Le Signe

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Le Signe - VGR
Date: 64-0308 | La durée est de: 1 heure et 28 minutes | La traduction: Shp
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1 ... la lecture de la Parole. Pour la dernière réunion, la raison pour laquelle je vous ai demandé de vous lever... Quand on chante The Star-Spangled Banner [Hymne national américain], vous vous levez. N’est-ce pas ? [L’assemblée dit : « Oui. » – N.D.E.] Alors, pourquoi pas pour la Parole de Dieu ? C’est un respect. Maintenant, dans le Livre de l’Exode, au chapitre 12, à partir du verset 12, je désire lire une portion des Ecritures, les versets 12 et 13. Cette nuit-là, je passerai dans le pays d’Egypte, et je frapperai... les premiers-nés du pays de–d’Egypte, depuis les hommes jusqu’aux animaux, et j’exercerai des jugements... Je suis l’Éternel. Le sang vous servira de signe sur la maison où vous serez; je verrai le sang, et je passerai par-dessus vous, et il n’y aura point de plaie qui vous détruise, quand je frapperai le pays d’Egypte.

2 Mon sujet, c’est : Le Signe.

3 Maintenant, inclinons la tête. Et dans Sa quiétude, en ce moment sacré, avant de nous approcher de Lui dans la prière, y a-t-il une requête que vous aimeriez que Dieu exauce cet après-midi ? Si oui, levez simplement la main et, dans votre cœur, pensez à ce que vous voulez qu’Il fasse. Partout dans la salle, pensez simplement à ce que vous voulez qu’Il fasse.

4 Notre Père céleste, Tu es le Dieu immuable, et nous Te prions d’exaucer nos prières cet après-midi, alors que–alors que nous levons nos mains. Et Tu vois en fait que mes mains sont levées aussi. Et ma requête, je la ferai connaître publiquement, c’est que, Seigneur, Tu guérisses chaque personne qui est ici aujourd’hui, que Tu sauves tous ceux qui sont perdus. Or, Tu as dit : « Si vous demandez quoi que ce soit au Père en Mon Nom, Je le ferai. » Maintenant, Seigneur, aide-nous à croire, tous ensemble, comme une unité de gens, d’enfants qui croient. Parle à travers Ta Parole, Seigneur. Ta Parole est la Vérité. Bénis nos cœurs.

5 Nous Te remercions pour cette réunion. Nous Te remercions pour frère Grant, et pour tous ses collaborateurs, toutes les églises et tous les gens. Et pour tout ce que Tu as fait pour nous, Seigneur, nous Te sommes reconnaissants. Père, peut-être que beaucoup parmi nous ici ne se reverront plus jamais jusqu’à ce que nous nous revoyions de l’autre côté. C’est peut-être la dernière réunion à laquelle nous assisterons ensemble sur cette terre. Puisse le Saint-Esprit venir et nous bénir tous ensemble, nous apporter ce dont nous avons besoin. C’est au Nom de Jésus que nous prions. Amen. (Vous pouvez vous asseoir.)

6 J’ai ici un petit bloc-notes sur lequel je note des passages des Ecritures et de petites choses. Avant, je pouvais garder ça dans ma mémoire, mais je viens d’avoir vingt-cinq ans, vous savez, c’est-à-dire, pour la deuxième fois. Et alors, je n’ai plus la mémoire que j’avais, et il y a tant de gens dans les réunions et tout, et tant de choses à faire.

7 Notre sujet de cet après-midi, c’est : Le Signe. Notre scène se passe en Egypte. C’est un tableau glorieux, là, je veux que vous le voyiez tous et que vous soyez aussi respectueux que possible. Le lieu de la scène, c’est l’Egypte, et la scène se déroule juste au commencement de l’exode.

8 Et, maintenant, c’est un type d’aujourd’hui qui est montré, puisque nous aussi, nous nous trouvons devant un autre exode. Dieu, faisant sortir Israël de l’Egypte pour le faire entrer dans la terre promise, c’était un type de Christ faisant sortir l’Epouse de l’église pour La faire entrer dans le Pays promis. Nous sommes dans un autre exode. Maintenant, vous pourrez étudier les passages des Ecritures, car nous avons juste le temps d’en voir les points principaux, c’est vrai. Nous sommes le... Comme Dieu a fait sortir une nation d’une nation, Dieu fera sortir l’Epouse d’une église. L’Epouse sera appelée à sortir de toutes les églises. Ce sont les élus de Dieu qui sortiront. Et nous sommes au bord de cet exode en ce moment, parce que les Ecritures nous donnent toutes les preuves que nous en sommes là. Maintenant, je sais que cela a été dit bien des fois mais, mon ami, une fois ce sera dit pour la dernière fois. Et alors, le temps se fondra dans l’éternité. Il vient pour faire sortir une Epouse d’une église.

9 Le signe est la chose qui a fait la différence entre l’Egypte et Israël, les deux nations. C’étaient tous des êtres humains, mais tous créés par Dieu, tous l’œuvre de Dieu, mais la différence, quand la sentence de mort a été rendue, la différence entre la vie et la mort, c’était le signe.

10 Et il en sera de même à la Venue du Fils de Dieu, quand Il fera sortir l’Epouse de l’église, la différence, ce sera le Signe. Maintenant, écoutez attentivement cet après-midi, et vous verrez si ce n’est pas vrai. C’est le Signe qui fera la différence. Il faut qu’il y ait une différence.

11 Un jour, Dieu va juger le monde. Si je demandais aux catholiques : Par qui va-t-Il juger, par quoi va-t-Il juger le monde ? Ils diraient : « L’église. » Quelle église ? « L’Eglise catholique. » Quelle Eglise catholique ? Il y en a plusieurs. Les méthodistes diraient : « Par l’Eglise méthodiste » ; dans ce cas, les baptistes sont exclus. Et puis, si vous le jugez par l’Eglise baptiste, tous les autres sont exclus. Les pentecôtistes diront : « Par l’Eglise pentecôtiste » ; dans ce cas, tous les autres sont exclus. Vous voyez, il y aurait de la confusion, trop de confusion, ça jetterait trop de confusion dans les esprits, d’envisager une chose pareille.

12 Mais Dieu avait un moyen, là, par lequel Il a dit qu’Il jugerait la terre, pas par l’Eglise catholique, pas par l’Eglise protestante. Mais Il va juger le monde par Jésus-Christ, et Jésus est la Parole, alors on en revient encore à la Bible. Voyez ? Il va juger le monde par la Bible. Et la Bible est le Livre du jugement de Dieu, c’est la révélation complète de Jésus-Christ, et on ne peut rien Y ajouter, ni rien En retrancher; si vous le faites, la pénalité en est que votre nom est ôté du Livre de Vie. Tenez-vous-en strictement au Livre, et priez Dieu qu’Il fasse de nous une partie de Cela.

13 Eh bien, nous voyons, un signe, qu’est-ce qu’un signe ? Un signe, c’est quelque chose qui indique qu’un prix a été payé ; le signe, c’est ça. C’est comme pour nos lignes de chemin de fer et d’autobus, nous allons à la gare avec notre argent. Eh bien, vous voyez, sur la ligne d’autobus, il n’est pas permis, là où on utilise les tickets, ils n’ont pas le droit d’accepter l’argent. Ils ne peuvent pas accepter l’argent, il faut le ticket; par exemple, sur les avions, et tout le reste. Vous vous présentez à un certain endroit, au guichet et, avec votre argent, vous achetez un certain nombre de tickets, du ticket qu’il faut. Et ce ticket, c’est le signe qui indique que votre passage a été payé. Vous avez le droit de monter à bord du bateau, de l’avion, de l’autobus, ou de je ne sais quoi, tant que vous avez le ticket qui montre que votre–que votre passage a été payé. Maintenant, souvenez-vous-en. Ne l’oubliez pas.

14 L’agneau immolé d’Israël était le... était l’exigence de Dieu. Jéhovah exigeait un agneau immolé, un substitut innocent. Comme nous l’avons vu donc au cours de cette semaine, Dieu, quand Il prend une décision, Il ne la change jamais. Et Il a pourvu d’un moyen. La première chose qu’Il a faite quand l’homme est tombé, Il devait pourvoir d’un moyen pour le ramener, si jamais Il voulait le racheter ; alors, Il a décidé de sauver l’homme par le Sang d’un Innocent. Et depuis, Il a toujours fait la même chose. Il n’a jamais changé ça. Dieu ne rencontrera donc aucun adorateur nulle part ailleurs que sous le Sang. C’est Son seul lieu.

15 Nous essayons de L’amener à nous rencontrer dans notre théologie, dans notre dénomination, dans nos programmes pédagogiques. Certains ont construit des tours, et d’autres ont construit des villes, Babylone et–et la tour de Babel, et toutes sortes de choses. Mais il n’en reste pas moins que Dieu ne rencontre le véritable adorateur que sous le Sang. Il ne change jamais cela. Nous ne pouvons pas tous être méthodistes, nous ne pouvons pas tous être pentecôtistes, nous ne pouvons pas tous être ceci, cela ou autre chose, nous allons avoir des désaccords. Mais quand je vais vers un homme, que ce soit un prêtre catholique, ou qui que ce soit, s’il est sous ce Sang, nous sommes frères, peu m’importe où il est, pourvu qu’il soit sous le Sang.

16 Donc, l’agneau immolé d’Israël était l’exigence de Jéhovah, et le sang était le signe qui montrait que le travail avait été fait. Ce que Dieu exigeait pour la rédemption, pour sortir d’Egypte et aller dans la terre promise, Il exigeait un animal immolé. Et cet animal devait avoir... Le sang de l’animal mort devait être mis sur le linteau et sur la porte, et cela servait de signe pour montrer que la chose que Jéhovah avait exigée avait été exécutée. Voyez ? Or, ce n’était pas l’agneau qui était le signe, c’était le sang qui était le signe. Donc, la vie était sortie du sacrifice, et alors, le sang était le signe. Ses ordres avaient été exécutés. Le sang servait de ticket, de signe que ce croyant avait agi exactement selon l’exigence. C’était le signe. Très bien. On voit que le croyant, dans son adoration, était alors identifié à son sacrifice. Voyez ?

17 Voici la maison, et, pour l’adorateur, quelle était l’exigence ? « Immolez un agneau. Le quatorzième jour, après qu’il aura été gardé, un–un mâle sans défaut, tout Israël l’immolera, et avec de l’hysope on prendra le sang et on le mettra sur le linteau de la porte. »

18 Et, en passant, l’hysope, là, c’était une herbe tout à fait ordinaire. Hysope, ça veut dire « votre foi ». Quand quelqu’un essaie d’avoir une foi surnaturelle, c’est pour ça que vous ne recevez pas votre guérison. La foi, c’est quelque chose de tout à fait ordinaire. Vous avez la foi pour venir à l’église. Vous avez la foi pour sortir dehors. Vous avez la foi pour démarrer votre voiture. Vous avez la foi pour manger votre dîner. C’est comme ça, une foi tout à fait ordinaire. Donc, quand on appliquait le sang, on l’appliquait avec de l’hysope, qui est une herbe tout à fait ordinaire, qui pousse partout en Palestine; ça montre que la foi avec laquelle on doit appliquer le Sang, ce n’est pas une super histoire, à quoi on n’arrive pas à moins d’avoir toutes sortes de doctorats. C’est une foi tout à fait ordinaire, une foi de tous les jours, pour croire Dieu. Voyez ? « Appliquez le sang », par la foi, « avec de l’hysope. »

19 Eh bien, l’adorateur qu’on voyait alors sous le sang montrait qu’il avait exécuté la demande de Jéhovah et qu’il était identifié. Le signe montrait qu’il était identifié à l’agneau immolé que Jéhovah avait exigé. Le travail était fait. Quel type parfait, aujourd’hui, de Christ et du croyant ! Le Signe, quand Il est montré chez le croyant, Il indique que celui-ci a été accepté et que le travail a été fait.

