L’Absolu

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L'Absolu - Shp
Date: 62-1230M | La durée est de: 2 hours and 22 minutes | La traduction: VGR
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1 Je suis tellement heureux d’être ici ce matin, et d’entendre cette exhortation comme je venais sur l’estrade. Je regrette d’être en retard, mais il y avait des malades à l’arrière et des voitures, une sorte d’ambulance, et j’ai dû m’occuper de ceux qui ne pouvaient pas entrer, vous voyez, avant d’entrer moi-même.

2 Maintenant, je me demande si la soeur qui a le petit enfant, si elle ne peut pas revenir cet après-midi. Je veux prêcher aussi ce soir, si le Seigneur le veut. Si elle ne peut pas revenir pour la présentation, alors (bien que je sois resté debout si longtemps cette fois-ci), eh bien, dites-lui qu’elle peut amener le bébé maintenant. Mais, si elle peut revenir ce soir, ce sera un petit peu mieux pour nous. Mais faisons selon ses possibilités; peu importe. Eh bien, si elle ne peut pas revenir, nous amènerons ce petit enfant maintenant pour la présentation. Et maintenant, tous ces... Pendant que je suis en train de parler, si elle veut s’avancer maintenant, ce serait le bon moment.

3 Maintenant, ce soir, il y aura quelque chose de très spécial. Je veux parler sur un sujet intitulé Monsieur, est-ce le temps? Ce sera un message prophétique. Donc, si le Seigneur le veut, je veux parler ce soir sur ce sujet : Est-ce l’heure, Monsieur?, ou Monsieur, est-ce le temps? plutôt. Et alors, je veux saisir l’occasion, en présence de l’église... Il y a eu bien des choses qui sont arrivées dans ces tout derniers jours, qui convergent vers un grand quelque chose que je ne comprends pas. Mais nous sommes toujours... Les voies de Dieu dépassent toute compréhension humaine; nous devons donc marcher par la foi. Si quelqu’un pouvait expliquer Dieu, alors ce ne serait plus nécessaire d’avoir la foi, parce que vous sauriez alors. Mais nous marchons simplement par la foi.

4 Et, ce matin, j’ai pensé que j’essaierais d’avoir simplement un service habituel d’évangélisation, parce que... Et j’ai ensuite changé d’idée, après que je suis venu ici, et que j’ai vu tellement de personnes debout et qui ont attendu si longtemps. Et alors, ce soir, peut-être qu’il y aura beaucoup moins de personnes ici, et alors je pourrai aller de l’avant avec ceci, avec ce que je veux dire.

5 Il y a une chose que j’aimerais annoncer, alors que beaucoup d’entre vous sont rassemblés. (C’est quelque chose que je n’ai pas annoncé ces dernières semaines.) C’est que vos prières ont été exaucées concernant cette affaire d’impôt que j’ai eue avec le gouvernement. C’est réglé. Nous sommes donc... C’est entièrement terminé maintenant. Comme beaucoup d’entre vous le comprenez, ce qu’ils avaient contre moi, c’étaient ces chèques qui avaient été destinés à la campagne. Et pourtant, ils essayèrent de dire qu’ils étaient à moi, et ils voulaient me faire payer trois cent cinquante mille dollars environ, comme si ces choses étaient ma propriété personnelle. Et ce n’était pas le cas; c’était pour la campagne. Et l’église est au courant de cela; vous tous, vous êtes au courant de cela.

6 Et, finalement, ils en sont arrivés au point où... (Je vous donnerai simplement un petit aperçu de ce qui est arrivé.) Ils avaient passé près de trois à cinq ans... près de cinq ans, je crois, sur cette affaire, y revenant plusieurs fois, regardant le caractère, et tout le reste. Je suis reconnaissant qu’ils n’ont pas pu trouver quelque chose contre moi, ils n’ont donc pas pu m’accuser pour cela. Il n’y avait donc aucune base d’accusation, si ce n’est, ont-ils dit, mon ignorance, je pense – ne sachant pas grand-chose de la loi. On m’apportait les chèques; et je les signais, j’y mettais mon nom, et je les plaçais dans la campagne. Mais alors, dès l’instant où je mettais mon nom sur eux, ils étaient à moi, vous voyez? Peu importe... On m’a dit : “C’est très bien pour vous, comme cela, mais ils vous appartenaient, et ensuite vous les avez remis à l’église. Mais, dès que vous avez mis votre nom sur cela, c’était à vous; peu importe à quoi ils étaient désignés, ils étaient libellés à votre nom.” Ainsi, s’ils avaient été mis... si quelqu’un avait marqué là-dessus don personnel, cela aurait été en règle, mais ils ont simplement écrit William Branham, voyez-vous, et alors, quand j’ai apposé mon nom là-dessus, ça y était, tout était là. Ils étaient donc... Et alors, finalement, par la prière...

7 Et alors, il n’y a pas longtemps, vous savez,... J’ai eu la vision qu’un homme de grande stature, foncé, noirci par la fumée, noir de suie, couvert d’écailles comme un alligator, s’avançait vers moi avec des doigts de fer. J’avais juste un petit couteau comme cela, et il était marqué sur lui Gouvernement des États-Unis. Et je ne pouvais rien faire, j’étais impuissant; et alors le Seigneur entra en scène, et il fut vaincu. Vous vous rappelez lorsque je vous en ai parlé, il y a longtemps.

8 Et ils ont offert un compromis l’autre jour. Et mon avocat, monsieur Orbison à New Albany, et Ice & Miller à Indianapolis, s’occupant de cette affaire d’impôt, m’ont téléphoné pour me dire de venir les trouver. J’y suis donc allé. Il y avait Frère Roberson, et moi, et mon épouse, et les administrateurs de l’église ici, et nous tous; et nous sommes allés. Et ils nous ont dit que le gouvernement était prêt à faire un compromis.

9 Et j’ai dit : “Si je dois quelque chose à quelqu’un, je le paierai. Et je ferai de mon mieux. Mais, cela, je ne le dois pas.” J’ai donc dit : “C’est... Honnêtement, Dieu le sait. Et alors, pourquoi ne présentent-ils pas d’accusation contre moi, si je suis coupable? Cela fait cinq ans qu’ils essaient de faire cela, mais ils n’ont pu rien trouver pour le faire.” J’ai donc dit : “Non, je refuse, je ne le paierai pas tant qu’ils n’ont pas prouvé que je le dois.”

10 Et alors, l’avocat m’a fait entrer et m’a parlé, et m’a dit : “Eh bien, on peut faire passer cette affaire en tribunal. Le gouvernement le fera. Et, à ce moment-là, la seule chose qu’ils peuvent trouver contre vous, c’était que vous...” – la manière dont je l’ai fait. Je n’ai pas...

11 Je ne sais pas du tout tenir une comptabilité; j’ai dû donc faire cela de la manière que je pensais être honnête. Cela n’a jamais été déposé en banque à mon nom, cela a toujours été déposé en banque au nom de l’église, de la campagne, etc. Voyez-vous? Il n’y avait donc rien que je puisse faire à ce sujet.

12 Il m’a dit : “Eh bien, ils sont prêts à faire un compromis pour quinze mille dollars, avec dix mille dollars d’amende”; et les frais d’avocat s’élevaient à quinze mille dollars. Ce qui fait quarante mille. Et alors, ils en veulent encore cinq de plus, je crois, maintenant. Je suis donc allé...

13 J’ai dit : “Mais où au monde pourrais-je trouver quarante mille dollars?” J’ai dit : “Vous connaissez mon compte en banque ici, il est dit qu’il y a environ cent dollars, ou peut-être moins.” J’ai dit : “Mais, où trouverais-je quarante et quelques mille dollars?” Et j’ai dit : “Je n’ai rien à mettre en nantissement; je n’ai pas du tout cela. C’est tout.”

14 Et il m’a dit : “Monsieur Branham, voici ce qui se passe : Si nous faisons passer cette affaire en tribunal, sans aucun doute nous pouvons gagner la partie.” Il a dit : “Mais, voici... Nous pouvons gagner la partie, parce que voici ce que je ferai. Ils vont prétendre que tout cela vous appartient, parce que vous y avez apposé votre nom. Et ils vont prétendre que cela vous appartient, bien que cela ait été déposé en banque au nom de la campagne, de l’église – de la campagne Branham, et ensuite d’une église.”

15 Et pas une seule fois n’ont-ils pu trouver un centime que j’aie dépensé pour moi-même. C’est la vérité; Dieu le sait. Il y a des hommes ici, maintenant, qui ont été avec moi pendant tout ce temps. Il n’y a pas eu un centime que j’aie jamais dépensé pour moi-même. Tout cela était pour le Royaume de Dieu, partout, chaque chèque, et tout le reste.

16 Mais, vous voyez cela? Ainsi, peu importe, c’était censé être à moi premièrement, et ensuite c’était à l’église ou à la campagne. Et ils ont une façon de faire cela, vous savez, toutes sortes de moyens de s’en sortir. J’ai alors dit : “Eh bien, je ne ferai pas cela.”

17 Et il a dit : “Eh bien, si nous gagnons le procès ainsi, parce que je les déclarerai comme des dons personnels (voyez-vous?)... Je déclarerai cela auprès du gouvernement comme des dons personnels. Et, a-t-il dit, alors, quand j’aurai fait cela, tout ce qui dépassera dix mille dollars sera considéré un héritage; et alors vous vous retrouverez là-dedans, et ils vont vous retenir encore cinq ans pour vérifier tout cela.”
Voyez-vous, quand vous écrivez un chèque, cela passe par la chambre de compensation; ils photocopient ce chèque. Bien sûr, j’avais aussi tous les chèques qui avaient passé par là. Ils ont donc dit : “C’est là où ils vous attrapent de nouveau.”

18 Et il m’a dit : “Une autre chose, Monsieur Branham, s’il arrive ainsi que vous fassiez l’objet d’une telle enquête gouvernementale, comme cela, peu importe ce que vous ferez, aux yeux du public, vous êtes un escroc.” Voyez-vous? C’est tout.

19 Regardez ce petit prédicateur baptiste, là-bas au Mississippi. Cet homme... Une femme a dit qu’il était entré, et qu’il l’avait insultée. Et cet homme a amené la preuve, venant de partout dans le pays, qu’il n’était même pas en ville plusieurs jours avant ou après le jour en question. À tel point que le juge voulait qu’il se retourne contre cette femme, et la poursuive pour diffamation. Et il a dit : “Laissez-la aller.”

20 Et, quand ils ont fait un sondage dans le pays, vous savez ce qui est arrivé? Soixante-quinze pour cent des Américains ont dit : “Il n’y a pas de fumée sans feu.” Et ce pauvre homme (tout ce qu’il y a de plus innocent, comme moi ou n’importe qui d’autre) devra porter cela le reste de ses jours, alors qu’il n’avait absolument rien à faire avec cela.

21 Cela m’a fait de la peine pendant un certain temps de penser que j’avais consacré ma vie au Royaume de Dieu, pour essayer de faire en sorte que les gens paient leurs impôts et fassent tout ce qui est juste, et faire que des escrocs deviennent des hommes honnêtes – et ensuite être considéré moi-même comme un escroc. J’ai pensé : “Mais, au monde, qu’ai-je fait?”

22 Et alors, cela m’est venu à la pensée (et j’ai regardé dans la Bible) : Chaque homme dans la Bible, sans exception, qui a eu une fonction spirituelle, si Satan ne pouvait pas les avoir avec la moralité ou quelque chose ainsi, c’est le gouvernement qui les attrapait. Revenez et regardez n’importe quel cas que vous voulez, jusqu’à Moïse, Daniel, les enfants hébreux, Jean-Baptiste, Jésus-Christ (que le gouvernement a fait mourir – peine capitale), Paul, Pierre, Jacques le Grand, Jacques le Mineur, chacun d’entre eux, c’est le gouvernement qui les a fait mourir.

23 Parce que chaque gouvernement est le siège de Satan. Jésus l’a dit, la Bible le dit. Voyez-vous? Chaque gouvernement est contrôlé par le diable. Il y a un gouvernement qui sera contrôlé par Christ, mais cela sera dans le millénium. Mais ces gouvernements actuels, peu importe combien nous pensons qu’ils sont bien, pourtant, par-derrière, ils sont dominés par Satan. “Ces royaumes, a-t-il dit, m’appartiennent; je fais avec eux comme je l’entends. Je Te les donnerai si Tu m’adores.”

24 Jésus a dit : “Arrière de moi, Satan! Tu adoreras le Seigneur, et Lui seul tu serviras.”

25 Et alors, je me suis découragé. (Ma femme est en train de m’écouter.) Je suis allé à la maison, et j’ai dit : “Alors, ça non! Si je le dois, je le paierai. Je ne le dois pas, et je ne vais donc pas le payer. Un point, c’est tout.” Et j’ai dit : “De toute manière, comment puis-je le payer?”

26 Je suis donc allé à la maison, et j’ai dit : “Méda, lave le visage des enfants, prépare leurs habits; je pars.” J’ai dit : “Ils ne veulent même pas... Tout est sens dessus dessous.”

27 J’ai dit : “Qu’ai-je donc fait? Dis-le-moi!” J’ai dit : “Moi, devoir quarante mille dollars? Fiou! Tu ne réalises pas ce que cela veut dire pour moi!” Et elle est venue, comme une gentille petite épouse... Et j’ai dit : “Je pars!”

28 Elle m’a dit : “Tu penses que ça va rimer à quelque chose? As-tu déjà prié à ce sujet?”

29 J’ai pensé : “Eh bien, peut-être que je ferais mieux de prier à nouveau.” Je suis donc retourné dans mon bureau, et il me semblait comme s’Il me citait un passage de l’Écriture.

30 Vous voulez toujours observer l’Écriture, ce que Dieu a fait à ce sujet. Voyez-vous?

31 Et, un jour, on Lui a demandé, vous savez, alors qu’on essayait de L’accuser par rapport au gouvernement. On Lui a dit : “Est-ce bien juste pour nous, Juifs, qui sommes libres, de payer le tribut, ou des impôts, à César?”
Il a dit : “Avez-vous un denier?” Et Il a dit : “De qui est-ce l’inscription?”
On Lui a répondu : “De César.”

32 Il a dit : “Rendez donc à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu.”

33 J’ai pensé à cela. J’ai ouvert la Bible, et j’ai lu cela. J’ai pensé : “C’est vrai, Seigneur, c’est juste! Mais ceci n’appartient pas à César; c’était à Toi, ce n’était pas à César. Si cela avait été à moi, et que je devais payer davantage d’impôt, eh bien, ç’aurait été différent; cela appartenait à César. Mais ceci est à Toi, et, premièrement, cela n’a jamais appartenu à César.”

34 Vous savez, Il a toujours la réponse dans la Parole. J’ai lu un petit peu plus loin, où Il a dit : “Dis donc, Simon, n’as-tu pas un hameçon dans ta poche? Tu as toujours sur toi un petit hameçon et une ficelle. Je viens de faire un dépôt ce matin dans une banque gérée par des poissons, là-bas à la rivière, tu sais.” Il a dit : “J’ai fait un dépôt, et le banquier va certainement redonner ce qu’il a. Descends là-bas, et jette l’hameçon dans la rivière; et, quand tu arriveras à la banque, ouvre sa bouche, et il te donnera la pièce. Ne les scandalisons pas. Ne les offensons pas, vois-tu? Va payer cela, Simon, ce sera pour Moi et pour toi.”

35 J’ai pensé : “C’est vrai, ô Dieu, Tu as des banques gérées par des poissons, et tout le reste, à travers le pays. Je ne sais pas comment ça va se faire.”

36 Mais nous sommes allés là-bas. J’ai pris les frères ici, de l’église, qui étaient derrière moi, et j’ai rempli un avis de retrait. J’ai donc reçu quarante mille dollars, et j’ai pu régler cela.

37 Je suis rentré à la maison; et je voulais savoir comment j’avais écrit ce chèque, s’ils allaient me faire des histoires à ce sujet. Et j’ai dit : “C’est pour dire que je suis libéré de tout impôt.”...?... Quiconque endossera celui-là sera certainement dans de beaux draps! J’ai téléphoné plusieurs fois à la banque, pour voir s’ils le feraient, et, finalement, Bob m’a dit : “Billy, ils ont accepté.”

38 Je suis ensuite allé dans la pièce où se trouvait ma femme, je l’ai entourée de mes bras, et j’ai dit : “Chérie, je suis libre!” Quel bien cela fait de se sentir libre!

39 Et ainsi, je peux rembourser cela maintenant. Et ils ont vraiment rendu la chose la plus facile pour moi : je peux le rembourser à raison de quatre mille dollars par année. Mais maintenant, je ne peux plus me permettre de flâner, mes amis; je dois sortir et aller travailler. Ça me prendra donc dix ans pour le rembourser, si Jésus ne revient pas. Et, quand Il reviendra, toutes les dettes seront réglées de toute façon, vous voyez. Ainsi, j’espère que vous tous... Vos prières... (Et, ce soir, je continuerai avec quelque chose un peu en rapport avec cela.) Mais vos prières sont ce qui m’a aidé. Merci beaucoup. Que Dieu vous bénisse! Peu importe où nous pouvons une fois nous trouver, je ne l’oublierai jamais.

40 Ce soir, si le Seigneur le veut, je désire exposer certains faits que je connais. Soyez donc sûrs de venir. Et rappelez-vous, maintenant, Messieurs, quelle heure est-il?

41 Maintenant, nous allons... Je crois qu’ils ont un horaire bien rempli pour le reste de cette semaine, et, lundi soir, il y a... Il y a des services aujourd’hui, et ce soir, et lundi. Lundi soir, il y a le service de longue veille. Et alors cela vous donne mardi, le Premier de l’An, si vous êtes de l’extérieur, pour vous permettre de rentrer chez vous.

42 Et nous aurons quelques bons serviteurs ici pour cette réunion, un bon groupe de bons orateurs. Et chacun parlera à tour de rôle, jusqu’à minuit; et parfois ils prennent la communion. Je ne sais pas s’ils vont le faire cette fois-ci ou non. Alors qu’ils feront la noce, crieront, tireront des coups de feu, boiront et se conduiront mal, nous prendrons la communion (Amen!), nous commencerons la nouvelle année de la bonne manière, avec la communion.
Eh bien, vous êtes tous invités, et j’espère que vous... que le Dieu du ciel vous donnera l’occasion de rester jusque là, si vous le pouvez.

43 Maintenant, avant d’aborder la Parole, j’aimerais aussi dire ceci... que je remercie certainement cette église, ses membres, pour ce beau complet que vous m’avez acheté. Merci beaucoup. Cela représente tellement pour moi. Toutes vos cartes, et autres, reçues pendant la période de Noël, et les cadeaux que vous avez envoyés à la famille, et... Oh, ils me semblaient innombrables. Et rien ne peut autant toucher mon coeur que de savoir que cela vient de vous.

44 Et certains d’entre vous m’ont envoyé leur cadeau de Noël en argent, et certains m’ont envoyé... comme ce certain frère qui m’a envoyé un portefeuille qu’il avait fait faire avec mon nom dessus; et une petite broche dans laquelle vous regardez, et il s’y trouve la Prière du Seigneur; et, oh, des choses comme cela, auxquelles nous attachons une grande valeur. Mon épouse et moi, et les enfants, voulons vous dire merci beaucoup. C’est si peu. Mais je dirai ceci, et c’est, je pense, la plus belle parole que l’on puisse dire à quelqu’un : “Que Dieu vous bénisse!” Il ne peut rien y avoir de plus grand.

45 Et maintenant, en ce qui concerne ces frères, de l’église ici, qui m’ont acheté ce fusil... J’ai porté mon complet, mais je ne pouvais pas amener le fusil à l’église. Mais c’était... (Ils auraient vraiment eu quelque chose contre moi à ce moment-là, n’est-ce pas?) Je vous remercie certainement, mes frères. J’allais lire leurs noms sur un petit... Mais un des frères a passé me voir hier, et m’a dit : “Oh, ne me remerciez pas, Frère Branham, cela en enlèverait toute la joie.” Voyez-vous?
J’ai donc pensé : “Peut-être que les autres pensent la même chose.” Mais j’ai votre nom; ils l’ont tapé à la machine. Je m’en rappellerai toujours. Et que le Seigneur vous bénisse grandement!

46 Et vous savez ce que je fais pour me détendre : je vais dans mon cabinet d’étude, je m’assois là, et je revis les événements. Et, quand je suis si tendu que je ne peux pas aller plus loin, alors je pense à quelque tournée de chasse que j’ai faite quelque part, ou un endroit où je suis allé à la pêche. J’apprécie cela. Que Dieu vous bénisse!

47 Maintenant, pouvons-nous incliner nos têtes un instant, comme nous abordons la Parole. Je suis certain qu’il y a des requêtes ici ce matin, qui sont trop nombreuses pour les énumérer maintenant. Je me demande donc, alors que nos têtes sont inclinées : Votre requête spéciale, si vous la gardiez dans votre coeur, en levant votre main et disant : “Ô Dieu, Tu sais à quoi je pense maintenant.”

48 Seigneur Jésus, Tu vois chaque main, et Tu sais ce qu’il y a là-derrière. Là au fond, derrière cette main, se trouve une requête. Et nous venons maintenant, respectueusement, au Trône du Dieu vivant, cette grande perle blanche qui s’étend à travers l’espace du temps, là où Dieu Jéhovah est assis, et le Sang de Christ se trouve sur l’autel. Et nous parlons par-dessus le Sang de Celui qui a dit : “Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom sera accordé.” Ce matin, ô Dieu, ne vas-Tu pas entendre et exaucer leurs requêtes? Je dépose ma prière avec la leur aujourd’hui, afin que Tu accordes cela.

49 Voici, ici devant moi, des mouchoirs, Seigneur, pour les malades et les affligés. Et on nous enseigne dans cette Bible qu’on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché saint Paul; on les plaçait sur les malades, et des esprits impurs sortaient d’eux, et les maladies les quittaient. Et, Père, nous le savons depuis longtemps, nous le savons certainement, que nous ne sommes pas saint Paul; mais, après tout, nous sentons que ce n’était pas saint Paul, c’était le Christ qui était en lui. Et Tu es le même hier, aujourd’hui et pour toujours, d’après l’Écriture.
Maintenant, ces gens, Seigneur, croient que si nous demandons cela à Dieu, et que nous prenons ces mouchoirs et les posons sur les malades, qu’ils seront guéris. Je Te prie qu’il en soit ainsi, Seigneur, lorsque ces mouchoirs seront placés sur les malades.

50 Comme cela a été dit, une fois Israël s’est mis en route dans l’exercice de ses fonctions, se rendant vers la terre promise, et la mer Rouge lui coupait la route, alors qu’il remplissait son devoir. Mais Dieu regarda, à travers cette Colonne de Feu, avec des yeux courroucés; et cette mer eut peur, et elle fit reculer ses vagues, ses eaux. Et Israël passa à pied sec, pour aller vers la terre promise.

51 Maintenant, Seigneur, aujourd’hui, regarde à travers le Sang de Jésus. Et Tu vois cet acte de foi que nous accomplissons ici ce matin; et puisse Satan avoir peur et s’en aller. Et puisse chacun de ces pèlerins qui est présent, et chacun de ceux sur qui ces mouchoirs seront posés... Que la route soit ouverte, que la maladie s’en aille, et puissent-ils continuer leur voyage vers la terre promise, étant conduits par le Saint-Esprit, la Colonne de Feu. Accorde-le, Seigneur.

52 Maintenant, bénis les services, les paroles, le contexte, la lecture. Et puisse le Saint-Esprit prendre la Parole ce matin, et nous La répartir à chacun, avec douceur, Seigneur, alors que nous approchons de quelque chose de grand, de formidable, que nous ne connaissons pas encore. Nos coeurs sont étrangement remués, Seigneur. Et nous Te prions maintenant, alors que nous nous approchons respectueusement de Toi et de Ta Parole, d’interpréter cela et de nous en donner la signification. Car nous Te le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, ce soir, n’oubliez pas : L’Heure; Quelle heure est-il?

53 Et maintenant, ce matin, j’aimerais vous faire prendre dans les Écritures, vous qui avez vos Bibles ou qui désirez l’inscrire... Le passage à partir duquel nous voulons parler pendant quelques instants se trouve dans le Livre des Actes. Nous lirons peut-être à deux ou trois endroits. Actes 26.15 premièrement; Actes, chapitre 25 et verset 15, pour commencer.

54 Puis nous voulons lire Actes 23.11. Et vous pouvez ajouter à ceci, si vous le désirez (je n’aurai probablement pas le temps de le lire), Philippiens 1.20. Tout cela est dans la même ligne et utilise les mêmes mots.

55 Eh bien, dans le Livre des Actes, 26.15, nous y lisons ceci : Je répondis : Qui es-tu, Seigneur? Et le Seigneur dit : Je suis Jésus que tu persécutes. Mais lève-toi, et tiens-toi sur tes pieds; car je te suis apparu pour t’établir ministre et témoin des choses que tu as vues et de celles pour lesquelles je t’apparaîtrai. Je t’ai choisi du milieu de ce peuple et du milieu des païens, vers qui je t’envoie, afin que tu leur ouvres les yeux, pour qu’ils passent des ténèbres à la lumière et de la puissance de Satan à Dieu, pour qu’ils reçoivent, par la foi en moi, le pardon des péchés et l’héritage avec les sanctifiés. En conséquence, roi Agrippa, je n’ai point résisté à la vision céleste : à ceux de Damas d’abord, puis à Jérusalem, dans toute la Judée, et chez les païens, j’ai prêché la repentance et la conversion à Dieu, avec la pratique d’oeuvres dignes de la repentance.

56 Également, dans Actes 23, et le verset 11 : La nuit suivante, le Seigneur apparut à Paul, et dit : Prends courage; car, de même que tu as rendu témoignage de moi dans Jérusalem, il faut aussi que tu rendes témoignage dans Rome.

57 Puisse Dieu ajouter Ses saintes bénédictions à la lecture de cette sainte Parole pleine de grâce que nous avons devant nous.

58 J’ai entendu un homme parler, ou enseigner, il n’y a pas longtemps, et il a utilisé le mot absolu. Et j’ai pensé : “C’est un très bon mot; je l’ai entendu utilisé si souvent.” Absolument.

59 J’ai consulté le dictionnaire Webster. D’après Webster, cela signifie “parfait en soi; illimité dans sa puissance; principalement, un point de référence final”. Et ce point de référence final, c’est un “amen”; c’est tout. Un absolu, c’est “illimité en puissance” – le mot absolu. C’est parfait en soi. Tout est là; cela règle la question. Et j’ai pensé : “C’est une chose glorieuse; c’est un mot merveilleux.”

60 Or, un mot, c’est une pensée exprimée. Premièrement, ce doit être une pensée, puis cela devient un mot, parce que vous ne prononcez pas de mot sans y avoir pensé.

61 Quand nous parlons en langues, nous n’avons aucune pensée; c’est Dieu prenant les pensées; c’est la pensée de Dieu utilisant nos lèvres. Nous ne pensons pas, ou vous ne savez pas ce que vous dites quand vous parlez en langues, si c’est un parler inspiré. Quand vous interprétez, vous ne savez pas ce que vous êtes en train de dire; vous le dites simplement, c’est tout. Voyez-vous? C’est Dieu. Et, lorsque vous prophétisez, vous n’utilisez pas vos propres pensées – c’est Dieu. Parce que vous dites des choses que vous ne penseriez pas dire ordinairement. Voyez-vous?

62 Mais le mot absolu indique quelque chose de définitif; c’est pourquoi je pense que chacun devrait avoir un point de référence final. Et, derrière toute grande réalisation, il y a eu un absolu. Peu importe ce que c’était, il y avait un absolu derrière cela. Et toute personne qui veut réaliser quelque chose doit avoir premièrement l’absolu. Et c’est l’ultime retour au point de départ, en passant par ceci, et cela, et encore cela, jusqu’à ce que vous arriviez à cet absolu, ou l’amen, ou le point de référence final de ce que vous... En d’autres termes, vous devez avoir quelque chose auquel vous rattacher. C’est le poteau d’attache final de toute réalisation. Il se trouve quelque part. Cela peut serpenter à travers bien des choses différentes, jusqu’à ce que cela arrive à ce poteau d’attache; mais là se trouve l’amen pour le tout. Il doit y avoir une telle chose. Vous ne pouvez pas continuer à travers la vie sans en avoir un.

63 Lorsque vous vous êtes marié, vous avez dû faire un retour en arrière dans votre pensée, jusqu’à ce que vous atteigniez ce poteau d’attache. Et ce devait être l’amour pour votre femme ou votre mari. Eh bien, peut-être qu’elle n’est pas aussi jolie que la femme de John; ou elle... eh bien, elle ne... ceci ou cela... mais il y a quelque chose en elle qui vous frappe. Vous dites : “Il se peut qu’elle ne soit pas aussi jolie que l’autre”, ou : “Il se peut qu’il ne soit pas aussi beau que l’autre”, mais il doit y avoir un absolu là, qui fait que cette personne est différente. Et c’est à cela que vous vous accrochez. Et si cela n’est pas là, vous feriez mieux de ne pas vous marier; s’il n’y a pas ce poteau d’attache, cet absolu.

64 Nous pouvons penser à beaucoup qui avaient des absolus dans la Bible. Oh, nous pourrions parcourir cette Bible d’un bout à l’autre, et être encore ici dans deux semaines, sans même en avoir touché la surface, rien qu’en pensant aux absolus dans la Bible. Par exemple, laissez-moi juste en citer un ou deux brièvement.

65 Regardez Job. Il avait un absolu. Tout est allé mal pour cet homme, qui était un homme juste. Nous n’oserions pas dire qu’il n’était pas juste, parce que Dieu a dit qu’il l’était. Il n’y avait sur la terre personne de semblable à Job. Il était parfait aux yeux de Dieu, et il le savait; parce qu’il avait un point de référence final, il avait un absolu.

66 Quand tout semblait être contre lui, et que la maladie s’est déclarée, ses amis ont peut-être dit : “Maintenant, ça y est, Job, cela prouve que tu es en train de pécher; tu as tort.” Et alors, les évêques sont venus – on les a appelés les consolateurs de Job – et, plutôt que de le réconforter, ils n’ont rien vu d’autre que le péché dans sa vie (parce que Dieu avait traité avec lui de cette manière).

67 Et ses enfants furent tués, ses biens furent brûlés... Tout est allé de travers, et même sa vie était en danger. Il était assis sur la cendre, recouvert d’ulcères depuis le sommet de sa tête jusqu’à la plante de ses pieds. Et même sa douce et charmante compagne, la mère de ses enfants, lui a dit : “Tu devrais maudire Dieu, et mourir.” Mais, en face de tout cela, Job avait un absolu!

68 Oh, en période de maladie, si nous pouvions seulement nous attacher à cet absolu.

69 Job savait qu’il avait exécuté l’ordre de Jéhovah, et il avait foi en ce qu’il avait fait, parce que Jéhovah l’avait exigé. Si nous pouvions simplement faire cela! Jéhovah exigeait un holocauste pour son péché. Et Job, non seulement pour lui-même mais aussi pour ses enfants, avait offert un holocauste, et c’était tout ce que Dieu exigeait.
Oh, vous direz peut-être : “Je souhaiterais que ce soit tout ce qu’Il exige aujourd’hui.”

70 C’est encore moins que ça : simplement la foi dans Sa Parole. Et, vous, si vous faites de Sa Parole votre absolu, vous pouvez... toute promesse Divine dans la Bible, vous pouvez y attacher votre âme. Peu importe combien les vagues vous fouettent, vous restez attaché. Votre absolu.

71 Et il s’y est cramponné. Et, quand ses consolateurs ont dit : “Tu as péché”, il savait qu’il ne l’avait pas fait. Il était juste, parce qu’il avait exécuté l’ordre de Jéhovah.

72 Et quand il... chaque... que l’homme est venu en disant : “Tes enfants sont morts”... Un autre est entré en disant : “Tes chameaux sont entièrement consumés; un feu est descendu du ciel.”

73 Regardez quel argument ses incommodeurs avaient : “Tu vois? Le feu est descendu du ciel! Eh bien, Job, cela prouve...”
“Cela ne prouve rien!”
“Eh bien, Il n’aurait pas frappé tes enfants, Job; tu es un homme juste.”

