Le Fou De Gadara
1 [Frère Boze parle. – N.D.E.]… ?... Merci. Vous pouvez vous asseoir, si vous le voulez bien, mes amis. C’est… Je suis très heureux d’être ici cet après-midi pour voir les visages des enfants de Dieu qui me regardent ici, et d’avoir le privilège de vous parler encore cet après-midi. Depuis tous les jours de–de mon ministère, celle-ci est la deuxième réunion que je tiens un après-midi. Généralement, c’est mon organisateur et les autres qui tiennent des réunions l’après-midi.
Et je ne savais pas en fait que je viendrais à celle-ci jusqu’il y a quelques instants, lorsque frère Joseph m’a appelé. Le… Monsieur Moore m’a parlé, disant : « Dis donc, sais-tu que c’est toi qui dois prêcher cet après-midi ? »
J’ai dit : « Eh bien, je ne savais pas que… qui ils ont désigné. »
2 Il a dit : « C’est toi qu’on a désigné pour cet après-midi, tu ferais donc mieux de t’y rendre. » C’est ainsi que nous avons dû venir. Je suis–je suis donc très heureux d’être ici à tout moment où je peux faire quelque chose pour le Seigneur. Je me suis un peu reposé, ainsi ça ne me dérange pas de venir parler un après-midi.
Je ne suis pas un très bon orateur, je suis donc un peu réticent pour oser faire cela, ou oser prendre la place d’un des orateurs. Mais je me suis toujours considéré comme un pneu de réserve. Vous savez, quand vous attrapez une crevaison, c’est alors que vous utilisez le pneu de réserve. Mais nous ne connaissons pas présentement de crevaison. Voyez, nous–nous–nous avons un grand nombre de prédicateurs ici, mais je suis… Ils ont tout simplement mis en place le pneu de réserve aujourd’hui, peut-être pour encore l’utiliser.
3 Est-ce bien vrai, Frère Ryan ? Je me disais que c’était bien cela. Ainsi donc, nous formons tous un grand groupe heureux d’enfants de Dieu, travaillant ensemble. Je vois qu’on a des livres ici et la–la photo de l’Ange du Seigneur. Je… Mes amis, je ne suis pas un vendeur de livres ni un vendeur de photos. Ce n’est pas ce que je fais. Ces livres, nous cherchons à les diffuser, autant que…
Eh bien, je n’ai jamais su gagner même un sou sur les livres, à ce que je sache. En effet, si un pauvre se présente, sans argent, il aura de toute façon un livre. Et on en distribue beaucoup. Ainsi donc, il y a beaucoup… Il vous faut les vendre avec une marge bénéficiaire réduite et on connaît beaucoup de pertes.
4 Certains attrapent ces poissons d’argent pendant qu’ils sont déposés là. Notre région là-bas, est une espèce de… Pas en cette période de l’année, pas en ce moment de toute façon, c’est humide, mais cela pourra en supporter un peu. Mais c’est généralement, c’est… Nous en perdons beaucoup, au point qu’en moyenne, on ne gagne pas sur les livres. Vous ne pouvez même pas récupérer l’argent investi dans ces livres.
Mais n’eût été le Message qui est là-dedans, je ne les aurais même pas Et nous ne les vendons pas le dimanche ; en effet, je m’abstiens de vendre le jour du Seigneur. Et c’est ce que j’ai toujours fait. Ce n’est pas que je veuille dire que c’est mauvais. Frère Bosworth s’en prenait à moi tout le temps, disant : « Tu vends quelque chose qui peut donner la Vie Eternelle aux gens. »
5 Eh bien, je–je… cela… Peut-être que frère Bosworth a raison. Voyez ? Mais ce n’est pas une superstition, mais je m’en suis tiré jusqu’à présent sans cela ; je ne pense donc pas qu’il me faille le faire, je laisse donc simplement cela continuer. Eh bien, cette petite photo, je pense qu’on vous a fait part du rapport relatif à cela. ça se trouve ici dans ce livre, une copie.
Et puis, la photo de ce même Ange se trouve aussi dans ce livre. Mais ce n’était pas tellement authentique. C’est juste un reporteur de la presse écrite qui en a tiré une photo ici. Si vous remarquez bien, il y a tout près un homme ayant la tête inclinée comme s’il était aveugle, comme ça. J’étais là, prêchant ce soir-là, à Camden, en Arkansas.
C’était une assemblée aussi grande que cet auditoire, de peut-être trois mille personnes environ ou quelque chose comme cela. On était sur un terrain de basket-ball, on dirait. Et je pense qu’il y avait deux ou trois balcons, ou quelque chose comme cela, ou… j’oublie ; ça fait plusieurs années, environ sept ou huit ans depuis que cela est arrivé.
6 Et j’étais en train de parler, on dirait que je n’arrivais pas à livrer le… communiquer aux gens ce dont je parlais, concernant l’Ange du Seigneur. C’était alors récent, la… cette grande action de Dieu venait–venait alors de commencer. Les gens étaient assis, à écouter ; puis, j’ai regardé, j’ai dit : « Je n’aurais plus à En parler davantage ; Le voici venir. »
Alors, Cela a parcouru la salle, comme cela, au-dessus des têtes de gens. Et pendant que je me tenais là, Ça s’est posé, et le reporteur de la presse écrite était là, faisant le reportage. Et ce monsieur, le prédicateur, qui a accouru pour me serrer la main, c’est dans cette position-là qu’il l’a simplement–simplement photographié. Et il venait d’incliner la tête, et cela est resté juste comme ça. Et l’onction venait de descendre pour le discernement.
7 Et c’est là que ça a eu lieu ; vous pouvez voir ça. C’est… Je sais que ça se trouve ici parce que j’ai vu Cela plusieurs fois. Mais Cela n’a jamais–jamais été photographié par… de manière à être si authentique que cela est ici dans cette photo. Et cette photo ne m’appartient pas. Elle est... elle appartient au studio Douglas de Houston, au Texas, un membre de l’Association des photographes américains.
Et un soir, lors d’un débat avec un prédicateur baptiste qui m’avait provoqué, disant que je n’étais qu’un imposteur et qu’on devait me chasser de la ville et tout … Plusieurs milliers de gens s’étaient rassemblés pour suivre. M. Bosworth avait relevé le défi. Et après le débat, ils m’ont demandé de bien vouloir venir congédier les gens par la prière, et je suis allé.
8 J’ai dit : « Je regrette qu’on débatte de telles choses. Le christianisme n’est pas à débattre ; c’est quelque chose qui doit être vécu. » Et j’ai dit : « Jamais je… » Cet homme ne cessait de me traiter de guérisseur. Et j’ai dit : « Jamais je n’ai prétendu être un guérisseur. Jamais je n’ai prétendu pouvoir guérir quelqu’un. J’ai toujours dit que c’est Dieu qui est le Guérisseur, et que moi, je ne suis que Son serviteur pour prier pour les malades. »
Alors, j’ai dit : « Ce que je détiens de la part de Dieu, en fait, c’est un–un don divin, qui me permet de comprendre et de connaître des choses et qui me révèle des choses du passé et des choses à venir. » Et j’ai dit : « C’est indiscutable ; cela peut être prouvé n’importe quand. » Voyez ? J’ai dit : « C’est indiscutable. Si c’est ce que… » J’ai dit : « Je dis la vérité, c’est tout. Tout le monde sait que Dieu ne pourrait jamais entériner une erreur. Il n’aura rien à faire avec une erreur. »
Et cela date de très longtemps. J’ai dit : « Mais si vous dites la vérité, Dieu prendra… honorera la vérité. Il a dit qu’Il le fera.
9 Et Il honorera la vérité. » J’ai dit : « Si ce que je dis est la vérité, alors Dieu parlera pour moi. » Et à peine avais-je dit cela qu’Il est venu, devant plusieurs, plusieurs milliers de gens. Et on En a tiré la photo, et la voilà. Et puis, George J. Lacy, le responsable du département des documents douteux et des empreintes digitales, l’un des meilleurs au monde, il a reçu l’appareil photo, le lieu et tout, le jour… Pendant deux ou trois jours, il a tout examiné, vérifiant s’il y avait eu une surimpression ou quelque chose comme ça… Il a fait passer cela par toutes sortes de lumière, de traitement et autres.
Tout ce qu’il a fait là-dessus est ici dedans. Et il a conclu que la lumière avait frappé l’objectif ; l’Etre surnaturel avait été bel et bien là. C’est le tout premier Etre dans le monde entier au sujet duquel on a donc des preuves, des preuves scientifiques irréfutables, que c’était un Etre surnaturel qui a–qui a été photographié. Eh bien, vous pouvez aller à Washington, si vous le voulez.
10 Il y a quelque temps, vous l’avez tous vu, on avait la photo (qu’on disait avoir été prise par quelqu’un) de–de Jésus, avec les bras tendus, et deux avions atterrissaient. Vous avez vu cela dans le journal.
Mais cet homme a avoué avoir peint cette photo. Ce n’était pas vrai. Voyez ? Et il a avoué ça, c’était dans le–le Reader’s Digest, on disait que ce n’était pas vrai.
Mais celle-ci, ce n’est pas parce que–que, cher chrétien, j’ai… je–je… Ce n’est pas moi. Il s’est tout simplement fait que je me tenais là ; c’était tout. Ainsi… Mais, celle-ci est une photo d’un Etre surnaturel. Et, à mon avis, si vous remarquez bien, c’est la Colonne de Feu. Référez-vous à mes livres, car même des années avant que cela ait été confirmé, regardez là, Cela apparaissait de temps en temps.
11 Regardez dans la brochure, la première que j’ai écrite, intitulée Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, comment les grands journaux de Louisville, dans le Kentucky, et de partout, ont écrit : « Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un prédicateur baptiste local pendant qu’il baptisait. »
C’était pendant qu’Il se tenait là et qu’Il me parlait là même devant au moins dix mille personnes, que cet événement a eu lieu; Il a dit : « Ton ministère sera comme celui de Jean-Baptiste, qui a été envoyé comme précurseur de la première Venue de Christ ; ton ministère entraînera la Seconde Venue de Christ. »
12 Et–et là… Je ne savais même pas de quoi il était question, je ne savais rien à ce sujet. Mais regardez l’action qui est en cours aujourd’hui. Voyez. Ça y est. Comment pouvais-je, moi un illettré, avec l’instruction de l’école primaire, je… alors que j’ai … En ce temps-là, quand j’essayais de lire la Bible, je n’y arrivais pas. La jeune fille que j’ai épousée, la mère de mon garçon, se tenait à l’estrade et me lisait la Bible, le passage, parce que je n’arrivais même pas à lire la Bible (c’est vrai.), je n’arrivais même pas à la lire.
13 Et j’avais… Je me rappelle mon premier sermon. J’avais prêché sur, je pense, le premier sermon que j’ai essayé de prêcher moi-même, c’était dans la petite église baptiste locale. J’avais prêché, je pense, sur Samson, l’homme fort. Donc, j’avais essayé moi-même, et je me suis dit : « Eh bien, je vais bien essayer de prêcher cela comme je le pouvais. » Et c’était Jean 14. Alors, j’ai dit : « Lis, chérie. »
Elle disait : « Que votre coeur ne se trouble point. »
Je disais : « Vous entendez ce qui est dit. »
Et alors, elle disait : « Croyez en Dieu, et croyez en Moi. »
Je disais : « Est-ce ce que vous faites ? » Juste tel qu’elle… C’est ainsi que j’ai prêché mon premier sermon. Frère Ryan, vous pouvez pratiquement vous souvenir de ces jours-là, lorsque cela avait eu lieu. Mais aujourd’hui, j’ai encore du chemin à parcourir, mes amis, mais j’aime toujours le Seigneur Jésus. Et le même Seigneur Jésus qui était apparu là à la rivière ce jour-là, c’est Sa photo qui est là. [Un homme donne un témoignage sur la Lumière qui était apparue la veille. – N.D.E.] Oui, c’est… Merci.
Or, quelqu’un pourrait demander : « Frère Branham, pensez-vous que le témoignage de frère Boze est vrai ? »
Absolument.
« Eh bien, alors, comment est-ce possible… moi aussi, j’étais assis là, mais je n’ai pas vu cela. » C’est vrai.
