Lettre Audio A Lee Vayle

Date: 64-0500 | La durée est de: | La traduction: Shp
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1 [Ce texte est une transcription d'une "lettre audio" que frère Branham a adressée à Lee Vayle, concernant le manuscrit du livre Le Prophète du Vingtième Siècle. Elle a été enregistrée au domicile de frère Fred Sothmann; cela a commencé un mercredi après-midi, et s'est terminé (la partie qui commence par le paragraphe 17) un jeudi matin. - N.D.E.]
Nous sommes ici, cet après-midi, pour étudier la - la bande ou plutôt ce manuscrit que vous nous avez remis. Vous remarquerez à la page… (C'est quelle page?) à la page 6, le numéro 1 y figure. Et à travers tout ceci nous allons… ce que nous trouvons qui peut être inséré… Eh bien, vous n'êtes pas obligé de le faire, mais je dis tout simplement que cela pourrait être fait.
Ce numéro 1 ici à la page 6, vous verrez un-un côté le numéro 1 en petit caractère, souligné. Vous parlez ici du… Il est dit que les - les Ecritures seules ne sauraient soutenir la - la - la doctrine que nous essayons d'insérer ici, mais il a fallu prendre aussi l'histoire, en plus des Ecritures.

2 Ne trouvez-vous pas qu'il serait donc recommandé ici de dire que Dieu, dans le but de - de proclamer ceci, doit envoyer un prophète afin d'i… - d'injecter ceci, de rendre cela réel de nouveau, de montrer aux gens l'heure dans laquelle nous vivons? En effet, si les gens ne voient cela qu'à l'époque passée, il n'y a donc plus d'espoir pour l'église. L'église doit voir cela au temps présent. Ainsi, Dieu envoie Son prophète pour manifester la chose au temps présent. Vous voyez? Et puis, après que c'est terminé, alors cela appartient à l'histoire.
Eh bien, vous pourriez insérer cela, Frère Lee. Je ne sais pas si c'est nécessaire ou pas, mais ce n'est qu'une idée, juste ici.
Merci beaucoup. (Quelle page?) Euh…

3 Frère Lee, ici à la page 10, je vois concernant le… je crois, c'est le troisième âge de l'église, là; vous ne - vous n'avez placé aucun nom. J'avais attribué cela à Martin. Et il y avait aussi, dans votre lettre, une question sur Mar-… qui c'était et où nous avons trouvé cela - au sujet de ses écrits.
Eh bien, on parle de Martin dans le - le livre sur Nicée, et dans les écrits sur les - les pères primitifs du - du… au Con- …. Concile de Nicée. J'ai cela chez moi dans mon bureau. Je n'ai pas ça ici. A ce que je sache, Martin ne fut pas reconnu. Cela - cela n'est pas reconnu, plutôt. Je sais qu'il est vrai qu'il a été canonisé comme un saint.
Et pourtant, quand on suit ses écrits et ce qu'il a fait… Je ne me rappelle pas présentement qui a écrit à son sujet. Mais cela… j'ai lu cela dans le… je ne connais pas le numéro du volume sur Nicée, là où ça se trouve. Je pourrais peut-être vous l'envoyer afin que vous puissiez le lire si vous le voulez.
Ce sont les - les écrits de saint Martin ou plutôt les écrits de celui qui a écrit au sujet de saint Martin. Mais c'était un - un homme très courageux, qui avait pris position pour ce qui était - était juste.

4 Avez-vous ce petit livre ou… intitulé Comment cela est arrivé. Je ne me rappelle pas pour le moment qui en est l'auteur. C'est Comment cela est arrivé. C'est un peu ce qui a été glané dans - dans l'histoire. Je pense que c'est cette femme écrivain (j'oublie son nom), qui - qui a écrit cela. J'ai aussi cela chez moi au bureau.
Mais il a pris position pour les choses, les principes, comme l'église primitive Ephèse - d'Ephèse, plutôt, avait pris position pour ce que Paul soutenait. Et c'était un grand homme.
Rappelez-vous que son - son père était, je crois, un soldat. Et, en fait, il a dû suivre les traces de son père. Je crois qu'il était un Français, et qu'il était de Tours, je crois que c'est ça, Tours ou Torra, en France. Il s'est converti au moment où les gens gisaient là, ou plutôt quand les gens entraient et sortaient par la porte...

5 Un jour, un clochard était étendu à la porte. Et il se mourait, il mourait de froid. Et personne ne voulait lui venir en aide. Et Martin a déchiré son manteau en deux et en a donné une partie à ce clochard. Et cette nuit-là, dans une vision, quand il s'est réveillé dans la chambre, il a vu Jésus debout là, enveloppé de ce vieux morceau de manteau dont il avait - avait couvert ce clochard.
Et c'était un homme très courageux et très humble, si bien que je - je l'ai choisi d'après mon opinion sur les - sur les âges de l'église, comme étant le messager de cet âge-là.
Eh bien, si vous… j'oublie le nom de la dame qui a écrit cela (c'est une historienne), l'auteur de Comment cela est arrivé. Et s'il vous arrivait de le voir là-bas, à - à Dallas ou à Beaumont, où que vous soyez, s'il vous arrivait de voir ce livre Comment cela est arrivé… Eh bien, vous - vous pouvez vous le procurer là même si vous n'avez pas le - le… ses écrits. C'est quelqu'un qui a écrit à son sujet.
Et je ne me souviens pas maintenant de quel livre il s'agit. Est-ce… Nicée… c'était Les pères de Nicée. Et le… tous se trouvent là-dedans. Et c'est - c'est donc les pères primitifs.
Et il se pourrait que vous voyiez cela, alors écrivez. Sinon, faites-le-moi savoir de toute façon. Je rentrerai à la maison dans environ trois semaines et je vous l'enverrai par courrier.
Ok. Merci, Frère Lee.

6 Frère Vayle, à la page 32, et le signe qui est sur la marge, numéro 3… Ne trouvez-vous pas que ce serait une bonne chose de faire un ajout à cet endroit-ci, afin que nous puissions attirer l'attention des gens, étant donné qu'ils… vous avez dit ici qu'ils observent cela à 90quatre-vingt-dix pour cent, et qu'ils laissent tomber le reste?
Ne serait-il pas bon d'insérer ici qu'on voit que dans le jardin d'Eden, dans la Genèse, il ne s'agissait que d'une seule Parole, une seule Parole qui avait été mal interprétée à Eve par Satan? Et cela est à l'origine de tous les ennuis que nous avons aujourd'hui et de tous les ennuis que nous avons eus. Une seule Parole a fait que le Fils de Dieu soit obligé de venir mourir sur terre pour racheter la race humaine.
Et puis, nous voyons… C'est dans la Genèse, le premier livre de la Bible. Et dans l'Apocalypse, le dernier livre de la Bible, il est dit : "Quiconque En retranchera une seule Parole ou Y ajoutera (Vous voyez?)…" Vous voyez, 90 % ne suffisent pas. Il faut que ce soit cent pour cent de la Parole.

7 Et remarquez encore maintenant, ce sont là le premier livre et le dernier livre de la Bible. La Bible commence avec un - un péché, une erreur, la mort, et tout, qui a été amené sur la terre à cause d'une mauvaise interprétation d'une seule Parole de la Bible. Et dans la Genèse… C'est dans la Genèse.
Or, nous voyons aussi que dans l'Apocalypse, le dernier livre de la Bible, Jésus se réfère à la Genèse et dit : "Celui qui En retranchera ou qui Y ajoutera..." Vous voyez? Quatre-vingt-dix pour cent de cela ne suffisent pas. Il faut la totalité pour que ce soit correct, chaque Parole : "Précepte sur précepte, ligne sur ligne." C'est Esaïe, je crois, 28.19, ou c'est là quelque part, là, que nous trouvons cela. Et vous savez où chercher cela. Et il faut que cela soit précepte sur précepte, et ligne sur ligne (Vous voyez?); pas quatre-vingt-dix pour cent, mais cent pour cent.
Merci, Frère Vayle.

8 Frère Lee, insertion 4 ici à la page… (A quelle page est-ce?) à la page 38, numéro 4. Ne trouvez-vous pas que ce serait une bonne chose juste ici, là où vous parlez d'Abraham, le - le… Dieu Lui-même étant - dévoilant ce que Sarah pensait dans la tente derrière - derrière Lui, que ce serait une bonne chose d'y insérer le passage des Ecritures?
Je pense que cela se trouve dans Hébreux, chapitre 4, verset 12 : "Car la Parole de Dieu est plus tranchante qu'une épée à deux tranchants, elle discerne les pensées du coeur", pour montrer que c'était la Parole de Dieu manifestée.
Cela montrerait donc là qu'Il était la Parole manifestée. Vous voyez, Il… Dieu Lui-même est la Parole. Et c'est la Parole qui discerne les pensées du coeur. Et c'est ainsi que Jésus, étant au commencement, étant Dieu… Et Dieu était la Parole, la Parole rendue manifeste.
Vous voyez, c'est la raison pour laquelle Il pouvait - Il pouvait connaître les pensées de leurs coeurs, parce qu'Il est la Parole. Comprenez-vous cela maintenant?
Et alors, la portion de la Parole qui est assignée à ce jour-ci, laquelle portion est un prophète, connaîtra aussi les pensées du coeur; car ce sera la Parole rendue manifeste dans un homme, qui pourra connaître les pensées des coeurs de gens.
Merci, Frère Lee.

9 Frère Vayle, à la page… (C'était donc quel numéro? Je l'ai oublié ) 41, page 41. Et à côté, c'est le numéro 5.
C'est vraiment merveilleux, ce qu'il y a ici. J'apprécie vraiment ceci. Et j'apprécie tout cela. Et ici, c'est vraiment remarquable. Quand Moïse parlait ici d'un… un - un - un… qui serait suscité, que le Seigneur susciterait un prophète comme lui. Vous voyez, Dieu Lui-même lui avait parlé dans un feu sur la montagne. Et Il leur a promis ici qu'Il ne le ferait plus, mais qu'Il leur parlerait toujours par un prophète. Vous voyez? "L'Eternel votre Dieu suscitera un prophète."
Vous voyez, vous pouvez insister un petit peu là-dessus (Vous voyez?), que Dieu promet ici que désormais quand Il parlera, ce sera par un prophète ; qu'Il ne parlera plus à haute voix, de Sa propre voix, de façon à être entendu au travers d'un feu et ainsi de suite comme cela, mais que ce serait par un prophète.
Merci, Frère Vayle.

10 Frère Lee, page 47, numéro 6, insérez le petit numéro à côté. Nous voyons ici que le - que le… (Voyons. Quelle était la pensée là, Frère Fred, quand vous avez lu cela?)
Vous voyez, chaque groupe s'était séparé sur base de l'interprétation de la Parole.
Eh bien, ce que Jésus a trouvé quand Il est venu ici sur terre. Les gens avaient abandonné la Parole et avaient rendu la Parole sans effet par leurs traditions. Et c'est ce que les groupes ont fait aujourd'hui, ils ont rendu la véritable et pleine promesse de Dieu, la véritable promesse, sans effet par leurs traditions.
Je me suis dit que peut-être il se pourrait… vous aimeriez… peut-être que vous aimeriez ajouter ceci juste là. Vous voyez? Ce serait bien, bien à propos, vu que tous deux, nous le pensons et que nous apprécions cela en le lisant.
Merci, Frère Lee.

11 Frère Lee, j'ai remarqué quelque chose ici. Je vous suivais alors que vous expliquiez ici votre interprétation de ce que Jésus a dit au sujet de Jean, ici, qu'Il était un - un prophète qui devait venir.
Mais revenons en arrière maintenant. Vous devez retourner là à la page - page 44, et insérer 7 à la page 44. Vous soyez? Page 44, insérez 7. Je dois aller ici après 6 pour avoir cela.
Je crois que si… Trouvez-vous que ce serait une bonne chose ici de montrer au public qu'il ne s'agissait pas de Jean de Malachie 4? Ici il s'agit de Jean de Malachie 3, car dans Matthieu 11, vous pourriez citer cela comme ceci. Vous voyez, Matthieu 11.9, nous citons cela. Qu'êtes-vous donc allés voir? Un prophète? Oui, vous dis-je, et plus qu'un prophète. Car c'est celui dont il est écrit : Voici, j'envoie mon messager devant ta face, pour préparer ton chemin devant toi.

12 Or là, c'est Malachie 3, pas Malachie 4. Le prophète de Malachie 4 doit venir en ce jour-ci où le Seigneur va brûler le monde des Gentils, exactement - ou tout le monde des Gentils comme Il le fit à Sodome. Vous voyez? Ce sera Malachie 4, quand Il fera cela, pas Malachie 3. Malachie 3, c'était Jean Baptiste, qui avait aussi l'Esprit d'Elie. Mais Malachie 4 ici, c'est Jean - ou plutôt - ou plutôt Elie revenant juste avant le jour grand et terrible de l'Eternel, pour ramener les coeurs des enfants.
Jean a fait cela quand il est venu, et ce prophète de - de Malachie 4 fera la même chose. Vous voyez, il y a deux époques différentes. Et ici, Jésus parle ici de Malachie 3 : "Voici, J'envoie Mon messager devant Ma face. " Jésus parle ici de Jean… et Matthieu 11 parle de Malachie 3 : "Mon messager devant Ma face ", pas avant que le jour grand et redoutable de l'Eternel arrive.
Je me suis dit que vous pourriez insérer cela là pour montrer au public que l'Elie de Malachie 3 et l'Elie de Malachie 4 sont deux prophètes tout à fait différents.
Merci, Frère Lee.

13 Frère Lee, à la page 48, insérez le numéro 8 d'un côté. Pourriez-vous y faire un ajout quelque part ou mettre dedans si vous n'avez pas fait plus loin… Je lis tout simplement maintenant.
Mais si vous ne l'avez pas fait, il serait bon d'ajouter ici aussi qu'il - que le ministère de Jésus… qu'Il était un prophète conf-… confirmé qui devait venir.
Nous savons bien sûr que Jean était un prophète, mais cela ne veut pas dire qu'il était ce grand Prophète qui devait venir. Et la Bible avait annoncé la venue de cette glorieuse Personne.
Et nous voyons ici que 400 ans s'étaient écoulés depuis qu'ils avaient eu un prophète. Et c'était une chose étrange pour Israël, une fois de plus, après s'être éloigné dans les traditions et tout tel qu'il l'était, de… de reconnaître que - que cet homme était un prophète, parce qu'il ne croyait guère qu'il viendrait d'autres prophètes.

14 C'est la même chose qu'ils firent au temps de Moïse. Vous voyez, cela faisait 400 ans, oui, 400 ans depuis Moise. Vous voyez? Depuis - depuis Abraham, ou plutôt depuis le dernier prophète, Israël avait fait 400 ans de servitude. Et 400 ans leur avaient aveuglé les yeux au fait qu'un homme puisse être un prophète; il fallait une confirmation surnaturelle de la Parole pour montrer qu'il était un prophète.
De même, quand Jésus est venu, il devait absolument être un prophète confirmé, car cela faisait encore 400 ans depuis qu'ils avaient eu un prophète. Saisissez-vous ce que je veux dire par-là? 400 ans, et les gens n'ont pas voulu croire en Lui. Vous voyez? Et dans l'âge des Gentils, nous n'avons pas eu de prophète depuis Paul. Et il est si difficile aux gens de comprendre cela.
Je me disais simplement que je ferais cette observation, et insérez-y cela comme… de quelque manière que vous voudriez, je… Cela pourrait constituer pour vous de petites données. Vous comprenez, Frère Lee, ce que j'essaie de dire?
Nous apprécions tellement cela pendant que nous le lisons, et nous pensons que c'est formidable.
Merci beaucoup, Frère Lee.

15 Frère Lee, page 40 - 49, insertion 9. Vous voyez? Nous sommes… je devrais appeler cela le numéro 9 - le numéro 9, et 49.
Bon, si vous remarquez bien, je pourrais… Ce serait bien d'insérer là qu'en tant que prophète, Moïse ne pouvait pas accepter n'importe quel genre de signe à moins d'être un signe scripturaire.
Ça devait être un signe scripturaire, parce que la Voix qui lui avait parlé était une Voix scripturaire qu' annonçait le signe. Je voudrais dire une Voix scripturaire. La Voix qui parlait était… a dit : "Je Me souviens de Ma promesse." Vous voyez? C'était une Voix scripturaire qui avait attiré l'attention du prophète. Vous voyez? Le signe devait attirer l'attention du prophète, donc la Voix scripturaire, la promesse pour cet âge-là. Vous voyez?
Moïse devait être le libérateur de cet âge-là. La voix devait donc être une voix scripturaire sinon Moïse n'y aurait jamais cru. Mais c'était la promesse de Dieu, qu'Il allait faire cela dans cet âge-là.
Il avait dit à Abraham qu'ils séjourneraient pendant autant d'années. Le savez-vous? Et qu'ensuite, après avoir été des étrangers pendant 400 ans, Il les ferait alors sortir par une vo-… puissante, ou plutôt des signes puissants et tout. Et voilà que cette voix parlait à Moïse, Moïse reconnut que c'était le signe d'une Voix scripturaire. Vous voyez, le signe qui lui était montré était une Voix scripturaire venant de Dieu.

16 Vous savez à quoi j'en viens là… plaçant la toile de fond comme quoi le - le signe ne doit pas être juste un vieux signe ordinaire, habituel du clergé, ou quelque chose. Cela doit être une Voix scripturaire pour ce jour-là.
Et Moïse a su que le temps était alors proche. Et la Voix qui était scripturaire était là. Il avait donc la foi pour savoir ce qu'il allait faire. C'est pourquoi il pouvait tenir ferme en - en face de tous les imitateurs qu'il y avait là-bas. Il pouvait toujours tenir ferme. En effet, peu importe combien les gens pouvaient l'imiter, et faire des choses comme lui, Jambrès et Jannès, il demeurait ferme, parce que la Voix qui lui avait parlé était scripturaire. Les cieux et la terre passeront, mais cette Ecriture ne peut faillir.
Merci, Frère Lee.

17 Frère Lee, aujourd'hui, c'est jeudi matin. Hier après-midi, j'ai dû arrêter, ayant été appelé à certaines occupations, à des visites et tout. Et maintenant, nous voici de retour ici chez frère Sothmann, ce jeudi matin, et j'enregistre ceci.
Eh bien, j'ai reçu… j'ai reçu de Billy votre - votre petite carte par laquelle vous vouliez que je vous appelle pour vous parler une heure au téléphone. Mais Lee, je - je crois que c'est mieux que nous vous apportions cela sur bande. Eh bien, vous pouvez étudier cela (Vous voyez?), au lieu que je sois au téléphone et que vous posiez des questions. De cette façon, vous pouvez étudier la bande. Eh bien, je - je - je viens de lire la conclusion, ici, de ce que vous avez écrit sur l'Inde.

