Sortir Du Camp

Autres traductions de ce sermon: Sortir du camp - MS
Sortir du camp - Shp
Date: 64-0719E | La durée est de: 1 hour and 25 minutes | La traduction: VGR
doc pdf mp3
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1 Restons debout un petit instant.
Dieu bien-aimé, nous Te sommes reconnaissants de cet autre privilège que nous avons de nous tenir dans la maison de Dieu et d’adorer le Dieu vivant. Nous sommes si reconnaissants de ce que ce privilège nous soit encore accordé dans ce pays. Et alors, aussi, nous avons de la reconnaissance pour ces gens fidèles, Seigneur, qui ont parcouru de nombreux milles, des centaines de milles, beaucoup d’entre eux. Et certains d’entre eux vont essayer de–de rentrer en hâte ce soir, en roulant sur les routes nationales, et le long de la route nationale. Ô Dieu, je Te prie d’être avec eux et de les aider. Guide-les, ô Père. Nous Te remercions de nous avoir envoyé cette petite averse qui a rafraîchi l’air temporairement.

2 Et, Père, nous Te prions de venir nous rencontrer ce soir, dans Ta Parole. En effet, c’est pour ça que nous nous sommes rassemblés, Seigneur, c’est pour Te rencontrer dans la Parole. Aide-nous, Seigneur, afin que notre rassemblement soit tellement utile à Ton Royaume, et que nous soyons tellement secourus, que nous puissions venir au secours des autres. Accorde-nous ces choses, que nous demandons au Nom de Jésus. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.

3 Je sors de quelques entretiens privés. Et, juste avant que la réunion commence; Billy m’en avait donné toute une–une pile, tellement que je–je ne savais pas trop par où commencer. Mais nous prions Dieu de–de vous bénir pour cet effort que vous avez fait de rester pour la réunion du soir.

4 Maintenant, Dieu voulant, dimanche matin prochain, je ferai une–une autre réunion. Je viens d’en parler au pasteur, et cela leur convient.

5 Et maintenant, je voudrais avoir le temps de souligner la présence de tous mes bons amis qui sont ici, mais je sais que vous attendez. Il fait chaud. Alors je–je ne prendrai pas le temps de le faire, et–et je vais me contenter de dire ceci : “Que Dieu vous bénisse.”

6 Vous savez, je ne connais pas de plus grand souhait qu’on pourrait formuler pour moi que de dire : “Que Dieu vous bénisse.” Voyez? S’Il fait ça, c’est tout ce qu’il me faut, juste–juste ça. Je trouve que c’est la plus belle parole du–du système linguistique : “Que Dieu vous bénisse.” Et, bon, et je sais qu’Il le fait.

7 Et comme je le disais à ma femme il y a quelques instants. Je–j’essayais de prendre un bain, et je n’arrivais pas à me sécher. Je–je m’essuyais, et après j’étais encore mouillé. Je m’essuyais, et je n’arrivais même pas à mettre ma chemise. C’est un peu différent à Tucson. Il fait à peu près deux fois plus chaud qu’ici, mais ce qu’il y a, c’est qu’on–qu’on n’a pas de sueur. Il n’y a aucune–il n’y a aucune humidité dans l’air, alors ça s’évapore dès qu’on sort. On met un bassin d’eau là, et il n’y en a plus. On ne peut pas transpirer, parce que c’est tout simplement absorbé avant qu’on–qu’on puisse transpirer. On transpire, oui, mais ça ne se voit jamais. Alors, ici, j’ai essayé, je me suis donné un mal fou pour me sécher. Alors, et–et je suis trempé en ce moment.

8 J’étais là-bas dans la pièce, et nous y avons fait venir sept ou huit personnes, des cas urgents, et, qu’il fallait voir tout de suite.

9 Maintenant, la raison pour laquelle je vous retiens ici, et que je vous demande de–de venir, c’est parce que je–je considère que c’est–c’est utile pour nous. Je–je ne ferais pas ça, mes amis. Je–j’ai trop d’estime pour vous, pour faire ça, juste de venir pour–pour entendre parler quelqu’un, ou pour écouter ce que moi, je pourrais avoir à dire, ou quelque chose. Je–je ne ferais pas ça. Ce ne serait pas bien. Ce ne serait pas de montrer que je vous aime, juste de venir comme ça. Et je ne crois pas que vous venez... Même si je sais que vous m’aimez, comme moi je vous aime. Et–et alors, je–je–je le sais, sinon vous ne feriez pas les choses que vous faites. Alors, j’ai assez d’estime pour vous, je ne vous garderais pas assis où il fait chaud et tout, comme ceci, si je ne pensais pas que ce serait quelque chose qui puisse vous aider.

10 Aussi, avant de venir, je fais toujours de mon mieux, devant Dieu, pour choisir un petit quelque chose, un passage de l’Écriture, quelque chose, et je demande Sa conduite, la dernière chose avant de sortir. “Viens au secours, Seigneur Dieu, d’une manière ou d’une autre, donne–donne tout ce que Tu peux à ces chères gens.”
Et je m’y attends, et je le crois vraiment, que je vais vivre pour toujours avec vous. Je crois que maintenant c’est le moment le plus court que nous avons, celui où nous sommes ensemble comme ceci. Nous serons ensemble dans l’Éternité. Voyez? Je le crois; je–je–je crois cela.
Et je veux vous aider. Et je, si je dis quelque chose de mal, le Père Céleste sait que ce n’est pas volontairement que je le fais, c’est que je le fais sans m’en rendre compte; je le ferais par ignorance.

11 Par conséquent, sachant que vous êtes sous ma responsabilité, et à ma charge, pour la cause de l’Évangile, je veux toujours vous garder ancrés dans les pages de cette Bible. Et–et je...
Bien des fois, des gens sont venus me voir, et m’ont dit : “Frère Branham, si vous voulez seulement venir ici et dire ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR’ à mon petit enfant qui est malade, il guérira. Aller là-bas et seulement dire : ‘Il guérira’, c’est tout ce que je veux que vous fassiez.”

12 Or, ça, c’est noble, c’est beau. Combien j’apprécie! Mais, vous savez, je ne peux pas faire ça, tant qu’Il ne me l’a pas dit d’abord. Voyez? Je peux prier pour l’enfant, faire tout ce que je peux.
Mais, voyez-vous, qu’est-ce qui se passerait si j’y allais dans un élan d’enthousiasme, et que je disais ça? Voyez-vous, si je disais : “AINSI DIT LE SEIGNEUR”, en réalité ce serait seulement “ainsi dit mon enthousiasme”. Voyez? Voyez? Et, à ce moment-là, ça pourrait arriver, et ça pourrait ne pas arriver. Mais ensuite, qu’est-ce qui se passerait si cette même personne était sous l’effet de mon enthousiasme, et que la chose n’arrive pas? Alors, il se pourrait que cette personne se retrouve dans une–une circonstance où c’est parfois une question de vie ou de mort, alors où serait leur confiance? Ils auraient peur que j’aie encore un élan d’enthousiasme. Voyez?
Donc, quand je le dis, je veux être tout à fait convaincu que c’est exact, parler en connaissance de cause. Et puis, quand Il me parle, je peux seulement dire ce qu’Il m’a montré. Que ce soit bon ou mauvais, je dois le dire. Et parfois, ce–ce n’est pas agréable de dire ces choses aux gens. Mais pourtant, il est autant de mon devoir de dire aux gens les–les choses mauvaises qui vont leur arriver, qu’il est de mon devoir de leur dire les bonnes choses qui vont leur arriver.

13 Après tout, nous voulons la volonté du Seigneur. Parfois, la volonté du Seigneur va à l’encontre de nos désirs. Mais, quand même, si nous voulons la volonté du Seigneur, c’est tout aussi précieux de savoir que le malheur nous arrivera, si c’est la volonté du Seigneur. Que ce soit le bien ou le malheur, c’est la volonté du Seigneur que nous voulons voir s’accomplir. Et je sais que c’est comme ça que nous voyons la chose.

14 Bon, je–je sais que les frères ici, d’habitude ils prêchent un message de trente minutes, vingt à trente minutes, le dimanche soir. Et je–je ne sais pas si je peux arriver à faire ça ou pas, alors je–je vais simplement faire de mon mieux.

15 Maintenant, je pense qu’il y aura un service de baptêmes tout de suite après. On m’a dit qu’ils ont baptisé un grand nombre de personnes ce matin. Il se fait des baptêmes continuellement ici, tout le temps. Des prédicateurs, des méthodistes, des baptistes, des presbytériens, des gens de l’église de Dieu, des luthériens, et quoi encore, qui viennent se faire baptiser au Nom du “Seigneur Jésus-Christ”.
Et devant Dieu, quand je devrai comparaître au Tribunal du Jugement, j’aurai à répondre de cela. Et si j’étais aussi convaincu, dans ma pensée, du bien-fondé de tout, dans ma vie, autant que je le suis de cela, je serais prêt pour l’Enlèvement à l’instant, car je sais que c’est la Vérité de l’Évangile. Voyez? C’est la Vérité.

16 Il n’y a pas un seul passage de la Bible où qui que ce soit ait jamais été baptisé autrement qu’au Nom de Jésus-Christ. Le mandat de “Père, Fils et Saint-Esprit”, c’est seulement... “Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au Nom du Père, Fils, Saint-Esprit.” Non pas au... non pas de citer ce titre sur eux, mais de les baptiser au Nom du Père, Fils, Saint-Esprit, ce qui est “le Seigneur Jésus-Christ”.

17 Dans la Bible, tout le monde a été baptisé au Nom de Jésus-Christ. Et la Bible dit que “quiconque En retranchera une seule Parole, ou Y ajoutera une seule parole, de quelque manière que ce soit, malheur à eux”. Alors, j’ai déjà bien assez à craindre, sans ajouter quelque chose ou retrancher Quelque Chose de l’Écriture.
Ça m’a attiré des ennuis bien des fois, mais je m’en tiens strictement à cela. Il est ma haute retraite. C’est ce qui m’a obligé à me séparer de beaucoup d’amis. Ils ont coupé les ponts avec moi à cause de cela. Mais pourvu que je conserve cet Ami-ci, le Seigneur Jésus! Et Il est la Parole. Peu importe, que le sentier soit rugueux, le chemin difficile, Il est passé par là aussi. “Et s’ils appellent le Maître de la maison ‘Béelzébul’, à combien plus forte raison appelleront-ils ainsi ceux qui sont Ses disciples!”

18 Maintenant, que le Seigneur soit avec vous tous, qu’Il vous bénisse tout au long de cette semaine, et qu’Il vous donne ce que je peux demander de mieux à Dieu pour vous, c’est là ma prière.
Maintenant nous allons lire dans la précieuse Parole.

19 Et–et maintenant souvenez-vous, encore, mercredi soir... Est-ce qu’il y aura réunion de prière au milieu de la semaine, ou quelque chose? [Frère Neville dit : “Mardi, réunion de prière dans un foyer, lundi et mardi soir.–N.D.É.] Lundi et mardi soir, il y aura réunion de prière dans un foyer. Je suppose que les gens sont au courant.

20 Frère Junior Jackson, est-il dans le bâtiment? Je... Frère Jackson, je ne... [Frère Neville dit : “Oui, juste ici.”–N.D.É.] Il est ici, Frère Jackson. Bien. Je–je... Il y a un autre Frère Jackson ici, je...
Et Frère Don Ruddell, est-il dans le bâtiment ce soir? Frère Don, juste ici.
Et beaucoup d’autres frères, je vois les frères ici, de l’Arkansas, et de la Louisiane, et–et de différents endroits un peu partout dans le pays.

21 Et il y a des frères âgés qui sont ici ce soir, aussi. Il y a Frère Thomas Kidd, assis ici sur la droite, qui aura quatre-vingt-quatre ans dans quelques jours. Il y a à peu près trois ou quatre ans, on l’avait opéré de la prostate et il se mourait du cancer. Le médecin l’avait tout simplement condamné. J’ai failli donner le coup de grâce à ma vieille voiture, pour venir jusqu’à lui, là-bas dans l’Ohio. Et le Seigneur Jésus l’a guéri, Il lui a redonné la santé et l’a rétabli. Et le voici, lui et sa petite compagne, ce soir. Beaucoup d’entre vous les connaissent; peut-être que certains ne les connaissent pas. Mais voici un homme et une femme qui prêchaient l’Évangile avant que je sois né. Pensez-y, et moi, je suis un vieil homme. Voyez? Alors, je les regarde, et de voir qu’ils sont encore actifs, je reprends courage.
Tous, nous connaissons Frère Bill Dauch, assis ici, au coin.

22 Et, oh, combien nous sommes reconnaissants de toutes les grandes bénédictions de Dieu! Puissent-elles continuer à être avec nous jusqu’à ce que cette dernière trompette sonne, et, vous savez, “nous serons tous ensemble enlevés à la rencontre du Seigneur dans les airs”. Pensez-y! Des gens disparus; on ne vous voit plus, mais vous vous rassemblez avec le reste du groupe.
“Les vivants, qui seront restés pour la Venue du Seigneur, ne devanceront pas, ou ne feront pas obstacle”, c’est ça le mot, “à ceux qui se sont endormis”, pas qui sont morts. Non, les Chrétiens ne meurent pas. Ils prennent seulement un peu de repos, voyez-vous, c’est tout. Oh! la la! “Et la trompette de Dieu sonnera, et les morts en Christ ressusciteront premièrement”, ils apparaîtront à un grand nombre de personnes. Et tout à coup, vous êtes simplement là à regarder, et, eh bien, voilà un frère, alors vous savez que ça ne va pas tarder. Quelques minutes, et “nous serons changés, en un instant, en un clin d’oeil. Et avec eux, tous ensemble, nous disparaîtrons de la terre, enlevés à la rencontre du Seigneur dans les airs”.

23 Et de penser, avec tout ce que nous avons vu dans les Écritures, et les confirmations claires de l’heure où nous vivons : ça pourrait arriver avant la fin de la réunion, pensez un peu à ça, ce soir même.
Alors, sur cette base-là, nous abordons Sa Parole, alors que nous prenons dans Hébreux, chapitre 13, et nous allons lire du verset 10 au verset 14. D’Hébreux 10, et... ou, ou, pardon. Hébreux 13.10 à 14.

24 Maintenant, comme je l’ai déjà dit, nous, quand nous promettons fidélité à la patrie devant notre drapeau, ce qui est très bien, je... Nous nous levons toujours, pendant que nous promettons fidélité à la patrie. Et tous les autres événements importants, nous–nous nous levons par respect pour, ou nous faisons un salut, et tout, pour notre pays. Et quand ils jouent The Star-Spangled Banner [l’hymne national américain–N.D.T.], nous nous tenons au garde-à-vous.

25 Aussi, nous qui sommes des soldats Chrétiens, tenons-nous au garde-à-vous, pendant que nous lirons la Parole de Dieu. Écoutez attentivement la lecture de la Parole. La raison pour laquelle j’aime La lire : mes paroles pourraient faillir, mais pas les Siennes. Alors, si je lis Sa Parole, seulement cela, vous serez bénis. Le verset 10 du chapitre 13 d’Hébreux. Nous avons un autel dont ceux qui font le service au tabernacle n’ont pas le pouvoir de manger. Les corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le souverain sacrificateur, pour le péché, sont brûlés hors du camp. C’est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte. Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre. Car nous n’avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir.

26 Seigneur Dieu, Toi qui es le responsable de cette Parole, et qui es responsable de t’En être occupé tout au long des âges, pour voir à ce qu’Elle parvienne jusqu’à nous sans mélange. C’est la pure Parole de Dieu, vierge. Nous La chérissons tellement dans nos coeurs en ce moment. Romps ce texte, Seigneur, pour nous en donner le contexte ce soir; afin que nous, les enfants de l’homme, nous puissions comprendre ce que Dieu veut de nous. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

27 Mon sujet de ce–de ce soir, c’est : Sortir du camp. C’est quelque chose comme petit sujet, un peu bizarre, mais, vous savez, d’habitude on trouve Dieu dans des choses bizarres. Le monde s’encroûte tellement dans ses habitudes, que tout ce qui sort de la tendance habituelle devient quelque chose de bizarre.
Comme j’ai prêché ici, il y a quelques jours, ici au Tabernacle, sur : Le drôle d’oiseau. Le fermier est un drôle d’oiseau pour l’homme d’affaires; l’homme d’affaires est un drôle d’oiseau pour le fermier. Le Chrétien est un drôle d’oiseau pour le croy-... l’incroyant, et ainsi de suite. Il faut bien être le fou de quelqu’un. Alors, tout ce qui sort de l’ordinaire, vous devenez un peu comme un fou, par rapport à la–la tendance habituelle.

28 Et c’est pourquoi le peuple de Dieu, et Ses prophètes, et Ses–Ses messagers, au long de l’âge, qui ont porté Son Message qui venait de la Parole, ils ont passé pour fous, aux yeux de ceux de l’extérieur.

29 Noé était un fou, aux yeux de ce monde très intellectuel auquel il prêchait. Noé... Certainement qu’il était un fou aux yeux de Pharaon; il avait son pied sur le trône, et ensuite il y a renoncé, pour une bande de tripoteurs de boue, voilà ce qu’ils pensaient. Et Jésus était un fou aux yeux des gens. Et tous les autres, qui ont oeuvré et vécu pour Dieu, ils ont passé pour fous. Ils ont été obligés de sortir du camp où ils étaient.

30 De plus en plus, j’ai des raisons de croire que les gens ne parviennent pas jusqu’à Christ.
Bon, je suis ici pour essayer d’aider, par tous les moyens possibles, et pour être aussi clair que possible dans ce que je vais vous énoncer. Et je vous demande de bien vouloir être patients avec moi.

31 Comme je regarde et que je prêche d’un bout à l’autre du pays, et que j’observe les gens, je–je suis tout à fait convaincu que les gens ne parviennent pas jusqu’à Christ. Et je crois que c’est l’ennemi qui met des bâtons dans les roues. En effet, la raison pour laquelle je crois ceci : ce n’est pas Lui l’objet vers lequel ils ont été dirigés. Ils ont été dirigés, soit vers un–un–un dogme, une doctrine, un parti, une expérience, une sensation, ou quelque chose comme ça, au lieu d’être dirigés vers Christ, la Parole.
C’est pour ça, je pense, que les gens font reposer leur destination Éternelle sur un dogme quelconque, ou sur une sensation quelconque. Par exemple, certains disent : “J’ai dansé par l’Esprit. Je–j’ai parlé en langues. Je–je–j’ai senti du feu partout sur moi.” Savez-vous que toutes ces choses-là peuvent être imitées par le diable?