14 C’est tout à fait possible que vous soyez assis là même et que peut-être deux… quelqu’un assis à vos côtés, d’un côté ou de l’autre, puisse voir cela, et que vous, vous ne le voyez pas.
Considérez l’étoile qui avait conduit les mages. Elle était passée au-dessus de chaque observatoire et tout le reste, et personne, à part eux, ne l’avait vue. Il leur était exclusivement donné de voir cela. Considérez Paul, quand il a eu la vision, il a été précipité de son cheval, il est tombé de son cheval ou je ne sais quoi, alors qu’il était en route vers Damas. Voyez ? Voyez, il est juste donné à certains de voir, et non pas à d’autres, un point trait. C’est tout à fait vrai.
Alors, quand nous arriverons tous dans la Gloire, quand les jours seront terminés… Je ferai cette déclaration. Je crois cela de tout mon coeur. Nous–nous lisons dans la Bible que c’était la Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël de l’Egypte à la Terre promise. Est-ce vrai ? Et cette Colonne de Feu était l’Ange de l’alliance ? Est-ce vrai, docteurs ? Et qui était l’Ange de l’alliance? Jésus-Christ.
15 Et Il est donc le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai ? Qu’est-ce que cela veut dire ? Il conduit toujours l’Eglise. Il est l’Ange de l’alliance. L’alliance a été écrite avec Son propre sang, et Il est entré dans la Présence du Père, portant Son propre sang. Est-ce vrai ?
Et–et, maintenant, c’est le même Saint-Esprit. Et on a dit… George J. Lacy a dit : « C’est comme une Lumière émeraude, brûlant avec des flammes vacillantes, comme ça, pendant qu’Elle tourbillonnait sans cesse comme cela. On dirait qu’Elle décrivait un cercle en tourbillonnant. »
Cela semblait donc avoir cette grosseur, probablement cette épaisseur. Pratiquement, chaque soir, quand je… franchement, maintenant même, je peux vous assurer maintenant que nous, pendant que–pendant que je prêche aujourd’hui aux mortels, en tant que mortel, que je… que Cela n’est pas à cinq pieds [1,5 m] de là où je me tiens maintenant. C’est vrai.
16 Eh bien, la façon dont ça se passe le soir, je me soumets à Cela, c’est tout, et j’ai une façon de m’y prendre, de me soumettre, au point que moi, je ne suis plus là, et que c’est Cela qui est là. Voyez ? Moi, je me mets hors du chemin et Cela entre. Et Cela ne peut pas rester longtemps sur moi, parce que je… Cela pourrait bien… Je ne sais pas ce qui arriverait. Mais après, Cela se retirera.
Je peux savoir que Cela est près de moi, Cela se trouve quelque part. Puis, je peux être en train de parler aux malades, puis peut-être que je sens encore Cela venir comme ça ; Cela va tout simplement descendre sur moi. Et c’est alors que les visions apparaissent. Puis, Cela va encore quitter. Puis, je –je peux m’entendre parler, mais je ne sais pas ce que je vais dire. Et je… C’est donc ainsi que ça se passe.
17 Et je suis très reconnaissant. Je ne m’attends pas à ce que tout le monde croie cela. Ils n’ont même pas cru le Seigneur Jésus, ainsi je–je–je ne peux pas m’attendre à ce que tout le monde croie cela. Mais je peux seulement témoigner de ce qui est la vérité. Et si je quitte ce monde aujourd’hui, amis chrétiens, mon témoignage est véridique.
Des milliers et des milliers de gens ont littéralement vu Cela de leurs propres yeux. L’église, à travers le monde, a reconnu Son ministère, pas le mien, Son ministère, comment Cela opérait et ce que Cela a fait, des milliers ont été bénis, des hommes ont été envoyés à travers le monde aujourd’hui, enflammés pour Dieu. C’est vrai. C’est ce que cela a fait.
Le monde scientifique ne peut que dire que c’est vrai. Cela se trouve là même sur un–un… George J. Lacy a dit, après que la photo lui avait été soumise, il a dit qu’il avait souvent dit que… Il avait entendu parler de mes réunions, il avait entendu les gens en parler, mais lui disait que c’était de la psychologie. Il a dit : « Mais (quand il m’a fait venir), a-t-il dit, l’oeil mécanique de cet appareil photo ne peut pas prendre de la psychologie. » C’est vrai. L’oeil mécanique de l’appareil photo ne prendra pas de la psychologie.
18 Ainsi, le monde scientifique est obligé de confirmer que c’est la vérité. Eh bien, peut-être que nous sommes une bande d’illettrés. C’est vrai. Je le suis, je sais que je le suis. Mais voici une chose que… je –je–je préférerais avoir la faveur de Dieu et être taxé de saint exalté ou de fanatique, ou n’importe quel nom qu’ils veulent me coller, mais avoir la faveur de Dieu, savoir qu’Il se tient ici cet après-midi, plutôt que d’avoir toute la richesse de Chicago, ou toute la gloire du monde.
Je préférerais me tenir ici même maintenant, tenir cette photo, vous dire ce que c’est, savoir qu’Il se tient ici même à 5 pieds [1,5 m] de là où je me tiens maintenant même. Je préférerais avoir ce sentiment et cette consolation que j’ai maintenant même plutôt qu’être le roi du monde entier pendant un million d’années. C’est vrai.
19 Maintenant, je suis heureux. Je suis fatigué. Je m’épuise physiquement. J’ai des difficultés, des choses qu’un homme ordinaire n’a pas. Vous pouvez vous représenter combien Satan me combat jour et nuit, tout le temps. On chasse ces démons et ils vous hantent. Voyez-vous ? Mais toutes ces choses-là… Je mène un combat que personne ne connaît.
Mais j’aime les gens. Je les aime de tout mon coeur. Et les gens savent donc cela. Je n’ai jamais laissé mon ministère en arriver à être grandiose, à paraître grand. Cela pourrait–cela pourrait me faire penser que je suis trop important. Mon ministère a été gardé simple. Je traite avec un petit nombre de gens, et au moment où la foule augmente, je quitte pour aller ailleurs, je m’en vais simplement ailleurs. En effet, tout mon–mon motif, c’est celui-ci : « Plaire à mon Père céleste. C’est tout ce qu’il me faut, Lui plaire.»
20 Et je–j’ai besoin de la prière de vous tous, afin que, chaque fois, à mes propres yeux, le Seigneur me garde petit. Voyez. Cela… C’est… au point où Il peut m’utiliser. Je voudrais en arriver à ce qu’Il… lorsque les êtres angéliques s’assemblent, Il pourra dire : « Eh bien, Je sais que Mon serviteur William Branham s’occupera de Moi. » Ce… c’est ce que je–je veux qu’Il fasse.
Et alors, ce jour-là… Je me suis souvent demandé… J’aurais bien voulu me tenir là, ce jour où Il avait tendu Ses bras et avait dit : « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos. » Probablement que je n’entendrai jamais cela, mais voici ce que je désire entendre, L’entendre un jour dire : « Ça a été bien fait, Mon bon et fidèle serviteur. »
21 C’est–c’est la Voix que je désire ardemment entendre. Si seulement Il me fait entrer dans Son Royaume, et qu’ensuite je m’approche assez pour pouvoir placer mes mains sur Ses pieds sacrés, ou quelque chose comme cela, ce sera tout à fait en ordre. Si seulement je peux Le voir…
Il y a quelque temps, je parlais à une réunion des Hommes d’Affaires. Je pense que c’était ici même à Chicago. Et un vieux noir du Sud… Il avait été sauvé un soir. Le lendemain matin, il était là et disait : « Je suis libre ; je suis libre », s’adressant à tous les autres esclaves.
Et les esclaves ont dit : « Eh bien… » Ils voulaient savoir ce qui était arrivé.
Il a dit : « Le Seigneur Jésus m’a libéré.»
Et le maître des esclaves passait et il a dit : « D’accord, Sambo, à ton travail ! »
Il a dit : « Oui, maître, je–je ne voulais pas prendre du temps. »
e maître a dit : « Je t’ai entendu dire que tu étais libre. »
Il a dit : « Oui, maître. » Il a dit : « Le Seigneur Jésus m’a libéré hier soir de–de l’esclavage, je veux dire, des fardeaux du péché. »
Et–et il a dit : « Eh bien, j’aimerais que tu passes à mon bureau d’ici peu. » Et peu après, il est passé au bureau. Il a dit : « J’aimerais que tu répètes cela. Tu me disais que Jésus-Christ t’avait libéré hier soir à la réunion et que tu n’étais plus esclave du péché ? »
22 Il a répondu : « Oui, oui, patron. C’est ce qu’Il a fait. Hier soir, Il m’a libéré du péché et de la mort. »
Il a dit : « Alors, Sambo, si Jésus-Christ t’a libéré du péché et de la mort hier soir, aujourd’hui, moi, je te libère de l’esclavage (C’est bien.), afin que tu puisses prêcher à tes frères. »
Le vieil homme a prêché pendant beaucoup, beaucoup d’années. Quand il était sur le point de mourir, ayant vieilli, il a été appelé dans tout… beaucoup de ses frères blancs étaient venus le voir. Et le vieil homme était entré dans le coma. On pensait qu’il était mort. Et peu après, il a regardé tout autour, il les a tous vus debout là, il les a encore tous salués.
Alors, il a dit : « Oh ! Je venais d’entrer à l’intérieur. » Il a dit : « Pourquoi suis-je revenu ? » Et il a dit–il a dit : « Je me tenais à l’intérieur. » Il a dit : « Je me tenais là, regardant, et un ange s’est approché de moi et a dit : ‘Sambo, es-tu prêt maintenant à recevoir ta couronne et ta récompense ?’ »
Il a dit : « Une couronne ? Une récompense ? Ne m’en parlez pas. Je n’en ai pas besoin. Laissez-moi tout simplement me tenir là et Le regarder pendant mille ans ; c’est ça ma couronne et ma récompense. »
23 C’est ce que, à mon avis, nous pensons tous cet après-midi. Peu m’importent les récompenses. Peu m’importe que j’aie une cabane ou peu importe ce que j’ai. Laissez-moi simplement Le regarder, Lui l’Invisible ici aujourd’hui, et tout le reste de la vie va… Tout le reste semble très insignifiant quand je pense qu’un jour, je Le verrai.
24 Dans notre église, nous chantions un ancien cantique :
C’est ce que nous pensons cet après-midi. Le motif de ma présence ici à Chicago cet après-midi, et dans cette réunion, c’est d’essayer d’amener mes frères ici… après avoir su que Sa Présence est ici, c’est d’essayer de les amener à croire en Lui.
25 Eh bien, je souhaiterais être un puissant prédicateur, peut-être comme frère Jaggers, ou frère Roberts, ou Billy Graham, ou l’un de ces hommes. Ils prêchent leurs sermons, rentrent chez eux et c’est fini. Moi, je ne le peux pas, je ne suis pas un prédicateur. Je… Tout ce que je peux faire… Dieu m’a donné quelque chose d'autre avec lequel gagner Ses enfants, pour Lui, et c’est de prier pour eux.
26 J’ai de la considération pour mes frères. Oh ! combien j’honore et j’ai de l’estime pour frère Roberts, Billy Graham, des hommes de ce calibre-là qui sortent et gagnent des âmes pour Christ. Je–je les apprécie vraiment ; ce sont des serviteurs de Dieu et je les aime. Frère Jaggers, frère Coe, tous ces frères qui ont ces grands ministères, mon coeur… je prie constamment pour eux.
L’autre jour, quand j’ai appris que notre frère Billy Graham avait connu une insuffisance rénale et qu’il était alité à l’hôpital ou quelque chose comme ça en Allemagne, et… ?... courage… Il a dit : « Je prêcherai même si on doit m’amener sur des brancards. »
J’ai arrêté mon véhicule. Je conduisais sur la route, j’ai arrêté mon véhicule et j’ai dit : « Dieu bien-aimé, débarrasse cet homme de cela, afin qu’il puisse aller là. Il est Ton serviteur, il est là fournissant des efforts… nous formons tous un grand groupe des croyants protestants. L’union fait la force et nous devons nous tenir ensemble dans la puissance de la résurrection de notre Seigneur Jésus-Christ.
