Comment communier
1 Chantons maintenant:
Tout est possible, crois seulement;
Crois seulement, crois seulement.
Tout est possible, crois seulement.
Inclinons la tête juste un instant pour la prière.
Notre Père céleste, qu'à Toi reviennent toute la
louange et la gloire pour Ton amour et Ta grâce rédempteurs, car Tu as
quitté les portails du Ciel pour venir sur la terre nous racheter, nous
les indignes, et nous introduire dans cette merveilleuse communion, les
uns avec les autres et avec le… pendant que le Sang de Jésus, Ton Fils,
nous purifie de toute iniquité. Nous Te remercions pour tout ce que Tu
as fait pour nous.
Et nous Te prions maintenant, de nous accorder ce
soir, d'atteindre le point culminant dans ce service. Puisse ceci être
la soirée où, une fois de plus, je ne verrai personne quitter le
bâtiment étant faible, sans être complètement rétabli. Sauve chaque
pécheur, ô Dieu, accorde-le. Nous nous recommandons à Toi, au Nom de
Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2 Ce sont des gens comme vous qui rendent ce monde un
lieu où il fait beau vivre, et qui rendent cela si pénible quand nous
pensons qu'un jour nous aurons à le quitter et nous séparer pour un
petit instant. Et alors, la pensée glorieuse, au-delà de cela, c'est de
savoir que nous serons encore ensemble, alors pour toujours, là où il
n'y aura plus de séparation.
Ceci a vraiment été, comme toute réunion que j'ai
toujours eue à Chicago, un moment exaltant pour moi de rencontrer le
peuple de Dieu, d'avoir communion, et de voir notre Seigneur Jésus
guérir les malades, et ç'a vraiment été un temps merveilleux. Je
voudrais remercier les prédicateurs, et surtout frère Joseph ici
présent, qui est un ami intime. Et j'ai appris à aimer frère Joseph de
tout mon cœur. Et je pense qu'il le sait, lui aussi m'aime, et c'est la
raison pour laquelle il m'a invité à Chicago. Et je le remercie, lui et
vous tous, de tout mon cœur, pour cette merveilleuse invitation.
3 Il est vrai que j'envisage d'effectuer un voyage
très bientôt. Je voudrais remercier cette… je pense que c'était un
homme ou une femme; je pense que c'était une femme, aujourd'hui, qui,
je ne sais pas si elle y avait pensé avant ou je ne sais quoi; elle m'a
envoyé une lettre, elle est propriétaire d'une concession là dans le
Colorado, elle voulait me la céder. C'est très gentil de votre part, ma
sœur, si vous êtes ici ce soir.
Et Billy est venu, il m'a donné de petits cadeaux
qui provenaient de chacun de vous, même des boîtes de petites galettes
sèches. Nous apprécions ça. Joseph est trop petit pour ça, mais Sara et
Becky en raffolent; alors, elles vont certainement apprécier ça, chaque
petite chose, chaque petit signe.
L'autre jour, un homme a donné à mon fils un fusil.
Maintenant, souvent je… Vous savez combien j'aime chasser. Et non
seulement j'aime chasser, mais j'aime bien être dehors dans les bois;
et je–j'aime vraiment ça. Les fusils ainsi que les choses que les gens
m'ont donnés, je n'accepterais rien en échange de cela, il n'y a rien
qui puisse les acheter.
4 Or, si je m'en achète un moi-même, et que quelqu'un
vienne me dire: «Frère Branham, j'aime ça, je souhaiterais en avoir
un.» Je lui dirai: «Allez-y, prenez-le.» Mais si c'est quelqu'un
d'autre qui me l'a donné, rien ne pourrait me l'enlever. Il vous faudra
attendre mon départ pour l'avoir, c'est le seul moyen de l'avoir; car
j'apprécie tout, peu importe ce que c'est.
Et de petites choses que l'on estimerait
insignifiantes, peut-être que certaines personnes pensent qu'on
pourrait les jeter, juste de petites vieilles breloques et autres, de
petites coquilles de moule d'Afrique, ou quelque chose comme cela. Je
conserve tout ça. Je me souviens aussi de ça, car ça vient de
quelqu'un.
Gypsy Smith, je pense que c'était lui, a dit une
fois que la plus grande offrande qu’il n’ait jamais eue, en dehors du
salut… Il a dit: «Un soir, il allait recevoir une offrande d'amour
prélevée de ça, pour lui.» Je pense, soit dit en passant, c'est la
raison pour laquelle il a été exclu de l'Armée du Salut, c'était à
cause du prélèvement d'une–une offrande, ou quelque chose comme ça…
Non, c'était à cause de quelque chose que quelqu'un lui avait donné,
une montre ou quelque chose comme ça. Je pense que l'on n'est pas censé
faire cela dans l'Armée du Salut.
5 Mais il a dit que tous voulaient… lui avaient donné
une offrande d'amour. Et c'était du fond de leur cœur qu'ils avaient
fait ça. Beaucoup de ces gens sont dans la Gloire ce soir, et ayant
leur récompense pour avoir aidé ce merveilleux homme de Dieu. Et il a
dit une chose frappante: quand il était sur le point de quitter
l'assistance ce soir-là, il y avait derrière les rideaux une petite
fille en lambeaux, et elle avait un petit cadeau enveloppé dans sa
main. Et elle a dit: «Prenez, Mr. Smith, a-t-elle dit, c'est tout
ce que j'ai, mais ceci est mon offrande d'amour pour vous.» Et quand il
est sorti et qu'il a déballé cela, c'était une sucette, c'était un peu
léché. Mais elle avait pensé qu'elle… C'était tout ce qu'elle avait à
donner.
6 Il racontait comment il–comment cela l'avait ému.
C'est vrai, c'est tout ce qu'elle avait. Vous savez, Celui qui avait vu
la veuve faire une offrande de deux petites pièces de monnaie en ce
temps-là, Il a vu cette sucette. Ne croyez-vous pas cela? Il l'a
certainement vue, Il voit tout. Peu importe combien c'est insignifiant,
Jésus a dit: «Ne vend-on pas deux passereaux–deux passereaux pour un
sou», et un sou, c'est le quart d'un penny. Deux passereaux pour
un sou, le quart d'un penny achète deux passereaux. Comme c'est
insignifiant! Et Il a dit: «Aucun d'eux… aucun d'eux… Pas un seul
passereau ne peut même pas tomber sans que votre Père le sache.» Il
sait tout, n'est-ce pas? Alors, n'est-il donc pas merveilleux d'exposer
tout simplement nos cœurs juste devant Lui?
Et je voudrais remercier chacun de vous de votre
coopération, vous les pasteurs. Et si votre pasteur n'est pas ici, et
qu'il ait parlé de la série de réunions et de n'importe quoi,
exprimez-lui mes sentiments d'amour et d'appréciation, en toute
sincérité. Et ma prière pour lui est que votre église soit–devienne un
grand phare spirituel et qu'un grand réveil éclate dans votre église,
chacun de vous. Peu m'importe l'église dont vous êtes membre, ça n'a
aucune importance pour moi, et je suis sûr que ça n'en a pas non plus
pour Dieu. Juste… C'est vous qu'Il cherche, c'est vous.
7 Et tout à l'heure, quand frère Joseph a dit qu'on
avait prélevé une offrande d'amour pour moi, pour ces soirées que j'ai
passées ici… J'apprécie vraiment ça, et peut-être que les frères sont
en train de compter cela maintenant. Et après le service, avant que je
parte, ils vont peut-être me remettre un chèque, à la place. Et je vous
remercie. J'aurais souhaité ne pas prendre ça, mais je suis outre-mer,
j'ai été outre-mer plusieurs fois donc, et je n'ai pas un fonds. Et je
suis tout simplement obligé de tenir une réunion ici en Amérique de
temps en temps. Je dépense environ cent dollars par jour pour le bureau
et tout, où que je me trouve. Et je m'enfonce très, très, très, très
bas dans des dettes. Ensuite, je vais tenir quelques réunions, on me
donne des offrandes d'amour et je suis presque relevé. Puis, quelqu'un
vient là, il veut me parrainer outre-mer, je m'en vais prêcher
l'Évangile.
8 Et les deux dernières fois, ç'a été les Hommes
d'Affaires Chrétiens et les autres, ils m'ont envoyé là où je n'avais
pas à recevoir un sou. Ils ne peuvent pas me donner de l'argent, car ce
serait un don à moi, mais ils peuvent me payer le voyage. Et j'en suis
très reconnaissant. Et quelqu'un m'a offert l'autre jour. Ils veulent
m'envoyer là outre-mer, en Palestine, aussitôt que le Seigneur me
conduirait à y aller. Et c'est vraiment bien, j'en suis donc
reconnaissant; et de tout, je suis reconnaissant. Et par dessus tout,
je suis reconnaissant de Jésus-Christ qui rend cela possible pour, pour
que nous puissions nous rassembler.
Frère Joseph parlait de mon foyer, de ma femme. S'il
y a un mérite à attribuer à un Branham, attribuez-le à ma femme. C'est
vrai. C'est elle qui en est digne. Elle a trente-six ans, ses cheveux
sont complètement blancs. Encore une jeune fille, elle ne savait pas ce
que c'est que se reposer. Et nous connaissons des temps difficiles dans
notre pays, c'est ma ville natale. Pardonnez-moi [Frère Branham
tousse–N.D.É.]. C'est là que je suis né, ou plutôt que j'ai été élevé.
Elle a essayé cette semaine de trouver, pour n'importe quel salaire
qu'elle pouvait payer, quelqu'un qui accepterait de venir s'occuper de
Joseph pendant qu'elle venait ici passer ces quelques dernières soirées
avec nous. J'ai offert aux femmes jusqu'à 35 et 40 dollars par semaine,
comme salaire, si elles acceptaient de venir et de ne prendre soin que
des enfants; nous n'en trouvons aucune. Ce n'est pas depuis une semaine
ou deux, c'est depuis deux ou trois ans.
9 Et alors, apparemment, c'est comme si le
Saint-Esprit m'éloigne de Jeffersonville. J'attends donc l'endroit où
Il veut que j'aille. Et Chicago me va très bien, s'Il m'envoie de ce
côté-ci, ou n'importe où, j'irai. Alors, je suis tout simplement en
prière, et priez pour moi, afin que je prenne la bonne décision. Mais
je ne peux guère rester plus longtemps, et on dirait qu'il y a d'autres
choses aussi. Il n'y a rien, personne n'est contre moi, à ce que je
sache. Si c'était le cas, je serais certainement au seuil de sa porte
le matin, cherchant à savoir ce qu'il en est. Mais c'est le
Saint-Esprit. Vous vous souvenez de Jacob, les choses commençaient à
mal tourner, voyez, et il avait un ardent désir, et–et tout avait pris
une autre tournure, alors il lui fallait tout simplement s'en aller,
alors… retourner dans sa patrie. Ainsi, partout où le Saint-Esprit
conduira, c'est en ordre.
10 Eh bien, c'est maintenant le temps de prendre mes
vacances, avant que ce grand combat ait lieu l'année prochaine. C'est à
cette période que les Hommes d'Affaires Chrétiens, cette année tout
comme ils l'ont fait l'année passée, supportent pour moi un petit
voyage, un voyage dont je ne saurais supporter moi-même le coût. C'est
là à la Rivière Salmon, à la Rivière de non retour. Vous naviguez avec
un radeau pendant dix jours, là sur des vagues qui descendent jusqu'à
trente pieds [9 mètres–N.D.T.], un voyage très difficile, mais on se
retrouve au pays de Dieu. Et j'aime ça.
Et j'ai… Maintenant je quitte… Je passe quatre
heures à la maison cette fois-ci avant de partir pour un mois. Et je
vais là à cette Rivière de non retour, le bon Dieu voulant; et là,
j'amène mon fusil un matin, parfois avant l'aube, et je vais loin dans
la montagne, seul; je dépose mon fusil, je m'assieds au sommet d'une
montagne, d'où je peux avoir une bonne vue, et là, je parle à Dieu le
reste de la journée. Parfois, je passe deux jours, peut-être plus,
juste là sous un arbre, ou peu importe où je suis, ou sur un rocher. Il
ne s'agit pas tellement de la chasse, il s'agit de se retrouver seul
avec Dieu. Je prierai pour vous [L'assemblée dit: «Amen.»–N.D.É.]. Que
Dieu vous bénisse. Puisse Son… Lui qui fait briller la lune, qui fait
briller les étoiles quand il fait sombre, afin de nous permettre de
marcher, puisse-t-Il être avec vous dès maintenant jusqu'à ce que nous
nous rencontrions de nouveau. Que Dieu vous bénisse tous.
