Tournez Les Regards Vers Jésus

Date: 63-1229E | La durée est de: 2 hours and 14 minutes | La traduction: VGR
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1 Amen. Merci, Georges, Becky et Soeur Ungren, pour ce beau chant! C’est vrai : “Tout change, quand Jésus vient.” Il fait disparaître les ténèbres et répand la Lumière; nous en sommes si reconnaissants. Or c’est la première fois que Becky joue ici, à l’église, alors c’était un chant très approprié : Quand Jésus vint.

2 Donc, nous sommes reconnaissants d’être de nouveau ici ce soir, et vraiment contents de la... de votre présence en si grand nombre ce matin. Et maintenant, ce soir, j’ai un petit sujet, là, dont je voudrais parler dans quelques instants; mais avant, j’aurais quelques annonces à faire, et tout.

3 Je suis un tout petit peu enroué. Je pense que ça vient de ce que j’ai parlé longuement. J’ai prêché longtemps. Mais, quand j’enregistre ces bandes d’une heure ou deux, et quand je reviens ici, c’est pour enregistrer ces choses, afin de les diffuser dans le monde entier. Donc, je vous remercie d’avoir été si patients avec nous ce matin.

4 Maintenant, il y a quelques points que j’aimerais mentionner ici. C’est que, premièrement, je–j’aimerais demander à l’église : il y a quelque chose que j’ai–j’ai fait, et je–je voudrais demander si je peux modifier ça, ce soir. Nous ne...

5 Je ne prends pas de résolution de Nouvel An. Et je... comme nous devons rentrer demain, nous ne serons pas ici pour le Nouvel An, pour... mais nous penserons à vous. Et je crois qu’il y aura une réunion ici, la nuit de Nouvel An. Oui, c’est exact, un–un service de longue veille, comme on en a toujours la nuit de Nouvel An. Nous aimerions rester, mais c’est que nous ne serions pas rentrés à temps pour–pour que les enfants retournent à l’école. Ma femme doit laver leurs vêtements; vous savez ce que c’est.

6 Aussi, je tiens à remercier chacun de vous, pour toutes les gentillesses que vous avez eues pour nous à Noël. Et vous, les soeurs, qui êtes allées à la maison et qui y avez apporté de la nourriture et différentes choses pour nous, si bien que, quand nous sommes arrivés, là–là, tout était déjà cuit et prêt à manger. Je vous en remercie beaucoup. Que Dieu vous bénisse à jamais.

7 Ainsi que l’église, pour le petit bon d’achat qu’on m’a remis, pour que je puisse aller m’acheter des vêtements, si c’est ce que je désirais, ou un complet. On me donne un complet chaque année. Et de gentils amis à moi viennent de m’acheter un complet. C’est pourquoi je pense que, si vous êtes d’accord, étant donné que j’ai besoin d’autres choses, comme de chemises, de maillots de corps et autres, j’aimerais utiliser l’argent pour ça, si l’église est d’accord. J’ai plus besoin de ça que... c’est plus urgent qu’un complet, en ce moment.

8 Ce jeune homme, là, qui vient de chanter pour nous, Frère Georges Smith, qui vient de Tucson, nous avons été dans leur église, c’est l’église baptiste du Nouveau Testament. Son père est missionnaire. Je pense qu’il a environ sept églises dans le vieux Mexique. Et il y a vraiment de braves gens là-bas. Son père, sa mère et tous, ce sont de braves gens. Et Georges est un jeune homme très bien. Je regrette seulement qu’il ne nous ait pas donné, avant de s’asseoir, quelques paroles de témoignage sur son salut par la grâce de Christ dans sa vie.

9 Et maintenant, concernant les–les Messages, j’ai promis, il n’y a pas longtemps, qu’avant d’aller faire des réunions ailleurs, les Messages, je viendrais d’abord Les enregistrer ici, et ensuite j’irais ailleurs. C’était pour que les gens puissent avoir les bandes. Je viendrais enregistrer un Message ici, et ensuite j’irais Le prêcher ailleurs. Ce qui permettait aux gens, à–à ceux qui produisent les bandes, de les préparer pour que nous les ayons avec nous en partant. Je suis maintenant sur le point de partir pour une longue tournée d’évangélisation, c’est pourquoi je–je ne pourrai plus procéder comme ça dorénavant, voyez-vous, et celui qui enregistre va devoir le faire au cours de nos déplacements.

10 Enfin, je pense qu’ils vont avoir une réunion au sujet des bandes cette semaine, n’est-ce pas? Ou quelque chose comme ça, quelque chose au sujet des bandes, cette semaine. En tout cas, je pense que Frère Sothmann est ici, et il représente Frère Maguire. Je ne sais pas si lui est ici ou pas. Je pense que Frère Fred est ici. Quelqu’un a dit qu’il était là. Et il... Je pense qu’ils auront une réunion cette semaine, peut-être demain soir ou à un certain moment, au sujet des bandes. Nous en avons parlé l’autre soir dans la pièce, là. Je pense que c’est le moment prévu pour ça, où ils s’occupent de prendre les dispositions nécessaires.

11 Donc, dorénavant, ailleurs aux réunions, je vais probablement prêcher des Messages que je n’aurai pas apportés ici, au Tabernacle.

12 Et maintenant, j’ai, je tiens à exprimer ma reconnaissance envers Dieu pour le témoignage de Frère Blair. Il se trouve que Frère et Soeur Blair sont justement ici ce soir, ils sont ici devant nous, ceux qui avaient ce petit garçon. Et je me souviens quand le Seigneur m’a dit, au moment où il était... Frère Blair était tout chaviré, il pleurait. Son petit garçon avait eu le visage écrasé comme ceci, dans une voiture qui avait capoté, et il était très mal en point. Mais, pendant que je priais, j’ai vu le petit garçon guéri. Et Frère Blair, évidemment, il m’a demandé, il a dit : “Frère Branham, est-ce AINSI DIT LE SEIGNEUR?”
J’ai dit : “Frère Blair–Blair, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.”

13 Frère Blair est ici ce soir. Et nous sommes vraiment reconnaissants que Frère Blair soit parmi nous. Il a souffert d’un–d’un peu de nervosité, et Satan lui a décoché un grand coup il n’y a pas longtemps, pour essayer de le faire douter de moi. Et pendant que Satan faisait ça, le Seigneur est venu et le lui a révélé; Il le lui a dit, simplement pour stopper ça, avant que vienne le moment pour ceci. Et Frère Blair est un brave homme. Je voudrais que vous pensiez à lui. Il est tiraillé, un peu indécis sur ce qu’il doit faire. Il ne sait pas au juste quelle direction prendre. Et j’ai confiance, Frère Blair, que Dieu... Vous êtes un grand serviteur de Christ, et Il a beaucoup de travail pour vous, parce que les Lumières commencent à baisser. Étiez-vous ici ce matin? Oui. Bon, c’est très bien.

14 Maintenant–maintenant, je pense que la prochaine fois que je vous verrai, ce sera peut-être au printemps, pour un petit moment. Et d’ici là, peut-être que nous saurons si nous allons, oui ou non, tenir les–les réunions ici à Jeffersonville pendant la période où je devais être en Norvège et dans les pays scandinaves. Maintenant, juste avant que nous abordions un sujet...

15 C’est que nous allons avoir une ligne de prière, et beaucoup de gens sont debout, dans les pièces, le long des murs et tout, et je sais que vous, que c’est très pénible pour vous. Je suis resté moi-même très souvent debout. Je suis passé, tout à l’heure, en ramenant ma femme, et j’ai remarqué les gens près des portes. Et j’ai pensé : “Qui dit que l’Évangile n’est plus la chose la plus attrayante du monde?” Certainement. Il–Il attire ceux qui s’Y intéressent. Ceux qui ne s’Y intéressent pas, évidemment, eux, non, Cela ne les attirera pas. Mais Jésus a dit : “Si Je,” Il a dit, “si Je suis élevé de la terre, J’attirerai tous les hommes à Moi.” Comme c’est vrai!

16 Et quand j’arrive ici, il y a tellement de choses à dire qu’il faut que je mette un peu par écrit ce que je vais dire pendant ces quelques instants. Sinon je... Il y a tellement de choses à dire qu’on oublie ce qu’on voulait dire.

17 J’ai appris que le père de Frère Ungren a été baptisé ce matin, au Nom de Jésus-Christ. Si Soeur Ungren et les autres sont ici, je suis sûr que c’est un grand événement pour eux, ç’a été leur prière continuelle, pendant de nombreuses années. Et, Frère Ungren, où que vous soyez, que Dieu vous bénisse abondamment, mon frère.

18 Et si cela n’est pas juste, que Dieu m’en rende responsable au Jour du Jugement. Voyez? Je sais que c’est juste. Je–j’en supporterai la responsabilité. Tout à fait exact; parce que c’est la Vérité.
Vous dites : “Est-ce que ça a de l’importance, ça?”

19 C’en avait pour Paul. On leur a demandé comment ils avaient été baptisés. Ils ont répondu qu’ils avaient déjà été baptisés par Jean, l’homme qui avait baptisé Jésus. Paul leur a dit qu’il leur fallait venir se faire rebaptiser, au Nom de “Jésus-Christ”. Et il n’y a pas une seule personne, dans la Bible, qui ait jamais été baptisée au Nom “du Père, du Fils et du Saint-Esprit”.

20 Personne n’avait jamais été baptisé comme ça, avant qu’on organise l’église catholique à Lao-... Lao-Nicée, au concile de Lao-Nicée, à Lao-Nicée, Rome. C’est là que la première personne a été baptisée au moyen des titres.

21 Quelqu’un m’a dit l’autre jour. J’ai dit : “Eh bien, si... Le ‘Seigneur Jésus’, voilà Son Nom.” Il a dit... “Eh bien,” j’ai dit, “si quelqu’un venait à vous...”
Il a dit : “Je ne pense pas que ça ait de l’importance.”

22 Je me suis servi de sa propre doctrine pour le coincer. J’ai dit : “Si un homme venait à vous et qu’il dise : ‘J’ai été baptisé au nom de la Rose de Saron, du Lis de la Vallée et de l’Étoile du Matin’, diriez-vous ‘amen’ à ça?”
Il a dit : “Non monsieur.”
J’ai dit : “Comment est-ce que... Est-ce que vous le rebaptiseriez?”
Il a dit : “Oui monsieur.”
J’ai dit : “Comment le baptiseriez-vous?”
Il a dit : “Je le baptiserais au Nom ‘du Père, du Fils et du Saint-Esprit’.”

23 Et j’ai dit : “C’est comme ça que moi, je le baptiserais, ah oui, au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.” J’ai dit : “Or, ‘la Rose de Saron, le Lis de la Vallée et l’Étoile du Matin’ ne sont pas un nom.”
Il a dit : “C’est vrai. C’est un titre.”

24 J’ai dit : “C’est pareil pour ‘Père, Fils et Saint-Esprit’. Alors, je le baptiserais au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit; et le Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, c’est ‘le Seigneur Jésus-Christ’. Exactement. Voilà ce que je dis...” Et il l’a vu.

25 C’était Frère Joseph Mattsson Boze, de Chicago : l’homme que j’ai eu le plus de mal à convaincre de ça. Je pense que j’aurai maintenant de trois à quatre mille autochtones à baptiser quand j’irai en Afrique avec lui, qui devront se faire rebaptiser.

26 Donc, nous sommes reconnaissants pour la Lumière de l’Évangile. Et alors, bon, Jésus a dit, quand Il était ici sur terre : “Je, ce que J’entends, Je le dis.” Et maintenant, je vais dire... prendre les dix ou quinze prochaines minutes, juste avant d’aborder mon sujet, un sujet très court, et ensuite nous aurons la ligne de prière. J’en suis arrivé à un point de mon ministère où je suis... je dois dire quelque chose. Et je...

27 Jésus l’a dit : ce qu’Il entendait, c’est ce qu’Il disait. Et Il a dit : “Je vous ai appelés Mes amis, et un ami dit tout à ses amis.”

28 Paul a dit, dans Actes 20.27 : “Je vous ai annoncé tout le Conseil de Dieu, sans en rien cacher.” Voyez?

29 Et puis-je dire la même chose, ce soir, en m’associant à ce grand saint d’autrefois. Pour autant que je le sache, je n’en ai... Je n’en ai rien caché, au contraire je vous ai annoncé tout le Conseil de Dieu.

30 Quelqu’un faisait passer l’une des bandes, l’autre jour. Et juste parce que ça irritait une personne, elle a tiré sur ces gens, par la fenêtre, et une femme a été blessée.

31 Alors, peut-être qu’un jour je scellerai mon témoignage. Mais, quand cette heure viendra, et que... Je suis prêt à partir. Tant que mon heure ne sera pas venue, rien ne peut me faire de mal, rien avant cette heure-là. Voyez?

32 Or nous croyons au même Évangile, tel quel, comme la Bible est écrite. Il est parfaitement bien ajusté. Et–et si l’arme à feu est ajustée avec précision et bien réglée, alors si le coup frappe la cible la première fois, il la frappera la deuxième fois, et toutes les fois.

33 Si un arbre, ou une grosse branche, un cep, produit un sarment, et que ce sarment porte un certain fruit, la prochaine fois que le–le cep produira un sarment, celui-ci portera la même espèce de fruit.

34 Et si Jésus est le Cep, et que nous sommes les sarments; le premier Sarment, la première Église qui a été produite par ce Cep, ils ont écrit un Livre des Actes à la suite de cela. Ce premier Sarment baptisait au Nom de Jésus-Christ. Et ils avaient le Dieu vivant parmi eux, qui faisait parmi eux les choses mêmes qu’Il avait faites quand Il était sur terre. C’est pourquoi les gens, bien qu’ils aient vu que c’étaient des gens ignorants et sans instruction, ils les reconnaissaient pour avoir été avec Jésus, parce que Sa Vie se manifestait en eux.

35 Comme je l’ai déjà dit, si j’avais l’esprit de–de Beethoven en moi, je composerais des chants. Si Beeth-... si je... Si Beethoven vivait en moi, je serais Beethoven. Voyez?

36 Si Shakespeare vivait en moi, je serais Shakespeare. Je–j’écrirais des poèmes, et–et–et des pièces de théâtre, et ainsi de suite, si Shakespeare vivait en moi.

37 De même, si Christ vit en moi, on fera les oeuvres de Christ. C’est vrai. Forcément. Et Christ, c’est quoi? La Parole. Il a dit : “Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, alors demandez ce que vous voudrez; cela vous sera accordé.” En effet, la Parole est là, et tout ce qu’il Lui faut, c’est la Lumière; et c’est la Lumière qui La fait vivre.

38 Alors, maintenant je vais vous dire quelque chose, là, que je n’ai pas dit jusqu’ici. Voici, c’est que la chose que nous attendions depuis si longtemps (depuis bien des années, au moins quatre ou cinq ans, peut-être plus), le Troisième Pull a maintenant été confirmé, et je suis sûr que vous savez tous ce que c’est.

39 Maintenant, souvenez-vous, il n’y aura jamais d’imitation de cela, parce que ce n’est pas possible. Voyez-vous, ce n’est pas possible. Maintenant il a vu le jour. Et je... j’ai été prévenu de ceci, que bientôt... À l’heure actuelle c’est arrivé simplement afin qu’il puisse identifier sa présence parmi vous, voyez-vous, mais il ne sera pas utilisé puissamment, tant que ce Conseil ne commencera pas à serrer la vis. Et quand il le fera, à ce moment-là... Les pentecôtistes et autres, ils peuvent imiter presque tout ce qui se fait. Mais, quand ce moment-là viendra, quand la pression viendra, alors, ce que vous avez vu temporairement, vous le verrez se manifester dans la plénitude de sa puissance. Voyez? Voyez? Voyez? Voyez?

40 Maintenant je dois continuer à évangéliser. Tout comme la commission que j’ai reçue à ce sujet au début, je dois continuer. Donc, vous avez eu la Parole, et vous savez ce qu’il faut attendre, quelle position avoir. Je dois continuer à évangéliser. Et, mes chers amis, restez tranquilles, et continuez simplement à avancer, car l’heure approche rapidement, voyez-vous, où quelque chose va se produire.

41 Bon, dans mon cas, il se pourrait que vous voyiez arriver des petites choses bizarres. Rien de condamnable; ce n’est pas ce que je veux dire. Mais je veux dire quelque chose de bizarre par rapport à la tendance habituelle. En effet, là où j’en suis arrivé dans le ministère, maintenant, je reste en retrait, je garde les yeux fixés sur ce point-là et j’attends que le moment soit venu de l’utiliser. Mais il sera utilisé.

42 Et chacun sait, en effet, qu’aussi sûr que le Premier a été identifié, le Deuxième aussi a été identifié. Et si vous réfléchissez bien, vous qui êtes spirituels. Comme la Bible le dit : “Que celui qui a de la sagesse.” Le Troisième est très bien identifié. Voyez? Nous savons ce qu’il en est. Donc, le Troisième Pull est ici.

43 C’est tellement sacré que je ne dois pas en parler beaucoup. Comme Il me l’a dit au commencement, Il a dit : “Ceci, n’en parle pas.” Vous vous en souvenez, il y a des années? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Il parle de lui-même. Voyez? Mais vous... J’ai cherché à expliquer les autres, j’ai fait une erreur. Ceci sera la chose qui, à mon avis, – je ne dis pas que c’est le Seigneur qui me le dit, – ceci sera quelque chose qui mettra en mouvement la foi de l’Enlèvement, pour le départ. Voyez? Voyez? Et...

44 Je dois rester bien tranquille, pour un peu de temps. Maintenant, souvenez-vous, et ceux qui écoutent cette bande, vous verrez peut-être bientôt ce genre de changement dans mon ministère : un déclin, et non une ascension; un déclin. Nous sommes dans cet âge-là maintenant, et ça ne peut pas, ça ne peut pas aller plus loin. Nous devons attendre un instant, jusqu’à ce que cette chose-ci se produise, pour que nous puissions arriver jusque-là, et alors ce sera le moment. Mais c’est parfaitement bien identifié.

45 Il viendra un temps sur... dans cette nation, où cette nation exercera tout le pouvoir que la bête avait eu avant elle, – c’est-à-dire la Rome païenne, quand elle est devenue la Rome papale, voyez-vous, – cette nation le fera.

46 Apocalypse 13 l’explique clairement. “L’agneau est monté de la terre. L’autre bête était montée de l’eau”, la masse et les foules de gens. Cet agneau, lui, est monté d’un endroit où il n’y avait pas de gens. Un agneau, ça représente une religion. L’Agneau de Dieu... Et, souvenez-vous, il parlait comme un agneau. C’était un agneau.

47 Et puis, au bout de quelque temps, il est de-... il a reçu le pouvoir, et il parlait comme un dragon; et il exerçait tout ce que le–le dragon, tout le pouvoir que le dragon avait eu avant lui. Et le dragon, c’est “Rome”, toujours. Alors, ne voyez-vous pas? Une dénomination romaine; “une marque”, une dénomination protestante; “une image à la bête”, créer un pouvoir qui exercera une contrainte sur tous les protestants, un genre d’union. Vous devrez faire partie de ce Conseil des Églises, sinon vous ne pourrez pas avoir de communion fraternelle. Ou...

48 En fait, c’est–c’est pratiquement comme ça en ce moment. On ne peut pas aller prêcher dans une église, à moins d’avoir une carte de l’association ou quelque chose pour s’identifier. Alors, les personnes comme nous seront complètement exclues de tout ça, c’est exact, parce qu’elles ne pourront pas le faire.

49 Ça se resserre. Et alors, quand ce temps viendra, et que la pression sera telle que vous serez exclus partout, alors regardez bien ce que je vais vous dire dans quelques minutes. Alors regardez bien le Troisième Pull, voyez-vous : il sera carrément adressé à ceux qui sont totalement perdus, mais il–il sera à la disposition de l’Épouse, et de l’Église.

