dit: «Les œuvres que je fais, vous les ferez aussi.»
    Qu’a-t-Il fait? Suivons-Le juste quelques instants. Nous Le voyons, après qu’il fut sorti du désert, après Ses tentations, après que le Saint-Esprit fut descendu sur Lui sans mesure et qu’il L’avait rempli, et avait fait de Lui Emmanuel: Dieu en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même…

88    Puis, Il a commencé Son ministère. Peu après, Il a rencontré un homme. Il a su qui il était. Il l’a appelé Simon, Il lui a dit: «Tu es le fils de Jonas.» Il y avait un homme du nom de Philippe qui était converti, et il est allé… il était intéressé à amener son ami, Nathanaël. Ainsi, il est allé dans une autre région du pays, oh! quelques comtés, peut-être, plus loin là, et il a trouvé Nathanaël qui était sous un arbre en train de prier. Il a dit: «Viens et vois Qui j’ai trouvé; Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»
    Et Nathanaël était un croyant très orthodoxe, il a dit: «Peut-il venir quelque chose de bon de Nazareth, d’une ville si méchante?»
    Il a dit: «Viens et vois.»
    Maintenant, je pense, mes amis, pendant que nous en parlons ensemble, je pense que c’est la meilleure chose que n’importe qui puisse faire, c’est de découvrir lui-même. N’est-ce pas vrai? Maintenant, ayons tout simplement des pieds par terre. Voyez? Eh bien, il a dit: «Viens et vois.»

89    Il L’a donc suivi. Et quand Il est entré dans la foule, et qu’Il s’est tenu là dans l’auditoire comme cela, là où étaient les autres (Jésus, peut-être, faisait passer la ligne de prière ou priait pour les malades), Jésus S’est retourné et l’a regardé; Il a dit: «Voici un israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
    «Eh bien, dit-il, comment m’as-Tu connu, Rabbi? Eh bien, Tu ne me connais pas? Tu ne m’as jamais vu. Comment m’as-Tu connu? Comment as-Tu su que j’étais un croyant?»
    «Eh bien, dit-Il, avant que Philippe t’ait appelé, quand tu étais sous l’arbre, Je t’avais vu.» Qu’est-ce que le monde a dit que cela était? Que diraient les gens ce soir que cela est? De la télépathie mentale, ou Simon le magicien ou un sorcier, ou un diseur de bonne aventure. Ils avaient dit la même chose à l’époque. Ils ont dit: «Il est Béelzébul, le prince des diseurs de bonne aventure, leur roi à tous, le prince des démons.»
    Mais qu’est-ce que Philippe a dit à ce sujet, ou plutôt Nathanaël? Il a dit: «Tu es le Roi d’Israël. Tu es le Fils de Dieu.»
    Et Il a dit: «Parce que le t’ai dit cela, tu crois?» Il a dit: « Tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»

90    Suivons-Le un peu plus loin. Je Le vois parcourir un auditoire un jour, et une femme a touché Son vêtement et elle s’est enfuie. Elle se disait «Si je touche Son vêtement, ça va aller.» Elle s’est assise dans l’assistance, ou plutôt elle s’est tenue là, où que ce fût. Jésus a dit: «Qui M’a touché?»
    Il a dit: «Eh bien, tout le monde vous touche.»
    Il a dit: «Oui, mais je me suis senti affaibli.» La vertu, vous savez, on s’affaiblit. Il a regardé partout pour voir qui avait fait cela, Il a découvert la petite femme.
    En effet, elle se disait dans son cœur: «Je crois en Lui. Si seulement je peux Le toucher d’une manière ou d’une autre, je–je serai guérie.»
    Et elle est allée là, et Jésus a cherché jusqu’à ce qu’Il l’a trouvée; Il lui a dit: «Ta foi t’a guérie.» Voyez, elle avait tiré du don de Dieu, elle avait tiré le don qui était en Jésus, en fait Il était le plus grand don que Dieu ait jamais offert, c’était Son propre Fils. Vous savez cela. Et alors, elle avait pour elle-même tiré la foi de la puissance de Dieu à travers Jésus. Il n’a jamais dit: «C’est Moi qui ai fait cela.» Il a dit: «C’est ta foi qui a fait cela.»

91    Et nous Le voyons passer par la piscine de Béthesda, et beaucoup d’endroits, ou à d’autres endroits, dans des Écritures. Et nous Le voyons là à la piscine de Béthesda, passant par là; quelques jours après que la femme eut touché Son vêtement. Il y avait là une grande foule, des centaines de gens infirmes, des boiteux, des aveugles, des estropiés, ceux qui avaient des membres secs, attendant que l’eau bouge. Et Jésus passa au milieu d’eux, sans mot dire, et Il s’en alla – car Il savait. Voyez, le Père le Lui avait montré. Ce… Il savait où se trouvait un homme qui était couché sur un grabat. Il l’a donc trouvé et Il lui a demandé: «Veux-tu être guéri?»
    Il a dit: «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau.»
    Il a dit: «Prends ton lit et rentre chez toi.» Il a pris son lit et s’en est allé en marchant. Les Juifs L’ont interrogé. Et Il a dit: «En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais seulement ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait également.»
    Maintenant… Jésus a dit la vérité. Croyez-vous cela? Oui oui. Nous pouvons parcourir cela de la Genèse à l’Apocalypse. Aucun prophète, en aucun temps, à aucun moment, Jésus n’a jamais fait quelque chose sans que cela Lui soit révélé.

