La Foi Est l'Assurance
1. On apprête de nouveaux appareils pour l’enregistrement.
C’est à peine si nous savons chaque soir où nous serons. C’est vrai, je pense, le… environ le troisième déplacement en l’espace de ces quatre dernières soirées. Nous avons donc, je pense, un autre déplacement demain soir. C’est ça qui rend la chose très désagréable, juste ce genre de déplacement de lieu en lieu, et alors on peut à peine… C’est juste comme un nouvel endroit chaque soir et – et cela rend la chose très difficile.
J’espère qu’un jour ou l’autre, quand je reviendrai à Oakland, eh bien, peut-être que nous pourrons obtenir quelque chose comme cet auditorium pour une ou deux semaines. C’est alors que nous pourrons avoir un vrai réveil et une véritable série de réunions. Ne le croyez-vous pas? Oui, je le crois, moi aussi.
Notre programme n’a pas été très régulier. Eh bien, je dirais ceci : Nous sommes ici juste pour une soirée ou deux, et la prochaine fois on sera à 100 miles[160km – N.D.T] plus loin. Juste au moment où nous recevons la chose, juste au moment où les gens sont établis à un point où ils peuvent commencer à voir l’action surnaturelle de Dieu, c’est alors que l’on interrompt la réunion pour aller quelque part à deux, trois, quatre cent milles [320, 480, 643km – N.D.T.] plus loin, pour recommencer; et juste au moment où les gens entrent dans l’étape du réveil où ils peuvent être guéris et où beaucoup de choses peuvent se produire...
2. Ainsi, je pense, qu’à mon retour du Canada, eh bien, avant d’aller au Mexique ou ailleurs, je pense que nous allons simplement aménager des lieux de réveils, rester un mois entier à un endroit ou quelque chose comme cela, afin de pouvoir vraiment amener les gens… Quand ils peuvent rester assez longtemps jusqu’à ce que certains pour qui l’on a prié com… commenceront à arriver et que les rapports nous parviendront, disant que les gens sont guéris, les gens sont guéris, comme cela, et les témoignages allant…
C’est comme dans ma propre ville, Jeffersonville, dans l’Indiana. Eh bien, là-bas, il n’y a rien. Oh! la la! Aussitôt que nous arrivons dans la ville, des centaines de gens affluent de partout parce qu’ils ont… ils sont… On est installé à un seul endroit; on n’est pas en mouvement comme c'est le cas maintenant.
3. Et puis, mes amis, ça fait environ six mois que je suis en déplacement jour et nuit. Aujourd’hui j’ai passé une merveilleuse journée, seul avec Dieu. Personne n’était là, sinon le Seigneur et moi. Et je deviens plus calme quand je reste seul. Maintenant, il me reste encore cinq réunions avant de prendre mon repos ; encore cinq réunions. Et puis, au mois de mai, il me faut prendre tout un mois, aller dans les Rocky Mountains [les montagnes rocheuses – N.D.T] oh! la la! où je serai, où vous recevez on dirait… J’aime être seul avec Dieu. C’est ainsi que… que je Le trouve très précieux pour moi. Et puis, je reviendrai alors pour commencer par le Canada…
4. Maintenant, nous n’avons pas beaucoup de temps. A quelle heure devez-vous fermer l’auditorium? Vingt-trois heures? Je pense qu’ils ont dit qu’ils ferment l’auditorium à vingt-trois heures.
Ainsi, ce soir, je désire vous parler juste pour… juste consacrer un peu de temps à enseigner la Parole de foi, afin que vous sachiez comment vous approcher de Dieu.
Il y a beaucoup de ces grands et profonds sujets sur lesquels les gens prétendent beaucoup connaître. Et quand on en arrive à la confrontation finale, ils n’en savent pas grand-chose. Eh bien, c’est vrai. Et nous allons découvrir quelques-unes de ces choses ce soir.
Et à propos, après demain soir, à l’autre auditorium, j’aurai à donner un petit aperçu de l’histoire de ma vie. C’est au cas où vous aimeriez l’entendre. Aimeriez-vous entendre cela? Faites voir les mains. C’est – c’est vraiment bien. Avez-vous indiqué l’emplacement de cet auditorium?
5. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]… afin que vous ayez une idée précise, car je veux que vous soyez guéris. C’est pour ça que je suis ici. Je… C’est pour moi un grand sacrifice que d’être ici, mes amis. J’ai un foyer, une famille et je suis novice, je ne suis qu’un… un bébé dans le ministère. Ça ne fait que quelques mois depuis que j’ai reçu le don de guérison.
Je n’ai pas… Je ne…?… pas propriétaire, je vis juste dans deux pièces, dans une maisonnette, en forme de L. Ma femme puise de l’eau à quelque chose comme, presque la moitié d’un pâté de maisons. Elle en ramène encore de la maison. On m’a offert de belles maisons dans d’autres villes où l’on me dit : «Je vous bâtirai une maison d’une valeur de cinq mille dollars, juste pour vous l’offrir comme cadeau.»
6. Mes amis, ce n’est pas l’argent qui m’intéresse moi. Je – je suis – j’aurais souhaité ne devoir même jamais y penser. Et c’est la raison pour laquelle beaucoup d’entre vous m’envoient… m’offrent des cadeaux, je – je ne les prends pas; parce que ce n’est pas votre – votre argent qui compte, j’ai besoin de votre confiance. Je – je suis ici pour votre guérison.
7. Et comme je le disais concernant mon petit foyer, ma femme et mes deux enfants, j’aurais – j’aurais aimé être avec eux ce soir. Juste maintenant, il est vingt-trois heures, cette petite créature fidèle est à genoux, en train de prier pour moi maintenant. Elle sait que c’est à peu près à ce moment que le service commence. Ma gentille et brave mère, elle est en train de prier pour moi. Le petit garçon dont la mère était morte alors qu’il n’avait que deux ans, est en train de prier pour moi. Et d’une façon ou d’une autre, quand je monte à la chaire, je sens que leurs prières seront exaucées. Et je sais qu’Il est ici.
Vous ne savez combien j’aimerais les voir ce soir. Quand je les quittais à l’aéroport, pour venir, il y a quelques mois, ils s’accrochaient à mon manteau et pleuraient. Le médecin qui fréquente mon église m’a dit que je ne vivrai qu’une année de plus. Il a dit qu’au rythme où j’allais, je tomberai mort de crise cardiaque un soir à la chaire. Et mon petit garçon a peur de cela, il ne fait donc que pleurer, disant : «Papa, ne pars pas.»
8. Mais il y a quelque chose qui me pousse vers les malades et les affligés. Et, mes amis, je ne peux vous aider que si vous croyez en moi; c’est le seul moyen pour moi de pouvoir faire quoi que ce soit pour vous.
J’aimerais donc être là ce soir. Vous ne savez combien j’aimerais… Beaucoup parmi vous savent ce que c’est que d’être loin de la maison, n’est-ce pas? Mais je…C’est… Je dis que c’est juste une petite cabane. Mais on n’a pas besoin d’une grande maison pour se faire un foyer. C’est le caractère à l’intérieur qui fait un foyer. Et je suis reconnaissant d’avoir un foyer.
Ainsi, que Dieu vous bénisse. Et priez pour moi et je vous en dirai davantage après demain soir.
9. Et maintenant, ce soir, mes amis, s’il vous plaît, gardez les petits enfants aussi patiemment que possible, et vous, faites de même. Accordez-moi toute votre attention juste pendant quelques instants, et je vais essayer de vous expliquer, au mieux de ma connaissance, la raison de ma présence ici ce soir, et comment vous devez vous approcher de Dieu pour recevoir votre guérison.
J’ai beaucoup souffert et je sais ce que c’est qu’être malade. Et je – je veux vous aider. Et je ne le peux que si vous croyez.
Je souhaite saisir cette occasion tout de suite… j’ai tant de choses à l’esprit, et je suis fatigué et épuisé. Mais j’aimerais remercier le ministre, son nom m’échappe, celui qui nous a permis, je pense, d’avoir cet auditorium ce soir, sacrifiant ses services, le Révérend Jack Walker. S’il est dans l’assistance, Frère Walker, que Dieu vous bénisse, mon frère, vous et votre… qu’Il fasse de vous… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
10. … Père, nous sommes très reconnaissants de cette nouvelle occasion que nous avons ce soir de nous tenir devant Ton aimable peuple pour lui parler du jour et de l’heure où nous vivons, juste avant la venue de Ton Bien-aimé Fils pour enlever une Eglise, un peuple appelé à sortir, qui est lavé dans le Sang, né de nouveau et prêt à aller à la rencontre d’un Dieu saint, le Sang du saint Christ de Dieu leur servant de pont.
Bénis-nous ensemble ce soir, pendant que nous nous attendons à Ta Divine Présence. Et puisse l’Ange que Tu as envoyé dans la pièce cette nuit-là pour parler à Ton serviteur, la raison même de notre présence ici ce soir, puisse-t-Il se tenir à la chaire à côté de Ton humble serviteur ce soir pour confirmer chaque parole qui est prononcée. Et que de grands miracles et prodiges accompagnent cela.
Père, bénis le ministre, frère Walker, qui nous a donné cet auditorium ce soir. Que lui et les siens soient bénis. Donne-lui du succès dans Ton ministère, une branche portant du fruit. Et qu’il ait beaucoup de trophées à déposer à Tes pieds, en ce glorieux jour-là. Bénis le ministre qui a parrainé ce programme ici dans cette ville, frère Moss, tous les autres ministres, les collaborateurs. Ô Dieu, que leurs églises soient des flammes de feu, des témoignages pour la gloire de Dieu, en ces derniers et mauvais jours où nous vivons sous les ombres, juste avant la Venue du Juste.
Oh! parle au peuple ce soir, Père, d’une façon remarquable. Et qu’il y ait la foi et que le Saint-Esprit étende Ses ailes de part et d’autre de cet auditorium ce soir. Et que la vertu vienne de telle sorte que beaucoup, beaucoup de grandes guérisons miraculeuses soient accomplies, afin que Sa renommée soit répandue partout dans toutes les régions de la Côte Ouest de cet hémisphère. Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.
11. Maintenant, mes amis, comme je l’ai dit, nous nous sommes déplacés tant de fois. Je pense que beaucoup d’entre vous ici n’ont même jamais appris comment le don de guérison divine est venu. Mais la seule chose que je veux que vous fassiez ce soir, c’est de me croire. Si vous croyez, vous verrez la gloire de Dieu, j’en suis sûr. Le succès n’a pas été comme je l’espérais, dans les quelques dernières soirées, bien que les estropiés, les affligés, les sourds, les muets, les boiteux… Mais ça semble très lent, depuis que nous avons atteint la Côte Ouest.
Frère Charles Fuller me parlait quand nous étions là à Long Beach, et il m’a parlé, disant : «Frère Branham, a-t-il dit, la raison pour laquelle, a-t-il dit, cette Côte Ouest ici a tout au nom de la guérison divine, a-t-il dit, il y a des adorateurs de Blue Flame, les adorateurs de Father Divine et tout, le tout au nom de la guérison divine.» Il a dit : «C’est une grande pierre d’achoppement.» Eh bien, cela …C’est peut-être ça, mes amis, je ne sais pas ; mais cela n’empêche pas la puissance de Dieu de guérir.
12. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]…de l’adoration et le Guérisseur divin. Et maintenant, personne ne peut accomplir un miracle en Son Nom et parler de Lui à la légère. C’est ce qu’Il a dit. Si donc quelqu’un amène les gens à être guéris, j’en suis reconnaissant, mais je crois vraiment de tout mon cœur, alors que nous abordons le sujet ce soir, que vous, peut-être si Dieu nous aide, que vous saisirez la vision et vous verrez ce que sont réellement le jour et le temps dans lesquels nous vivons. Et alors, vous verrez et vous croirez.
13. Que Dieu nous aide, alors que je lis une portion des Ecritures maintenant. Là, dans l’épître aux Hébreux, au chapitre 11, nous allons commencer à lire les trois premiers versets. Ecoutez très attentivement, car mes paroles ne sont que les paroles d’un mortel, elles failliront, mais la Parole de Dieu ne faillira jamais. Elle est toujours vraie.
or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.
Pour l’avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable.
C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde à été formé par la Parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit…a… été fait de choses visibles.
C’est par la foi, qu’Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c’est par elle qu’il fut déclaré juste, Dieu rendant témoignage à ses dons; et c’est par elle… parle encore, quoique mort.
14. Le système de sonorisation est un peu fort… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Très bien, maintenant je pense que cela peut aller un peu – un peu mieux, en quelque sorte, cela produit un écho à partir de… Très bien.
Maintenant, je voudrais tirer mon texte du chapitre 3, plutôt du verset 3, et de la dernière… l’une des dernières phrases : «Dieu rendant témoignage à ses dons». Et maintenant, mon sujet se trouve au chapitre 1, ou plutôt au verset 1 (Excusez-moi), au verset 1 : «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»
15. Le jour dans lequel nous vivons, c’est un jour qui est caractérisé par une paix instable et un repos instable partout. Les gens courent ça et là, cherchant tout ce qu’ils peuvent chercher. Presque tout le monde peut se faire des adeptes; peu importe ce qu’on enseigne ou ce qu’on pense, quelqu’un l’écoutera. Et c’est un jour dont les prophètes ont parlé.
Les gens, quand ils ont faim, ils mangeront n’importe où. Quand les enfants et les gens crèvent de faim, ils mangeront dans une poubelle, alors qu’avant ils mangeaient à une belle table. Mais s’ils ont faim, ils mangeront quelque part. Je pense donc que les vrais et authentiques ministres de l’Evangile devraient être à l’œuvre; ils devraient donner aux gens des bonnes choses, la nourriture au temps convenable.
16. Maintenant, mon sujet concernant… Comme je vous l’ai affirmé, je ne suis pas un prédicateur, j’ai seulement le don de guérison, que je confesse humblement provenir de Dieu. Je ne suis pour rien quant à la venue de ce don. J’étais… cela a été préordonné par Dieu il y a des années et des années. Je n’y suis pour rien… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … la terre qui a produit cela. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
17. C’est ça la clé des Ecritures. La foi, celui qui s’approche de Dieu doit croire que Dieu existe et qu’Il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu.
C’est par la foi que ce monde a été créé. C’est par la foi que les choses ont été formées et amenées à l’existence. Dieu a simplement vu cette goûte de rosée pendre là dans les airs, peu m’importe comment vous voulez l’appeler. Et Il a tout simplement parlé et Il a dit : «Que la lumière soit.» Et la lumière fut. Et ensuite Il a manifesté la terre, Il l’a séchée et tout le reste. Tout cela a été créé par Dieu au moyen d’un acte de foi. C’est par la foi que tout l’univers a été créé.
C’est par la foi que vous êtes ici ce soir. Beaucoup d’entre vous, vous avez dit à vos employeurs que vous retournerez demain au travail. Comment savez-vous que vous le ferez? Vous avez dit à votre femme : «Je serai à la maison après le service.» Comment le savez-vous? Vous avez peut-être dit à quelqu’un de venir vous prendre en taxi à vingt-trois heures. Comment savez-vous que vous serez ici? Il se peut que vous vous retrouviez dans l’Eternité avant vingt-trois heures ce soir. Voyez? Mais tout cela, c’est par la foi. Tout, c’est par la foi.
18. Eh bien, beaucoup de gens parlent de ce sujet, la foi, mais ils n’en savent pas grand-chose. Maintenant, écoutez mes amis, je – je vous aime et je veux que vous compreniez ceci. Il y a tellement de gens qui parlent de la foi, qui ne connaissent pas un seul principe de la foi. Maintenant, nous sommes ensemble, vous et moi; peut-être que nous ne nous rencontrerons plus jamais de ce coté-ci de l’Eternité. Mais je… si j’avais un lieu où nous pourrions rester ensemble, et où je pourrais exposer progressivement la chose jusqu’au point où vous pourriez comprendre cela plus clairement que maintenant, en effet, beaucoup d’entre vous vont penser… Et vous êtes…probablement beaucoup auront de moi une fausse impression ce soir, pendant que j’essaye de mon mieux de vous apporter ceci, et vous penserez que je me glorifie, mais ce n’est pas ça, mes amis bien-aimés. C’est pour votre bien, si seulement je peux vous amener à voir ce que – ce que Dieu a fait pour vous.
19. Eh bien, certains – beaucoup de gens passent dans la ligne, et ils disent : «Oh! J’ai la foi pour être guéri.»
Et, mes amis, quand ils y passent, je sais qu’ils n’ont pas assez de foi pour guérir d’un mal de dent. C’est vrai. Et certains passent ayant le cancer, et ils disent : «J’ai la foi pour être guéri.» Ils n’ont pas la foi.
Ce soir, ma leçon sur les Ecritures c’est : La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Voyez, c’est une ferme assurance. C’est quelque chose de précis, quelque chose que vous possédez réellement. Ce n’est pas quelque chose que vous imaginez ni quelque chose que vous pensez avoir, mais c’est un acte réel et précis que vous avez. Voyez-vous ce que je veux dire?
20. Eh bien, il n’y a pas longtemps… Je vais vous raconter une petite histoire sur quelqu’un qui est venu afin que vous voyiez ce qu’est la foi. La foi est un don en soi. Vous pouvez en avoir une portion, mais il y a un don de foi.
C’est juste comme certains parmi vous qui oignent les malades, et prient pour eux, et vous obtenez un résultat. Ce n’est pas là un don de guérison, cela est une portion de foi. Mais cela n’est pas un don personnel de guérison, car il n’y a qu’un seul don personnel de guérison ; il n’y a qu’un seul don personnel de foi, il n’y a qu’un seul don personnel de – de miracles et autres. Il y en a eu dans les Ecritures, les Apôtres en avaient. Et beaucoup… ils ont fait de puissantes œuvres de… Philippe et tous les autres… Mais cela était un don de guérison.
21. C’est comme quand nous quittons la ville, comme beaucoup de gens disent… J’ai remarqué à certains endroits, après mon départ, certains d’entre eux, peut-être quinze ou vingt, disaient : «Le Seigneur m’a donné le don de guérison.» Eh bien, que Dieu bénisse leurs cœurs.
D’autres disent : «Frère Branham, voulez-vous m’imposer les mains pour que je reçoive le don de guérison?»
J’aurais souhaité le faire, j’aurais aimé faire passer chacun de vous dans cette ligne ici ce soir; et je dirais qu’il n’y aura plus un seul malade d’ici quelques semaines à Oakland. C’est vrai. Mais ce n’est pas à moi de le donner; c’est… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
22. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Prenons cette portion de l’Ecriture «une ferme assurance des choses qu’on espère».
Il y a trois choses : L’espérance, la charité et la foi. Est-ce vrai? Eh bien, l’espérance est un élément, la foi en est un autre, et la charité en est un autre. La charité, c’est l’amour.
J’ai vu beaucoup de gens passer, des gens aimables, de vrais chrétiens, mais ils n’avaient pas assez de foi pour être guéris, et un pécheur passe et il a la foi pour être guéri. Voyez?
C’est un tout autre élément. Il ne s’agit pas de votre bonne façon de servir Dieu ; c’est un – un élément que vous possédez vous-même. Maintenant, je veux que vous compreniez ceci, parce que c’est pour votre bien.
23. Il y a quelques semaines, quelques mois plutôt j’étais chez moi pour quelques nuits. Et, oh! la la! à peu près trois cents personnes s’étaient rassemblées dans la maison et dans la cour ce jour-là, et vers deux heures du matin, ma femme m’a amené au lit. Et pendant que j’étais étendu en travers du lit, oh ! la la! – mes jambes ont eu des crampes et ont été endolories.
J’étais couché là, et j’ai entendu un véhicule s’approcher par-devant. Et j’ai dit : «Oh! la la! quelqu’un arrive.»
Et elle a dit : «Eh bien, écoute, je vais à la porte.»
Et pendant qu’elle se dirigeait vers la porte je me suis endormi.
Et j’ai entendu quelqu’un dire : «Eh bien, ça fait longtemps depuis que l’enfant est malade.» Et un petit bébé pleurait au point que ses cris n’avaient même plus rien d’humain, c’était quelque chose comme … vous qui lisez mon petit livre intitulé ‘La vision céleste’… Combien dans – dans l’auditoire ont lu cela? Voyons. La vision céleste. Voyez, quelque chose de ce genre.
Ce tout petit enfant, il avait environ huit, dix semaines. Et il était – il n’arrêtait pas du tout de pleurer. Et la mère a dit : «Eh bien, j’ai – je… nous avons voyagé toute la journée et toute la nuit pour arriver ici. Elle a dit : «Nous avons vu où il … Frère Branham devait être à la maison et nous avons amené le bébé.»
24. Oh! la la! le pauvre petit. Je ne pouvais pas dormir. Et je suis sorti là et j’ai prié pour le petit bébé. Puis, je me suis assis, et là dans le fauteuil juste un instant, je m’entretenais avec la mère. Ils venaient de loin, du Nord de l’Ohio. Et pendant que nous étions assis là, mes amis, le petit a cessé de pleurer. Il avait donc pleuré jour et nuit. Oh! Pour moi cela vaut plus que tout l’argent du monde.
Et là, j’ai jeté un coup d’œil, et la mère s’est mise à pleurer, de très grosses larmes dégoulinant sur la petite couverture. Le vieux papa, assis là en salopette, avait probablement dépensé une bonne partie de ses revenus pour venir, il s’est approché et m’a entouré de son bras, il a dit : «Je vous aime, Frère Branham.»
Oh! la la! un des meilleurs cœurs qui aient jamais battu, était sous une vieille chemise bleue. C’est vrai.
25. Il ne s’agit pas de votre façon de vous habiller; ce qui compte, c’est ce qui est en vous. C’est exact. Et là, je savais qu’il était sincère là-dessus, Ce n’était pas de l’hypocrisie. Il le disait du fond de son cœur, il m’aimait. Et j’ai regardé le petit bébé, et la mère, quand je suis entré dans l’autre chambre, elle était [Espace vide sur la bande – N.D.E.] il ne faisait que nous sourire. Et mes amis, cela vaut tout, n’est-ce pas? C’est vrai. Cela vaut tout. Et ensuite ils ont dit… Ma femme a dit : «Eh bien, je vais vous apprêter du café ou quelque chose, si vous le désirez.»
Et ils ont dit : «Eh bien, nous allons attendre un petit moment.»
Et ma femme a dit : «Eh bien, alors…»
«Je vais vous dire quoi, ai-je dit, je vais m’étendre sur ce fauteuil, et laisser la mère et les autres aller au lit pour dormir un tout petit peu.»
26. Et ainsi, nous leur avons donné un lit, et moi, je me suis installé dans un fauteuil pour essayer de me reposer jusqu’à l’aube. Et juste à ce moment-là, une autre voiture est arrivée, et un jeune homme s’est avancé jusqu’à la porte. Et il a dit : «Frère Branham?»
J’ai dit : «Oui.» Je cherchais à me réveiller.
Il a dit : «Je sais que vous avez vraiment sommeil.»
J’ai dit : «Oui.»
Il a dit, il m’a parlé, disant : «Je viens de Morengo, dans l’Indiana» Il a dit : «Ma jeune sœur se meurt de l’appendicite ; il faut qu’elle soit opérée ce matin» Il a dit : «Voudriez-vous venir auprès d’elle?»
Eh bien, cette… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… et dans ma vieille bagnole Ford, qui m’attend là à Houston, dont tout le côté était bosselé par mes genoux, à l’endroit où je cognais mes genoux comme cela, essayant de rester éveillé, pendant que j’allais prier pour les malades. Je quittais une réunion pour aller à une autre. Et je suis entré dans le champ, avec ma main hors de la portière de la voiture, disant : «Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse», profondément endormi.
Jamais je n’oublierai le jour où, venant de Houston, je – il y avait… j’ai entendu une voiture klaxonner et je me suis rendu compte que j’étais du mauvais côté de la route, seulement je ne pouvais pas me réveiller. Voyez?
