Humilie-Toi
1 [Frère Neville présente Frère Branham.–N.D.É.] C’est toute une surprise. Je crois que je pourrais faire une annonce, là : “Il y a certains dons : qu’il me vienne, à moi, une idée comme celle-là.” [Frère Branham et l’assemblée rient.]
2 Je prends vraiment plaisir à être ici, chaque fois. Notre voyage tire maintenant à sa fin, notre séjour parmi vous. En effet, nous avons une autre série de réunions, tout de suite après, à Chicago, et il faut que je ramène ma–ma famille, très prochainement, en Arizona. Et ils n’ont pas encore eu leurs vacances d’été, alors je dois aller faire un petit tour avec eux quelque part, dans quelques jours. Et alors je serai probablement absent un–un jour, un dimanche, et la semaine d’après je commence à Chicago. Puis, je dois revenir vite, le lundi, pour les amener en Arizona.
3 Or, ça me fait de la peine de venir le dimanche matin, prendre ce temps où tout le monde est frais et dispos. Le dimanche soir, vous êtes toujours fatigués, épuisés, le dimanche soir; et alors de remettre le service du dimanche soir à notre pasteur, ça–ça, ce n’est pas vraiment bien. Mais, ça me fait de la peine de faire ça; par contre, le dimanche soir, ce que je ferais... le dimanche soir, quand j’ai un service le dimanche soir, alors je retiens les gens jusque tard. Beaucoup d’entre eux parcourent tout ce trajet, depuis le sud et–et depuis le nord, et ils ont, oh, parfois ils roulent jour et nuit, rien que pour arriver ici pour un seul service, puis s’en retourner. C’est pour ça que j’essaie de prendre le dimanche matin, quand je suis là; ça leur permet de s’en retourner.
4 Des pèlerins loyaux et fidèles; comme je les aime! Ils roulent à travers la neige fondue, la pluie, et tout, pour arriver ici, ils traversent le pays, ils font des centaines de milles, rien que pour un seul petit service. Alors, ça m’amène à éprouver de la reconnaissance envers Dieu, et envers ces gens-ci, pour leur grand–pour leur grand soutien, de ce que j’essaie de dire aux gens, de cette Vérité.
5 Or, je crois que ceci est la Vérité, je... de tout mon coeur. S’il y avait quoi que ce soit d’autre, que je pensais être mieux, certainement que je–j’irais d’abord... Je ne demanderai à personne d’aller quelque part, sans que moi-même, j’y aille d’abord, pour savoir si c’est ce qu’il faut ou pas. Je ne demanderais à personne de–de faire un pas en Dieu, que je n’aie déjà fait moi-même, et dont je ne sache que c’est la Vérité. D’abord, il faut que ce soit la Parole du Seigneur, ensuite, je dois faire le pas pour voir si c’est bien ce qu’il faut faire. Puis, si c’est bien ce qu’il faut faire, alors je peux dire : “Montez par ici.” Voyez-vous, il s’agit d’ouvrir la voie.
6 Et, alors, je pense que n’importe quel ministre devrait faire ça, il devrait d’abord y aller lui-même. Il est censé être un conducteur, un conducteur des gens, il ne doit pas parler d’une chose à laquelle il ne voudrait pas lui-même mettre la main. Nous devrions y aller, nous les conducteurs des gens.
7 Ce matin, j’ai eu une expérience très étrange, très bizarre, ici, à la chaire. Et c’est arrivé vers la dernière partie du Message : je n’avais pas l’intention de dire ça de cette façon-là. Voyez? Mais je suppose que c’est déjà dit, alors maintenant je ne peux plus rien y faire. Mais après, je suis arrivé à la maison, je me suis mis à étudier ça.
8 On a eu une petite réunion de famille aujourd’hui, il n’y avait que mon frère et les autres. Maman n’est plus là. Nous avions l’habitude de nous réunir chez elle, maintenant nous allons chez Dolorès. Nous avons passé des moments agréables là-bas, cet après-midi, à causer, et Teddy était là. Nous avons chanté quelques chants, il a joué quelques cantiques et tout ça.
9 Maintenant, je pense que, peut-être dimanche matin prochain, si le Seigneur le veut, si ça ne dérange pas Frère Neville, là, je voudrais avoir un service de guérison, uniquement consacré à la guérison. Et je–et je pense qu’avec le Message de ce matin, la façon dont le Seigneur a semblé me conduire, pour L’apporter, pour Le présenter, ça devrait, en quelque sorte, nous encourager un peu, voyez-vous, à–à–à vraiment croire. Nous–nous pouvons nous amuser, nous–nous pouvons dire différentes choses, et en parler. Mais, alors, quand on en arrive à l’épreuve de force, là c’est différent. Comme le...
10 Quelqu’un racontait, je crois que c’est mon frère, là au fond, qui racontait une–une petite histoire aujourd’hui, au sujet d’un homme, d’un–d’un ministre et de son... de quelqu’un de, d’une personne de son assemblée. Il disait qu’il pouvait marcher sur un rondin.
Il a dit : “Bien sûr, pasteur, le Seigneur est avec vous.”
Il a dit : “Je peux porter un rondin sur mon dos pendant que je traverse.”
“Bien sûr, le Seigneur est avec vous.” Il est allé, et il l’a fait.
11 Il a dit : “Je peux porter un rondin et pousser une brouette en traversant, les deux à la fois.”
12 “Bien sûr, pasteur, le Seigneur est avec vous. Votre foi peut tout faire.”
13 Il a dit : “Je peux te mettre dans la brouette et porter le rondin.”
Il a dit : “Attendez une minute, là!” Voyez?
14 C’est différent quand vous y êtes impliqué, vous-même. Voyez? Alors, c’est très bien pour nous de dire ici : “Amen.” C’est très bien pour nous de dire : “Je crois que c’est vrai.” Mais ensuite, passez à l’action. Vous devez passer à l’action.
15 Comme je l’ai déclaré ce matin, les gens qui étaient couchés dans l’ombre de Pierre, ils ne demandaient même pas qu’on prie pour eux.
16 Je suis entré dans beaucoup de maisons, et j’ai observé ça. Je prie avant de partir, et j’y entre avec l’onction, tout simplement; je ne prie même pas pour les gens, je repars, et ils sont guéris. Voyez? Voyez? C’est vrai. J’ai vu ça se produire, tant de fois! Voyez? Il faut que vous ayez un point d’appui pour votre foi, quelque part. Voyez? Il faut que vous y croyiez. Et je crois que l’heure approche, et elle est déjà là.
17 Je suis conscient que ce service n’en est pas un où on enregistre. Il se pourrait qu’ils enregistrent une petite bande, pour eux-mêmes, mais celle-là n’est pas destinée à faire le tour du pays. Le...
18 Ce dont je parlais ce matin nous a amenés jusqu’à un–jusqu’à un point culminant, et c’est pour ça que je vais consacrer dimanche prochain à un–un–un service de guérison. En effet, depuis que je suis rentré, je vous ai parlé des visions et de ce qui s’est produit, et tout, et j’ai développé là-dessus, vous exposant pourquoi j’ai fait toutes ces choses. Et puis, ce matin, j’ai continué à développer, jusqu’à en venir maintenant à ce dernier Pull.
19 Maintenant, c’est le moment où je dois me consacrer à Dieu, le moment où Dieu va me parler. Voyez-vous, je–je–je dois vraiment avoir un petit changement dans ma propre vie. Ce n’est pas que je sois mauvais, je ne pense pas ça, mais je–je veux me sentir un peu plus près des gens. Voyez?
20 Ces gens à qui j’ai essayé d’annoncer cette Vérité de l’Évangile, et qui Y tournent le dos, ils s’En éloignent, et ils se moquent de Cela. Or, moi, je trouve que c’est une insulte. Envers moi, ça, ça m’est égal; mais quant aux choses que je dis, qui sont la Vérité, pour essayer de leur venir en aide. C’est comme de pousser un bateau au large, et de dire : “Allez, le voici, traversez! Allez, sortez de ce courant tumultueux, vous allez mourir! Vous–vous allez périr là-bas!” Et ils se moquent de vous, simplement, et ils s’éloignent. Eh bien, moi, s’ils s’éloignent, j’ai l’impression qu’il n’y a plus rien que je puisse faire à ce sujet, voyez-vous, rien que je puisse faire.
21 Mais maintenant je veux descendre en vitesse sur la rive, et les persuader : “Revenez donc!” Voyez-vous, il faut que j’aie ce sentiment-là, voyez-vous, parce que je sais qu’il y a quelqu’un là-bas, qui n’est pas encore entré. Et je vais–je vais pêcher, jusqu’à ce que... Il a dit, jusqu’à ce que le dernier poisson ait été attrapé. C’est ça que je veux faire maintenant.
22 Et, pour ce faire, maintenant, je m’attends à ce que quelque chose se produise dans une réunion de prière. Quelque chose... Beaucoup d’entre vous se souviennent de la vision du–du dernier Pull, de ce troisième Pull, plutôt. Vous vous souvenez, quelque chose s’était produit juste avant : j’ai vu venir cette Lumière et Elle est descendue dans cet endroit-là, et Il a dit : “Je te rencontrerai là.” Maintenant je m’attends à ce que quelque chose se produise.
23 Il y a bien des années, ici, les services et le discernement m’affaiblissaient tellement que j’en titubais. Beaucoup d’entre vous se souviennent de ça. Je me retrouvais dans cet état-là, il fallait que Frère Jack Moore me prenne par le bras, et que Frère Brown me prenne par l’autre bras, et qu’ils me fassent marcher de long en large dans la rue, pendant une heure, après le service. Et tout simplement, je, ce qui m’arrivait, j’essayais de réfléchir, de voir où–où j’étais et ce qui se passait. Ensuite, toute la nuit, je restais étendu là, à repenser à tout ça, à sangloter, et tout, à me demander pourquoi ils n’avaient pas accepté notre Seigneur Jésus.