27 Nous pouvons être en désaccord. Billy peut dire : « Moi, je ne… Frère Branham, je ne crois pas à ta guérison divine. » Il peut le dire. Cela ne pourrait pas m’amener à le sous-estimer le moins du monde. Il est malgré tout mon frère. C’est vrai. D’autres frères peuvent dire : « Frère Branham, je suis en désaccord avec vous. » Cela ne change rien. Nous cherchons tous à voir Son beau visage. Et nous sommes des humains, nous pouvons être en désaccord.
Si–si j’allais acheter un véhicule cet après-midi, je pourrais acheter un véhicule différent de celui que Billy Graham achèterait. Il pourrait défendre son véhicule, et moi, je pourrais défendre le mien, mais tous deux, nous serons dans des véhicules ; c’est tout ce qui importe. Je pense donc que c’est pareil tant que nous sommes en Christ. Amen. C’est tout… ?...
28 Maintenant… juste… Je vous ai gardés pendant très longtemps hier après-midi et j’ai prêché hier soir, et je pense que vous commencez un peu à vous fatiguer de cela. Ainsi… beaucoup de ma part. Ainsi, ce soir, nous allons essayer d’écourter cela autant que possible. Et je venais de lire les Ecritures ici. Toute la matinée, nous étions très, très occupés. Frère Moore, l’organisateur ici, sait cela, que nous avons été très occupés à faire des enregistrements et tout, à tenir des réunions, de petites conférences et autres.
Ainsi donc, nous avions eu juste un peu de temps, peut-être dix minutes pour prendre la Bible, parcourir la Bible et dire : « Seigneur, quel passage utiliserai-je pour parler à ces gens cet après-midi ? » Et alors, je ne savais pas lequel après que j’étais arrivé ici. Ainsi, j’ai simplement ouvert ma Bible ici, j’avais cet oeillet ici sur un–un–un sujet ici, dans la Bible. C’était soit Jésus calmant les eaux…
29 J’ai une ancienne petite Bible Scofield qui m’a été donnée il y a plusieurs années, et il y a ici Le Fou de Gadara. Eh bien, je peux parler de l’un de ces sujets, selon que le Seigneur voudra que je parle. Ainsi, nous allons lire quelque chose sur Le Fou de Gadara, juste pour quelques instants et voir ce que le Seigneur voudra que nous sachions là. Marc 11… Marc, chapitre 5. Ils arrivèrent sur l’autre bord de la mer, dans le pays des Gadaréniens. Aussitôt que Jésus fut hors de la barque, il vint au devant de lui un homme, sortant des sépulcres, et possédé d’un esprit impur. Cet homme avait sa demeure dans les sépulcres, et personne ne pouvait plus le lier, même avec une chaîne. Car souvent il avait eu les fers aux pieds et avait été lié de chaînes, mais il avait rompu les chaînes et brisé les fers, et personne n’avait la force de le dompter. Il était sans cesse, nuit et jour, dans les sépulcres… sur la montagne, criant, et se meurtrissant avec des pierres. Ayant vu Jésus de loin, il accourut, se prosterna devant lui (c’était étrange, n’est-ce pas ?) , il accourut et se prosterna devant lui et s’écria d’une voix forte : Qu’y a-t-il entre moi et toi… Fils du Dieu Très-Haut ? Je t’en conjure au Nom de Dieu, ne me tourmente pas. Car Jésus lui disait : Sors de cet homme, esprit impur ! Et il lui demanda : Quel est ton nom ? Légion est mon nom, lui répondit-il, car nous sommes plusieurs. Et il le priait instamment de ne pas les envoyer hors du pays. Il y avait là, vers la montagne, un grand troupeau de pourceaux qui paissaient. Et les démons le cherchèrent… le prièrent, disant : Envoie-nous dans ces pourceaux, afin que nous entrions en eux. Maintenant, puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la lecture de cette Parole. Inclinons simplement la tête pendant que nous prions.
30 Notre Bienveillant Père céleste, nous Te remercions cet après-midi pour la miséricorde. Nous Te remercions de ce que Jésus, Ton Fils, nous a rachetés du péché et de ce que nous sommes maintenant Tes enfants. Et nous prions que Tes bénédictions reposent sur nous. Pardonne-nous nos péchés. Plusieurs sont assis ici, Père, peut-être qu’ils viennent d’arriver aujourd’hui. Certains parmi eux sont à l’article de la mort. S’ils ne peuvent pas venir à Toi, ils périront ici sur terre.
Et, Père, nous avons besoin d’eux. Ce sont des croyants. Et je prie que quelque chose puisse être dit dans la lecture de cette Parole, ou que quelque chose puisse être dit par Ton serviteur, qui les amènera à avoir foi dans les souffrances et la mort que notre Seigneur Jésus-Christ a endurées à notre place, Lui qui les a rachetés de cette maladie. Et puisse celle-ci être une soirée glorieuse ou un jour de service.
31 Et accorde-nous ce soir une abondante effusion, au-delà de toute mesure. Puisse la puissance de Dieu être ici pour amener les aveugles à voir une fois de plus, les sourds à entendre, les muets à parler, les estropiés à marcher. Seigneur, nous Te prions de Te manifester à nous de façon glorieuse. Et aime-nous, prends soin de nous, Père. Car nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.
Maintenant, j’aimerais bien penser au Seigneur Jésus. Chaque fois, j’aime mettre tout l’accent possible sur Jésus. Il n’y a pas longtemps, quelqu’un a dit, c’était là dans l’Illinois, une autre ville, il a dit : « Frère Branham, vous parlez trop de Jésus. Vous Le vantez trop. »
J’ai dit : « Eh bien, Il mérite toute la louange possible de ma part, ou de la part de n’importe qui d’autre. »
Il a dit : « Eh bien, vous ne faites–vous ne faites… Pourquoi ne parlez-vous pas de ces autres personnages de la Bible ? »
J’ai dit : « Il est pratiquement l’Unique au sujet de Qui je sais quoi que ce soit, c’est–c’est Lui.»
32 J’aime vraiment parler de Lui, et je crois en Lui. Et en ce jour-ci où beaucoup de gens pensent qu’Il était juste un–un Homme de bien… Certains parmi eux ont dit : « Eh bien, donc, Il n’est qu’un Homme. » Eh bien, j’avoue qu’Il était un Homme, mais Il était plus qu’un homme.
D’autres ont dit : « Eh bien, Il était un–Il était un prophète. » Oui, c’est vrai, mais Il était plus qu’un prophète. Et Il était Dieu. Jésus-Christ était Dieu manifesté dans la chair. Jéhovah Dieu, Son Père, avait couvert la vierge Marie de Son ombre et Il avait formé en elle une cellule de Sang qui est devenue le Fils, Christ Jésus.
Et lors du baptême… Il a vécu comme un homme jusqu’à ce qu’Il fût baptisé par Jean au Jourdain. Et aussitôt après Son baptême, Jean rendit témoignage qu’il a vu le Saint-Esprit venir du Ciel, descendre en Lui et aller sur Lui.
Et avant ce temps-là, Jean avait entendu une Voix dans le désert lui dire : « Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est Celui-là qui baptisera du Saint-Esprit et du feu. »
Et quand Jésus était sur terre, Il a dit : « Je ne fais rien de Moi-même, ce n’est pas Moi, c’est Mon Père qui habite en Moi qui agit. » Voyez ? Eh bien, la Bible dit : « Dieu le Père était en Christ, le Fils, réconciliant le monde avec Lui-même. » Voyez ? Ainsi, Il était plus qu’un homme. Il était un Dieu Homme. Il n’était pas un Dieu homme, le Dieu Homme.
33 Il était Dieu fait chair pour ôter le péché. C’est l’unique moyen possible. Dieu devait souffrir. Et Dieu ne pouvait pas endurer la peine de Son propre jugement s’Il n’avait pas été fait chair. En effet, Dieu est immortel. Il est Esprit. Jésus a dit dans Saint Jean, chapitre 4 : « Dieu est Esprit et ceux qui L’adorent doivent L’adorer en Esprit et en Vérité. »
Et un esprit ne peut pas endurer la sentence de mort prononcée par l’Esprit. Et l’Esprit n’a pas envoyé un prophète prendre Sa place. L’Esprit n’a pas envoyé un homme de bien prendre Sa place. L’Esprit est venu Lui-même dans la chair pour prendre Sa place. C’est vrai. Dieu a pris la place du pécheur et Il est mort à sa place.
34 Et si je prévoyais une peine contre quiconque ici regarderait cette Lumière-là, et que quelqu’un la regardait, et si je ne voulais pas que cette personne-là meure, et que je voulais la racheter, je ne pourrais pas demander à mon cher ami, frère Moore, de prendre la place de cette personne-là. Je ne pourrais pas demander à frère Joseph de prendre sa place. Et je serais injuste si je demandais à mon garçon assis ici, Billy Paul, de prendre sa place.
L’unique moyen pour moi de faire cela avec justice, c’est de prendre moi-même sa place. C’est l’unique moyen pour moi de pouvoir m’y prendre et être juste. Et Dieu est juste. Alors, Dieu est descendu, Il s’est formé un corps, Il s’est formé Lui-même un tabernacle et… dont Il a été formé « Mais le Très Haut n’habite pas dans ce qui est fait de main d’homme, mais Tu m’as formé un corps. » C’est vrai.
35 Dieu s’est formé Lui-même un corps dans lequel Il a habité. Et ce corps était Son propre Fils, Christ Jésus. « Dieu habitait en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. » Nul n’a vu le Père, à aucun moment, mais le Fils unique L’a manifesté. » Est-ce vrai ? C’est merveilleux.
Et aujourd’hui… Eh bien, je sais que certains parmi vous, les bien-aimés de la science chrétienne, vous seriez en désaccord là-dessus, mais Lui, et uniquement par ce moyen-là, par l’offrande du Sang de Jésus-Christ, que l’homme est sauvé et guéri ; c’est l’unique moyen par lequel cela peut se faire, mes amis. Et Jésus, quand Il était ici sur terre, Il était le modèle de ce que Dieu sera quand Il reviendra dans Son Fils, Christ Jésus, quand Jésus reviendra.
36 Le Saint-Esprit est maintenant ici sur terre, mais Jésus-Christ est assis au Ciel, à la droite de la Majesté divine, au-dessus de tous les anges, des archanges et de tous. Il a reçu un Nom que porte toute la famille au Ciel et sur la terre. C’est vrai. C’est là notre Seigneur Jésus-Christ. Ainsi, je crois absolument en Lui.
Une dame, une dame de la science chrétienne, m’a dit, la même dame qui me parlait, elle a dit : « Frère Branham, a-t-elle dit, vous dites que Jésus était si grand et tout, comme ça. » Elle a dit : « Nous… Il n’était pas plus qu’un homme. »
J’ai dit : « Si. »
Elle a dit : « Je vais vous le prouver par la Bible, qu’Il était juste un homme. »
J’ai dit : « Oh, assurément. »
Elle a dit : « Si je vous prouve qu’Il n’était qu’un homme, allez-vous accepter cela ? »
J’ai dit : « Oui, madame. »
37 « Eh bien, a-t-elle dit, dans Saint Jean, chapitre 11, quand Jésus se dirigeait vers la tombe de Lazare, la Bible dit : ‘Il pleura.’ Un immortel ne peut pas pleurer. Il n’était pas Dieu, parce que Dieu ne peut pas pleurer. »
Et j’ai dit : « Madame, votre argument est plus mince et plus faible qu’un bouillon fait à base de la silhouette d’un poulet qui… [Espace vide sur la bande–N.D.E.] mort. Vous n’avez absolument rien du tout là. » J’ai dit : « Cela–cela n’a rien à faire. » J’ai dit : « Il était un homme, mais Il était le Dieu Homme. » J’ai dit : « C’est la vérité, lorsqu’Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, Il pleurait. Il pleurait comme un homme en se dirigeant vers la tombe de Lazare, mais quand Il s’est tenu là et qu’Il a dit : ‘Lazare, sors,’ là, c’était plus qu’un homme. » Absolument.
38 Un homme qui était mort depuis quatre jour, les vers de son corps rampaient en lui, il gisait là dans la tombe, pourrissant… un… le… Eh bien, la corruption a reconnu son Maître, l’âme a reconnu son Créateur. Et un homme mort depuis quatre jours s’est tenu debout à Sa Voix. Ça, c’était plus qu’un homme. Absolument.
