La Communion

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La Communion - VGR
Date: 65-1212 | La durée est de: 34 minutes | La traduction: Shp
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1 ...un message émouvant, que Frère Pearry nous a apporté tout à l'heure à partir de la Parole de Dieu. Combien il est vrai que «nous limitons Dieu et que nous fixons un temps à Dieu. Mais Lui est Eternel, nous ne pouvons pas faire cela.» Ce soir donc, nous sommes en présence de quelque chose d'autre maintenant, c'est la communion.

2 Trois ans durant, j'ai attendu de voir une église s'établir à Tucson, mais la voici. Oui, nous sommes - nous sommes là. Ainsi, nous remercions le Seigneur; Il nous a tout simplement laissés attendre jusqu'au point où nous pouvons maintenant apprécier cela.

3 Maintenant, il y a une chose que j'aimerais dire juste avant que nous ne commencions la communion. C'est que, je crois que dans notre jour, celui dans lequel nous vivons, nous avons assez vu pour devoir, chacun de nous, réellement abandonner tout notre être à Dieu. Nous - nous devrions réellement servir Dieu. Je crois qu'Il nous a bénis par une réponse directe dans les Ecritures. Comme Frère Pearry l'a apporté il y a quelques instants, ce que nous - nous sommes - nous sommes arrivés à ce temps-là. Nous ne sommes pas aveugles, nous - nous - nous voyons que nous y sommes, nous - nous sommes arrivés.

4 Et aussi, nous pouvons regarder tout autour et voir cela, comment l'esprit humain est en train de quitter les gens. En fait, nous - nous ne pouvons pas rester trop longtemps, nous serions dans une institution psychiatrique toute faite, le monde entier y serait. Voyez-vous? Ainsi, nous - nous sommes au temps de la fin.

5 Maintenant, comme Frère Pearry l'a dit à la fin : voyant que ces choses sont vraies, voyez, elles sont vraies, ce ne sont pas des mythes. Ce n'est tout simplement pas quelque chose que nous imaginons. C'est quelque chose qui nous a été directement donné par la Parole de Dieu et qui a été manifesté publiquement devant nous, de sorte que nous savons que nous y sommes. Maintenant nous - nous ne savons pas pendant combien de temps. En effet, nous nous référons encore à une montre, vous voyez, pour voir l'heure qu'il est. Mais nous sommes... nous savons que nous - nous sommes là, nous sommes arrivés à ce temps. Si c'est le temps de Dieu, je pourrai imaginer...

6 Une fois, quelqu'un a fait une petite analyse qui soutenait que si Dieu s'était entendu avec lui concernant... S'Il devait répartir le temps, mille ans ne sont qu'un jour. Ainsi, si un homme vivait pendant soixante-dix ans, cela ne représenterait que quelques minutes selon le temps de Dieu. Voyez-vous? Bien. Et il a ajouté que si c'était quarante ans, cela ne représenterait même pas, à peine, le temps qu'Il mettrait à cligner l'œil. Voyez-vous? Voyez combien c'est aussi rapide que ça, le tout, si - si le temps devrait être réparti, en fait, Lui ne connaît pas de temps. Ainsi, Il est tout simplement Eternel.

7 Je crois que c'était Sarah là-derrière... non, c'est plutôt Joseph, qui l'autre soir, m'a demandé, à moi et à Frère Pearry, disant : «Papa, où, quand Dieu a-t-Il commencé d'exister? D'où est-Il venu?» Vous voyez? «Il a dû avoir un commencement, n'est-ce pas? N'a-t-Il pas dû avoir un commencement?»

8 J'ai répondu : «Non. Tout ce qui a un commencement a une fin, mais c'est ce qui n'a pas de commencement qui n'a pas de fin.» Mais naturellement, pour lui qui a dix ans, c'était en quelque sorte vraiment difficile. Voyez-vous? Et comment pourrait-il recevoir cela, comprendre que quelque chose n'ait jamais eu de commencement? Non seulement pour lui, cela l'est aussi pour moi. Maintenant pour nous tous, vous voyez, c'est tout simplement une dose trop forte pour moi, comment cela a donc commencé.

9 Maintenant, nous nous apprêtons à observer ici quelque chose qui est vraiment sacré.

10 Il y a quelques jours, j'ai été visité par un très brave gentleman Chrétien qui - qui n'avait jamais pris ceci, et il avait entendu dire que nous prenions littéralement la communion. Eux prennent ce qu'ils appellent la «communion spirituelle». Et, en effet, aussi longtemps qu'il s'agit de la communion, je dirais que c'est en ordre parce que communiquer, c'est «parler à», voyez. Et le Frère m'a montré cette Ecriture, il a dit: «Frère Branham, ne pensez-vous pas maintenant...»