74 Mais Job a dit : “Je sais que j’ai fait ce qui est juste.” Il a continué à tenir bon; il avait quelque chose qu’il pouvait enfoncer. C’est cela. Il avait accepté cela; il avait fait exactement ce que Dieu lui avait dit de faire, et il en était absolument certain. Très bien.

75 Et alors, quand il en est arrivé au point, où on voit que cet absolu a tenu... alors, finalement, il a commencé à sentir la corde se tendre, alors qu’avant elle flottait librement. Mais elle a commencé à se tendre. Et l’Esprit est venu sur lui. Il s’est levé, étant prophète, et a dit : “Je sais que mon Rédempteur est vivant!” Amen! Voyez-vous, il avait resserré ses liens avec son absolu, il était entré en contact. Il savait qu’il avait fait ce qui était juste, et, un jour, il dut se tirer jusqu’à Lui. “Je sais que mon Rédempteur est vivant, et que, dans les derniers jours, Il se tiendra sur cette terre. Même quand les vers auront détruit ce corps, de ma chair je verrai Dieu.” Il sut alors; son absolu fut ancré.

76 Abraham avait un absolu. Il venait de Babylone, de la tour; il était dans le pays de Schinear. C’est là qu’il séjournait avec son père, et il était peut-être fermier. Mais un jour, quelque part, tout au fond de la jungle, alors que peut-être il ramassait des baies ou qu’il s’apprêtait à tuer un animal pour avoir de la viande à manger... quelque part, par là-bas, Dieu lui a parlé, alors qu’il avait soixante-quinze ans.
Il avait... Lui et sa femme Sara (elle en avait soixante-cinq et n’avait pas d’enfants)... ils étaient sans enfants. Alors, Dieu lui a dit : “Tu vas avoir un enfant par Sara, mais, pour cela, tu devras te séparer.”

77 Les promesses de Dieu dépendent toujours de conditions. Vous devez absolument... Peu importe combien vous êtes fondamentaliste avec la promesse, il y a toujours des conditions. Comme nous pourrions nous arrêter ici, et parcourir l’Écriture d’un bout à l’autre pendant des heures; et nous verrions que la condition est ce qui importe. Vous pouvez être aussi fondamentaliste que vous le voulez, mais c’est sous condition, d’après la promesse, la prédestination, etc.

78 Remarquez! Eh bien, Abraham... il crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice. Or, quelle chose horrible ce serait d’affronter un monde civilisé, lui, un homme de soixante-quinze ans, avec une femme de soixante-cinq (et ils avaient vécu ensemble depuis qu’ils étaient jeunes, parce qu’elle était sa demi-soeur), et maintenant, avoir par elle un bébé? Mais il avait un absolu! Rien n’allait l’ébranler.

79 Et, quand ce n’est pas arrivé le premier mois, son absolu a tenu, parce qu’il savait qu’il avait parlé à Dieu. Le second mois, la seconde année, dix ans, et vingt-cinq ans plus tard (quand il avait cent ans et Sara en avait quatre-vingt-dix), son absolu tenait toujours bon.

80 Et la Bible dit (quand sa notice biographique fut écrite après sa mort) : “Abraham ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.”

81 Pourquoi? Avez-vous déjà pensé : Pourquoi? Il était absolument certain. Et la seule chose qu’il devait faire, c’était de se séparer de son peuple. Et Dieu ne l’a jamais béni avant qu’il l’ait fait. Il a pris son papa; et le papa est mort. Il a pris Lot; et, quand... après que Lot s’est séparé d’Abraham, alors Dieu est venu vers lui, et lui a dit : “Maintenant, marche à travers le pays.”

82 L’obéissance, la promesse sous certaines conditions, va toujours avec Dieu et sa Parole. Maintenant, regardez...

83 Prenons Moïse; Moïse, le prophète serviteur fugitif, à qui Dieu avait donné l’éducation et l’instruction au palais de Pharaon. Et Moïse est sorti avec sa formation théologique, et il a tué le premier homme. C’est alors que, devant son premier petit déboire, Moïse eut une peur bleue.

84 Pourquoi? Il n’avait point d’absolu. Il n’avait que le témoignage de sa mère concernant sa naissance. Il était un étrange enfant; il avait la parole de sa mère à ce sujet.
Il avait les rouleaux où Dieu avait... peut-être en papier quelque part qu’ils avaient écrits et transportés avec eux... où Dieu allait visiter Ses enfants. Il savait que c’était le temps, comme nous le savons maintenant. Nous savons que quelque chose est sur le point d’arriver.

85 Eh bien, Moïse savait que c’était le temps, et il savait qu’il était choisi pour cela; mais il n’avait pas d’absolu. Voyez-vous?

86 Et, un jour, derrière le désert, quand il avait perdu la vision, Dieu lui est apparu dans un buisson ardent, et lui a dit : “Moïse, J’ai vu les afflictions de Mon peuple, J’ai entendu leurs gémissements et les cris que leur font pousser ces inspecteurs lorsqu’ils les punissent; et Je me suis souvenu de Ma promesse. Je suis descendu pour les délivrer. Maintenant, pars en Égypte!” Oh! la la!

87 Moïse s’est plaint, en disant : “Je ne parle pas très bien. Mon élocution n’est pas très bonne. Ils ne me croiront pas!”
Il a dit : “Qu’y a-t-il dans ta main?”
Il a répondu : “Une verge.”

88 Il a dit : “Jette-la par terre!” Elle devint un serpent. Il lui a dit : “Saisis-le par la queue!” Il redevint une verge. Il lui donnait l’assurance, une confirmation.

89 Quand Dieu donne un absolu, Il donne toujours une confirmation de cet absolu.

90 Alors, Moïse, une fois qu’il s’est trouvé là-bas, il a jeté par terre sa verge devant les magiciens et Pharaon; et les magiciens sont venus et ont aussi jeté leur verge par terre. Moïse n’est pas parti en courant, en disant : “Oh, eh bien, je me suis trompé; ce n’était qu’un piètre tour de magicien, et peut-être que je me suis trompé.”

91 Mais il savait, il était certain qu’il avait rencontré Dieu; et il s’est tenu tranquille. Disons qu’il avait fait exactement ce que Dieu lui avait dit de faire, comme Job avait fait exactement ce que Dieu lui avait dit de faire; Moïse avait suivi Ses commandements. Alors, restez tranquille, et observez la gloire de Dieu!
Moïse était attaché à son absolu, à sa commission, et il est resté tranquille. Et, à ce moment-là, son serpent a avalé tous les autres serpents. Voyez-vous, il était attaché à cet absolu.

92 Dieu a dit : “Quand tu auras délivré ces enfants, vous M’adorerez à nouveau sur cette montagne.”

93 Regardez comme l’ennemi essaiera par tous les moyens possibles de vous éloigner de cet absolu.

94 Alors qu’ils commençaient juste à sortir d’Égypte, ils se sont trouvés acculés dans l’isthme de la mer Rouge, avec des montagnes de chaque côté. Ils arrivèrent par une vallée et se retrouvèrent devant la mer Rouge. Il n’y avait pas moyen d’échapper en passant par-dessus les collines, ni aucun moyen d’échapper en passant par ici; et l’armée de Pharaon arrivait par ici. En voilà un endroit!

95 Voyez-vous comment le diable vous amène dans un endroit où vous ne savez pas ce qu’il faut faire? Mais, rappelez-vous, si vous êtes attaché à cet absolu, c’est bon!

96 Moïse savait que Dieu lui avait promis que “vous M’adorerez sur cette montagne quand tu les auras fait sortir. Et Je suis descendu pour les délivrer par ta main, et les placer dans cet autre pays”. Il est resté bien avec cela; et Dieu a envoyé un vent d’orient et a soufflé les eaux qui recouvraient le fond de la mer, et ils traversèrent à pied sec. Un absolu!

97 Combien nous pourrions parcourir les Écritures : Daniel – son absolu; Schadrac, Méschac et Abed-Nego – leur absolu; David – son absolu. Tous – un absolu.

98 Paul en avait aussi un (celui que nous voyons dans notre lecture). Il avait un appel centré sur Christ, et c’était son absolu. C’est la raison pour laquelle il n’avait pas peur de ce qu’Agrippa dirait. Se tenant là (et Agrippa était Juif, comme nous le savons), et ainsi, quand il se tenait devant ces rois et d’autres, Dieu lui avait déjà dit qu’il s’y trouverait. Il avait donc un absolu, et il raconta exactement la vision céleste. Il a dit : “Je ne suis pas un... Je ne l’ai pas déshonorée. Je ne l’ai pas sous-estimée; je ne me suis pas mal conduit.” Mais il y est resté fidèle et n’y a pas désobéi; il a exécuté cela à la minute près, car c’était un absolu. Et toute vie centrée sur Christ... c’est votre absolu.

99 Eh bien, depuis qu’il L’avait rencontré face à face sur le chemin de Damas, cela gardait une grande signification pour Paul.

100 Maintenant, rappelez-vous qu’il était un érudit auparavant, il était un homme très fort dans les Écritures. Mais il n’avait pas de poteau d’attache, si ce n’est le soutien du sanhédrin et un diplôme venant d’un grand docteur. Il était éminent dans sa branche, mais il était chancelant. Tout ce qu’il avait, c’est que son absolu serait aussi fort que l’était son organisation; c’est là toute la force qu’il pouvait avoir. Et, dans son travail, il était fidèle à cela : il prenait des Chrétiens, les liait, et causait des ravages dans leurs rangs – il a même lapidé Étienne.

101 Je pense que, plus tard dans sa vie, la raison pour laquelle il est allé à Jérusalem, alors que le prophète lui avait dit : “N’y va pas, Paul, car des chaînes et la prison t’attendent”...

102 Et Paul a dit : “Je le sais. Mais je ne vais pas seulement à Jérusalem pour y servir de témoin, mais j’y vais en étant prêt à mourir pour Jésus-Christ.” Car il savait ce qu’il avait fait, et son ambition, c’était de sceller son témoignage avec son propre sang – mourir en tant que martyr, parce qu’il avait tué l’un des martyrs de Dieu.

103 Et maintenant, le voici en route pour Damas, avec toute son instruction. Il avait appris aux pieds de Gamaliel, ce grand docteur, et il avait été bien enseigné dans toute la religion juive. Mais, malgré tout cela, il était peu solide, et il n’était pas apte à faire certaines choses. Et, tout à coup, il y eut une Lumière et un grondement, peut-être sous forme de tonnerre; il fut frappé et tomba par terre.

104 Et, quand il leva les yeux, il y avait une Lumière brillante qui l’aveugla. Quelle étrange chose! Personne d’autre n’a vu la Lumière, si ce n’est Saul. C’était si réel pour lui que Cela l’a aveuglé; il ne pouvait pas voir, il devint totalement aveugle, avec cette Colonne de Feu qui resplendissait juste devant son visage. Et il entendit une Voix, lui disant : “Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?”
Il dit : “Seigneur, Qui es-Tu?”

105 Il dit : “Je suis Jésus; et il t’est difficile de regimber contre ces aiguillons. Lève-toi maintenant, et va à Damas. Et là, on t’enverra quelqu’un.” Et alors, quand il s’est relevé de là...

106 Et il y avait quelqu’un, un prophète, là-bas dans la ville, qui eut une vision, alors qu’il était en prière; et il est venu. Ananias vint trouver Saul, lui imposa les mains, et il fut guéri par la guérison Divine. Il s’est alors relevé, il fut baptisé, ses péchés furent lavés, et il invoqua le Nom du Seigneur; et alors, il eut un absolu. Il ne fut plus jamais le même après cela. Il est allé directement d’église en église, de lieu en lieu, pour essayer de bâtir ce qu’il avait essayé de démolir.

107 Combien la nation, combien le monde chrétien, ce matin, a besoin de ce type d’absolu. Ceux qui, au moyen de crédos, de traditions, ont essayé... et de doctrines humaines, ont essayé de contester à la Parole de Dieu la faculté d’être la même hier, aujourd’hui et pour toujours, ont besoin d’un absolu, d’une expérience sur un chemin de Damas, où ils rencontrent le Dieu vivant qui peut guérir les malades, et ressusciter les morts, et chasser les démons – un authentique absolu.

108 Paul savait que quelque chose était arrivé; personne ne pouvait le lui enlever. Plus rien d’autre n’avait d’importance; il était attaché, et c’était réglé. Peu importe ce qui allait arriver, il savait qu’il était attaché – une vie centrée sur Christ!

109 Oh, la vie qu’il avait vécue était une vie différente. Maintenant, rappelez-vous, il avait été un homme religieux.

110 Et, pour certains de vous, ce matin,... (Et je sais que vous réalisez que cette bande, qui est en train de s’enregistrer, sera jouée dans toutes les nations sous le ciel, pratiquement, dans le monde entier.) Et certains de vous, qui êtes ici présents, et certains de vous, là où les bandes seront jouées, dans les autres nations, par un interprète (donnant cela aux tribus d’Afrique, là-bas chez les Hottentots et tout autour), et vous, leaders religieux, qui avez simplement reçu un enseignement de la Bible... (Vous l’avez reçu à partir d’un point de vue historique, et vous êtes peut-être capables d’expliquer toutes ces choses.)

111 Mais, si vous n’avez pas un absolu, si vous n’avez pas une expérience (et si cette expérience, que vous prétendez avoir, vous fait nier que chaque mot de Ceci est tout aussi vrai pour l’Église aujourd’hui que jadis), et si vous vous confiez dans votre diplôme en lettres, ou autre, ou... que vous pouvez avoir; si vous vous confiez dans les pensées de votre organisation (qui pourrait dire : “Le temps des miracles est passé; nous n’avons point de guérison Divine; et le baptême du Saint-Esprit, comme ils l’ont reçu le jour de la Pentecôte, n’est pas pour les gens aujourd’hui”); si c’est tout ce que vous avez, mon précieux frère, ma soeur, vous avez besoin d’une expérience sur le chemin de Damas!

112 Vous avez besoin de rencontrer ce Dieu vivant, où vous... pas seulement une pensée mythique dans votre esprit, pas un frisson ou une sorte de sensation, mais être enseigné et avoir l’expérience d’un absolument authentique... Le même Jésus qui marchait en Galilée est vivant aujourd’hui, et vivant à jamais, et Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours – un absolu, qui fait que vous n’avez pas besoin de prendre ce que quelqu’un d’autre a dit, vous le savez vous-même, ce n’est pas une quelconque sensation.

113 Et, si la sensation que vous avez eue, et si quelqu’un (c’était peut-être une vraie sensation biblique)... et que quelqu’un d’autre essaie de vous convaincre du contraire, disant que ces choses étaient pour un autre temps, faites attention! C’est vrai, faites attention! Mais il y a un moyen de le savoir. Testez cela avec la Parole : c’est le Plan!

114 Si la maison est construite contrairement au plan, l’entrepreneur devra la démolir et la reconstruire. Elle doit être conforme au plan.

115 Alors, peu importe votre expérience, si quelque chose en vous vous dit que cette Bible n’est pas vraie, que cette puissance de Dieu, les apôtres, les prophètes, les enseignants, les pasteurs, et les dons de l’Esprit ne sont pas les mêmes que lorsqu’ils coulaient à travers ces apôtres à la Pentecôte, il y a quelque chose qui ne va pas avec votre absolu. Il doit être attaché à un credo dénominationnel plutôt qu’à la Bible de Dieu; car Il a dit : “Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne faillira jamais.”

116 Regardez bien ce qu’est votre absolu. Vous pouvez être absolument certain que vous avez une bonne communion avec le pasteur; et vous pouvez être absolument certain que vous avez une bonne communion avec le surveillant de district; et c’est peut-être absolument certain que vous avez une bonne communion avec l’évêque ou quelque homme important de votre église; mais si vous n’êtes pas... si votre absolu n’est pas Jésus-Christ...

117 “Car, sur cette pierre, Je placerai Mon absolu, et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre Lui” – une révélation spirituelle de Qui Il est, et Le connaître, Lui. Très bien.

118 Oh, maintenant, quand vous devenez comme Paul, et que vous avez le même absolu que lui... Une vie centrée sur Christ est une vie différente de celle que vous avez eue précédemment; et il se peut que vous aviez une vie très religieuse.

119 Oh, j’ai entendu des gens dire : “Mais ils sont très religieux.” Cela n’a rien à voir du tout.

120 J’ai vu bien des religions, des gens très fervents, beaucoup plus sincères que ce que professent les Chrétiens d’aujourd’hui.
Quand une mère peut prendre son petit bébé noir, tout grassouillet, à peu près grand comme ça, et le jeter dans la gueule d’un crocodile, par amour pour son dieu, je me demande combien sincère est le Christianisme. Quand un homme peut se faire souffrir pareillement, fixant un millier de crochets dans sa chair comme cela (auxquels sont suspendues des boules remplies d’eau, le forçant à rester par terre comme ceci), et marcher à travers une bande de feu, depuis ici jusqu’au bout de ce tabernacle (en passant plusieurs fois, alors que c’est chauffé à blanc et attisé comme cela), en signe de sacrifice pour son dieu (une idole là, avec des yeux en rubis, etc.), je me demande où en est le Christianisme. Ne voyez donc pas que la sincérité! La sincérité n’est pas tout. La sincérité est bonne si elle est placée sur la chose juste.

121 Comme un docteur qui vous donne un médicament; il se peut qu’il vous donne de l’arsenic, sincèrement; il se peut qu’il vous donne de l’acide sulfurique, sincèrement; il se peut que votre ordonnance soit mal rédigée, et il se peut que vous preniez cela en toute sincérité, mais cela ne vous sauvera pas la vie. Voyez-vous? Non monsieur! Vous devez savoir ce que vous faites. Et tout ce qui est contraire à la Parole de Dieu, peu m’importe ce que c’est et depuis combien de temps cela existe, c’est quand même faux.

122 Pierre leur a donné une prescription Éternelle le jour de la Pentecôte. Il a dit : “Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour la rémission de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car cette prescription est pour vous, et pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.” C’est juste! C’est une prescription Éternelle.

123 Eh bien, un pharmacien charlatan pourrait s’emparer de cela et vous tuer. Voyez-vous? Certainement! Vous savez, il y a une certaine quantité de poison dans une ordonnance pour empoisonner le germe, et le docteur sait exactement quelle quantité votre corps peut supporter. S’il met trop de poison, cela vous tuerait. Si vous n’en avez pas suffisamment, alors quel bien cela ferait-il? Cela ne vous servirait à rien de prendre le médicament. Il sait ce que votre corps peut supporter.

124 Eh bien, c’est ainsi avec la prescription de Dieu. Peu importe que quelqu’un dise que ça doit être fait comme ceci ou comme cela, ne le croyez surtout pas. Quand vous suivez la Parole exactement à la lettre, c’est bon! C’est juste! Tenez-vous-en à Cela.
Maintenant, nous avons ceux qui disent que vous devez être aspergé. On a ceux qui disent que vous devez utiliser les titres de Père, Fils et Saint-Esprit; de telles choses n’existent pas dans la Bible. Il n’y a pas un seul endroit dans la Bible où quelqu’un ait été baptisé autrement que dans le Nom de Jésus-Christ. C’est un dogme qui a été ajouté dans l’église catholique romaine et qui a été perpétué par des traditions. (Nous allons toucher cela ce soir.)

125 Mais, remarquez, parmi tout cela, la prescription reste valable. Voilà pourquoi nous avons tellement d’enfants malades, c’est parce qu’ils n’écoutent pas ce que le Docteur a dit. L’absolu, quand vous vous êtes attaché à Cela, c’est bon! C’est la Parole de Dieu, Elle ne peut pas faillir.

126 Une vie centrée sur Christ... Très religieuse, mais ce n’était pas centré sur Christ; tellement parmi nous ont cela aujourd’hui.

127 Et, quand vous obtenez cette vie centrée sur Christ, cela vous fait faire des choses que vous ne feriez pas ordinairement. Cela vous fait agir différemment que vous ne le feriez ordinairement. Je ne parle pas d’agir stupidement, je veux dire agir dans l’Esprit, quelque chose qui est réel, quelque chose qui est authentique. Et, quand vous voyez quelqu’un agir stupidement, vous savez qu’il ne fait que se donner un air. Il ne fait qu’essayer d’imiter la chose authentique.

128 Quand vous voyez un faux dollar, souvenez-vous qu’il a été copié sur un vrai. Voyez-vous? Quand vous voyez un faux, c’est absolument l’ombre secondaire de quelque chose qui est réel; c’est quelque chose qui a été copié sur quelque chose d’authentique.

129 Remarquez, cela vous fait faire des choses que vous ne feriez pas ordinairement. Oh, c’est quelque chose... Vous êtes certain, vous êtes tout à fait certain de cela, quand vous obtenez cet absolu; vous en êtes tout à fait sûr. Vous ne prenez pas l’expérience de quelqu’un d’autre.

130 C’est la raison pour laquelle le Christianisme est devenu comme de petits enfants dans la Bible et pas... excusez-moi... de petits enfants à l’école. Ils essaient de se copier l’un l’autre, et, si ce gars se trompe, l’ensemble est faux. Voyez-vous? Vous avez induit tout ce groupe en erreur. Oh! la la! Ne copiez pas; rencontrez-Le vous-même!

131 Un de mes bons amis, qui se tient là au fond, est le fils d’un de mes copains, un ami de toujours, le petit Jim Poole. Eh bien, son papa et moi, nous avons grandi ensemble à l’école, et, oh, quel brave garçon! Le petit Jim et moi, nous prions constamment pour que le grand Jim devienne Chrétien, un vrai croyant. Le petit Jim et moi, nous étions en train de parler hier, sur le fait que nous avions trouvé Dieu dans les bois, et que nous L’avions vu dans la nature. C’est là que vous Le trouvez, parce qu’Il est un Créateur, et Il est dans Sa création.

132 Et je me rappelle que Jim et moi, nous allions... nous voulions aller chasser. Et quand la nuit arrivait, eh bien, nous prenions nos vélos et nous passions sur cette rue ici (nous avions une peur bleue de passer près du cimetière une fois la nuit tombée), et nous allions nous chercher une crème glacée.

133 Et Jim aimait jouer au billard. Eh bien, nous étions des garçons de dix, douze, ou quatorze ans, à ce moment-là. Et alors, Jim aimait s’asseoir et lire des histoires de chasse et de chasse au piège.

134 Et moi, je m’asseyais, et je rêvais de... (Et maintenant, certains des garçons peuvent me voir.) Et je voyais une toute petite cabane quelque part, et je pensais : “Dis donc, ça serait bien d’avoir une cabane comme ça dans les montagnes.” Et j’ai toujours rêvé qu’un jour j’aurais ma petite cabane dans les montagnes, une meute de chiens et des fusils. J’ai toujours pensé : “Si je pouvais posséder un 30-30 une fois...” J’ai pensé : “Comment au monde pourrais-je une fois posséder un petit fusil 30-30?”

135 Et, l’autre jour, je me tenais là et je regardais mon mur, et, en voyant certains des meilleurs fusils qu’on peut se procurer, j’ai pensé : “Grâce étonnante!”

136 J’ai pensé : “Je vais m’entraîner au tir et tirer bien. Alors, peut-être qu’une fois je pourrai faire un voyage dans les montagnes, et peut-être qu’un bon chasseur me prendra avec lui, simplement pour lui servir de... parce qu’il voudrait protéger sa vie, peut-être d’un ours en train de charger... Un homme riche, qui ne se sente pas tout à fait sûr, pourrait me prendre avec lui, simplement pour l’accompagner et lui servir de garde du corps. Peut-être qu’un jour je pourrai chasser en Afrique en tant que garde du corps. Si je pouvais simplement m’entraîner, c’est la seule chose que je puisse faire, c’est m’entraîner pour pouvoir toujours garantir mes tirs.”

137 Et je pensai : “Oh, Dieu, pense un peu, Tu m’as laissé chasser dans le monde entier. Comme c’est merveilleux!”
Jim avait l’habitude de s’asseoir et de lire.
Et j’ai dit : “Jim,...”
Il a dit : “J’aime lire ces choses.”

138 J’ai dit : “Jim, c’est ce que quelqu’un d’autre a fait. Je veux le faire moi-même; je veux en faire l’expérience.” Quand je suis venu à Christ, je ne pouvais pas prendre l’expérience de quelqu’un d’autre, je voulais la faire moi-même.

139 Je me rappelle lorsque j’ai lu le Lone Star Ranger [c’est-à-dire le shérif solitaire–N.D.T.] de Zane Grey. J’ai abîmé deux ou trois balais à maman, en galopant à travers la maison sur cette sorte de cheval de bois. J’ai lu cette histoire du shérif solitaire, et la manière dont il a rétabli l’ordre dans la région du Big Bend.

140 J’ai ensuite lu le roman d’Edgar Rice Burroughs de Tarzan et les singes. Maman avait une vieille descente de lit en fourrure; ce devait être une sorte de peau de phoque que madame Wathen lui avait donnée suite à l’incendie. Et elle était par terre dans sa chambre. J’ai emmené ce tapis dehors. (Maman ne sait pas que le vent ne l’a pas emporté.) Et je l’ai pris dehors, je l’ai découpé, et je m’en suis fait un costume de Tarzan, et je me suis installé dans l’arbre. Je vivais la moitié du temps dans un arbre, habillé en Tarzan, parce que j’avais vu ce qu’il avait fait, et je voulais le faire aussi.

141 Mais un jour, par la grâce de Dieu, je me suis emparé du véritable Livre, la Bible. Mon chant et mon histoire ont été : “Être comme Jésus; sur terre je languis d’être comme Lui.” Je ne veux pas être évêque ou quelqu’un d’important dans l’église, un pape ou un prêtre. Je veux être comme Jésus.
Un absolu vous rend différent. Il y a quelque chose à ce sujet, lorsque vous lisez Sa Parole... il y a quelque chose dans votre coeur, qui fait que vous languissez d’être comme Lui. Vous êtes certain.

142 C’est comme, l’absolu pour le Christ... L’absolu pour le Chrétien, c’est comme l’ancre du bateau. Oui, vous devez avoir un absolu. Et, si Christ est votre absolu, c’est comme l’ancre, qui fait que lorsque vous... que la mer est très agitée, et que le bateau est sur le point de sombrer, et vous... votre unique espoir, c’est de jeter l’ancre. Et alors, si le bateau est ballotté, voyez-vous, l’ancre le retiendra. Vous savez, nous avons un chant (j’ai oublié le nom de l’auteur, maintenant, mais...), c’est : Mon Ancre tient.

143 Comme ce petit garçon (comme nous y avons souvent pensé) qui jouait avec son cerf-volant. Vous ne pouviez rien voir, mais il tenait la ficelle. Et un homme a passé par là, et lui a dit : “Qu’es-tu en train de faire, fiston?”
Il a répondu : “Je fais voler mon cerf-volant.”
Il lui a dit : “Qu’as-tu dans la main?”
Il a répondu : “La ficelle.”

144 Il a dit : “Où est le cerf-volant? Je ne le vois pas. Eh bien, comment sais-tu que tu es en train de faire voler un cerf-volant?”

145 Il a répondu : “Je peux le sentir; ça tire.” Voyez-vous? Au bout de cette ficelle, il y avait un absolu. D’après sa manière enfantine de voir les choses, ce cerf-volant était son absolu. Il pouvait donc dire qu’il faisait voler un cerf-volant; bien qu’il ne puisse pas le voir, mais il tenait quelque chose qui le tenait.

146 Il en est ainsi pour un homme qui est né de nouveau du Saint-Esprit; il s’est emparé de quelque chose qui a une ancre là-bas, et les tempêtes ne l’ébranlent pas. Il sait que tout va bien pour lui; il est ancré. Bon.

147 Maintenant, si nous sommes dans notre petite barque, flottant sur l’océan solennel de la vie... Comme le grand poète l’a dit : La vie n’est pas un rêve vide!
Et l’âme qui dort est morte,
Et les choses ne sont pas ce qu’elles semblent.
La vie est réelle! Et la vie est ardente!
Et la tombe n’est pas son but;
“Car tu es poussière, et tu retourneras à la poussière”,
Cela n’a pas été dit de l’âme.

148 Oh, je trouve cela si joli. Maintenant, Longfellow a écrit ce Psaume de la Vie. Voyez-vous? Naviguant sur l’océan solennel de la vie,
Un malheureux frère naufragé,
Voyant cela, reprendra courage.

149 Voyez-vous? Maintenant, nous avons embarqué sur le bateau qui navigue sur l’océan solennel de la vie; Christ, pour le bateau pris dans les tempêtes du temps... Quand les tempêtes deviennent fortes, et que cela tangue, je suis content d’avoir une Ancre qui tient à l’intérieur du voile là-bas, quelque part. La mort elle-même ne peut pas vous en séparer; vous êtes attaché à votre absolu.
Christ est notre Ancre. Qu’est-Il? Il est la Parole.
Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.
Et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous,...

150 Alors, quand nous savons que nos actions sont exactement en accord avec la Parole, nous savons que notre enseignement est parfaitement avec la Parole (n’ajoutant rien, ne retranchant rien, simplement la Parole), et que nous voyons les mêmes résultats que d’autres, qui étaient ancrés à la même Parole, ont eus, apparaissant dans notre vie, alors votre Ancre tient. La Vie de Christ se reproduisant à travers vous, presque d’une manière incarnée, comme Elle était en Christ, parce que c’était Dieu en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même... Et vous voyez Dieu en vous, gardant le même équilibre dans la Parole, exactement comme Jésus l’a fait, et vous voyez Sa Vie...
“Les oeuvres que Je fais vous les ferez aussi. Celui qui croit (pas celui qui fait semblant de croire, celui qui pense qu’il croit, mais celui qui croit)... Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais, il les fera aussi.” Pourquoi? Il est ancré au même Rocher. Qu’était le Rocher? La Parole, toujours! Vous êtes ancré là. C’est votre Étoile Polaire, lorsque vous êtes perdu en mer.

151 Vous savez, nous avons beaucoup d’étoiles, mais il n’y a qu’une seule étoile véritable, et elle ne bouge pas, – c’est l’étoile Polaire, – parce qu’elle est centrée par rapport à la terre. Peu importe que vous soyez derrière la terre, dessus, ou ailleurs, cette étoile Polaire est toujours pareille. C’est votre étoile Polaire.
Maintenant, vous voyez, il y a beaucoup d’étoiles qui se déplacent. Mais si vous êtes sur la mer, eh bien, tout marin sait cela, ou tout chasseur qui parcourt les bois sait que votre étoile Polaire est ce qui compte pour vous; c’est tout. Alors, c’est comme votre boussole; votre boussole n’indiquera pas Mars, ou Jupiter, ou ailleurs, elle indiquera l’étoile Polaire. Pourquoi? C’est votre absolu.

152 Oh! la la! Remarquez, votre absolu. Oh! je vais dire quelque chose; je sens que c’est en train de venir. Remarquez! (Je me sens très religieux en ce moment-ci, parce que ça, c’est l’assurance.) Remarquez!

153 Votre boussole peut seulement indiquer l’étoile Polaire. C’est le seul endroit qu’elle peut indiquer. Si c’est une véritable boussole, elle tombera sur l’étoile Polaire chaque fois. N’est-ce pas vrai?

154 Alors, si vous avez le Saint-Esprit, Il peut seulement indiquer la direction de la Parole! Il n’indiquera jamais une dénomination; Il n’indiquera jamais un credo; Il n’indiquera jamais un autre endroit; Il indiquera directement la Parole! (J’ai envie de jubiler!)
Remarquez, c’est quelque chose à l’intérieur de l’homme, qui palpite. Quand vous voyez votre Étoile, qui est placée là-bas, Jésus-Christ, la Parole, et que vous voyez que l’Esprit qui est en vous ne permet pas que ça aille à droite ou à gauche. C’est le Seul qui puisse... Il est venu pour prendre les choses de Dieu et pour les montrer, pour les manifester.

155 Et Jésus a dit : “Il fera exactement les choses que Je dis. Il vous révélera les choses qui sont à venir (vous les montrera à l’avance, avant qu’elles arrivent ici, voyez-vous). Il prendra les choses qui sont à Moi, et vous les montrera. Et alors, Il vous montrera les choses à venir (Jean 15).”

156 Nous voyons qu’Il montre les choses; et Il prendra les choses qui sont à Dieu, et vous les montrera; et Il vous révélera les choses que Jésus a dites. En d’autres termes, Il rendra la chose claire. (Placez cela bien dans le coin ce soir, parce que nous allons bientôt nous en servir.) S’assurant, rendant la chose certaine (voyez-vous?), alors vous savez que, si votre Étoile Polaire, qui est la Parole pour tout Chrétien...