Il était un homme quand Il était là dans cette petite barque (nous allons en parler dans quelques minutes), là, sous cet orage cette nuit-là, comme un petit bouchon de liège. Dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer cette nuit-là. Eh bien, Il était juste un Homme, fatigué, couché là, dans cette barque, et les vagues Le ballottaient.
39 Là, c’était un Homme qui était couché là, endormi au point que même les vagues ne pouvaient pas Le réveiller. Il était fatigué, physiquement épuisé. Là, c’était un Homme. Mais quand Il s’est réveillé, qu’Il s’est avancé, qu’Il a placé Son pied sur le bastingage de la barque, qu’Il a levé les yeux et a dit : « Silence, tais-toi. »… et que de puissants orages ont replié leurs ailes et sont retournés au fond de la mer, celle-ci s’est calmée et a bercé la barque pour dormir là. Là, c’était plus qu’un homme. Oui. Là, c’était plus qu’un homme.
Il était un Homme quand Il descendait de la montagne ce matin-là, cherchant dans l’arbre quelque chose à manger, comme cela. Là, c’était un homme. Il avait un estomac comme nous. Il avait de l’appétit comme nous. Là, c’était un Homme qui éprouvait la faim, qui avait besoin de quelque chose à manger, qui cherchait quelque chose dans un arbre. Là, c’était un Homme. Mais quand Il prit cinq petits pains et qu’Il nourrit cinq mille personnes, là, c’était plus qu’un Homme. C’est vrai, n’est-ce pas ? C’était Dieu dans Son Fils.
40 Il était un Homme quand Il mourait au Calvaire comme un sacrifice, saignant, le Sang jaillissant de Lui comme un mortel, Sa barbe toute couverte de crachats. C’était un homme en disgrâce, suspendu là dans la honte, prenant notre place. Il était un Homme alors qu’Il éprouvait tellement de douleur qu’Il s’écria : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné ? » Là, c’était un Homme, mais quand Il ressuscita le matin de Pâques, Il prouva qu’Il était plus qu’un homme. » Assurément. C’était Dieu qui L’avait ressuscité le matin de Pâques. Oui, oui. Il était le Dieu homme. Il l’était assurément. Il allait çà et là faisant le bien, revêtu de la forme d’un paysan.
Il n’était jamais venu comme un roi ou un potentat. Il est né, Il est entré par la porte de l’étable et Il est sorti par la peine capitale. Il était là, humble, doux, simple. Il est entré dans le monde avec sur Lui une mauvaise réputation comme quoi c’était un Enfant illégitime. C’est vrai. On Lui en a collé de toutes sortes. Il était un fanatique. Il fut traité de Béelzebul, de prince des démons et de tout. Pourtant Il était humble, doux, Il n’a pas ouvert la bouche.
41 Il était tout déterminé à accomplir la volonté du Père, et c’est ce qu’Il a fait. C’est vrai. Et Il a accompli l’oeuvre. Et puis, vous et moi, nous allons être taxés de saints exaltés, de fanatiques, de fous, de tout le reste. Nous allons être taxés de tout ce à quoi on peut penser.
Mais nous avons un seul motif, c’est d’être déterminés à accomplir la volonté du Père et à nous y accrocher. C’est vrai. Que le monde dise ce qu’il veut, c’est son affaire. Mais nous avons une seule chose à faire, c’est obéir à Dieu.
Certaines personnes disaient : « Eh bien, Frère Branham, c’est du diable. » Peu m’importe combien ils… ?... Ils disaient que Jésus était du diable. Ils disaient qu’Il était Béelzebul. Cela ne me dérange pas. Ils peuvent dire tout ce qu’ils veulent. Ils disent : « Eh bien, qu’attendez-vous ici ? Ne voulez-vous pas venir ici ? Ne voulez-vous pas aller là ? »
J’attends de découvrir où Dieu veut que je sois et alors, j’irai faire cela. C’est vrai. C’est la meilleure façon de m’y prendre.
42 Nous Le voyons ici donc, on ne l’a jamais retrouvé quelque part, errant çà et là pour du non-sens et tout. Il était toujours occupé à faire la volonté du Père, occupé aux des affaires du Père. Et je Le vois ici cette nuit-là traversant la mer. Et oh ! la la ! les vagues mugissaient. Et pourquoi cet Homme courait-Il un tel risque après avoir enseigné toute la journée et guéri les malades ?
Nous Le trouvons maintenant là, dans une petite barque, traversant la mer. C’est parce que là, sur l’autre territoire, à Gadara, une seule âme Le réclamait. Pensez-y ! Traverser la mer sous un violent orage ! Braver ces périls dangereux comme Il les affrontait cette nuit-là, pour sauver une seule âme et guérir une seule personne. Il a quitté un rivage du lac sous l’orage, toute la nuit jusqu’au lendemain, affrontant cette grande marrée cette nuit-là, pour guérir une seule personne.
43 Et voici ce que je dirai, mon frère, Il descendrait de la Gloire cet après-midi pour libérer n’importe qui. C’est vrai. Il bravera chaque église, chaque critique et tout le reste, chaque fanatique et tout le reste, pour venir auprès de vous, vous guérir cet après-midi, vous rétablir. Vous le croyez, n’est-ce pas ? Absolument.
Qu’Il trouve simplement un seul coeur sincère dans lequel Il peut entrer, c’est… Il viendra à n’importe quel moment, à n’importe quelle heure de la nuit. Je suis si reconnaissant de ce que nous avons un médecin qui viendra n’importe quand. Oh ! J’en suis si heureux, de savoir qu’Il est mon Refuge et ma Force, un secours qui ne manque jamais en temps de détresse.
Je me souviens qu’il y a quelque temps, comme vous le savez tous, je suis plutôt un homme de la nature. J’aime aller en plein air, dans les collines, contempler, faire la chasse et tout le reste. Ce n’est pas tellement pour chasser du gibier, mais juste pour me retrouver en plein air, dans des montagnes. Je me souviens avoir été… Je pensais être un véritable homme de bois. Personne… Mon grand-père était mi-Indien et il habitait dans les bois, alors je me disais : « Eh bien, je suis comme mon grand-père; il… Eh bien, on ne peut m’égarer nulle part. J’ai assez de flair pour savoir exactement où je me trouve en tout temps.
44 Dieu doit parfois vous désarçonner pour vous amener à reconnaître que vous ne savez pas. Il nous faut compter sur Lui. Alors, un jour, là loin au sommet d’Adirondaque… Je venais de prendre… mon petit garçon Billy, qui est là derrière, était alors un tout petit garçon. Nous étions là dans une petite et vieille cabane. Le garde forestier n’était pas encore venu. Nous allions chasser l’ours. J’avais dit à ma femme, je lui avais dit : « Il y a un troupeau de cerfs qui passe ici dans ces Géants… » J’avais dit : « J’aimerais y aller aujourd’hui. »
Je suis allé là, et l’orage a éclaté. Vous savez, dans les Etats de la Nouvelle Angleterre, quand l’orage éclate, il y a du brouillard et on n’arrivera pas à voir quoi que ce soit. Et je… je venais de tirer une biche, et je remontais. Alors, j’ai dit : « Eh bien, je vais remonter pour rentrer auprès de ma femme. » En effet, je lui avais dit que je serais de retour à 14h.
45 Je progressais, je suis monté sur une petite branche comme cela, en progressant. Je continuais à marcher, à marcher. Je me disais : « Eh bien, dis donc, je ferais mieux de me diriger là pour prendre un virage dans quelques instants. » Et il m’est arrivé de lever les yeux et j’étais une fois de plus retourné à ma biche. Eh bien, je me suis dit : « Comment ai-je manqué cela ? » J’ai repris la marche, j’ai marché pendant environ trente ou quarante minutes et je suis retourné une fois de plus à ma biche.
Eh bien, les Indiens appellent cela la marche de la mort. Vous tournez en rond, mais vous ne savez pas où vous êtes. Et le brouillard était si bas qu’on n’avait pas de repères ni rien. Et alors, j’ai vu que j’étais cuit. Alors, j’ai dit : « Eh bien, je dois encore faire un tour. » Je me suis dit : « Quand je venais, le vent me soufflait en face, alors, je ferais peut-être mieux d’avoir le vent droit en face et prendre cette direction-ci. »
46 Alors, je me suis engagé dans cette direction-là, et je me disais : « Oh !... » Je continuais à aller… Je, c’est à peine si je pouvais voir aussi loin que ce mur-là. Et ces arbres très élancés oscillaient. Et je me suis dit : « Que puis-je faire ? » Et je me suis engagé dans cette direction, et je me suis dit : « Vous savez, ma femme est jeune, et elle est dans une cabane, et la température est pratiquement à zéro, avec mon petit garçon, ils vont geler à mort ce soir. Elle aurait une peur bleue de se retrouver dans cette région sauvage, à environ 25 miles [40 km] de toute route ou tout. »
J’ai dit : « Cela l’effraierait à mort de se retrouver seule ici; en effet, il y avait un lion de montagne que nous avions vu par là ce matin, et elle en aurait peur. » Alors, j’ai dit : « Je ne sais quoi faire. » Et je continuais à progresser, j’ai vu que j’étais tout embrouillé. Je ne savais où aller. Et je continuais à entendre Quelque chose me dire à l’oreille : « Je suis l’Eternel, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. »
47 Et j’ai dit : « Ecoute ça, William Branham, eh bien, tu–tu sais plus–plus au sujet de bois que ça pour être donc nerveux. » Eh bien, je… Beaucoup de gens meurent chaque année comme ça, ils attrapent la fièvre et puis, ils meurent quand ils se perdent. Et j’ai dit : « Eh bien, tu sais plus au sujet de bois que ça. »
Et quelque chose continuait à me dire : « Cet enfant va périr, cette femme va périr ; et tu périras ici dans ces bois. » Eh bien, si c’était dans des circonstances ordinaires (sans ma femme), je me serais trouvé un endroit, j’aurais allumé un feu, j’aurais attendu un ou deux jours que l’orage passe, et j’en serais sorti. »
Mais alors, avec une femme dans le bois, et un–un enfant là, je ne savais donc simplement pas quoi faire. Ainsi, j’ai continué à marcher et j’ai entendu une Voix dire : « Je suis l’Eternel, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. » Alors, j’ai simplement posé mon vieux fusil contre un arbre ; j’ai ôté mon chapeau et je l’ai déposé par terre. Et j’ai levé les yeux, j’ai dit : « Père céleste, je ne suis pas un homme de bois. » J’ai dit : « Je me trompais. Et, Seigneur, je ne peux–je ne peux rien faire sans Toi. Et je suis perdu, totalement perdu. »
48 Et vous ne savez pas quel sentiment on éprouve à moins d’être une fois perdu. Et j’ai dit : « Oh ! je suis perdu, Père. Je sais que je ne suis pas sur la bonne voie. Je ne sais quelle voie suivre. Et il n’y a qu’une seule voie que je sais suivre, c’est celle du Ciel, regarder à Toi, Seigneur, et Te demander de m’aider à sortir d’ici. Je ne mérite pas de vivre ; mais mon enfant et ma femme, j’aimerais qu’ils vivent, Seigneur. »
Et j’ai dit : « Je Te prie de m’aider à sortir d’ici, je T’en supplie, Père. » Et je me suis relevé et je pleurais un peu, j’ai pris mon chapeau et je l’ai secoué. Il y avait un peu d’humidité par terre, un peu de neige. Et je l’ai remis sur la tête ; j’ai pris mon fusil. J’ai dit : « Eh bien, au mieux de ma connaissance, c’est cette voie que je dois suivre. » Alors, je me suis engagé dans cette voie-là une fois de plus, j’ai senti une main se poser sur mon épaule.