24 Puis Il m’a dit, dans une vision : “À un moment donné, tu rencontreras une dame, elle viendra vers toi vêtue d’un tailleur brun, et elle portera un petit bébé dans une couverture; à partir de ce moment-là, tu auras de la force, pour supporter avec plus d’endurance.” Eh bien, je vous avais dit tout ça. C’est à Chicago que ça s’est produit, le soir où la petite dame presbytérienne, son propre pasteur l’avait envoyée là-bas avec le bébé.
25 Et je crois que son frère à lui, ou l’un des siens, était un–un médecin. Il a dit : “Il n’y a plus d’espoir pour ce bébé, à moins que le Dieu Tout-Puissant le touche.” Il est allé...
26 Elle est allée le dire à son pasteur. Le pasteur a dit : “Je ne suis–je ne suis pas apte”, il a dit, “à–à exploiter la guérison Divine, parce que je ne... vraiment, je n’ai pas ça en moi, la foi qu’il faut pour le faire.” Or, ça–ça, c’est être honnête à ce sujet. Voyez? Il a dit : “Je n’ai pas vraiment ça en moi.” Il a dit : “Par contre, j’ai été à l’une des réunions de Frère Branham, et je te conseillerais d’amener ce bébé à Frère Branham.” Le médecin l’avait condamné, et il se mourait.
27 Et cette petite dame est entrée là, à l’endroit où je tenais une sorte de–de service, pour les petits enfants catholiques qui avaient été brûlés vifs dans l’école là-bas, vous savez. Vous vous rappelez quand ça s’était passé. Nous tenions ce service, et la voilà qui arrive sur l’estrade, voilà cette petite dame vêtue du tailleur brun. Ma femme et les autres étaient assis là, et j’ai dit... je me suis retourné, et j’ai regardé, j’ai regardé tout autour, pour voir s’ils étaient là. Et il s’était trouvé que juste avant que j’arrive, je crois que Billy Paul et les autres s’étaient entretenus, ou ma femme, ou quelques-uns d’entre eux, avec cette dame qui portait le petit bébé. Et cette dame est montée sur l’estrade, et le Saint-Esprit a tout révélé, et là Il a guéri ce bébé.
28 Je suis reparti, et depuis ce moment-là je ne me fatigue plus. Voyez-vous, ça ne me dérange plus, et je–je continue comme ça, sans arrêt.
29 Maintenant, je m’attends à ce que quelque chose se produise, pour mettre le Troisième Pull en mouvement vers le but visé. Voyez? Et il se pourrait que le service de guérison de dimanche matin prochain, peut-être, produise ça. Je ne sais pas.
30 Je pense que ce que nous devrions faire, c’est : dites-le aux vôtres, amenez les malades. Maintenant, pour un service de guérison, nous devons nous consacrer aux malades. Amenez vos malades, amenez-les ici de bonne heure dimanche matin prochain, disons vers huit heures ou huit heures trente, et qu’on leur donne une carte de prière au moment où ils entreront, à la porte, ou selon la façon de procéder. Ensuite, nous ferons une ligne de prière, nous prierons pour les malades, et nous verrons bien ce que le Saint-Esprit fera.
31 Je crois qu’Il fera des prodiges, si seulement nous croyons en Lui, voyez-vous. Mais nous devons croire en Lui pour ces choses, maintenant, de tout notre coeur. Et je crois que cette grande heure est arrivée, alors que Dieu, comme nous l’avons dit ce matin, nous a montré tant de choses, et Il nous a amenés jusqu’à un certain... jusque-là, à un certain niveau. Tout ce qu’il nous faut faire, c’est de faire l’effort, pour arriver de l’autre côté de la petite colline, et puis, voilà, c’est parti! Voyez-vous, et ça–ça avance; exactement comme ce qui s’était passé dans le domaine du discernement, comme ce qui s’était passé dans le domaine prophétique, de voir ce qu’il en est.
32 J’étais à Calgary... pardon, c’était dans la ville reine, à Regina–Regina. Et Ern Baxter était là, nous étions là, tout un groupe. Et le Seigneur m’avait dit, ici même, sur l’estrade : “Il viendra un temps où tu connaîtras même le secret de leur coeur.” Et c’est exact. Et je n’y pensais pas, de cette manière-là. Ce soir-là, je suis monté sur l’estrade avec Ern, et je me suis mis à prier pour les malades. Et là, un homme est arrivé, et j’ai simplement étalé toute sa vie; c’était la toute première fois que ça se produisait, comme ça, simplement, en un instant, en plein service de guérison. Ensuite j’ai regardé par-dessus l’auditoire, et voilà que Ça s’est mis à descendre sur l’auditoire, et tout ça. Oh, quand nous arriverons de l’autre côté! La moitié de l’histoire n’a même pas encore été racontée : toutes ces choses, quand on regarde et qu’on voit des choses dans la vie des gens. Je n’en parle pas. Je laisse, tout simplement, voyez-vous, à moins que je me sente vraiment poussé à dire quelque chose.
33 Et maintenant, cette prochaine étape, je m’attends à ce que ça soit mis en mouvement de cette manière-là, voyez-vous, à ce que Dieu, à Sa propre façon, en Son propre temps souverain, mette la chose en mouvement. Et ce sera–ce sera une autre chose, qui sera–sera de loin supérieure aux deux autres. Voyez? Et je m’attends à ce que ça se produise.
34 Alors, je me suis dit que peut-être, si je faisais un petit service de guérison, peut-être dimanche prochain. Ensuite, le dimanche d’après, je serai probablement parti, avec les enfants et les autres; en effet, ils vont devoir rentrer pour aller à l’école. Et puis, le dimanche suivant, je, bien entendu, je serai à Chicago, aux réunions là-bas. Et puis, je reviendrai le lundi d’après, pour repartir le mardi pour–pour l’Arizona, pour que les enfants rentrent à l’école.
35 Eh bien, qu’est-ce que tu as trouvé, pasteur? [Frère Neville dit : “Eh bien, j’ai découvert quelque chose de très étrange.”–N.D.É.] Bon, c’est très bien, ça, maintenant nous voulons savoir ce que c’est.
36 Alors, maintenant, que le–que le Seigneur vous bénisse tous, abondamment. Et je–j’espère vous revoir ici dimanche prochain. Et mercredi soir...
37 Écoutez. N’oubliez pas ces petites églises, comme celle de Frère Ruddell, de Frère Jackson, de Frère Parnell, et tous ces petits frères qui mènent un dur combat, là-bas, voyez-vous. Et ils nous considèrent comme leur–leur–leur église soeur, voyez-vous. Nous sommes un peu comme une petite église mère pour eux. C’est d’ici qu’ils sont nés, qu’ils sont sortis : des pasteurs et ainsi de suite.
38 Et ce jeune homme, ici derrière, le frère – je l’ai rencontré l’autre soir, là-bas – Allen, le jeune Frère Allen. J’espère que Frère Collins, ici, fera connaissance avec Frère Allen, s’il ne le connaît pas. Ils sont tous les deux ministres méthodistes, et ils ont–ont vu la Vérité de la Parole.
39 Et, la–l’organisation de l’église méthodiste, il y a un groupe de gens très bien dans l’église méthodiste. N’allez pas penser qu’ils ne le sont pas. Ils le sont. Il y a un groupe de gens très bien dans l’église catholique. Il y a un groupe de gens très bien dans l’église presbytérienne. Et dans tous ces endroits-là, ce sont des hommes et des femmes qui attendent de voir briller cette Lumière sur leur sentier. Continuez seulement à faire briller la Lumière, dans l’humilité, la douceur. Rapprochons-nous tous de Dieu, en nous humiliant. Voyez?
40 N’oubliez pas ceci : ce tabernacle perdra sa force. Souvenez-vous que cet endroit est la cible sur laquelle Satan a braqué tous les fusils de l’enfer. Il poussera une personne à faire quelque chose qui est contraire à ce que l’autre pense. C’est ça qu’il fait. C’est ça qu’il mijote. C’est son affaire : s’il peut amener quelqu’un à dire quelque chose, quelqu’un à parler de quelqu’un d’autre, à dire : “Eh, écoute, est-ce que tu sais ce qu’un tel a fait?” N’écoutez pas ça. N’écoutez pas ça du tout. C’est le diable. Voyez-vous, c’est Satan. N’allez pas croire ça.
41 S’il y a quelque chose que quelqu’un a fait, qui n’était pas bien, priez pour eux. Ne priez pas d’une manière égoïste, en disant : “Je sais que c’est mon devoir, je dois prier pour ce frère.” Prenez à coeur, vraiment à coeur, de prier pour cette soeur. Et parlez, simplement, soyez très gentils, et à un moment donné, vous les verrez vite revenir au culte. Voyez? Parce que, après tout, nous nous dirigeons vers le coucher du soleil.
42 Le Seigneur Jésus va venir, un de ces jours. Et, vous savez, je pense que ça se fera tellement soudainement et tellement–tellement doucement, tellement, qu’il y aura cent pour... un centième du cent pour cent du monde entier qui n’en saura rien, quand l’Enlèvement aura lieu. Ça se fera tellement silencieusement que personne n’en saura rien. Voyez?
43 Et il y aura, évidemment, les petits groupes qui diront : “Eh bien, alors, un tel?”
44 “Oh, on dit qu’il y a une bande de fanatiques là-bas, on dit qu’un groupe a disparu de là-bas, et ils... Ce n’est pas vrai. Ils sont seulement partis quelque part. Nous en avons déjà vu, de ce genre de fanatisme, voyez-vous.”
45 “Eh bien, on dit que ce petit tabernacle, à un endroit qui s’appelle Jeffersonville, il y a tant de membres parmi eux qui ont disparu.”