J’avais passé là quinze jours et quinze nuits à prier pour les malades et voyant des choses merveilleuses. Mais, oh! la la! mes amis, si ma vie s’écourtait, quelqu’un d’autre peut-être pourra subsister, à cause de ma mort.
27. Et cet homme m’a dit, ce jeune homme, il a dit : «Ma jeune sœur…», il m’a dit qu’il était membre d’une église. Je ne mentionnerai pas le nom ici, parce que ce n’est pas indiqué, je ne critique la religion de personne. Et de toute façon, cette église est mon pire ennemi. Ils prétendent que la guérison divine et le reste, ça n’existe pas.
Et j’étais à mon église, l’église Baptiste de Milltown, où j’étais allé tenir un réveil. Beaucoup d’entre vous ont vu dans le petit livre intitulé «Jésus Christ est le même hier aujourd’hui et éternellement.»
Il y avait là une jeune fille qui pesait 47 livres [environ 25,5 kg – N.D.T], elle avait 27 ans et pesait 47 livres; elle répondait au nom de Géorgie Carter, elle avait la tuberculose, et elle était membre de cette même église. Et elle disait que, les voisins disaient : «Que…» Elle était restée couchée sur son dos, neuf ans et six mois. Et les gens disaient : «Qu’elle se rétablisse, et nous croirons cela.»
Mais, mes amis, ce soir elle est ma pianiste dans l’église Baptiste de Milltown. Mais est-ce que les gens croient? Non, même si quelqu’un ressuscitait des morts, ils ne croiraient pas.
28. Et à propos, un homme qui gisait à la morgue, déclaré mort par trois médecins au moment où je suis entré là où il se trouvait, ce soir il conduit une locomotive en Pennsylvanie, et les gens ne croient toujours pas. C’est vrai. C’est vrai. Ils ne veulent pas croire.
L’heure est arrivée où les yeux des gens sont tellement aveuglés par les soucis du monde et d’autres soucis qu’ils ne voient même pas Dieu. Il est juste au milieu d’eux et ils passent à côté, comme il en était au temps de Christ, ils ont manqué de Le reconnaître.
29. Et alors, cette dame, ou plutôt cet homme m’a demandé : «Voudriez-vous venir?»
J’ai dit : «Oui, monsieur.»
Il a dit : «Peut-être que je ferais mieux de vous y amener.»
J’ai dit : «Non, je m’efforcerai de rester éveillé.»
Et ma femme s’est mise à pleurer, disant : «Eh bien, chéri, tu vas t’endormir quelque part.»
Et je suis monté dans ma vieille voiture et je me suis mis à rouler à petite vitesse, j’ai dit : «Je vais le surveiller.» En allant, je me pinçais et me mordais les doigts, et je prenais de la salive et m’en essuyais les yeux et que sais-je encore, m’efforçant de rester éveillé. Je sais que cela a l’air très peu hygiénique, mais je – je faisais tout pour essayer d’atteindre cette enfant-là.
30. Et nous avons parcouru environ 8 miles [environ 13 km – N.D.T.] sur une vieille route, là loin, dans une municipalité rurale, et là était couchée une jeune fille âgée de – d’environ huit, dix-sept ou dix-huit ans. Et elle était couchée là dans un état terrible. Quand je suis entré dans la chambre, elle était très nerveuse et elle a demandé : «Oh! Est-ce vous frère Branham?» Elle a dit…
J’ai dit : «Croyez-vous, sœur?»
Elle a dit : «Oh! oui, je crois.»
Elle a dit : «Je – je – je crois.» Elle a dit : «Peu m’importe ce que dit mon église.» Elle était membre de la même église que Géorgie Carter.
Elle a dit : «Peu m’importe ce que dit mon église, moi je crois. Je crois.»
Et alors, ils… cet homme, le père, est venu à ma rencontre, m’a serré la main, et il … il m’a conduit vers le lit, et a dit : «Monsieur, a-t-il dit, elle va être opérée ce matin.» Et il a dit : «Elle est… Nous craignons qu’elle ne soit en mesure d’effectuer le voyage.» Il a dit : «Nous devons l’amener jusqu’à New Albany, dans l’Indiana.» Ça faisait environ 40 miles [64 km – N.D.T.] jusqu’au premier hôpital. Et elle avait environ 8 miles [environ 13 km – N.D.T.] à effectuer dans la campagne, juste oh! la la!… Juste une zone non cultivée de part et d’autre d’une clôture[en anglais «fence row» – N.D.T.], on y descend comme ça, là où des camions effectueraient presque un voyage pour y descendre. Eh bien, je – j’ai assisté et aidé dans des opérations et…
31. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] … et c’était … Je savais que cette enfant ne pouvait pas arriver à l’hôpital; qu’elle mourrait avant d’y arriver. Il se peut qu’il y ait des médecins assis ici maintenant, il y a généralement des médecins qui viennent suivre les réunions. Et son côté était enflé et avait rougi, l’appendice s’était rompu et était prêt à éclater à tout moment.
Eh bien, souvent j’ai accompagné le Docteur Adair, le médecin de notre ville, celui qui fréquente mon église. Et on faisait l’opération, et on faisait une – une incision. Et quand cela éclatait et se répandait sur la table, alors – alors, parfois, on fait sortir les intestins, et on les asperge et on les nettoie afin d’éviter la péritonite et on fait une incision en forme de V et on y installe un tube pour faire le drainage. Parfois, les gens étaient guéris.
Mais cette enfant-là ne pouvait pas… Cet appendice aurait éclaté, et elle avait encore 30 miles [48 km – N.D.T.] ou plus de route à parcourir. Et elle serait morte avant d’arriver là.
32. Eh bien, mes amis, cette jeune fille me regardait et elle a dit : «Oh!, Frère Branham, pensez-vous que je vais survivre?»
Et j’ai dit : «Je le crois.» Mais, elle a dit… j’ai lui ai demandé : «Maintenant, croyez-vous?»
Elle a dit : «oh! oui oui, je crois. Bien sûr, peu m’importe ce que mon église dit. Je – je crois. Géorgie Carter était guérie.» Elle a dit : «Moi aussi, je serai guérie. J’ai peur de l’opération.»
Voyez, juste comme cela. Des voisins s’étaient rassemblés là.
33. Maintenant, écoutez, voici où je veux en venir avec vous maintenant là-dessus. Cette fille pensait qu’elle croyait, juste comme beaucoup d’entre vous qui passerez dans cette ligne, ce soir. Vous pensez que vous croyez, mais elle ne croyait pas.
Maintenant, beaucoup d’entre vous ont des problèmes gynécologiques, et peut-être, juste l’une ou l’autre chose qui… peut-être des ulcères d’estomac. Et il vous – vous faut prendre votre… Vous avez peut-être un peu de temps.
Mais pour cette fille-là, il y avait une urgence. Sa vie était en danger. Quelque chose devait être fait. J’ai alors dit : «Sœur, je n’ai pas l’intention de blesser vos sentiments, mais vous – vous ne croyez pas.»
Eh bien, c’est juste comme le frère le dit ici, quand vous avez la tête haute, peu importe où vous vous trouvez dans le bâtiment… Je ne dis pas ceci, mes amis, n’oubliez pas, je vous le dis uniquement pour votre bien. Ce n’est pas moi, mais c’est Dieu. Je sais quand vous faites la grosse tête, je le sens. Que vous soyez derrière moi, où que vous soyez, c’est comme la nuit dernière, il y avait une dame assise là, derrière moi, faisant la grosse tête. Je le savais tout le temps. Ainsi donc, c’est entre Dieu et l’individu, vous voyez. Je n’y peux rien. Ils – ils font obstacle aux gens. Plusieurs fois, des choses sont bloquées.
34. Ainsi donc, cette fille a dit : «Oh! Je crois, je crois, Frère Branham.» Eh bien, elle pensait qu’elle croyait.
Maintenant écoutez, elle avait de l’espérance. Mais la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Voyez-vous ce que je veux dire?
Maintenant, j’ai dit : «Sœur, c’est un cas ordinaire, ai-je dit, je vais prendre un peu de temps et vous accorder une possibilité de recevoir peut-être une grande foi et vous en tirer grâce à cela ; mais il vous faut avoir une attention soutenue, maintenant même. Car je vais être sincère avec vous : vous ne survivrez pas jusqu’à voir l’hôpital.»
Or, les parents n’avaient pas beaucoup apprécié cela en ce moment-là. Mais je préférerais être sincère avec vous, vous faire savoir la vérité… Ne préféreriez-vous pas que je sois sincère avec vous?
Et rappelez-vous, mes amis, je ne combats pas contre la chair et le sang; c’est une puissance spirituelle. Je dois être sincère devant le Dieu Tout-Puissant. Voyez? Ainsi, étant donné que je sais le danger qu’il y a pour ma propre vie, et non seulement pour la mienne, mais pour la vôtre… Et alors, elle a dit qu’elle – qu’elle croyait, mais elle ne croyait pas.
«Eh bien, ai-je dit, maintenant, écoutez.» Maintenant, je veux que vous remarquiez ceci, et je veux que vous soyez très attentifs maintenant pour saisir chaque mot, afin que l’on puisse partager cela, un petit quelque chose que Dieu a permis là. Et je verrai si vous avez la foi. J’ai dit : «Sœur, vous n’avez pas la foi.»
Elle a dit : «Oh! Révérend Branham, j’ai la foi pour croire toute chose.»
35. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.] … Si vous avez la foi, je voudrais vous demander quelque chose pour vous démontrer plutôt que – que vous n’en avez pas.
Maintenant écoutez ceci et saisissez-en chaque parole. Il y avait dans la pièce un fil qui pendait à un chandelier, et au bout de ce fil se trouvait un petit bracelet et cela avait… C’était un bracelet blanc avec de petits objets rouges à l’intérieur et avec lequel un enfant jouait probablement, vous savez, en balançant cela dans la chambre. Peut-être que certains d’entre vous calment leurs propres enfants de cette manière-là, en balançant quelque chose autour comme cela, pour jouer avec, pour les amuser.
36. Et j’ai vu ce petit bracelet qui pendait. Il était… J’ai dit à la jeune dame, j’ai dit : «A quelle distance vous trouvez-vous de ce bracelet-là?»
Elle a dit : «Prob… à peu près à quinze pieds [quatre mètres et demi – N.D.T.] »
J’ai dit : «Maintenant, vous tous, les adultes qui êtes ici, vous tous, tournez simplement le dos vers moi.»… J’ai dit : «Eh bien, rien ne sera fait pour blesser qui que ce soit. J’ai dû simplement parler à cette fille parce qu’elle devait en fait saisir la pensée.»
Et c’est la raison pour laquelle j’aborde ces choses avec vous ce soir. Nous avons encore deux soirées et quelque chose doit être fait. Voyez-vous? Maintenant, je ne veux pas que vous alliez dire quelque chose de faux à ce sujet, car vous aurez peut-être à en répondre au jugement.
Et j’ai alors dit : «Quelque chose doit être fait tout de suite.» Et j’ai dit: «Maintenant, vous les parents, tournez simplement le dos.»
Et quelques voisins étaient assis avec elle, et ils m’ont tous tourné le dos, et ils ont tourné leurs chaises. Je me suis adressé à la jeune dame, j’ai dit : «Maintenant, vous m’avez dit que vous avez la foi pour tout croire.»
Elle a dit : «Oui, monsieur.»
«C’est depuis quand que vous avez mangé?»
Et elle a dit : «A peu près trois jours.» Elle a dit : «Je ne peux même pas garder l’eau dans mon estomac.»
Et vous connaissez ce que c’est que l’appendice, et elle faisait aussi la fièvre.
37. Et j’ai dit : «Maintenant, si vous croyez de tout votre cœur et que vous me prouvez maintenant que vous avez la foi… Maintenant regardez tout droit à ce bracelet ;» et ça pendait là à mi-hauteur, «et faites balancer cela sans arrêt dans la pièce. Faites donc balancer cela d’avant en arrière dans cette pièce, et puis arrêtez-le. Et je croirai que vous avez la foi.»
Elle a dit : «Oh! Frère Branham, a-t-elle dit, oh! la la! pourquoi me demandez-vous pareille chose?»
J’ai dit : «Je voulais voir si vous aviez la foi.»
J’ai dit : «Jésus a dit : ‘Tout est possible si vous croyez’.»
38. Eh bien, mes amis, ça c’est de la foi pure. Les magiciens utilisent souvent cela pour jouer des tours et tout, faire éclater des verres et tout. Cela s’accomplira si vous croyez. Mais j’essaye de fonder votre – la pensée sur la foi, afin que vous sachiez de quoi je parle. Et je veux que vous restiez maintenant tranquilles, pour comprendre cela. Réveillez-vous afin que, quand j’aurai terminé avec ceci, vous sachiez ce qu’il en est.
39. Alors elle a dit : «Eh bien, Frère Branham, personne ne peut faire ça.»
J’ai dit : «Oh! si, tout celui qui croit le peut.»
Et elle a dit : «Eh bien, je ne crois pas que quelqu’un puisse faire cela.»
J’ai dit : «Je pensais que vous aviez dit que vous croyiez pour toutes choses.»
Voyez-vous comment elle s’est fait prendre là même? J’ai dit : «Vous avez dit que vous croyiez toutes choses. Je veux que vous le prouviez.»
Et elle a dit : «Je ne crois pas qu’il y ait quelqu’un qui puisse faire cela. Ça, c’est matériel, Frère Branham.» Elle a dit : «Pouvez-vous le faire?»
J’ai dit : «Oui, madame.»
Et elle a dit : «Eh bien, puis-je vous voir faire cela?»
J’ai dit : «Si vous le voulez.»
Elle a dit : «Je le veux bien.»
40. Alors évidemment, fixant ma pensée sur cela, j’ai amené la jeune fille à regarder à cela, et non pas moi. Comme souvent dans une réunion, je peux prendre n’importe quel enfant qui louche, qu’il y a dans cette réunion, vous l’amenez ici, et sans même prier pour lui, vous me laissez le regarder simplement droit dans les yeux comme cela, je ferai que ses yeux deviennent droits. Mais dès que je tourne la tête…[Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
41. J’ai utilisé cela comme exemple. Elle est rentrée, elle a pensé qu’elle n’allait plus revenir dans la ligne, elle devait faire deux ou trois jours avant qu’elle entre. Mais quand elle est revenue cette fois-là, elle a dit : «Frère Branham, vous m’avez dit de revenir dans la ligne.»
Il y a des centaines de gens entassés partout, debout dans le… très tôt le matin, elle est arrivée tout trempée, elle est entrée pour qu’on prie pour elle. Et alors, quand Dieu a guéri ses yeux là, que les deux yeux étaient devenus droits et qu’elle était normale, elle s’en est allée en se réjouissant. Voyez? C’est là la différence entre votre foi et la foi de Dieu.
42. Eh bien, et puis naturellement, en fixant mes yeux sur ce bracelet – ce que vous pouvez faire vous-même, si vous ne doutez pas de cela dans votre cœur – ça s’est mis à tourner. Et puis, ça s’est balancé d’avant en arrière, tout autour, en diagonale, et je l’ai arrêté.
Elle a dit : «Frère Branham, a-t-elle dit, ça c’est du spiritisme.» [Frère Branham rit. – N.D.E.]
J’ai dit : «Je – je pensais que peut-être vous alliez dire quelque chose de ce genre.» Oh! la la! N’est-ce pas étrange que des gens qui professent connaître Dieu connaissent si peu de choses à Son sujet? N’est-ce pas vrai?
Elle a dit : «Vous savez, nous sommes membres de l’Eglise de Christ.»
Excusez-moi, je ne voulais pas mentionner cela. Excusez-moi, vous de l’Eglise de Christ, je ne voulais pas mentionner cela. Voyez? De toute façon, elle a dit : «Nous parlons là où la Bible parle et nous nous taisons là où la Bible se tait.»
Vous savez que vous avez ce slogan. J’ai remis cela en question quelques fois.
J’ai dit : «Très bien.»
Elle a dit : «On ne peut pas trouver pareille chose dans la Bible, au sujet d’une telle chose.»
J’ai dit : «Je – je pensais que c’est ce que vous diriez.» J’ai dit : «Certainement, cela se trouve dans la Bible.»
Et elle a dit : «Eh bien, jamais je… je ne crois pas cela.»
«Très bien, ai-je dit, vous ne croyez pas cela?»
Elle a dit : «Non, montrez-moi où ça se trouve dans la Bible.»
43. J’ai dit : «Un jour, Jésus passait près d’un arbre, Il a voulu y trouver des fruits. Il n’y avait pas de fruit. Il a maudit l’arbre, et cela s’est mis à sécher. Et quand Ils sont passés par-là à midi, l’arbre séchait. Pierre a remarqué cela et il a dit que l’arbre avait vite séché. Il a dit : ‘Si vous dites dans votre cœur que cet arbre soit déraciné et jeté dans la mer et que vous n’en doutiez pas, il vous obéira.’» A-t-Il dit cela?
Et j’ai dit : «Il a dit : ‘Si vous dites à cette montagne, ôte-toi de là et que vous ne doutiez pas dans votre cœur, cela s’accomplira aussitôt !’ Est-ce qu’Il l’a dit?» Certainement, Il l’a dit.
J’ai dit : «Je sais que votre pasteur qui ne croit pas, cherchant à justifier son incrédulité, a dit qu’il s’agissait d’une montagne de péché. Je – je suis allé moi-même à l’école, il était à genou près du Mont des Oliviers. C’était le Mont des Oliviers. Si vous dites dans votre cœur que cela soit déplacé, et que vous n’en doutiez pas…» J’ai dit : «La foi de quelle dimension?»
Et Il a dit : «Si vous aviez la foi de la grosseur d’un grain de sénevé…»
J’ai dit : «Maintenant, si la foi de la grosseur d’un grain de sénevé peut déplacer cette montagne, combien plus petite doit être la foi qu’il vous faudrait avoir pour mettre en mouvement ce bracelet?»
44. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, je me suis souvent demandé pourquoi Il a parlé du grain de sénevé. Je pourrai lâcher cette pensée. Le grain de sénevé est la plus petite de toutes les semences. C’est vrai. Mais rien ne peut se mélanger avec le grain de sénevé. C’est entièrement le sénevé. Vous ne pouvez pas mélanger cela avec le chou frisé ni rien et faire croître cela. C’est entièrement du sénevé. Si vous avez autant de foi que ça, entièrement la foi, sans qu’elle soit mélangée avec autre chose, demandez ce que vous voulez ; cela vous sera accordé. Mais ça ne doit pas vaciller, ça doit être l’authentique sénevé, si vous savez de quoi je parle.
Très bien, et j’ai dit : «Combien plus en faut-il?»
«Eh bien, a-t-elle dit, écoutez, j’aimerais vous poser une question» Elle a dit : «Est-ce Dieu qui a bougé cela ou est-ce le diable qui a bougé cela?»
J’ai répondu : «Ce n’est ni l’un ni l’autre qui a bougé cela.»
Elle a dit : «Comment donc cela a-t-il bougé?»
J’ai dit : «C’est moi qui l’ai bougé.»
Elle a dit : «Eh bien, vous êtes à une distance de 15 pieds [environ 5 mètres – N.D.T] de cela, ou plus.»
J’ai dit : «Non, c’est ma foi qui a bougé cela.» Voyez? Si vous demandez quelque chose et que vous n’en doutiez pas… Voyez-vous ce que je veux dire?
45. [Un grincement se fait entendre. – N.D.E.]… la foi, mais vous avez le libre arbitre ; vous êtes un être humain. Vous pouvez ne pas aimer cela dans votre cœur, et je ne pourrai pas vous toucher si vous le faisiez.
Jésus ne pouvait pas accomplir beaucoup d’œuvres puissantes à cause de quoi? [L’assemblée répond : «de l’incrédulité» – N.D.E.]. C’est vrai. Voyez-vous combien les gens en savent peu au sujet de… combien les gens en savent peu au sujet de la foi? C’est étonnant, mes amis, de voir combien les gens en savent peu. Ils en parlent trop et pourtant ils en savent si peu.
46. Et puis, elle a dit : «Eh bien, voulez-vous donc me dire que… Qu’est-ce que cela a à voir avec Dieu, quel rôle, là?»
J’ai dit : «Maintenant écoutez, il y a eu un Ange qui est descendu dans la pièce et m’a dit que jadis, bien avant ma naissance, j’ai été prédestiné à avoir un don de guérison divine. Et Il est venu me dire une nuit dans la pièce que Dieu avait envoyé le don, et que c’était un don de guérison divine pour le peuple. Et si je pouvais amener les gens à me croire (à me croire) et que j’étais sincère dans ma prière, rien ne résisterait à la prière.»
J’ai dit : «Par conséquent, ayant parlé face à face avec cet Etre surnaturel, je crois cela de tout mon cœur. Et si je peux vous amener à me croire de tout votre cœur, c’est ce qui amène Dieu en action et alors vous êtes guérie. Votre foi vous a sauvé.» Voyez-vous ce que je veux dire? Votre foi pour croire vous a sauvé. Pas ce que vous vous êtes fabriqué et que vous vous êtes imaginé, mais ce dont vous êtes vraiment sûr, une démonstration même des choses qu’on ne voit pas. Voyez-vous ce que je veux dire?
Alors la jeune fille a dit : «Frère Branham, je sais certainement qu’il y a quelque chose à un niveau élevé que je n’ai jamais atteint.» Elle a dit : «J’essayerai de tout mon cœur, et que Dieu ait pitié de moi.» Elle a dit : «Que je croie.»
Et j’ai alors saisi sa main. Il y a eu une vibration émanant de cet appendice rompu, j’ai prié pour elle et cela s’est arrêté immédiatement. J’ai dit : «Que Dieu vous bénisse, sœur. Maintenant, votre foi vous a sauvée.»
47. Quelques instants plus tard, j’étais assis dans le fauteuil, et je me suis endormi. Le soleil se levait, j’ai dû me reposer juste un peu avant de rentrer à la maison, parce que je craignais de – de craquer quelque part en route et de faire un accident. Et j’étais assis là, ils ont appelé l’ambulance et ils leur ont dit que ce n’était plus nécessaire. Quand j’ai été – j’ai été réveillé par l’un des membres de la famille, eh bien, la fille avait quitté le lit et avait pris un demi-litre de glace. Et la … Elle n’a plus jamais été opérée depuis lors. Elle se tenait sous la véranda et me disait au revoir d’un signe de la main. Elle a dit : «Au revoir, Frère Branham.» Son témoignage a été publié dans le «Herald of Truth» [Le Héraut de la Vérité – N.D.T.] il n’y a pas longtemps. Madame Edith Wright, à – à Milltown, ou à Depaw, dans l’Indiana, c’était elle là – là.
48. Très bien. Bon, vous voyez ce qu’est la foi. C’est quelque chose…Maintenant, écoutez, amis ; je sais que vous tous vous êtes… au moins vous savez ceci : Ce corps est dirigé par cinq sens. Est-ce vrai? Très bien, il a cinq sens, c’est tout ce qui dirige ce corps humain. Maintenant, écoutez très attentivement, et accordez-moi votre attention maintenant. Le sens, cinq sens, est-ce vrai? La vue, le goût, le toucher, l’odorat, l’ouïe, est-ce vrai? Ces cinq sens dirigent tout le corps humain. Est-ce vrai? La vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. Or, aucun d’eux ne manifeste la foi. La foi est le sixième sens, que certaines personnes connaissent, (comme vous aimez appeler cela), comme de la télépathie mentale ou – ou tout ce que vous voulez ou souhaitez appeler cela, beaucoup de noms injurieux, mais pour moi c’est la foi. Et cela est au-dessus de tous les cinq sens du corps humain. Voyez-vous ce que je veux dire? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]… grand…
La foi est le seul sens précis et sûr, et c’est le sixième sens. La foi est plus que la vue. La foi est plus que le toucher. On ne touche pas la foi. On ne goûte pas la foi. La foi n’a pas d’odeur. On ne voit pas la foi. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.