49 Alors, je me suis retourné pour regarder, et juste au moment où je regardais, j’ai vu la montagne Hurricane dans cette direction-ci. J’allais exactement dans le sens contraire, droit vers le Canada, tout droit comme ça. Alors, je me suis tenu là, j’ai arrêté mon parcours comme ceci. Et je me suis dit : « Oh ! merci, Seigneur. » Pendant environ les trois ou quatre heures qui ont suivi, je suis monté dans cette direction-là, sans du tout m’en écarter, veillant, me dirigeant tout droit, autant que possible, vers ce lieu-là, continuant ma course. Et alors, je savais que j’étais au sommet de la montagne Hurricane, la tour était là. Et le garde forestier allait là à chaque automne, et je l’avais aidé à installer des lignes téléphoniques, mais les lignes n’étaient pas encore là. Et je savais qu’il y avait une ligne téléphonique là quelque part. Et je pensais, j’avais mes mains levées dans le noir, en marchant, comme ça, sachant qu’il y avait une ligne téléphonique, à deux fils électriques, que je pouvais toucher quelque part. Alors, je marchais, les mains en l’air.
50 Je me suis dit : « Si seulement je touchais cette ligne téléphonique-là ! » Puis, je me suis arrêté, j’ai regardé là loin en arrière, c’était sombre, il y avait de la neige et le vent soufflait. Et je me suis dit : « Oui, c’est exact, je suis sur la bonne voie maintenant. » Je me suis dit : « C’est ça. Un jour, j’étais perdu dans le péché. C’est exact. Et quand j’ai levé les yeux une fois, alors que j’allais dans la mauvaise direction, une main m’a pointé le Calvaire. »
Et je poursuivis ma course comme cela. Et alors, je marchais les mains levées, en disant : « Seigneur Jésus, me disais-je, il n’y a qu’une seule chose que je puisse faire. Si je ne touche pas cette ligne téléphonique-là, je serai toujours… ma famille périra cette nuit. Et pourtant, je fais de mon mieux pour y aller.» Je me suis dit : « Seigneur, c’est vrai, laisse-moi aussi toucher la ligne de la vie alors que je progresse. »
51 Et peu après, mes mains ont touché quelque chose. J’ai saisi cela, c’était la ligne téléphonique. Je pouvais tenir cette ligne téléphonique, descendre directement la montagne, et ils étaient juste au bout de cette ligne téléphonique, à environ cinq miles [8 km] au pied de la montagne. Je me suis dit : « Oh ! la la ! » Quand j’ai tenu cette ligne téléphonique dans mes mains, je me suis réjoui ; j’ai crié ; j’ai loué le Seigneur.
Je me suis dit : « Oh ! quel merveilleux sentiment de savoir que je tiens dans ma main cette ligne téléphonique. » Je me suis dit : « Juste au bout de cette ligne téléphonique attendent mes bien-aimés. » Je me suis dit : « Oh ! Gloire ! C’est bien. J’ai la Ligne de la Vie ici dans mon coeur. Au bout de cette Ligne attendent mon Sauveur et tous ceux qui me sont chers, ils attendent là quelque part. »
Et aujourd’hui, si vous éprouvez ce sentiment, mes amis, si vous n’êtes jamais né de nouveau, gardez vos mains levées jusqu’à ce que vous touchiez la Ligne de la Vie ; alors, accrochez-vous-Y jusqu’à ce que vous atteigniez la Gloire. Oui, Il est réel.
52 Et je Le vois à Son service alors qu’Il est ballotté là sur cette petite mer drôle. Et une seule âme était dans le besoin là. Il ne nous est point rapporté que quelqu’un d’autre ait été assisté dans le territoire de Gadara, à part ce seul fou. Le pauvre homme, je pense à lui là dans–dans cette condition-là, peut-être qu’autrefois il était un bon citoyen, un homme de bien.
Présentons cela un petit moment sous forme de scène, ce qui concerne son caractère. Je peux me le représenter un homme bien. Mais, tout d’un coup, vous savez, un groupe de gens est venu et l’a amené à s’éloigner de l’église, ou plutôt l’a amené à s’éloigner de Dieu. La chose suivante, vous savez, le diable l’avait eu à la prochaine étape ; il s’est mis à boire. Un verre, un démon. Il a simplement continué, rétrogradant, s’éloignant.
53 Et peu après, le diable l’a rendu fou. Et cet homme s’est retrouvé là. Il a dû devenir un personnage terrible. Il vivait là dans ces endroits raboteux. On le liait avec des chaînes. Il avait deux fois sa force normale. Il pouvait briser ces petites chaînes et–et s’en allait juste comme si rien ne le retenait. Même si la–l’armée, ou–ou les officiers le liaient, il brisait simplement cela et continuait. Il était très rude…
Ce n’était pas sa force humaine ; c’était la force des démons qui faisait cela. Et le démon est puissant, mais Dieu est plus puissant. Et je me suis dit : « Si un homme complètement livré au diable a deux ou trois fois sa force normale, que ferait un homme couché là, si faible qu’il ne peut se lever, ou si estropié qu’il ne peut se lever, que ferait-il quand la force et la puissance de Dieu l’envahissent ? » Combien plus puissante est la force de Dieu par rapport à celle du diable.
54 Je pense à notre soeur qui se tient ici, souffrant de hanche, sur cette béquille, quelle puissance Dieu peut vous donner pour vous lever avec force et foi, déposer la béquille et vous en aller, marchant sans cela ? Vous voyez ? Quand l’onction du Saint-Esprit entre là, la force…
J’ai vu cette petite Georgie Carter, alors que ses petits membres n’étaient même pas plus grands qu’une manche à balai. Alors qu’elle était alitée là neuf ans et huit mois, elle ne pouvait pas… on devait placer une alaise sous elle ; on ne pouvait même pas placer un bassin hygiénique sous elle. Et quand la puissance de Dieu s’est saisie de cette jeune fille, elle est sortie de là et a couru s’asseoir à l’orgue et a joué : Jésus, garde-moi près de la croix. C’est vrai.
55 Elle vit aujourd’hui neuf ans après, oui, dix ans, onze ans maintenant. Onze ans, et elle n’a plus jamais été au lit, si ce n’est qu’y aller la nuit pour dormir. Elle était alitée là neuf ans et demi, elle avait été abandonnée par tous les médecins et tout, condamnée à vivre toujours avec cette tuberculose de gorge qui s’était généralisée jusque dans les glandes féminines. Elle était là.
Certains ont demandé : « Comment a-t-elle marché, Frère Branham ? »
J’ai dit : « C’est la puissance du Dieu vivant qui l’a relevée. Elle s’est simplement soumise à la puissance de Dieu.»
C’est ça le problème, mes amis. Le soir, chaque fois que vous me voyez en vision, moi votre frère, ce n’est rien d’autre au monde que le fait pour moi de me soumettre au Saint-Esprit. Vous qui êtes malades, vous pouvez vous soumettre vous-même au Saint-Esprit si complètement que vous oublierez votre maladie.
56 Vous pouvez complètement vous soumettre au Saint-Esprit, et aucune affliction ne pourra vous retenir. Vous marchez par la puissance du Saint-Esprit. Vous êtes en bon état ; vous donnez votre témoignage, et tout le reste. Vous êtes guéri par la puissance du Saint-Esprit.
Vous qui êtes pécheur, qui peut-être buvez, fumez, jouez à l’argent et faites des choses semblables, vous diriez : « Je n’arrive pas à renoncer à cela, Frère Branham. »
Si, vous le pouvez. Soumettez-vous simplement une fois à Dieu, abandonnez-vous entièrement à Dieu et voyez ce qui arrive. C’est tout. Il n’y a pas de secret là. Ce n’est pas une supercherie. Tout ce qu’il y a, c’est se soumettre à Dieu. Amen. Voilà, et alors c’est –alors, ce n’est plus vous, c’est le Seigneur. C’est le Seigneur qui accomplit cela après ça. N’êtes-vous pas heureux de ce que nous avons cette opportunité aujourd’hui pour cela ?
57 Quand on voit ce pauvre vieil homme là, Légion, peut-être que de temps en temps, il recouvrait le bon sens, alors il se regardait et disait : « Qu’est-ce que je fais ici ? Que–que… » Regardez. Il avait des chaînes sur lui et tout comme cela, et son corps était tout meurtri. Alors, le diable lui faisait piquer une crise et c’en était fait de lui. Peut-être qu’il recouvrait encore son bon sens et disait : « J’ai une femme et des enfants quelque part. »
Et tout d’un coup, vous savez, le diable lui faisait piquer une autre crise, et c’en était fait de lui. Et il commettait des meurtres, s’il lui arrivait d’attraper des gens. Il ne savait pas qu’il faisait cela ; c’était le démon qui le faisait. C’est vrai.
58 Nous remarquons donc que Jésus, sachant, peut-être, par une vision que cet homme était là, Il a traversé la mer. Comme ils atteignaient l’autre rivage, la petite barque s’est arrêtée et a commencé à s’enfoncer là dans les saules, sur l’autre rivage de la mer. Eh bien, ils sont sortis du bateau, de la barque, ils se sont mis en marche. Et cet homme est sorti du cimetière. Les tombes, regardez où le diable le faisait traîner, au cimetière.
C’est un… oh ! c’est un bon endroit où on trouve le plus souvent le démon, au lieu des morts. C’est pratiquement pareil aujourd’hui, c’est la même chose. Il traîne là où il y a des morts. Quelqu’un qui est mort dans le péché et les offenses, qui ne croit pas dans la puissance de la résurrection du Seigneur, c’est un bon endroit où les démons traînent le plus souvent. Amen. C’est vrai.
59 Si vous voulez savoir la vérité, certaines de ces vieilles églises froides et formalistes, qui ont l’apparence de la piété et qui en renient ce qui en fait la force, sont un véritable repaire des démons. C’est vrai. Là où on dit : « Oh ! Tout cela c’est de l’émotion, tout cela c’est mental. C’est de la psychologie. »
Oh ! la la ! certains démons ne vous amènent pas à vous meurtrir; certains sont tout aussi habiles et raffinés au possible. Amen. Ils sont érudits. Ne pensez pas qu’ils ne le sont pas. Oh ! vous direz : « Frère Branham, vous êtes… »
Oh ! non, je ne le suis pas, je suis dans les Ecritures. Ce souverain sacrificateur et tous ces Juifs de l’époque qui rejetaient Jésus-Christ, c’étaient des érudits raffinés de la Bible. Alléluia ! Ce même démon religieux entre dans les gens aujourd’hui. Quelqu’un qui ose se moquer du baptême du Saint-Esprit ou du parler en langues…
60 Je–je ne suis pas un débatteur ni un querelleur, mais je lui ai assurément forcé la main là-dessus l’autre jour. Il a écrit une brochure intitulée Jibber-Jabbers, Tongue Talkers [Les bafouilleurs, parleurs en langues.] Et j’ai dit : « C’est du pur blasphème. » Absolument, blasphémer contre le Saint-Esprit… Il a osé dire que–que personne… Il a dit : « Jean-Baptiste a reçu le Saint-Esprit et il n’avait pas parlé en langues. Et beaucoup de ces gens, Zacharie et les autres, avaient reçu le Saint-Esprit, et tout comme ça, et il n’est jamais dit quoi que ce soit sur les langues. »
J’ai dit : « C’était avant que le Saint-Esprit ait été donc donné. » Oui, oui.
Il a dit : « Eh bien, il est dit qu’ils avaient le… »
J’ai dit : « Eh bien, il n’est pas dit qu’ils avaient le baptême du Saint-Esprit. »
61 Adam avait le Saint-Esprit potentiellement. C’est vrai. Tous les prophètes, comme ils étaient mus par le Saint-Esprit. Mais le… Saint Jean dit que–que le Saint-Esprit n’était pas encore venu, car Jésus n’avait pas encore été glorifié. C’est vrai.
Et j’ai dit… Eh bien, il a dit : « Ils n’avaient jamais parlé en langues. »
J’ai dit : « Il n’y a eu qu’un parmi eux qui avait parlé en langues. »
Il a dit : « Jésus a reçu le Saint-Esprit, Il n’a jamais parlé en langues. »
62 J’ai dit : « Pourquoi ? Il était le Saint-Esprit. » Amen. J’ai dit : « Il avait parlé en langues. » Amen. J’ai dit : « Jean ne l’a pas fait, parce que jamais il… il est mort avant la dispensation, ainsi que Zacharie et les autres, à ce que nous sachions. Mais Jésus a parlé en langues parce qu’Il était le Saint-Esprit. » C’est tout à fait vrai.