157 Tout ce qui est contraire à la Parole... Regardez! Laissez-moi vous dire quelque chose. Écoutez ceci attentivement. Ceci est la révélation Divine complète de Dieu, de Sa volonté, et de la venue de Christ; et tout se trouve ici, dans ce Livre, achevé. Et, si quelque chose vous éloigne de Cela, jetez cette boussole; parce que c’est seulement un credo, c’est seulement une organi-... c’est seulement un papier que vous avez dans votre poche ou qui est suspendu dans votre chambre, encadré, c’est un credo! Homme, trouvez la Boussole qui vous amène vers la Parole! Amen!

158 Remarquez bien, lorsque Paul eut cette expérience, il descendit en Égypte et en Arabie quelque part, et il a étudié trois ans. Gloire! Fiou! Il devait être certain! Et, quand il a vu, quand le Saint-Esprit l’a dirigé, mot après mot, il a pu écrire ce Livre des Hébreux, pour montrer cela à ces Juifs. Certainement! Pourquoi? Il était centré; cette Boussole du Saint-Esprit l’a placé juste sur l’Étoile Polaire.

159 Maintenant, si vous avez quelque chose qui vous En éloigne, vous feriez mieux de laisser ça de côté. Cela indiquera Sa Parole, et seulement Sa Parole, parce que le Saint-Esprit est venu pour manifester, ou pour confirmer la promesse de Dieu. Aucun credo ne le fera, aucune organisation ne le fera, aucune puissance, ou rien ne peut le faire – seulement le Saint-Esprit par la Parole; et Il est le Germe.

160 Maintenant, vous prenez un grain de blé, un joli grain de blé, mais il ne peut rien faire. Il est mort jusqu’à ce que le germe entre en lui, alors il produira de nombreux grains de blé.

161 Et Christ est cette Vie, cet absolu. Si le blé n’a pas cet absolu en lui, il ne lèvera jamais. Si ce blé n’a pas cet absolu, il est peut-être tout ce qu’il y a de plus joli à l’extérieur, mais il ne peut pas vivre, parce qu’il n’y a rien en lui pour le lui permettre. Mais, quand il obtient cet absolu, il peut regarder tous les critiques bien en face, et dire : “Je ressusciterai.” Pourquoi? Parce qu’il a l’absolu. C’est en lui; il doit ressusciter.
Et quand il... “Si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous, alors demandez ce que vous voudrez.” C’est cet absolu.

162 Mais si vous avez des crédos, et tout le reste, pris là-dedans, vous ne pouvez pas mélanger de l’huile et de l’eau. Vous pouvez prendre cela, et le fractionner comme vous voulez, cela ne se mélangera jamais, parce qu’il s’agit de deux produits chimiques différents. Et vous ne pouvez pas faire qu’un credo, contraire à la Bible, et la Bible se mélangent entre eux. Vous ne pouvez pas faire qu’une dénomination et une religion née libre... ou un salut né libre se mélangent entre eux. Parce qu’aussi certainement que... Dieu traite seulement...

163 Je vais le dire quand même. Dieu n’interrompt jamais Son programme. Il ne peut pas l’interrompre, parce qu’Il est infini. Et je réalise, vous savez, que cela atteint beaucoup de gens. Voyez-vous? Mais Dieu ne peut pas interrompre Son programme. Il ne peut pas faire quelque chose un jour, et le changer et faire autre chose, et dire qu’Il s’était trompé ce jour-là.

164 Dieu ne traite pas avec des groupes d’hommes; Dieu traite avec un individu, parce que l’homme a différentes idées, sa nature est faite différemment. Et Dieu doit prendre cet homme, le façonner, le faire sortir de lui-même, jusqu’à ce qu’Il l’amène à Sa nature; et alors Dieu traite avec cette personne.
Regardez à travers tous les âges, – Noé et Moïse, les prophètes, – jamais deux d’entre eux en même temps; toujours un, à travers tous les âges. C’est pourquoi, si vous dites : “Le salut est dans le grand nombre des conseillers”...

165 Regardez un peu (comme je l’ai prêché ici au Tabernacle il n’y a pas longtemps) : il y avait Achab, et il y avait Josaphat. Et ils étaient en train de monter à Ramoth en Galaad pour repousser... Fondamentalement, ils avaient raison : le pays leur appartenait effectivement. Et l’ennemi... les Syriens là-bas remplissaient le ventre de leurs enfants avec le blé que les Israélites devaient manger, et qui était leur propriété donnée par Dieu. Donc, fondamentalement, cela paraissait bien. “Viens avec moi, montons-y, et nous les repousserons du pays.” Eh bien, cela paraît vraiment bien; fondamentalement c’était juste; mais il y avait des conditions.

166 Josaphat, étant un brave homme, a dit : “Mais, ne devrions-nous pas consulter l’Éternel?”

167 Bien sûr, Achab, ce rétrograde, a dit : “Eh bien, certainement (un croyant frontalier, vous savez).” Il a dit : “Oh, certainement, j’aurais dû y penser. J’ai quatre cents prophètes hébreux, quatre cents, que je nourris et dont je m’occupe. Ce sont les meilleurs du pays. Nous allons les faire venir.”

168 Et tous, d’un commun accord, ont dit : “Monte; l’Éternel est avec toi.” Fondamentalement, ils avaient raison; mais ils n’avaient pas saisi cet absolu.
Alors, quand il a dit : “N’y en a-t-il pas encore un?”...

169 Il a dit : “Oui, il y en a encore un, mais je le déteste.” Il a dit : “Il dit toujours du mal de moi; il dit toujours...”

170 Comment pouvait-il prophétiser du bien, alors que la Parole entière... Élie, qui l’avait précédé, avait dit à Achab : “Les chiens lécheront ton sang.” Maintenant, comment ce prophète confirmé pouvait-il dire quelque chose qui n’était pas la volonté de Dieu? Il avait aussi dit que les chiens mangeraient Jézabel, et que son cadavre serait comme du fumier sur la face des champs, de sorte qu’on ne pourrait dire : “C’est Jézabel.” Avec une malédiction comme celle-là sur un homme, comment quelqu’un pouvait-il bénir?

171 C’est ainsi aujourd’hui. Comment un homme peut-il bénir ces choses qui éloignent tout le temps les gens de Dieu? Il n’y a qu’une chose à faire. Si vous devez rester seul, maudissez la chose au Nom du Seigneur, et restez avec cela, quand vous êtes absolument...
Vous me direz : “Mais, Frère Branham, vous amenez les gens à vous détester.”

172 Dieu m’aimera. C’est mon absolu. Vous ne pouvez vous appuyer sur un bras de la chair, vous devez vous appuyer sur la Parole, ce que Dieu a dit.

173 Comment Michée savait-il qu’il avait raison? Il a attendu; il eut une vision. Ils avaient aussi une vision, mais la vision ne se comparait pas avec la Parole. Et, aujourd’hui, c’est pareil. Michée a comparé sa vision à la Parole, et alors il a vu que lui et la Parole étaient ensemble. Aujourd’hui, si votre vision est contraire à la Parole, laissez-la tranquille, parce que c’est un faux absolu. L’absolu de Michée était exactement avec la Parole; il pouvait donc se tenir là, et dire ce qu’il a dit, et croire cela.

174 Quand ils le frappèrent sur la bouche, en disant : “Par quel chemin l’Esprit de Dieu est-Il parti?”

175 Il a répondu : “Tu le verras quand tu iras de chambre en chambre.” C’est juste.

176 Il a dit : “Quand je reviendrai en paix... Mettez cet homme en prison et, quand je reviendrai en paix, dit Achab, je m’occuperai de cet homme.”

177 “Oh, maintenant, Michée, que dis-tu de ça? Ta tête sera tranchée quand il reviendra!”
Michée s’est tenu là, bien ferme, comme Étienne (Amen!), aussi prêt que l’était mon Seigneur lorsqu’Il alla à la croix, aussi à l’aise que l’était Daniel lorsqu’il entra dans la fosse aux lions, ou que Schadrac, Méschac et Abed-Nego lorsqu’ils entrèrent dans la fournaise. Absolument! Il s’est tenu là, et a dit : “Si jamais tu reviens...” Pourquoi? Il était absolument sûr. “Si jamais tu reviens, Dieu ne m’a pas parlé. Alors, coupe-moi la tête.”
Il avait un absolu. Il savait que sa Boussole, qui l’avait conduit vers cette vision, était alignée exactement sur l’Étoile Polaire. Oui monsieur! Son Ancre a tenu bon. Oui, la Parole, et Elle seule...
Si votre absolu, si vous avez un absolu dans votre vie...

178 Il y avait une époque, vous savez, où l’étiquette avait son absolu. Je ne peux pas penser au nom de cette femme, mais la nation entière avait confiance dans ce que disait cette femme. (J’ai oublié son nom. J’ai inscrit une note ici; je n’arrivais pas à me rappeler le nom de cette femme – qui c’était.) Mais, tenez, il y a quelques années, on devait... Cette femme, ce qu’elle disait... Si elle disait de tenir le couteau à la main gauche, c’était ainsi; c’était l’absolu. Elle était la réponse à toutes ces questions. Et si vous teniez la fourchette à la main gauche, alors vous étiez absolument dans l’erreur. Comment s’appelait-elle? [L’assemblée répond : “Émilie Post.”–N.D.É.] Ah oui! C’est cela; certainement! Oui, c’est bien elle.
Maintenant, vous étiez... vous étiez absolument... Elle était l’absolu de l’étiquette. Cela devait être ainsi. Oh, nous trouvons bien des choses comme cela. Mais nous voyons maintenant que cela a disparu. Mangez comme vous voulez! Oui. Très bien! Mais c’était l’absolu de l’étiquette. Vous deviez le faire ainsi.

179 Il y avait une époque où Adolf Hitler était l’absolu de l’Allemagne. Quoi qu’il dise... Quand il disait : “Sautez!”, ils sautaient; quand il disait : “Tuez!”, ils tuaient. Des millions de Juifs... il faisait un signe de la tête. Vous voyez ce qui est arrivé à cette sorte d’absolu. Cela ressemblait à de la puissance, mais c’était contraire à la Parole.
“Comment savez-vous que c’était contraire à la Parole?”

180 Dieu a dit... N’est-ce pas Balaam qui essaya de mépriser Israël et chercha à le maudire, mais il a dit : “Je le vois comme un buffle. Qu’elles sont belles, tes tentes! Maudit soit quiconque te maudira, béni soit quiconque te bénira!”

181 Il semble que Hitler aurait pu voir cela. Il semble que ces Chrétiens allemands auraient pu voir cela. Voyez-vous? Cet absolu... absolument contraire à cette Parole. Vous savez, comme cela a été dit : “Dieu a fait l’homme, mais l’homme a fait des esclaves” – l’un essayant de dominer sur l’autre. Nous avons un Dirigeant, c’est Dieu.

182 Mais Hitler était l’absolu de l’Allemagne. Regardez cela aujourd’hui. Maintenant, vous voyez ce qui est arrivé? C’était un mauvais absolu. Pourquoi? Il était contraire à la Parole! Et maintenant, vous voyez à quoi tout cela a abouti? À une infamie.

183 Si votre absolu est dans une quelconque organisation, ou une sensation, ou quelque chose d’autre que la Personne de Jésus-Christ, vous aboutirez à la même part de honte, seulement pire. Voyez-vous? Si votre absolu n’est pas Christ... c’est le seul poteau central de la vie humaine. Et Christ est la Parole, pas votre église, votre parole – la Parole. Voyez-vous? “Sur cet absolu Je bâtirai Mon Église” – sur Christ, la Parole.

184 Il y avait une époque où Mussolini était l’absolu de Rome. Je ne sais pas; il se peut que j’aie lu un article, ou il se peut que j’aie lu cela dans un livre, ou quelqu’un me l’a dit. Mais il s’agissait de quelqu’un qui était interviewé par Mussolini. Il...

185 Il voulait faire participer Rome à l’athlétisme. Et on avait érigé là-bas une grande statue de lui, en rapport avec l’athlétisme. C’est très bien! La Grèce en avait eu l’idée il y a de nombreuses années. Rome a toujours essayé d’avoir cela. C’est bien d’avoir des athlètes, ou de l’athlétisme, mais, rappelez-vous, cela ne prendra pas la place de Christ. Peu importe combien vous êtes fort, cela n’a rien à voir avec cela. Il est la Toute-Puissance.
Et vous voyez sur quoi il a essayé de construire Rome? Et il a essayé de bâtir Rome sur une affaire d’absolu : qu’il était, lui, cet absolu.

186 On raconte qu’un jour son chauffeur est arrivé une minute trop tôt, et il l’a abattu. Il a dit : “Je n’ai pas dit d’être ici à neuf heures moins une, j’ai dit d’être ici à neuf heures!” Vlan! Et il l’a abattu. Voyez-vous? “Je ne veux pas que vous soyez ici une minute à l’avance; je veux que vous soyez ici à neuf heures!” Voyez-vous? Regardez quelle sorte d’absolu il a essayé de se faire. Mais vous voyez ce qui est arrivé?

187 Vous vous rappelez (beaucoup d’entre vous ici, les anciens, Roy Slaughter peut-être, et encore plus en arrière)... Vous vous rappelez lorsque, là-bas, je vous ai dit ceci par prophétie? Un jour, là-bas, au bâtiment appelé Odd Fellow, avant même que nous ne venions ici, j’ai dit : “Mussolini aura une fin honteuse.” J’ai dit : “Pour sa première invasion, il ira en Éthiopie; et l’Éthiopie tombera à ses pieds. Mais il arrivera à sa fin, et personne ne l’aidera; et il sera enterré dans la honte.” Ce fut ainsi.

188 J’ai dit : “Il y a trois ismes qui sont apparus : le nazisme, le fascisme et le communisme.” J’ai dit : “Ces ismes vont évoluer et aboutir à un seul; ce sera le communisme. Observez : Le communisme brûlera Rome.”

189 Observez cela. C’est un instrument dans la main de Dieu. Ils pensent qu’ils sont contre Dieu, alors qu’en fait ils collaborent de plus en plus, sans le savoir. Dieu se sert d’eux comme d’une marionnette, un instrument dans Sa main – comme Il l’a fait avec Nebucadnetsar et beaucoup d’autres. Maintenant, remarquez. Voyez-vous? Bon.

190 Il y avait une époque où Pharaon était l’absolu de l’Égypte, mais regardez où il en est maintenant. Voyez-vous? Tout a failli.

191 Oh, c’est une mauvaise sorte, donc ils faillissent toujours. Ce sont des absolus de fabrication humaine. Vous ne pouvez pas prendre un absolu de fabrication humaine. Peu m’importe que ce soit un président, que ce soit un dictateur, que ce soit un roi, que ce soit une église, que ce soit une organisation, que ce soit un credo, toutes ces choses vont périr, comme tous les absolus de ce type-là à travers les âges.

192 Nous pouvons regarder en arrière. Regardez en arrière! Regardez les hommes qui ont mis leur confiance dans les empereurs; regardez les hommes qui ont mis leur confiance dans les dictateurs; regardez les hommes qui ont fondé leurs espoirs sur ces sortes d’absolus; et regardez où ils en sont aujourd’hui!

193 Maintenant, faisons demi-tour, et regardons les hommes qui ont placé leurs espoirs sur la Bible, sur la Parole de Dieu, et qui L’ont prise comme absolu; regardez où ils en sont maintenant.

194 Paul vous donne un petit résumé de ce qu’ils ont fait, dans Hébreux, au chapitre 11 : il raconte comment ils vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, et ainsi de suite; ils allèrent çà et là, vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, eux dont le monde n’était pas digne – attendant, dans la gloire, cette formidable Résurrection. Voyez-vous? Très bien. Car ils... Certains d’entre eux n’ont pas obtenu ces miracles, et ils ont donné malgré tout leur corps, se réjouissant à l’avance de cette Résurrection. Ils ne s’inquiétaient pas de la manière dont ils termineraient leur vie. Ils voulaient continuer, et se sacrifier, afin qu’ils puissent obtenir cette Résurrection; et c’est ce qu’ils ont fait. Bien. Nous parlons donc d’absolus; un absolu.

195 Vous savez, notre Cour suprême est un absolu. C’est un absolu; c’est la fin de toute discussion dans ce pays. C’est juste. Leur décision – dans notre Cour suprême – est un absolu. C’est juste. Oh, je sais que parfois nous n’aimons pas cela, mais c’est malgré tout un absolu. Oui monsieur! Qu’arriverait-il si nous n’avions pas cela? Mais c’est un absolu. Certainement! Pourquoi? C’est... Notre nation est rattachée à cela.
Quand cette Cour suprême prend sa décision finale, ça y est; il n’y a pas... Où allez-vous aller après cela? Vous allez suivre leur décision, c’est tout. Vous y êtes contraint. Ils sont le dernier mot; ils sont l’amen.

196 Vous pouvez passer par des tribunaux locaux ou municipaux, vous pouvez passer devant le juge, puis passer devant toutes sortes de tribunaux, et aller jusqu’aux tribunaux fédéraux; mais, quand nous arrivons à la Cour suprême, ça y est. Certainement. Parfois nous n’aimons pas... nous disons : “Eh bien, je n’apprécie pas leur décision”, mais essayez une fois de vous y soustraire. C’est l’absolu de la nation. Qu’arriverait-il si nous n’avions pas cela? Oui.

197 Nous devons avoir un absolu. Chacun doit en avoir un. Vous en avez un. Mais, ce que j’essaie de vous dire : je fais un tour d’horizon, pour vous montrer ce que sont des absolus.

198 Bon. La Cour suprême du pays est l’absolu de la nation. C’est la fin de toute dispute. Ils règlent cela. Ce qu’ils disent, eh bien, c’est ça.

199 Il y a un absolu dans un jeu de ballon. C’est l’arbitre. Oh oui! Parfois nous n’apprécions pas sa décision non plus, mais c’est... c’est quand même ça. L’arbitre, sa décision est sans appel. C’est vrai. Peu importe ce que d’autres disent, s’il dit que c’est un “strike”, un coup, c’est un coup. C’est vrai! Certainement! Peu importe ce que d’autres disent, cela n’a rien à voir. Mais, pensons simplement à cela... Si vous... (Je ne vais pas aux matchs de ballon, mais j’ai juste noté cette idée.) Un arbitre est l’absolu du jeu de ballon.

200 L’un d’entre eux dira : “C’était une balle!”
Un autre dira : “Tu es un menteur!”
Celui-ci dira : “Ce n’est pas comme cela; cela devrait être comme ceci.”

201 L’arbitre dira : “‘Strike’!”
Vous voyez? Alors les autres regagnent leur place et s’assoient. Certains d’entre eux vont ronchonner, mais... Je m’imagine qu’ils le siffleront, et lui en voudront, là dans leur coeur, mais c’est malgré tout un “strike”. Pourquoi? Il est le dernier mot.

202 Le premier gardien de base dira : “Vous savez que... que ça a passé!”
L’autre dira : “Tu sais que c’est faux!”

203 Il dira : “‘Strike’!” Un point, c’est tout. “Alors, taisez-vous, et retournez à votre place.”

204 Qu’arriverait-il s’il n’y avait point d’arbitre à un jeu de ballon? Oh! la la! Pourriez-vous imaginer quelle sorte de jeu ce serait? L’un d’entre eux dirait : “C’était un ‘strike’!”
L’autre dirait ceci.
L’autre dirait cela.
Un autre dirait : “Tu es un menteur!”
Et ils se disputeraient et se battraient.

205 Pour avoir un jeu de ballon, vous devez avoir un absolu. Alors il s’avance sur le terrain, et, peu importe que vous l’appréciiez ou non, il est quand même l’absolu. Il est l’absolu; sa parole est sans appel. Peu importe ce que vous en dites, c’est ainsi. Eh bien, s’ils n’avaient pas ça, toute la partie deviendrait un chaos. N’est-ce pas vrai?

206 Qu’est-ce que la nation serait s’il n’y avait point de tribunal fédéral? S’il n’y avait pas de Cour suprême dans ce pays, où irait-il? La nation serait dans le chaos. S’il n’y avait pas de...

207 S’il n’y avait pas d’arbitre à un jeu de ballon, cela finirait... vous n’auriez pas touché le ballon, que quelqu’un ferait déjà des histoires. Quelqu’un se tiendrait là, et peut-être que c’est allé effectivement sur la base, mais l’autre gars dirait : “Oh non! Non, non; non, non! Il n’a pas fait ainsi!” Et voilà, ça commence! Dès la première balle lancée, ils argumenteraient. L’un d’entre eux dirait : “C’était un ‘strike’!”
Les autres diraient : “Ce n’était pas un ‘strike’!” Voyez-vous?

208 Vous devez avoir quelqu’un sur qui ce jeu repose; et c’est l’arbitre. Quand il dit : “‘Strike’!”, c’est ‘strike’. S’il dit : “Balle!”, c’est balle. Quoi qu’il dise, c’est bon, c’est ça. Et, si vous ne faisiez pas ainsi, vous n’auriez point de jeu.

209 Laissez-moi vous montrer un autre absolu. C’est le feu rouge; un feu rouge. Quand il dit : “Stop!”, cela veut dire stop! Si vous le passez, vous allez le payer. Mais, si cette ville n’avait pas de feux, de feux rouges, quelle sorte de ville serait-ce? Elle doit avoir un absolu. Peu importe ce que l’agent de police a dit, ou n’importe qui se tenant là; ils passent en second.
Si quelqu’un peut prouver que vous avez passé avec la lumière verte, peu m’importe ce que dit l’agent de police, ils ont tort. Quand la lumière dit : “Départ!”, cela veut dire départ. C’est l’absolu. Vous pouvez prouver cela. La lumière a dit : “Départ!” L’agent de police se tenait peut-être quelque part, ou le maire de la ville, cela ne fait pas la moindre différence. Si vous avez la preuve que cela disait “départ”, et que vous êtes parti... et si quelqu’un vous touche, c’est de sa faute. Vous pouvez le prouver. C’est juste. Nous pouvons prouver ce que nous disons. C’est vrai.

210 Maintenant, qu’arriverait-il s’il n’y avait point de feu rouge? Quelqu’un arriverait à toute vitesse dans le carrefour, et... Regardez ce que cela serait. Quelqu’un dirait : “Hé! enlevez-vous du chemin; je suis pressé. Je dois aller au travail; je suis en retard maintenant. Je vais traverser maintenant.”
L’autre dirait : “N’y pensez pas, parce que c’est moi qui vais traverser; parce que j’étais ici en premier.” Et je peux voir une femme sortir de sa voiture et arranger ses cheveux.
Qu’arriverait-il si nous n’avions point de feu rouge? N’y aurait-il pas un bel embouteillage!

211 C’est ce qui se passe avec les églises. Voyez-vous? Certainement! C’est la raison pour laquelle nous avons un tel embouteillage dénominationnel. Exactement. Personne n’arrive à quelque chose; ils restent là à se disputer.

212 Voici la Lumière de Dieu. Quand Elle dit : “Départ!”, allez-y. Quand Elle dit : “Stop! C’est suffisamment loin!”, alors arrêtez. C’est juste. C’est là-dessus que nous nous fondons : Cela, cette Parole; pas sur ce qu’un certain groupe d’hommes a dit, ou ce qu’un autre a dit.
Jésus a dit : “Ces signes accompagneront ceux qui auront cru.” Allons-y! “Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.”

213 Vous savez, aussi bonne que soit l’instruction, Jésus n’a jamais exigé cela. C’est vrai. Aussi bonnes que soient les églises, les bâtiments, Il n’a jamais exigé cela. Aussi bons que soient les hôpitaux... Nous... Les églises ont construit des hôpitaux. C’est bien. Nous apprécions cela, mais Il n’a jamais exigé cela.

214 Il a dit à l’Église : “Prêchez l’Évangile.” Et l’Évangile n’est pas venu en paroles seulement, mais aussi en puissance et en manifestation de la Parole. C’est ce que Paul a dit. Alors, allez manifester l’Évangile. Oh! la la! Si c’était ainsi...

215 Oh, aujourd’hui, nous vivons dans un temps où nous avons les meilleurs docteurs que nous n’avons jamais eus. Nous avons les meilleurs médicaments à disposition; vous le savez. Et nous tirons notre chapeau à ces hommes, nous prions pour eux. C’est ce que je fais, et j’espère que vous le faites aussi. Ces hommes qui, avec leur compréhension de ce qu’ils sentent... Ils ont deux sens pour les guider dans leur travail : c’est la vue, et le toucher, et... et l’ouïe. Ils travaillent d’après le bruit du coeur, ou une tumeur ou autre qu’ils touchent, ou d’après la vue de quelque chose qu’ils peuvent voir, la propagation d’une maladie, ou quelque chose qui recouvre le visage ou le corps quelque part. Ils travaillent d’après ces choses, voyez-vous, parce que c’est... Ils essaient de prendre des médicaments; et une certaine quantité tuera cela, mais ne vous tuera pas, vous, etc. Ils... C’est leur affaire de travailler sur cela. Et nous apprécions cela; c’est très bien.
Mais nous avons les meilleurs docteurs, les meilleurs médicaments, les meilleurs hôpitaux, et plus de maladie que nous n’en avons jamais eue.

216 Nous avons davantage d’incrédulité que jamais. Oui monsieur! Exactement.
Les prédicateurs se sont organisés et ont de grandes dénominations, acceptant n’importe quoi au milieu d’eux (et, pour n’importe quel prétexte, faisant un membre d’église); et ils sont gagnés à quelque séminaire qui ressemble à un incubateur à poulets (d’où ils éclosent en passant par un broyeur qui les fait sortir comme cela), et, parfois, ils ne connaissent pas plus Dieu qu’un Hottentot ne connaît une nuit égyptienne. Ils les en font sortir comme cela, et... et vous y êtes. Voyez-vous?

217 Oh, ce dont nous avons besoin dans nos églises, c’est d’un homme qui a un absolu! Ce dont nous avons besoin dans l’église méthodiste, dans l’église baptiste, l’église pentecôtiste, l’église presbytérienne, c’est d’un absolu – un homme de Dieu qui restera attaché à la Parole et à Christ, et qui amènera cette congrégation dans cette condition où chaque membre marchera d’après cette Parole, voyant cette Parole manifestée : “Ces signes accompagneront ceux qui auront cru, partout dans le monde.”
Ils disent : “Ça a été aboli.”

218 Mais Jésus a dit : “Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.”
Nous n’avons pas encore atteint le monde entier, et bien loin d’avoir atteint chaque créature. Jusqu’où aller? Par tout le monde. Vers qui? Chaque créature. Qu’arrivera-t-il? “Ces signes accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; s’ils saisissent des serpents, ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; s’ils imposent les mains aux malades, ils seront guéris.”
C’est l’absolu qui tient là, la Parole, cette Étoile Polaire, cette Boussole qui reste exactement avec cela. C’est ce dont nous avons besoin.

219 Mais nous sommes allés construire des institutions, nous avons organisé les gens, recueilli des membres, et nous nous sommes disputés avec les baptistes (parce qu’ils ne croyaient pas comme nous) et les méthodistes (parce qu’ils ne croyaient pas comme ceci); et nous avons monté un plus grand séminaire, et construit de plus grandes églises, avec les bancs les plus luxueux et un plus gros orgue, etc., et les gens les mieux habillés; ils ont amené le maire et tous les gens dans l’église; et qu’avons nous obtenu? La mort – attachés à un absolu dénominationnel! La mort! Oh, pourvu que non!

220 Si je meurs en pleine activité, mon absolu est Jésus-Christ; c’est à Cela que je crois. Si tout le monde s’en va... Quelqu’un m’a dit... Le docteur Davis m’a dit : “Billy, si tu prêches une telle chose, tu la prêcheras aux poteaux de l’église.”

221 J’ai dit : “Je prêcherai alors la Parole de Dieu aux poteaux, parce que Dieu peut, de ces poteaux, susciter des enfants à Abraham.” C’est vrai! La Parole de Dieu est vraie!
Il a dit : “Tu penses qu’ils te croiront?”

222 J’ai dit : “Ce n’est pas mon affaire. C’est mon affaire de rester fidèle à cette Parole.” C’est vrai.

223 Il a dit : “Tu penses que tu pourras aller au-devant d’un monde instruit, comme ceci, avec une théologie de guérison Divine?”

224 J’ai dit : “Ce n’est pas ma guérison Divine, c’est Sa promesse. C’est Lui qui a donné la commission.”

225 Oh, et je me rappelle quand Il est descendu là-bas, dans cette grande Lumière, alors que je me tenais dans le fleuve, en 193 3, en juin, et qu’Il a dit : “Comme Jean-Baptiste a été envoyé pour annoncer et préparer la première venue de Christ, Je t’envoie avec un Message pour le monde, pour annoncer et préparer la seconde venue de Christ.” Et il est allé dans le monde entier, et les feux du réveil ont été allumés durant quinze ans, sur presque chaque montagne. La guérison Divine, à travers les nations, et la puissance, et la restauration, et maintenant, je crois qu’il est prêt à atteindre son point culminant final, là-bas, pour produire une foi qui enlèvera l’Église dans la Gloire, et elle se trouve dans les messages.

226 Nous sommes vraiment au temps de la fin. Nous en avons parlé et tout le reste. Mais la chose est arrivée sur nous maintenant. Écoutez-les! Oui monsieur! En voici un! C’est juste.

227 Le feu rouge, comme je l’ai dit, règle l’affaire. C’est tout. Le feu rouge vous dit qui part. Peu importe ce que dit quelqu’un d’autre, c’est ce que le feu rouge dit. Vous pouvez vraiment avoir un embouteillage si vous ne le faites pas, si vous ne tenez pas compte du feu rouge. Il doit y avoir un absolu. Oui monsieur!

228 Comme pour l’Église, il doit y avoir un absolu. Pour les gens dans l’église, vous devez avoir votre absolu.

229 Mais aujourd’hui, chaque église a son propre absolu. Voyez-vous? Ils n’essaient pas de prendre...
“Nous, baptistes, nous croyons ceci!”
“Nous, méthodistes, nous croyons ceci!”
“Nous, presbytériens, nous croyons ceci!”
“Nous, pentecôtistes, nous croyons ceci!”
C’est très bien, mais pourquoi ne prenez-vous pas le reste de Cela? Qu’en est-il du reste de Cela?

230 “Nous, baptistes, nous croyons à l’immersion.”
C’est bien. Mais maintenant, qu’en est-il du baptême du Saint-Esprit? Qu’en est-il du parler en langues? Qu’en est-il des dons de guérison? Qu’en est-il de la prophétie?
“Oh non! Nous n’y croyons pas; c’était pour un autre âge.” Oh! la la!

231 Vous, pentecôtistes, vous dites : “Eh bien, nous croyons au parler en langues comme évidence.”
Certainement, le parler en langues est très bien, mais ce n’est malgré tout pas l’évidence. Bien des gens parlent en langues (certainement), et c’est aussi loin qu’ils iront jamais. Le diable peut imiter n’importe quel don, n’importe quel don dans la Bible.

232 Paul a dit : “Quand je parlerais les langues des hommes et des Anges; quand je livrerais mon corps pour être brûlé; quand je vendrais tous mes biens pour nourrir les pauvres, et quand j’aurais la foi jusqu’à transporter des montagnes; quand j’irais au séminaire, et que j’apprenne tout ce qu’on peut bien apprendre, que j’aie toute la connaissance, je suis encore rien.”

233 C’est la Personne de Christ. Christ! Recevez-Le. Et vous ne pouvez pas Le recevoir, Lui, sans recevoir Sa Parole. La Parole doit venir premièrement; puis la Vie entre dans cette Parole et manifeste cette Parole.

234 Jésus n’a-t-Il pas dit : “Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas”? C’était la Parole de Dieu étant manifestée. Dieu était en Christ, réconciliant, exprimant Lui-même au monde ce qu’Il était. C’était l’absolu. C’était là l’absolu Éternel.

235 Vous me direz alors : “Est-ce Éternel, Frère Branham?” Ça l’était! “Alors, qu’en est-il aujourd’hui?”

236 Jésus a dit : “Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais, il les fera aussi” – le même absolu. Très bien.