49. Tenez, voyez-vous cette Bible? Maintenant, j’ai besoin de cette Bible. Maintenant, je la regarde. Maintenant, j’en ai besoin. La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles que je ne vois pas. Voyez-vous ce que je veux dire?
Ici dans ma poche, je pense avoir un vieux canif Barlow que je porte depuis des années. Maintenant, je ne vois pas ce canif. Je ne touche pas ce canif, je ne goûte pas ce canif. Je ne le sens pas. Mais je sais que ce canif est là-dedans. Comment le savez-vous? C’est parce que je crois qu’il est là-dedans. Maintenant, si cela ne s’y trouve pas, la foi l’y mettra, s’il n’y est pas.
Cela vous suffoque [L’assemblée rit. – N.D.E.] je le sais. Mais – mais c’est vrai. Si vous croyez, tout est possible. Vous avez peur de recevoir Dieu, mes amis, vous avez peur. Maintenant, il se peut que j’aie laissé ce canif là sur la commode, là où je me suis changé il y a quelque temps. Mais tout aussi sûr que cela, si ce canif est sur cette commode en ce moment même, si je le crois de tout mon cœur, il se retrouvera dans ma poche. Cela vous suffoque. Mais Dieu est capable de le mettre là, si vous le croyez.
50. Tenez. J’aimerais vous montrer quelque chose. Venez ici, Révérend Kidson. Est-ce bien, sœur Marse? [Quelqu’un répond : «Oui.» – N.D.E.] Voudriez-vous vous lever juste un instant? Je veux vous montrer quelque chose, mes amis. Tenez-vous juste ici. Et ne vous en faites pas, ce n’est pas pour vous donner en spectacle, sœur, mais c’est pour la gloire de Dieu.
Maintenant, écoutez, mes amis, je veux vous montrer quelque chose. Je crois qu’il y a une – une femme debout devant moi. Pouvez-vous me dire que je suis dans l’erreur? [Frère Kidson réplique : «Vous ne…» – N.D.E.] Mais… [Vous n’entendez pas de femme? – N.D.E.]
Non, je n’entends aucune femme.
[Vous ne touchez aucune femme? – N.D.E.]
Non, monsieur.
Ne savez-vous pas comment je sais qu’il y en a une là?
[Vous ne goûtez aucune femme? – N.D.E.]
Non.
[Comment pouvez-vous dire qu’il y a là une femme? – N.D.E.]
«C’est parce que le sens de la vue me dit que je vois une femme.»
[«Hum! eh bien, en êtes-vous sûr?» – N.D.E.]
«Je suis certain qu’il y a une femme là debout. Croyez-vous que j’ai raison?»
[Oui. – N.D.E.]
Auditoire, croyez-vous que j’ai raison?
Eh bien, est-ce possible que je sois dans l’erreur? Oui. Chacun de nous peut être aveuglé, selon notre vue. Il se peut que ça soit une vision. Ne l’oubliez pas, les cinq sens du corps ne sont pas si certains. La foi est sûre.
51. Maintenant, je sais néanmoins qu’une femme se tient là, car le sens de la vue me dit qu’une femme se tient là. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, vous pensez que vous pouvez m’en dissuader, me dire qu’il n’y a pas de femme là debout. Essayez-le donc une fois. Essayez de me dire que je ne vois pas une femme qui se tient devant moi. Pensez-vous que vous pouvez m’en dissuader? Non, non, car je sais que ce sens de la vue est certain, et je regarde cette femme, et je sais qu’elle se tient là. Pourtant tout ce que je sais, c’est par le sens de la vue.
Maintenant, j’aimerais que vous observiez. Maintenant, je vais fermer les yeux. Maintenant, j’ai senti la main d’une femme. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
52. Je peux dire que c’est une femme. Elle porte un chapeau de femme. Elle a une chevelure de femme; c’est une main de femme. Je sais que c’est une femme, parce que je la touche. Pensez-vous que vous puissiez m’en dissuader?
[Non. – N.D.E.]. Hein? C’est certain, je le sais, que c’était une femme. Je lui ai tourné le dos, mais je sais pourtant que c’est une femme. Voyez-vous? C’est parce que le sens du toucher me dit qu’il y a une femme là. Voyez-vous ce que je veux dire?
Eh bien, la vue me dit qu’il y en avait une là en ce moment. Je ne la touche pas. Ça c’est le sens de la vue. Je sais qu’elle se tient là, parce que je la regarde.
Je ferme les yeux. Je sais qu’elle se tient là maintenant, parce que…non pas parce que je la vois, parce que je touche sa main. Je sais qu’elle se tient là. Je ne la vois pas, et pourtant je la touche. Le sens du toucher déclare qu’une femme se tient là. Voyez-vous ce que je veux dire?
53. Maintenant, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration, voyez-vous? C’est sûr et certain, tout aussi sûr que ma vue, tout aussi certain que mon toucher… C’est une démonstration des choses qu’on ne voit pas. C’est tout aussi sûr que ça. Voyez-vous ce que je veux dire?
Il y a tellement des gens qui cherchent à s’enthousiasmer et ils disent : «Je… j’ai la foi.» Mais, mes amis, elle n’est pas là. Si elle était là, elle réagirait, voyez-vous? Comprenez-vous ce que je veux dire?
54. Maintenant, écoutez… Merci, Sœur Marse, que Dieu vous bénisse.
Maintenant, écoutez. Eh bien, j’ai vu la femme, mon sens de la vue a déclaré qu’elle était là. Je savais donc qu’elle était là par le sens de la vue. J’ai fermé les yeux. Je n’ai pas utilisé la vue. Je l’ai alors touchée, et le sens du toucher a déclaré qu’elle était là. Le sens du toucher était tout aussi certain que le sens de la vue, parce que c’était une démonstration certaine.
Or, la foi est une démonstration certaine des choses qu’on ne voit pas, qu’on ne touche pas, qu’on ne goûte pas, qu’on ne sent pas et qu’on n’entend pas. Maintenant, regardez ici. Je vais fermer les yeux maintenant. Regardez.
55. C’était du jus d’orange. [Frère Kidson dit : «Vous ne voyez pas d’oranges.» – N.D.E.]
Non, monsieur.
[Vous n’entendez pas d’oranges. – N.D.E.]
Non, Monsieur.
[Vous ne touchez pas d’oranges. – N.D.E.]. Non, monsieur. [Vous ne sentez pas l’odeur des oranges. – N.D.E.]
Non, monsieur.
[Qu’est-ce qui vous fais penser que c’est une orange?]
C’est parce que j’ai goûté cela.
[Etes-vous sûr? – N.D.E.]
Je suis sûr que c’était du jus d’orange. Cela ne pouvait pas être du citron, cela ne pouvait pas être du raisin, cela ne pouvait pas être de la pamplemousse. C’était le jus d’orange, de par le sens du goût. Je – je n’en ai pas senti l’odeur, je n’ai pas entendu cela; je ne l’ai pas touché, je ne l’ai pas vu, et pourtant le sens du goût m’a fait savoir que c’était du jus d’orange. Pensez-vous que j’ai raison? [Vous avez raison. – N.D.E.]
Certainement, c’est du jus d’orange. Eh bien, le sens du goût a confirmé que c’était du jus d’orange. Maintenant, vous pouvez beau me dire que c’était de l’eau, je sais que c’est du jus d’orange. J’ai goûté cela. Voyez-vous? Vous pouvez aussi le goûter. Et si vous avez le sens du goût, vous le reconnaîtrez aussi. Et si vous avez la foi, vous saurez exactement de quoi je parle.
Maintenant, regardez encore ici. Maintenant, regardez ici. Je sens l’odeur du parfum. C’est le parfum.
[Frère Kidson dit : «Vous ne voyez pas cela.» – N.D.E.]
Je ne vois pas de parfum.
[«Vous ne l’entendez pas.» – N.D.E.]
Je n’entends pas le parfum.
[Vous ne goûtez pas cela. – N.D.E.] Je ne goûte pas cela.
[Vous ne touchez pas cela. – N.D.E.] Non. [«Qu’est-ce qui vous fait penser que c’est du parfum?»] Parce que j’en sens l’odeur. [«Amen.» – N.D.E.] C’est vrai. Le sens de l’odorat me fait savoir que le parfum était sous mon nez. [Une rayure se fait entendre – N.D.E.]
…moi? Essayez-le. Très bien, je sais que c’était du parfum. Je n’ai pas vu cela, n’est-ce pas? Ai-je vu cela? J’avais les yeux fermés. Ai-je goûté cela? Non, je n’ai pas mis cela dans la bouche. Ai-je touché cela? Je n’ai point posé mes mains dessus, ni rien d’autre. Comment ai-je alors su cela? Ai-je entendu cela? Non, j’ai senti l’odeur de cela, et c’était une démonstration certaine que c’était du parfum. Je sais cela. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
56. [Musique de fond – N.D.E.] Maintenant… [Frère Kidson dit «…Vous ne touchez pas la musique.» – N.D.E.] Non, monsieur. [Vous ne goûtez pas la musique. – N.D.E.]
Non, monsieur. [«Eh bien, qu’est-ce qui vous fait penser que c’est de la musique?» – N.D.E.]
J’entends cela et je sais que c’est de la musique.
[«En êtes-vous sûr?» – N.D.E.]
J’en suis sûr. La dame est en train de jouer Crois seulement. Pensez-vous que je dis la vérité?
[Vous dites la vérité – N.D.E.]
Essayez de m’en dissuader! Je ne vois pas cela. Je ne goûte pas cela. Je ne touche pas cela. Je ne sens pas l’odeur de cela. Mais j’entends cela. Est-ce que j’étais sûr? Suis-je sûr d’avoir raison? Pourquoi?
57. Maintenant, il y a les cinq sens du corps. Eh bien, ils sont sûrs, n’est-ce pas? Vous savez quand ils fonctionnent, vous le savez. Maintenant, vous regardez un auditoire. Vous savez que vous me regardez.
Eh bien alors, mes amis, la foi… Voilà! La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas; elle est sûre. Vous savez cela. Il n’est pas nécessaire que quelqu’un vous dise quelque chose de plus à ce sujet. Elle est tout autant manifeste que n’importe lequel de ces cinq autres sens du corps. Savez-vous ce que je veux dire? Combien ont maintenant une idée générale de ce que je veux dire? Faites voir les mains. Voyez, voyez?
58. Ce n’est pas ce que vous essayez de vous faire croire vous-même. Maintenant, par exemple, j’essaye de me faire croire que j’entends de la musique. Je – je ne peux pas y arriver. Puis-je me faire croire que je suis en train de sentir l’odeur du parfum? Ça n’y est simplement pas. Je dois absolument sentir cela. Voyez-vous ce que je veux dire?
Et la foi est sûre à ce point. C’est un acte de certitude. Vous savez cela. Oh la la ! j’espère que vous voyez cela, ce que je veux dire.
59. Voyez, c’est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. On ne voit pas cela. On ne goûte pas cela. Quelqu’un dira : «Je ne me sens pas mieux.»
Eh bien, qu’a-t-il? Pourquoi ne vous sentez-vous pas mieux? Si vous avez la foi, qu’il vous soit fait selon votre foi. Est-ce vrai? Voyez?
Peu importe comment vous vous sentez, vous êtes guéri de toute façon. Peu importe ce que vous voyez, vous êtes guéri de toute façon. Voyez-vous ce que je veux dire? C’est un – vous savez cela. Rien ne peut ôter cela de votre cœur. Vous savez cela. C’est un fait réel là même. Oh! la la!
Si seulement vous pouviez voir cela, mes amis, quelque chose arriverait. Si seulement vous pouviez savoir de quoi je parle, quelque chose réagirait à l’instant même. Voyez? C’est sûr. Cela est bel et bien là, tout aussi certain que le sont ces cinq autres sens. Ces derniers relèvent de l’homme naturel. La foi est de Dieu. L’homme naturel peut se tromper, mais pas Dieu. Oh! la la!
60. Bien, cela nous ferait crier. Pensez-y. Et les gens me disent qu’ils ont la foi, mais ils disent qu’ils ne peuvent pas croire à la guérison divine. Mes amis, si vous ne croyez pas à la guérison divine, vous êtes perdus. C’est vrai. Comment allez-vous – si vous ne pouvez pas avoir assez de foi pour que Dieu rapièce ce corps afin de Se glorifier dedans, combien plus de foi vous faudra-t-il avoir pour croire que Dieu prendra ce vieux corps mortel pour le rendre immortel et l’enlever? C’est une véritable guérison divine. Oh! la la! Il y aura de graves déceptions au jour du Jugement, à la résurrection, c’est vrai.
61. La foi… Nous devons en arriver au point où nous serons enlevés comme Enoch. C’est vrai. Il avait reçu la foi, le témoignage, selon lequel cela était agréable à Dieu. Enoch n’avait-il pas… Notre prochain passage des Ecritures dit qu’Enoch avait eu un témoignage par la foi, comme quoi il était agréable à Dieu. Est-ce vrai? Et la Bible dit : «Sans la foi, il est impossible d’être agréable à Dieu.» Ainsi, vous devez avoir le même genre de foi pour croire et être sûr. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
62. Un don de guérison... pas un don de miracle, bien que cela soit accompagné de beaucoup de miracles. Mais c’est un don de guérison, les gens sont guéris. Ils sortent, on prie pour eux, ils reviennent. Oh! la la! ils sont guéris. Attendez que je quitte la ville, mes amis. Longtemps après mon départ, vous entendrez des gens venant dans vos églises dire : «Eh bien, ce cancer, c’est parti.» Cette – cette surdité que j’avais – eh bien, je – j’entends maintenant.» «Mon affliction, eh bien, cela m’a simplement quitté!»
63. C’est juste la simplicité de … Ce n’est pas quelque chose que vous pouvez faire par excitation. Il ne s’agit pas de l’excitation. Je vois les gens venir dans la ligne, ils se mettent simplement à s’agiter. Ils disent : «Ô Dieu, alléluia! Amen ! Gloire à Dieu!» Ne faites pas cela. Vous gênez la foi, là. Vous gênez Dieu. Approchez-vous avec respect et levez simplement la main et croyez. C’est tout. La foi, vous ne vous excitez pas pour cela. La foi est quelque chose qui est déjà dans votre cœur. Venez simplement et croyez. Voyez-vous ce que je veux dire?
Oh! mes amis! oh! la la! je vous aime. Je ne vous parlerais pas si directement si je ne vous aimais pas; mais je vous aime trop pour vous voir manquer ça. Voyez-vous? Vous – vous devez comprendre.
64. Et maintenant écoutez, maintenant venons-en très vite à mon texte afin que nous puissions nous dépêcher. Dieu a rendu témoignage à l’offrande d’Abel. Dieu rend toujours témoignage à ses dons. Est-ce vrai?
Maintenant, je veux que vous remarquiez que lorsque les enfants d’Israël étaient en esclavage pendant 420 ans, là en Egypte, amenés là par Joseph, quand ils étaient descendus… Peu après, il s’est levé un Jo… ou plutôt un Pharaon qui n’avait point connu Joseph. Et alors le peuple est entré dans l’esclavage. Et ils ont eu à construire des maisons en pailles, des briques, du matériel en paille, et en chaume. Et alors, ils se sont mis à réclamer à grands cris un libérateur auprès de Dieu. Est-ce vrai? Et ils ont crié et crié. Et Dieu avait préordonné un libérateur (Est-ce vrai?), Moïse.
65. Et quand Moïse a atteint l’âge de maturité, il est sorti et a vu deux Egyptiens maltraiter un Hébreu, et il a tué les Egyptiens et les a enterrés. Et le lendemain, quand il a rencontré des Hébreux qui se battaient, ils lui ont dit : «Eh bien, veux-tu nous tuer comme tu as tué l’Egyptien?» Maintenant écoutez, soyez tranquille.
Moïse, le libérateur même, le don de Dieu au peuple, ils ne l’ont pas compris. Voyez-vous ce que je veux dire? Ils n’ont pas compris Moïse. Et Moïse se disait qu’assurément ils comprendraient qu’il était le don qui leur était envoyé pour les délivrer. Mais ils ne l’ont pas compris.
Et maintenant, les amis, ne me comprenez pas mal. Puis-je dire ceci avec révérence dans mon cœur, sachant que je vais dans l’Eternité, que je comparaîtrai un jour en Jugement? Des milliers de gens manquent de reconnaître leur don. Voyez-vous? Ils ne peuvent pas comprendre cela. Et ils regardent et disent : «Oh! ce n’est qu’un homme.»
C’est vrai. Etait-ce Dieu ou Moïse qui a délivré le peuple? C’était Dieu en Moïse, voyez? Ils ont réclamé le libérateur, et quand Dieu leur a envoyé le libérateur, ils ont manqué de reconnaître cela, parce que c’était par un homme. Mais ce n’était pas un homme; c’était Dieu dans l’homme. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
66. … qui habite en Moi, est Celui qui fait les œuvres.» Vous voyez? Mais il était le don de Dieu pour le monde. Dieu L’a donné pour vous et moi. N’êtes-vous pas heureux de cela? Ecoutez, c’est Dieu qui L’a donné.
Eh bien alors, les gens qui croient que c’est Dieu qui L’a donné, peuvent être sauvés. Mais ceux qui ne le croient pas, ne peuvent pas être sauvés. Est-ce vrai?
Et il n’y a pas du tout d’autre moyen pour entrer dans le Royaume, excepté par Lui. Est-ce vrai? Eh bien alors, si vous le croyez, vous pouvez être sauvé. Mais si vous ne croyez pas cela, vous ne pouvez pas être sauvé, parce qu’Il est le don de Dieu.
Ecoutez, les Ecritures déclarent : «Nul… Nous savons que Dieu était avec Christ, car nul ne pouvait faire les œuvres qu’Il faisait si Dieu n’était avec lui.» Est-ce vrai? Alors, qu’était-ce? Dieu rendait témoignage que c’était Son Fils unique. Est-ce vrai? Dieu rendait témoignage de cela; Il a dit : «Celui-ci est Mon Fils.» Il a dit : «Si vous ne Me croyez pas, croyez à cause de ces œuvres mêmes.» Est-ce vrai? Il a dit : «L’homme rend témoignage de lui-même», vous savez ce que disent les Ecritures, «mais si – s’il rend témoignage et que ce qu’il dit n’est pas vrai, alors ne Me croyez pas. Mais si Je rends témoignage et que ce que Je dis est vrai, Mon Père en rendra témoignage.»
Et si je vous parle d’un don de guérison divine et que Dieu n’en rende pas témoignage, laissez ça de côté. C’est faux. Mais si Dieu rend témoignage de ça, croyez que c’est le don de Dieu pour vous. C’est vrai. Voyez-vous ce que je veux dire?
67. Je n’aime pas devoir apporter ceci comme ça, mes amis, mais j’espère que vous lisez cela entre les lignes. Remarquez donc. Voyez, c’est le don de Dieu. Après que Jésus – quand Il est parti… Il a été enlevé. Beaucoup de gens sont venus à Jésus sans jamais être guéris. Il a prié pour beaucoup sans qu’il y ait des résultats, parce qu’ils ne croyaient pas. Ils ne croyaient pas qu’Il était le Fils de Dieu. Ils disaient : «Eh bien, Il se fait Lui-même Dieu! Il pardonne les péchés sur la terre : Un blasphème!» Ne voyez-vous pas?
Ils ont dit cela d’Elie. Ils ont dit la même chose de Moïse. «Eh bien, nous aurions aimé mourir là en Egypte plutôt que d’être amenés ici pour mourir de faim dans le désert.»
Voyez, le messager de Dieu a toujours été rejeté. Vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas? J’espère que vous le savez, mes amis. Que Dieu bénisse vos cœurs. Je – je veux que vous compreniez cela, mes amis.
68. Eh bien, ils ont donc eu besoin d’un Sauveur. Dieu a envoyé Christ au monde comme Sauveur.
Ensuite, après que Jésus s’en est allé, beaucoup parmi le peuple bien-aimé de Dieu étaient malades et affligés. Dieu a donné à Pierre le don de guérison divine. Maintenant cela…, les gens étaient guéris parce que Dieu rendait témoignage au don de la guérison divine qui était en Pierre, tout comme Il a rendu témoignage qu ‘Elie était le prophète, que Moïse était le libérateur, que Christ était le Fils. Il en a rendu témoignage au travers de Pierre qu’Il était le guérisseur. L’a-t-Il fait? Et les gens ont eu une idée. Et ils rassemblaient même une foule de gens de sorte que Pierre ne pouvait pas prier pour chacun d’eux, et eux savaient que cet apôtre était le don de Dieu pour eux. Et il ne leur a jamais serré la main, en disant : «Que Dieu vous bénisse.» On faisait sortir les gens du bâtiment, on les étendait dans la rue, afin que même l’ombre de Pierre puisse passer sur eux et qu’ils soient guéris. Est-ce vrai? Pourquoi? C’est parce qu’ils savaient que Pierre était le don de guérison envoyé au peuple par Dieu. Oh! J’espère que vous comprenez cela, mes amis; écoutez. Vous voyez, c’était le don de Dieu. Mais alors, j’aimerais vous poser une question. Est-ce Pierre qui accomplissait la guérison? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
69. Dieu n’est pas dans des objets matériels. Dieu est dans les hommes. Le Saint-Esprit n’est jamais tombé sur des organisations, il est tombé sur des hommes. Et aujourd’hui, tant de gens disent : «Ils ne sont pas de ma foi.» Eh bien, si vous êtes de la foi de Christ, c’est tout pareil. Dieu ne s’occupe pas de… votre organisation ne vaut pas ça pour Lui. Et les gens atteignent un point où c’est tout simplement un grand milieu organisé. Et cela – c’est la raison pour laquelle j’ai préféré tenir cela dans un auditorium.
Si c’est dans une – une église des unitaires, les trinitaires ne voudront pas venir. Si c’est dans une église des trinitaires, les unitaires ne voudront pas venir. Si c’est dans une église méthodiste, les baptistes ne voudront pas venir. Si c’est dans une église baptiste, les méthodistes ne voudront pas venir. Un corps… Quelqu’un a dit : «Maintenant, devrions-nous encore nous faire baptiser pour que nous venions pour qu’on prie pour nous?»
Miséricorde! C’est aussi païen que jamais. C’est vrai. Non ! Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps. C’est vrai. Peu importe qui vous êtes, et où vous êtes. C’est vrai. Ainsi, cela importe peu, l’organisation dont vous êtes membre. Il ne vous faut pas être membre de l’Eglise baptiste, ni de l’Eglise méthodiste, ni de l’Eglise pentecôtiste ni de quoi que ce soit. Il vous faut avoir foi en Dieu. C’est vrai.
Maintenant, et franchement, il ne vous faut pas être membre d’une église. Mais si vous êtes guéri et que vous vous mettiez de nouveau à pécher, cela reviendra encore sur vous, et pire qu’auparavant. Allez donc quelque part à une église et servez Dieu. Dieu ne vous guérit pas pour la gloire du diable. Il vous guérit pour Sa gloire.
70. Maintenant regardez comment les gens faillissent. Eh bien, Moïse a failli... je m’imagine comment il a failli... Il détestait vraiment se présenter là et parler aux gens, parce qu’il se disait que ce serait s’exalter soi-même. Il pensait que les gens diraient : «Eh bien, regardez cet homme.»
Nous en avons eu beaucoup dans le monde aujourd’hui. Nous en avons eu beaucoup qui sont venus et ont dit : «Dieu a fait ceci et Il a fait cela.» Mais Dieu n’a pas rendu témoignage à cela. Mais si Dieu rend témoignage, Il honorera Son don. Est-ce vrai?