20 Le sang était donc un signe d’identification, le sang lui-même. L’animal avait saigné, il était mort, et son sang était sur le mur. Or, la vie de l’animal, c’était dans le sang. Et la vie est dans le sang ; ça, nous le savons. La Bible le dit, et la science le prouve : la vie est dans le sang. C’est pourquoi, quand l’animal était tué et que la vie sortait de l’animal, le sang devait être… les composants chimiques du sang devaient servir de signe. En effet, la vie qui était dans le sang ne pouvait pas revenir sur le croyant, parce que c’était une vie animale.

21 Et la vie animale et la vie humaine, c’est complètement différent. Il n’y a rien, rien du tout là-dedans. Si vous preniez… prenez le sang d’un animal et que vous le mettez en vous, vous mourrez. Alors, vous voyez, nous... il y a–il y a, dans le sang animal, une vie différente de celle qu’il y a dans le sang humain, parce que l’être humain a une âme. L’animal n’a pas d’âme.

22 Et donc, le sang lui-même, comprenez-le bien, le corps chimique rouge, les composants chimiques du sang, devait être là sur la porte, comme signe que l’agneau était mort, là, parce que la vie de l’agneau ne pouvait pas revenir sur l’adorateur humain. Mais aujourd’hui... C’était seulement un type.

23 Aujourd’hui, il ne s’agit pas du Sang chimique du Seigneur Jésus, notre Agneau, mais de la Vie qui était dans le Sang, c’est-à-dire le Saint-Esprit. Il revient et Il est le Signe qui montre que nous avons accepté et fait exactement ce que Dieu nous a ordonné. Et alors, en ayant le Signe, nous sommes identifiés à notre Sacrifice, parfaitement. Je ne vois pas comment ça pourrait être plus clair. Voyez ?

24 La seule façon de savoir qu’une maison était du nombre, là, qu’elle était sous le sang, c’était par les composants chimiques du sang qui se trouvaient sur les portes. Ils passaient, l’Ange de la mort, il fallait qu’il voie le sang. Encore là, c’était un type du Saint-Esprit.

25 Or, voyez-vous, le Sang littéral de Jésus ne pouvait pas venir sur chacun de nous, parce qu’il n’avait qu’une certaine quantité de Sang dans Son corps. Il a coulé de Son corps, sur le sol, il y a deux mille ans; mais ce n’était pas ça qui allait servir de Signe. La Vie, la Vie qui était dans le Sang, c’est ça le Signe maintenant. Je vais vous le prouver dans un petit instant, par la Bible. C’est ça le Signe qui doit venir sur chacun de nous pour montrer que nous avons été identifiés à notre Sacrifice et que nous avons exécuté ce que Jéhovah demandait.

26 Pierre a dit, le jour de la Pentecôte : « Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de péché; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Vous voyez, il montrait que ça ne se limitait pas à eux. « En aussi grand nombre que le Seigneur les appellera. »

27 Il y en a beaucoup qui pensent être appelés. Mais ce sont tous ceux que le Seigneur appelle! « Ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a appelés; tous ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés; tous ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés », déjà, la chose est réglée.

28 Et alors, prenez quelqu’un qui ne croit pas que le Saint-Esprit est pour aujourd’hui ; voyez-vous ce qu’ils font ? Ils nient le Signe, qui est le symbole même de ce que vous êtes rattaché à votre Sacrifice. Voyez-vous ce que je veux dire ? C’est très simple, pourvu que vous le considériez de–de la façon dont Dieu l’a écrit là. Le Sang nous a fait traverser, et nous avons été... montre le–le symbole du Saint-Esprit, qui est la Vie.

29 Maintenant, la vie animale ne pouvait pas revenir dans l’être humain, parce qu’elles n’étaient pas compatibles, la vie animale n’a pas d’âme. La vie humaine a une âme. L’animal ne sait pas qu’il est nu. Il ne sait pas distinguer le bien et le mal. Il–il... Il a un–un esprit, mais pas d’âme. Eh bien, rappelez-vous, maintenant, l’âme, bien sûr, c’est la nature de l’esprit.

30 Maintenant, regardez bien, mais alors, quand la Vie de notre Sacrifice, Jésus-Christ, quand Son Sang a été versé. Il était Dieu, contenu dans un Homme. Eh bien, de Jéhovah qu’Il était, Il est descendu pour s’identifier en tant qu’être humain, pour se revêtir de la forme d’un homme, pour nous identifier avec Lui. Il était l’Agneau de Dieu. Et à l’intérieur de Lui, où le Sang...

31 Eh bien, je sais que quelqu’un dira : « Il était de sang juif. » Vous entendez les Juifs dire ça. Il n’était pas de sang juif, et Il n’était pas non plus de sang des Gentils. Il était le Sang de Dieu. Il n’avait ni du Juif... Il n’était ni Juif ni des Gentils. Il était Dieu. « Une–une–une vierge concevra. »

32 Maintenant, je sais que beaucoup d’entre vous, les protestants aussi, vous pensez que l’ovule venait de Marie. Et la–l’hémoglobine qui vient de… la vie vient de la cellule sanguine. En effet, une poule peut pondre un œuf, mais si elle n’a pas été avec l’oiseau mâle, l’œuf n’éclora pas, parce qu’il n’est pas fécond. La vie vient du sang, lequel vient du sexe masculin. Mais, dans ce cas-ci, il n’y avait pas de sexe masculin, alors, « la Vie dans le sang », Elle devait venir de Dieu seul. Aussi a-t-Il créé une cellule de Sang dans le sein de Marie. Dieu Lui-même, le Créateur Lui-même, a créé une cellule de Sang. Maintenant, regardez. Ils disent : « Eh bien, c’était le corps. Marie a fourni l’ovule. » Non, non. Elle n’a pas fourni l’ovule, pas du tout. Si c’était l’ovule, vous ne pouvez pas recevoir le sperme sans avoir une sensation. Et s’Il… si elle a eu une sensation, qu’êtes-vous en train de faire faire à Dieu ?

33 Il a créé les deux, l’ovule et le Sang. Voilà exactement ce qu’Il était. « Nous avons touché Dieu », dit la Bible. I Timothée 3.16 : « Sans contredit, le mystère de la piété est grand : Dieu a été manifesté en chair. Nous L’avons touché de nos mains. » Ce corps était Dieu. Certainement qu’il L’était. Il était Dieu d’un bout à l’autre, sous la forme d’un être humain.

34 Maintenant, nous voyons là que cette cellule de Sang, quand elle a été brisée, Dieu en est sorti. « Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. » Alors que personne d’autre ne pouvait le faire, rien d’autre ne pouvait être fait, il fallait que ce soit ce Sang sacré, Lui-même. Dieu devait descendre et devenir un Homme pour subir Sa propre loi. Si Jésus était seulement un prophète, un homme autre que Dieu, alors Dieu est injuste.

35 Si je disais : « Que frère Grant meure suite à un péché pour lequel Billy devrait mourir, ou autre chose, une peine quelconque », ce serait injuste. Si je faisais subir la mort à mon propre fils à cause d’une peine que j’aurais prononcée, là encore ce n’est pas juste. Il n’y a qu’une manière pour moi de faire justice, c’est de prendre sa place, si je veux le sauver.

36 Et il a fallu que Dieu devienne chair en vue de prendre la place du pécheur; Dieu manifesté en chair, rien de moins que Dieu Lui-même. Donc, Il était là, manifesté en chair, pour ôter les péchés du monde. Et Il s’est identifié en nous pour que nous puissions être identifiés en Lui. Voyez-vous le but de tout cela ?

37 Eh bien, nous voyons notre identification avec notre Sacrifice, la Vie du Sacrifice en nous, c’est-à-dire le Saint-Esprit. Quand cette cellule a été brisée, Dieu en est sorti, Dieu en est sorti, alors Il a sanctifié un peuple par Son propre Sang et a ramené Dieu dans l’homme de nouveau. Dieu en vous, la Vie Eternelle!

38 Tous les spécialistes du grec savent que ce mot, Vie Eternelle, vient du mot Z-ô-ê, Zôê, qui veut dire la Vie même de Dieu. C’est vrai. C’est l’unique moyen pour vous de jamais avoir la Vie, il n’y a qu’une forme de Vie Eternelle, et c’est la Vie même de Dieu en vous. Voyez ? Alors, vous avez la Vie Eternelle, parce qu’il n’y a que Lui qui est Eternel. Et nous sommes les attributs de Ses pensées, d’avant même la fondation du monde ou quoi que ce soit. Tout ceci, c’est simplement Sa pensée, et nous sommes l’expression de Ses pensées, ce qu’elles étaient.

39 Et il a fallu que Lui descende pour ôter le péché. Personne d’autre ne pouvait le faire. Personne n’était digne de le faire. Personne d’autre que Lui ne pouvait le faire, et Il l’a fait. Et alors, quand la Vie est sortie de ce corps, de cet Homme, qui était le Fils de Dieu, Sa puissance créatrice avait formé un édifice, comme tout entrepreneur, Il a construit l’édifice dans lequel Il est entré Lui-même. Dieu l’a fait.

40 Ensuite, quand cette Vie a été prise, le Sang, Ses composants chimiques, s’est répandu sur le sol, exactement comme celui d’Abel le juste s’était répandu sur le sol. Mais de ce Sang-là est sorti le Saint-Esprit de Dieu, qui a été envoyé aux hommes le jour de la Pentecôte, pour les identifier au Sacrifice qui est mort pour eux. Il n’y a absolument aucun autre moyen pour nous de le recevoir. Un Signe positif !

41 Regardez, si vous étiez coupable de meurtre et que vous sachiez qu’on allait vous envoyer à la chaise électrique... Et, souvenez-vous, rejeter...

42 Dallas, écoutez ! Rejeter le Sang de Jésus-Christ, le Signe de Son Sang, si vous Le voyez et que vous Le rejetez, vous comparaîtrez au Jugement avec Son Sang sur vos mains. Pécheur, membre d’église, souvenez-vous-en.

43 Qu’en serait-il si Lee Oswald avait pu, pendant ces quelques jours, qu’il aurait dû suer pour cela, sachant qu’il aurait à comparaître devant la Cour suprême; et qu’il savait que, pour avoir assassiné le Président, il n’y aurait pas la moindre trace de pitié ? Combien cet homme devait se sentir ! Ce devait être quelque chose de terrible. Il n’a jamais eu à comparaître, parce que l’autre homme l’a abattu. Mais, pensez-y, d’être assis là, devant une Cour suprême en colère, avec le sang de votre prochain sur vos mains, celui du président des Etats-Unis! C’est bien peu de chose à côté de ce qui vous arrivera à vous qui ne tenez aucun compte du Sang de Jésus-Christ, quand vous aurez à comparaître devant les tribunaux de Dieu. Vous suerez à grosses gouttes, de le savoir. Oswald, tout ce qu’il risquait, c’est qu’on le retire de ce monde, mais Dieu vous retire Sa Présence éternellement. Ce sera quelque chose de terrible. Remarquez.

44 Si vous aviez à comparaître devant les tribunaux pour répondre des chefs d’accusation, vous chercheriez le meilleur avocat possible. N’importe qui le ferait.

45 Et tout homme qui naît dans ce monde, peu m’importe combien bonne est la famille dont il vient, il est coupable du Sang de Jésus-Christ, tant qu’il n’a pas accepté son pardon. Et le seul moyen pour vous de savoir que le pardon est bien là, c’est quand le Signe vient sur vous, et que vous avez le Signe.

46 Remarquez : si vous êtes coupable, alors vous chercherez le meilleur avocat possible pour plaider votre cause. Et si je devais comparaître en Jugement devant Dieu, je ne voudrais pas un prêtre, je ne voudrais pas un homme, je voudrais le meilleur avocat que je puisse trouver pour plaider ma cause.

47 Permettez-moi d’ajouter ceci, pour vous, mon ami chrétien. Notre Avocat est aussi notre Juge, et notre–notre Juge est devenu notre Avocat. L’affaire est réglée, quand nous recevons Son pardon. Le Juge Lui-même est descendu et est devenu l’Avocat, et l’Avocat et le Juge, c’est la même Personne. Dieu est devenu homme, pour pouvoir justifier l’homme par Sa propre mort qu’Il a placée sur lui. Alléluia ! Cela veut dire : louange à notre Dieu ! Il est digne de toutes louanges. Notre Juge et notre Avocat, c’est la même Personne.