Quand Il est allé ressusciter la fille de Jaïrus, regardez-Le là. Tous disaient : « Eh bien, voici venir ce saint exalté. Voici ce fanatique. »
Il a dit : « La jeune fille dort ; elle n’est pas morte. »
Ils ont dit : « Ecoutez donc ce radical. »
63 Alors, Il les a tous fait sortir. Et là, dehors il y avait… Pourquoi le Saint-Esprit parle ? C’est quand vous êtes en difficulté, quand l’église est en difficulté, c’est alors qu’un message est apporté pour redresser la chose.
Remarquez, et alors, Jésus, là, alors que tous dehors se moquaient de Lui et tout, alors Lui, possédé par une puissance, a parlé dans une autre langue et a parlé dans le monde des esprits, Il a fait revenir l’esprit de la jeune fille morte en parlant en langues.
Et quand Il était sur la croix, abandonné de Ses disciples, abandonné de Son Eglise, abandonné de Son peuple, abandonné… Il était abandonné de Dieu et des hommes, suspendu sur la croix, Il est mort en parlant en langues. C’est vrai. Frère, ne taxez pas cela de Jibber-Jabber.
64 En parlant de ces pentecôtistes, il a dit : « Ils n’observent jamais le sabbat. » Il a dit : « Les femmes se coupent les cheveux. » Evidemment, c’était un pèlerin de la sainteté. Alors, il a dit : « Les femmes se coupent les cheveux et portent des bijoux aux doigts. » Je le sais, et c’est une honte. Mon vieux, cela n’a pas été bien accueilli. Je l’ai ressenti. Mais c’est la vérité. C’est vrai.
Assurément, vous devenez tout aussi formalistes et impies que les autres. C’est l’exacte vérité. Nous avons laissé tomber les barrières. Nous ne pensons pas du tout à ces choses. Mais, frère, je vais vous le dire, c’est une honte qu’on ait cessé de prêcher cela du haut de la chaire. C’est vrai.
Eh bien, ils étaient là, comme cela, et il a fait… J’ai dit : « Oui, et je montre autant de pèlerins de la sainteté qui agissent de même. »
Il a dit : « Ils travaillent le dimanche, ils font… Ils tondent la pelouse le dimanche et tout. »
65 J’ai dit : « Les pèlerins de la sainteté font de même, si vous voulez poser d’autres questions ou débattre sur les autres églises. » Mais j’ai dit : « Ecoutez ça, frère, premièrement, vous ne savez même pas ce qu’est le sabbat. »
«Oh ! a-t-il dit, c’est le dimanche. »
J’ai dit : « C’est ça ? »
Il a dit : « Je pense donc que vous êtes un adventiste du septième jour. »
66 J’ai dit : « Absolument pas. Mais vous ne savez pas ce qu’est le sabbat. Permettez-moi de vous montrer ce qu’est le sabbat. » J’ai dit : « Esaïe 28.18, il… Le prophète dit que toutes les tables du Seigneur étaient pleines de vomissements, comme aujourd’hui. Il dit : ‘A qui pourrais-je donner des leçons ? A qui pourrais-je donner la sagesse ?’ » Il a dit : « Ça doit être précepte sur précepte, règle sur règle, un peu ici, un peu là ; retenez ce qui est bon. Car c’est par des hommes aux lèvres balbutiantes et au langage barbare que je parlerai à ce peuple. Et voici le repos dont j’ai dit qu’ils devraient entendre. »
J’ai dit : « Et vous critiquez la chose même que vous pensez que nous, nous n’observons pas. » Alléluia. C’est vrai. J’ai dit : « Frère, ne vous en faites pas. » Nos voiles sont tournés vers le Calvaire, et le vent du Saint-Esprit souffle en plein sur cela. » J’ai dit : « C’est vrai. » J’ai dit : « C’est ça le repos ; c’est ça l’observance du sabbat. »
67 Jésus a dit : « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés et Je vous donnerai du repos pour vos âmes. » Et Esaïe a dit que le repos, c’était par des lèvres balbutiantes et en d’autres langues qu’Il parlerait à ce peuple. Et c’est ça l’observance du sabbat.
Qu’en est-il donc ? Comment est-ce ? Où cela a-t-il donc été changé ou quoi que ce soit d’autre ? Jésus a confirmé la même déclaration. Paul, dans Hébreux, chapitre 4, a confirmé la même déclaration. Il a dit : « Dieu a parlé quelque part ainsi du septième jour. Il a de nouveau fixé un autre jour, disant, si longtemps après, dans David : ‘Si vous entendez Ma voix, n’endurcissez pas votre coeur.’ »
68 C’est vrai. L’entrée du Saint-Esprit… Il a dit : « Car nous, qui avons le Saint-Esprit, avons… Quand nous avons reçu Christ dans notre coeur, nous avons cessé avec nos oeuvres, de même que Dieu avait cessé avec les Siennes et s’était reposé le septième jour. » C’est exact. Vous y êtes. C’est ça la véritable observance du sabbat. Voyez-vous ce que je veux dire ? C’est quand le Saint-Esprit entre que Dieu vous donne le sceau de votre foi.
Eh bien, toutes ces choses sont… Probablement que ce pauvre homme avait été critiqué et tout. Alors Jésus s’est avancé, et lui était là, se meurtrissant, se tordant et faisant des histoires. Jésus, le voyant dans cette condition-là, aussitôt que Jésus s’était mis à s’avancer vers lui, l’homme a voulu se faire très religieux. C’est ainsi que le démon agit.
69 Le démon est religieux au possible, malin, érudit, raffiné, mais cependant, il ne sait pas plus au sujet de Dieu qu’un lapin au sujet de raquettes. Alors, Il s’est avancé là, il s’est approché comme ça, il s’est prosterné et a adoré Jésus, ce fou-là. Eh bien, vous direz : « Serait-ce là un démon ? » Eh bien, Judas est même venu et L’a embrassé, donc il L’a trahi par un baiser.
Les esprits religieux, certainement qu’ils le sont. Quelqu’un a dit : « Eh bien… » Plus loin dans ses écrits, ce gars a dit : « Eh bien, les esprits religieux, a-t-il dit, ne vous approchez pas de ces pentecôtistes. » Il a dit : « Si vous le faites, cet esprit viendra sur vous. » Il a dit : « C’est du diable. » Ne vous mettez pas… C’est vrai.
70 Ecoutez. Il a dit : « La Bible dit, a-t-il dit, il y a eu… N’ajoutez pas foi à tout esprit, mais éprouvez-les pour voir s’ils sont de–de Dieu. » C’est exactement ce que la Bible dit. Et Jésus a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Voyez si c’est vrai ou pas, éprouvez cela par l’Esprit. Assurément.
Et l’esprit religieux, dans chaque âge, a toujours été un esprit qui nie. Les esprits démoniaques qui sont religieux ont renié le véritable Esprit authentique. Et chaque fois que l’Esprit de Dieu vient, les signes et les prodiges accompagnent l’Esprit.
Considérez jadis, quand Caïn a adoré. Il avait l’apparence de la piété. Il a dressé un autel, il a bâti une église, il a tout bâti aussi religieusement qu’Ad… qu’Abel. Mais regardez, voici un petit quelque chose… je suis hors de mon sujet ; je n’ai pas de toute façon l’intention de garder ça.
71 Ecoutez donc, à l’époque de Caïn et Abel, remarquez, Caïn était tout aussi religieux qu’Abel. Et remarquez, quand il a adoré, il avait bâti ses autels, il les avait embellis juste comme une grande et belle église. Il–il n’était pas un incroyant ; il s’est prosterné et a adoré. Et Dieu l’a carrément rejeté.
Si Dieu est juste et que tout ce qu’Il exige, c’est la foi en Lui, si tout ce que Dieu exige, c’est la foi, le sacrifice, la qualité de membre d’église, Dieu serait injuste pour avoir condamné ce garçon-là. Car il était absolument un croyant en Dieu. Il avait confessé la même chose en public, il était un croyant en Dieu.
Il avait construit une église pour le Seigneur, un autel ; il avait apporté ses fruits, il avait embelli cela, il avait offert un sacrifice, il s’était acquitté de ses obligations, et il avait adoré le Seigneur. Frère, c’est un très bon membre d’église, là, aujourd’hui. Est-ce vrai ? Mais Dieu l’a rejeté.
72 Mais écoutez, voilà venir Abel, pas avec les oeuvres. Il avait enroulé un petit chanvre au cou d’une pauvre brebis, il vient en tirant celle-ci, il l’a jetée sur l’autel, s’est mis à lui donner les coups à la gorge et il l’a tuée. Pourquoi ? Abel avait eu une révélation. Nous laissons cela pénétrer juste une minute.
C’était la révélation qu’Abel avait eue qui avait fait de lui un juste. Il avait eu la révélation de ce que le Dieu Tout-Puissant exigeait, alors il a apporté un agneau. C’est l’unique moyen pour vous de jamais voir la guérison divine, le baptême du Saint-Esprit, c’est par la révélation.
Quand ils descendaient de la montagne… Voilà, je vais le prouver. Ils descendaient de la montagne et Jésus a demandé : « Qui dit-on que Je suis ? »
Eh bien, certains disaient : « Tu es Elie. »
D’autres disaient : « Eh bien, Tu es l’un des prophètes. » Juste comme on essaye de coller aujourd’hui le manteau d’Elie et tout, toutes ces choses, vous savez. Ils avaient les mêmes esprits en ce jour-là ; ils sont encore vivants aujourd’hui.
73 Certains disent : « Tu es Elie. » D’autres disent : «Tu es le prophète. » D’autres disent : « Tu es ceci ou cela, ou ceci cela. »
Il a dit : « Mais qui dites-vous que Je suis ? »
Pierre a dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »
Il a dit : « Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car ce n’est pas le séminaire qui t’a révélé cela. Ni les théolo… théologiens ne t’ont jamais révélé cela. Ce n’est pas la chair et le sang qui te l’ont révélé, mais c’est Mon Père qui est au Ciel. Et sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle. »
Qu’est-ce ? La révélation de Dieu. Vous y êtes. Le… Dieu révèle la vérité au pécheur par l’Esprit. « Sur cette pierre (la révélation spirituelle de Dieu) Je bâtirai Mon Eglise et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle. » Donc, vous pouvez combattre les saints exaltés, comme vous les appelez, tout ce que vous voulez, l’Eglise de Dieu prévaudra droit... ira droit de l’avant jusqu’à la fin de temps. Oui, oui.
74 Ils auront toujours des guérisons, des signes et des prodiges ; Dieu a travaillé avec eux au cours de l’âge. Référez-vous au passé et voyez ce que les pharisiens avaient fait, ils avaient combattu cela. Vous voyez où ils ont fini. Ne vous joignez pas à ce même groupe, vous feriez mieux d’aller ici. Vous voyez où le reli… Oh ! ils avaient des érudits ; ils avaient de bons pasteurs. Ils avaient des hommes intelligents, instruits et tout. Ils avaient tout ce dont ils avaient besoin en ce jour-là, une érudition qui dépasse ce que nous avons aujourd’hui. L’homme devait même être très saint. Il devait naître dans une certaine tribu sinon il ne pouvait même pas devenir prédicateur. Ils avaient tout comme cela, et cependant, quand ils sont venus, Jésus a dit : « Vous avez un démon. » Il a dit : « Vous êtes de votre père, le diable. » Est-ce vrai ? Oui, oui, des érudits raffinés… Ainsi donc, les esprits religieux, au lieu de faire–d’amener un homme à se meurtrir, à devenir fou, il peut aussi devenir érudit raffiné.
Considérez le diable quand il a rencontré Jésus. Il a dit : « Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent du pain. »
Jésus a dit : « Il est écrit : L’homme ne vivra pas de pain seulement. »
75 Il L’a amené en haut et a dit : « Oh ! il veut donc faire l’érudit avec moi, hein ! Je vais aussi Lui exhiber mon diplôme. » Alors, il l’a amené au sommet du temple, il a dit : « Il est écrit : Il donnera des ordres à Ses anges, à… sujet, ils Te porteront sur les mains, de peur que Ton pied ne heurte une pierre. »
Jésus a dit : « Il est aussi écrit. » Amen. Oui, oui. Très bien, vous y êtes. Voyez-vous combien le diable est habile et érudit ? Un esprit religieux, mais voici l’unique moyen pour vous de discerner cela. L’unique moyen… Quand Balaam est allé maudire Israël, quand il a offert un sacrifice, il avait bâti sept autels. C’était exactement ce qu’on avait là en bas, chez les saints exaltés, les Israéliens. C’étaient des saints exaltés.