18 Eh bien, il y avait… Maintenant - maintenant écoutez, Lee. Chacune de ces choses que j'ai insérées ici… Nous trouvons que le livre est formidable. Ainsi, si - si ce n'est pas approprié, si vous trouvez que ce n'est pas approprié que ça se lise tel que je l'ai arrangé ici, alors omettez cela. C'est votre livre, et je voudrais que ce soit vous qui l'écriviez. C'est votre opinion après avoir assisté aux réunions et - et d'après ce que vous avez vu, ce que vous avez entendu sur les bandes, et tout. Et je pense que cela va constituer un grand chef-d'oeuvre pour les réunions. Je pense que ce sera l'un des plus grands apports que nous aurons eus depuis que je suis dans le champ missionnaire, c'est ce que sera ce livre. Et je - je voudrais qu'il soit aussi parfait que possible.
Eh bien, ces choses que je suis en train de dire, mon - mon frère, ce n'est pas pour chercher à vous faire penser que j'en sais plus que vous. Mais c'est juste dans le - l'esprit d'une - d'une meilleure compréhension, et - et de communion fraternelle, et… Vous comprenez ce que je veux dire?

19 Eh bien, j'ai remarqué ici dans votre - votre conclusion, que vous y avez parlé de Billy Graham et d'Oral Roberts, ce qui est vrai. Je crois cela. Et avez-vous remarqué que le… c'est… Je me suis dit que si vous pouviez peut-être apporter cela un peu plus clairement et dire quelque chose comme ceci, que…
Eh bien, nous voyons que le ministère de ces deux anges qui sont descendus à Sodome, le monde… Vous voyez? Ils y sont descendus, et ils - ils… Les oeuvres qu'ils ont accomplies étaient bien différentes, c'était… par rapport à celle de l'Ange qui attendait avec Abraham.
Le - le travail de ces anges, quand ils sont descendus là-bas, c'était de prêcher. Ils étaient de véritables prédicateurs qui prévenaient les gens de sortir. Et vous voyez, ils étaient là-bas et ils durent coopérer avec Lot ainsi que tous les autres, pour tenir leurs réunions, car Lot était devenu en quelque sorte un juge, est-il dit, je crois, de - de la ville. Et vous voyez ce qu'ils ont dû faire et le message qu'ils ont apporté.

20 Mais pas… Aucun d'eux n'a accompli les choses que ce premier Ange qui était là-bas avec Abraham avait accomplies. Vous voyez, Il avait discerné les pensées de leur coeur - du coeur de Sara. Et Il a parlé à Abraham, Il lui a dit quel était son nom. Son nom venait d'être changé d'Abram en Abraham, Il n'a pas non plus dit Saraï mais Sara. Et Il les a appelés par les noms que le Seigneur leur avait donnés un ou deux jours auparavant, quand Il avait changé leurs noms. Il savait déjà cela.
Et c'est pour prouver là, comme Jésus l'a dit dans - dans Saint Luc : "Quand le Fils de l'Homme sera révélé…", c'est pour prouver ici que le Fils de l'Homme… C'était ce Fils de l'Homme.
Et la raison pour laquelle Abraham a pu reconnaître cela, c'est parce qu'Il pouvait discerner les pensées du coeur de Sarah, qui se trouvait dans la tente qui était derrière Lui. C'est pour cette raison qu'Abraham L'a alors appelé Elohim, Seigneur, "S" majuscule -e-i-g-n-e-u-r.
Et vous savez vous-même en tant qu'érudit que (Tous les érudits s'accordent là-dessus) dans la Bible, quand c'est écrit avec un "S" majuscule, cela signifie Elohim, comme au commencement, Dieu, Elohim (Vous voyez?), le Créateur, le Tout Suffisant, Celui qui existe par Lui-même, et ainsi de suite.

21 Maintenant, autre chose. Si vous remarquez, G-r-a-h-a-m c'est six lettres. A-b-r-a-h-a-m c'est sept lettres, et de même B-r-a-h-a-m, c'est sept lettres. Eh bien, si vous voulez en tirer une conclusion, cela pourrait être une bonne chose.
Eh bien, Fère Lee, voici autre chose que je voudrais vous communiquer, que vous - que vous pourriez vouloir utiliser dans quelques-unes de - dans quelques-unes de vos données. Avez-vous remarqué que Jésus est venu dans les trois noms de fils? (Vous voyez?) : Fils de l'homme, Fils de Dieu, et Fils de David.
Eh bien, quand Il vint pour la première fois, Il est venu dans le Nom de Fils de l'Homme. Et "fils de l'homme" dans la Bible signifie "un prophète". Cela a accompli les Ecritures, car Il devait être un prophète.
Moïse a dit dans Deutéronomes 18.15, je pense, ou quelque part là, que - que "l'Eternel, ton Dieu, te suscitera un prophète". Les Ecritures ne peuvent donc pas être brisées, Il devait alors venir en tant que Fils de l'Homme.

22 Nous voyons dans Ezéchiel, chapitre 2, verset 1 (je crois que c'est ça), que Jéhovah Lui-même appelait Ezéchiel "fils de l'homme". Et d'autres prophètes ont été appelés "fils de l'homme". Donc, pour que les Ecritures soient parfaites, Il devait venir en tant que prophète : Fils de l'Homme.
Et maintenant, nous voyons qu'au cours des âges de l'église, Il était "Fils de Dieu". Comme Dieu est Esprit, Il est sous la forme du Saint-Esprit; le Fils de Dieu pour les églises. Dans l'âge de l'Eglise de Laodicée, Il est mis dehors. Et puis, selon Luc, Il doit de nouveau Se révéler en tant que "Fils de l'Homme". Quand le Fils de l'Homme sera révélé (Vous voyez?), Se révélant de nouveau en tant que Fils de l'Homme, pas en tant que Fils de Dieu… Le Fils de Dieu, c'était le Saint-Esprit, et les gens L'ont attristé et L'ont chassé de l'église, ils L'ont mis dehors, ils ont mis le Saint-Esprit hors de leurs organisations, de leurs dénominations. Et dans Apocalypse 3, dans l'âge de Laodicée, Il est là hors de l'église. Le Fils de Dieu a été mis dehors, et maintenant Il Se révèle de nouveau, "le Fils de l'Homme". Dans votre - dans votre - ici dans votre manuscrit, vous avez des termes très appropriés là-dessus.

23 Bon, et dans le Millénium, Il sera le Fils de David, le Fils de David, car Il S'assoira sur le trône de David, Son père.
Et alors à ce sujet, ce passage que vous avez cité : "Nul…" Vous voulez dire là-dessus que vous m'avez entendu le dire ; eh bien, d'accord. Vous voyez? Et puis Dieu, comme je vous l'ai dit, étant Eternel, et Ses attributs étant manifestés, que…
A ce sujet, c'est comme lorsque Jésus était ici sur la terre, Il a dit… L'aveugle Bartimée L'a appelé : "Ô Toi, Fils de David." Et c'est ce qu'Il sera dans le Millénium, le Fils de David. Pas "Ô Toi, Fils de l'Homme", ce qu'Il déclarait être, "Ô Toi Fils de David".
Eh bien, c'est ce qu'Il sera dans le Millénium pour ces Juifs, bien sûr. Eh bien, nous voyons que sa requête a été exaucée.
Mais lorsque cette femme syro-phénicienne a crié à Son intention : "Ô Toi Fils de David", elle n'avait aucun droit sur Lui en tant que Fils de David. Mais quand elle a dit : "Seigneur", ce qui est Fils de Dieu, elle a alors obtenu ce qu'elle demandait. Vous voyez? Mais il c'est toujours de la même personne.

24 C'est exactement comme ma femme. Elle a des droits sur moi en tant que mari. Ma fille, une autre femme, une fille, n'a aucun droit sur moi en tant que mari. Vis-à-vis d'elle, je suis son père. Et ensuite, mon petit-fils n'a aucun droit sur moi en tant que père, ou en tant que mari, il est mon - il a des droits sur moi en tant que grand-père. Mais je suis toujours la même personne.
Et Il est venu Se révéler en tant que Fils de l'Homme. C'était Dieu, la Parole qui vient au prophète, et Il L'était, révélant la Parole de l'âge à… par le Fils de l'Homme. Durant le - l'âge de l'église, Il S'est révélé en tant que Fils de Dieu, le Saint-Esprit, au travers de la révélation, la révélation, pour ce qui est de révéler.

25 Maintenant, au dernier jour, on doit de nouveau en venir à la Parole promise. Vous voyez, dans l'âge de l'église, il n'y a pas beaucoup de promesses, seulement des réformateurs. Vous ne voyez pas cela, dans les âges de l'église, où il n'y a rien que des réformateurs et autres, qui viennent par révélation.
Mais quand tous ces mystères des sept tonnerres doivent être révélés, Il doit de nouveau venir en tant que Fils de l'Homme. C'est le même Saint-Esprit qui est de nouveau dans la chair humaine, un parfait parallèle de Sodome où Dieu était manifesté dans un être humain. Vous voyez? Et si à l'époque Il était venu vers la semence naturelle, Abraham, Il vient aujourd'hui vers la Semence royale, Abraham, qui attend aussi le Fils royal promis, pas le fils naturel, Isaac, mais le Fils royal promis.
Et c'est pourquoi il ne peut y avoir rien d'autre que le prophète, comme vous l'avez bien expliqué, un prophète pour ces derniers jours.
Et maintenant, vous pourriez ajouter ceci. Si vous…

26 Bon - bon, souvenez-vous, détruisez cette bande. Effacez-la ou renvoyez-la-moi. Vous voyez? Eh bien, je ne… Je vous dis juste certaines choses que je - sur lesquelles vous pouvez tirer vos conclusions. Vous voyez?
Maintenant, vous pourriez dire quelque chose comme ceci : Quoique, comme tous les prophètes dans tous les âges… Vous voyez, ce que je vous confesse, Lee, c'est que vous savez que je comprends et vous comprenez cette position. Mais je ne peux pas le dire aux gens. Vous voyez? Et maintenant, vous pouvez juste faire ceci si vous voulez l'utiliser : Faites comme si c'était une - vos propres paroles.
Tous les prophètes ont été toujours rejetés et n'ont jamais été reconnus jusqu'à ce que les élus sont appelés cela... soient été appelés. Et d'habitude, les prophètes sont tués. Jésus Lui-même, n'a-t-Il pas dit : "Lequel des prophètes vos pères n'ont-ils pas lapidé, ces justes qui leur furent envoyés? Vous ornez leurs tombeaux, et c'est vous qui les y avez mis."
Pensez-y ç'a continué même jusqu'à - même à saint Patrick, jusqu'à Jeanne D'Arc, ô comme cette femme était spirituelle et avait des visions! On l'a brûlée vive sur le bûcher comme une sorcière. Pendant des siècles, les gens n'avaient pas reconnu que cette jeune fille était spirituelle. Vous voyez, l'Eglise catholique a rejeté cela lorsqu'elle leur fut envoyée.
Et l'Eglise catholique, comme n'importe quelle autre dénomination… L'Eglise protestante fait la même chose, et probablement que cela se terminera pratiquement de la même façon. Vous voyez? Il - il doit en être ainsi, Frère Lee.

27 Eh bien, vous pourriez ajouter ceci, que frère Branham a été rejeté. Il a été traité de tous les noms, à commencer par un - à commencer par celui de diseur de bonne aventure ou de Simon le magicien, ou de véritable Belzébul. Mais c'est exactement ce que Jésus avait dit qui arriverait.
Mais, exactement comme lorsque Moïse était… Quand il était devant Pharaon, Pharaon a cherché à faire passer le signe de Moïse pour… Dans ce grand âge intellectuel dans lequel ils vivaient, Pharaon a cherché à faire passer le signe de Moïse pour une espèce de piètre tour de magie. Il a dit : "Eh bien, nous avons des magiciens ici qui font la même chose." On est donc allé chercher Jannès et Jambrès. Et ils - et ils ont pu opérer le même signe.
Mais Moïse, sachant que sa voix, la voix qui accompagnait son signe, était scripturaire, il est donc resté ferme. Et vous pourriez dire que c'est la même chose. Toutefois, beaucoup se sont levés et ont traité ce frère de guérisseur divin. Et beaucoup de simulacres de guérison et de simulacres de guérisseurs sont apparus, comme on les appellerait, des imitations. Mais cela ne l'a point du tout ébranlé. Il s'en est tenu juste aux Ecritures, car il savait que la Voix était le - était censée se faire entendre en ce jour-ci. C'est une Voix scripturaire. C'est un signe scripturaire. Il a donc tenu ferme. Et nous voyons la façon dont le - la façon dont…?… Vous voyez comment ça s'est terminé pour beaucoup d'entre eux. Vous voyez?

28 Et nous… Si vous le pouvez, je crois que je vous ai déjà parlé de l'allusion faite au sujet de G-r-a-h-a-m, que c'est six lettres, ce qui représente l'homme, ou le monde. B-r-a-n-h-a-m , c'est sept, ce qui est parfait, la perfection. Et cela est allé… Le Message n'a pas du tout été adressé au groupe de Billy Graham. Il a été adressé au groupe élu, au groupe qui a été élu.
Eh bien, vous n'êtes pas obligé d'exploiter ceci. Je ne fais que glisser cela. Et peu importe ce que disent les gens, que nous….
C'est exactement comme avec Martin Luther, il est dit que ce qui était impressionnant n'était pas qu'il ait pu protester contre l'Eglise catholique et s'en tirer, mais qu'il ait gardé la tête au-dessus de tout le fanatisme qui avait suivi son réveil. Et c'est la même chose quand il faisait telle ou telle déclaration, et toutes sortes de choses, il a malgré tout tenu ferme; il savait en effet que c'était les Ecritures. Et Dieu à aucun moment n'a failli.

29 Et vous pourriez dire ceci, que les - les choses qui ont été dites, comment même les événements, les guerres, les lieux, les époques et les choses qui se sont produits, sont trop nombreux pour être consignés dans un livre, quel qu'en soit le volume ; cela ne pourrait pas être - pourrait être vendu en un seul livre. Cela constituerait des volumes de livres, ce que Jésus-Christ a fait avec le frère. Vous voyez?
Et chaque fois qu'il nous a dit ces choses, pas une seule fois cela n'a failli - ne s'est avéré faux. Exactement pour… C'est comme le cas de certains personnages de - personnages importants du monde, quand ils seraient… ce qu'ils feraient, comment ils mourraient, comment des guerres viendraient, et quelle en serait l'issue, et - et - et toutes sortes d'événements de ce genre, des inondations et des tremblements de terre. L'inondation de 1937 par exemple, le niveau qu'atteindraient les eaux avait été prédit avec exactitude des mois avant que cela n'arrive.

30 Ce tremblement de terre-ci, quand le… Je dis maintenant quelque chose que je ne devrais pas dire. Mais c'est comme l'autre jour là-haut, sur la montagne quand nous étions là-haut. Et une pierre a été jetée en l'air, elle est redescendue et a déclenché le tourbillon, les gens ne savaient guère que cela s'en était aussitôt allé dans cette direction-là, vers le nord et c'est allé juste là et ç'a frappé. C'est ce qui a fait que cet endroit, cet événement s'est produit récemment là en Alaska. Et il y a eu trois détonations, et il y a trois choses qui doivent arriver; les rochers, l'endroit, ce qui s'est produit là haut sur la paroi, et puis jusqu'en Alaska. Et cela a mis fin à la chose, car c'était une déclaration de jugement. Vous voyez?
Et bien des fois, les gens ne saisissent pas le… Ils viennent tout simplement dire… C'est juste… Cela - c'est juste… Vous devez tout simplement suivre Cela. Vous devez… Vous devez être avec Cela pour observer la chose et voir l'infaillibilité de Cela : parfait, pas l'homme, mais l'oeuvre qui est accomplie. Vous voyez?

31 Et puis, vous dites encore que vous vouliez que je vous parle au sujet de… Eh bien, si vous ne voulez pas exploiter ceci, Lee, ce sont juste quelques faits surnaturels qui se sont produits. Et vous pourriez y ajouter cela, en disant qu'ils… Il faudrait écrire des volumes pour parler des preuves infaillibles de Cela, ce qui montre que nous sommes de nouveau à la fin de l'âge de l'Eglise.
Et vous pourriez dire : Mes frères, souvenez-vous, il n'y a pas beaucoup de promesses à la fin de cet âge de l'église. Vous voyez? Il n'y en a pas beaucoup, uniquement l'envoi d'un prophète qui ramènera les coeurs des gens aux pères apostoliques du début. Il n'y a pas beaucoup de choses qui sont écrites dans ces deux pages de l'Apocalypse, au sujet de… du deuxième au troisième âge de l'église, écrites au sujet de l'église, à part l'arrivée de ce prophète, des prodiges comme ceux-ci dans les derniers jours et la Parole qui doit être de nouveau agitée.
Et je me disais en fait que vous vous y êtes bien pris, d'avoir dit que la révélation devait se trouver dans la Parole. Et c'est exactement ce qu'il en est. C'est ce que j'ai là sur bande, vous savez, pour ces - pour les Sceaux.

32 Maintenant, vous désiriez que je dise quelque chose (Je - je viens de demander aux jeunes gens combien de temps il me reste sur cette bande. Et il me reste une bonne petite partie.) au sujet de… ma naissance et des choses particulières.
Maintenant, Lee, glanez donc ceci, car, vous savez, vous-même vous êtes bien un intellectuel. Et vous savez ce qui attirera l'attention des intellectuels. Et si donc ça sonne bien, insérez cela.
Eh bien, quand je suis né là-bas le 6 avril 1909 à cinq heures du matin, nous n'avions même pas de - de porte ou plutôt de fenêtre - de fenêtre vitrée. Nous avions une petite porte comme cela, qu'on ouvrait en guise de fenêtre. Et, on dit que cette Lumière est entrée dans la pièce et s'est tenue au-dessus du petit lit de paille dans lequel je suis né… un lit de paille, sur un matelas en paille.

33 Et puis à l'âge de 3 ans environ, je me souviens… Le premier événement qui s'est produit et dont je peux me souvenir, c'est que j'étais dans la cour arrière de la petite cabane en rondins où je suis né. Et mon petit frère était de on-… - onze mois plus âgé… J'étais de onze mois plus âgé que lui, Edward.
Et je me rappelle que je regardais dans un grand arbre, où était perché un oiseau qui avait attiré mon attention. Et cet oiseau sautillait tout simplement et chantait, et continuait ainsi. Quelque chose… Si je m'en souviens bien, je pense que c'était un rouge-gorge. Je ne dirais pas que c'était un rouge-gorge. Ça semblait en être un.
Et quand cet oiseau s'est envolé, une Voix me parla là, disant : "Tu passeras une bonne partie de ta vie près d'une ville appelée New Albany." Et je suis allé le raconter à ma mère.
Des années plus tard, environ deux ans plus tard, nous avons déménagé pour l'Indiana (à ce moment-là, on ne savait pas qu'on se déplacerait, ni quoi que ce soit ), nous avons déménagé pour une ville qui est près de New Albany, à Jeffersonville, près de New Albany.