11 Et je désire maintenant ouvrir les Écritures ici
pour lire un–un court passage. Et si j'ai omis quelque chose… Oh! une
seule chose: ce brave homme ici, le concierge, un très brave monsieur.
Il m'a reconnu et il a été très gentil envers moi, et je l'apprécie de
tout mon cœur. Et il m'accueillait vraiment très bien.
Et le comité de l'école secondaire Lane Tech, qui
nous a permis de venir ici, que Dieu les bénisse. Puisse cette école
produire le meilleur que n'importe quelle école peut produire, sur
place en Amérique, c'est ma prière. Que Dieu soit avec eux; ils ont
ouvert leurs portes à ces choses. Si jamais vous avez un programme, et
que je sois capable de vous venir en aide, je le ferai sans doute; si
certains responsables m'entendent, je ferai tout mon possible pour vous
aider, car je sais que vous serez bénis; vous avez ouvert les portes à
l'Évangile. Merci beaucoup.
12 Et puis, j'ai un petit groupe d'amis que l'on ne
voit pas, qui sont assis ici ce soir. J'aurais bien voulu les appeler
tous par leurs noms, je ne le peux pas. Mais ils me supportent
certainement par leur prière et tout, ils sont assis ici dans la fosse
d'orchestre. Je ne sais pas, peut-être qu'il y a un musicien là aussi.
Je ne pense pas que ces gens-là soient des musiciens; je pense qu'ils
sont ici… Si vous jetez juste un regard à votre pasteur, par-dessus,
ici, vous saurez… Ce sont des spécialistes en enregistrement, ils vont
là et enregistrent ces messages. Et ainsi, je connais frère Beeler, et
je connais l'homme qui est assis à côté de lui. Je ne me souviens pas
de son nom, c'est un missionnaire auprès des Juifs ou des Arabes, l'un
ou l'autre.
13 Et, évidemment, Leo et Gene qui sont assis ici,
mes collaborateurs dans l'Évangile. Et frère Alment, et l'autre frère
ici, il roule jusqu'à mon tabernacle chaque jour. Il savait que je
serai ici, et je ne… Quel est ton nom, Frère? Smith. Est-ce vrai?
Smith. Et il vient de loin, de là aux alentours de Hammond ou Gary, ou
quelque part là, à bord d'une vieille petite voiture, et je… Quelqu'un
a regardé l'autre jour dans une voiture toute neuve, et il a effectué
avec ça environ quatre-vingt mille miles et quelques [129 km–N.D.T.].
Et la plus grande partie du parcours, c'est entre ici et
Jeffersonville, faisant des allers et retours en voiture.
Et je connais ce frère de visage, mais son nom
m'échappe. Et la plupart d'entre vous, je vous connais de visage, mais
je ne peux tout simplement pas me rappeler vos noms. J'ai aussi des
amis de couleur qui sont assis ici ce soir, par ici, des nouveaux, en
train de faire l'enregistrement ici. Que le Seigneur vous bénisse tous.
Merci, Frère Joseph. Je suis un peu enroué. Merci.
14 Eh bien, nous L'aimons de tout notre cœur; alors,
ce soir nous allons apporter une petite leçon sur les Écritures, et
ensuite, je voudrais essayer d'avoir–d'être–de faire passer la ligne de
prière, et – comme demain c'est lundi, et vous devez aller au travail,
vous devez prendre les trains. Je vous ai gardés jusque tard chaque
soir, pardonnez-moi pour cela, je vous prie. Et bien des fois, je
deviens très enthousiasmé quand je commence. Pourrais-je appeler ça
prêcher? De toutes les façons, quand je passe un bon moment, eh bien,
je deviens alors tellement enthousiasmé que je perds toute notion de
temps et tout. Ainsi, vous avez été très gentils, en restant avec moi,
et ça m'amène à vous aimer de tout mon cœur.
Maintenant, je voudrais lire quelques Paroles dans
la Bible de Dieu, dans I Jean, chapitre 1, de verset 5 à 7. Et je pense
que nous lirons juste le verset 7 et ça sera bref comme ça. Lisez tout
le chapitre quand vous rentrerez chez vous, si vous le pouvez.
Si nous marchons dans la lumière, comme Il est dans
la lumière, nous avons communion les uns avec les autres, et le sang de
Jésus-Christ, son Fils, nous purifie de tout péché.
N'est-ce pas merveilleux? Demandons-Lui de bénir la
lecture de Sa Parole maintenant.
15 Père céleste, bénis Ta Parole ce soir et qu'Elle
puisse aller dans chaque cœur, y trouver une demeure et ne plus jamais
quitter. Accorde-le, Seigneur. Et maintenant, circoncis les lèvres de
l'indigne personne qui doit parler. Et circoncis toutes les oreilles de
ces gens qui doivent entendre. Et tire gloire de ce service, car nous
le demandons au Nom de Jésus, Ton aimable Fils. Amen.
Maintenant, je voudrais vous parler pendant juste un
instant ce soir, étant donné qu'on a eu une très merveilleuse semaine,
sur comment avoir communion. Eh bien, nous savons que… J'allais
continuer mon service ce soir, les enfants d'Israël de l'autre côté,
dans la patrie, Josué les faisant traverser, là où nous nous étions
arrêtés hier soir, quand il traversait la mer Rouge. Mais je n'aurais
pas le temps avec cette ligne de prière, pour vous permettre d'attraper
les trains et autres, et regagner la maison pour aller au travail le
matin.
16 Maintenant, ça sera bref, nous pouvons vous parler
juste brièvement là-dessus. Mais, ô comme tout le monde désire avoir
communion. Je n'ai jamais vu quelqu'un, jusqu'à présent qui ne désirait
pas avoir communion, quelqu'un qui est–était–est normal, mentalement
équilibré. Eh bien, peut-être que vous voudriez faire un choix pour
votre communion, évidemment, cela est vrai pour chacun de nous. C'est
la raison pour laquelle ce soir, toutes ces braves personnes se sont
entassées ici dans ce bâtiment, où elles se tiennent, c'est parce
qu'elles aiment ce genre de communion. Elles aiment la communion
chrétienne. Et c'est pourquoi nous sommes venus ce soir, pour communier
autour de la Parole.
J'aime la Parole, pas vous? Et savez-vous pourquoi
vous aimez la Parole? C'est parce que vous avez le Saint-Esprit en
vous. En effet, la Bible dit que l'homme ne vit pas de pain seulement,
mais de chaque Parole qui sort de la bouche de Dieu. Ainsi, le
Saint-Esprit se nourrit de la Parole. Et alors, quand vous entendez la
Parole… Tout le monde aime L'entendre, peu importe… Chaque petite
documentation que l'on peut trouver, on–on lit ça. Et on suit la radio,
et on va à l'église et tout le reste, car on désire ardemment avoir
cette communion autour de la Parole.
17 Et que Dieu nous aide ce soir à comprendre comment
nous pouvons avoir une parfaite communion. D'où que surviennent les
orages, que vous ayez tort ou raison, vous pouvez toujours avoir
communion. Et l'unique façon pour vous d'avoir communion, c'est quand
votre amour est rendu parfait. Ne m'oubliez jamais. Si je ne revois
plus certains d'entre vous, rappelez-vous ceci, que mon thème
c'est l'amour couvre tout. Je crois à l'amour rédempteur du
Seigneur Jésus. J'aime ce cantique:
Depuis que, par la foi, j'ai vu le flot
Que Tes blessures saignantes alimentent,
L'amour rédempteur a été mon thème,
Et il le sera jusqu'à ma mort.
18 Je préférerais avoir une église… Écoutez, juste un
instant. Je préférerais avoir une église qui ne sait rien au sujet d'un
quelconque don spirituel, et qui est vraiment pleine d'amour, les uns
pour les autres et pour Christ; je préférerais avoir cela plutôt que
d'avoir chaque don spirituel opérant dans l'église. Maintenant, cela
peut sembler trop fort dans un groupe pentecôtiste, mais je préférerais
plutôt cela. Là où il y a des dons, ils failliront. Là où il y a des
dons, ils causeront de la confusion. Là où il y a des dons, ils peuvent
être remis en question. Mais là où il y a l'amour, c'est parfait. C'est
vrai. Et si vous aviez l'amour parfait, vous auriez des dons parfaits.
C'est vrai. Alors, travaillez d'abord avec amour. Cela amène la
communion, et la communion amène les dons.
Maintenant, la raison… Qu'est-ce qui fait que les
gens aiment parfois différentes choses, ils aiment la communion? C'est
parce que, d'abord, l'homme a été créé pour communier. Eh bien,
pensez-y bien ce soir… Malgré mon ardent désir d'aller chasser et faire
la pêche en plein air, mon cœur a plutôt plus soif d'aller au sommet de
cette montagne et de parler à Dieu que n'importe quoi que je sache.
Voyez, je–je voudrais me retrouver seul; je voudrais me rassurer qu'il
n'y a personne dans un rayon de cent miles autour de moi. Et j'aime les
gens, mais le seul moyen pour moi de leur rendre service, c'est de
recevoir d'abord le Message venant de Dieu.
19 Et je sais cette seule chose, et ma foi me le
rassure, c'est que chaque personne qui est née de nouveau, à qui j'ai
prêché, j'aurai une éternité pour communier avec elle. Mais nous
voudrions en faire sortir plus de ténèbres. Il y a nos pauvres frères
et sœurs perdus ici ce soir dans des bars. Et je suis passé par le
quartier de clochards hier soir, comme mon fils et les autres voulaient
voir ça, et voir ces pauvres gens là-bas, en train de boire, et ils
pensent qu'ils ne–ils ne savent pas ce dont ils ont vraiment besoin.
J'ai pensé: «Si seulement ils connaissaient mon Jésus, ils ne se
retrouveraient certainement pas là.» Voyez? Et c'est l'unique chose qui
peut les sauver de ce chaos où ils se trouvent; il n'y a pas de
médicament ni rien. Un alcoolique est un échec total et radical,
dépourvu de tout secours, en dehors de Jésus-Christ. C'est vrai. Il n'y
a pas de médicament. J'ai été à Bowery. J'ai été à Pigalle en France,
dans des quartiers les plus vils que je pouvais trouver, parlant,
priant et tout l reste. Et le seul espoir pour ces gens, c'est le Sang
de Jésus-Christ, c'est l'unique chose, le seul espoir.
20 Maintenant, qu'est-ce qui amène les hommes à
désirer la communion? C'est parce qu'il a été créé ainsi, il a été créé
pour avoir communion. Qu'est-ce que la communion? J'ai quatre jours de
déplacement par véhicule à partir de demain. J'ai quatre jours de
déplacement par véhicule sur une distance d'environ deux mille cinq
cents miles [4,022 km–N.D.T.]. Et je dois les parcourir seul à bord
d'une vieille petite camionnette. Et quelqu'un, un ami à moi, va venir
là, il vient de laisser un mot cet après-midi, qu'il va parcourir tout
le chemin, là, avec moi par véhicule et retourner seul par bus de
greyhound [Greyhound, nom d'une compagnie de transport en Amérique du
Nord; greyhound signifie lévrier] juste communier. N'est-ce pas
merveilleux? Vous savez, j'apprécie de tels amis. Que Dieu bénisse son
petit cœur suisse. Je l'aime. Il veut rouler juste pour être en ma
compagnie, quatre jours à travers les montagnes, et les prairies,
là-bas, juste pour communier. Nous nous aimons beaucoup, comme de
précieux frères bien-aimés. Et puis, il a tout le chemin retour à
parcourir jusqu'à Shawano, dans le Wisconsin, par bus ou par un autre
moyen, juste pour retourner. Oh! cela fait bondir mon cœur. Et alors,
Dieu a tellement désiré communier avec Ses enfants qu'Il a parcouru
tout le trajet depuis la Gloire et Il est mort pour communier avec
nous. N'est-ce pas merveilleux? C'est si merveilleux de penser…
21 Eh bien, au commencement l'homme avait communion.
D'abord, nous savons que si on peut communier avec Dieu, alors ne vous
en faites pas, Dieu prendra soin du reste. La chose principale dont je
voudrais parler… j'ai subdivisé cela en quatre parties ici: comment
communier avec Dieu, la communion les uns avec les autres, et ainsi de
suite; mais nous voudrions parler seulement d'une seule phase de cela,
c'est la communion avec Dieu. Et maintenant, je vais surveiller cette
horloge, là, pour me rassurer que je commencerai la ligne de prière à
temps.
Mais la communion avec Dieu est ce que… La première
et l'originelle communion que les êtres humains ont eue, c'était avec
Dieu. Il n'y avait même pas une autre–une autre créature vivante sur la
terre avec laquelle il pouvait communier (Adam), à part Dieu. Ensuite,
Dieu a fait pour lui une aide, une femme, qui est une partie de lui.