76 Vous direz : « Voulez-vous me dire que les Israéliens étaient des saints exaltés ? » Exactement comme on en a aujourd’hui. C’est ce même Esprit qui se transmet depuis Abel. C’est le même esprit depuis Caïn. Exactement le même. Regardez. Lorsqu’ils sont arrivés là, on les a taxés de saints exaltés.
Eh bien, quand ils… les… Dieu avait accompli un miracle, Il avait ouvert la mer Rouge et les avait fait passer, Moïse chantait dans l’Esprit. Alors, Miriam s’était emparée d’un tambourin, elle avait parcouru le rivage en dansant et les filles d’Israël l’avaient suivie, dansant dans l’Esprit. Si ce n’était pas là une bande de saints exaltés, je n’en ai jamais vu une. C’est vrai.
Et j’aimerais vous encourager un peu : Ils étaient aussi des interdénominationnels. Oui, ils l’étaient. Ils étaient interdénominationnels. Amen. Ils étaient interdénominationnels ; en effet, ils ne formaient même pas une nation. Eh bien, là se trouvaient leurs frères, tout aussi fondamentalistes qu’eux.
77 Le fils… La fille de Lot avait enfanté des enfants, c’étaient les enfants de–de Moab, c’est de là que descendaient les Moabites. Ils descendaient de là. Ils avaient là un prédicateur, un–un prophète, un érudit, Balak. Alors, il est allé là et le Seigneur a cherché à lui montrer que le parler en langues était correct. Il a dû le lui exprimer par un mulet, mais Il l’a de toute façon exprimé par là, pour lui montrer qu’il était en erreur dans sa doctrine.
Mais le voilà partir malgré tout. Donc, il est passé outre cela. Et quand il y est arrivé, il a dit : « Eh bien, je vais vous dire quoi, a-t-il dit, Jéhovah exige sept autels. » Il est donc allé bâtir sept autels. Il a dit : « Eh bien, voyons, Il doit avoir sept sacrifices purs, sept taureaux. »
78 Eh bien, il a dit : « Il me faut sept béliers parce qu’Il enverra Son Fils, Christ Jésus, un jour ; ces béliers devaient L’annoncer. Alors, il y a placé les sept béliers, exactement le même sacrifice que ces saints exaltés offraient. Voyez ? Là, en bas… il a dit : « Eh bien, ils ne sont même pas une dénomination. Regardez-les. Eh bien, nous, nous formons une nation, mais pas eux. Ils habitent sous ten... tente. Eh bien, regardez-les. »
Alors, il a dit : « Regardez combien ils sont sales et crapuleux. Regardez combien ils sont viles. » Mais il manquait de voir cette Colonne de Feu qui était suspendue au-dessus d’eux. Cela lui était caché. Il ne voyait pas ça. Oh ! Alléluia ! Vous allez me taxer de saint exalté de toute façon. J’en suis un.
Ecoutez, et il a dit… écoutez, il ne voyait pas cela. Mais il s’est dit : « Eh bien, je suis fondamentaliste. Je sais donc que je suis fondamentaliste, alors je vais offrir ces sacrifices ; c’est ce que Jéhovah a ordonné. Et je vais maudire ce peuple qui est là, c’est tout… faisant toutes ces histoires et tenant toutes ces réunions de guérison et autres. »
79 Réunions de guérison ? Assurément qu’ils en avaient. Moïse avait élevé un serpent d’airain, tout celui qui tombait malade, et qui allait regarder cela était guéri. Est-ce vrai ? Ils avaient toutes sortes de signes et de prodiges. Et c’est ce qui faisait d’eux ce qu’ils étaient. C’était la confirmation que Dieu était avec eux, des signes et des prodiges qui les accompagnaient.
Il a dit : « J’irai là les maudire. » Donc, fondamentalement parlant, il était tout aussi fondamentaliste que les autres. Et alors, il a offert ce grand sacrifice, il a fait venir tous les docteurs en théologie. Ils se sont tenus là, les princes du pays, autour des sacrifices qui couvaient sous la cendre, il a dit : « Grand Jéhovah, maintenant, descends. Tu sais quel genre de peuple nous sommes, nous sommes des érudits, nous formons une grande nation, et, nous sommes un grand peuple. Nous avons de grandes églises ; nous avons de grandes choses par ici. Et il y a là cette racaille qui passe par ici, maudis-les simplement, Seigneur. Ne permets pas que cette doctrine se répande ici dans cette ville. Nous n’aurons rien à faire avec », comme ça. « Oh ! arrête cela, Grand Jéhovah. » Et il a dit : « Maintenant, prophète, avance-toi et prophétise. »
Balaam a dit : « Un instant, je vais le faire. » Et il s’est éloigné.
80 Dieu l’a rencontré là, Il a dit : « Pourquoi ne viens-tu pas par ici voir cette petite partie ? Il t’a juste montré la partie la plus mauvaise de cela. Rentre parler, mais ne dis que ce que Je place dans ta bouche. »
Il a dit : « Oui, Seigneur. » Il est rentré là en courant aussitôt qu’il avait terminé. Il a dit : « Tu es béni, ô Israël. Tes tentes sont bénies. Combien elles sont bien dressées. » Il a dit : « Je te vois depuis le sommet de la colline, je n’aperçois pas d’iniquité en toi. » Alléluia ! Voilà, une bande de fous, comme on les appellerait, une bande de saints exaltés.
Qu’est-ce que c’était différent ! Fondamentalement parlant, ce groupe sur le flanc de la colline était tout aussi fondamentaliste que celui en bas dans la vallée. Mais la différence, c’était que Dieu confirmait ceux-là avec des signes et des prodiges qui les accompagnaient.
Et Paul a dit : « Dans les derniers jours, ils seront emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir et ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force ; éloigne-toi de ces hommes. »
81 Jésus a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. En Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents, s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. »
Oh ! mes frères, mes soeurs, soyez encouragés, redressez-vous. Nous nous approchons de quelque chose. Vous entendrez le bruit d’une pluie abondante. Car l’un de ces jours, les rideaux seront tirés depuis le ciel, et Dieu déversera Son Esprit sans mesure sur ce groupe de gens qui ont combattu pour gagner le prix et qui ont navigué dans les mers de sang. Et quelle rencontre nous aurons ! Oui, oui.
82 Ce sont eux qui sont des démons religieux, et puis, ils osent dire que c’est nous qui sommes des démons. Dieu a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils auront des doctorats en théologie. » Pouvez-vous vous représenter la Bible dire cela ? « Ils sortiront des séminaires ; ils auront des manières très religieuses, ils s’avanceront vers leurs églises en manteau à longue queue et diront si merveilleusement amen. » Ils répètent tout ceci : « Ils diront deux Je vous salue Marie, ou ils feront ceci ou cela. » Pareille chose n’a jamais existé. Ils construiront d’imposants lieux d’adoration. Ils raffineront les autels. Ils auront des docteurs, diplômés, qui parlent un anglais de très haut niveau, très correct, et avec des mots très raffinés. Ils auront de beaux ceci ou de beaux cela. » C’est ce que le monde dit aujourd’hui.
Mais la Bible dit… Jésus Lui-même a dit : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru jusqu’à la fin du monde. En Mon Nom, ils chasseront les démons. » Alléluia ! C’est ça l’Eglise évangélique. Et on se moquera d’Elle. On la pointera de doigt pour se moquer d’Elle. Mais Il a dit : « Ne craignez point. » Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. » Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
83 Et nous vivons en un jour où les bombes atomiques sont suspendues là, et tout le reste. Alléluia ! Je suis heureux aujourd’hui d’être scellé dans le Royaume de Dieu par le Saint-Esprit, avec des signes, des prodiges et une confirmation que nous avons une maison sur ce Rocher. Ne voyez-vous pas ? Amen.
Alors, vos qualificatifs... Ils taxent cela de démons parce qu’ils ne savent pas ce que sont les démons. C’est ce que ces pharisiens avaient fait, à leur tour, ils taxaient Jésus de démon parce qu’Il chassait les mauvais esprits et guérissait les malades. Jésus a dit que vous blasphémez parce que vous avez dit : « Il a un démon. » Lorsqu’il guérissait les malades, Il a dit : « Comment Satan peut-il chasser Satan ? Si Satan chasse Satan, son royaume est divisé. »
84 Il a dit : « Si Moi, Je chasse Satan, nous sommes censés savoir que c’est par le doigt de Dieu. » Le doigt de Dieu. Combien faible est le diable devant Dieu donc. Rien de plus, Son doigt. Il faut juste Son doigt et Il le chasse. C’est tout ce que Dieu utilise pour chasser un démon. C’est vrai.
Il a dit : « Je chasse les démons par le doigt de Dieu. » Oh! la! la ! Il se sert juste de Son doigt et dit : « Va-t’en, démon. » C’est tout ce qu’il y a. C’est tout. Amen. Le chasser par le doigt de Dieu. Oh ! la la ! Juste un doigt de Dieu… Mais c’est tout ce que ça représente devant Dieu, se servir juste de Son doigt et terrasser un démon. C’est tout aussi facile.
85 Mais remarquez , quand il est allé à la recherche de la brebis perdue, ce n’était pas Son doigt ; Il a pris la brebis perdue et Il l’a placée sur Ses épaules. Alléluia ! Oh ! combien Il prend soin d’une brebis perdue, l’une qui s’est égarée dans certains de ces endroits impies et formalistes, là dans le désert et la région sauvage. Il va la prendre, Il la place sur Son épaule, la remplit du Saint-Esprit et Il la renvoie dans la bergerie.
Le diable ne représente pas plus aux yeux de Jésus ; Il le chasse juste avec Son doigt, et Il va de l’avant. Mais pour la brebis perdue, Il va à sa recherche et Il la dépose sur Son épaule, Il lui tient les pattes comme ceci. Et la partie la plus forte d’un homme, ce sont ses épaules. Vous savez cela. Il la dépose sur Son cou et sur Ses épaules, et Il vient, en la transportant à travers les régions sauvages.
86 Frère, un pauvre petit agneau porté là a regardé tout autour et a fait : « Ah, ah, ah, ah, ah. » Je peux me représenter ce petit agneau, l’entendre chanter :
Grâce étonnante, oh ! quel doux son,
Qui sauva un vil comme moi ! »
Autrefois j’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé,
J’étais aveugle, mais maintenant je vois
Porté juste sur les épaules du Maître, entrant directement dans la bergerie… Oh ! il peut alors chanter Grâce étonnante, n’est-ce pas ? C’est vrai. Oui, oui, Le Maître le porte sur Ses épaules.
87 Maintenant, nous remarquons donc ici que notre personnage, quant à lui, était un démon religieux, tout à fait, car il a couru, il s’est prosterné et a adoré Jésus. Or, vous, vous direz : « Si j’adore Jésus, je suis en ordre. » Un instant! Ce démon a adoré Jésus, assurément. Il L’a confessé publiquement, disant : « Je sais qui Tu es. Je témoignerai de Toi que Tu es le Fils de Dieu, le Fils du Dieu très haut. »
Et observez, Il a donné le–l’ordre à Jésus, disant : « Je T’adjure. » C’est le démon qui dit ça. Observez certains de ces gars qui aiment parler de la guérison divine. Il a dit : « Oh ! par le Dieu vivant, je sais ces choses. » Voyez ? « Je T’adjure, par le Dieu vivant, de ne pas me tourmenter. »Vous y êtes.
88 Jésus lui avait dit : « Sors de lui, (c’est ça) toi, esprit impie. » Maintenant, regardez, le démon lui avait trouvé une bonne église où il se sentait chez lui. Alors, il ne voulait pas quitter cette contrée. C’était un bon endroit où rester. Il aimait traîner là. Donc, il lui avait trouvé un bon endroit où il se sentait chez lui, il y était établi. Alors, il ne voulait simplement pas quitter cet endroit-là.