46 Voyez-vous, ils rejettent ça. Ils diront : “Oh, il n’y a rien de vrai là-dedans, voyez-vous”, comme ça; et Ce sera du passé, mais ils n’en sauront rien.
47 Ils viendront d’un bout à l’autre du pays; ceux qui sont morts en Christ ressusciteront premièrement. L’Enlèvement aura lieu, l’Église sera emmenée à la Maison. Ensuite, la Tribulation commencera, et, oh! la la!, nous ne voulons pas être ici pendant cette période-là. Je ne veux pas être ici pendant la Tribulation. Non. Que Dieu nous en préserve, qu’aucun de nous ne soit ici pendant cette période-là. Parce que “celui qui est souillé se souille encore; celui qui est saint se sanctifie encore; le juste pratique encore la justice”. Il n’y a pas... L’Agneau s’était avancé avec Son Livre de la Rédemption, et l’Épouse a été enlevée. Ceux qui avaient rejeté Cela doivent passer par une période de Tribulation, aussi bien les Juifs que les gens des nations. Quel temps de Tribulation! Je ne veux pas ça.
48 “Seigneur, sanctifie-moi maintenant.” Voilà une bonne doctrine nazaréenne, n’est-ce pas? [Frère Neville dit : “Amen.”–N.D.É.] Et c’est bien vrai. C’est vrai. C’est exact. “Remplis-moi maintenant de Ton Saint-Esprit, Seigneur. Enlève de moi tout ce qui est du monde, maintenant, Seigneur. Ne–ne permets pas que nous...”
49 Comme le disait ce vieux frère de couleur : “Monsieur, j’ai mon billet dans ma main. Il est déjà poinçonné. Quand j’arriverai au fleuve, ce matin-là, je ne veux pas avoir d’ennuis.”
50 Donc, c’est à peu près ça : je–je ne veux pas avoir d’ennuis. Tenez votre billet dans votre main, parce que nous allons traverser. Pensez-y un peu : le grand moment de la rédemption est proche.
51 Et maintenant, une autre chose. Le frère, il s’appelle comment, déjà, celui d’Utica, là? Je pense que c’est Frère Graham, et un autre frère qui est là, comme pasteur. Un certain Frère Shanks, ou quelque chose comme ça, ou Sink? [Frère Neville dit : “Frère Snelling.”–N.D.É.] C’est Frère Snelling qui est le pasteur, tout seul. C’est Frère Snelling qui est le pasteur à Utica, maintenant. Je crois que leur réunion de prière, c’est le... [“Jeudi soir.”] Jeudi soir. Alors, vous savez, ce serait très gentil si nous allions là-bas jeudi soir, passer un petit moment de communion fraternelle avec nos frères. Voyez? Et puis, quand Frère Jackson, quand il a ses réunions, si nous allions là-bas ensemble, un petit groupe d’entre nous.
52 Continuez seulement à prier, continuez à creuser! Oui, n’arrêtez pas. Tout comme quand Élie leur avait parlé, qu’il avait dit : “Creusez des fosses là-bas!”
Quand vous vous y mettez, et que vous rencontrez une vieille boîte en fer-blanc, vous dites : “Je suis trop fatigué”? Jetez ça hors du chemin et continuez à creuser. Voyez? Continuez seulement à creuser, parce qu’il faut que nous creusions. Il faut absolument que nous creusions, un point c’est tout. En effet, si vous–si vous comptez éviter la Tribulation, vous feriez mieux de vous mettre à creuser.
53 Maintenant, pour ma part, là, je me prêche à moi-même. Je vais me mettre à creuser plus en profondeur que jamais auparavant. Parce que j’ai comme l’impression que, dans ce pays et dans le monde entier, ce ministère-ci va de nouveau... alors qu’il est connu maintenant à peu près partout dans le monde. Je–je dois repartir.
54 Ma femme m’a dit... L’autre matin, je disais : “Je voudrais que tu m’accompagnes, quand je partirai. Je vais partir vers le mois de janvier, si le Seigneur le veut. Je voudrais faire une tournée mondiale, à travers le monde entier; revenir, et peut-être faire des services aux États Unis dans le courant de l’été prochain.”
Et elle a dit : “Je suis trop vieille pour y aller.”
55 “Eh bien”, j’ai dit, “moi, j’y suis allé quand je... il y a environ, mon dernier voyage outre-mer, environ huit ans, et j’estime que je suis en meilleure condition maintenant qu’il y a huit ans, tu sais. Tu vois? Maintenant je m’y connais plus.”
56 Ensuite, nous avons abordé ce sujet-ci : “Si le Seigneur disait : ‘Je vais t’allouer vingt-cinq ans. Tu ne vas pas t’affaiblir. Tu vas pouvoir être actif. Je vais t’allouer vingt-cinq ans sur la terre’, est-ce que tu prendrais de–de la naissance à vingt-cinq ans, de vingt-cinq à cinquante ans, de cinquante à soixante-quinze ans, ou bien de soixante-quinze à cent ans?”
57 Or, tout homme à qui il est alloué du temps sur la terre, ferait certainement la chose la plus irréfléchie, s’il ne passait pas ce temps-là au service de Dieu. Peu m’importe ce qu’il fait.
58 Maintenant, si vous allez être un bourreau des coeurs, et ainsi de suite, vous feriez mieux de prendre le jeune âge, le premier vingt-cinq ans. Voyez?
59 Si vous allez être un menuisier, un mécanicien, ou quelque chose comme ça, vous feriez mieux de prendre le deuxième vingt-cinq ans. Voyez?
60 Alors, je me suis mis à réfléchir : “Et moi, alors? Je vais prendre quoi?” Je prendrais de soixante-quinze à cent ans. Je serais plus intelligent, plus sage. Je serais plus stable. Je m’y connaîtrais plus, dans ce que je fais. Je suis de dix ans, de huit ou dix ans, plus âgé que la dernière fois que je suis allé outre-mer. Je ne vais pas me précipiter là-bas, comme si je tuais des serpents. Je vais m’y connaître plus, voyez-vous. Je sais comment procéder.
61 C’est exactement comme un chien chasseur de ratons laveurs qui se bat avec un raton laveur, voyez-vous. Vous savez comment le maîtriser. Ne vous précipitez pas sur lui; il va vous griffer. Voyez-vous, apprenez ses ruses, et observez ce qu’il fait. Et nous en apprenons plus long sur l’ennemi. Donc, nous devons découvrir toutes ses techniques, et comment il s’approche, et ce qu’il fait, étudier ses coups de poing. Alors vous avez la formation qu’il faut pour l’attaquer, voyez-vous.
62 “Alors, je crois que maintenant,” j’ai dit à ma femme, “je crois que je suis en meilleure condition maintenant que quand j’y suis allé quand j’avais quarante ans.” Voyez-vous, et j’ai cinquante-quatre ans. Et je crois que, si je suis en vie et que je peux encore me déplacer aussi bien que maintenant, quand j’aurai cent ans, si je... si Jésus tardait jusque-là, à ce moment-là je serais en meilleure condition que maintenant, pour y aller. Voyez? En effet, on s’y connaît plus, on sait plus ce qu’il faut faire, et comment s’y prendre, comment conduire l’affaire.
63 Prenons le cas de beaucoup de gens, là, quand ils doivent se faire opérer. “On dit qu’il y a un nouveau médecin qui a obtenu son diplôme l’autre jour, il vient de sortir de l’école de médecine. Il n’a pas encore opéré jusqu’ici. Qu’il le fasse.”
64 “Oh non,” vous diriez, “rien à faire. Pas ce gars-là. Non monsieur. Tout de même, jamais de la vie! Je ne veux pas qu’il me touche avec son bistouri. Eh bien, j’aimerais mieux aller là-bas auprès d’un tel. J’ai entendu dire qu’il a pratiqué beaucoup d’opérations. Il sait s’y prendre.” C’est ça, voyez-vous. C’est ça qu’il faut.
65 Ça, vous y pensez, mais alors, qu’en est-il de l’âme? Je tiens à ce que ce soit quelqu’un qui sait où il se tient, et qui connaît le chemin, qui l’a déjà parcouru. Oh oui!
66 Que le Seigneur vous bénisse. Très bien, Frère Neville, viens, maintenant. Que Dieu bénisse Frère Neville. N’oubliez pas, là, dimanche prochain.
67 [Frère Neville parle de Frère Branham et de Frère Vayle pendant une minute, puis il dit : “Et je prends plaisir à accueillir les ministres de Dieu, en particulier ceux qui collaborent avec Ceci, et qui Y prennent part avec nous. Je prends plaisir à les écouter.”–N.D.É.] Amen. [“Donc, j’avais demandé au docteur Lee Vayle, j’avais dit : ‘Accepteriez-vous d’apporter la Parole, si Frère Branham ne le fait pas?’ Et Frère Branham ne l’a pas fait. Peut-être qu’il était au courant.”]
Non, je n’étais pas au courant. Je n’aurais pas parlé aussi longtemps.
68 [Frère Neville dit : “Donc, j’avais demandé à Frère Vayle, ce soir, s’il accepterait de nous apporter la Parole, dans le cas où Frère Branham ne le ferait pas. C’est qu’il est en relations avec lui, dans les réunions, et il connaît le Chemin, ce Chemin. Et nous sommes contents d’accueillir Frère Vayle. J’ai beaucoup d’estime pour lui et je le respecte autant que n’importe quel autre ministre, comme je respecte tous les autres. Et alors, s’il veut bien venir ce soir, nous parler, je serais enchanté qu’il le fasse.”] Amen. [“Que Dieu le bénisse, et prions pour Frère Vayle. Certains d’entre vous ne l’ont jamais entendu prêcher, et j’espère bien que vous allez prier pour lui.”] Oui.