32 Il n’y a qu’une seule chose qu’il ne peut pas imiter, c’est la Parole. Pendant le débat entre lui et Jésus, Jésus l’a vaincu à tous les coups : “Il est écrit”, la Parole!
Et je crois, aujourd’hui, que la raison pour laquelle les gens ne viennent pas à Christ, c’est parce qu’ils sont dirigés, beaucoup d’entre eux, vers une–une–une dénomination. “Venez adhérer à notre église.” Ou : “Lisez notre catéchisme”, ou : “Croyez notre doctrine”, ou–ou un genre de système quelconque. On leur indique la mauvaise direction. Et leurs actions et la vie qu’ils mènent sans Christ, prouvent, par leur propre vie, c’est confirmé par cela même.

33 Par exemple. Je ne veux pas blesser qui que ce soit. Mais, en parcourant le pays dans tous les sens, j’ai condamné les cheveux courts chez les femmes. C’est la Bible. J’ai condamné le port des shorts chez les femmes, l’utilisation des produits de maquillage. Et à chaque année, c’est pire. On voit par là qu’il y a un autre doigt quelque part, qui leur indique une autre direction. Elles ne parviennent pas jusqu’à Christ.

34 Elles disent : “Nous faisons partie d’une église. Notre église ne...” Ce que votre église croit, ça n’y change rien.
Dieu a dit : “C’est mal.” Et si elles parvenaient vraiment jusqu’à Christ, elles arrêteraient de faire ça. Et ce n’est pas tout, mais l’homme prendrait position, s’il parvenait jusqu’à Christ, et il s’opposerait à ces choses. Les maris ne permettraient pas à leurs femmes d’agir comme ça. Un vrai homme ne veut pas que sa femme agisse comme ça.

35 Un jeune homme de la ville, ici, l’autre jour, a failli tuer deux garçons. Ils étaient à un certain poste d’essence. Les gens de Jeffersonville, vous avez vu ça dans le journal. Voilà cette jeune fille qui se présente à un poste d’essence, avec presque rien sur le dos, du tout, et les deux jeunes hommes qui étaient assis là ont passé un commentaire. Et le pompiste a failli tuer les deux garçons; il a été arrêté à cause de ça, et poursuivi en justice. Le juge lui a demandé : “Pourquoi avez-vous... s’est-elle habillée comme ça?”
Il a dit : “Moi, je la trouve mignonne.”

36 Or, il y a quelque chose qui ne va pas chez cet homme-là. Peu m’importe qu’il soit un... Même s’il est un pécheur, il y a quelque chose qui ne va pas chez lui. Son amour envers cette femme-là ne peut pas être authentique, et qu’il la laisse s’exhiber en appât pour les chiens, comme ça. Il y a quelque chose qui ne va pas. Est-ce que les hommes n’ont encore jamais compris qu’ils pouvaient juger entre ce qui est bien et ce qui est mal?

37 Avez-vous vu les nouveaux maillots de bain qu’ils ont sortis? Êtes-vous au courant de la prédiction que j’ai faite, que les femmes finiraient par en venir aux feuilles de figuier, il y a trente-trois ans de ça? Et maintenant, on les habille avec des feuilles de figuier, des jupes transparentes. La Parole du Seigneur ne faillit jamais. Voyez? Et la chose devait se produire juste avant le temps de la fin : en venir de nouveau à une feuille de figuier. Je le lisais dans le magazine Life. Cela a été prononcé il y a trente-trois ans, avant que les femmes sombrent dans la déchéance. Il a été dit comment elles agiraient en ce jour-ci, et les voilà. Qu’elles porteraient des vêtements d’homme, et qu’elles... L’immoralité de la femme, que ça dégénérerait dans cette nation.

38 La plus dégradée de toutes les nations du monde, c’est l’Amérique, ici. C’est la plus souillée de toutes. Ça, c’est selon les statistiques. Le pourcentage des mariages et divorces dans cette nation est plus élevé que partout ailleurs dans le monde. Et les autres nations prennent exemple sur nous. Avant, nous prenions exemple sur la France, la souillure et la saleté de cette nation-là; maintenant ils s’inspirent de nous en matière d’habillement. Nous avons dépassé leurs limites à eux.

39 Je sais qu’il y a une raison pour laquelle les gens ne parviennent pas jusqu’à Christ. S’ils le faisaient, ils n’agiraient pas comme ça.
Jésus a souffert hors des portes, afin de sanctifier Son peuple par Son propre Sang. Sanctification, ça vient d’un mot grec, composé, qui veut dire “nettoyé et mis à part pour le service”. Et quand Dieu nettoie Son peuple par le Sang de Jésus, Il les nettoie de la souillure du monde et Il les met à part pour le service.
C’est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte.

40 Même les gens du Plein Évangile, ils sont retombés dans les ornières mêmes d’où ils étaient sortis. L’église pentecôtiste, comment était-elle il y a quarante ou cinquante ans? Ils maudissaient, condamnaient et tournaient en dérision les églises dont ils étaient sortis, ces dénominations-là. Qu’est-ce qu’ils ont fait? “Exactement comme un chien à ce qu’il a vomi, et une truie à son bourbier”, ils sont retournés directement à l’endroit d’où ils avaient été tirés, et maintenant leurs églises sont tout aussi souillées que les autres.

41 C’était quelque chose, comme je le disais ce matin. Comme, les gens sont comme Pierre, qui disait, dans–dans Matthieu 17.4 à 8, où il disait : “Il est bon que nous soyons ici. Dressons trois tentes.”

42 Mais l’Esprit leur a dit de ne pas le faire. Il a dit : “Celui-ci est Mon Fils bien-aimé : écoutez-Le!”, et Il est la Parole. C’est Lui que nous devons considérer, la Parole, et non notre enthousiasme, ou quelque chose d’autre. “Il est Ma Parole : écoutez-Le!” Et qu’est-ce qu’ils ont vu, après que cette Voix leur a parlé? Même Moïse et Élie n’étaient pas là; il n’y avait pas de credo non plus; il ne restait plus que Jésus seul, et Il est la Parole. C’est tout ce qu’ils ont vu.
Donc, “Sortir hors du camp.”

43 Nous voyons que sur l’emplacement de leur camp, à l’occasion de cet événement glorieux, là-haut sur la montagne de la Transfiguration, que Pierre a appelée plus tard “la sainte montagne”, c’est là qu’Il est venu les rencontrer. Or, je ne crois pas que l’apôtre voulait dire que la montagne était sainte; il voulait dire qu’il y avait un Dieu saint sur la montagne.
Ce n’est pas la sainte église; ce ne sont pas les gens saints. C’est le Saint-Esprit dans les gens. Le Saint-Esprit est saint. Il est votre directeur et votre conducteur.

44 Et nous voyons, sur l’emplacement de ce petit camp, là-haut sur la montagne de la Transfiguration, quand ils ont reçu le mandat d’écouter, le seul mandat qu’ils ont reçu, c’était d’écouter la Parole. Tout ce qu’ils ont vu, ce n’est pas un credo. Ils n’ont absolument rien vu d’autre que Jésus, et Il est la Parole faite chair.
Comme c’est beau, le même camp, par rapport à celui qu’il y avait dans le jardin d’Éden. Quand Dieu a fortifié Son Église dans le jardin d’Éden, Son peuple, il y avait un seul mur derrière lequel ils devaient se retrancher, c’était la Parole. Ils avaient un seul bouclier, une seule armure, une seule chose, parce que Dieu savait ce qui allait vaincre le diable, et c’est la Parole.

45 Jésus a fait la même chose. “C’est la Parole; il est écrit.” Et Satan a essayé de–de L’enrober, non pas de La citer; de La Lui enrober. Et Jésus a dit : “Il est aussi écrit.” Or, nous devons nous en tenir à cette Parole!

46 Et dans ce petit camp qu’ils avaient là : Pierre, Jacques et Jean; et Jésus, Moïse et Élie. Et dans leur camp, ils ont vu l’armée Céleste, l’ombre, ou la Colonne de Lumière suspendue dans cette nuée qui a transfiguré le Seigneur Jésus. Et au moment où ils étaient prêts à former une dénomination, une pour la loi, et une pour les prophètes, et ainsi de suite, la Voix a dit : “Celui-ci est Mon Fils bien-aimé : écoutez-Le!” Donc, le mandat qu’ils ont reçu, c’était exactement le même qu’en Éden : “Tenez-vous-en à la Parole!” C’est ça le camp de Dieu pour Son peuple.

47 Il semble qu’aujourd’hui, c’est un jour où les gens sortent des limites du camp. Dans tout, ils sortent des limites.

48 Vous savez, il y a quelque temps, on m’a dit que maintenant ils ont un avion à réaction qui peut... c’est ce qui fait ce vacarme qu’on entend dans les environs, ce qui fait trembler les fenêtres. C’est quand l’avion a pris tellement de vitesse qu’il franchit son propre son, ce qu’on appelle le mur du son. Et quand il franchit le mur de son propre son, il n’y a presque aucune limite à ce qu’il peut faire.
Et je pense que nous tirons une leçon de là. Quand nous franchissons le mur de notre propre son, pour entrer dans la Parole de Dieu, alors il n’y a aucune limite à ce que Dieu peut faire, avec un homme qui est prêt à sortir du camp, du camp de l’homme, j’entends. Maintenant, nous voyons là, sortir du camp, sortir de ceci.

49 Je vois que Satan, lui aussi, il entraîne son peuple à sortir du camp de la raison, à sortir du–du–du–du camp du–du bon sens. Satan qui entraîne son peuple à sortir du camp, de l’autre côté; Dieu qui entraîne Son peuple à sortir du camp, de cet autre côté, ici. Et Satan les a fait sortir du camp de la simple décence. Quand on en arrive au point où les gens... et qu’ils puissent se conduire et agir, et s’en tirer, en faisant les choses qu’ils font aujourd’hui, côté moralité. Je n’arrive pas à concevoir qu’un homme puisse exhiber sa femme, habillée comme ça, et ensuite claquer quelqu’un pour l’avoir insultée. Cela dépasse les limites du bon sens. Il devrait faire preuve de plus de jugement. Cela dépasse les limites de la simple décence! Où est le point d’arrêt?

50 Vous qui avez mon âge, homme ou femme, je pourrais vous demander ceci. Qu’est-ce qui serait arrivé si ma mère ou votre mère, il y a une cinquantaine d’années, était sortie dans la rue, en portant un de ces shorts, ou un bikini, ou le nom que vous donnez à ça? La police les aurait ramassées immédiatement, et les aurait fait enfermer à l’hôpital psychiatrique. Une dame qui serait sortie de chez elle en sous-vêtements, elle devrait être à l’hôpital psychiatrique, parce qu’il y a quelque chose qui ne va pas mentalement. Et si c’était de la déficience mentale de faire une chose pareille à l’époque, c’est certainement le signe que la folie s’est installée quelque part. C’est encore de la déficience mentale, c’est de franchir les limites de la raison. De la souillure!

51 Et quand un homme peut fumer la cigarette, alors que les médecins lui prouvent que des milliers de gens meurent chaque année à cause de ça, et qu’il va quand même continuer à tirer des bouffées de cigarette, on dirait bien qu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, mentalement, chez cet homme-là.
Et quand un homme est frappé d’une commotion mentale, et qu’il ne... n’arrive pas à reprendre ses sens, ses activités, il va passer tous les cabinets de médecin du pays, pour trouver ce qui ne va pas chez lui. Mais, par contre, il restera au bar ou dans sa voiture, et il boira jusqu’à ce qu’il soit complètement fou; il dépensera son argent pour s’enfoncer là-dedans. Et s’il se retrouvait dans cet état-là sans l’intoxication de l’alcool, alors il dépenserait tous les sous qu’il peut trouver, dans le cabinet du médecin, à essayer de trouver ce qui ne va pas chez lui. Ça ne tient pas debout.

52 Si un faucon volait au-dessus de la ville, et que je prenais ma carabine, que j’allais dans ma cour de derrière et que je tirais sur ce faucon, dix minutes plus tard je serais en prison. On me ferait arrêter “pour–pour conduite déréglée; d’avoir manié une arme à feu en ville; d’avoir mis en danger la vie des gens, avec une carabine, en tirant en l’air sur ce faucon”. Je pourrais tuer quelqu’un, c’est ce qu’ils diraient. “Il faut le faire enfermer.”
Et ensuite, ils vont vendre assez d’alcool à un homme pour qu’il s’enivre, et ils vont l’installer dans une voiture où il pourrait tuer une famille tout entière. Et quand il se fait prendre, il écope d’une amende de cinq dollars. Un meurtre avec préméditation! Qu’est-ce qu’il a, ce monde? Il y a quelque chose qui cloche quelque part.

53 Alors, “sortir du camp”, des limites de la décence, des limites de la raison.
Si vous remarquez, nos politiciens d’aujourd’hui ne disent pas un mot sur le sujet de la lecture de la Bible à l’école. Ils ont peur. Ils ne savent pas dans quelle direction le vent souffle. Ils ne savent pas s’ils y perdraient au vote, ou pas. Nous avons besoin d’un autre Abraham Lincoln. Nous avons besoin d’un autre John Quincy Adam. Nous avons besoin de quelqu’un qui va prendre position, sans se préoccuper de la direction du vent, et exprimer franchement ses convictions.

54 Aujourd’hui, un prédicateur dénominationnel, vous aurez beau lui montrer dans la Parole la Vérité, il ne sait pas quoi faire. Il a peur de perdre son gagne-pain. Nous avons besoin d’hommes et de femmes, aujourd’hui, qui soient forts dans l’Évangile, quelqu’un qui va se tenir là et qui exprimera ses convictions, qui indiquera ce qui est bien et ce qui est mal, si c’est la Parole de Dieu qui a raison ou si c’est la dénomination qui a raison.

55 Jésus a dit : “Que toute parole d’homme soit un mensonge, et que la Mienne soit la Vérité. Les cieux et la terre passeront, mais Mes Paroles ne passeront jamais.”

56 Alors, vous voyez, ils sortent du camp de la Parole de Dieu, pour trouver leur réponse. Quand il... les a persuadés de sortir du camp de la Parole de Dieu : ce qu’il avait fait à Ève dans le jardin d’Éden, Satan a fait la même chose aujourd’hui. Bien. C’est ce que nous voyons. Les gens se laissent persuader de sortir hors du camp pour aller dans leurs dogmes et leurs crédos, dans leur camp de dogmes et de crédos. Eux aussi ils ont un camp; et c’est comme ça qu’ils se retrouvent dans son camp à lui. Son camp, c’est celui de l’instruction, de la théologie, des oeuvres, du doctorat, de l’éducation, de la personnalité, tout ce qui s’oppose au camp de la Parole de Dieu. Dieu a un camp pour Son peuple. Les dénominations ont leur propre camp.

57 Il y a trois mille ans, un homme pouvait rencontrer Dieu presque n’importe où. C’était chose courante pour un homme de rencontrer Dieu. Mais pourquoi ne Le rencontrent-ils pas aujourd’hui? Il y a plus de gens, des milliers de milliers et des millions de gens de plus qu’il y a trois mille ans, et pourtant Dieu est une espèce d’antiquité dont on a déjà parlé, de l’histoire ancienne. Les gens ne rencontrent pas Dieu en personne, comme ils le faisaient il y a bien des années, comme je le disais, trois mille, environ trois mille ans. Ils ne... Ce n’est pas courant pour un homme de rencontrer Dieu. Si un homme en parle, il passe pour un fou, quelqu’un qui a perdu la tête. C’est tellement inhabituel pour eux!

58 Dans le cas d’Abraham, et dans son camp, mais, c’était presque un fait journalier pour Abraham de rencontrer Dieu. Il Lui parlait. Non seulement cela, mais quand ils sont allés à Guérar, faire un séjour là-bas, nous voyons que, là-bas, Dieu était dans la camp avec Abimélec, un Philistin. C’était chose très courante. Ils vivaient dans le camp de Sa Présence.
Aujourd’hui, ils vivent dans leur propre camp, et ils n’ont aucuns rapports avec le camp de Dieu. Ils ne veulent avoir aucuns rapports avec lui, parce que, pour le monde, c’est du fanatisme. Pour eux, c’est du fanatisme. Mais, souvenez-vous, quand Dieu a établi le premier camp pour les gens, Il les a fortifiés par Sa Parole. C’est toujours ce qu’Il fait. Mais aujourd’hui, dans leurs camps, ce n’est pas ce qu’ils font. C’est pour cette raison qu’on n’entend pas beaucoup parler de Dieu. Or, je crois que le–que le camp...

59 Moïse, par exemple, la façon dont Il a rencontré Moïse dans le désert. Moïse avait un camp là-bas, où il faisait paître les brebis de son beau-père, Jéthro, derrière le désert. Et un jour, ce vieux berger de quatre-vingts ans, il a vu une Lumière, une Colonne de Feu dans un buisson, qui brûlait. Et il a rencontré Dieu; un homme qui fuyait Dieu.
Le lendemain. Parfois, de rencontrer Dieu, ça vous fait faire des choses bizarres. Moïse, le lendemain, il était très bizarre. Il a fait asseoir sa femme à califourchon sur un mulet, avec un bébé sur la hanche; et, avec sa longue barbe qui pendait, un bâton tordu à la main, il est parti en Égypte, pour prendre le contrôle du pays. Ça, c’était vraiment ridicule à voir!
“Où vas-tu, Moïse?
– Je m’en vais en Égypte.
– Pourquoi?

60 – Pour prendre le contrôle!” Il avait rencontré Dieu. Une invasion par un seul homme. Ça semblait vraiment très étrange. Mais, ce qu’il y a, c’est qu’il a réussi, parce qu’il avait rencontré Dieu. C’est comme une seule personne qui irait prendre le contrôle de la Russie; c’est tout ce qu’il faut, une seule personne dans la volonté de Dieu. Moïse était dans la volonté de Dieu. Et c’était un bâton tordu qu’il avait à la main, pas une épée; un bâton. Les choses inhabituelles que Dieu fait.

61 Mais, souvenez-vous, Moïse a dû sortir du camp où il avait vécu, pour accomplir ceci; en effet, il avait été là-bas, avec toute une armée, et il n’avait pas réussi. Avec toutes les armées de l’Égypte, il n’avait pas réussi. Mais un jour, Dieu l’a invité à venir dans Son camp.
Il a dit : “Qui es-Tu?”