48 Le Saint-Esprit est le Signe qui montre que nous avons été pardonnés. L’affaire est terminée. Chaque homme, chaque femme aussi, qui a vraiment reçu le baptême du Saint-Esprit, a été jugé ; il est identifié à son Avocat, à son Juge, à son Sacrifice, et le Signe qu’il a en sa possession montre que le prix de son voyage vers la Gloire a été payé. Amen ! C’est fini. Il a ce Signe. Il est à lui, le baptême du Saint-Esprit, qui témoigne de la résurrection de Jésus. Amen ! Le croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] C’est votre marque d’identité, vous êtes un détenteur du Signe.

49 Or, si vous n’avez pas ce Signe, vous n’entrerez pas. Vous devez avoir le Signe. C’est le prix exigé : « Quand Je verrai le sang, le sang est le signe. Quand Je verrai le sang, Je passerai par-dessus vous. » Vous devez avoir le Signe. Sinon, eh bien, vous ne partirez pas. Vous devez avoir le Signe.

50 Si le signe n’était pas bien en vue, si le signe n’était pas montré là-bas, l’alliance même n’était pas en vigueur. Vous dites : « Eh bien, là, Frère Branham, attendez une petite minute. » C’est tout à fait vrai.

51 Le signe était au-dessus de l’alliance. En effet, Israël avait une alliance selon laquelle il fallait être circoncis, et n’importe quel Juif pouvait sortir et montrer à n’importe qui : « Je peux vous prouver que je suis circoncis, je suis Juif, je suis circoncis selon l’ordre de Jéhovah », mais, malgré tout, ça ne l’excluait pas, si le signe n’était pas là aussi. Il devait montrer le signe. Saisissez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Il... Le signe doit être là malgré tout. Et si vous faites partie de l’alliance... Si un Juif disait : « Pas question que je mette du sang sur ma porte, je peux prouver que je suis un Juif de l’alliance », l’ange de la mort le frappait. Peu importe combien il était dévoué, quel membre d’église exemplaire il était, combien il payait en dîmes, combien il affirmait croire Jéhovah, Jéhovah exigeait ce signe.

52 Et aujourd’hui aussi, Il l’exige. Il doit y être. Il le faut, « car il n’y a aucun autre moyen sous le Ciel, aucun autre Nom qui ait été donné, d’aucune manière », peu importe combien on est bon, combien on est dévoué. Ce Signe doit être là, et bien en vue.

53 « Le sang, » dites-vous, « eh bien, j’ai tué l’agneau, et j’en ai mis dans une cruche. J’en ai déposé ici derrière. » Ce n’est pas ce qu’Il a dit. Il doit être sur le linteau et sur le montant de la porte. Il doit être bien en vue.

54 Et votre vie doit montrer que le Signe est en vous. Oh ! vous pentecôtistes, qu’avez-vous ? Les cheveux coupés, les visages peints, des hommes avec de sales plaisanteries et tout, où peut-on voir le Sang de mon Seigneur Jésus-Christ, le Signe du Saint-Esprit ? Vous, ayant l’apparence de la piété, et vous traitez de « sorcellerie » et tout, les œuvres de Dieu, de « sorcellerie ». Comment montrez-vous un signe ?

55 Ils disent : « Je suis pente-... » Ce que vous êtes m’importe peu. « Je suis baptiste. Je suis pres-... » Ce que vous êtes m’importe peu. Ce Signe doit être là. Dieu L’exige, et rien d’autre.

56 Vous dites : « Eh bien, j’ai un doctorat. » Peu m’importe combien de diplômes vous avez. Dieu exige ce Signe, et Lui seul. C’est le signe que votre passage est payé. Il n’acceptera pas vos références, ni rien d’autre. Il Lui faut ce Signe.

57 Le chauffeur d’autobus dirait : « Hé, un instant, ce n’est pas mon ticket, ça.»

58 L’aviateur dirait : « Eh bien, allez là-bas tout de suite. » Un billet, c’est un signe. Si vous allez là et que vous dites au pilote : « Ecoutez, je veux monter à bord de votre avion. Ça coûte combien ? »
– Allez acheter votre ticket.
– Oh ! je vais vous donner l’argent.

59 – Je ne peux pas le prendre. Vous ne monterez pas à bord de mon avion tant que vous n’irez pas payer le prix pour avoir le ticket. Ce que je veux voir, c’est le ticket. »
Vous dites : « Eh bien, j’ai été à l’école. J’ai fait ceci. Je... »

60 Ce que vous avez fait m’importe peu, vous devez avoir le Signe, sinon vous ne montez pas. Amen et amen. Vous le voyez, n’est-ce pas ? Dieu exige ce Signe. « Quand Je verrai le sang, et lui seul, Je passerai par-dessus vous, quand Je verrai le signe. »

61 S’il n’était pas bien en vue, l’alliance n’était même pas en vigueur. Un Juif pouvait absolument dire et prouver qu’il était un–qu’il était un Juif circoncis, il pouvait amener les frères avec lui et dire : « Regardez, je suis circoncis. » Ça ne voulait absolument rien dire.

62 Vous dites : « Je suis méthodiste. Je suis baptiste. Je suis pentecôtiste. Je suis ceci. Je suis cela. » Ça ne veut absolument rien dire.

63 Vous devez avoir le Signe. Et quand le Signe vient, Il rend témoignage de Christ. Il a dit qu’Il le ferait. Et Christ est la Parole. Alors, comment pouvez-vous nier que la Bible est vraie, En nier une partie et prétendre malgré tout avoir le Signe, alors que le Signe est le témoignage de Jésus-Christ ? Vous voyez, c’est ce que je me demande.

64 « Oh ! dites-vous, je ne crois pas, je crois que les jours des miracles... » Oh ! attention, il n’y a pas de Signe, là. Le Signe dit « amen » à chaque Parole, à tout, parce que c’est Dieu Lui-même. Voyez ? Très bien.

65 Mais, si le signe n’était pas là, l’alliance n’était pas en vigueur. Elle était annulée. C’est pareil maintenant ! Peu importe combien–combien vous dites, combien vous pouvez dire : « Je crois chaque Parole de la Bible », dire : « Frère Branham, je–je peux vous citer par cœur la moitié de la Bible, toute la Bible. Je La crois d’un bout à l’autre. » C’est bien. Satan le peut aussi. Oui-oui. Il faut le Signe !

66 « Eh bien, Frère Branham, mon mur est tapissé de diplômes. Je suis licencié en lettres, et j’ai mon doctorat, et un doctorat en droit, en latin. Et, oh ! j’ai écrit des livres. J’ai fait ceci. J’ai tout fait. J’ai–j’ai fait toutes ces choses. » Ça m’est égal. Tout ça, c’est bien, mais vous devez quand même avoir le Signe. Le Signe, encore là le Signe est exigé !

67 Vous dites : « J’étudie la Bible. Je suis–je suis quelqu’un de bien. Je suis ceci, cela. » Ça peut être bien, tout ça, c’est bon, mais il faut malgré tout avoir le Signe !

68 Donc, la mort était sur le point de frapper l’Egypte d’un moment à l’autre, et la mort est aussi sur le point de frapper le pays maintenant, d’un moment à l’autre.

69 Anna Jeanne, je me sens un peu comme ton père, le commentaire qu’il avait fait une fois. J’ai toujours aimé ça. Il a dit : « Vous savez, cette nation, avec les mêmes péchés, si Dieu laisse l’Amérique s’en tirer avec ce qu’elle fait, Il aura l’obligation morale de ressusciter Sodome et Gomorrhe pour leur présenter des excuses pour les avoir brûlées. » Et c’est vrai.

70 Rappelez-vous, Israël a payé pour chaque péché qu’il a commis, et nous aussi, nous paierons. Quel relâchement parmi nous ! Resserrez l’armure ! Revenez à Dieu, église ! Je ne dis pas ces choses pour vous contrarier. Je vous le dis pour vous mettre en garde. Croyez !

71 La mort était sur le point de frapper. Dieu leur avait montré Sa grâce et Sa miséricorde par des puissances, des signes et des prodiges (Il a fait la même chose aujourd’hui, avant d’enlever l’Église), mais malgré tout, ils n’ont pas voulu se repentir et croire le Message.

72 Vous voyez, il y avait un Message juste avant le départ de l’église. Il doit toujours y en avoir un. C’est pareil aujourd’hui. Chaque événement spirituel est un signe qui vient de Dieu. Le croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] C’est comme pour le Message, il y a un signe et, ensuite, le Message vient après le signe. Dieu a parlé à Moïse, Il a dit : « S’ils ne croient pas la voix du premier signe, peut-être qu’ils croiront la voix du deuxième signe. »

73 Maintenant, quand vous voyez des signes qui se produisent, mais pas de message qui vient après, simplement la même vieille école de théologie, et que ça continue comme ça, cela ne venait pas de Dieu. Mais, quand un signe est montré, un Message le suit. Maintenant, regardez. Jésus est arrivé...

74 Est-ce que je parle trop fort ? Ou, je ne sais pas qui s’occupe de ce microphone, ici, on dirait qu’il y a de l’écho. Peut-être que c’est un peu trop fort. Je veux que vous saisissiez bien.

75 Jésus, quand Il est arrivé, Il n’a pas dit beaucoup de choses aux gens, et tout le monde voulait qu’Il vienne dans leur église. « Oh ! ce jeune Prophète, nous sommes tellement contents de L’avoir. » Il guérissait les malades. « Oh ! gloire à Dieu. Dieu a suscité un grand Homme parmi nous. » C’était très bien. Alors, un jour, le moment est venu où... Ça, c’était Son signe.

76 Dans Ésaïe 35, il avait été dit que ce serait un signe. « Le boiteux sauterait comme un cerf, » et ainsi de suite, « l’aveugle verrait. » C’était un signe.

77 Il a montré Son signe du Messie, et tout. Et ils… beaucoup d’entre eux, ils ont dit : « Oui, je suis prêt à accepter ça. » Bon, mais si c’était un signe, il devait y avoir une voix de ce signe. Quelle a été la voix qui l’a suivi ? Quand Il a commencé à enseigner Sa doctrine et à les traiter de bande de serpents dans l’herbe, il n’a plus été populaire à partir de ce moment-là, vous voyez, quand la voix est venue avec le signe. Le signe est sorti d’abord.

78 Moïse est descendu en Egypte avec un signe. Et il a jeté son bâton, celui-ci s’est transformé en serpent. C’était un signe. Mais au bout d’un moment, la voix est venue avec le signe. Alors, c’était différent. Vous voyez, ça, ils n’en veulent pas. La–la voix, elle doit venir, après un signe. Et ça n’aurait pu venir à aucun autre moment qu’à ce moment-là, parce que c’était le moment où les Ecritures devaient s’accomplir. Regardez ce qu’Il lui a dit, dans le buisson ardent : « J’ai vu les gémissements de Mon peuple, Je les ai entendus, et J’ai vu les souffrances qui leur sont causées par leurs oppresseurs de l’Egypte, et Je me souviens de Ma promesse faite à Abraham. » Quatre cents ans s’étaient écoulés, comme Il avait dit à Abraham qu’ils y seraient. Vous voyez, ça n’aurait pu arriver à aucun autre moment. Moïse devait arriver précisément à ce moment-là.

79 La grande horloge de Dieu marque l’heure parfaitement. Elle n’aura pas une minute d’avance ni de retard. Elle sera très précisément à l’heure. Eh bien, alors, vous voyez, tout fonctionnait exactement comme il faut, ça n’aurait pas pu arriver en d’autres temps.

80 Ces choses-ci non plus n’auraient pas pu arriver en d’autres temps. Ceci n’aurait pas pu arriver aux jours de Luther. Ça n’aurait pas pu arriver aux jours de Wesley. Aux jours des baptistes ou des méthodistes, à leur époque, ça n’aurait pas pu arriver. Il faut que ça arrive aujourd’hui. Il faut qu’Israël soit une nation. Il faut que les églises soient comme elles le sont en ce moment. Il fallait qu’il y ait un troisième Message, un troisième âge de l’église. Il fallait qu’il y ait un Laodicée. Ça n’aurait pas pu se former avant que la Pentecôte arrive, qu’ils jouent leur carte, qu’ils partent et s’organisent, et qu’ils fassent ce qu’ils ont fait. C’est là que ça doit venir, c’est là que vient le Seigneur, quand ils Le mettent à la porte de l’église. Il est la Parole.