237 Chacun a son propre absolu. Oh! la la! C’est comme c’était au temps des Juges : chaque homme faisait ce qui était juste à ses propres yeux. Au temps des Juges, chaque homme avait son propre absolu. Il faisait simplement ce qu’il voulait; et c’est ainsi maintenant. Chaque homme faisait ce qui était juste à ses propres yeux.
Maintenant, vous connaissez la raison pour laquelle ils ont fait cela, dans les Juges? Cela vous choquera peut-être un petit peu. Mais la raison pour laquelle ils ont fait cela, dans les Juges, c’est qu’ils n’avaient point de prophète dans ce temps-là, à qui la Parole de l’Éternel pouvait être adressée. Chaque homme pouvait donc faire ce qui lui convenait.

238 Et c’est exactement ce qui est arrivé aujourd’hui. Nous n’avons pas eu de prophète dans ce temps des dénominations, mais Dieu nous en a promis un. Voyez-vous? Certainement. Dans les derniers jours, Il susciterait et enverrait à nouveau Élie sur la scène, et il ramènerait le coeur des enfants à la foi des pères – un retour à la Pentecôte originale. Vous savez qu’Il l’a dit!

239 Et je sais que vous vous référerez, comme Lui, à Jean (là, dans Matthieu, au chapitre 11, et le verset 6, je crois que ça se trouve là), quand ils ont dit : “Qui penses-Tu était cet homme, ce Jean?”

240 Il a dit : “Si vous pouvez le recevoir, c’est celui dont il est parlé : ‘Voici, J’enverrai Mon messager devant Ma face.’” C’est Malachie 3, pas Malachie 4.

241 Mais, rappelez-vous, si c’était celui de Malachie 4, alors la Parole a manqué, parce qu’Il a dit que, juste à ce moment-là, le monde entier serait brûlé, et que les justes marcheraient sur les cendres des méchants. Non! Ne mélangez pas cela, frères; faites-Lui dire exactement ce qu’Elle dit. C’est juste. Il a promis cela dans les derniers jours, et cela sera ainsi, au beau milieu.

242 Rappelez-vous, dans les Juges, chaque homme faisait comme il voulait. Il n’y avait aucun homme, aucun homme qui puisse faire vivre cette Parole. Il n’y avait aucun prophète. La Parole du Seigneur vient toujours au prophète (c’est juste); et il est toujours détesté. Il n’y a qu’un petit groupe qui l’aime, et... Voyez-vous? Mais je veux dire qu’il y a toujours eu cela.

243 Dieu ne change pas Sa politique; Il ne le peut pas, et rester Dieu. Si Dieu dit une fois quelque chose ou fait quelque chose, Il doit le faire la prochaine fois. Quand cette crise arrive, s’Il n’agit pas la seconde fois comme Il l’a fait la première fois, c’est qu’Il a mal agi la première fois. Et qui accusera Dieu de mal agir? Qui êtes-vous pour accuser Dieu de péché? C’est ce que Jésus a dit : “Qui d’entre vous Me convaincra de péché?”

244 Qu’est-ce que le péché? L’incrédulité. “Celui qui ne croit pas est déjà condamné.”

245 “Lequel d’entre vous peut Me montrer que Je n’ai pas accompli tout ce que le Messie devait faire?” Voyez-vous? Personne n’a dit un mot. Il l’avait fait; le Messie était un Prophète, et Il avait démontré qu’Il était cela. Ils n’avaient pas eu de prophète pendant des centaines d’années, depuis Malachie, et en voici Un qui apparaît sur la scène.

246 Il était un mystique pour les gens, et une pierre d’achoppement pour leur église, parce qu’Il a dit : “Voici, Je mets en Sion une Pierre Angulaire, précieuse, éprouvée, oh, une pierre d’achoppement. (Oui.) Mais quiconque croit en Lui ne sera point confus.” C’est juste. Le voilà. Et ils... Accomplissant exactement l’Écriture. Mais ceux qui croyaient en Lui avaient un absolu.

247 La petite Marthe, quand elle a vu Lazare sortir du tombeau, elle a su Qui c’était. Avant même que cela n’arrive, elle avait l’absolu, où elle savait : “Je crois que Tu es le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde. Même maintenant, bien que mon frère soit mort, dis simplement la Parole; Dieu le fera.” Amen! Elle était absolument certaine. C’est juste.
Quand Il a dit cela... Et c’est vraiment venu de son coeur... Il a dit : “Où l’avez-vous enseveli?”
Elle a dit : “Viens et vois.”

248 Il s’est tenu là avec une vision, parce qu’Il a dit : “Je ne fais rien, avant que le Père Me le montre (Jean 5.19).”

249 Il L’a envoyé loin de la maison de Lazare. Ils L’ont envoyé chercher pour qu’Il vienne prier. Il savait que Lazare allait mourir. Après un certain temps, Il a dit : “Notre ami Lazare dort.”
Ils ont dit : “Il fait bien.”

250 Il a dit : “Il est mort; et, à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là.” (On Lui avait demandé de prier pour lui.)

251 Il est alors revenu et a dit : “Mais Je vais le réveiller.” Oh! la la! (Pas : “Je vais aller voir ce que Je peux faire.”) “Je vais le réveiller!” Pourquoi? “Le Père M’a déjà montré ce qu’il faut faire.”

252 Il est allé au tombeau. Là se tenait un Homme; là se tenait Dieu dans la chair, qui aurait pu dire à la pierre : “Dissous-toi!”, et elle se serait dissoute; mais Il a dit à ces femmes, à ces pauvres petites femmes, ces petites jeunes femmes : “Ôtez la pierre!”

253 Vous avez aussi quelque chose à faire, voyez-vous? Et elles roulèrent la pierre; cela les a rendues malades, il sentait si mauvais.

254 Il s’est tenu là. Oh! la la! Je peux Le voir redresser Son frêle petit corps (parce que la Bible a dit que Son aspect n’avait rien pour nous plaire; Il n’était pas grand-chose à voir, voyez-vous).

255 Tout comme David. Il fut choisi comme roi, alors qu’il n’était qu’un petit garçon au teint coloré. Voyez-vous?

256 Tous ces grands, gros gaillards ont dit : “Ne serait-il pas joli avec une couronne sur la tête?”
“Prends ce fils aîné”, a dit Isaï.

257 Samuel a dit : “Dieu l’a rejeté.” Il a fait venir tous ses fils.
Et il a dit : “N’en as-tu pas encore un autre?”

258 “Nous en avons un, mais il n’aurait pas l’air d’un roi. C’est un tout petit gars aux épaules arrondies et au teint coloré.”
“Va le chercher!”

259 Et, aussitôt qu’il est arrivé devant ce prophète, l’Esprit est tombé sur lui. Il a couru avec cette huile et l’a versée sur sa tête, et a dit : “Voici votre roi.” C’est cela! Oui monsieur!

260 Et Jésus s’est tenu là, les épaules arrondies peut-être, commençant à grisonner, alors qu’Il n’avait pas encore plus de trente ans. (La Bible dit qu’Il en paraissait peut-être quarante.) Les Juifs ont dit : “Tu n’as pas encore cinquante ans, et Tu dis que Tu as vu Abraham?”
Il a dit : “Avant qu’Abraham fût, Je suis.” Oh! Oh! la la! (Jean 6.)

261 Nous Le retrouvons donc, debout près du tombeau. Il savait que cette vision devait se confirmer, Il savait que cela devait arriver. “Ôtez la pierre!”

262 Il sentait mauvais, enveloppé dans des habits mortuaires, mort depuis quatre jours; son nez s’était déjà affaissé dans ce laps de temps.

263 Il s’est tenu là, a redressé Son petit corps : “Je suis la Résurrection et la Vie! Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort.” Citez-moi un homme qui puisse faire une telle déclaration! “Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais! Crois-tu cela?”

264 Elle a répondu : “Oui, Seigneur!” Bien qu’Il ait manqué à son égard, semblait-il; quand elle L’a fait appeler, Il n’est pas venu; elle L’a fait appeler de nouveau, Il n’est pas venu. Mais ici, elle dit : “Je sais que Tu es le Christ, qui devait venir dans le monde.”

265 Il a dit : “Lazare, sors!” Et un homme qui était mort depuis quatre jours... Pourquoi? Quoi? Christ avait l’absolu. Il avait eu la vision; elle ne pouvait pas faillir. C’est juste. Elle ne pouvait pas faillir! Il en était absolument certain!

266 Et Marthe était absolument certaine! Si elle pouvait L’amener à reconnaître qu’Il était ce qu’elle croyait, elle obtiendrait ce qu’elle demandait. C’est juste! Les voilà : l’absolu; c’était relié à la Parole; et c’était cela.

267 Chacun, aujourd’hui, fait ce qui est bon à ses yeux, parce qu’il n’y a point de prophète.

268 Regardez au temps des Juges. Regardez donc! Au temps de... (Je crois qu’il s’agissait d’Élie ou d’Élisée, l’un des deux. Oui.) ...où il y avait le bébé mort. Et la femme sunamite, elle a...

269 Élie était l’homme de Dieu de ce moment-là, pas juste un bon enseignant intelligent. C’était un vieil homme, qui allait de-ci de-là; s’il était venu à votre porte, vous l’auriez probablement chassé. La nation entière le détestait.

270 Jézabel et tous les autres le haïssaient, parce qu’elle se trouvait à la Maison Blanche, et elle faisait que toutes les femmes fassent comme elle – toutes l’imitaient. Et Achab était sous son emprise. Nous n’en sommes pas trop éloignés aujourd’hui, c’est presque pareil; eh bien, voilà. Ils avaient tout axé sur la popularité, et ils étaient tous pris par cela.

271 Mais cette petite Sunamite (non pas Sunamite, mais... oui, je crois que c’était une Sunamite), quand elle est venue, et qu’elle a vu que cette puissance était en Élie, elle a dit : “Je vois que c’est un saint homme.” Et, quand ce bébé était couché là, mort, elle a dit : “Scelle ce mulet, et ne t’arrête surtout pas!” Elle s’est rendue là-bas... Elle savait... Et j’aime cela; la manière dont elle est venue. Elle est arrivée vers son absolu, son poteau d’attache.

272 Élie a dit : “Voici cette Sunamite qui s’approche. Elle a du chagrin, mais je ne sais pas ce qui ne va pas.” (Voyez-vous, Dieu ne montre pas tout à Ses serviteurs, simplement ce qu’Il veut qu’ils sachent.) Il a donc dit : “Son coeur est chagriné, mais je ne sais pas.” Il a dit : “Cours, Guéhazi, et va t’enquérir de ce qui ne va pas.”

273 Il a dit : “Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Ton fils se porte-t-il bien?”

274 Regardez-la. Oh! la la! C’est cela! Elle a répondu : “Tout va bien.” Pourquoi? Elle était arrivée vers son absolu. “Tout va bien!”

275 Et elle s’est agenouillée. Premièrement elle est tombée à ses pieds, et Guéhazi l’a relevée. Ce n’était pas juste, devant son maître; il l’a relevée. Et elle a commencé à lui raconter.

276 À ce moment-là, il n’avait pas d’absolu. Il savait qu’il avait le pouvoir, par la vision, de lui donner l’enfant; mais, maintenant, que pouvait-il faire? Il a pris son bâton, est entré dans la chambre, a fermé toutes les portes, et a fait sortir tout le monde. Il a marché de long en large dans la chambre. Il avait un absolu, s’il pouvait seulement Le contacter. Il faisait les cent pas dans la chambre. Oh! la la! Tout à coup, il a senti quelque chose le frapper; il s’est couché sur le bébé, puis s’est relevé, s’en est éloigné. Le bébé a un peu bougé, il s’est réchauffé. Il s’est relevé plusieurs fois; il n’avait pas eu un bon contact avec l’absolu. “Qu’était-ce, Seigneur? Que m’as-Tu dit de faire?”

277 Sans doute, quand il s’est retourné, il a eu une vision : ce petit garçon qui partait jouer en courant, qui sautait à la corde, ou quelque chose comme cela – qui jouait. Il s’est jeté sur le bébé; il a collé son nez sur son nez, ses lèvres sur ses lèvres; et la puissance de Dieu a ramené le bébé à la vie.

278 Qu’était-ce? L’absolu de la femme, c’était un prophète; et l’absolu du prophète, c’était Dieu. Et, ensemble, avec la Parole : “Je suis la Résurrection et la Vie, la puissance de Dieu, le Créateur”... ramena le bébé à la vie. Certainement!

279 La raison pour laquelle chacun agissait à sa manière, c’est qu’ils n’avaient pas de prophète, à qui la Parole de l’Éternel pouvait être adressée. La Parole et les prophètes manquaient en ce temps-là.

280 Oh, j’ai vu ceci à ma conversion, à propos du temps dans lequel nous vivions. Je suis si content que Dieu se soit emparé de moi avant que l’église l’ait fait. J’aurais probablement été un infidèle (oui monsieur!), avec toute cette pagaille, et chacun qui dit : “Mais, venez donc chez nous, et rattachez-vous à la nôtre. Et, si vous ne le faites pas, alors vous pouvez prendre votre lettre, et aller vous rattacher à l’autre.” Oh!
“N’allez-vous pas amener votre lettre dans notre communauté?”

281 Je crois qu’il y a une lettre; c’est lorsque Christ inscrit votre nom sur le Livre de Vie de l’Agneau. C’est uniquement sur cela que cela se trouve.

282 Quand j’ai vu toutes les dénominations... Nous sommes de souche irlandaise, qui était catholique pour commencer, et j’ai vu que c’était corrompu et pourri. Je suis allé à une certaine église dénominationnelle, ici en ville; ils m’ont dit : “Oh, nous sommes le chemin, la vérité, la lumière; nous possédons tout.”
Je suis allé à une autre, à New Albany. “Oh! la la! Ces gens là-bas ne savent pas de quoi ils parlent.”
Les catholiques ont dit : “Vous êtes tous dans l’erreur.”
J’ai pensé : “Oh! la la!”

283 Je jouais avec un petit garçon luthérien, et j’ai pensé – un petit garçon luthérien allemand; je suis allé le trouver, et je lui ai dit : “Où vas-tu à l’église?”
Il a répondu : “Je vais à cette église-là.”

284 Je suis donc allé, et j’ai découvert qu’ils disaient qu’eux étaient le chemin. Et je suis allé chez le frère Dale, à l’église baptiste Emmanuel, ou la Première Église baptiste; et ils ont dit : “Ceci est le chemin.”
Et alors je suis allé à l’église irlandaise, et ils ont dit : “Mais ceci est le chemin.”

285 “Oh! la la! Je suis tellement troublé; je ne sais pas ce qu’il faut faire. Mais je veux me mettre en règle!” Je ne savais que faire, et je ne savais pas comment me repentir.

286 J’ai écrit une lettre. J’ai pensé : “Je L’ai vu dans les bois.” Je Lui ai écrit une lettre; je Lui ai dit :
Cher Monsieur,
Je sais que Vous passez par ce sentier, parce que je me suis arrêté ici en chassant l’écureuil. Je sais que Vous passez par ici, et je sais que Vous êtes ici. Je désire que Vous... Je veux Vous dire quelque chose...

287 J’ai pensé : “Maintenant, attends une minute. Je n’ai jamais vu quelqu’un auquel je ne... Je veux leur parler; je veux parler avec eux. Et je veux Lui parler.” J’ai pensé : “Eh bien, maintenant, je ne sais pas comment m’y prendre.”

288 Et je suis allé dans la remise, je me suis agenouillé; il y avait là de l’eau, c’était mouillé, et il y avait là une vieille voiture accidentée. Et j’ai dit : “Je crois que j’ai vu une image... Je crois qu’ils mettaient leurs mains comme ceci”; et je me suis agenouillé. Et j’ai dit : “Maintenant, que vais-je dire?” J’ai dit : “On doit le faire d’une certaine façon, et je ne la connais pas. Je sais qu’il y a une façon d’aborder tout, et je ne...” J’ai dit, j’ai mis mes mains comme ceci.

289 J’ai dit : “Cher Monsieur, je souhaiterais que Vous veniez et que Vous parliez avec moi juste un instant. Je veux Vous dire combien je suis mauvais.” (J’ai tenu ma main comme ceci.) J’ai écouté.

290 Des gens ont dit : “Dieu m’a parlé.” Et je savais qu’Il parlait effectivement, parce qu’enfant, je L’avais entendu me dire de ne pas boire, et ainsi de suite.

291 Il ne m’a pas répondu. J’ai dit : “Peut-être que je suis censé mettre mes mains comme ceci.”

292 J’ai donc dit : “Cher Monsieur, je ne sais pas exactement comment m’y prendre, mais j’espère que Vous... Êtes-Vous prêt à m’aider?”

293 Et chaque prédicateur me disant de venir me rattacher à la leur, et disant qu’ils avaient pris Jésus-Christ, et qu’ils croyaient que Jésus était le Fils de Dieu. Les démons croient la même chose. J’ai donc pensé : “Je dois avoir quelque chose de meilleur que cela.” J’étais donc assis comme ceci.

294 J’ai lu l’endroit où Pierre et Jean ont passé par la porte appelée la Belle, et là se trouvait un homme estropié dès le sein de sa mère. Il a dit : “Je n’ai ni argent ni or, mais ce que j’ai...” Oh, je savais que je n’avais pas cela.

295 J’essayais donc de découvrir comment m’y prendre; je ne savais pas comment prier. J’ai pris mes mains, et je me suis mis comme ceci.

296 Bien sûr, Satan est alors entré en scène, et m’a dit : “Tu vois? Tu as attendu trop longtemps. Tu as déjà vingt ans; cela ne vaut plus la peine d’essayer maintenant. Tu as déjà...”

297 Alors j’ai complètement craqué, et je me suis mis à pleurer. Et, une fois vraiment brisé, j’ai dit : “Je vais parler. Si Vous ne me parlez pas, je vais quand même Vous parler.” J’ai donc dit : “Je ne vaux rien; j’ai honte de moi! Monsieur Dieu, je sais que Vous allez m’entendre quelque part. Vous m’entendrez. Et j’ai honte de moi; j’ai honte de Vous avoir négligé!”

298 À peu près à ce moment-là, j’ai levé les yeux, et un sentiment étrange m’a envahi. Une Lumière est alors apparue et, en se déplaçant dans la chambre, elle forma une croix comme cela; et une Voix que je n’avais jamais entendue de ma vie a parlé. Je L’ai regardée, j’étais transi de froid, paralysé de peur. Je ne pouvais pas bouger. Je me suis tenu là, regardant Cela; puis Cela a disparu.

299 J’ai dit : “Monsieur, je ne comprends pas Votre langage.” J’ai dit : “Si Vous ne pouvez pas parler le mien, et que moi, je ne comprends pas le Vôtre... Et, si Vous m’avez pardonné, je sais que je suis censé me retrouver quelque part dans cette croix, mes péchés devraient s’y trouver. Et si Vous êtes prêt à me pardonner, revenez simplement me parler dans Votre propre langage. Je comprendrai, d’après cela, si Vous ne pouvez pas parler mon langage.” J’ai dit : “Laissez simplement Cela revenir.”

300 Et La voilà de nouveau! Oh, miséricorde! Là j’ai reçu un absolu. Amen! Oui monsieur! J’ai senti comme si un poids de quarante tonnes quittait mes épaules; j’ai marché sur ce passage en bois sans même toucher terre.
Ma mère m’a dit : “Billy, tu es agité.”
J’ai dit : “Non, maman; je ne sais pas ce qui est arrivé.”

301 Il y avait une voie de chemin de fer près de là; j’ai suivi cette voie de chemin de fer, en sautant aussi haut que je le pouvais. Je ne savais pas comment extérioriser mes sentiments. Oh! si j’avais su pousser des cris de joie! Je jubilais, mais à ma manière, vous voyez.

302 Qu’était-ce? J’avais ancré mon âme dans un Havre de Repos. Ça réglait la question; c’était mon absolu. Là j’avais découvert quelque chose; pas un mythe, pas une idée. J’avais parlé avec cet Homme. J’avais parlé avec cet Homme, qui m’avait dit de ne jamais boire, ni fumer, ni souiller mon corps d’aucune manière avec des femmes, etc.; que, lorsque je serais plus âgé, j’aurais un travail à faire. Je L’avais contacté, Lui; non pas l’église, je L’avais contacté, Lui – Lui! Oui monsieur! Il s’agissait de Lui.

303 C’est comme cet homme qui parlait ici, chez les Kiwanis, il n’y a pas... Juste après la Première Guerre mondiale... (Frère Funk, qui se trouve là, est lui-même soldat.) Il a dit qu’il était... (Cela a un peu l’air d’être une plaisanterie, et ce n’est pas un endroit pour plaisanter. Mais voici ce qu’il a dit. Il se trouvait ici à New Albany.)

304 Il a dit : “Le capitaine nous a fait sortir et nous a dit : ‘Ce pays entier est cerné par les Japonais. Demain, mes garçons, nous attaquons; nous devons les prendre.’ Il a dit : ‘Rappelez-vous, mes garçons, il y en a beaucoup d’entre nous, qui sommes ici aujourd’hui, qui ne seront plus là demain. Ils ne seront plus ici demain; nous attaquons demain à l’aube.’ Il a dit : ‘Maintenant, que chacun de vous contacte sa propre religion.’”

305 Et ce gars a dit : “Mais, moi, je n’avais pas de religion.” Il a dit : “J’ai dit... Je me suis tenu là, et tous les autres...” Il a dit : “Un aumônier est arrivé, et ils sont partis dans cette direction; les protestants sont partis dans cette direction; et les Juifs sont partis dans cette direction; et les catholiques sont partis dans cette autre direction avec leur aumônier. Et moi, je suis resté là.

306 Et il a dit : “Le commandant m’a dit : ‘Eh bien, mon garçon, tu ferais mieux de contacter ta religion.’”
Il a dit : “Mais je n’en ai point.”

307 Il a dit : “Tu ferais mieux d’en trouver une, parce que tu vas en avoir besoin sous peu, j’en suis sûr.”

308 Il a raconté qu’à ce moment-là, il a vu un groupe de catholiques passer. Il s’est avancé et a dit à ce prêtre : “Pourriez-vous me donner un peu de religion?”
Il lui a dit : “Viens avec nous!”

309 Il a dit : “Je suis allé là, et il a fait de moi un catholique.” (Et là, à New Albany, se trouvaient John Howard et un groupe de catholiques très fidèles, vous savez, quand cet homme racontait ceci.)

310 Et il raconte... Le lendemain au combat... Il racontait comment c’était, et il a dit... (C’est un grand gaillard, vous savez.) Et il a dit qu’ils en sont arrivés au corps à corps. Ils se donnaient des coups de couteau, et ils criaient, et coupaient, entaillaient. Les lignes se sont mélangées, et ils se sont retrouvés l’un derrière l’autre. Les Japonais les ont laissés tomber directement là-dedans comme cela. Et ces grosses mitrailleuses qui crépitaient de chaque côté – un combat corps à corps.

311 Il a dit : “Je me suis arrêté immédiatement, comme ceci... Comme ça criait de partout, on ne pouvait plus s’entendre.” Il a dit : “Tiens, du sang.” Et il ajouta : “J’ai regardé, et c’était mon sang!” Il a dit : “J’ai regardé ici, et il y avait un trou dans mon flanc! Et c’était mon sang.” Et il a dit : “Je... Vous savez, je... je... je...”
Et un véritable... Et, ami catholique, je dis juste ceci maintenant, en plaisantant. Mais un bon catholique lui a dit : “As-tu dit ton ‘Je vous salue, Marie’?”

312 Il a dit : “Non monsieur! C’était mon sang. Je ne voulais pas parler à une secrétaire. Je voulais parler à l’Homme principal. C’était mon sang.”

313 Et je pense que c’est à peu près ainsi. Oui monsieur! C’est comme ça. Nous devons avoir un poteau d’attache, un absolu.
“Je n’avais pas de temps pour Sa secrétaire, a-t-il dit, je voulais Lui parler, à Lui.”

314 C’est cela, frère. Quand un homme vient à Christ, vous ne voulez pas prendre la parole de quelque prédicateur, ou la parole de quelque secrétaire, ou d’autre chose. Vous, protestants, ne prenez pas ceci, cela ou autre chose; allez vers cet absolu, jusqu’à ce que vous soyez ancrés là par la nouvelle naissance, étant nés de nouveau et remplis du Saint-Esprit, et que vous puissiez voir la Bible, étant manifestée dans l’humilité et l’amour à travers votre vie. Oh, alors, c’est votre absolu. Oui monsieur!

315 J’ai lu, dans la Parole, où il est dit qu’Il est la Parole. Quand l’église allemande a dit : “C’est ce chemin-ci”; et l’église méthodiste, l’église baptiste et l’église catholique... Mais j’ai lu, dans la Parole, où Il a dit : “Sur cette pierre Je bâtirai Mon Église, et les portes de l’enfer ne pourront prévaloir contre Elle.”

316 Écoutez maintenant, alors que je termine. Maintenant, les protestants disent... ou les catholiques disent qu’Il l’a bâtie sur Pierre : “Tu es Pierre, et sur cette pierre...” Non, jamais! Si c’était le cas, elle aurait tout de suite rétrogradé; ils l’auraient bâtie sur un homme.

317 Qu’a-t-Il fait? Les protestants disent qu’Il l’a bâtie sur Lui-même. Non! Il ne l’a pas fait! Il ne l’a pas bâtie sur Lui-même.

318 Qu’a-t-Il fait? “Qui dit-on que Je suis, Moi, le Fils de l’Homme?”
Certains ont dit : “Tu es Élie; et Moïse.”
Et Il a dit : “Mais, vous, que dites-vous?”
Pierre a dit : “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.”

319 Observez les mots maintenant. “Tu es heureux, Simon, fils de Jonas; la chair et le sang ne t’ont pas révélé ceci (tu ne l’as jamais appris de quelque prêtre; tu ne l’as jamais appris de quelque séminaire) mais Mon Père, qui est dans le ciel, te l’a révélé. Et sur cette pierre – la révélation spirituelle de la Parole – Je bâtirai Mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre Elle.”

320 J’ai pensé : “Seigneur, c’est cela.” J’ai lu, dans le Livre de l’Apocalypse, au chapitre 22, où Il a dit : Quiconque... (Ceci est la chose complète.) Quiconque Y injectera quelque chose; quiconque En retranchera quelque chose (niera que c’est bien ainsi), ou quiconque essaiera de L’améliorer un petit peu, Le polira pour l’époque; quiconque ajoutera ou retranchera, sa part sera retranchée du Livre de Vie.”

321 J’ai dit : “Alors, c’est ce dont j’ai besoin, Seigneur, croire Ceci. Et dans Ceci, cette croix là-bas, le Christ est venu.” C’est parfait, jusqu’au bout, chaque parole qu’Il a dite. Prenez le Livre dans cette main, l’histoire dans cette main, et cela se confirme parfaitement, tout du long. Et j’ai dit : “Alors, Seigneur, reçois-moi!” Et, quand j’ai fait cela, j’ai reçu Christ, le Saint-Esprit, dans mon coeur, mon absolu. Cela n’a pas été moi.

322 J’étais malade une fois, quand j’ai perdu mon épouse; j’ai perdu mon bébé; oh, perdu mon père, et perdu mon frère, et perdu ma belle-soeur. Et Billy se mourait, et moi, j’étais presque mort... Je remontais la route en pleurant, me rendant sur sa tombe (et elle et le bébé... et le bébé sur ses bras), me rendant jusqu’à la tombe. J’étais en train de marcher; et Monsieur Isler... (Il avait l’habitude de venir jouer ici, vous savez, le sénateur de l’État de l’Indiana.) Il venait sur la route. Et il s’est arrêté, il a couru vers moi, il m’a entouré de ses bras (c’était après l’inondation de 37) et m’a dit : “Billy, où allez-vous? Là-haut?”
J’ai répondu : “Oui.”
Il a dit : “Qu’allez-vous faire là-haut?”

323 J’ai dit : “Je vais écouter une vieille colombe.” J’ai dit : “Je m’assieds là, près de la tombe du bébé et la sienne. Une vieille colombe descend et me parle.”
“Oh, a-t-il dit, Billy!”

324 J’ai dit : “Oui! J’entends le bruissement des feuilles quand elles jouent cela. Cela joue de la musique pour moi, Monsieur Isler.”
Il a dit : “Quelle sorte de musique est-ce que cela joue?”
J’ai dit :
Il y a un pays au-delà de la rivière
Qu’on appelle le doux au-delà,
Et nous n’atteignons ce rivage que par le décret de la foi;
Un par un, nous atteignons le portail,
Pour demeurer là, avec les immortels.
Quand, un jour, ils feront sonner les cloches d’or pour vous et pour moi.

325 Il a dit : “Billy, je veux vous demander quelque chose.” Il a dit : “Que représente Christ pour vous maintenant? Que signifie Christ pour vous?”

326 J’ai dit : “Il est ma Vie, mon Tout. Il est tout ce que j’ai, Monsieur Isler. Il est mon point de référence final; il n’y a qu’à Lui que je puisse m’accrocher.”
Pourquoi? C’est que quelque chose est arrivé.
Sur cette pierre...

327 Il a dit : “Je vous ai vu debout, ici au coin de la rue; et prêcher jusqu’à ce que vous sembliez prêt à tomber mort. Je vous ai vu, à toutes les heures de la nuit, parcourant les rues pour visiter les malades. Et, après qu’Il a repris votre épouse et votre bébé, vous Le servez encore?”

328 J’ai dit : “Même s’Il me tue, je Lui ferai confiance.”
Pourquoi? Mon Ancre tient à l’intérieur du voile; j’avais un absolu. Je m’étais accroché à Sa Parole, et Sa Parole tenait. Il est mon absolu. J’ai découvert que toutes ces autres choses peuvent faillir, mais Christ ne peut jamais faillir.

329 L’église catholique a le pape comme absolu; les protestants ont leurs évêques et leurs crédos, et leurs surveillants généraux; mais moi, comme Paul,...

330 Vous avez votre crayon? Inscrivez quelque chose. Paul a dit, dans Actes, chapitre 20 et verset 24 : “Aucune de ces choses ne m’ébranle.” [C’est dans la Bible anglaise, version du Roi Jacques.–N.D.T.]
Oh, ils peuvent avoir leurs crédos; vous pouvez avoir ce que vous voulez, mais ces choses ne m’ébranlent pas! J’ai ancré mon âme dans un havre de repos,
Pour ne plus parcourir les mers déchaînées (je ne sais pas où vous êtes, par ici, par là) ;
La tempête peut balayer l’océan démonté (tout peut être sens dessus dessous) ;
Mais en Jésus je suis en sécurité pour toujours.

331 Oui! Aucune de ces choses ne m’ébranle, car je suis attaché à une Ancre.
“Oh, depuis que je L’ai rencontré, a dit Paul, sur ce chemin, j’ai été attaché à une Ancre. Il m’a fait faire demi-tour; Il m’a redonné un bon départ.” Vous vous rappelez, Paul appartenait aussi à une organisation (la plus grande dans le pays), mais il s’est attaché à l’absolu.

332 Écoutez! Je veux vous dire quelque chose. Il avait un but en me sauvant; Il avait un but en vous sauvant. Et je suis déterminé, par Sa volonté, à faire cela; sans Y ajouter, ou sans En retrancher (Apocalypse 22.19, si vous voulez l’inscrire). Très bien! Quiconque retranchera... Je suis déterminé... (Je me prépare à quitter l’église, vous le savez.) Et je suis donc déterminé à rester avec cet Évangile aussi longtemps que je vivrai, avec l’aide de Dieu.
Rappelez-vous! Voici la grâce! Il y en avait des millions en train de mourir dans le péché, quand Il m’a sauvé. Qui étais-je, pour qu’Il me sauve? Il avait un dessein en me sauvant, et je suis déterminé à accomplir ce dessein. Peu m’importe; il se peut que ma fin soit maintenant pour bientôt. Mais, quoi que ce soit, je reste ancré. Je ne l’ai jamais changé.

333 Monsieur Isler m’a dit ce jour-là, tout en marchant sur la route : “Billy, dans toutes ces difficultés, avez-vous gardé votre religion?”

334 J’ai dit : “Non, monsieur, c’est elle qui m’a gardé.” Voyez-vous? Mon Ancre a tenu bon. C’est juste. Je ne l’ai pas gardée, c’est elle qui m’a gardé. Je ne peux pas y arriver par moi-même, mais c’est elle qui m’a gardé. C’est cela.

335 Il avait un but en me sauvant. Il y en avait des millions qui se trouvaient dans le péché, quand je suis venu à Christ, mais Il m’a sauvé, moi. Il avait un but en le faisant. La mort de Christ était un absolu par rapport à la crainte qu’elle engendrait.