62 Il a dit : “JE SUIS CELUI QUI SUIS.” Non pas : “J’étais, ou Je serai.” Au temps présent : “JE SUIS! Je suis le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. J’ai entendu les cris du peuple, et Je me souviens de Ma promesse, et c’est le moment où elle doit s’accomplir. Je t’envoie, Moïse, avec ce bâton que tu as à la main.”

63 Qu’est-ce qu’il y a eu? Il, bon, les gens ont pensé qu’il était fou. Mais qu’est-ce qu’il avait fait? Il était sorti de son propre camp. Pharaon l’avait instruit pendant quarante ans dans le camp de l’école, et il avait échoué. Et Dieu a mis un autre quarante ans pour sortir tout cela de lui. Toute son instruction et toute sa théologie, ce qu’il avait appris, il a fallu quarante ans pour faire sortir tout cela de lui. Et ensuite, Dieu l’a utilisé pendant quarante ans.

64 Dieu a beaucoup de mal à préparer Son homme. Mais, vous voyez, Il n’a jamais pu avoir Moï-... l’emprise sur Moïse, tant que Moïse n’est pas sorti de son propre camp fait de main d’homme, sorti de la manière militaire de faire les choses, et de la manière naturelle de faire les choses, pour se tourner vers la manière surnaturelle de faire les choses. Ensuite, quand il est entré dans ce camp-là, Dieu a pu l’utiliser.

65 Maintenant, nous voyons que dans ce désert... Nous remarquons, quand ils ont pris, et, pris position, et qu’ils sont sortis de l’Égypte, pour entrer dans le camp de Dieu; ils sont sortis du camp des sacrificateurs et de tous ceux qui leur disaient : “Vendez-vous comme esclaves, pour le temps qu’il vous reste.” Quand Moïse, le prophète, est venu et qu’il a confirmé que la Parole de Dieu était proche, que Dieu, qui avait fait la promesse, était là pour délivrer les gens, ils sont sortis du camp où ils se trouvaient, pour entrer dans le camp de la Parole promise de Dieu, de l’heure. Ils ont cru ce prophète-là, parce que le signe, la confirmation, prouvait qu’il s’agissait précisément de la Parole de Dieu. Et les choses qu’il a faites ont prouvé que c’était juste, et la Colonne de Feu l’a suivi tout le long du trajet, prouvant qu’il s’agissait de la Parole de Dieu.

66 Or, dans ce camp, des miracles, des signes et des prodiges, il y en avait dans ce camp. Ils les ont fait sortir pour les emmener dans le désert. Ils ont quitté leur camp naturel. Ils ont quitté le camp de la boue. Ils ont quitté le camp fait de paille et de brique, pour demeurer dans des tentes, là-bas dans le désert, où il n’y avait pas de grain ni rien d’autre. Parfois Dieu nous demande de faire des choses qui, selon notre façon de penser, sont insensées. Et si jamais vous quittez le camp de votre propre raisonnement, c’est là que vous trouverez Dieu.

67 Remarquez, quand ils sont partis dans le désert, il y a eu des miracles, des signes, quand ils sont passés dans ce camp-là. Maintenant, souvenez-vous, ils ont quitté le camp de l’Égypte, et ils sont partis dans le désert avec le camp de Dieu. Comment savez-vous que ça l’était? Dieu avait dit : “Ton peuple séjournera pendant quatre cents ans, mais Je les ferai sortir par une main forte, et Je leur donnerai ce pays-ci.” Et ils étaient en route, en suivant une Lumière confirmée, un prophète confirmé, avec des signes, des prodiges, démontrant que Dieu était dans le camp, et ils étaient en route. Ils avaient une Colonne de Feu. Ils avaient un prophète. Ils avaient de la manne. Ils avaient des eaux vives. Amen! Ils avaient changé, changé de campement. Ils ont été obligés de le faire. Ils n’auraient pas pu voir ces choses en Égypte. Ils ont été obligés de changer de campement, pour pouvoir voir le surnaturel.

68 Et les gens d’aujourd’hui aussi, ils seront obligés de changer de camp, de sortir de ces dénominations, qui disent : “Les jours des miracles sont passés. Le baptême du Saint-Esprit, ça n’existe pas. Et tous ces passages de l’Écriture, là, c’est faux; c’est bon pour un autre âge.” Vous serez obligés de changer de campement, de sortir de ce camp-là, pour aller là où tout est possible.

69 Toutes ces choses confirmaient Sa Présence dans le camp. Maintenant remarquez, alors, eux, ils avaient formé un camp fait de main d’homme, de traditions et de crédos, après la mort de Moïse. Et Dieu a traité avec les gens pendant de nombreuses années. Dieu n’est plus dans Son camp... dans leur camp, parce qu’ils se sont formé un camp, un camp par leurs propres moyens.

70 Souvenez-vous, quand ils ont été appelés à sortir de l’Égypte, Dieu leur avait fourni un prophète, Il leur avait fourni un agneau pour le sacrifice, Il leur avait fourni tout ce dont ils avaient besoin; une parole, un signe, un miracle, un prophète pour les conduire, une expiation pour prendre soin d’eux, la Colonne de Feu pour les conduire. Et une fois arrivés dans le désert, ils n’étaient toujours pas satisfaits. Ils voulaient avoir quelque chose à faire, eux-mêmes. La grâce avait fourni tout cela; maintenant ils voulaient avoir quelque chose à faire eux-mêmes, pour pouvoir former une organisation, faire des histoires, se quereller, s’énerver : qui allait être le souverain sacrificateur, et qui serait ceci, cela ou autre chose. Un jour, Dieu a dit : “Moïse, sépare-toi du milieu de ces gens”, et Il les a simplement engloutis, lors de la révolte de Koré.

71 Maintenant remarquez, tous ces signes et prodiges confirmaient Sa Présence. Ensuite, il s’est formé... l’homme s’est formé lui-même un camp, un camp de crédos et de traditions, pas le camp de Dieu, de Sa Parole. Un camp à eux! Il a été obligé de se retirer, car Il est la Parole. Il ne peut pas rester où les gens reçoivent un enseignement qui n’est pas dans cette Parole. Dieu ne peut pas rester dans le camp. Il ne peut pas. Il ne l’a jamais fait. Il doit rester précisément là où se trouve Sa Parole.

72 Ensuite, quand Il a été obligé de quitter ce camp-là, de tout ce groupe de gens qu’Il avait fait sortir de l’Égypte, Il est demeuré uniquement avec Ses prophètes, à qui Sa Parole est venue. La Parole est venue au prophète, pour confirmer l’heure. Il demeurait avec les prophètes, et Il révélait au prophète. Comme ils prononçaient la malédiction sur les gens et prononçaient la malédiction sur la chose. Et Dieu leur enseignait Ses commandements et comment il fallait vivre. Et les gens s’y opposaient toujours, et ils persécutaient le prophète, et ils finissaient par le lapider, ou le scier en morceaux, pour s’en débarrasser.

73 Jésus a dit : “Lequel des prophètes vos pères n’ont-ils pas assassiné? Lequel d’entre eux, le juste qui leur avait été envoyé?” Et Il a dit : “Vous ferez les oeuvres de votre père.” Il ne parlait pas à des communistes, Il parlait à des sacrificateurs, des gens des dénominations, des pharisiens et des sadducéens. Je suppose que Sa voix n’aurait pas beaucoup changé ce soir, ce serait seulement un peu pire, peut-être, pour eux.

74 Donc, nous voyons qu’ensuite Il est demeuré avec Son prophète. Il est alors devenu un étranger pour eux, car Il demeure uniquement dans Sa Parole, pour La confirmer. La Bible dit qu’Il veille sur Sa Parole, pour La confirmer. Il essaie de trouver quelqu’un.
S’Il trouve seulement un homme tiède, comme Samson. Samson a abandonné sa force à Dieu, mais il a donné son coeur à Delila. C’est comme ça, très souvent, aujourd’hui, que nous faisons : seulement donner quelque chose à Dieu, mais pas tout. Mais Dieu, Il veut tout notre être.

75 C’est comme une police d’assurance, quand vous souscrivez à une police d’assurance, autant avoir une garantie totale. Et c’est ce que cette assurance bénie fait pour nous. C’est une police avec une garantie totale. Elle couvre tout ce dont nous avons besoin ici dans cette vie, et notre résurrection, et la Vie Éternelle. Elle inclut tout.

76 Remarquez, Dieu est resté hors de leur camp, ensuite, pendant quatre cents ans. Pourquoi? Il n’avait plus de prophète. Du prophète Malachie jusqu’au prophète Jean, – quatre cents ans, – Israël n’a pas fait tourner la roue d’un seul tour. Dieu était en dehors du camp. Ils L’avaient mis dehors, par leurs crédos et leur égoïsme, et leur différend avec la Parole. Quatre cents ans sans la Parole! D’un prophète à l’autre, Il a cheminé, jusqu’au dernier prophète, qui était Malachie, et ensuite il n’y a plus eu de prophète, pendant quatre cents ans.

77 Ensuite, Dieu a fait Son apparition de nouveau. Un jour, Il a marché parmi eux de nouveau, mais leurs traditions avaient pris Sa place au milieu d’eux, au point qu’Il était un étranger pour eux. Les traditions des pères, il y avait le lavage des pots, et–et la façon de se peigner les cheveux, et de porter tels boutons sur leur tunique, et leurs, bien sûr, vêtements sacerdotaux–sacerdotaux; et–et l’un est un pharisien convaincu, et l’autre est un sadducéen. Et tout cela avait remplacé la Parole parmi ces hommes-là, si bien que, quand Dieu les a visités, Il leur était étranger.

78 Permettez-moi de dire ceci, avec amour et avec respect, mais pour bien me faire comprendre. C’est pareil aujourd’hui. Ça n’a pas changé du tout. Quand Il vient au milieu des gens, par Sa puissance et Sa manifestation, – pour prouver que Sa Parole est la même hier, aujourd’hui et pour toujours, puisqu’Il est la Parole, – les gens disent : “Un diseur de bonne aventure, un Béelzébul, un Jésus seul, ou–ou quelque chose comme ça.” On vous assimile à quelque chose; mais il faut qu’il en soit ainsi.
Voyez-vous, nous n’avons pas eu de prophète depuis maintenant presque deux mille ans. Ceux des nations n’en ont pas eu, vous savez; c’est une promesse pour la fin. Or, ça, nous le savons, par l’Écriture. Nous le savons aussi, par l’histoire, que c’est ce qui nous est promis.

79 Donc, au bout de quatre cents ans, un jour Dieu a marché au milieu d’eux. Selon l’Écriture, Il devait être fait chair et habiter parmi eux. “On appellera Son Nom : Conseiller, Prince de la Paix, Dieu Puissant, Père Éternel.”
Et quand Il est venu au milieu des gens, ils ont dit : “Nous ne voulons pas que cet Homme règne sur nous! Quelle–quelle carte d’association porte-t-Il? Quelle dénomination L’a envoyé?” Il n’avait aucune collaboration. Toutes les églises où Il allait, on Le mettait à la porte. Ils n’avaient rien à voir avec Lui, parce qu’Il n’était pas l’un d’entre eux.
Et ce qui est arrivé à cette époque arrive de même maintenant! La Bible dit que l’église de Laodicée Le mettrait dehors; et Il frappait, cherchant à entrer. Il y a quelque chose qui ne va pas quelque part.

80 Maintenant, pourquoi? Ils avaient formé leur propre camp. Ils, s’ils avaient connu la Parole, ils auraient su Qui Il était. Jésus a dit : “Si vous... Sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en Elles la Vie Éternelle. Ce sont Elles qui vous déclarent Qui Je suis!” C’est ce que dit l’Écriture. Alors : “Elles rendent témoignage de Moi. Et si Je ne fais pas les oeuvres qu’il avait été promis que Je ferais, si Je ne fais pas les oeuvres que Mon Père, la Parole... ‘Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.’ Or, si Je suis cette Personne-là, sondez les Écritures et voyez ce que Je suis censé faire. Et si Je ne remplis pas les conditions requises, si Mes oeuvres, les oeuvres dont la Parole rend témoignage, par lesquelles le Père rend témoignage de Moi, si elles ne confirment pas Qui Je suis, alors Je suis dans l’erreur.” C’est exact. “Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez la Parole,” Il a dit, “les oeuvres que la Parole produit.”

81 Voyez-vous, Il était un étranger parmi eux. Ils ne L’ont pas reconnu. “Nous n’aurons rien à voir avec ce Personnage, Il n’est qu’un curieux Personnage qui est né là-bas, quelque part dans une étable.” Ils croyaient que Sa mère avait eu ce Bébé avant qu’Il naisse, ou avant qu’Il... avait eu ce Bébé, qu’Il était un enfant illégitime, plutôt. Et puis, ils, qu’avant que le Bébé naisse, elle était allée se marier avec Joseph; qu’il avait fait ça rien que pour lui éviter d’être noircie, sa réputation. “Et Il est devenu une espèce de curieux Personnage, parce qu’Il était un enfant illégitime, et c’est pour ça qu’Il était comme ça.”
Et quand Il est arrivé, qu’est-ce qu’Il a fait? Il a démoli leurs crédos, renversé leurs tables, les a chassés du lieu à coups de fouet, et Il a dit : “Il est écrit!” Amen! [Frère Branham tape quatre fois dans ses mains.–N.D.É.] Avec ça, ils auraient dû savoir Qui Il était. “Il est écrit!”

82 Eh bien, ils ne voulaient avoir aucuns rapports avec un Personnage comme celui-là. Mais tout au fond de leur coeur, ils savaient Qui Il était, car Nicodème l’a déclaré ouvertement. “Rabbi, nous les pharisiens, nous savons que Tu es un docteur venu de Dieu, car personne ne peut faire les choses que Tu fais, si Dieu n’est avec Lui.” Alors, pourquoi ne Le confessaient-ils pas? C’est parce que leur camp avait établi sa frontière. Ce qui Lui fermait l’accès au camp. Ce qui empêchait quiconque de sortir pour aller vers Lui. Ils avaient leur propre camp. Il est venu de nuit, quand la porte, en fait, était fermée. Mais il a vu que c’était possible pour lui de Le rencontrer quand même.

83 Oui, c’est pareil maintenant! Ils sont... Il est devenu un inconnu, un étranger. Ils n’Y comprennent rien. “Pourquoi y aurait-il ceci, et pourquoi y aurait-il cela?” Alors que la Parole Elle-même rend témoignage que ceci, c’est exactement ce qui est censé être fait en ce jour. Nous en avons parlé, et maintes et maintes fois, mais c’est la Vérité.

84 Pour eux, dans leur camp, Il était “un fanatique, un violateur de leur tradition, un trouble-fête dans leurs églises, en fait, rien qu’un diseur de bonne aventure, un spirite, ce qu’on appelle ‘Béelzébul’. Voilà ce qu’Il était.”
Et je crois que, s’Il venait au milieu de nous aujourd’hui, Il serait la même chose, pour nous. En effet, nous avons une tradition, nous avons une dénomination, nous n’arrivons même pas à nous entendre entre nous. Pourquoi? Il n’y a qu’un lieu où les hommes arrivent à s’entendre, c’est sous le Sang versé. Et le Sang a été versé, comme germe de vie, pour féconder cette Semence, la Parole. Sans cela, nos barrières dénominationnelles vont toujours tenir les gens éloignés.

85 Mais Il serait un étranger aujourd’hui. On dirait la même chose de Lui. On agirait envers Lui... on L’expulserait du camp. Et saviez-vous... La même Bible qui dit qu’Il serait abandonné des hommes, “Homme de douleur, habitué à la souffrance”, et qu’ils ont rejeté, “et nous L’avons considéré comme frappé et humilié par Dieu”, l’Écriture même qui déclarait cela. Le prophète même qui s’est écrié dans son chant : “Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné? Tous mes os, ils Me regardent. Ils ont percé Mes mains et Mes pieds.” Pendant qu’ils chantaient cet hymne dans l’église, leur Sacrifice, le Dieu qu’ils croyaient servir, ils étaient en train de Le crucifier.
Il en est de même aujourd’hui : le Dieu même!

86 Regardez ce que le prophète a dit, Amos, quand il est arrivé à Samarie. Il a plissé ses petits yeux, quand il est monté là et qu’il a vu cette ville remplie de péché, des femmes couchées dans la rue avec des hommes, une Amérique contemporaine. Quand il l’a parcourue du regard, il a plissé les yeux. Il n’avait personne pour le parrainer. Il n’avait pas de carte d’association. C’est Dieu qui l’avait envoyé. Les gens allaient-ils écouter son Message? Non, ils n’allaient pas l’écouter. Mais il a prophétisé, et il a dit : “Le Dieu même que vous prétendez servir vous détruira.”
Et je dis, au Nom de Jésus-Christ : Le Dieu même que cette nation, qui prétend être une nation religieuse, le Dieu même qu’ils prétendent servir les détruira dans leur iniquité. Il exterminera toutes les dénominations de la face de la terre; ce qu’ils prétendent servir.

87 Donc, remarquez, Il les a réprimandés, et ils L’ont expulsé de leur camp. “Jésus a souffert hors du camp.” Ils L’ont expulsé du camp, à l’extérieur, bien au-delà des limites de leur camp.

88 Nous voyons que la Bible dit qu’en ce dernier jour, dans cet âge de Laodicée, ils feraient la même chose. On les expulserait du camp.
Maintenant observez ce qu’Il dit de faire, maintenant, pour conclure.
“Expulsé du camp”, là où on brûlait les sacrifices. C’était l’endroit tout indiqué pour Lui : Il était le Sacrifice.

89 Maintenant, frère, soeur, savez-vous que chacun de vous, vous devez vous sacrifier? Vous devez être le sacrifice de Dieu; sacrifier les choses du monde, sacrifier vos propres plaisirs dans ce monde, sacrifier les choses du monde? Savez-vous pour quelle raison les gens ne veulent pas le faire?

90 Vous savez, un mouton, un mouton n’a qu’une seule chose à offrir, c’est sa laine. Et, bon, il ne lui est pas demandé de produire ou de fabriquer de la laine cette année. Il lui est demandé de prod-... de porter de la laine.
Il ne nous est pas demandé de fabriquer quelque chose. Il nous est demandé de porter le fruit de l’Esprit. C’est-à-dire que ce qu’il y a à l’intérieur du mouton, ce qu’il est à l’intérieur, c’est ce qui produit la laine à l’extérieur. Et quand un homme a Christ à l’intérieur, c’est ce qui le rend semblable à Christ à l’extérieur, ce n’est pas quelque chose d’artificiel, de fabriqué.

91 Eh bien, nous voyons qu’à ce moment-là, quand Christ revient, comment est-ce qu’on Le traite? Exactement comme au commencement. Il en a toujours été ainsi.