50 Or nous en sommes plus près que ça n’en a l’air. Je ne sais pas quand, mais c’est très, très proche. Je suis peut-être en train de bâtir une plateforme pour que quelqu’un d’autre monte dessus. Je serai peut-être repris avant ce moment-là. Je ne sais pas. Et ce moment-là, ce sera peut-être la semaine prochaine, le moment où le Saint-Esprit viendra avec... et ramènera Jésus-Christ. Il viendra peut-être la semaine prochaine. Il peut encore venir ce soir. Je ne sais pas quand Il viendra. Ça, Il ne nous le dit pas.

51 Mais je crois vraiment que nous en sommes si près que je ne mourrais pas de vieillesse. Bien que j’aie cinquante-quatre ans, je ne mourrai pas de vieillesse avant Sa venue. Voyez? À moins que je sois tué d’un coup de fusil, ou quelque chose, tué d’une façon ou d’une autre, mais ce n’est pas la vieillesse qui me fera mourir, Il sera venu avant ça. Et c’est ce que je crois.

52 Je veux dire ceci. Je ne l’ai encore jamais dit. Mais, selon l’Écriture, selon ce qu’Il a dit il y a trente ans; il y a trente-trois ans, là-bas sur la rivière, en 1933, plutôt; ce qu’Il a dit, tout est arrivé exactement tel quel. Ce n’est peut-être pas moi qui le ferai, mais ce Message présentera Jésus-Christ au monde. Car : “Comme Jean-Baptiste a été envoyé comme précurseur de la première venue, le Message sera le précurseur de la seconde Venue.” Et Jean a dit : “Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde.” Voyez? Alors, il, il y a été comparable en tous points. Et je sais qu’il le fera, que le Message continuera à avancer.

53 Maintenant, de grandes choses se sont produites tout le long du chemin. Ce matin, j’ai eu des entretiens ici, dans la pièce d’à côté. Et un–un jeune homme du nom d’Autry, il est probablement encore ici ce soir. Il est de San Antonio, au Texas. Il est venu demander si... quand nous irions à Dallas, en revenant de la Californie, si nous pourrions nous arrêter un soir à leur tabernacle, seulement pour une soirée. On va étudier ça, d’ici un jour ou deux, envisager cette possibilité. Et il me parlait de... Je ne suis jamais retourné à San Antonio, depuis les premières réunions que j’ai eues là-bas.

54 Or, les premières réunions, lors de mon passage à San Antonio. J’étais là, je crois, avec Frère Coot et le–et l’Institut biblique International. Je ne me rappelle plus dans quelle salle nous avions eu le service. Et soit mon premier ou mon deuxième soir, je pense que c’était le premier soir, comme je gagnais l’estrade, quelqu’un s’est levé dans le bâtiment, tout au fond, et s’est mis à parler en langues comme une–une rafale de mitrailleuse. À peine s’était-il rassis que, deux secondes plus tard, quelqu’un s’est levé sur l’estrade et en a donné l’interprétation.

55 Je me suis arrêté sur ce qu’il a dit. Et j’ai dit à cet homme : “Connaissez-vous cet homme-là?”
Il a dit : “Non, monsieur.” Et il a dit...
J’ai dit : “Comment êtes-vous venu ici?”

56 Il a dit : “Les gens pour qui je travaille étaient... venaient ce soir, et ils m’ont amené avec eux.” C’est un... c’était un cow-boy.
Et j’ai dit : “Et vous, qu’est-ce que vous faites dans la vie?” Il a dit... “Le connaissez-vous?”

57 Il a dit : “Non, monsieur. Je ne l’ai jamais vu.”

58 Et j’ai dit : “Vous, qu’est-ce que vous faites comme métier?” Et c’était un–un commerçant de la ville.

59 Et ce qu’ils ont dit dans le–le... Or j’étais toujours, – avant que je sache plus à quoi m’en tenir, – j’étais un peu sceptique au sujet du parler en langues; je pensais que c’était charnel dans bien des cas, ce qui est peut-être vrai. Mais quand ceci a été dit, cette interprétation, elle correspondait exactement à ce que l’Ange du Seigneur avait dit sur la rivière, onze ans auparavant : “Comme Jean-Baptiste a été envoyé comme précurseur de la première venue de Christ, tu as été envoyé comme précurseur de la seconde Venue.” Voyez?

60 Et voilà, alors que cet Ange, cette Lumière qui a été parfaitement bien identifiée, à la fois par l’église, par la Parole, par la science, tout L’a identifiée. Cette Lumière, au moment où Elle est apparue pour la première fois en public, Elle s’est tenue juste au-dessus de l’endroit où j’étais; vers deux heures de l’après-midi, au pied du pont, juste ici au bas de la rue Spring, dans l’eau. Maintenant, il y a bien, bien des années de ça. Et ce qui avait été dit là, tel quel, c’est arrivé à la lettre.

61 Ce frère me disait, ce matin. Il a épousé une jeune fille de l’église, ici, la fille de Soeur Noys. Et je ne sais pas, mais je pense que le jeune homme... Êtes-vous ici, Frère Autry? Je ne sais pas. Il est venu de San Antonio. Je ne sais pas s’il est ici ou pas. Il était ici ce matin. Et il me disait que, pendant cette série de réunions, je crois que c’est son grand-père, qui avait été épileptique toute sa vie, qu’on avait amené là.

62 C’était au moment du Premier, au commencement du ministère, alors qu’Il avait dit que, pour le discernement, il fallait qu’ils mettent leur main sur la mienne, et ce qu’ils avaient leur était dit là. Je vous avais dit, et beaucoup de gens en sont témoins ce soir, qu’il viendrait un temps où je connaîtrais même le secret de leur coeur. Vous en souvenez-vous – avant même que cela arrive? Environ cinq ou six ans plus tard, la chose s’est produite; au Canada, pour la première fois, voilà que c’est arrivé. Puis Il a dit : “Si tu continues à être sincère, ça continuera comme ça.” Et maintenant, la Troisième chose s’est produite, voyez-vous, ça avance constamment.

63 Et il disait que son père avait été amené dans la ligne, et qu’on lui avait parlé de ce problème d’épilepsie, et tout, et qu’on avait prié pour lui. Il y a seize ans de ça, je pense, environ seize ou dix-sept ans. Et il m’a dit qu’il n’a plus jamais eu de crise depuis. Il a près de quatre-vingt-cinq ans, et il n’a jamais eu de crise depuis. Qu’est-ce? “Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui, et éternellement.”

64 Est-ce que Margie Morgan est dans le bâtiment? Soeur Margie Morgan, une dame qui était rongée par le cancer; une infirmière. Combien se souviennent de Soeur Morgan? Si elle est ici; impossible pour elle d’entrer. Elle travaillait comme infirmière. Voyez-vous, d’après la liste des cas de cancer, à Louisville, cette femme est morte depuis seize ou dix-sept ans, d’après la liste des cas de cancer, à Louisville.

65 Quand Jim Tom Robertson, l’avocat, un avocat Chrétien, a entendu parler de ce cas, il est allé à l’hôpital baptiste vérifier si c’était bien vrai; en effet, son père fait partie du conseil, il est administrateur à l’hôpital baptiste. Ils ont vérifié ce cas, et cette femme était censée être morte depuis des années. Et elle travaille comme infirmière, ici à Jeffersonville, à l’hôpital. Alors qu’elle s’est tenue ici même, qu’il avait fallu qu’on la soutienne, elle n’avait même plus toute sa raison. Mais ç’a été AINSI DIT LE SEIGNEUR, et elle est en vie. Elle est retournée travailler comme infirmière à Louisville.

66 Et un homme d’ici, de la confiserie Schimpff. Est-ce que M. Schimpff est ici, ce soir? J’aimerais qu’il raconte ça, s’il est ici. Sonny Schimpff, un grand gaillard, en bonne santé. Il m’arrivait souvent autrefois, quand je...

67 Ça me coûte de le dire, mais c’est la vérité. Papa me donnait dix cents si j’avais bien travaillé toute la semaine, alors je venais en ville, et je laissais ma bicyclette chez Frère Mike Egan, l’un des administrateurs, ici. Avec Jimmy Poole, je pense que son fils est ici, ce soir; Jim et moi, et Ernest Fisher, nous allions en ville, au cinéma, ça coûtait cinq cents, nous allions voir les vieux films muets. Nous étions des enfants et nous voulions voir ça, nous avions peut-être huit ou dix ans. Il y avait là William S. Hart. Beaucoup parmi vous ne se souviennent pas de lui, de ce vieil acteur. C’étaient des films muets, et moi, je ne savais pas lire. Il fallait que je me contente de regarder ce qui se passait. Il fallait épeler tout ça, et moi je n’y arrivais pas, par contre je regardais ce qu’il faisait.

68 Il me restait encore cinq cents. Combien se souviennent d’avoir acheté une glace pour un cent? Très bien. Je pouvais acheter trois cornets de glace, et pour deux cents de bonbons forts à la cannelle. Comme je ne pouvais pas tenir les cornets de glace, je les mangeais tout de suite. Et j’achetais pour deux cents de bonbons forts à la cannelle, ça m’en faisait presque une demi-livre [deux cent cinquante grammes]. C’est Schimpff qui les faisait. Puis j’allais là-bas, je m’installais bien et je regardais William S. Hart.

69 Et ce jeune homme, un peu plus âgé que moi, a été frappé d’une maladie, et alors cinq éminents spécialistes de Louisville l’avaient condamné; il pesait environ quarante-cinq livres [vingt kilos], et il se mourait. C’est Mme Morgan qui lui donnait des soins. Son état était vraiment grave! Tant de choses n’allaient pas chez lui : ses poumons étaient atteints, sa gorge était atteinte. Ses bras amaigris étaient à peu près gros comme ça. Et il était sur son lit de mort.

70 Mme Morgan a été engagée pour s’occuper de lui. Alors, elle lui a dit : “J’ai déjà été malade du cancer”, et elle a commencé à lui raconter.

71 Il a dit : “Qui dites-vous? Billy Branham? Mais,” il a dit, “je lui en ai vendu en quantité, des bonbons forts à la cannelle et des glaces.” Il a dit : “Je me demande s’il viendrait prier pour moi?” Et je suis allé prier pour Junie Schimpff.

72 Et maintenant, si vous voulez lui parler, c’est la confiserie Schimpff, c’est juste à côté du cinéma Le Rose, ou, deux portes plus loin. La confiserie Schimpff, vous savez tous où ça se trouve. Oh, c’est l’un des établissements les plus anciens de Jeffersonville.

73 Et, alors qu’il était sur son lit de mort, que cinq spécialistes ne lui donnaient plus que quelques heures à vivre. C’était AINSI DIT LE SEIGNEUR : “Vous ne mourrez pas; mais vous me vendrez encore des bonbons forts à la cannelle derrière le comptoir.” Il y avait longtemps...

74 J’avais su qu’il s’était rétabli, mais il y avait longtemps que j’avais oublié ça. Et ma femme et moi, nous sommes allés acheter des bonbons, quand nous sommes arrivés pour Noël. Et je ne sais pas comment l’idée nous est venue d’aller chez Schimpff. En effet, d’habitude nous allons les acheter dans une des pharmacies, mais là nous nous sommes arrêtés devant chez Schimpff.

75 Quand je suis entré, sa soeur m’a regardé, et elle a dit : “Eh bien, Frère Branham.” Elle a dit : “Vous vous souvenez de Junie?”

76 J’ai dit : “Oui.” Il était là, un grand gaillard robuste, il avait l’air bien portant.

77 Je me suis approché du comptoir, je regardais, en gardant la tête baissée, comme ceci. J’ai dit : “Je prendrai une livre [cinq cents grammes] de ces bonbons forts à la cannelle.”

78 Il a dit : “Oui, monsieur.” Alors, sa soeur servait ma femme. Et donc, il les a sortis.

79 Et j’ai dit : “J’avais l’habitude d’en manger, il y a bien longtemps de ça, ici, au cinéma”; je gardais la tête baissée.
Et il a dit : “Oui,” il a dit, “beaucoup d’enfants en achètent.” “Ils en achètent toujours”, j’ai dit.
Il a dit : “C’est mon père qui a fabriqué ça, c’est sa recette.” J’ai dit : “Je les aime beaucoup.”

80 Alors, après qu’il les a préparés, il me les a tendus en disant : “Autre chose?”
J’ai répondu : “Je ne sais pas”, et je me suis redressé. Oh! la la! Il a dit : “Frère Branham!”

81 J’ai dit : “Ce sont les bonbons forts à la cannelle au sujet desquels je vous ai dit : ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR’, il y a environ cinq ans.”

82 Il a dit : “Frère Branham, je suis complètement guéri, au point qu’il n’y a même pas la moindre séquelle. Je suis un peu sourd d’une oreille.” Je pense qu’il est dans la cinquantaine. Il a dit : “Je suis un peu sourd d’une oreille, parce qu’on m’a donné tellement d’antibiotiques quand j’étais là-bas.” La grâce étonnante de Jésus-Christ!

83 Je n’ai plus beaucoup de temps maintenant pour dire quelque chose d’autre, mais je–je–je voudrais faire cette déclaration.

84 Combien se souviennent des écureuils? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Très bien. Ça, c’était un passage de l’Écriture qui m’avait toujours laissé perplexe, que je–je n’avais jamais pu comprendre.

85 Et il y en avait un autre qui me laissait perplexe, c’était la fois où Moïse avait pu indiquer à Dieu une meilleure manière de faire que celle que Dieu connaissait, quand Moïse avait dit : “Les gens diront : ‘Votre Dieu avait le pouvoir de vous faire sortir, mais Il n’avait pas le pouvoir de vous préserver’”, et Moïse s’est jeté dans la brèche. Et, plus tard, j’ai découvert que Moïse, que c’était Christ en Moïse, qui prenait position pour les gens. Voyez?

86 Donc, pour ce qui est de ce passage de l’Écriture sur lequel je ne voulais jamais prêcher : “Si vous dites à cette montagne : ‘Ôte-toi de là.’” Vous connaissez l’histoire, alors, je vais la laisser de côté. Or, j’étais loin de me douter de ce qui allait s’ensuivre. Je pense que Frère Wood, Frère Fred et les autres sont ici dans le bâtiment, ceux qui étaient présents au moment où c’est arrivé, ou juste après que c’est arrivé là-bas.

87 Frère Rodney, Frère Charlie, du Kentucky, le frère de Soeur Wood, et les autres, étaient présents au moment où c’est arrivé dans le Kentucky, c’était la deuxième fois que ça arrivait. Simplement créer par la Parole des choses qui n’existaient pas. Voyez? Ce qui exprimait, continuellement, et confirmait les Écritures, encourageait.

88 La troisième fois que c’est arrivé, c’était la fois de Hattie Wright. Hattie est-elle ici, ce soir? C’est la... d’Édith. Combien connaissent Hattie Wright? Frère Wood et moi étions assis là quand c’est arrivé, quand le Saint-Esprit a dit : “Donne-lui ce qu’elle désire”, nous étions en train de parler de ça, de ces écureuils, comment ils avaient été créés.

89 Et j’ai dit : “C’est qu’Il est Jéhovah-Jiré, voilà tout. Au moment même où Abraham a eu besoin d’un bélier, Dieu lui a fourni ce bélier. Et Il m’a fourni les écureuils. Il peut créer, par Sa Parole, un écureuil, puisqu’Il est le Créateur, tout comme Il a pu créer le bélier. Abraham ne l’a jamais demandé. Il allait tout simplement exécuter la chose, mais c’était la preuve que Jéhovah-Jiré était là.”

90 Quand j’ai dit ça, une humble petite femme... La toute première fois que c’est arrivé, le Troisième Pull, à un être humain, c’était à une humble petite femme.

91 Elle qui vivait avec environ deux cents dollars par année, c’est tout ce qu’elle tirait de sa petite ferme. Son mari était mort; elle avait deux enfants qui étaient devenus assez indisciplinés. Et elle était venue donner vingt dollars de ce montant-là pour la construction du Tabernacle. Ce matin-là, Méda m’avait donné de l’argent pour acheter de l’épicerie, vingt dollars, et j’allais lui redonner cet argent, ce jour-là, à l’occasion de ma visite, pour qu’elle n’ait pas à payer ça. Mais elle n’avait pas voulu l’accepter. Et quand...

92 Elle était assise au fond de la pièce, dans un coin, et quand j’ai dit : “Tout ce que je sais, c’est qu’Il est toujours Jéhovah-Jiré.”

93 Et la petite Hattie a prononcé la parole juste. Elle a dit : “Ce n’est rien d’autre que la Vérité.”

94 Et quand elle a dit ça, – Frère Banks Wood, ici, est l’un de ceux qui étaient présents, – on aurait dit que la pièce allait s’écrouler. Et le Saint-Esprit a dit, la même Voix qui avait parlé des écureuils a dit : “Donne-lui ce qu’elle demandera.”

95 J’ai dit : “Soeur Hattie, comme témoin devant Dieu, voici, ça y est. Maintenant, s’il y avait un doute dans ton esprit : demande ce que tu veux, et si tu ne le reçois pas sur-le-champ, alors je suis un faux prophète.”

96 Elle a dit : “Frère Branham.” Tout le monde pleurait. Elle a dit : “Qu’est-ce que je vais demander?”

97 J’ai dit : “Tu es pauvre, et tu habites sur la colline, là, sans argent; tu pourrais demander ça. Tu as une petite soeur infirme, assise ici, Édith, pour laquelle nous prions depuis des années; tu pourrais demander sa guérison.” J’ai dit : “Ton père et ta mère sont âgés et affaiblis; tu pourrais demander quelque chose pour eux. Quoi que tu demandes, Soeur Hattie, maintenant tu verras si cela arrive ou pas, maintenant même.” J’ai ajouté : “Il vient de me dire, la même Voix, Il a dit : ‘Donne-lui ce qu’elle demandera.’”

98 Elle a regardé autour d’elle et elle a dit : “Que vais-je dire, Frère Branham?”

99 J’ai dit : “Prononce ton désir. Pense à ton plus grand désir, et prononce-le.”

100 Et ses garçons qui étaient là à ricaner et à rire. Elle a dit : “Le plus grand désir que j’ai, c’est le salut de mes deux fils.”

101 J’ai dit : “Je te les donne, au Nom de Jésus-Christ”, et tout de suite ils ont réagi.

102 Et ils sont assidus à cette église, à la communion; ces jeunes garçons s’assoient là, ils participent au lavage des pieds avec les hommes, et tout ça. Nous en sommes tous témoins.

103 Elle a eu un vrai choix à faire. Sa mère devra mourir, et elle aussi, et tous. Mais ce qu’elle a demandé sera Éternel : le salut de ses enfants. Ça, c’est la troisième fois que c’est arrivé.

104 La quatrième fois que c’est arrivé, je l’ai expliqué la dernière fois que j’étais ici, c’était sur la montagne, alors que la tempête faisait rage. Combien ont entendu ça? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Oh, vous tous. Très bien. Alors que la tempête faisait rage. Et Dieu, qui est mon Juge, est ici : je redescendais de la montagne, alors que...

105 David Wood, je pense qu’il est ici quelque part, m’avait fait un sandwich, et c’en était un vrai de vrai! Je pense qu’il voulait me rendre la pareille, venger son père de celui que je lui avais fait il y a quelques années. Il avait mélangé là du bologne, et–et de la viande, et toutes sortes de choses. Et, comme je l’avais mis dans ma chemise et qu’il avait plu, c’était devenu une grosse boule de pâte.

106 Je descendais de la montagne. La tempête était tellement violente, c’est à peine si je voyais ma main devant moi. Et je sais qu’en moins de deux, on est complètement désorienté, là, à cause du vent qui souffle en rafales.
Or, il y a ici des témoins de ça.