336 La mort de Christ a réglé la question. Quand cette abeille de la mort L’a piqué et a ancré son aiguillon... Vous savez, une abeille, un insecte qui a un aiguillon, si jamais elle ancre cet aiguillon suffisamment profondément, quand elle veut le retirer, elle le perd. La mort a toujours eu un aiguillon. La mort a toujours eu un aiguillon.

337 Et, un jour, quand ce... montant au Calvaire, et le cahotement sur ces pierres, le sang produisant des éclaboussures sur les pierres... Lorsqu’il a touché la terre au Calvaire, allant à Golgotha, le dos de cette croix creusait un sillage sur les empreintes de pas ensanglantées de ce frêle petit corps, qui avançait par là (alors qu’on Lui donnait des coups de fouet et qu’on Le meurtrissait, tandis qu’Il gravissait la colline); mais Il avait un absolu. Il connaissait Sa position, parce que la Parole de Dieu avait dit, par David : “Je ne laisserai pas Mon Saint voir la corruption, ni ne laisserai Son âme au séjour des morts.”

338 Il savait que la corruption s’installe en soixante-douze heures; Il a dit : “Détruisez ce temple, et Je le relèverai en trois jours.” Il avait un absolu!

339 Le voilà qui gravit la colline, couvert des crachats moqueurs de soldats ivres, qui avaient entouré Son visage d’un chiffon, puis Lui avaient frappé la tête en disant : “Tu es prophète, dis-nous qui T’a frappé!” Le voilà, en train de gravir la colline, couvert de honte et de déshonneur, pour être dépouillé de Ses vêtements, méprisant l’ignominie, étant pendu sur la croix, devant les gens, nu; mourant d’une manière honteuse, subissant la peine capitale infligée par le gouvernement romain; Lui, un Homme qui n’avait rien fait.

340 Une petite histoire raconte qu’une fois, Marie Madeleine est sortie en courant, et a dit : “Qu’a-t-Il fait? Il a guéri vos malades, ressuscité les morts, et amené la délivrance à ceux qui étaient en captivité. Qu’a-t-Il fait?”

341 Et un prêtre la frappa sur la bouche, si bien que le sang gicla, et dit : “Qui préférez-vous écouter? Elle, ou votre grand-prêtre?” Oh, ce monde dénominationnel, c’est une malédiction pour tout cela. C’est cela. Voilà.

342 Et ils L’emmenèrent. Mais, alors qu’Il gravissait la colline, traînant...

343 Le diable avait toujours douté de ce qu’Il était. Il avait dit : “Si Tu es le Fils de Dieu, change ces pierres en pains. Tu prétends pouvoir faire des miracles. Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent du pain.”

344 Ce même démon vit aujourd’hui. C’est vrai. “Si tu pratiques la guérison Divine, voici le vieux Jean Tel et Tel, qui est assis là, au coin de la rue. Je sais qu’il est estropié; guéris-le!” Ne savez-vous pas que c’est ce même vieux démon?
Jésus a dit : “Je fais seulement...”

345 Regardez! Il a passé par la piscine de Béthesda, où se trouvaient des milliers d’estropiés, d’aveugles, de boiteux et de paralytiques, et Il s’est approché d’un homme qui pouvait marcher. Il pouvait se déplacer; il souffrait peut-être de la prostate. Quoi qu’il en soit, cela durait depuis longtemps (depuis trente-huit ans). Il a dit : “Quand j’entre dans la piscine, quelqu’un y descend avant moi.” (Il pouvait marcher.)

346 Il a laissé tous les autres couchés là, et Il s’est approché de celui-là, et l’a guéri. Pourquoi?
Il a dit qu’Il savait qu’il s’était trouvé dans cet état-là. Et ils Lui ont dit... Ils Lui ont posé la question lorsqu’ils L’ont trouvé (dans Jean 5). Il a répondu : “En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père...” Voilà Son absolu. C’est toujours l’absolu.

347 Me tenant là-bas en Finlande, ce jour-là, et ce petit garçon qui était étendu là; et j’ai marché tout autour de lui, alors qu’il était étendu là, mort. (Mort depuis une demi-heure. Vous l’avez lu dans le livre.) J’ai commencé à m’éloigner; quelqu’un posa ses mains sur moi. Je me suis retourné; j’ai pensé : “Qu’est-ce que c’était?” J’ai regardé à nouveau. Et j’ai pensé : “Attends une minute!”

348 J’ai regardé, là sur la page de garde de la Bible; et il était dit : “Et il arrivera qu’un petit garçon, d’environ neuf ans, sera tué par une automobile. Il y aura une longue bande de conifères parsemée de rochers; la voiture sera en travers de la route, démolie. Il portera de petites chaussettes montantes, ses cheveux seront coupés courts, et ses petits yeux seront révulsés; les os de son corps seront brisés.”
J’ai regardé; et j’ai pensé : “Oh, Dieu!”

349 J’ai dit : “Restez tranquilles, vous tous!” (Le maire de la ville se tenait là.) J’ai dit : “Si ce garçon n’est pas sur ses pieds dans les deux prochaines minutes, je suis un faux prophète. Expulsez-moi alors de Finlande.” Certainement! “Mais, s’il l’est, vous devez vos vies à Christ.” C’est juste. Ils restèrent tranquilles.

350 J’ai dit : “Père Céleste, là-bas, de l’autre côté de la mer, il y a deux ans, Tu as dit que ce petit garçon serait couché là...”

351 Il y avait Frère Moore et Frère Lindsay, et les autres qui regardaient. Et, partout, ils avaient écrit cela dans leurs Bibles; et des milliers de Bibles à travers le pays portaient cette annotation. Qu’était-ce? Un absolu.
Le Père avait montré ce qui arriverait. Il n’y avait aucune crainte à avoir, en se tenant là – il y avait un absolu. Certainement qu’il ressusciterait.

352 Là, en Finlande, où des milliers de personnes venaient chaque soir... (Il fallait même les faire sortir, et s’asseoir; les faire aller dehors, et faire entrer quelqu’un d’autre.) Il s’est tenu là avec... Tous les gens m’aimaient; et ils avaient vu des guérisons se produire, mais voici un garçon étendu là, mort. Qu’était l’absolu? La vision. “Je fais ce que le Père me dit de faire. Celui qui croit en Moi, les oeuvres que Je fais, il les fera aussi.” Voilà votre absolu.

353 J’ai dit : “Mort, tu ne peux plus le retenir; Dieu a parlé! Reviens; rends-le!” Et le petit garçon ressuscita et regarda autour de lui, comme cela; les gens commencèrent à s’évanouir, et tout le reste.
Le voilà, écrit là et signé par le maire de la ville, par un notaire. C’est juste!

354 Qu’est-ce? Un absolu. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Si ce n’est pas le même Dieu qui arrêta la femme venant de Naïn avec... qui arrêta ceux qui la portaient avec son fils.
Quand quelqu’un mourait, en ce temps-là, ils les ensevelissaient immédiatement, ils ne les laissaient pas attendre; ils les mettaient dans la tombe. Voilà ce même Jésus-Christ hier, aujourd’hui et pour toujours. Oui!

355 Regardez, là-bas au Mexique, quand ce petit bébé... (Certains d’entre vous s’y trouvaient.) Et ce bébé... (Le médecin avait signé une déclaration; c’est écrit dans le journal des Hommes d’Affaires Chrétiens.) Ce bébé était mort ce matin-là, à neuf heures, et c’était dix heures du soir.

356 Et cette petite femme ne voulait pas être consolée. Billy se tenait là, mon fils, essayant de la retenir, et il avait... Eh bien, je pense qu’ils avaient deux cents huissiers qui se trouvaient là; et elle a passé par-dessus eux. Le soir précédent, cet homme aveugle avait recouvré la vue; et elle savait cela. (Elle était catholique.)

357 Mais, finalement, j’ai dit : “Vas-y, Frère Moore, et prie pour elle, parce que ce bébé...”

358 Il pleuvait à verse, là-bas, ils s’étaient tenus là depuis tôt ce matin-là, là-bas dans cette grande arène. Et j’ai dit... On me descendait avec des cordes par-derrière, pour me faire entrer; j’étais juste là trois soirs.

359 Je me suis tenu là, et j’ai dit : “Comme je le disais...” (Je prêchais.) Et j’ai regardé. J’ai vu un petit bébé, juste là devant moi, un petit bébé mexicain qui n’avait pas de dents, qui était juste là, et qui riait – juste devant moi.

360 J’ai dit : “Attends une minute, Frère Moore, amène-la ici.” Oh, un absolu!

361 Les huissiers se reculèrent; et la voici qui arrive. Elle est tombée à genoux, en disant : “Padre! Padre!”
J’ai dit : “Levez-vous.”

362 Et Frère Espinoza lui a dit : “Levez-vous.” Il le lui a dit en espagnol. Elle s’est levée.
J’ai dit : “Père Céleste, je suis ici debout, dans cette pluie...”

363 C’était une jolie petite femme, d’environ vingt-trois ans, quelque chose comme cela. Ses cheveux pendaient, son petit visage regardait comme cela; le regard de ses yeux montrait ce qu’elle attendait. Elle avait vu cet homme, totalement aveugle pendant environ quarante ans, et ses yeux se sont ouverts sur l’estrade. Elle savait que, si Dieu pouvait ouvrir des yeux aveugles, Il pouvait guérir son bébé. Et il se trouvait là, son petit corps tout raide, enveloppé d’une couverture complètement trempée. Elle était restée debout, là, tout le matin et aussi tout l’après-midi. Et c’était vers les onze heures ou dix heures du soir, quelque chose comme cela; tenant ce bébé devant elle. (Vous avez vu l’article dans le journal des Hommes d’Affaires Chrétiens.) Tenant ce bébé comme cela.

364 J’ai dit : “Père Céleste, je ne sais pas ce que cela signifie. Je suis simplement Ton serviteur, mais j’ai vu ce bébé, se tenant là; il était vivant.” J’ai posé mes mains sur lui dans le Nom du Seigneur Jésus.

365 Et il a fait : “Waa!” Et il a commencé à pleurer. La mère a saisi le bébé et a commencé à crier, et les gens ont commencé à crier par là, et des femmes se sont évanouies, etc. J’ai dit : “Ne dites surtout rien à ce sujet. Envoyez un coursier avec ce bébé, avec cette mère, et allez chez ce docteur; et faites-lui signer une déclaration que ce bébé est mort. Il est mort de pneumonie le matin précédent, ou ce matin-là à neuf heures.”

366 Et nous avons une déclaration signée par le docteur; le bébé fut déclaré mort dans le cabinet du médecin ce matin-là, et la mère l’a transporté avec elle pendant toute la journée.

367 Qu’était-ce? Un absolu! Qu’était-ce? Elle crut que, si Dieu pouvait ouvrir des yeux aveugles, eh bien, Dieu pouvait ressusciter les morts, car Il est le même hier, aujourd’hui et pour toujours!

368 Je n’étais pas certain; je ne savais pas, tant que je ne l’avais pas vu. Et, quand j’ai vu le bébé, c’était un absolu. Absolument juste! Ça y était. La mort devait rendre sa victime.

369 Là se trouvait le Fils de Dieu; cette abeille de la mort a commencé à bourdonner autour de Lui. “Ah, comment pourrait-Il être prophète! Comment pourrait-Il se tenir là, et les laisser Lui cracher au visage? Comment peut-Il se tenir là, et les laisser se moquer de Lui, et ne rien faire à ce sujet? Ce n’est pas Emmanuel! C’est simplement un homme ordinaire. Regardez cette bave venant de ces soldats ivres. Regardez Son visage qui saigne!”

370 Le diable s’est dit : “Je L’aurai! Je L’aurai!” Le voici qui vient, comme une abeille; l’aiguillon de la mort bourdonnant autour de Lui. Mais, frère, lorsque cette abeille a ancré son aiguillon dans cet Emmanuel, lorsqu’elle a voulu le retirer, elle l’a perdu, jusqu’à la mort elle-même.

371 Ce n’est pas étonnant que Paul, plus tard, puisse la regarder en face, et dire : “Ô mort, où est ton aiguillon? Ô tombe, où est ta victoire? Grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire.” La mort de Christ était l’absolu pour tous ceux qui la craignaient.

372 Mon coeur dit “Amen” à chaque parole dans Son Livre. (Je termine, maintenant c’est sûr. Je dois abréger. Voyez-vous?)

373 C’est pourquoi je sais que le Saint-Esprit est ma Boussole qui me guide. Il est Celui qui me fait savoir que cette Parole est vraie. Il est mon absolu; Il est mon Rayon de Soleil; Il est ma Vie; Il est mon Ancre! Quand les difficultés sont là, Il est mon Étoile Polaire. Quand je suis perdu, le Saint-Esprit est ma Boussole, qui me ramène au bon endroit.

374 Les dénominations sont comme les autres étoiles; elles se déplacent avec la terre. Les autres étoiles se déplacent en même temps que la terre; mais pas l’étoile Polaire. La terre peut se déplacer où elle veut, mais cela reste en place. Oh, frère! L’étoile Polaire est ancrée. Les autres se déplacent; vous pouvez les voir, ici et là, et partout ailleurs. C’est ainsi avec les églises dénominationnelles.

375 Mais Christ est l’absolu. Il est Celui dans lequel vous pouvez placer votre confiance. Quand les dénominations vous ont tout embrouillés, regardez simplement vers l’Étoile Polaire. Le Saint-Esprit est votre Boussole. Il reste toujours fidèle à Sa Parole.

376 Quand on m’a dit que ces choses ne pouvaient pas arriver dans un temps moderne comme celui-ci, je savais... Si... s’il n’y a point de Dieu, alors vis, mange, bois, et réjouis-toi. S’il y a un Dieu, servons-Le. Et j’ai vécu pour voir le jour où Il a tout accompli, allant jusqu’à ressusciter les morts, comme lorsqu’Il était ici sur terre. Et nous savons, sur la base de déclarations formelles, que c’est la vérité. Oui monsieur! Il est mon absolu.

377 Maintenant, faites de Lui votre absolu. Considérez mes moments de difficultés... Il est toujours un absolu. Maintenant, observez, par la grâce de Dieu...

378 Maintenant, je ferais mieux de terminer. Il se fait tard. Eh bien, regardez un peu, je pensais que c’était onze heures, et c’est douze heures trente.

379 Mes amis, un jour entier, une nuit entière, une année entière, et toute l’Éternité ne suffiraient pas pour en parler. N’essayez pas de vous le figurer. Vous ne le pouvez pas. Il n’y a pas moyen de se le figurer. Vous me direz : “Frère Branham, si vous...”

380 Je ne sais pas; je crois simplement. Je cesse d’essayer de faire quoi que ce soit à ce sujet; je le crois simplement. C’est tout. Voyez-vous? “Cela ne dépend pas de celui qui court, ou de celui qui veut, mais de Dieu qui fait miséricorde.” Voyez-vous? Ce n’est pas par les oeuvres, c’est par grâce. Voyez-vous? Je le crois simplement. Dieu est... C’est Son affaire de s’occuper du reste. Croyez cela simplement. Agissez d’après cela.

381 Ce chant fameux, je les ai entendus le jouer, le chanter, ici ou ailleurs : Oh, amour de Dieu, comme tu es riche et pur!
Comme tu es insondable et fort!
Il demeurera à jamais,
C’est le chant des saints et des anges.

382 Si un mathématicien essayait d’analyser cela, ou essayait de montrer cela par son instruction, il deviendrait fou. Vous ne pouvez pas le faire. N’essayez pas de le faire. N’essayez pas de chercher à comprendre cela; Dieu dépasse toute compréhension. On ne se figure pas Dieu, on croit simplement en Lui. C’est le secret. Ne cherchez pas à le comprendre, croyez-le simplement. Je ne peux pas vous dire ce que cela signifie; je ne peux pas vous dire comment faire cela. Je sais simplement que je crois cela; c’est tout.

383 C’est comme lorsque vous promettez quelque chose à un petit enfant, il le croit! Vous devriez tenir parole. Vous êtes un enfant de Dieu. Il tient Sa Parole; croyez-La simplement. Ne soyez pas ébranlé; restez bien à votre place. Si Dieu l’a fait une fois, Il doit le faire à nouveau. S’Il ne le fait pas, Il vous dira pourquoi Il ne peut pas le faire. Et c’est juste. Maintenant, restez bien avec cela.

384 Vous savez, ce certain verset... Je crois que notre précieux frère, qui est là et qui a été baptisé hier soir, chante ce cantique Oh, Amour de Dieu. Je me suis laissé dire que ce verset, cette partie du chant, a été retrouvé épinglé au mur d’un asile, cet endroit qui dit : Si nous remplissions l’océan d’encre,
Ou si les cieux étaient faits de parchemin;
Et que tout brin de paille sur terre soit une plume,
Et tout homme un scribe de son état.
Écrire à propos de l’amour de Dieu
Assécherait l’océan,
Et le rouleau, bien que déroulé d’un ciel à l’autre,
Ne pourrait pas tout contenir.

385 Pensez-y, quand environ les trois-quarts de la terre sont de l’eau. Et regardez l’hydrogène et l’oxygène qu’il y a dans l’air, l’humidité et le reste. Voyez-vous? Si toute l’humidité était de l’encre, et pensez aux milliards, et aux billions, et aux billions de pailles qui seraient des plumes. Et pensez aux milliards d’hommes qui ont été sur la terre, et que chacun d’entre eux soit scribe de son état. Tremper ces plumes dans l’océan, et essayer de comprendre l’amour de Dieu, assécherait l’océan; ou le rouleau, bien que déroulé d’un bout à l’autre de l’Éternité, ne pourrait pas tout contenir.

386 N’essayez pas de vous l’imaginer; vous ne le pouvez pas. Vous perdez l’esprit en cherchant à comprendre; croyez-le simplement. Faites de Lui votre absolu. Restez là, une douce paix et une expérience que vous n’oublierez jamais; ancrez-vous à cela, et votre Ancre tiendra à l’intérieur du voile. Inclinons nos têtes. Comme Tu es grand! Comme Tu es grand!

387 Combien ici ce matin, avec vos têtes inclinées... On s’approche maintenant de l’an nouveau; et vous avez été très religieux. (Et c’est bien, je l’apprécie; chacun de vous. Je suis sûr que Dieu l’apprécie.)

388 Mais vous n’avez pas vraiment fait cette expérience de l’absolu, ce quelque chose que vous n’avez pas simplement fait semblant de croire, ou imaginé, mais quelque chose qui vous a répondu. Et alors, vous avez vu votre vie changer depuis ce moment-là, et chaque parole de Dieu, chaque promesse est ponctuée par un “Amen”. Alors vous vous tenez à l’absolu. Parce que... vous vous rappelez qu’Il a dit : “Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne faillira pas.”

389 Si vous n’en êtes pas encore arrivé au point où vous pouvez dire “Amen” à chaque parole – même quand celle-ci s’oppose à votre credo, ou à votre dénomination – et que vous vouliez faire comme Moïse et les autres (qui ne pouvaient pas faire cela avant d’avoir obtenu cet absolu)... Si vous voulez cela dans votre vie ce matin, voudriez-vous le faire savoir, en levant vos mains vers Dieu? Que Dieu vous bénisse! Très bien. Partout dans le bâtiment.

390 Père bienveillant, je sais qu’un jour nous devons nous séparer. Il doit donc y avoir un temps où nous allons quitter ce monde. Nous ne savons pas quand ce temps viendra – et cela ne change pas grand-chose. Si notre temps est terminé, alors nous voulons venir. Notre objectif, en restant ici, c’est de Te servir.

391 Et depuis que nous nous sommes trouvés un jour sur le chemin qui conduit à la destruction, comme Paul sur le chemin de Damas pour aller faire des ravages dans l’Église, et qui fut aveuglé par une Lumière... Et, oh, Dieu, cette Lumière l’a suivi, car c’était Christ. Et il s’est ancré là à un absolu, si bien qu’ensuite il pouvait même rire en face de la mort, et dire : “Grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par Jésus-Christ.”

392 Tu es devenu un absolu total pour cet apôtre. Il était... Tu étais, pour lui, l’Amen à chaque phrase. Tu étais l’Étoile de sa vie, le poteau indicateur. Tu étais la Boussole qui le guidait à travers la tempête. Tu étais la Révélation; Tu étais la Vision; Tu étais ses Espoirs, son Salut. Et, même à l’heure de la mort, quand il savait qu’il allait passer par là, Tu étais toujours son absolu.

393 Tu étais l’absolu de Daniel. Tu étais l’absolu de tous les prophètes. Au milieu des différences dénominationnelles, et des difficultés de leur temps, et des Pharisiens et des Sadducéens, il y avait néanmoins des hommes qui T’ont pris comme absolu.

394 Et, aujourd’hui, Seigneur, il y a des hommes et des femmes qui ont de la compassion, de l’amour, et des coeurs qui saignent, Seigneur, dans l’attente d’une véritable expérience, les amenant à connaître Dieu et à avoir l’assurance d’un absolu. Peut-être, Seigneur, que tout ce que les gens ont connu jusqu’à maintenant, c’était de devenir membres de l’église. Et nous réalisons, comme j’ai essayé de le leur dire sincèrement (pas pour être différent; Tu connais mon coeur) que l’on ne peut pas se joindre à l’Église, on peut devenir membre d’une loge, de la loge méthodiste, baptiste, catholique et pentecôtiste. Mais vous naissez dans l’Église, le Corps mystique de Christ, et vous devenez membres de Son Corps, avec les dons de l’Esprit, pour faire que Son grand Corps passe à l’action avec puissance.

395 Ô Dieu, c’est ce que ces mains signifiaient ce matin, quand elles se sont levées. “Place-moi, ô Seigneur, prends-moi, façonne-moi, forme-moi; fais que ma position dans la vie soit un tel absolu, attaché à Christ, que je ne penserai à rien d’autre qu’à cet absolu.” Accorde-le, Seigneur. Bénis-les. Guéris les malades et les affligés. Sauve les perdus.

396 Maintenant, Seigneur, nous savons que c’est une habitude d’appeler les gens à l’autel, mais c’est devenu une tradition pour nous. Et, ce matin, avec l’autel rempli, et les petits enfants, et tous... Mais, Seigneur, d’une manière ou d’une autre, Tu leur as parlé; ils ont levé la main. Ils ont pris, en quelque sorte, une décision. Ils le veulent; ils veulent quelque chose de réel. Et j’offre ma prière en leur faveur. Accorde-le à chacun, Seigneur.
Sois avec nous maintenant, pardonnant notre péché, guérissant nos maladies, et nous donnant la délivrance dont nous avons besoin.

397 Et, Seigneur, par-dessus tout, puissions-nous ne jamais oublier aujourd’hui que nous sommes attachés à l’absolu, notre Étoile Polaire, au Calvaire, à Christ; et le Saint-Esprit prend les paroles de Dieu et les manifeste littéralement pour nous, en guérissant les malades, en nous donnant des visions, en ressuscitant les morts, et en faisant exactement ce qu’Il a promis de faire.

398 Et puisse cette église et ces gens, faisant partie de la portion du Corps de Christ qui est assemblée ici ce matin, puissent-ils vivre comme Jésus l’a dit : “Vous êtes le sel de la terre.” Et puissent-ils devenir si salés que les gens de leur commune seront assoiffés. Le sel engendre la soif, et le sel conserve, pour autant qu’il soit en contact. Et je Te prie, ô Dieu, d’accorder ceci aux gens, afin qu’ils puissent être aussi des gagneurs d’âmes.

399 Bénis notre pasteur, Frère Neville, cet humble serviteur, se tenant bien respectueusement à son poste, en tant que membre du Corps de Christ, essayant de son mieux de suivre tout ce que Tu lui dis de faire.

400 Bénis les administrateurs, ces hommes qui se sont tenus à mes côtés avec tellement de bienveillance, dans ce temps sombre mais important que j’ai traversé.

401 Reste avec l’église, qui a prié avec moi et s’est tenue à mes côtés dans les temps difficiles. Seigneur, je les aime, et j’offre ma prière afin qu’ils puissent regarder vers Toi, Seigneur. Puissent-ils détourner les regards de l’argile formant ce serviteur mortel; puissent-ils regarder vers Lui, Qui est l’Omnipotent, Qui est... Et nous savons, Seigneur, que nous sommes limités. Peu importe qui nous sommes, nous sommes toujours des mortels. Mais il ne s’agit pas du messager, mais du Message. Accorde-le, Seigneur. C’est sur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que nous voulons attirer l’attention. Accorde qu’Il soit si réel pour chacun ici, même pour les petits enfants, qu’Il deviendra l’absolu de la congrégation entière. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.

402 Maintenant, tandis que nous le chantons de nouveau, serrez la main avec quelqu’un devant vous, derrière vous, à côté de vous; serrez-vous tous la main maintenant. Restez simplement assis; mais retournez-vous, et serrez la main de quelqu’un si vous le pouvez. Voyez-vous? Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire. Ils viennent d’annoncer la communion, pour lundi soir à minuit.

403 Levons maintenant nos mains, et chantons pour Lui. Combien sentent qu’Il est votre absolu? La Parole – Il est la Parole. Le croyez-vous? Il est la Parole. Et le Saint-Esprit a fécondé cette Parole, pour faire que cette Lumière de la Parole vive en vous : la confirmation de la Parole. Placez la Parole dans votre coeur; laissez le Saint-Esprit entrer, et observez la Parole agir. Croyez, soyez humble. Ne désirez pas être quelqu’un de grand; soyez un rien du tout, que Dieu puisse faire de vous un quelqu’un. Voyez-vous? Très bien. Faites cela maintenant.

404 Que tous ceux qui L’aiment disent “Amen!” [L’assemblée répond : “Amen!”–N.D.É.] Vous savez ce que signifie le mot amen? “Ainsi soit-il.” Amen! C’est juste.

405 Disons “Alléluia!” [L’assemblée répond : “Alléluia!”–N.D.É.] Vous savez ce que cela signifie? “Louez notre Dieu!”

406 Quand j’étais en Allemagne, il n’y a pas longtemps, je me suis tenu devant trente ou quarante mille personnes ce jour-là, et j’ai dit : “C’est étrange que vous, les Allemands, vous ne puissiez pas comprendre.” J’ai dit : “Comme j’étais en route pour venir ici aujourd’hui, un chien a aboyé après moi en anglais. C’est juste.” J’ai dit : “Cela ne lui était pas du tout difficile. Et là se trouvait un oiseau, et il a chanté pour moi en anglais. J’ai suivi la rue et, en arrivant ici par l’arrière, il y avait une maman qui tenait son petit bébé dans les bras.” Et j’ai dit : “Ce bébé pleurait en anglais. Que se passe-t-il donc avec vous?” C’est juste. Oh, si vous regardiez simplement autour de vous, Il est partout, n’est-ce pas? Certainement.

407 Maintenant, levons simplement nos mains, fermons les yeux et chantons, tandis que nous demandons au pasteur de s’avancer pour terminer la réunion. Levons-nous premièrement. Chacun debout sur ses pieds, chacun.

408 L’aimez-vous? Dites de nouveau “Amen!” [L’assemblée répond : “Amen!”–N.D.É.]

409 Et, savez-vous que le mot Alléluia est le même dans tous les dialectes? Allez dans les jungles des Hottentots en Afrique, Alléluia est le même mot. Alléluia! Cela devrait être presque une manière chrétienne de se saluer, ne le pensez-vous pas? Alléluia! Le mot signifie “louez notre Dieu”. Et Il en est digne, n’est-ce pas? Il est absolument mon Sauveur; Il est absolument, pour moi, Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Il est absolument, pour moi, le même hier, aujourd’hui et pour toujours. L’est-Il pour vous? Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’a aimé le premier
Et a acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.

1-1 So happy to be here this morning and to hear this exhortation, just as coming to the--the platform. Sorry to be late, but the sick in the back out there, and cars, ambulance like, and--and I had to catch those that couldn't get in (You see?), before I could get in.

1-2 Now, I wonder if the sister that's got the--the little fellow, if she can't come back this afternoon. I want to preach this evening also, if the Lord willing. If she can't come back for the dedication then (while I've been standing so long this time), well, tell her to--she can bring the baby on now. But if she can come back the--this--tonight, it'll be a little better for us. But let... Whatever she can do; whatever it means. Why, if she can't come back, we'll bring the little fellow now for the dedication. And now, all these... While I'm speaking, if she wants to come now and--this would be the time...

1-3 Now, tonight there is a very special; I--I want to speak on the subject tonight, a prophetic message of "Sir, Is This the Time?" So if the Lord willing, I want to speak on that subject tonight: "Is This the Time, Sir?" or "Sir, Is This the Time?" rather. And then, I want to take this opportunity in the presence of the church, which... There's been many things happened in the last few days that points up to a great something that I do not understand. But we are--we're always... God's ways are past finding out by man, so we just have to walk by faith. If anyone could explain God, then it would no more be necessary to have faith, because you--you know then. But we just walk by faith.
And this morning I thought I would try to just have a regular evangelistic service, because... Kind of changed my thought after I got down here and seen so many standing and been waiting so long. And then, tonight, maybe be less here, and then I can go ahead with this, what I want to say.

1-5 One thing I'd like to announce, while many of them are together--many of you together; it's something that I've... I'll refrain from announcing for the last couple weeks; that is, your prayers has been answered concerning the tax case that I had with the government. It's settled. And so we are... It's--it's all over now. As many of you understand, what they had against me was those checks that had been made out for the campaign. And yet, they tried to say they were mine out there, and wanted to charge me three-hundred and fifty something thousand dollars for being my personal property. And it wasn't; it was the campaign's. And the church knows about that; all of you know about it.

2-1 And finally, they've come to the place that... I'll just give you a little outline of what happened. They been almost three to five years about--nearly five years, I guess, in the case; and back and forth, and character, and everything. But I'm so grateful that they couldn't find anything against me, so they couldn't indict me for it. So they wasn't nothing to be indicted, only they said, just my--my ignorance myself, I guess. But not knowing much about law, they'd bring me the checks; and I'd sign them--put my name on them, place them in the campaign. But then, as long as I put my name on them, they were mine. You see? No matter... Said, "That's very nice for you to..." like that, "but they were yours, and then you give them to the church. But as soon as you put your name on it, it was yours; no matter what they was designated for, they were wrote to you." So, and if they'd been put on... Somebody had put across there "personal gift," it would've been all right; but they just wrote William Branham (See?); and when I put my name on it, it--that done it; it was all of it. So they was... And then finally with prayer...

2-2 And then not long ago, you know, they... I had the vision that a great, dark, smoky, sooty, scaly--like an alligator--man come moving towards me with iron fingers. I had one little knife, like that, and he had on him United States Government. And I couldn't help nothing; I was helpless; and then the Lord came on the scene, and it was conquered. And you remember me telling you that long ago.
And they offered a compromise the other day. And my attorney, Mr. Orbison in New Albany, and, Ice and Miller in Indianapolis, on the tax case called me and told me, "Come down." And I went down, Brother Roberson, and I, and my wife, and the trustees of the church here, and all of us; we went down, and they told us that they were--the government was willing to compromise.

3-1 And I said, "I, if I owe anybody anything, I'll pay them. But I--I do my best." But I said, "I don't owe that." And so I said, "I--I... it's... Honestly, God knows. And why don't they indict me then if I'm guilty?" I said, "They've had five years to try to do it, but they couldn't find nothing to do it with." So I said, "No, I--I just won't pay it until it's proved that I owe it."
And then, the attorney took me in, and talked to me, and said, "Now, we can try the case. Government will try it." And said, "When they do, the only thing they can find against you was that you..."

3-3 What I--what... The way I done it; I didn't just... I don't know nothing about keeping books, so I just had to do it the way I thought was honest. And it was--it was never banked in my name; it was always banked in the name of the church--campaign, and so forth. See? So it wasn't nothing that I could do about it.
And I... He said, "Well, they are willing to compromise for fifteen thousand dollars, with ten thousand dollars penalty"; and the attorney's fees was fifteen thousand. That made me forty thousand. And so then, they want five more, I think it is now. So I went... I said, "Where in the world would I ever get forty thousand dollars?" And I said, "You know my bank account here; it says about a hundred dollars, and maybe less." I said, "Where would I get forty something thousand dollars?" And I said, "I have nothing for collateral; I just haven't got it. That's all."