22 Et pouvez-vous vous représenter les soirs, après
le coucher du soleil, il allait se coucher, là, se couchant là loin à
l'ouest, et ces rayons de lumière descendant au travers de ces grands
arbres aux feuilles toujours vertes, c'était la grande cathédrale de
Dieu, et on entend un mugissement de ces coups de vent à travers les
sommets des arbres, Adam et Ève étaient assis là dans le jardin, dans
la grande cathédrale de Dieu en train de communier avec Dieu. Tout le
monde désire faire ça. Chaque chrétien éprouve un ardent désir de
communier, n'est-ce pas vrai?
J'ai lu des histoires des hommes qui ont passé toute
leur vie, presque, à gravir très haut dans les collines, à descendre au
bord du lac, rien que pour trouver un lieu de communion. Mais après
tout, il ne vous faut aller nulle part ailleurs, si ce n'est au
Calvaire; c'est la seule voie. Il y a une voie, il n'y a qu'une seule
voie que vous pouvez emprunter pour communier.
23 Et remarquez, alors pas une voie… Ce n'est pas
seulement dans cet âge, ç'a été dans tous les âges. Pensez tout
simplement à Job, loin… le plus vieux Livre de la Bible, il désirait
ardemment avoir communion. Il savait qu'il y avait un Créateur. Et il
croyait en Lui de tout son cœur. Et il a dit, à la manière des enfants:
«Oh! si seulement je pouvais aller auprès de Lui! Si seulement je
savais où Il habite, je m'y rendrais et frapperais à Sa porte et Lui
parlerais juste un petit instant.» N'aimerions-nous pas tous faire ça?
Mais pensez-y, Il est plus proche de vous que ne
l'est Sa porte. Sa porte, c'est votre cœur. Et Il est si proche ce
soir, Il est plus proche de vous donc que ne l'est votre bras. Il est
une partie de vous. Et si seulement nous pouvons nous rendre compte
qu'Il est ici, et combien Il aime communier avec nous… Son cœur est
beaucoup plus disposé à communier que les nôtres. Et la raison pour
laquelle Il nous a créés ainsi, c'est parce que nous sommes Sa
progéniture. C'est ce qui nous fait ardemment avoir communion.
24 C'est ce qui amène une mère à mourir pour son
enfant. Pourquoi? C'est ce qui amène un père à donner sa vie pour sa
femme. Un mari, un vrai mari donnerait sa vie pour sa femme. Pourquoi?
Car Christ a donné Sa Vie pour l'Église, Sa Femme. C'est une contrainte
en vous. Cela pousserait une mère à se jeter précipitamment dans un feu
brûlant, sans penser à elle-même, avec les cheveux en feu, et ses
habits en feu, pour s'emparer de son enfant et sortir en courant avec
lui. Pourquoi? C'est l'amour d'un parent. Et Dieu est le premier et
originel Parent. Et c'est par là que vient cette contrainte, du fait
que la femme a donné naissance à l'enfant.
Et c'est la raison pour laquelle Dieu est descendu,
Il a été manifesté dans la chair, Il est entré dans les flammes mêmes
et la souffrance la plus accablante, c'est afin qu'Il puisse nous
ramener à la communion avec Lui, sans faire cas de Lui-même. «Non pas
Ma volonté, mais que Ta volonté soit faite.» Oh! comme c'est
merveilleux, la communion que nous avons les uns avec les autres et
avec Dieu!
25 Maintenant, Dieu voulait cette communion. Alors,
qu'est-ce qui a causé la séparation? Qu'est-ce qui empêche l'homme
d'avoir un entretien direct comme le faisait Adam? J'ai souvent pensé
qu'Adam là, dans le jardin d'Eden, ne connaissant pas le péché, ni Ève
sa femme non plus, elle était belle, elle se tenait dans le jardin… Et
alors Leo, le lion, pouvait s'approcher et le tigre vient par ici, la
grosse bête des–des champs venait entrer dans cette cathédrale,
s'agenouiller, et ils… Même–même les bêtes ne s'entre-tuaient pas, ils…
il n'y avait pas de mort, nulle part.
C'est le diable qui pousse les bêtes sauvages à
chercher à vous faire du mal. Et si vous pouvez produire dans votre
cœur la bonne sorte d'amour envers l'animal le plus horrible qui existe
dans les bois ou au désert, cet animal ne vous fera pas de mal. C'est
vrai. Je le sais par expérience. Mais vous ne pouvez pas faire semblant
là-dessus. Il sait si vous le faites réellement ou pas. Il y a quelque
chose en lui qui le lui fait savoir. Mais si vous n'avez vraiment pas
peur, je n'ai jamais vu quelque chose qui puisse vous nuire, que ce
soit un lion, quoi que ce soit, il va s'éloigner de vous. Mais si vous
courez, ou si vous agissez comme si vous avez peur ou quelque chose
comme ça, alors vous serez tué. Ainsi, vous ne pouvez tout simplement
pas faire semblant là-dessus, vous devez vraiment en être sûr dans
votre cœur, que vous n'avez pas peur.
26 C'est ça le problème de l'homme aujourd'hui; c'est
ça le problème des gens aujourd'hui, vous avez peur. C'est la plus
grande malédiction qui existe parmi les gens du plein Évangile, ou
parmi n'importe quel autre peuple, c'est parce qu'ils ont peur. Dieu a
pourvu, mais vous avez peur de prendre Sa Parole pour ça. Si vous
étiez- si vous n'aviez pas peur ce soir, eh bien, vous recevriez votre
guérison par la foi, et vous sauriez que Dieu a promis cela, et la
chose vous quitterait du coup. Effrayés, ayant peur… Et j'ai remarqué
ça. Et c'est la raison pour laquelle je suis un fervent croyant à la
guérison. Je sais que si vous pouvez vous débarrasser de cette peur-là,
et avoir de l'amour à la place, quelque chose va arriver.
Et il n'y a que deux facultés qui dirigent un homme,
et l'une, c'est–c'est la foi, qui produit les résultats; et l'autre,
c'est la peur qui n'a aucune vertu du tout. La foi vient de Dieu. La
peur vient du diable. La peur vous abat; la peur vous amène à vous
poser des questions. Et si j'allais mourir le matin, à quoi me
servirait-il d'être tout agité à ce sujet? Qu'adviendrait-il si
j'allais être tué sur la chaise électrique le matin, et que ma vie
allait prendre fin demain matin, à quoi me servirait-il de m'inquiéter
à ce sujet?
27 «Eh bien, diriez-vous, à quoi servirait-il d'avoir
la foi?» La foi peut obtenir la signature de ma grâce, certainement; il
y a de la vertu dans la foi. Ne soyez pas abattu; n'ayez pas peur; ne
soyez pas inquiet; ayez tout simplement foi et croyez. Et le seul moyen
pour vous d'avoir foi, c'est d'avoir premièrement de l'amour, car
l'amour produit la foi. Car l'amour parfait (saisissez ça), l'amour
parfait bannit toute peur.
J'aurais bien voulu avoir le temps de vous raconter
les expériences que j'ai eues avec les animaux sauvages, ceux que j'ai
vu être domptés par la foi, par l'amour. Je vous ai raconté l'autre
soir l'histoire de la vieille mère opossum qui avait été envoyée. J'ai
vu un taureau violent un jour, qui allait me tuer. Ceci est enregistré;
j'étais un garde-chasse à l'époque, j'allais de l'autre côté de la
colline prier pour un homme malade. Et nous étions censés porter un
fusil, mais vous ne pourriez pas aller prier pour un malade avec un
fusil en main. Ainsi, j'avais pris mon fusil et l'avais déposé dans une
vieille camionnette, et j'ai traversé le champ. Et j'étais très avancé
dans le champ et je savais… J'avais un. Je devrais avoir la présence
d'esprit que ce taureau meurtrier était là, il venait de tuer un homme
de couleur dans une ferme, monsieur Burks, il y avait environ trois
mois de cela; et on l'avait vendu là aux gens qui avaient ce bétail
Durham.
28 Et alors, quand je me suis engagé dans le champ,
juste là dans un grand champ en plein air, et à pas plus de trente
yards [27 m environ–N.D.T], environ, de moi, ce gros animal se leva,
projeta ses cornes vers le bas et poussa un grand beuglement, si vous
connaissez de quoi je parle. Il était là, avec des cornes à peu près
comme ceci, et il a foncé.
Dans un premier temps, cela m'a fait peur. Je–j'ai
cherché un arbre, et il n'y avait pas d'arbre. Et je sais qu'il pouvait
courir plus vite que moi vers la clôture. Je me suis donc dit : «Eh
bien, ça y est.» Et alors, quelque chose s'est passée. Ô Dieu, si
seulement cela pouvait rester là plutôt que de partir. Quelque chose
s'est passée. Je–je souhaite que Dieu laisse cela arriver à tout un
chacun qui est ici ce soir pendant assez longtemps pour qu'il soit
guéri. Voyez?
29 Quelque chose s'est passé de sorte que je n'avais
plus peur de ce taureau. J'ai éprouvé du regret pour l'avoir dérangé;
je me trouvais dans son domaine. Il était couché là sans me déranger.
Je suis venu et je l'ai réveillé. Et alors, j'étais désolé pour lui.
Maintenant, vous ne pouvez pas faire semblant là-dessus; ça doit être
là. C'est ainsi qu'il en est de la foi; vous ne pouvez pas tromper;
vous devez réellement avoir cela. Le diable le saura.
Et cet animal fonça sur moi, la tête baissée, de
toutes ses forces. Je n'ai plus eu peur de ce taureau, pas plus que je
n'en aurais de l'un de mes bien-aimés frères et sœurs qui se tiennent
sur cette estrade. Et il a foncé jusqu'à environ cinq pieds [1,52
m–N.D.T.] de moi et il s'est arrêté, il m'a regardé, étant très épuisé;
il a regardé à gauche et à droite. J'ai dit: «Mon ami, je suis désolé
de t'avoir dérangé.» J'ai dit: «Eh bien, tu es une créature de Dieu, et
je suis serviteur de Dieu. Or, le Créateur qui t'a créé est le même qui
m'a créé, et je suis Son serviteur, je suis en route vers l'autre côté
de la colline afin de prier pour l'un de Ses enfants qui est malade. Si
je savais que tu étais couché là, je ne serais pas passé par ici pour
te déranger. Ainsi donc, au Nom de Jésus-Christ, le Créateur, retourne
te coucher.»
30 À la barre du Jugement, vous verrez cela être mis
au clair. Ce taureau m'a regardé pendant quelques minutes, il s'est
retourné, il s'est approché et s'est couché. Et je–je me suis tenu là,
les larmes me coulant sur les joues. J'ai marché à cinq pieds [1 m et
demi–N.D.T.] de ce taureau, et il n'a même pas retourné sa tête pour me
regarder. Pourquoi? Au lieu de le haïr, je l'ai aimé. L'amour conquerra
tout. C'est vrai.
C'est ce qui a conquis mon cœur, quand j'ai su que
Dieu m'a tant aimé qu'Il a donné Son Fils unique, afin que je ne puisse
pas périr; quand j'ai su que j'étais né dans ce monde, un pécheur, et
que je périssais, et Dieu m'a aimé au point qu'Il a donné Son Fils
pour–pour racheter ma vie. Et alors, je–je ne pouvais plus haïr. Je
devais aimer. C'est ça qui produit ces résultats que vous voyez. C'est
l'amour.
31 Je ne sais pas. Peut-être que je l'ai déjà
raconté, que je l'ai déjà raconté, des centaines de petites choses qui
ont eu lieu. Un jour, j'étais en train de tondre la pelouse dans ma
cour. Je devais arriver dans la cour arrière, ça pousse dans la cour de
devant avant que j'arrive dans la cour arrière, à cause des gens qui
venaient pour que l'on prie pour eux et tout le reste, de… Voyez, comme
Joseph l'a dit il y a un instant, c'est seulement… Ici, c'est
seulement–c'est seulement Chicago. À la maison, c'est le monde entier,
voyez, là où les gens viennent et repartent, venant de tous les quatre
coins du monde.