92 Alors, Il les a tellement réprimandés qu’ils les ont expulsés de Son camp, et ils L’ont traité comme un pécheur. Et, effectivement, “Il est devenu péché pour nous”.

93 Maintenant, après des centaines d’années, oui, presque deux mille ans, Il a visité leur camp de nouveau, conformément à Sa Parole promise, qui disait qu’Il le ferait au dernier jour. Il a visité le camp de nouveau. Il a visité le camp, pour manifester cette Parole aujourd’hui.
Tout comme Il a visité à cette époque-là, et qu’Il l’a fait à l’époque de Moïse. Ce n’était pas Moïse qui faisait ces choses; Moïse était un homme. C’était Christ.

94 Considérez Joseph, sa vie : aimé de son père, haï de ses frères parce qu’il était un voyant. Et ils l’ont haï sans raison. C’était leur seule raison de le haïr.
Un type parfait d’aujourd’hui, tout à fait. L’église, de nouveau, ils haïssent ce qui est spirituel.
Et nous voyons qu’il a été vendu pour presque trente pièces d’argent, on le pensait mort. Il a été sorti de là, et mis en prison; comme Jésus l’a été, sur la croix. Un homme a été perdu, et un homme a été sauvé; et il a été retiré de là pour aller à la droite de Pharaon. C’est exactement ce qui est arrivé à Jésus.

95 Il y a eu David, qui a passé dans les rues, en pleurant, un roi rejeté; et il s’est assis sur la montagne, en pleurant sur Jérusalem. Ce n’était pas David. Le Fils de David, quelques centaines d’années plus tard, s’est assis sur la même colline, et Il a pleuré parce qu’Il était rejeté comme Roi parmi Son propre peuple. C’est Christ, toujours.
Et aujourd’hui, alors qu’il est prophétisé que Christ doit venir dans le camp, savez-vous ce qui s’est passé? Il arrivera exactement ce qui est arrivé à l’époque. Il faut que ce soit comme ça, pour accomplir ce que la Parole, ici, promet qu’Il fera.

96 Maintenant souvenez-vous, Christ était là dans l’âge de Noé. C’était Christ, “Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et pour toujours”, la Parole de l’heure, rejetée.

97 Remarquez, et Sa prophétie d’Apocalypse 3, trouvant, quand Il est venu en ce dernier jour, comme Il avait prophétisé qu’Il allait venir en ce dernier jour. Et dans quel état a-t-Il trouvé l’église de Laodicée? “Riche, n’a besoin de rien.” “Et assise en reine, et ne connaît pas de chagrin.” “Et on L’a expulsé de l’église”, on n’avait pas besoin de Lui. Il est sorti hors du camp de nouveau. Mais ce qu’il y a, c’est qu’elle ne savait pas qu’elle était nue, aveugle et misérable; et elle ne le savait pas.

98 De nouveau, s’Il revenait de nouveau, exactement tel qu’à l’époque, Il réprimanderait toutes les femmes qui portent des shorts. Il réprimanderait toutes les femmes aux cheveux coupés, tous les visages fardés, tous les hommes qui s’abaisseraient au point de permettre à leur femme de faire ces choses. Il le ferait encore. Il démolirait aussi toutes les dénominations qui existent, et détruirait tous les crédos qu’on aurait. Croyez-vous qu’Il le ferait? [L’assemblée dit : “Amen!”–N.D.É.] Certainement qu’Il le ferait. C’est exact.

99 Qu’est-ce qu’Ils feraient de Lui? Ils L’expulseraient du camp. C’est sûr qu’ils ne collaboreraient pas avec Lui. Non monsieur!

100 Maintenant nous Le retrouvons, en ce jour-ci, comme la Bible a dit qu’Il le serait, expulsé du camp. En effet, Il demeure toujours le même, la Parole, le même hier, aujourd’hui et pour toujours.

101 Ils–ils ne veulent pas de Lui. Ils L’ont rejeté de nouveau, avec leur conseil. Aujourd’hui ils préféreraient, comme ils l’avaient fait à l’époque, quand Il est passé en jugement. Aujourd’hui, alors que la Parole passe en jugement, qu’est-ce qui s’est passé? Ils ont rejeté de nouveau, comme ils l’avaient fait à l’époque, et ils ont accepté un Barabbas, un meurtrier, plutôt que Christ. Le conseil ferait la même chose. Et, aujourd’hui, parce qu’ils ont rejeté la Parole et la confirmation parfaite de l’heure, ils se sont vendus, et ils ont préféré un Barabbas, le Conseil mondial des Églises, un meurtrier de la Parole. [espace.non.enregistré.sur.la.bande–N.D.É.]

102 Ils renient Sa Parole, renient Son baptême, renient Sa puissance, renient Ses signes. Et encore une fois, par un credo ou une tradition, de porter son col tourné vers l’arrière, et tout, en se forgeant des crédos et tout, ils essaient de... par des bonnes oeuvres. Ils n’avaient pas été destinés à la Vie, au départ. Ils n’avaient rien en eux pour croire.
“Celui qui Me connaît connaît Mon Père. Et comme le Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie.” Le Dieu qui a envoyé Jésus a accompagné Jésus, Il était en Lui. Et le Jésus qui vous envoie vous accompagne, Il est en vous. “Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. Allez par tout le monde, et prêchez l’Évangile à toute la création”, qu’il soit noir, jaune, blanc, brun, quoi qu’il soit. “Voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.” Jusqu’où? “Par tout le monde, et à toute la création.”

103 Un jeune prédicateur baptiste, il n’y a pas longtemps, à Tucson, il est venu me voir, en disant : “Frère Branham, voici votre problème. Vous essayez de faire de cet âge un âge apostolique.” Il a dit : “Un âge apostolique, pour aujourd’hui, ça n’existe pas. L’âge apostolique est terminé.”

104 J’ai dit : “Il est terminé? Je ne le savais pas.”
Il a continué : “Eh bien, il l’est.”
J’ai dit : “Vous en êtes sûr?”
Il a dit : “Bien sûr que j’en suis sûr”, il a dit.
“Très bien,” j’ai dit, “qu’est-ce qui vous fait croire qu’il est terminé?”
Il a dit : “C’était pour les apôtres.”

105 J’ai dit : “Le Jour de la Pentecôte, Pierre a dit. Croyez-vous sa Parole?
– Oui monsieur.

106 – Il a dit : ‘Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ. Car cette promesse est pour vous, pour vos enfants, pour les enfants de vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.’”

107 Cette même promesse, nous devons revenir à elle! [Frère Branham donne des coups sur la chaire.–N.D.É.] Le docteur Simon Pierre a rédigé une ordonnance. La Bible dit : “N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il point de médecin?”
Eh bien, vous savez, si vous prenez l’ordonnance d’un médecin. Quand il découvre une maladie dans votre corps et qu’il rédige cette ordonnance, vous faites mieux de la faire exécuter, de trouver un vrai pharmacien qui va l’exécuter telle qu’elle est rédigée. En effet, il doit mettre telle quantité de poison, et telle quantité d’antidote, la quantité que votre système peut supporter. Vous voyez, il... Elle a déjà été éprouvée, elle a fait ses preuves, et vous devez prendre cette ordonnance-là. Sinon, si vous laissez un charlatan modifier ça, quelqu’un qui ne sait pas comment doser ce médicament-là correctement, il va vous tuer. Et si c’est trop faible, ce qu’il met dedans, ça ne vous fera aucun bien.

108 Voilà le problème chez beaucoup d’entre vous, les médecins. [Frère Branham donne des coups sur la chaire.–N.D.É.] Vous modifiez l’ordonnance!
Pierre a dit : “Je vais vous donner une ordonnance perpétuelle, pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.” Non pas : “Venez adhérer.” Mais : “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour la rémission de vos péchés; et vous recevrez les résultats,” amen, “le Saint-Esprit. Car la promesse, cette ordonnance, est pour vous et pour vos enfants.”
Maintenant, certains d’entre vous, les charlatans, cessez de rédiger ces ordonnances falsifiées. Voyez? Vous tuez vos fidèles. Oui. C’est pour cette raison qu’ils n’arrivent pas à recevoir le Vrai. Oui.

109 Vous savez, cette même ordonnance, la façon dont le médecin s’y prend pour trouver son médicament. Ils se servent toujours et... Les savants essaient de trouver quelque chose, ensuite ils vont l’administrer à un cobaye, pour voir si ça va le tuer ou pas.
Et puis, vous savez, le médicament, il y a un risque à courir. Vous–vous pourriez retrouver la santé, mais ça pourrait aussi vous tuer, voyez-vous, parce que tout le monde n’est pas comme un cobaye, peut-être.
Alors, mais cette ordonnance-ci, ce qu’il y a, c’est qu’elle convient à tous.

110 Et puis, tout médecin vraiment compétent, qui ne... qui a beaucoup de foi dans son médicament, il ne demandera pas à quelqu’un d’autre. Certains d’entre eux sont tellement dégonflés, ils vont l’administrer à un prisonnier condamné à perpétuité et le relâcher s’il y survit, lui faire prendre l’ordonnance.

111 Mais dans ce cas-ci, nous avons eu un vrai Médecin. Il est venu et Il a pris Lui-même l’ordonnance. Voyez? “JE SUIS.” Non pas : “Je serai.” “Je suis la résurrection et la Vie”, dit Dieu. “Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Et quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.” Marthe a dit... Il a dit : “Crois-tu cela?”

112 Elle a dit : “Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Christ, qui devait venir dans le monde. Les autres auront beau Te traiter de tous les noms, moi, je l’ai vu!”

113 Au Calvaire, Il a pris Lui-même l’injection. Et le matin de Pâques, la mort n’a pas pu Le retenir. “Je suis la résurrection et la Vie.” Ils Lui ont injecté la mort, mais Il est ressuscité, triomphant de la mort, du séjour des morts, et de la tombe. Il a pris Lui-même l’injection.
Et Il a envoyé des médecins, qui avaient la révélation de Qui Il était, pour qu’ils rédigent une ordonnance.
“Qui dit-on que Je suis, Moi, le Fils de l’homme?”

114 Pierre a dit : “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.”

115 Il a dit : “Tu es heureux, Simon. Maintenant tu as compris. Je te donne les clefs du Royaume. Ce que tu lieras sur la terre, Je le lierai dans le Ciel. Si tu délies quelque chose sur la terre, Je le délierai dans le Ciel.”

116 Et, le Jour de la Pentecôte, quand les gens ont vu tout ce qui se passait, il a dit... Ils ont dit : “Que pouvons-nous faire pour recevoir cette inoculation?”

117 C’est là qu’il a lu l’ordonnance. Il a dit : “Maintenant je vais rédiger une ordonnance. Elle est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera jamais.”
Ne modifiez pas l’ordonnance : vous mourrez! Ils l’affaiblissent tellement aujourd’hui, si bien que ce n’est que de l’eau dénominationnelle, c’est exact, un liquide d’embaumement qu’ils injectent dans un homme mort pour qu’il soit encore plus mort.
Oh, mais, frère, il y a une véritable onction! Il y a...?...! Elle sert à la guérison de l’âme. Seulement ne modifiez pas l’ordonnance. Prenez l’ordonnance exactement telle qu’elle est rédigée, Dieu est obligé à Sa Parole. Il n’est pas obligé au credo, au dogme ou à la dénomination; Il est obligé à Sa Parole. Suivez l’ordonnance, c’est le départ, la base. Commencez, vous vous êtes engagé alors, et vous êtes prêt à vous mettre à l’oeuvre.
Remarquez, “hors du camp”.

118 Aujourd’hui ils ont choisi un Barabbas. Alors que l’Évangile a sillonné le monde d’un bout à l’autre, de grands signes et prodiges ont accompagné le réveil; mais, au lieu d’entrer et de passer à l’action, ils s’associent avec Barabbas. “Plutôt que d’accepter ces absurdités, et tout, dans notre église, nous garderons le même style que les autres.” Maintenant, Rome et tous les autres, ils se sont rassemblés, un Barabbas. Remarquez, à ce moment-là, nous sommes dans ce grand camp-là.

119 Nous sommes invités à sortir de ce camp-là. “Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par Son propre Sang, a souffert hors de la porte. Allons à Lui hors de la porte,” observez, “en portant Son opprobre.”

120 Pourquoi jetait-on l’opprobre sur Lui? Pas parce qu’Il était méthodiste ou baptiste, je peux vous le certifier; pas parce qu’Il était pharisien ou sadducéen. Parce qu’Il était la Parole confirmée.

121 “En portant Son opprobre”, à cause (de quoi?) de la Parole confirmée. C’est exact. C’est ce qu’Il a fait. Il a dit : “Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, ne Me croyez pas; si Je ne suis pas la réponse à toutes les questions des Écritures.”

122 Le Jésus du Nouveau Testament, c’était le Jéhovah de l’Ancien. Tout à fait exact! Je crois, comme je vous le disais ici, il y a quelque temps, ou quelque part à une réunion. Ce n’était peut-être pas ici. “Le Jéhovah de l’Ancien Testament est le Jésus du Nouveau.” Vous vous souvenez de–de–de...
Quand j’étais à la chasse à l’écureuil ce matin-là, et qu’il y a eu ces trois grandes tiges, là, qui ont toutes abouti au même endroit là-bas, sur la montagne; j’étais là à regarder ça. Je me suis approché, et j’ai enlevé mon chapeau, j’ai déposé ma carabine, je suis monté. Et une Voix qui a secoué les bois a dit : “Le Jésus du Nouveau Testament est le Jéhovah de l’Ancien. Reste fidèle.” Aussi, un peu plus bas, c’est là que les écureuils étaient apparus, alors, qu’ils avaient été créés, alors qu’il n’y en avait aucun là. Voyez? C’est la Vérité, ça. Voyez? C’est la Vérité. Alors, Dieu, devant Qui je me tiens, sait que c’est la Vérité. C’est exact. C’est la Vérité.

123 Au Kentucky même; et il y a des gens assis ici même ce soir qui étaient présents quand c’est arrivé de nouveau, la même chose. Oui. Nous savons que c’est la Vérité; le Jésus de l’Ancien Testament!

124 Comme, quand les Chinois ont commencé à s’installer ici, ils ne savaient ni lire ni écrire notre langue, mais c’étaient de très bons blanchisseurs. Alors, ils... On allait à la blanchisserie chinoise. Il se procurait simplement des petites étiquettes toutes blanches. Il ne pouvait pas lire quoi que ce soit, et il savait que s’il écrivait quelque chose, vous ne pourriez pas le lire. Alors, quand vous vous présentiez là, il prenait simplement ce petit bout de papier blanc, quelque chose un peu comme ceci, disons, ici, et il le déchirait d’une certaine manière, comme ça. Bon, il vous remettait un bout de papier, et il gardait l’autre bout de papier. Ensuite, quand vous retourniez chercher votre linge, il disait : “Montrez-moi votre bout de papier.” Il les prenait; s’ils correspondaient, ça y était. Vos vêtements sales, vous les repreniez nettoyés.

125 Et Jésus a correspondu à chaque prophétie; chaque facette du Jéhovah de l’Ancien Testament, c’est le Jésus du Nouveau. Il a correspondu en tous points.
Permettez-moi de dire ceci, avec la crainte de Dieu et avec respect, mais avec amour, mais avec sincérité, en sachant à quoi m’en tenir. Le Message de cette heure a correspondu en tous points à ce que la Bible avait annoncé pour cette heure. Maintenant, si vous avez des vêtements sales, apportez-les. Oui. Avez-vous été lavés dans le Sang de l’Agneau?

126 Remarquez, “en portant Son opprobre”, parce qu’Il était la Parole confirmée. C’était comme ça à l’époque, c’est pareil maintenant, Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Hébreux 13.12 et 13. Nous voyons, Hébreux... 8, 13.8, aussi. “En portant Sa honte”, de l’Évangile.

127 En portant Son Nom! Il a dit : “Je suis venu au Nom de Mon Père.” Le Nom du Père, qu’est-ce que c’est? Il est venu au Nom de Son Père. Il a dit : “Je suis venu au Nom de Mon Père, et vous ne M’avez pas reçu.” Eh bien? Le Nom du Père, qu’est-ce que c’est? Vous devriez le savoir, je pense. Voyez?
En portant l’opprobre de la Parole. Elle était toujours emportée hors de leurs camps; ils La mettaient à la porte. On rira et on se moquera de vous.

128 Et, aujourd’hui, alors que, quand j’ai commencé à parcourir le pays... Je ne parle pas de moi; je vous en prie, n’allez pas penser que c’est quelque chose de personnel. Mais mon temps est écoulé, et j’ai une dizaine de pages ici. Vous pouvez voir ce qu’il reste ici, voyez, voyez, bon, de mes notes. Mais écoutez. Au début, en commençant...

129 Avez-vous remarqué, Jésus, au début, quand Il a commencé? “Oh, le jeune Rabbin. Oh, Il était un Homme formidable! Venez chez nous. Venez nous prêcher.”

130 Mais un jour, Il s’est assis devant eux, et Il a dit : “Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez Son Sang, vous n’avez point la Vie en vous-mêmes.”

131 Qu’est-ce que vous pensez que les docteurs et les intellectuels de la foule se sont dit? “Cet Homme est un vampire.” Voyez? “Il veut qu’on boive du sang humain. C’est trop pour nous, ça. Éloignez-vous de Lui. Les–les sacrificateurs disaient qu’Il était fou; je le crois.” Et la Bible dit qu’ils sont partis.

132 Il avait aussi avec Lui soixante-dix prédicateurs qui avaient été ordonnés. Il a dit : “Je ne peux pas les garder avec Moi.” Alors, Il a tourné les yeux vers eux, Il a dit : “Que direz-vous, quand vous verrez le Fils de l’homme monter au Ciel, d’où Il est venu?” Or, Il n’a jamais expliqué ces choses-là. Il les a simplement laissées telles quelles. Voyez?

133 Ils ont dit : “Fils de l’homme? Quoi? Nous mangeons avec cet Homme. Nous pêchons avec Lui. Nous nous étendons sur le rivage avec Lui. Nous avons vu le berceau dans lequel Il a été bercé. Nous connaissons Sa mère. Nous connaissons Son frère. Qui peut recevoir une chose comme Celle-là?”
Et la Bible dit : “Ils n’allaient plus avec Lui.”