11 Maintenant, la raison pour laquelle je dis ceci... C'est en ordre, Frère Pearry? [Frère Pearry Green répond : «Assurément.» - Ed.] Voyez, la raison pour laquelle je dis ceci, c'est afin que vous puissiez comprendre ce que vous faites. Vous ne... si vous entrez aveuglément dans quelque chose, vous ne savez pas où - ce que vous faites. Vous ne pouvez même pas avoir confiance si vous ne savez pas ce que vous faites. Mais vous devez comprendre ce que vous faites et pourquoi vous le faites.

12 Il a demandé : «Maintenant, si nous prenons la Parole de Dieu, n'est-ce pas Dieu que nous prenons?»

13 J'ai répondu : «C'est tout à fait vrai, monsieur. C'est vrai. Mais nous lisons ici qu'effectivement ils... Paul a enseigné de prendre le repas du Seigneur littéralement. Faites ceci en mémoire de Moi, a dit Jésus. Toutes les fois que vous prenez ceci en mémoire de Moi, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu'à ce qu'Il vienne.» Voyez-vous? Maintenant, il nous faut prendre cela.

14 Nous comprenons que Saint Paul, qui a mis cela en ordre dans l'église, était le prophète du Nouveau Testament. Pierre, Jacques, Jean, eh bien, eux tous, Matthieu, Marc, Luc ils ont écrit, comme des scribes, ce que Jésus avait fait. Mais Paul a mis la chose en ordre, il était le - le prophète du Nouveau Testament. Tout comme Moïse alla au désert pour recevoir l'inspiration afin d'écrire les - les cinq livres de - de... les cinq premiers livres de la Bible, eh bien, Paul aussi est allé au désert et a reçu l'inspiration de la part de Dieu pour mettre l'Eglise du Nouveau Testament en ordre, et le faire selon le type de l'Ancien.

15 En ce temps-là, ils offraient en sacrifice un agneau, c'est ce qu'Israël observait à titre commémoratif. Cela avait effectivement été offert une fois, à la sortie de l'Egypte. Mais par la suite, ils ont observé cela à titre commémoratif tout au long de l'âge. Eh bien, si la loi est l'ombre des choses à venir,... vous voyez?

16 Maintenant je crois vraiment que la communion ou (ce que nous appelons «communion» maintenant), c'est le fait de... c'est le souper du Seigneur.

17 Maintenant, nous avons seulement trois ordonnances naturelles divines qui nous ont été laissées. L'une d'elles, c'est - c'est la communion; le lavage des pieds, le baptême d'eau. Ce sont les seules trois choses. C'est la perfection en trois, vous voyez. Et ce sont les seules trois ordonnances que nous avons. Nous nous rendons compte que c'était l'ordre donné par Saint Paul dans le Nouveau Testament.

18 Maintenant, si nous disions que «la communion devrait consister seulement à recevoir la Parole» - je ne crois pas que quelqu'un ait le droit de prendre le repas du Seigneur à moins qu'il ait reçu la - la Parole du Seigneur dans son cœur. Voyez-vous? En effet, je vais... Je vais vous lire quelque chose dans quelques instants et vous comprendrez. Maintenant remarquez. Alors, pourquoi aurions-nous donc - nous aurions...

19 Sur la même base, nous pourrions absolument justifier l'Armée du Salut. Eux ne croient en aucune forme de baptême d'eau. Ils disent : «Nous n'en avons pas besoin». Maintenant, si nous n'avons pas besoin du baptême d'eau, pourquoi sommes-nous baptisés? Ils disent : «L'eau ne peut pas vous sauver, c'est le Sang qui vous sauve.»

20 Je suis d'accord avec cela. Ce - c'est juste. C'est le sang qui vous sauve et non pas l'eau. Mais nous devons prendre l'eau comme une manifestation extérieure de l'œuvre de la grâce qui a été accomplie à l'intérieur. Voyez-vous? Il nous faut le faire aussi pour la communion.

21 Quand nous avons reçu en nous le Seigneur, notre Sacrifice, par la naissance spirituelle en nous, et Son Corps - nous vivons par Lui, par la Parole, nous devrions aussi manifester cela par un symbole parce que c'est un commandement : «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour la rémission de vos péchés.»

22 Paul a dit:«J'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai aussi enseigné; C'est que le Seigneur Jésus, la même nuit où Il fut livré, prit du pain, le rompit et le donna à Ses disciples et - et dit : 'Prenez et mangez, faites ceci en mémoire de Moi.' Car toutes les fois que vous mangez ce pain, vous annoncez Sa mort jusqu'à ce qu'Il vienne.» Maintenant, nous découvrons qu'à ce sujet, il y avait des gens qui venaient et...

23 Ce précieux frère, un très cher frère, vint et dit : jamais je - jamais je n'ai pris cela, Frère Branham, je ne comprends pas ce que c'est.» Il ajouta : «J'ai été enseigné différemment.»