92    Voyez la résurrection de Lazare. Jésus restait là chez ces braves gens, puis Il est parti, car Il savait ce qui allait arriver. Et on avait envoyé Le chercher pour qu’Il vienne chez eux. Il a poursuivi son voyage. Après le nombre de jours que le Père Lui a montré dans la–dans la vision sur ce qui adviendrait, Il a dit: «Notre ami Lazare dort.»
    Les autres ont dit: «Il fait bien.»
    Il a dit: «Il est mort.»
    «Et à cause de vous, Je suis content que Je n’aie pas été là, mais je vais le réveiller.» Une vision. «Je ne fais rien, à moins que le Père ne Me le montre.»
    Il S’est tenu à la tombe, regardez-Le. Il a prié, mais Il a dit: «Je fais ceci, Père, à cause d’eux.» En effet, Il le savait déjà. Il a dit: «Je dis cela à cause d’eux.» Alors Il a appelé Lazare d’entre les morts. Il avait déjà vu cela dans la vision. Voyez?
    Ç’a toujours été ainsi. Et si c’était Jésus hier, c’est Jésus aujourd’hui, et Jésus pour toujours. Et Jésus avant de quitter le monde, Il a dit: «Les œuvres que je fais, vous les ferez aussi. Et vous en ferez même davantage.» Vous dites là: «de plus grandes», mais prenez la bonne traduction, c’est «davantage». «Davantage» signifie plus–plus grandes. Cela ne veut pas dire en qualité; cela veut dire en quantité. Vous en ferez même davantage, car je m’en vais à Mon Père.»

93    Maintenant, écoutez attentivement. Il a dit: «Encore un peu de temps et le monde ne me verra plus. (C’est l’incroyant.) Aussitôt après Mon départ, le monde ne Me verra plus. Mais, vous Me verrez, car Je (pronom personnel), Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.»
    Pourquoi? Cette génération n’allait pas être la seule à Le voir, mais chaque génération jusqu’à la fin du monde Le verra. Maintenant, comment allons-nous Le voir? Il a dit: «Je serai avec vous, même en vous. Les œuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Je serai en vous, continuant Mon œuvre», c’est Dieu, tout simplement sous la forme du Saint-Esprit jusqu’à la fin du monde. Amen.

94    Écoutez, vous les pentecôtistes. Vous avez les dons de parler en langues. Pourquoi n’avez-vous pas traversé? Il y avait là d’autres choses. Paul a dit: «Si vous parlez tous en langues, et qu’un homme simple arrive là, ne dira-t-il pas que vous êtes fous, barbares et tout le reste?»
    Il a dit: «Mais s’il y en a un qui prophétise ou qui révèle les secrets du cœur, ils tomberont alors tous par terre et diront: ‘Dieu est réellement avec vous.’» Est-ce vrai?
    Ces choses sont pour les croyants. Il y a quelque temps un homme m’a dit, il a dit: «Je ne crois pas, non non.»
    J’ai dit: «Très bien. Ce n’est pas pour vous. Ce n’est pas pour les incrédules. C’est pour ceux qui croient. C’est pour les croyants.»

95    Croyez-vous ce soir de tout votre cœur que Jésus est ressuscité des morts? Et s’Il est ressuscité des morts, Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Est-ce vrai? Nous avons examiné cela à plusieurs reprises dans la première partie de la semaine, au point que cela devrait être ancré dans votre esprit. Mais je dis cela à l’intention de ceux qui sont venus pour la première fois.
    Maintenant, s’Il est le même, s’Il est le même dans le principe; Il est le même dans la puissance; Il est le même dans la compassion. Est-ce vrai? Alors Il fera la même chose. Et s’Il vient ce soir ici sur cette estrade, et qu’Il accomplisse les mêmes choses qu’Il faisait quand Il était ici sur la terre, L’accepterez-vous, chacun de vous, et partirez-vous d’ici en croyant de tout votre cœur?

96    Notre Père céleste, à partir de maintenant, c’est à Toi, Seigneur. Et je Te prie de–d’accorder ce soir que Ta présence soit avec chacun.
    Et maintenant, cache-nous derrière la croix, Seigneur, afin que… Et calme cet auditoire, et puisse la foi s’élever à un niveau tel que chaque personne ici sera guérie pour la gloire de Dieu. Et nous le demandons au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.É.]

97    Maintenant, s’il vous plaît, au Nom du Seigneur Jésus, que tout le monde reste assis et calme, et ne vous déplacez pas. Ne sortez pas. Vous voyez? Restez assis calme pendant un instant.
    Maintenant nous allons appeler les cartes de prière. Nous ne pouvons les prendre toutes à la fois. On va donc commencer, je pense vers 10, 15, 20 ou quelque chose comme cela. Voyons …?… [Espace vide sur la bande–N.D.É.]