71. Oui, bien sûr. Dieu a honoré l’offrande de – d’Abel, Il a honoré le don de Moïse, et Moïse pensait que les gens comprendraient, mais ils n’ont pas compris.
Et aujourd’hui, certainement, on dirait que personne n’a besoin de venir plus près que vous l’êtes maintenant pour savoir de quoi je parle. Très bien, mais cela passe par-dessus la tête de la majorité. Et, mes amis, je vous aime, et je veux vous voir rétablis.
Eh bien, quand ils ont réclamé un libérateur, Dieu a envoyé le libérateur, ils ont manqué de reconnaître cela. Moïse était le don de Dieu en Israël. Croyez-vous cela?
72. Ainsi jusqu’à Elie, le prophète, c’étaient des dons de Dieu. Plusieurs d’entre eux apparurent comme faux prophètes. Juste à l’époque d’Elie, de faux prophètes apparurent, mais Dieu rendit témoignage de la prophétie d’Elie. Si c’est de Dieu, Dieu en rendra témoignage. Et il y eut Elie et il était le don de Dieu en Israël. Le croyez-vous?
Il était même le pasteur d’Achab. Il était le pasteur de Jézabel. Elle ne voulait pas accepter qu’il était son pasteur, mais c’était l’homme qui lui avait dit quel genre de vie elle menait. C’est vrai. Il était son pasteur. Elle le haïssait, et pourtant il était le don auquel Dieu avait pourvu pour elle, là, pour lui révéler ses péchés, mais elle a manqué de le reconnaître. Savez-vous de quoi je parle?
73. Puis Jésus vint. Et Jésus… Ecoutez. Jésus était le don de Dieu à Israël, au monde. Est-ce vrai? Jésus était le don de Dieu. «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique.» Croyez-vous cela? [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
Et ce n’était pas les apôtres. Pensez-vous que Moïse était le – le libérateur parce que c’était Moïse, à cause de Ses facultés, de son intelligence? Eh bien, il disait qu’il était un homme à la bouche embarrassée. C’était Dieu en Moïse, un don au peuple. C’était Dieu en Christ. Il disait : «Ce n’est pas Moi, c’est Mon Père qui habite en Moi.»
C’est la raison pour laquelle Marthe a dit : «Seigneur…» (le sermon d’hier soir), elle a dit : «Je sais que Tu es le Christ, le – le Fils de Dieu qui devait venir dans le monde.» Elle croyait cela. Et là, les gens croyaient en lui.
74. Et regardez Pierre quand il est passé, eh bien, c’était un mortel. Il était né d’une chair de péché comme vous et moi. C’est vrai. Mais le peuple avait besoin d’un guérisseur, alors ils l’ont envoyé – Dieu a envoyé Pierre accomplir cette œuvre particulière. Jean, représentait l’amour. Pierre n’avait pas dans son cœur l’amour que Jean avait. Jean était le canal d’amour de Dieu. Voyez-vous?
Tenez donc, quand Il a pris Pierre, Jacques et Jean – l’espérance, la foi et la charité… Ne voyez-vous pas? Ces gens qui étaient des dons, eux trois : l’espérance, la foi et la charité... L’espérance était dans Jacques, c’était lui qui avait mis l’Eglise en ordre. La foi était en Pierre, et la charité était en Jean. L’espérance, la foi et la charité; c’étaient des représentants de Dieu sur la terre.
Et on plaçait les gens à l’ombre de Pierre et ils étaient guéris.
Oh! Mes amis. Oh! la la! ne pensez pas que je crie après vous mes amis. Vous pouvez penser que je suis excité, mais je ne le suis pas. Je cherche à vous faire comprendre assez précisément mon sujet pour que vous voyiez de quoi je parle.
75. Maintenant, les pentecôtistes prient ces 30 ou 40 dernières années pour un don de guérison.
Nous vivons aux jours où nous avons la meilleure médecine qu’on ait jamais eue. Nous avons les meilleurs hôpitaux qu’on ait jamais eus. Nous avons les meilleurs médecins jamais eus. Nous avons les meilleurs médicaments jamais utilisés. Et nous avons plus des maladies que jamais.
Ce soir, des milliers et des centaines de milliers de précieux saints de Dieu souffrent. Et ils crient sans arrêt, ils ont réclamé pendant des années que Dieu restitue à l’Eglise le don de guérison divine. Et après que Dieu a mis les orbites en mouvement, il y a 37 ans, qu’Il a préordonné cela et l’a envoyé, des centaines de gens passent à côté de cela sans le reconnaître, mes amis.
76. Eh bien, ça s’est accompli. Je n’aime pas dire ceci. Que Dieu soit miséricordieux ! Ecoutez, mes amis, là dans l’autre partie du pays, là à Phœnix, là à Houston, là à San Antonio, là dans l’Arkansas, à travers le pays, des milliers qui passent par-là sont guéris de toutes sortes des maladies et afflictions. Oakland, reconnais ton jour! Un jour, je vous rencontrerai à la barre du Jugement de Dieu, et vous reconnaîtrez que je vous ai témoigné de la vérité du Dieu Tout-Puissant. Vous avez réclamé cela. Quoi? Si vous, vous honorez cela autant que vous y croyez, Dieu rendra témoignage de Ses dons. C’est vrai. Il l’a fait pour Abel. Il l’a fait pour Elie. Il l’a fait pour Moïse. Il l’a fait pour Pierre. Il l’a fait pour Paul. Il l’a fait pour tous, et Il le fera encore aujourd’hui.
Quand la Pentecôte était descendue pour la première fois et que le baptême du Saint-Esprit s’était mis à tomber au début, les gens ont dit : «C’est du fanatisme.» Mais Dieu a rendu témoignage de cela, que c’était ainsi. C’est pourquoi je suis avec vous ce soir, parce que je sais que c’est la main de Dieu. Beaucoup d’entre eux sont entrés dans des ismes avec ça, mais il y a un authentique article de la Pentecôte. Dieu en a rendu témoignage. C’est vrai. Et Il a fait la même chose ce soir d’une autre façon. [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
77. Et j’entrais dans un drugstore ; et quand je suis entré, j’ai remarqué un gars qui me regardait un peu drôlement. Je suis entré au magasin et j’en suis ressorti, et je tenais le bouchon d’une bouteille. Et je n’ai jamais oublié cette histoire. Et j’étais encore en uniforme.
Et, il a mis sa… Cet homme a mis sa main sur mon épaule, et il m’a regardé, il a dit : «Monsieur, a-t-il dit, je vois que vous êtes un agent de service public.» Il a dit : «Je pensais vous poser une question.» Il a dit : «Vous pourriez penser que je suis un peu fou.»
Et j’ai dit : «Qu’y a-t-il, monsieur?»
Il a dit : «J’habite à Paducah, dans le Kentucky.» Il a dit : «Depuis environ deux ans, ma santé se détériore.» Il a dit : «La semaine dernière, j’ai eu un songe particulier.» Il a dit : «J’ai rêvé que je devais venir à Jeffersonville, dans l’Indiana, pour rencontrer quelqu’un du nom de Branham pour qu’il prie pour moi.» Il a dit : «Savez-vous si oui ou non il y a des Branham qui habitent ici?»
Oh! la la! Vous ne savez pas comment je me suis senti. Je me suis dit : «Oh! Dieu rend témoignage.»
Et j’ai dit : «Oui, monsieur.» J’ai dit : «Je sais qu’il y a des Branham qui habitent ici».
Il a dit : «Savez-vous s’il y en a un qui prie pour les malades?»
J’ai dit : «C’est moi.»
Il m’a simplement regardé comme ça, et les larmes ont commencé à couler sur ses joues. Il m’a simplement pris par la main, je l’ai pris par la main, j’ai enlevé mon chapeau, je l’ai déposé par terre, et j’ai posé mon fusil dedans, je me suis agenouillé au bord de la rue et je me suis mis à prier pour lui là même, dans la rue.
Quand je me suis relevé, il y avait des mères debout, retenant leurs petits enfants, et des hommes qui avaient enlevé leurs chapeaux comme ça, attendant la fin de la prière.
Beaucoup de choses avaient été accomplies à Jeffersonville et les gens savaient ce qui se passait. Et quand nous nous sommes levés, ils étaient tous là debout, les têtes inclinées, suivant la prière.
Je me suis relevé. Et le frère, il m’a entouré de ses bras et s’est mis à me tapoter comme cela. Je ne l’ai plus jamais revu depuis ce jour-là. Dieu l’avait guéri.
78. Et j’étais là à Houston, au Texas, aux réunions du révérend Kidson. Et un matin, me tenant là, oh! la la ! comme je méditais, je priais! Il y avait… nous tenions des réunions pendant le jour. Et des centaines de gens venaient dans la ligne et étaient guéris.
Et tout à coup, une dame est entrée en courant. Oh! le bâtiment était à peu près long comme cet auditorium, la salle principale ici. Et la dame est entrée en courant au fond. Elle tenait un petit garçon dans ses bras, et elle s’est assise. Et elle était très agitée. Et la ligne de prière d’à peu près de quatre personnes côte à côte qui avançaient comme cela.
Et elle s’est levée et a dit : «Un instant, un instant !» Et tout le monde s’est arrêté.
Elle a dit : «Je n’aimerais pas arrêter cette ligne de prière, mais je voudrais vous dire...»
Elle était très nerveuse, tremblante, un peu excitée.
79. Elle a dit : «J’habite là à l’ouest de Houston.» Eh bien, Houston est une très grande ville de plusieurs kilomètres de large, et nous étions à l’est. Elle a dit : «Ce matin, ma voisine, la mère de ce petit enfant, a-t-elle dit, son père était un vieux prédicateur méthodiste.» Elle a dit : «Il est mort il y a vingt ans.» Elle a dit : «Avant sa mort, il allait partout, prêchant et disant qu’un jour Dieu restituerait le don à l’Eglise pour les Gentils, avant la fin de la dispensation des Gentils, comme Il l’a fait pour les Juifs.»
Et elle a dit : «Sa fille, voici son enfant, a-t-elle dit, elle est un peu faible.»
Et elle a dit : «Ce matin, après avoir fait le ménage de la maison, elle a dressé son balai à franges et elle s’est couchée en face du pied du lit, et elle se reposait.» Et elle a dit : «Tout à coup, elle a eu un songe. Elle a vu monter un gros nuage sombre.» Et elle a dit : «De ce nuage est sorti… commencer à se retirer.» Et elle a dit : «Son défunt père est apparu et il a dit : ‘Lève-toi, prends l’enfant et va à Houston Gospel Tabernacle. [Tabernacle Evangélique de Houston – N.D.T.] Le don de guérison divine se trouve là.’»
Eh bien, elle s’est dit que ce n’était qu’un songe. Jamais elle n’avait entendu parler du Houston Gospel Tabernacle. Elle est donc restée là quelques instants, puis elle s’est rendormie, et elle a rêvé de cela une deuxième fois. Le gros nuage sombre est revenu. Son défunt père est tout droit sorti du nuage en marchant. Elle a dit : «Bien, c’est étrange, j’ai rêvé de papa pour la deuxième fois.» Elle a dit : «Il a dit : ‘Prends l’enfant.’» Eh bien, elle s’est levée et a bu quelque chose et elle a fait un petit tour de la maison, et elle est rentrée se coucher – s’est encore couchée. Et quand elle est rentrée, elle a rêvé de cela une troisième fois. Le gros nuage sombre est revenu. Et son… [Fin de l’enregistrement – N.D.E.]
80. On a appelé le bureau de renseignements pour vérifier si les choses existaient selon le rêve. Eh bien, je ne crois pas à tous les rêves. Ainsi donc, on a ppelé, mais on répondit : "Vos jeunes gens auront des visions, vos vieillards auront des songes."
Et alors elle - elle a appelé le bureau de renseignements et on lui a dit : "Oui, il existe un Houston Gospel Tabernacle très loin à l'ouest, sur la 67e rue." Et on lui a dit : "A l'est de la 67e rue."
Et la dame, la mère, tellement faible qu'elle ne pouvait pas… Eh bien, l'enfant était - avait une paralysie infantile, ses petites jambes étaient estropiées. Et elle ne pouvait pas amener l'enfant.
Mais elle a fait venir la voisine. Et la voisine a sans arrêt changé de bus et voiture jusqu'à ce qu'elle a pris une voiture qui l'a déposée juste à environ deux pâtés de maison de l'église. Et un agent se tenait là. Et elle lui a demandé : "Savez-vous où se trouve le Houston Gospel Tabernacle?"
Il a répondu : "Oui, madame. Juste là où se trouve cette foule de gens, là dans la rue, a-t-il dit, ils ont un service de guérison."
81. Eh bien, la pauvre dame était si faible et lorsqu'elle est arrivée là, elle... Vous pouvez vous imaginer comment elle s'était sentie ; elle est entrée directement là et elle a vu cela. Et elle m'en a parlé - et j'ai dit : "Amenez-moi l'enfant."
Oh! la la! Vous savez ce qui s'est passé, n'est-ce pas? Certainement. Et je me suis dit que même si les gens… les anges du ciel en savent quelque chose, Dieu rendra témoignage de cela. Ses œuvres seront manifestées quoi qu'en pensent les gens. C'est juste. C'est vrai, mes amis. Que Dieu bénisse vos cœurs.
82. J'étais là à Camden, dans l'Arkansas, avec frère Adams, je me demande si seulement l'un des frères Adam est ici ce soir. Et étant chez lui, il m'a entraîné dehors, des milliers avaient assisté au service. Et un jour, on me faisait sortir du service et j'ai entendu continuellement quelqu'un crier : "Pitié, Pitié! Oh! où êtes-vous Révérend?"
Et je me suis retourné. Frère Adam a dit : "Vous ne pouvez pas vous Arrêter." Vous savez, c'était un homme de couleur.
Et pourtant, même dans l'Arkansas, si vous serrez ne fût-ce que la main à un homme de couleur, on vous jettera en prison. Et voilà donc, ils ont une loi comme cela là-bas. Vous pouvez lui parler, mais ne le touchez pas. Eh bien, ça ce n'est pas juste ! Non. C'est un humain comme vous ou moi, ou n'importe qui d'autre. C'est tout à fait vrai. Je ne sais pas ce que vous en pensez. Mais je veux décharger mon âme à ce sujet. C'est juste. Assurément. Je suis pour Abraham Lincoln et cela est juste. Et regardez...
83. Là se tenait ce pauvre homme de couleur, criant : "Oh! Révérend!"
Frère Adam a dit : "Venez, Frère Branham." Il a dit : "Oh! la la! Regardez cette foule, a-t-il dit, ils font pression à cause de vous." Et on m'a tiré hors de la foule. Ils ne veulent pas être durs, mais ils essayent de me prendre… parce que, mes amis, quelquefois les gens viennent tout autour et ils vous piétinent presque à mort. Et on vous tire tout simplement. J'aime les gens. Que Dieu bénisse leur cœur.
J'aimerais me tenir là même et toucher chacun d'eux et prier pour eux jusqu'à ce que je sois simplement... et que le souffle quitte mon corps.
La dernière soirée, lorsque j'ai quitté le bâtiment, ils ont dû presque m'étendre dans la voiture, même mon cœur et tout avait des secousses et bondissait comme ça.
84. Vous ne réalisez pas la tension qu'il y a à avoir le contrôle sur ces démons. Lorsqu'ils se présentent et qu'ils sont dans la salle et vous en êtes responsable. Et s'il arrive quelque chose dans le bâtiment? Eh bien, on vous mettrait en prison et on interdirait la réunion pour toujours. Est-ce vrai? Voyez, voyez-vous ce que ça représente pour vous? Vous n'en savez pas la responsabilité. Et ici donc… et si fatigué de toute façon après six mois de voyage.
85. Alors je - j'ai dit : "Une minute." Il criait tout simplement, le pauvre. Il tenait son chapeau en main, il avait des cheveux gris. Il disait : "Révérend, Révérend ;" Sa femme a dit : "Tu ne peux pas l'atteindre, chéri. Tu ne peux pas l'atteindre."
Et j'ai dit : "Une minute, juste une minute." Et alors je me suis retourné et je l'ai regardé, j'ai dit : "Qu'y a-t-il, monsieur?"
Et frère Adam et l'autre homme m'ont amené là où il était. Et j'ai dit : "Qu'y a-t-il?"
Il a dit : "Révérend, Révérend."
Voyez, il me tenait comme cela. Il a dit : "Révérend", en posant sa main sur moi.
J'ai dit : "Oui."
86. Il a dit : "Une minute, Révérend." Il a dit : "J'ai parcouru une longue distance pour arriver ici". Il a dit : "La nuit d'hier, a-t-il dit, ma vieille mère qui est morte il y a environ 20 ans presque," et il a dit : "Elle était une chrétienne, et cela fait plus de douze ans que je suis aveugle." Il a dit : "Et hier soir ou plutôt avant hier soir, j'ai rêvé… [Espace vide sur bande - N.D.E.] que Dieu avait envoyé son don de guérison divine et que c'était à Camden, dans l'Arkansas, et que moi je ne vous laisse pas passer." Il a dit : "Révérend, ne me passez pas, je vous en prie." Pensez-vous que je pouvais le passer. Peu importe qui il était. C'est Dieu. Peu importe si on vous met en prison.
87. Alors me tenant là, près de ce pauvre vieil homme, j'ai pris ses mains - ses yeux avaient crevé suite à une explosion, j'ai pris ses mains et pendant que je priais pour lui, sa femme pleurait, les larmes coulaient et tombaient de son manteau comme cela. Elle se tenait là.
Après que j'avais fini de prier il... Ses yeux… Il était très émerveillé, il a regardé autour de lui, il s'est mis à battre les yeux; il a dit : "Et chérie, n'est-ce pas là une automobile qui est parquée juste là?" C'était notre voiture à bord de laquelle on roulait. Des larmes coulaient sur ses yeux - de ses yeux. Il s'est mis à lever les mains et à se réjouir.
Oh! Frère, Dieu rendra témoignage à ses dons. Les cieux et la terre peuvent passer, mais Dieu va agir. Il y aura quelqu'un qui recevra cela. Bien sûr que oui, si vous venez et honorer ce que Dieu a fait pour vous. C'est vrai. Dieu rendra témoignage à Son don. C'est maintenant même le temps de commencer.
88. Ecoutez, il n'y a pas longtemps j'étais dans - j'étais là dans l'Illinois. Et écoutez, ceci me vient à l'esprit alors que nous parlons de l'homme de couleur. Il y avait… J'étais dans un grand amphithéâtre. Beaucoup d'entre vous savent de quel endroit je parle. Et là, en regardant tout autour et en voyant différentes choses, j'ai vu un vieil homme de couleur, avec une petite couronne de cheveux blancs autour de sa tête. Il venait comme cela, en train de contempler. Et après un instant, il s'est approché d'un - un objet. Il s'est arrêté. Il a ôté son chapeau. Il l'a tenu derrière lui. Il a incliné la tête. J'ai vu qu'il offrait une prière.
Et après qu'il eut fini de prier, je me suis approché de lui et j'ai dit : "Monsieur, ai-je dit, je suis un prédicateur." J'ai dit : "Je vous ai vu prier. Qu'y a-t-il de si saisissant au sujet de la boîte?" Il a levé les yeux vers moi, de pauvres vieilles joues rugueuses et ridées, et les larmes coulant sur ses deux joues, il a dit : "Rev… Pasteur? a-t-il dit, regardez simplement là."
Et, je me suis redressé et j'ai regardé là, et c'était comme s'il y avait là une vieille petite robe, j'ai dit : "Je ne vois qu'un costume." Et c'est ce que beaucoup de gens voient, les signes naturels. J'ai dit : "Je ne vois qu'un costume."
Il a dit : "Voyez-vous cette sorte de cercle qui est là dessus, pasteur?"
Et j'ai dit : "Oui, monsieur."
Il a dit : "Palpez juste ici sur mon côté." Il a dit : "Ce sont là les marques d'une ceinture d'esclave. C'est le sang d'Abraham Lincoln."
Il a dit : "C'est le sang d'Abraham Lincoln qui m'a délivré de la ceinture d'esclave. Pourquoi ne devrais-je pas ôter mon chapeau et offrir une prière?"
89. Et ce soir, je pense que si un homme de couleur, à cause de la liberté et de son droit, a pu ôter son chapeau devant le sang d'Abraham Lincoln, que devriez-vous faire, vous chrétiens, devant le Sang de Jésus-Christ? Voyez? Oh! mes amis, je m'attendais à plus de foi à Okland et à Los Angeles aussi.
Je vais vous dire que les gens qui ont reçu cela, il n'y a pas longtemps, c'étaient les Espagnols d'Arizona. Ils ont très vite saisi la pensée. Ils ont reconnu que c'était le don de Dieu pour eux. Ils sont venus directement sur l'estrade. Et j'ai vu ces chères vieilles mères espagnoles s'évanouir et tomber et être retirées de la ligne avant d'arriver jusqu'à moi. Eux ont cru à cela.
L'une d'elle est venue, elle avait même eu un songe qu'elle... elle ne connaissait même pas l'anglais. Et elle a vu cet Etre Surnaturel se tenir là. Vous avez eu cette lettre, ici n'est-ce pas? [Frère Branham pose une question à quelqu'un sur l'estrade. - N.D.E.] Beaucoup… Pourquoi? Dieu rendra témoignage de Son don. Est-ce vrai? Oh! mes amis, vous savez de quoi je parle. Comprenez-vous maintenant de quoi je parle? De la foi, croyez cela. Venez, il ne s'agit pas de l'homme; il s'agit de Dieu dans l'homme. Vous savez ce que je veux dire.
90. [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]... je T'en prie, ô Dieu, que les gens viennent ce soir juste comme ils l'ont fait du temps des apôtres. Qu'ils viennent, réalisant que ceci est le temps apostolique pour eux, c'est maintenant l'heure où ce qu'ils avaient demandé est maintenant là. Le Saint-Esprit sous forme de guérison pour leurs corps. Accorde-le, Dieu bien-aimé. Que beaucoup de gens soient guéris ce soir. Aie pitié, Père.
Et que tous ceux qui viennent ce soir viennent comme l'ont fait ces gens-là lorsqu'ils sont passés près de Ton humble serviteur, Simon Pierre. Et ils se couchaient à son ombre et étaient complètement guéris, parce qu'ils avaient reconnu Dieu dans l'homme. Qu'ils reconnaissent Dieu comme on L'avait reconnu en Moïse. Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Que - ce soir ils reconnaissent Dieu dans Son peuple. Accorde-le, Père bien-aimé. Sois miséricordieux maintenant et bénis chacun d'eux.
Et, ô Dieu bien-aimé, je prie maintenant pour ma petite église chez moi, qui vient de tenir des services ce soir, pleurant, suppliant que je retourne chez moi. Ô Dieu, les gens venant des différents coins du pays se rassemblent... Prends soin de mon petit orphelin, s'il te plaît, Dieu bien-aimé.
Oh! je suis ici, m'efforçant, essayant de mon mieux, Dieu bien-aimé, d'obéir à ce qui m'a été dit de faire. Et que les gens voient, ô Père, quel sacrifice ça représente, et ce que Tu as fait pour eux. Et qu'ils reconnaissent ce jour et que beaucoup soient guéris et rétablis, de leurs maladies, et qu'ils rendent témoignage dans cette ville. Car nous le demandons dans le beau Nom de Jésus-Christ, Ton Fils bien-aimé. Amen.
91. Mes amis, les gens tombent simplement de part et d'autre. Oh! combien je souhaiterais que vous puissiez, que vous... Je sais que vous le faites. Que Dieu bénisse vos cœurs. J'ai simplement confiance pour croire que vous le faites.
Chantons tous maintenant tandis que la chorale joue, et tous : "Crois seulement." Maintenant, que chacun élève très haut la voix. Allons-y maintenant.
Crois seulement, crois seulement;
Tout est possible
(C'est bien, je vais reculer à l'ombre, derrière le microphone…?… Je me mets juste ici.)