81 Partout, ils ont peur de défier cette Parole. Ils sont terriblement silencieux quand il s’agit de Cela, mais ça ne les empêche pas cependant de faire tout un tas d’histoires.

82 À Chicago, il n’y a pas longtemps, quand le Seigneur m’a donné une vision. Il y avait trois cents prédicateurs devant moi là-bas. J’ai dit : « Eh bien, je sais ce que vous... Au sujet de la semence du serpent, et tout, ai-je dit, que l’un de vous prenne sa Bible, qu’il vienne se placer à côté de moi et qu’il en démontre la fausseté. » Ce fut le groupe des gens le plus silencieux qu’on ait jamais entendu. J’ai dit : « Dans ce cas-là, laissez-moi donc tranquille. » Vous voyez, c’est en dehors de leur école de pensée.

83 Pourtant, ils disent : « Frère Branham est prophète quand il est oint, mais quand l’onction n’est pas sur lui, là, je ne sais pas. » Quel... Voilà bien le signe d’un–un–un–un théologien déboussolé! Le même...

84 Le mot prophète veut dire « révélateur divin de la Parole ». La Parole du Seigneur venait aux prophètes. C’est comme ça que Jésus a été identifié. Et ils disaient, après la résurrection, ils disaient : « Nous savons qu’Il était un prophète de Dieu, vous voyez, aucun homme n’aurait pu faire ces choses si Dieu n’était avec lui », et ils ont refusé d’accepter Son Message. Ils n’ont pas voulu accepter Jean, et il était prophète. Ils n’ont pas voulu accepter Élie, aucun de tous les autres, et ils avaient la révélation divine.

85 Le mot–le mot anglais prophet (Les mots anglais peuvent vouloir dire n’importe quoi) veut dire « prédicateur ». Seulement, quand vous dites prophète, dans la Bible, autrefois, ça voulait dire « voyant ». Et ses références, c’était que ce qu’il disait arrivait, et c’était là un signe qu’il était prophète; il… aussi, c’était le signe qu’il avait la révélation divine de la Parole écrite. Et puis, quand Dieu confirmait cela, en l’appuyant, c’en était la preuve.

86 Comment ? Eh bien, il faut que ça se passe comme ça, voilà tout. Il n’y a pas moyen d’y échapper. Dieu a dit que ça se passerait comme ça, et voilà. Mais, c’est ça, aujourd’hui, voyez-vous, ce Signe doit être là ; il identifie cette Parole et montre qu’Elle est parfaitement vraie. Et puis, comment Il a promis pour... comment Il a préparé tous ceux de Son peuple pour le pays promis, là, quand Il allait accomplir cet exode, lequel était un type.

87 Maintenant, d’ici quinze, vingt minutes, je vais essayer de terminer mon message. Soyez très attentifs maintenant ; je veux que vous saisissiez ceci, parce que je ne vous reverrai peut-être jamais, vous voyez.
Remarquez, regardez bien comment Il a préparé Son peuple.

88 Combien savent qu’Il ne change jamais Sa façon de faire ? Jamais. [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Il est... maintenant, regardez dans la Bible pour voir s’Il l’a déjà changée. Non, non.

89 Comment a-t-Il préparé les gens ? D’abord, Il a envoyé un prophète avec un signe ; c’était Moïse. Est-ce vrai ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Et, avec le signe, il y avait un Message, un Message de « se préparer », qu’ils allaient partir pour la Terre promise. Puis, Il a identifié ce prophète par une Lumière au-dessus de ce dernier. Une Colonne de Feu suivait ce prophète, nous le savons ; Elle a traversé le désert avec Moïse. Nous savons cela. Et ensuite, Il leur a donné un signe, comme assurance, pour qu’ils n’aient pas à avoir peur, à être tout bouleversés et inquiets; alors, Il a dit : « Quand Je verrai ce signe, Je passerai par-dessus vous. »

90 Regardez bien comment Il a fait, là. Il a d’abord préparé un signe, un messager, un Message identifié, l’identification du messager, et un signe comme assurance que leur passage était payé. Les voilà en route vers la Terre promise.

91 Il a fait la même chose aujourd’hui! Qu’a-t-Il fait ? Il nous a envoyé le Saint-Esprit. Le Saint-Esprit est le Messager, et Son identification selon les Ecritures L’identifie au milieu de nous, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et le Signe est l’assurance. De quoi avons-nous peur ? Notre passage est déjà payé et nous sommes identifiés à notre Sacrifice. Il ne peut pas vous rejeter. Il l’a promis. Nous sommes identifiés.

92 Israël, sortant de l’Egypte, comme je l’ai dit, c’est comme la–l’Epouse qui sort de l’église. Quand Moïse a commencé son ministère, tout Israël s’est rassemblé à Gosen pour la prière et l’adoration, c’est exact ; ils sont venus de toutes les régions de l’Egypte. C’est comme ça que l’Epouse fera, elle sortira de tout, des unitaires, des binitaires, des trinitaires, et de tous les autres. Elle sortira. Absolument. Maintenant, nous lisons, ici, dans Hébreux le... Nous maintenant, la première chose à laquelle nous devons penser, nous sommes venus de toutes les régions, « nous sommes sortis de l’incrédulité ». Or, le Saint-Esprit a promis de faire cet appel dans les derniers jours : « Sortez du milieu des incroyants. » Remarquez.

93 Nous voyons dans Hébreux 10.26, je l’ai noté ici, qu’il est dit ceci : « Si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la Vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché. » Voyez-vous, si vous êtes volontairement incrédules.

94 Maintenant, si vous remarquez, ce que je pourrais dire ici, si vous voulez m’accorder un instant pour que j’en donne une illustration. Je peux sentir, dans l’Esprit, que ça n’a pas été saisi comme il faut. Voyez ? Remarquez.

95 Voici les Hébreux, ils sont en train de sortir. Dieu a choisi douze hommes, c’est plutôt Moïse qui l’a fait par la main de Dieu, ils devaient aller explorer le pays et revenir en rapportant avec eux un signe de ce pays. Et quand ils sont arrivés là-bas, dix d’entre eux étaient complètement paniqués. « Mais, ont-ils dit, ces Amalécites là-bas, nous sommes à leurs yeux comme des sauterelles. » Josué et Caleb sont revenus, ils ont rapporté la preuve : « Nous pouvons y arriver! »

96 Vous voyez, ça, ce sont des croyants frontaliers. Ils sont passés par ces différents éléments, et par l’église, adhérer à l’église, les baptêmes et les rites. Mais quand on en arrive à traverser pour recevoir le Signe, la preuve que le Pays est bien là, cette Vie... Jésus-Christ n’est pas mort. C’est une autre dimension. Il vit dans celle-là. Il est avec nous, Il est maintenant en nous. Quand en arrive là : « Ah ! » ça, ils ne pouvaient pas le croire. C’était trop, voyez-vous. Et ils sont revenus, et tous, ils sont morts dans le désert, aucun d’eux n’a traversé. Alors, vous voyez, si nous sommes incrédules, nous méthodistes, baptistes, presbytériens…

97 J’espère que mon ancien enseignant est assis ici aujourd’hui. Le docteur Roy E. Davis, beaucoup d’entre vous le connaissent, ici même à Fort Worth, il est peut-être assis ici. Je me souviens que nous discutions de ces choses-là, il y a bien, bien des années. Il m’a baptisé dans la foi, dans l’Eglise baptiste missionnaire.

98 Et, regardez ici, maintenant, si nous... si–si nous venons jusqu’à la frontière du Pays pour dire : « Eh bien, gloire à Dieu, j’ai parlé en langues ; alléluia ! » Ce n’est pas ça. Si vous pouvez dire, ne pas croire une seule partie de cette Parole, il y a quelque chose qui cloche dans votre expérience. Voyez ?

99 Vous arrivez jusqu’au Pays, et vous voyez qu’il est là. Vous voyez que Jésus est ressuscité. Il est au milieu de nous. Vous entendez la Parole qui suit le Message, et malgré tout vous ne La croyez pas, savez-vous ce qui arrive ? Alors, ils sont morts en plein dans le désert. « Si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la Vérité, il ne reste plus de sacrifice pour le péché. » C’est ce qui nous est dit dans l’Épître aux Hébreux.

100 Et, maintenant, regardez bien, alors que nous voyons sur la terre les grands signes du temps de la fin, tels qu’Il les avait promis, combien plus devons-nous y voir un avertissement que l’heure est proche. Cessez votre incrédulité. Rassemblez-vous. Nous devrions nous aimer les uns les autres, et croire, et nous séparer du monde.

101 Remarquez, ils ne devaient pas seulement se rassembler et parler du Message. Ils devaient y entrer, se mettre sous le sang. Pas venir dire : « Vous savez, Moïse nous a dit. Le messager a dit, il nous a dit que nous devrions avoir du sang. Qu’en pensez-vous, les gars ? » Ce n’était pas ça. Mais tuer l’agneau et mettre le sang là-haut !

102 Nous pouvons venir nous asseoir et être d’accord avec la Parole, et tout le reste, mais si nous n’avons pas ce Signe, à quoi ça nous sert ? À rien. Mettez-vous sous cela. Il n’était pas responsable de qui que ce soit qui n’était pas sous le sang. Et, aujourd’hui, Il n’est pas responsable de qui que ce soit qui n’est pas sous le Signe.

103 Toute la famille, ils n’étaient en sécurité que lorsqu’ils étaient sous le signe et que le signe était bien en vue. La famille tout entière! Le croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Aujourd’hui, nous devrions nous souvenir de ça, les amis. Nos enfants…

104 Et ces adolescents avec ces absurdités et ce rock-and-roll, et ces choses qui se passent autour de nous, et tous ces Beatles et ces bestioles, et… Savez-vous que tout ça est représenté ici dans le Livre, la Bible ? C’est dit dans l’Apocalypse. Certainement que ça l’est. Que les gens, ils–ils sont–ils sont... ils–ils, vous voyez, ils–ils ne sont pas... Ils sont morts. Ils ne peuvent pas ressusciter. Ils n’ont jamais été éternels. Ils n’étaient même pas dans la Pensée, alors ils périront. Pour eux, ce sera fini pour toujours, ils seront complètement anéantis. Ils seront punis pendant des siècles et des siècles pour ce qu’ils ont fait, mais tout ce qui a eu un commencement a une fin.

105 C’est ce qui n’a pas de commencement qui n’a pas de fin. Il n’y a qu’une forme de Vie Eternelle. Une forme de Vie Eternelle, et nous nous efforçons de L’obtenir. Remarquez.

106 Josué, au chapitre 2 de Josué, la prostituée qui a cru, une femme des nations, elle avait entendu, et sa famille, elle les a amenés sous le cordon de fil cramoisi, qui était un signe de la part des messagers de Josué. L’ange destructeur de Dieu a honoré ce signe, et rien que ça, dans cette ville. C’était là l’exigence de Dieu, par Ses serviteurs, alors Dieu exigeait ce signe, et rien d’autre. Peu m’importe qu’il s’agisse du maire de la ville, qu’il s’agisse de l’homme le plus saint de la ville, qu’ils fréquentent la plus grande église de la ville, tout dans cette ville est tombé sauf cette maison-là. Dieu, seul, a honoré ce signe.

107 Remarquez, à Jéricho, ils avaient entendu dire que Dieu faisait de grandes choses, mais ils n’ont pas tenu compte de l’avertissement.