98    Combien ont été dans des réunions et ont vu des prétentieux essayer de faire cela? Oui. Certains d’entre eux sont dans les asiles des fous, d’autres sont morts, et d’autres sont restés estropiés. Il y a eu un gars qui a cherché à m’hypnotiser ce soir-là, et il avait fait venir là cet hypnotiseur-là, qui se tenait là. Et le Saint-Esprit a regardé là et Il lui a parlé, disant: «Toi, enfant du diable.» Il a été paralysé pendant qu’il était assis juste là, et il est toujours paralysé. Cela a eu lieu il y a quatre ans: il est toujours paralysé.
    Il allait dans les camps militaires et hypnotisait les soldats, et il les amenait à aboyer comme un chien. Vous ne pouvez pas jouer avec Dieu. Non, monsieur. Vous devez être révérencieux. Très bien.
    Madame, voudriez-vous venir ici juste un instant. [Espace vide sur la bande–N.D.É.]

99    …malade, eh bien, c’est juste. Vous savez que je–je ne connais pas, il n’y a aucun moyen de vous connaître ni de savoir quoi que ce soit à votre sujet.
    Mais si–si je me tenais ici et vous parlais juste un peu, Il continuerait à vous révéler tout à votre sujet. Mais regardez cette ligne de prière là, voyez, ces gens. Eux tous aimeraient venir ici. Et après quelque temps, je serai très fatigué, on viendra me prendre, (Voyez?), en effet j’entre dans le subconscient.
    Mais si Jésus de Nazareth me fait savoir pourquoi vous êtes ici ou quelque chose à votre sujet, quelque chose que vous savez, que moi je ne sais pas, allez-vous alors accepter cela et croire que c’est le même Jésus, qu’Il est ici? Et l’auditoire déclare qu’il croira aussi.

100    Maintenant, vous – par la grâce de Dieu – eh bien, certainement, Sœur. Que Dieu vous bénisse. Est-ce que cela… Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Maintenant, vous–vous–vous… Voyez juste si ceci… Je vous dis la vérité ici même. Il y a juste une seconde, Quelque Chose vous est arrivé, n’est-ce pas? Quelque chose… Vous avez été envahie par une sensation. C’est l’Ange du Seigneur. Le voici juste entre nous, maintenant même.
    C’est–c’est… Voyez-vous ceci, ici? Maintenant, cette femme est en train de s’éloigner de moi. Elle est dans une grande détresse. Je la vois dans une chambre à coucher et elle ne peut pas dormir. Elle fait les cent pas sur le plancher. Elle entre dans une autre chambre. Elle en revient et entre dans une autre chambre. Elle entre dans une petite pièce et prend une sorte de… C’est quelque chose dans un petit… C’est un peu de poudre à prendre pour pouvoir dormir. Et elle cherche à… Son–son problème, c’est une maladie des nerfs. Et elle prend de la poudre pour rester endormie, elle en prend au maximum. Elle est sur le point de subir une dépression, et c’en sera fini d’elle. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Est-ce vrai? [La sœur répond «Oui, c’est vrai.»–N.D.É.] Comment pourrais-je vous connaître? Je ne sais pas ce que j’ai dit. Ce n’était pas moi. C’était Lui. Maintenant, c’était la vérité, sur toute la ligne, n’est-ce pas? Sur toute la ligne, c’était la vérité.

101    Maintenant, Jésus a dit: «Voici les signes qui accompagneront ceux qui…» Mais il y a quelque chose ici que vous devrez savoir. Il y a Quelque chose ici sur moi qui vous connaît, pas moi, mais Quelque chose sur moi qui vous connaît (Est-ce vrai?), qui vous a vue ainsi que ce que vous avez fait, et ce qui vous concerne. Est-ce vrai? Croyez-vous que c’est Jésus-Christ qui m’oint? Alors, Il a dit: «Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.» Si cette onction est… Je vais vous imposer les mains. Qu’est-ce qui doit arriver? Être guéri. Est-ce vrai? Venez donc ici juste un instant.
    Notre bienveillant Père céleste, Tu connais cette femme. C’est Toi qui lui as donné toute la nourriture qu’elle n’ait jamais mangée. Elle se tient ici maintenant, tremblant dans Ta Présence, sachant que c’est maintenant le moment. Elle se tient sous l’onction du Saint-Esprit, les yeux remplis de larmes, sachant qu’un simple homme ne peut pas faire cela, elle sait qu’elle doit se tenir dans Ta Présence. Ainsi, ce démon qui vibre maintenant contre le don de Dieu, Satan, je te condamne par Jésus-Christ, le Calvaire et le Sang. Sors de cette femme. Au Nom de Jésus-Christ, laisse-la aller. Amen.
    Maintenant, c’est terminé. Maintenant, vous pouvez rentrer à la maison, vous réjouissant et remerciant Dieu. Passez par ici, en louant tout simplement le Seigneur.