24 J'ai dit : «Mais souvenez-vous, nous accepterons que Saint Paul a mis cela en ordre dans l'église chrétienne primitive. Ils allaient d'une église... d'une maison à une autre, ils rompaient le pain avec simplicité de cœur, et ainsi de suite. Maintenant, ai-je dit, il a effectivement établi cela dans l'église. Dans Galates 1 : 8, il a dit : Même si un ange du Ciel vient et dit quelque chose d'autre, qu'il soit anathème. Vous voyez, voyez, celui-là même qui les a amenés à être rebaptisés (de nouveau), partant du baptême de Jean pour être baptisé au Nom de Jésus-Christ.»

25 Vous voyez, il y a trois choses que nous devons - trois choses que nous devons accomplir comme symboles : le repas du Seigneur, le lavage des pieds, le baptême d'eau. Voyez? Il y a...

26 Vous dites : «Eh bien, le...» Maintenant, l'Armée du Salut considère cela à partir du cas du voleur mourant, lorsqu'il mourait, il n'était pas encore baptisé; Jésus a dit qu'il serait au Ciel. C'est l'exacte vérité. C'est exact. Mais, vous voyez, il - il - il n'a reconnu Jésus que là même, à l'heure où il mourait. Voyez-vous? C'était l'unique - c'était l'unique occasion qu'il avait. Il - il était un voleur, il était éloigné, il était à la fin. Et lui, aussitôt qu'il a vu cette Lumière, il L'a reconnue : «Seigneur, souviens-Toi de moi!» Et Jésus... C'était vrai.

27 Mais pour vous et moi qui savons que nous devons être baptisés et qui refusons de le faire, ce sera donc entre vous et Dieu. Il en est de même de la communion!

28 Maintenant, lorsque nous prenons cette communion, ce n'est pas simplement une question de dire : Je viens ici et je vais manger du pain et je croirai que je suis un Chrétien. Mais, si vous l'avez remarqué, la Bible a dit : «Celui qui mange et boit indignement sera coupable envers le Sang et le Corps du Seigneur.» Voyez-vous? Vous devez mener une vie qui - qui... devant les gens, qui... et devant Dieu et les gens, qui montre que vous êtes - que vous êtes sincère.

29 Maintenant, juste un moment encore. Maintenant, dans l'Ancien Testament lorsqu'on offrait un sacrifice, c'était un - un précepte ou une ordonnance. Et il en est de même, le baptême d'eau est une ordonnance; de même, le lavage des pieds est une ordonnance; de même, le repas du Seigneur est une ordonnance. «Heureux celui qui observe toutes ces ordonnances, qui observe tous ces préceptes, tous ses commandements, afin d'avoir droit de prendre part à l'Arbre de la Vie.»

30 Maintenant, remarquez ce qu'il en est, maintenant, c'est que sur ce point, quand c'était au début une ordonnance de Dieu d'amener le sacrifice à l'église, au temple et à l'autel, et de présenter son offrande et - et le sacrifice d'un agneau pour ses péchés; eh bien, je peux alors me représenter un frère Juif descendant la route, sachant qu'il est coupable. Et il va à l'autel, il apporte soit un veau gras, soit un taureau, soit tout ce qu'il avait, soit un bélier, un agneau ou autre chose. Il l'amenait sur son chemin, venant aussi sincèrement qu'il le pouvait, s'approchait là, observant l'ordonnance de Dieu en toute sincérité.

31 Ensuite, il plaçait ses mains dessus, confessait ses péchés, et le sacrificateur plaçait cela (ses péchés) sur l'agneau, et la gorge de l'agneau était coupée et - et puis l'agneau mourait à sa place. Pendant qu'il avait les mains placées dessus, sur le petit animal qui s'agitait et saignait, (le petit agneau agitait ses pattes et saignait), ses mains étaient pleines de sang, et ça jaillissait et le couvrait entièrement (le petit agneau se débattait, agonisant), il se rendait compte qu'il avait péché et que quelque chose devait mourir à sa place. Par conséquent, il offrait la mort de cet agneau à la place de sa propre mort. Voyez-vous, l'agneau mourait à sa place. Cet homme le faisait alors avec sincérité, du fond de son cœur.

32 Finalement cela s'est répété de plus en plus, cela a ainsi continué jusqu'à ce que finalement c'était devenu une tradition. Le commandement de Dieu était devenu une tradition pour les gens. Et alors, le voici venir : «Eh bien, voyons, c'est Untel aujourd'hui, peut-être que je ferais mieux d'y aller. Oui, je ferais mieux d'offrir un - un taureau.» Il y alla : «Eh bien, Seigneur, voici mon taureau.» Voyez, il n'y avait plus de sincérité là-dedans, il n'y avait plus de discernement.

33 Maintenant, nous ne voulons pas prendre la communion de cette façon-là. Il en est de même quand nous venons à la table du Seigneur.