134 Ensuite, Il s’est tourné vers Pierre et les autres, Il a dit : “J’en ai choisi douze, vous douze.” Des milliers qu’Il avait, Il en est maintenant à douze. Il a dit : “J’en ai choisi douze. Et l’un de vous est le diable. Je le savais, dès le commencement.” Il a dit : “Maintenant voulez-vous aller avec eux?”
Il n’avait pas à dorloter et à chouchouter, et : “Je te prendrai comme diacre si tu acceptes d’adhérer à mon église.” Voyez? Ce n’était pas Son intérêt personnel qu’Il cherchait. Il ne l’a même jamais expliqué. Les disciples non plus, ils ne pouvaient pas l’expliquer.
Mais, si vous vous souvenez, Il venait de leur dire : “Je vous connaissais avant la fondation du monde. Je vous ai destinés à recevoir la joie, avec Moi.” Voyez? Voilà ce que c’était : “avant la fondation du monde”, prédestinés.

135 Ces apôtres se sont tenus là, tout à fait inflexibles. Ils ne pouvaient pas expliquer comment ils allaient faire pour manger Sa chair et boire Son Sang. Ils ne pouvaient pas comprendre comment Il était descendu, alors qu’Il avait été là avec eux tout le temps. Il ne pouvait pas l’expliquer. Les gens ne pouvaient pas l’expliquer. Personne ne pouvait l’expliquer.
Mais Pierre a prononcé ces paroles mémorables. Ce n’est pas étonnant qu’Il lui ait donné les clés. Il a dit : “Seigneur, à qui irions-nous? Nous sommes convaincus. Nous savons que Tu es, Toi, et Toi seul, la confirmation de la Parole promise pour aujourd’hui. Nous savons que Toi seul, Tu as la Parole de la Vie. Nous ne pouvons pas expliquer ces choses, mais nous Les croyons quand même.”

136 La petite Marthe a dit : “Mon frère est mort. Il est étendu dans la tombe. Il se décompose, il sent. Seigneur, si Tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais, même maintenant, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.” Oh! la la!

137 Il a dit : “Je suis la résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?”

138 Elle a dit : “Oui, Seigneur. Je ne peux pas l’expliquer, mais je le crois. Je crois que Tu es le Christ, qui devait venir dans le monde. Je crois, par l’Écriture qui a été consignée, que Tu En remplis les conditions requises.

139 Il a dit : “Où l’avez-vous enseveli?” Oh! la la! Il va se passer quelque chose, c’est immanquable. Toutes les roues se rejoignent au bon moment. Voyez?

140 Il s’est rendu jusqu’à la tombe. La Bible dit : “Son aspect n’avait rien pour nous plaire.” Probablement un petit Homme aux épaules tombantes; Il s’est tenu là avec Ses petites épaules qui s’affaissaient, fatigué et épuisé par cette marche.
Il a dit : “Lazare, sors!” Et un homme qui était mort depuis quatre jours s’est levé sur ses pieds.

141 Une femme de la Science Chrétienne. Excusez-moi si je vous blesse; ce n’est pas volontaire. Une femme de la Science Chrétienne, qui venait à cette église ici, est venue me voir dehors un jour. Elle a dit : “Monsieur Branham,” elle a dit, “j’aime votre façon de prêcher, mais il y a une chose sur quoi vous mettez trop l’accent!”
J’ai dit : “Quoi?”
Elle a dit : “Vous faites trop de cas de Jésus.”

142 J’ai dit : “J’espère que c’est tout ce que Lui, Il a à me reprocher.” Voyez? Voyez? Voyez?

143 Elle a dit : “Vous Le rendez Divin.” Voyez-vous, eux, ils ne croient pas qu’Il était Divin. Ils croient qu’Il n’était qu’un homme comme les autres, un bon enseignant, un philosophe. Elle a dit : “Vous Le rendez Divin. Et Il n’était pas Divin.”

144 J’ai dit : “Oh oui, Il l’était.”
Elle a dit : “Si je vous prouve, par votre propre Bible, qu’Il n’est pas Divin, le croirez-vous?”

145 J’ai dit : “Ma Bible le dit, je–je crois la Parole. C’est Ce qu’Il est.”
Elle a dit : “Dans Jean, chapitre 11, quand Jésus est allé à la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il a pleuré.”
J’ai dit : “Quel rapport?”
Elle a dit : “Eh bien, ça montre qu’Il n’était pas Divin.”

146 J’ai dit : “C’est que vous ne voyez pas Qui était cet Homme. Il était à la fois Dieu et homme. En tant qu’homme Il a pleuré, quand Il a pleuré à cause de leur chagrin. Mais quand Il s’est redressé et qu’Il a dit : ‘Lazare, sors!’, et qu’un homme qui était mort depuis quatre jours s’est levé sur ses pieds, c’était plus qu’un homme.” Oui monsieur! Oh oui!

147 Comme je l’exprime souvent : quand Il est descendu de la montagne, ce soir-là, Il avait faim, Il était un homme. Le lendemain matin, Il avait faim. Il était un homme. Mais quand Il a pris deux petits pains et cinq poissons, et qu’Il a nourri cinq mille personnes, qu’on a rempli sept paniers, c’était plus qu’un homme. Oui monsieur. Il était un homme, sur la croix, quand Il s’est écrié : “Mon Dieu, M’as-Tu abandonné?” Quand Il s’est écrié : “Donnez-Moi à boire”, et qu’ils Lui ont donné du vinaigre avec du fiel, Il était un homme, Il pleurait. Mais le matin de Pâques, quand Il a rompu tous les sceaux, de la mort, du séjour des morts, et de la tombe, et qu’Il est ressuscité, Il était plus qu’un homme.

148 Il était un homme, ce soir-là, quand Il était couché à l’arrière du petit bateau, qu’Il était là avec Ses disciples, et que dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer. Oui. Là, dans une espèce de petit bateau, comme un bouchon de liège, là, comme ça; Il était tellement fatigué que ça ne L’a même pas réveillé. Il était un homme quand Il dormait. Mais quand Il a posé le pied sur le bastingage du bateau, qu’Il a levé les yeux et qu’Il a dit : “Silence! tais-toi!”, et que les vents et les vagues Lui ont obéi, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu!
Ce n’est pas étonnant que le poète ait dit : Par Sa Vie, Il m’a aimé; par Sa mort, Il m’a sauvé;
Par Son ensevelissement, Il a emporté mes péchés au loin;
Par Sa résurrection, Il a justifié gratuitement pour toujours;
Un jour Il reviendra, ô jour glorieux!

149 Oui monsieur! Sortez du camp. Peu m’importe le prix à payer. Je porterai cette croix consacrée
Jusqu’à ce que la mort me libère;
Alors j’irai dans l’Enlèvement,
Pour porter une couronne.

150 Pour conclure, je dirai ceci. Il y a quelque temps, je lisais une histoire, au sujet d’un juge. C’était un homme juste, un brave homme, il était aimé. Et il y avait un groupe de gens dans la ville qui croyaient qu’ils pourraient se permettre n’importe quoi, alors, ils étaient dans l’abondance, alors ils ont ouvert une maison mal famée, tenu un débit de boissons, des boissons, et tout ce qu’il y dans le genre. C’était illégal. Ils se sont fait prendre par la loi, la police judiciaire, et ils ont été traduits en justice. Et quand tous les gens de la ville, de la petite ville, se sont rassemblés là-bas, ils savaient que cet homme avait fait beaucoup de choses dans la région, cet homme qui avait tenu cet établissement mal famé. Et ils–ils, le jury a reconnu cet homme coupable, parce qu’il avait été pris sur le fait. Et donc, le juge l’a reconnu coupable, et l’a condamné à tant d’années de prison, sans mise en liberté sous caution, sans droit d’appel ni rien, il l’y a envoyé, parce que c’est ce qui était écrit dans le droit.

151 À l’extérieur du palais de justice, les gens se sont précipités vers lui, en disant : “Sais-tu quoi? Toutes les personnes de cette ville vont te haïr!” Ils ont dit : “Ils te haïssent d’avoir pris cette décision-là au sujet de cet homme.” C’étaient tous des joueurs, eux-mêmes. Ils ont dit : “Nous–nous allons tous te haïr. Nous ne t’élirons plus jamais. Jamais plus un seul d’entre nous ne votera pour toi”, ils le huaient alors qu’il descendait dans la rue.

152 Il s’est arrêté un petit instant, il a dit : “Laissez-moi dire un mot.” Il a dit : “J’ai fait exactement ce que mon devoir me commandait. Cet homme était coupable, qui qu’il soit. Il fallait que je prononce une sentence contre lui, selon la loi que j’ai juré de faire observer.”
Il a dit : “Tu es haï dans cette ville!”

153 Il a dit : “Mais je suis beaucoup aimé chez nous, par les miens.”

154 Nous pourrions penser la même chose, si vous me permettez l’expression. J’ai défendu ce pour quoi j’ai été sauvé : faire observer la Parole de Dieu. Je sais que les dénominations me haïssent à cause des choses que je dis, mais je suis beaucoup aimé dans Sa Maison, parmi Son peuple.
Prions.

155 Seigneur Jésus, il se peut que nous soyons haïs du monde, mais nous sommes aimés du Père. Aide-nous, Dieu bien-aimé. Aide ces gens, afin que chacun d’eux, Seigneur, que Tes bénédictions reposent sur eux. Que nous sortions du camp maintenant. Que nous sortions de notre propre façon de penser. Que nous agissions en fonction de la pensée de Dieu. La Bible dit ceci : “Que la pensée qui était en Christ soit en vous.” Alors, pensons Ses pensées à Lui, et non selon notre propre façon de penser, parce que la plupart du temps nous sommes dans l’erreur. Alors, pour être sûrs, que ce soit Sa pensée qui repose en nous. Et Sa pensée, c’était de faire la volonté du Père, et la volonté du Père, c’est Sa Parole promise.

156 Sortons du camp ce soir, Seigneur, et allons trouver Jésus. Nous ne Le trouverons jamais en adhérant à l’église. Nous ne Le trouverons jamais en serrant la main à un certain prédicateur, ou–ou en signant un credo, ou une promesse que nous faisons, d’aller à l’école du dimanche tant de jours dans l’année, et tout. Nous Le trouverons uniquement dans la Parole, parce qu’Il est la Parole.

157 Et comme nous voyons la promesse de ce jour-ci, qu’Il serait hors du camp, expulsé de nouveau; maintenant sortons du camp, prêts à porter Son opprobre; haïs de ce monde, mais aimés de Celui qui nous a invités à venir dans le Camp. Accorde-le, Seigneur.

158 S’il y en a ici qui ne Le connaissent pas, et qui ne sont jamais sortis du camp de l’affiliation à une certaine église; pourtant, vous faites profession d’être Chrétien. Mais, quand vous dites : “Ces choses, je crois qu’elles sont pour une autre époque”, cela montre que ce ne peut pas être le Saint-Esprit.
Comment un homme qui est rempli du Saint-Esprit pourrait-il jamais se faire baptiser en utilisant le nom de “Père, Fils, Saint-Esprit”? Alors que Paul, le grand apôtre, a dit : “Si un Ange descend du Ciel...” Vous l’avez peut-être fait, à un moment donné, par ignorance. Ces gens-là l’avaient fait par ignorance, dans Actes 19. Mais il a dit : “Un ange qui prêche quoi que ce soit d’autre, qu’il soit anathème.”
Comment pouvez-vous accepter un credo, ou un isme, telle ou telle chose, alors que la Bible dit : “La promesse est pour vous”, cette même chose-là, “le vrai baptême du Saint-Esprit”?

159 Comment le Saint-Esprit, qui a écrit la Parole, peut-Il être en vous, à renier la Parole? Comment peut-Il renier, alors que le Saint-Esprit Lui-même a dit : “Si qui que ce soit ajoute une seule parole à Ceci, ou En retranche quoi que ce soit, Je retrancherai sa part du Livre de Vie”? Alors, comment le Saint-Esprit peut-Il retrancher quoi que ce soit à la Parole, ou ajouter quoi que ce soit à la Parole?

160 Mon ami, – soit ici ou dans le monde invisible où ira cette bande, invisible pour nous en ce moment, – que ceci pénètre profondément dans votre coeur, après le Message d’enseignement de ce matin, en voyant où nous en sommes. Si vous n’avez encore jamais accepté cette ordonnance dont j’ai parlé tout à l’heure, ne voulez-vous pas la recevoir? Nous sommes ici pour faire tout ce que nous pouvons pour vous, afin de vous aider.

161 Je suis seulement un témoin. Je fais seulement de la propagande. Comme nous avons à Louisville, en ce moment, le–le congrès démocrate du Kentucky, le... Ils sont en train de bâtir la plateforme électorale de leur candidat. Moi aussi, je bâtis une plateforme pour mon Seigneur. Ne voulez-vous pas Le recevoir ce soir, qu’Il soit à vous?

162 Avec nos têtes inclinées, et nos coeurs aussi, en ce moment, voulez-vous simplement lever vos mains et dire à Dieu, – pas à moi, je ne suis qu’un homme, – lever vos mains vers Dieu, et dire : “Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je veux réellement toutes ces choses dont on m’a parlé. Je veux sortir du camp. On dira ce qu’on voudra, ça m’est égal.” Que Dieu vous bénisse. Oh, regardez les mains, regardez les mains! “Je veux sortir hors du camp. Peu importe le prix qu’il me faudra payer, je prendrai ma croix et je la porterai chaque jour. Je sortirai du camp. Peu importe ce que les gens diront de moi, je veux Le suivre hors du camp. Je suis prêt à y aller.”

163 Père Céleste, Tu as vu ces mains. Peut-être cent personnes, ou plus, dans le bâtiment, ont levé la main. Seigneur, il y a Quelque Chose qui est près d’eux en ce moment, une autre Personne, la Personne de Christ, Celui qui est invisible à l’oeil naturel, et c’est Lui qui les a poussés à prendre une décision. Dans leur propre vie, ils savent, quand ils se regardent dans la glace, ils voient qu’il leur manque quelque chose. Et ils veulent que leur vie soit façonnée selon la promesse de Dieu, et ils ont levé la main avec une sincérité profonde. Aide-les, Seigneur, à venir à la grande porte ce soir, de la bergerie. Puissent-ils entrer gentiment et humblement. Accorde-le. Ils sont à Toi, Seigneur. Parle à leur coeur.

164 Or, ils n’auraient pas pu prendre cette décision-là, ils n’auraient pas pu lever la main, sans qu’il y ait eu quelque chose de surnaturel. Cela montre qu’il y a une vie là, quelque part. En effet, selon la science, la pesanteur nous empêcherait de lever les mains. Mais il y a quelque chose qui les a frappés, leur faisant défier la loi de la pesanteur, et lever la main vers le Créateur qui les a amenés ici. “Oui, je veux aller jusqu’au bout. Je veux sortir du camp, ce soir.”

165 Seigneur, le baptistère est prêt, pour la première démarche après la repentance, ensuite, c’est d’être baptisé, avec une promesse de recevoir le Saint-Esprit. En ces derniers jours, un appel à revenir à la Foi originelle, l’ordonnance originelle! Nous voyons trop de gens qui sont éloignés de Christ, qui se meurent pour avoir pris ces autres ordonnances, faites de main d’homme. Elles peuvent faire très bien l’affaire dans leur dénomination, mais, Seigneur, je–je veux Ton ordonnance à Toi.
C’est Toi notre Médecin. Il y a un Médecin. Il y a un baume en Galaad. Il y a un Médecin qui est ici, ce soir, pour guérir toutes les âmes qui sont malades à cause du péché, pour guérir tous les êtres physiques. Grand Médecin de tous les âges, grand Créateur des cieux et de la terre, viens maintenant, s’il Te plaît, au milieu de nous, et parle-nous. Au Nom de Jésus-Christ.

166 Pendant que chacun prie dans son coeur. “Seigneur Jésus, aide-moi en ce moment!” Et si vous n’avez jamais été baptisé, et que vous êtes convaincu... Je n’ai pas prêché sur le baptême. Mais que vous êtes convaincu que vous devriez vous faire baptiser du baptême chrétien, la seule manière dont tout Chrétien...

167 Qu’est-ce qui se passerait si vous arriviez Là-bas, baptisé d’une autre manière, alors que ce même Jésus a dit : “Celui qui retranchera une seule Parole, ou ajoutera une seule parole, la part de celui-là sera retranchée du Livre de Vie”? Jésus l’a dit. Et Il a dit : “Toutes les Écritures sont inspirées et doivent s’accomplir.” Maintenant vous savez ce qu’il en est. Qu’est-ce que vous allez en faire?

168 Si vous avez seulement eu une sensation ou quelque chose! Je crois aux sensations. Si vous avez seulement dansé par l’Esprit, parlé en langues! Ça aussi, j’y crois. Mais si vous n’êtes pas allés plus loin, et que l’esprit que vous avez en vous vous dit de ne pas suivre la Parole, alors que vous savez qu’Elle est juste, il y a quelque chose qui ne va pas avec cet esprit-là. Ce n’est pas le Saint-Esprit. C’est impossible. Voyez-vous, Il identifierait Sa propre Parole; ça, vous le savez. Vous pouvez vous préparer à venir maintenant, pendant que nous prions.

169 Jésus de Nazareth, approche-Toi maintenant et parle à chaque coeur. Je Te les confie. Puissent-ils être... Toutes ces mains, ce sont des trophées du Message, Seigneur, venant de Toi, et de Ta grande et auguste Présence qui est avec nous en ce moment. Tout homme qui est sensible à l’Esprit peut détecter que Tu es ici, cette impressionnante atmosphère sacrée. Accorde-le, Seigneur, à l’instant, au Nom de Jésus-Christ.
Maintenant avec nos têtes inclinées.

170 S’il y a des hommes ici qui voudraient se faire baptiser au Nom de Jésus-Christ, qui veulent se repentir, qui veulent rechercher le baptême de l’Esprit, il y a une pièce disponible à ma gauche; pour les femmes, c’est à droite. Il y aura quelqu’un là pour vous donner des directives. Il y a des vêtements de baptême prêts, tout.

171 Maintenant, pendant que nous gardons la tête inclinée, en chantant. “La voix du Seigneur...” Nous vous reverrons.

1 Let's remain standing just a moment. Dear God, we are grateful to You for this another privilege to stand in the house of God and worship the living God. We're so grateful that we are still granted this privilege in the land. And now, we're thankful for these faithful people too, Lord, that have come many miles, hundreds of miles, many of them. And some of them will try to--to storm their way back tonight down the highways, across the highways. God, I pray that You'll be with them and help them. Guide them, O Father.
We thank Thee for this little shower of rain that's cooled the air for us temporarily. And, Father, we pray that You'll meet with us tonight in Thy Word, for that's why we have assembled, Lord, is to meet You in the Word. Help us, Lord, that our gathering will be so beneficial to Your Kingdom, and that we might be so helped, that we might help others. Grant these things we ask in Jesus' Name. Amen. (Let you be seated.)