34 A l'âge de sept ans environ, encore une fois dans un buisson (Vous voyez?), dans un buisson, un arbre…
N'oubliez pas, Lee, ces choses se produisent depuis mon enfance, je n'en savais rien. Ce n'est pas cela que je dis. J'en ai parlé; et maman et tous les autres le savaient depuis que j'étais un petit garçon. Et cela fait bien des années, c'est ici dans des journaux et dans des livres.
Vous voyez, c'était dans un buisson, comme il en était pour Moïse, dans un buisson. Et cette Voix qui venait de ce buisson ce jour-là, pendant que je transportais cette eau, m'a dit : "Ne bois jamais, ne fume jamais, ni ne souille ton corps d'aucune manière. Il y a pour toi un travail à faire quand tu seras plus âgé." Vous pouvez lire cela, ces choses, dans l'histoire de ma vie. Vous voyez?
Et alors, Lee, donc depuis lors - vous connaissez l'histoire comme vous l'avez lue là concernant les prodiges qui se sont produits tout au long de ma vie, de quelle manière… Vous avez… Vous avez peut-être le livre là avec vous.
Mais alors, si nous voulons ajouter certaines de ces choses dans… Je ne sais pas si vous le faites ou pas.

35 C'est comme par exemple la mort de Marilyn Monroe, j'ai vu cela avant que cela n'arrive, et je puis encore affirmer aujourd'hui que cette fille est morte d'une crise cardiaque.
Et c'est comme le cas de ces deux boxeurs là à New York, vous savez, le… Cela fait environ une année, quand ils se disputaient. Je les ai vus dans les - dans les bars, ou je ne sais où c'était, des salles de billard et dans différents endroits, avec leurs différents - séparés l'un de l'autre et disant ce qu'ils allaient se faire l'un à l'autre, et j'ai vu l'un tuer l'autre.
Et la - la ligne Siegfried en Allemagne, je l'ai vue être bâtie onze ans avant que l'on puisse donc songer à l'ériger, et ce qu'il en serait des Américains et de la guerre, et ce qu'en serait la fin, ces nombreuses choses qui ont été annoncées et qui se sont accomplies. Ces choses ont été prédites, jusqu'au jour dans lequel nous vivons. Et c'était en 1933.

36 Et puis encore, vous pourriez mentionner et relater, par exemple, ce qui était arrivé quand je me trouvais là dans la chambre ce matin-là avant ces Sept Sceaux. Vers dix heures du matin, mon petit garçon, Joseph, était dans la chambre avec moi. Et tout à coup, j'ai eu une vision.
Et j'étais ici à Tucson, en Arizona. Et dans cette vision, j'étais alors là en train d'ôter un de ces graterons d'ici, du revers de la jambe de mon pantalon. Et je regardais vers - vers Tucson qui était au sud-ouest de l'endroit où je me trouvais. Et il s'est alors produit on dirait une grande explosion. Et j'ai vu descendre sept Anges en forme de - de "V", comme une pyramide. Et je fus pris au milieu d'eux. Et la Voix m'a dit de venir à Tucson.
En venant à Tucson, je pensais que j'allais être tué ici à Tucson, et je prenais des dispositions. Vous voyez? Je ne savais pas ce qui allait arriver.
Et alors… Mais frère Sothmann et frère Norman… Là-bas, ce matin-là… La veille, le Saint-Esprit est descendu là dans le camp et - et de grandes choses ont été révélées. Et j'ai dit : "Quelque chose est sur le point d'arriver."

37 Et quand je suis monté sur la montagne le lendemain… Et ces frères… à environ un mile [1,6 km - N.D.T.] de là où je me tenais, je guettais du gibier. Et j'étais assis, et il m'est arrivé de baisser les yeux sur le petit… Le soleil était déjà haut vers huit heures du matin, quelque chose comme ça, ou neuf heures.
J'ai ôté un - j'ôtais un de ces graterons de la jambe de mon pantalon, quand tout à coup je m'en suis souvenu. Or, j'étais très exactement dans la position où cela était censé se produire.

38 Et puis, environ un mois avant cela, comme je pensais (j'interromps mon sujet ici juste une minute), comme je pensais que je venais là pour être tué, je… Un matin, je suis monté là au Sabino Canyon, au - au - au Sabino Canyon pour prier. Et vers dix heures du matin, j'étais en train de prier Dieu, les mains levées, tout au sommet de ces montagnes, parmi les rochers. Et je demandais au Seigneur de m'aider et de me préparer, au cas où je devais mourir.
Et - et tout à coup, quelque chose a heurté ma main. Et j'ai regardé dans ma main, je tenais une - une épée. Et elle était - avait un manche de perle, et une garde au bout de cela ; c'était une garde pour protéger la main, et la - la lame était comme - comme de l'argent pur, ou plutôt elle brillait plus que cela, elle étincelait au soleil. Et c'était une épée. Je l'ai tenue dans ma main. Et je ne savais pas ce que cela signifiait.
Et une Voix m'a parlé dans les parois du canyon, disant : "Ceci, c'est l'épée du Seigneur," l'épée du Seigneur.
Eh bien, je n'arrivais donc pas… C'était "l'épée du Roi". Pas un roi, pas l'épée d'un roi - du Roi. Et puis elle a disparu et la - et elle a alors quitté ma main.

39 Et plus tard je me - je me tenais là, je me suis dit : "Qu'est-ce?"
Et alors la Voix du Seigneur m'a parlé, disant… Je pensais à un roi armant un chevalier avec l'épée. Mais c'est un… C'était un rappel. C'était la Parole du Seigneur. C'était comme une épée (Vous voyez?) dans l'Apocalypse, ou plutôt je veux dire dans Hébreux 4. "La Parole de Dieu est plus tranchante qu'une épée à deux tranchants." (Vous voyez?), Hébreux, chapitre 4.
Et c'était Ça : la Parole placée dans ma main droite. Et les visions, si je pouvais vous les raconter, seraient innombrables, elles ont toujours été la Parole, la Parole, la Parole. Tout le temps, presque chaque vision se rapporte au fait de tenir cette Parole.

40 Et alors, je reviens maintenant à mon histoire, j'étais là dans le… assis là avec cette bardane, ou ce grateron en main. Et je m'en suis souvenu.
Et j'ai vu un gibier. Et j'essayais donc d'amener frère Fred Sothmann là où se trouvaient ces pécaris. Et j'ai couru très vite sur la colline, me dirigeant vers l'endroit où je pouvais le repérer. Il était à environ un mile [1,6 km - N.D.T.] de moi. Et je me suis dit que je pourrais peut-être le repérer et l'entraîner là-haut.
Et pendant que je courais sur la colline… (Je portais un chapeau noir.) Je suis arrivé de l'autre côté, au bas d'un canyon, je me suis mis à gravir une petite piste de gibier. Cette déflagration s'est produite. Des rochers se sont détachés de la montagne et on roulé. Cela avait été prédit six mois avant que cela n'arrive. Et des rochers se sont détachés de la montagne et on roulé. Et - et c'était comme le - comme lorsqu'un avion franchit le mur du son ou quelque chose comme ça, c'était comme lorsqu'on franchit le mur du son, seulement c'était un bruit cinquante fois plus fort. Il n'y avait ni avions ni rien. Même le journal a dit qu'il n'y avait pas d'avion ce jour-là, pas du tout, pour produire un bruit comme celui-là. Et lorsque cela a ainsi retenti, je pensais que quelqu'un m'avait tiré dessus. Et, puis avec ce chapeau noir que je portais, qui est de la couleur des pécaris…

41 Et j'ai attendu là juste quelques instants pour un peu revenir à moi-même. Et là sont venus les Anges du Seigneur, [qui m'ont dit] de rentrer à l'est, car ces Mystères devaient être révélés.
Et plus tard, je… environ une demi-heure plus tard, je courais, essayant de retrouver mes frères. Et là ils cherchaient à me retrouver. Et tous les deux savaient ce qui était arrivé. Et c'était cela.
Bon, et puis je suis donc venu à l'est. Et là, sans savoir… Et jour après jour, cette révélation de la Parole a été révélée, ce qui a absolument achevé la Bible entière, ces mystères devraient être connus en - en ces derniers jours.
Et vous voyez, il faut que ce soit un prophète, car la Parole ne peut venir qu'au prophète, Lee. Et vous voyez, autrefois la Parole… La raison pour laquelle ces réformateurs n'ont pas trouvé cela, c'est qu'ils n'étaient pas des prophètes. Ils n'avaient pas été annoncés en tant que prophètes. Il n'y avait pas de gens appelés à être des prophètes, comme vous l'avez dit, depuis le temps de Paul jusqu'à celui-ci. C'est… La Parole est révélée aux prophètes et à eux seuls. Et encore une fois, cela fait que Luc 17, exactement là, ce- c'est parfait, à - à la - à la lettre, c'est tout à fait exact!

42 Eh bien, nous pouvons en parler. Et puis, comment ce grand… Après que ces Anges sont descendus et - et qu'ils sont remontés, il y avait une lumière dans les cieux. Vous savez, au sujet de ce que… La science n'arrive même pas à comprendre. Les gens ne savent où aller. Cela avait toujours la même forme que celle que formaient ces Anges, ayant exactement trois angles, comme une pyramide, cela s'est élevé, est allé à des kilomètres d'altitude, cela est retourné directement dans… très loin de l'autre côté du pays.
Et on en a pris des photographies en dehors des Etats-Unis et tout. Cela a été publié, je crois, dans le magazine Life [Life en anglais signifie "Vie" - N.D.T.] ou dans Look [Look en anglais signifie "Regardez." - N.D.T.], l'un ou l'autre. Je crois que c'était dans le magazine Life du 17 mai, vers 40… 1940 ou plutôt - ou plutôt 1963. Je pense que c'est celui du 17 mai qui a publié cet article. Vous… Je suis sûr que vous le savez.
Et, bien, Lee, il y a tant de choses qui pourraient être dites ici même. Je vais m'arrêter juste une minute pour essayer d'évoquer quelque chose qui pourrait - pourrait vous aider.

43 Lee, je viens de penser à autre chose qui… Vous voyez, j'essaie de me rappeler quelque chose : il y a des hommes en vie ici même qui étaient présents, qui peuvent comprendre cela et tout à ce sujet.
Et environ une - une année avant que cela arrive, environ… Avant que ma - ma mère s'en aille, vous savez, un jour j'ai eu une vision où j'étais en train de chasser, vous savez, et où je chassais du gibier. Et je - j'ai vu un animal que je n'avais - je n'avais jamais chassé auparavant. Il ressemblait à un cerf, seulement il était bien plus grand. Et je suis allé chercher cet animal.
Et un homme était avec moi qui… deux jeunes amis qui avaient une… L'un d'eux portait une chemise verte à carreaux.
Et je me suis donc dit que je - j'irai chercher cet animal. C'est un bel animal. Je me suis donc lancé à sa poursuite. Et chemin faisant, je - j'ai rencontré une - une femelle avec un petit de la même espèce. Seulement, il ressemblait à un cerf. Mais je - je n'avais jamais vu un tel cerf. Et j'ai chassé toute ma vie.
Et je suis allé et j'ai eu le… et j'ai abattu l'animal. Et j' étais très près de cet animal, je m'en suis vraiment rapproché et je l'ai abattu. Et une fois fait, j'ai vu une petite main mesurer les cornes. Et elles avaient exactement 42 pouces [106,68 cm - N.D.T], exactement 42 pouces.

44 Sur mon chemin de retour, transportant mon trophée, j'ai rencontré un - un grand ours grizzly argenté. Et cet ours, je l'ai tiré d'une seule balle et je l'ai abattu. Et avant de le tuer, je considérais mon fusil qui était trop petit, car ce n'est qu'un modèle 270. C'était une balle contenant 130 grains. J'ai donc tiré cet animal et - et cet ours, et puis je l'ai écorché.
Et - et ainsi donc, environ un… Et je suis sorti de la vision. Et environ un - un mois après cela, j'étais dans le Kentucky, frère Arganbright m'a téléphoné, il désirait m'offrir une tournée de chasse en Alaska, et il a dit que si j'y allais pour le compte des Hommes d'Affaires et tenais une série de réunions…
Je lui ai dit que j'avais eu une vision où je tuais un grand ours grizzly.
Il a dit : "Eh bien, j'ai tout arrangé pour vous amener chasser l'ours grizzly." Il a dit… Et ainsi, je… "Et aussi à la chasse à l'élan."
Et j'ai dit : "Ce que j'avais eu, ce n'était pas un élan, ai-je dit, car l'élan a des cornes en panneaux. Mais celui-là avait des cornes comme un cerf." Et ainsi, cela… pas en panneaux. Ainsi… étant plutôt pointues…
Je - j'ai donc dit : "Eh bien, ça a l'air très bien. Mais laissez-moi d'abord prier."

45 Et cet après-midi-là je suis allé dans les bois, et j'ai prié. Et cela semblait tout le temps s'éloigner davantage de moi.
Ainsi donc, environ un - un mois après cela, Billy Paul m'a remis une lettre de la part d'un ami du nom de Harvey Southwick. On l'appelle Bud Southwick. S-o-u-t-h-w-i-c-k, Southwick. Et c'est un guide de première classe, qui est sur l'autoroute de l'Alaska, aux environs du lac Muncho. Sa résidence est à Fort Saint John.
Et le printemps précédent, j'étais là lors d'une tournée de chasse avec un frère chrétien du nom d'Eddie Byskal, qui est un homme très influencé… très influent au sein de l'association des ministres du Canada.
Et nous étions là. Il était un… Eddie était son - le pasteur de cet homme. Et sur le chemin du retour, les eaux nous ont empêchés d'arriver là, et nous n'avons pas pu accéder là pour chasser. Nous avons donc dû nous coucher dans la - la tente.
Et c'était à une période de l'année où le soleil de minuit brille pratiquement au zénith. C'est juste sur le Yukon. Et c'est à peine s'il fait sombre pendant la nuit, il y a juste un petit peu d'obscurité, et ensuite il fait encore jour.

46 Et les eaux étaient tellement impétueuses que nous ne pouvions pas aller plus loin, nous avons donc dû rentrer. Et en ce temps-là, cet homme, Bud, n'avait pas encore reçu le Saint-Esprit. Il n'était qu'un croyant. Eddie lui a donc parlé de mon ministère, des visions et autres.
Il a dit : "Oh! la la! J'ai un frère qui souffre de l'épilepsie." Il a dit : "Si seulement je pouvais venir avec ce, je… avec ce garçon."
Et ainsi donc, je suis entré dans la tente. Je suis sorti pour observer les milieux, observer avec des jumelles, tard dans l'après-midi. Et Eddie m'a donc demandé. Il pensait que s'ils pouvaient avoir l'occasion de pouvoir amener le garçon à l'une des réunions, peut-être que le Seigneur donnerait une vision sur ce qu'il faut faire pour lui. Eh bien, il continuait à en parler tout le temps.
Eh bien, je cherchais à me détendre en m'éloignant de cela. Je me suis éloigné et je n'ai rien dit là-dessus. Mais constamment Bud a continué tout simplement de demander à Eddie, se demandant si le Seigneur l'aiderait pour son frère.
Ainsi, le… le troisième jour, nous nous sommes mis en route. Et un des chevaux a été pris dans un arbuste, un prosopis. Et alors je… Nous l'en avons tiré. Et je conduisais ce qu'on appelait un traîneau. Il était derrière le… toutes les traces de chevaux. Et les chevaux n'étant pas attachés ensemble sont ainsi entrés dans les bois. Et j'aidais à les ramener.

47 Et j'ai eu une vision de ce jeune garçon. Alors j'ai éperonné mon cheval et j'ai progressé vers l'écurie, l'écurie des chevaux. Et je suis arrivé là, et j'ai dit à Bud, le frère de l'homme qui avait l'épilepsie, j'ai dit : "Monsieur Southwick, le Seigneur Jésus m'a donné une - une vision concernant votre frère. Eh bien, ce frère souffre de cette épilepsie depuis son enfance."
"C'est juste. "
Et puis j'ai dit : "Votre frère a telle apparence. Un jeune homme qui…"
"Oui, c'est très exact."
"Eh bien, ai-je dit, eh bien, envoyez-le chercher. Et ne doutez pas de ceci. Envoyez-le chercher à Fort Saint John. Amenez-le ici. Et - et quand il aura une de ces crises d'épilepsie, ôtez-lui vite la chemise et jetez-la dans le foyer et dites… dans le feu et dites ceci : "Je fais ceci au Nom du Seigneur, selon ce que frère Branham m'a dit de faire. Et c'est "AINSI DIT LE SEIGNEUR", cette crise le quittera."

48 Et ainsi, avec empressement, Bud a envoyé chercher son frère et l'a amené. Et il piquait peut-être cinq ou six de ces crises par jour. Et Bud n'était donc pas à la maison quand son frère est arrivé. Et sa femme, la femme de Bud, c'est une très bonne chrétienne remplie de l'Esprit de Dieu, une petite femme, mère de cinq enfants. Et ainsi, ce garçon piqua une de ses crises, dans - dans la vieille petite cab - cabane où ils restaient.
Eh bien, d'habitude il est violent quand il en pique une. Et la petite femme fuyait, car il lui faisait peur. Et comme elle était chrétienne et qu'elle croyait la Parole, qu'elle croyait que ce qui devait être fait, c'était une prophétie, elle s'est mise à califourchon sur lui, elle lui a vite ôté la chemise et il y avait là une vieille salamandre allumée. Et elle jeta la chemise dans le feu en criant, disant : "Frère Branham a dit de faire ceci au Nom du Seigneur."
Et cet esprit l'a quitté et n'est plus jamais revenu sur lui. Il y a plus d'un an de cela. Il n'a plus jamais piqué une seule crise par la suite.