102    Voudriez-vous venir, Madame? Croyez-vous de tout votre cœur? Je vous vois porter quelque chose qui a l’image d’un grain de sénevé, représentant une foi comme un grain de sénevé. Croyez-vous que vous avez la foi comme un grain de sénevé? Peut-être que cela n’a pas accompli un miracle, mais si vous vous y accrochez, cela vous amènera à la Lumière.
    Je vous suis un étranger, Madame. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. Nous sommes étrangers, l’un à l’autre, Dieu nous connaît tous deux, Dieu peut aider en me laissant… Si je pouvais vous aider et que je ne le faisais pas, je serais une brute, Sœur. De savoir qu’une pauvre femme aux mains ridées se tient ici et qu’elle a probablement eu beaucoup de dures labeurs au jour le jour, et qu’ici se tient une vieille petite mère, et–et qui tremblote de tout son être, du fait de se tenir sous l’onction Divine. Jamais vous n’avez éprouvé pareille sensation auparavant, en effet, cela ne se passe que dans Sa Présence. Voyez-vous?
    Avez-vous déjà vu la photo de l’Ange du Seigneur, que l’on a ici sur photo? C’est cette Chose qui est juste sur vous maintenant, se déplaçant juste là. Je vous vois aller quelque part. Quelqu’un vous a examinée, quelque chose comme cela. Il semble que vous–vous avez trébuché; vous êtes tombée. Vous vous êtes blessée au flanc gauche et à l’épaule gauche. C’est vrai. Alors vous avez une vésicule qui penche. C’est vrai. Croyez-vous que c’est terminé maintenant? Allez carrément votre chemin, et cela va… Et maintenant, amenez ceci chez votre …?… C’est juste, ouais. [La femme parle à Frère Branham–N.D.É.] Allez, donnez-le-lui au Nom du Seigneur Jésus.

103    Voudriez-vous venir, mon frère? Venez en croyant, ayez foi. Je vous suis étranger, je ne vous ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache. Mais Jésus vous connaît, n’est-ce pas? Croyez-vous que s’Il me laisse savoir votre problème, que vous serez bien portant? Vous le croyez.
    Bien, mon frère, dès que cette onction vous a frappé, j’ai vu une ombre de mort suspendue près de vous. C’est un cancer. Je ne sais pas si vous le savez ou pas. Vous êtes… Oui, vous le savez. Il y a eu un examen, et c’était sur les glandes de la prostate. Vous avez un cancer de prostate. C’est vrai. Que Dieu soit miséricordieux. Venez ici, frère.
    Bienveillant Père céleste, comme Ton Saint-Esprit est ici maintenant, le tendre Seigneur Jésus, j’appuie mon corps contre mon frère et je condamne le diable qui cherche à lui ôter la vie, et je le chasse loin de cet homme. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il s’en aille. Amen.
    Que Dieu vous bénisse, mon frère. Allez heureux maintenant tout en vous réjouissant. Ne doutez pas.

104    Pourquoi avez-vous levé la main, petit enfant? Croyez-vous? Croyez-vous que je suis un serviteur de Dieu? Vous le croyez. De tout votre cœur? Dieu peut vous guérir de cette hernie si vous croyez en Lui. Croyez-vous qu’Il vous a donc guéri? Très bien, mettez-vous debout et recevez-Le. Très bien. Maintenant, rentrez à la maison; soyez guéri. Voyez, c’est votre foi qui a fait cela, Monsieur. Que Dieu vous bénisse.
    Ayez simplement foi. Ne doutez pas. Si tu peux croire… tout est possible, mais il vous faut croire. Jésus a dit cela. Maintenant, écoutez ceci. Vous savez tous que je vais suivre les enregistrements; Je ne me souviendrai jamais de ceci. Mais j’espère que ma voix se fait entendre clairement.

105    Cette Colonne de Feu se tient juste ici dans le coin. J’aimerais que tout l’auditoire regarde, juste ici. Ne pouvez-vous pas voir Cela se mouvoir? Elle se tient juste au-dessus de cette dame de couleur qui est en train de prier, elle est assise juste là au bout. Et elle prie Christ, et elle demande à Jésus de m’amener à l’appeler, et de faire que sa foi touche Jésus par moi. La dame de couleur, vous qui êtes là, vous souffrez de l’hypertension, celle qui est assise là. N’est-ce pas vrai, Madame? Très bien. Maintenant, vous pouvez rentrer à la maison. L’hypertension vous a quittée. Votre foi vous a guérie. Alléluia! Voyez? Vous n’avez pas besoin de vos cartes de prière. Vous avez besoin de la foi.

106    Dites donc, jeune homme, vous qui êtes assis juste derrière elle, là au bout de la rangée, cet homme qui me regarde avec insistance, disant: «Ô Dieu, ne peux-Tu pas me toucher aussi?» Vous avez la gastrite, n’est-ce pas? Cet homme en chemise blanche. Oui, monsieur, c’est vous. Oui, vous. Vous avez la gastrite. Votre estomac est aigre et–et ça continue (N’est-ce pas vrai?), et cela cause des palpitations autour de votre cœur. C’est terminé, mon frère. Votre foi vous a guéri.
    Gloire soit rendue au Dieu vivant. Ne doutez pas. Croyez tout simplement. Ayez foi en Dieu. Jésus a dit: «Je le peux, si tu crois.» Si seulement vous avez foi, c’est tout ce qu’il vous faut.