107 L’un d’eux, c’est un de nos fidèles diacres, Frère Wheeler. Es-tu ici, Frère Wheeler? Où est-il? Oui, le voilà, Frère Wheeler.

108 Frère Mann, un prédicateur méthodiste de New Albany. Frère Mann est-il ici ce soir? Je ne sais pas s’il est ici ou pas.

109 Frère Banks Wood. Es-tu ici, Frère Banks? Il est dans le local d’enregistrement. Très bien. Et–et David Wood.

110 Et Frère Evans était là, je crois. C’est bien ça, Frère Evans? Frère Evans, qui est debout le long du mur, était là.

111 On avait annoncé sur les ondes, depuis des jours, deux jours, “qu’un violent blizzard était en train de balayer le pays”.

112 Frère Tom Simpson est ici ce soir. Alors qu’il venait du Canada, on lui a demandé d’éviter cette région, parce qu’il ne pourrait pas la traverser, “qu’il allait y avoir un blizzard”. Frère Tom, es-tu ici? Où es-tu? Le voilà, assis juste ici.
Les nuages sont arrivés. Et j’ai dit : “Frères...”

113 Tout le monde s’était dépêché de quitter cet endroit. Il ne restait plus personne là-bas, des cent et quelques hommes qui s’y trouvaient, il ne restait plus personne, sauf notre petit groupe, et le cow-boy, le cavalier. Nous avions décidé de rester.

114 J’avais téléphoné à Soeur Evans, et je lui avais demandé d’appeler ma femme pour lui dire d’avertir Tony que “si je n’arrivais pas, qu’il prenne quelqu’un d’autre pour présider le petit-déjeuner des Hommes d’Affaires”.

115 Et sur la montagne, ce–ce jour-là, j’ai dit : “Maintenant, quand il, dès que les premières gouttes de pluie commenceront à tomber, ou quoi que ce soit, retournez vite au camp.” J’ai dit : “En effet, dix ou quinze minutes plus tard, vous ne pourrez plus voir votre main devant vous, dans ce blizzard, et il tombera en peu de temps vingt pieds [six mètres] de neige sur la montagne.”

116 C’est comme ça que des gens, – vous avez vu ça dans le journal, – ils sont là-bas, et ils y laissent leur vie, et tout. Mais nous savions comment sortir de là, et les gens savaient où nous étions, alors, nous nous sommes sentis conduits à rester.

117 Donc, sur la montagne, quand ce blizzard a commencé, je me suis mis à redescendre. Je n’étais qu’à environ un demi-mille [huit cents mètres] de là, quand la Voix de Dieu a dit : “Fais demi-tour et retourne là-bas.”

118 Et j’y suis retourné comme Il me l’avait dit; après avoir attendu un instant et mangé le sandwich que David m’avait donné, je suis remonté là-haut et je me suis assis.

119 Et, pendant que j’étais assis là, que le vent tournoyait et soufflait au sommet des arbres, les faisait plier, et que le grésil et la neige volaient partout, une Voix a dit : “Je suis le Dieu de la création.”

120 J’ai levé les yeux, et j’ai pensé : “D’où est-ce que c’est venu? C’était peut-être le vent.”

121 Il a dit : “J’ai créé les cieux et la terre. J’ai apaisé les vents violents, sur les mers”, et Il a continué à parler.
Je me suis levé d’un bond et j’ai enlevé mon chapeau.

122 Il a dit : “Parle simplement à la tempête, et elle cessera. Quoi que tu dises, c’est ce qui arrivera.”

123 Et j’ai dit : “Tempête, arrête-toi. Et, toi, soleil, brille normalement pendant quatre jours, jusqu’à ce que nous soyons partis d’ici.”

124 Je venais à peine de le dire que le grésil, la neige et tout le reste se sont arrêtés. Un instant plus tard, un soleil chaud brillait dans mon dos. J’ai vu les vents souffler comme ceci, revenir du nord, et descendre... je veux dire, de l’est, revenir de l’est. Avant, ils venaient de l’ouest; les vents ont changé de direction et ils sont revenus de ce côté-ci. Et les nuages, comme quelque chose de mystique, se sont élevés dans les airs et, quelques minutes plus tard, le soleil brillait.

125 Puis le Seigneur Jésus m’a parlé, un peu plus tard, au sujet de ma femme, là-bas, comme vous le savez, à peu près au même endroit, là où j’étais monté. Je n’ai encore jamais été à la maison pour notre anniversaire, et nous sommes mariés depuis vingt-deux ans. Lors de notre premier anniversaire, le premier, à notre mariage, eh bien, je l’ai emmenée dans une partie de chasse. En effet, je n’avais pas les moyens de faire les deux, la partie de chasse et–et–et le voyage de noces, alors, je–j’ai fait, en quelque sorte, d’une pierre deux coups. Et alors, depuis cette fois-là, je suis toujours allé à la chasse. Il me semblait que c’était comme ça que j’allais lui faire plaisir.
Alors ça, c’est la quatrième fois que c’est arrivé.

126 Maintenant il y a quelque chose que je–je voudrais dire; et je dois dire l’exacte vérité. Il y a environ seize ans, j’étais en Californie, avec Frère John Sharrit, je faisais une réunion là-bas. Méda et moi, avec Frère et Soeur Sharrit et les autres, nous logions à l’hôtel. Et un homme du nom de Paul Melikian, qui est venu ici même, dans ce tabernacle, bien des fois; c’est un Arménien fortuné. Sa femme avait donné naissance à un enfant, à Fresno, en Californie, là où ils habitaient; il est venu avec sa femme, et il m’a appelé à l’hôtel, il a dit : “Puis-je faire monter ma femme, Frère Branham?”
J’ai dit : “Mais oui, bien sûr.” Le lendemain j’allais à Catalina.

127 Alors, il a fait monter sa femme, et cette jeune femme était vraiment malade! Elle... J’ai dit : “Mettez votre main sur la mienne, Soeur Melikian,” j’ai dit, “nous verrons si le Seigneur nous dira ce qu’il en est.” Et dès qu’elle a posé sa main sur la mienne, j’ai dit : “Oh, c’est une phlébite.”
Elle a dit : “Il ne me semble pas que j’en aie les symptômes.”

128 J’ai dit : “Surveillez ça.” Deux jours plus tard, on la soignait pour une phlébite.

129 C’est comme le jeune Jimmy Poole, ici, son tout-petit. L’autre jour, il est venu, celui-ci avait été pris d’une crise cardiaque, c’est ce qu’ils avaient cru, alors que c’était une crise d’asthme. J’ai mis ma main sur lui. J’ai dit : “Surveillez-le pendant quelques jours; il a la rougeole. Elle va sortir. C’est la fièvre.” Je l’ai rencontré hier soir. Il m’a dit qu’il est couvert de rougeole. Voyez?

130 Donc, je parlais à Soeur Melikian, à propos de la main. Elle a dit : “C’est renversant de voir ça, Frère Branham.” Elle a dit : “Est-ce que ça marche avec toutes les mains?”

131 J’ai dit : “Eh bien, seulement si quelque chose ne va pas chez le patient.” J’ai dit : “Tenez, je vais poser ma propre main dessus”, beaucoup d’entre vous ont observé ça, et rien n’est arrivé. J’ai dit : “Tenez, il n’y a rien qui ne va pas chez ma femme, qu’elle pose sa main...”

132 “Tiens, chérie, mets ta main sur la mienne.” Elle est assise là, ma femme. Elle a mis sa main sur la mienne. Et aussitôt, j’ai dit : “Tu as un kyste sur l’ovaire gauche. Tu as un problème gynécologique.”
Elle a dit : “Je ne sens pas de changement.”

133 J’ai dit : “Mais c’est ce que tu as.” Becky avait deux ans. Ma fille qui a joué tout à l’heure, elle avait deux ans.

134 Deux ans plus tard, Sara est venue au monde, et quand... Elle est venue par césarienne. Et j’ai demandé au docteur Dillman, notre docteur, à–à Corydon, de... “Quand vous aurez ouvert, regardez son ovaire gauche”, et il l’a fait.
Il a dit : “Je n’ai rien vu d’anormal.” J’ai posé ma main; c’était toujours là.

135 Quatre ans plus tard, Joseph est arrivé. Je lui ai demandé de regarder de nouveau. “Je n’ai rien vu d’anormal.” J’ai posé ma main; c’était toujours là. Alors, nous avons simplement oublié la chose.

136 Maintenant, il y a ici quelque chose que je dois dire. Je n’aime pas le dire mais, pour présenter la vérité, il le faut, voyez-vous, et c’est ce qu’on veut. Dites toujours la vérité, peu importe ce qui arrive.
Des années ont passé, sans que nous remarquions quoi que ce soit.

137 Et je dis ceci, non pas parce qu’elle est assise là, puisque je le dis quand elle n’est pas là. Et vous le savez. Je ne crois pas qu’il puisse y avoir une meilleure épouse au monde que la mienne, et j’espère qu’elle restera toujours comme ça. Et je veux être un mari fidèle, et j’espère que chaque jeune homme dans ce bâtiment, quand il se mariera, aura une épouse comme la mienne. Je ne sais pas combien de temps nous vivrons comme ça, mais j’espère que ce sera pour le reste de nos jours sur la terre. Nous avons été très heureux ensemble. C’est Dieu qui m’a dit de l’épouser.

138 Au même moment, sans qu’elle le sache, j’essayais de ne pas l’épouser; non pas parce que je ne l’aimais pas, mais parce que je ne pensais pas que je puisse pourvoir à ses besoins. C’était une femme très bien, et je ne méritais pas ça.

139 Et elle s’est retirée pour prier, et elle a ouvert sa Bible. Et devinez... Elle a dit : “Seigneur, je n’ai jamais fait ceci auparavant, mais donne-moi un passage de l’Écriture qui m’aidera. Si je dois l’oublier, je dois l’oublier.” Elle a ouvert la Bible...

140 Elle s’était retirée dans une petite cabane, et elle priait. Quand elle a ouvert la Bible : “Malachie 4. Voici, Je vous envoie Élie, le prophète, avant que...” C’était–c’était il y a vingt et quelques années, alors qu’elle ne savait rien du ministère de ce jour. Et j’étais... je ne pouvais pas...

141 J’étais couché, là-bas, au bord de la rivière. Et une nuit, Il m’a réveillé–réveillé, je L’ai entendu là près de la porte. Il a dit : “Va la chercher, ton mariage aura lieu le vingt-trois octobre prochain.” C’est exactement ce que j’ai fait. Et nous avons vécu heureux. Par la grâce de Dieu, nous ne nous sommes jamais disputés. Elle a été un amour.

142 Un jour, je suis entré. Et elle a dû élever les enfants toute seule; moi, j’étais au loin pour remplir mon ministère. Pas beaucoup de femmes accepteraient ça; vous le savez, ce serait assez difficile. Alors, je suis entré, et elle a dit quelque chose. Nous avons Joseph, qui est là au fond, et c’est un... C’est un garçon, un vrai de vrai! Il a contribué à donner des cheveux gris à sa mère, tout comme moi. Donc, c’est vraiment un garçon, tout un, et là il avait fait quelque chose de vraiment mal. Et je lui ai dit... Elle m’a dit : “Bill, donne-lui une bonne correction.”
J’ai dit : “Je n’en ai vraiment pas le courage.” Voyez?

143 Elle a dit : “Oui, mais si toi, tu avais à supporter ça”, et elle m’a claqué la porte au nez.

144 “Eh bien,” j’ai pensé, “ce n’est pas grave. La pauvre petite, elle ne l’a pas fait exprès.”

145 Et je suis sorti laver ma voiture. Une fois sorti, le Saint-Esprit n’avait pas aimé ça, Il a dit : “Va lui dire”, je crois que c’est II Chroniques, chapitre 22. Je ne, j’ai d’abord pensé que je n’avais fait qu’imaginer ça. J’ai simplement continué à laver. Et Il l’a répété : “Va lui dire de lire ceci.”

146 Alors je suis entré, j’ai pris la Bible et j’ai lu ça. C’était le passage où Mo-... ou, Miryam, la prophétesse, s’était moquée de son frère, Moïse, pour avoir épousé une Éthiopienne, et Dieu n’a pas aimé ça. Il a dit : “Il aurait mieux valu pour elle que son père lui crache au visage, plutôt que–qu’elle ait–qu’elle ait fait ça.”

147 Alors, Miryam a été entièrement couverte de lèpre. Aaron est allé dire à sa soeur, il a dit... ou, il est allé dire à son frère, il a dit : “Elle se meurt de la lèpre.”

148 Alors, Moïse est allé en vitesse intercéder pour elle, à l’autel. Et quand il l’a fait, la Colonne de Feu est descendue, Dieu. Il a dit : “Va, appelle-les, elle et Aaron, et amène-les ici.” Aaron aussi était impliqué là-dedans. Alors, Il a dit : “Appelle-les, et qu’ils viennent ici.”

149 Il a dit : “Lorsqu’il y aura parmi vous quelqu’un”, c’est maintenant Dieu qui leur parle, “qui est spirituel ou prophète, Moi, l’Éternel, Je Me ferai connaître à lui. Je lui parlerai dans des visions, et–et Je Me révélerai à lui par des songes, et–et Je lui révélerai des songes et tout.” Il a dit : “Mais Mon serviteur Moïse, il n’y a personne comme lui dans tout le pays.” Il a dit : “À Lui Je parle de bouche à oreille.” Il a dit : “N’avez-vous pas craint Dieu?” Voyez-vous, Dieu n’avait pas aimé ça.

150 Eh bien, quand j’ai vu ça, je suis entré en vitesse. Elle était dans l’autre pièce. J’ai frappé à la porte. Elle s’était enfermée. Je lui ai dit que je voulais lui parler. Je suis entré et je lui ai parlé, j’ai essayé de lui dire ce qu’il en était. J’ai dit : “Chérie, tu sais combien je t’aime, mais Dieu n’a pas aimé ça. Tu n’aurais pas dû dire ça.” Aussitôt après, elle s’est mise à avoir mal au côté.

151 Nous l’avons amenée chez le médecin ici, à Louisville, le docteur Arthur Schoen, et il a trouvé une tumeur sur l’ovaire gauche, celle que j’avais trouvée quinze ou seize ans auparavant. “Une tumeur sur l’ovaire gauche, environ de la grosseur d’une noix.”
J’ai demandé : “Qu’est-ce que vous en pensez, docteur?”

152 Il a répondu : “Voyons ce qui va arriver. Ramenez-la dans quelques mois, environ deux mois ou quelque chose comme ça.”

153 Nous l’y avons ramenée. La tumeur était passée de la grosseur d’une noix à environ la grosseur d’un citron. Il a dit : “On ferait mieux de l’enlever; elle pourrait se ramollir et devenir maligne.”

154 J’ai dit : “Oh, mais,” j’ai dit, “c’est que nous–nous partons pour Tucson. Le Seigneur m’envoie à Tucson.”

155 Il l’a envoyée chez un gynécologue; il ne voulait pas avoir son cas sur les bras. Alors, il devait avoir parlé à celui-ci de mon ministère, parce qu’il... Le gynécologue a déclaré : “Il faudra l’enlever.” Alors, il a dit... Nous lui avons dit que nous partions pour–pour Tucson. Il a dit : “Eh bien, il y a un spécialiste là-bas, qui est un ami très cher. J’ai déjà vécu à Tucson.” Il a dit : “Je vais vous envoyer le consulter.”

156 Alors il lui a écrit un mot et le lui a envoyé, il disait : “Madame Branham est une gentille dame”, et ainsi de suite comme ça. Il disait... Il lui a envoyé le schéma montrant la grosseur de la tumeur, et tout. À ce moment-là c’était devenu une tumeur; il lui a dit quelle en était la grosseur. Il a dit : “Je sais...” Vous savez, il savait... Je pense qu’il a pensé, qu’il m’a appelé un “guérisseur Divin”. Il ne savait pas l’exprimer autrement. Mais il a dit : “Je suis d’accord que–qu’on l’enlève, on devrait. S’il faut l’enlever, enlève-la.”

157 Mais c’était un test pour notre foi. Nous avons prié sans relâche. Et plus nous priions, plus la tumeur grossissait, à un point tel que ça dépassait, sur son côté. Nous avons gardé ça pour nous; quelques personnes ici étaient au courant; nous attendions de voir ce qui arriverait. Et ça continuait comme ça.
Finalement, en revenant du Canada, là où j’ai...

158 Le Seigneur m’a donné de conduire cette tribu d’Indiens à Christ. J’y retourne pour les baptiser au Nom du Seigneur Jésus, au printemps, si le Seigneur le veut.

159 Donc, je suis revenu, et c’était le moment où elle devait aller, pendant que j’étais à New York... ou, ici, subir une autre opéra-... subir l’opération, ou être examinée pour la dernière fois. Je suis allé à New York. Et en revenant, je me suis arrêté ici, et je suis allé... Après avoir tenu la réunion ici, la dernière réunion, je suis allé l’appeler de chez Frère Wood.

160 Elle a dit : “Bill, je ne peux même plus supporter le poids de mes vêtements là-dessus.” À ce moment-là, ça dépassait comme ceci de son côté. Et sa jambe, de ce côté-là, elle devait avancer en clopinant, c’était la plus mauvaise semaine qu’elle ait jamais eue. Elle est assise juste là, en train de m’écouter. La plus mauvaise semaine qu’elle ait jamais eue. Elle a dit : “Je dois aller après-demain subir cet examen.”

161 J’ai pensé : “Ô Dieu, si on ouvre et qu’on l’enlève, ça nous empêchera d’aller à la maison à Noël, et j’ai déjà dit aux gens que j’y serais.” Et j’ai dit : “Quel moment! Oh! la la!” J’ai pensé.

162 “Dis-lui que, s’il doit t’opérer, eh bien, ‘qu’il attende encore un peu, jusqu’après Noël’.”

163 Puis, je me suis mis à réfléchir : “Cette tumeur est peut-être maligne.” Et dans cette région, ici, vous savez, c’est grave, ça peut descendre dans les reins. Et si ça continue, que c’est malin, là c’est mortel. Alors, j’ai pensé : “Qu’est-ce que je peux faire?”
Et Méda a dit : “Eh bien, tu n’auras qu’à m’appeler”, elle a dit.

164 Le jour où j’arrivais à Shreveport, c’est-à-dire le lendemain, le jour où j’arrivais à Shreveport, elle devait aller subir cet examen. Donc, elle est allée chez le... C’est Mme Norman qui devait l’accompagner, Soeur Norman, – vous la connaissez tous, vous qui venez au Tabernacle, – elle devait l’accompagner chez le spécialiste. Donc, elle a dit : “Attends après ton premier soir à–à... et que tu sois revenu.” À cause du décalage horaire de deux heures. “Et là, appelle-moi, une fois que tu seras revenu de la réunion, et je te dirai ce que je dois faire.”
Et j’ai dit : “Très bien.” Alors, je suis reparti.

165 Le lendemain matin, avant de partir, je devais aller prendre Billy et Loyce. Ils sont tous les deux présents. Et toujours...

166 Nous avons un vieux tabouret que Frère Palmer a recouvert pour nous il n’y a pas longtemps, et nous nous mettons toujours autour de ce tabouret pour prier, chaque fois que nous... Oh, un genre de pouf, vous savez, un tabouret. Chaque fois, nous nous mettons là autour et nous prions, quand je dois partir pour une réunion, nous demandons à Dieu de nous aider.

167 J’étais là depuis deux jours, et je–je me sentais seul. La maison : les enfants n’étaient pas là, et elle n’était pas là. Vous savez, beaucoup d’entre vous sont au courant que j’ai dû traverser ça une fois, retourner dans une maison vide; seulement, j’ai enterré cette épouse-là : Hope. C’est comme si je revivais tout ça. Je me suis agenouillé, j’ai pensé : “Eh bien, je vais prier, ensuite j’irai chercher Billy et Loyce, et nous partirons.”