49 Et alors, j'ai reçu une lettre de sa part (eh bien, j'en viens à mon récit), après mon retour du Kentucky, dans laquelle on m'invitait à aller chasser. Quand j'ai donc prié pour cela, on dirait que j'étais davantage poussé à aller là-bas voir Bud.
Et alors quand je… Nous sommes allés là-bas pour - pour faire cette tournée de chasse, et frère Fred Sothmann m'a accompagné. Et j'avais représenté sur le pare-brise la longueur exacte de ces cornes, et j'avais annoncé cela, ainsi que la taille qu'aurait l'ours et de quelle espèce il serait, je l'avais dit devant des centaines et des centaines, des centaines de gens, et je l'avais dessiné sur papier, exactement tel que ce serait, que l'animal serait dans un paysage, et que je devrais traverser de la neige pour l'atteindre; et qu'il y aurait beaucoup de personnes avec moi. Mais ce serait moi qui attraperais cet animal ayant des cornes de 42 pouces [106,68 cm - N.D.T ], et sur mon chemin du retour, je tuerais cet ours grizzly argenté.
Quand je suis donc allé là-haut, je… On était alors loin des villes, on était à environ 500 miles [environ 804,5 km - N.D.T.] loin de toute ville, sur l'autoroute de l'Alaska. La ville au vrai sens du terme, la plus proche, c'est Fort Saint John, qui est une toute petite ville. Il y a un petit endroit là entre les deux qui s'appelle Fort Nelson. Mais c'est plutôt un endroit vaste sur la route. Et il y a juste quelques petits bâtiments, la baie d'Hudson. Et peut-être que vous-même vous vous y êtes déjà rendu, Lee.

50 Mais cependant, quand j'ai rencontré Bud, très loin là-bas, dans un endroit perdu, ce soir-là, je leur ai raconté cette vision, à lui et à sa femme.
"Eh bien, a-t-il dit, nous n'avons pas ce genre d'animal ici. Et nous n'avons pas beaucoup de cerfs. Ils sont très rares." Il a dit : "C'était peut-être un caribou. Avez-vous déjà chassé le caribou?"
J'ai dit : "Non. Mais le caribou n'a-t-il pas des panneaux?"
Il a dit : "Si."
J'ai dit : "Eh bien, celui-là n'avait pas de panneaux. Il ressemblait à un cerf."
"Eh bien, a-t-il dit, pour commencer, a-t-il dit, nous ne sommes pas… nous allons chasser le mouton. Nous ne serons donc pas dans une contrée des ours, ni…", et il a dit : "Nous allons là en altitude, trop haut pour en trouver un."
J'ai dit : "Eh bien, il pourrait s'agir d'une autre partie de chasse. Mais cela va arriver, car le Seigneur ne m'a jamais montré quoi que ce soit qui ait déjà failli."
Ainsi, environ trois jours plus tard, nous parcourions les montagnes, cherchant à repérer des moutons. Et nous en avons trouvé. Et sur le chemin du retour, à la descente… Nous devions donc aller chercher où se trouvaient les moutons le lendemain matin. Ce jour-là, ils étaient trop loin pour nous. Alors nous…

51 Et sur le chemin du retour, le jeune Eddy Byskal est tombé dans la - la rivière et s'est mouillé… un petit ruisseau que nous traversions.
Et, à propos, c'est là-bas au camp qu'il… au camping-car de Southwick, personne n'avait de chemise verte. Eddy n'en avait pas. Moi, je n'en avais pas. Et, Blain, le fils aîné de frère Bud, qui est aussi un guide, n'en avait pas. Bud non plus n'en avait pas. Personne n'avait de chemise verte à carreaux.
Et j'ai dit : "Il faut qu'il y ait une chemise verte à carreaux, sinon la vision ne sera pas complète. Ce sera à une autre occasion ou quelque part ailleurs."
Et ainsi, Eddy est tombé dans l'eau ce soir-là, il est revenu mouillé. Il a dû changer d'habits. Tôt, le lendemain matin, bien avant le lever du jour, nous sommes allés au sommet de la montagne, et sur… à la recherche des - des moutons. En remontant la route, nous avons passé… C'était pour moi la première fois de voir une femelle de caribou sauvage avec son petit. J'aurais dû me souvenir de la vision juste à ce moment-là. Mais je ne m'en suis pas souvenu.

52 Nous avons quitté le sommet de la montagne. Il n'y avait pas de moutons là-bas. Nous sommes restés là, et - et nous avons regardé sur les montagnes. Et étant des chrétiens, nous avons fait un commentaire, nous demandant s'il en sera ainsi dans le glorieux Millénium à venir.
Et - et Eddy était donc arrivé de l'autre côté de la colline, et il avait trouvé un caribou mâle. Et il l'a abattu. Et nous avons entendu un coup de feu. Et nous sommes donc allés là de l'autre côté. Et il l'avait abattu, et nous avons dépecé le caribou. Et il avait de très belles cornes palmées formant des panneaux.
Nous avons donc pris notre déjeuner. Et nous avons continué à avancer un peu vers le sommet de la colline, lequel était situé à environ deux ou trois pâtés de maisons. Et nous avions dépecé le caribou près d'une sorte de petite source qui coulait là sur le flanc de la montagne. Et nous avons trouvé de - de l'eau à boire après avoir mangé notre - notre repas.
Nous sommes allés prendre nos montures. Et alors, le… Bud m'a parlé, disant : "Frère Branham, ces moutons sont peut-être allés de l'autre côté de cette montagne." Il a dit : "Vous aimez grimper; voudriez-vous la grimper?" Il a dit : "Nous serons de retour au camp de base ce soir vers 22 ou 23 heures." Il a dit : "Si vous avez envie de grimper."
J'ai dit : "Oh! j'aime faire cela, Bud."

53 Nous allions donc nous rendre de l'autre côté de la montagne. Et pendant que je me tenais là à regarder, il donnait des instructions aux garçons pour qu'ils prennent ma monture et la sienne, et qu'ils transportent dessus la viande de caribou d'Eddy, et rentrent au camp. Et nous, nous allions - nous allions retourner de l'autre côté pour voir si les moutons étaient là dans ce… dans l'autre vallée, ou de l'autre côté de la montagne, et nous allions donc retourner cette nuit-là. Nous devions traverser la neige pour monter.
Et pendant que je regardais tout autour, j'ai pris mes jumelles. Et, vous pouvez ne pas le croire, exactement dans ce paysage-là et il y avait là, sur la pente l'animal en question , il regardait droit vers moi, à un mile [1,6 km-N.D.T.] de moi.
Et j'ai dit : "Bud, tenez, prenez ces jumelles. Quel est cet animal qui est couché là-bas?"
Il a dit : "Oh! Frère Branham, c'est un vieux gros caribou qui regarde dans cette direction-ci."
Et j'ai dit : "Bud, regardez ses cornes."
Il a dit : "Oui, c'est un drôle de caribou."
J'ai dit : "C'est exactement ainsi… Et voici exactement ce paysage, avec la neige, exactement comme l'animal est censé être couché."
Alors, il a dit : "Eh bien, le Seigneur vous l'a donné."
J'ai dit : "Oui."
"Seulement, a-t-il dit, ne devrait-il pas y avoir aussi un ours?"
J'ai dit : "Oui."
Il a dit : "Qu'en est-il de l'homme en chemise verte?"

54 Et personne d'entre nous ne l'avait remarqué, mais Eddy, sa femme en mettant ses habits dans la valise, elle avait mis une chemise dans le - dans le sac marin. Et Eddy était là, comme il s'était trempé la veille et qu'il avait changé ses vêtements, il portait une chemise verte à carreaux, et il ne savait pas qu'il en avait.
Et j'ai dit : "Regardez par ici. Qu'est-ce que Eddy porte?"
Ils se sont tous mis à pleurer et à crier en voyant cela.
J'ai dit : "Très bien, descendez. Prenez les garçons." Ils sont descendus.
Ils ont dit : "Non, nous allons attendre ici."
Et Bud a dit : "Eh bien, Frère Branham, ça sera totalement impossible, presque, d'atteindre ce caribou, car il regarde droit de ce côté-ci. Et nous sommes très loin au sommet de la montagne où il n'y a pas d'arbres ni rien du tout, sinon de la mousse de caribou et c'est tout." La plus haute végétation qu'il y a là-bas, ce sont des buissons de myrtilles, qui peuvent atteindre 4 pouces [10,16 cm - N.D.T.] de haut, ou tout au plus 5 pouces [12,7 cm N.D.T.]. Et ils forment juste de petites zones sur la montagne. Et il a donc dit : "Il vous verra forcément."
J'ai dit : "Mais, Frère Bud, le Seigneur Jésus m'a donné cet animal."
Il a dit : "Eh bien, ç'en est un drôle. Je n'en ai jamais vu de pareil."
Nous sommes donc partis. Il a dit : "Eh bien, puis-je vous accompagner?"
J'ai dit : "Certainement."
Et nous nous sommes directement approchés de ce caribou, jusqu'à une distance d'environ 35 yards [environ 31,8 m - N.D.T.], et je l'ai abattu. Et il y en avait trois qui étaient couchés là. Les autres avaient de grands panneaux, mais celui-ci avait des cornes phénoménales.
Eh bien, ensuite, nous avons jeté un coup d'oeil derrière avec les jumelles, et les garçons étaient… avaient les bras levés, nous faisant signe qu'ils m'avaient vu atteindre ce caribou. Ils sont donc descendus prendre les chevaux et sont venus jusqu'au pied de la colline. Nous sommes de nouveau entrés dans un petit bois, à environ deux miles [3,2 km - N.D.T.] en dessous de la montagne, ou plutôt au pied de la montagne.

55 Ainsi, pendant que nous étions en train de l'écorcher, Bud a dit : "Vous savez, Frère Branham, vous aviez dit que ces cornes mesuraient combien? "
J'ai dit : "42 pouces [106,68 cm - N.D.T.]."
Il a dit : "Dans la sacoche de selle, j'ai un mètre ruban."
Il a dit : "Elles me semblent mesurer environ quatre-vingt-dix [228,6 cm - N.D.T.]."
J'ai dit : "Non, elles mesurent - elles mesureront quarante…"
Il a dit : "Eh bien, d'après ce que vous m'avez dit, avant que nous rentrions auprès de ce jeune homme en chemise verte, sur le chemin du retour, vous allez tuer un grizzly argenté de neuf pieds [2,74 m - N.D.T.]."
J'ai dit : "C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR."
Il a dit : "Frère Branham, je peux voir toute la montagne depuis ici jusqu'en bas et partout. (Là, on peut parcourir des yeux des kilomètres) Et il n'y a rien du tout, nulle part. D'où viendra cet ours?"
J'ai dit : "Je n'ai pas à douter de cela, Bud. C'est la Parole du Seigneur." J'ai dit : "Souvenez-vous, Il est - Il est toujours Dieu, et le… Il tient Sa Parole."

56 Alors, quand nous avons déplacé le - le trophée du - du - du cape, ainsi que les cornes et tout de ce caribou, nous nous sommes alors mis à descendre la montagne. Je portais mon fusil pendant un moment, et alors frère Bud transportait les cornes. Et - et de nos épaules les cornes arrivaient jusqu'au sol, et le… avec la tête du caribou, cela pesait environ plus de 100 ou 150 livres [45,3 kg ou 68 kg - N.D.T.]. Et nous passions un moment difficile, tous deux étant des hommes de petite taille, en essayant de faire descendre cela sur la montagne, on glissait un peu facilement pendant que nous descendions.
Eh bien, attendez donc juste une minute, Lee. Combien de temps nous reste-t-il, Terry? [Espace vide sur la bande - N.D.E.] OK, Lee, nous avons changé ceci, nous avons maintenant changé de bande, car elle était pratiquement arrivée à la fin.
Ainsi, pendant la descente, nous sommes tous arrivés à une distance d'environ, oh! je pense mile yards [environ 914 m - N.D.T.] de là où commençait le bois. Le petit bois d'arbustes rabougris, le petit… Oh! je pense que ce sont des sapins, de petits sapins d'environ deux ou trois pieds de hauteur [61 ou 91 cm]. Et puis, certains d'entre eux atteignaient cinq ou six pieds de hauteur [1,5 ou 1,8 m], juste de petites zones.
Et Bud s'est arrêté. Il a dit : "Frère Branham, si nous allons avoir cet ours, il ferait mieux de se faire voir, n'est-ce pas?"
J'ai dit : "Bud, je crois que tu doutes de cela."
Il a dit : "Frère Branham, comment puis-je douter de cela? Cela fait une année entière, plus d'une année depuis que mon frère… vous m'aviez dit ce qu'il fallait faire à son sujet. Et il n'a plus fait une seule crise d'épilepsie depuis lors."
Et j'ai dit : "Il n'en fera plus jamais à moins qu'il se mette à douter ou qu'il retourne dans le monde." Et alors, bien sûr : "Va et ne pèche plus, sinon quelque chose de pire t'arrivera."

57 Il a alors dit : "Je… ce que j'essaie de me représenter, Frère Branham, je peux voir jusqu'à 5 miles [8 km - N.D.T.], chaque coin qu'il y a. Et avec ces jumelles, je peux voir au-delà de cela. Et il n'y a d'ours nulle part ni aucun endroit pour qu'il en vienne un."
J'ai dit : "Frère Bud, avez-vous oublié, mon précieux frère, qu'Il est toujours Jéhovah Jiré? Vous souvenez-vous du bélier qui a été créé quand Abraham en avait besoin, car c'était la Parole du Seigneur? C'est toujours la Parole du Seigneur. Vous voyez? Comme Dieu m'a dit que je tuerai un ours grizzly argenté avant que nous ne soyons de retour là-bas, j'aurai cet ours : "AINSI DIT LE SEIGNEUR."
Il a dit : "Frère Branham, cela - c'est la foi."
J'ai dit : "Non, ce n'est pas la foi. C'est croire juste ce que Dieu a dit. Cela n'a jamais failli, et cela ne va pas faillir."
Ainsi, il a dit : "Souvenez-vous, nous ne sommes qu'à environ mile yards [914 m - N.D.T.] du jeune homme en chemise verte. Nous ne les voyons pas encore, mais ils sont là dans cette vallée-là. Et nous… quand nous arriverons là."
J'ai dit : "Peu importe la distance, Bud, ou le temps qui reste, Dieu peut créer un ours. Il a créé le premier ours. Et Il est toujours le grand Créateur, Jéhovah Jiré."

58 Et nous avons encore parcouru environ cent yards [91,4 m - N.D.T.], deux cents yards [182,8 m - N.D.T.], peut-être un peu plus, et nous nous sommes encore assis pour nous reposer. Et cette fois-là, c'est moi qui portais le fusil. Eh bien, c'est un petit modèle 270, un très petit fusil pour la chasse à l'ours, ainsi donc… contenant de petites balles de 130 grains.
Nous nous sommes donc assis pour nous reposer. Et à ce moment-là nous étions à environ 300 ou 500 yards [274,2 m ou 457 m - N.D.T.], quelque chose comme cela, de là où nous devrions rencontrer ces amis là dans ce bois.
Nous avons de nouveau regardé tout autour. Nous parlions pendant que nous descendions.
Il a dit : "Frère Branham, ce fameux ours ferait mieux de se montrer, n'est-ce pas?"
J'ai dit : "Bud, pourquoi doutez-vous?"
Il a dit : "Je n'en doute pas, Frère Branham." Il a dit : "Mais, vous savez, vous savez." Il a dit : "Je… peut-être que je ne vis pas dans votre dimension." Il a dit : "Je - je n'arrive pratiquement pas à comprendre comment cela pourrait se faire."

59 Et juste à ce moment-là, je me suis retourné pour regarder sur la colline. J'ai dit : "Bud…" Il avait les jumelles autour de son cou, car j'allais transporter les cornes. Et - et lui allait porter le fusil. Et j'ai dit : "C'est quoi qui fait saillie juste là dans - sur la colline?" Il a braqué ses jumelles et a regardé. C'était alors aux environs de 18 heures ou 17 heures de l'après-midi, le soleil déclinait.
Il a dit : "Oh, Frère Branham. Je vous dis la vérité, c'est le plus grand grizzly argenté que j' aie jamais vu de ma vie. Il est sur la montagne à environ un demi mile [environ 800 m - N.D.T.] de l'endroit où nous venons. " Il a dit : "Frère Branham, d'où est-il venu?"
J'ai dit : "Je ne sais pas."
Il a dit : "J'ai observé toute cette montagne, tous les deux nous l'avons fait. Et là se trouve un…" Il a dit : "C'est un grizzly argenté. J'ai les regards fixés sur lui. Et c'est…" Il a dit : "Le vent souffle sur ses longs poils argentés comme cela, il souffle sur son dos. Et cela…" Il a dit : "On dirait une grosse vache qui se tient là ou quelque chose comme ça."
Et j'ai dit : "Il ne nous voit pas, n'est-ce pas?"
Il a dit : "Non."
J'ai dit : "Eh bien…"
Il a dit : "Frère Branham, je ne pense pas que vous devriez vous approcher davantage de lui. Abattez-le tout simplement d'ici. Le Seigneur vous l'a déjà donné." Il était à un demi-mile [800 m - N.D.T. ].
J'ai dit : "Non. Selon la - la vision, je l'ai abattu à une courte distance de… à une très courte distance."

60 Nous nous sommes donc mis… j'ai déposé les cornes, et nous nous sommes mis à gravir la montagne. Eh bien, nous avons escaladé de petits ravins et tout jusqu'à ce que nous… ce sont de petits fossés, et tout, jusqu'à ce que nous étions à environ, oh, quelque part entre 300 et 500 yards [274,2 ou 457 m - N.D.T.]. Et c'était le dernier. Premièrement, quand nous étions à environ - à environ 700 ou 800 yards [639,8 ou 731,2 m - N.D.T.], Bud a dit : "Frère Branham, pouvez-vous l'atteindre d'ici?"
J'ai dit : "J'étais plus près que ça, Bud."
Il a dit : "Je crains qu'il nous voie, et il va directement charger en descendant la colline."
Et j'ai dit : "Eh bien, Bud, j'ai - j'ai vu cela. Je - je l'ai vu en vision; c'est le même ours." Et j'ai dit : "Eh, eh, je vais l'atteindre."
"Mais, a-t-il dit, Frère Branham, ne trouvez-vous pas que ce petit modèle 270, ces balles de 130 grains, c'est un peu petit?" Il a dit : "J'en ai vu foncer droit sur un - un gros fusil magnum Weatherby, qui l'avait pulvérisé en plein dans la poitrine, mais lui continuait à avancer."
J'ai dit : "Bud, le Seigneur m'a donné cet ours." J'ai dit : "Même si j'avais une carabine à air comprimé, je l'aurais quand même. Vous voyez?" J'ai dit : "Parce que le Seigneur me l'a donné."