107    Est-ce la dame? Excusez-moi, Sœur. Mon intention n’est pas d’être dur ni …?… Je dois tout simplement suivre Sa conduite. Voyez-vous? Je n’ai aucun moyen de contrôler quoi que ce soit, on suit juste Sa conduite. Maintenant, nous sommes étrangers l’un à l’autre. L’onction devient grande maintenant… Ça affaiblit… Généralement, c’est… Quand je deviens faible, c’est là pourtant le meilleur moment.
    Maintenant, quelque chose est arrivé ici même. Oh! c’est cette dame, une femme du genre fort, elle est assise là, Cela se tient juste là… oui, elle a une affection de rein, c’est ce dont elle souffre. Croyez-vous que le Seigneur Jésus vous guérit, Sœur? Croyez-vous qu’Il vous guérira? Croyez-vous? Très bien. Levez la main pour montrer que vous acceptez cela. Très bien, ma sœur, vous pouvez rentrer à la maison et être bien portante maintenant.

108    La sœur, la dame de couleur, regardant du côté où se trouve cet homme-là, vous désirez ardemment que Jésus vous touche ce soir, n’est-ce pas? Oui oui. Croyez-vous que je suis Son prophète? Levez-vous juste une minute. Maintenant, vous sentez un changement, n’est-ce pas? C’est depuis longtemps que vous souffrez de quelque chose, et ce sont de petites choses blanches, comme de petites cordes qui sont appelées «hesions.» Est-ce vrai? Vous ne les avez plus maintenant. Vous pouvez rentrer à la maison. Votre foi vous a guérie.
    Ayez tout simplement foi. Ne doutez pas, croyez. Jésus a dit: «Tout est possible à celui qui croit.» Croyez-vous?
    Qu’en est-il de vous là au balcon? Croyez-vous? Il y a certainement une muraille de foi entre vous ici, mais cela n’est pas un problème pour Christ.

109    Maintenant, mon cher ami, Dieu au Ciel sait que je suis ici uniquement pour vous aider. Je suis ici uniquement pour essayer de faire ce que je peux pour représenter mon Seigneur et mon Sauveur Jésus-Christ. Il semble que vous pouvez croire maintenant. Il semble que vous qui connaissez bien Jésus, savoir comment… Cela est ici.
    Maintenant, il est possible que vous ne voyiez pas ce que je vois. Vous dites: «Si vous voyez cela, je peux le voir» Non. Un Feu et une Lumière étaient venus vers Paul un jour, pendant qu’il était en route vers Damas, c’était tellement brillant que cela avait aveuglé ses yeux. Et personne n’a vu cette Lumière, sauf lui. Est-ce vrai? Lui seul a vu cela.
    C’est Cela. Cela se trouve entre ici et ce mur-là, c’est simplement un solide banc de terre, on dirait, de la gloire de Dieu. C’est la foi des gens. Voyez, vous mettez cela en action, vous-mêmes. C’est vous qui faites cela, ce n’est pas moi. Je n’ai rien à faire… Si vous n’aviez pas cru à cela, cela n’arriverait pas. C’est votre foi qui fait cela. N’est-ce pas merveilleux de la part de notre Seigneur et Sauveur? Oh! Il est très bon. Nous devrions vraiment L’aimer de tout notre cœur, n’est-ce pas? Jésus a dit: «Je le peux, si vous croyez.»

110    Le… Maintenant, nous sommes étrangers, l’un à l’autre, Sœur? Me connaissez-vous? Oh! vous avez été guérie. Oh! je vois. Bien, je veux dire vous connaître personnellement, je ne peux vous connaître étant donné que je viens juste… juste quelqu’un pour qui on a prié, car je… Très bien. Maintenant, je vous vois avec un mouchoir en main. Eh bien, ce mouchoir est peut-être pour quelqu’un d’autre. Je veux que vous me regardiez, et je veux que vous croyiez que je suis un serviteur de Dieu. Et si Dieu me révèle ce que–ce que vous avez dans votre cœur, allez-vous accepter ce que vous demandez?
    Est-ce que l’auditoire fera la même chose? C’est un cas étrange, mais il n’y a rien de difficile pour notre Seigneur Jésus. Ce mouchoir est pour une femme, une fille. Et cette fille est votre fille. Et cette fille a une affection de rein. Elle a été gravement malade. Je vois des médecins se tenir là… Elle en a été opérée. Et l’un des–l’un de ses reins a été enlevé, et j’entends les médecins dire qu’il n’y a aucun espoir pour l’autre rein. Elle va mourir. Et votre cœur est en quelque sorte brisé. Cette fille est une catholique. C’est juste. Et vous êtes–vous avez quelque chose dans votre côté pour lequel vous–pour lequel vous vouliez que l’on prie. Ayez… Est-ce vrai?
    Maintenant, croyez-vous que je suis Son prophète? Eh bien, prenez… Laissez-moi avoir le mouchoir. Dieu tout-puissant, au Nom de Jésus le Fils de Dieu, exauce la requête de cette sœur au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, ne craignez pas. Ayez la foi et croyez. [Espace vide sur la bande–N.D.É.]