34 Dans Esaïe 35... non, excusez-moi, Esaïe 60... Laissez-moi reprendre cela. Je - je - je crois que c'est Esaïe 28, c'est là que nous trouvons ceci. Je suis assez sûr que c'est bien le chapitre. Il a dit : Précepte sur précepte, et règle sur règle, sur règle, sur règle, un peu ici, un peu là. Retenez ce qui est juste. C'est par des hommes aux lèvres balbutiantes et aux langages barbares que Je parlerai à ce peuple. Et voici le Repos.

35 Il a dit : «Toutes les tables du Seigneur sont pleines de vomissures. A qui puis-je enseigner la doctrine? A qui pourrai-je faire comprendre?» Voyez-vous? Je pense que c'était cela l'Ecriture appropriée, Esaïe 28. «A qui pourrai-je enseigner la doctrine?» Voyez : «Les tables.»

36 Maintenant, nous découvrons aujourd'hui que cette grande chose que nous sommes sur le point d'accomplir ce soir, en commémoration de Sa mort - et Son Corps que, nous croyons que nous mangeons chaque jour ou, que nous venons de manger pendant que notre frère nous prêchait... Pour ce qui est de manger la Parole de Dieu, nous le croyons de tout notre cœur. Nous La voyons manifestée, nous La voyons nous être donnée, nous La voyons confirmée, nous La sentons dans nos vies. Et nous devons nous approcher de ceci en étant profondément conscients de ce que nous faisons, non pas seulement parce que c'est un ordre.

37 Vous entrez dans une église, et plusieurs fois on distribue un biscuit sec ou une sorte de - une certaine chose, on le brise, un pain léger ou - ou autre chose et - et on le brise; et des gens qui fument, boivent et tout le reste, comme ils sont membres de l'église, ils viennent et prennent le repas du Seigneur. Eh bien, c'est de la souillure devant Dieu!

38 Même le sacrifice, Il a dit : «Vos jours sacrés et votre sacrifice sont devenus une puanteur à Mon nez.» Pourtant, Il leur avait prescrit d'offrir ce sacrifice. Mais la manière dont ils le faisaient, c'était devenu une puanteur, une odeur répugnante à Son nez (Ses narines), le sacrifice même que Lui avait ordonné.

39 C'est ainsi que nous prenons la Parole de Dieu, beaucoup de Chrétiens aujourd'hui (des soi-disants) font cela. Nous nous tenons ici et nous enseignons cette Parole, disant : «Jésus n'est pas le même hier, aujourd'hui, et pour toujours.» Et nous enseignons des choses qu'Il nous a promis d'honorer, et disons : «Oh! bon, cela concernait quelque chose d'autre.» Nos adorations solennelles sont tout simplement devenues une puanteur à Son nez. Il ne recevra point cela, en aucun cas. C'est bien là la raison : à cause de nos habitudes traditionnelles!

40 Vous ne prenez pas le repas du Seigneur par tradition. Vous prenez cela parce que c'est l'amour de Dieu dans votre cœur, en observant les commandements de Dieu. Voyez, c'est pour cela que vous le prenez.

41 Ainsi, si vous ne le prenez pas avec sincérité, c'est tout simplement une tradition. «Eh bien, notre église prend la communion une fois, chaque dimanche, ou une fois, chaque mois, ou deux fois par an», et vous vous avancez là, disant : «Eh bien, c'est mon tour», et - et puis vous prenez la communion, eh bien, pour Dieu c'est une puanteur! Voyez, ce n'est qu'une tradition.

42 Il en est de même pour toute autre chose. Vous - vous devez être sincère. Dieu veut les profondeurs de votre cœur. Rappelez-vous, le Dieu même Qui vous a amené ici sur terre est Celui que vous servez. Voyez-vous?

43 Vous faites ceci parce qu'Il l'a dit, parce que c'est Son commandement. Nous aimerions donc nous approcher en toute sincérité, sachant que c'est par la grâce de Dieu que nous avons été sauvés. Et nous - nous L'aimons et nous sentons Sa Présence, et nous - nous voyons Cela changer nos vies. Notre - notre être entier est changé. Nous - nous - nous sommes des gens différents. Nous ne vivons plus comme nous vivions, nous ne pensons plus comme nous pensions.

44 C'est comme dans ce Livre-ci, et ce point sur lequel nous parlions, - concernant les deux Livres qui sont Un, le Livre de Vie. Le premier Livre de Vie est apparu quand vous êtes venu au monde, c'était votre naissance naturelle. Voyez-vous? Mais alors, une fois, là au fond, il y avait un petit grain de vie, comme je l'expliquais à certaines jeunes sœurs à la maison cet après-midi. Voyez, il y a un petit grain de vie qui se trouve là, au sujet duquel vous vous posez des questions : «D'où est-il venu? Que - que sont ces choses étranges?»