Et pendant que je tondais cette pelouse, j'ai buté
contre, j'avais oublié ça, il y avait un guêpier là derrière. J'ai
cogné la tondeuse contre la clôture, et j'étais tout couvert de guêpes,
ces très gros insectes, ils vous terrasseraient en vous piquant. Dans
un premier temps, j'ai également eu peur, sincèrement. Je n'avais pas
de chemise sur moi… Et quelque chose s'est passée. Je–j'étais désolé
d'avoir cogné ces insectes, non pas parce que j'avais peur d'être
piqué, mais en réalité, ç'a l'air enfantin, mais si seulement nous
pouvions être un peu plus enfant! Si nous pouvions avoir plus les
manières des enfants, c'est la simplicité de Dieu qui confond les
étudiants de l'université. Soyez simples dans ces choses. Juste comme
un enfant, faites tout simplement confiance et croyez. Ne cherchez pas
à vous emballer, soyez tout simplement détendu et croyez ça. C'est
tout. Ne cherchez pas à vous emballer: «Ô Dieu, alléluia, je
réprimande.» Ce n'est pas–pas bien. Non, croyez tout simplement ça et
allez de l'avant. C'est tout.
32 Alors, quand cela a eu lieu, je me suis dit: «Ces
pauvres petits insectes étaient donc là dans leurs nids, et voici que
je viens de cogner contre le mur et je les ai fait sortir de leur nid»,
avec cette vieille grande tondeuse que je poussais. Et j'ai dit: «Vous
êtes de petites créatures de Dieu, je suis désolé d'avoir cogné contre
ce mur. Je suis–je suis désolé de vous avoir dérangés. Eh bien, je suis
serviteur de Dieu, et je prie pour Ses enfants malades. Je dois me
dépêcher et tondre cette pelouse dans cette cour. Maintenant donc,
hâtez-vous de retourner dans votre nid; je ne vous dérangerai plus, au
Nom du Seigneur Jésus.»
J'ai redémarré ma tondeuse et je l'ai arrêtée. J'ai
tiré la file… et j'ai ainsi redémarré ça et ces abeilles ont tout
simplement bourdonné tout autour de mes épaules nues, et elles se sont
empressées et sont retournées droit dans leur nid, sans du tout piquer.
L'amour. Je ne peux pas produire ça; je ne peux pas manœuvrer cela;
C'est Dieu qui doit donner ça.
33 C'est là que l'on en est ce soir. C'est Dieu qui
doit donner ça. Alors l'amour produit une communion. Or, quand Dieu a
dit autrefois… Le jour où le péché avait causé la séparation d'avec cet
amour Divin, Dieu avait dit à Adam et à Ève de ne pas manger certains
fruits, mais ils ont mangé ça, alors le péché avait causé la
séparation. Et le péché, par la séparation, a suscité la haine, la
malice, la dispute, l'envie. Est-ce vrai? Qu'est-il arrivé? Ils se sont
séparés de l'amour Divin.
Et quand vous vous séparez de l'amour Divin, alors
vous ne pouvez plus fermer les yeux sur les fautes de votre frère. Vous
vous mettez à l'engueuler pour ça. C'est vrai. Vous ne pouvez plus
fermer les yeux sur les fautes de votre sœur. Parce que vous vous êtes
éloigné de cette partie Divine, cette partie amour. Mais si vous aimez
vraiment le Seigneur Jésus et qu'une sœur ou un frère vous fasse
quelque chose: «Oh! eh bien, c'est en ordre, ils n'en avaient pas
l'intention.» C'est le genre d'amour que Jésus avait: «Père,
pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font.»
34 Que serait-il arrivé s'Il avait retenu mes péchés
à ma charge? Quelle horrible personne j'étais, mais Il m'a tellement
aimé qu'Il me les a pardonnés. Quand j'étais imparfait, Il m'a
pardonné. Il m'a aimé, d'un amour pur. Et quand Adam s'était séparé de
ce pur amour qui consistait à garder la Parole de Dieu dans son cœur,
quand il a fait ça, alors il s'est mis… ces autres facultés se sont
installées: la malice, l'envie, la dispute, la haine et tout le reste.
Eh bien, quand Dieu a vu que Ses enfants s'étaient
séparés, Il est descendu pour la communion, et il n'y avait personne là
pour L'accueillir. Vous rappelez-vous l'autre soir quand j'ai prêché
sur la femme qui avait lavé les pieds de Jésus? Il n'était pas le
bienvenu chez les pharisiens. Il n'est pas le bienvenu ce soir chez
beaucoup de gens. Il n'est pas le bienvenu dans beaucoup d'églises,
dans beaucoup de villes.
35 Regardez lorsque Israël partageait son pays. Il y
avait, je crois que c'était ça, Gad était l'un d'eux, et peut-être, la
demi-tribu; ils n'avaient pas traversé pour aller dans la terre
promise, ils étaient restés de ce côté-ci, à la frontière. Jésus a
visité ces gens mêmes. Et regardez les conséquences du fait d'être
resté loin de tous les avantages de l'amour Divin. Quand Jésus leur a
rendu visite, Il est allé à Gadara, c'est là qu'ils habitaient, c'est
là qu'ils avaient fait… c'est de là qu'ils étaient venus, juste là. Et
leur attitude est restée toujours la même. Parce que ça… ils avaient…
ça leur a coûté un troupeau de cochons pour avoir la réunion, ils ont
demandé à Jésus de quitter leur contrée. Ils ne voulaient rien à voir
avec ça; ils avaient leurs propres voies; ils avaient leurs propres
églises. Ils ne voulaient rien à voir avec Jésus, aussi Lui ont-ils
demandé de quitter leur contrée.
36 Mais Il est parti malgré tout parce qu'Il y avait
une seule âme qui L'appelait. Pensez-y bien, Il a traversé ce lac
orageux, là de l'autre côté, pour trouver une seule âme qui était dans
le besoin; c'était là Son amour pour une seule âme dans le besoin. Il
descendra de la Gloire ce soir vers l'auditorium de cette école pour
une seule âme qui est dans le besoin, qui va croire en Lui.
Et ainsi donc, quand le péché est entré, il a séparé
l'homme de la communion. Remarquez ce que Dieu a fait pour ramener
l'homme à la communion. Il a présenté au monde une Rédemption par le
Sang. Dieu a tué des animaux et a enlevé leurs peaux, montrant la
Rédemption par le sang. Et là, Dieu, après avoir été séparé de Ses–de
Ses créatures, Dieu a posé le tapis de bienvenue pour souhaiter un bon
retour à la maison, en répandant du sang. Il en a été ainsi alors, il
en est ainsi, et il en sera toujours ainsi, les dispositions que Dieu
prend pour avoir communion avec Lui, c'est à travers le Sang versé.
37 Mon ami, écoute-moi juste quelques instants, car
je vois que j'ai encore douze minutes. Écoutez, je voudrais vous poser
une question, on a crié–on a essayé par tous les moyens de remplacer le
Sang par l'instruction. Ça ne marchera jamais. Ils ont essayé par tous
les moyens d'y substituer la dénomination pour amener la communion.
Instruire les gens… le monde aujourd'hui…
Comme frère Tommy Hicks, ce merveilleux jeune frère
qui était ici aujourd'hui, nous racontant son histoire de là derrière
le rideau de fer, là en Russie, avec toute sa culture et sa science, on
cherche à créer une communion par le communisme, par la science et la
culture, et ils renient le Sang de Jésus, alors que le Sang de Christ
est la seule voie par laquelle vous pouvez communier. Rien ne le
remplacera. Grâces soient rendues à Dieu. Il ne vous faut pas être
brillant, il ne vous faut pas être intelligent; vous devez simplement
avoir un cœur humble et soumis. Pensez-y. Il a présenté le Sang.
38 Eh bien, je voudrais que vous observiez très
attentivement maintenant. Nous parlions de Job, il y a quelques
instants, Job se préparait de cette même manière. Le plus vieux Livre
de la Bible, même avant que la Genèse fût écrite, Job avait déjà été
écrit. Et Job était un homme juste, un homme qui craignait Dieu. Et il
a eu des ennuis. Mais je voudrais que vous remarquiez que juste avant
que les ennuis surviennent, Job s'y était préparé.
Écoutez, ami, ami pécheur, il y a des ennuis qui
vous attendent ce soir. Et ce sont les vallées des ombres de la mort.
Vous feriez mieux de prendre des dispositions pour le seul Ami qui peut
marcher en votre compagnie au milieu de cela. C'est vrai, prenez vos
dispositions pour cela.
Job avait un groupe de filles et de garçons. Et
quand il apprenait qu'ils étaient sortis… comme des oiseaux… les gens
élèvent des enfants aujourd'hui. J'ai pitié des papas et des mamans
aujourd'hui, étant moi-même parent, connaissant une seule raison;
j'essaie d'éloigner mes enfants de notre ville, nous n'avons pas
d'écoles chrétiennes là. Et je veux les amener quelque part où ils
pourront être formés dans une école, dans une bonne école
fondamentaliste où ils apprendront à aimer le Seigneur, l'enseignement
que je peux leur donner à la maison, cependant ils sortent en compagnie
de cette foule de mondains, le diable est un gars rusé et il leur
inculque ça. Si vous les gardez sous l'Esprit jusqu'à ce qu'ils
deviennent assez grands pour recevoir le Saint-Esprit et pour savoir ce
qu'il en est, alors Dieu prendra soin du reste. Mais, ils doivent
d'abord passer leur petite période d'adolescence.
39 Eh bien, chaque personne pense à ses enfants.
Pendant qu'ils sont sous–sous votre surveillance, vous pouvez veiller
sur eux. Mais une fois qu'ils sont hors de votre surveillance, alors le
diable a tous les petits vieux Oscar qu'il peut larguer là pour
s'associer avec vos enfants, ces gens qui sont infidèles, méchants,
possédés du diable et tout le reste. Que Dieu nous vienne en aide.
Cette délinquance juvénile ici à New York, à Chicago et dans ces
grandes villes, ce dont parlent les journaux, comment ils s'entre-tuent
et tout le reste… Des petits enfants, des jeunes garçons et des jeunes
filles qui tuent et qui commettent de meurtre, qui fusillent et des
choses de ce genre. Oh! si seulement ces pauvres petits enfants se
rendaient compte que c'est le diable! Assurément!
40 Ce qui est à la base de la délinquance juvénile,
c'est la délinquance des parents; les parents ne prennent pas soin des
enfants. Rappelez-vous qu'il y a quelques années, quand mon garçon fut
né, il y a maintenant environ, je pense qu'il a environ dix-neuf ans
maintenant. Je me rappelle que le docteur avait parlé à ma femme,
disant: «Laisse tout simplement cet enfant pleurer.» Il a dit: «Ça ne
lui fera pas de mal. Et si la grand-mère vient le prendre, dit-il,
prends-la… écarte ses mains de l'enfant.» Il a dit: «Il devrait quitter
le berceau à six mois.»
Or, vous en savez mieux que ça. Ç'a l'air des propos
d'un sorcier plutôt que d'un vrai médecin [En anglais witch doctor et
real doctor–N.D.T.]. Et alors savez-vous ce que cela a éclos? Ç'a éclos
une bande de névrosés et une bande de gangsters. Écoutez. Dieu vous a
donné cet enfant pour l'aimer. Peu m'importe combien vous le gâtez;
aimez-le de toute façon. C'est vrai. Aimez-le. Si vous ne l'aimez pas
maintenant, il grandira dans une maison froide et indifférente, et il
cherchera l'amour ailleurs, ou quelque chose comme ça. Ça fera une
lumière externe[out-light] quelque part. Mère, prenez cet enfant et
communier avec lui et aimez-le maintenant. Faites de lui une partie de
vous, c'est ce qu'il est, et agissez comme ça, étreignez-le,
embrassez-le et–et aimez-le. Ne soyez pas trop froide à cause de choses
du monde. Dieu vous l'a donné comme un trésor; élevez-le correctement.
Amen. Remarquez, c'est ça le problème; nous nous éloignons des choses
de Dieu. Vous vous éloignez de la nature, et alors vous vous éloignez
de la volonté de Dieu.
41 Maintenant, je voudrais que vous remarquiez donc,
Job, comme il se souciait de ses enfants, il a dit: «Eh bien,
peut-être, que lorsqu'ils étaient sortis, ils ont commis un péché.»
Alors, il prenait les seules dispositions qu'il connaissait, c'était
l'holocauste, l'effusion du sang. Il répandait le sang d'un agneau pour
ses enfants, prenant des précautions pour le cas où ils auraient péché.
Vous voyez ça? Job se souciait de ses enfants, prenant des dispositions
pour leur péché.
Et vous, les mères et les pères, si vous pouviez
arrêter de dépenser de l'argent pour que vos enfants apprennent la
danse claquettes et des choses semblables, et des choses telles que
comment devenir un acteur, et que vous consacriez plus de temps à
implorer le Sang de Jésus-Christ pour eux, et à leur manifester de
l'amour et la communion, nous nous en tirerons mieux. Et il en sera de
même pour les enfants. Enseignez votre enfant.