61 Il a dit : "Eh bien, Frère Branham, avez-vous déjà abattu un grizzly auparavant?"
J'ai dit : "J'ai abattu plusieurs ours, mais pas le grizzly. J'ai abattu l'ours brun, l'ours noir, et autres, mais pas le grizzly."
Il a dit : "Frère Branham, tirez-le droit dans le dos et brisez-lui le dos afin qu'il ne puisse pas se relever. Eh bien, c'est ainsi qu'on abat le grizzly. C'est ainsi qu'on les abat ici."
Alors j'ai dit : "Bud, selon la vision, je l'ai atteint au coeur."
Il a dit : "Oh! Frère Branham, il se tient bien droit sur la colline." Il a dit : "Il va directement descendre la colline. Même si vous lui faites sauter le coeur, cela ne l'arrêtera pas."
J'ai dit : "Mais le Seigneur… Mais conformément à la Parole du Seigneur, je l'ai atteint au coeur. Je me souviens l'avoir atteint au coeur."
Il a dit : "Eh bien, Frère Branham, puisque la vision a dit que vous l'avez atteint au coeur et que vous l'avez eu, a-t-il dit, je resterai à vos côtés. Mais, a-t-il ajouté, je vous assure, n'eut été cette vision, je ne resterais certainement pas."
J'ai dit : "Eh bien, restez ici si vous le voulez."
Il a dit : "Non, je - je viens avec vous."

62 Ainsi, lorsque nous sommes arrivés à environ 300 yards [274,2 m - N.D.T.] ou quelque chose comme cela, j'ai dit : "Nous allons relever la tête sur la colline." J'ai dit : "Le voilà." Et j'ai alors introduit une balle dans la chambre. J'ai dit : "Très bien, Bud."
Et alors quand je me suis relevé, le grizzly m'a aperçu. Et il s'est mis à charger. Et alors, je l'ai atteint en plein au coeur. Et avant que je ne mette une autre balle dans le fusil, le grizzly, alors qu'il chargeait de toutes ses forces dans notre direction, à environ 50 yards [45,7 m - N.D.T. ], s'est retourné, et est tombé raide mort.
Alors Bud m'a regardé, et son visage - il était pâle à la bouche. Il a dit : "Frère Branham, je ne désirais pas l'avoir sur moi."
Et j'ai dit : "Moi, non plus, car il ne ferait pas beau être en sa compagnie."
Et nous sommes allés là. Il s'est levé et je l'ai couvert. On a lancé des pierres sur l'ours et il était mort. Et nous sommes allés là : c'était parfaitement, exactement tel que l'avait montré la vision.
Il a dit : "Eh bien, Frère Branham, quand nous arriverons là où sont ces jeunes gens, si les cornes de ce caribou mesurent 42 pouces [106,68 cm - N.D.T], je vais me mettre à crier."
J'ai dit : "Eh bien, vous feriez mieux de crier maintenant même, Bud, car c'est ce qu'il en est exactement."

63 Nous sommes donc descendus vers là… vers là. Et j'ai dit : "Alors quand Eddy…" Il était là criant, hurlant et poussant des cris. Et Blain venait en courant à notre rencontre, lui aussi en train de crier.
Et quand nous sommes arrivés là où ça se trouvait, je n'ai pas dit mot à ce sujet. Et Bud est simplement allé à son - son cheval et a sorti des sacoches de selle - il a sorti son mètre ruban.
Et j'ai dit à Eddy avec une petite voix insistante, ou plutôt à voix basse, je - j'ai dit : "Observe. Blain va saisir les cornes, car dans la vision une petite main tenait le mètre ruban sur la corne, comme je vous l'ai dit hier soir au camp, et… il y a quelques soirs."
Et il a pris le mètre ruban. Il a dit : "Viens ici, Blain. Eh bien, tiens ce mètre ruban."
Et il l'a tenu. Et très exactement, précisément, exactement, les cornes mesuraient 42 pouces [106,68 cm - N.D.T].
Il a dit : "Frère Branham, a-t-il dit, où serai-je dans une année?"
Et j'ai dit : "Bud, je ne peux pas vous le dire." J'ai dit : "Nous qui avons des visions et qui sommes sincères à ce sujet, nous ne pouvons dire que ce qu'Il nous dit de dire. Et tout ce que je sais, c'est qu'Il a dit que ceci arriverait."

64 Eh bien, cette information, vous pourriez l'obtenir auprès de Harvey Southwick, un guide de première classe, sur l'autoroute de l'Alaska, au mile 442 [km 711 - N.D.T.] si vous… On peut obtenir l'information directement auprès de lui, ou de son fils, ou du Révérend Eddy Byskal. Et vous - vous... Je… Lee, je crois que vous connaissez Eddy Byskal. Eh bien, ça, c'était autre chose.
Maintenant, je vais arrêter juste un instant pour attendre et voir si quelque chose d'autre…

65 Lee, ceci pourrait être un peu fort. C'est au sujet des écureuils. Vous voyez? Vous en connaissez l'histoire. Je ne sais pas si… C'est… Vous désiriez le surnaturel. Ça c'était donc surnaturel. Vous connaissez l'histoire. Et frère Banks Wood avec, je pense frère Fred Sothmann, je pense que c'était lui (Etait-ce vous, Fred?), ils étaient avec moi dans cette tournée de chasse.
Et c'était dans les bois. Et il faisait froid, et il n'y avait pas d'écureuils ni rien. Vous connaissez l'histoire. A propos, je pense que vous connaissez ceci, Lee. Mais je pourrais juste vous résumer cela.
Et c'était à la fin de l'automne, les arbres avaient perdu toutes leurs feuilles. Et je chassais dans les mêmes bois depuis deux jours sans voir un seul écureuil. C'était vers neuf heures trente du matin. Les écureuils se retirent très tôt. Et il n'y avait pas un seul écureuil, nulle part. Et j'étais au milieu des sycomores et des fourrés de caroubiers, et les écureuils ne grimpent pas sur les sycomores ni sur les caroubiers.
Et alors, cette Ecriture de Marc 11.23 m'avait toujours - toujours rendu perplexe, là où Jésus a dit : "Si quelqu'un dit à cette montagne : 'Ôte-toi de là' et qu'il ne doute point (vous voyez?), cela arrivera."

66 J'avais donc un peu froid. On approchait de la fin du mois de septembre. Je me préparais pour aller à la chasse à l'antilope. Je devais tenir une petite série de réunions et ensuite aller à la chasse à l'antilope. Et revenir pour passer mon hiver.
Ainsi, je me suis en quelque sorte abaissé, accroupi entre trois arbres qui étaient au même endroit, et j'essayais de me réchauffer. Et j'allais descendre chercher Banks et Fred à leur poste, là où ils étaient en train de chasser, dans d'autres bois.
Et je n'avais rien vu ni rien entendu pendant toute la matinée, j'étais là avant le lever du jour. Et c'était la deuxième matinée que je passais là, je pense, la deuxième ou la troisième matinée sans rien être - rien trouver dans les bois.
C'était trop tard. Les écureuils avaient… La plupart des écureuils migrateurs avaient déjà quitté la contrée. Et les autres étaient en hibernation, ou entraient dans le - leurs gîtes et tout pour l'hiver. Et puis le sol était vraiment nu, les feuilles formaient une épaisse couche. On ne pouvait pas les voir pour commencer.
Mais je voulais avoir un plat d'écureuil avant que la saison soit clôturée. Et c'était à deux jours… Non, c'était le jour de la clôture de la saison de chasse ici. En effet, dans le Kentucky, c'était cinq jours plus tard. Et je pense donc que c'était le jour de clôture.

67 Et j'étais assis là, déçu. Je n'avais pas d'écureuil. Et j'étais assis là contre le - contre un petit arbre. Et je me suis dit : "Eh bien…" Je me suis dit que je ferais un somme. J'ai dit : "Non, si je fais une petite sieste, il se peut que je dorme un peu longtemps, et Fred et les autres seront là à m'attendre. Et ils pourraient s'inquiéter un peu à mon sujet, lui et Banks."
Ainsi, je - j'étais simplement assis là attendant. Je me suis mis à étudier cette Ecriture. Je n'avais jamais voulu prêcher là-dessus, car je ne pourrais pas… Je n'en avais pas la signification exacte.
Lee, vous le savez vous-même. Si vous ne savez pas de quoi vous parlez, et que vous ne soyez pas totalement convaincu, vous feriez mieux de laisser cela de côté.
Et je m'étais toujours dit… Vous voyez, si ce… ce n'est pas : "Si Je dis à cette montagne", mais "Si tu dis à cette montagne : 'Ôte-toi de là'." Eh bien je n'arrivais pas à comprendre où cela se trouvait. J'enseignais que tout se trouve dans l'expiation. Et j'ai tout simplement dit : "Eh bien, ça, c'était avant que l'expiation soit faite. Jésus a tout simplement donné cette Ecriture aux disciples."

68 Et ainsi, pendant que j'étais assis là, tout à coup, une Voix s'est mise à me parler. Elle a dit : "Eh bien, d'où penses-tu que proviennent tes visions?" Vous voyez? "Etaient-elles incluses dans l'expiation?" Vous voyez?
Et je me suis mis à répondre, sans réfléchir. Et tout à coup, je me suis plutôt rendu compte que je parlais à Quelqu'un là dans le bois. Il n'y avait personne autour de moi. Et je me suis dit : "Qu'était-ce?"
Et alors quelques minutes plus tard, je me suis dit : "Eh bien, je ne suis pas sûr. Je n'ai pas perdu la tête."
Quelques minutes après, voilà qu'elle a repris de me parler. Elle a dit : "Tu as reçu la puissance pour cela." Vous voyez?
Et Lee, vous n'êtes pas obligé d'inclure ceci. Cela conduisait au troisième pull. Vous voyez? Vous comprenez donc ce que je veux dire.
Ainsi, mais Cela - Cela a dit : "Tu a reçu la puissance pour cela. Ceci amène le troisième pull."
Et je - j'ai dit : "Eh bien, il n'y a pas de malades ici." Vous voyez? Et il a donc dit : "Mais tu es en train de chasser, et tu as besoin d'un - d'écureuils." Il a dit : "Dis tout simplement où ils seront, et dans quelle direction ils viendront, et ils seront là."
Je me suis donc dit : "Oh! la la!" J'ai réfléchi un petit peu.

69 Vous savez, Lee, même si vous pensez être en face d'une - une personne comme celle-là… et me parler ici de cette façon-là. Non, c'est ce que vous pensez, mais vous n'avez… Vous voyez, vous - vous n'avez pas le contrôle de vous-même. Vous voyez, vous ne pouvez pas réfléchir, pas du tout. C'est la raison pour laquelle vous devez vous débarrasser de vos propres pensées pour que Lui puisse - Lui puisse penser - mettre Ses pensées en vous. Vous voyez? Il vous faut vous débarrasser de vos propres pensées. Cela entre tout simplement dans votre propre esprit. Vous comprenez, Lee?
Elle a donc dit : "Tu as besoin des écureuils maintenant." Et je me suis dit… Et Il a dit : "Demande. Dis simplement cela. Ne demande pas cela, dis-le."
Eh bien, je me suis dit : "Je ferais mieux de ne pas avancer un trop grand nombre. La limite, c'est cinq. Mais en fait trois font juste un plat." J'ai dit : "J'aurai trois jeunes écureuils de Caroline. Ce sont les meilleurs. Trois jeunes écureuils de Caroline, cela nous fera un plat."

70 Et juste à ce moment-là, cette Voix a demandé : "Dans quelle direction viendront-ils? Où seront-ils?"
Et je - je me suis frotté le visage à deux ou trois reprises. J'ai dit : "Je sais que je ne me suis pas endormi. Voici mon fusil. Me voici dans les bois. Et me voici. Et je - je suis conscient d'être ici. Mais il y a Quelqu'un ici qui est en train de me parler, et je ne Le vois pas, et pourtant j'entends Sa voix ici."
Je - j'ai donc dit : "Eh bien, ça a toujours été Dieu. Et je sais que ceci n'est jamais arrivé auparavant. Et, eh bien, ça a toujours été Dieu, et cela n'a jamais failli. Ainsi, cela ne peut pas faillir cette fois-ci."
Et j'ai indiqué un endroit qui semblait bizarre. J'ai regardé tous les arbres, il y avait une vieille souche d'un arbre, un chicot, un vieux chicot de sycomore.
Or, on ne trouve pas du tout les écureuils sur le sycomore. Vous voyez? Et pourtant c'était un vieux chicot de sycomore, un vieil arbre mort, avec les branches qui pendaient. Je l'ai examiné. Il n'y avait rien.
J'ai dit… J'ai montré du doigt. J'ai dit : "Le premier sera juste là au bout de cette branche, juste là ", comme cela, j'ai montré du doigt. Et alors, avant que j'aie bougé le doigt, l'écureuil se tenait là. Lee, d'où est-il venu? Je ne sais pas.
Ainsi, je… Il était là, perché avec sa tête tournée, c'était vraiment un tir à l'oeil, ce que j'aime toujours faire.

71 Eh bien, je - j'ai baissé la tête. Je me suis frotté le visage. J'ai de nouveau regardé, et il se tenait toujours là. Eh bien, je me suis dit : "Je ne veux pas tirer sur une vision. Il faut donc que ce soit un écureuil qui se tient réellement là."
J'ai alors levé mon fusil, j'ai placé ma lunette dessus, j'ai rapproché l'écureuil de moi, bien sûr, à travers la lunette. Et il était là. Un jeune écureuil roux se tenait juste au bout de la branche comme je l'avais cherché.
J'avais passé des heures là à - juste à le regarder. Ou, eh bien, je pense juste sur un… Je dis "des heures", ce n'est pas ce que je veux dire. Peut-être que j'avais passé là vingt ou trente minutes à regarder droit ces arbres, juste là il n'y avait rien là. Et voilà qu'il se tenait là.
J'ai donc introduit une balle dans le canon, j'ai visé droit sur l'écureuil, et je l'ai tiré. Et l'écureuil est tombé. Eh bien, je me suis vraiment senti comme qui dirait tout engourdi. Ainsi, je - je suis allé là. Je n'avais pas bien vu cela avant. Je suis alors allé là et j'ai ramassé l'écureuil. Et - et il saignait. Je savais qu'une vision ne saigne pas. J'ai donc dit que c'était un vrai écureuil.
J'ai alors dit : "Eh bien, merci Seigneur. Je n'ai jamais vu ceci auparavant. Tu es le grand Créateur. Ainsi, je sais que Tu as créé ceci, et que Tu as amené cet écureuil à l'existence." J'ai alors dit : "Eh bien, je pense que cela va…" J'ai dit : "Merci Seigneur." Et je me suis mis à m'en aller.

72 Il a dit… Cette Voix a de nouveau parlé. "Mais, a-t-Elle dit, tu as dit que tu en auras trois. Tu l'as dit. (Vous voyez?) Maintenant, d'où viendra le suivant?"
J'ai alors cherché un endroit plus loin dans les bois, c'était un - un vieux caroubier entouré d'un vieux lierre [Espèce de grande liane à feuilles persistantes et luisantes - N.D.T.] vénéneux, qui faisait qu'il ait environ le double de sa taille. Cet arbre en soi avait probablement un diamètre de 8 pouces [20,32 cm - N.D.T.], à peu près. Et ce chicot, c'était une - une loupe d'arbre là dans le… qui se tenait à environ 30, 40 pieds [9 m, 12 m - N.D.T. ]. Et cela faisait environ 8 autres pouces [20,32 cm - N.D.T.], ce qui faisait environ 16 pouces [40,64 cm - N.D.T.] rien que de lierre vénéneux poussant autour de cela.
"Eh bien, ai-je dit, ils ne vont pas grimper sur ce lierre vénéneux. J'en suis sûr." Vous voyez? "Mais, ai-je dit, l'écureuil sera… Le prochain se tiendra juste là." Et j'ai montré du doigt. Et, en toute sincérité, Lee, un autre jeune écureuil roux me fixant du regard, se tenait là à me regarder à environ 50 yards [45,7 m - N.D.T.] de moi.
Et j'étais si engourdi que je pouvais à peine faire quelque chose. J'ai pris le - le fusil et j'ai regardé l'écureuil. Et il était là, regardant droit vers moi. J'ai alors visé, j'ai tiré, l'écureuil est tombé. Je suis allé là et je l'ai ramassé. C'était un autre écureuil roux, un jeune, juste comme j'avais dit qu'il serait.

73 Ainsi donc, la Voix a alors dit : "D'où viendra le troisième?"
Eh bien, pendant cette période-là, des fermiers étaient descendus là pour récolter les maïs. Et c'était juste au bas de la colline. Alors je - je me suis dit que je ferais en sorte que cette fois-ci ça soit vraiment bizarre. J'ai dit : "L'écureuil montera ici dans les bois et traversera les bois, il grimpera sur ce vieil arbre, et s'avancera sur la branche et regardera par-là, et il regardera en bas ces fermiers là. Et ensuite il se retournera et regardera juste de côté par rapport à moi, d'où je le tirerai à l'oeil."
Et Lee, en ce moment-là, j'ai entendu un… un bruissement dans les feuilles. Voilà venir l'écureuil, il a traversé les bois, il a directement grimpé sur l'arbre, il s'est avancé et a regardé les fermiers, puis il s'est retourné juste du côté où je me tenais. Et je l'ai tiré : trois écureuils, très exactement tel que je l'avais dit.

74 Environ deux mois après cela… Et il y a une autre histoire qui se rapporte à cela, vous savez, là dans le Kentucky. Mais je ne pense pas que ce soit nécessaire d'ajouter celle-là. Lee, vous en êtes au courant.
Et je me trouvais dans la maison d'un fermier où il y avait une jeune fille malade. Et ce fermier, c'est George Wright. Et sa fille s'appelle Hattie, je l'ai mariée à son mari il y a environ, oh, 18 ou peut-être 20 ans. Et je… Ils ont eu deux garçons. Et le père a trouvé la mort sur un tracteur. Ainsi, la veuve était là à la maison, des gens très très pauvres. Et son frère à elle…
La famille Wright a eu trois enfants. L'un d'eux était une enfant atteinte d'une paralysie infantile depuis qu'elle était petite. Et - et le Seigneur avait alors été bon envers elle. Et nous avions prié pour elle. Et elle n'éprouvait plus de douleur. Elle n'avait plus souffert. Mais elle n'était pas en mesure de marcher.
Et le - le garçon était alors un… C'était alors un homme d'environ mon âge, il avait environ cinquante ans. Et le père avait environ 75 ou 80 ans, il avait été guéri, vous savez, Lee, par une vision; en effet, les quatre médecins avaient déclaré un après-midi qu'il allait mourir. Et alors j'avais le AINSI DIT LE SEIGNEUR …?….

75 Et ces gens se moquaient de lui, c'était… l'église d'où il était sorti, l'Eglise de Christ. Et je… Et ils parlaient, disant : "Où est donc ton guérisseur divin?"
Et je suis allé prier pour lui, là-bas pendant deux jours, je n'arrivais pas à avoir une vision pendant que je priais pour lui. Et je suis retourné à la maison, j'ai eu une vision. Et ces prédicateurs de l'Eglise de Christ se moquaient de lui à ce sujet.
J'ai dit : "Tu creuseras la tombe de cet homme qui s'est moqué, disant : 'Où est ton guérisseur divin?'" Et il l'a fait, il a creusé la tombe de cet homme qui s'était moqué.
Et il était là, assis là dans la maison. Nous étions cependant tous préoccupés par la guérison de sa fille.
Nous avions alors été invités à rester pour le dîner. Frère Banks Wood et moi étions allés là-bas pour le voir au sujet du vin pour la communion. Il fabriquait le vin pour la communion. Et nous étions assis là. Et ils ont alors dit : "Eh bien, restez pour le dîner."