45 Je disais ceci, en prenant mon propre exemple, que c'est comme qui dirait : «William Branham, eh bien, il y a quarante ans, ce William Branham là n'est pas le même que celui de ce soir.» Et, quelqu'un dans le passé pouvait bien dire : «William Branham est un vaurien», voyez, c'est parce que j'étais né de Charles et Ella Branham. De par leur nature, j'étais un pécheur, je suis venu au monde étant un menteur, et toutes les habitudes du monde étaient simplement en moi. Mais là au fond, se trouvait aussi une autre nature, voyez, prédestinée, placée là par Dieu. Dans ce même corps, voyez-vous, il y a deux natures.

46 Eh bien, je ne satisfaisais qu'une seule. Au fur et à mesure qu'elle grandissait, je balbutiais comme un bébé : «Da - da.» En premier lieu, vous savez, je suis devenu un menteur, je suis devenu tout ce qu'un pécheur peut être, parce que j'ai grandi comme cela. Mais là au fond, il y avait pendant tout ce temps un petit brin de vie.

47 Je me souviens toujours que quand j'étais un petit garçon... (j'espère que je ne suis pas en train de vous retenir trop longtemps. Mais sachant...) assis là dans le... au - au bord d'une rivière, et je m'asseyais là et je regardais tout autour pendant la nuit. Papa et maman sont maintenant allés se reposer. Et en ce temps-là, ils étaient des pécheurs, il n'y avait pas du tout de Christianisme dans notre maison. Et, oh là là! la boisson, des fêtes et des mauvais comportements, cela me rendait malade. Je prenais ma - ma lampe et mon chien et je partais dans le bois pour y rester toute la nuit. Pendant l'hiver, je chassais jusqu'à ce que la fête soit terminée, peut-être jusqu'au matin, à l'aube. Je rentrais à la maison, si ce n'était pas fini, je me couchais sur le toit d'une cabane et je dormais, attendant le lever du jour.

48 Puis, je pensais comment des fois, me trouvant là dehors en été, je ramassais les morceaux de bois et je les enfonçais pour faire un petit abri, pour le cas où il pleuvrait. Je me couchais là et j'avais des perches enfoncées dans l'eau, je pêchais. Mon vieux chien, chasseur des ratons laveurs, était couché là. Je me disais : «Regarde ici. Tu sais, l'hiver passé j'ai campé juste ici un soir, j'avais allumé un feu à cet endroit pendant que j'attendais mon vieux chien ici, près de cet arbre et j'avais allumé un feu ici. Le sol était gelé jusqu'à une profondeur de 5 pouces [12,7 cm - NDT]. Mais toi petite fleur, d'où es-tu venue?» Voyez-vous? «Eh bien, d'où - d'où es-tu venue? Qui est venu ici et t'a plantée? Et dans quelle serre chaude [Jardin d'hiver - NDT] t'a-t-on fait épanouir? Ou - ou qu'en est-il de cela? D'où es-tu venue?» Voyez-vous? A cette petite fleur, je disais : «Eh bien, il y avait de la neige et tout, et j'avais allumé un feu là-dessus. A côté des choses qui avaient gelé, il y avait quelque chose e chaud qui se trouvait là, sur un vieux bûcher là où j'avais allumé du feu. Et pourtant te voilà, et tu es vivante. D'où es-tu venue?»

49 Qu'était-ce? C'était un autre William Branham. Voyez-vous? Un petit brin de Vie Eternelle là au fond, venant de - de - des gènes de Dieu, la Parole de Dieu qui était placée là-dedans. Chacun de vous peut penser aux choses semblables. Voyez, Ça travaillait.

50 Ensuite, je levai les yeux vers les arbres et je me dis : «Toi feuille, je t'ai vue tomber l'année passée, et pourquoi es-tu revenue là? D'où es-tu venue? Qu'est-ce qui t'a amenée ici?» Voyez, c'était cette Vie Eternelle qui travaillait dans le corps.

51 Bon, puis un jour, pendant que je marchais, cette Voix parla : «Ne fume pas, ne bois pas et, ainsi de suite.» Et les jeunes gens et tout... je grandissais. Vous voyez, il y avait Quelque chose qui se mouvait.

52 Mais malgré tout, tout d'un coup j'ai levé les yeux et j'ai dit : «Je ne suis pas le fils de Charles et Ella Branham. Il y a Quelque Chose qui appelle.» C'est comme mon petit aigle : «Je ne suis pas un poulet, il y a Quelque Chose là-haut. O Grand Jéhovah, Qui que Tu sois, ouvre! Je veux revenir à la Maison. Il y a Quelque Chose en moi qui appelle.»