69 Je n’aurais pas dû prendre tout ce temps. Je m’excuse auprès de l’auditoire. Assis là, je ne savais pas qu’il... que c’était arrangé d’avance. Que Dieu vous bénisse, Frère Vayle.
70 [Frère Lee Vayle dit : “Ce n’était pas arrangé d’avance. Il avait dit, si vous ‘ne parliez pas’, et vous êtes venu.” Frère Branham et l’assemblée rient.–N.D.É.] Tant mieux. C’est très bien.
71 Ça va me permettre de l’écouter, moi aussi. Frère Vayle a parlé bien des fois, avant moi, dans les réunions, et–et ainsi de suite. Il a été l’organisateur des réunions pendant longtemps, et c’est un brave frère, il a fait un travail superbe. Et je suis sûr que cet auditoire est toujours content d’entendre Frère Vayle quand il parle. Que le Seigneur bénisse Frère Vayle.
72 [Frère Vayle parle pendant soixante-dix minutes sur Marc 16.15-20 et sur d’autres passages de l’Écriture, ce qu’il a intitulé : Pourquoi Marc 16 n’a-t-il pas marché? Et comment le faire marcher selon les Écritures.–N.D.É.]
73 Il a dit tant de choses, que je–je–je ne pourrais rien ajouter pour améliorer ça. Et je crois vraiment que c’est le Seigneur qui a manoeuvré ça, pour que Frère Vayle apporte ce message-là, après celui de ce matin. En effet, voyez-vous, il faut que ça fonctionne comme ça. Nous–nous acceptons ça comme venu de Dieu. Là, il a dit tant de choses; je–je–j’ai déjà vingt prédications de notées ici, en ce moment, ce qu’il a dit.
74 Il m’est venu à l’idée une petite illustration, pour appuyer ce qu’il a dit. Nous regardons cette montre, là, pour voir l’heure qu’il est. Si tous les instruments de cette montre n’oeuvrent pas en coordination l’un avec l’autre, nous ne saurons jamais quelle est l’heure exacte. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] De même, il faut que nous tous, tous ensemble, si nous voulons voir le Troisième Pull vraiment accomplir quelque chose pour Dieu, il faut oeuvrer tous ensemble, en coordination, nous humilier devant Dieu et confesser nos fautes, et prier, et croire en Dieu pour ces choses.
75 Je crois vraiment que ce que Frère Vayle a dit est la Vérité, que Dieu ne mettra jamais Son Esprit dans un temple malsain, inique, désobéissant. Non. Il doit venir en nous par la–la voie de la purification de nos coeurs, exempts de toute fraude et de toute iniquité, pour que nous soyons purs devant Dieu, pour qu’Il puisse faire agir à travers nous Son pur Saint-Esprit, pour accomplir ces choses. Je–je pense que, quand vous rentrerez chez vous ce soir, si vous lisez le petit Livre de Jude, vous y apprendrez beaucoup de choses sur ce que Frère Vayle a dit. Et il a dit : “Je combats pour la Foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.” Ils s’En étaient éloignés. Là des hommes corrompus d’entendement et tout, s’étaient introduits et, par leur tromperie, ils les avaient éloignés des–des vraies choses de Dieu.
76 Et Dieu ne peut agir que dans la mesure où nous Le laissons agir. Et il y a tant de choses merveilleuses que je... dire...
77 Vous savez, les gens veulent avoir de la puissance, mais en réalité ils ne savent pas ce qu’est la puissance. Voyez-vous, ils–ils ne savent pas, en réalité, ce–ce–ce que ça implique. La–la façon de monter, c’est de descendre, toujours. Si vous voulez avoir de la puissance, voyez jusqu’où vous pouvez vous humilier. Débarrassez-vous simplement de toutes vos pensées du monde et humiliez-vous devant Dieu, et alors vous aurez plus de puissance que l’homme qui court partout dans la salle et qui fait beaucoup de bruit; voyez-vous, parce que vous aurez été capable d’avoir le dessus sur vous-même, et de vous remettre entre les mains de Christ, vous voyez, de vous humilier devant Lui. Voilà la véritable puissance.
78 Montrez-moi une église qui est humble, vraiment humble, sans aucune–aucune arrogance; une église, une église vraiment douce et humble, et moi je vous montrerai une église qui a la faveur et la puissance de Dieu en elle. C’est vrai. C’est ça qu’il faut : l’hum-... l’humilité, nous humilier devant Dieu, laisser simplement Dieu agir à travers nous. On n’a pas besoin de faire beaucoup de bruit.
79 Quelquefois, comme ce que racontait le cultivateur, qu’en s’en allant au champ avec son chariot, à chaque cahot, ça faisait un bruit de ferraille et tout. Mais en revenant, il y avait le même cahot, mais ça ne faisait pas de bruit du tout, parce que c’était chargé de bonnes choses.
80 Donc, je pense que c’est à peu près ça, voyez-vous : il s’agit d’être remplis des bonnes choses de Dieu, pour qu’on puisse voir le fruit de l’Esprit à travers nous. De même, il s’est beaucoup référé à I Corinthiens 13 , là, où il est dit : “Quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, et que j’aurais toutes ces choses, si je n’ai pas la charité, cela n’est rien, cela ne me sert de rien.” Voyez-vous, c’est ça que nous voulons faire.
81 Par-dessus tout, c’est de notre âme à chacun de nous que nous sommes responsables devant Dieu. Voyez-vous, c’est–c’est vous qui allez au Ciel. La question n’est pas de savoir si moi j’y vais, ou si lui y va. C’est vous qui y allez, voyez-vous, c’est d’abord vous. Et vous devez rechercher ces choses, et être doux devant le Seigneur.
82 Et je l’ai toujours constaté, l’homme qui s’humilie, c’est cet homme-là que Dieu élève. Prenez une personne qui bombe le torse et qui sait tout, à qui vous ne pouvez rien dire, et qui est arrogante, et–et, eh bien, voilà–voilà la personne qui n’arrive jamais à rien. Mais prenez cette personne qui s’humilie et qui marche dans la douceur.
83 L’autre jour, je parlais à un homme qui est en train d’organiser une église à... qui s’est retiré d’une organisation où il avait été. Eh bien, il s’agit de Frère Boze, et cette église où ils avaient été, ils avaient eu cette grande église-là pendant longtemps, et le Seigneur bénissait. Et puis, les gens en sont venus à vouloir se moderniser, comme les autres, et s’intégrer à une organisation. À ce moment-là, ça a simplement... ces Chrétiens humbles, qui étaient là, ils ne voulaient pas de ça. Toute leur vie, ils avaient reçu un enseignement contraire à ça, alors, ils sont partis. Maintenant, ils ont un groupe, et le Seigneur les a bénis, au point qu’ils vont maintenant de nouveau s’installer dans un grand bâtiment, une église qui peut accueillir environ quatre à cinq mille personnes, là, et ils recommencent.
84 Et ils sont venus me voir, ils disaient : “Frère Branham”, nous étions assis là, dans le bureau, le bureau de l’église, l’autre jour. Et il disait, l’un des conducteurs, Frère Carlson et les autres, ils disaient : “Qu’est-ce que nous devons faire?”
85 J’ai dit : “Trouvez un berger, un homme qui n’est réputé dans aucune dénomination, qui est simplement un très bon frère, véritable, doux, humble, qui mène la vie qu’il faut. Dieu s’occupera du reste, voyez-vous.” J’ai dit : “Un bon pasteur, qui va simplement nourrir les brebis, et être humble et tout, Dieu fera le reste. Si vous... Pas un gros je-sais-tout qui va venir là, qui va mettre ceci en ordre, et ceci doit être comme ceci, et tout chambarder.” J’ai dit : “Ça, ça ne marchera jamais. Vous venez d’en arriver là.”
86 C’est ça, toutes les pièces dans l’église doivent oeuvrer ensemble, et vous devez continuer à jouer votre rôle, pour qu’on puisse voir à quelle heure nous vivons. Nous sommes peut-être plus proches que nous le pensons.
87 Donc, nous aimons Frère Vayle. N’est-ce pas? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Que le Seigneur vous bénisse, Frère Vayle. Merci. Et nous remercions le Seigneur, de nous avoir apporté ce grand message ce soir.
88 Et j’ai reçu une note, il y a quelques minutes. Une soeur, il y a quelque chose qu’elle voulait raconter, qu’elle a vu en songe. Si vous voulez bien me l’écrire, soeur, je–je... Il lui a déjà donné des songes qui ont été tout à fait vrais. Nous n’acceptons pas tous les songes. Non, non. Mais quand ils sont de Dieu, nous voulons savoir que c’est Dieu qui nous parle.
89 De même, nous ne croyons pas tous les parlers en langues; mais quand une interprétation vient, et qu’elle nous annonce quelque chose qui va arriver, et que nous le voyons arriver, alors nous remercions le Seigneur pour ça. Voyez?
90 Nous voulons faire en sorte que les choses se passent bien, en douceur et dans l’ordre du Seigneur. Donc, souvenez-vous simplement que la pièce que vous, vous êtes, c’est peut-être le ressort principal, ou c’est peut-être la petite... une petite aiguille, ou une petite pièce, ou le remontoir, quoi que ce soit, ou peut-être les aiguilles qui sont sur le cadran de l’horloge, qui indiquent l’heure. Mais quoi que ce soit, il faut que tous, nous oeuvrions ensemble, en harmonie avec l’Évangile de Jésus-Christ, pour accomplir ceci.
91 Pensez un peu à ceci! Si les dons, c’est quelque chose de si glorieux, ce que nous, nous appelons la puissance; et Paul a dit : “Quand j’aurais même la foi jusqu’à transporter une montagne, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien.” Pensez à ça.