168 Alors je me suis agenouillé pour prier, et j’ai dit : “Seigneur, ils me manquent, ici, ce matin.” J’ai dit : “Je Te prie de les aider et de les bénir. Puissions-nous revenir dans ce lieu. Et maintenant,” j’ai dit, “ils sont là-bas, parce que Tu m’y as envoyé, par une vision, et Tu l’as accomplie. Et maintenant, je veux attendre de voir ce que Tu me diras de faire ensuite.” J’ai dit : “Je Te prie de... Sois miséricordieux envers elle.” Et j’ai dit : “Aide-moi, à la réunion là-bas.” Ensuite, j’ai continué... j’ai dit : “Seigneur, fais que ce ne soit pas malin. Fais que ce docteur attende jusqu’après le premier de l’an pour l’enlever. Ça me–me fait vraiment de la peine de la voir...”

169 J’ai dit : “Seigneur, elle ne l’a pas fait exprès, ce matin-là. Elle ne l’a pas fait exprès.” J’ai dit : “Seigneur, elle n’a jamais dit un mot, pas une seule fois, quand je partais tenir des réunions, que j’étais absent pendant des mois, ni sur quoi que ce soit. Pas une seule fois elle n’a ouvert la bouche à ce sujet. Elle a toujours envoyé mes vêtements au nettoyage, lavé mes chemises, et tout préparé pour mon départ pour les réunions. Après ça, elle se demande comment elle peut servir Dieu.”

170 Vous, les femmes, en servant votre mari, vous servez Dieu, bien sûr.

171 “Et puis, là, quand je rentrais, exténué, épuisé, les gens venaient de partout. J’avais besoin de partir quelque part à la pêche ou à la chasse pendant quelques jours. Eh bien, beaucoup de femmes seraient sorties de leurs gonds à cause de ça. Elle, qu’est-ce qu’elle faisait? Elle préparait mes vêtements de chasse pour que je puisse partir; elle me laissait aller.” J’ai dit : “Seigneur, elle ne l’a pas fait exprès.” Et j’ai dit : “Elle a dû passer trois fois par le bistouri pour des césariennes.” Et j’ai dit, je... “Seigneur, ça me–me fait de la peine de la voir passer par là de nouveau.”

172 Juste à ce moment-là, j’ai entendu quelque chose dans la pièce. J’ai levé les yeux. Et une Voix a dit : “Lève-toi.” Elle a dit : “Maintenant, quoi que tu dises, il en sera ainsi.”

173 J’ai attendu une minute. J’ai dit : “Avant que la main du docteur ne la touche, la main de Dieu enlèvera la tumeur, et elle ne pourra plus être retrouvée.”

174 Pour moi, c’était une affaire réglée. Je ne lui ai même pas téléphoné. Nous nous sommes mis en route, tout simplement, je suis allé chercher Billy et Loyce, et nous sommes partis pour Shreveport.

175 Le lendemain soir, je lui ai téléphoné. Elle était heureuse. Elle a dit : “Bill, il faut que je te dise!”

176 Maintenant, elle est ici, et elle peut le confirmer. Elle a dû se rendre là-bas en clopinant; elle est entrée dans la pièce avec l’infirmière et Mme Norman, elle a enfilé ses vêtements pour... la robe pour l’examen. Le docteur est arrivé, et elle a eu toutes les peines du monde à monter sur la table; la tumeur qu’elle avait là était tellement grosse. Et quand elle... Le docteur est entré, et il lui parlait. Il s’est approché, pour soulever le drap et la toucher, et juste avant qu’il ne la touche, la tumeur a disparu.

177 Le docteur ne savait plus de quel côté elle se trouvait. Il a dit : “Attendez une minute!” Malgré le dessin représenté sur les schémas, les radios et tout le reste, il n’a pas pu en trouver la moindre trace. Il l’a examinée à plusieurs reprises. Il a dit : “Je ne serais peut-être pas capable de l’expliquer, mais, Madame Branham, la tumeur n’est plus là.” Et depuis, elle n’en a plus eu aucun symptôme.

178 Qu’était-ce? Remarquez, c’était exactement comme il avait été dit : “Avant que la main du docteur ne puisse la toucher.” Une fraction de seconde, et sa main l’aurait touchée. Combien la Parole du Seigneur est parfaite!

179 Maintenant, il y a là mon épouse, et nous sommes tous les deux devant Dieu. Mais, avant même que la main du docteur ait pu toucher son corps, alors qu’il avançait sa main comme ça, quelque chose est arrivé, la tumeur a disparu. Et ils n’ont même pas pu, il–il a dit... Je crois que c’est ça, n’est-ce pas, chérie? “Je veux vous rassurer, Madame Branham,” (Est-ce bien comme ça qu’il l’a dit? C’est ça.) “cette tumeur n’est plus là. Vous n’avez pas de tumeur.”

180 Qu’était-ce? Exactement selon la Parole du Seigneur qui...?... Amen. Ça, c’est la cinquième fois. Cinq, c’est le nombre de la grâce, c’est aussi le nombre de la f-o-i [en anglais : f-a-i-t-h–N.D.T.].

181 Il n’y a plus de doute dans mon esprit. Je sais ce qu’est le Troisième Pull, et je sais ce qu’il fait. Maintenant, soyez respectueux, restez bien tranquilles, l’heure viendra bientôt où Dieu fera de grandes choses pour nous.
Maintenant, inclinons la tête pour prononcer une prière.

182 Seigneur Jésus, je l’avais vu sur d’autres personnes, mais quand il s’est agi de ma précieuse épouse, à ce moment-là c’était dans mon foyer, Seigneur. J’ai regardé ça de mes propres yeux, je l’ai palpé avec mes propres mains. Et je... quin-... seize ans auparavant, là aussi, Seigneur, la chose était connue de Toi et avait été révélée par Toi. Quand quelque chose a été prononcé, cela doit s’accomplir. Tu me montrais alors, Seigneur, que la confiance que j’avais dans ce que Tu avais fait pour les gens, et Tu m’avais fait connaître ces choses afin que je puisse les aider. Tu as accompli cela dans mon propre foyer. C’était le Premier Pull. Et maintenant le Troisième Pull a confirmé le Premier Pull.

183 Nous sommes reconnaissants, Père. Pardonne-nous nos manquements. Nous sommes un peuple modeste. Nous sommes sans instruction, ni plus ni moins qu’un peuple illettré. Mais nous sommes si reconnaissants d’avoir un grand Dieu omnipotent, qui veille sur nous et qui prend soin de nous, car nous ne savons pas prendre soin de nous-mêmes. Nous nous remettons entre Tes mains.

184 Maintenant, Père, je Te prie de m’aider. Et dans ce Troisième Pull, fasse, ô Seigneur, comme Tu en as parlé ces dernières années, Tu l’as montré sur... indiqué sur des montagnes, et ainsi de suite, Tu l’as manifesté progressivement. Maintenant, j’observais ça pour voir ce qu’il en était, jusqu’à ce que ce soit complètement confirmé. Maintenant je Te prie, Père, de m’aider à être plus respectueux, à l’égard de ceci, qu’il n’en était auparavant, et puisses-Tu en recevoir la gloire. Alors que c’est du haut de cette même chaire que le Premier Pull a été annoncé, puis le Deuxième, et maintenant le Troisième; et ce que Tu as dit s’est accompli, exactement tel que Tu l’avais dit. Nous Te croyons, Seigneur Dieu.

185 Aide-nous, chacun, à nous débarrasser de notre incrédulité et de nos superstitions, pour que nous puissions nous tenir dans la Présence du Dieu vivant, en sachant que c’est le même Dieu qui a enlevé cette tumeur de ma femme, ici présente; la chose a été confirmée par des sommités du monde médical de notre pays, qui ont fait l’examen, après quoi ils ont vu, ils en ont pris des radios; et maintenant c’est disparu. Tu es Dieu, et il n’y en a point d’autre que Toi.

186 Et nous T’aimons, parce que Tu as–Tu as permis que nous devenions Tes serviteurs. Puissions-nous Te servir avec révérence et honneur, tous les jours de notre vie. Accorde-le, Seigneur. Que moi, ainsi que ma famille et tous ces gens, que nous puissions être des Lumières qui brillent, du sel salé qui... qui créera chez d’autres personnes une soif d’aimer ce Jésus qui a tant fait pour nous.

187 Maintenant, alors que j’ouvrirai la Parole pour Y lire un petit texte, et que je prierai ensuite pour les malades, aide-moi, Seigneur. Parle-nous et guéris les malades, c’est au Nom de Jésus que nous T’adressons cette prière. Amen.

188 Est-ce que vous, est-ce que j’ai le temps, juste pour... [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Si je fais très vite, pour... un texte ici, que je voudrais que vous lisiez maintenant ou que vous notiez, ou, comme vous voudrez. Le premier passage se trouve dans le Livre des Nombres, 21.5 à 19, et voici ce que nous voulons lire. Le peuple s’impatienta en route, et parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Égypte, pour que nous mourions dans le désert? car il n’y a point de pain, et il n’y a point d’eau et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture, de la nourriture d’Anges. Alors l’Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants; ils mordirent le peuple et il mourut beaucoup de gens en Israël. L’Éternel... Le peuple vint à Moïse, et dit...

189 La confession! Regardez bien : “Nous avons péché!” Voyez-vous, avant toute chose, pour la guérison, il faut d’abord la confession. ...Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Éternel et contre toi. Prie l’Éternel, afin qu’il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple. L’Éternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche; ainsi quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie. Moïse fit un serpent d’airain, et le plaça sur une perche; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d’airain, conservait la vie.

190 Maintenant, j’aimerais aussi lire un passage dans Zacharie, au chapitre 12, le verset 10. Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication et ils tourneront les regards vers moi, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né.

191 Maintenant, voici ce que je vais prendre comme sujet : Tournez les regards vers Jésus. Détournez vos regards du monde, pour les tourner vers Jésus. Moïse avait fait le serpent; et ici le prophète, plus tard, il parlait là de ce qui allait arriver, en tournant les regards vers–vers Jésus.

192 La Bible dit, dans Ésaïe 45.22 – nous voyons que Dieu a dit : “Tournez-vous vers Moi, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre.” Et maintenant, alors que la terre est arrivée à sa fin, ou que le système de la terre est arrivé à sa fin, puissent les gens se tourner vers Lui.

193 Bon, vous direz peut-être : “Nous avons entendu ça de génération en génération. Ça fait longtemps que nous entendons ça.” C’est vrai, et ça fait longtemps qu’on le prêche. Beaucoup de ministres ont pris ce même texte, des milliers d’entre eux.

194 Mais voici la chose que je voudrais vous demander, ce soir, dans ces prochaines minutes. Mais, quand vous regardez, la question, c’est–c’est : que voyez-vous quand vous regardez? Que voyez-vous quand, effectivement, vous regardez? Ça dépend simplement de ce que vous cherchez. Voyez? Or Il a dit : “Tournez-vous vers Moi, vous tous qui êtes aux extrémités de la terre.” Moïse a élevé le serpent, et quiconque le regardait était guéri. Alors, ça dépend de ce que vous cherchez.

195 En ce dernier jour, j’ai vu des gens venir aux réunions, et ils ne pouvaient pas rester à la réunion plus d’une ou deux minutes. C’est tout ce qu’ils pouvaient supporter. Voyez-vous, ils ne pouvaient pas supporter ça.

196 Je n’oublierai jamais – j’espère que ceci ne causera pas de déshonneur à qui que ce soit qui viendrait de l’Iowa – la fois où j’ai tenu cette réunion à Waterloo.

197 Frère Lee Vayle, il était ici ce matin. Je ne sais pas s’il est ici ou pas ce soir. Es-tu ici, Lee? Il était ici ce matin. Oui, dans le local d’enregistrement, ici. Très bien.

198 Frère Lee et moi, nous avons fait tout ce que nous avons pu. Nous avons offert à l’association pastorale un petit-déjeuner, rien que pour pouvoir leur parler. Frère Lee Vayle, bien sûr, est un érudit et–et un docteur en théologie, et il a vraiment mérité son diplôme. Alors j’ai essayé de le convaincre de parler à ces luthériens, presbytériens, et autres, mais il a dit : “Non, ils s’attendent à ce que ce soit toi qui le fasses.”

199 Bon, alors j’y suis allé, et j’ai pris comme sujet, – devant ces ministres, après qu’ils eurent mangé, – j’ai pris comme sujet : Je n’ai pas désobéi à la vision Céleste. Je venais à peine de lire le passage de l’Écriture que deux d’entre eux se sont regardés, et ils ont pris la porte. Alors, j’ai commencé en disant : “Comme Paul, à son époque, avait eu un ministère bizarre, et voilà qu’il se tient devant Agrippa, et déclare qu’il n’y a pas désobéi”, environ deux ou trois autres se sont levés. Et lorsque je suis arrivé au point où je pouvais développer un peu le sujet, il n’en restait plus que trois ou quatre assis là. Ils s’étaient tous levés et étaient partis.

200 La raison de cela, la voici. Certains viennent à une réunion, quand ils entendent parler d’un évangéliste, la manière dont celui-ci s’habille influence les gens. S’il ne porte pas le genre de vêtement attendu, certains...

201 L’autre jour, j’ai entendu un–un psychologue déclarer; le docteur Narramore, un brave homme, un Chrétien, son émission est toujours diffusée sur la station de radio KAIR. Il a déclaré : “Le moyen de reconnaître qu’un homme n’a plus toute sa tête, c’est qu’il ne s’habille plus conformément à sa position.” Vous savez, conformément à la façon dont il doit se montrer en public; voilà un signe qui indiquait qu’il n’avait plus toute sa tête.

202 Eh bien, dans ce cas, j’ai été fou toute ma vie, alors, parce que je porte des salopettes et tout, voyez-vous. Alors, d’après ma position, je devrais m’habiller comme un membre du clergé, autrement dit, pour–pour être un membre du clergé.

203 Je ne pense pas que Jésus s’habillait comme un membre du clergé. Il s’habillait comme un homme ordinaire. Il se mêlait aux hommes, et l’habillement n’avait aucune importance.

204 Mais ça, voyez-vous, c’est tout simplement la façon de penser des hommes. Ça ne... Que dire de cet homme, ou, je me demande ce que le docteur penserait de ceci, la fois où un prophète, dans la Bible, avait reçu l’ordre de se dévêtir complètement et de marcher nu devant les gens? De nos jours on l’aurait vraiment pris pour un fou, n’est-ce pas? Mais c’est Dieu qui lui avait dit de le faire.

205 Un autre a dû rester couché sur le côté pendant trois cent quarante mois, je crois, rester couché sur le côté, sur un côté; puis se retourner de l’autre côté. Et manger le contenu d’un pot de lentilles, ce qu’il avait préparé là; il avait dû aller cuire ce mélange de choses, préparer ça, c’est ce qu’il devait manger tout le temps; tendre la main, en prendre une bouchée, manger ça, couché sur le côté, pour servir de signe. Voyez?

206 Oh, combien les gens peuvent être éloignés de la véritable Parole de Dieu. Ils deviennent si instruits que c’est leur instruction qui les éloigne de Dieu. Quand un homme dit qu’il a de l’instruction, je sais que ça représente combien il est éloigné de Dieu; voyez-vous, un doctorat. Je ne dis pas ceci contre le docteur Vayle, parce qu’il n’est pas ce genre de personne là. Mais, généralement, quand un homme obtient un doctorat, pour moi, tout ce que ça veut dire, c’est qu’il est d’autant plus éloigné de Dieu, voyez-vous, à moins qu’il puisse se cramponner à la Parole et à Dieu.

207 Maintenant, nous voyons que certains viennent pour entendre la manière dont on parle, quand ils viennent regarder. Qu’on parle de la guérison Divine et du Seigneur; si un homme ne correspond pas au type du génie érudit, les gens ne peuvent pas supporter de l’entendre employer des mots tels que “his’n, hain’t” [Frère Branham donne des exemples de mots de son anglais du Kentucky.–N.D.T.] et–et des mots pareils... Ils... Eux, ça non. Ils pensent que ça, c’est très, très loin de Dieu.

208 Alors que Jésus s’exprimait d’une façon tellement simple, qu’aujourd’hui les professeurs en sont déconcertés; en effet, ils essaient d’interpréter ça d’après le savoir et le langage de cette époque-là, alors que c’était le langage de la rue. C’est pourquoi...

209 Tenez, il y a tellement de différence, même ici, aux États-Unis! De la Floride, j’ai appelé à New York, et il a fallu qu’une femme de Saint Louis serve d’interprète entre une jeune fille du sud et une jeune fille du nord. Tellement il y avait de différence. Voyez? Certainement.

210 Maintenant, ce qui arrive, c’est que les gens recherchent ces choses, les discours, plutôt que la Parole. C’est la Parole manifestée qui est la preuve que C’est juste. Voyez-vous, la Parole manifestée! Ils ne regarderont jamais à Ça. Il faut avoir une conception intellectuelle, savoir, aller au séminaire apprendre à faire une révérence, à se tenir là sans se déplacer, et tout. Oh, il y a de quoi suffoquer, pour un ministre qui est vraiment rempli du Saint-Esprit. Voyez? Ça, c’est de l’intellectualisme.

211 Voilà l’état dans lequel ce pays tout entier s’est retrouvé. Il a une conception intellectuelle de Christ. C’est ce que les gens recherchent. “Si Christ est en vous, alors vous devez être un érudit, vous devez être un intellectuel”, parce que c’est là la conception qu’ils ont de Christ.

212 Et une autre fois, autre chose, ils forment leur propre opinion de ce qu’Il devrait être, leur propre idée, au lieu de croire ce que la Parole déclare. C’est pour ça que, quand ils regardent et qu’ils voient Jésus, Jésus Lui-même, ils ne Le reconnaissent pas. C’est ce qu’ils ont fait le Jour de la Pentecôte. C’est ce qu’ils ont fait quand Il était dans la chair. C’est ce qu’ils ont fait quand Il était dans la crèche. C’est ce qu’ils ont fait quand Il était dans les rues de Jérusalem. C’est ce qu’ils ont fait quand Il était sur la croix. Et Il était l’accomplissement de cette Parole. Mais eux, ils avaient prévu que le Messie allait descendre du Ciel sur une passerelle, et tout le reste, mais ils étaient dans l’erreur, parce que ça, c’en était leur conception intellectuelle. Ils ne L’ont pas vu, alors qu’Il était là, devant leurs yeux. C’est pareil aujourd’hui!

213 Que voyez-vous quand vous regardez? Certains s’attendent à voir, quand ils Le regardent, ils s’attendent à voir un grand intellectuel, fondateur d’une église, quelqu’un qui est capable de présenter un credo de telle façon que tout le monde gobera ce credo, quelque chose du genre. Voilà à quoi ils s’attendent, quand ils Le voient.

214 Certains regardent en s’attendant à voir un mythe, comme le père Noël, quand ils regardent. Ils lisent la Bible et disent : “Oh, c’est un mythe. C’est seulement quelque chose que l’homme a écrit. C’est ce qu’ils, en effet, quand ils...” L’opinion que vous avez de la Bible, c’est celle que vous avez de Lui. Voyez?

215 Certains regardent en s’attendant à voir un bébé. Certains regardent et ils voient un–un lapin ou un père Noël. Certains regardent en s’attendant à voir un livre historique qui se rapporte à hier et non à aujourd’hui.
Mais la question, c’est : vous, que voyez-vous quand vous regardez?

216 Il y en a tant parmi vous, qui prétendent avoir le Saint-Esprit, et qui regardent et voient la deuxième personne d’une trinité. Alors que ce n’est même pas mentionné dans la Bible. Ça n’existe pas. Le mot trinité n’est même pas dans la Bible, nulle part. Et pourtant, quand vous regardez Jésus, vous Le considérez comme étant la troisième personne, ou, la deuxième personne d’une trinité, et c’est pour ça que vous n’arrivez à rien.