53 Ainsi, j'étais né de nouveau. Cette petite Vie reposait là, la vie de l'eau était déversée là-Dessus, puis cela commença à croître. [Frère Branham claque ses doigts trois fois - Ed.] Maintenant cette vieille vie a été pardonnée, jetée dans la mer de l'oubli de Dieu pour ne plus jamais être rappelée à ma charge. Voyez-vous? Maintenant nous sommes justifiés dans la Présence de Dieu comme si nous n' avions jamais péché.

54 Ainsi, lorsque nous venons à la table du Seigneur, nous devons venir avec révérence, amour et respect, considérant où nous nous serions retrouvés, n'eût-été Lui. Voyez? Regardez là où cela aurait...

55 C'est pourquoi, je pense que c'est Paul qui a dit ceci : «C'est pourquoi lorsque vous vous rassemblez pour manger, patientez les uns pour les autres.» Cela signifie, en d'autres termes, attendez juste quelques minutes, priez, examinez-vous. Et si vous savez qu'un frère qui se trouve là est sur le point de faire quelque chose de faux, ou autre chose, priez aussi pour lui. Voyez-vous? Voyez : «Patientez les uns pour les autres», attendez juste un instant, priez. S'il y a quelques ressentiments entre vous ou autre chose, ne - ne prenez pas cela - ne prenez pas cela, allez d'abord arranger cela. Voyez-vous? Allez d'abord mettre cela en ordre, parce que nous voulons venir ici avec des pensées aussi pures que possible les uns envers les autres, et envers Dieu, et l'un envers l'autre, et alors nous entrons dans une communion fraternelle autour de la table du Seigneur. Voyez-vous?

56 Et nous faisons ceci parce que nous Lui rendons des actions de grâce et entre nous, nous mangeons du pain ensemble, nous buvons du vin ensemble, cela étant comme Son Sang et Sa chair.

57 «Si vous ne mangez pas la chair du Fils de l'homme et ne buvez pas Son Sang, vous n'avez pas de Vie en vous.» Voyez-vous? Vous voyez, c'est ce que la Bible dit. Si vous ne le faites pas, il n'y a point de Vie. Vous voyez? Vous êtes alors, d'une certaine manière en train de montrer que vous avez honte de vous identifier en tant que Chrétien à cause de la vie que vous menez. Et alors, c'est vraiment le temps de confrontation. Alors si vous ne le faites pas, vous n'avez pas de Vie. Si vous le faites indignement, vous êtes coupable envers le Corps du Seigneur.

58 Il en est de même du baptême d'eau. Si nous disons : «Nous croyons en Jésus-Christ, Il nous a sauvés du péché, et nous sommes baptisés au Nom de Jésus Christ», eh bien, nous jetons - nous jetons de l'opprobre sur Lui si nous faisons des choses qui sont fausses. Alors nous - nous aurons à payer pour cela. Et autre chose, quand nous faisons cela, nous essayons de professer une chose, tout en faisant autre chose.

59 C'est cela notre problème aujourd'hui. [Frère Branham frappe ses mains -ED.] Ce que je pense... Je dis «nous», moi et l'église à laquelle le Seigneur m'a permis de m'adresser en ces dernières heures, nous croyons en effet que nous sommes au temps de la fin. [Frère Branham frappe une fois sur la chaire -Ed.] Nous croyons que Dieu nous a donné un Message. Il est ordonné par Dieu, Il a été prouvé par Dieu, Il a été démontré par Dieu. Maintenant nous devons venir auprès de Lui avec révérence, avec amour et avec - avec pureté de cœur, d'esprit et d'âme.

60 Vous savez, l'heure va bientôt arriver où - où juste au milieu de nous il y aura... le Saint-Esprit va parler comme Il l'avait fait à Ananias et Saphira. Souvenez-vous, voyez, cette heure arrive. Voyez-vous? Et nous sommes... Maintenant, souvenez-vous tout simplement de cela - voyez - de ce que Dieu va demeurer au milieu de Son peuple. C'est ce qu'Il veut faire maintenant.

61 Nous pouvons recevoir le Message disant que... si j'étais un jeune homme et - et que je cherchais une femme, je pourrais trouver une femme, je dirais : «Elle est bien parfaite. Elle est une Chrétienne. C'est une dame. Elle est tout cela, j'ai confiance.» Peu importe le degré de confiance, peu importe combien je pense qu'elle est jolie, je dois l'accepter, elle doit m'accepter sur base de ces vœux, voyez.

62 Eh bien, nous trouvons que c'est la même chose avec le Message. Nous voyons qu'Il est vrai. Nous voyons Dieu confirmer qu'Il est vrai. Il est parfaitement correct. Année après année, année après année, Cela continue correctement. Cela continue correctement. Tout ce qu'Il dit arrive exactement comme Lui l'a dit. Maintenant, nous savons qu'Il est vrai, mais, voyez-vous, ne faites pas cela du point de vue intellectuel. Si vous le faites, vous aurez une religion d'occasion. [Frère Branham frappe six fois sur la chaire - Ed.] Voyez-vous? Nous ne voulons pas une religion d'occasion, quelque chose qu'une autre personne a expérimenté et nous vivons de - de son témoignage.