3-5 And he said, "Mr. Branham," he said, "here's what it is: If we try the case," he said, "there's no doubt but what we can beat the case." He said, "But here's by... the... We can beat it, because here's what I'll do. They're going to claim all that's yours, because you signed your name to it. And they're going to claim it's yours, though it was banked in the name of the campaign--church--Branham Campaign, and then a church..."
And not one time could they find one cent that I ever spent on myself. That's the truth; God knows. There's men setting right here now, been right with me all along. There wasn't one cent that I ever spent for myself. It was all for the Kingdom of God, everywhere, every check, everything else.

4-1 But see that? But that don't matter. It was... I... It was supposed to be mine first and then the church's--the campaign's. And they have a way of doing it, you know, all kind of escapes they can make. So then I said, "Well, I'm--I just won't do it."
And he said, "Well, if we beat the case that way, because I'll--I'll declare them personal gifts. See? I'll declare it, by the government, personal gifts." And said, "Then when I do that, all over ten thousand dollars will be inheritance; and then you'll be right back in it again; and they'll hold you another five years checking all them."

4-3 See, when you write a check, it goes through the clearing house; they photostat, copy of that check. 'Course I had all the checks too, that'd went through.
So they said, "That's where they get you right back again." And he said, "Another thing, Mr. Branham, if you ever are called in to the government like that, under an investigation, no matter what you ever do, in the eyes of the public you're a crook." See? But that's all.

4-5 Look at this little Baptist minister down here in Mississippi. That little fellow... A woman said that he come in and insulted her. And that man brought evidence from across the country and everywhere. He wasn't even around the city for days before the day, or day after, insomuch that the judge wanted to turn back and have him to sue the woman for scandal. He said, "Let her go."
And when that was put on a monitor test across the country, you know what happened? Seventy-five per cent of the American people said, "Where there is smoke, there's fire." And that poor little fellow, just as innocent as I'd be, or anybody else, will labor under that the rest of his days, when he had nothing at all to do with it.

4-7 I felt very bad for a while, to think that I put my life to the Kingdom of God to try to make peop--people pay your taxes, and do things, and do what's right, and make crooks become right men; and have to be put up like I was a crook myself.
I thought, "What in the world have I did?" And then it came to me, and I looked in the Bible. Every man in the Bible, no exceptions, that ever had a spiritual office; if Satan couldn't get them on morals or something, the government caught them. Go right back to anywhere you want to, all the way down... Moses, Daniel, Hebrew children, John the Baptist, Jesus Christ died by the government, capital punishment, Paul, Peter, James the Great, James the Less. Every one of them died under the government, because it is... Every government is the sait--seat of Satan. Jesus said so; the Bible says it. See?

5-1 Every government is controlled by the devil. There's coming a government who will be controlled by Christ; but that's in the millennium. But this--these governments now, no matter how well we think they are, yet the back of them they're--they're dominated by Satan. "These kingdoms," he said, "are mine; I do with them whatever I wish to. I'll give them to You, if You'll worship me."
Jesus said, "Get thee hence, Satan. Thou shalt worship the Lord, and Him only shalt thou serve."

5-3 And then I got discouraged (My wife's listening to me.); I went home and I said, "No, sir. I... If I owed it, I'd pay it. I do not owe it, and I'm just not going to pay it. That's all." I said, "How can I pay it anyhow?"
So I went home and I said, "Meda, wash the kid's face, get their clothes ready; I'm leaving." I said, "They won't even... Everything, it's just upside-down." I said, "What have I done? Tell me." And I said, "Yet, me forty thousand dollars? Whew. You don't realize what that means to me." And she come in as a nice little wife would, I said, "I'm leaving."
She said, "You think that would do any good? Prayed over it yet?"

5-5 I thought, "Well, maybe I better pray again." I goes back in, and seemed like He said to me a Scripture. Always we want to watch the Scripture, what God did about it. You see?
And one day it was asked to Him, you know, trying to--trying to accuse Him to the government; they said, "Is it right for us free Jews to give tribute or taxes to Caesar?"
He said, "You got a penny?" Said, "Whose inscription's on it?"
Said, "Caesar's."
Said, "Then you give Caesar's the things that's Caesar's, and to God's the things that's God's."

6-1 And I thought of that; I've turned over in the Bible and read it. I thought, "Truly, Lord, that's right. But this don't belong to Caesar; this was Yours; it--it wasn't Caesar's. If it'd been mine, and I'd been--had to pay more taxes or something, well that'd been different. That... It belonged to Caesar, but this--this is Yours. (See?) And it--it didn't belong to Caesar in the first place."
You know, He's always got the answer in the Word. I just read a little farther, and He said, "Say, Simon, haven't--haven't you got a fishhook in your pocket?" See? "You always carry a little fishhook and a string. And I just made a deposit this morning in a fish bank down there at the--at the river, you know." Said, "He... I made a deposit. And the banker will certainly give up what he's got. Just go down there and throw the hook in the river; and when you get up to the bank, open his mouth (You see?), and he'll--he'll give out the coin. Let's not offend them. Don't bring offense to them. (See?) Go pay it, Simon; that'll be for Me and you."
I thought, "True, God, You've got fish banks and everything else across the country. I don't know how it'd be done."

6-4 But we went down; I got the brothers right here in the church, that's stood on my note. And I put a note in, and got the forty thousand dollars, and paid it off. I went home. I wanted to know the way I wrote that check if they'd ever come back on me again. I said, "This is to say that I'm free from all taxes." Whoever endorse that one, they sure going to be in a mess after that.
I kept calling back the bank to see if they'd do it, and finally Bob told me; he said, "Billy they did it."
And I went in and put my arm around the wife; I said, "Honey, I'm free."
What a feeling to be free. And so I can pay it back now, they made it real easy on me. I can pay it back at four thousand dollars a year. Now, I--I can't loaf anymore, folks; I got to get out and go to work. So I--I got... It take me ten years to pay it back and if--if the--Jesus doesn't come. And when that--when He does, all the debts are settled then anyhow. You see? And so then a... So I hope that you all, I... Your prayers... And tonight, I'll continue on with something just a little to that. But your prayers is what helped me. Thank you so much. God bless you. No matter where we ever at, I'll never forget that.

7-1 Tonight, if the Lord willing, I wish to state some of the facts that I know. And be sure to come. Now remember, "Sirs, What Time Is It?"
Now, we're going to... I believe they got a full schedule for the rest of the--this week. And Monday night is the--services today, and tonight, and Monday. Monday night is the watch service. And--and then, that gives you Tuesday, New Year's day, if you're out of town, can go back home. And we'll have some fine ministers here now for that meeting... we... A great group of fine speakers. And everybody will be speaking at intervals down on till midnight; and sometimes they take Communion, if it's in line. I don't know whether they are this time or not. Right as... Where they're whooping and hollering, and shooting, and drinking, and going on, we take the Communion (Amen.), start the New Year's right with a Communion.

7-3 Now, you're all invited. And I hope that you... God of the heavens will give you an opportunity to stay over if you can.
Now, before we approach the Word, I want to say this too, that I certainly thank this church, its members, for this fine suit of clothes that you bought me. Thank you very much. That's so much to me: all your cards and things through the--the--the Christmas seasons, and gifts that you sent to the family; and oh, I... They were innumerable to me, and little spots that cannot touch the spot in my heart. Nothing could do it like that, to know that it come from you.
And so, some of them sent me some of their Christmas gifts in money, and some of them sent... Such as, one brother sent me a pocketbook and a--that he'd had made with my name on it; and a little pin that you look through, and it's got the Lord's Prayer in it; and oh, things like that. It just... We just treasure. Wife and I, and the children want to tell you thanks so much.
It's so little, but I'll say this; this is the greatest word I think that anyone could say: "God bless you." There's nothing could be any greater.

7-6 Now, and to these brethren here at the church who bought me that rifle; I--I wore my suit, but I--I couldn't bring the rifle to church. But it was... They really would have something against me then, wouldn't they? So I--I--I certainly thank you, my brethren. And I was going to read their names on a little... But one of the brethren was up yesterday; said, "Oh, don't... don't--don't thank me, Brother Branham; it would just take all the joy out of it." See?
So I thought, "Maybe the rest of them might think the same thing." But I got your name; they typed it out. I'll always remember it, and the Lord bless you greatly.
And you know what I relax at, and just go in that den room, and set there, and live all over. When I get so wound up I can't go no farther, then think about some hunting trip I took somewhere, or somewhere went fishing. I appreciate that. God bless you.

8-3 Now, can we bow our heads just a moment as we approach the Word... I'm sure there's requests in here this morning too numerable to numerate just now, so I wonder, while we have our heads bowed, your special request, if you'd just keep it on your heart, and just raise up your hands, and say, "God, you know what I'm thinking of now."

8-4 Lord Jesus, You see every hand; and You know what's behind that. Down beneath that hand lays a request. And we are coming now, reverently up to the throne of the living God, that great white pearl that stretches across the space of time, where Jehovah God sets in there, and the Blood of Christ laying upon the altar. And we speak across that Blood by Him that said, "Ask the Father anything in My Name; it'll be granted." Won't You hear, God, this morning and answer their requests? I lay my prayer with theirs today that You'll grant it.
Here are handkerchiefs laying here, Lord, that sick and afflicted... And we're taught in the Bible that they took from St. Paul handkerchiefs and aprons; and they were placed upon the sick, and unclean spirits went out of them, and diseases departed. And Father, as we have known for a long time, and we surely know, that we're not St. Paul; but after all, we feel that it wasn't St. Paul; it was the Christ that was in him. And You are the same yesterday, today, and forever according to the Scriptures.

8-6 Now, these people, Lord, believe that if we ask God, and take these handkerchiefs, and lay them upon their sick, that they shall recover. I pray that it'll be so, Lord. When these handkerchiefs are placed upon the sick... As it is said, one time Israel was starting in the line of duty, going to the promised land, and the Red Sea cut them off right in the path of duty; but God looked down through that Pillar of Fire with angry eyes; and that sea got scared, and it rolled back its waves--its waters; and Israel went through on dry land to the promised land.
Now, Lord, today look through the Blood of Jesus. And You see this act of faith that we're performing here this morning; and may Satan get scared and move away. And may each one of these pilgrims that's present, and each one that these handkerchiefs will lay upon, may they--the road be opened up and sickness moved away; and may they journey on towards the promised land, being led by the Holy Spirit--the Pillar of Fire. Grant it, Lord.
Now, bless the services, the words, the context, the reading; and may the Holy Spirit take the Word this morning and sweetly divide It to each one of us, Lord, as we're growing close to some great, tremendous something, that we know not what. Our hearts are moved strangely, Lord, and we pray now as we reverently approach Thee and Thy Word that You'll interpret to us the meaning thereof. For we ask it in Jesus' Name. Amen.

9-3 Now, tonight, don't forget the--the "Time, What Time Is It?" And now, this morning I wish to turn you to (that have your Bibles or mark it, if you care to) in the Scriptures, where we want to speak from for a few moments, found in the Book of Acts. We might read two or three places: Acts 26:15 first, Acts the 25th chapter and the 15th verse, to begin. Then we want to read Acts 23:11; and you might add with this if you wish to, I probably won't have time to read it, Philippians 1:20. It's all about the same course, the same words.

9-5 Now, in the Book of Acts 26:15, we--reads like this:
And I said, Who art thou, Lord? And he said, I'm Jesus whom thou persecutest.
Arise, and stand upon thy feet: for I have appeared unto thee for this purpose, to make thee a minister and a witness both of these things which thou hast seen, and of those things in the which I will appear unto thee;
Delivering thee from the people, and from the Gentiles, whom now I send thee,
To open their eyes, and to turn them from darkness to light, and from the power of Satan unto God, that they may receive forgiveness of sins, and inheritance among them which are sanctified by faith that is in me.
Whereupon, O Agrippa, I was not disobedient to the heavenly vision:
But shewed first unto them at Damascus, and at Jerusalem, and throughout all the coast of Judaea, and them... then to the Gentiles, that they should repent and turn to God, and do works meet for repentance.
In Acts 23 and the 11th verse again:
And the night following the Lord stood by him, and said, Be of a good cheer, Paul: for thou hast testified of me in Jerusalem, so must thou bear witness also at Rome.
May God add His holy blessings to the reading of this most gracious, Holy Word that we have before us.

10-2 Now, I was hearing a man speak--or taught not long ago, and he used the word "absolute." And I thought, "That's a very fine word; I hear it used so many times: Absolutely." That's...
I looked up in the dictionary--Webster's. According to Webster's, it's "perfect in itself; unlimited in its power; primarily, an ultimate." And an ultimate is the "amen"; that's all. A "absolute," it is--it's "the unlimited in power," the word "absolute." It's--it's perfect in itself. That's all of it; that settles it. And I thought, "That's a glorious thing; that's a wonderful word."
And now, a "word" is "a thought expressed." First, it must be a thought, and then it becomes a word; because you do not speak your words without thought.

10-5 When we speak in tongues, we have no thought; it's God taking the thoughts; it's God's thought using our lips. We don't think or know what you're saying when you're speaking in tongues, if it's inspired speaking. When you interpret, you do not know what you're saying; you just say it; that's all. See? That's God. And prophesying, you're not using your own thoughts; it's God, 'cause you say things that you ordinarily wouldn't think about saying. See?

11-1 But the word "absolute" is an ultimate; and therefore, I think that everybody should have an ultimate. And every great achievement that's ever been achieved, there has been an absolute behind it. No matter what it was, it's had an absolute behind it. And every person in order to achieve something has to first have the absolute. And that's the final wind back through this, that, back through the other, till you come to that absolute, or the "amen," or the ultimate of what you're... You got something you have to tie to, in other words. It's the final tying post to every achievement. It's somewhere; it might wind through many different things till it gets to that tie post; but there is the "amen" to all of it. There must be such a thing. You cannot go on through life without having one.

11-2 You... When you got married, there had to wind back through your mind something, till you hit that tie post. And it should have been love for your wife or your husband. Well, maybe she isn't as pretty as John's wife; or she, well... She's not the--this, that, but there's something about her that you--it strikes you. You--you--you say, "She might not be as pretty as the other," or, "he might not be as handsome as the other"; but there has to be a absolute there that that person's different. And there's where you hold on to. And if that isn't there, you better not get married: that tie post, that absolute.

11-3 We can think of many who had absolutes in the Bible. Oh, how we could take down through the stream of that Bible, and just be here two weeks from now, and never even touch the surface, if we'd think of the absolutes in the Bible. For instance, let me just call one or two, just brief them.
Look at Job. Now, he had an absolute. Everything went wrong for that man--a just man. Now, we would be daresn't to say that he wasn't just, because God said he was. There was no one on earth like Job. He was perfect in the sight of God; and he knew it, because he had an ultimate; he had an absolute.

12-1 When everything seemed to be contrary, sickness broke out, his friends might've said, "Now, there you are, Job, that proves that you are sinning; you're wrong." And then, the bishops come down. They called them Job's comforters. And instead of comforting him, they seen nothing but sin in his life; because God had dealt with him the way He had.
And his children was killed; his--his property was burned; his--his... Everything went wrong. And even his own life in jeopardy, setting on a ash heap, broke out from the crown of his head to the soles of his feet with boils. And even his lovely, sweet companion, the mother of those children, said, "You should curse God and die the death." But in the face of all that Job had an absolute.

12-3 Oh, in time of sickness if we could only tie ourself to that absolute. Job knowed that he had done Jehovah's bidding, and he had faith in what he'd done, because Jehovah required it. If we can just do that... Jehovah required a burnt offering for his sin. And Job, not only for himself, but for his children, had made a burnt offering, and that's all God required.
Oh, you might say, "I wish that's all He required today."
It's less than that: just faith in His Word. And you--if you make His Word your Absolute, you can... Any Divine promise in the Bible, you can tie your soul to it. No matter how much the waves whip you around, you're still tied: your Absolute.

12-6 And he held on to It. And when his comforters said, "You've sinned," he knowed he had not. He was just, because he'd done Jehovah's bidding. And when he's... every... The man come in and said, "Your children's dead"; another one come in and said, "Your camels are all burned up, and there come fire down from heaven."
Look what an argument his discomforters had, "You see? The fire came from heaven. Now, Job, that proves..."
"It proves nothing."
"Now, He wouldn't have struck your children, Job; you're a just man."
But Job said, "I know that I've done what's right." He still held on; he had something that he could drive down. That's it. He had accepted it; he'd had done exactly what God told him to do; and he was absolutely sure. All right.

13-1 Then when he come to the spot when that absolute held, then finally he begin to feel the string tighten up that'd been running loose, bouncing around. But it begin to tighten up, and the Spirit come on him; and he stood up, being a prophet, and he said, "I know my Redeemer liveth." Amen. See? He'd tightened up to his absolute; he'd come in contact. He'd knowed that he'd done what was right, and someday he had to pull to It. "I know my Redeemer liveth, and at the last days He stands upon this earth. Though after the skin worms destroys this body, yet in my flesh shall I see God." He knew then; then his absolute anchored.

13-2 Abraham, an absolute, coming down from Babylon, from the tower and the--out into the Shinar, and out in there where he was sojourning with his father, and perhaps was a farmer. But one day, way back in the jungles somewhere maybe picking berries, or--or going to kill a beast for his meat, and somewhere back in there, God spoke to him when he was seventy-five years old.
And he was--he and his wife, Sarah, her being sixty-five was childish--childless. They didn't have any children. Then God told him, "You're going to have a child by Sarah. But in order to do this, you've got to separate yourself."

13-4 God's promises are always on condition. You must absolutely... No matter how fundamental you are with the promise, it's under conditions always. How we could stop here and wave through that Scripture back and forth for hours (See?), that the condition is what means something. You can be just as fundamental as you want to, but it's under conditions by the promise, predestination, and so forth.

13-5 Notice. Now Abraham, he believed God, and it was imputed unto him for righteousness. Now, what a horrible thing it would be to meet a civilized world, a man seventy-five years old with a woman sixty-five, and had lived together since they were young couples, 'cause she was his half sister. And now, going to have a baby by her. But he had an Absolute. There was nothing going to move him.
And when the first month, it didn't happen, his Absolute held, because he knowed he had talked to God. The second month, second year, ten year; and at twenty-five years later, when he was a hundred and Sarah was ninety, his Absolute still held.

14-1 And the Bible said, when his obituary was written, he said, "Abraham staggered not at the promise of God through unbelief, but was strong, giving praise to God." Why? Did you ever think why? He was absolute, positive, and the only thing he had to do was separate himself from his people. And God never did bless him until he did it. He took his daddy; the daddy died. He took Lot; and when... After Lot separated from Abraham, then God come to him, said, "Now, walk through the land." Obedience, promise under conditions, always goes with God and His Word.

14-2 Now, look at... Let's take Moses. Moses, the--the runaway servant-prophet that God had raised him up and educated him in Pharaoh's palace, and--and Moses went out with his theological training and was... The first man, he slew. Then the first little defect come along, then Moses was scared to death. Why? He had no absolute; he only had his--his mother's testimony of his birth.
He was a strange child; he had his mother's word about it. He had the scrolls that God had (perhaps in paper somewhere they had written, packed along with them), that God was going to visit His children. He knowed that that was the time, like we do now. We know something's fixing to happen.

14-4 Now, Moses knowed that was the time, and he knowed that he was chosen for it; but he didn't have an absolute. See? And one day on the back side of the desert, when he'd lost the vision, God appeared to him in a burning bush and said, "Moses, I have seen the afflictions of My people; I've heard their groans and crying of those taskmasters punishing them; and I have remembered My promise. I've come down to deliver them; now, go down to Egypt." Oh, my.
Said... Moses complaining, said, "I don't speak very well; my--my deliverance is not very well; they won't believe me."
He said, "What's in your hand?"
He said, "A stick."
He said, "Throw it down." It turned to a serpent. Said, "Pick it up by the tail." It turned back again to a stick. He was giving him the assurance, a vindication. When God gives an absolute, He gives a vindication to that absolute always.

14-7 Then Moses, when he was down there, and he threw down his stick before the magicians and Pharaoh, and the magicians come and threw down their stick too, Moses never run and said, "Oh well, I was wrong, I... Was just a cheap magician trick and maybe I was wrong." But he knowed; he was positive that he met God; and he stood still. Let's say he'd done exactly what God told him to do; so had Job done exactly what God told him to do; Moses had followed His commandments. Then stand still and watch the glory of God.
Moses was tied to his absolute, his commission, and he stood still. And when he did, his serpent swallowed up the rest of the serpents. See? He was tied to that absolute. God said, "When you deliver them children, you'll worship Me again on this mountain."

15-2 And how the enemy in every way that he can will try to get you away from that absolute. Right as they started out of Egypt, they got cornered right in the neck of the--of the Red Sea: mountains on either side. Come up through a valley and there's the Red Sea. No way to escape over the hills, no way to escape this way, and Pharaoh's army coming this way. What a place to stand. See how the devil gets you in a place where you don't know what to do? But remember, if you're tied to that absolute, that's got it. Moses knowed that God promised him that "You'll worship on this mountain when you bring them out. And I'll come down by your hand to deliver them and place them over in that other land." He stayed right with it. And God sent a east wind and blowed out the waters out of the bottom of the sea, and they walked across on dry land: an absolute.

15-3 How we could go through the Scriptures: Daniel, his absolute; Shadrach, Meshach, and Abednego, their absolute; David, his absolute. All absolute...
Paul had one too, the one we are reading about. He had a Christ-centered call, and that was his absolute. That's the reason he wasn't afraid of what Agrippa would say. Standing there... And Agrippa was a Jew, as we know. And so when--when he's standing before these kings and things, God had already told him he'd stand there. So he had an absolute. So he told exactly the heavenly vision. He said, "I'm not a--I wasn't dishonorable to it. I was--did not misjudge it; I didn't misbehave myself." But he held to, and was not disobedient; he carried it out to the minute, for it was an absolute. And any Christ-centered life, that's your absolute.

16-1 Now, since meeting Him face to face on the road to Damascus, that was--meant so much to Paul. Now remember, he was a scholar beforehand; he was a mighty man in the Scriptures, but he didn't have any tie post but the Sanhedrin that would back him up, and a--and a diploma from a great teacher. He was a great man in his field, but he was waving. Only thing he had, his absolute would only be as strong as his organization was; that's all the stronger it could be. And he was working faithful to that, and was taking Christians, and binding them, and making havoc of them, and even stoned Stephen.

16-2 I think later in his life, the reason he went to Jerusalem, when the prophet told him, "Don't go up there, Paul, for chains and prison waits for you."...
And Paul said, "I know it; but I'm not only going to Jerusalem as a witness, but I'm going there; I'm ready to die for Jesus Christ," for he knew what he had done, and his ambition was to seal his testimony with his own blood, die a martyr, because he killed one of God's martyrs.
And now, he was on his road down to Damascus with all of his education: set under that great teacher, Gamaliel, and how that he had been taught in all the Jewish religion. And yet with all that, he was flimsy, and he--he did not have the ability to do certain things. And all of a sudden, there was a Light and a roar maybe in a thunder, and he was smitten and fell to the ground. And he--when he looked up, there was a Light shining that blinded his eyes. And what a strange thing that was.

16-5 No one else saw the Light, just Saul. It was so promised--so real to him, until It blinded his eyes; he couldn't see, totally blind with that Pillar of Fire blaze him right in the face. And he heard a Voice saying, "Saul, Saul, why persecutest thou Me?"
He said, "Lord, Who are You?"
He said, "I'm Jesus; and it's hard for you to kick against these pricks. Rise now, and go into Damascus; and there one will be sent to you."
Then when he raised up from there... And there was one, a prophet, down in the city who saw in a vision, while he was praying, and he came. Ananias came and come in to Saul, laid his hands upon him, and he was healed by Divine healing. He rose then, was baptized, washing away his sins, calling upon the Name of the Lord; and then he had a absolute. He was never the same after that. He went straight from church to church, from place to place, trying to build up that which he had tried to tear down.

17-1 How the nation... How the Christian world this morning needs that type of absolute. Those who treat creeds and traditions has tried to--with doctrine of men to disqualify God's Word to being the same yesterday, today, and forever. They need an absolute, an experience of meeting on a Damascus road, the living God Who can heal the sick, and raise the dead, and cast out devils: a genuine absolute.
Paul knew that something happened; there was no one could take it away from him. Nothing else mattered; he was tied, and that was it. No matter what come, he knowed he was tied. Christ-centered life... Oh, the life that he had lived was a different life.

17-3 Now remember, he'd been a religious man. And to some of you peoples this morning... And I know you realize that this tape is being made, will play in every nation under the heavens, about, around the world. And some of you peoples who's here, present; and some of you out where the tapes will be played in the other nations by an interpreter giving it to the tribes of Africa, back in the Hottentots, and--and in--all around; and to you religious leaders who just got an education of the Bible, you've got it from a historical standpoint and may be able to explain all these things; but if you haven't got an absolute, haven't got an experience, and if that experience that--that you claim you have makes you deny that every word of this isn't just as true to the church today as it ever was, and you are trusting upon your Bachelor of Art degree, or whatever you might have; if you're trusting upon the thoughts of your organization that would say, "The days of miracles is past; and we have no Divine healing; and the baptism of the Holy Spirit like they received on the day of Pentecost is not for the people today"; if that's all you've got, my precious brother, sister, you need a Damascus road experience.
You need to meet this living God where you--not only just a mythical thought in your mind, not some shiver, or some kind of a sensation, but a taught and experience of a real genuine...

17-4 The same Jesus that walked in Galilee is a-living today, and alive forevermore; and He's the same yesterday, today, and forever, an absolute, that you don't have to take what anyone said, you know for yourself, not some sensation.
And if the sensation that you've had--and if somebody... It might've been a real Bible sensation. And somebody tried to explain it away from you, saying those things were in some other day, be careful. It is true. Be careful. But there is a way to know. Test it with the Word; That's the Blueprint.
If the house goes up contrary to the blueprint, the contractor will tear it down and rebuild it. But it's got to go to the blueprint.

18-3 No matter what your experience is then; if something in you tells you that that Bible isn't true, that power of God, apostles, prophets, and teachers, and pastors, and the gifts of the Spirit just isn't the same as It was when It flowed through them apostles at Pentecost, there's something wrong with your absolute; it has to tie to a denominational creed, instead to God's Bible, when He said, "Both heavens and earth will pass away, but My Word shall never fail."
Watch what your absolute is. You might be absolutely sure that you're in good fellowship with the pastor; and might be absolutely sure that you're in fellowship with the district presbyter; you might be absolutely sure that you're in fellowship with the bishop, or some other great man in your church; but if you're not--your absolute isn't Jesus Christ... "For upon this rock I'll put My absolute, and the gates of hell shall not prevail against it," spiritual revelation of Who He is and knowing. All right.

18-5 Oh, now, when you become like Paul, have the same absolute that he had... A Christ-centered life is a different life than what you once had; and it might be a very religious life that you live.
Oh, I've heard people say, "Now, they're very religious." That don't have one thing to do with it. I've just seen many religions, very devout, many times more sincere than the Christian people of today profess.

18-7 When a mother can take her little fat, black baby about that long, and throw it into the mouth of a crocodile for the love of her god, I wonder how sincere Christianity is. When a man can afflict himself in such a way, would put in a thousand hooks through his flesh, like that, hanging with balls of water, holding him down like this, and walk through a streak of fire, from here to the end of that tabernacle, back and forth, and it white hot, fanned like that, for the sacrifice of his god, an idol there with ruby eyes in it and so forth, I wonder where Christianity is. Uh-huh. Uh-huh. So don't think sincerity; sincerity is not it. Sincerity's all right if it's placed on the right thing.

19-1 Like a doctor giving medicine, he might give you arsenic, sincerely; and he might give you sulfuric acid, sincerely; you might have your prescription filled wrong, and you might take it in sincerity, but that don't save your life. See? No, sir. You've got to know what you're doing. And anything contrary to God's Word, I don't care what it is, and how long it's been in existence, it's still wrong.

19-2 Peter give them an eternal prescription on the day of Pentecost. He said, "Repent every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost; for this prescription is to you, and to your children, and to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call." That's right. It's an eternal prescription.
Now, some quack druggist could get ahold of that and kill you. See? Certainly. You know, there's so much poison in a prescription to poison the germ; and the--the doctor knows just how much can--your body can stand. If he over-poisoned, it would kill you. And if you haven't got enough of it, then what would it do? Would do you no good to take the medicine. He knows what your body can stand.
Now, and that's the way these prescription of God is. No matter how much somebody else says it must be done this way or that way, don't you believe it. When you follow the Word exactly to the letter, that's it. That's right. Hold on to It.

19-5 Now, we've got the--those who say you must be sprinkled. They got those say you must use the titles of Father, Son, and Holy Ghost; there's no such things in the Bible, no such place anybody was ever baptized in the Bible any other way besides the Name of Jesus Christ. That's a dogma that was added in the Roman Catholic Church and has carried down through traditions. We'll hit that tonight.

20-1 But notice, then amidst of all that, the prescription remains. That's why we got so many sick children, because they're not listening to what the Doctor said. The absolute--when you've tied to That, that's it; That's God's Word; It cannot fail. Christ-centered life, very religious, but it wasn't Christ-centered; so many of us have that today.
And when you get this Christ-centered life, it makes you do things you ordinarily wouldn't do. It makes you act different than ordinarily you would act. I don't mean act silly; I mean act in the Spirit, something that's real, something that's genuine. And when you see somebody acting silly, you know they're only putting on something. They're only trying to impersonate where that genuine thing is.
When you see a bogus dollar, remember there's a good dollar it was made off of. See? When you see a bogus, it's absolutely a off-shadow of something that's real; it's something that--that is genuine it's copied off of.

20-4 Notice, it makes you do things ordinarily you wouldn't do. Oh, it--it is something... You are certain, you are very certain of it when you get this absolute; you're positive of it. You don't take what--somebody else's experience. That's the reason Christianity has become like little kids in the Bible or--and not (Excuse me.)--little kids in school. They try to copy one off the other; and if that guy's wrong, the whole thing's wrong. See? You got the whole bunch of them wrong. Oh, my, don't copy; meet Him yourself.

20-5 A good friend of mine, standing back here, is an old--is a son of a buddy of mine, a lifelong friend, little Jim Poole. Well, his daddy and I were--growed up together in school. And, oh, what a fine fellow. Little Jim and I pray constantly that big Jim will become a Christian, a real believer. And little Jim and I were talking yesterday about where we found God in the woods and seen Him in nature. There's where you find Him, because He's a Creator, and He's in His creation.
And I remember, Jim and I used to go--go--want to go hunting. And when night come, well, we used to go down, take our bicycles, and ride right down this street here (scared to death to pass the graveyard after it got dark), and go down, and get us an ice cream cone.

21-1 And Jim liked to shoot pool. Now, we was just boys, ten, twelve, fourteen years old. And then, Jim liked to set around and read storybooks of hunting and trapping. And I would set around and daydream (See?) about... And now, some of the boys can see me. And I'd see a little bitty shack somewhere, and I used to say, "Boy, that would be a good shack to have in the mountains." And I always dreamed that someday I'd have me a shack in the mountains, a big bunch of hounds, and--and some guns. I always thought, "If I could own a .30-30 some of my time..." Thought, "How in the world would I ever own a little .30-30 rifle?" And the other day, standing, looking on my wall, and seeing there some of the best rifles that can be gotten, I thought, "Amazing Grace." I thought, "I'll train myself to shoot and shoot good. And then, maybe sometime to get--take a trip into the mountains, some good hunter will take me along just to be kind of a ('cause he'd want to protect his life maybe from a charging bear; he wasn't too sure, some rich man)--would take me along, just to go along with him, kind of a bodyguard. Maybe someday I'd get to hunt in Africa as a bodyguard. If I could just train. That's the only thing I can do is train to be a good, steady shot. "Oh," and I thought, "God, think of it, You let me hunt over the world. What a wonderful thing."
And Jim used to set and read the book.
I said, "Jim..."
He said, "I--I--I like to read about it."
I said, "Jim, that's what somebody else done; I want to do it myself; I want the experience." When I come to Christ, I couldn't take somebody else's experience; I wanted it myself.