217 Savez-vous ce qu’Il a dit? “Je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre que Moi.” Voyez?

218 Ça dépend de ce que vous regardez. Si vous voulez mettre en place une espèce de petite mascotte, un vieillard avec une barbe, et ainsi de suite; si c’est comme ça que vous regardez Jésus, comme étant une personne différente de Dieu, vous ne regardez pas comme il faut. Vous ne Le voyez pas.

219 Il n’y a pas longtemps, j’avais une paire de jumelles. J’essayais d’observer des antilopes, ou, une antilope, au loin dans la campagne. Mon fils cherchait à me la montrer, et il est beaucoup plus jeune que moi. Alors, il m’a dit : “Prends ces jumelles, papa! L’antilope est là, juste là!”
Je lui ai dit : “Je peux la voir à l’oeil nu.”
Il a dit : “Prends ces jumelles.”

220 Quand j’ai regardé, j’ai vu une dizaine d’antilopes, mais les jumelles n’étaient pas réglées. Et quand j’ai fait la mise au point, les dix sont devenues une seule.

221 Si vous faites la mise au point de votre pensée sur la Parole de Dieu, les trois seront Un. Voyez? Mais vos lunettes ecclésiastiques se dérèglent quand vous essayez de faire de Dieu trois personnes. Il est Un. Voyez?

222 Ça dépend de ce que vous regardez. Que voyez-vous quand, effectivement, vous regardez? Souvenez-vous, vous pouvez Le voir seulement quand vous Le regardez à travers la Parole. Vous ne pouvez pas Le regarder à travers un manuel. Vous ne pouvez pas Le regarder à travers un credo. Vous verrez deux ou trois dieux, et tout le reste, dans ces crédos. Mais regardez-Le à travers la Parole, et vous verrez qu’Il est “Emmanuel, ‘Dieu fait chair parmi nous’”. Il a dit : “Je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre que Moi.” Il est Dieu.

223 Une fois, Ésaïe a regardé, le prophète, et quand il a vu Jésus... Mon sujet, c’est “regarder vers Jésus.” Tournez les regards vers Jésus. Quand Ésaïe a détourné ses regards du monde, pour Le voir, Lui, alors il a dit : “Je vois un Conseiller, un Prince de la Paix, le Dieu Puissant, le Père Éternel.” C’est ce qu’Ésaïe a vu en détournant ses regards.

224 Une fois, Daniel se tenait là et il a vu la–la fin des royaumes des nations. Il a vu la statue que Nebucadnetsar avait vue en songe. Il a vu comment ils se succéderaient, l’un à la suite de l’autre. Et quand il a regardé pour voir ce qui allait advenir de tout ça à la fin, quand Il a vu Jésus, Il était “une Pierre qui s’était détachée de la montagne sans le secours d’aucune main”, et qui a écrasé les royaumes des nations.

225 Nebucadnetsar avait jeté dans la fournaise ardente trois jeunes Hébreux qui croyaient en Dieu et qui se tenaient à Sa Parole. Quitte à mourir pour Elle, ils allaient quand même s’Y tenir; c’était une petite chose toute simple, de fléchir le genou d’une façon quelque peu différente. Mais, quand il a tourné les regards et qu’il a vu Jésus, Il était “le quatrième homme” qui se trouvait dans la fournaise ardente, et dont la présence protégeait de la chaleur Ses serviteurs obéissants. C’est ce qu’a vu Nebucadnetsar.

226 Ézéchiel a tourné les regards pour Le voir, un jour, et Il était “une Roue au milieu de la roue”, tout en haut dans les airs. Il était le Moyeu de la roue, auquel est fixé chaque rayon. Amen! La grande roue marchait par la foi, mais la petite Roue tournait par la Puissance de l’Éternel. Voilà Qui Ézéchiel a vu, quand il a tourné les regards.

227 Jean-Baptiste a tourné les regards, un jour, et à ce moment-là, il a vu une Colombe; et une Voix qui disait : “Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en Qui Je me plais à demeurer.” Voilà ce qu’il a vu. Alors il a vu que Jésus et Dieu étaient une seule et même Personne; en effet, l’Esprit est descendu du Ciel sous la forme d’une Colombe, disant : “Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en Qui Je me plais à demeurer.” Voilà ce qu’il a vu. Remarquez, Il s’identifie de cette manière.

228 Noé, quand il a tourné les regards pour Le voir, Noé a vu les justes jugements de Dieu descendre sur les gens de ce monde qui avaient rejeté Sa Parole. Voilà ce que Noé a dit, quand il a tourné les regards vers Lui.

229 Moïse, quand il a tourné les regards, il a vu un buisson en feu. Une Colonne de Feu était venue dans un buisson et, quand Moïse s’En est approché, Il a dit : “Ôte tes souliers, car ‘JE SUIS’.” Maintenant, si vous pesez ce terme-là, “JE SUIS”, c’est au passé, au présent et au futur. “JE SUIS”, c’est Éternel! Voyez? “JE SUIS”, il a vu le “JE SUIS”. Voilà ce qu’il a vu dans le buisson ardent.

230 Israël a regardé le serpent d’airain que Moïse avait fait, et il a vu là les souffrances de Christ, le jugement qu’Il a pris sur Lui, pour les malades; en effet, nous savons que le serpent représentait l’Expiation.

231 Jésus était cette Expiation. “Comme Moïse éleva le serpent d’airain dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé”, dans le même but. Voyez? Pourquoi? Ils avaient péché, et ils étaient tombés malades. Il devait servir à enlever leurs péchés, et aussi leurs maladies. Et, de même, “Jésus a été blessé pour nos transgressions, et par Ses meurtrissures nous avons été guéris”. Si vous séparez la guérison Divine de Christ, vous rejetez la moitié de l’Expiation. Voyez?

232 Que voyez-vous en Lui, quand vous regardez? Voyez-vous cela? Voyez-vous “qu’Il a été blessé pour nos transgressions; que par Ses meurtrissures nous avons été guéris”? Quand vous tournez les regards, pouvez-vous voir cela, ou si vous ne pouvez voir qu’un côté de l’Expiation? Pouvez-vous en voir les deux côtés, quand vous regardez?
Si vous regardez la chose à travers le credo, on vous dira : “Les jours des guérisons sont passés.”
Mais si vous regardez la chose à travers la Parole, vous verrez “qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement”. Voyez?

233 Les disciples ont regardé à Lui lorsqu’ils étaient sur une mer agitée, et ils ont vu venir le seul secours qu’ils pouvaient recevoir.

234 Marthe a regardé à Lui, à l’heure où la mort avait frappé, et elle a vu qu’Il était “la résurrection et la Vie”. Amen! À l’heure où la mort avait frappé, Marthe a vu, quand elle L’a regardé... Il avait été rejeté par son peuple; Il avait été repoussé; elle L’avait même envoyé chercher, et Il n’était pas venu à son frère. Mais quand, finalement, Il est venu, elle est allée se jeter à Ses pieds pour pouvoir Le regarder, et là elle a découvert qu’Il était à la fois “la résurrection et la Vie”. Amen!

235 Jaïrus a fait la même chose, il croyait en secret; c’était un petit presbytérien, méthodiste ou baptiste, qui croyait vraiment, mais il ne pouvait pas se présenter là, parce que sa dénomination ne le lui permettait pas, et qu’il aurait été excommunié. Mais sa petite fille, son unique, se mourait, alors il a dû y aller. Mais, quand il L’a trouvé, il a découvert qu’Il était la résurrection et la Vie.

236 Alors qu’il L’avait fait venir, un messager est venu lui dire : “N’importune pas le Maître, car ta fille est déjà morte.” Il... Et son coeur s’est presque arrêté de battre.

237 Mais Il a dit : “N’ai-Je pas dit : ‘Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu’?” Jaïrus, quand lui a regardé Jésus, il a découvert qu’Il pouvait ressusciter les morts.

238 Les affamés ont regardé vers Lui, et ils ont trouvé une nourriture fortifiante pour la vie du corps. Ça, c’était sur le plan naturel. Ceux qui sont affamés spirituellement peuvent regarder à Lui et découvrir qu’Il est le Pain de Vie.

239 Le brigand mourant a regardé, il a cherché à voir quelque chose, et il a trouvé en Jésus son pardon. “Souviens-Toi de moi, Seigneur, quand Tu viendras dans Ton règne.” Jésus lui a dit : “Aujourd’hui tu seras avec Moi dans le paradis.” Voilà ce qu’il a vu, à l’heure de la mort.

240 Les malades ont regardé vers Lui, et ils ont vu le Guérisseur. Les aveugles ont regardé, et ils ont recouvré la vue.
Ça dépend de ce que vous regardez, alors. Vous, que regardez-vous?

241 Pierre et Nathanaël ont regardé, et ils ont vu la Parole promise, de leur prophète Moïse, manifestée. “L’Éternel, ton Dieu, te suscitera un Prophète comme moi, et c’est à Lui que les gens s’attacheront. Et tous ceux qui ne Le croiront pas, et qui n’écouteront pas ce Prophète, seront retranchés du milieu du peuple.”

242 Et quand Pierre est entré dans Sa Présence, Jésus lui a dit : “Ton nom est Simon, et tu es le fils de Jonas.” Il a su, à ce moment-là, dès qu’il a tourné, pour la première fois, les regards vers Jésus, que c’était là l’accomplissement de la Parole de Dieu, ce qu’Elle avait dit de Lui. Amen.

243 Je me demande si vous avez fait la même découverte, quand vous L’avez regardé pour la première fois? Je me demande si la Parole promise S’est manifestée à vous, quand vous L’avez regardé?

244 Nathanaël, dès qu’il est arrivé en Présence de Jésus, alors qu’il doutait encore un peu... Nous voyons que Philippe était allé lui dire : “Viens voir Qui nous avons trouvé.”
Et Nathanaël est venu, et il a dit : “Lequel est-Ce?”
Il a dit : “C’est probablement celui qui est là-bas en train de prier pour les malades.”

245 Il s’est frayé un chemin dans la foule pour Le voir de près. Et quand il a regardé, Jésus a dit : “Voici un Israélite dans lequel il n’y a pas de fraude.” [Frère Branham tape deux fois dans ses mains.–N.D.É.]
Il a dit : “Rabbi, quand m’as-Tu déjà connu?”

246 Il a dit : “Avant que Philippe t’appelle, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.”

247 Alors, qu’est-ce que Nathanaël a découvert? Il a découvert que c’était là le Roi d’Israël. Il a dit : “Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.” C’est ce que lui a vu, quand il a regardé. Il a reçu l’interprétation de l’Écriture, mise en lumière devant lui. Il l’a vue; cette même Écriture, que Moïse, le prophète oint, avait prononcée : “Il sera un Prophète comme moi.”

248 La femme au puits, elle aussi a regardé, une fois, et qu’est-ce qu’elle a vu? Elle l’a exprimé dans la ville. Elle a dit : “Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?” Quand elle a regardé pour la première fois Jésus-Christ, elle a vu le Messie.

249 Les gens peuvent regarder la même chose aujourd’hui, et ils vont appeler Cela de la “télépathie mentale”. Ils vont appeler Cela du “spiritisme”. Ils vont donner à Cela tous les noms de démons qu’ils peuvent trouver, parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils cherchent. Amen. Ils ne comprennent pas. Ils cherchent un credo. Ils cherchent un génie, qui mettra l’église en ordre. Ils cherchent à avoir plus de membres, mais ils ne voient pas notre bien-aimé Seigneur Jésus-Christ, dans Sa Parole identifiée. C’est vrai.

250 Ça dépend de ce que vous cherchez. Si vous cherchez l’accomplissement de la promesse pour aujourd’hui, c’est ce que vous verrez. Mais si vous cherchez quelque chose d’intellectuel ou quelque chose comme ce qu’on a toujours cherché, un grand fondateur, un historien, une autre personne, quelque chose d’autre, vous ne Le verrez pas. Mais quand vous Le regardez à travers la Parole, c’est la Parole qui montre Qui Il est.

251 Il a sommé les gens de Son époque de faire de même. Ils n’ont pas pu Le voir. Il a dit : “Aveugles, conducteurs d’aveugles. Vous prétendez que Moïse est votre prophète. Si vous aviez connu Moïse, vous Me connaîtriez. Moïse a écrit à Mon sujet.” Mais ils étaient trop aveugles pour Le voir. Ils Le regardaient en face, mais ils étaient trop aveugles pour Le voir.

252 Je fais le lien, pendant quelques minutes, avec la “fausse lumière” dont je parlais ce matin, voyez-vous. Ils regardent, mais ils ne savent pas ce qu’ils cherchent, parce qu’ils ont une fausse conception de ce qu’ils essaient de trouver. Comment pourriez-vous savoir ce que vous voulez trouver, si vous ne saviez pas ce que vous cherchez?

253 Comment pourriez-vous partir à la recherche d’une citrouille, si vous n’en aviez jamais vu et que vous n’en aviez jamais entendu parler? Comment pourriez-vous partir chercher une pastèque, si vous n’aviez jamais su que ça existait, et à quoi ça ressemblait? Vous pourriez trouver un baquet, et penser que c’est une pastèque. Vous pourriez trouver autre chose, vous pourriez trouver un bloc, et penser que c’est une pastèque.

254 Mais vous devez savoir ce que vous cherchez. Et le seul moyen pour vous de savoir ce que vous allez, ce que vous cherchez : si vous cherchez Jésus, vous regarderez à la Parole, car Il est la Parole. “Ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Sondez les Écritures.”

255 “Vous prétendez être... croire aux prophètes, mais vous avez pour père le diable. Vos pères qui prétendent; quand Dieu leur a envoyé les prophètes, il les a mis dans la tombe. C’est eux–eux qui ont tué les prophètes. Tous ceux qui sont venus,” a dit Jésus, “lequel d’entre eux vos pères n’ont-ils pas lapidé? Et vous ferez les oeuvres de votre père.” Amen! Des hommes justes, des hommes saints, des hommes à qui on ne pouvait rien reprocher, et pourtant Il les a appelés “des serpents et des démons”. Voyez?

256 Qu’est-ce que vous cherchez? Si vous cherchez une personne pieuse? Certains pensent que, parce que le Saint-Esprit agit à travers vous, vous devez être une personne bien pieuse, qui se promène sans même... Ce n’est pas le Saint-Esprit, ça. Dieu ne traite pas par l’intermédiaire d’anges comme ça, ou, de soi-disant anges. Dieu traite par l’intermédiaire des hommes. La Bible dit : “Élie était un homme de même nature que nous”, mais on ne pouvait pas être avec lui sans voir Jésus.

257 Pierre et Jean, à la porte appelée la Belle. Quand ils ont mis la main sur eux pour avoir guéri cet homme, “ils s’étaient rendu compte qu’ils étaient ignorants, sans instruction, mais ils s’étaient aussi rendu compte qu’ils avaient été avec Jésus”, voyez-vous, parce que Sa Vie se reflétait en eux.
Alors, ça dépend de ce que vous cherchez.

258 Cette femme avait lu la Bible. Elle savait qu’un Messie allait venir, et elle savait ce que ce Messie ferait. Et aussitôt que Jésus lui a dit : “Apporte-Moi à boire.”
Elle a dit : “Vous n’avez pas coutume de faire ça.” Il n’était qu’un homme ordinaire.

259 Or, s’Il avait été assis là, portant un énorme turban et toutes sortes d’ornements, comme–comme une personne sainte, eh bien, cette femme aurait dit : “Bon, voilà un sacrificateur”, et elle aurait poursuivi son chemin. Ou : “Voilà un rabbin quelconque”, et elle aurait poursuivi son chemin.

260 Un ministre, ou quelque chose du genre. Aujourd’hui, j’ai vu un homme, il est venu manger à l’endroit où je suis allé manger. Et ce gars-là est entré, il–il avait tellement de crucifix et de trucs accrochés sur lui; parfois, heureusement que ces gars-là portent ces choses. Moi, je trouve qu’une vie vécue, c’est ça qu’il faut avoir. On n’a pas besoin de porter tout plein de vêtements ecclésiastiques pour démontrer ce qu’on est. Parfois, ils boivent, et ils se conduisent tellement mal, et ils fument la cigarette, et tout, alors il faut qu’ils portent des vêtements ecclésiastiques pour qu’on sache si ce sont des ministres ou pas. C’est vrai.

261 Je vais vous dire une chose : les vêtements ecclésiastiques qu’un homme doit porter, c’est le baptême du Saint-Esprit. C’est ça qui vous identifiera comme étant avec Jésus!...?...

262 Alors, nous voyons que ça dépend de ce que vous cherchez. Un homme bien habillé, très soigné de sa personne, tout enturbanné; alors vous ne Le verrez jamais, parce qu’Il n’était qu’un homme ordinaire. Dieu traite avec des hommes. Jésus était un homme; Dieu était dans cet homme, et Il était Dieu.

263 Donc, nous voyons que cette femme, quand elle a vu ce signe mystérieux, qu’Il pouvait lui révéler ce qu’elle avait fait de mal, ou ce qu’elle avait dans son coeur, alors elle a su tout de suite que c’était le Messie. Alors, quand elle a regardé Jésus, elle a vu le Messie.

264 Le Messie, quelles étaient les oeuvres du Messie? De connaître les secrets du coeur. Avez-vous bien saisi cela? Je me demande si vous allez comprendre. Si vous Le cherchiez ce soir, qu’est-ce que vous chercheriez? Il serait le même. Le Messie, c’est la Parole, la Parole! Et la Bible dit, dans Hébreux, chapitre 4, que “la Parole de Dieu est plus vivante et plus puissante qu’une épée à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager l’os, et elle discerne les pensées qui sont dans le coeur”.

265 Et, comme elle savait que ce Messie devait être cette Parole manifestée, et qu’Il a pu lui dire ce qui n’allait pas chez elle, elle a su que c’était le Messie. Pas par la manière dont Il était habillé, pas par le niveau d’instruction qu’Il avait, mais par le signe qu’Il lui a montré; Il était le Messie. Quand elle a vu Jésus, elle a vu le Messie; Dieu dans un Homme, tel que cela avait été promis pour cet âge oint.

266 Mais, savez-vous quoi? Beaucoup, dans les âges dont j’ai parlé, n’ont jamais vu ce qu’il en était. Beaucoup n’ont pas vu ce qu’il en était. C’est pareil aujourd’hui. Beaucoup n’ont pas reconnu Moïse. Beaucoup n’ont pas reconnu Élie. Beaucoup n’ont pas rec-... Ils ne les reconnaissent jamais, tant qu’ils ne sont pas partis, et c’est là qu’ils reconnaissent ce qu’il en est.

267 L’incroyant, tout ce qu’il a vu, du temps de Noé – l’incrédulité, à quoi regardait-elle? Je vous ai dit ce que le croyant a vu, maintenant voyons ce que les incroyants ont vu. Du temps de Noé, qu’est-ce que les incroyants ont vu–vu, à cette époque-là, quand eux ont regardé? Ils ont vu “un fanatique qui travaillait maladroitement à la construction d’un soi-disant bateau”. C’est tout ce qu’ils ont vu. “Une espèce de vieux fou avec une longue barbe blanche, qui a perdu la tête, et qui dit, à l’encontre de la recherche et des preuves scientifiques, ‘qu’il y a de l’eau là-haut’. Oh, le pauvre vieux!” Il leur faisait pitié. “Ne faites pas attention à lui; on va bientôt le–le déclarer fou. Il a perdu la tête.”

268 Mais il avait la Parole du Seigneur. Il construisait sans relâche, et Dieu attestait ainsi que le déluge allait venir. C’était un signe pour eux. Ceux qui n’ont pas cru l’histoire de Noé ont continué à errer dans les ténèbres, et ils ont fini par trouver la mort dans l’eau, et ils ont reçu l’enfer comme tombe.