63 Comme je le crois, c'était Jésus qui avait dit à Pilate quelque chose, une Parole à laquelle je pensais, il y a quelques instants. Il avait dit là : «Qui vous a dit cela?» ou : «Cela vous a-t-Il été révélé? En d'autres termes : Comment avez-vous su ces choses? Je ne me rappelle plus exactement cette expression, ça fait longtemps que j'ai lu cela, mais: «Comment avez-vous - comment avez-vous remarqué ce que... comment... qui vous a révélé cela?» C'était au sujet de Sa qualité de Fils de Dieu. Qui vous a révélé cela? Quelqu'un vous l'a-t-il dit? Ou, comme Jésus l'a dit : «Est-ce Mon Père dans le Ciel qui vous l'a révélé?» Voyez-vous? Voyez-vous? Comment avez-vous appris cela? Est-ce une révélation d'occasion ou une parfaite révélation venue de Dieu?»

64 Cette communion est-elle tout simplement quelque chose dont je m'approche, un ordre, en disant : «Eh bien, les autres prennent cela, moi aussi je vais prendre?» C'est une révélation que je suis une partie de Lui et je suis une partie de vous, que je vous aime et je L'aime; et ensemble, nous prenons ceci comme un symbole de notre amour envers Dieu, et de notre amour et de notre communion fraternelle les uns avec les autres.

65 Maintenant, j'aimerais lire quelques passages des Ecritures. Et puis, je pense... ou avez-vous... n'importe comment que Frère Pearry désire aujourd'hui. Je désire que vous lisiez cela avec moi, si vous avez votre Bible. I Corinthiens, au - au chapitre 11, en commençant par le verset 23.

66 Et puis, aussi, dans notre Tabernacle, nous avons toujours observé ceci ainsi que le lavage des pieds, toujours, parce qu'ils vont de pair. Je pense que le frère a annoncé cela pour mercredi soir à cause du grand nombre des gens et de ce que l'on n'a pas assez pour... des places où mettre les gens pour le lavage des pieds, ils vont observer - observer cela le mercredi soir.

67 Maintenant, le verset 23 du chapitre 11 de I Corinthiens, écoutez maintenant Paul. Maintenant rappelez-vous, et gardez cela à l'esprit, Galates 1:8 : Si nous mêmes ou un ange du Ciel vous prêche un autre Evangile» (que cet Evangile qu'il avait prêché), qu'il soit anathème. Voyez-vous? Car j'ai reçu du Seigneur ce que je vous ai aussi enseigné; c'est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où Il fut livré, prit du pain, et après avoir rendu grâces, Il le rompit,... dit : Prenez et mangez, ceci est Mon Corps qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de Moi.

68 Maintenant, laissez-moi m'arrêter juste ici pour dire que, cependant, prendre le corps du Seigneur Jésus-Christ dans cette communion ne signifie pas que cette communion est le corps littéral de Christ. Ça, c'est catholique. Je ne crois pas que cela soit vrai. Je crois que c'est tout simplement une ordonnance que Dieu nous a prescrite, voyez-vous, ce n'est pas le véritable corps. C'est... Maintenant, c'est réellement un petit morceau de pain kasher. C'est tout simplement une ordonnance.

69 Je ne crois pas non plus que le baptême d'eau de Jésus-Christ (au Nom de Jésus-Christ) expie vraiment les péchés. Je ne crois pas que vous... Je crois que vous pourriez être baptisé tout au long du jour... Maintenant, je sais qu'il y a peut-être des gens assis ici qui sont venus de l'église apostolique, je veux plutôt dire de l'église Pentecôtiste Unie où l'on enseigne cela. Mais vous voyez, je - je ne crois pas que l'eau expie les péchés. Ou si tel était le cas, alors Jésus serait mort en vain. Voyez-vous? Je crois que c'est seulement une ordonnance de Dieu, voyez, pour montrer que vous avez été pardonné. Mais être baptisé pour la régénération, non, je - je - je ne crois pas cela. Je ne crois pas que l'eau expie les péchés.

70 Je ne crois pas non plus que ce pain et ce vin aient quelque chose à faire avec vous si ce n'est tout simplement qu'observer une ordonnance que Dieu nous a prescrit d'observer. Voyez-vous? C'est vrai. Je crois que c'est la même chose pour le baptême d'eau. Je crois que nous sommes obligés de faire cela, car Il a fait tout cela pour nous servir d'exemple. Et Il a fait ceci pour nous servir d'exemple. Et Il a lavé les pieds pour nous servir d'exemple.