21-2 I remember when I read Zane Gray's "Lone Star Ranger." I tore up two or three brooms for mama, riding around the house a-galloping, when I was on this hobbyhorse broom. I--I read that story of--of the lone star ranger, and how he brought the justice to the Big Bend.
Then I read Edgar Rice Burroughs' fiction story of "Tarzan and the Apes." Mother had an old fur rug, a sealskin rug or something that Mrs. Wathen had give her from the fire. And it laid on her room. And I--I--I took that rug out... Mama done knowed the wind didn't blow it out. And I took it out, and cut it up, and made me a Tarzan suit; and set up in the tree. I--I lived half my time in a tree out in this Tarzan suit, because I had seen what he done; I wanted to do it too.
But one day, by the grace of God, I got ahold of the real Book, the Bible. My song and story has been: "To be like Jesus; on earth I long to be like Him." I don't want to be a bishop, or a--or some great fellow in the church, some pope, or some priest, I want to be like Jesus.

22-2 An absolute, it makes you different. There's something about it to read His Word and... Something in your heart you long to be like Him. You're certain... It's like...
The absolute to the Christ... The absolute to the Christian is like the--it's--it's like the anchor in the ship. Yes, you--you got to have a absolute. And if Christ is your Absolute, it's like the anchor that when you... The sea is very rough, and the ship is about ready to sink, and you--only one hope you have is cast anchor. And then, if the ship is tossing (See?) if... The anchor will hold the ship. You know, we got a song (I forget the author's name now, but...) "My Anchor Holds."

22-4 Like the little boy, we've many times thought, flying the kite. You couldn't see nothing, but he had the string. And a man passed by and said, "What are you doing, Sonny?"
He said, "I'm flying my kite."
He said, "What you got in your hand?"
He said, "The string."
Said, "Where's the kite?" Said, "I don't see it. Well, how do you know you're flying a kite?"
He said, "I can feel it; it's a-tugging." See? At the end of that string there was an absolute. To his little way, that kite was his absolute, so he could say he was flying a kite; though he couldn't see it, but he had ahold something that had ahold of it. That's the way a man, when he's borned again of the Holy Spirit, he's got ahold of Something that's got an anchor out yonder; and the storms doesn't shake him. He knows he's all right; he's anchored. All right.

22-6 Now, if we are in our little bark, floating across life's solemn main... As the great poet said that:
Life is not an empty dream!
And the soul is dead that slumbers,
And things are not what they seem.
Life is real! And life is earnest!
And its grave is not its goal;
"For dust thou art, to dust returnest,"
Was not spoken of the soul.
Oh, I think that's so pretty. Now, Longfellow wrote that "Psalm Of Life." See?
While sailing over life's solemn main,
For forlorn and shipwrecked brother,
In seeing, shall take heart again. (See?)

23-2 Now, we're embarked, sailing life's solemn main; and Christ, to the ship upon the storms of time... When the storms get heavy and they're pitching about, I'm glad I got a Anchor that holds within the veil yonder, somewhere; even death itself cannot pluck you away from it. You are tied to your Absolute. Christ is our Anchor. What is He? He is the Word.
In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God.
And the Word was made flesh, and dwelt among us...

23-4 Then when we know that our actions is exactly with the Word, we know our teaching is perfect with the Word, adding nothing or taking nothing, just the Word; and we see the same results that others who anchored to the same Word living up in our life, then your anchor holds. The Life of Christ being reproduced in almost an incarnate way through you as it was in Christ, because it was God in Christ reconciling the world to Himself. And you see God in yourself holding that same keel on the Word, just exactly the way Jesus did, and you see His Life...
"The works that I do shall you do also. He that believeth... (Not him that maketh believe, he that thinks he believes, but he that believeth) He that believeth on Me, the works that I do shall he also." Why? He's anchored to the same Rock. What was the Rock? The Word, always. You're anchored there.

23-6 It's your North Star when you're lost at sea. You know, we got a lot of stars, but there's only one true star, and it don't move; that's the North Star, 'cause it sets in the center of the earth. No matter whether you're on the backside, upside, or wherever you're at, that North Star is just the same. It's your North Star.
Now, you see, there's a lot of stars that shift from place to place. But if you're in a--on the sea, why, any seaman knows; or any hunter that roams the woods, knows that your North Star is your--is your place; that's all. Then it's like your--your--your compass. Your compass won't point to Mars, or Jupiter, or somewhere; it'll point to the North Star. Why? That's your absolute.

24-2 Oh, my. Notice, your absolute. Oh, I'm going to say something; I just feel it coming on. Notice. I feel very religious at this time, because this is the assurance. Notice. Your compass can only point to the North Star. That's the only place it can point. If it's a true compass it'll strike the North Star every time. Is that right? Then if you have the Holy Spirit, It can only point to the Word. It'll never point to a denomination; It'll never point to a creed; It'll never point away somewhere; It'll point straight to the Word. I feel like shouting.
Notice, it's--it's something inside of man, pulsating. When you see your Star standing out yonder, Jesus Christ, the Word, and you see the Spirit that's in you won't let It move right or left, that's the only One that can... He come to take the things of God and to show them and manifest them.
And Jesus said, "He'll do just exactly the things that I say. He'll reveal to you things that is to come--show you ahead of time, before it gets here." See? "He'll take the things that are Mine and will show them to you. And then He'll show you things that is to come." John 15.

24-5 We see that He shows the things; and He takes the things that are God's and will show them to you; and He will reveal to you the things that Jesus said. In other words, He'll make plain the thing. (Place that way over in the corner tonight, 'cause that's what we're going to use in a little while.) Making sure, making that positive (See?) then you know if you--your North Star, which is the Word to any Christian... Anything contrary to the Word...
Look. Let me tell you something. Listen to this closely. This is the complete Divine revelation of God, His will, and the coming of Christ; and everything lays right in this Book completed. And if anything draws you off of That, throw that compass away, 'cause it's only a creed; it's only an organi--it's only a paper that you're packing in your pocket, got hanging in your room, framed; it's a creed. Then find the Compass that sets you to the Word. Amen.

25-1 You notice, when this experience hit Paul, he went down in Egypt and Arabia somewhere and studied three years. Glory. Whew. He had to be positive. And when he seen... When the Holy Spirit directed him Word by Word, he could write that Book of Hebrews and show those Jews. Certainly. Why? He was centered; that Compass of the Holy Spirit put him right on the North Star.
Now, if you got something pulling you off of It, you better leave it alone. That's right. It'll point to His Word and only to His Word, because the Holy Spirit came to manifest or vindicate God's promise. There's no creed will do that; no organization will do it; no powers or nothing can do it, only the Holy Spirit by the Word; and He is the Germ.

25-3 Now, you take a grain of wheat, a pretty grain of wheat, but it can no--do nothing; it's dead until the germ comes into it, then it produces many grains of wheat. And Christ is that Life, that Absolute. If the wheat doesn't have that absolute in it, it'll never rise. If that wheat don't have that absolute, may be ever so pretty on the outside, but it cannot live, because there's nothing in it to live by. But when it gets that absolute, it can look in the face of all critics and say, "I'll rise again." Why? Because it's got the absolute; It's in it; it's got to rise again.

25-4 And when it... "If ye abide in Me, and My words abide in you, then ask what ye will." That's that absolute. But if you got creeds and everything else tied up into it... You can't mix oil and water. You can just take and break it any way you want to; it'll never mix, because it's two different chemicals. And you can't make creed and the Bible, contrary to the Bible, mix. You can't make denomination and free-born religion--or free-born salvation mix together, 'cause as sure, God only deals... I'm going to say it anyhow.
God never breaks His program. He cannot break, because He's infinite. And I realize, you know, I--I--it goes before lots of people. See? But God cannot break His program. He cannot do something one day, and change it over and do something, and say He's wrong that day.

26-1 God doesn't deal with groups of men; God deals with an individual, because man has different ideas; he's built up different in nature. And God has to take that man, and mess him around, and pull him around out of his own self, till He gets him in His nature; and then God deals with that person.
Look all down through the ages, Noah, and Moses, the prophets, never two of them at the same time: one, constantly all the way down through the ages. Therefore, if you say, "In the multitude of counsel there's safety." Look at.

26-3 As I preached here not long ago at the tabernacle, there was Ahab and there was Jehoshaphat. And they were going up to Ramoth-Gilead to push back... Fundamentally they were right; the land did belong to them. And the--the enemy, the Syrians up there was filling their children's belly with the wheat that the Israelites should be: God-given property. So fundamentally it seemed good. "Go with me, and go up there, and we'll push them off the land." Well, that sound awful good; fundamentally it was right, but it's conditions.
Jehoshaphat, being a good man, said, "But shouldn't we consult the Lord?"
Of course, Ahab, that backslider, said, "Well, sure," borderline believer, you know. Said, "Oh certainly, I should've thought of that. I've got four hundred Hebrew prophets--four hundred of them I feed, take care of them. They're the best there is in the country. We'll bring them up."
And all of them together with one accord said, "Go on up; the Lord is with you." Fundamentally they were right, but they hadn't caught that absolute.
Then when he said, "Isn't there one more?"
Said, "Yes, there's another one, but I hate him." He said, "He's always telling evil about me (See?), always saying..."

26-7 How could he prophesy good, when the whole Word... Elijah, who had been before him, said to Ahab, "The dogs will lick your blood." Now, how could that a-vindicated prophet say anything that wasn't the will of God? And how that the dogs would eat Jezebel, and the dung would be upon the fields, so they could not say, "Here lays Jezebel." With a curse like that on a man, how could anybody else bless?
That's the way it is today. How can a man bless these things that's taking people further from God all the time? There's only one thing to do. If you have to stand by yourself, curse the thing in the Name of the Lord and stay with it, when you're absolute...
And you say, "Well, Brother Branham, you make people hate you."
God will love me. That's my absolute. Can't rest on an arm of flesh; you got to rest on the Word, what God said do.

27-4 How did Micaiah know he was right? He waited; he had a vision. They had a vision too, but the vision didn't compare with the Word. And today the same thing... Micaiah compared his vision with the Word, and then he seen he and the Word was together. Today if your vision's contrary to the Word, leave it alone, 'cause it's a wrong absolute. Micaiah's absolute was exactly with the Word, so he could stand and say, "He..." what he said, and--and believe it. When they smacked him in the mouth and said, "Which way did the Spirit of God go?" he said, "You'll find out when you set in the inner chamber." Right.
He said, "When I return in peace... You put this man in inner prison, and when I return in peace," said Ahab, "I'll deal with this fellow."
"Oh now, Micaiah, what about it? Your head will be chopped off when he comes back."

27-6 Micaiah stood there just as stern as Stephen did (Amen.), just as willing as my Lord walked to the cross; just as easy as Daniel went into the lions' den; or Shadrach, Meshach, and Abednego went to the furnace. Absolutely. He stood there and said, "If you return at all..." Why? He was absolute. "If you return at all, God never spoke to me. Chop my head off then."
He had an absolute. He knowed that his Compass, that had guided him to this vision, was exactly with the North Star. Yes, sir. His anchor held. Yes, the Word and It only...
If your absolute... If you have an absolute in your life...

28-1 There was a time when, you know, etiquettes had an absolute. I can't think of that woman's name, but the whole nation trusted in what that woman said. (I forget her name. I was writing a note here; I couldn't think of that woman's name--who--what it was.) But here a few years ago they had to be... This woman, what she said... If she said use the knife in the left hand, that was--that was it; that was the absolute. She was the--the answer to all of it. And if you put the fork in the left hand, then you were absolutely wrong. What was her name? [Congregation answers, "Emily Post"--Ed.] Oh, that's it, sure. Yeah, that's who.
Now, you were--you were absolute--and she was--she was etiquette's absolute. It must be that way. Like, oh, many things we find like that. But we find out now it's gone. Eat the way you want to. Yes, sir. All right. But that was etiquette's absolute. You had to do it that way.

28-3 There was a time when Adolf Hitler was Germany's absolute. Whatever he said... When he said, "Jump," they jumped; when he said, "Kill," they kill. Millions of Jews, he dodded his head. You see what happened to that kind of an absolute? It looked like power, but it was contrary to the Word.
"How do you know it was contrary to the Word?"
God said when Balaam tried to look down upon Israel to curse it, he said, "I see him as a unicorn. How righteous are thy tents. Whoever curses you will be cursed; whoever blesses you will be blessed."
Look like Hitler could have saw that. Look like them German Christians could have saw that. See? That absolute... Absolutely contrary to that Word... You know, as it's been said, "Man... God made man, but man made slaves"--one trying to rule over the other one. We got one Ruler, that's God.
But Hitler was Germany's absolute. Look at it today. Now, see what happened? It was a wrong absolute. Why? It was contrary to the Word. And now, you see where it all went to? Disgrace.

28-8 And if your absolute is in some organization, or some sensation, or something else besides the Person of Jesus Christ, you'll come to the same portion of shame, only worse. See? If your absolute is not Christ, that's the only Center-post of the human life; and Christ is the Word, not your church, your word--the Word. See? "Upon this absolute I'll build My Church," upon Christ, the Word.

29-1 There was a time when Mussolini was the absolute of Rome. I don't know, I might've read an article, or it could've been that I read it in a book, or somebody told me; but when someone was being interviewed by Mussolini he was--he was--wanted to bring Rome into athlete--athletics. And there's a big statue used to stand there of him about athletics. That's all right. Greece had that idea many years ago. Rome's always tried to have it. Athletes is all right, but--but--athletics, but--but remember, that won't take the place of Christ. No matter how strong you are, that has nothing to do with it. He's the all power.

29-2 And you see what he tried to build Rome upon? And he tried to build Rome upon the thing of an absolute; that he was that absolute. And they said that one day that his--his cab--his driver was one minute early, and he shot him. Said, "I didn't say be here at one minute before nine; I said be here by nine." Plowy, and shot him. See? "I don't want you here one minute before; I want you here at nine." See? Look what an absolute he tried to make hisself. But you see what happened?

29-3 You remember, many of you here, the old-timers, Roy Slaughter maybe, and farther back than that remembers down yonder when I told you about prophecy? One day down there at the Odd Fellow's building, before we ever come to here, I said, "Mussolini will come to a shameful end." I said, "His first invasion, he will go to Ethiopia; and Ethiopia will fall at his step, but he'll come to his end, and nobody will help him; and disgrace will he be buried." There he is.
I said, "There's three isms has rose up: Nazism, fascism, and communism." I said, "Them isms will revolve and come around into one; it'll he communism. Watch. Communism will burn Rome." See? You watch it. Uh-huh. It's a tool in God's hands. They think they're against God; they're working right into it all the time, don't know it. He's just using them as a puppet, some tool in His hand like He did Nebuchadnezzar and many of the others.

29-5 Now notice. See? Now, there was a time when Pharaoh was a absolute of Egypt, but look where it's at now. See? It all fail. Oh, it's a wrong kind, so they always fail. They're a manmade absolute. You can't take a manmade absolute, I don't care if it's a--a president, if it's a dictator, if it's a king, if it's a church, if it's a organization, if it's a creed, any of those things are going to perish, just like all the absolutes of that kind through the ages.
We can look back... Look back. Look at men who trusted the emperors; look at men who trusted the dictators; look at men who built their hopes upon them kind of absolutes; and look where they are today.

30-2 Now, let's turn ourselves around and look at the men who put their hopes upon the Bible, upon God's Word and held It for an Absolute; look where they are now.
Paul gives you a little brief of them in Hebrews the 11th chapter: what they did, how they subdued kingdoms, wrought righteousness, and so forth; and they wandered about in sheepskins and goatskins, of who the world's not worthy of, waiting in glory for that grand resurrection. See? All right. For they... Some of them didn't--didn't obtain to these miracles, and they give their bodies anyhow, looking forward to that resurrection. To finish out their lives, they didn't care for it; they wanted to go on and sacrifice themselves so they could obtain that resurrection; and that's what they did.

30-4 Now, absolutes... We're talking... absolute... You know, our Supreme Court is an absolute. It's a absolute; it's the--it's the final end of all arguments in this nation. That's right. Their decision is an absolute in our Supreme Court. That's right. Oh, I know sometimes we don't like it, but it's--it's an absolute anyhow. Yes, sir. What if we didn't have that, then what? But that's an absolute. Certainly is. Why? That's--our nation is tied to that.
When that Supreme Court finally makes their final decision, that's it; there's no... Where you going to after that? You're going to follow their decision; that's all; you've got to. They are the last word; they're the "amen."
You can try it in local city courts; you can try it magistrate, and then go to federal--to all kinds of courts, and to federal courts; but when we've come to the Supreme Court, that's it. That's right. Sometimes we don't like to--say, "Well, I don't like their decision," but you try to get away from it once. That's the nation's absolute. And what if we didn't have it? Yes.
We have to have an absolute. Everybody has to have one. You've got one. But what I'm trying to tell you, background there and show you what absolutes are.
Now, the nation's Supreme Court is the nation's absolute. That's the last thing in any kind of a fuss. They settle it. What they say, that's it.

31-3 There's an absolute at a ball game. That's the umpire. Oh, yeah. Sometimes we don't like his decision either, but it's--it's--it's that anyhow. The umpire, his decision is the final word. That's right. No matter what others say; if he says it's a strike, it's a strike. That's right. Certainly. No matter what others say, that don't have nothing to do with it. And let's just think of it. If you's... (I don't go to ball games, but I just happened to jot that down.) An umpire, he's the absolute at the ball game.
One of them say, "That was a ball."
Another say, "You're a liar."
This say, "This isn't that way; he ought to be this way."
The umpire said, "Strike."
See? The rest of them take their seat and set down. They gripe, some of them, but... I imagine they'd "boo" at him down in their heart and things, but it's a strike anyhow. Why? He's the final word.
First baseman said, "You know that, that passed."
The other say, "You know that's wrong."
He'd say, "Strike." That's all of it. "Shut up then, go on back to your place."

31-5 What if there wasn't an umpire at the ball game? My, could you imagine what kind of a game that would be? One of them said, "It was a strike." Another said this; another said that.
Another said, "You're a liar."
They'd be fuss and a fight. To have a ball game, you got to have an absolute. And he walks out there, and no matter if you don't like him or what, he--he's the absolute anyhow. He is the absolute; his word is final. No matter what you say about it, it's that way. Now, if they didn't, the whole game would go into chaos. Is that right?

32-2 What would the nation be if there wasn't a federal court? There wasn't Supreme Court in this nation, what would it go--where would it go to? The nation would be in a chaos.
If there wasn't a--if there wasn't a umpire at a ball game, it would wind up--you wouldn't make the first throw till somebody'd be fussing. Somebody stand there and maybe the--really went right on the plate, and the other guy'd say, "Oh, no. No, no, no. It didn't do that." And then, there you go. First ball was throwed, they'd argue about it. One of them said, "That was a strike."
They'd say, "It wasn't a strike."
See? You've got to have somebody that game's tied to, and that's the umpire. When he says, "Strike," it's strike. If he says, "Ball," it's ball. Whatever he says, it goes. That's it. And if you didn't, you wouldn't have no game.

32-5 Let me show you another absolute. It's a red light, a red light. When it says, "Stop," it means stop. If you run it, you're going to pay for it. But if this city didn't have any lights out here, stop lights, what kind of a city would it be? It's got to have an absolute. I don't care what the policeman said or anybody else standing there; they're secondarily.
If somebody can prove that you went through on a green light, I don't care what the policeman said, they're wrong. When the light said, "Go," that means go. That's the absolute. You can prove that; the light said, "Go." The policeman might have been standing somewhere, the mayor of the city might somewhere. That don't make a bit of difference. If you've got proof that it was "go," you go; and if somebody hits you, it's their fault. You can prove it. That's right. We can prove what we're talking about. That's right.
Now, what if there wasn't no red light? One run up to a crossing, it... Look what it would be. One say, "Hey, get out of the way; I'm in a hurry. I got to go to work; I'm late now. I'm going through now."
Other one said, "You just think you are, because I am the one that's going through, because I was here first." And I can see a woman get out and fix her hair.
What if we didn't have a red light? Wouldn't there be a traffic jam.

33-3 That's what's the matter with the churches. See? That's right. That's the reason they got such a denominational jam. That's exactly right. Nobody's getting anywhere. They're standing, fussing.
Here is God's Light. When It says, "Go," go. When It says, "Stop; this is far enough," then stop. That's right. That's where we are based upon: That, that Word, not what some bunch of men said or some other bunch of men said.
Jesus said, "These signs shall follow them that believe." Let's go. "Go ye into all the world, preach the Gospel to every creature."

33-6 You know, as good as education is, but Jesus never required that. That's right. As good as churches are--buildings, He never required that. As good as hospitals was... We... The churches build hospitals. That's all right; we appreciate that, but He never required it.
He said to the Church, "Preach the Gospel." And the Gospel came not in Word only, but through power and manifestation of the Word. Paul said so. Then go manifest the Gospel. Oh, my. If it was that way...

33-8 Oh, we are today living in a time when we got the best doctors we ever had. We got the best drugs we ever practiced with. You know that. And we salute those men; we pray for them. I do, and I hope you do. Those men, who with their understanding of feeling... They got two senses to work by, that's seeing, and feeling; and they... and hearing. They work by a sound of a heart, or a--a feeling of a tumor or something, or--or the sight of something they can see, a spread of disease, or--or something on the face that's covering the face or the body somewhere. They--they work upon those things (See?) because that's... They try to take medicines, and so much that'll kill it, and then won't kill you, and--and so forth. They won't... That's their business to work on that. And we appreciate that; that's very fine.
But we've got the best doctors, the best medicine, the best hospitals, and more sickness than we ever had. We got more unbelief than we ever had. Yes, sir. That's exactly.

34-2 Ministers has organized themselves, and got great denominations, and taking in anything, and so forth, and just for anything making a church member; and they're went over to some seminary like a incubator chicken, and hatch them out by a--a grinder that brings them out like that; and some time know no more about God than a Hottentot does about an Egyptian night. Bring them through like that, and the... There you are. See?
Oh, what we need in our churches is a man that's got a absolute. What we need in a Methodist church, the Baptist church, the Pentecostal church, the Presbyterian church is an absolute, a man of God that'll stand tied to the Word and to Christ, and bring that congregation under that condition of where each member walks in condition of this Word, seeing that Word manifested, following, "These signs shall follow them that believe into all the world."
They said, "That was done away with."
Jesus said, "Go ye into all the world; preach the Gospel to every creature."
We haven't reached all the world yet, and a long ways from every creature. How long? All the world. Who to? Every creature. What will happen? "These signs shall follow them that believe: In My Name they shall cast out devils; they shall speak with new tongues; if they should take up a serpent or drink the deadly thing, it would not harm them; if they lay their hands on the sick, they shall recover."
That's the absolute holding there, the Word, that North Star, that compass that stays right with It. That's what we need.

34-6 But we went out and built institutions, organized the people, took in members, and fussed with the Baptists because they didn't believe the way we did, and the Methodists because they didn't this way; and--and we hatched out a bigger seminary, and built a bigger churches, the better plushed pews, and a bigger organ, and so forth, and a better dressed crowd; they got the mayor and everybody in the church; and what have we got? A bunch of death tied to a denominational absolute. Death. Oh, forbid...

35-1 If I die in my tracks, my absolute is Jesus Christ; upon That I believe. If everybody walks out... Someone said... Doctor Davis said to me, "Billy, you preach such a thing as that, you'll preach it to the posts of the church."
I said, "I'll be preaching God's Word to the posts then, 'cause God's able of these posts to rise children unto Abraham." Right. God's Word is true.
He said, "You think they'll believe you?"
I said, "It does... That's not my business. It's my business to stay true to that Word." That's right.
Said, "You think you could meet an educated world like this with a theology of--of Divine healing?"
I said, "It's not my Divine healing; it's His promise. He was the One give the commission."

35-3 Oh, and I remember when He swept down there in that big Light, standing yonder at the bottom of the river, 1933, in June, when He said, "As--as John the Baptist was sent forth and forerun the first coming of Christ, I send you with a Message to the world to forerun the second coming of Christ." And around the world she's went, when revival fires had been built for fifteen years on nearly every mountain...?... Divine healing across the nations, and the power, and restoration... And now, I believe she's ready to strike that final climax yonder to bring forth a faith that'll rapture the Church into glory (It's the truth.), and She's laying in the Messages. We're really at the end time. We've talked about it and everything, but the thing has moved upon us now. Hear them. Yes, sir. Here's one. That's right.

35-4 The--the--the red light, as I've said, it settles the case. That's all. The red light tells you who goes. Now, no matter what anybody else says; it's what the red light says. You can really have a traffic jam if you don't--if you don't mind the red light. There must be an absolute. Yes, sir.
Just like to the Church, there's got to be an absolute. To the people in the church, you've got to have your absolute. But today, each church has its own absolute. See? And don't try to take...
"We Baptists believe this."
"We Methodists believe this."
"We Presbyterian believe this."
"We Pentecostals believe this."
That's all right, but why don't you take the rest of It? What's the matter with the rest of It?
"We Baptists believe in immersing."
That's good. What about the Baptism of the Holy Ghost now? What about speaking with tongues? What about gifts of healing? What about prophecy?
"Oh, no. We don't; that--that was for another age." Oh, boy.

36-4 Pentecostals, you say, "Well, we believe in speaking in tongues for the evidence."
Sure, speaking in tongues is all right, but that's still not the evidence. Many people speak in tongues (That's true.), and that's as far as they ever go. The devil can impersonate any gift it's got, any gift that's in the Bible.
Paul said, "Though I speak with tongue of men and angels; though I give my body to be burnt as a sacrifice; though I sell all my goods to feed the poor, and though I have faith to move mountains; though I went to the seminary and learned all the knowledge there is to be learned, I'm still nothing."

36-6 It's the Person of Christ: Christ. Receive Him. And you can't receive Him without receiving His Word. The Word has to come first; then the Life comes into that Word and manifests that Word.
Didn't Jesus say, "If I do not the works of My Father, then don't believe Me?" It was the Word of God being manifested. God was in Christ, reconciling, expressing Himself to the world what He was. That was--that was the absolute. That was the eternal absolute there.
Then you say, "Is that the eternal, Brother Branham?" That was. "Then what about today?"
Jesus said, "He that believeth on Me, the works that I do shall he also" The same absolute... All right.

37-1 Each one has their own absolute. Oh, my. It's just like it was in the days of the Judges: every man done what was right in his own sight. In the days of Judges every man had his own--his own absolute. He did just what he wanted to do, and that's the way it is now. Every man done right in his own sight.
Now, you know the reason they did that in Judges? This might shock just a little bit. But the reason they did it in Judges, because they had no prophet in them days for the Word of the Lord to come to, so every man could do what he wanted to in his own sight.
And that's exactly what's happened today. We don't have the prophet in these days of denominations, but God promised us one. See, see? He did. In the last days He would rise up and send Elijah back on the scene again, and he would turn the hearts of the children back to the faith of the fathers--back to the original Pentecost. You know He said that.

37-4 Now, I know you'll refer, as He did there to John (over in--in Matthew 11th chapter and the 6th verse, I believe it is), when they said, "Who do you think this man was--this John?"
He said, "If you can receive it, this is he that was spoken of, 'Behold I send My messenger before My face.'" That's Malachi 3, not Malachi 4. But remember, if that was the Malachi 4, then the Word failed, because He said--but just at this time the whole world would be burnt, and the righteous would walk out upon the ashes of the wicked. No. Don't mix it up, brethren; make It say just exactly what It says. That's right. He promised it in the last days, and it'll be right in the midst.

37-6 Remember, when Judges, every man done the way he wanted. There was no man--no man could make that Word live. There was no prophet. The Word of the Lord always comes to the prophet. That's right. And he's always hated. Only a little group that love him. And... See? But I mean, there was always that.
God doesn't change His policy; He cannot and be God. If God ever says anything or does anything, He must do the next time. When that crisis arrives, if He don't act the second time the way He did the first time, He acted wrong the first time. And who'll accuse God of acting wrong? Who are you can lay sin to God? That's what Jesus said: "Which one of you can accuse Me of sin?"
What is sin? Unbelief. "He that believeth not is condemned already."
"Which one of you can show Me that I haven't fulfilled everything Messiah should do?" See? Nobody spoke a word. He had... The Messiah was a Prophet, and He'd proved that He was that. They hadn't had a prophet for hundreds of years, since Malachi, and here He rose on the scene. He was a mystic to the people and a stumbling Block to their church, 'cause He said, "Behold I lay in Zion, a Cornerstone, a precious One, tried, oh, a stumbling Stone. (Yeah.) But whosoever believeth on Him shall not be ashamed." That's right. There He was. And they... Just exactly fulfilled Scripture. But those who believed Him had an absolute.

38-3 Little Martha, when she seen Lazarus come from the grave, she knew Who that was. Even before It done it, she had the absolute of knowing, "I believe that Thou art the Son of God that was to come into the world. Even now, though my brother be dead, just say the word; God will do it." Amen. She was absolutely positive. That's right.
When he said that, and she meant it from her heart, He said, "Where have you buried him?"
Said, "Come and see."
There He stood there with a vision, 'cause He said, "I do nothing until the Father shows Me first," St. John 5:19.
Sent Him away from--went away from Lazarus' house. They sent after Him to come pray. He knew Lazarus was going to die; and after the amount of time, He said, "Our friend Lazarus sleepeth."
They said, "He does well."
He said, "He's dead; and for your sake I'm glad I wasn't there." (They'd of been asking Him to pray for him.) Then He comes back, said, "But I go wake him." Oh, my. Not, "I'll go and see what I can do." "I'll go wake him." Why? "The Father's already showed Me just what to do."

38-8 Went down to the grave. There stood a Man; there stood God in flesh, that could've said to the stone, "Dissolve." and it would've dissolved; but He said to them women, them poor little women, little young women, said, "Take away the stone."
You got something to do too. See? And they rolled away the stone; and it made them sick, he was so stinky. There He stood there. Oh, my. I can see Him straighten that little frail frame up because the Bible said there's no beauty we should desire Him; He wasn't very much to look at. See?

39-2 Just like David. He was chosen king when he was just a little ruddy thing. See? All them great big fellows said, "Wouldn't he look pretty with a crown on his head?"
"Take this older son," Jesse said.
Samuel said, "God refused him." Brought all of his sons up.
Said, "Haven't you got any?"
"Yeah, we got one, but he wouldn't look like a king. Why, he's a little bitty, stoop-shouldered, ruddy-looking fellow."
"Go get him." And as soon as he come walking before that prophet, the Spirit fell on him. He run with that oil and poured it on his head, said, "This is your king." That's it. Yes, sir.

39-4 And Jesus stood there a stoop-shouldered, perhaps, turning gray when He was yet not over thirty years old. The Bible said He might've look like forty. Jews said, "You're a man not over--over fifty years old, and you say you seen Abraham?"
He said, "Before Abraham was, I AM." My, oh, my. St. John 6.
Then we come to find out, here He stood by the grave. He knowed that vision had to strike; He knowed it had to be, "Take away the stone." He was stinking, wrapped in grave clothes, been dead for four days; his nose had already fell in, that much time.

39-6 There He stood there; straightened up His little body, "I am the Resurrection and the Life. He that believeth on Me; though he were dead, yet shall he live." Tell me a man could ever make a statement like that. "Whosoever liveth and believeth in Me shall never die. Believest thou this?"
She said, "Yea, Lord." Though He'd failed her, seemingly. When she called, He didn't go; she called again; He didn't go. But here she says, "I know that Thou art the Christ that was to come into the world."
He said, "Lazarus, come forth." And a man that'd been dead four days... Why? What? Christ had the absolute. He'd saw the vision; it couldn't fail. That's right. It couldn't fail. He was absolutely sure.
And Martha was absolutely sure. If she could get Him to recognize what she believed in Him to be, she'd get what she asked for. Right. There they was, the absolute; it tied in with the Word, and that was it.

40-4 Every man today does in his own sight what he seems good, because there is no prophet.
Look in the days of the Judges. Look at in the days when (I believe it was Elijah or Elisha, one. Yeah.), that the dead baby... The--the Shunammite woman, she made...
Elijah was God's man of the day, not just some good intelligent teacher. Why, he was an old guy that walked along and. Was you... Just come to--come to your door today you'd probably run him away. A whole nation hated him. Jezebel and all the rest of them hated him, because her--she set in the White House and made all the women do the way she did; and all of them had pattern after her; and--and Ahab was turned--his head was turned by her power. We haven't missed it too far today, just about the same; and there--there you are. They was all popularity and all... they was all snowed up.