Crois seulement,
Tout est possible
… seulement
92. Juste une minute maintenant. Croyez-vous que Dieu est parmi nous ce soir? Croyez-vous cela? Croyez-vous qu'Il vous a envoyé la délivrance à vous qui l'avez réclamée? Croyez-vous qu'Il vous a envoyé la guérison? Croyez-vous cela de tout votre cœur? Alors chantons cela, nos mains posées sur nos cœurs, disant :
Seigneur, je crois, Seigneur je crois;
Tout est possible, Seigneur je crois;
Seigneur, je crois, oh! Seigneur, je crois
Tout est…
93. [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]… l'heure est venue. Nous croyons que Tu viens bientôt. Tu as envoyé Ton don pour glorifier Ton Saint Fils. Il étend Sa sainte main pour guérir au moyen de Son Eglise. Viens en aide aux gens ici ce soir. Pendant que la musique joue doucement et lentement, que les gens croient. Père, si j'ai dit quelque chose de faux, pardonne-moi. Je Te prie de faire comprendre aux gens que ceci est le temps auquel Tu as rendu témoignage. Et qu'ils sachent que Ton serviteur n'est pas venu parce qu'il l'a désiré; c'était Ta volonté que je vienne, Père. Et qu'ils se débarrassent de tout scepticisme, de toute pensée sceptique et qu'ils viennent ce soir pour être guéris. Car nous le demandons au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen.
Maintenant vous êtes-vous débarrassés de tout scepticisme? Avez-vous vraiment tout oublié au sujet de vos pensées sceptiques? Allez-vous venir pour être guéris ce soir? Croyez-vous cela? Dites : "Amen", tous ceux… Que Dieu vous bénisse, mes amis.
94. Maintenant, on va prendre une photo. Et je vais vous dire ce que je fais de ces photos. Je les accroche dans ma chambre. Chaque soir quand je suis à la maison, je prie pour elles. Combien veulent que je prie pour eux quand je regarderai à cette photo? Que Dieu bénisse vos cœurs.
Eh bien, soyez sûr de ne pas rater le service de demain soir, et du soir suivant, l'histoire de ma vie, le soir suivant, je veux que vous écoutiez cela. Et que Dieu vous bénisse maintenant, pendant que nous nous levons avec révérence pour un instant ; on va prendre la photo. Maintenant, le photographe va vous dire quoi faire. [Le photographe dit : "Eh bien, veuillez vous asseoir maintenant, s'il vous plaît." - N.D.E.] Si ceux qui sont au balcon, se levaient, ce serait de loin mieux, ce serait beaucoup mieux… N'est-ce pas vrai, photographe, s'ils se tenaient debout, ce serait une photo de loin plus belle? Surtout au balcon, n'est-ce pas vrai? Ça fait une photo plus jolie… Très bien, vous au balcon, tenez-vous debout. On veut que ceux qui sont aux balcons se lèvent, partout. C'est bien…?… en présence de…?… [La ligne de prière continue, mais Frère Branham s'écarte du micro et tout n'est pas très audible, et le texte qui suit n'est pas complet. - N.D.E.]
95. C'est par la foi qu'Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn, c'est par elle qu'il fut déclaré juste, Dieu rendant témoignage à Ses dons. Père céleste, je Te remercie pour Ton témoignage maintenant, en approuvant ce que Tu as fait par notre bien-aimé Jésus. Que L'Ange qui m'avait parlé dans la pièce cette nuit-là soit présent à côté de Ton serviteur pour confirmer la Parole, L'accompagnant de beaucoup de miracles et de prodiges. Nous réalisons que Satan est…?… Et que beaucoup de gens soient guéris ce soir, et que leur foi soit élevée en ce moment pour croire le témoignage. Et qu'ils soient guéris de toutes sortes de maladies. Que chaque esprit soit soumis à Ton serviteur, pour la gloire de Dieu; nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.
96. Maintenant…?… La volonté de Dieu est de la guérir…?… juste avant le…?… tourmentant…?… sœur. Je t'adjure par Jésus…?… Dieu Tout-Puissant, je Te prie de bénir notre sœur qui est souffrante et puisse-t-elle en ce…?… se rendre compte que c'est…?… gens, que Tu rendes témoignage à Ton don. Toi démon, sors d'elle, au Nom de Jésus-Christ.
Maintenant, comment pouvez-vous…?… Croyez-vous que Dieu vous a dit…?… Croyez-vous de tout votre cœur, sœur? Dieu bien-aimé, il est impossible pour elle de ne pas être guérie, et elle dit qu'elle croit de tout son cœur. Et Tu m'as dit que si j'amenais les gens à me croire, que Tu m'as envoyé dans ce but et que si j'étais sincère dans la prière, aucune maladie ne résisterait à cette prière. Ô Dieu, j'ai rendu témoignage à Ton don dans plus de onze Etats. Et maintenant, je Te prie, Père, d'accorder…?… que notre sœur soit comptée parmi ceux qui ont la foi. Sors d'elle, toi…?…
97. [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]…?… Père céleste, je pense à outre mer, comment Tu as œuvré avec ces aimables saints…?… comment Tu…?… s'humilier pour croire en Dieu… Et je Te prie de bénir notre bien-aimé frère, comme il est près…?… Il est dans le besoin…?… Je Te prie, ô Dieu, aie pitié de lui. Toi démon, sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?… Croyez-vous maintenant de tout cœur?…?…
Viens…?… C'est ça la vérité. Vous voulez être guérie, n'est-ce pas? Croyez-vous que Dieu écoute la prière de frère Branham? Très bien.
Père céleste, comme cette jolie fillette est…?… les petits yeux bleus levés vers le…?… et souriant…?…la foi pour croire qu'elle va recevoir ce qu'elle a demandé. Et cette vibration…?… Sois miséricordieux envers elle, père. Toi, démon, sors d'elle au Nom de Jésus-Christ.
…?…mon cœur…?… Notre père céleste, sois miséricordieux ; une jolie fillette souffre ce soir, et Tu es ici pour rendre…[Fin de l'enregistrement - N.D.E.]
98. Croyez-vous…?… Père céleste, sois miséricordieux envers notre sœur qui souffre…?…Tu sais tout…?… Oh…?… pour comprendre que le Dieu Tout-Puissant a…?… Seigneur, et Il rend témoignage à Ses…?…Toi démon…?… de la quitter…?… au nom de Jésus-Christ. Amen.
Dieu bien-aimé…?… Je crois ce qu'ils…?… Je prie ce soir, Père, pour mon cher frère qui souffre, Satan cherche à lui ôter la vie. Bénis-le, Dieu bien-aimé…?…Toi démon, sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?… là aux balcons, gardez la tête inclinée, je vous prie. Cela l'avait quitté et puis, c'est revenu directement sur lui. Et j'ai compris que quelqu'un avait levé la tête. Ne faites pas cela…?…
Maintenant, juste un instant…?… Inclinez la tête et croyez de tout votre cœur. Père céleste, Tu as promis…?… de guérir les gens. Je sens que le grand Messager, l'Ange de Dieu qui guérit se tient près de la chaire à présent. Par conséquent, avec toute la foi que Tu as…?… parce que mon frère est dans…?… Comment ce démon qui est venu pour l'envoyer prématurément à la tombe… Sors de lui et…?… au Nom de Jésus-Christ…?… Toute vibration s'est arrêtée dans ma main…?… Partez, que Dieu vous bénisse avec…?…
99. [Il est difficile de saisir les paroles - N.D.E.]…?… Si c'était le cas, cela vibrerait…?… [Espace vide sur la bande - N.D.E.] Partez et croyez, mon frère…?… tout maintenant?…?… Je vois…?… maintenant même. Je vous vois…?… La Bible le dit clairement…?… si vous croyez, car tout est possible si vous croyez…?… Dix-neuf cents ans sont passés. Il est monté en haut, et Il a fait des dons aux hommes, et maintenant Dieu rend toujours témoignage à Son don. Par conséquent, par obéissance à ce qui a été donné par commission…?… Je réprimande ce démon ; sors de lui au Nom de Jésus-Christ…?…
Peut-être que j'accorderai une pause à l'auditoire. Levez la tête. S'il y en a parmi vous qui voudraient voir… Combien m'ont entendu expliquer ce qu'étaient les vibrations…?… Faites voir les mains. Combien ici comprennent comment le don est venu, la vibration sur la main? Faites voir les mains. Vous voyez tous ce que c'est…
100. [Il est difficile de saisir les paroles - N.D.E.]…?… juste cet homme…?… Voyez-vous ces…?… Je pensais que j'étais…?… cette vibration ici. Voyez? Mais c'est…?… Maintenant, que tout le monde incline la tête et prie…?… Maintenant, rappelez-vous, ceci peut aller d'une personne à une autre, soyez donc sûr de garder votre tête inclinée…?…
Père céleste, sois miséricordieux, ô Dieu, envers notre bien-aimée sœur, qui a le droit, Père, ce soir d'être guérie; elle est venue réclamer son privilège que Dieu lui a donné, celui d'avoir été guérie par le Sauveur Jésus de Nazareth. Par conséquent, ô Père, donne à Ton serviteur la foi. Que je puisse être capable de monter maintenant même jusqu'à atteindre cette…?… cette foi…?… Et maintenant, au Nom de Jésus-Christ, je te réprimande, Satan, quitte-la…?…
Je vous en prie, ne levez pas la tête, mes amis. Maintenant, cela fait obstacle à cette femme. C'est très… ça doit être un cancer plutôt qu'une maladie de femme, parce que ça c'est beaucoup, beaucoup aggravé. Maintenant, gardez la tête inclinée…?… Croyez-vous de tout votre…?… croyez-vous de tout votre cœur que je suis capable de faire cela par Jésus-Christ? Croyez-vous que tout ce que vous avez à faire c'est simplement de croire?…?… il y a des têtes levées quelque part, mon ami. Gardez la tête inclinée…?…
Bien-aimé Père céleste, sois miséricordieux envers notre… [Fin de l'enregistrement - N.D.E.]
101. Ainsi, si quelque chose arrive sur le…?… comme cela, maintenant, qu'arriverait-il si vous aviez un…?… Vous voyez? Des fois je me pose simplement la question… J'aimerais… chez vous, mais je…?… là-bas une personne qui se meurt veut que je puisse aller par avion, affréter un…?… Une femme appelle depuis…?… le Missouri, a-t-on dit, elle s'est accrochée au téléphone, elle s'est agenouillée au… près du téléphone, pleurant, me suppliant de prier…?… d'être là au téléphone comme cela, de ne pas raccrocher pour que son…?… On voulait affréter un avion pour que j'aille directement dans le Missouri où un petit enfant se mourait…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.]…?…
Oh! la la! C'est pathétique, mais que peut - que peut faire un homme? Cela vous fera perdre la tête, à l'idée que…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.]…?… de telles choses qui arrivent de partout.
Je parlais à ma femme et elle disait qu'il y a des foules de gens et tout, oh! la la! Et mille cinq cents lettres viennent de gens dans l'espace de dix jours à mon…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.]
102. Maintenant, cette fillette est aveugle, il n'y a pas de vibrations dans sa main. Elle est estropiée, et bien sûr que ça ne produit pas de vibrations, c'est juste une maladie causée par des microbes. Eh bien, il me faudra simplement croire…?… [Rayure sur la bande - N.D.E.] Je crois que Dieu la guérira…?… Croyez-vous cela? Maintenant, rappelez-vous, je dis…?… Je ne veux pas…?… vous…?… Dieu va nous parler…?… des soirées, je dois dire à l'église, peut-être donner quelques témoignages sur des choses.
Maintenant, gardez la tête inclinée, je vais demander à Dieu de tout mon cœur de… Rappelez-vous que je ne suis pas un guérisseur, c'est Dieu.
Petite fille, tu aimes Jésus, n'est-ce pas, chérie? Eh bien, je vais demander à Jésus de t'accorder de recouvrer la vue, de te faire marcher…?… Bien-aimé Jésus, le…?… fils, envoie Tes bénédictions divines sur cette fillette, et ces yeux qui sont maintenant aveugles, puissent-ils voir de nouveau, et puisse ce corps qui est maintenant estropié être rétabli. Je Te prie, Père, d'accorder cela au Nom de Ton Fils bien-aimé Jésus-Christ. Peux…?… voir ces lumières…?… Vois-tu cela? Maintenant, regarde là…?… Maintenant lève les yeux vers moi…?… Vois-tu là-haut? Vois-tu cela? Vois-tu cette ombre par ici?
Très bien, vous pouvez relever la tête, auditoire.[Rayure sur la bande - N.D.E.]…?… le cristallin et tout étaient complètement couverts, on dirait de…?… Mais le rétrécissement est suffisamment… Quand quelque chose meurt ça se rétrécit. Est-ce vrai? Les yeux de l'enfant se sont suffisamment rétrécis au point qu'elle peut voir les lumières de la salle et identifier ma main devant son visage…?… Lève les yeux dans cette direction [Rayure sur la bande - N.D.E.]
103. [L'enregistrement n'est pas clair. - N.D.E.]…?… Disons tous : "Gloire au Seigneur."…?… Oh ! la la !…?… Maintenant, nous allons publier son témoignage dans le journal, à savoir qu'elle voit, pour que vous puissiez le voir. Quel est son nom, sœur? Ronna Mae Promise. Voyez cela dans le journal…?…
Votre cancer est…?… Très bien. Combien croient maintenant? Que Dieu bénisse votre cœur…?… Maintenant, voici un sourd-muet. Il y a une vibration…?… dans sa main. Très bien. Inclinez la tête, tout le monde. Maintenant, voici la vibration. Ça, je peux dire par la façon dont cela…?… [Espace vide sur la bande - N.D.E.]… placez votre signe sur cela…?… il faut que ce soit la foi, juste ma propre foi pour croire cela. Maintenant, j'aimerais que vous incliniez la tête, partout.
Combien dans cet auditoire croient que je suis capable de faire cela par Jésus-Christ? Veuillez lever la main. Très bien. Très bien, s'il y a un si grand nombre de gens qui croient, vous verrez la gloire de Dieu. Inclinez la tête, partout.
104. [Quelqu'un dit qu'il n'a jamais dit à Frère Branham ce qu'était son problème. - N.D.E.] Vous n'avez pas besoin de nous le dire, mon ami. Cela est connu. Il n'y a pas de secrets pour Dieu; et Il révèle Ses secrets à Ses serviteurs. Vous avez vu des choses qui ont été accomplies, même des habitudes et des choses. Il y a quelqu'un qui est passé il y a quelques instants, qui avait une habitude. Lorsque j'ai regardé cette personne, je n'ai pas voulu dénoncer cela. Les maladies vénériennes ou des habitudes. Je ne dois pas faire cela. Vous comprenez, à moins que vous vouliez que je le fasse. Si vous me le demandez, si vous voulez savoir…Bien sûr, aussitôt que vous avez fait cela, j'ai senti cette vibration…?… des bouchons dans les oreilles.
Maintenant inclinez la tête, tout le monde; soyez vraiment aimables et calmes; et soyez vraiment respectueux et vous verrez la gloire de Dieu.
105. Père céleste, oh, j'ai dû me hâter de venir dans cette ville et je dois me hâter d'en repartir. Et apparemment, c'est…?… au moment où nous amenons les gens à un point où ils commencent à croire et où des choses s'accomplissent, alors nous devons repartir. Je prie que Tu trouves convenable de nous envoyer encore ici.
Et maintenant, ici se tient - ici se tient devant moi cet homme, et Satan a bouché ses oreilles pour l'amener un jour à marcher devant un véhicule ou quelque chose comme cela, et être tué sur ses pieds, oh, il a essayé de faire du mal à ce pauvre frère, mais nous sommes ici pour le rétablir, Père.
Et maintenant, j'ai parlé aux gens ce soir sur Ta visitation, celle de l'Ange de Dieu. Et puisses-Tu confirmer cela maintenant sous leurs yeux car cette ligne de la foi devra commencer… [Rayure sur la bande - N.D.E.]
106. [La partie suivante était sur une bande enregistrée auparavant avec ce sermon. - N.D.E.] A présent nous allons avoir un solo de trompette par mon brave ami, frère F.F. Bosworth : Frère Bosworth.
[Frère Bosworth joue un solo. - N.D.E.]
Oh! la la! C'était très bien, Frère Bosworth. Nous avons certainement apprécié cela. Et je me demande, pendant que vous êtes en train d'accorder votre instrument-là, si nous pouvons avoir une petite mélodie de "A la Croix". C'est pour ainsi dire mon chant préféré. Je me demande si vous pourriez jouer cela. Très bien, Frère Bosworth.
[Frère Bosworth joue "A la Croix." - N.D.E.]
Oh! la la! c'est comme lors du réveil d'autrefois, d'il y a longtemps. Dites donc, nous nous réjouissons certainement ici par cette petite visite ici avec frère et sœur McAnally ce soir. Je me demande, Frère Hooper si vous avez un mot que vous aimeriez dire au micro maintenant. [Frère Hooper dit quelques paroles. - N.D.E.]
Oui oui. Frère McAnally est presque le meilleur chasseur de sanglier de la région. Il est le meilleur en mon absence. Très bien. J'aimerais entendre un mot de la part de ma femme ici. Très bien, chérie, que vas-tu dire? [Sœur Meda Branham dit : "Certainement, je suis heureuse du privilège que j'ai d'être en Arizona et de rencontrer des amis comme frère et sœur McAnally. - N.D.E.]
Frère Bosworth, que pensez-vous de l'Arizona et de ces gens ici?
[Frère Bosworth dit quelques paroles. - N.D.E.]
[Frère McAnally fait un commentaire sur la chasse au sanglier - N.D.E.]
[Frère Bosworth joue un autre solo. - N.D.E.]
Frère Mac, tout ce que vous avez fait pour nous pendant ce voyage depuis que nous sommes ici… Et j'ai confiance au Dieu Tout-Puissant qu'un jour, nous pourrons être de nouveau ensemble. Que Dieu vous bénisse, frère. J'ai toujours désiré entendre la voix de votre femme. Sœur McAnally, même si je suis à des kilomètres, mais quand vous jouerez ceci, pensez à moi.
[Sœur McAnally dit quelques paroles. - N.D.E.]
Ok, eh bien; merci, sœur McAnally. Ç'a été très très bien. Oh! c'est juste une petite femme timide. En quelque sorte, j'aime pourtant cela. Frère Bosworth, vous en avez un autre là, sur cette vieille trompette-là? Nous…nous aimerions vraiment en entendre un autre pour frère Mac et les autres. Que Dieu vous bénisse, frère. Très bien, Frère Bosworth.
[Frère Bosworth joue un autre solo. - N.D.E.]
Bien, Frère Bosworth. Merci beaucoup. Frère Hooper, vous avez un autre mot à dire? Rien à dire? Chérie, oh! la la! Mac, dites-nous quelque chose très rapidement à ce micro, s'il vous plaît.
[Frère MacAnally dit quelques paroles de plus au sujet de la chasse. - N.D.E.]
OK, c'est bien. Voulez-vous dire un mot, Frère Bosworth? Dites quelque chose d'autre.
[Frère Bosworth parle pendant une minute et demie. - N.D.E.]
E-1 They're getting some new gadgets for recording.
We're hardly know each night where we're going to be at.
That's just I think the--about the third move in the last four nights.
So we got another move, I think, tomorrow night. So that's what makes
it awfully bad, just kind of shifting around from place to place, then
you'll hardly... It's just like a new place every night, and--and makes
it very hard.
I trust that some time when I come back again to Oakland,
why, maybe we can get something like the auditorium here for a week or
two. That's when we can have a real revival and a real meeting. Don't
you believe that? Yes, I believe we could too.
It's just our schedule has been so irregular. Well, I would
say this: we're just a night or two here and then a hundred miles
farther. Just about the time we get the thing, the people settled down
to where they can begin to see the supernatural moving of God, then
it's they break up the meeting, go somewhere else two, three, four
hundred miles farther and start again, and just when the people are
becoming into the revival stage where they can be healed and many
things can be done
E-2 So I think, after I get back now from Canada, well, before we go to
Mexico or anywhere, I think we'll just make the revival places, stay
about a month at a time in a place, or something like that, so we can
just really get the people... When they can stay long enough till some
of the people that's prayed for, will be--begin to come in, and reports
coming in, getting well, getting well like that, and testimonies
going...
Like in my own home town at Jeffersonville, Indiana. Why,
it's nothing there. My, just as soon we come into town, hundreds of
people flock from everywhere, 'cause they have--they are... You're
settled down to one place; you're not on the move like this.
E-3 And then, friends, this is just about six months I've been going
day and night almost.
Today I had a wonderful day alone with God. No one was there
but just the Lord and I. And I get myself more settled down when I get
alone. Now, I've got five more meetings before I have any rest coming
up: five more meetings. And then in the month of May, I'm to take a
complete month, going up into the Rocky Mountains where, my, alone
there when you kinda look like get... I like to be alone with God.
That's the way to--that I find Him so dear to me. And then coming back
then to start into Canada...
E-4 Now, we do not have much time. What time you have to close the
auditorium? Eleven o'clock? Eleven o'clock, I think they said is
closing of the auditorium.
So I wish to speak to you tonight just for--just take a
little bit of time and teach the Word of faith, and that you might know
how to approach God.
There's many of these great and deep subjects that people
claim that they know much about. And when it comes down to the final
showdown, they know very little of it. Now, that's true. And we're
going to find out a few of those things tonight.
And by the way, day after tomorrow night at the other
auditorium, I'm to give a little sketch of my life story; that is, if
you'd like to hear it. Would you like to hear it? Let's see your hands.
That's--that's just fine. Have you announced where the auditorium is?
E-5 [End of record--Ed.]... that you will get a reasonable idea,
because I want you to be healed. That's what I'm here for. I... This is
a great sacrifice for me to be here, friends. I have a home, a family.
And I'm new; I'm just a--a baby in the work. This is just a few months
since the gift of healing came to me.
I don't have--I don't...?... own my home. I just live in two
rooms in a little "L" cottage. My wife packs water for somewhat, almost
a half a city block, packs it back out of the house again. I've been
offered wonderful homes in different cities where they tell me, "I'll
build you a home worth five thousand dollars, just give it to you."
E-6 Friends, it isn't money with me. I--I'm--I wished I never even had
to think about it. And that's the reason that many of you send, you
offer me your gifts; I--I don't take them. Because it's not your--your
finance; I want your confidence. I--I'm here for your healing.
E-7 And as I was saying about the little home, wife and two children, I
would--I'd love to be with them tonight. Just about now, it's eleven
o'clock, that faithful little one's on her knees praying for me now.
She knows it's just about time to start in the service. Lovely old
mother, she's praying for me. The little boy, that his mother died when
he was just two years old, he's praying for me. And somehow when I come
into the pulpit, I just feel that their prayers will be answered. And I
know He's near.
You don't know how I'd like to see them tonight. When I left
them at the plane, coming, a few months ago they were holding onto my
coat and crying. The doctor in my church told me that I wouldn't live
but about a year longer: said at the rate I was going that I would drop
some night in a heart attack in the pulpit. And my little boy is afraid
of that, so he's just crying, saying, "Daddy, don't go."
E-8 But there's something calls out to the sick and suffering. And
friends, I can only help you if you believe me. That's the only way
that I can ever do anything for you.
And I would love to be there tonight. You don't know how I
would like... Many of you know what it is to be away from home, don't
you? But I... It's... I say it's just a little shack. But it doesn't
take a big house to make a home. It's the character on the inside that
makes a home. And I'm thankful for a home.
So God bless you. And you pray for me, and I'll tell you more
about it the day after tomorrow night.
E-9 And now, tonight, friends, if you will, keep the little fellows
just as patient as you can, and you be the same. And give me your
undivided attention just for a few moments. And I'll try to explain to
you, the best of my knowledge, the reason I'm here tonight, and how
that you must approach God to receive your healing.