71 Maintenant : De même... (verset 25) ... de même après avoir soupé, Il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. Car toutes les fois... (rappelez-vous maintenant!...) car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'Il vienne. (Jusqu'à quand? «Jusqu'à ce qu'Il vienne!» Voyez-vous? Voyez-vous?) C'est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.

72 Permettez-moi de m'arrêter juste une minute. La raison pour laquelle il a dit cela, vous avez remarqué dans un autre verset ici, un autre chapitre, qu'il a dit : «J'ai appris que lorsque vous - lorsque vous vous rassemblez, vous mangez, vous vous enivrez même à la table du Seigneur.» Ils avaient mal compris cela, vous voyez. Ils mangeaient tout simplement comme des gloutons, vous voyez. C'est juste comme les gens le font aujourd'hui, ils mènent tout simplement n'importe quel genre de vie et prennent cela. Voyez-vous? Il a dit : «Vous avez des maisons où manger. Voyez. Mais, ceci est une ordonnance que nous devrions observer. Voyez.»
Mais que chacun s'éprouve soi-même, et qu'ainsi, il mange du pain et boive de la coupe; car celui qui mange et bois sans discerner le Corps du Seigneur, mange et bois un jugement contre lui-même. (Voyez-vous?)

73 Qu'est-ce que vous êtes? Vous êtes un Chrétien, vous vivez devant tout le monde comme un Chrétien. Et si vous prenez cela et que vous ne vivez pas comme un Chrétien, vous ne discernez pas le Corps du Seigneur. Vous placez une pierre d'achoppement sur le chemin de quelqu'un d'autre, voyez, du moment qu'on vous voit essayer de faire cela et ensuite ne pas mener la vie que vous êtes censé mener. Voyez, vous ne discernez pas le Corps du Seigneur. Maintenant, observez ce que cela... la malédiction qui est rattachée à cela.
C'est pour cela qu'il y a parmi vous beaucoup d'infirmes et de malades, et qu'un grand nombre dorment. (La traduction correcte de ce mot, Frère Pearry, c'est «morts» voyez-vous? Voyez, «un grand nombre sont morts») Car si nous - car si nous nous jugions nous mêmes, nous ne serions pas jugés. (Voyez, si nous nous jugeons nous mêmes, nous ne serons pas jugés. Voyez-vous?) Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde. (Voyez-vous, pas de liens avec le monde.) Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres. (Voyez-vous?) Et si quelqu'un a faim, qu'il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour attirer un jugement sur vous. Et je réglerai les autres choses quand je serai arrivé! Voyez-vous?

74 Maintenant, en d'autres termes, ne venez pas tout simplement pour prendre cela comme un... Comme je l'ai dit, il y a un instant, au sujet de ce que les Juifs, leur sacrifice, ils... c'était merveilleux, cela avait été exigé par Dieu, mais cela en était arrivé au point où ils ne le faisaient plus avec sincérité, révérence, et avec ordre, finalement c'était devenu tout simplement un... c'était devenu une - une puanteur à Son nez.

75 Maintenant, la même chose se passe lorsque nous venons pour prendre le repas du Seigneur. En fait, nous devons venir tout en sachant ce que nous faisons. C'est juste comme lorsque vous entrez dans l'eau pour être baptisé au Nom de Jésus-Christ, vous savez ce que vous faites, vous montrez à l'église ce que Dieu a placé en vous: Christ.

76 Lorsque nous prenons ceci, cela montre à l'église que «je crois chaque Parole de Dieu. Je crois qu'Il est le Pain de Vie Qui est descendu du Ciel d'auprès de Dieu. Je crois que chaque Parole qu'Il dit est la Vérité. Je vis de Cela au mieux de ma connaissance, Dieu est mon Juge. Par conséquent, devant mes frères, devant mes sœurs... Je - je ne jure pas, je ne prononce pas de malédiction, je ne fais pas ces choses, parce que j'aime le Seigneur, et le Seigneur sait cela et m'en rend témoignage. Par conséquent, devant vous, je prends ce morceau de Son Corps pour témoigner que je ne suis pas condamné avec le monde.» Vous voyez, là vous y êtes, c'est alors une bénédiction.

77 Et souvenez-vous, je peux donner beaucoup de témoignages là-dessus, sur les occasions où j'ai pris cela et je l'ai expliqué dans une chambre des malades; et je les ai vus être guéris.

78 Rappelez-vous, après qu'Israël eut pris ceci sous forme de type, ils ont voyagé quarante ans dans le désert, et leurs habits ne s'étaient même pas usés, et ils en sont sortis sans une seule personne faible, pas une seule parmi eux, sur deux millions de gens; cela était un type de ceci. Eh bien, que fera l'antitype? Si le corps de l'animal de sacrifice a fait cela pour eux, que fera le Corps de Jésus-Christ, Emmanuel, pour nous? Soyons tout simplement révérencieux lorsque nous venons. Soyons tout simplement aussi révérencieux que possible en venant.

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