108 De même, les gens aujourd’hui entendent parler de ce que Dieu a fait ces dernières années, mais ils ne veulent pas en tenir compte. Cette grande puissance de la grâce et ces signes, comme Il l’avait promis : « Ce qui arriva aux jours de Sodome arrivera de même ». Comme Il avait promis que cette chose arriverait! Remarquez ce qui est arrivé à Sodome. Souvenez-vous, il y a eu le signe de Sodome. Mais le messager de Malachie 4 doit « ramener le cœur des gens vers les pères, les pères de la Pentecôte, vers la Bible ». Il ne peut pas y avoir plus dans la Bible, quelque chose d’autre. Ceci est la révélation entière de Dieu.

109 Et quelqu’un dirait : « Eh bien, je crois cette partie-ci, mais pour ce qui en est de Celle-là, je ne sais pas. »

110 Le vrai messager de Dieu vous ramène à la Chose entière! Voyez ? Remarquez, c’est ce que le Saint-Esprit fait, Il vous ramène à chaque Parole de Dieu.

111 Sa grâce avait été montrée, Son jugement allait suivre. Ils se croyaient probablement en sécurité dans les grands édifices de leurs dénominations là-bas à Jéricho, mais ils ont vu que ça n’a pas marché.

112 Peut-être que quelques-uns des... peut-être qu’ils ont réussi à s’infiltrer, on ne sait trop comment, que quelques jeunes garçons sont entrés là et qu’ils ont parlé de rassembler toutes les semences prédestinées. Et elle a... et elle s’est servie de sa maison comme église et a accueilli les messagers; et ensuite, elle a fait entrer sous le signe tous ceux de la ville qui voulaient croire.

113 Une seule femme dans tout ce grand système ! Une seule petite femme, et de mauvaise vie en plus, probablement excommuniée de toutes les églises de la ville, mais elle a cru ce messager. Et ce messager a laissé le signe, l’indication, et Dieu a honoré le signe. Il en est de même aujourd’hui. Souvenez-vous-en bien, quand le destructeur est passé pour déverser la colère de Dieu, ce grand système est tombé, mais le signe a préservé sa maison. Pas parce qu’elle était une femme bonne; parce qu’elle avait la foi et qu’elle avait appliqué le signe.

114 Maintenant, et si elle avait dit : « Oui, ces hommes-là, ils étaient très bien, j’ai vraiment apprécié leur message. Mais, franchement, ça semble un peu ridicule de faire pendre ce cordon en dehors de ma fenêtre. Je vais le ramener à l’intérieur. » Ça se serait écroulé. Ça se serait écroulé. Dieu n’a honoré que le signe, comme pour ce signe de la vie qu’il y avait eu en Egypte.

115 Josué était un type de Jésus ; en effet, Josué veut dire Jéhovah-Sauveur. Il était un type de Jésus, il a été fidèle à l’indication, au signe que son messager avait prêché. Josué est resté fidèle à cette indication, à ce signe. Tout ce qui était sous le signe a été sauvé, en Egypte. Tout ce qui était sous le signe été sauvé, à Jéricho.

116 Le Sang de l’Agneau est un type du Signe d’aujourd’hui, du Saint-Esprit qui est le Signe pour aujourd’hui. Tout ce qui est sous le Saint-Esprit est en sécurité. Tout ce qui n’est pas sous le Saint-Esprit n’est pas en sécurité. Dans Hébreux 13.10 et 20, c’est appelé « l’alliance perpétuelle ». L’ancienne alliance, c’était une chose, celle-ci est la nouvelle, celle-ci est « l’alliance perpétuelle ».

117 Les promesses de Dieu–Dieu scellées par le Sang nous affranchissent du péché et de la honte, et nous distinguent du reste du monde. Vous n’avez pas à vous habiller différemment; n’importe qui peut s’habiller différemment. Il vous faut être différent à l’intérieur. La Vie est à l’intérieur; pas dans l’habillement, dans le revêtement. « Le Royaume de Dieu ne consiste pas dans le manger et le boire, ni dans les habits qu’on revêt, mais c’est la longanimité, la bonté, la douceur, la patience, par le Saint-Esprit. »

118 Donc, les promesses affranchissent du péché, montrent que Dieu n’a pas–n’a pas tenu compte de votre péché. David a dit : « Heureux l’homme à qui Dieu n’imputera pas le péché. » Et Dieu n’imputera jamais le péché sur ce Signe, parce que le Signe indique que c’est payé, que Dieu L’a déjà accepté. Et vous en avez le signe, le pri... votre foi vous l’a acquis. Et vous avez le prix d’achat de votre rédemption dans votre corps, pour L’adorer et manifester Ses promesses et Sa puissance.

119 Le Nouveau Testament veut dire « la nouvelle alliance ». Le Sang veut dire « la Vie ». Le Nouveau Testament est le testament du Saint-Esprit, le Saint-Esprit qui rend témoignage de ce que Jésus-Christ est ressuscité des morts, qui montre que Jésus a satisfait à toutes les exigences pour nous et qu’Il est vivant aujourd’hui. Le Signe prouve qu’Il est vivant pour s’identifier avec nous, selon Sa promesse. Maintenant, comment un homme peut-il lire la Bible et voir qu’Il l’a promis, et voir Christ revenir en ces derniers jours sous la forme du Saint-Esprit pour S’identifier, montrer qu’Il est vivant ? C’est ça le Signe. C’est ça l’indication. C’est ça le prix payé.

120 Ne vous fiez jamais à une sensation. « J’ai senti des frissons me parcourir le dos. Et–et je–j’ai senti une odeur de quelque chose; j’ai vu du sang dans mes mains, ou de l’huile. Ou–ou, j’ai réussi à obtenir mon diplôme de licencié. Ou, j’ai dansé par l’Esprit. J’ai crié. J’ai parlé en langues. » Ces choses-là sont peut-être très bien. Je n’ai rien contre, mais ce n’est pas ce dont je parle.

121 Je parle de l’identification du Signe, Jésus-Christ, ressuscité et en nous maintenant, en train de s’identifier, pour confirmer encore Sa Parole promise pour ce jour-ci. Amen ! Alors vous et Christ êtes un. Dieu et Christ sont un. « Ce jour-là, vous connaîtrez que Je suis dans le Père, que le Père est en Moi; Moi en vous, et vous en Moi. » Voilà Dieu manifesté dans la chair humaine, montrant qu’Il est vivant, après deux mille ans. C’est ça le Signe.

122 Si vous n’êtes pas entrés, dépêchez-vous d’entrer, mes amis. Il pourrait être à jamais trop tard. Nous ne savons pas.

123 Manifester Sa Présence, le Nouveau Testament, le Sang. Et Il est vivant maintenant, en train d’en donner des confirmations. Et parce qu’Il l’est, nous avons droit à tout ce qu’Il a acquis pour nous. Un homme qui a le baptême du Saint-Esprit, ou une femme qui a le baptême du Saint-Esprit, a droit à tout ce que Jésus a acquis pour nous, car c’est là le signe que nous y avons droit. C’est le pouvoir d’achat.

124 Si, par exemple, vous disiez : « Eh bien, Frère Branham, qu’entendez-vous par là ? »

125 Tenez, pour que ce soit bien clair là, et je veux que vous qui êtes malades, vous compreniez ceci. Regardez, si je mourais de faim et que je sache qu’un pain, disons, coûte vingt-cinq cents, et qu’un frère se présente et dise : « Voici vingt-cinq cents, Frère Branham. Vous êtes affamé; prenez ces vingt-cinq cents. », alors, vous savez, je peux être tout aussi heureux avec ces vingt-cinq cents dans ma main que je le serais avec le pain dans ma main, parce que je détiens le prix d’achat. J’ai le jeton qui procure le pain. Et là-bas, il y a le pain; mais si j’ai le jeton, les vingt-cinq cents qui permettent d’acheter le pain, alors je peux être tout aussi heureux avec le jeton que je le serais avec le pain.

126 Or, si vous avez le baptême du Saint-Esprit, c’est le Signe que vous possédez tout ce qui a été racheté et pour lequel Jésus est mort, que ça vous appartient, vous l’avez dans votre main. Avez-vous peur de le réclamer ?

127 Si je le mets dans ma poche et que je dise : « Eh bien, je ne sais pas si je peux acheter ce pain ou non », je mourrai de faim. Mais, souvenez-vous, le marchand dit : « J’ai une seule exigence, Monsieur Branham. Vingt-cinq cents, et vous pouvez avoir le pain. » Je l’ai! Amen ! C’est réglé

128 Voilà la raison pour laquelle nous ne voyons pas beaucoup de choses être accomplies aujourd’hui, le Signe n’est pas montré, le vrai Signe. Oh ! nous avons toutes sortes de contrefaçons, mais je parle du vrai Signe.

129 Regardez, alors, quand nous en prenons conscience et que nous présentons le Signe, la Vie qui a dû être donnée pour le Signe, le Sang parle pour nous. Souvenez-vous, le Sang de l’alliance était identifié par le Signe; et la Parole nous assure la promesse. Le Signe indique que l’acquisition a été faite pour nous.

130 Maintenant, si vous n’êtes pas inclus là-dedans, eh bien, évidemment, vous ne recevrez jamais rien; vous ne faites que passer dans la ligne de prière et repartir; vous avancer à l’autel, lever les yeux, et repartir.

131 Mais, oh ! frère, si une fois ce Signe est placé dans votre–votre–votre cœur, et que vous savez que c’est la résurrection de Jésus-Christ en vous, alors il y a quelque chose qui arrive. Rien ne pourra vous faire faire demi-tour. Vous connaissez votre position. Une entière obéissance à toute la Parole de Dieu vous donne droit au Signe, et rien d’autre. « Heureux celui qui observe tous Ses Commandements, il aura droit à l’Arbre de Vie. »

132 Alors, quand nous prions, il nous faut présenter le Signe avec nos prières. Maintenant, ne manquez surtout pas ça. Quand vous priez, vous devez avoir le Signe pour couvrir votre prière; si vous n’en êtes pas là, priez jusqu’à ce que le Signe vienne, car vous n’avez pas la promesse d’être exaucé. Vous voyez, vous devez d’abord avoir le Signe; c’est le prix d’achat, votre foi pour le croire.

133 Donc, le signe d’une entière obéissance. La crainte a disparu. Paul nous dit que « le Sang parle mieux ».
Vous direz : « Le Sang parle ? » Eh oui, le Sang parle.

134 Dans Genèse 4.10, nous voyons que Dieu a dit que–que… de Caïn, ou plutôt que le sang d’Abel criait de la terre. Nous voyons, dans Hébreux 12, que « le Sang de l’alliance de Christ parle mieux que celui d’Abel ». Voyez ? Nous voyons que le Sang parle effectivement, Il parle en votre faveur. La Vie qui est en vous parle du Sang qui a été versé. Amen ! Ô frère! Je voudrais que tout le monde puisse voir cela. Voyez ? Si vous pouvez voir ce que c’est, c’est la Vie qui est en vous. Vous voyez, ce Sang vous identifie avec Lui. C’est le Signe. Le... Ce que c’est, le Sang a été versé pour vous; vous l’avez accepté, et la Vie est entrée en vous. Vous avez le Signe, c’est le Saint-Esprit.

135 Alors, quand nous prions, il nous faut avoir le Signe à présenter avec nos prières, comme je le disais, et là, croire pour nous-mêmes et appliquer le Signe à toute la famille, comme en Egypte, à Jéricho, ou alors dans Actes 16.31. Nous voyons que Paul a dit au centenier romain, il a dit : « Crois, et toute ta maison sera sauvée. » Appliquez-Le à votre famille. Si vous avez un enfant qui n’est pas sauvé, couvrez-le du Signe, dites : « Seigneur Dieu, je le réclame. » Ne bougez pas de là. Si vous avez une mère ou un bien-aimé qui est perdu, placez ce Signe sur eux, dites : « Seigneur Dieu, je le réclame. »

136 Sortez de toutes les souillures du monde, sortez-les de votre maison, préparez-vous à Le recevoir. Brûlez vos shorts. Jetez vos tables à cartes. Débarrassez-vous de vos cigarettes. Mettez votre incrédulité et vos papiers de l’église à la place qui leur revient, dans la poubelle. Amen ! Alors vous vous préparez. Que faut-il faire ensuite ? Ensuite, appliquez le Signe quand vous priez, avec une vraie preuve, une vraie foi. Appliquez-Le, appliquez-Le avec assurance. Quand vous appliquez le Signe, sachez que tout est nettoyé en vous. « Si notre cœur ne nous condamne pas, alors nous recevons ce que nous avons demandé. »

137 Tant que vous faites ces choses mauvaises, comment pouvez-vous demander à Dieu de faire quoi que ce soit pour vous, alors que vous savez que vous avez tort ? C’est pour ça que tout ce que nous faisons, c’est nous avancer et reculer en chancelant. Je ne dis pas ça pour blesser. Je le dis pour redresser, pour remettre les choses à leur place. Comment allez-vous faire pour construire sur les cendres d’un Sodome et d’un Gomorrhe ? Revenez!