I've suffered much, and I know what it is to be sick. And
I--I want to help you. And I can if you'll just believe.
I wish to take this opportunity, just now... I have so many
things on my mind and tired and weary. But I want to thank the
minister; I just forget his name, of who let us have this auditorium
tonight, I think, give away his services: Reverend Jack Walker. If he's
in the audience, Brother Walker, may God bless you my brother, you and
your... make you... [End of record--Ed.]
E-10 ... Father, we're so thankful for this, another opportunity
tonight to stand before Your lovely people to speak to them concerning
the day and the hour that we're living, just before the coming of Thy
beloved Son to take away a Church, a called-out people that's Blood
washed, born the second time, and are ready to go meet a holy God: a
way bridged for them by the Blood of the holy Christ of God.
Bless us tonight together as we wait for Thy Divine Presence.
And may the Angel that Thou did send into the room that night to speak
to Thy servant, and the reason of being here tonight, may He stand on
the pulpit by Thy humble servant tonight and confirm every word that's
spoke. And may great signs and wonders follow.
Bless the minister, Father, Brother Walker, who gave us the
auditorium tonight. He and his, may they be blessed. Make him
successful in Thy ministry, a fruitful branch. And may he have many
trophies to lay at Your feet at that great day. Bless the minister that
sponsored this program here in this city, Brother Moss, all the other
ministers, the coworkers. O God, may their churches be flames of fire,
testimonies for the glory of God in this last evil days that we're
living in the shadows just before the coming of the just One.
Oh, speak tonight, Father, in a great way to the people. And
may there be faith, and may the Holy Spirit tip His wings across this
auditorium tonight. And may virtue come in such a way, that many, many
great miraculous healings may be done, that His fame may be spread
forth through all the regions up and down this western coast of this
hemisphere. For we ask it in His Name and for His glory. Amen.
E-11 Now, friends, as I say, we're shifted about so many times. I guess
many of you here never even heard how the gift of Divine healing come.
But only thing I want you to do tonight is to believe me. If you will
believe, you shall see God's glory; I'm sure. The success has not been
as I hoped it would be in the last few nights, though cripples,
afflictions, deaf, dumb, lame... But it's very slow, it seems to be,
since we've hit the west coast.
Brother Charles Fuller was speaking to me when we was down at
Long Beach, and he told me, said, "Brother Branham," said, "the
reason," said, "this west coast here has everything under the name of
Divine healing." Said, "They have Blue Flame worshippers, Father Divine
worship and all, everything under the name of Divine healing." Said,
"It's such a stumbling block." Well, that... That may be so, friends; I
do not know; but that does not counteract God's power to heal.
E-12 [End of record--Ed.]... of worship and the Healer Divine. And now,
no man can do a miracle in His Name that can speak light of Him. That's
what He said. So if anybody is getting people healed, I'm thankful for
it. But I truly believe with all my heart as we go into the subject
tonight that you, maybe, if God will just help us, that you'll get the
vision and see what really the day and time that we're living. And then
you'll see and believe.
E-13 May God help us as I read some of the Scriptures now. Over in the
book of Hebrews the 11th chapter, we will begin and read the first
three verses. Listen very closely, because my words is just the words
of a mortal. They will fail. But God's Word will never fail. It's
always true.
Now, faith is the substance of things hoped for, the evidence of things
not seen.
For by it the elders obtained a good report.
Through faith we understand that the worlds were framed by the word of
God, so that things which are seen were... made of things which do
appear.
By faith Abel offered unto God a more excellent sacrifice than Cain, by
which he obtained a witness... he was righteous, God testifying of his
gifts; and by it... being dead yet spake.
E-14 PA system's a little bit loud... [Blank.spot.on.tape--Ed.] All
right. Now, I think that may be just a little--little better: kind of
causes a rebound from... All right.
Now, I wish to take my text out of the 3rd chap--or the 3rd
verse, rather, and the last--one of the last phases, "God testifying of
His gifts." And now, for my subject, it's found in the 1st chapter, the
1st verse, rather (Pardon me.), the 1st verse, "Faith Is The Substance
Of Things Hoped For, The Evidence Of Things Not Seen."
E-15 This day that we're living in, it's such a day of unsettled peace
and unsettled rest everywhere. People are running to-and-fro seeking
whatever they may seek. Most anybody can get a following. No matter
what they teach or think, somebody will listen to them. And it's a day
that the prophets spoke of.
People, when they're hungry, they'll eat from anywhere. If
children and people are starving, they'll eat from a garbage can, that
once eat from a nice table. But if they are hungry, they'll eat
somewhere. So I think real true ministers of the Gospel ought to be up
and going, ought to be giving the people the right things: meat in due
season.
E-16 Now, this subject of mine of... As I have testified to you that I
am not a preacher, I just merely have the gift of Divine healing, which
I humbly say, it comes from God. I had nothing to do with it coming. I
was--it was foreordained of God years and years ago. I had nothing to
do... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... earth that brought it. [End of
record--Ed.]
E-17 This is the keynote to the Scriptures. Faith, he that cometh to
God must believe that He is, and a Rewarder of those who diligently
seek Him. Without faith, it is impossible to please God.
This world was made by faith. Things were shaped in existence
by faith. God just seen that dew drop hanging out there in the air,
that whatever you want to call it, and He just spake, and said, "Let
there be light." And there was light. And then He brought the land
forth and dried it off and so forth. That was all done by an act of
faith with God. The whole world is made by faith.
You're here tonight by faith. Many of you told your employer
you'd be back tomorrow to work. How do you know you will? You told your
wife, "I'll be home after service." How do you know you will? You told
the person maybe to come, a cab, to pick you up at eleven o'clock. How
do you know you'll be here? You may be in eternity before eleven
o'clock tonight. See? But it's all by faith. Everything's by faith.
E-18 Now, so many people speak of this subject, faith, and know so
little of it. Now, listen friends; I--I love you and I want you to see
this. There's so many people speaks of faith doesn't know one principle
of faith. Now, you're together, and I--we may never all meet again this
side of eternity. But I... If I had a place where we could be together,
and I could gradually bring the thing up to where you'd be able to see
it plainer than what you will now, because many of you are going to
think... And you're--probably many will get the wrong impression of me
tonight. When I'm trying my best to get this to you, and you'll think
it's self-exaltation. But it is not, my lovely friends. It's for your
benefit if I can just get you to see what--what God has done for you.
E-19 Now, some--many people come through the line, and they say, "Oh, I
have faith to be healed."
And, friends, when they pass by, I know they haven't enough
faith to cure a toothache. That's right. And some of them coming
through with cancer, and say, "I have faith to be healed," they do not
have faith.
My Scripture lesson tonight said, "Faith is the substance of
things hoped for, the evidence of things not seen." See, it's a
substance. It's something direct, something that you really have, not
something that you imagine, something that you think you have; but it's
some direct positive act that you have. You see what I mean?
E-20 Now, here not long ago... I'll give you a little story of someone
who came so you can see what faith is. Faith is a gift of itself. You
may have a portion of it, but there is a gift of faith.
Just like, some of you people anoint the sick and pray for
them and you have a result. That isn't a gift of healing; that is a
portion of faith. But that isn't a direct gift of healing; for there's
only one direct gift of healing; there's only one direct gift of faith;
there's only one direct gift of--of miracles and so forth. There was in
the Scripture, the apostles had it. And many--they done mighty works
of... Philip and all of them... But that was one gift of healing.
E-21 Like when we leave the city, as many people say... I've noticed in
some places after I left some of them, maybe fifteen or twenty say,
"The Lord gave me the gift of healing." Well, God bless their hearts.
Some of them say, "Brother Branham, will you lay your hands
on me that I can get the gift of healing."
I wished I could. I'd have every one of you pass right down
this line here tonight. And I'd say there wouldn't be a sick person
left in Oakland in a few weeks from now. That's right. But it's not
mine to give. It's... [End of record--Ed.]
E-22 "Faith is the substance of the things hoped for, the evidence of
things not seen." Let's take that part of the Scripture, "the substance
of things hoped for."
There's three things: hope, charity, and faith. Is that
right? Now, hope is one element; faith is another element; and charity
is another element. Charity is love.
I've seen many people come by, lovely people, real
Christians, but didn't have enough faith to be healed, and some sinner
pass by and has the faith to be healed. See?
It's another element altogether. It's not how well you serve
God; it's a--an element that you possess yourself. Now, I want you to
see this because it's for your benefit.
E-23 Here a few weeks ago, a few months ago it was, I was home for just
a few nights. And my, there's about three hundred people had gathered
in the home and around the yards that day, and about two o'clock in the
morning the wife got me into bed. And while I was just laying across
the bed, my, my legs were cramping and hurting...
I was laying down there, and I heard a machine drive up out
front. And I said, "Oh, my, there's someone coming."
And she said, "Well, listen, I'll go to the door."
And while she was on her road to the door I went to sleep.
And I could hear someone saying, "Well, the baby has been
sick for a long time." And a little baby was crying till it didn't even
sound like it was human, something like, you that's reading in my
little book, "The Heavenly Vision"... How many has read it in--in the
audience, let's see, "Heavenly Vision"? You see, something on that
order.
The little bitty fellow, it was about eight, ten weeks old.
And it was--it had never stopped crying. And the mother said, "Well,
I've--I... We've traveled all day and all night to get here." Said, "We
seen where he--Brother Branham was to be home and we brought the baby."
E-24 My, the poor little thing, I couldn't sleep. And I went out there
and prayed for the little baby. And I set down, and there in the chair
just a moment, was talking to the mother. They'd come from way up in
northern Ohio. And while we were setting there, friends, the little
fellow ceased to cry. It'd been crying day and night now. Oh, that's
worth more to me than all the money in the world.
And there, I looked over, and the mother started crying,
great big tears dripping off on the little blanket, the old dad setting
there with a pair of overalls on, probably spent a good portion of his
living to come, come over and put his arm around me, said, "I love you,
Brother Branham."
My, some of the best hearts that ever beat is under an old
blue shirt. That's right.
E-25 It ain't the way you dress; it's what's on the inside of you.
(That's right.) And there, I knew he meant that. That wasn't hypocrisy.
He meant that from his heart; he loved me. And I looked at the little
baby, and the mother, when I went in the other room she was...
[Blank.spot.on.tape--Ed.] it just smiling at us. And, friends, that's
worth every bit of it, isn't it? That's right. That's worth all of it.
And then they said... My wife said, "Well, I'll fix you coffee or
something for you if you wish."
And they said, "Well, we'll just wait a little while.
And my wife said, "Well, now..."
"I'll tell you what," I said, "I'll lay down on this chair,
and you let the mother and them go to bed and sleep for a little bit."
E-26 And so we put them in a bed, and I was setting in a chair to try
to rest till daylight. And just then another car drove up and a young
man come up to the door. And he said, "Brother Branham?"
I said, "Yes." I was trying to get awake.
He said, "I know you're very sleepy."
I said, "Yes."
Said, he told me, said, "I'm from Morengo, Indiana." He said,
"My little sister is dying with appendicitis; she's to be operated on
this morning." Said, "Will you come to her?"
Well, that... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... and in my old
jalopy Ford, that's waiting for me over at Houston, all the side of
it's beat out with my knees, where I'd hit my knees like that trying to
stay awake while I would go and pray for the sick people. I've left one
meeting, going to the other one. And get out into the field with my
hand out the door of the car, saying, "God bless you, God bless you,"
sound asleep.
I never will forget one day coming from Houston, I... There
was... I'd hear a car blowing, and I knew I was on the wrong side of
the road, only I couldn't get awake. You see?
I'd set there fifteen days and nights praying for the sick
people and seeing wonderful things. But, oh, my, friends, if my life
will be short, maybe somebody else can stay because of my going.
E-27 And this man said, young fellow, he said, "My little sister..." He
told me he belonged to a church. I will not call the name here, because
it's not expedient; and I don't criticize anybody's religion. And
anyhow, this church is my arch enemy. They claim that there's no such a
thing as Divine healing and so forth.
And I was at my church, the Milltown Baptist church, where I
went to hold a revival. Many of you seen in the little book called,
"Jesus Christ The Same Yesterday And Forever."
A little girl in there that weighed forty-seven pounds,
twenty-seven years old, weighed forty-seven pounds, by the name of
Georgie Carter, with tubercular; and she belonged to this same church.
And she said the people through the neighborhood said, "Let..." She'd
been on her back now for nine years and six months. And said, "Let her
get well and we'll believe it."
But, my friends, she's my piano player in the Milltown
Baptist church tonight. But do they believe? No, even one raised from
the dead, they don't believe in it.
E-28 And by the way, a man that laid in the morgue, pronounced dead by
three doctors when I went in to where he's at, he's driving a
Pennsylvania locomotive tonight, and still they don't believe. That's
true. That is true. They won't believe.
The hour is here where people's eyes are so blinded with the
cares of the world and the other cares, till they don't even see God.
He's right in their midst many times and they pass by like it was in
the days of Christ, and they missed seeing Him.
E-29 And now, this lady--or this man, rather, he said, "Will you go?"
I said, "Yes, sir."
He said, "Maybe I'd better take you."
I said, "No, I'll try to stay awake."
And the wife started crying; she said, "Now, honey, you'll
fall asleep somewhere."
I said, "No, I'll be all right, sweetheart." And I got in my
old car and started trailing down. I said, "I'll watch him." Going down
I was pinching my--and biting my fingers, and I'd take spit and wipe my
eyes and everything else, trying to keep awake. I know that sounds very
unsanitary, but I--I was doing anything to try to get to the child.
E-30 And we drove about eight miles through an old road way up into the
rural district, and there lay a young girl something about
eight--seventeen or eighteen years old. And she was lying there in a
terrible condition. When I walked into the room, she was real nervous,
and she said, "Oh, and you're Brother Branham?" She said...
I said, "Do you believe sister?"
She said, "Oh, yes, I believe." Said, "I--I--I believe."
Said, "I don't care what my church says." She belonged to the same
church that this Georgie Carter did. Said, "I don't care what my church
says. I believe. I believe."
And so they, the man, the father come, met me and shook my
hand. And he--he took me around to the bed. He said, "Sir," said,
"she's going to be operated on this morning." And said, "She's... We're
afraid she can't make the trip." Said, "We got to take her all the way
to New Albany, Indiana."
That was about nearly forty miles to the first hospital. And
she had about eight miles through rural, just, oh, my, just a fence
row, coming down like that where wagons would travel almost to come
down. And well, I--I assisted and helped in operations and...
E-31 [Blank.spot.on.tape--Ed.] ... and it was... I knew that that child
could not go to the hospital. She would die before she got there. There
may be medical doctors setting present now, usually there is doctors
come to listen in on the service. And her side had swollen up and was
turning red, the appendix were ruptured and were ready to burst at any
time.
Now, many time I've went in with Doctor Adair, the doctor of
our city, one that comes to my church. And we had the operation and cut
the--the incision open. And when they'd burst on the table, and--and
sometimes take the bowels out and spray them off and wash them out, and
keep them from peritonitis from setting in, and cut it a kind of
V-shape and put a tube in there to drain. Sometimes they'd get well.
But that child couldn't... That appendix would've bursted and
she'd a had thirty miles or more yet to drive. And she would've died
before she got there.
E-32 Now, friends, the girl was looking to me, and she said, "Oh,
Brother Branham, you think I'll live?"
And I said, "I believe you will." But she said... I said,
"Now, do you believe?"
She said, "Oh, yes, yes, I believe. Sure, I don't care what
my church says. I--I believe. Georgie Carter got well." Said, "I'll get
well too. I'm scared of the operation," (See?), just like that.
Some of the neighbors had gathered in.
E-33 Now, look, here's where I want to get to you people now on this.
The girl thought she believed, just like many of you come down this
line tonight. You think you believe, but she did not believe.
Now, many of you have female trouble, and maybe it's just
something another that--maybe a ulcered stomach. And you--you have to
take your... You can have a little time.
But that girl, that had to be a emergency. Her life was at
stake. Something had to be done. So I said, "Sister, I do not mean to
hurt your feelings, but you--you do not believe."
Now, it's just like the brother says here, when you have your
head up, no matter where you are in the building... I don't say this,
friends, you remember, I'm telling you this just for your good. It's
not I, but God. I know when you got your head up; I feel it. Whether
you're behind me, where you are... Like one last night setting with her
head up behind me. I knew it all the time. And so, that's between God
and the individual. You see? I can't help that. They--they hinder the
people. Many times things are hindered.
E-34 So then this girl, she said, "Oh, I believe, I believe, Brother
Branham." Well, she thought she believed.
Now, look, she had hope. But faith is the substance of things
hoped for, the evidence of things not seen. You see what I mean?
Now, I said, "Sister, an ordinary case," I said, "I could
have a little time and let you have time, maybe to take about that much
faith and go out with it. But you've got to have immediate attention,
right now. For I'm going to be honest with you. You'll not live to see
the hospital."
Now, the parents didn't appreciate that very much at that
time. But I'd rather be honest with you, let you know the truth...
Wouldn't you rather I'd be honest with you? And remember, friends, I'm
not wrestling with flesh and blood; it's spiritual power. I must be
honest before Almighty God. See? And because I realize the danger of my
own life, and not only mine, but yours. And so she said she would--she
believed, but she did not.
"Well," I said, "now, look." Now, I want you to notice this,
and I want you to be real careful now and take up every word so you can
divide it, of a little something that God permitted there. And I'll see
if you've got faith. I said, "Sister, you do not have faith."
She said, "Oh, Reverend Branham, I have faith to believe
anything."
E-35 [End of record--Ed.]... If you have faith, I want to ask you and
show you, rather, that--that you do not have faith. Now, listen and
catch every word of it. Hanging in the room from a chandelier was a
string, and on the end of that string was a little bracelet, and it
had... It was a white bracelet with little red sets in it where a child
probably been playing with it, you know, swinging it in the room. Maybe
some of you have your own babies to be pacified that way, swinging
something around like that to play with it, to amuse them.
E-36 And I seen that little bracelet hanging down. It was... I said to
the young lady; I said, "How far are you away from that bracelet?"
She said, "Prob--approximately fifteen feet."
I said, "Now, all you other adults here, all you people, just
turn your backs right around to me." I said, "Now, there's nothing
going to be done to hurt anyone. I just got to speak to this girl,
because she's got to catch the idea now."
And that's the reason I'm getting into these things with you
tonight. We got two more nights, and something's got to be done. You
see? Now, I don't want you to go away and say anything wrong about
this, because you might have to answer at judgment for it. And so I
said, "Something has to be done immediately." And I said, "Now, you
parents, you just turn your back."
And some of the neighbors was setting up with her, and they
all turned their backs to me and turned their chairs around.
I said to the young lady; I said, "Now, you tell me you've
got faith to believe for all things."
She said, "I have, sir."
"How long has it been since you've eaten?"
And she said, "About three days," said, "I can't even keep
water on my stomach." And you know what appendix is and fever on her
also.
E-37 And I said, "Now, if you believe with all your heart, and you
prove to me now that you've got faith... Now, you look right directly
at that bracelet," and it hanging there in mid-air, "and you make that
bracelet swing around and around in the room. Then you make it swing
back and forth in the room, and then stop it, and I'll believe you have
faith."
She said, "Oh, Brother Branham," said, "my, why ask me
something like that?"
I said, "I wanted to see if you had faith." I said, "Jesus
said, 'All things are possible if you believe.'"
E-38 Now, that's just pure faith, friends. Magicians use it many times
to play pranks and so forth, burst glasses and things. It will, if you
believe. But I'm trying to base your--the thought on faith so you know
what I'm talking of. And I want you to set still now so you'll catch
this. Wake yourself up, so when I get through with it you'll know what
it's all about.
E-39 Then she said, "Why, Brother Branham, no one could do that."
I said, "Oh, yes, anyone can that believes."
And she said, "Well, I don't believe that anyone could do
that."
I said, "I thought you said you believed for all things." See
how she was caught right there. I said, "You said you believed all
things. I want you to prove it."
And she said, "I don't believe there's anyone can do that;
that's material, Brother Branham." She said, "Could you do it?"
I said, "Yes, ma'am."
And she said, "Well, could I see it done?"
I said, "If you desire."
And she said, "I desire."
E-40 Then of course, putting my mind on it, and having her to watch
that and not me. As many times in a meeting, I'll take any cross-eyed
child you've got in this meeting, you bring it up here without even
praying for it, and just let me look at it straight in the eyes like
that, I'll make its eyes come straight. But when I turn my head... [End
of record--Ed.]
E-41 And I used it for an illustration. She went back, she thought she
wasn't going to get back through the line, taking two or three days
before she got back. But when she come that time, she said, "Brother
Branham, you told me to get back in line."
There's hundreds of people piling everywhere, standing in
the... way early in the morning, coming in soaking wet from out there,
coming in to be prayed for. And then when God healed her eyes there,
both eyes come straight and she was normal, went out rejoicing. You
see? That's the difference from your faith and the faith of God...
E-42 Now, then of course, fastening my eyes to that bracelet, which you
can yourself, if you won't doubt it in your heart, and it started
moving around. And then it moved back and forth, around, crossways, and
stopped it.
She said, "Brother Branham," she said, "that's spiritualism."
I said, "I--I thought maybe you'd say something like that."
My, isn't it strange how people that profess they know God,
and know so little about Him. Isn't that right?
She said, "You know, we belong to the Church of Christ."
Excuse me, I didn't mean to say that. Excuse me, Church of Christ
people, I didn't mean to say that. See? Anyhow, said, "We speak where
the Bible speaks and silent where the Bible's silent."
You know, you have that slogan. I've questioned that a few
times.
I said, "All right."
She said, "There's no such a thing can be showed in the Bible
of anything like that."
I said, "I--I thought that's what you would say." I said,
"Sure, that's in the Bible."
And she said, "Well, I never... I don't believe it."
"All right," I said, "You don't believe it?"
She said, "No, you show me where that's at in the Bible."
E-43 I said, "One day Jesus passed by a tree, He wanted to find some
fruit on it. There was no fruit on it. He put a curse on it, and the
tree begin to wilt. And when they passed by at noon the tree was
wilting down. Peter remarked and said how quick the tree was wilted. He
said, 'If you would say in your heart for this tree to be plucked up
and cast into the sea and wouldn't doubt it, it would obey you.'" Did
He say it? And I said, "He said, 'If you'd say to this mountain, 'Be
moved,' and doubt it not in your heart, by and by it would come to
pass.'" Did He say it? Sure He did. I said, "I know your unbelieving
pastor, trying to justify his unbelief, said that was a mountain of
sin. I--I went to school myself. He was kneeling by Mount Olives. It
was Mount of Olives. If you'd say in your heart for it to be moved and
don't doubt it..." I said, "How much more faith?"
And He said, "If you had faith, size of a mustard seed..."
I said, "Now, if the faith the size of a mustard seed would
move that mountain, how much more smaller faith would you have to have
just to move that bracelet?"
E-44 You see what I mean? Now, I've often wondered why He said mustard
seed. I might drop this thought. Mustard seed is the smallest among all
seed. That's right. But there isn't nothing will mix with mustard seed.
It's all mustard. You can't mix it with kale or nothing and make it
grow. It's all mustard. If you've got that much faith, all faith, not
mixed up with something else, ask what you will; it'll be given to you.
But it can't be wavering; its got to be genuine mustard, if you know
what I'm speaking of. All right, and I said, "How much more would it
take?"
"Why," she said, "Looky here, I want to ask you something."
She said, "Did God move that or did the devil move that?"
I said, "Neither one moved that."
She said, "Then how in the world did it move?"
I said, "I moved it."
She said, "Well, you're fifteen feet or better away from it."
I said, "No, its my faith that moved it." See? If you ask
anything and don't doubt it... See what I mean?