92 Et quand, nous disons : “Eh bien, quand je–j’aurais la science... je voudrais bien connaître la Bible.”
93 “Quand j’aurais la science de tous les mystères de Dieu, voyez-vous, encore là, quand bien même j’aurais tout ça, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. Voyez-vous, je ne suis encore arrivé à rien.” Voyez-vous, l’essentiel, c’est d’aimer Dieu, et avec ça, de vous humilier.
94 Maintenant, certainement qu’après toutes ces années passées sur le champ de travail et dans le monde entier, et après avoir vu différents peuples, je devrais en savoir un petit peu au sujet de la porte par laquelle entrer. Alors si vous voulez arriver quelque part avec Dieu, ne laissez jamais un esprit arrogant venir autour de vous. Ne laissez entrer aucune méchanceté en vous. Peu importe ce que qui que ce soit peut faire – même si cette personne a tort, ne développez jamais un complexe contre elle. Voyez? Soyez doux et gentil. Souvenez-vous, Dieu vous a aimé alors que vous étiez dans le péché. Et si l’Esprit de Dieu est en vous, vous aimez l’autre personne alors qu’elle est dans l’erreur. Voyez-vous, priez simplement pour eux, et aimez-vous les uns les autres.
95 Par-dessus tout, aimez Dieu, et aimez-vous les uns les autres. Et soyez humbles envers Dieu, et les uns envers les autres; et Dieu nous bénira – qui sait ce qu’Il fera! D’habitude quand une église commence à grandir en nombre, et à devenir un peu plus grande, ou quelque chose comme ça, alors on s’éloigne de ce qui est authentique, de la chose authentique.
96 Savez-vous ce qui a accompli ces choses, quand j’en étais à mes débuts, et que le Seigneur m’était apparu sur la rivière et qu’Il m’avait dit ça? Et Frère Vayle a vu ça, je crois, dans un journal au Canada, il y a bien des années, quand l’Ange du Seigneur était apparu, là-bas sur la rivière, ç’avait été transmis par la Presse Associée : “Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un ministre pendant qu’il baptise.” Et–et savez-vous ce qui a produit ça? Quand nous faisions des réunions sous la tente juste de l’autre côté de la rue, sous une tente où pouvaient s’asseoir environ, oh, deux mille cinq cents personnes, des ministres venaient de partout, et ils disaient : “Frère, viens ici une minute.” J’étais encore tout jeune, oh, un petit jeunot, quoi. Et ils disaient : “Comment fais-tu pour garder ces gens-là d’un même accord? Ils s’aiment les uns les autres, au point que... je n’ai jamais vu des gens qui s’aiment comme ça.”
97 C’est le Seigneur, ça. C’est ce sur quoi cette église a été établie : de l’amour fraternel, saint, les uns pour les autres. Je les ai même vus se serrer la main les uns les autres, au moment de quitter un lieu, ils pleuraient comme des enfants, parce qu’il fallait qu’ils se séparent. Ils s’aimaient tellement les uns les autres. Je pouvais aller en visite chez eux, et parfois la Bible était ouverte, tachée de larmes. J’arrivais là, le soir, et des pères et des mères étaient rassemblés, avec leurs petits autour d’eux, par terre, agenouillés là; des pères et des mères à genoux, à pleurer et à prier. Je restais debout à la porte, et j’attendais, j’attendais, j’attendais. Et ils n’arrêtaient pas de prier, je m’asseyais sur le perron, et je me mettais à prier, moi aussi, pendant que je les attendais, voyez-vous. Et c’était–c’était comme ça. Et ils s’aimaient les uns les autres. Ils s’aimaient les uns les autres. Nous avions l’habitude de nous lever et de chanter ce vieux cantique :
Béni soit le lien
Qui nous unit en Christ,
Le saint amour, l’amour Divin
Que verse en nous l’Esprit.
Si nous devons bientôt
Quitter ces lieux bénis,
Nous nous retrouverons là-haut,
Pour toujours réunis.
98 Je dis ceci avec une grande joie dans mon coeur, pour Christ : Beaucoup d’entre eux dorment, aux alentours d’ici, dans des tombes marquées, ce soir, ils attendent cette grande résurrection où nous serons de nouveau réunis.
99 Que cet esprit ne quitte jamais ce lieu! Si, un jour, cela arrive, alors, peu m’importe, votre pasteur aura beau être très éloquent, il aura beau apporter très bien la Parole de Dieu, l’Esprit de Dieu aura été attristé, Il s’en sera allé. Voyez? Quand nous pourrons tout partager dans la communion fraternelle, avoir tout en commun, et nous aimer les uns les autres, alors Dieu oeuvrera avec nous.
100 Alors nous indiquons l’heure, de sorte que les gens qui viendront, ils diront : “Si vous voulez voir une église qui est vraiment humble, une église qui aime vraiment Dieu, allez faire un tour au Tabernacle, là-bas, une fois, et observez. Voyez la sollicitude qu’ils ont les uns pour les autres, le respect; pendant qu’on prêche l’Évangile, comme ils sont respectueux; comme tout est en ordre.” Oui, alors on pourra regarder et voir à quelle heure nous vivons. Vous verrez l’Esprit de Dieu se mouvoir parmi vous : il se fera de grands signes et de grands prodiges, et tout. Si toute la chose oeuvre ensemble, elle indique l’heure. Mais si elle n’oeuvre pas comme ça, alors le temps s’arrête, elle n’indiquera plus l’heure. Donc, si nous voulons savoir à quelle heure nous vivons, que tout le monde se mette à oeuvrer ensemble dans l’Évangile, à s’aimer les uns les autres, à aimer Dieu, alors les aiguilles, elles-mêmes, indiqueront l’heure où nous vivons. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Bien sûr. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, abondamment.
101 N’oubliez pas, là, allez un peu partout cette semaine. Et si vous connaissez des braves gens qui sont malades, qui doivent venir, dites-leur, quand ils viendront, dites : “Bien-aimé, je voudrais te demander quelque chose. Nous aurons de la prière pour les malades, dimanche matin, au Tabernacle. Et ça fait un certain temps que tu es malade, maintenant je voudrais...
– Eh bien, je veux y aller. J’ai toujours voulu y aller.
102 – Maintenant, j’ai entendu un message dimanche soir, d’un frère, là, comme quoi nous devons confesser nos fautes les uns aux autres, et prier les uns pour les autres, pour que nous soyons guéris. Jacques 5.14, 13, 14, 15, vois-tu : nous devons confesser nos fautes les uns aux autres avant même de venir chercher la guérison. Oui. Confesser nos fautes les uns aux autres, et prier les uns pour les autres.” Voyez? Voyez-vous, c’est exactement de ça qu’il parlait ce soir; ça concilie les béatitudes avec Marc 16. Mettez ça ensemble, et vous avez ce qu’il faut, alors les guérisons se produisent.
103 Regardez Jésus : rien d’autre qu’un paquet d’amour. Voyez? Il était Dieu manifesté. Il, Dieu S’est exprimé à travers Lui, ce n’est pas étonnant que des miracles se soient produits et toutes sortes de choses. Sa vie humble, Sa vie consacrée; de Dieu qu’Il était, Il est venu ici sur terre, pour être un homme, pour exprimer Dieu à travers Lui-même. C’est ce qui faisait de Lui ce qu’Il était. J’ai toujours dit : “Ce qui faisait que Jésus était Dieu, selon moi, c’est la manière dont Il S’est humilié. Il était tellement grand, et pourtant Il a pu être tellement petit.” Voyez? C’est vrai.
104 Que le Seigneur vous bénisse, beaucoup. Maintenant levons-nous, pour terminer la réunion. Essayons donc celui-là (il se peut que vous ne le connaissiez pas, soeur), ce chant Béni soit le lien qui nous unit. Chantons-le une fois, le voulez-vous? Donnez-nous la note.
Béni soit le lien
Qui nous unit en Christ,
Le saint amour, l’amour Divin
Que verse en nous l’Esprit.
105 Maintenant, pendant que nous chantons ce dernier couplet, serrons-nous la main les uns les autres, “Si nous devons bientôt nous quitter”, et disons simplement : “Que Dieu vous bénisse, mon frère, ma soeur. Je suis vraiment content d’être ici avec vous ce soir.” Voyez-vous, quelque chose comme ça, et ensuite retournez-vous. Maintenant, chantons-le.
Si nous devons... (Que Dieu te bénisse, Frère Neville.)
Quitter ces lieux bénis,
Nous nous retrouverons là-haut,
Pour toujours réunis.
106 Comme nous aimons le Seigneur Jésus! N’est-ce pas? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Comme...
Jusqu’à ce que nous nous revoyions,
Réunis aux pieds de Jésus; (jusqu’à ce que nous nous revoyions!)
Jusqu’à ce que nous nous revoyions!
Dieu soit avec vous, jusqu’à ce jour!
Fermons les yeux, et chantons-le dans l’Esprit maintenant.
Jusqu’à ce que nous nous revoyions,
Réunis aux pieds de Jésus;
Jusqu’à ce que nous nous revoyions!
Dieu soit avec vous, jusqu’à ce jour!
107 Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée. Nous sommes simplement des enfants, des enfants de Dieu. Fredonnons-le. [Frère Branham et l’assemblée commencent à fredonner Dieu soit avec vous.–N.D.É.] Oh, comme cela amène l’Esprit de Dieu sur nous! Pouvez-vous vous imaginer, dans les premiers jours, quand ils s’asseyaient sur des blocs de pierre?
Dieu soit avec vous, jusqu’à ce jour!
108 Alors que nous avons la tête inclinée, je vais demander si Frère Allen, là au fond, un nouveau frère parmi nous, s’il veut bien terminer la réunion par un mot de prière. Frère Allen.
1 [Brother Neville introduces Brother Branham--Ed.]...?... Oh, Brother Branham's taking his job...?... I believe I could make announcement then; Let him be...?... here of me thinking up something like that. [Brother Branham and congregation laugh.]