42 Je crois que si chaque parent prenait son enfant
et… D'abord le parent revient à Dieu, et fait sortir la bière du
réfrigérateur, enlève les cartes de la table. «Oh! diriez-vous, ça ne
fait aucun mal.» Voyez-vous ce que cela a éclos? Frère, je ne
permettrais pas qu'une carte se retrouve chez moi. Non monsieur. C'est
une chose du diable. Gardez-les loin de ça. Vous me direz: «Vous êtes
un type à l'ancienne mode, Frère Branham.» Eh bien, c'était l'Évangile
à l'ancienne mode qui m'avait sauvé. Amen. C'est le salut à l'ancienne
mode qui me rend heureux. C'était le Saint-Esprit à l'ancienne mode qui
m'avait guéri. C'est la même chose qui va nous amener à la Maison, dans
la Gloire, assurément. Enseignez votre enfant.
43 Écoutez ceci. Observez ce que le monde peut faire.
Maintenant, ce sont de petites choses pures, je suppose. Je n'ai rien à
voir avec ça. Mais écoutez ceci. Chaque enfant de la ville peut vous
dire qui était David Crockett. Oh! la la! Oh! la la! Ça se trouve sur
les petites cuillers, sur son chapeau, sur sa cravate, partout, David
Crockett. Le monde a enseigné aux enfants, l'Amérique, comme une mode,
a enseigné à tous les enfants au sujet de David Crockett. Ils peuvent
vous dire qu'il est venu de Tennessee, quand il était né, et tout à ce
sujet. Il portait un képi en peau de raton laveur et qu'il a tué un
ours à l'âge de trois ans et tous ces genres d'histoires fictives. Ils
savent tout au sujet de David Crockett. Et vous êtes disposé et vous
aimez lui raconter ça.
Or, s'ils sont capables d'apprendre au sujet de
David Crockett, et de s'habiller comme David Crockett, et d'agir comme
David Crockett, assurément que vous pouvez leur apprendre au sujet de
Jésus-Christ, et ils agiraient comme Jésus-Christ, et ils aimeraient
Jésus-Christ autant qu'ils ont pu aimer David Crockett. La communion
autour de la Bible. Dites-leur que Jésus les aime.
44 David Crockett, c'est une réalité, mais qu'il ait
tué l'ours à l'âge de trois ans, ça, j'en doute. Beaucoup de ces
choses, on croit beaucoup de fictions, beaucoup de ces histoires sont
des fictions. Quand j'étais un petit garçon, j'aimais beaucoup
Guillaume Tell, il avait tiré sur une pomme se trouvant sur la tête de
son fils. Quand je suis allé là en Suisse, pas un seul mot de tout ça
n'est vrai; tout est fiction. C'est vrai. C'est vrai qu'il a existé un
Guillaume Tell, mais il n'a jamais tiré sur une pomme qui était sur la
tête de son fils, non non, rien de tel là-dessus. Mais c'est tout
simplement de la fiction, et–et des histoires qui sont racontées. Mais
apportons la vérité aux gens. Ne communions pas avec ça. Communions
avec Dieu, et avec la Bible, et avec le Saint-Esprit. Prenons des
dispositions pour nos enfants.
45 Et remarquez, lorsque les épreuves sont finalement
arrivées, et que Job est passé par les épreuves… Oh! j'aime ça.
Excusez-moi, je ne suis pas émotif, mais je commence tout simplement à
me sentir bien. J'aime ça. Les épreuves! Dieu éprouvant Ses enfants…
N'aimez-vous pas ça? Chaque épreuve lors du test, c'est un. de test, un
polygone; ceci est un temps d'épreuve, Dieu éprouve Son peuple, Il les
apprête.
Avant que vous achetiez un groupe de chevaux, vous
allez les tester, les éprouver. Vous les laissez -résister au mors un
instant, vous les faites courir pour voir s'ils sont poussifs… vous
mettez le citron dans leurs nez et tout le reste. Oh! ne saviez-vous
pas qu'on met les citrons dans le nez pour un cheval poussif? Heuh! On
le fait. Très bien. Pour votre véhicule, vous l'entretenez avec les
huiles de ri–ricin, et de bonnes huiles, dans le moteur, c'est vraiment
épais, et vous débosselez cela afin qu'il puisse être vendu. Voyez?
Toutes ces autres choses, le test. Dieu soumet Ses enfants à une
épreuve. Je suis très heureux pour ça. Alors, Il peut vous manifester
Son amour.
46 Eh bien, l'épreuve, Job est passé par une série
d'épreuves à cause de Dieu. Il n'avait pas péché; les gens disaient
qu'il avait péché, mais ce n'était pas le cas. Comment savait-il qu'il
n'avait pas péché? Il savait qu'il avait suivi la seule voie que l'on
puisse suivre, c'était à travers le sang versé. Il avait offert un
sacrifice; il avait confessé ses péchés sur base du sang versé. Il
savait qu'il était justifié aux yeux de Dieu, peu importe ce que disait
n'importe qui. Il savait qu'il était juste, car il était justifié par
sa foi dans le sacrifice pourvu par Dieu. Il croyait en cela. Très bien.
Et quand les épreuves sont arrivées, cela s'est
avéré vrai. Dieu lui ôta tout ce qu'il avait, Il ôta ses enfants, Il
les tua tous. Il enleva tout son bétail, les brebis, les chameaux, Il
tua tout cela. Il fit tout et Il brisa tout son corps, Il ôta sa santé.
Mais il continua à aimer le Seigneur. Car il avait suivi la voie de
Dieu et il était connecté à Dieu. Et une fois que vous êtes connecté à
Dieu par le Sang versé, vous savez qu'il y a là quelque chose. Vous ne
prenez pas la théologie, vous prenez ce que le Sang témoigne pour vous.
Voilà.
47 Et remarquez, Dieu lui a restitué tout ce qu'il
avait perdu, cela était doublé. Il a doublé ses brebis; il a doublé les
chameaux. Mais remarquez, Il ne lui a donné que sept enfants, juste
comme il en avait. Et quels enfants étaient-ce? C'étaient les mêmes
enfants qu'il avait perdus. Ils étaient sous le sang. Ils étaient dans
la Gloire, l'attendant. C'est ainsi qu'il faut faire pour nos enfants,
n'est-ce pas? C'est vrai. Il lui a restitué ses enfants, assurément, il
est avec eux ce soir et il sera avec eux aux siècles des siècles.
Israël avait le sang versé de l'agneau, l'unique
voie. Et le seul lieu où Israël pouvait adorer, c'était sous le sang
versé. Tous les sacrifices et tout le reste étaient apportés à un seul
lieu commun, et là, sur l'autel d'airain, on brûlait les corps et on
aspergeait le sang. Et Dieu (Écoutez, voici la chose maintenant), Dieu
ne rencontrait Israël que sous le sang versé. Le seul lieu de
rencontre, où Dieu rencontre Son peuple, c'est sous le sang versé, il
n'y a pas d'autre voie. Il ne vous rencontrera pas dans votre
dénomination. Il ne le fera pas, aussi bonne qu'elle puisse être. Il ne
vous rencontrera pas à travers votre instruction, votre théologie,
aussi bonne qu'elle puisse être. Il vous rencontrera uniquement sous le
Sang versé.
Le seul lieu où Dieu rencontrait Israël, c'était
sous le sang versé. La seule voie par laquelle Il pouvait parler à Adam
et Ève, c'était sous le Sang versé. La seule voie par laquelle Il
pouvait parler à Job, c'était sous le Sang versé.
48 Et la seule voie par laquelle… Remarquez. Les gens
devaient venir là où le Sang a été versé. Comprenez-vous cela? Le seul
moyen pour vous d'avoir la communion parfaite avec Dieu, c'est de venir
là où le sang a été versé. Où est-ce? Christ est le lieu de rencontre
avec Dieu. Nous nous rassemblons, nous sommes assis ensemble dans les
lieux célestes en Christ Jésus. Et le Saint-Esprit entre dans le
bâtiment quand nous sommes sous le Sang.
Comment entrons-nous en Jésus-Christ? D'abord, c'est
par les éléments qui étaient sortis de Son corps que nous entrons dans
Son corps. Il était sorti de Son corps l'eau, le Sang, l'Esprit. C'est
l'Esprit qui vous fait entrer. La préparation par le Sang, c'est ce qui
vous purifie, par les eaux de séparation, quand la génisse rousse était
brûlée et qu'on en faisait les eaux de séparation. Et chaque croyant
qui venait au temple s'arrêtait d'abord dans les parvis. Juste pour un
instant, il s'arrêtait dans les parvis, où étaient gardées les eaux de
séparation, et ils étaient aspergés.
Les Eaux de séparation, c'est la Parole. La Parole
de Dieu, les Eaux de séparation, par le lavage d'eau de la Parole. Vous
venez entendre la Parole, et la première chose qu'Elle fait, Elle vous
sépare, afin que vos pensées se détournent du mal pour s'appliquer au
bien.
49 Ensuite, la chose suivante qu'ils faisaient, après
avoir quitté les parvis, ils se dirigeaient vers le temple. Sur le
temple, dans le désert, le doigt du souverain sacrificateur aspergeait
le sang à sept reprises, à la mort de la génisse, et on aspergeait ça
sur la porte, montrant que chaque croyant qui venait à cette communion
devait d'abord reconnaître qu'un substitut était mort et qu'il avait
préparé une voie devant lui.
Tout homme qui entre dans cette merveilleuse
communion doit d'abord (La foi vient de ce que l'on entend, ce que l'on
entend de la Parole) – donc reconnaître le Sang de Jésus-Christ, le
tapis de bienvenue placé par Dieu pour leur retour à la maison pour
communier. Et il doit reconnaître que le sang a été versé pour lui; Sa
Vie avait été livrée ici sur la terre afin que vous puissiez avoir
communion.
50 Ensuite, le Saint-Esprit, quand vous passez
derrière le voile, ici derrière les rideaux, vous baptise, l'eau, le
Sang, l'Esprit. Il vous baptise dans le Corps de Christ… Alors, ça y
est, frère et sœur, écoutez attentivement maintenant; nous terminons.
C'est alors que vous ne les appellerez plus jamais de saints exaltés.
Non. Une fois derrière le rideau, qui est Sa chaire, vous laissez le
Saint-Esprit vous purifier par le Sang, vous faire entrer en Christ.
Alors vous avez communion. Le Sang de Jésus-Christ nous purifie de tout
péché à la porte, maintenant nous avons communion les uns avec les
autres.
Pensez-y. Un frère méthodiste peut serrer ma main à
moi, baptiste. Et un pentecôtiste, et un nazaréen et un pèlerin de la
sainteté, un presbytérien, qui que nous soyons, nous pouvons nous
serrer la main, les uns aux autres, et communier les uns avec les
autres, quand le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché.
J'espère que vous comprenez cela.
J'ai dépassé mon temps. C'est pour ça que nous
sommes ici. Dieu a envoyé Son Fils, ne le croyez-vous pas? Il a donné
Son Fils afin que nous puissions vivre. Le Fils devait verser Son sang.
Il a ressuscité Son corps; Son corps et les os sont dans la Présence de
Dieu ce soir. Mais Son sang continue à tacher la terre.
51 Et au travers ce Sang versé provient. La vie se
trouve dans le sang, et la Vie, c'est le Saint-Esprit qui est revenu.
Jésus a dit: «Encore un peu de temps (Écoutez) et le monde ne me verra
plus; mais vous, vous Me verrez, car j'aurai communion avec vous
jusqu'à la fin du monde.» Je (pronom personnel) aurai communion; Je
serai avec vous. «Là où deux ou trois sont assemblés, Je serai au
milieu d'eux, communiant avec vous jusqu'à la fin du monde.»
Reconnaissez-vous qu'Il est ressuscité des morts ce
soir, frère chrétien? Mon ami pécheur, je vous aime; Dieu sait que je
ne veux pas que vous soyez pécheur. Dieu ne veut pas que vous soyez
pécheur. Mais voudriez-vous jouir d'une véritable communion comme vous
n'en avez jamais eu auparavant? Cela dépassera une tasse de café et une
cigarette n'importe quand. Cela dépassera boire le whisky ou faire des
beuveries la nuit pour souiller les vertus d'une fille, et quoi que ce
soit. Ne voudriez-vous pas venir ce soir? Vous dites: «Ô Dieu, sois
miséricordieux envers moi pécheur; je veux avoir communion. Je veux
avoir quelque chose de réel dans ma vie.»