269 Pharaon, lui aussi a regardé, une fois. Qu’est-ce qu’il a vu, qu’a vu Pharaon? Il a vu “un fanatique, un soi-disant prophète, avec beaucoup de prétentions de soi-disant délivrance”. C’est tout ce qu’il a vu : un tripoteur de boue, un esclave parmi le peuple, qui se déclarait envoyé de Dieu pour accomplir des miracles. Eh bien, on pensait que cet homme avait perdu... On disait : “Allez, laissez-le délirer. Il... On va le déclarer fou, dans quelque temps.”

270 Mais il avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. Les croyants : Aaron, Josué et beaucoup d’autres, ont vu Dieu en Moïse. Et Moïse faisait les oeuvres de Dieu, c’est ce qui leur faisait savoir que Dieu était en lui. Ils ont regardé et ils ont vu Dieu en Moïse.

271 L’homme riche a regardé, et il a vu exactement Qui Il était. Voyez? Mais il a refusé de Le suivre, parce qu’il aimait trop les choses du monde pour suivre Jésus.

272 Combien d’hommes riches écouteront cette bande, d’hommes de ce type-là! Il ne s’agit pas forcément toujours d’être riche en argent; non, vous pouvez être riche en convoitise, riche en plaisirs de cette vie. Combien d’hommes, combien de jeunes filles, combien de jeunes hommes, refuseront de se défaire de leur popularité, de reine du sexe, ou de “ricky” à banjo ou à guitare, d’aller quelque part pour un divertissement, avec du rock-and-roll, ou une certaine danse qu’il peut exécuter! Combien revendiqueront les richesses de leur popularité, et refuseront ceci, alors qu’ils ont assisté aux réunions, et qu’ils ont regardé la Main de Dieu agir et confirmer Sa Parole! Combien le feront!

273 Il a choisi sa dénomination. Il pouvait vivre en accord avec elle. “Jésus était un fanatique” pour sa dénomination. Alors, il fallait soit qu’il accepte ce que Jésus disait, soit qu’il accepte...

274 Pourquoi n’est-il pas allé à son sacrificateur, pour lui dire : “Que puis-je faire pour avoir la Vie Éternelle?” Il savait que le sacrificateur ignorait tout de Cela.
Alors, il est venu à Jésus, et il a dit : “Que puis-je faire?”

275 Jésus lui a répondu : “Observe les commandements.” Il a renvoyé la balle dans son camp.
Il a dit : “Je l’ai fait.”

276 Il a dit : “Observe les commandements.” Donc, il n’avait toujours pas la Vie Éternelle, et il le savait. Vous pouvez observer tous les commandements, sans pour autant avoir la Vie Éternelle.

277 Alors, Jésus a dit : “Maintenant, si tu veux faire ce qui est juste, va vendre ce que tu possèdes, et donne-le aux pauvres. Viens, suis-Moi.”

278 Mais c’était trop lui demander. Voyez? Nous voyons qu’il a regardé et vu Qui Il était, mais qu’il a quand même refusé de l’accepter. Et, lorsqu’il a regardé à nouveau, c’était en enfer, au moment où il a levé les yeux et vu Lazare dans le sein d’Abraham.

279 Pilate a regardé, une fois, quand on Le lui a amené. Il ne L’avait encore jamais vu. Ses mains étaient attachées; le sang coulait de Son dos; Il avait une couronne d’épines sur la tête. Pilate a regardé, il était convaincu.

280 En effet, un cheval avait descendu la rue au grand galop, celui qui le montait avait sauté à terre et était venu en courant, lui dire : “Voici, ta femme t’envoie une lettre.”

281 Il l’a regardée, sa femme disait : “Pilate, mon mari bien-aimé, qu’il n’y ait rien entre toi et ce Juste; car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de Lui.”

282 Il tremblait. Ses genoux s’entrechoquaient. Il a dit : “Si Tu es le Fils de Dieu, si Tu es le Roi, pourquoi ne le dis-Tu pas franchement? Es-Tu le Roi d’Israël?”
Il a dit : “Tu l’as dit.”
Il a dit : “Dis-nous la vérité.”

283 Il a dit : “Je suis né pour ceci.” Ce qui étonna Pilate. Il...

284 Mais tout le monde suppliait et criait à ses pieds. Il a dit : “J’ai le pouvoir de Te tuer, et j’ai le pouvoir de Te relâcher.”

285 Il a dit : “Tu n’aurais aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné par Mon Père.” Fiou!

286 Oui monsieur, il était convaincu que C’était plus qu’un homme. Il était tout à fait convaincu que C’était plus qu’un homme. Bien sûr que oui. Mais (quoi donc?) sa politique et sa popularité tenaient une trop grande place. Voyez-vous, il L’a rejeté. Sa popularité tenait une trop grand place. La politique, sa position sociale, tenait une trop grande place pour qu’il puisse accepter ce fanatique.

287 Je me demande combien de Pilate écouteront ceci; vous, dont la position dans une certaine dénomination tiendra une trop grande place pour que vous puissiez accepter le vrai Seigneur Jésus, dans Sa position d’aujourd’hui.
Le soldat romain, près de la croix, a regardé Jésus.

288 Après que la terre a eu un effondrement nerveux, qu’elle a tremblé au point que les rochers se sont fendus et se sont détachés des montagnes. Et le soleil s’est couché au milieu du jour, c’était l’obscurité. Les étoiles ne se sont pas levées pour donner leur lumière. La terre a vomi des roches, il y a eu un tremblement de terre. Les éclairs en zigzags ont sillonné les cieux, et déchiré le voile du temple depuis le haut jusqu’en bas. Les gens se sont mis à courir et à pousser des cris, ils ne savaient pas ce qui était arrivé.

289 Ce soldat romain, qui avait aidé à Le clouer là, et qui avait enfoncé l’épée dans Son coeur, alors il a regardé, mais il était trop tard. Il a regardé et a cru, mais il était trop tard pour croire. Ce qu’il avait fait avait scellé son destin funeste; il avait enfoncé la lance dans le coeur du Sauveur. Il était trop tard.

290 Je me demande combien de Romains d’aujourd’hui ont fait la même chose, et feront la même chose. Un jour, vous regarderez peut-être, mais il sera peut-être trop tard pour regarder. Beaucoup de gens d’aujourd’hui viendront ce jour-là, et ils seront comme lui. Ils ont su.

291 Frère Wood, ici; hier. Si je dis ceci, c’est seulement parce que ça cadre avec ce Message-ci. À la compagnie Slider, pas loin d’ici, il y avait là un catholique romain. Il était allé chercher du béton pour l’église, ici, et alors, il disait à cet homme à quel endroit il comptait s’en servir. Ce catholique romain a dit : “Est-ce Frère Branham?
– Oui.”

292 Il a dit : “Je dois dire une chose : quand il prie, Dieu répond.” Voyez?

293 C’est à se demander, alors, puisqu’ils le savent, qu’ils voient la confirmation que c’est réellement l’Évangile, que ce n’est pas moi. Tout homme qui représente Christ. C’est de la Parole que nous parlons, et non de l’homme.

294 Qu’est-ce que j’essaie de dire? Ceci : c’est qu’ils voient la Parole clairement confirmée, comme Pilate et les autres L’ont vue, comme le soldat romain; mais, est-ce que vous allez attendre jusqu’à ce qu’il soit trop tard, avant d’agir? Il aurait mieux fait de retourner la lance de son côté. Les portes se fermeront, comme du temps de Noé, après quoi il sera trop tard. Vous vous réveillerez peut-être un matin, en vous disant : “Je veux sortir de ce gâchis.” N’attendez pas trop longtemps. Vous feriez mieux de regarder et vivre, maintenant même.

295 Luther a détourné ses regards de la dénomination catholique. Qu’est-ce qu’il a vu? Une Colonne de Feu. Il a vu une église indépendante.

296 Wesley a détourné ses regards de la dénomination anglicane. Il a vu la même chose.

297 La pentecôte a détourné ses regards de toutes les dénominations. Qu’est-ce qu’elle est devenue? Un grand peuple puissant.

298 Qu’est-ce que chacun de ces mouvements a fait? Alors que leurs fondateurs, Luther, Wesley et les autres, quand les gens ont détourné les regards et vu ce qu’ils avaient fait, ils ont suivi au début; leurs enfants, qui ont succédé à ceux-ci, eux ont regardé en arrière, d’où ils étaient sortis, de la dénomination, et ils ont ramené ce groupe de gens dans le gâchis même d’où ils étaient sortis.

299 Qu’est-ce que vous regardez? Les fondateurs, ils regardent et voient juste. Mais les gens qui leur ont succédé ont regardé en arrière, à la chose dont les fondateurs étaient sortis, et ils ont fait exactement ce contre quoi s’étaient élevés les fondateurs, celui qui était oint de Dieu.

300 Vous savez, il faut que je me dépêche, parce qu’il va y avoir une ligne de prière, et je sais que beaucoup d’entre vous doivent prendre la route.

301 Un jour, moi aussi j’ai regardé. J’ai vu la Parole faite chair. J’ai vu l’Alpha et l’Oméga. Je n’en ai pas vu trois, ni quatre, ni cinq; j’en ai vu Un seul. Je L’ai vu comme mon Sauveur. Je L’ai vu, Lui, la Parole. Je L’ai vu, Lui, la Lumière. Je L’ai vu, Lui, le Dieu Puissant. J’ai vu Dieu en Lui. J’ai vu la Colonne de Feu. J’ai vu en Lui exactement ce que la Bible disait à Son sujet. J’ai vu qu’Il était l’Alpha et l’Oméga, qu’Il était la Colonne de Feu. Qu’Il était le même hier, aujourd’hui, et éternellement. J’ai vu que la Colonne de Feu a dit à Jean : “Sa Présence infaillible”, ce qu’il a dit, là, dans Jean, “Sa Présence infaillible ne vous quittera jamais.” Frère, à mon avis, ce soir, on devrait chanter ce cantique : “Regarde, et vis!”, mon frère, vis,
Regarde à Jésus maintenant, et vis;
Car il est écrit dans Sa Parole, alléluia!
Qu’il suffit de “regarder, et vivre”.

302 Regardez! Que voyez-vous? Voyez-vous la délivrance? Voyez-vous ce qu’Il est? Regardez dans la Parole et voyez ce qu’Il était, puis regardez dans la même Parole et voyez qu’Il est le même aujourd’hui qu’Il était alors. Il est l’antitype du serpent d’airain dans le désert; pour le même motif : le péché et la maladie.

303 Judas a regardé, un jour. Et quand il a regardé, après qu’il L’a vraiment regardé... Auparavant, il n’avait regardé qu’à la bourse, à la cagnotte qu’ils avaient. Mais un jour, quand il a regardé et qu’il a vu Jésus, savez-vous ce qu’il a vu? Il a vu qu’il était coupable. Il a vu qu’il ne méritait pas de vivre, et il s’est pendu.

304 Un matin, l’un des plus grands matins de l’histoire, de tous les temps. Pour conclure, je dirai ceci. Il se passe quelque chose à Jérusalem; soudain, une bande de soldats descend vers la–vers la prison. J’entends le cliquetis des–des chaînes; j’entends le bruit de la lance qu’on traîne dans la rue.

305 Qui est là-bas? Barabbas. Il va bientôt mourir. C’est un voleur. C’est une canaille. C’est un brigand. C’est un meurtrier. Il va mourir.

306 Tout à coup, il se dit : “Eh bien, tout est fini pour moi. Je vais être exécuté ce matin.”

307 Tout à coup, le garde ouvre la porte : “Sors, Barabbas.”
Il sort et il dit : “Eh bien, je pense que c’est la fin.”
Il dit : “Barabbas, tu es absolument libre.
– Quoi? Je suis quoi? Je suis...
– Absolument libre! Tu es libre”, je te dis.
Il dit : “Comment pourrais-je être libre?”

308 Il a dit : “Eh bien, viens ici, Barabbas, regarde là-haut. Tu vois cet Homme qui est en train de mourir là-bas? Il a pris ta place.”

309 Je me demande si nous tous, ce soir, nous pourrions regarder et voir ce qu’a vu Barabbas : quelqu’un qui prend notre place? “Il a été blessé pour nos transgressions, brisé pour notre iniquité. Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui; et c’est par Ses meurtrissures” que j’ai été guéri, que vous avez été guéris. Je me demande si nous, les coupables, qui devrions être malades, nous pouvons voir en Lui notre délivrance? Vous, qui devriez aller en enfer; voyez en Lui votre liberté, votre laissez-passer pour le Ciel. Je me demande si vous pouvez voir ce qu’a vu Barabbas ce jour-là?

310 Il a dit : “Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez.” Oh, église! Alors, s’Il a dit : “Vous Me verrez”, c’est la preuve que vous pouvez de nouveau regarder. “Vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde.” Quand? Comment Le voyez-vous? Dans la Parole. Il est la Parole. Regardez la Parole et voyez ce qu’est la promesse, car Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.

311 Ce qu’Il était quand Il marchait en Galilée, c’est exactement ce qu’Il est ce soir, à Jeffersonville, c’est exactement ce qu’Il est, au Branham Tabernacle. Quand vous regardez, qu’est-ce que vous vous attendez à voir? Un fondateur? Un homme de dénomination? Vous ne verrez jamais ça en Jésus. Est-ce que vous regardez en vous attendant à voir quelqu’un à l’allure très sacerdotale? Vous ne verrez jamais ça en Jésus. Non. Comment voit-on Jésus? Par la Parole de Dieu qui se manifeste, parce qu’Il était la Parole de Dieu manifestée. Ce qu’Il était en ce temps-là, Il l’est ce soir, et Il le sera toujours.

312 Inclinons la tête un instant. Je vais abréger un peu, m’arrêter ici.

313 Seigneur Jésus, c’est là ma prière, fais que je détourne mes regards des soucis de la vie. Seigneur, je–je sais que nous ne sommes que des gens ordinaires, sans instruction. Nous ne possédons pas beaucoup des biens de ce monde, mais nous T’aimons, Seigneur.

314 Et je parle pour ces gens. Ils ne resteraient pas assis dans un endroit comme celui-ci, serrés, entassés, et dans les foules, et être là, à griller de–de chaleur, ou à grelotter de froid, et rester debout... venus avec leurs enfants, et ceux qui sont malades et affligés, qui se déplacent pour venir, s’ils venaient ici pour voir autre chose que Toi. Ces gens, Seigneur, ne viendraient jamais pour voir un homme. Des hommes, il y en a beaucoup dans la rue; ils se ressemblent tous.

315 Mais ils viennent pour voir cet Homme, cet Homme de Dieu, ce Jésus de Nazareth en chair, qui est Dieu. Maintenant, Père, Tu nous as dit “qu’encore un peu de temps, et le monde ne Te verrait plus”, peu importe combien ils regardent, ils ne verront jamais. Mais Tu as dit : “Vous, vous Me verrez,” le véritable croyant, “parce que Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin du monde.” Tu nous as promis que, si nous regardions, nous verrions. Et je Te prie, ce soir, d’accomplir de nouveau ce passage de l’Écriture pour nous, que nous puissions regarder et voir Jésus Se faire connaître à nous, de la même manière qu’Il l’a toujours fait : en accomplissant Sa Parole. Dorénavant, Seigneur...

316 J’ai fait une déclaration tout à l’heure, et c’est vraiment d’un coeur sincère que j’ai dit ces choses au sujet des Pulls, et ce que Tu m’avais dit. Et maintenant, aussi mystérieux que ça puisse paraître, si seulement nous pouvions pincer notre conscience intérieure, et voir que ces choses ne pourraient pas être prédites parfaitement comme elles le sont, à moins de venir de Dieu.

317 Comment aurions-nous pu voir la Première chose se produire? Comment la Deuxième aurait-elle pu se produire? Comment la Troisième aurait-elle pu se produire? Comment aurions-nous pu nous tenir ici, des mois avant que cela arrive, dire ce qui allait se produire à Tucson? Alors que les Sept Sceaux allaient être dévoilés, que le mystère allait être ramené, que les choses cachées de Dieu, qui avaient été tenues cachées depuis le commencement du temps, allaient être révélées. Et de voir que la chose a été à la fois déclarée, attestée et prouvée scientifiquement!

318 Seigneur, Tu es notre refuge et notre force. Tu es tout ce que nous avons. Et je Te remercie, Seigneur, de ce que je sois une partie de Ta grande économie. Je Te remercie de ce que je sois un membre de Ton Corps, de même que beaucoup d’autres ici, qui sont des membres de ce Corps, de beaucoup d’autres, partout dans le monde, dans différentes églises, qui sont des membres de ce Corps mythique de Christ.

319 Chaque fois que nous regardons, nous Le voyons! Nous Le voyons quand les oiseaux chantent. Nous Le voyons quand le soleil se lève ou quand il se couche. Nous L’entendons dans les cantiques. Nous Le regardons dans Son peuple. Nous Le voyons confirmer Sa Parole.

320 Ô Seigneur, Tu es notre Dieu. Nous T’invoquerons dès le matin. Tu es notre Père miséricordieux. Pardonne-nous nos fautes.

321 Seigneur, nous sommes au temps de la fin. Je vois que les portes vont bientôt se fermer, ces occasions qui nous sont encore offertes. Et pendant qu’il fait encore jour et que je peux encore aller dans certains de ces endroits, Seigneur, aide-moi à y aller. Je prends de l’âge; donne-moi la force. Renouvelle ma jeunesse, Seigneur. Aide-moi, afin que je puisse faire quelque chose là-bas maintenant, alors que j’attends ce grand moment qui doit venir, et qui va venir. Aide-moi, Seigneur, alors que je vais à l’extérieur, afin que je puisse, d’une façon ou d’une autre, attraper cette dernière Semence prédestinée, ce qui ramènera le Seigneur Jésus. Aide-moi, ô Dieu!

322 Et si je suis en train de poser un fondement sur lequel un autre se tiendra, fasse, Seigneur, que cela se produise bientôt, afin que la Parole s’accomplisse.

323 Le désir de nos coeurs, c’est de voir Ta Parole s’accomplir. Nous T’aimons. Nous Te croyons. Au milieu d’un peuple d’incrédules et de douteurs, d’une génération comme celle–celle–celle que nous avons aujourd’hui, Seigneur Dieu, nous continuons à croire que Ta Parole ne faillira jamais. Nous croyons que “les cieux et la terre passeront, mais Elle, Elle ne faillira jamais”. C’est ce que nous défendons vaillamment.

324 Maintenant, Père, dans ce petit groupe qui attend. Il y a beaucoup de malades ici. Et il y a peut-être ici quelqu’un qui n’est pas sauvé. Des gens qui ont été sauvés, mais qui n’ont pas été remplis du Saint-Esprit. Seigneur Dieu, puisses-Tu intervenir, par la Parole de Ta promesse, à tel point que les gens regarderont et qu’ils verront Jésus, puis s’humilieront et Lui donneront leur coeur. Puissent les malades regarder et voir qu’il est impossible que ceci soit fait par qui que ce soit d’autre que par Dieu, parce que c’est la promesse de Sa Parole.

325 Puisse ce que nous avons dit aujourd’hui – les deux Messages – être maintenant confirmé. Tout est entre Tes mains, Seigneur. Et je suis moi-même entre Tes mains. Et la–l’assemblée est entre Tes mains. Agis à travers nous, Seigneur, afin que Ton grand Nom soit honoré. Ô Éternel, accorde ceci pour la gloire de Dieu. Amen.

326 Je sais qu’il fait chaud, je veux essayer maintenant de prier pour les malades. Si vous voulez bien me donner quinze à vingt minutes; je ne sais pas combien de cartes ont été distribuées, mais nous allons simplement commencer à prier pour les malades.