111    Croyez-vous? [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.É.] De tout votre cœur? Si tu peux croire. Ne vous déplacez pas, s’il vous plaît. Très bien.
    Croyez-vous qu’Il est ici, madame, de tout votre cœur? C’est Dieu qui vous connaît, pas moi? Est-ce aussi la première fois que nous nous rencontrons donc? Nous ne nous connaissons pas. Oh! vous m’avez vu dans d’autres réunions. Oui. Bien, je ne vous connaîtrais d’aucune manière. Je suis… rien comme cela.
    Quelque chose s’est passé ici dans le coin tout à l’heure. Ayez la foi. Ne doutez pas. J’ai manqué cela maintenant. Maintenant, croyez vraiment de tout votre cœur. Peut-être que c’était Billy Paul, mon garçon, qui passait là. Je pensais… je sais tout ce qui ne va pas chez Billy. Je connais Frère Jack et les autres. C’est pourquoi je ne laisse pas les autres tout près, car je vois leur foi faire agir cela, et il me faut avoir quelqu’un tout près. C’est difficile d’avoir une vision là-bas, car beaucoup croient maintenant et tirent. C’est peut-être la raison pour laquelle je… Cela est allé au coin. Mais quelque chose est allé dans cette direction-là. Peut-être que Cela suivait Billy. Mais Cela a quitté cette femme ici et C’est parti dans cette direction-ci.
    Que tout le monde soit révérencieux. Voyez? Vous êtes dans la Maison du Dieu vivant. Jésus-Christ, le ressuscité, est ici, prouvant qu’Il est vivant ce soir. Vous savez cela, n’est-ce pas?

112    Qu’en pensez-vous, mon frère Esquimau, là? Croyez-vous que les gens de votre pays, là-bas, recevront le Seigneur Jésus quand ils–ils verront les signes et les prodiges de Dieu? Croyez-vous cela? Très bien. Je crois aussi cela, avec vous. Alléluia! Il est si réel. Amen.

113    Maintenant, Sœur, je voudrais vous parler juste un moment. Maintenant, si je pouvais vous aider, je l’aurais fait, mais cela m’est impossible. Mais par un don Divin, qui m’a été donné souverainement par Jésus-Christ, je suis capable d’élever votre foi à un certain niveau et vous amener à accepter cela. Que penseriez-vous, en vous tenant devant un homme qui ne vous connaît pas, qui ne vous a jamais vue, et qui vous dira une chose dont vous savez que je ne sais rien? Cela devrait avoir une origine surnaturelle, n’est-ce pas? Absolument. Croiriez-vous que c’est Jésus, après que je l’ai expliqué par la Bible? Croiriez-vous? Je crois que vous le feriez parce que vous êtes–vous êtes une Chrétienne. Évidemment, je vous vois porter des lunettes. C’est certainement votre âge qui a causé cela. Voyez?
    Et maintenant, je… Maintenant… Non, ce n’est pas pour vos yeux que vous désirez que l’on prie pour vous. C’est pour votre estomac. Vous avez une affection d’estomac. Et elle est descendue jusqu’aux intestins; elle se trouve aussi dans le côlon, vous avez des ennuis. Et puis, vous n’êtes pas de Chicago. Vous venez d’une autre grande ville. Et je vois beaucoup de voitures en circulation. C’est une usine de voitures, là où on fabrique… C’est Détroit. Vous venez de Détroit.
    Et je vois quelque chose passer comme un éclair, on dirait un–un homme se tient près de vous. Non, ce n’est pas ça; c’est un homme pour qui vous priez là. Et cet homme a une affection du cœur. Et je crois qu’il est sous… oxygène ou juste… sous une tente à oxygène, et il est aussi à Détroit. Je lui apporterai ce mouchoir et vous deux, soyez tous bien portants au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.

114    Ayez foi. Croyez-vous? Maintenant, maintenant, s’il vous plait, je sais qu’il se fait tard, mais donnez-moi juste… Je–je partirai dans trois ou quatre minutes, si–si vous vous tenez vraiment tranquilles. Ne vous déplacez pas. Voyez? Vous êtes un être humain et vous avez une âme. Je suis en contact avec cela maintenant même. Il n’y a pas… Chaque esprit, Je me suis soumis à Cela maintenant même. Quand vous–quand vous vous déplacez, Ça Le fait bouger. Voyez? Et Ça me fera sortir de la ligne.
    Ainsi donc, soyez vraiment révérencieux juste quelques minutes. Et jeunes gens, emmenez-moi dans quelques minutes, quand vous serez prêts. Très bien.