52 Jésus est réel. Il est ressuscité des morts. Il
sera ici même sur l'estrade dans quelques minutes, accomplissant les
mêmes choses qu'Il avait accomplies jadis, pour vous montrer qu'Il est
ici et qu'Il désire avoir communion. Vous ne douterez plus de Lui,
n'est-ce pas? Ayons communion ce soir, ne voudriez-vous pas faire ça?
Ne doutez plus de Lui. Dites: «Ô Dieu, Tu es ici, je suis–je suis
maintenant même en train d'avoir communion. C'est maintenant le moment,
je Te prends à Ta Parole. Tu me parles, pas à travers frère Branham,
mais à travers Ta Bible. Ensuite, Ton don parle par ce moyen pour
s'identifier par un corps humain, que Tu es ici et que j'ai communion
avec Toi. Je vais sortir d'ici ce soir, croyant de tout mon cœur.» Nous
pouvons incliner la tête. La pianiste, si elle le veut, venez–venez au
piano juste un instant.
53 Pendant que nous avons nos têtes inclinées, que
tout le monde est en train de prier, je me demande bien ce soir, ami
pécheur, avez-vous vraiment un ardent désir d'avoir quelque chose que
vous n'avez jamais eu? Vous avez grandement besoin de la joie. Vous
roulez en voiture à quatre-vingt-dix miles à l'heure [145 km à
l'heure–N.D.T.], faisant grincer les pneus. Mademoiselle, vous–vous
vous habillez de n'importe quelle manière que vous voulez pour amener
les garçons à vous siffler, et vous pensez que c'est un ravissement?
Avez-vous vraiment besoin d'un ravissement éternel ce soir? Venez à
Jésus.
Voulez-vous être aimé de quelqu'un qui n'arrêtera
jamais de vous aimer? Venez à Lui. Ne voudriez-vous pas faire cela?
Vous n'avez jamais eu cette merveilleuse communion. Vous ne savez
vraiment pas ce que c'est que d'avoir un vrai ami. Je sais qu'il y a en
Un qui vous attend maintenant même.
54 Et pendant que nous avons nos têtes inclinées,
ceci étant ma dernière soirée ici, je voudrais vous demander quelque
chose. Tout le monde est en prière, ceux qui savent prier. Ami pécheur,
voudriez-vous lever la main vers Dieu et dire: «Ô Dieu, je voudrais
vraiment avoir cette communion avec Toi.» Voudriez-vous bien lever la
main? Partout dans le bâtiment, à l'étage et en bas, juste… C'est
juste. Que Dieu vous bénisse, c'est… Que Dieu vous bénisse, et vous. Je
voudrais avoir communion, ô Dieu. Que Dieu vous bénisse, sœur. Je vois.
Je voudrais avoir communion, Seigneur. Ma religion a été froide; je me
contentais d'aller à l'église; c'est à peu près tout ce que j'ai fait.
Mais je n'ai jamais vraiment su ce que c'était que de T'inviter dans ma
vie et de communier avec Toi. Voici ma main, ô Dieu, reçois-moi ce
soir; je voudrais avoir communion. Je passe par le Sang maintenant
même. Je lève la main, par la foi je reçois cela.» Voulez-vous lever la
main, quelqu'un d'autre? Que Dieu vous bénisse, fils. Que Dieu vous
bénisse, sœur. Que Dieu vous bénisse, vous. C'est bien.
Oh! la la! beaucoup d'entre vous. Là au
rez-de-chaussée, ici, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse,
vous, vous, vous. Par ici, à ma gauche. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu
vous bénisse, Monsieur. Que Dieu vous bénisse, Frère. Que Dieu vous
bénisse vous là derrière, oui. À ma droite.
55 «Seigneur, voici ma main. Je suis maintenant même
par la foi… Je suis venu à ces réunions. Je suis là. Je–je me posais un
peu des questions. J'avais des doutes. Je suis allé à l'église.
J'essaie de mener une bonne vie, mais ô Dieu, en réalité, je–je n'ai
jamais su ce que c'était que de m'asseoir et parler avec Toi, T'aimer
et vraiment–vraiment être tellement captivé par la prière que je ne
peux pas me lever. Je T'aime et je resterai là, et je crierai et
lèverai mes mains vers Toi, et mon cœur bondissant tout simplement de
joie. Je n'ai jamais eu ça, Seigneur, je ne T'ai jamais vu descendre et
exaucer ma prière, et faire quelque chose pour moi, frayer un chemin
pour moi quand tout est sombre, et je ne sais pas quelle voie prendre,
et Toi, Tu viens, Tu ouvres la voie et Tu me gardes plein de… Seigneur,
je n'ai jamais eu une telle communion, bien que j'aie été à l'église,
mais je désire l'avoir maintenant même, je viens à travers la voie du
Sang, la voie que frère Branham a indiquée selon la Bible, je vais
lever la main.»
56 Quelqu'un d'autre, maintenant même, levez tout
simplement la main vers Dieu. «Je viens en suivant cette voie,
Seigneur.» Que vous Dieu bénisse aussi. Oui. Y a-t-il ici ce soir
quelqu'un qui est dans l'abîme? Dites: «Ô Dieu, je viens pour cette
communion. J'en ai vraiment besoin, du fond de mon cœur.» Que Dieu vous
bénisse aussi. Que Dieu vous bénisse, sœur, je vois votre main. Dieu
voit ça. Que Dieu vous bénisse, ma sœur, vous communiez. C'est bien,
très bien, un petit mot de prière maintenant. Après le service, on va
faire l'appel à l'autel, si vous voulez venir à l'autel et prier un
instant, ce serait bien.
Père céleste, ceux qui viennent, personne n'aurait
levé la main, naturellement, Seigneur, si que quelque chose n'avait
frappé son cœur en ce jour cruel, sombre et mauvais où nous vivons. Oh!
comme les hommes et les femmes s'éloignent de Toi! Oh! comme le monde
par la culture et par la science est d'emblée sorti de la catégorie de
Dieu. Et nous regardons aujourd'hui dans la ville, et nous regardons là
et nous voyons des bâtiments commencer à s'écrouler, nous voyons les
rues se détériorer, montrant, il y a plusieurs années,
c'étaient–c'étaient de bonnes routes, de bons bâtiments. Mais ils ont
vieilli maintenant. Le vieux monde, partout, est là, attendant le
jugement.
57 Ô Dieu, il faudra que Tu viennes sans tarder, et
tout sera terminé. Juste comme une femme et un homme qui ont passé leur
vie dans le péché, assis dans un coin avec un regard fatigué, attendant
la mort, et serrant les dents, et qui feraient n'importe quel mal
qu'ils peuvent, donc une personne misérable, attendant son jugement,
que sa destination éternelle soit prononcée…
Combien cela pourrait être différent. Comme ils
pourraient même être vieux, mais cependant de manière ordonnée, avec
amour, une vieille mère qui a passé sa vie au service de Dieu, dans la
pureté et dans la féminité, attendant sa récompense. Ô Dieu, sois
miséricordieux.
S'Il Te plaît, Dieu bien-aimé, ces gens paient de
leur poche, ils m'aident à vivre. Ils achètent de la nourriture pour
mes enfants. Ils… Ô Dieu, je ne sais tout simplement pas quoi dire, mon
cœur bat. Pas pour qu'ils puissent m'entendre, mais pour que Toi,
Seigneur, je Te prie de pardonner à chacun d'eux et que Tu les fasses
entrer dans la parfaite communion ce soir. Fais-le, ô Dieu, pour moi,
je T'en prie. Je T'aime, et Tu as dit que si je demande n'importe quoi
Tu le feras.
Et puis, guéris tous les malades ce soir, je Te
prie, Père? Tu es ici sur l'estrade maintenant même. Et je sais que Tu
feras ces choses. Et ouvre les yeux de ces gens ce soir. Peut-être que
la plupart ne T'ont jamais vu agir dans Ta grande puissance, mais
puissent-ils voir le Seigneur Jésus dans Sa glorieuse communion.
58 Et dans la Bible, au matin de la première
résurrection, il y eut deux hommes, Cléopas et son ami, qui étaient en
route vers Emmaüs. Jésus avait marché avec eux toute la journée. Ce
soir-là, quand Il est entré avec eux à l'intérieur, Il a fait quelque
chose d'un peu différent de ce que les hommes font généralement. Ils
ont reconnu que personne d'autre ne pouvait faire cela en dehors de
Jésus, ils L'ont reconnu par ce signe qu'Il a accompli. Puisse-t-il en
être ainsi ici à Chicago ce soir, Seigneur.
Il y a beaucoup de gens assis ici, venant de
grandes et bonnes églises ici de la ville. Peut-être qu'ils sont
membres là-bas, mais ils ne sont jamais nés de nouveau. Fais quelque
chose d'un peu différent ce soir, Seigneur, pour amener leur cœur plus
près de Toi, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
Je me demande, Sœur, pendant que nous appelons les
cartes de prière, si vous connaissez ce cantique Ma foi regarde à Toi.
Pouvez-vous nous en donner la mélodie? Combien connaissent cela Ma foi
regarde à Toi? J'aime cela. Pendant que nous nous détendons un instant.
Appelons les cartes de prière. Billy, où en es-tu?
59 Carte de prière …?… Combien en avez-vous
distribuées? Combien? 100? Très bien. Commençons par le numéro 1 et
allons vers, [Billy parle: j'ai distribué deux séries
différentes–N.D.É.] (Oui, la série M et la série N.) Laquelle avez-vous
distribuée hier soir? La série M. Très bien. Vous étiez ici aujourd'hui
pour recevoir l'enseignement et avoir la carte de prière …?… Nous
commençons par le numéro 1, qui a ça? 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10.
Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du calvaire,
Sauveur Divin;
Maintenant écoute-moi pendant que je prie,
Ôte toute ma culpabilité,
Oh! laisse-moi de ce jour,
Être tout à Toi…
Frère Wood, voudriez-vous aider Billy dans la ligne
de prière? Très bien, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21,
22, 23, 24, 25.
Que Ta riche grâce fortifie mon cœur défaillant,
Qu'elle inspire mon zèle;
Comme Tu es mort pour moi,
Oh! puisse mon amour pour Toi,
Être pur, chaud, et immuable,
Un feu vivant…
N'est- ce pas précieux? Chantons cela très
doucement.
Ma foi regarde à Toi,
Toi Agneau de calvaire,
Sauveur Divin;
Comme Tu es mort pour moi,
Oh! puisse mon amour pour Toi, (Écoutez.)
Être chaud et immuable,
Un feu vivant.
60 Ne L'aimez-vous? Combien désirent être ainsi dans
leur cœur? Pur, que votre amour soit pur, chaud, immuable et un feu
vivant. La foi de nos pères est toujours vivante, comme c'est
merveilleux… Rappelez-vous toujours, mes amis, l'amour change les
choses, rien que l'amour. Cela accomplira le travail. Maintenant,
aimez-Le pendant que vous venez. Maintenant, ne Le critiquez pas
lorsqu'Il commencera à agir; aimez-Le tout simplement; embrassez-Le,
dites: «Je T'aime, Seigneur.» Maintenant, pour la dernière fois, afin
que je puisse me hâter de faire passer la ligne de prière aussi vite
que possible. Aussitôt que l'onction entre en action, je me mettrai à
prier rapidement pour les gens.
Tout le monde, croyez de tout votre cœur, Jésus vous
guérira. Rappelez-vous, Il est ressuscité des morts. Il a dit: «Je ne
fais rien de moi-même sinon ce que je vois faire au Père. Ce que le
Père me montre, je le fais aussi.»
61 Parlant avec la femme, Il lui a révélé ses péchés.
En parlant avec Nathanaël Il lui a dit où il se trouvait. En parlant
avec Pierre, premièrement Il lui a dit où… quel était son nom, qui
était son père. Et plusieurs autres fois dans la Bible… Et Jésus a dit
Lui-même donc, afin que vous compreniez clairement: Je ne fais que ce
que le Père me montre premièrement.» Il est ressuscité des morts; Il
fait la même chose ce soir, juste tel que le Père le montrera.
Eh bien, je suis un homme, Lui aussi était un homme.
Il était le Fils de Dieu, l'unique, né d'une vierge. Moi je suis un
pécheur sauvé par grâce. Sa grâce m'a sauvé. Ainsi, Il a ouvert un
canal par élection, par prescience, Il a ouvert un canal dans mon cœur
pour se faire une place, afin qu'Il puisse travailler en votre faveur.
C'est votre foi qui fait cela, pas la mienne; je ne pourrais pas faire
cela. Vous dites: «Frère Branham, levez-vous–levez-vous–levez-vous, et
dites-moi ce qui ne va pas en moi.» Je ne pourrais pas vous le dire. Il
faut votre foi pour faire cela. Voyez? La femme qui toucha Son vêtement
et s'en alla, Il lui a dit: «Ta foi t'a guérie.» Parlons-Lui encore une
fois.