327 Bon, Billy m’a dit qu’il avait distribué, qu’est-ce que c’était? [Quelqu’un dit : “De un à cent.”–N.D.É.] Cen-... Comment, comment? [Quelqu’un répond.] Très bien. Eh bien, commençons. Il a dit qu’il avait distribué de un à cent. Combien ici ont des cartes de prière? Levez la main; des cartes de prière. Bon, il y en a beaucoup. Nous essaierons d’en prendre le plus possible, autant que faire se peut. Or, nous ne pouvons pas avoir le discernement pour tous ces gens, vous savez, alors nous prierons simplement. Et, vous tous, combien d’entre vous n’ont pas de carte de prière, mais vous êtes malades? Levez la main. Il y en a beaucoup.

328 Maintenant, regardez. Qu’est-ce? Bon, je sais que nous avons peut-être un–un tout petit peu dépassé l’heure prévue, d’une quinzaine de minutes, mais j’aimerais dire ceci. C’est ce qui pourrait faire la différence, ici même, entre passer l’Éternité au Ciel ou la passer en enfer. Voyez? Regardez, soyez respectueux, observez une minute, écoutez la Parole, et voyez s’Il est toujours Christ.

329 Maintenant, chaque personne ici me connaît probablement. Et il y en a beaucoup que moi, je ne connais pas, parce que je ne suis pas ici assez longtemps pour faire votre connaissance. Et beaucoup d’entre vous viennent de l’extérieur. Combien sont de l’extérieur? Levez la main. Voyez?

330 L’autre jour, j’ai demandé à quelqu’un en ville, j’ai dit : “Vous arrive-t-il de venir ici?”

331 Il a répondu : “C’est inutile que nous venions.” Il a dit : “Il y en a tellement qui viennent de l’extérieur que nous ne pouvons pas entrer.” Voyez?

332 Mais ça–ça ne fait rien. Nous arrangerons quelque chose pour qu’ils puissent entrer. Vous autres, venez quand même. Remarquez, ils ont eu leur chance avant vous. Oui.

333 Bon, maintenant, souvenez-vous, je ne suis que votre frère. Je suis sûr que vous le comprenez. Je suis un homme; Lui est Dieu. Mais Dieu peut seulement agir, Il a toujours agi, et uniquement agi, à travers l’homme. Maintenant, ce soir, regardez, non pas à moi ni à personne d’autre, mais regardez à Jésus-Christ.

334 Maintenant, ce soir, regardez à l’Écriture, à ce qu’Elle a promis. Combien d’entre vous... Je pourrais vous donner toutes sortes de passages de l’Écriture, mais combien croiront simplement Hébreux 13.8, que “Jésus-Christ est le même hier...”? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Et combien croient Jean 14.12 : “Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais”? [“Amen.”] Voyez? Combien croient qu’Il a promis que ce qu’Il avait fait, comme de “discerner les pensées du coeur”, que ces choses se produiraient de nouveau, au dernier jour, juste avant Sa Venue? [“Amen.”] Oui. Bien sûr. Nous le savons tous. Très bien. Oh, et combien d’autres passages de l’Écriture, il y en a des centaines et des centaines; mais nous le savons!

335 Maintenant regardez. Ne regardez pas pour voir un ministre. Ne regardez pas pour voir un pasteur. Regardez pour voir Jésus. Ne voyez pas l’homme; voyez Jésus. Quand vous regardez, voyez-Le. Si je pouvais vous aider, je le ferais, mais je ne le peux pas. Je ne peux pas vous aider; je ne suis que votre frère. Mais, Lui, Il est votre Seigneur, regardez à Lui et croyez. Très bien.

336 Maintenant, commençons par la carte de prière numéro... Eh bien, nous allons commencer par le numéro un. Combien... Le numéro un, qui a la carte de prière numéro un? Levez la main. Où est-elle? [Quelqu’un dit : “Au fond, là-bas.”–N.D.É.] Vous voulez dire que vous... [“Elle est debout.”] C’était bien ça? Oh, excusez-moi. Très bien. Numéro un, venez ici, madame, juste... De quel côté voulez-vous les faire venir, de ce côté-ci? Très bien, venez ici, si–si vous pouvez marcher. Bon, si on appelle une personne et que celle-ci est handicapée, quelqu’un d’entre nous vous aidera à venir jusqu’ici. Numéro un.

337 Numéro deux, qui a la carte de prière numéro deux? Levez la main, rapidement, si possible. Numéro deux, où est-elle? Je ne la vois pas. Où? Excusez-moi, je–je ne peux pas... Par ici, madame.

338 Numéro trois, pourriez-vous vous lever, ou quelque chose? C’est ça, numéro trois.

339 Numéro quatre. La carte de prière numéro quatre, voulez-vous lever la main? Où est-elle? Je ne la vois pas. La carte de prière numéro quatre. Que dites-vous? Numéro quatre.

340 Numéro cinq. Qui a le numéro cinq, voulez-vous lever la main? Je ne la vois pas. Numéro cinq.

341 Numéro six. Numéro six. Rapidement, en vitesse, numéro six. Très bien.
Sept. Vous, sept? Très bien. C’est ça.

342 Huit. Huit, en vitesse, là. Levez-vous, en vitesse. Très bien, huit. C’est bien, monsieur.
Neuf. Neuf, où est-elle? Numéro neuf. Très bien.
Numéro dix. Dix, très bien, dix, par ici. Dix.
Onze, douze, treize, quatorze, quinze.

343 Je ne vais pas en appeler trop, pour que vous... Voyez-vous, la raison pour laquelle nous faisons ceci... Ce n’est qu’une carte qui porte un numéro, voyez-vous, vous venez simplement par ce numéro. C’est pour les garder alignés.
Quinze. La carte de prière numéro quinze. Très bien.

344 Seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt, vingt et un, vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq.

345 Qu’ils viennent maintenant se mettre en ligne, vingt-cinq, pour former la ligne. Maintenant, levez-vous simplement à l’appel de votre numéro. C’est ça. Ne venez pas tous en même temps. Faites le tour de l’autre côté, s’il vous plaît, si vous êtes dans cette direction, et venez. Maintenant, vingt-...

346 Combien en avons-nous appelé? Vingt-cinq? [Quelqu’un dit : “Vingt-cinq.”–N.D.É.] Très bien, arrêtons-nous à vingt-cinq, pendant un instant. Très bien.

347 Maintenant je dirai ceci, si vous ne voulez pas rester debout trop longtemps, quand vous voyez la ligne diminuer, alors allez vous mettre derrière eux; vingt-cinq, vingt-six, vingt-sept. Attendez simplement jusqu’à ce que la ligne diminue, comme ça vous n’aurez pas à rester debout trop longtemps.
Maintenant, inclinons la tête.

348 Oh, mes amis, et maintenant? Maintenant, où en sommes-nous? Maintenant nous sommes à la–la fin. Nous sommes arrivés au moment où quelque chose doit se faire, il sera dit “oui” ou “non”. Dieu doit être trouvé vrai ou faux.

349 Aujourd’hui, j’ai prêché deux sermons, énergiquement, j’ai essayé de vous dire ce qu’Il est, de vous dire que le temps arrive à sa fin; ce qu’Il est, ce qu’Il était. Et maintenant, quand nous regarderons, ce soir, regardons-Le, Lui.

350 Maintenant, que chaque personne, au Nom du Seigneur Jésus, reste à sa place maintenant. Ne bougez pas. Restez assis bien tranquillement, jusqu’à ce que vous soyez appelés. Que les petits enfants...

351 Maintenant, si jamais je disais : “Inclinez la tête”, faites-le tout de suite, mes petits, parce que des choses mauvaises, telles que le cancer et les maladies, partent, et vont parmi les gens, et entrent dans d’autres personnes. Que tous ceux qui le croient, et qui savent que c’est l’Écriture, disent : “Amen.” [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Nous voyons dans la Bible que les mauvais esprits allaient de l’un à l’autre, quand ils étaient chassés. Et ils cherchent un lieu.

352 Et combien de fois avons-nous vu ça dans les réunions! Des gens viennent aux réunions, en parfaite santé, ils s’assoient là et ils critiquent; un jour ou deux plus tard, ils se retrouvent totalement aveugles, frappés d’un cancer ou paralysés. Voyez-vous, parce qu’ils étaient des incroyants. Je ne suis pas responsable pour eux; seulement pour les croyants. Beaucoup se sont retrouvés à l’hôpital psychiatrique, il y a bien des années de ça, et ils y sont toujours, certains sont descendus dans la tombe; simplement parce qu’ils avaient été arrogants, incrédules.

353 Il n’y a pas de place pour l’incroyant maintenant. C’est un endroit pour les croyants. Ayez foi en Dieu!

354 Père Céleste, maintenant, la réunion T’appartient; elle T’a toujours appartenu. Or je peux parler de Ta Parole; mais, dès cet instant, je ne peux plus parler. Tu es Celui qui parle, maintenant, Seigneur. Que l’on sache que Ton serviteur leur a dit la Vérité. Que les gens qui sont ici, peut-être que beaucoup sont malades, et ne seront même pas dans la ligne, mais Tu es toujours ici, Seigneur. Tu peux guérir là-bas, aussi bien que Tu peux guérir partout ailleurs. Que Ta Parole soit manifestée, c’est au Nom de Jésus que je T’adresse cette prière. Amen.

355 Maintenant, si vous voulez bien m’accorder toute votre attention pendant un instant. Je veux parcourir des yeux cette ligne de prière. Je ne crois pas, en fait, que je connaisse une seule personne. Vous qui êtes dans cette ligne de prière, est-ce que vous m’êtes tous inconnus, vous savez que je ne vous connais pas? Levez la main, si c’est le cas. C’est bien le cas. Combien dans l’auditoire savent que je ne sais rien à votre sujet? Levez la main, dans l’auditoire, voyez-vous. Bien sûr, quatre-vingt-quinze pour cent des gens qui sont ici, je ne les connais pas. C’est vrai.

356 Alors voici une jeune femme, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle m’est totalement inconnue. Maintenant, il se peut qu’elle soit ici à cause d’une maladie. Il se peut qu’elle soit ici... Peut-être qu’elle a fait quelque chose. Peut-être qu’elle est ici à cause de problèmes financiers. Peut-être qu’il s’agit de problèmes de famille. Peut-être qu’elle est ici pour quelqu’un d’autre. Je ne sais pas. Je n’en ai aucune idée.

357 Mais voici exactement la même image que dans Jean, chapitre 4 : un homme et une femme qui se rencontrent pour la première fois. Et sans doute que la jeune femme qui a rencontré Jésus, Il était beaucoup plus âgé qu’elle, parce “qu’Il”, on disait “qu’Il paraissait avoir cinquante ans, ou plus de cinquante ans”, et probablement que cette belle jeune femme qui était venue au puits, elle, elle n’était qu’une jeune fille. Et ici, ce soir, de nouveau, deux personnes se rencontrent, une jeune et une âgée, sans se connaître.

358 Et maintenant elle se tient là. Il y a une raison pour laquelle elle est là. Je ne sais pas ce que c’est. Elle est peut-être là comme imposteur. Elle est peut-être là pour dire quelque chose, alors que ce n’est pas le cas, juste pour voir ce qui va arriver. Si c’est ça, regardez bien ce qui va arriver. Voyez? Voyez?

359 Or je ne connais pas cette dame; je ne l’ai jamais vue. Elle a levé la main, tout à l’heure, pour attester que j’étais un inconnu pour elle. Et je lève la main pour attester qu’elle est une inconnue pour moi. Je ne l’ai jamais vue. Eh bien, alors, si je...

360 En tant qu’homme, je devrais dire : “Madame, quel est votre problème? Que faites-vous ici? Que voulez-vous?”

361 Elle dirait alors : “Monsieur Branham, je–je suis ici parce que je–je souffre d’un–d’un cancer. Je souffre de la tuberculose. Je souffre d’une tumeur.” Ou : “Je n’ai plus d’argent. Je... Mon mari m’a quittée.” Ou : “Je ne suis pas mariée, et mon petit ami a fait telle chose.” Il faudrait qu’elle me le dise.

362 “Eh bien,” je dirais, “d’accord, je–je–je vais prier pour vous; je vais vous imposer les mains, et dire : ‘Seigneur Dieu, donne à cette femme ce qu’elle désire. Amen. Ô Jésus, fais-le!’” Et je la laisserais partir. Eh bien, je pense que si elle le croyait, elle guérirait. C’est bien. Ça, c’est un ministère qui a duré bien, bien des années.

363 Mais il a été promis que, dans les derniers jours, comme l’Ange, Dieu, avait habité dans un corps humain, et s’était présenté là juste avant que Sodome soit brûlée; Il s’est assis le dos tourné à la tente dans laquelle se trouvait Sara, et Il a dit à Abraham ce qu’elle pensait, dans la tente; Dieu, dans une chair humaine, portant des vêtements humains.

364 Et c’est le seul moyen par lequel Dieu peut le faire aujourd’hui, c’est quand Il entre dans votre chair; voyez-vous, cela montrait que Dieu allait se manifester dans la chair humaine.

365 Jésus a dit : “Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la venue du Fils de l’homme.” Nous avons un messager, Billy Graham, et les autres qui sont là-bas dans Sodome, mais l’Église élue aussi a reçu un Message et un messager.

366 Maintenant, si cette jeune femme... si le Saint-Esprit... Je ne dis pas qu’Il le fera, mais s’Il venait et qu’Il me dise la raison pour laquelle vous êtes ici, ou–ou ce que vous désirez, ou quelque chose que vous avez fait, ou quelque chose que vous êtes sur le point de faire. Eh bien, vous sauriez que ça ne pourrait provenir que d’une source surnaturelle, parce que nous sommes simplement debout ici, voyez-vous. Ce serait bien le cas, n’est-ce pas? Alors, vous sauriez que ça ne pourrait provenir que d’une force surnaturelle. Et si la Bible dit que Jésus a fait la même chose, et qu’Il a promis de le faire de nouveau dans les derniers jours, alors vous croiriez qu’il s’agit de Lui. Combien le croiraient aussi? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Alors vous verriez Jésus. Vous verriez Sa Parole.
Maintenant, vous dites : “Est-Il la Parole?”

367 La Bible dit qu’Il est la Parole. Et la Bible dit que la Parole discerne les pensées qui sont dans le coeur. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Alors, ce sera la Parole prononcée à travers des lèvres humaines, qui discernera les pensées.

368 Or moi, je ne peux pas le faire. Je n’ai aucun moyen de le faire, voyez-vous, parce que je ne la connais pas; mais Lui, Il la connaît, et Il est la Parole.

369 Et Il est Celui qui peut prendre nos deux esprits – comme la femme au puits et Lui – et les joindre ensemble; puis repartir me montrer la raison précise pour laquelle elle est ici, ce qu’elle a fait, ou ce qu’elle désire, ou autre chose. Alors je peux le prononcer et le dire, et le reste dépend d’elle.

370 Bon, vous me direz : “Frère Branham, pouvez-vous la guérir?” Non, non. Je ne le peux pas. Il l’a déjà fait. Par Ses meurtrissures nous avons été guéris.

371 Mais c’est simplement pour faire grandir sa foi, lui faire ainsi savoir que, s’Il sait ce qu’elle a été et ce qu’elle désire, Il sait–Il sait aussi comment le donner et ce qu’elle sera par la suite. Pas vrai? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Maintenant, tout le monde croit ça? [“Amen.”]

372 Maintenant soyez très respectueux. Et vous qui êtes dans l’auditoire, là, qui n’avez pas de carte de prière, priez.

373 Maintenant, souvenez-vous, Jésus a traversé un groupe de gens, un jour, et une petite femme a touché Son vêtement. Il s’est retourné et Il a dit : “Qui M’a touché?” Il a parcouru des yeux toute l’assemblée, jusqu’à ce qu’Il la trouve, et Il lui a dit qu’elle avait une perte de sang. Et sa perte de sang s’est arrêtée à ce moment-là. Voyez?

374 Or, la Bible dit qu’Il est maintenant “le Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos infirmités”. Pas vrai?

375 Je suis en train de regarder Frère Way, assis ici, à côté de sa femme. Dernièrement, cet homme se trouvait là, pendant que je prêchais, un soir, tout comme la fois où Paul avait prêché toute la nuit, et cet homme est tombé mort dans l’auditoire. Et le Saint-Esprit l’a tout de suite ramené à la vie. Il est un témoin, voyez-vous, que “Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement”.

376 Combien n’ont jamais vu Frère Way, et aimeraient le voir? Levez la main, vous qui ne l’avez jamais vu. Frère Way, voudriez-vous vous lever? Voici l’homme, il est tombé mort à peu près à l’endroit où il se trouve maintenant. Voici son épouse, une infirmière diplômée. On ne pouvait plus percevoir son pouls, il était mort; ses yeux étaient révulsés, et son visage était noir; une crise cardiaque.

377 Le médecin lui avait dit qu’il avait une maladie de coeur. J’avais découvert ça auparavant, grâce au discernement, il n’y a pas longtemps, et je lui avais dit qu’il avait une maladie de coeur. Et tout à coup, son coeur s’est arrêté, il est tombé. Et il est resté étendu là, bel et bien mort.

378 Ça fait environ six ou huit fois que je vois le Seigneur Jésus ressusciter les morts. Je L’ai vu le faire, et Il peut le faire ce soir.

379 Maintenant, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle, pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus-Christ. Soyez respectueux. Observez.

380 Je veux vous parler, madame. J’ai prêché, voyez-vous. Simplement pour capter votre esprit, c’est exactement ce que je fais. Voyez?

381 Il y a quelque chose en vous, une vie, sinon vous ne vous tiendriez pas là; vous seriez simplement une forme, étendue là, morte, et, vous n’auriez pas de vie en vous. Mais, étant donné qu’il y a une vie dans cette chair, elle vous contrôle. Voyez? Et maintenant, même vos pensées, ce que vous pensez, les paroles que vous prononcez, et tout le reste, c’est de cela que vous vivez. Voyez? C’est ce que vous êtes : vos paroles, vos pensées, et ce que vous êtes.
Maintenant, nous sommes, nous sommes ici, nous croyons. Maintenant le Saint-Esprit...
Comme Jésus a dit à la femme : “Apporte-Moi à boire.”

382 Quand elle a apporté... elle a dit : “Mais, Tu–Tu ne devrais pas me demander ça. Je suis une–je suis une Samaritaine. Toi, Tu es... Tu es un Juif. Ce n’est pas de mise entre nous, pas–pas du tout, nous ne nous parlons pas.”

383 Bon, mais nous, bien sûr, nous sommes tous les deux des gens des nations. Et nous sommes ici, simplement, nous mettons notre foi en Dieu. Maintenant, si Son Esprit vient sur moi en raison d’un don, et qu’Il peut vous dire ce qu’il y a; ça, vous saurez si c’est vrai ou pas, puisque cette partie-là de votre vie, vous l’avez vécue. Et puis vous, alors, vous avez un don, celui de croire cela. Et si vous le croyez, et qu’Il vous dit ce qu’il en est, alors l’affaire est classée. Et ça marchera pour tous ceux qui sont ici. Maintenant, que tout le monde soit très respectueux.

384 La dame souffre de quelque chose qui ne va pas dans sa gorge. C’est une affection de la gorge. Si c’est exact, levez la main. Or, je ne l’ai jamais vue de ma vie. C’est vrai. C’est pour ça qu’elle est ici, pour que je prie pour sa gorge.

385 Maintenant, à l’instant même où j’ai dit ça, ou juste avant, elle... Elle savait que Quelque Chose était près d’elle. Quelque Chose s’est approché, à l’instant même. On pouvait voir l’émotion sur elle, comme une sensation très douce qui l’a envahie.

386 Cette Lumière, que vous voyez sur la photo. Où es-tu, Georges? Cette Lumière, qui était sur la photo, se trouve au-dessus de cette femme, en ce moment même. Voyez-vous, c’est une autre dimension. Elle est une croyante, pas une soi-disant croyante. Elle est une croyante.