115    Je vois la Lumière suspendue au-dessus de… est… était-ce cette dame qui était tout à l’heure dans la ligne de prière? Juste ici? Non, c’est au-dessus de deux personnes. C’est au-dessus d’un homme et d’une femme. Ce sont ceux qui sont assis là, mari et femme. C’est–c’est l’hernie. Ils sont assis là. L’homme a une cravate de ton rouge, la dame, tous les deux, vous avez l’hernie. Vous êtes mari et femme, n’est-ce pas? Est-ce que… Croyez-vous de tout votre cœur que Jésus vous guérit? Mettez-vous debout et acceptez donc cela. Amen. Gloire au Seigneur Jésus. Ayez foi.
    Si Dieu peut guérir l’affection du cœur, Il fait tout ce qu’Il veut, si vous croyez cela. Croyez-vous cela? Croyez-vous que si je vous imposais les mains, Dieu vous guérira? Au Nom de Jésus-Christ, que cela quitte cette femme. Amen. Maintenant, allez en vous réjouissant. Ayez foi.
    Ce qui me dérange, c’est de voir que les gens n’arrivent pas à croire maintenant. Oh! si seulement vous connaissiez la vérité. Ayez la foi.

116    Bonsoir, dame. Nous sommes étrangers l’un à l’autre, n’est-ce pas? Nous ne nous sommes jamais rencontrés l’un l’autre auparavant. Dieu vous connaît et Il me connaît. Mais il y a quelque chose d’étrange en vous. Je ne sais pas ce que c’est. Cela s’est vite emparé de moi. Vous souffrez. Vous avez des maux de tête. Et vous avez un problème d’estomac. Et ce qui en est la cause, c’est que vous êtes nerveuse. Un tempérament nerveux, vous avez été nerveuse depuis que vous étiez une enfant. Vous avez été aussi myope. Vous verriez… Quand vous lisez votre livre, vous le tenez tout près de vous, parce que vous êtes myope. Et voici votre plus grand besoin, Sœur, vous avez besoin de Jésus comme votre Sauveur; vous êtes une pécheresse. Vous avez besoin d’être sauvée. Voulez-vous L’accepter maintenant? Vos péchés vous sont donc pardonnés. Allez et que la paix de Dieu soit sur vous; vous êtes aussi guérie.
    Dieu tout-puissant, je bénis cette jeune femme. Elle vient d’entrer dans Ta présence, Ta Gloire de la Shekinah. Et dans son cœur, elle a senti le Saint-Esprit quand Il est entré en action. Maintenant, chaque péché a quitté, la maladie est guérie, puisse-t-elle aller en paix. Amen. Sœur, vos péchés sont pardonnés. Vous êtes guérie de votre maladie. Maintenant, allez et servez Dieu de tout votre cœur.
    Disons: «Gloire à Dieu.» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu.»–N.D.É.]

117    Venez, madame. Croyez-vous, madame? Maintenant, je voudrais vous parler juste une minute. Ayez foi et croyez de tout votre cœur. Dieu fera infiniment et abondamment, si tu peux croire…
    Il y a une grande foi qui va dans cette direction-ci. Oh! oui. L’hypertension, vous qui êtes assis là au bout de la rangée. Croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir? Si tu peux croire… Si vous le croyez, Dieu le fera. Vous pouvez obtenir… Croyez-vous cela? Très bien. Vous deux, levez-vous et acceptez cela, et croyez-le de tout votre cœur et soyez guéris. Amen.
    Maintenant, je vous vois dans votre maison. Vous faites quelque chose autour d’une table. Vous êtes nerveux au sujet d’une chose. Je vous vois devenir très nerveux, vous devenez très faible. Vous vous sentez très faible. Vous allez vous asseoir un moment où vous faites votre… Je ne lis pas vos pensées. Non, c’est vrai. Mais je vous vois refuser certaines choses, c’est euh… Oh! vous avez un problème de l’estomac aussi. C’est la nervosité qui cause un ulcère à l’estomac. C’est vrai.
    Maintenant, allez-vous m’obéir en tant que prophète de Dieu? Allez prendre votre souper. Ne doutez plus. Vous pouvez avoir ce que vous demandez. Que Dieu vous bénisse.
    Disons: «Gloire à Dieu.» [L’assemblée dit: «Gloire à Dieu.»–N.D.É.]

118    Croyez-vous, Sœur? Croyez-vous que Jésus vous guérit? Vous avez beaucoup de choses qui ne marchent pas. L’affection du cœur, ça cause des bouffées de chaleur… Un cœur vraiment nerveux, votre cœur vous fait vraiment mal quand vous vous couchez, ça vous étouffe. Ce que c’est, c’est effectivement un gaz. Vous avez un cœur faible; la cause, c’est un cœur nerveux. Mais vous êtes… La nuit, quand vous vous couchez, vous vous éventez pour avoir de l’air. Ne L’aimez-vous pas maintenant même? Venez ici juste une minute.
    Père céleste, je Te prie au Nom de Jésus de guérir cette sœur ce soir pour Ta gloire. Amen. Que Dieu vous bénisse. Je prie au Nom de Jésus. Amen. Ayez foi. Croyez de tout votre cœur maintenant.
    Venez, madame. Pauvre petite femme… Sœur, il y a une ombre noire qui vous suit, c’est la mort. Vous avez un cancer. C’est juste. Mais Jésus est ici pour guérir cela. Croyez-vous cela? Ô Dieu. Satan, tu es exposé. Je te condamne. Au Nom de Jésus, sors de cette femme. Amen.
    Maintenant, madame, c’est au Nom de Jésus-Christ. N’ayez pas de doute; vous pouvez recevoir ce que vous demandez. Que Dieu vous bénisse. [La dame parle à Frère Branham–N.D.É.] Puisse le Seigneur Dieu vous l’accorder, ma sœur, et qu’Il vous donne une vie riche et royale. Amen. Ayez foi.