I certainly enjoy being here every time. Our journey is getting close to the end now, of us staying with you. 'Cause we got another meeting coming up right away in Chicago, and I've got to have the--the family back in Arizona pretty soon. And they've never had their summer's vacation yet, and I'm supposed to take them for a little ride somewhere in a few days. And then I'll probably be away one, one day, one of the Sundays, and then the following week I begin in Chicago. Then I got to come right straight back on a Monday and take them to Arizona.
3 And now, I just hate to come in of a Sunday morning, take that time where everybody's refreshed. Sunday night, you're always tired and wore out on Sunday night, and then turn the Sunday night service over to our pastor, that's--that's kind of bad. But I hate to do that, and yet on Sunday night I would, Sunday night, to have a service Sunday night, then I hold the people so late. Many of them come in here from way down in the south and--and way north, and they have, oh, sometimes they drive day and night, just to get here for one service, then go back. And that's the reason that I try to make it on Sunday morning, when I come, gives them a chance to go back.
Loyal, faithful pilgrims, how I appreciate them. They drive through sleet, rain, and everything else to get here, across the country, hundreds of miles, just for one little service. So it makes me feel grateful to God, and to these people for their great--for their great support, and what I'm trying to tell to the people to be the truth.
5 Now, I believe this is the Truth, I--with all my heart. If there was anything different, that I thought was better, I--I'd certainly first go... I won't ask anybody to go anywhere that I don't go first to find out whether it's right or not. I wouldn't ask any person to--to make a step in God, that I hadn't already made and know that it's the truth. First, it must be the Word of the Lord, then I must step and see if it's right. And then if it's right, then I can say, "Come on up this way." See, its making the way.
And now, I think any minister ought to do that, ought to first go himself. He's supposed to be a leader, a leader of people, not speak something that he wouldn't put his hand on himself. We should go and be leaders of the people.
7 This morning, I had a very odd, peculiar experience here in the pulpit. And that was, about the last part of the Message, I wasn't aiming to say it that way. See? But I guess it's already said, and there's nothing I can do about it now. But then I got home, got to studying about it.
And had a little family reunion today, of just my brother and them. Mama's gone. And we used to meet at her house, and now we go up to Delores. We had a nice time up there this afternoon in talking, and Teddy was along and we sang some songs, played some hymns and things.
9 Now, I think, maybe next Sunday morning, if the Lord is willing, if Brother Neville don't care, now I'd like to have a healing service just dedicated only to healing. And I--and I think, with the Message this morning, the way the Lord seemed to lead me to bring it, bring it out, ought to kinda encourage us a little (You see?) to--to--to really believe. We're--we play around, and we--we say different things and talk about them. But then when it comes to a showdown, that's something different. As the--the...
10 Someone was telling me, I believe it was my brother back there, was telling a--a little story today about a man, a--a minister and his--some of, one of his congregations. And he said he could walk a log.
He said, "Pastor, sure, the Lord's with you."
He said, "I can pack a log across my back, when I go across."
"Sure, the Lord's with you." And he went and done it.
He said, "I can pack a log, and wheel a wheelbarrow across, at the same time."
"Sure, pastor, the Lord's with you. Your faith can do anything."
He said, "I can put you in the wheelbarrow and pack the log."
He said, "Now, wait a minute." See?
It's different when you're included in it yourself. See? Now, that, it's mighty good for us to say here, "Amen." It's mighty good for us to say, "I believe that's true." But then put it in action...?... that put it in action.
15 As I brought that statement this morning, the people was laying in the shadow of Peter, they never even asked for prayer.
I've went into many homes, watching this. Pray before I go, and just go in there with the anointing, and don't even pray for the people, and walk out and they're healed. See, see? That's right. I've--now, I've seen it done so many times. See? You've got to have somewhere to place your faith. See? You've got to believe it. And I believe that the hour is approaching, and now is that...
And I realize that this is not a tape service. They might make a little one for themself, but this is not a tape that goes out across the country. The...
18 This what I was speaking of this morning has brought us right up to a--to a climax, and that's the reason that I'm going to take next Sunday for a--a--a healing service. Because that since I've been home, I've told you about the visions and what happened, and everything, and brought it right up, why I've done all these things. And then this morning, bringing it right up now to that last Pull.
Now, it's my time for consecration to God, God's time to speak to me. See, I... And I--and I must just have a little change in my own life that... Not as I think that I'm wicked, but I--I want to feel a little more closer to people. See?
20 The people that I have tried to tell the--this Gospel truth to, and they turn their back on it, and walk away and laugh at It... Now, to me, that seems like it's an insult. I don't care, to me; but to the things that I've been saying It's the truth trying to help them... Like shoving out a boat, and say, "Here, here it is, cross over. Here, get out of that swelling stream; you're going to die. You, you're going to perish there." And they just laugh at you, and walk away. Well, to me it feels like if they walk away, there's nothing more I can do about it (See?), that I can do.
But I want to run down the bank now and persuade them, "Come on back." See, I've got to have that feeling (See?), 'cause I know there's somebody out there that hasn't come in yet. And I'm--I'm going to fish till... He said...?... the last fish is caught. And I--I want to do that.
Now. And now, in order to do this, I'm expecting something to happen in a prayer meeting, something... And many of you remember the vision of the--of the last Pull, that Third Pull, rather. You remember, there was something happened just before that: I seen that Light come and go down into that place, and said, "I'll meet you there." Now, I--I'm looking for something to happen.
23 Here years ago it used to be that the services and that discernment would make me so weak I'd stagger. Many of you remember that. Just get to a spot that I'd stand and I had Jack Moore on one arm and Brother Brown on the other one, and walk me up-and-down the street for an hour after service. And I just, happened, was trying to think of where--where I was at and what was taking place. Then, all night lay there and think of it, and sob and everything else, and wonder why they didn't accept our Lord Jesus.
Then He told me a vision, "One time you'll meet a lady that will come to you, wearing a brown suit, and she'll be packing a little baby in a blanket, and from that time on, you'll have strength to endure stronger." Well, I told you all that. And in Chicago it happened that night when the little Presbyterian lady, when her own pastor sent her down there with the baby.
25 And I believe it was his brother, or one of them, was a--a doctor. He said, "There's not a hope for the baby unless Almighty God touches him." He went...
She went and told her pastor. Her pastor said, "I--I am--I am not qualified," he said, "to--to act upon this Divine healing, because I don't--just don't have it within me, the faith that it takes to do it." Now, that--now, that--that's being honest about it. See? He said, "I don't just have it in me." He said, "But I was at one of Brother Branham's meetings, and I'd advise you take the baby to--to Brother Branham." And the doctor had give it up, and it was going to die.
27 And the little lady walked in there where I was having a--some sort of a--a service for them little Catholic children that had got burnt up in that school up there, you know. You remember when it was. We was having that service, and coming right down the platform comes that little lady with the brown suit on. My wife and them was setting there, and I said--turned and looked, and looked all around, and see if they was standing there. And happened to be, that just before I come up, I believe Billy Paul and them had been talking, or the wife or some of them to the lady with the little baby. And the lady walked up to the platform; the Holy Spirit revealed the whole thing, and healed the baby there.
I walked away, and since then I just don't get tired. See, it don't bother me, and now, I just go right on and on.
29 Now, I'm looking for something to happen, to start that Third Pull into march (See?), and may be the next Sunday morning healing service maybe produce that. I don't know.
I think, for us to do, would be tell your people, get the sick people. Now, for a healing service, we got to consecrate on sick people. Get your sick people, and get them here early next Sunday morning, say about eight or eight-thirty, and we'll let them give them a prayer card as they come in the door, however they do it. And then we'll have a prayer line and pray for the sick, and just see what the Holy Spirit will do.
I believe He'll do wonders if we'll just believe Him. See? But we got to believe Him for that now, with all of our heart. And I think that the great hour has arrived that when God, in so much as we was speaking this morning, has showed us so much, and brought us to a certain--just up to a spot. Just to push over that little hill, and that's all you need then, then away it goes (See?) a--a going just like it was, the same thing, with the discernment, same thing by the prophetic, to watch...
32 I was standing at Calgary... I beg your pardon; it was the queen city, down in Regina, Regina. And Ern Baxter was standing there, and a bunch of us. And the Lord had told me right here in the platform, "It'll come to pass, you'll know the very secret of their heart." And that's right. And I never thought of that in that manner. I walked up to the platform that night with Ern and just started praying for the sick. And here come a man along, just laid out his entire life; first time it ever happened just like that in a moment, in a healing service. And then I looked out over the audience, and here It begin to come down over the audience and things. Oh, when we reach the other side... The half has never yet been told, of the things, to watch out and see things in people's life. I don't say nothing about it, just let it alone (See?), unless I'm really compelled to say something.
And now, I look for this next to start like that (See?), God, in His own way, His own sovereign time to begin it. And it'll--it'll be another thing that'll be--be a way beyond any of these other people. See? And I'm--I'm looking for that to happen.
34 And maybe, oh, I thought, if I had a little healing service maybe next Sunday and then the following Sunday I'll probably be away with the kids and them, 'cause they got to go back and go to school. And then the next Sunday, I, 'course, I'm up in Chicago, at the meeting up there. And then come back the following Monday to leave on Tuesday for--for Arizona, for the kids to get back in school.
Well, what did you find, pastor? [Brother Neville says, "Well, I've discovered something very strange."--Ed.] Good, that's very fine, now we want to hear about it.
So now, the--the Lord bless you all, real, real good. And I--I hope to see you here next Sunday. And Wednesday night...
37 And listen. Don't forget these little churches, like Brother Ruddell's, Brother Jackson's, Brother Parnell, and all those little brethren who are struggling hard out there. See? And they feel like that we are their--their--their sister church here. You see? We're kind of like a little mother group to them. That's where they were born out of here, pastors and so forth.