387 Maintenant, étant donné que vous êtes croyante, croyez-vous que je suis Son serviteur et Son prophète? Il faut que je le sois, pour savoir ces choses. [La soeur dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Croyez-vous qu’Il peut vous dire d’autres choses qui vous tiennent à coeur? [“Oui, monsieur.”] Très bien.

388 Voici quelque chose qui vous tient à coeur. C’est quelqu’un pour qui vous priez : un enfant. Croyez-vous qu’Il peut me dire ce qui ne va pas chez lui? Il a un virus. Pas vrai? [La soeur dit : “C’est vrai. Oui.”–N.D.É.] Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? [“Oui, monsieur.”] Vous êtes Mme Walker. [“Exact.”] Vous n’êtes pas d’ici. [“Non.”] Vous venez du sud. [“Exact.”] De la Géorgie. [“Exact.”] Vous allez rentrer chez vous guérie. Jésus-Christ vous a guérie, votre enfant aussi. Ne vous faites pas de souci pour ça. C’est terminé. Que Dieu vous bénisse, soeur.

389 Bonjour. Maintenant, voici une autre femme. Je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue. C’est une femme, elle est là, tout simplement. Maintenant, regardez, je prêche depuis vingt heures [huit heures] environ, et il est maintenant vingt-deux heures [dix heures]. Ça fait deux heures que je suis ici. Ce discernement-là, à lui seul, m’a affaibli plus que deux heures de prédication. Voyez? C’est... Voyez?
Vous dites : “Êtes-vous sérieux?” Oh, oui.

390 Cette femme qui avait touché le bord de Son vêtement. Il a dit : “Je sens que de la vertu est sortie de Moi”, de la force. Pas vrai? C’est ce que ça provoque.
Maintenant, voici une femme que je n’ai jamais vue.

391 Billy est allé là-bas, si vous avez remarqué quelque chose, il est allé chercher ce jeune homme que nous avons ici avec nous, Georges. Il est baptiste. Je veux qu’il voie que ce dont nous parlons vient de Dieu. Son père, sa famille, ce sont des gens très bien. Ils sont au Mexique, ils sont missionnaires. C’est un homme très bien. Et son père est malade, en plus. J’attends simplement qu’il vienne. Maintenant, Georges, regarde attentivement.

392 Or, cette dame, je–je–je ne la connais pas. Je–je ne l’ai jamais vue. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. [La soeur dit : “C’est vrai.”–N.D.É.] Nous ne nous connaissons pas.

393 Mais maintenant, le Saint-Esprit, la douceur de Jésus est présente, nous sommes tous témoins de cela. Maintenant, si le Seigneur Jésus me révèle quelque chose à votre sujet...

394 Bon, si je pouvais vous guérir, je le ferais, mais je ne peux pas faire ce qu’Il a déjà fait. Seulement, s’Il était debout ici, ce soir, portant ce complet qu’Il m’a donné, eh bien, Il–Il ne pourrait pas vous guérir, parce qu’Il l’a déjà fait. “Par Ses meurtrissures nous avons été guéris.” Voyez? Mais la seule chose qu’Il ferait, c’est de Se faire connaître par la Parole qu’Il a promise, et vous faire voir qu’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Et c’est ce qu’Il a promis de faire.

395 Maintenant, s’Il m’utilise pour vous dire la raison pour laquelle vous êtes ici, mettrez-vous en action votre foi en Lui pour croire que vous recevez ce que vous avez... ce pour quoi vous êtes ici? De tout votre coeur? [La soeur dit : “Oui, je le ferai.”] Très bien, puisse le Seigneur l’accorder.

396 Je vois que la dame a quelque chose qui ne va pas. Un examen indique que c’est une–une hernie à l’estomac. [La soeur dit : “C’est exact.”–N.D.É.] C’est exact. [“C’est exact.”] C’est vrai, oui, une hernie à l’estomac. [“C’est ça.”] Croyez-vous que Dieu peut guérir cette hernie? [“Oui, monsieur. Je crois, avec toute la foi que j’ai.”] Vous, tout ce que vous–vous... [“Avec toute la foi que j’ai.”] Que Dieu vous bénisse. [“Dieu peut guérir mon estomac.”]

397 Or vous n’êtes pas d’ici. [La soeur dit : “Non, monsieur.”–N.D.É.] Ç’a été un grand sacrifice de venir ici. [“Oui.”] Effectivement. [“Gloire au Seigneur!”] Oui. Oui. Vous venez du Tennessee. [“Oui, monsieur.”] C’est exact. Mme Hart. [“C’est exact.”] Rentrez chez vous; ne doutez pas. Vous serez guérie. Si tu peux croire.

398 Bonjour, madame. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. [“La soeur dit : “C’est vrai.”] Je ne vous ai jamais vue de ma vie, que je sache. Je vous ai peut-être vue à une réunion quelque part, et vous m’avez peut-être vu, mais je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Croyez-vous que je suis Son serviteur, et que la Parole que j’ai prêchée est la Vérité? Eh bien, puisque je vous suis inconnu; et cette Parole que j’ai prêchée, vous y avez cru.

399 Quelqu’un vous a donné une carte, c’est tout; l’un des huissiers, ou mon fils, ou quelqu’un d’autre, vous a donné une carte. Votre numéro a été appelé, et vous voilà ici. C’est tout ce que je sais.

400 Mais vous êtes ici, vous souffrez de nervosité. Ça vous affecte terriblement. Il y a quelqu’un avec vous. Il y a quelqu’un pour qui vous priez. C’est... C’est votre mari. Et il a un problème spirituel qu’il n’arrive pas à régler. Et vous avez aussi un enfant qui est malade. Vous n’êtes pas d’ici, mais vous venez du nord. Vous venez du Canada, de l’Alberta. C’est exact. Vous croyez que je suis le prophète de Dieu, et vous croyez que ce que je dis est la Vérité, rentrez chez vous et vous recevrez ce que vous avez obtenu. Oui. Croyez. Que Dieu vous bénisse, madame.

401 Je vous suis inconnu. Vous m’êtes inconnue. Je ne vous connais pas. Mais Dieu, Lui, Il vous connaît. Croyez-vous que je suis Son serviteur? [La soeur dit : “Oui, je crois.”–N.D.É.] De tout votre coeur? Je ne vous connais pas, je ne sais rien de vous. Si je pouvais vous guérir, je le ferais, mais je–je ne le peux pas. [“Amen.”] Je ne suis pas un guérisseur. Je ne suis qu’un homme. Mais Lui est Dieu. Je suis juste un peu troublé, parce qu’il y a une femme plus âgée entre moi et vous. C’est quelqu’un pour qui vous priez. [“Oui.”] Oui. C’est votre mère. [“Oui, c’est ça. Oui.”] Et elle souffre de–d’hypertension. [“Oui, c’est ça.”] Et vous avez une–une infection des reins. [“Oui, monsieur.”] C’est exact. [“C’est vrai.”] Le croyez-vous? [“Oui, je crois.”]

402 Votre mère n’est pas ici. [La soeur dit : “Non.”–N.D.É.] Mais quand vous irez à elle, prenez le foulard que vous avez autour du cou, posez-le sur votre mère, ne doutez pas, et l’hypertension partira, et votre infection disparaîtra. Allez et croyez maintenant.

403 Croyez-vous maintenant? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] De tout votre coeur? [“Amen.”] Maintenant, voyez-vous, je parcours l’auditoire du regard, et c’est comme–c’est comme si ça devenait un peu brumeux dans l’auditoire.

404 “Les choses que Je fais, vous les ferez aussi.” Il a fait plus de choses, ici même, ce soir, qu’Il... de choses de ce genre, qu’Il en a fait pendant tout Son voyage de cette vie. C’est vrai.
Maintenant, cette dame ici, c’est une jeune femme. Je ne la connais pas, elle m’est inconnue. Mais croyez-vous que je suis Son serviteur? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] Maintenant, un instant.

405 Un homme est venu devant moi, quelqu’un dans l’auditoire. Maintenant, un instant. Quelqu’un dans l’auditoire. C’est parti d’ici à ce moment-là; cette Lumière est partie d’ici. Et il y avait un homme près d’Elle, quelque part dans l’auditoire. Ne vous en faites pas; prenez courage.

406 Revenons nous occuper de cette dame. Maintenant, si le Seigneur Dieu... Ça fait six ou sept personnes, quelque chose comme ça, qui passent dans la ligne pendant le discernement. Si le Seigneur Jésus me révèle, révèle à cette femme ce qui ne va pas chez elle, cela vous amènerait-il tous à croire de tout votre coeur? Pourriez-vous accepter Christ sur la base de ceci? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Voyez? Une seule fois devrait le prouver. Trois fois, c’est une confirmation. Et ça fait maintenant des dizaines de milliers de fois, sans qu’une seule fois cela ait été faux.

407 Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour un homme. Et je le vois assis, la tête inclinée. Il fume une cigarette, et vous priez pour qu’il soit débarrassé de la cigarette. C’est... Puisse le Seigneur Dieu vous accorder votre demande, soeur. Allez et croyez de tout votre coeur, et puisse ce démon, cette dépendance, quitter votre mari, au Nom du Seigneur Jésus.

408 Vous souffrez du dos. Croyez-vous que Dieu va le rétablir? Vous le croyez? [La soeur dit : “Oui, je crois.”–N.D.É.] Très bien. Allez et dites : “Merci, Seigneur.”

409 Je connais cette femme, je crois que c’est la fille de Mme Neece. C’est ça, n’est-ce pas? [La soeur dit : “Oui.”–N.D.É.] C’est ce que je pensais. Que Dieu vous bénisse. Votre mal de dos partira maintenant, vous pouvez partir et être rétablie.

410 Croyez-vous que Dieu peut guérir cette arthrite et vous rétablir? Allez Lui dire que vous croyez en Lui. Croyez simplement de tout votre coeur.

411 Bonjour, monsieur. Croyez-vous que Dieu peut guérir vos problèmes d’estomac et vous rétablir? [Le frère dit : “Amen.”–N.D.É.] Très bien, alors allez et dites : “Merci Seigneur, je–je vais être en bonne santé maintenant.” Et–et vous–vous serez rétabli.

412 Un autre cas d’arthrite, et c’est l’âge, aussi. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir si je vous impose les mains? [La soeur dit : “Il l’a fait bien des fois, par votre entremise, en m’imposant les mains, frère.”–N.D.É.] Vous entendez ça? [L’assemblée dit : “Amen.”] Que le Seigneur bénisse ma soeur, et la délivre de nouveau ce soir. Amen. Croyez simplement en Lui.

413 Problèmes cardiaques, problèmes d’estomac. [La soeur dit : “Oui.”] Croyez-vous que Dieu peut les guérir? Très bien. Allez, au Nom du Seigneur Jésus, qu’Il vous rétablisse.

414 Bonjour, jeune homme. De l’asthme. Croyez-vous que Dieu peut guérir l’asthme? [Le frère dit : “Oui.”] Allez et croyez-le; Il le fera. Très bien.

415 Le diabète. Croyez-vous que Dieu peut guérir votre sang et vous rétablir? Allez, croyez en Lui, et Il le fera. Le croyez-vous de tout votre coeur?

416 Et si je ne vous disais rien, que je vous impose simplement les mains; croyez-vous que le Saint-Esprit est ici pour vous rétablir? [Le patient dit : “Oui.”] C’est comme ça qu’il faut faire. Venez ici. Au Nom de Jésus-Christ, puisse-t-il repartir et être guéri. Amen.

417 Venez, madame. Si je ne vous disais rien, croyez-vous que Dieu vous guérirait de ce problème gyné-... Non, excusez-moi, Il l’a déjà dit. Allez-y. Que Dieu vous bénisse. Allez, allez et croyez, là, soyez rétablie.

418 Croyez-vous, monsieur, de tout votre coeur? Dieu guérit les problèmes cardiaques, n’est-ce pas? [Le frère dit : “Oui, monsieur.”–N.D.É.] Il rétablit les hommes. Assurément qu’Il le fait.

419 Il, Il est Dieu. Le croyez-vous? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Croyez-vous de tout votre coeur? [“Amen.”] Ayez foi en Dieu!

420 Un homme par ici a fait quelque chose, il y a quelques minutes. Et je veux repérer ça. Il y avait du sang. Quelqu’un avait eu un genre d’accident, ou quelque chose s’était passé. Ça–ça saignait. C’était quelque part. Un homme se tenait là. Maintenant priez, simplement. Oui, c’est ça. C’est l’homme qui est ass-... Mais, c’est J. T. Parnell. Je connais ce jeune homme. Tu souffres d’hémorragies internes, J. T. Crois-tu que Dieu va te rétablir? Très bien, alors ça va cesser, J. T. Crois-le. Crois de tout ton coeur.

421 La jeune femme qui est assise juste ici, qui regarde dans cette direction, assise là près de Frère Grimsley. Il y a une Lumière près d’elle. Vous, avec le petit col blanc. Marie, je ne vous connais pas, mais c’est votre nom. Il y a un problème spirituel qui vous affecte, et vous êtes aussi très nerveuse. Oubliez ça; tout ira bien. Croyez de tout votre coeur. Ayez foi en Dieu. Si tu peux seulement croire.

422 Cette jeune femme, qui est assise juste là, dans la rangée du fond, de ce côté-là, elle vient du Michigan, elle souffre d’un problème gynécologique. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir? Alors, ce que vous demandez vous sera accordé. Le croyez-vous? Amen. Levez la main et dites : “Je l’accepte.” Très bien, vous pouvez rentrer chez vous et vous rétablir. Je ne connais pas cette dame, mais Dieu, Lui, Il la connaît.

423 Qu’en est-il de vous ici, sur ce lit de camp? Vous êtes le seul infirme, ou le seul homme sur une civière. Je vous suis inconnu. Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Mais, je vous dis maintenant que vous êtes recouvert de l’ombre de la mort. Vous avez le cancer. Vous venez de loin. Vous venez de Cincinnati, là. Vous vous appelez M. Hawk. Croyez de tout votre coeur. Si vous restez là, vous mourrez. Acceptez Jésus-Christ, et soyez guéri. Croyez-vous en Lui? Alors, levez-vous de cette civière, et acceptez Jésus-Christ.

424 Combien ici croient en Lui en cet instant? [L’assemblée dit : “Amen.”–N.D.É.] Croyez-vous de tout votre coeur? [“Amen.”] Alors, chacun de vous, levez-vous maintenant. Levez-vous. Maintenant, à votre manière à vous, la manière dont vous priez, posez la main sur quelqu’un près de vous.

425 Où est Soeur Brown? Elle était ici, souffrant de ce problème. L’autre jour, elle m’a téléphoné : elle ne pouvait pas lever les mains. J’ai vu qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas dans son sang. Quand je l’ai rencontrée l’autre jour... Elle a le diabète. Où est-elle? Elle était ici, avec Mme Dauch, il y a quelques instants. Très bien, Soeur Brown. Ce soir, je veux que vous croyiez de tout votre coeur. Je vous connais, je sais ce qui ne va pas chez vous, mais je veux que vous croyiez. Vous êtes sortie de l’hôpital pour venir ici, voyez-vous, pour qu’on prie pour vous. Maintenant je prie pour vous. Croyez. Vous allez vous rétablir.

426 Margie, aie foi en Dieu. Ça va partir maintenant même. Ce sera fini. S’Il peut guérir le diabète, Il peut te guérir de cette maladie d’estomac.

427 Maintenant, chacun de vous, imposez-vous les mains l’un à l’autre, et laissez-y vos mains une minute. Imposez-vous simplement les mains l’un à l’autre, restez comme ça... Voyez-vous, il sera bientôt vingt-trois heures [onze heures], et beaucoup de ces personnes doivent rentrer en voiture jusqu’au Tennessee et à différents endroits.

428 Sûrement que le Seigneur Dieu a prouvé. Qu’avez-vous vu ce soir? Avez-vous vu un homme, ou avez-vous vu Jésus, Jésus qui a confirmé Sa Parole?

429 Ces mouchoirs qui ont été posés ici, pendant que cette onction est sur moi, j’ai posé mes mains sur ces mouchoirs, je prie que le Dieu Tout-Puissant... Ils ont dit : “Ils prenaient de sur le corps de Paul des mouchoirs ou des linges.”

430 Il y a ici des gens qui étaient morts, et qui ont été ressuscités. Il y a ici des gens qui ont eu des accidents, qui ont été écrasés, et qui sont guéris. Il y a...

431 Je vois Mme Wilson qui est ici; il n’y a pas longtemps, elle était mourante à cause d’hémorragies provoquées par la tuberculose, il y a des années de ça. Elle est ici, ce soir, les médecins ne lui avaient donné que quelques heures à vivre. Elle est ici ce soir.

432 Partout, ici, il y a des gens qui étaient boiteux, aveugles, infirmes, dans des chaises roulantes, et tout, et qui sont là ce soir, comme des trophées vivants. Comment ça? Jésus-Christ vit, Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.

433 Cet homme qui a donné le témoignage tout à l’heure, au sujet de celui qui était atteint d’épilepsie, là, depuis des années, et tout, et après avoir été une seule fois à la réunion, – il y a presque vingt ans de ça, – il n’a plus jamais eu de crise. Ça, c’est un cas sur des dizaines de milliers.

434 Il est un guérisseur. Amen. Il guérit. Maintenant, ne soyez pas excités. Mais ayez simplement cette foi d’enfant, et tournez vos regards vers le Calvaire. Fermez les yeux et oubliez que vous êtes dans ce tabernacle. Fermez les yeux et oubliez qu’il y a quelqu’un à côté de vous, et regardez à Jésus et voyez. Regardez à Jésus maintenant, et vivez. Il est écrit dans la Parole, alléluia!
Qu’il suffit de “regarder, et vivre”. Oh, “regarde, et vis!”, mon frère, vis,
Regarde à Jésus maintenant, et vis;
Il est écrit dans la Parole, alléluia!
Qu’il suffit de “regarder, et vivre”.

435 Fermez les yeux à tout ce qui est humain. Fermez les yeux aux choses qui vous entourent. Par votre foi, regardez à Jésus-Christ, et sachez “qu’Il a été blessé pour vos transgressions; que par Ses meurtrissures vous avez été guéris”.

436 Seigneur Jésus, alors que ces gens prient, et ils s’imposent les mains. Et nous... nous nous rendons compte que nous sommes dans la Présence de Jésus-Christ vivant et ressuscité, sous la forme du Saint-Esprit, qui nous révèle les secrets de nos coeurs, qui nous fait connaître nos désirs, et qui nous promet qu’Il nous donnera ce que nous désirons pourvu que nous croyions.

437 Hommes et femmes ont leurs mains posées les uns sur les autres. Ils prient, parce que nous sommes des concitoyens du Royaume de Dieu. Nous sommes des frères et des soeurs de Jésus-Christ.

438 Satan, nous venons te défier, par le Nom du Seigneur Jésus. Il est l’Épée. Il est Celui qui retranche la maladie. Il est Celui qui retranche le doute. Il est le Vainqueur. Maintenant, Satan, nous te défions et nous t’ordonnons, au Nom de Jésus-Christ, de sortir de ces gens!

439 La Parole de Dieu est manifestée. Elle circoncit, Elle enlève le doute, Elle enlève la maladie, et Elle apporte une délivrance parfaite. Nous prions que le Saint-Esprit descende sur ces gens, et leur donne la puissance de la foi, pour croire que la Présence du Christ omnipotent est ici, maintenant. Accorde-le, Seigneur.

440 Je condamne toute maladie. Je condamne toute infirmité. Je condamne toute incrédulité. Au Nom de Jésus-Christ, puisse le Saint-Esprit honorer ce que j’ai dit, envahir ce bâtiment et délivrer chaque personne qui est dans la Présence Divine.

441 Maintenant, levez les mains et louez-Le. Je vous déclare rétablis et guéris, au Nom de Jésus-Christ!

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