E-45 [Scratch in record--Ed.]... faith, but you're a free moral agent;
you're a human being. You can resent it in your heart, and I couldn't
touch you if you had to. Jesus could not do many mighty works because
of why? [Congregation says, "Unbelief."--Ed.] Correctly. See how little
people know about--how little people know about faith? It's amazing,
friends, to find out how little people know about it. They talk so much
of it and yet know so little of it.
E-91 Friends, they just fall from side to side. Oh, how I wish you
could, you--I know you do. God bless your hearts. I just got confidence
to believe you have.
Let's all sing now, while the band plays and all, "Only
Believe." Everyone now, lift your voices highly. Come on now.
Only believe, Only believe
All things are possible,
(That's all right, I'll back under the shadow in behind the
microphone...?... I just get right on through here.)
Only believe
All things are possible
Only...
E-92 Just a moment now. You believe God is in our midst tonight? Do you
believe it? You believe that He's sent to you people who's cried for
deliverance? You believe He sent healing to you? You believe it with
all your hearts? Then let's sing this with our hands over our hearts
saying...
Lord, I believe, Lord, I believe
All things are possible, Lord I believe,
Lord I believe, Oh, Lord, I believe,
All things are...
E-93 [End of record--Ed.]... hour has come. We believe that You're soon
coming. Thou has sent Thy gift to glorify Thy holy Child. He's
stretching forth His holy hand to heal by the agency of His church.
Help the people tonight here. While the music is playing sweetly and
softly, may the people believe. Father, if I've said anything wrong,
forgive me. I pray that You'll let the people understand that this is
the time that You have testified. And may they know that Thy servant
didn't come because of my desire; it was Your will that I should come,
Father. And may they lay every skeptic mind aside, every skeptical
thought and come tonight and be healed. For we ask this in Jesus' Name
and for His glory. Amen.
Now, you laid aside every skeptical thought? Have you done
forgot all about your skeptic idea? You're going to come be healed
tonight? Do you believe it? Say "Amen" all that... God bless you,
friends.
E-94 Now, they're going to take a picture. And I'll tell you what
happens to these pictures. I hang them in my room. Every night when I'm
home, I pray for them. How many wants me to pray for you when I look at
this picture? God bless your heart.
Now, be sure not to miss tomorrow night's service, and the
next night, my life's story, the next night I want you to hear. And God
bless you now while we stand reverently for a moment; they're going to
take the picture. Now, the photographer will tell you what to do.
[Photographer speaks: "If you folks would be seated now, please.--Ed.]
If that balcony would stand, it'd be so much better, make a much
better... Isn't that right, photographer, if they'd stand it'd make a
much nicer picture? Especially in the balcony, is that right? Shows a
better picture... All right, the balcony stand. They want the balconies
to stand, all around. That's fine....?... in the presence of the...?...
[The prayer line follows, but Brother Branham steps away from the
microphone and it is not all fully understandable, and the text which
follows is not complete--Ed.]
E-95 By faith Abel offered unto God a more excellent sacrifice than
Cain; by this he obtained witness that he was righteous, God testifying
of his gift. Heavenly Father, I thank Thee for Thy testimony now,
testifying of that which Thou has done through our lovely Jesus. May
the Angel that spoke to me that night in the room be near Thy servant's
side at this time to confirm the Word with many signs and wonders
following. We realize that Satan is...?... And may many people be
healed tonight, and may their faith be lifted up at this time to
believe the testimony. And may they be healed of all manner of
diseases. Make every spirit subject to Thy servant; for the glory of
God we ask it in the Name of Jesus Christ. Amen.
E-96 Now...?... God's will is to make her well...?... just before
the...?... tormenting...?... sister. I adjure thee by Jesus...?...
Almighty God, I pray that You'll bless our sister who is
suffering and may she at this...?... realize that it's...?... people
Thou will testify of Thy gift. Come out of her, thou demon, in the Name
Jesus Christ.
Now, how can you...?... You believe God's told you...?... You
believe with all your heart, sister? Dear God, it's impossible for her
not to be healed, and she says she believes with all of her heart. And
You told me if I'd get the people to believe me, that You have sent for
this purpose and would be sincere in prayer, that no disease could
stand before the prayer. O God, more than eleven states have I
testified of Thy gift. And now, I pray, Father, that You'd grant...?...
our sister may she be numbered with those that have faith. Come out of
her, thou...?...
E-97 [End of record--Ed.]...?... Heavenly Father, I'm thinking of
overseas how You worked with these lovely saints...?... How that
You...?... humble himself to believe God... And I pray that You would
bless, our dear brother, as he near...?... He's in need...?... Please,
O God, have mercy upon him. Come out of him, thou demon, in the Name
Jesus Christ...?... Do you believe now with all heart?...?...
Come...?... That's that the truth. You want be well, don't
you? You believe that God hears Brother Branham's prayer? All right.
Heavenly Father, as this lovely little girl is...?... little
blues eyes looking up towards the...?... and smiling...?... faith to
believe that she's going to receive that which she's asked for. And
this vibration...?... Be merciful to her, Father. Thou demon, come out
of her in the Name of Jesus Christ.
...?... my heart...?... Our heavenly Father, be merciful, a
lovely little girl is suffering tonight, and Thou are here to make...
[End of record--Ed.]
E-98 You believe...?... Heavenly Father, be merciful to our sister
who's suffering...?... Thou knowest all...?... Oh...?... to realize
that almighty God has...?... Lord, and He's testifying of His...?...
Thou demon...?... to leave her...?... in the Name of Jesus Christ. Amen.
Dear God...?... I believe what they...?... I pray, Father,
tonight for my dear brother who's suffering, Satan's trying to take his
life. Bless him, dear God...?... Come out of him, thou demon, in the
Name of Jesus Christ...?... up in the balconies, keep your head down,
please. That left him and then went right back on him again. And I knew
there's someone had their head up. Don't do that...?...
Now, just a moment...?... Bow your head and believe with all
your heart.
Heavenly Father, Thou hast promised...?... to heal the
people. I feel that the great messenger, the healing Angel of God
standing near the pulpit at this time. Therefore with all the faith
that Thou has...?... because my brother's in...?... how this demon
who's come to send him to a premature grave. Come out of him and...?...
in the Name Jesus Christ...?... Every vibration stopped in my
hand...?... Go, God bless you with...?...
E-99 [The words are difficult to understand--Ed.]...?... If it was it
would be vibrating...?... [Blank.spot.on.tape--Ed.] Go, and believe, my
brother...?... all things now?...?... I can see...?... just now. I see
you...?... The Bible plainly said...?... if you believe, for all things
are possible if you believe...?... Nineteen hundred years has passed;
He ascended on high, and He give gifts to men, and now God is still
testifying of His gift. Therefore in obedience to that was
commissioned...?... I rebuke this demon; come out of him in the Name of
Jesus Christ...?...
Maybe I'll give the audience a rest. Raise your head up. If
some of you would like to see... How many's heard me explain what
vibrations were...?... let's your hands. How many in here understands
about how the gift come, the vibration over my hand, let's see your
hand. You all see what it is...?...
E-100 [The words are difficult to understand--Ed.]...?... just this
man...?... See those...?... I thought I was...?... this vibration here.
See? But it's...?... Now, every one bow your head and pray...?... Now
remember, this can go from one to another, so be sure to keep your head
down...?...
Heavenly Father, be merciful, God, to our beloved sister, who
has a right, Father, tonight to be healed; she's come to claim her
God-given privilege of being healed by the Saviour Jesus of Nazareth.
Therefore, Father, give Thy servant faith. May I be able to climb up
just now, up into that...?... that faith...?... And now in the Name
Jesus Christ I rebuke you, Satan, to leave her...?...
Please don't raise your heads, friends. Now, it's hindering
the lady. This is very--must be a cancer instead of female trouble,
because it's very, very provoked. Now, keep your head down...?... You
believe with all your...?... You believe with all of your heart that
I'm able to do this through Jesus Christ. You believe that all you have
to do is simply believe?...?... there's heads up somewhere, friend.
Keep your heads down...?...
Dear, heavenly Father, be merciful to our... [End of
record--Ed.]
E-101 So if there's anything happens on the...?... like that, now, what
would be if you had a...?... You see? I just wonder sometimes. I'd like
to your houses, but I...?... back there some person dying wanting me to
come on a airplane, charter a...?... One woman calling from over
in...?... Missouri, said, hanging on the phone and knelt down at
the--by the phone crying, begging me to pray...?... to be over the
phone like that, not to hang up for her...?... Wanted to charter a
plane to come plumb back into Missouri where a little baby was
dying...?... [Scratch on the record--Ed.]...?...
My, it's pathetic, but what can--what can a person do? It'd
make you lose your mind to think...?... [Scratch on the
record--Ed.]...?... things like that coming from everywhere.
I was talking to my wife and she just said it's masses of
people and every thing, oh, my. Fifteen hundred letters come in from
people in ten days' time to my...?... [Scratch on the record--Ed.]
E-102 Now, this little girl is blind, no vibration in her hand. She's
crippled, and 'course that don't make a vibration, just a germ disease.
Now, I'll just have to believe...?... [Scratch on the record--Ed.] I
believe God will heal her...?... You believe it? Now, remember, I
tell...?... I don't want...?... you...?... God will speak to us...?...
nights I've got to say to the church maybe give a few testimonies of
things.
Now, you keep your head down, and I'll ask God with all my
heart that... Remember I'm not healer; it's God.
Little girl, you love Jesus, don't you, dear? Well, I'm going
to ask Jesus to let you have your sight again, make you walk...?...
Dear Jesus, the...?... son, send Your Divine blessings upon the little
girl, and these eyes that are now blind, may they see again; may this
body that's now crippled be whole again. I pray, Father, that You'll
grant it in the Name of Thy beloved Son Jesus Christ. Can..?... see
those lights...?... See that? Now, look out there...?... Now, look up
towards me...?... See up there? See that? See that shadow over here?
All right, you can raise your head, audience. [Scratch on the
record--Ed.]...?... lens and everything was perfectly just covered over
with like...?... But there's enough shrinkage... When anything dies it
shrinks. Is that right? There's enough shrinkage on the child's eyes
until she can see the lights in the room and can tell my hand before
her face...?... Look up this way. [Scratch on record--Ed.]
E-103 [The record is unclear--Ed.]...?... Let's all say, "Praise the
Lord."...?... Oh, my...?... Now, we're going to put her testimony she
can see in the paper so you can see. What's her name, sister? Ronna Mae
Promise. Watch it in the paper...?...
Your cancer's...?... All right. How many believes now? God
bless your heart...?...
Now, here's a deaf mute. There's got a vibration...?... in
his hand. All right. Bow your heads, every one. Now, here's the
vibration. This I can tell which way it...?...
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... put your sign on it...?... have to be
faith, just my own faith to believe it. Now, I want you to bow your
head everywhere.
How many in this audience believes that I'm able to do this
through Jesus Christ, will you raise your hand? All right. All right,
if there's that many to believe, you shall see the glory of God. Bow
your head everywhere.
E-104 [Someone says he never told Brother Branham what the man's
problem was--Ed.]
You don't have to tell us, friend. It's known. There's no
secrets with God; and He reveals His secrets to His servants. You have
seen things that's been done, even habits and things. There was a
person passed a few moments ago had a habit. When I looked at the
person, I didn't want to call it out. Venereal diseases or habits, I
don't have to do that. You understand, 'less you want me to. If you ask
me, if want to know... Of course as soon as you did, I felt that
vibration...?... plugs in his ears.
Now, bow your head, every one; be real lovely and quiet and
just be reverent and you shall see God's glory.
E-105 Heavenly Father, oh, have to run right into this city and right
out. And seemingly it's...?... about the time we get the people to a
place where they beginning to believe and things are being done, then
we have leave again. I pray that You'll maybe see fit to send us back
this way again.
And now, standing here before me, this man is standing here,
and Satan has plugged up his ears to make him walk before a vehicle or
something sometime and be killed on his feet, oh, trying to do this
harm to this poor brother, but we're here to make him whole, Father.
And now, I have spoke to the people tonight concerning Your
visitation of the Angel of God. And may You confirm it now before their
eyes for this faith line will have to start... [Scratch on record--Ed.]
E-106 [The following portion was on a previously recorded tape with
this sermon--Ed.]
At this time we're going to have a trumpet solo by my good
friend, Brother F. F. Bosworth: Brother Bosworth.
[Brother Bosworth gives a solo--Ed.]
My, that was very fine, Brother Bosworth. We certainly
appreciated that. And I wonder, while you're kind of tuning up there,
if we could have a little chorus of "Down At The Cross." It's kind of a
favorite to me. I wonder if you would play it. All right, Brother
Bosworth.
[Brother Bosworth plays "Down At The Cross."--Ed.]
My, that sound like old revival times, a long time ago. Say,
we're really enjoying ourself here in this little visit here with
Brother and Sister McAnally tonight. I wonder, Brother Hooper, if
you've got a word you'd just like to say something in the microphone
now. [Brother Hooper says a few words--Ed.]
Yes, sir. Brother McAnally is next the best hog hunter in the
country. He's the best when I'm gone.
All right. I want to have a word from the wife here. All
right, honey, what you going to say?
[Sister Meda Branham says, "Certainly glad for the privilege I have of
being in Arizona, and glad for the privilege I have to meet friends
like Brother and Sister McAnally."--Ed.]
Brother Bosworth, what do you think about Arizona and these
people here?
[Brother Bosworth says a few words--Ed.]
[Brother McAnally comments on hog hunting--Ed.]
[Brother Bosworth gives another solo--Ed.]
Brother Mac, everything that you done for us since we been
down here on this trip. And I trust to Almighty God that someday, we
can be back together again. God bless you, brother. I've always wanted
to hear your wife's voice. Sister McAnally, may I be many miles away,
but when you play this, think of me.
[Sister McAnally says a few words--Ed.]
Okay, well thanks, Sister McAnally. That was very, very fine.
Oh, she's just a little timid woman. I kinda like that though. Brother
Bosworth, you got another one on that old trumpet there? We just--we
just like to hear another one for Brother Mac and them. God bless you,
brother. All right, Brother Bosworth.
[Brother Bosworth gives another solo--Ed.]
Fine, Brother Bosworth. Thanks a whole lot. Brother Hooper,
you got another word to say? Nothing to say? Honey, oh, my. Mac, tell
us something right quick over this microphone, will you?
[Brother McAnally says a few more words about hunting--Ed.]
Okay, fine. You want a word to say, Brother Bosworth? Say
something else.
[Brother Bosworth speaks for a minute and a half--Ed.]
E-46 And then she said, "Well, do you mean to tell me then... What part
does that play with God, that part there?"
I said, "Now, look, there was an Angel came down into the
room and told me that way back, back 'fore I was born, was foreordained
to have a gift of Divine healing. And He came and told me in the room
one night that God had sent the gift, and it was a gift of Divine
healing for the people. And if I could get the people to believe me
(believe me), and would be sincere when I prayed, that nothing would
stand before the prayer."
I said, "Therefore, speaking face to face with this
supernatural Being, I believe it with all my heart. And if I can get
you to believe me with all your heart, that's what moves God, and then
you're healed. Your faith has saved you." You see what I mean? Your
faith to believe has saved you. Not what you worked up and thought in
your mind, but what you really know, the very evidence of things not
seen. You see what I mean?
Then the girl said, "Brother Branham, I truly know that
there's something above where I have ever reached." She said, "I'll try
with all my heart, and God have mercy on me." She said, "Let me
believe."
And I took a hold of her hand then. There was a vibration
pouring from that ruptured appendix, had prayer for her and it stopped
immediately. I said, "God bless you, sister. Your faith now has saved
you."
E-47 A few moments later I was setting in the chair, and I went to
sleep. Sun was coming up; I had to rest just a little before returning
home, 'cause I was afraid I'd break up somewhere on the road, have a
wreck. And I was setting there; they called the ambulance, told them
there was no need. When I was--was waken up by one of the family, why,
the girl was out of bed and had eat a pint of ice cream. And the--she's
never had a knife from that day to this. She was standing on the porch
and waved good bye. She said, "Good bye, Brother Branham." Her
testimony appeared in the "Herald of Truth" not long ago. Mrs. Edith
Wright, at--at Milltown, or Depaw, Indiana, that was her there--there.
E-48 All right. Now, you see what faith is. It's something... Now look
friends; I know that all of you are, at least know this: This body is
controlled by five senses. Is that right? All right, its got five
senses is everything that controls this human body. Now, listen real
close, and give me your attention now. The sense, five senses, is this
right? See, taste, feel, smell, hear, is that right? Them five senses
control the entire human body. Is that true? See, taste, feel, smell,
and hear. Now, there's none of them that declare faith. Faith is the
sixth sense, known to some people as you want to as mental telepathy
or--or whatever you want or wish to call it, many of the call it names,
but to me its faith. And that is in and above all five senses of the
human body. You see what I mean? [End of record--Ed.]... great...
Faith is the only direct and positive sense, and it's the
sixth sense. Faith is more than sight. Faith is more than feeling. You
do not feel faith. You don't taste faith. You don't smell faith. You
don't see faith. Faith is the substance of things hoped for, the
evidence of things not seen.
E-49 Here, see this Bible? Now, I want that Bible. Now, I'm looking at
it. Now, I want it. Faith is the substance of things hoped for, the
evidence of things I do not see. See what I mean?
Here, in my pocket, I think there's an old Barlow knife I've
carried for years. Now, I do not see that knife. I do not feel that
knife. I do not taste that knife. I do not smell that knife. But I know
that knife is in there. How do you know? Because I believe it's in
there. Now, if it is not in there, faith will put it in there, if it's
not there.
That chokes you, I know. But--but that's true. If you
believe, all things are possible. You're afraid to take God, friends.
You're scared. Now, I might've left that knife laying on the dresser
where I changed clothes awhile ago. But just as sure if that knife is
on the dresser right now, if I believe it with all my heart, it'll be
in my pocket. That chokes you. But God is able to put it there if you
believe it.
E-50 Here, I want to show you something. Come here, Reverend Kidson. Is
this Sister Marse? Would you stand up just a moment?
I want to show you something, friends. Just stand right here.
And you don't mind, that's not making a--a public show for you, sister,
but it's for the glory of God.
Now, look friends, I want to show you something. I believe
there's a--a woman standing in front of me. Could you tell me I'm
wrong? [Brother Kidson replies, "You don't..."--Ed.] But... [You don't
hear any woman?"--Ed.] No, I don't hear any woman. ["You don't feel any
woman?"--Ed.] No, sir. Don't know how I know there's one there? ["You
don't taste any woman?"--Ed.] No. ["How can you tell there's a woman
there?"--Ed.] Because the sense of sight tells me I see a woman. ["Hum,
well, are you sure?"--Ed.] I'm positive there's a woman standing there.
Do you believe that I'm right? ["Yes."--Ed.] Audience, you think I am
right? Now, is it possible I could be wrong? Yes. Every one of us may
be blinded of our eyes. That might be a vision. Remember the five sense
of the body is not so direct. Faith is positive.
E-51 Now, I know there's a woman standing there though, because that
the sense of sight tells me there's a woman standing there. You see
what I mean? Now, you think you could argue me down, tell me there's no
woman standing there. Then you try it one time. You try to tell me I'm
not looking at a woman standing before me. You think you could out
argue me? No, sir, because I know this sense of sight is direct, and
I'm looking at that woman, and I know she's standing there. Yet the
only thing that I know is the sense of sight. Now, I want you to
notice. Now, I'm going to close my eyes. Now, I feeled a woman's hand.
[End of record--Ed.]
E-52 I can tell its a woman. She has a woman's hat on. She has a
woman's hair; it's a woman's hand. I know it's a woman, because I feel
her. You think you could out argue me? ["No."--Ed.] Huh? That's
directly; I know it, that that was a woman. I've got my back turned to
her, but yet I know it's a woman. See? Because the sense of feeling
tells me there's a woman there. You see what I mean?
Now, sight told me there's one there now. I don't feel her.
That's the sense of sight. I know she's standing there, because I'm
looking at her. I close my eyes. I know she's standing there now,
because--not because I see her; because I feel her hand. I know she's
standing there. I don't see her, but yet I feel her. The sense of
feeling declares there's a woman standing there. See what I mean?
E-53 Now, faith is the substance of things hoped for, the evidence
(See?), direct positive, just the same as my sight is positive, same as
my feeling's positive... It's the evidence of things not seen, just as
positive as that is. You see what I mean?
So many people try to work theirself up and say, "Oh, I--I
got faith." But, friends, it's not there. If it was, it would react.
See? You know what I mean?
E-54 Now, look... Thank you, Sister Marse and God bless you.
Now, look. Now, I seen the woman; my sense of sight said she
was there. Then I knew she was there by the sense of sight. I closed my
eyes; I didn't have sight. Then I felt her, and the sense of feeling
said she was there. The sense of feeling was just as direct as the
sense of sight, because it was a direct evidence.
Now, faith is a direct evidence of things not seen, felt,
taste, smelled, or heard. Now, look here. I'm going to close my eyes
now. Watch.
E-55 That was orange juice. [Brother Kidson says, "You don't see any
oranges."--Ed.] No, sir. ["You don't hear any oranges."--Ed.] No, sir.
["You don't feel any oranges."--Ed.] No, sir. ["You don't smell any
oranges."--Ed.] No, sir. ["What makes you think that is orange?"--Ed.]
Because I tasted it. ["Are you positive?"--Ed.] I'm positive that was
orange juice. That would not have been lemon; it would not have been
grape. It would not have been grapefruit. That was orange juice,
because the sense of taste. I--I didn't smell it; I didn't hear it; I
didn't feel it; I didn't see it; but yet the sense of taste told me
that was orange juice. You think I'm right? ["You're right."--Ed.]
Sure it is. Why, the sense of taste proved that it was orange
juice. Now, no matter how much you tell me it was water; I know it's
orange juice. I tasted it. See? You could taste it too. And if you've
got a sense of taste, you would know it the same. And if you've got
faith you'll know the same thing I'm talking about. Now, watch here
again, now watch here.
I smell perfume. That's perfume. [Brother Kidson says, "You
can't see any."--Ed.] I don't see any perfume. ["You don't hear
any."--Ed.] I don't hear any perfume. ["You don't taste any."--Ed.] I
don't taste it. ["You don't feel any."--Ed.] I don't feel it. ["What
makes you think that's perfume?"--Ed.] 'Cause I smell it.
["Amen."--Ed.] That's right. The sense of smell tells me that was
perfume before my nose. [Scratch on the record--Ed.]... me? Try it. All
right, know that was perfume. I didn't see it, did I? Did I see it? I
had my eyes closed. Did I taste it? No, I didn't have it in my mouth.
Did I feel it? Never had my hands about it, nor nothing else. How did I
know it then? Did I hear it? No, I smelled it, and it was a direct
evidence that that was perfume. I know it. [End of record.--Ed.]
E-56 Now... [Brother Kidson says, "...don't feel any music."--Ed.] No,
sir. ["You don't taste any music."--Ed.] No, sir. ["Well, what makes
you think that's music?"--Ed.] I hear it, and I know it's music. ["Are
you sure about that?"--Ed.] I'm positive. The lady's playing "Only
Believe." You think I'm right? ["You're right."--Ed.] Try to argue me
out of it. I don't see it. I don't taste it. I don't feel it. I don't
smell it. But I hear it. Was I positive? Do I know that I'm right? Why?
E-57 Now, there is the five senses of the body. Now, they're positive,
aren't they? You know when they happen. You know. Now, you're looking
at a audience. You know you're looking at me.
Well, then friends, faith... Here it is. Faith is the
substance of things hoped for, the evidence of things not seen. It's
positive. You know it. There's no need of anybody telling you anything
more about it. It's just as much declared as any of these other five
senses of the body. You know what I mean? How many has a general
understanding now of what I mean? Let's see your hands. See, see?
E-58 It ain't what you try to make yourself believe. Now, for instance,
I try to make myself believe I'm hearing music. I--I wouldn't do it.
May I make myself believe I'm smelling perfume. It's just not there.