3 Having just a few private interviews in there... And just before the meeting started, Billy had give me a--such a--a load of them till I--I hardly know which way to start. But we are praying that--that God will bless you for your effort of staying over for the evening service.
Now, God willing, next Sunday morning I'll be having a service again. I just talked to the pastor, and it's all right with them.

5 And now, I wished I had the time to recognize every good friend that I have in here, but I know you're waiting. It's hot. And I--I'll just omit that time and--and just say this: "God bless you."
You know, I don't know of any greater thing that anyone could ask for me, than to say, "God bless you." See? If He'll do that, that's all I need, just--just that. I think that's the greatest word in the--in the dialect, "God bless you." And now... And I know He does.

7 And as I said to the wife a few moments ago, I was--I was trying to take a bath, and I couldn't get dry. I'd--I'd dry off, and then I was wet again. I'd dry off, and I couldn't get my shirt on even. And it's a little different out in Tucson. It's about twice this hot, but then you--you don't have any perspiration. There's no--there's no moisture in the air, so it dries it up as soon as you get out. You set a pan of water there, and it's gone. You can't perspire, 'cause it just takes it away from you before you can--you--you can perspire. You perspire all right, but you never see it. So... Here I was trying to have an awful time getting dry, so... And I--I'm soaking right now.
Been back in the room there, and we had seven or eight people in that were emergencies and--that had to be seen right away.

9 Now, the reason that I--I have the--you to stay and ask you to--to come, is because I--I feel that it's--it's beneficiary to us. I--I wouldn't do that, friends. I--I think too much of you to do that and just to come to--to hear somebody, or listen to what I have to say, or something. I--I wouldn't do that. That wouldn't be right. It wouldn't show my love to you, just to come like that. And I don't believe that you come, though I know you love me as I love you... And--and so I--I--I know that, or you wouldn't do the things that you do. So I think enough of you, that I wouldn't have you set in the heat and things like this if I didn't think it was something to help you.

10 Then before I come here I always try my best before God to pick out a little something, a Scripture of some way, and ask His guidance the last thing before leaving, "Help, Lord God, somehow and give--give all You can to them dear people." And I expect and do believe that I'll always live with you. I believe that this is the shortest space that we have while we stand together like this. We will be together in eternity. See? I do that. I--I--I believe that. And I want to help you. And I... If I say anything wrong, the heavenly Father knows it's not because I'm intending to do it; it's because I do it not knowing; I'd be ignorantly doing it.

11 Therefore, knowing that you are my responsibility and on my hands by the Gospel, I'll always want to keep you right in the pages of this Bible. And--and I... Many times people's come to me and said, "Brother Branham, if you'll just step out here and say, THUS SAITH THE LORD to my little child that's sick, it'll be well. Go out there and just say it'll get well. That's all I want you to do."
Now, that is loyal and lovely; how I appreciate that. But you know, I can't do that until He tells me first. See? I can pray for the child, do all I can, but... You see, what if I went out there under enthusiasm and said that? See? If I said, "THUS SAITH THE LORD," it really would just be thus saith my enthusiasm. See, see? And then it might happen, and it might not happen. But then, what if that same person is under my enthusiasm, and it didn't happen? Then that person might be in a--a case sometimes between life and death. Then where would their confidence be? They'd be afraid that I might be under enthusiasm again? See? So when I say it, I want to be dead earnest that it's right with all I know. And then when He speaks to me, I can just say what He showed me. Whether it's good or bad, I have to say it. And sometimes it's--it's not pleasant to tell people those things, but yet I'm just as duty bound to tell people the--the evil things that will befall them as I'm duty bound to tell them the good things that will befall them.
And after all, we want the will of the Lord. Sometime the will of the Lord is contrary to our desires. But still, if we want the will of the Lord, it's just as precious to know that the evil will befall us if it is the will of the Lord. Whether it be good or evil, it's the will of the Lord that we want done. And I know we look at it in that manner.

14 Now, I--I know the brethren here usually have a thirty minutes--twenty to thirty minutes' message on Sunday night. And I--I don't know whether I can do that or not, so I'm--I'm just going to do the best I can.
Now, I think there's a baptismal service immediately after this. I heard they baptized a great group of people this morning. Constantly there's baptism going on here all the time. Ministers, Methodists, Baptists, Presbyterian, Church of God, Lutheran, whatever it is, are coming and being baptized in the Name of the Lord Jesus Christ. And before God, when I have to stand at the judgment bar, I've got to answer for that. And if I was just as clear in my thoughts of being justified in everything in my life as I am of that, I'd be ready for the rapture right now. For I know that is the Gospel truth. See? That is the truth.

16 There's not one Scripture in the Bible where anybody was ever baptized in any other way but in the Name of Jesus Christ. The commission of Father, Son, and Holy Ghost is only, "Go ye therefore, teach all nations, baptizing them in the Name of the Father, Son, Holy Ghost," not in the--not call this title over them, but baptize them in the Name of the Father, Son, Holy Ghost, which is the Lord Jesus Christ.
Everybody in the Bible was baptized in the Name of Jesus Christ, and the Bible said that whosoever shall take one word out of It or add one word to It in any way, woe unto them. So I have enough I have to fear about besides adding something or taking it from the Scripture. It's got me in trouble many times, but I stay right there. He is my Defense. It's caused me to separate from a many a friend. They've parted from me because of that. But just as long as I keep this Friend here, the Lord Jesus... And He is the Word. No matter, rugged be the path, hard is the way, He come the same way. And if they called the Master of the house Beelzebub, how much more will they call those of His disciples.

18 Now, the Lord be with you all, and bless you through the week, and give you the best that I can pray for God to give you, is my prayer.
Now, we're going to read from the precious Word. And--and now, remember again, Wednesday night... Is there any midweek prayer service or anything? [Brother Branham speaks to Brother Neville about services--Ed.] Monday and Tuesday night is cottage prayer meetings. I guess the people knows.

20 Brother Junior Jackson, is he in the building? I... Brother Jackson, I don't... He's here, Brother Jackson. All right, I--I... Another Brother Jackson here. I... And Brother Don Ruddell, is he in the building tonight? Brother Don? Over here. And many of the other brethren... I see the brethren here from Arkansas, and Louisiana, and--and different places around the country.
And I have some--a elderly brethren here tonight too. I have Brother Thomas Kidd setting over here to the right: be eighty-four years old in a few days. And about three or four years ago, operated for prostate trouble and was dying with cancer; the doctor had just laid him back to die. And I liked to ruined my old car getting to him up in Ohio. And the Lord Jesus healed him sound and well, and here he and his little companion tonight... And many of you know them; maybe some don't. But here is a man and woman that was preaching the Gospel before I was borned. Think of that, and I'm an old man. See? Now, and I look at them, and them still going; then I take courage.

22 All of us know Brother Bill Dauch setting here in the corner. And oh, how thankful we are for all of God's great blessings. May it continue to be with us until that last trumpet blows. And you know, we'll be caught up together to meet the Lord in the air. Think of it. Missing people, they can't see you no more, but you're getting together with the rest of the group. "They which are alive and remain to the coming of the Lord shall not prevent (or 'hinder,' the word is) those which are asleep." Not dead, no, Christians don't die. They're just taking a little rest (See?); that's all. Oh, my. "And the trump of God shall sound, and the dead in Christ shall rise first, appear to many..." And all at once you happen to stand and look, and "Well, there's a brother..." And you know it ain't long. In a few minutes we'll be changed in a moment in a twinkling of an eye, and together with them be missing on earth, caught up to meet the Lord in the air.

23 And to think with all that we have seen in the Scriptures and the clear cut vindications of the hour that we're living in, it could happen before the service ends. Just think of that, this night. Then by that, we approach His Word. While we turn to Hebrews the 13th chapter, and we are going to read from the 10th to the 14th verse of Hebrews 10 and--or now, pardon me, Hebrews 13:10 to 14.
Now, as I have said, we, when we pledge allegiance to our flag (which is fine), we always stand while we pledge allegiance. And all other great events we--we stand in respect to our salute and so forth to our nation. And when they're playing "The Star Spangled Banner," we stand at attention. And as Christian soldiers, let's stand at attention while we read the Word of God.

25 Listen close to the reading of the Word. The reason I like to read It, my words may fail, but His won't. So if I read His Word alone, you'll be blessed: 10th verse of the 13th chapter of Hebrews.
We have an altar, whereof they have no right to eat which serve the tabernacle.
For the bodies of those beasts, whose blood is brought into the sanctuary by the high priest for sin, are burned without the camp.
Wherefore Jesus also, that he might sanctify the people with his own blood, suffered without the gate.
Let us go forth therefore unto him without the camp, bearing his reproach.
For here we have no continuing city, but we seek one to come.

26 Lord God Who is responsible for this Word, and responsible for taking care of It down through the ages to see that It's come to us unadulterated... It is pure virgin Word of God. We so cherish It in our hearts at this moment. Break this text up, Lord, into a context for us tonight, that we the children of men might understand the bidding of God. For we ask it in Jesus' Name. Amen.

27 My subject for the--this evening is "Going Beyond the Camp." It's quite a little subject; it's a little odd. But you know, usually we find God in odd things. The world gets so set in a custom thing, till anything irregular from the regular trend, it becomes odd, as I preached here a few days ago here at the Tabernacle on the "Oddball." And the farmer is an oddball to the businessman, the businessman an oddball to the farmer, the Christian is an oddball to the unbeliever and so forth. You have to be somebody's fool.
So anything unusual, it makes you kind of a fool to the--the regular trend. And therefore, God's people, and His prophets, and His--His messengers through the age that carried His message from the Word has been considered fools to the outside world.
Noah was a fool to his great intellectual world that he preached to. Noah... Was certainly a fool to Pharaoh with his foot on the throne and then forsake it for a bunch of mud daubers as they thought. And Jesus was a fool to the people. And all the rest of them that's worked and lived for God has been considered fools. They have to go beyond the camp that they had.

30 More and more I am made to believe that people are not getting to Christ. Now, I am here to try to help in every way that I can and make my statement as clear as I know how to make them. And you suffer with me if you will.
As I look and preach across the nation and watch the people, I--I'm fully persuaded that the people are not getting to Christ. And I believe that it's the enemy that's throwed this hindrance, because... The reason I believe this, He is not the object that they had been pointed to. They have either been pointed to a dogma, or a doctrine, or a party, or experience, or a sensation, or something like that, instead of being pointed to Christ the Word. That's why I think that people are resting their eternal destination upon some dogma or some sensation, like some say, "I danced in the Spirit," or; "I spoke with tongues"; "I--I--I felt fire run over me." And do you know, all those things can be impersonated by the devil? There's just one thing that he cannot impersonate; that's the Word.

32 In the debate between he and Jesus, each time Jesus defeated him, "It is written," the Word. And I believe today that the reason that people are not coming to Christ, is because they're pointed, many of them, to a--a--a denomination. "You come join our church," or; "You read our catechism," or; "Believe our doctrine," or--or some system of some sort. They're pointed in the wrong way. And their actions and the life that they live without Christ proves in their own life, is vindicated by that very thing.

33 For instance, I don't want to hurt anyone's feeling, but back and forth across the nation I have condemned women wearing short hair. That's the Bible. I've condemned women wearing shorts, using makeup; and every year it gets worse. It shows that there is another finger somewhere pointing them some other way. And they're not getting through to Christ.
And they say, "We belong to a church; our church don't..." Don't make any difference what your church believes; God said, "It's wrong." And if they did get through to Christ, they would stop that. And not only that, but man would take his position if he got through to Christ and be against that. Husbands wouldn't let their wives act like that. Genuine men don't want his wife acting that way.

35 A young fellow here in the city the other day like to killed two young boys. They were at a certain filling station (You Jeffersonville people seen it in the paper.), and this young girl run into a filling station with nothing on hardly at all. And the two young men setting there made a remark, and the attendant like to killed the two boys, and was arrested for it, and put in court. And the judge asked him, "Why did you... She dress like this?"
He said, "I think she looks cute."
Now, there's something wrong with that man. I don't care whether he's a... If he's a sinner, there's something wrong with him. His love to that woman couldn't be genuine and putting her out for a dog bait like that. There's something wrong. Has man ever come to the realization that they could judge between what's right and wrong?

37 Did you see the new bathing suits they brought out? Do you know my prediction that women would finally come to fig leaves, thirty-three years ago? And now, they've got them that's dressed in fig leaves, transparent skirts. The Word of the Lord never fails. And that was to take place just before the end time--come to a fig leaf again. I was reading it in "Life" Magazine. That was said thirty-three years ago before women took their fall. It was told how they would do it in this day, and here they are, how they'd wear garments like men, and how they--the immorals of the women would drop in this nation. Lowest of all the nations there is in the world is this America. She's the filthiest of the bunch. That's according to the statistics.
The marriage and divorce rates are higher in this nation than any other place in the world. And other nations pattern... We used to pattern from France, filth and dirt of that nation, and now they get their dressing from us. We stepped beyond their boundaries.

39 I know there's some reason that people are not getting through to Christ. If they would, they wouldn't act like that. Jesus suffered without the gates, that He might sanctify His people with His own Blood. "Sanctification" comes from the Greek word, compound, which means "cleaned and set aside for service." And when God cleans His people with the Blood of Jesus, He cleans them from the filth of the world and sets them aside for service.
Wherefore Jesus also, that he might sanctify the people with his own blood, suffered without the gate.
Even to the Full Gospel people has come right back into the rut that they come out of. What was the Pentecostal church forty or fifty years ago? They cursed, and damned, and ridiculed the churches that they come out of, them denominations. What did they do? Just like a dog to its vomit and a sow to its wallow, they turned right back in the same place that they were hewed from. Now their churches is just as filthy as the rest of them.

41 It was something as I said this morning, like... The people are like Peter said in St.--St. Matthew 17:48, where he said, "It's good to be here, let's build three tabernacles."
But the Spirit bade them not to do it, said, "This is My beloved Son; hear ye Him." And He is the Word. That's Who we're to look to: the Word, not our enthusiasm or something else. "He is My Word; hear ye Him." And what did they see after this Voice spoke to them? Even Moses and Elijah wasn't present; neither was there a creed; neither was there anything left but Jesus only. And He is the Word. That's all they seen.

43 Now, going without the camp... We find that on their camp where this great occasion took place upon Mount Transfiguration as Peter later called it the holy mountain, where He met with them... Now, I do not believe the apostle meant that the mountain was holy. He meant it was a holy God on the mountain. It isn't the holy church; it's not the holy people; it's the Holy Ghost in the people. The Holy Ghost is holy. He is your Director and your Leader.
And we find on this little camp up on the mountain, Transfiguration, when they were commissioned to hear... The only thing they was commissioned to do was to hear the Word. Only thing they seen was not a creed; they never seen nothing else but Jesus; and He is the Word made flesh. How beautiful that is to the same camp that was in the garden of Eden. When God fortified His church in the garden of Eden, His people, they had one Wall to stay behind; that was the Word. They had one Shield, one Armor, one thing, because God knowed what would defeat the devil; and that's the Word.
Jesus did the same thing. "It is the Word; it is written." And Satan tried to--to coat It, not quote It, coat It for Him. And Jesus said, "And it's also written." Now, we must stay with that Word.

46 And in this little camp that they had there of Peter, James, and John; and Jesus, Moses, and Elias... And in their camp they seen the heavenly host of the shadow or the Pillar of Light hanging in this cloud that transfigured the Lord Jesus. And when they were ready to make a denomination, one for the law and one for the prophets and so forth, the Voice said, "This is My beloved Son, hear ye Him." Then the... What they was commissioned was just exactly like it was in Eden, "Stay with the Word." That's God's Camp for His people.

47 It seems today to be a day of when people are going beyond the camp in everything. They're going beyond.
You know, I was told sometime ago that they had a jet plane now that can--makes them noises we hear around here, that shakes the windows. It's when the plane has got so fast that it crosses its own sound, called sound barrier. And when it goes beyond its own sound barrier, it's almost unlimited to what it'll do. And I think in there that we get a lesson. When we go beyond our own sound barrier into the Word of God, then it's unlimited what God can do with a man that's ready to go beyond the camp--the camp of man, that is.

49 Now, we see that going beyond the camp, going beyond this... I see Satan also is taking his people beyond the camp of reason, beyond the--the--the--the camp of--of common sense. Satan taken his people the other way beyond the camp; God taken His people beyond this other way. And Satan has taken them beyond the camp of common decency. When it comes to a place that people and--can act, and do, and get by with the things that they're doing today in the order of morals...
It's beyond my thoughts of how that a man can set his wife out there dressed like that, and then slap somebody for insulting her. It's beyond common sense. He ought to know better than that. Beyond common decency...

50 Where is the stopping place? Some man or woman at my age, I might ask you this. What if my mother or your mother about fifty years ago walked out on the street with one of these pair of shorts, or bikinis, ever what you call it on? The law would've picked them up immediately and put them in the insane institution. A lady left the house without her top clothes on, and she should be in the institution, because mentally there's something wrong. And if it was mentally to do a thing like that then, it certainly is a sign that something's went insane. It's still a mental deficiency. Going beyond reason, filth...

51 And when a man can smoke cigarettes, and the doctors proving to him that thousands die every year from the cause, and can still puff away at cigarettes, it seems like there's something wrong with that man's mind. And when a man has a mental shock, and he doesn't--can't get hisself together what he's doing, he'll search every doctor's office there is in the country to find out what's wrong with him. But then he'll stand at the bar, or in the car, and drink till he's totally insane, spend his money to shove himself into that. And if he happen to going into it without the intoxication of liquor, then he'll spend every penny he finds in the doctor's office trying to find out what's wrong with him. It doesn't make sense.

52 If there would come a chicken hawk flying over the city, and I'd get my rifle, and go out in my back yard, and shoot this hawk, in ten minutes from there I'd be in jail. They'd have me arrested for--for disorderly conduct, handling a firearm in the city, endangering people's lives with a rifle, shooting up in the air at the hawk. I might kill somebody they'd say. He ought to be put away. And then they will sell a man enough liquor to get him drunk and stick him in a car that might kill a whole family full, and when he's caught he's give five dollars and costs: premeditated murder. What's the matter with the world? Something's wrong somewhere.