138 Les associations et les prédicateurs laissent les gens faire n’importe quoi et s’en tirer, inscrire simplement leur nom dans un registre et les appeler ceci, cela et autre chose, alors que c’est une honte. Et c’est au point que la foi est quelque chose qui n’est même pas... il est très rare même qu’on sache ce que c’est. Ils–ils ont de l’espérance, mais pas de foi.

139 Vous devez revenir, que tout soit passé au peigne fin et nettoyé. Ensuite, prenez votre Signe, que vous savez être Jésus-Christ en vous, et alors appliquez-Le. S’il ne se passe rien, alors quelque chose ne va pas; retournez encore, vous n’avez pas la bonne chose dans votre main. Il l’a promis. C’est Lui qui l’a promis. Appliquez-Le. Lisez Éphésiens 2.12 plus tard, si vous–si vous le voulez bien, et vous verrez, là.

140 Remarquez, dans Hébreux 9.11, aussi. Paul a dit : « Servant le Dieu vivant, par des oracles vivants. » Non pas dire, comme par exemple si je partais, comme l’Hébreu d’autrefois qui prenait son sacrifice, et il partait sur la route avec un gros taureau bien engraissé, puis mettait ses mains dessus pour s’identifier avec, il versait son sang et repartait justifié. Jéhovah exigeait cela. Il l’avait fait. Et puis, la génération suivante, peut-être qu’ils se refroidissaient un peu; quelqu’un d’autre, ça s’est refroidi encore. Bientôt, c’est devenu une tradition familiale.

141 C’est ce que la Pentecôte est devenue pour nous, une tradition familiale. Nous sommes là à dire : « C’était vraiment bien ce soir, hein, cette émission de télévision ? Je me demande bien ce qu’ils ont fait à l’église. Seigneur Jésus, guéris... » Oh ! miséricorde! Voyez ? C’est une tradition famil-... « Tu sais, j’ai parlé en langues l’autre jour. Je suis membre de ceci ou cela, tu sais. Oui, oui. » Oh ! c’est une tradition familiale!

142 Vous savez ce que Dieu a dit ? Dieu a dit : « Vos graisses et vos béliers me puent au nez. C’est vrai, vos sacrifices ont pris une mauvaise odeur. »

143 Et c’est pareil pour les sacrifices pentecôtistes, ainsi que toutes les singeries et les manières affectées de nos dénominations, et nos femmes et nos hommes qui se conduisent comme ils le font (l’apparence de la piété), ils s’emballent avec la musique, et quelqu’un saute en l’air pendant un moment; et ça finit là, c’est comme un seau d’eau qu’on jette dessus, s’il arrive que la Parole de Dieu soit apportée et qu’Elle prononce quelque chose. Qu’y a-t-il ? Vos sacrifices ont commencé à sentir mauvais pour Jéhovah.

144 Et c’était alors qu’Esaïe a paru et leur a dit : « Je vous donnerai un signe perpétuel : Une vierge concevra. » Voyez ? Et voilà. Non pas des rites morts et des crédos, non; mais des oracles vivants, un Dieu vivant qui est ressuscité des morts et qui vit au milieu de nous.

145 Certaines d’entre elles, de ces églises-là qui croient à ces choses, nient l’existence du Signe. Eh bien, un homme a essayé de me dire : « Il n’y a que les douze apôtres qui ont reçu le Saint-Esprit. Ils ont été les seuls. Oui. » Oh!

146 Mais nous qui croyons la Parole, nous savons qu’il n’en est pas ainsi, nous savons que ça, c’est la Présence vivante. En effet, comment savons-nous que l’Esprit qui est au milieu de nous, c’est la Présence vivante de Christ ? Il fait la même chose que Lui. C’en est la preuve. On reconnaît un cep au fruit qu’il porte. Et alors si, quand le premier cep a paru, ils ont écrit un Livre des Actes après ça et que ce que Jésus avait fait, les apôtres l’avaient fait aussi, alors, quand ce cep reparaît, il fait la même chose. Vous voyez, Hébreux 13.8 dit qu’Il est le même. Oh! la la! C’est la preuve que Dieu L’a ressuscité pour nous, selon Sa Parole promise. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

147 Un sceau de la promesse ! Éphésiens 4.30 dit : « N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de votre rédemption. » Pas pour les prochaines réunions de réveil. « Pour le jour de votre rédemption. » On Y entre par le baptême, selon I Corinthiens 12. Et en Lui se trouve la plénitude, et aucun péché ne Lui est imputé. « Celui qui est né de Dieu ne pratique pas le péché. La semence de Dieu demeure en lui, et il ne peut pas pécher. » Comment le pourrait-il, alors que le Signe est là ? Le Signe montre qu’il a été accepté.

148 Eh bien, vous dites : « Moi, je pèche. » Eh bien, alors, dans ce cas-là, vous n’avez jamais eu le Signe. Voyez ?

149 Le Signe est la barrière, Il montre que le prix est payé. Si Satan essaie de vous donner... Pensez-y un peu. Si Satan essaie de vous donner une maladie, ou qu’il essaie de vous donner quelque chose, vous savez ce qu’il faut faire ? Montrez-lui votre Signe. C’est sûr, la maladie frappe le chrétien. Montrez-lui votre Signe et prouvez-lui que Dieu vous a rachetés. « Résistez au diable, et il fuira loin de vous. » Tenez le Signe au-dessus de votre foi immuable en Sa Parole promise.

150 Une fois, Dieu a donné un arc-en-ciel comme signe. Je vais terminer. Il a donné un arc-en-ciel comme signe. (J’en ai seulement pour une dizaine de minutes, et ensuite on aura une ligne de prière.) Il est toujours resté fidèle à ce signe. N’est-ce pas ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Il l’est encore. Tout au long de ces milliers d’années, Il n’a jamais, pas une seule fois, manqué de le déployer. Il a été fidèle à ce signe-là, ce qui nous montre qu’Il a toujours... et qu’Il ne manquera jamais d’honorer Ses signes. Peu m’importe que...

151 Si Jésus ne vient pas avant dix mille ans et que vous avez le Signe, Il doit encore L’honorer. Peu importe combien de choses peuvent changer, et tout le reste, Il doit honorer ce Signe. Il a dit qu’Il le ferait. Bien. Il s’attend maintenant à ce que nous déployions Son Signe au-dessus de la foi que Dieu nous a donnée, face à toutes les sectes incrédules de la nation et du monde qui croient que les signes et les prodiges n’accompagnent pas les croyants, et à ce que nous soyons fidèles à ce Signe. C’est ce qui montre que le passage a été payé et que nous avons été acceptés pour la résurrection, puisque nous avons la Vie du Signe à l’intérieur de nous.

152 C’est un message tranchant, mais c’est la Vérité. Voilà ce dont nous avons besoin : de la Vérité. Que Dieu nous aide à connaître la Vérité. « Vous connaîtrez la Vérité, et la Vérité vous affranchira. » Je déclare que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je crois que Dieu donne le Saint-Esprit comme Signe, maintenant même, juste avant l’exode, de–de l’Epouse qui sort de l’église.

153 Je crois qu’il y a tant d’absurdités, et les gens qui disent qu’ils ont crié, qu’ils ont parlé en langues. Je crois à ces choses-là; mais vous ne pouvez pas vous fier à ça. Comment pouvez-vous vous fier à ça, pour ensuite nier la Parole ? Voyez ?

154 Le Signe est la Parole, identifiée en vous, qui s’exprime. C’est Dieu qui se fait Son propre interprète. Vous n’avez pas à dire : « Bon, eh bien, interprète donc mon parler en langues. » Ce n’est pas ça. Il interprète votre vie par la Parole. Quand Il prend votre parole, ce que vous êtes, et qu’Il identifie Sa Parole à travers cela, ça n’a pas besoin d’interprétation, elle est déjà là. Dieu fait Lui-même Son interprétation; et nous avons reçu ces promesses pour aujourd’hui.

155 Ô Dallas ! Vous êtes un groupe de chrétiens charmants, ne vous laissez pas entraîner par toutes ces choses que vous voyez circuler aujourd’hui, parce qu’elles vont périr. Présentez toujours ce Signe, montrez ce Signe. Lisez la Bible. Prenez tout. Et si l’esprit que vous avez en vous ne dit pas « amen » à Cela, alors vous feriez mieux de revenir, remplacer ce que vous avez par le Signe; vous ne L’avez pas.

156 Je sais que j’en ai dit beaucoup ici, dans un après-midi. Et il est maintenant 16h30’. Il est le temps là, si on peut essayer de terminer la ligne de prière avant 17h.

157 Croyez-vous que Jésus-Christ vit et règne aujourd’hui ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Croyez-vous que ce que je vous ai dit est la Vérité ? [« Amen. »] C’est le Signe, l’exigence. Je ne peux dire que la Vérité. Je ne dis que ce que je vois, ce que j’entends, ce qui m’est révélé. Et la raison pour laquelle je dis ça; pas une seule fois, des dizaines de milliers de milliers de fois, ça a manqué d’être vrai. Or, ça, ça ne peut être que Dieu. Ça ne peut être que Dieu. Eh bien, est-ce que Dieu donnerait un ministère comme celui-là à quelqu’un qui ne sait pas de quoi il parle ? [« Non. »] Est-ce qu’Il s’identifierait comme voyant, là, pour ensuite faire demi-tour et donner à ce voyant une Parole embrouillée ? [« Non. »] L’homme qui La nie, c’est celui-là qui est embrouillé. Et Dieu n’est pas embrouillé. Dieu est Son propre interprète.

158 Recevez le Signe ! Ne vous appuyez pas sur le fait d’avoir adhéré à une église, ni sur des rites, ni rien. Obtenez le Signe! Tenez-Le. C’est la seule chose que Dieu reconnaîtra. Quand vous en arriverez à cette heure-là, que vous en viendrez à la mort, vous feriez mieux d’avoir ce Signe pour vous couvrir, en sachant qu’au jour de Sa Venue, à la résurrection, je pourrais présenter ce Signe. Ce ne sera pas dans ce corps-ci, il sera complètement pourri; mais dans cet Esprit, qui ne peut pas mourir, il y a la Vie Eternelle, c’est là que repose le Signe. Et Il a promis : « Je le ressusciterai au dernier jour. »

159 Ce même Jésus-Christ est ici. Il est le Messager. Il est... Voici le Message, et Il est le Messager ici pour identifier Son Message. Je ne suis pas le Messager. Il est le Messager, et Ceci est le Message. Et si l’esprit que vous avez est en désaccord avec Ceci, comment peut-il être le Messager du Message ? Il n’y a que le Signe qui peut L’identifier. Amen.

160 Je me sens religieux. Vraiment. J’ai l’impression que je pourrais m’envoler en ce moment, car je sais en Qui j’ai cru, et j’ai vu ma vie s’identifier avec Lui dans Sa résurrection. Sa Présence est ici. Acceptez-Le, mes amis, je vous en prie, au fond de votre cœur.

161 Je sais que nous nous rassemblons tous à l’autel pour prier. C’est une vieille conception méthodiste. Ils n’ont jamais fait ça dans la Bible. La Bible dit : « Tous ceux qui crurent furent baptisés. » C’est exact. Un appel à l’autel, il n’y a rien de pareil dans la Bible. C’est quelque chose que nous avons ajouté, et c’est très bien. Tout ce que Dieu bénit, c’est très bien.