I've got to absolutely do it. You see what I mean?
And faith is that positive. It is an act of positive. You
know it. Oh, my, I hope you see it, what I mean.
E-59 See, it's the substance of things hoped for, the evidence of
things not seen. You don't see it. You don't taste it. Somebody say, "I
don't feel any better."
Well, what's the matter? Why don't you feel any better? If
you have your faith, according to your faith be it unto you. Is that
right? See?
No matter how you feel, you're healed anyhow. No matter what
you see, you're healed anyhow. See what I mean? It is a... You know it.
There's nothing can take it out of your heart. You know it. It's just
positive act right there. Oh, my.
If you could only see it, friends, something would take
place. If you could only know what I'm talking about, something would
react right now. See? It's a positive. It's right there, just as
positive as these other five senses. These are of the natural man.
Faith is of God. The natural man can be wrong, but God cannot be wrong.
Oh, my.
E-60 Why, it would make us go to shouting. Think of it. And people tell
me they got faith and say they can't believe in Divine healing?
Friends, if you don't believe in Divine healings, you're lost. That's
right. How you going to, if you can't have faith enough for God to
patch up this body to glorify Him in, how much more you going to have
faith to believe that God will take this old mortal and make
immortality out of it to take it up. That's a direct Divine healing.
Oh, my, there's going to be some awful disappointments at the day of
judgment, at the resurrection. That's right.
E-61 Faith... We've got to get in such a place till we be translated
like Enoch was. That's right. Faith, testimony, that it pleased God.
Did not Enoch... Our following Scripture said that Enoch had a
testimony by faith that he pleased God. Is that right? And the Bible
said, "Without faith it's impossible to please God." So you've got to
have the same kind of faith that you believe, and know. [End of
record.--Ed.]
E-62 A gift of healing, not a gift of miracles, though many miracles
are performed right along with it. But it's a gift of healing; the
people get well. They go out, prayed for, they come back. And my,
they're healed. Wait till I leave the city, friends. After I'm gone a
long time you'll hear the people coming to your churches and saying,
"Well, that cancer, it's gone." "That--that deafness I had, why, I--I
hear now." "My affliction, why, it just left me."
E-63 It's just the simplicity of... It's nothing you can work yourself
up to. It's no excitement. I notice people come in line, just get to
shaking themselves, and saying, "Oh, God, hallelujah. Amen. Glory to
God."
Don't do that. You interfere with faith there. You interfere
with God. Come up reverently and just lay your hand up and believe.
That's all. Faith, you don't work yourself up to it. Faith is something
that's already in your heart. You just come and believe. You see what I
mean?
Oh, friends, my, I love you. I wouldn't talk to you so
straight if I didn't love you. But I love you too well to see you get
by without this. You see? You--you must understand.
E-64 And now look, now to my text right quick so we can hurry up. God
testified of Abel's gift. God always testifies of His gifts. Is that
right?
Now, I want you to notice, when the children of Israel were
in bondage four hundred and twenty years down in Egypt, carried down
there by Joseph when they went down... By and by there raised up a
Jo--or a Pharaoh who did not know Joseph. And then the people got in
bondage. And they had to make straw houses and bricks and things out of
straw and stubbles. And then they begin to cry to God for a deliverer.
Is that right? And they cried and cried. And God foreordained a
deliverer (Is that right?), Moses.
E-65 And when Moses came to the age of maturity, he went out and seen
two Egyptians mistreating a Hebrew, and he slew the Egyptians and
buried them. And the next day when he met the Hebrews striving among
one another, "Why," they said, "will you kill us as you did the
Egyptian?"
Now, look, be quiet people. Moses, the very deliverer, God's
gift to the people, they did not understand him. You see what I mean?
They did not understand Moses. And Moses thought, surely, that they
would understand that he was their gift to deliver them. But they did
not understand.
And now, friends, don't get me wrong. May I say this with
reverence in my heart, knowing that I'm an eternity bound person
that'll stand before judgment someday.
Thousands of people are missing their gift. See? They can't
understand it. And they'll look and say, "Oh, he's just a man."
That's true. Was it God or Moses that delivered the people?
It was God in Moses. See? They cried for the deliverer. And when God
sent the deliverer to them, they failed to see it, because it was by a
man. But it wasn't a man; it was God in the man. [End of record--Ed.]
E-66 "... that dwelleth in Me. He's the One that doeth the works." You
see? But He was God's Gift to the world. God gave Him for you and I.
Aren't you happy about it? Look, God gave Him.
Well now, the people that believed that God give Him, they
can be saved. But those who do not believe it, they can't be saved. Is
that right?
And there's no other way at all to enter the Kingdom, only by
Him. Is that right? Well now, if you believe it, you can be saved. But
if you don't believe it, you can't be saved, because He is God's Gift.
Look, the Scriptures say, "No man... We know that God was
with Christ, for no man could do the works that He done except God be
with Him." Is that right?
Then what was it? God was testifying that that was His only
begotten Son. Is that right? God testified that; He said: "This is My
Son." He said, "If you don't believe Me, believe for the very work's
sake." Is that right? He said, "The man testifies of himself," you know
how the Scriptures read, "but if--if he testify and that what he says
is not true, then believe Me not. But if I testify and that what I say
is true, My Father will testify of it."
And if I tell you about a gift of Divine healing and God
doesn't testify of it, leave it go; it's wrong. But if God testifies of
it, believe it's God's gift to you. That's right. You see what I mean?
E-67 I hate to have to bring this out like this, friends, but I'm
trusting you're getting between the lines of it. Now, notice. See, it's
God's gift. After Jesus, when He went away... He was taken up. Many
people came to Jesus that never got healed. He prayed for many who
never had no results of it, because they didn't believe. They didn't
believe that He was God's Son. They said, "Why, He makes Hisself God.
He forgives sins on earth: blasphemy." Don't you see?
They said about Elijah. They said the same thing about Moses.
"Why, we would that we had died down in Egypt, than be brought out here
to starve in the wilderness."
See, God's messenger has always been rejected. You know what
I'm talking of, don't you? I hope you do, friends. God bless your
hearts. I--I want you to see it, friends.
E-68 Now, then they were in need of a Saviour. God sent Christ to the
world for a Saviour.
Then after Jesus going away, many of the beloved people of
God were sick and afflicted. God gave Peter the gift of Divine healing.
Now, it--the people got healed because God testified through Peter of
the gift of Divine healing just like he testified through Elijah as a
prophet, through Moses as a deliverer, through Christ as a Son. He
testified through Peter as a healer. Did he do it? And the people got
the idea. And they even got such a mob of people, that Peter couldn't
pray for each one of them, and they knew that this apostle was God's
gift to them. And he never shook their hands and said, "God bless you."
They took the people on the outside of the building and laid them down
on the street that even his shadow would pass over them and they would
be healed. Is that right? Why? Because they knew that Peter was the
gift of healing sent from God to the people. Oh, I hope you see it,
friends, look. You see, it was God's gift. What now, I want to ask you,
was it Peter done the healing? [End of record--Ed.]
E-69 God is not in material things. God is in men. The Holy Ghost never
fell on organizations; it fell on men. And so many people today say,
"They don't belong to my faith." Well, if you're the faith of Christ,
it's all the same. God doesn't care about... Your organization don't
mean that to Him. And the peoples got theirself to a place it's just a
big organized world. And it--that's the reason I'd rather have it in a
auditorium.
If it's in a--a Oneness church, the Trinity won't come. If
it's a Trinity's church, the Oneness won't come. If it's in a Methodist
church, the Baptists won't come. If it's in a Baptist church, the
Methodists won't come. One body... One person said, "Should we be
baptized over now in order to come, be prayed for?"
Mercy, that's as pagan as we ever had it. That's right. No.
For by one Spirit we're all baptized into one body (That's right.),
regardless of who you are and where you are. That's right. So it don't
make any difference what organization you are. You don't have to belong
to the Baptist church, or the Methodist church, or the Pentecost, or
whatever it is. You have to have faith in God. That's right.
Now, and frankly, you don't have to belong to no church. But
if you get healed and go sin again, it'll come back on you again worse
than it was in the first place. You go somewhere then to church and
serve God. God don't heal you for the devil's glory. He heals you for
His glory.
E-70 Now, look: how the people fail. Now, Moses felt, I'd imagine how
he felt. He just hated to come right out and tell the people, because
he thought it'd be self-exaltation. He thought the people'd say, "Now,
look at that man."
We've had a lot of that in the world today. We've had a lot
of people come through say, "God done this and He done that." But God
didn't bear record of it. But if God bears record, He will respect His
gift. Is that right?
E-71 Yes, sir, God honored the gift of--of Abel. He honored the gift of
Moses. And Moses thought the people would understand. But they did not
understand.
And today, surely, looks like a person wouldn't have to come
down any closer than what you are right now to know what I'm speaking
of. All right, but it goes over the majority's head. And, friends, I
love you, and I want to see you get well.
Now, when they called for a deliverer, God sent the
deliverer, and they failed to see it. Moses was God's gift to Israel.
You believe it?
E-72 On down, Elijah the prophet, they were God's gift. Many of them
raised up false prophets. Right in the days of Elijah there raised up
false prophets, but God testified of the prophecy of Elijah. If it's of
God, God will testify of it. And there was Elijah, and he was God's
gift to Israel. You believe it?
He was even Ahab's pastor. He was Jezebel's pastor. She
didn't want to admit that he was her pastor, but he was the man who
told her where she was living. That's right. He was her pastor. She
hated him, but yet he was God's provided gift for her down there to let
her know her sins; and she failed to see him. You know what I'm
speaking of?
E-73 Along come Jesus. And Jesus... Listen. Jesus was God's gift to
Israel, to the world. Is that right? Jesus was God's gift. "God so
loved the world that He gave His only begotten Son." You believe it?
[End of record--Ed.]
And it wasn't the apostles. Do you think Moses was the--the
deliverer because it was Moses, his wits and his intelligence? Why, he
said he was a man of slow speech. It was God in Moses, a gift to the
people. It was God in Christ. He said, "It's not Me; it's My Father
that dwelleth in Me."
That's the reason Martha said, "Lord..." (last night's
sermon) Said, "I know that Thou art the Christ, the--the Son of God
that should come into the world." She believed it. And there the people
believed on Him.
E-74 And look at Peter when he was walking by, why, he was a mortal. He
was born of sinful flesh just like I or you. That's right. But the
people had need of a healer, so they sent--God sent Peter to do that
specific work. John was love. Peter didn't have the love in his heart
that John had. John was God's agency of love. You see?
Look here, when He taken Peter, James, and John, hope, faith,
and charity... Don't you see? Those gifted people, them three, the
hope, faith, and charity...
Hope was in James; he was the one that set the church in
order. Faith was in Peter. And charity was in John. Hope, faith, and
charity, it was God's representatives on the earth.
And the people laid in Peter's shadow and were healed. Oh,
friends. Oh, my. Don't think I'm yelling at you, friends. You might
think I'm excited, but I'm not. I'm trying to get my point to you close
enough so you'll see what I'm talking about.
E-75 Now, Pentecost people has been praying for the last thirty or
forty years for a gift of healing.
We're living in the days when we've got the best medical
science we ever had. We got the best hospitals we ever had. We got the
best doctors we ever had. We got the best drugs we ever practiced with.
And we got more sickness than we ever had.
There's thousands and hundreds of thousands of precious
saints of God suffering tonight. And they are crying and crying and
cried for years for God to restore the gift of Divine healing to the
church. And when God moved the orbits thirty-seven years ago, and
foreordained it and sent it, many hundreds of people are passing by
without recognizing it, friends.
E-76 Now, it's brought to pass. I hate to say this. God have mercy.
Look, friends, down through the rest of the country, over in Phoenix,
over in Houston, over in San Antonio, down in Arkansas, down across the
country, thousands are being healed, coming through there, of all kinds
of sickness and diseases. Oakland, know your day. Someday, I shall meet
you before the judgment bar of God, and you'll know I testified to you
the God Almighty's truth. You cried for it. What? If you, just as you
respect it as you believe it, God will testify of His gifts. That's
right. He did for Abel. He did for Elijah. He did for Moses. He did for
Peter. He did for Paul. He did for all, and He will do it yet today.
When Pentecost first fell and the baptism of the Holy Spirit
first begin to fall, the people said, "It's Fanaticism." But God
testified of it, that He was so. That's why I'm with you tonight,
because I know its the hand of God. Many of them went off into isms
with it, but there's a genuine Pentecostal article. God has testified
of it. That's true. And the same thing He's done tonight in another
manner. [End of record.--Ed.]
E-77 And I was going into the drug store. And when I went in, I noticed
some fellow looking at me kind of strangely. I went on in the store,
and I come back out, and I had the bottle cap. And I never forgot about
him. And I was still had my uniform on.
And he put his... The man put his hand on my shoulder, and he
looked at me; he said, "Sir," said, "I seen you was an officer." Said,
"I thought I'd ask you a question." Said, "You may think I'm kind of
crazy."
And I said, "What's the matter, sir?"
He said, "I live in Paducah, Kentucky." He said, "I've been
failing in health for about two years." He said, "Last week I had a
peculiar dream." He said, "I dreamed that I should come to
Jeffersonville, Indiana, to get somebody by the name of Branham to pray
for me." Said, "You know whether there's any Branhams live here or not?"
My, you don't know how I felt. I thought, "Oh, God's
testifying."
And I said, "Yes, sir." I said, "I know there's Branhams
lives here."
He said, "You know, is there anybody prays for the sick?"
I said, "I'm the one."
He just looked at me like that, and tears begin to roll down
his cheeks. He just took me by the hand. I took him by the hand, took
off my hat, laid my hat and gun down in my hat, knelt down on the side
of the street and begin praying for him right there on the street.
When I raised up there was mothers standing, holding the
little children back, and men with their hats off like that, waiting
for the prayer.
There's been many things done in Jeffersonville, and they
knew what was going on. And when we raised up, there they all were
standing there with their heads down listening to the prayer.
I raised up. And the brother, he put his arms around me,
commenced to patting me like that. I've never seen him from this day to
that. God healed him.
E-78 And I was standing down at Houston, Texas, Reverend Kidson's
meetings. And one morning standing there, oh, my, how I was thinking,
praying. There was, we was having day service. And there was just
hundreds of people coming in the line, being healed.
And all at once there was a lady that ran in. Oh, the
building was about as long as this auditorium, main floor here. And the
lady run into the back. She had a little boy in her arms, and she set
down. And she was real restless. And the prayer line about four in
abreast was coming by like this.
And she raised up; she said, "Just a minute, just a minute."
And everyone stopped.
She said, "I don't like to stop that prayer line, but I want
to tell you..."
She was real nervous and shaky, kind of excited.
E-79 She said, "I live over on the west side of Houston." Now,
Houston's a pretty good size city, several miles across it, and we were
on the east side. She said, "This morning my neighbor, the mother of
this little child," said, "her father was an old Methodist preacher."
Said, "He's been dead twenty years." And said, "Before he died, he used
to go around preaching and saying someday God would give the gift back
to the church for the Gentiles before the ending of the Gentile
dispensation, like He did for the Jews."
And said, "His baby daughter, this is her baby." Said, "She's
kind of weakly."
And said, "This morning after cleaning up her house, she'd
set her dust mop up and was lying down across the foot of the bed and
was resting." And said, "All at once she had a dream. She seen a big
black cloud rising." And said, "Coming down out of that cloud, begin to
move back." And said, "There come her dead father. And he said, 'Rise
and take the child and go to the Houston Gospel Tabernacle. The gift of
Divine healing is there.'"
Well, she just thought it was just a dream: never heard of
the Houston Gospel Tabernacle. So she just laying there a little while
and went to sleep again, and she dreamed it the second time. The big
black cloud come. Her dead father come walking right down out of the
cloud. She said, "Well, that's strange; I dreamed of dad the second
time." Said, "He said, take the baby." Well, she got up and got her
drink, stirred around the house a little bit and went back and
lied--was lying down again. And when she went back, she dreamed it the
third time. The big black cloud come. And her... [End of record--Ed.]
E-80 They called the recorder's office to see if there was, just what
was to the dream. I don't believe in all dreams now. So then, called,
but he said, "Your young men shall see visions, your old men shall
dream dreams."
And then she--she called the recorders office, and he said,
"Yes, there's a Houston Gospel Tabernacle way over on the west side, on
sixty-seventh street." And he said, "East sixty-seventh street."
And the lady, the mother, so weak she could not... Now, the
child was--had infantile paralysis, his little legs was crippled. And
she could not bring the child.
But she had the neighbor, and the neighbor kept changing
busses and cars until she got over and got off of a car just about two
blocks from the church. And there was an officer standing there. And
she said to him, "Do you know where the Houston Gospel Tabernacle is?"
Said, "Yes, ma'am. Right up there where that crowd of people
is standing there in the street," said, "They're having a healing
service."
E-81 Well, the poor thing was so weak when she got there, she, you
imagine how she felt, walked right in there and seen that. And she told
me. I said, "Bring me the baby."
Oh, my, you know what happened, don't you? Sure. And I
thought, even though the people, the Angels of heaven know about it.
God will testify of it. His works will be declared, regardless of what
people think about it. That's right. It's true, friends. God bless your
heart.
E-82 Here at Camden, Arkansas, with Brother Adams. I guess one of the
Brother Adams' are here tonight? And at his place, he was pulling me
out; we had thousands attended the service. And they were pulling me
out of the service one day. And I kept hearing somebody hollering,
"Have mercy, have mercy. Oh, where you at, Reverend?"
And I turned around, Brother Adams said, "You can't stop." It
was a colored man, you know.
Yet even in Arkansas if you even shake the hands of a colored
man they'll put you in jail. So there they are, such law they have
there. You can talk to him, but don't put your hands on him.
Now, that's not right. That's not. He's a human just as good
as I am, or you are, or anybody else. That's exactly right. I don't
know what you think about that, but I want to unload my soul about it.
That's right. Sure. I'm for Abraham Lincoln, and that's all right. And
look...
E-83 There this poor colored man standing there, hollering, "Oh
Reverend."
Brother Adams said, "Come on, Brother Branham." Said, "My,
look at that crowd," said, "they press about you." And they pulled me
out of the crowd. They don't mean to be harsh, but they try to take,
'Cause, friends, sometimes you get around, they tramp you to death
almost. And they just pull you. I love them. God bless their hearts.
I'd like to stand right there and touch every one of them and
pray for them till I just, and breath will leave out of my body.
Last night when I left the building, they had to lay me out
in the car almost. Even my heart and everything, just shaking and
jumping, like that.
E-84 You don't realize the strain of holding them demons when they come
out, and they're in the room. And you're responsible. What if something
happens in the building? Why, they'd lock you up in jail, and they'd
break the meeting for good. Is that, see what you mean? You don't know
the responsibility of that. And here then, and so tired anyhow after
six months of going.
E-85 Then I--I said, "Wait a minute."
And he was just a crying, poor fellow. He had his hat in his
hand, gray headed. He was saying, "Reverend, Reverend."
His wife said, "You's can't get to him, honey. You's can't
get to him."
And I said, "Wait a minute. Just a minute." And so I looked
around, and I looked at him. I said, "What's the matter, sir?"
And Brother Adams and the other man taken me back up where he
was at. And I said, "What's the matter?"
He said, "Reverend, Reverend."
See, he was holding me like that. Said, "Reverend." Putting
his hand over on me.
I said, "Yes?"
E-86 He said, "Just a minute, Reverend." He said, "I's come a long ways
to come here." He said, "Night before last," said, "my old mammy, she's
been dead about twenty years almost." And said, "She was a Christian
woman. And I's been blind for better than twelve years." He said, "And
last night, or night before last, I dreamed...
[Blank.spot.on.tape--Ed.] That God had sent His gift of Divine healing,
and it was at Camden, Arkansas, and for me not to let you get by."
Said, "Reverend, please don't pass me by."
You think I could pass him? I don't care who he was. It's
God. I don't care how much they'd put you in jail.
E-87 Then standing there by that poor old fellow, take a hold of his
hands. His eyes had been blowed out by an explosion. Taking a hold of
his hands and was praying for him, his wife crying, the tears rolling
down off her coat, like that. She's standing there.
After I got through praying, he just--his eyes, he looked so
amazed. He'd look around; he begin to bat his eyes; he said, "Honey,
ain't that an automobile setting right there?" And it was our car that
we were setting in. Tears rolling down his eyes, out of his eyes, he
begin to raise his hands and rejoice.
Oh, brother, God will testify of His gifts. Heavens and earth
might pass, but God's going to move. There's going to be somebody
that's going to receive it (Yes, sir.), if you'll come and respect what
God has done for you. That's right. God will testify of His gift. It's
right now time to get started.
E-88 Listen, not long ago I was in, was over in Illinois. And listen,
while we're talking of the colored; this come on my mind. There was...
I was in a big coliseum. Many of you know where I'm speaking of. And
there looking around and seeing different things, I seen an old colored
man with a little ring of white hair around his head; he come along
like this, looking. And after while he come to a---a certain thing. He
stopped. He took off his hat. He held it behind him. He bowed his head.
And I seen he was saying a prayer.
And I walked up to him after he got through praying; I said,
"Sir," I said, "I'm a minister." I said, "I seen you praying. What was
so startling about the box?"
He looked up at me, his poor old wrinkle hardened cheeks, and
tears rolling off the sides of his cheeks. He said, "Rev... Parson," he
said, "just look over there."
And I raised up and looked over there, and it looked like a
little old dress laying there. I said, "I only see a dress." And that's
what many people just see, the natural signs. I said, "I only see the
dress."
He said, "You notice that kind of a circle in it, parson?"
And I said, "Yes, sir."
He said, "Feel right here on my side. Said, "There is marks
of a slave belt. That's the blood of Abraham Lincoln." Said, "The blood
of Abraham Lincoln took the slave belt off of me. Why shouldn't I take
my hat off and say a prayer?"
E-89 And I think tonight, if a colored man, for the freedom and his
right, could take his hat off to the blood of Abraham Lincoln, what
ought you Christians to do to the Blood of Jesus Christ. See? Oh,
friends, I expected to have more faith in Oakland and L. A. too.
I'll tell you the people that received it not long ago, was
the Spanish people at Arizona. They caught the idea right quick. They
knew it was God's gift to them. They come right on the platform. And
I'd see them dear old Spanish mothers faint and fall and pulled out of
line before they could get to me. They believed it.
One of them come, she even had a dream that she... She
couldn't even speak English. And she seen that supernatural Being
standing. (You got the letter here, have you?) Many... Why? God will
testify of His gift. Is that right? Oh, friends, you know what I'm
speaking of. Do you understand now what I'm speaking of? Faith, believe
it. Come, it isn't the man; its God in the man. You know what I'm
meaning.
E-90 [End of record--Ed.]... please, O God, may people come tonight
just like they did in the days of the apostles. May they come realizing
that this is the apostolic time for them. This is the hour that what
they have asked for is now present: the Holy Ghost in the form of
healing for their bodies. Grant it, dear God. May many people be healed
tonight. Have mercy, Father.
And may everyone that comes tonight, come like they did when
they passed by Your humble servant, Simon Peter. And they were laid in
his shadow and were made every whit whole, because they recognized God
in the man. May they recognize God like they did in Moses. God was in
Christ, reconciling the world to Himself. May they recognize God
tonight in His people. Grant it, dear Father. Have mercy now and bless
every one of them.
And, dear God, at this time I pray for my little church at
home that just had services tonight, crying, begging for me to come
home. O God, people gathering in from different parts of the country...
Take care of my little orphan boy, won't You, dear God.
Oh, I'm out here striving, trying my best, dear God, to obey
what I was told to do. And may the people see, Father, what a sacrifice
it is, and what You've done for the people. And may they recognize this
day and many be healed, and get well of their diseases and testify
through this city. For we ask it in the lovely Name of Jesus Christ,
Thy beloved Son. Amen.