53 Now, going beyond the camp, beyond decency, beyond reason... You notice, our politicians today won't say nothing about reading the Bible in school. They're afraid; they don't know which way the wind's a-blowing. They don't know whether they'll lose a vote or not.
We need another Abraham Lincoln; we need another John Quincy Adams; we need somebody who'll stand up regardless of which a-way the wind's a-blowing and give their honest convictions. Today a denominational preacher, though you show him in the Word the Truth, he don't know what to do. He's afraid he'll lose his meal ticket. We need men and women today that's burly with the Gospel, somebody that'll stand and tell their convictions, point out what's right and what's wrong, whether the Word of God's right or whether the denomination's right.

55 Jesus said, "Let every man's word be a lie and Mine the Truth. Heavens and earth will pass away, but My Word shall never pass away." So you see, they go beyond the camp of God's Word to find their answer.
When he was--persuaded them from the camp of God's Word... Like he did Eve in the garden of Eden, Satan has done the same thing today. All right. We find that. People are persuaded to their dogmas and creeds without the camp, and their camp of dogma and creed. They have a camp also, and that puts them into his camp. His is the camp of education, theology, works, doctor's degree, educational, personality, everything that's against God's Word camp. God has a camp for His people. The denomination has their own camp.

57 Three thousand years ago a man could meet God most anywhere. It was a common thing for a man to meet God. But why don't they meet Him today? There's more people, thousands time thousands and millions of more people than there was three thousand years ago. And yet, God is some ancient something that was talked about, some ancient history. They don't meet God in Person like they did many years ago, as I said, three thousand--some three thousand years ago. They don't... It's not common for man to meet God. If a man talks about it, he's considered a crazy person, somebody that's lost their mind. It's so uncommon to them.

58 In the case of Abraham and in his camp, why, it was almost a every day occasion that Abraham met God. He talked to Him. Not only that, but when they went down in the--Gerar to sojourn, we find out down there that God was in the camp with Abimelech, a Philistine. It was a very common thing. They lived in the camp of His Presence. Today they live in their own camp, and they haven't got nothing to do with God's camp. They want nothing to do with it, because it's fanatically to the world. It's fanatically to them. But remember, when God fixed the first camp for people, He fortified them with His Word. He always does. But today in their camps they don't do it. That's the reason you don't hear so much about God.

59 Now, I believe that the--that the camp... As Moses... How He met Moses in the wilderness... Moses had a camp out there where he was feeding his father's--law's sheep, Jethro, on the backside of the desert. And one day to this old eighty-year-old sheepherder, he seen a Light or a Pillar of Fire in a bush, burning. And he met God--a man that was running from God. The next day... Sometimes meeting God makes you do things unusual. Moses was very unusual the next day. He had his wife setting astraddle of a mule, with a baby on her hip, and his long beard down, with a crooked stick in his hand, going down to Egypt to take the nation over. Now, that was a ridiculous sight. "Where you going, Moses?"
"Going to Egypt."
"What for?"
"To take it over." He had met God. A one man invasion. It seemed awful strange. But the thing of it was, he done it, because he had met God. Just like one person going to take Russia over, that's all you need, one person in the will of God. Moses was in the will of God, and a crooked stick he had in his hand, not a sword, a stick. The unusual things, God does.

61 But remember, Moses had to get out of the camp that he had been living in to do this, because he had been down there with a whole army and couldn't do it. With all the armies of Egypt, he couldn't do it. But one day God invited him into His camp. He said, "Who are You?"
He said, "I AM THAT I AM." not "I was," or "will be," present tense, "I AM. I'm the God of Abraham, Isaac, and of Jacob. I've heard the people's cry, and I remember My promise. And this is the time for this to be fulfilled. I'm sending you down, Moses, with this stick that's in your hand." What was it? He...

63 Now, the people thought he was crazy, but what had he done? Got out of his own camp. Pharaoh educated him forty years in the school camp, and he failed; and it taken God another forty years to get it out of him. All of his education and all of his theology that he had been taught, it taken forty years to get it out of him, and then God used him a forty years.
God has an awful time preparing His men. But you see, He never could get Moses--ahold of Moses, till Moses got out of his own manmade camp from the military way of doing it, and the natural way of doing it, unto the supernatural way of doing it. Then when he got in that camp, God could use him.

65 Now, we find out that in this wilderness... We notice when they tooken--taken their stand and come out of Egypt into God's camp, come out of the camp of the priest and all them saying, "Settle yourself; we're slaves for the rest of the time."... When Moses the prophet came down and vindicated the Word of God was at hand, that God Who made the promise was there to deliver the people, they moved from the camp that they were in into the camp of God's promised Word of the hour. They believed that prophet, because the sign of vindication was proving that it was exactly the Word of God. And the things he did proved that it was right, and the Pillar of Fire followed him along, proved that it was the Word of God.

66 Now, in this camp... Miracles, signs, and wonders was in this camp. He moved them out into the wilderness. They left their natural camp; they left the mud-camp; they left the camp made with straw and brick to dwell in tents out in the wilderness where there was no grain or nothing else. Sometimes God asks us to do foolish things to our own thinking. If you ever leave the camp of your own reason, that's the place you'll find God.
Notice, as they went out into the wilderness, there were miracles, signs, when they moved into this camp. Now, remember, they left Egypt's camp and moved out into the wilderness with God's camp. How do you know it was? God said, "Your people shall sojourn for four hundred years, but I'll bring them out with a mighty hand, and I'll give them this land here." And they were on their road by a vindicated Light, a vindicated prophet, with signs, wonders that God was in the camp, and they were on their road. They had a Pillar of Fire; they had a prophet; they had manna; they had living waters. Amen. They had chanced--changed campgrounds. They had to do it; they couldn't see those things in Egypt. They had to change the campgrounds in order to see the supernatural.
So will the people of this day have to change the camp from them denominations that say, "The days of miracles is past. There's no such a thing as the baptism of the Holy Ghost," and; "All these Scriptures are wrong; and they were for another age." You'll have to change your campgrounds. Go beyond that camp to where all things are possible. All of them was vindicating His Presence in the camp.

69 Now, notice. Then--them... They made a manmade camp of traditions and creed after Moses was dead. And God dealt with the people for many years. God's not in His camp anymore, in their camp, because they made them a camp, self-made camp.
Remember, when they were called out of Egypt, God provided them a prophet, provided them a sacrificial lamb, provided them all they had need of, a word, a sign, a miracle, a prophet to lead them, an atonement to take care of them, the Pillar of Fire to lead them; and when they got out into the wilderness, they still wasn't satisfied. They wanted something they could do themself. Grace had provided that; now they want something to do themself, so they could make them an organization and fuss and fight and stew who was going to be high priest and who'd be this, that, or the other. One day God said, "Moses, separate yourself from them," and He just swallowed them up in the gainsaying of Korah.

71 Now, notice, all these signs and wonders vindicate His Presence. Then made--man made himself a camp, a camp of creed and tradition, not God's camp of His Word, a camp of their own. He had to leave them, for He is the Word. He cannot stay where people are taught out of this Word. God cannot stay in the camp. He can't. He never did. He must stay exactly where His Word is.

72 When He had to leave that camp then of that whole gang of people that He brought up out of Egypt, He only dwelt among His prophets to whom His Word came. The Word came to the prophet to vindicate the hour. He dwelt among the prophets and revealed to the prophet, how they cursed the people and cursed the things. And God taught them His commandments and the way of life. And the people was always against it, and persecuted the prophet, and finally stoned him, or sawed him to pieces, and got rid of him.
Jesus said, "Which one of the prophets didn't your fathers murder? Which one of them of the just ones that was sent to them and said, 'The works of your father you'll do.'"... He wasn't talking to Communists; He was talking to priests, denominational people, Pharisees and Sadducees. I suppose His voice wouldn't change very much tonight, only be a little worse maybe to them.

74 Now, we find out that He dwelt then among His prophets. He then became a Stranger to them, for He dwells only in His Word to confirm It. The Bible said that He watches over His Word to confirm It. He's trying to find someone... If He can just get a halfhearted man like Samson... Samson surrendered his strength to God, but he gave his heart to Delilah. That's the way that many times we do today: just give something to God, but not all. But God wants all of us.
Like an insurance policy, when you get an insurance policy, you might as well get full coverage. And that's what this blessed assurance does for us. It's a full coverage policy. It covers all we have need of here in this life, and our resurrection, and Eternal Life; it includes everything.

76 Notice. God stayed out of their camp then for four hundred years. Why? He had no more prophets. From the prophet Malachi to the prophet John, four hundred years there's not one turn of a wheel that Israel done. God was out of the camp. They put Him out by their creeds, and their selfishness, and their difference towards the Word. Four hundred years without the Word... From one prophet to another He journeyed until the last prophet was Malachi, and then there wasn't another prophet for four hundred years.
And then God came on the scene again. One day He walked among them again, but their traditions had so took His place among them, He was a Stranger to them. The traditions of the fathers had... Washing pans, and--and the way to groom their hair, and wear the certain buttons on their coat, and their certainly fleeced priest robes, and--and one's a staunch Pharisee, and the other one's a Sadducee; and that had taken the place of the Word among those men, till when God visit them, He was a Foreigner.

78 May I say this with love and respects, but to drive it home. It's the same thing today. It hasn't changed a bit. When He comes among the people in His power and manifestation to prove that His Word's the same yesterday, today, and forever, 'cause He is the Word, the people says, "A fortuneteller, a Beelzebub, a Jesus only," or--or something like that. Some class you somewhere. But it has to be that way. See, we haven't had a prophet now for almost two thousand years. The Gentiles didn't get one, you know: promised at the end. Now, we know that by Scripture. We know that also by history that this is promised to us.

79 Now, after four hundred years God walked right among them one day. According to the Scripture He was to be made flesh and dwell among them. "His Name shall be call Counseller, Prince of Peace, Mighty God, Everlasting Father." And when He came among the people, they said, "We'll not have this man rule over us. What--what fellowship card does he pack? What denomination sent him?" He had no cooperation; every church He went to, they throwed Him out. They had nothing to do with Him, because He wasn't one of them.
And as it was then, so is it now. The Bible said the Laodicean church would put Him on the outside, and He was knocking trying to get in. There's something wrong somewhere.

80 Now, why? They had made their own camp. They... If they would've knowed the Word, they'd have knowed Who He was. Jesus said, "If you... Search the Scriptures, for in Them you think you have Eternal Life; They are the ones that tell you Who I am." That's what the Scripture said. Now. "They testify of Me. And if I do not the works that was promised for Me to do; if I do not the works that My Father, the Word..." In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelled among us. "Now, if I am that Person, search the Scriptures and see what I'm supposed to do. And if I don't qualify, if My works, the works that the Word testifies, the Father testifies of Me, if they don't vindicate Who I am, then I'm wrong." That's right. "If you can't believe Me, believe the Word," He said, the works that the Word produces.

81 See, He was a Stranger among them. They didn't know Him. "We'll have nothing to do with this fellow." Just a odd Fellow that'd been born down there in a stable somewhere; and they believed that His mother had this Baby before that It was born--or before It was--had this Baby from a illegitimate birth, rather, and then they--that before the Baby was born that she went off and married Joseph, and he did that just to hold the black mark off of her, her character; and He become a odd sort of a Fellow, because He was a illegitimate born child, and that's the reason He was... And when He come out, what did He do? Tear down their creeds, turn over their tables, beat them out of the place, and say, "It's written." Amen. That ought to told Who He was. "It is written."

82 Well, they'd have nothing to do with such a Fellow as that. But way down deep in their heart, they knowed Who He was, for Nicodemus plainly stated that: "Rabbi, we (the Pharisees)--we know You're a teacher come from God, for no man could do the things that You do except God be with Him." Why didn't they confess Him then? It's because their camp had set its boundaries; it wouldn't let Him in the camp and wouldn't let anybody go out to Him. They had their own camp. He come by night when the gate was really closed, but he found that he could--met Him anyhow.
Yes, same now. They have... He's become a Stranger, Foreigner. They don't understand it: "Why would this be?" and, "Why would that be?" when the Word Itself testifies that this is exactly what's supposed to be done in this day. How... We went through it over and over, but it's the Truth.

84 He was to them in their camp, a fanatic, a breaker of their tradition, a upsetter of their churches, really just a fortuneteller, a spirit that's called Beelzebub. That's what He was. And I believe if He come among us today, He'd be the same thing to us, for we have traditions, we have denominations. We can't even get along with one another. Why? There's only one place that man can get along; that's under the shed Blood. And the Blood was shed as a germ of Life to germatize this Seed, the Word. Outside of that, our denominational barriers will always keep people away.

85 But He'd be a Stranger today; He'd be called the same thing. He'd be acted... He'd be put out of the camp. And did you know, the same Bible that said, "For He'd be rejected of men, a Man of sorrow, acquainted with grief; and they rejected; and we did esteem Him smitten and afflicted of God," the very Scripture that told that... The very prophet that sang out, "My God, my God, why hast Thou forsaken Me? My bones, they all stare at Me. They pierce my hands and My feet."... When they were singing that hymn in the church, their Sacrifice, the God that they thought they were serving, they were crucifying. So is it today. The very God...

86 Look what the prophet said, Amos, when he come into Samaria. And his little eyes narrowed as he come up over that and seen that sinful city, women laying in the street with men: a modern America... When he looked up over, his eyes narrowed. And he had nobody to sponsor him; he had no fellowship card. God had sent him. Would the people hear his message? No, they wouldn't hear him. But he prophesied, and he said, "The very God that you claim to serve will destroy you." And I say in the Name of Jesus Christ, the very God that... This nation claims to be a religious nation; the very God that they claim to serve will destroy them in their iniquity. It'll destroy every denomination off the face of the earth, what they claim to serve.
So notice. He rebuked them, and they put Him out of their camp. Jesus suffered without the camp. They put Him out of the camp, outside, way beyond their camp.
We find out that the Bible said in this last day under this Laodicean age they'd do the same thing. They would be put out of the camp (Now, watch what He says to do now in closing.)--put out of the camp where the sacrifices was burned. That's where He belonged; He was the Sacrifice.

89 Now, brother, sister, do you know that each one of you all must sacrifice, you must be God's sacrifice, sacrifice the things of the world, sacrifice your own pleasures of this world, sacrifice the things of the world? You know the reason that people won't do it?
You know, a sheep--a sheep don't have but one thing to--to offer, and that's wool. And now, he's not asked to produce or to manufacture some wool for this year; he's asked to--to bear wool. We're not asked to manufacture something; we're asked to bear the fruit of the Spirit. That is, the inside of the sheep... What he is on the inside, makes the wool on the outside. And when a man has got Christ on the inside, it makes him Christ-like on the outside, not some artificial put-on.
Well, we find when that takes place, when Christ comes back, how is He treated? Just exactly like it was at the beginning. Always has been.

92 So He so rebuked them, that they put them out of His camp and made Him as a sinner; which He became sin for us.
Now, after hundreds of years, yes, 'most two thousand years, He's visit their camp again according to His promised Word that He'd do in the last days. He's visit the camp again. He's visit the camp to manifest this Word today, just like He visit back in that day, and He did in Moses' day. That was not Moses doing that; Moses was a man; it was Christ.

94 Look at Joseph, the life: loved of the father, hated of his brothers because he was a seer. And they hated him without a cause. That was the only cause they could hate him for. Perfect type of today, exactly, the church again, they hate the spiritual things. And we find out that he was sold for nearly thirty pieces of silver, supposing to be dead took up and put in a prison house (like Jesus was on the cross), one man lost and one man saved, and was taken from there to the right-hand of Pharaoh. It's exactly the way Jesus was done.

95 It was David in--went up through the streets a-crying, rejected king, and set upon the mountain weeping over Jerusalem. That wasn't David. The Son of David, a few hundred years after that set on the same hill and wept because He was a rejected King among His own people. It's Christ always. And today when it's prophesied that Christ must come into the camp, you know what happened? It'll be just exactly like it was then. It's got to be that way to fulfill what the Word here promises He'll do.
Now, remember, Christ was in the age of Noah. That was Christ, Jesus Christ the same yesterday, today, and forever, the rejected Word of the hour.

97 Notice. And His prophecy of Revelations 3 found when He come in this last day, as He prophesied He'd come in this last day... And how did He find the church at Laodicea? Rich, have need of nothing, and set as a queen, and can see no sorrow, and put Him outside the church, had no use for Him. He went without the camp again. But then she didn't know that she was naked, blind, and miserable, and knew it not.
Again, if He'd come again in the same way as He was then, He would rebuke every woman that wore shorts. He'd rebuked every bobbed-haired woman, every painted face, every man that would be little enough to let his wife do that. He'd still... Then He'd tear down every denomination there was and break up every creed we had. You believe He'd do it? He sure would. That's right.
What would they do with Him? Put Him out the camp. They sure wouldn't cooperate with Him. No, sir.

100 Now, we find Him again in this day as the Bible said He would: put out the camp. For He ever remains the same, the Word, same yesterday, today, and forever.
They--they don't want Him. They rejected Him again with their council. They would prefer today like they did then when He was on trial... And today when the Word is on trial, what's happened? They have rejected again like they did then and accepted a Barabbas, a murderer, instead of Christ. The council would do the same thing. And today because they have rejected the Word and the perfect vindication of the hour, they have sold out and preferred a Barabbas, the World Council of Churches, a murderer of the Word.

102 They deny His Word, deny His baptism, deny His power, deny His signs, and with a creed or tradition again of wearing turned around collars and everything, making themselves creeds and so forth, they're trying to, upon good works. They wasn't ordained to Life to begin with. They had nothing to believe with. "He that knows Me, knows My Father. And as the Father has sent Me, so send I you." The God that sent Jesus went in Jesus, and the Jesus that sends you goes in you. "He that believeth in Me, the works that I do shall he do also. Go ye into all the world and preach the Gospel to every creature (black, yellow, white, brown, whatever he might be). These signs shall follow them that believe." Why for? All the world and to every creature.

103 A little Baptist minister not long ago in Tucson came to me, he said, "Brother Branham, here's your trouble. You're trying to make this an apostolic age." He said, "There is no such a thing as apostolic age today. Apostolic age is over. "
I said, "It is? I didn't know it."
Then he said, "Well, it is."
I said, "You sure?"
He said, "Sure, I'm sure." He said, "All right."
I said, "How do you think it's over?"
Said, "That was for the apostles."
I said, "Peter said on the day of Pentecost... Do you believe his word?"
"Yes, sir."
"He said, 'Repent every one of you and be baptized in the Name of Jesus Christ; for this promise is unto you, and to your children, and to your children's children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call.'" This same promise, we've got to come back to it.