76 Alors, nous nous sommes mis à table. Et le sujet de la création des écureuils, ce qui avait eu lieu environ deux mois auparavant, a rebondi.
J'ai dit… Et j'ai dit : "Frère Shelby...", c'est le fils de George Wright. Et frère Wright et frère Wood - tous sont des chasseurs professionnels. J'ai dit : "Est-ce que l'un d'entre vous, frères, a déjà vu un écureuil sur un caroubier? Ou dans un - dans un - dans un - un… (J'essaie maintenant de me rappeler le nom de cet arbre dans lequel il se trouvait. Le… Oh! pour l'amour du ciel!) Voilà, bien, il se trouvait dans un sycomore dans l'Indiana - un sycomore?"
Ils ont répondu : "Non, nous n'avons jamais vu cela."
Ainsi pendant que nous étions assis là en train de parler, j'ai dit : "Tout ce que je sais, c'est qu'Abraham avait besoin d'un bélier à la place de son fils. Et Jéhovah Jiré a amené ce bélier à l'existence au - au chapitre 22 de Genèse, là où Abraham…"

77 Ils étaient loin, peut-être à 100 miles [160 km - N.D.T. ] de son camp. Il avait effectué un voyage de trois jours. Il pouvait marcher à pieds sur une distance d'au moins 25 miles [40 km - N.D.T. ] par jour. Et alors, il a levé les yeux, il a vu la montagne au loin. Et puis au sommet de la montagne, là-bas, il y a des bêtes sauvages, et au sommet de la montagne où il n'y a ni eau ni pâturage ni rien…
Et il a ramassé les pierres là tout autour pour construire l'autel. Et il n'y avait point de bélier là. Mais Dieu a pourvu Lui-même d'un bélier. Et ce n'était pas non plus une vision qu'il avait tuée, car cela avait saigné. Le sang en a coulé. Dieu a crée ce bélier par la Parole, et celui-ci a été ôté de l'existence la minute qui suivait. Vous voyez?
Et j'ai dit : "Tout ce que je sais, c'est que Celui qui pouvait créer le bélier par la Parole… "
Je dis ceci, Lee, pour qu'au cas où vous mentionneriez cela, vous parliez conformément aux Ecritures. Vous voyez?
"Et s'Il a pu créer un bélier par la Parole, Il peut aussi créer un écureuil par la Parole, car Il est le Créateur de tous les deux."

78 Et alors Hattie, une petite femme calme, elle a dit la chose qu'il fallait. Et Lee, vous savez, comme la femme syro-phénicienne, quand vous dites la chose qu'il faut, cela amène l'Esprit du Seigneur. Et cette chose n'était donc jamais arrivée aux êtres humains auparavant. Et elle - elle a dit : "Frère Branham, cela n'est rien que la vérité."
Et quand elle a dit cela, la présence du Saint-Esprit était si forte dans la pièce que tout le monde s'est mis à pleurer. Et alors j'ai regardé et j'ai eu une vision. Et le Seigneur m'a dit dans cette vision : "Donne-lui ce qu'elle demande."
Eh bien, Lee, il y a au moins quinze témoins de ceci qui sont présents. Alors j'ai dit : "Soeur Hattie, vous avez trouvé grâce aux yeux du Seigneur." Une vieille petite veuve travaillant là-bas sur la colline, ayant deux pauvres petits garçons, et ils étaient devenus de véritables "Rickys", vous savez, et ils étaient devenus modernes. Et, oh! la la! Elle ne pouvait rien faire d'eux. L'un d'eux avait environ 18 ans, l'autre environ 16 ans, et, oh! la la! vous parlez d'être de vrais renégats, ils l'étaient.
Et ils - ainsi ils étaient là. Et alors soeur Hattie a dit…

79 J'ai dit : "Eh bien, Soeur Hattie, voici comment savoir si c'est la vérité ou pas. Eh bien, le Saint-Esprit me dit de vous donner tout ce que vous désirez. Tout ce que je dirai… Tout ce que vous demanderez, je le dirai, et cela viendra à l'existence exactement comme ces écureuils-là."
"Eh bien, a-t-elle dit, Frère Branham" (tout le monde pleurait), elle a dit : "Que puis-je demander?"
J'ai dit : "Eh bien, Soeur Hattie, pour commencer, j'ai 20 dollars ici dans ma poche à vous remettre, je vous avais vue promettre cela. Et votre revenu annuel, vous ne gagnez pas plus de 150 dollars dans cette petite ferme, vous avez ces deux enfants… juste ce qu'il vous faut pour vivre, 150 dollars. Et maintenant, Meda m'a donné 20 dollars pour aller chercher des provisions ce matin; j'avais l'intention de vous les rendre.
Eh bien, vous êtes une veuve avec ces deux enfants. Et vous êtes là sans rien, et vous travaillez chaque jour là à la ferme aussi durement que possible. Et le… Et votre revenu est très maigre. Demandez assez d'argent pour vous bâtir une nouvelle maison ou pour vous acheter une nouvelle ferme."
"Eh bien, ai-je dit, voici votre père et votre mère qui sont âgés. Demandez pour eux ce qu'ils désirent." J'ai dit : "Voici assise à table votre petite soeur malade, depuis toutes ces années. Demandez sa guérison ou quoi que ce soit que vous avez sur le coeur. Et si cela n'arrive pas maintenant même, alors ne croyez plus jamais que je suis un serviteur de Christ."

80 Et frère Banks Wood s'est mis à pleurer, tout le monde. Elle a dit : "Eh bien, Frère Branham…"
J'ai dit : "Eh bien, à quoi pensez-vous, Hattie? Quelle est la plus grande chose que vous avez à coeur? Que préférerez-vous à tout le reste? Pensez-y. Prenez votre temps. Penses-y. Car, ce que vous me demanderez, je vais le dire ensuite, et alors cela arrivera immédiatement. Pensez-y maintenant. Quelle est, à votre avis, la chose la plus glorieuse qui puisse vous arriver et dont vous avez besoin ?
Elle a promené le regard dans toute la pièce. Et ses fils étaient là en train de ricaner, de rire. Voyez? Elle a dit : "Frère Branham, à mon avis, la chose la plus glorieuse qui puisse m'arriver dans la vie, c'est le salut de mes deux fils."
Je désire que vous remarquiez quelle sagesse c'était! Et Lee, la raison pour laquelle je vous dis ceci, si vous voyez ce que fait une vision, non seulement du point de vue matériel (Voyez?) mais aussi du point de vue du salut…
Elle a dit : "Le salut de mes deux fils."
J'ai dit : "Soeur Hattie, sur l'ordre de Dieu, je vous donne vos deux fils comme des personnes sauvées au Nom de Jésus-Christ."
Et tous les deux sont tombés sur les genoux de leur mère, criant à tue-tête. Il y a de cela environ trois ou quatre ans. Il sont toujours des garçons chrétiens humbles, doux, ordonnés, jusqu'à ce jour.

81 Vous voyez, considérez cette sagesse. Dieu savait que c'est ce qu'elle demanderait. Sa petite soeur qui était assise là, bien qu'étant infirme, pouvait être guérie à ce moment-là. Mais sa petite soeur était déjà sauvée. Vous voyez? Elle a demandé (Voyez?), elle a demandé quelque chose qui demeurera jusque dans l'Eternité. Voyez? Le salut de ces fils durera jusque dans l'Eternité.
La guérison, elle aurait pu demander de l'argent, cela aurait finalement péri. Si elle avait demandé quelque chose pour ses parents, cela aurait probablement été pareil. Sa soeur aurait finalement eu à mourir de toute façon (Voyez?), un jour ou l'autre. Mais elle a demandé la chose glorieuse, et cela lui a été accordé.
Merci, Lee.

82 Frère Lee, encore une autre chose. Ah! Ah! C'était en fait la troisième fois que ce nouveau ministère avec le surnaturel de… Ça, ce n'est pas le discernement des pensées et les visions dont on a parlé. Vous pouvez inclure cela et dire que ce ne sont là que - ce ne sont que là quelques-unes des choses innombrables qui se produisent. Et pas une seule fois cela n'a failli. Voyez?
Mais ceci est quelque chose de nouveau, vous savez. Cela se produit tout simplement. Je le dis dans le… afin que les gens qui sont ici même sur la terre aujourd'hui, qui étaient là et qui savent que cela est arrivé (Vous voyez?) puissent en témoigner.
Et en dernier lieu… Il y a environ quinze ans, j'étais en Californie quand je… Les gens posaient leurs mains sur moi; et je pouvais sentir à partir… vous savez, et je disais aux gens… vous savez, c'est ce qu'Il avait dit à Moïse : "Tu as deux signes." Et là quand Il m'avait parlé, Il avait dit : "De même que Moïse…" Quand Il a dit cette nuit-là à Green's Mill, quand l'Ange du Seigneur m'a rencontré, Il a dit : "De même que Moïse avait reçu deux signes pour aller délivrer les enfants d'Israël, de même deux signes te sont donnés." L'un d'eux…

83 A l'époque, je n'étais qu'un prédicateur baptiste local et j'étais là en train de prier Dieu d'ôter cette chose de moi, parce que mes frères m'avaient dit que Cela venait du diable. Et alors quand cet Ange du Seigneur m'a rencontré là-bas… (En fait, ôtez cela du livre si vous voulez, et trouvez quelque chose là-dessus.) Et l'Ange du Seigneur m'a rencontré là-bas cette nuit-là, et Il m'a parlé de ceci et m'a donné la commission d'aller faire ceci, et il a dit que c'était la raison pour laquelle on m'avait parlé quand j'étais petit; c'est là la raison de ma naissance particulière et de ma vie incomprise. Je devais prier pour les malades et ceux-ci… Et ces choses qui ont été dites étaient vraies. Plusieurs…
Et je Lui ai parlé, disant : "Eh bien, pourquoi ces gens - ces prédicateurs qualifient-ils Cela du diable?"
Et Il a dit que la même chose était arrivée quand notre Seigneur était sur terre. Et Il a dit : "Les prédicateurs Le traitaient de démon - Belzébul ", et tout comme cela, et ils disaient qu'Il était possédé du diable.
Mais le diable lui-même savait qu'Il était le Fils de Dieu : "Pourquoi viens-Tu nous tourmenter avant notre temps? Nous savons qui Tu es, qui Tu es, Tu es le Saint d'Israël. " Vous voyez? Les démons le savaient donc.
Et cet Ange a parlé de ces choses. C'est comme dans le cas de Paul et Barnabas… ou plutôt de Paul et Silas, qui avaient chassé là un démon d'une jeune fille.

84 Vous voyez, tous ces prédicateurs là-bas disaient : "Cet homme est un… Ces hommes troublent le monde." Ce Paul dont vous parlez ici dans ce livre. "Ces hommes troublent le monde."
Mais cette petite diseuse de bonne aventure là-bas disait : "Ce sont des hommes de Dieu qui nous montrent le chemin de la Vie." Vous voyez?
Et combien c'est différent. Et cet Ange s'est référé à cela. Et il m'a dit que mon premier don consisterait à placer les mains sur les gens et qu'il me serait révélé ce qui n'allait pas en eux. Ensuite il arrivera que je connaîtrais le secret même de leurs coeurs.
Et ainsi, c'est alors que l'Ange s'est de nouveau référé à cela. C'était la Parole de Dieu, car Jésus était la Parole. L'Ange a déclaré que Jésus était la Parole. Et Il… Et Il discernait les pensées, car C'est la Parole. C'est la Parole qui discerne, comme nous le voyons dans - dans Hébreux 4.12. Et Elle discerne aussi… Et dans les autres passages des Ecritures tout du long, la Parole venait aux prophètes, et ils étaient appelés des dieux, vous savez, car ils étaient des représentants de Dieu - de Dieu, du véritable et unique Dieu. Et ils agissaient comme des dieux.

85 Par exemple, Lee, je peux vous raconter cette petite… cette petite chose-ci que quelqu'un m'a racontée. Cette petite chose… (Je pense que j'ai beaucoup de temps, n'est-ce pas, Terry? "
Quelqu'un a dit l'autre jour, il a dit : "Frère Branham, avec un ministère comme celui-ci…" Je - je garde mon point de vue au sujet de ma rencontre avec lui. Mais alors il a dit…
Vous pouvez voir que cette bande est entrecoupée. Vous savez, c'est moi, Lee. C'est ma seule façon de parler.

86 Et alors, cet homme a dit ce jour-là, il a dit : "Frère Branham, a-t-il dit, les gens font de vous un dieu."
Et c'était donc un baptiste qui est par ici, qui cherchait à discuter avec moi, disant que - disant que la seule foi, le seul baptême, c'est le baptême d'eau; et - et que lorsque vous croyez, vous recevez le Saint-Esprit. Vous savez donc combien de temps il a mis!
Ainsi, il était… Pour commencer, il cherchait à me flatter, vous savez. Il a dit : "Eh bien, quand vous faites ces choses, les gens font de vous un dieu." Il a dit : "Franchement, a-t-il dit, si - si vous êtes confirmé comme cela par votre ministère, a-t-il dit, n'auriez-vous pas la même autorité pour écrire même une autre Bible, s'il en est ainsi?" Il a dit : "Vous pourriez écrire une autre Bible. En effet, un homme avec une telle confirmation, aux jours où la Bible était élaborée, avec ce genre de confirmation, les paroles de cet homme faisaient partie de la Bible."
J'ai dit : "Monsieur, vous voyez, vous ne comprenez pas. Un vrai prophète sait que rien ne peut être ajouté à la Parole ni En être retranché." Là, cela l'a alors réduit au silence, vous savez.
Et il a alors dit : "Eh bien, vous êtes devenu un dieu pour les gens." Il a alors parlé à la légère. Il a dit : "Vous êtes devenu un dieu pour les gens." J'ai dit : "Eh bien, est-ce très loin des Ecritures?" Juste pour lui faire savoir, vous voyez.

87 Et il a dit : "Eh bien, a-t-il dit, eh bien, vous pourriez bien vous faire passer pour un dieu."
J'ai dit : "Jésus n'a-t-Il pas dit que les prophètes étaient appelés des dieux? 'Vous appelez dieux ceux à qui venait la Parole de Dieu.' Ne les a-t-Il pas appelés des dieux?" Et j'ai dit : "Vous voyez, monsieur, Dieu, cette fois-là sur - sur la montagne, a tonné depuis le mont Sinaï, les gens ont dit : 'Que Dieu ne parle pas, que Moïse parle.' Et Il a dit : 'Je leur enverrai des prophètes.' Vous voyez, un prophète. Ainsi, Il parle au travers… Et ce prophète devient la Voix de Dieu pour le peuple. " Et j'ai dit : "Ce n'est pas tout le monde qui peut entrer dans ce surnaturel."
J'ai alors dit : "Ainsi, en tant qu'un homme, ai-je dit, eh bien, vous êtes un intellectuel. Et puis, vous sortez du - du séminaire baptiste." Et j'ai dit : "Eh bien, qu'en serait-il si vous alliez au Mexique comme vous le disiez, pour faire une oeuvre missionnaire? Eh bien, ce pauvre vieux Mexicain illettré là-bas qui ne peut même pas… qui ne sait même pas distinguer sa main droite de sa main gauche, qui ne sait ni lire, ni écrire, et qui désire être sauvé, et vous, qu'en sera-t-il de vous? Vous devenez pour ainsi dire, comme un dieu pour lui. Vous le conduisez… Si vous le conduisez loin de la Parole, alors vous êtes - vous êtes antichrist. Mais si vous le faites entrer en contact avec cette Parole, et si vous ne faites que lui lire la Parole, vous, vous savez lire mais lui ne le sait pas, vous prenez la place de Dieu pour lui. Vous voyez? " Et j'ai dit : "Vous voyez, ces choses sont vraies."

88 J'ai dit : "Nous ne pouvons pas… Et ces gens qui viennent auprès de moi pour ces choses, ils viennent parce qu'ils ne voient pas dans cette autre dimension ou plutôt dans cet autre monde. Et ils veulent savoir. Et ils viennent." J'ai dit : "C'est exactement ce que les gens faisaient. Regardez les - les fils d'Isaï qui étaient venus auprès du prophète Samuel pour savoir où se trouvaient les mules. Vous voyez?" J'ai dit : "Vous ne semblez pas comprendre."
J'ai dit : "A propos, cela me rappelle une petite histoire."
Et c'est une petite histoire amusante, Lee, qui peut-être vous stimulera.
J'ai dit : "Je me souviens d'une histoire, il y avait une fois un foyer chrétien. Et - et un soir survint un orage. Ils avaient là un petit garçon. Et ce petit garçon avait un peu peur de l'orage. Sa maman lui a dit, elle a dit : ' Junior, monte à l'étage et va au lit maintenant.' Et alors le petit, pour ainsi dire, a gravi les marches sans problème, et il avait un peu peur des éclairs qui brillaient ainsi que des tonnerres qui grondaient. Peu après, il a crié : 'Oh! Maman!' Celle-ci a dit : ' Que veux-tu, Johnny? Il a dit : Monte ici, dormir avec moi. Ainsi, elle s'est dit qu'elle monterait le réconforter. Elle est donc montée, et s'est couchée sur le lit à côté de lui. Elle a dit : 'Johnny, tu ne devrais donc pas avoir peur. Eh bien, nous sommes une famille chrétienne. Nous savons que Dieu est toujours présent pour nous protéger. C'est ce que nous croyons.' Et elle a dit… Johnny a dit : ' Oui, maman. Je le crois aussi. Mais quand ce coup de foudre frappe de si près, je veux un Dieu couvert de peau.'"
Ainsi, je… ainsi, je… Vous savez, je pense que c'était… on dirait que cela… cela… Nous les adultes, on dirait que nous éprouvons le même sentiment, vous savez, Frère Lee. Je vous entends en rire, là-bas. "Je veux un Dieu qui est couvert de peau. "
J'ai dit : "Après tout, Dieu n'était-Il pas couvert de peau quand Il fut manifesté en Jésus-Christ? Les prophètes n'étaient-ils pas appelés des dieux couverts de peau? Assurément, ils l'étaient." J'ai dit : "Vous voyez, vous ne comprenez pas."