62 Père céleste, ce soir avec un amour Divin et
chaud, l'amour chrétien, nous nous approchons de Toi au Nom de Jésus.
Maintenant, Seigneur, nous n'allons pas rester ici debout des heures et
des heures. Si seulement Tu nous parles un peu, Seigneur, si seulement
Tu Te fais connaître ici, et alors nous aurons la prière, chacun. Alors
nous croirons, et nous sortirons d'ici ce soir ayant réellement eu une
véritable et tendre communion avec le Père. Nous sortirons au Nom de
Jésus. Accorde-le, Seigneur. Pour Ta gloire, je me soumets à Toi,
m'abandonnant au Saint-Esprit, afin que le Saint-Esprit accomplisse les
oeuvres de Jésus-Christ au travers de ce pauvre corps indigne. Amen.
Très bien. Bonsoir, Sœur. Eh bien, maintenant
assistance, je souhaiterais… Je vais vous demander vraiment une faveur,
si vous voulez bien l'accorder. Les gens doivent aller prendre les bus
et les trains. Nous ne resterons ici qu'un petit moment, ce n'est pas
nécessaire. Mon ministère, je trouve, je n'ai pas encore eu des
résultats; je cherche à changer ça pour revenir prier seulement pour
les malades. Frère Joseph écrira probablement et m'en parlera. Mais mon
ministère, le voici: c'est de déclarer tout simplement que Dieu est
ici. Ça importe peu, que je prie pour vous ou pas dans cette réunion
spéciale, donc, il s'agit de votre foi. Il n'est pas question de me
toucher moi, il est question de Le toucher, Lui. Voyez? Vous Le
touchez, cela se produira.
63 Combien là maintenant… Afin que cette
assistance-ci, les gens tout autour, combien veulent qu'on prie pour
eux ici et–et–et veulent que Dieu les guérisse, et–et–et vous–vous qui
êtes malades et qui voulez que Dieu vous guérisse, mais vous n'avez pas
de carte de prière et tout, vous voulez que Dieu vous guérisse? Voyez,
maintenant croyez tout simplement en Lui et voyez ce qui va arriver.
Alors, s'Il fait cela une seule fois… Lorsque Moïse, Dieu lui avait dit
ce qu'il devait faire, et il s'est rendu là et il a accompli ce signe
devant Israël, chacun d'eux a cru et il est sorti. Est-ce vrai?
Maintenant, nous devons aussi croire. Ça ne devrait pas se faire
continuellement, continuellement, continuellement, continuellement,
continuellement, pour toujours. Ça doit se faire une seule fois et vous
dites: «Ça y est.» Et nous devons nous rassembler dans cet Esprit
d'amour chrétien dans lequel nous sommes, nous imposer les mains les
uns aux autres, et prier, et sortir de nos fauteuils et dire: «Merci,
Bien-aimé Seigneur Jésus, je pars maintenant avec le cœur plein d'amour
et d'assurance que Tu es le Dieu tout-Puissant qui garde Ta Parole.»
Cela devrait régler la question. Voyez?
64 Maintenant, je pourrais prendre… peut-être me
tenir ici jusqu'à minuit; je pourrais probablement prendre une centaine
de gens par ici, mais… si jamais je vivais aussi longtemps que ça. On
ne me laisserait pas rester, car je mettrais une semaine ou deux pour
m'en remettre. Voyez? Maintenant, ce n'est pas quand j'en suis sorti,
ou quand je suis dedans; c'est dans l'intervalle entre les deux
moments, voyez, lorsqu'on en sort. C'est une onction, et si vous ne
comprenez pas ce que cela signifie, si jamais vous n'avez accepté
Christ, et que vous ne savez pas ce que ça signifie que d'être oint,
c'est une autre dimension. C'est une autre dimension et un autre sens.
Alors je… En parlant aux gens, je vois qu'il y a une femme ici.
Maintenant, s'il y a quelque chose qui est dit à son sujet, ça doit
être dit par Quelqu'un d'autre que moi, car, je ne connais pas cette
femme. Sommes-nous étrangers l'un à l'autre? Nous sommes étrangers l'un
à l'autre. Elle se tient ici, c'est tout ce que je sais. Et elle se
tient tout simplement ici.
65 Et maintenant. Et elle est beaucoup plus jeune que
moi, donc, elle est née après moi, et nous–nous ne–nous ne nous sommes
jamais vus auparavant. Maintenant, quelque chose qui doit arriver si…
Maintenant, s'il s'agit de la guérison, si elle a besoin de la
guérison, je–j'aurai bien voulu faire cela, mais cela m'est impossible.
La seule chose que je puisse faire, peut-être, c'est par un don divin
comme prêcher la Parole ou un autre don, la prophétie, d'élever sa foi.
Si Dieu fait cela là dans cette ligne de prière pour une personne, me
rassurez-vous tous ce soir que vous allez croire que Jésus est ici, et
que vous allez alors bien communier avec Lui, allez-vous le faire?
Maintenant soyez en prière là.
Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu,
je prends chaque esprit sous mon contrôle pour la gloire de Dieu. Et
que chaque personne reste assise juste pendant les dix ou quinze
prochaines minutes, s'il vous plaît. Ne vous levez pas et ne vous
déplacez pas; restez tout simplement assis tranquillement.
66 Maintenant, Sœur, je voudrais vous parler, la
première personne ici ce soir, et je voudrais m'entretenir avec vous,
en fait, c'est pour amener d'abord l'onction. Que vous ayez foi ou pas,
je ne sais pas; il n'y a rien que nous connaissons maintenant. Voyez?
Nous devons tout simplement attendre pour voir ce que dira le
Saint-Esprit. Mais s'Il me révèle vraiment ce pour quoi vous êtes ici,
ou quelque chose que vous–quelque chose dont vous–vous savez que je ne
sais rien, allez-vous alors accepter cela, allez-vous le faire?
Maintenant, Sœur, tout ce que je peux faire, c'est juste être un homme.
Voyez? C'est tout ce que je peux, c'est tout ce que je suis, juste un
pécheur sauvé par grâce.
Et je vois que vous êtes une chrétienne, car vous
éprouvez un sentiment merveilleux dans votre esprit, quand il vient me
rencontrer. Voyez? Maintenant, si ce n'était pas cela, il y aurait eu
une répulsion. Vous voyez, si jamais vous avez été dans la réunion,
lorsque les pécheurs viennent, tout de suite, ce n'est pas bien
accueilli. Les critiques, vous le sentez immédiatement. Voyez? En
effet, c'est spirituel. Voyez? Mais ceci est surnaturel, et vous êtes
une chrétienne; vous croyez en moi, absolument. C'est vrai. Mais
maintenant l'autre chose: vous pourriez avoir été une critique, et je
ne l'aurais pas su, voyez, naturellement, mais je le sais maintenant,
voyez? Voyez, parce que l'onction du Saint-Esprit est ici.
67 Maintenant, vous êtes ici parce que vous voulez
qu'on prie pour vous. Je vous vois; vous êtes–vous êtes une personne
très nerveuse, vous êtes très contrariée. Et je vous vois tout le temps
tenant votre… Ce sont les maux de tête que vous avez tout le temps.
Vous êtes constamment dérangée par des maux de tête, tout le temps.
Maintenant, c'est vrai, n'est-ce pas? C'est vrai. Maintenant, chacun de
vous devrait croire. Chacun devrait croire de tout son cœur.
Croyez-vous cela? Très bien. Maintenant, vous voyez, si je parlais
davantage à cette dame, davantage de choses seraient dites. Je pourrais
soit prendre une seule personne, parler longtemps avec elle, et ne pas
en faire passer beaucoup. Mais faites-les passer rapidement et
faites-les passer tous. Cela dépend tout simplement de tout ce que…
J'ai beaucoup de force; et cela sortira, c'est une provision. Et
lorsque ça sera terminé… Voyez-vous ces hommes qui se tiennent là à
leur poste? Ils vont me ramener. Je ne sais pas si j'existe ou si je
n'existe pas. ais croyez au Seigneur Jésus.
68 Parlons, vous et moi. Vous semblez être une
personne très gentille, depuis que vous vous tenez là. Et je crois
qu'Il vous a déjà dit de quoi vous souffrez ou quelque chose comme ça.
Maintenant, regardez tout simplement dans cette direction, juste un
instant. Et vous êtes–vous êtes une personne avec laquelle on peut très
facilement parler, car je crois que vous avez une foi réelle–réelle.
C'est vrai. Je vois que vous n'êtes pas de cette ville; vous venez
d'une ville qui est à côté de l'eau. Mais ce n'est pas l'eau qu'on a
ici; c'est de l'eau salée. Et c'est très loin; vous venez du nord-est,
vous vous dirigez à l'ouest en venant vers Chicago, et vous êtes–vous
êtes dans une ville, je vois un nom appelé, c'est Portland. Et Maine
est le–c'est le–l'État, Portland, dans Maine.
Et je vous vois amener quelqu'un là, à qui vous
portez intérêt, c'est une personne qui est affligée par quelque chose
comme une maladie des os ou des muscles, ça l'afflige et c'est votre
parent, c'est un neveu. Et puis, vous avez aussi un frère. Et vous avez
deux mouchoirs dans votre main; je vous ai vue lorsque vous les avez
pris. Et vous–et vous, l'un est pour un frère qui souffre des nerfs, et
l'autre, c'est pour un neveu qui est souffrant. C'est la vérité,
n'est-ce pas? Très bien. Croyez-vous maintenant? Très bien, laissez-moi…
69 Père céleste, au Nom de Ton Fils bien-aimé,
Jésus-Christ, qui se tenait au puits et parlait à la femme, disant: «Va
chercher ton mari.»
Elle a dit: «Je n'en ai pas.»
Tu avais dit: «C'est vrai. Tu en as eu cinq.»
Elle a dit: «Je vois que Tu es prophète, Seigneur.
Je sais que lorsque le Messie viendra, Il nous révélera ces choses.»
Jésus a dit: «Je le suis.»
Père, ce soir, Tu nous as promis cette communion, et
nous voici en train d'en jouir. «Les oeuvres que je fais, vous les
ferez aussi. Je serai avec vous, communiant jusqu'à la fin du monde.»
Oh! nous T'aimons, Jésus, Tu es ici, accorde les requêtes de cette
femme, alors que je la bénis avec ces mouchoirs, au Nom de Jésus. Amen.
Que le Seigneur vous bénisse, ma sœur, et qu'Il vous accorde le désir
de votre cœur.
70 Bonsoir, sœur. Je suppose que nous sommes
également étrangers l'un à l'autre. Nous le sommes. Jésus nous connaît
tous les deux. Vous avez un mal de dos, n'est-ce pas, petite dame
assise là? C'est vrai. Le dos et les dents, vous avez aussi un problème
avec vos dents. Croyez-vous que Jésus peut vous rétablir? Si vous le
croyez, vous pouvez l'avoir. Voyez? OK.
Croyez-vous réellement cela, vous avez un bon livre
sur vos genoux, si seulement vous continuez à le lire, eh bien, j'aurai
confiance en vous. Amen. Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous en Lui de
tout votre cœur maintenant? Maintenant, nous sommes étrangers l'un à
l'autre, mais pas devant Jésus. Voyez? Il nous connaît tous les deux.
J'ai juste vu quelque chose se déplacer. C'était quelqu'un qui se
déplaçait, j'ai pensé que c'était… Je dois suivre une Lumière (Voyez?)
qui est le Saint-Esprit. Dieu est Lumière. Ceux qui demeurent en Dieu
demeurent dans la Lumière. Est-ce vrai? Croyez-vous cela?
71 Cette dame se tient ici, si cette assistance peut
entendre ma voix, j'espère qu'ils le peuvent en ce moment-ci. Elle
est–elle est très malade. Elle a un problème très grave de nerfs, elle
en souffre. Et elle est–elle a eu deux dépressions nerveuses. C'est
vrai. Et vous avez récemment eu une sorte de–dans votre poumon… C'était
une pneumonie, et un virus. Oui, ils en avaient. Et je… Vous avez
également subi quelques grandes opérations. C'est vrai. Croyez-vous
qu'Il est ici pour vous guérir maintenant? Venez ici.
Je voudrais vous demander quelque chose, Sœur. Vous,
dans l'état où vous êtes, et Quelque Chose est ici maintenant à côté de
moi, je ne suis qu'un homme, vous le savez, je ne vous connais pas.