And this little fellow back here, Brother, I met him the other night over there, Allen, little Brother Allen. I hope Brother Collins here will get with Brother Allen, if he doesn't know him. They're both Methodist ministers and has--has seen truth of Word.
39 Which, the--the organization of the Methodist church, which is a fine bunch of people in that Methodist church... Don't you never think they're not. They are. They're a fine bunch of people in that Catholic church. They're a fine bunch in the Presbyterian church. And all those places there, it's men and women that are waiting to see that Light flash over their path. You just keep flashing the Light in humility, sweetness. Let's all grow closer to God by humbling ourself. See?
40 Don't forget, this Tabernacle will lose its strength. Remember that this is the target where Satan's got every gun in hell trained on it. He'll cause one person to do something that's contrary to what the other one thinks. He's doing that. He's up to it. That's his business, if he can get somebody to say something, somebody to talk about another, say, "Well, listen, did you know so-and-so did?" Don't you listen to it. Don't you listen to it at all. That's the devil. See, it's Satan. Don't you believe it.
If there's anything that somebody's done wrong, pray for them. And don't pray in a selfish way, say, "I--I know it's my duty, I've got to pray for that brother." You take it to your heart, really down for that sister. And just talk and be real sweet, and the first thing you know, you find them right back in the service again. See? 'Cause after all, we're headed towards the setting of the sun.
42 The Lord Jesus will be coming one of these days. And, you know, it--I think it'll be so sudden and so--so sweet, until there'll be one hundred per--one hundredth of one hundred percent of the whole world will never know when that rapture takes place. It'll just go so quietly that nobody would know nothing about it. See?
And there'll be, 'course the little groups will say, "Well, now, So-and-so?"
"Oh, they say there's a fanatic bunch over there, said a group left from over there, and they... That's not so. They've just gone out somewhere. We've had that fanaticism. See?"
"Well, well, they say that little Tabernacle in a place called Jeffersonville, there was so-many of them members that's missing."
See, they just play that out. They'll say, "Oh, there's nothing to that (You see?)," like that, and it'll be past and they won't know it.
47 Across the nation will come, those who are dead in Christ will rise first. The rapture will take place; the Church will be taken home. And then the tribulation will set in, and, oh, my, we don't want to be here during that time. I don't want to be here in the tribulation. No. God forbid that any of us would ever be here during that time. Because "He that's filthy is filthy still; he that's holy is holy still; he that's righteous is righteous still." There's no... The Lamb had come forth with His Book of Redemption, and the Bride has been taken out; those who turned it down has to go through a tribulation period, both Jew and Gentile. What a time of tribulation! I don't want that.
"Lord, sanctify me now." That's good Nazarene doctrine, ain't it? And it's truth too. It's true. That's right. "Fill me now with Your Holy Spirit, Lord. Take all the world out of me now, Lord. Don't...?..."
As--as the old colored brother said, "Sir, I got my ticket in my hand. It's already punched. And when I come down to the river that morning, I don't want no trouble."
So that's about right. I--I don't want no trouble. Hold your ticket in your hand, 'cause we're going over. Just think of it, the great time of redemption is at hand.
51 And now another thing. Brother, what's his name, up here at Utica? I think Brother Graham and another brother there that's pastoring there, a Brother Shanks, or something like that, or Sink? [Brother Neville says, "Brother Snelling."--Ed.] Brother Snelling's the pastor all together. Brother Snelling's the pastor up at Utica now. I think their prayer meeting is on... ["Thursday night."] Thursday night. Now, you know, it'll be real nice if we would slip up there on Thursday night and show those fellows a little fellowship. See? And then when Brother Jackson, the times that he has his, if we'd just get a little group of us together and go...
52 Just keep praying, keep digging. Yeah, don't stop. Just like when Elijah told them, said, "Dig ditches out there." When you get down and hear an old tin can say, I'm too tired," throw it out of the way and keep digging. See? Just keep digging, 'cause we've got to dig. We've just got to dig; that's all. 'Cause if you--if you expect to miss the tribulation, you better start digging.
And now, for myself, I'm preaching to myself there. I'm going to start digging deeper than I ever dug. Because I feel like, that in the nation and around the world, that this ministry will again, as it's known now about everywhere over the world. I--I must go again.
54 Wife said to me... Other morning, I said, "I want you to go with me when I leave. I'm going to leave around January, the Lord willing. I want to take a complete world tour, all the way around; come back and maybe have services in the United States, something next summer."
And she said, "I'm too old to go."
"Well," I said, "I've went when I... About my last trip overseas was about eight years ago, and I feel like I'm in better shape now than I was eight years ago to go. See? I know more about it now."
56 And then we got on the subject, "If the Lord said, 'I'm going to allot you twenty-five years. You're not going to get feeble. You'll be able to go, and I'm going to allot you twenty-five years on earth,' would you take from--from birth to twenty-five, or from twenty-five to fifty, fifty to seventy-five, or seventy-five to a hundred?"
Now, any man that's allotted any time on earth, would certainly do a most rashal thing if he don't spend that time in service of God. I don't care what he does.
Now, if you're going to be a heartbreak for the women, or so forth, you better take that young age, that first twenty-five. See? If you're going to be a carpenter, a mechanic, or something, you better take the second twenty-five. See?
60 Then I was thinking about, "What about me, where would I take?" I'd take the seventy-five to a hundred. I'd be smarter, wiser. I'd be more settled. I'd know more about what I'm doing. I'm ten, eight or ten years older than the last time I was overseas. I don't jump in like I'm killing snakes. I know more about it. See? I know how.
It's just like a coon dog fighting a coon (See?); you know about how to take ahold of him. Don't jump in there; he scratch you up. See? Know his tricks and watch him what he does. And we learn more about the enemy. So we've got to find out all of his techniques, and how he approaches, and what he does, learn his punches, then you're trained to go in on him. You see?
"So I believe now," I told the wife, "I believe I'm in better shape now than I was when I was forty years old and went over." See? And I'm fifty-four. And I believe, if I live and can still get around as good as I can now, when I'm a hundred, if I... If Jesus would tarry that long, I'd be in better shape then than I am now to go. See? Because you know more about it; you know more about what to do, and how to handle it, how to handle the situation.
63 Take a lot of people now, if they're going to get operated on... "They say a new doctor just graduated the other day, and just come out of medical school. He's never had an operation yet. Let him do it."
"Oh, no" you'd say, "nothing doing, not that guy. No, sir. Yet, no, indeedy. I don't want him putting no knife on me. Well, I'd rather go down here and get So-and-so. I hear he's had a lot of operations. He knows how to do it." That's it. See? That's the idea.
You think about this, but what about that soul? I want somebody who knows where they're at and knows the road, who's traveled it. Yes, indeed.
66 The Lord bless you. All right, Brother Neville, get up here now. And God bless Brother Neville. Don't forget now, next Sunday.
[Brother Neville speaks about Brother Branham and Brother Vayle for one minute, then says, "And I delight to welcome the ministers of God, especially who are cooperating together with This, and in It together with us. I delight to hear from them."--Ed.] Amen. ["So I asked Doctor Lee Vayle; I said, 'Would you minister if Brother Branham doesn't?' And Brother Branham didn't. He might've known this."] No, I didn't, or I wouldn't even have talked that long.
[Brother Neville says, "So I asked Brother Vayle tonight, if he would minister for us in case that Brother Branham didn't. Because he associated with him in the meetings, and he knows about the Way, this Way. And we're glad to have Brother Vayle. I appreciate him and respect him as well as I do any of the other ministers, and like I do all the others. And so if he will come tonight and speak for us, I'd be delighted to have him to do it."--Ed.] Amen. ["God bless, and let's pray for Brother Vayle. Some of you have never heard him, and I trust that you'll pray for him."] Yes. I shouldn't have took all his time. I apologize to the audience. I didn't know, setting there, that he--this was fixed up. God bless you, Brother Vayle.
70 [Brother Lee Vayle says, "It wasn't fixed up. He said, if you didn't talk. And you came." Brother Branham and congregation laugh--Ed.] Good. That's fine. I get to hear him, myself. Brother Vayle has spoke a many time ahead of me in the meetings, and--and so forth. He had managed the meetings for a long time, and a fine brother, done a swell job. And I'm sure this audience is always glad to hear Brother Vayle when he speaks. The Lord bless Brother Vayle.
[Brother Vayle speaks for seventy minutes on Mark 16:15-20 and other Scriptures, entitled: Why Has Mark 16 Not Worked? And How, According To The Scripture, To Make It Work--Ed.]
73 So much was said till I--I--I couldn't say nothing to make it any better. And I truly believe that it was the Lord that worked this out for Brother Vayle to bring this message, after this morning. 'Cause, you see, it has to work that way. We--we accept that from God. What... There's so many things that he was saying; I--I--I had twenty sermons wrote down here right off of what he said.
I was thinking here of one little illustration to back up what he said. Now, we look at this watch to find out what time it is. Unless that every instrument in that watch is coordinating one with the other, we'll never know the correct time. Is that right? And that takes all of us, all together, if we want to see the Third Pull really do something for God, and coordination with every one of us together to humble ourselves before God and confess our wrong, and pray, and believe God for these things.
75 I truly believe that what Brother Vayle said is the truth, that God will never put His Spirit in an unholy, unrighteous, disobedient temple. No, It's got to come in the--the way of the cleansing of our hearts from all guile and iniquity, that we might be pure before God, that He might work His pure Holy Spirit through us to bring these things to pass. I--I think that, when you go home tonight, if you would read that little Book of Jude, you'd just learn a whole lot now of what Brother Vayle has said. And he said that, "I earnestly contend for the faith that was once delivered to the saints." They'd got away from it. How men of corrupt mind, and so forth, had come in and beguiled them away from the--from the real things of God.