162 Par exemple, ils oignent des morceaux de tissu. Il n’y a jamais rien eu de pareil dans la Bible. « Ils prenaient des linges et des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul. »

163 Mais quelle que soit la façon dont vous voulez le faire, c’est très bien : à votre place, à l’autel, n’importe où. La seule chose, appliquez-Le, ce Signe, pour vous. Ensuite, examinez-vous bien, et regardez le genre de vie, ce qui se passe, voyez s’Il a été appliqué ou non. S’Il n’a pas été appliqué, alors mettez de côté ce que vous avez là et revenez, jusqu’à ce que le Signe ait été appliqué.

164 Prions. Père céleste, peut-être que je–je–j’ai parlé d’une façon impétueuse, mais, Seigneur, comment un clou peut-il tenir si on ne le rive pas ? Je prie, Père, que ce soit rivé dans le cœur des gens, qu’ils voient que ce n’est pas une bizarrerie quelconque. Ce n’est pas que je cherche à identifier une organisation, un clan, une secte, une personne, ou moi-même, ou n’importe qui d’autre. C’est Jésus-Christ. « Toutes ces organisations, je les mets toutes dans un même sac », c’est du pareil au même, selon Ta Parole. « La vieille mère prostituée, » dans la Bible, Apocalypse 17, « elle était la mère de toutes les prostituées. » Et ce ne pouvait pas être des hommes. C’étaient des prostituées, et elles se sont toutes retrouvées dans le lit de la mondanité. Et nous voyons qu’elles l’ont fait, les pentecôtistes et tout.

165 Mais, Jésus, Tu demeures toujours Jésus. Qu’ils n’écoutent pas un message d’une église, mais le Message de Christ, la Parole. Puisses-Tu t’identifier aujourd’hui, Seigneur, avec les croyants. Guéris tous les malades. Pardonne nos péchés, Seigneur. Je–je Te prie, en tant qu’un de Tes serviteurs, de bien vouloir pardonner mes péchés et pardonner les péchés de ces gens. J’ai confiance, Seigneur. Chacun d’eux a sans aucun doute contribué par ses offrandes à payer pour les–les salles, et ils ont dépensé leur argent, et ils ont–ils ont–ils ont tout fait, Seigneur. Ô Dieu, je prie qu’il n’y en ait pas un seul d’entre eux qui le manque, Seigneur. Puisse chacun…

166 Je–je fais cela avec sincérité, et pourtant, Seigneur, il faut être sévère. Nous savons que corriger, c’est de l’amour. L’amour est correctif. Et je prie. En effet, c’est pour ça que Tu as corrigé Ton peuple, c’est parce que Tu les aimais, et qu’il faudra rendre compte de chaque péché.

167 Et, Père, je Te prie de pardonner nos péchés maintenant, alors que nous les confessons. Nous nous sommes beaucoup éloignés, Seigneur. Je m’identifie à ces pentecôtistes, Seigneur. Je–je suis l’un d’entre eux. Et je–je Te Prie, ô Dieu, de nous pardonner tous. Et empare-Toi de quelques-uns de ces chefs et fais-leur faire demi-tour, et–et qu’ils regardent une fois en direction du Calvaire, et alors ils oublieront qu’il leur faut être quelque chose, un ancien ou un évêque, ou je ne sais quoi, et ils se rendront compte que, dans ce Royaume, il n’y a pas de grands hommes parmi nous. Nous sommes tous des enfants de Dieu. Je Te prie de nous aider maintenant. Identifie-Toi au milieu de nous aujourd’hui. Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

168 Maintenant, juste avant que nous commencions la ligne de prière, il se peut qu’il y ait quelqu’un ici qui ne soit jamais venu auparavant. Je ne sais pas qui vous êtes, mais Dieu vous connaît. Si j’ai dit la Vérité, que Dieu identifie si oui ou non c’est la Vérité, c’est ça la preuve. S’Il est ressuscité des morts, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il a dit, dans Jean 14.12 : « Celui qui croit » (pas celui qui fait semblant de croire) « Celui qui croit en Moi fera aussi les œuvres que Je fais. » Est-ce vrai ?

169 Quelqu’un disait : « Vous en ferez de plus grandes. » C’est vrai. Il disait : « Eh bien, nous prêchons l’Evangile, c’est ça de plus grand. »

170 Faites simplement les choses qu’Il a faites, ce sera la preuve pour moi, vous voyez, on pourra ensuite parler de plus grandes. Je peux vous montrer les choses qu’Il fait en ce moment, qui sont plus grandes que celles qu’Il a faites quand Il était sur terre, et ce n’est pas juste de prêcher l’Evangile, non plus; c’est par des signes et des miracles. Nous n’avons pas le temps. Croyez, simplement. Et puisse le Dieu du Ciel, qui a ressuscité Jésus-Christ d’entre les morts et qui L’a présenté devant nous, ici, vivant, après deux mille ans, identifier ce Message, montrer qu’Il est exact. Le Signe doit être appliqué.

171 Maintenant, vous qui avez des maladies et des problèmes, priez, dites simplement avec sincérité : « Seigneur, je crois que Tu es ‘un Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos infirmités’. Et ce prédicateur nous a dit ici que Tu es avec nous, présent ; alors, je voudrais que Tu sois présent avec nous et que Tu T’identifies. » Maintenant, priez, chacun de vous.

172 Maintenant, c’est à Dieu de dire quelque chose. Quel moment! Oh! la la! Comme j’aimerais que vous puissiez savoir quelque chose, comment on se sent quand Cela vient, le monde entier vous appartient. Amen ! Le diable ne peut rien faire du tout, il est un être vaincu. Mon Seigneur est présent. Tout est entre nos mains. Amen !
Je vous demande de rester bien tranquilles. Ne marchez pas. Restez assis tranquilles.

173 Vous qui êtes dans les fauteuils roulants, et tout, ne pensez pas qu’il n’y a rien à faire. Croyez. Vous–vous–vous êtes passés dans des lignes de prière, et ça a échoué, et échoué. Ce n’est pas le prédicateur qui a prié pour vous qui a échoué. C’est votre foi, alors vous vous êtes mis à vous dire que vous n’alliez plus rien faire. Croyez.

174 Tenez, voici cette Lumière, ici, au-dessus d’une petite dame de couleur, assise ici, qui se tient là avec les mains levées comme ceci. Oui. Vous étiez en train de prier. Oui. Croyez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur ? Je ne dois pas dire ça, parce que les gens s’y achoppent tellement. Vous avez un beau...

175 Ici, on a un homme blanc, une femme de couleur, exactement comme notre Seigneur avec la femme au puits, deux races différentes. Il leur a fait savoir qu’il n’y a pas de distinction entre les races. Notre couleur n’a rien à voir. Nous sommes tous... Nous pouvons nous faire des transfusions sanguines les uns aux autres. Dieu, d’un seul sang, a fait toutes les nations.

176 Vous avez des maux de tête, de violents maux de tête. Et puis, vous avez un fardeau sur votre cœur, c’est pour cet enfant. Et vous... Il souffre d’oppression. [La soeur dit : « Amen. » – N.D.E.] C’est exactement ça. Est-ce vrai ? [« Amen. »] C’est ça.

177 La dame assise près de vous, là, elle semble avoir un rapport avec vous, c’est votre mère. [La soeur dit : « Amen. » – N.D.E.] C’est vrai. [« Gloire à Dieu! »] Et il y a quelque chose qui ne va pas chez elle.

178 Me croyez-vous, madame ? [La mère dit : « Amen. » – N.D.E.] Vous me croyez ? Votre problème, c’est que vous avez mal au côté. C’est vrai. C’est au côté droit que vous avez mal. Est-ce vrai ? Levez la main, si c’est vrai. Vous n’aurez plus mal. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes ? Mme Lowell. [« Amen. »] Exact. [« Amen. »] Très bien, poursuivez votre chemin, le Seigneur Jésus vous donne ce que vous avez demandé.

179 Tout au bout, là, il y a une autre petite dame de couleur, assise et qui regarde, ça lui a presque–presque déchiré le cœur. Elle regarde droit vers moi. Elle le croit. Là, ne voyez-vous pas cette Chose, juste là, près d’elle ? Elle souffre des reins. C’est ça. C’est terminé maintenant; Il vous a guérie. Amen.

180 Pourquoi ne pas croire ? « Si tu peux croire, tout est possible. » Croyez-vous cela ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Voici... Regardez-moi ces gens de couleur! Où est votre foi, à vous, les blancs ?

181 Voici une dame de couleur, assise juste ici, elle regarde droit vers moi, une dame plutôt corpulente. Elle a des problèmes avec son genou. Elle a un autre problème, elle souffre du cœur. Oui. Elle a des faiblesses, des palpitations, et des choses comme ça; surtout quand vous essayez de vous allonger, vous manquez d’air. Voyez ? C’est arrivé hier soir. Souvenez-vous, je ne lis pas vos pensées, seulement je sais pour quoi vous avez prié. Vous vouliez être appelée pour ça aujourd’hui, et Il vous a exaucée. Et, vous avez aussi beaucoup de difficulté à vous lever, parce que vous avez de l’arthrite. C’est exact. Et puis, autre chose, vous avez un problème à l’estomac, c’est une tumeur dans l’estomac. C’est vrai. Maintenant, croyez-vous que je suis Son prophète ? Je vais le dire quand même. Croyez, et vous serez guérie.

182 Et vos maux d’estomac, à vous ? Croyez-vous que Dieu va guérir vos maux d’estomac, à vous aussi qui êtes assis là ? Le croyez-vous ? Très bien, alors, vous pouvez recevoir la guérison de votre estomac. Amen.

183 Vous voulez cesser de fumer, là-bas, madame ? Vous croyez que Dieu va vous faire cesser de fumer ? Il y a longtemps que vous essayez. Vous avez des maux d’estomac, aussi; vous essayez de renoncer à la cigarette. C’est ça qui cause vos maux d’estomac. Voulez-vous y renoncer ? Je vous en débarrasse, au Nom de Jésus-Christ, à cause de votre foi pour Le toucher.
Je vous défie de croire Dieu !

184 Il y a ici une petite femme, assise là, elle prie pour son... un bien-aimé, qui se meurt du cancer à l’hôpital. Exact. C’est un oncle. C’est vrai. Vous êtes, soit... Vous êtes une femme de prédicateur. Croyez de tout votre cœur, et cet homme sera guéri.

185 Je vous défie de croire Dieu ! Qu’est-ce ? L’identification, ce Jésus-Christ. Vous direz : « Qui est Christ ? »

186 Il est la Parole : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous. » « La Parole est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, Elle discerne les pensées et les intentions du cœur. » Ne pouvez-vous pas voir que la Parole est là, parmi nous dans les derniers jours ? C’est le Saint-Esprit, Il prend la Parole de Dieu et identifie Jésus-Christ, qui est le Signe. Amen. Croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

187 Combien d’entre vous ont des cartes de prière ? Que tous ceux qui ont des cartes de prière, de ce côté-ci, se lèvent et se mettent en ligne ici. Levez-vous, tous ceux de ce côté-là, seulement ce côté-là, venez vous tenir ici dans l’allée. Non, juste dans l’allée de droite, s’il vous plaît, juste là. Que les huissiers soient à leur poste. Après, quand ceux-là seront passés, que les autres se lèvent, après que ceux-là seront passés; ensuite, ce sera l’inverse, ceux de l’autre côté. Maintenant, que tout le monde soit respectueux.

188 Le Saint-Esprit a pris le contrôle de la réunion. Ainsi, assez de choses ont été dites et accomplies pour servir de preuve. Combien croient qu’Il est ici ? Combien croient qu’il s’agit du Signe ? Combien croient que c’est la Parole ? [L’assemblée se réjouit. – N.D.E.] Regardez, combien savent qu’il est dit dans l’Epître aux Hébreux que « la Parole de Dieu discerne les pensées du cœur » ? Combien savent cela ? Combien savent que c’est pour ça que Jésus pouvait discerner les pensées de leur cœur, parce qu’Il était la Parole ? Combien croient cela ? Combien croient que c’est ce que les prophètes avaient. c’était à eux que la Parole venait. Eh bien, si la Parole revient vers nous, ne fera-t-Elle pas la même chose ? Dans ce cas, comment la Parole qui identifie la Parole peut-Elle être fausse, par la Parole ? Oh ! miséricorde! Soyons respectueux!