40-7 But that little old Shunammite (not Shunammite woman but little... Yes, I believe she was a Shunammite), when she come and seen that that power was in Elijah, she said, "I perceive that he's a holy man." And when that baby was laying dead, she said, "Saddle that mule and don't you stop." She went up there... She knowed... And I like that, the way she come; she got to her absolute, her tie post.
Elijah said, "Here comes that Shunammite. She's grieving, but I don't know what's wrong." See, God don't show His servants everything, just what He wants them to know. So he said, "Her heart is grieved, but I don't know." He said, "Run, find out, Gehazi, and see what's wrong."
He said, "Is all well with thee? Is all well with thy husband? Is all well with thy son?"
Look at her. Oh, my. This is it. She said, "All is well." Why? She'd come to her absolute. "All is well." And she knelt down. Fell first at his feet, and Gehazi raised her up. That's not right before his--his master, raised her up; and she begin to tell him.

41-3 Now, he didn't have no absolute now. He knowed he had power by the vision to give her the child, but now what could he do? He took his staff and went down in the room, put--shut all the doors, taken everybody else out. He walked up and down the room. He had an absolute if he could only contact it. Back and forth, up and down the room... Oh, my. Directly he felt something strike him; he laid hisself on the baby, got back up again, went away. The--the baby kinda moved, got warm. He raised back and forth; he didn't get a good contact with the absolute. "What was it, Lord? What'd You say do?"
No doubt when he turned, he saw a vision: that little boy run playing, jumping in the rope, something or other like that--playing. He throwed hisself upon the baby; he stuck his nose upon its nose, his lips upon its lips; and the power of God raised up the baby to life. What was it? The woman's absolute was the prophet; the prophet's Absolute was God. And together with the Word, "I am the Resurrection and the Life," the power of God, that Creator...?... She raised up again, the baby.

41-5 Sure. The reason every man done in his own way, because they had no prophet for the Word of the Lord to come to. The Word and the prophets was missing in that day.
Oh, I seen this at my conversion, of the day that we lived in. I'm so glad that God got ahold of me before the church did. I'd probably been an infidel. Yes, sir. I... All this conglomeration of mess and everybody. "Well, come over and join ours. And if you don't, well, you can pick up your letter and go join the other one." Oh.
"Won't you bring your letter into our fellowship?"
I believe there's one letter; that's when Christ writes your name on the Lamb's Book of Life. That's the only one it's on.

42-1 When I seen all the denominations... Our background is Irish, which was formerly Catholic, and I seen that was corrupt and rotten. I went down to a certain denominational church here in the city; they said, "Oh, we're the way, the truth, the light; we got all of it."
I went to another one in New Albany. "Oh, my. Them guys up there don't know what they're talking about."
Catholics said, "You're all wrong."
I thought, "Oh, my."
I played with a little Lutheran boy, and I thought--a little German Lutheran; I went over and I said, "Where do you go to church at?"
"I go to that church."
I went down, and I found out they said they were the way. And I went down to Brother Dale, in Emmanuel Baptist, or the First Baptist; they said, "This is the way."
And I went over to the Irish church, they said, "But this is the way."
I thought, "Oh, my. I'm so confused; I don't know what to do. But I want to get right."

42-6 I didn't know what to do, and I didn't know how to repent. I wrote a letter. I thought, "I seen Him in the woods." I wrote Him a letter; I said, "Dear Sir, I know You pass down this path here, 'cause I set here squirrel hunting. I know You come by, and I know You're here. I want You... I want to tell You something."
I thought, "Now, wait a minute. I--I never seen anybody I didn't... I want to talk to them; I--I want to speak with them. I--I want to talk to Him." I thought, "Well now, I don't know how to do it."

42-8 And I went out in the shed and knelt down, water, wet and little old car setting there wrecked up. And I said, "I believe I seen a picture... I believe they put their hands like this," and I got down. And I said, "Now, what I'm going to say?" I said, "There's some way you have to do this, and I don't know. I know there's a way to approach everything, and I don't..."
I said... I put my hands like this. I said, "Dear Sir, I wish that You would come and speak with me just a moment. I want to tell You how bad I am." Held my hand like this. I listened. People said... God talked to me, and I knowed He did talk, 'cause I'd heard It when I was a kid, telling me not to drink and things. He didn't answer me.
I said, "Maybe I was supposed to put my hands like this." So I said, "Dear Sir, I--I don't know just exactly how to do this, but I--I trust that You'll... Will You help me?"

43-3 And each preacher telling me come join theirs, and stand up and say they took Jesus Christ, and they believe Jesus to be the Son of God. Devils believe the same thing, so I thought, "I--I got to have something better than that." So I was setting like this.
I read where Peter and John passed through the gate called Beautiful, and there was a man crippled from his mother's womb. Said, "Silver and gold have I none, but such as I have..." Don't know... I knowed I didn't have that.
So I was trying to--to find out how to do it; I didn't know how to pray. I made my hands; then I laid down like this. Of course, Satan come on the scene then, said, "You see? You waited too long. You're already twenty years old; there's no need of trying it now. You done..."

43-6 Then I got all broke up and started crying. And then, when I really got broke up, I said, "I'm going to talk. If You don't talk to me, I'm going to talk to You anyhow." So I--I said, "I'm no good; I'm ashamed of myself. Mr. God, I know You'll hear me somewhere. You'll hear me. I'm ashamed of myself; I'm ashamed that I have neglected You."
About that time I looked up, and a funny feeling swept over me. Here come a Light moving through the room and made a cross, like that; and a Voice that I never heard in my life, talked. I looked at It, just cold all over, numb; I'm scared. I couldn't move. Stood, looked at It; and It went away.

43-8 I said, "Sir, I--I don't understand Your language." I said, "If You can't talk mine, and I--and I don't understand Yours... And if You have forgive me, I know that I'm supposed to be reckoned in that cross there, somewhere that--my sins are supposed to lay in there. And if--and if You will forgive me, just come back and talk in Your own language. I'll understand by that, if You can't talk my language." I said, "You just let It come back again."
There It was again. Oh, my goodness. There I got an absolute. Amen. Yes, sir. Felt like a--a load of forty tons lifted off my shoulders. I walked down through that boardwalk, couldn't even touch the ground.

44-2 Mother said, "Billy, you're nervous."
I said, "No, mom, I don't know what happened."
There was a railroad track back there; I run down that railroad track jumping up in the air just as hard as I could. I didn't know how to give vent to my feelings. Oh, if I'd have knowed how to shout. I was shouting, but in my own way. You see?
What was it? I had anchored my soul in a Haven of Rest. That settled it; that was my absolute. There I'd found something, not some mythical, some idea. I'd talked with the Man. I'd talked with that Man that told me never to drink, or smoke, or do anything that would defile myself with women's and so forth, that when I got older there'd be a work for me to do. I had contacted Him, not the church; I'd contacted Him--Him. Yes, sir. He was the One.

44-4 Like a fellow down here at the Kiwanis, or the--was speaking not long... Right after the First World War. (Brother Funk standing there, being a soldier.) He said that he was... (It's a little--kind of sounds jokey. It's no place for a joke, but here's what he said. He was here in New Albany.) He said, "The captain taken us out, said, 'That whole country there is infested with Japs. Tomorrow, boys, we go in; we got to take them.' He said, 'Remember, boys, there's many of us standing here today that won't be there tomorrow. They won't be here tomorrow; we're going in in the morning at daylight.' Said, 'Now, each one get to his own religion.'"
This guy said, "And I didn't have any religion." And said, "I said..." Said, "I stood there, and all the rest of them..." Said, "Here come a chaplain, went this way; a Protestant went this way, and the Jewish went this way, and a Catholic went that way with their chaplain." Said, "I stood there."

44-6 And said, "The--the commanding officer said to me, said, 'Boy, you better get to your religion.'"
He said, "I ain't got any."
He said, "You better be getting some, 'cause you're going to need some right away; I'm sure."
And said about that time, he seen a bunch going by and was Catholic. Said he walked over and said to this priest, "Could you give me some religion?"
And he said, "Come on."
Said, "He went in and made a Catholic out of me." (And there in New Albany there was John Howard and a bunch of them real royal Catholics setting there, you know, when this guy was telling this.) And he said--he said, "In the next day in the combat..." He was talking about, oh, how it was and said (He's a great big fellow, you know)--and said they got hand to hand. And they was just stabbing with knives, and screaming, and cutting, and slashing. Said the lines got twisted up, and they got right around one another. Japs let them walk right into it, like that, and them big old machine guns a-bellowing from every side--and hand to hand combat.

45-3 Said, "Directly, I stopped long like this..." And said, "Everything, screams and carrying on, you couldn't hear yourself." Said, "There's blood." He said, "I looked, and it was my blood." Said, "I looked here. There was a hole in my side." He said, "That was my blood." Said, "I... You know, I--I--I..."
And a real... And, Catholic friend, I'm just saying this for--for fun now. But a real, royal Catholic said--said, "Did you say a 'Hail Mary?'"
He said, "No, sir." Said, "That was my blood. I didn't want any secretaries. I said, 'I want to talk to the main Man.'" Said, "That was--that was my blood."
And I think that's about the way it is. Yes, sir. That's the way it goes. We've got to have a tie post, an absolute.
"I had no time for His secretary," he said, "I wanted to talk to Him."
And that's it, brother. When a man comes to Christ, you don't want to take some preacher's word, some secretary's word, some something else. You Protestants, don't take this, that, or the other; go to that absolute until you're anchored there by the new birth, being borned again, and filled with the Holy Ghost, and you see the Bible being manifested in humility and love through your life. Oh, then that's your absolute. Yes, sir.

46-1 I read in the Word where He is the Word. When the German church said, "It's this way," and the Methodists, and the Baptists, and the Catholic... But I read in the Word, where He said, "Upon this rock I'll build My Church, and the gates of hell can't prevail against It."
Listen now, in closing. Now, the Protestant says... Now, the Catholic says He built it upon Peter. "Thou art Peter, and upon this rock..." No, never. If it was, it backslid right away. They built it upon a man. What did He do?
The Protestants said He built it upon Himself. No. He did not. He didn't build it upon Himself. What did He do?
"What does... Who does men say, I, the Son of man am?"
And some said, "Thou art Elias, and Moses."
He said, "But what do you say?"
Peter said, "Thou art the Christ, the Son of the living God."

46-4 Watch the words now. "Blessed are thou, Simon, son of Jonas; flesh and blood has not revealed this to you (You never learned it by some priest; you never learned it by some seminary.), but My Father which is in heaven has revealed it to you. And upon this rock (spiritual revelation of the Word), I'll build My Church, and the gates of hell cannot prevail against It."
I thought, "Lord, that's it." I read over here in the Book of Revelations, 21st chap--22nd chapter, where He said, "Whosoever (This is the complete thing.)--whosoever shall inject something to It; whosoever shall take something away from It (deny It's so), or whosoever shall try to make It a little better, and polish It up for the day; whosoever shall add to or take away, the same will be taken, his part, out of the Book of Life."
I said, "Then that's all I need, Lord, is to believe This. And in This, that cross yonder, the Christ came." It's perfect all the way, every word that He ever said. Take the Book in this hand, the history in this hand, and just vindicates right straight down, just perfect. And I said, "Then, Lord, receive me." And when I did, I received Christ the Holy Spirit in my heart, my Absolute. It hasn't been me.

47-1 I was sick one time when my... I lost my wife; I lost my baby; and--oh, lost my father, and lost my brother, and lost my sister-in-law. And Billy was laying, dying, and--and I was just about gone... I was going up the road crying, going to her grave (and her and the baby, and the baby on her arms)--going to the grave. I was walking up; Mr. Isler (used to come here and play, you know, the state Senator of Indiana), he was coming up the road. He stopped, and he run out there and put his arms around me (It was after the '37 flood.); he said, "Where you going, Billy? Up there?"
And I said, "Yep."
He said, "What are you going to do up there?"
I said, "I will listen to an old dove." I said, "I set there by the baby's grave and hers. An old dove comes down there, and he speaks to me."
"Oh," he said, "Billy."
I said, "Yeah. And I hear the whispering of the leaves when they play it. It plays music for me."
Mr. Isler said, "What kind of music does it play?"
I said,
There's a land beyond the river
That they call that sweet forever,
And we only reach that shore by faith's degree;
One by one we gain the portal,
There to dwell with the immortals.
When someday they'll ring them golden bells for you and me."

47-3 He said, "Billy, I want to ask you something." He said, "What does Christ mean to you now? What does Christ mean to you?"
I said, "He's my Life, my All. He's all that I have, Mr. Isler. He's my--my Ultimate; He's all that I can to hold to." Why? There would've been something happened.
"Upon this rock..."
Said, "I've seen you stand here on the corner and preach till you looked like you was going to drop dead. I seen you all hours of the night, up and down the streets making sick calls. And after He took your own wife and your own baby, you still serve Him?"
I said, "If He slays me, yet I trust Him."
Why? My Anchor holds within the veil; I had a Absolute. I'd tied myself to His Word, and His Word was holding. He is my Absolute. I found out that all these other things may fail, but Christ can never fail.

48-3 The Catholic church has the pope for an absolute; the Protestant has their bishops, and their creeds, and their general overseers. But I, like Paul...
Got your pencil? Set down something. In... Paul said in Acts the 20th chapter and the 24th verse, "None of these things move me."
Oh, they can have the creeds; you can have whatever you want to, but them things don't move me.
I've anchored my soul in a haven of rest,
To sail the wild seas (I don't know where you're at, this way, that way.) no more;
The tempest may sweep over the wild stormy deep, (All may turn down.)
But in Jesus I'm safe evermore.
Yeah. None of these things move me, for I'm tied to an Anchor.
"Oh, since I met Him," Paul said, "on that road, I been tied to an Anchor. He turned me around; He started me back right." You remember, Paul belonged to an organization too, the biggest in the land, but he got tied to the absolute.

48-7 Listen. I want to tell you something. He had a purpose in saving me; He had a purpose in saving you. And I am determined by His will to do it; not to add to It or take away from It (Revelations 22:19, if you want to put that down). All right. "Whosoever take away..." I'm determined... I'm fixing to leave the church, and you know that. And so, I'm determined just to remain with this Gospel as long as I live, by the help of God.
Remember. Here's grace. There were millions dying in sin when He saved me. Who was I that He should save? He had a purpose in saving me, and I'm determined to carry out that purpose. I don't care; it may be my end may be pretty soon now. But whatever it is, I'm still anchored, never changed it.

49-2 Mr. Isler said to me that day, going up the road; he said, "Billy, in all this trouble did you keep your religion?"
I said, "No, sir, it kept me." See, see? My Anchor held. That's right. I never kept it; it kept me. I can't keep it; there's no way for me to do it, but it keeps me. Yes, sir.
He had a purpose in saving me. There were millions in sin when I come to Him, but He saved me. He had a purpose in doing so. Christ's death was an absolute to the fear of it.

49-5 Christ's death settled the question. When that bee of death stung Him and anchored that stinger... You know, a bee--a insect that has a stinger, if it ever anchors that stinger into--deep enough, when it pulls away, it pulls the stinger out of it. Death always had a stinger.
Death always had a stinger. And one day when that--going up Calvary, and the bumping of them rocks, the Blood splashing upon the rocks... When it hit the dirt on Calvary, going to Golgotha, the back of that cross was dragging out the Bloody footprints of that little, frail body going, marching along there, them whipping and mashing Him as He went up the hill; but He had a absolute. He knew where He stood, because the Word of God said through David, "I'll not leave My holy One to see corruption; neither will I leave His soul in hell."
He knew corruption set in seventy-two hours. He said, "Destroy this temple, and I'll raise it up again in three days." He had an absolute.
There He went up the hill with gobs of mockery spit of drunken soldiers, that put a rag around His face, and hit Him on the head, and said, "If you're a prophet, tell us who hit you." There He was going up the hill in shame and disgrace to be--His clothes stripped from Him, despising the shame, hanging on the cross before the people naked; dying in Roman disgrace under government capital punishment, a Man that had done nothing.

50-1 A little story one time said Mary Magdalene run out and said, "What has He done? Healed your sick, raised the dead, and brought deliverance to those that would--in captive. What has He done?"
And a priest smacked her in the mouth till the blood flew out, and said, "Would you listen to her or your high priest?" Oh, that denominational world, it's a curse of all of it. That's it. There it is.

50-3 And they took Him on. But as He went up the hill dragging... The devil had always doubted it, Him being what He was. Said, "If thou be the Son of God, turn these stones into bread. You claim you can do miracles. If you are the Son of God, command these stones to be turned to bread."
That same old devil lives today. That's right, "If you are a Divine healer, here's old John So-and-so setting here on the corner; I know he's crippled; heal him." Don't you know it's that same old devil?
Jesus said, "I only do..." Look. He went through the pool of Bethesda where thousands laid there, lame, blind, halt, and withered, and went to a man that could walk. He could get around; he might've had prostate trouble. Whatever it was, it was retarded. He had it thirty-eight years. He said, "When I'm coming to the pool, someone steps ahead of me." He could walk. Left all them laying there, and went to that very one, and healed him. Why?
He said He knew he'd been in that shape. Then they said to Him--questioned Him when they found Him (St. John 5); He said, "Verily, verily I say unto you, the Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing." There's His absolute. That's still the absolute.

50-7 Standing yonder in Finland that day, and that little boy laying there, and I walked around, him laying there dead, been dead for a half hour. You read in the book. I started to walk away; something put their hands on; I turned around; I thought, "What was that?" And I looked again. I thought, "Wait a minute." Looked back here on the flyleaf of the Bible, "And it shall come to pass, a little boy about nine years old... He'll be killed by an automobile. There'll be a long strip of evergreen, rocks lapped in there; the car will be laying across the road, wrecked. He'll have on little stockings like--up high, a crock haircut; and his little eyes will be turned back; the bones in his body will be broken."
I looked; I thought, "Oh, God."
I said, "Stand still all of you." The mayor of the city there... I said, "If that boy isn't on his feet in two minutes from now, I'm a false prophet. Ride and run me out of Finland." Certainly. "But if he is, you owe your lives to Christ." That's right. They stood still.
I said, "Heavenly Father, across the sea yonder, two years ago, You said this little boy would lay here."

51-3 There was Brother Moore, and Brother Lindsay, and them looking at that. And everywhere, and they'd wrote it in the Bible; and thousands of Bibles across the land had it wrote in it. What was it? A absolute.
The Father had showed what would take place. There's no fear at all standing there absolute. Sure, he'll rise.
Right there in Finland, where thousands of people coming in nightly, and have to even move some out and let them be--seat them; move them out and put somebody else in. There he stood with... All that--the people loved me. And they'd seen healings done, but here was a boy laying there dead. What was the absolute? The vision. "I do what the Father says do. He that believeth in Me, the works that I do shall he also." There's your absolute.
I said, "Death, you can't hold him any longer; God has spoken. Come back; give him up." And the little boy raised up and looked around like that; the people got to fainting and everything.

51-7 There it is, wrote right there and signed by the mayor of the city, by a notary public. That's right. What is it? An absolute. Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever. If that ain't the same God that stopped the woman from Nain with the--bearing her with her son.
When anyone died in them days, they immediately put them in the grave; they didn't let them lay over; they put them in the grave. There's that same Jesus Christ yesterday, today, and forever. Yes.

51-9 Look down there in Mexico when that little baby (some of you laying here--setting here), and that baby... The doctor signed a statement; it's wrote in the Christian Business Men. That baby died that morning at nine o'clock, and this was ten o'clock that night. And that little woman would not be comforted. Billy standing there, my son, trying to put her back, and he had... Well, they... I guess, they had two hundred ushers standing there; and she climbing over them. The night before, that blind man received his sight; and she knew. She was Catholic. But finally, I said, "Go, Brother Moore, and pray for her, because that baby..." It was raining, pouring down. They'd been standing there since early that morning out in that big bull ring. And I said... Let me down on ropes behind to get into the place; just there for three nights. I stood there, and I said, "As I was saying..." preaching, and looked; I seen a little baby out here in front of me, a little Mexican baby, no teeth, just setting there, laughing at me, right here in front of me. I said, "Wait a minute, Brother Moore, bring her here." Oh, an absolute...
The ushers cleared back; here she come. She fell down and said, "Padre, Padre."
I said, "Stand up."
And Brother Espinosa said, "Stand up," and he told her in Spanish. She stood up there.
I said, "Heavenly Father, I'm standing here in this rain..."

52-2 A pretty little woman about twenty-three years old, something like that, her hair hanging down, her little face looking up like that, the look in her eyes, expectation; she'd seen that man that'd been totally blind for about forty years, his eyes come open on the platform. She knew if God could open blinded eyes, He could heal her baby. There she lay there, a little stiff thing laying under a blanket like that, just soaking wet. She'd been standing there all morning and that afternoon too. There it was about eleven o'clock--ten o'clock that night, something like that, holding that baby out. You seen the article in Christian Business Men's. There holding that baby like that...
I said, "Heavenly Father, I do not know what this means. I'm just Your servant, but I seen that baby standing there; it was alive. I lay my hands upon it in the Name of the Lord Jesus.
Said, "Waa." It begin to cry. The mother grabbed the baby and started screaming, and the people started screaming out through here, and women fainting, and things.
I said, "Don't you say nothing about that. Send a runner with that baby--with that mother, and go to that doctor, and let him sign a statement that that baby died. It died of pneumonia the morning before that and--or that morning at nine o'clock." And we got the signed statement by the doctor; the baby was pronounced dead in the doctor's office that morning, and the mother packed it around all day. What was it? An absolute.
What was it? She believed if God could open blinded eyes, why, God could raise the dead, for He's the same yesterday, today, and forever. I wasn't sure; I didn't know till I seen. And when I saw the baby, it was an absolute. Absolutely right. There it was. Death has to give up its victim.

53-2 Here went the Son of God; that bee of death begin to buzz around Him. "Aw, how could He be a prophet. How could He stand there and let--spit in his face? How could he stand there and let them make fun of him and not do something about it. That isn't Emmanuel. That's just an ordinary man. Look at the drunken slobbers from them drunken soldiers. Look at his face bleeding."
The devil said, "I'll get him. I'll get him." Here he come like a bee, the sting of death, buzzing around Him. But, brother, when that bee ever anchored its stinger in that Emmanuel, when he come out, he lost his stinger.
Even death itself... No wonder Paul later could look in the face of it and say, "Oh, death, where is your stinger; grave, where is your victory? Thanks be to God, Who giveth us the victory." Christ's death was the absolute to every man that feared it.
My heart says "amen" to every word in His Book. I'm closing, sure enough now. I just got to cut this off. See?

53-6 That's why I know the Holy Spirit is my Compass that guides me. He is the One that makes me know this Word is true; He is my Absolute; He is my Sunshine; He's my Life; He's my Anchor. When troubles are on, He's my North Star. When I'm lost, the Holy Spirit is my Compass that guides me back to the place.
Denominations are like other stars; they shift with the world. Other stars shift as the world shifts, but not the North Star. The world can shift where it wants to, but it stays put. Oh, brother. The North Star is anchored. The others shift around; you can see them here and there, and everywhere else. That's the way with the denominational churches. But Christ is the absolute. He's the One you can put confidence in. When the denominations got you all twisted up, just look at the North Star. The Holy Spirit is your Compass.

54-1 He ever remains true to His Word. When they told me that them things couldn't happen in a modern day like this, I knowed if--if there--if there is no God, then live, eat, drink, and be merry. If there is a God, let's serve Him. And I've lived to see the day that He has performed everything, even to raising the dead when He was here on earth. And we know that by documented statements that it is the truth. Yes, sir. He is my Absolute.
Now, make Him your Absolute. Take in the--the time of my trouble; He's always a Absolute. Now watch, by the grace of God... (Now, I just better close. It's getting late. Well look here, I thought it was eleven o'clock, and it's 12:30.)

54-3 Friends, all day, all night, all year, and all through eternity, could never speak of it. Don't try to figure it out. You can't. There's no way of figuring it out. You say, "Brother Branham, if--if you..."
I don't know; I just believe; I quit trying to do anything about it; I just believe it. That's all. See? Not him that runneth, or him that willeth, it's God shows mercy. See, not by works, it's by grace. See? I just believe it. God, it's up to Him to do the rest of it. Just believe it. Act upon it.
This famous song, I heard them play it--sing it here or somewhere.
Oh, love of God, how rich and pure!
How fathomless and strong!
It shall forevermore endure,
Saints' and angels' song.

54-6 When a man in mathematics tried to break down, or tried to show by his education, it'll run you crazy. You can't do it. Don't try to do it. Don't try to figure it out; God's past figuring out. You don't figure God out; you just believe God. That's a--that's the secret. Don't figure it out; just believe it. I can't tell you what it means; I can't tell you how to do it. I just know, I just believe it; that's all.
Just like, you promise something to a little kid, he believes it. You should keep your word. You're God's child. He keeps His Word; just simply believe It. Don't be shook up; just stay right there. God did it one time; He has to do it again. If He don't, He will tell you why He can't do it. And that's right. Now, just stay right with it.

55-2 You know, that one verse there... I believe our precious brother there (was baptized last night) sings that song, "Oh, Love of God." They tell me that that verse, this part of it, was found penned on a insane institution's wall, when it said:
If we with ink the ocean fill,
Or were the skies of parchment made;
And every stalk on earth a quill,
And every man a scribe by trade.
To write the love of God above
Would drain the ocean dry,
Or could the scroll retain the whole,
Though stretched from sky to sky.

55-3 Think of it, when about three-fourths of the earth is water. And look at the hydrogen and oxygen in the air, the humidity and stuff. See, if every moisture was ink; and think of the billions, and trillions, and trillions of straws which would be quills. And think of the billions of men that's been on earth, and every one of them a scribe by trade. To dip them pens into the ocean and try to figure out the love of God would drain the ocean dry; or could the scroll contain the whole, though stretched from eternity to eternity.
Don't figure it out; you can't. You lose your mind trying to figure it out; just believe it. Make Him your Absolute. Stay there; the sweet peace and an experience that you'll never forget; anchor to that, and your anchor will hold within the veil. Let's bow our heads.

55-5 How great Thou art, how great Thou art. How many in here with your heads bowed this morning... It's approaching New Year's now; and you've been very religious; and that's good; I appreciate it, every one of you. I'm sure God does. But you really haven't had that absolute experience, that something that you just didn't make believe, you just didn't imagine, but something spoke back to you. And then you seen your life change from that time, and every Word of God, every promise is punctuated with a "Amen."
Then you're holding to the absolute, 'cause you remember, He said, "Heavens and earth will pass away, but My Word shall not fail." If you haven't come to that place yet to where you could say "Amen" to every Word, if it was against your creed, if it was against your denomination; but you want to come to that place like Moses, like the rest of them. They could not do that till they caught that absolute. And you want it in your life this morning, would you just signify the same by just lifting your hands to God. God bless you. All right, sir. All over the building...

56-2 Gracious Father, I know that sometime we must part. There's got to be a time then when we're going to leave this world. We don't know what time that is, and it doesn't make too much difference. If our time is finished, then we want to come. Our objective of staying here is to serve You.
And since on the road to destructions one day, as Paul was on the road to Damascus to make havoc of the Church, a Light blinded him. And, O God, that Light followed him, for It was Christ. And he anchored there to an absolute that even death itself, he could laugh in the face of it, and say, "Thanks be to God, Who gives us the victory through Jesus Christ."
You become a complete absolute to that Apostle. He was the--You were the "Amen" to him in every sentence. You were the Star of his life, the Guide Post. You were the Compass that guided him through the storm. You were the Revelation; You were the Vision; You were his Hopes, his Salvation. And even at the hour of death, when he knowed he was going to it, You were still his Absolute.

56-5 You were Daniel's Absolute. You were all the prophets' Absolute. In the midst of the denominational difference, and the troubles of their days, and the Pharisees and Sadducees, still there was men who took You for their Absolute.
And today, Lord, men and women with compassion, with love, and--and hearts that are bleeding, Lord, for a real experience of knowing God, and to have a--an assurance of an Absolute... Maybe all the people ever knowed before, Lord, was to join the church. And we realize, as I have tried to sincerely, not to be different (You know my heart), but tell them you cannot join the Church; you join the lodge, the Methodists, and Baptists, and Catholic, and Pentecostal lodges; but you're borned into the Church, the mystical Body of Christ, and become members of His Body, with the gifts of the Spirit to make His great Body move in action and power.

57-1 God, that's what these hands meant this morning when they went up. "Place me, O Lord. Take me, mold me, make me; just make my position in life such an absolute, tied to Christ, that I'll think of nothing else but that absolute." Grant it, Lord. And bless them. Heal the sick and the afflicted. Save the lost.
Now, Lord, we know it's customary to call to the altar the people, but that has become a tradition to us. And this morning with the altars filled and the--the little children and--and all... But, Lord, somehow You spoke to them; they raised up their hands. They made--they made, as it was, a decision. They want to... They--they--they want something real; and I'm offering my prayer in their behalf. Grant it to each one, Lord.
Be with us now, forgiving our sin, healing our sickness, and giving us the deliverance that we need.

57-4 And, Lord, above all things, may we never forget today that we are tied to the Absolute, our North Star, to Calvary, to Christ, and the Holy Spirit is taking the Words of God and making Them manifest literally to us by healing the sick, showing us visions, raising the dead, and doing just exactly what He promised to do.
And may this church and these people, or the portion of the Body of Christ that's assembled here this morning, live like Jesus said to live: "Ye are the salt of the earth." And may they become so salty till their community will be thirsty. Salt creates a thirst, and salt can only save as it contacts. And I pray, God, that You'll grant this to the people, that they might be soul winners also.

57-6 Bless our pastor, Brother Neville, this humble servant, Lord, standing at his post of duty just as reverent, as a member of the Body of Christ, trying his very best to follow everything that You'd tell him to do.
Bless the trustees, them men who stood with me so gracious in this great dark time that I've been through. Stand with the Church, who prayed with me and stood by me in times of trouble. Lord, I love them, and I offer my prayer that they will look to You, Lord. May they look away from this mortal clay of a servant; may they look to Him, Who is the Omnipotent, Who is... And we know, Lord, that we are finite. No matter who we are, we're still mortals. But not the messenger, but the Message... Grant it, Lord. That's where we point to Jesus Christ, the Son of God. Grant that He'll be so real to everyone here today, even to the little children, that He'll become the Absolute of the entire congregation. We ask in Jesus' Name. Amen.

58-1 I love Him, I love Him,
Because He first loved me,
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Now, while we sing it again, shake hands with somebody in front of you, back of you, side of you; just everybody shake hands now. Just remain seated; just turn around and shake hands if you can. See?
I love Him, I love Him,
Because He first loved me,
And purchased my salvation
On Calvary's tree.

58-2 They just announced Communion Monday night at midnight. Let's raise our hands now and sing to Him. How many--how many feels you've--He is your Absolute? The Word is... He is the Word. Do you believe that? He is the Word, and the Holy Spirit germitized that Word to make that Light live in you of the Word, the vindication of the Word. Put the Word in your heart; let the Holy Spirit come in and watch the Word move. Believe, be humble; don't desire to be a great somebody; be a nobody, that God can make you a somebody. See? All right. Do that now.
Everybody love Him say, "Amen." [Congregation answers, "Amen."--Ed.] You know what the word "Amen" means? "So be it." Amen. That's right.
Let's say, "Hallelujah." [Congregation answers, "Hallelujah."--Ed.] You know what that means? "Praise our God."

58-5 When I was in Germany not long ago, I got up before about thirty or forty thousand people out there that day, and I said, "It's a strange thing that you German people can't understand." I said, "On my road down here today, a dog barked at me in English. That's right." I said, "He had no trouble at all. And there set a bird, and he sang for me in English. I come down the street, and a mother had a little baby on her arm, when I come in back there at the back." And I said, "That baby was crying in English. What's the matter with you people?" That's right. Oh, if you just look around, He's everywhere, isn't He? Sure He is.

59-1 Now, let's just raise our hands, and close our eyes, and sing, while we ask the pastor to come up for dismissing. Let's stand up first. Everybody on your own feet. Everybody, do you love Him, again now? Say, "Amen." And did you know, the word "Hallelujah" is the same in every dialect? Go in the Hottentot jungles of Africa; "Hallelujah" is the same word. Hallelujah. It ought to almost be a Christian salutation, oughtn't it? Hallelujah. The word means "praise our God." And He's worthy of it, isn't He? He's absolutely my Saviour; He's absolutely Jesus Christ, the Son of God, to me. He's absolutely the same yesterday, today, and forever to me. Is He that way to you?
I love Him, I love Him,
Because He first loved me,
And purchased (God bless you, brother.)
On Calvary's tree.

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