119    Venez, madame. Croyez-vous? Entre vous et moi, il y a une ombre qui apparaît, et d’elle coule le sang. Vous–vous avez le diabète. C’est exact. Jésus-Christ est plus efficace que toute l’insuline ou n’importe quoi que vous pourriez prendre. Croyez-vous cela? Venez ici. Ô Seigneur, aie pitié. Et je bénis cette femme et la guéris. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi. Amen. Allez et croyez maintenant de tout votre cœur.
    Sœur, Dieu peut guérir le mal de dos et l’affection de rein, et vous rétablir. Croyez-vous cela? Très bien. Allez donc et recevez cela. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
    Venez. Croyez-vous, madame? Eh bien, vous êtes sur le point de subir une opération pour qu’on vous débarrasse d’une tumeur. Mais la puissance de Dieu peut ôter cela maintenant même. Croyez-vous cela? Alors acceptez-le. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi. Amen.
    Disons: «Gloire au Seigneur.» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.»–N.D.É.]

120    Évidemment, on voit que vous boitez. Vous toussez beaucoup la nuit à cause de l’asthme et… C’est juste. Maintenant, recevez-Le simplement comme votre Guérisseur. Et partez de l’estrade en vous réjouissant, heureux et louant Dieu. Alléluia!
    Croyez-vous, Sœur, de tout votre cœur? Oh! vous avez beaucoup de choses qui ne vont pas. L’une d’elles, c’est un cœur nerveux, et l’autre, c’est que vous avez une affection de l’estomac qui vous dérange, une maladie de femme. C’est vrai, n’est-ce pas? C’est juste… ça coule à partir de là, c’est dû à un abcès sur l’ovaire. Mais Jésus vous guérit complètement. Votre foi vous guérit. Au Nom de Jésus. Alléluia! Ayez foi.
    Sœur, Dieu vous a guérie de l’affection du cœur pendant que vous étiez assise dans la chaise. Partez simplement de l’estrade en vous réjouissant et dites: «Gloire à Dieu.»

121    Venez madame. Alléluia! Maintenant, écoutez. Mon amie, c’est–ce n’est pas… Maintenant, soyez très respectueux. C’est… écoutez. Madame, je ne lis pas les… de ces gens. Ici, placez votre main sur moi, madame. Ici. Si Dieu me révèle ce qui ne va pas en vous, pendant que moi, je regarde l’auditoire ici en vision, vous allez… les gens voient donc que ce n’est pas de la télépathie mentale. C’est Jésus-Christ.
    La femme souffre de troubles nerveux. Si c’est vrai, madame, levez la main ici. Vous en souffriez. Vous êtes guérie maintenant. Je vois tout devenir Lumière autour de vous. Allez votre chemin en vous réjouissant donc, et soyez guérie.
    Mon frère, Jésus vous guérira de l’affection de rein et cela ne vous dérangera plus jamais, si vous croyez en Lui. Croyez-vous en Lui? Alors, allez en vous réjouissant au Nom de Jésus-Christ.
    Disons: «Gloire au Seigneur.» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.»–N.D.É.] Croyez-vous?

122    La dame, ici, ne me regardez pas, placez simplement votre main ici et dites: «Je…» Juste un point de contact. Croyez-vous de tout votre cœur? Maintenant, laissez… attends une vision. Si Dieu me révèle votre problème, accepterez-vous cela? Croyez-vous cela? Est-ce que l’auditoire croira cela? [L’assemblée dit: «Amen»–N.D.É.]
    La dame souffre d’une maladie de femme, une maladie de femme. Si c’est vrai, levez la main, madame. Vous êtes guérie maintenant. Allez votre chemin en vous réjouissant. Votre foi vous a sauvée. Disons: «Gloire au Seigneur.» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur.»]
    Une condition nerveuse, mais Jésus-Christ vous guérit, et aussi pour votre ami, dans le grand et puissant Nom de Dieu. Amen.

123    Croyez-vous? Êtes-vous prêts pour recevoir votre guérison? Imposez-vous les mains les uns aux autres pendant que vous êtes assis là, juste une minute. Oh! regardez dans cet auditoire. Mes frères, mes frères, j’aurais souhaité que vous puissiez–j’aurais souhaité pouvoir expliquer ce dont je parle. Regardez tout simplement là. Votre guérison est en train de s’opérer, frères. Ça se transforme en Lumière tout autour de vous. Je ne pourrais pas vous appeler, s’il me fallait le faire.
    Ô Dieu, au Nom de Jésus, que tout doute quitte chaque personne. Guéris les gens, Père. Je condamne le diable qui a retenu ces gens. Satan, tu ne peux plus les retenir plus longtemps. Tu es exposé. Sors d’eux. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi.
    Et que les gens rendent une très grande gloire à Dieu. Sortez de vos fauteuils roulants; levez-vous de vos civières. Vous êtes guéris au Nom de Jésus-Christ.

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