189 Hé, cette dame assise ici, elle a quelque chose dans son cœur, elle aussi. Je me suis retourné, tout bonnement, et j’ai saisi cela. N’est-ce pas vous madame Grant ? Je ne savais pas ça. Mais c’est bien vous madame Grant ; en effet, je vous vois avec cela. Vous souffrez de nervosité, ça vous cause des ennuis. Vous avez… votre fils a quelque chose... il a comme des écoulements de sang. Je vous défie de le croire! Amen. Il est le Maître de la situation. Il est le Maître de la mort.
Prions.

190 Seigneur Jésus, pendant que Ta Présence nous oint, ici dans cette salle, et que nous sommes conscients qu’il s’agit ici du Saint-Esprit, je Te prie, Seigneur, de guérir toutes les personnes qui porteront ces mouchoirs.

191 Il nous est enseigné dans la Bible qu’une fois Ton peuple, dans l’exercice de ses fonctions, allait traverser la mer Rouge, et la mer leur barrait le chemin, alors qu’ils étaient en route vers la Terre promise. Dieu a regardé en bas, à travers cette Colonne de Feu, d’un regard courroucé, et la mer a eu peur, elle s’est retirée, et Israël a continué sa route vers la Terre promise, dans l’exercice de ses fonctions.

192 Ô Seigneur Dieu, que Ton regard s’abaisse, à travers le Sang de Jésus-Christ, dans ce Signe ici, que nous tenons au-dessus de ces mouchoirs aujourd’hui. Et pour tous ceux qui les porteront, que la maladie ait peur, qu’elle se retire, et que Ton peuple traverse vers la promesse d’une bonne santé. « La prière de la foi sauvera le malade. » Au Nom de Jésus-Christ, qu’il en soit ainsi. Amen.

193 Combien y a-t-il ici de prédicateurs méthodistes qui croient, de prédicateurs baptistes, de prédicateurs presbytériens, de prédicateurs baptistes, luthériens ou pentecôtistes ? Combien d’entre vous croient que Ceci est la Vérité ? Alors, venez vous placer ici, près de moi, alors que nous prierons pour les malades. Avancez-vous ici, tous ceux d’entre vous les prédicateurs, qui croyez.

194 C’est d’accord, n’est-ce pas ? Frère Grant, c’est d’accord ? [Frère Grant dit : « Bien sûr. » – N.D.E.] Oui.

195 Descendez ici, frère. Frère Grant a un ministère de prière pour les malades. Un brave homme, un homme bien, un homme dont Dieu écoute et exauce les prières, frère Grant. Je suis content de passer mon bras autour de ses épaules aujourd’hui et de dire ça, et c’est mon frère. Alors, il va descendre ici pour prier avec moi.

196 Quand vous passerez dans cette ligne, ce sera comme si vous passiez sous la croix. Frères, formez deux lignes, juste ici, juste ici. Formez deux lignes; quelques-uns ici, quelques-uns là-bas.

197 Frère Roy Borders, où es-tu ? Frère Roy Borders, je pensais qu’il était là. [Quelqu’un dit : « Il revient tout de suite. » – N.D.E.]

198 Regardez ça, voyez les prédicateurs! Regardez ça. Ça me fait du bien, frères. Des serviteurs de la croix, des hommes qui se tiennent ici pour s’identifier avec le Message. Qu’est-ce qui peut arriver ?

199 Maintenant, regardez, n’imputez pas cela aux prédicateurs, là. Ils sont venus s’identifier. Quand vous passerez ici, identi-... tenez le Signe devant vous : « Seigneur Jésus, j’ai confessé mes péchés. En retour, Tu m’as donné le baptême du Saint-Esprit. Je suis un produit racheté. Ni le péché, ni la maladie, ni rien, ne peut désormais me retenir. J’avance tout droit. » Tenez cela, oh ! devant vous et passez dans la ligne, Dieu vous guérira. Et vous repartirez d’ici dans la joie, heureux, et vous vous porterez bien. Le croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]

200 Maintenant, toutes les personnes qui sont ici, inclinons la tête, frères, pendant que nous sommes ensemble. Nous ne savons pas ce qui va arriver. Nous ne savons vraiment pas. Il n’y a aucune raison que quelqu’un reparte malade de ce bâtiment cet après-midi. Tenez ce Signe dans votre cœur et allez-y, passez dans la ligne de prière; alors que des prédicateurs, qui ont consacré leur vie au–au service, vont se tenir ici, pour vous imposer les mains quand vous passerez.

201 Je veux que tous, vous sachiez que, simplement... Ce n’est pas moi qui guéris. Ces hommes ont autant le droit de prier pour les malades que n’importe qui d’autre. Franchement, je crois que Dieu exaucerait leurs prières avant d’exaucer les miennes. Je suis fatigué et épuisé, et tout. Je–je crois qu’Il exaucerait leurs prières. Et les voici ici debout, en plein dedans ça, pour s’identifier ; ils n’ont pas honte de prendre leur position. J’apprécie des hommes comme ceux-là.

202 Maintenant, frères, je sais ce que vous ressentez. Je suis, je suis un avec vous. Je suis celui qui ai mêlé mon filet au vôtre, ici au Texas, pour essayer d’attraper tous les poissons que Dieu a destinés à la Vie, là-bas. Je fais vraiment de mon mieux. Je suis avec vous, à cent pour cent. Il m’arrive de réprimander et de crier contre les organisations et tout. Ça ne veut pas dire que je suis contre vous, mon frère. Ce que je veux dire par là, c’est que je suis contre le système qui mettrait la division entre nous, pour nous empêcher d’être des frères, à cause de quelque doctrine religieuse. Nous sommes frères par le baptême du Saint-Esprit. Nous tenons le même Signe. Nous avons reçu le même Sang, alors croyons-le. Nous pouvons nous rencontrer Là, n’est-ce pas, frères, chacun de nous, sous le Sang.

203 Moi, j’ai été ordonné prédicateur chez les baptistes. Vous, vous l’avez peut-être été chez les méthodistes, les luthériens, les presbytériens, les pentecôtistes, les unitaires, les binitaires, les trinitaires, ou je ne sais quoi, l’Église de Dieu, ou quoi encore. Ça n’a rien à voir. Si nous ne pouvons pas être d’accord sur ces petits points, alors oublions-les.

204 Il y a quelque chose sur lequel nous pouvons être d’accord, c’est que Jésus-Christ, notre Sauveur, est mort pour nos péchés, Il est ressuscité et Il nous a donné le Signe. Nous sommes ici pour tenir nos prières au-dessus de nos frères et sœurs malades qui passeront dans cette ligne. Je vais le croire de tout mon cœur.

205 Je viens juste de voir quelque chose se produire. Amen ! Je sais que vous pensez que je suis fou, mais je me sens bien dans ma folie. Tout ce que j’espère, c’est pouvoir rester comme ça. Oui, oui. Je me sens merveilleusement bien comme ça.
Prions.

206 Seigneur Jésus, je descends de l’estrade, ici, pour m’identifier avec ces frères. Je m’identifie avec eux, alors que nous tenons tous notre Signe dans nos mains et dans nos cœurs. Nous obéissons à Ton ordre : « Imposer les mains aux malades, et ils seront guéris ». Que toutes les personnes qui passeront ici présentent leur Signe, comme quoi ils ont reçu le Saint-Esprit, qu’ils sont un enfant de Dieu né de nouveau, qu’ils le croient de tout leur cœur. Et, alors qu’ils passeront, puissent-ils maudire la maladie et l’affliction de leur corps. Et qu’ils repartent d’ici, dans la joie, en sachant que leur foi les a guéris.

207 Et, Seigneur Dieu, comme, dans l’Ancien Testament, nous posions nos mains sur le sacrifice pour nous identifier au sacrifice, nous posons de même nos mains sur Jésus, et nous nous identifions à Lui. Il a posé Ses mains sur nous, là, dans le ministère, Il s’est identifié avec nous par des signes et des prodiges. Et nous posons nos mains sur les malades, pour nous identifier avec eux, en joignant notre foi à la leur. La maladie doit s’en aller, et qu’elle le fasse, au Nom de Jésus-Christ, alors que nous nous avançons ici pour le recevoir.
Que toute l’assemblée prie.

208 Que Roy ou quelqu’un vienne ici se placer près du microphone pour veiller à ce que les rangs restent droits.

209 Regardez. Quand vous passerez ici, maintenant, venez avec foi, venez en priant. Nous allons simplement imposer les mains aux malades. Passez directement dans la ligne. Priez. Quand vous passerez dans cette ligne de prédicateurs, si vous marchez avec des béquilles, déposez-les par terre et partez en marchant. Si vous aviez le cancer, une maladie, dites : « Le médecin a fait tout son possible, il a fait tout ce qu’il pouvait, et il a dit que j’allais mourir. Je ne vais pas mourir. Voici mon Signe, Seigneur. Tu m’en as promis soixante-dix. Je passe ici, sans hésiter, c’est ce que je fais. » Vous voyez, faites-le. Voulez-vous le faire ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Au Nom de Jésus, qu’il en soit ainsi. Amen.

210 Très bien. commencez à les faire défiler. [Frère Branham et les prédicateurs prient pour les malades, pendant qu’un frère dirige l’assemblée pour quelques chants, Crois seulement et quelques autres. Espace vide sur la bande. – N.D.E.]
Je crois ! Tous mes doutes ont été ensevelis dans la Fontaine.

211 Le croyez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Amen. Oh ! n’est-Il pas merveilleux ? [« Amen. »] Certains d’entre eux, étaient sur les civières et les brancards, là, ils se sont levés et sont partis en marchant; ils les ont simplement laissés là et sont partis. Oh ! c’est, que tous ceux qui croient peuvent être guéris en ce moment. Croyez-vous ? [« Amen. »]

212 Donnez-nous la note, Je L’aime, s’il vous plaît, soeur; ce vieux chant, « Je L’aime, je L’aime, parce... » Élevons tous nos voix, et nos mains, nos cœurs, vers Dieu, et chantons « Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier ».
Tous ensemble, là. Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois...

213 Une dame vient de se lever de son fauteuil roulant, elle marche, ici, avec l’aide de deux hommes. « Je... » Agitons nos mains vers Dieu, « Je L’aime ! » Je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Sur le bois du... Maintenant, louons-Le simplement, tout le monde !

214 Gloire à Dieu ! Comme nous Te remercions, Seigneur Jésus, pour Ta bonté, Ta Présence. Oh ! nous Te remercions pour le Signe, Seigneur. Nous sommes sauvés et remplis de l’Esprit, le Saint-Esprit se déverse avec puissance dans nos corps en ce moment. Combien nous Te remercions pour cela, Père ! Oh ! c’est au Nom de Jésus que nous Te remercions. Amen. Amen.

215 Serrez-vous tous la main, dites : « Gloire au Seigneur ! » Serrez-vous la main les uns aux autres, dites : « Gloire au Seigneur ! Gloire au Seigneur ! » [Frère Branham et l’assemblée se serrent la main, en disant : « Gloire au Seigneur! » – N.D.E.] Très bien, maintenant tous ensemble, encore. Je L’aime (les mains levées, les cœurs aussi) , Je... (exprimez-le du fond de votre cœur) Parce qu’Il m’aima le premier (Allez-vous congédier?)
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.

216 Maintenant, inclinons la tête avec beaucoup de respect, alors que je remets maintenant la réunion à frère Grant pour qu’il termine; je remercie chacun de vous. D’abord, je remercie le Seigneur pour Sa bonté, pour Sa miséricorde, et pour l’assurance que nous avons laissée, je l’espère, dans votre cœur, que nous ne sommes pas ici tout seuls. Notre Grand Commandant en chef est au milieu de nous. Le chant de triomphe royal est dans le camp. Et nous remercions le Seigneur de ce que nous voyons Sa grande puissance et Sa grande miséricorde. Et maintenant, inclinons la tête avec respect. Frère Grant.

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