Mais il y a Quelque Chose ici qui vous connaît. Cela opère à travers ce
corps, on ne sait trop comment. Il a dit: «Voici les signes qui
accompagneront ceux qui auront cru, s'ils imposent les mains aux
malades, les malades seront guéris.» Vous devez faire cela, n'est-ce
pas? Croyez-vous cela? La seule chose, ce serait l'incrédulité. Même la
Parole de Dieu vous le dit premièrement. Voyez? Si vous… Ensuite, Il
envoie autre chose avec amour, quelque chose d'autre pour encourager
votre foi. N'est-il pas merveilleux? Maintenant, allez et soyez guérie
au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
72 Grâces soient rendues à Dieu. Croyez-vous, Madame?
Vous êtes très malade. Mal à la gorge. C'est vrai. C'est le cancer de
la gorge, aussi. C'est vrai. Bien sûr, vous saviez cela. Croyez-vous
que Jésus vous rétablit, Madame? Le seul espoir que vous avez, c'est
par Lui. Si vous croyez, Dieu vous rétablira. Croyez-vous cela? Venez
ici.
Bien-aimé Père céleste, il y a quelque mille neuf
cents ans, une vieille croix rugueuse allait là au Calvaire, laissant
derrière les empreintes ensanglantées de pas de Celui qui la
transportait. Et en route vers là, Son pauvre petit corps tomba; Il
saignait, marchant dans le sang. C'était une traînée, ouvrant les
portes. Son petit et faible corps physique ploya sous l'épreuve, et là
se tenait Simon de Cyrène, un homme de couleur qui ramassa la croix et
la plaça sur ses épaules, et l'aida à la porter. Quelle heure sombre!
Quel Calvaire sombre!
73 Voici l'un de ses enfants ce soir, se tenant ici,
il se tient dans l'ombre de la mort. Ô Dieu, sois miséricordieux. Toi,
démon qui tues cette femme, par la lumière du Calvaire, je t'ordonne
par Jésus-Christ, le Fils de Dieu, de la quitter; avec mes mains sur
elle selon les commandements de mon Seigneur, sors d'elle au Nom du
Seigneur Jésus-Christ. Amen. «Si vous pouvez croire, tout est
possible.» Croyez-vous? Ayez tout simplement foi. Cette petite dame
assise ici avec une petite veste sur les épaules, en train de regarder
dans ma direction, elle a une affection pulmonaire. Elle est assise
juste là derrière, au bout de la rangée, avec la main levée, elle a une
veste sur les épaules. Madame, quand je priais pour la femme de couleur
tout à l'heure, vous priiez au même moment. N'est-ce pas vrai? Et vous
avez une affection pulmonaire. Jésus vous avait guérie avant même de
guérir cette femme. Vous êtes guérie maintenant. Votre foi vous a
guérie. Amen. Ayez tout simplement foi. Voyez? Peu importe où vous
êtes. Croyez-vous ceci? C'est sa foi. Vous dites: «Est-ce Biblique?»
Certainement. Il a dit à la femme: «Ta foi t'a guérie.» Si vous pouvez
croire.
74 En regardant autour de cette femme là, croyez-vous
que Dieu va vous guérir de cette affection de vésicule biliaire et
croyez-vous qu'Il vous rétablira? Croyez-vous qu'Il le fera? Il l'a
fait. Très bien. Que Dieu vous bénisse. C'est comme cela que je veux
vous voir croire. C'est comme cela que je veux vous voir venir, calme,
avec une foi tranquille. Si vous pouvez croire.
Bonsoir, Madame. Croyez-vous de tout votre cœur? Eh
bien, je vous suis étranger, Madame. Je ne vous ai jamais vue de ma
vie, mais Jésus vous connaissait avant que vous naissiez. Il vous
connaissait lorsqu'Il formait votre esprit avant la fondation du monde,
lorsque vous avez été créée dans le–là sous la forme spirituelle. Il
savait qu'un jour vous viendriez sur la scène et que vous vous
tiendriez sur cette estrade, c'est cela mon Seigneur, Il connaît tout
cela.
75 Maintenant, vous savez qu'Il est avec vous. Vous
n'êtes pas de cette ville-ci. Vous n'êtes pas ici pour vous-même. Vous
vous tenez ici pour un prédicateur. Et ce prédicateur, c'est une femme.
Elle a une affection de cœur, et elle est une prédicatrice
pentecôtiste. Je la vois agiter ses mains en avant et en arrière, et
elle prêche beaucoup. Et autre chose, elle est–ces quelques derniers
jours, elle crache du sang. Dites donc! C'est dans un… Ce n'est pas
ici; c'est dans le Kentucky, près de Covington. Je la vois passer à
côté du fleuve, là. C'est vrai. Maintenant, ramenez-lui ce mouchoir et
placez-le sur elle donc, pour sa guérison, au Nom de Jésus.
Béni soit le lien qui unit nos cours à Jésus-Christ.
Si vous pouvez croire, tout est possible à ceux qui croient. Oh! Il est
très doux, très aimable, je L'aime vraiment de tout mon cœur. Je suis
sûr que vous aussi.
76 Elle a une maladie de femme, elle est assise là au
bout, Madame. Croyez-vous que Jésus vous guérit? Si vous croyez cela de
tout votre cœur, vous pouvez l'avoir; ne doutez tout simplement pas.
Amen. Vous êtes très malade, Madame. C'est une tumeur à l'estomac; mais
Jésus peut vous guérir. Croyez-vous cela? Venez ici.
Père céleste, sois miséricordieux envers cette
femme, sachant qu'elle est maintenant sous les ombres de la mort. Mais
Tu peux la rétablir. Accorde-le, Dieu bien-aimé. Puissent Ton amour
éternel et Tes bénédictions reposer sur cette femme alors que je la
bénis au Nom de Jésus. Et puisse-t-elle vivre encore pendant beaucoup,
beaucoup d'années heureuse pour Ta gloire. Amen. Que Dieu te bénisse,
sœur, aie foi et crois
77 Croyez-vous? Vous n'avez pas l'air d'être
anémique, pourtant vous l'êtes. Croyez-vous que Jésus-Christ va guérir?
Et pour le mouchoir aussi? Ô Bien-aimé Jésus, je prie que le
Saint-Esprit vienne sur cette femme, la guérisse et la rétablisse.
Amen. Que Dieu vous bénisse, Sœur. C'est pour un enfant, un petit-fils,
madame, que vous priez, il n'arrive pas à bien parler, il est en
quelque sorte affligé. Croyez-vous que Jésus va rétablir cet enfant?
Croyez-vous? Très bien, n'ayez tout simplement pas peur maintenant;
ayez foi. J'ai vu le petit enfant se tenir ici il y a quelques
instants. Ayez donc tout simplement foi. Je crois qu'il va se rétablir.
Amen.
L'aimez-vous? De tout notre cœur.
78 Madame, vous avec des cheveux peignés comme ceci,
vous qui portez une veste rose, qui portez des lunettes, vous souffrez
de l'arthrite, vous êtes assise là, croyez-vous que Jésus va vous
rétablir aussi? Vous êtes assise juste là, la ligne derrière cette
dame-là, croyez-vous de tout votre cœur que Jésus va vous rétablir?
Croyez-vous en Lui? Si vous croyez, vous pouvez avoir ce que vous
demandez aussi. Amen. Oh! Il est réel, si vous pouvez croire qu'Il est
réel. C'est vrai. Mais vous devez croire en Lui.
Cette dame assise ici souffre de sinusite.
Croyez-vous, Madame, que Jésus vous guérira de cette maladie de
sinusite? Cette dame assise à côté de vous souffre de varices, celle
qui est assise juste ici derrière. Ne pouvez-vous pas voir? Assurément,
c'est vrai; voilà votre main. Amen. Oh! la souveraineté de Dieu, on
cherche à prendre une personne, on en appelle quatre. N'est-ce pas…
n'est-Il pas merveilleux?
79 Bonsoir. Nous sommes étrangers l'un à l'autre,
Monsieur, n'est-ce pas? Nous sommes étrangers l'un à l'autre. Vous ne
connaissez pas… Vous entendez difficilement, très bien. Venez ici.
Inclinez la tête un instant.
Ô Jésus, Fils de Dieu, il ne nous faut pas voir des
miracles pour croire, Seigneur, la seule chose que nous devons faire,
c'est de savoir que nos cœurs sont purs à Tes yeux. Mais veux-Tu ouvrir
l'oreille de cet homme, afin qu'il entende ce que je dis? Accorde-le,
Père. Si Tu le fais, nous serons reconnaissants. Et maintenant, Père,
sachant que c'est un homme, et qu'il devrait avoir la foi pour
lui-même, mais par la foi je lance un défi à ce démon. Et je t'ordonne,
toi démon de surdité, sors de cet homme, au Nom de Jésus, quitte-le.
80 Vous m'entendez maintenant, n'est-ce pas?
L'aimez-vous de tout votre cœur? [L'homme dit: «Amen.»–N.D.É.]
Maintenant, vous avez recouvré votre ouïe. Voyez? N'est-Il pas
merveilleux? [L'homme dit: «Merveilleux.»] Il l'est assurément. Autre
chose, vous… je vois que vous avez aussi une tumeur, mais Jésus peut
vous guérir, n'est-ce pas? Croyez-vous cela de tout votre cœur? Voyez,
très bien. Votre prénom, c'est Jerry, n'est-ce pas? Mann, c'est votre
nom de famille, vous habitez à Gary, dans l'Indiana. N'est-ce pas vrai,
ça? Votre numéro, c'est 2689 ou 87, 89 quelque chose comme ça. C'est
vrai, n'est-ce pas? Oui oui. Croyez-vous maintenant de tout votre cœur?
Sur la rue Fulton. Maintenant, rentrez directement à la maison, vous
réjouissant et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ. Disons: «Loué soit
l'Éternel». [L'assemblée dit: «Loué soit l'Éternel.»] Madame,
voulez-vous aller prendre votre souper? Oh! ce vieil ulcère vous a déjà
quittée. Allez tout simplement et dites: «Grâces soient rendues à Dieu.»
81 Croyez-vous, Monsieur? Vous savez quoi? Cette
vieille affection asthmatique vous quittera, vous cesserez de tousser
et vous serez rétabli si seulement vous croyez maintenant même.
Croyez-vous de tout votre cœur? Alors allez et cessez de tousser au Nom
de Jésus. Amen.
Venez, Madame. Cette vieille dame a une maladie de
femme qui… Eh bien vous, cela vous dérange depuis longtemps, depuis
très longtemps, à la ménopause. Mais… Est. C'est la vérité, n'est-ce
pas? Très bien, rentrez maintenant à la maison et soyez guérie, au Nom
du Seigneur Jésus.
82 Disons: «Loué soit l'Éternel.» [L'assemblée dit:
«Loué soit l'Éternel.»–N.D.É.] Allez là au bout du chemin et dites:
«L'arthrite m'a quitté.» Amen. Et soyez guéri. Disons: «Loué soit
l'Éternel.» [L'assemblée dit: «Loué soit l'Éternel.»] Allez prendre
votre souper, les maux d'estomac vous ont quitté. Disons: «Loué soit
l'Éternel.» Croyez-vous? Tout est possible à celui qui croit. Si vous
êtes un croyant, vous pouvez recevoir cela. Combien veulent être
guéris, faites voir vos mains. «Si vous pouvez croire.» Je crois
maintenant même.
83 N'amenez pas cette femme, ici, elle se tient près
de moi. Eh bien, écoutez, faisons tout simplement maintenant… Oui oui,
que Dieu vous bénisse là au balcon, vous qui êtes assis et qui regardez
vers moi, vous souffrez des nerfs. Gardez votre main levée. Que Dieu
.bénisse. Oui, l'homme de couleur assis là derrière, vers le fond.
C'est vrai, monsieur, vous avez été guéri tout à l'heure, Jésus-Christ
vous a guéri. Alléluia! J'ordonne à votre foi de regarder, croire et de
communier avec Jésus-Christ. Imposez-vous les mains les uns aux autres
maintenant, nous allons tout régler.
Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur Divin;
Maintenant écoute-moi pendant que je prie,
Ôte tous mes péchés,
Ne me laisse jamais m'écarter,
Loin de Toi.
Jésus, Jésus, mon Seigneur, mon Seigneur, le Nom de
Jésus guérit chacun de vous, Seigneur. Au Nom de Jésus-Christ, que Ton
Esprit se meuve sur cette assistance maintenant même et qu'Il guérisse
chaque personne qui est ici. Satan, tu n'as plus d'emprise sur ce
groupe; sors d'ici. Tu es réprimandé. Au Nom de Jésus-Christ, quitte
cette assistance, et puisse le Saint-Esprit s'occuper de chaque
personne ici et la guérir pour la gloire de Dieu, au Nom de
Jésus-Christ.