107 Doctor Simon Peter wrote a prescription. The Bible said, "Is there no balm in Gilead, is there no physician there?" Well, you know if you take a doctor's prescription... When he finds a disease that's in your body, and he writes that prescription; you better fill it, get some real druggist that'll fill it just the way it's wrote, because he has to put in so much poison, and so much antidote, so much that your system will take. You see, he... It's already been tried and proven, and you must take that prescription. If you don't, you get some quack doctor to go to fooling with that, that don't know how to measure out that medicine right, he'll kill you. And if he puts too much weakness in it, won't do you no good.

108 And that's what's the matter with a lot of you doctors. You're fooling with that prescription. Peter said, "I'll give you a everlasting prescription, for you and to your children, and them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." Not, "Come and join," but, "Repent every one of you and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of sins, and you shall receive the results (Amen.), the Holy Ghost, for the promise, this prescription's for you and to your children." Now, some of you quack doctors, quit writing those fake prescriptions; you're killing your people. That's the reason the real thing isn't getting to them. Yes.

109 You know, on this same prescription, how the doctor finds his medicine... They always take and... The scientists try to figure up something, then they give it to a guinea pig and see if it kills him or not. And then you know, medicine's got a chance to take. You--you might get well, and it might kill you (See?), because all people are not like guinea pigs, maybe. So... But there's one thing about this prescription; it's for all.
And then, any real good doctor that won't--got a lot of faith in his own medicine, he won't ask somebody else... Some of them's cowardly enough to get a prisoner with life term, and then set him free if he lives over it, let him take prescription. But in this place we had a real Doctor; He come took the prescription Himself...?...

111 "I am." not, "I will be." "I am the Resurrection and the Life," saith God; "He that believeth in Me, though he were dead, yet shall he live. And whosoever liveth and believeth in Me shall never die." Martha said... He said, "Believeth thou this?"
She said, "Yea, Lord, I believe that Thou art the Christ that was to come into the world. No matter how much the rest of them call You, I done seen it."
And at Calvary He took the injection Himself. And on Easter morning death couldn't hold Him: "I am the Resurrection and the Life." They injected death into Him, but He rose up victorious over the--death, hell, and the grave. He took the injection Himself, and He sent out some doctors to write a prescription who had the revelation of Who He was: "Who does men say I the Son of man am?"
Peter said, "Thou are the Christ, the Son of the living God."
He said, "Blessed art thou, Simon. You've got it now. I give to you the keys to the Kingdom. Whatever you bind on earth, I'll bind it in heaven. If you loose on earth, I'll loose it in heaven."

116 And on the day of Pentecost when they seen all this going on, he said--they said, "What can we do to get this inoculation?"
Here he read the prescription; he said, "Now, I'm going to write a prescription that's for you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall ever call." Don't fool with the prescription; you'll die. They make it so weak today, till it's nothing but denominational water (That's right.), some embalming fluid they inject into a dead man to make him deader. Oh, but, brother, there is a genuine anointing. There is a Balm in Gilead; it's for the healing of the soul. Just don't fool with the prescription. Take the prescription just the way it's written, and God's obligated to His Word, not obligated to the creed, or the dogma, or the denomination; He's obligated to His Word. Follow the prescription; that's the first basis. Start off; then you're signed up and ready to go to work.

118 Notice, out the camp. They have chosen a Barabbas today. When the Gospel has passed back and forth around the world, great signs and wonders has followed the revival, but instead of coming in and trying to do it, they're joining right up with Barabbas. "Before we'll have this nonsense and so forth in our church... We'll be classic like the rest of them." Now, they got Rome and all of them together, a Barabbas.

119 Notice, we are then in that great camp. We are invited to go beyond that camp.
... Jesus also, that he might sanctify the people with his own blood, suffered without the gate.
Let us go... to him beyond the gate,... (Watch!)... bearing his reproach.
What was He reproached for? Not because He was Methodist or Baptist; I'll assure you that, not because He was Pharisee or Sadducee: because He was the vindicated Word.
"Bearing His reproach..." For what? The vindicated Word. That's right. That was what He did. He said, "If I do not the works of My Father, don't believe Me. If I'm not the Answer to all the Scriptures' questions..."

122 Jesus of the New Testament was Jehovah of the Old. Exactly right. I believe (as I was telling you here now, sometime ago or somewhere in a meeting; it might not have been here) "Jehovah of the Old Testament is Jesus of the New." Do you remember the--the--the--when I was going squirrel hunting that morning. And there it was, them three big stems run into one out there, right on the mountain, me standing there looking at it. And I drew up close and took off my hat, laid down my rifle. Got up there, and a voice shook the woods, said, "Jesus of the New Testament is Jehovah of the Old. Remain faithful." So... Right below there is where the squirrels appeared then, come into existence when there was none there. See? That's truth. See? It's truth. So God knows, before Who I stand, it's the truth...?... That's right. It's the truth.
Right down in Kentucky... And there's people setting right here tonight was present when it happened again, the same thing. Yes, we know that it's the truth. Jesus of the Old Testament...

124 Like when the Chinese people first come over here, they couldn't read nor write our language. But they were great laundrymen. And so they would... You go down to the Chinese laundry. He just got him some clear old white tags. He couldn't read one thing, and he knowed you couldn't read it if he wrote it. So when you come, he just took this little white piece of paper, something on this order, say, right here--and he tore it a certain way like that. Now, he give you one piece of paper, and he kept the other piece of paper. And then when you come back for your laundry, he said, "Let me see your piece of paper." And he got them; if it matched, that was it. You got your dirty clothes back clean.
And Jesus matched every prophecy, every design of, "Jehovah of the Old Testament is Jesus of the New." He matched everything. Let me say this with godly fear and respects, but love, but sincerity, and knowing where I'm standing, the message of this hour has matched everything the Bible spoke of for this hour. Now, if you got some dirty clothes, turn them in. Are you washed in the Blood of the Lamb?

126 Notice, bearing His reproach, 'cause He was the vindicated Word. As then, so is it now. He's the same yesterday, today, and forever, Hebrews 13--12 and 13--we find--Hebrews 13:8 also.
Bearing His shame of the Gospel, bearing His Name... He said, "I came in My Father's Name." What is the Name of the Father? He came in His Father's Name. Said, "I came in My Father's Name and you received Me not." Well, what is the Father's Name? I guess you ought to know. See? Bearing a reproach of the Word? It was always carried out of their camps; they turned It out. You'll be laughed at, made fun of...

128 And today, where I once started across the nation... Not speaking about myself, please don't think this is a personal. But my time's gone; I've got about ten pages here. You can see what's left of it (See, see? all right!)--of notes.
But listen. First started out... Did you notice Jesus when He first started, "Oh, the young Rabbi. Oh, He was a wonderful Man. Come over our way. Come preach to us."
But one day He set down to them, and He said, "Except you eat the flesh of the Son of man and drink His Blood, you have no life in you."
What do you think the doctors and intellectuals of the crowd thought? "This man's a vampire. (See?) He wants you to drink human blood. That's too much for us. Get away from... They--the priests said he was crazy; I believe it." And the Bible said they walked away.

132 Then He had seventy ordained preachers. And He said, "I can't have them." So He looked around to them; He said, "Well, what will you say when you see the Son of man ascending up into heaven from whence He come?" Now, He never explained these things. He just let them alone. See?
And they said, "Son of man? What? We eat with the man; we fish with him. We lay on the banks with him. We seen the cradle he was rocked in. We know his mother; we know his brother. Who can receive a thing like this?" And the Bible said they walked with Him no more.

134 Then He turned around to Peter and the rest of them, said, "I chose twelve, you twelve..." Now, from the thousands He's down to twelve. He said, "I chose twelve; and then one of you's a devil. I knowed it from the beginning." He said, "Now, do you want to go with them?" He didn't have to baby, and pet, and, "I'll make you a deacon if you'll join my church." See? Ain't no axes to grind. He never even explained it. Neither could the disciples explained it, but you remember, He'd just told them, "I knew you before the foundation of the world. I ordained you to receive joy with Me." See? There it was, before the foundation of the world, predestinated.

135 Those apostles stood there just as stern. They couldn't explain how they was going to eat His flesh and drink His Blood. They couldn't understand how He ever come down when He's been right there with them all the time. He couldn't explain it. The people couldn't explain it; nobody could explain it. But Peter made those notable words. No wonder He give him the keys. He said, "Lord, who would we go to? We are persuaded; we know that You and You alone are the vindication of the promised Word today. We know that Thou alone has the Word of Life. We can't explain those things, but we believe it anyhow."

136 Little Martha said, "My brother is dead. He's laying in the grave; he's rotten; he's stinking. Lord, if You would've been here, my brother would not have died. But even now, whatever You ask God, God will give it to You." Oh, my.
He said, "I am the Resurrection and Life. He that believeth in Me, though he were dead, yet shall he live. Whosoever liveth and believeth in Me, shall never die. Believest thou this?"
She said, "Yea, Lord. I can't explain it, but I believe it. I believe that You're the Christ that was to come into the world. I believe by the noted Scripture that You meet the qualification of that."
Said, "Where have you buried him?"
Oh, my. Something has to happen. Every wheel's coming right together at the right time. See? He walked down to the grave. The Bible said, "no beauty we should desire Him." Probably a little stoop-shouldered Fellow, stood with the little shoulders down, tired and weary from walking, He said, "Lazarus, come forth." And a man that'd been dead four days stood on his feet.

141 A Christian Science woman... Excuse me if I hurt your feeling; I don't mean to. A Christian Science woman right from this church met me out there one day, and she said, "Mr. Branham," she said, "I like your preaching, but there's one thing you do too much upon it."
I said, "What's that?"
Said, "You brag too much on Jesus."
I said, "I hope that's all He's got against me." See, see?
She said, "You make Him Divine." See, they don't believe He was Divine. They believe He was just an ordinary man, good teacher, philosopher. Said, "You make Him Divine, and He wasn't Divine."
I said, "Oh, yes, He was."
She said, "If I'll prove to you by your own Bible He's not Divine, will you believe it?"
I said, "My Bible said so. I--I believe the Word. That's Who He is."
And she said, "In Saint John the 11th chapter when Jesus went down to the grave of Lazarus the Bible said He wept."
I said, "What that's got to do with it?"
She said, "Well, that showed He wasn't Divine."
I said, "You just fail to see Who the Man was. He was both God and man. It was a man weeping, when He was weeping for their sorrow; but when He stood and said, 'Lazarus, come forth.' and a man had been dead four days stood on his feet again, that was more than a man." Yes, sir. Yes, indeed.

147 And I've often made the expression, when He come down off the mountain that night, hungry, He was a man. He was hungry the next morning. He was a man. But when He took two biscuits and five fish and fed five thousand, taken up seven baskets, that was more than a man. Yes, sir. He was a man on the cross when He cried, "My God, hast Thou forsaken Me?" When He cried, "Give Me a drink," and they give Him vinegar and gall, He was a man crying, but on Easter morning when He broke every seal of death, hell, and the grave, and when He rose up, He was more than a man.

148 He was a man that night, laying on the back of that little boat where He was out there with the disciples, and ten thousand devils of the sea swore they'd drowned Him. Out there in a little old ship like a bottle stopper out there like that, He was so tired, didn't even wake Him up. He was a man when He was asleep, but when He put His foot on the brail of the boat, and looked up, and said, "Peace, be still," and the wind and the waves obeyed Him, that was more than a man; It was God. No wonder the poet said:
Living He loved me; dying He saved me;
Buried He carried my sins far away;
Rising, He justified freely forever:
Someday He's coming--oh, glorious day!"
Yes, sir. Go beyond the camp. I don't care what it costs.
This consecrated cross I'll bear
Till death shall set me free,
Then go home a crown to wear,
For there's a crown for me.

150 Closing, I say this... I was reading a story sometime ago on a judge. He was a just man, a good man, was loved. And there was a bunch of people in the city that thought they could get by with anything, so they had plenty, so they opened up a house of ill-fame, run a liquor store, liquor, everything like that, and was illegal. And they was caught by the law, the federal men, and was brought to court. And when all the people of the city, the little city, gathered in... They knowed this man had done a lot of things around there, the man that had run the ill-fame place. And they--they... The jury found the man guilty, 'cause he was caught open handed. And so then the judge found them guilty and sentenced them for so many years, without bond, without appeal, or anything, he sent them, because that's what the law read.

151 The people outside the court raced him and said, "You know what? Every person in this town will hate you." Said, "They hate you for making that decision on that man." They was all gamblers themselves. And said, "We--we'll all hate you. We'll never elect you again. We'll never be a one of us vote for you." booing him as he went down the street.
He stood, "Just a minute." said, "Let me have a word." He said, "I've done exactly what was my duty. The man was guilty, no matter who he was. And I had to sentence him according to the law that I swore I'd uphold."
He said, "You're hated in this town."
He said, "But I'm loved greatly at home by my people."
We might think the same thing, if you'll pardon the expression. I've stood for what I have been saved to do, uphold this Word of God. I know the denominations hate me for the things that I say, but I'm greatly loved in His House, among His people. Let us pray.

155 Lord Jesus, we may be hated by the world, but loved of the Father. Help us, dear God; help these people, that each one of them, Lord, that Thy blessings will rest upon them. Let us go beyond the camp now. Let us go beyond our own thinking. Let us go by the thinking of God. It... The Bible said this: "Let the mind that was in Christ be in you." So let us think His thoughts, not our own thinking, because most the time we're wrong. So to be sure, let His mind rest in us. And His mind was to do the Father's will, and the Father's will is His promised Word.
Let us go beyond the camp tonight, Lord, and find Jesus. We'll never find Him by joining the church. We'll never find Him by shaking hands with some minister, or--or signing some creed, or something that we promise to go to Sunday school so many days out of the year, and so forth. We'll only find Him in the Word, because He is the Word.
And as we see this day promised that He'd be outside the camp, put out again, now, let us go beyond the camp, ready to bear His reproach, hated of this world, but loved of the One Who has invited us to the camp. Grant it, Lord.

158 If there be those here who doesn't know Him and has never went beyond the camp of some church affiliation, yet you profess to be a Christian... But when you say these things, "I believe it was for another day," that shows it cannot be the Holy Spirit. How can a man that's filled with the Holy Ghost ever be baptized using the name of Father, Son, Holy Ghost, when Paul, the great apostle, said, "If a angel comes from heaven..." You might've done it one time not knowing any different. Those people did it not knowing different in Acts 19. But said, "An angel preaches anything different, let it be accursed." How can you accept some creed, or some ism, some something another when the Bible said the promise is unto you, this same thing, the real baptism of the Holy Spirit...
How can the Holy Spirit that wrote the Word be in you denying the Word? How can It deny, when the very Holy Spirit Itself said, "If any person shall add one word to This or take anything from It, I'll take his part out of the Book of Life." How can the Holy Spirit then take anything from the Word or add anything to the Word?

160 My friend, both here and in the invisible world where the tape will go--invisible to us now, let that go deep in your heart from this morning's message on the teaching, seeing where we are. If you never have yet ever taken this prescription that I spoke of awhile ago, won't you receive it? We're here to do everything that we can for you to help you.
I'm only a witness; I'm only a electioneer, as we have in Louisville now the--the Democrat Convention the--of Kentucky, the--they're building the platform for their man to be elected. I'm also building a platform for My Lord. Won't you receive Him tonight as your own?

162 With our heads bowed and our hearts also in this moment, would you just raise your hands and say to God (not to me, I'm just a man), raise your hands to God, say, "God, be merciful to me. I truly want all these things that I've heard about. I want to go beyond the camp. I don't care what anyone says." God bless you. My, at the hands, at the hands. "I want to go without the camp. No matter what it costs me, I'll take my cross and bear it every day. I'll go beyond the camp. No matter what people say about me, I want to follow Him outside the camp. I'm ready to go."

163 Heavenly Father, You seen those hands. Maybe a hundred people or more in the building raised up their hands. Lord, there's something near them now, some other Person, the Person of Christ, the invisible to the natural eye, and has caused them to make a decision. In their own life they know as they look into a mirror; they see there's something missing; and they want their lives to be shaped according to the promise of God. And they've raised their hands with deep sincerity. Help them, Lord, to the great Door tonight to the sheepfold. May they come in sweetly and humbly. Grant it. They're Yours, Lord; deal with them.

164 Now, they could not have made that decision, they could not have raised their hand without a supernatural something. It shows there's a life there somewhere; for according to science, gravitation would hold our hands down. But there was something that struck their mind that made them defy the law of gravitation and put up their hands towards the Maker that brought them. "Yes, I want to go all the way. I want to go beyond the camp tonight."
Lord, the pool is ready for the first move after repentance, then being baptized, and a promise to receive the Holy Ghost. In this last days a calling back to the original faith, the original prescription... We see too many people away from Christ, dying under these other manmade prescriptions. They may be ever so good in their denomination, but, Lord, I--I want Your prescription. You're our Doctor; there is a Doctor; there's Balm in Gilead; there's a Physician here tonight to heal every sin sick soul, to heal every physical being. Great Doctor of all times, great Creator of the heavens and earth, come now, will You, among us and speak to us. In the Name of Jesus Christ.

166 While each one prays in their heart, "Lord Jesus, help me now." And if you've never been baptized, and you're convinced... I haven't preached on baptism, but you're convinced that you should be baptized in Christian baptism, the only way that any Christian...
What if you come up there baptized in some other way, and the same Jesus Who said, "Who will take one word or add one word, the same will be taken out of, his part, of the Book of Life."... Jesus said that, and He said, "All Scriptures is inspired and must be fulfilled." Now, you know different. What will you do about it?

168 If you've only had a sensation or something... I believe in sensation. If you've only danced in the Spirit, spoke in tongues... I believe in that too. But if that's all the farther, and your spirit in you tells you not to follow the Word when you know It's right, there's something wrong with that spirit. It isn't the Holy Spirit. It can't be. See? It would identify Its own Word; you know that. You can make ready to come now while we're praying.
Jesus of Nazareth, come close now and speak to every heart. I commit them to You, may they be... All these hands, they're trophies of the message, Lord, from You and Your great august Presence that's with us now. Any man that's sensitive to the Spirit can tell that You're here, this great feeling of sacredness. Grant it, Lord, just now. In the Name of Jesus Christ.

170 Now, with our heads bowed, if there's men here that would want to be baptized in the Name of Jesus Christ, want to repent, want to seek the baptism of the Spirit, there's a room open to my left. Women, to the right, there'll be someone in there to instruct you. There's baptismal gowns waiting, everything. Now, while we keep our heads bowed, singing:
I can hear my Saviour (We'll be meeting...)

Up