89 Ainsi donc, en voilà donc de quoi rire un peu, Lee. Pour ainsi… Je sais que cette bande vous ennuiera. Mais je me suis dit que je vous donnerai de quoi rire un peu.
Bon, un soir en Californie, j'étais… Un homme répondant au nom de Paul Maliken avait amené sa femme, quelque chose n'allait pas en elle, et on n'arrivait pas à trouver de quoi il s'agissait. Elle venait de donner naissance à un enfant, environ un mois avant cela.
Et je l'ai tenue la main et j'ai dit : "Il s'agit de l'oedème blanc douloureux."
Eh bien, elle a dit qu'elle ne pensait pas à l'oedème blanc douloureux.
J'ai dit : "C'est ce dont il s'agit."
Et elle a dit : "N'est-ce pas étrange?" Elle a dit : "Comment… Je ne comprends pas cela."
J'ai dit : "Moi non plus."
Mais environ trois semaines après cela, on l'a amené à l'hôpital à cause de l'oedème blanc douloureux. C'était donc exactement cela. Voyez?
Ainsi, elle a alors dit : "Comment est-ce possible?"
J'ai dit : "Eh bien, alors ici…" Eh bien, frère John Sharrit était avec moi. Et un… et alors je - j'ai dit : "Voici ma femme." Nous comptions nous rendre aux îles Catalina le jour suivant, juste après la réunion. J'ai dit : "Eh bien, ma femme ne souffre de rien. Mets ta main dans la mienne, chérie." Et dès qu'elle l'y a mise, quelque chose a frappé. J'ai dit : "Chérie, tu as un kyste à l'ovaire gauche."
Eh bien, elle n'en savait rien. Becky était alors toute petite, elle avait environ deux ans. Deux ans après, Sarah est née par césarienne. J'ai dit : "Voyez si ma femme a un kyste à l'ovaire gauche."
Le médecin l'a examinée et il a dit après cela… il a dit : "Eh bien, je vais devoir me dépêcher, Frère Branham. Tout est ouvert comme cela, et la matrice est ouverte et tout le reste." Il a dit : "Je - je vais devoir me dépêcher." Et il a dit : "Je vais l'examiner."
Ainsi, après l'opération, le bébé est né. J'ai demandé : "Avez-vous vu quelque chose, Doc? "
Il a dit : "Non."

90 Quatre ans plus tard, Joseph est venu sur la scène. Chaque fois que je prenais la main de ma femme, c'était toujours là. Et j'ai dit : "Examinez pour voir s'il y a un kyste à l'ovaire gauche."
Joseph est né. Il a dit : "Non. Pas de kyste."
Eh bien, alors, il y a environ deux ans, lorsque nous sommes venus ici, au début, j'étais tout nerveux et je pensais que j'allais être tué, et tout. Ainsi, je - je suis allé là au… je parlais à Meda. Et Joseph a fait quelque chose qu'il n'aurait pas dû faire. Et il avait besoin d'une raclée. Mais…
Et Meda a dit : "Bill…" Meda passe maintenant par la ménopause, en ce moment, vous savez, Lee, donc elle a exactement 45 ans. Ainsi… et elle est très nerveuse.
Ainsi, Joe a fait quelque chose. Il avait vraiment besoin d'une raclée. Et ainsi elle a dit : "Bill, donne-lui une raclée pour cela."
Et Joe est venu pour m'entourer de ses bras et a dit : "Papa, pardon. Ne me donne pas de raclée, s'il te plaît." Il a dit : "Pardon."
J'ai dit : "Oh! bien. OK, Joe, je te crois alors sur parole. Ne fais plus cela."
Et cela a énervé Meda. Elle - elle n'avait jamais fait cela auparavant dans sa vie. Nous n'avions jamais eu un échange de paroles. Et cela… elle a dit : "L'as-tu déjà fouetté?"
J'ai dit : "Chérie, comme il s'est ainsi repenti, je ne pouvais pas le faire."

91 Et elle était très nerveuse. Et elle m'a claqué la porte droit au nez. Et elle a dit : "Tu devrais donc rester à la maison quelque temps pour devoir t'occuper d'eux." Elle a dit : "Tu ne veux pas leur donner une raclée ni rien quand ils rentrent à la maison, et quand toi tu rentres à la maison. Ils savent qu'ils peuvent s'en tirer avec toi. Oh, à moi aussi il dit cela, mais il se remet aussitôt à faire la même chose malgré tout. " Vlan! Elle m'a claqué la porte droit au nez.
Eh bien, pauvre petite. Je - je… Vous savez, Lee, ce qu'elle représente. Pour moi, c'est - c'est la reine de la terre, pour ce qui me concerne. Je me suis alors dit : "Eh bien, pauvre petite créature. Elle ne pourrait pas… Elle est tout simplement nerveuse." Et j'ai continué, et j'ai envoyé Joe à l'école. Et je… Et ensuite je suis sorti nettoyer ma voiture. Et quand je me suis mis à nettoyer ma voiture, une Voix s'est fait entendre juste à côté du buisson, disant : "Va lui dire de lire…" Je pense que c'est Chroniques, 2 Chroniques. Je ne connais pas exactement quel chapitre. De toute façon, c'est là où Marie s'est moqué de Moïse. "Va lire ce chapitre."
Eh bien, je pensais que c'était plutôt… Et la Voix s'est encore fait entendre. Eh bien, je me suis dit que peut-être…
Vous savez comment ça se passe, Lee. Je… Vous pouvez parfois vous imaginer des choses. Et nous ne… C'est là le problème qu'ont les gens aujourd'hui. Ils prennent… considèrent une imagination au lieu d'être vraiment sûr qu'il s'agit de la Parole du Seigneur.

92 Et alors la Voix s'est très clairement fait entendre pour la troisième fois. Eh bien, je suis entré dans la maison. Et j'ai pris la Bible et je L'ai d'abord lue. C'est là où Marie se moquait de Moïse, vous savez. Et souvenez-vous, Marie était une prophétesse. Et c'était elle qui avait nourri Moïse et qui avait trouvé la fille de Pharaon, vous savez. Ainsi …?… Et elle était une prophétesse. Et elle le réprimandait sans cesse du fait qu'il avait épousé cette - cette jeune fille éthiopienne.
Et cela a donc déplu à Dieu. Et Marie a été frappée de lèpre. Et Dieu a dit… a parlé… a dit : "Il aurait été mieux pour elle que son père lui crachât au visage à sa naissance plutôt que d'avoir fait pareille chose."
Ainsi, il a appelé… ils ont appelé… Moïse a invoqué Dieu. La Colonne de Feu S'est tenue à la tente. Et Dieu a dit à Moïse : "Va appeler Marie et Aaron, amène-les ici."
Et voilà que-voilà que Marie était blanche de lèpre. Et Il a dit… Et Dieu a dit ceci : "Lorsqu'il y aura parmi vous quelqu'un de spirituel ou un prophète, Moi l'Eternel, Je Me révèlerai à lui par une vision et Je lui parlerai dans des songes", ou peu importe comment c'est écrit là. Et Il a dit : "Mais pour ce qui est de Mon serviteur, Moïse, nul n'est comme lui dans le pays. (Vous voyez?) Pourquoi n'avez-vous pas craint Dieu?", a dit Dieu à - à Marie.
Maintenant, rappelez-vous, c'était son propre frère à elle, elle était une prophétesse. Et Moïse a plaidé pour sa vie et elle a été guérie.

93 Eh bien, j'ai alors eu peur. Et je suis allé vers Meda et j'ai dit : "Meda, laisse-moi entrer." Elle avait fermé la porte à clef. Elle était assise à sa machine à coudre. J'ai dit : "Laisse-moi entrer, chérie."
Elle a dit : "Que veux-tu?"
Et j'ai dit : "Chérie, laisse-moi entrer. J'ai une Parole de la part du Seigneur pour toi." C'est alors qu'elle m'a fait entrer. Elle s'était un peu calmée. Et j'ai dit : "Meda, j'étais là dehors en train de laver ma voiture", et je lui ai raconté l'histoire. Elle a eu peur.
Et je me suis agenouillé et je l'ai prise par la main. Et j'ai dit : "Seigneur Dieu, je T'en prie, ne permets pas qu'il arrive quelque chose."
Environ deux jours après cela, elle a éprouvé une douleur aiguë à son côté, au côté gauche. Et quand nous sommes allés chez le médecin pour faire examiner cela, il a découvert qu'il y avait un kyste qui avait environ la grosseur d'un citron à l'ovaire gauche. Vous voyez, je lui avais dit cela quinze, seize ans auparavant. C'était là pendant tout ce temps. Vous voyez?
Le médecin a dit… "Je ne sais que faire à ce sujet, Doc." Il a dit : "Cela doit être ôté, Frère Branham." Et il a dit : "Cela commence à croître, il faudra l'enlever, cela deviendra malin."
Et j'ai dit : "Eh bien, Doc, laissez - laissez cela juste un petit peu."

94 Nous sommes donc allés un peu… environ deux ou trois mois après, nous sommes retournés, cela avait atteint la grosseur d'une orange. Il a dit : "Frère Branham, cela doit être ôté."
J'ai dit : "Doc, j'ai… Elle ne veut pas qu'on ôte cela." J'ai dit…
Il a dit : "Eh bien, je vais envoyer…" Vous voyez, il se débarrassait alors de moi. Le docteur Arthur Sheene de New Albany… de Louisville. Il m'a envoyé chez un gynécologue. Et celui-ci a examiné Meda. Il a dit… Et il lui a écrit une lettre, et… à lui là-bas et lui a parlé de ce cas. Et ainsi ils ont tracé le diagramme montrant comment cela se développait. Alors ce gynécologue l'a examinée, et c'était là. Il a dit : "Oui, a-t-il dit, Madame Branham, cela doit être ôté."
"Eh bien, ai-je dit, eh bien, nous partons pour Tucson, dans l'Arizona ", pensant qu'on retournerait là-bas.
Il a dit : "Eh bien, a-t-il dit, je connais un - un gynécologue là-bas, un des meilleurs qu'il y ait dans le pays." Cet éminent médecin de Louisville a dit : "Je vais - je vais vous envoyer auprès de lui."

95 Il a alors écrit une petite lettre. Et nous y avons jeté un coup d'oeil. Il l'a fermée, mais nous avons regardé au travers de la lumière. Et il y était écrit : "Concerne madame Branham et monsieur Branham. C'est un missionnaire, un homme très bien, un guérisseur divin. Et il compte sur sa foi pour faire face à ce - ce kyste, mais cela se développe." Il a dit : "Pourtant, ils ont voulu essayer un peu plus longtemps." Il disait… il appelait ce médecin par - par son nom. Il disait quelque chose comme John ou Johneth, ou je ne sais quoi que c'était. Il a dit : "Elle - Elle doit être opérée. Madame Branham doit être opérée. Son mari est donc un brave homme. Mais c'est un guérisseur divin, et il teste sa foi contre cette tumeur qui est en train de se développer."
Ainsi - ainsi, nous sommes allés auprès du médecin ici et nous lui avons amené la note. Et il a examiné cela, et à ce moment-là cela avait atteint la grosseur d'une pamplemousse. Vous voyez? Il avait donc tous les documents et tout à ce sujet, que l'autre médecin lui avait envoyés, cela avait environ la grosseur d'une pamplemousse. Il a dit : "Cela doit être ôté. " "
Eh bien, j'allais au Canada, et j'ai dit : "Eh bien, ne - n'ôtez pas cela maintenant, Docteur."
Et puis nous sommes rentrés à la maison, et elle l'a encore examiné. Il a dit : "Cela doit être ôté."
Ainsi, j'ai téléphoné à l'est pour une réunion. Et sur mon chemin de retour, j'ai dit : "Eh bien…"
Et Meda m'a téléphoné. Et cela était devenu tellement grave qu'elle arrivait à peine à soulever la jambe gauche. C'est à peine si elle boitillait, elle gardait sa jambe gauche soulevée.

96 Ainsi donc… Et je voulais la ramener à la maison pour Noël, cette dernière Noël, avant l'opération. Et le lendemain matin elle devait aller se faire examiner. Et j'étais à la maison à ce moment-là. J'étais resté là seul deux jours, je me reposais, et je devais ensuite aller à Shreveport, à une réunion de frère Jack. Je revenais de chez frère Boze, là à New York.
J'ai alors appelé ma femme ce matin-là - ce soir-là. Et elle a dit : "Bill, je vais y aller le matin." (Suis-je trop lent là? Faites-moi signe si je le suis. Je m'adresse aux jeunes gens qui font les enregistrements, Lee.)

97 Et je - j'ai alors dit : "Eh bien, le matin je vais à Shreveport, je ferais donc mieux d'appeler Meda ce soir. Je vais quitter Jeffersonville." Eh bien, elle est à Tucson en ce moment. Vous voyez?
Et elle et soeur Norman allaient partir pour cet examen le lendemain matin. Cela faisait environ trois semaines que je m'étais absenté, et le docteur avait dit que cela grossissait très rapidement.
Et je l'ai appelée. Et la pauvre petite créature, elle a dit : "Bill, je suis restée couchée pratiquement toute cette semaine." Elle a dit : "Je ne suis plus en mesure de me déplacer. Cela a tellement gonflé que la protubérance a atteint environ 2 pouces sur mon côté [environ 5 cm - N.D.T.], cela fait saillie sous ma robe."
J'ai dit : "Oh, chérie. Il - il voudra ôter cela." Et j'ai dit : "Chérie, veux-tu prendre le risque de rentrer à la maison pour Noël?" J'ai dit : "C'est juste dans environ - environ trois ou quatre semaines, et nous serons de retour à la maison. Et tu programmeras l'opération au moment où tu seras à la maison, à Noël. Puis juste après Noël, tu feras ôter cela."
Et elle a dit : "S'il ne dit rien."
Bien, j'ai dit : "J'espère certainement qu'il ne dira rien, chérie." Et j'ai dit : "Va le voir. Et ensuite tu… et reviens et , tu sais… Et ensuite… et ensuite je t'appellerai après que je serai arrivé à Shreveport. Je ferai deux jours de route, et ensuite je t'appellerai." Et elle allait partir le lendemain matin. Et - et j'ai dit…
Elle a dit : "D'accord."

98 Je me suis alors levé le lendemain matin, et je suis allé à la chaise où ma famille et moi nous nous agenouillons toujours ensemble quand je pars pour des réunions. Et nous prions toujours juste là devant cette peinture de Jésus, la - la tête de Christ à trente-trois [ans] d'Hoffman.
Et je me suis agenouillé là pour prier. Et pendant que je priais, j'ai dit : "Seigneur, souviens-toi d'elle aujourd'hui. " J'ai dit : "Ô Dieu, fais en sorte que le médecin soit en mesure de reporter l'opération, ai-je dit, car si quelque chose lui arrivait, alors - alors je… Cela deviendrait malin, et moi en repoussant cela comme ceci… " J'ai dit : "Nous avons prié, pleuré, et - et avons fait tout." Et j'ai dit : "Elle a confessé cela des centaines de fois. Elle n'avait pas l'intention de dire ça, ce matin-là, Seigneur. Elle - elle ne voulait pas prendre sa revanche sur moi." J'ai dit : "Elle était simplement nerveuse, Seigneur. Elle s'est - elle s'est tenue entre moi et le public. Et cette pauvre petite créature a été opérée à deux ou trois reprises, ai-je dit, à cause de ces bébés." Et j'ai dit : "Elle redoute l'opération." J'ai dit : "Puisse cela attendre jusqu'à ce que nous retournions à la maison et que nous rentrions. Et qu'elle revoie la maison." J'ai dit : "Seigneur, si cela va devenir malin, oh, alors, que le médecin aille de l'avant et ôte cela." J'ai dit : "Je - je - je Te prie, ô Dieu, de l'aider de cette manière-là."

99 Et à ce moment-là, voici que cette Colonne de Feu se tenait là dans la pièce. Elle a dit : "Mets-toi debout." Je me suis levé. Il a dit : "Tout ce que tu diras, c'est ce qui se fera pour elle."
Et pendant un moment, c'est à peine si j'arrivais à reprendre mon souffle, sachant que je me tenais dans la présence de Dieu. Et j'ai dit : "Eh bien, quand elle ira aujourd'hui pour l'examen, que la main de Dieu soit là. Avant que la main du médecin ne puisse la toucher, que cette grosse malignité ou plutôt tumeur, ou quoi que ce soit, disparaisse." Et c'est tout ce qu'il en est.
Et je suis monté dans la voiture, je suis allé à Shreveport. Et j'ai donc dit qu'il en serait ainsi. Ainsi, lorsque nous nous sommes donc apprêtés le lendemain matin, le matin suivant, à lui téléphoner… ou plutôt le soir suivant. J'avais voyagé toute la journée et toute la nuit. Et le soir suivant, quand je lui ai téléphoné, j'ai dit… Et Loyce et Billy, vous savez, étaient sans doute à mes côtés. Et j'ai dit… J'ai dit : "Eh bien, suivez et voyez si - si cela n'est pas arrivé. Le médecin ne peut pas… ne sera pas en mesure de retrouver cela."
Je lui ai donc téléphoné. J'ai dit : "Comment vas-tu, chérie?"
Elle a dit : "Oh! je me sens bien." " Eh bien, a-t-elle dit, Bill, je veux te dire quelque chose."
J'ai dit : "Oui, la tumeur a disparu."
Elle a dit : "Comment le sais-tu?" Et je… Et il a dit… Elle a dit : "Chéri, c'est avec peine que j'ai pu arriver là."

100 Notre soeur Norman ici, une très bonne femme, l'avait accompagnée. Et on lui avait mis une robe, et on a appelé le… Quand le médecin est entré, l'infirmière l'avait préparée. Et quand… C'est à peine si elle pouvait monter sur la table.
Et il a dit : "Madame Branham, comment vous sentez-vous cette semaine?"
Elle a répondu : "Eh bien, docteur, c'est pire que jamais." Elle a dit : "Mon côté s'est enflé."
Il a dit : "Oui, Madame Branham. Nous allons devoir ôter cela."
Aussi juste au moment où il s'apprêtait à mettre la main sur le coté de Meda, sous cette robe, ce drap qui la couvrait, comme il était sur le point de mettre sa main sur son côté, elle a dit qu'elle a éprouvé une sensation étrange, de grande fraîcheur. Et oh, tout avait disparu.
Et le médecin a appuyé et a pressé. Il a dit : "Madame Branham, c'était du côté gauche n'est-ce pas?" Il a fait sortir son diagramme qui montrait à quel point cela s'était développé. Elle a dit : "Oui. " Il a donc fait d'autres examens, il a pris les radiographies qu'il avait, il les a regardées, il a fait une autre radiographie. Il a dit : "Madame Branham, je n'arrive pas à expliquer cela. Mais vous n'avez plus du tout de kyste." Il a dit : "Il - il n'y en a plus. Ça a disparu."