And God can only operate as we let Him operate. And there's so many wonderful things about saying the...
77 You know, people are--want power, and really they don't know what power is. See? They--they don't really know what--what--what goes with it. The--the way up is down always. If you want power, see how humble you can get. Just get away from all your worldly thinking, and humble yourself before God, and then you've got more power than the man that runs all over the building and makes a big lot of noise (See?); because you have been able to conquer yourself and commit yourself to Christ (You see?) to humble yourself before Him. That's really power.
You show me a church that's humble, real humble, not a--a arrogant church, just a sweet, humble church, I'll show you a church that has the favor and power of God in it. That's right. That's the thing it takes, humility, humbling ourselves before God, and letting God just work through us. Don't have to make a lot of noise. You...
79 Sometimes, as the farmer said, he went out to the field with his wagon, and every time it hit a bump, it just rattled and went on. But when he come back, he hit the same bump and didn't make no noise at all, because it was loaded with good things.
So I think that's just about right (See?), that we get filled up with the good things of God, that the fruit of the Spirit might be known through us. As he referred so much to I Corinthians 13 there, and how, that, "Though I give my body to be burnt, and have all these things, and have not charity; it's nothing, profits me nothing." You see? We want to do that.
81 Above all things, it's our individual souls that we're responsible before God. See, it--it's you going to heaven. It isn't whether I go, or he goes. It's you going (See?), and you first. And you've got to look this out and come sweet before the Lord.
And I've always found out that the man that humbles himself is the man that God exalts. When you take a person with his chest out, knows everything, and you can't tell him nothing, and he is arrogant, and--and, well, that--that's the person that never gets anywhere. But you take that person that humbles themselves and walks sweetly.
83 I was talking to a man the other day, that's they just organizing a church up at the... Pulled out of an organization that there'd been a... And, well, it's Brother Boze, and them church where they'd--they'd had that great church there for so long, and the Lord was blessing. Then the people got to a place that they want to polish up like the rest of them, and wanted to throw it into an organization. And when they did, it just--those humble Christians in there did not want that. All their life, they'd had been taught against it, so they walked away from it. Now they've got a group, and the Lord has blessed them until they're coming in, up into a big place now again for a church now that puts up about four or five thousand people, and they're starting over.
84 And they come to me and said, "Brother Branham," setting right there in the office, the church office, the other day. And he said, one of the leaders, Brother Carlson and them, said, "What must we do?"
I said, "Find a man to be the shepherd that has no reputation in all denomination, that's just a real good, genuine, sweet, humble brother that lives the life. God will take care of the rest of it. See?" I said, "A good pastor that'll just feed the sheep, and be humble and things, God will do the rest. If you'll... Not some big know-it-all's coming in, going to put this in order, and this has to be this way, and cutting things around." I said, "It'll never work. You've just got to..."
That's it, every piece in the church must work together, and you must keep up your part of it. So we see what time we're living in. We may be closer than we think we are.
87 Now, we appreciate Brother Vayle. Don't we? [Congregation says, "Amen."--Ed.] The Lord bless you, Brother Vayle. Thank you. And we thank the Lord for bringing this great message to us tonight.
And this--I got a note a few minutes ago. One of the sisters has had something she wanted to tell in a dream. If you'll just write it out to me, sister, I'll--I'm... He's give her some dreams that has been absolutely true. We don't accept all dreams. No, no. But when they're of God, we want to know that it's God talking to us.
Like everything speaks in tongues, we don't believe it; but when there's an interpretation comes that tells us something that's going to happen, we see it happen, then we thank the Lord for it. See?
90 We want to keep it running smoothly, sweetly, and in order of the Lord. So just remember, that your part may be the mainspring, or it may be the little--some little hand, or some little part, or the winding stem, whatever it may be, or it may be the hands on the face of the clock that tells the time. But whatever it is, it takes us all working together in harmony with the Gospel of Jesus Christ to bring this to pass.
Just think. If gifts is so great, what we call power; and Paul said, "Though I have faith that I could move a mountain, and have not charity, I am nothing."... Think of that.
And though you say, "Well, though I--I understand... I wished I knowed the Bible."
"Though I understand all the mysteries of God (See?), and still though I could do it and have not charity, I--I'm nothing. See, I ain't got nowhere yet." See? The main thing is, love God and humble yourself with it.
94 Now, surely, after all these years on the field and around the world, and seeing different people, I ought to know a little bit about the gate to enter in at. And if you want to get somewhere with God, never let an arrogant spirit ever come around you. Don't let no malice come in. No matter what anybody's done, if they are wrong, don't you never build up a complex against that person. See? You be sweet and kind. Remember, God loved you when you were in sin. And if the Spirit of God's in you, you love the other person when he's in wrong. See? Just pray for them and love one another.
Above everything, love God and love one another. And be humble with God and around one another, and God will bless it, and it's hard telling what He will do. Usually when a church begins to get in numbers and get to getting a little bigger, or something like that, then they get away from that real thing, the real thing.
96 You know what brought these things to pass, when I first started and the Lord appeared to me down on the river and told me that? And Brother Vayle saw that, I believe, in a paper in Canada, many years ago, where that Angel of the Lord appeared on the river down there, it was on Associated Press, "Mystic Light over local minister, while baptizing." And--and you know what did that? When we had the tent meeting just across the street, a tent that seated about, oh, twenty-five hundred people, ministers come from everywhere, and said, "Brother, come here a minute." I was just a boy, like, oh, just a kid. And they said, "How do you keep those people in one accord? They love one another till they... I haven't seen people love one another."
97 That's the Lord. That's what this church was established upon, that godly, brotherly love for one another. I can't even shake hands with one another, leaving a place, and cry like babies to leave one another. They love one another that well. And I could go to their house to visit, and times the Bible was laying open and stained with tears. Come in, at nighttime, where fathers and mothers was gathered together, and their little children around on the floor, kneeling around; and fathers and mothers on their knees, crying and praying. And I'd stand at the door and wait and wait and wait. And they didn't stop praying, I'll just set down on the steps and start praying myself, waiting for them. See? And that--that was. And they loved one another. They loved one another. We used to stand and sing that old song:
Blest be the tie that binds
Our hearts in Christian love;
The fellowship of kindred mind
Is like to that above.
When we asunder part,
It give us inward pain;
But we shall still be joined in heart,
And hope to meet again.
98 I say this with great joy in my heart to Christ; many of them are sleeping around in these graves marked tonight, waiting for that great resurrection where we'll meet together again.
Let not that Spirit ever depart from this place. If it ever does, then I don't care how eloquent your pastor might be, how well he might bring the Word of God, the Spirit of God is grieved away. See? When we can have all things in fellowship, in common, and love one another, then God will work with us.
And we're keeping time, that the people will come by and say, "If you want to see a church that's really humble, a church that really loves God, drop in up there at that Tabernacle one time and watch it. Look at the care they have for one another, the respects; and the Gospel's being preached, how reverent, how everything just in order." That's... Then they can look and see what time we're living. You'll see the Spirit of God moving among you; great signs and wonders and things will be taking place. If the thing's working together, it's telling the time. But if it isn't working, then time is stopped; it won't tell the time no more. So if we want to know what time we're living, just start everybody working together in the Gospel, loving one another, loving God, and the hands itself will tell the time what we're living in. You believe that? Surely. Amen. The Lord bless you, real richly.
101 Don't forget now; get around this week. And if you know any of the sick people that's coming in, tell them, when they come, say, "Dear, I want to ask you. We're having prayer for the sick Sunday morning over at the Tabernacle. And you been sick for a while, now I want..."
"Well, I want to go. I've always wanted to go."
"Now, I just heard a message Sunday night from a brother there, that how we must confess our faults one to another, and pray one for another, that we might be healed: James 5:14, 13, 14, 15 (See?), that we must confess our faults one to another before we even come for healing. Yeah. Confess our faults one to another, and pray one for the other." See? See, that's just exactly what he was talking about tonight, brings back the beatitudes in with Mark 16. Bring that together, you've got it, then healings take place.
103 Look at Jesus, nothing but one bundle of love. See? He was God manifested. He, God, expressed Himself through Him, no wonder miracles and things happened. His humble life and consecrated life to come from--to--from being God to be a man here on earth to express God through Himself, that's what made Him what He was. I've always said, "What made Jesus God to me, was the way He humbled Himself. He was so great and yet could be so small." See? That's right.
The Lord bless you real good. Now, let's stand up, and--and for the dismissing. Let's just try that (You might not know it, sister.), that, "Blest Be The Tie That Binds." Let's sing that one time, will you? Give us the chord.
Blest be the tie that binds
Our hearts in Christian love;
The fellowship of kindred minds
Is like to that above.
105 Now, while we sing this last verse, let's take ahold of one another's hands, "when we asunder part," and just say, "God bless you, brother, sister. I'm so glad to be here with you tonight." See, something like that, then turn back around then. Now, let's sing it.
When we asunder... (God bless you, Brother Neville.)
It gives us inward pain;
But we shall still be joined in heart,
And hope to meet again.
How we love the Lord Jesus. Don't we? How...
Till we meet!
Till we meet at Jesus' feet (till we meet!);
Till we meet! till we meet!
God be with you till we meet again!
Let's close our eyes and just sing that in the Spirit now.
Till we meet! till we meet!
Till we meet at Jesus' feet;
Till we meet! till we meet!
God be with you till we meet again!
107 Now, let us with our heads bowed... We're just children, God's children. Let's hum it. [Brother Branham and congregation begin humming, "God Be With You."--Ed.] Oh, how that brings the Spirit of God to us. Could you imagine the early days when they set on slabs of rock?
God be with you till we meet again!
With our heads bowed, I'm going to ask if Brother Allen back there, a new brother among us, if he'll dismiss us in a word of prayer. Brother Allen...