101 Vous voyez, Lee, exactement tel que c'était dit, cela en était ainsi. Vous voyez? Exactement tel que c'était dit. Vous voyez, c'était dit. Elle avait un kyste. Des années se sont écoulées. Le kyste était là. Elle avait commis une erreur. Et alors Il m'a dit de prononcer simplement la Parole, et il en serait ainsi.
Et maintenant, ensuite il y a un petit quelque chose qui s'est produit entre-temps, Lee. Je puis vous le raconter. Bien sûr, c'était la cinquième fois. Vous voyez? C'est là la chose.
Eh bien, la quatrième fois, je pourrais aussi bien vous relater cela en rapport avec… en rapport avec le pull, puisque c'est le troisième ministère. Et Lee, je ne peux dire cela à personne. Vous voyez? Mais vous êtes un homme versé dans les Ecritures. Vous pouvez comprendre par ce qui est arrivé là-bas avec les écureuils et ainsi de suite, ce que c'est. Vous voyez?

102 Et j'étais alors dans le Colorado. Eh bien, c'était avant même que ceci n'arrive, donc avant que vienne cette - cette vision de sa guérison.
Et vous savez, Lee, quand je l'ai épousée, je n'avais pas d'argent. J'épargnais mon argent dans une boîte de levure. Et je n'étais pas en mesure de l'amener en lune de miel et aussi aller à la chasse, je l'ai alors amenée dans - dans une partie de chasse pour la lune de miel. Et ainsi… Et la petite, c'était de toute façon une brave petite dame. Je - je l'ai donc amenée là-haut où j'avais tué l'ours.
Et je la soulevais par-dessus les rondins et tout. Et j'ai sa photo, où on la voit là-haut. Et je suis monté… C'était là-haut dans les montagnes Adirondacks, dans l'Etat de New York.
Ainsi donc, quand je suis retourné dans ce Colorado… Je n'ai jamais été présent à la maison à un seul de nos anniversaires. Vous voyez, c'est le 23 octobre. C'est en pleine saison de chasse dans le Colorado. Et depuis ce temps-là, je n'ai jamais été présent à la maison avec elle à notre anniversaire.

103 Ainsi, cette fois-ci je me suis dit : "Eh bien, je vais monter là-haut." Et j'allais abattre mon cerf. J'ai donc dit : "Eh bien, je… C'est la date de notre anniversaire."
Il fait alors très sec là-haut et tout. Oh! il y avait un grand groupe de chasseurs là-haut, environ, je pense environ 150 chasseurs, partout là-bas. Et je suis plutôt resté un tout petit peu, en effet j'avais déjà abattu le cerf que j'allais avoir, et j'attendais avec les autres frères.
Et il y a de nombreuses années, vous savez, quand j'avais abattu un grand nombre de gibiers… Je pense que j'avais abattu seize têtes en une seule année pour ces Hommes d'Affaires Chrétiens. Cela m'avait un peu touché. Alors, j'ai promis au Seigneur que je ne le ferai plus.
Ainsi, j'accompagnais simplement ces frères et les laisser…
Fred, étiez-vous là? Non, vous n'étiez pas là, à cette partie de chasse. Non.
C'était… oh! je pense qu'il y avait environ huit ou dix ministres avec moi là-haut.
Eh bien, vous étiez censé être là, Lee. Vous étiez censé venir avec… Et je m'attendais à ce que vous soyez là avec John et - et - et… Comment s'appelle cet autre jeune homme? Martin, John Martin, et le petit Martin, et - et frère… Comment s'appelle ce jeune prédicateur de l'Assemblée de Dieu, vous savez, qui a ce - qui m'envoie toujours, chaque année, un complet, de cette petite église là-bas? Vous savez. Comment s'appelle-t-il? Palmer, frère Palmer, il était là. Et, oh, il y avait cinq ou six autres ministres méthodistes et ainsi de suite de l'Indiana là-bas. Et je pensais que vous seriez aussi là, Lee.

104 Ils ont alors dit que vous n'étiez pas venu. Ainsi, alors je… Vous savez, vous aviez dit que vous désiriez venir juste pour la communion fraternelle, pour être là. Eh bien, je… Vous vouliez parler un peu. C'est ce que j'allais faire. Mais pour une raison ou une autre, vous n'êtes pas venu avec les Martin, comme vous étiez censé le faire.
Et ainsi donc, presque eux tous avaient attrapé un cerf. Mais le… Et il faisait très sec. Oh! il faisait terriblement sec. Et il n'avait pas plu depuis, depuis le printemps. Et les feuilles étaient sèches et tout.
Nous avons alors reçu un - un avertissement comme quoi un blizzard était venu - venait. Il était censé se déverser 20 pieds [environ 6 m - N.D.T.] de neige dans ces montagnes cette nuit-là ou le lendemain matin.
Eh bien, John Martin et les autres avaient pu avoir deux cerfs chacun. Il voulait donc s'en aller, étant donné que leur véhicule n'avait que de transmission directe. Nous sommes donc venus… Ils sont venus au camp cette nuit-là. Et - et ainsi, David et les autres avaient abattu quelques petites biches par-là. Nous leur avons donc donné les cerfs que nous avions, étant donné qu'ils voulaient rester, ainsi les… les jeunes gens qui étaient là dans mon camp... Mais John et les autres voulaient s'en aller à bord de ce véhicule à transmission directe.
Et nous, nous avions… J'avais la camionnette de Fred, laquelle avait une transmission à quatre vitesses. Et - et - et l'autre frère avait une transmission à quatre vitesses. Nous pouvions donc nous en aller.

105 Et le… tout le monde a commencé à décamper de là. Mon gars, pas un seul chasseur n'était resté dans la contrée. Tout le monde était parti sauf nous. Mais on voulait obtenir des trophées, ainsi a-t-on désiré rester un peu plus longtemps.
Et j'avais une réunion ici à Tucson, la semaine qui suivait. Et c'était donc quelque chose comme le mercredi, le mardi ou plutôt le mercredi. Et je savais que je devais sortir de là le lundi sinon je - je manquerais cette réunion-là. Je suis donc allé et j'ai appelé… je suis parti en ville et j'ai téléphoné à Meda, et j'ai appelé madame Evans et j'avais… Je n'arrivais pas à atteindre Meda au téléphone. Je lui ai demandé de dire à madame - de dire à madame Evans de dire à Meda que si je n'étais pas là le dimanche, qu'elle demande à Tony de trouver quelqu'un d'autre pour tenir cette réunion.
Ainsi donc, quand je suis allé à la - la - la montagne ce jour-là, j'ai commencé la montée, Billy m'accompagnait. Nous longions donc le côté de la piste et…
Et alors, je - j'ai donc dit à ces frères, j'ai dit : "Eh bien, regardez…" Le lendemain matin, le… Oh! la la! Les nuages défilaient et ils étaient sombres. J'ai dit : "Mon gars, quand j'ai… J'ai été pris ici dans un blizzard." J'ai dit : "On peut mourir en quelques minutes." Vous voyez? J'ai dit : "C'est juste en moins… d'une minute à une minute et demi, vous ne pouvez pas voir votre main devant vous, et le vent qui tournoie."
Eh bien, ils étaient… J'ai dit : "Est-ce que vous ne… Si vous sortez, n'allez pas très loin." Vous voyez, les coyotes hurlaient partout. J'ai dit : "Vous voyez, le temps va changer." Et j'ai dit : "Eh bien, un grand blizzard approche."

106 Et au même moment, Tom Simpson venait du Canada. Et il a entendu l'avertissement comme quoi il ne fallait pas traverser le Colorado : on avait annoncé 20 pieds de neige [environ 6 m - N.D.T.]. Il a donc dû faire demi-tour et prendre un autre chemin.
Et tout le monde se préparait donc. Et tous les chasseurs étaient partis, car s'ils restaient là, mon gars, vous pouvez rester là l'hiver, à cause de cela.
Mais je savais que je pouvais me fabriquer des raquettes (pour marcher sur la neige) pour sortir, vous savez, et obtenir qu'une assistance vienne, ou faire venir un hélicoptère pour qu'il vienne prendre les gens s'ils se retrouvaient terriblement bloqués.
Ils voulaient donc tenter leur chance pour avoir quelques trophées. Ainsi, ils… le…
J'ai dit : "Eh bien, allez tous droit au pied de cette colline. Moi, je vais au sommet de la colline. Et s'il y a du gibier qui s'agite maintenant… il s'agitera ce matin, car ils vont se rassembler, les cerfs vont se rassembler, pour se préparer pour cette - pour se préparer. "
Il y avait eu tellement de coups de feu et tout qu'ils étaient en quelque sorte effrayés. Et puis avec tous ces novices qui étaient là, vous savez, venant de toute la contrée, qui en tirant faisaient ces détonations. Il y avait quatre à cinq cents coups de feu par jour par-là, et ils tiraient sur les biches et sur les faons, les mettant en fuite dans la contrée, et ils tuaient aussi par hasard du gibier.

107 (Et j'espère que vous avez entendu à ce moment-là, Lee. J'ai dû m'abaisser pour me gratter le pied.) Ainsi, il y avait eu tellement de coups de feu dans la contrée que cela avait - cela avait en quelque sorte effrayé le gibier.
J'ai donc dit : "Eh bien, à la première goutte de pluie ou plutôt de flocon de neige qui tombera, courrez à la tente aussi vite que possible. Ne tirez pas. Dirigez-vous tout droit vers cela, car vous - vous aurez probablement des difficultés pour y arriver. Venez directement… N'allez sur aucune montagne. Ne traversez rien. Descendez directement. Ne restez pas à plus d'un demi mile [800 m - N.D.T.] du camp." Et j'ai dit : "Moi je monterai au sommet, car je sais que je peux suivre la ligne de crête et redescendre droit jusqu'à atteindre le ruisseau, et venir directement jusqu'au camp."
Eh bien alors, mon gars, les nuages tournoyaient. Eh bien, eux, ils ont avancé un petit peu, eux tous. Et j'ai escaladé la colline et j'ai fait rouler des pierres là sur la colline pour essayer de faire fuir quelques biches vers eux. Et je suis donc monté bien haut, pour ainsi dire, en haut.
Et David m'avait préparé un sandwich ce matin-là. Et je pense qu'il me rendait la pareille pour avoir préparé pour son père, un matin, cet oignon et ce miel. Et il m'avait préparé une sorte de sandwich à la viande. Et je vous assure, il avait mis dedans de la moutarde pour toute une famille. Et je l'avais sous ma chemise.

108 J'ai donc continué à monter. Et tout à coup, quand je suis arrivé tout en haut… J'ai continué à monter, à monter et à monter, jusqu'à ce que j'ai atteint ce que nous appelons le col. C'est à environ un mile et demi ou deux miles [2,4 km ou 3,2 km - N.D.T.] du sol, depuis le bas jusqu'en haut.
Je suis donc monté là. Et alors tout à coup, voilà qu'une averse est tombée. J'ai dit : "Mon garçon, ces gars sont retournés au camp. " Et voilà que la neige fondue s'est mis à tomber. Le vent a commencé à souffler. J'ai dit : "Eh bien, je quitte la colline." Les coyotes hurlaient partout.
Je me suis donc mis à descendre la montagne, en courant, car je savais que si je m'égarais de cette petite ligne de crête de la montagne, la crête, je me perdrais aussi. Et j'avais grandi dans cette contrée. Vous voyez, mais je sais ce que c'est.

109 Mon gars, le vent tournoyait et était accompagné de neige fondue. Lee, vous ne pourriez pas… Je pouvais voir à environ, je pense, à dix ou quinze pieds [3 ou 4,5 m - N.D.T.] devant moi à ce moment-là. Et je courais. Et j'attendais un peu et je retenais un petit peu mon souffle. J'avais mon fusil sur le dos, "la vieille blondie", vous savez. Et ainsi, je - je me reposais un petit peu. J'ai plongé ma main [dans ma chemise] et j'ai pris ce sandwich et je l'ai mangé.
Non, juste avant cela, une Voix m'a dit : "Arrête." Je me suis arrêté. Elle a dit : "Retourne d'où tu viens."
Oh! mon ami. Comment pouvais-je croire cela, Lee? Eh bien, ç'aurait été marcher vers ma propre mort. Vous voyez?
Elle a dit : "Retourne d'où tu viens."
Eh bien, j'ai pris… Cela m'a rendu très nerveux. Je - je - je savais que je devais obéir à Cela. Mais, mon gars, la tempête devenait constamment de plus en plus violente. Et comment allais-je retourner? Je me dirigeais là vers ma propre mort. Cela allait… J'étais à environ un demi mile [800 m - N.D.T.] ou plus et peut être à trois quarts de mile [1,2 km - N.D.T.] au bas de la montagne à ce moment-là et retourner dans ce blizzard là-haut? Eh bien, mon ami, ce serait aller vers ma propre mort. Vous voyez?
Je me suis dit : "Mon gars, je ne sais pas… aller là." Je me suis dit : "Mais je - je ferais mieux de le faire." Et j'ai mangé ce sandwich, j'ai essayé de le faire. Je me suis donc dit : "Eh bien, j'ai déjà 54 ans. Et si c'est la fin, je me suis confié en Dieu toute ma vie. Aussi depuis ma tendre enfance, cette Voix ne m'a jamais dit quelque chose de faux. Et je ne vais certainement pas désobéir à cela maintenant. S'il s'agit de mourir, c'est là que je dois être. J'ai toujours dit : 'Un jour, j'aimerais déposer " la vieille blondie… " (je parle maintenant à Fred) poser la vieille blondie contre un arbre, et que Joseph la retrouve, vous savez, puis faire une promenade comme Hénoc.' " Je pensais que ce matin-là était peut-être arrivé.

110 Je me suis donc retourné, je suis allé là-haut, au col. Et je me suis assis. Le vent secouait fortement les arbres, Lee, et cela tournoyait si violemment que je suis allé me tenir derrière un de ces arbres, comme cela. Et les branches tombaient, cette neige tournoyait et soufflait. Mon ami, vous ne pouviez plus voir à dix pieds devant vous [3 m - N.D.T.].
Eh bien, tout ce que je pouvais faire, c'était de me tenir là. Et je me suis mis derrière l'arbre. Le vent continuait à souffler, ce blizzard vous écorcherait presque, à cette altitude-là sur la montagne. Et je savais, j'ai dit : "Mon gars, j'espère que tous les jeunes gens sont rentrés. Eh bien, ils mourront de peur à mon sujet, du fait que je ne rentre pas. " Vous voyez? Et j'ai dit : "Eh bien…" C'était au-delà de ma connaissance.
J'ai ôté mon chapeau. Et j'ai dit : "Seigneur, me voici." Vous voyez? Je n'ai reçu aucune réponse. Eh bien, je me suis dit : "Eh bien, je vais rentrer. Il a dit de monter ici et maintenant je suis monté. Maintenant, je vais rentrer."
Je me suis dit : "Je ferais mieux de ne pas faire cela. Il ne m'a pas envoyé ici en haut juste pour me voir monter la colline en courant (Vous voyez?), pour me jeter dans un piège mortel comme celui-ci." Vous voyez? Non.

111 Je me suis donc assis à côté d'un arbre et je me suis mis à réfléchir. J'ai pris mon fusil et je l'ai mis là pour que la lunette ne soit pas trop mouillée, vous savez, cette neige…?… qui souffle. Le vent en soufflant y ferait entrer l'eau de la neige. Vous voyez?
Il y avait un mélange de très gros flocon de neige, et de la neige fondue, vous savez. Et oh, mon ami. Il y en avait déjà sur le sol à ce moment-là, environ 3 pouces [7,6 cm - N.D.T.], je pense. A environ 15 minutes, la neige est tombée très vite.
Ainsi, j'ai dit : "Eh bien, je pense que je vais m'asseoir ici et attendre. Juste à ce moment-là, j'ai entendu Quelque chose, une Voix."
(Voyez s'il y a quelqu'un là à votre porte. Etait-ce quelqu'un? Oh, c'est la bande qui tourne.) Un…

112 J'ai dit : "Je vais m'asseoir ici."
Et alors, j'ai entendu une - une Voix dire : "Tiens-toi debout."
Et je me suis dit : "Eh bien, maintenant, je délire." Vous voyez?
J'avais peur, je dois l'avouer, Lee, j'avais peur. Et j'avais peur, me demandant pourquoi j'avais dû remonter là-haut. En effet, vous savez, Lee, que j'ai… j'ai plutôt été toute ma vie un homme des bois. Et je - je sais ce que cela signifie que de se retrouver dans quelque chose de ce genre. Et j'avais peur.
La Voix a dit : "Tiens-toi debout."
Et je me suis mis debout, j'ai très vite ôté mon chapeau, et j'ai posé mon fusil contre un arbre, et je me suis levé.
La Voix a dit : "Je suis le Seigneur Dieu qui a créé les cieux et la terre. Et Je calme les vents sur la grande mer." Et j'ai alors reconnu que c'était l'Ecriture. Vous voyez? Jésus calmant le vent. "Je suis le même hier, aujourd'hui et éternellement." Cette Voix citant ces Ecritures.

113 Lee, je me tenais là à regarder, je ne voyais rien que… Et je savais que cette voix, ce n'était pas un bruit produit par le vent. Le vent soufflait, wooo, wooo, wooo [Frère Branham illustre cela. - N.D.E. ], comme cela. Mais cela - cela ne pouvait pas produire un son distinct et citer cette Ecriture, ce vent ne le pouvait pas. Il devait y avoir Quelque chose là qui disait cela.
J'ai dit : "Oui, mon Seigneur."
Et Il a dit : "Je suis le même hier, aujourd'hui et éternellement. Parle au vent, il obéira encore à Ma Voix. La tempête cessera maintenant comme autrefois."
Et j'ai dit : "Oui, mon Seigneur. Je sais ce que Tu dis."
Tu as dit : "Je t'ai commissionné pour parler. Ce que tu dis, c'est ce qui arrivera." Eh bien, Lee, vous pouvez vous imaginer comment je me suis senti.
Eh bien, je - j'ai redressé la tête. Et j'ai dit : "Merci, Seigneur Dieu. Je vais obéir." J'ai dit : "Vent, tempête, je vous ordonne de vous arrêter. Et que le soleil brille, que le soleil brille quatre jours de suite jusqu'à ce que tous ces jeunes gens aient eu leur gibier et aient quitté la montagne. J'ordonne que le soleil se lève normalement et brille normalement pendant quatre jours, et que ce vent et cette tempête cessent immédiatement."
Et, Lee, c'était comme si quelqu'un avait ouvert un parapluie au-dessus de vous. Cette neige fondue et la grêle et - et la pluie, et la neige qui tombaient comme cela se sont simplement arrêtées. Cela a cessé. Et me tenant là, je me suis dit… Et tout à coup, le vent venait de l'ouest, en fait la - la radio (Nous avions une radio au camp ainsi que dans nos voitures et tout) avait annoncé dans quel sens il soufflerait. Et…

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