Et c’est ainsi avec les démons : Une fois qu’ils sont établis dans un groupe de gens, ils ne veulent pas quitter. C’est vrai. Oh ! Ils sont têtus. Ils disent : « Eh bien, je ne crois pas dans la guérison divine. Je ne crois pas dans ce genre de bêtises. Assurément pas, c’est un démon qui vous fait faire cela.
89 Non, il ne voulait pas quitter. Il a dit : « Nous allons… » Et il a dit : « Il ne voulait pas quitter, a-t-il dit…
Et alors, Jésus a dit : « Sors de lui. »
90 Eh bien, il a dit : « Maintenant, si moi, je dois sortir, laisse-moi aller là dans ce troupeau de pourceaux. » Oh! la la ! Et alors, ils sont allés entrer dans ce troupeau de pourceaux. Et, regardez, il y avait deux mille démons dans un homme. Pensez-y, deux mille démons dans un seul homme.
Les pourceaux sont descendus de la colline en courant. Ils avaient un bon sens meilleur que celui de beaucoup de gens. Un homme qui est plein de démons, qui va à l’église et dit : « Eh bien, je sais tout ce qu’il en est. » Mais le pourceau avait eu assez de considération pour descendre s’étouffer dans la mer, se noyer. Le pourceau est descendu en courant, il s’est jeté dans la mer, et s’est étouffé (c’est bien.) pour ne pas faire obstacle au Seigneur.
91 Les pourceaux ne voulaient pas faire obstacle. Beaucoup de gens veulent faire obstacle au Seigneur. Et vous savez quoi ? Ces démons, en faisant cela, voulaient rester sur ce territoire-là. Et ces gens, lorsqu’ils sont venus… Regardez les gens. Lorsqu’ils sont venus, quand cette nouvelle s’est répandue, que cet homme avait retrouvé son bon sens… Oh ! la la ! La Bible dit que cet homme avait retrouvé son bon sens.
Je vous assure, lorsque vous recevez le baptême du Saint-Esprit et que Christ est en vous, vous retrouvez votre bon sens. Il avait retrouvé son bon sens pour adorer. Regardez là où il en était alors. Il était assis aux pieds de Jésus. Alléluia ! Quelle magnifique place où s’asseoir, vêtu–vêtu, avec son bon sens, assis aux pieds de Jésus, adorant (Alléluia !), parce qu’Il avait chassé les démons.
92 Il a dit : « Eh bien, ce que J’ai fait, vous pouvez aussi le faire. » C’est dommage que l’Eglise n’occupe pas Sa position en Christ Jésus. Oui, oui. Et puis, voici venir tous les membres de l’église là-bas. Ils sont venus et ont dit : « Où sont nos pourceaux ? » Eh bien, ils avaient tous eu assez de considération pour aller se noyer.
Et ils ont dit : « Quittez notre territoire. Si c’est cela le prix que ça va nous coûter, nous n’avons pas besoin d’un tel réveil, qui va nous coûter tout cet argent. »
Lorsque j’arriverai dans la Gloire, j’aimerais voir combien… quel impact ce témoignage avait sur l’élevage des pourceaux, lorsque j’arriverai dans la Gloire. Je m’imagine qu’il avait taillé en pièces ces éleveurs des pourceaux (oui, oui) lorsqu’il était revenu là. Et il était là, dans son bon sens. Et les gens de ce territoire se sentaient plus à l’aise avec des pourceaux et des démons qu’avec l’aimable Jésus. Ils L’ont forcé à quitter le territoire. Ils se sentaient plus à l’aise, plus en paix avec des démons et des pourceaux.
93 Et vous savez, c’est pareil aujourd’hui. Si un homme pense qu’il va avoir assez de religion pour crier, l’une ou l’autre chose, avoir à donner un peu d’argent à l’église ou un petit quelque chose comme cela, ou peut-être confesser sa foi, se lever et rendre gloire à Dieu, ou parler en langues, il ferait mieux de ne jamais entendre parler de la religion.
Ils se sentent plus à l’aise avec le diable et son argent qu’avec l’aimable Jésus-Christ, le baptême du Saint-Esprit, et des signes et des prodiges qui accompagnent. Amen. Fiou ! Oh ! la la ! Je me sens religieux. Oui, oui. Oh ! Alléluia ! Je suis content de me débarrasser de cette histoire. Gloire à Dieu ! Donnez-moi Christ. Amen.
Que je me revête de la pensée de L’adorer. L’adorer comment ? En Esprit et en vérité. Amen. Seigneur, si je vais là, et que je sois en train de parler au président des Etats-Unis, si le Seigneur vient sur moi, je vais donc crier : « Alléluia ! » Cela m’importe peu, assurément pas.
94 J’étais là à Gary, dans l’Indiana, il y a quelque temps; il y avait l’une de ces immenses aciéries là, qui fabrique tous ces aciers. Et on me la faisait visiter. Un homme a dit : «Bon, docteur Branham, a-t-il dit, je vais vous montrer comment ceci a été fait. » Il m’a amené là-haut, dans un très grand bâtiment, là-haut. J’ai vu une espèce de poste de surveillance et je… un petit coup de sifflet a retenti, et tout le monde a arrêté de travailler.
Et on a pris un petit balai, on a balayé comme cela au milieu de l’allée. J’ai demandé : « Pourquoi font-ils cela ? »
95 Il a dit : « Je vais vous montrer quelque chose dans quelques minutes. » Alors, on a balayé tous les copeaux qui étaient dans l’allée. Et puis, un autre petit coup de sifflet avait retenti, et ils sont tous partis. Il a appuyé sur un petit bouton, et voici venir un immense aimant est descendu en vrombissant sans cesse comme cela, et il a balayé l’allée. Et pendant qu’il parcourait cette allée comme cela, tous ces copeaux pratiquement ont sauté pour s’attacher droit à cet aimant, cet homme est allé là et il les a démagnétisés, il les a jetés dans un cubilot pour qu’ils soient remoulus. Il a dit : « Comment trouvez-vous ça ? »
J’ai dit : « Alléluia ! Alléluia ! »
Il dit : « Qu’y a-t-il ? »
«Oh ! ai-je dit, je viens de penser à quelque chose.»
Il a dit : «Absolument, oui.»
J’ai dit : « J’ai eu une pensée. »
Il a dit : « De quoi parlez-vous ? »
96 J’ai dit : « Je pense au grand Aimant qui est là dans la Gloire. Alléluia ! L’un de ces jours, me disais-je. Je L’entends pratiquement venir maintenant. » Et Il va descendre et ce pauvre corps frêle, Il va le prendre et l’amener là pour lui donner une forme. » Alléluia ! Oui, oui.
Et j’ai dit : « J’aimerais vous poser une question, monsieur. » J’ai dit : « Pourquoi tous ces copeaux ne sont-ils pas partis ? »
Il a dit : « Certains sont en aluminium, ils ne sont pas magnétisés vis-à-vis de l’aimant. »
J’ai dit : « Alléluia ! » J’ai demandé : « Pourquoi ce morceau de fer n’est pas parti, il est donc resté là ? »
Il a répondu : « Vous voyez, cela est condamné au sol par un boulon. » J’ai dit : « Alléluia ! » C’est vrai.
97 Frère, je suis content de me débarrasser de chaque chaîne, de chaque prestige et de tout ce qu’on a. Soyez dégagé en Christ Jésus, soyez né de nouveau, rempli du Saint-Esprit, aimanté par Sa puissance (Alléluia !) de telle manière que lorsqu’Il viendra, j’irai avec Lui.
J’aimerais dire comme Paul : « Je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, de telle manière que lorsqu’Il appellera d’entre les morts, j’en sortirai. Laissant ces choses derrière, je cours vers le but de la vocation céleste en Christ », laissant le monde derrière moi, laissant leurs théologies derrière. Je vois Christ, et Lui seul. Amen. Je regarde droit vers le Calvaire et je continue à marcher.
On dit : « Hein, savez-vous que Billy Branham est un saint exalté ? » Je n’entends même pas ça ; je continue simplement à marcher. C’est ça. Je cours vers le but de la vocation céleste. On dit : « Vous savez, je pense que ce gars est un médium.» Ça ne me dérange pas du tout. Je continue simplement d’avancer.
Je sais en qui j’ai cru. Je suis persuadé qu’Il est capable de garder ce que je Lui ai confié pour ce jour-là. » Alléluia ! Continuez simplement d’avancer.
98 Oui, ces gens là-bas, ils se sentaient plus à l’aise avec tous ces pourceaux, ils avaient leurs pourceaux et leurs porcheries là, ils avaient des démons tout autour d’eux et tout comme cela ; ils se sentaient plus à l’aise qu’en étant avec Jésus.
Eh bien, allez dans une grande église formaliste aujourd’hui, que deux ou trois personnes y entrent et se mettent à louer Dieu, à crier et à agir comme cela, peut-être que quelqu’un donne un message en langues ou quelqu’un est guéri par la puissance de Dieu, ou Dieu donne une vision, eh bien, ils vont simplement geler à mort. « Oh ! la la ! Je–je ne voudrais pas me retrouver à côté de quelque chose comme cela. » Voyez ? Plus à l’aise avec les démons (C’est vrai.) qu’avec l’aimable Jésus.
Vous leur prêchez comme ça, ils restent simplement assis comme une excroissance d’un cornichon tout aussi aigres et froids au possible. Personne n’ose dire amen, ni rien. Ils restent simplement assis là et gèlent là. Oh ! la la ! « Je souhaiterais qu’il arrête, il a déjà fait quinze minutes là donc. Ah ! Quand va-t-il arrêter ? »
99 Oh! la la ! Votre système digestif n’est pas en ordre. C’est vrai. Frère, j’aimerais le convertir et à avoir un très grand jubilé gastronomique, n’est-ce pas ? Amen. Recevoir toute la Parole de Dieu.
L’Ange a donné à Jean la Bible, il a dit : « Mange Ça. » Jean a dit, après qu’il L’eut mangée, que c’était amer à manger, mais c’était doux dans son estomac, après que cela était entré. Alléluia ! Dites donc, quelle heure est-il ? J’ai vraiment dépassé l’heure, n’est-ce pas ? Alléluia ! Très bien.
Je peux voir Légion, après qu’Il eut retrouvé son bon sens, il était guéri ; je peux voir après, il continue à faire signe de main à Jésus. Les démons… Ces hommes étaient venus là et avaient dit : « Nous ne voulons pas de Toi par ici ; nous voulons les pourceaux. Nous préférerions avoir nos pourceaux. Nous ne voulons pas ce genre de réveil, tous ces non sens, la guérison divine. Nous savons que les jours des miracles sont passés. Cet homme est seulement travaillé par des émotions. Maintenant, quitte notre territoire. Nous ne voulons pas que cette histoire de saint exalté commence par ici. »
100 Jésus ne va pas rester ; ne vous en faites pas. Là où Il n’est pas le bienvenu, Il n’y restera pas. Il a tout simplement détourné la tête, Il s’est dirigé droit vers la barque, sans jamais leur adresser un mot. Ils avaient… Le vieux Légion a dit : « Oh ! alléluia ! Gloire au Seigneur! Ô Jésus, laisse-moi aller avec Toi. Oh ! je vais aller avec Toi. Peu m’importe ce que cette bande d’insensés dit, cela m’importe peu ; j’ai laissé chaque chaîne derrière ; laisse-moi Te suivre ; j’ai trouvé quelque chose. Laisse-moi aller avec Toi. »
Jésus s’est retourné et a dit : «Va donc raconter à tes parents ce qui t’est arrivé. » Oh! la la ! « Va donner un témoignage. »
Je me demande bien ce que cet homme a dit à ces éleveurs des pourceaux lorsqu’il est retourné. Il a continué à faire signe de main tant qu’il pouvait voir cette petite barque jusqu’à ce qu’il l’a perdue de vue. Il a dit : « Un jour, je Le reverrai. »
101 Je Le vois descendre la rue. Certains disent : « Eh bien, qui est ce pauvre gars qui passe par là ? »
Lui disait : « Gloire ! Alléluia ! »
Ils ont dit : « Ce gars est toujours fou. Le voilà passer. » Il descendait la rue, disant : « Oh ! Alléluia ! Gloire au Seigneur ! »
Eh bien, ils ont dit : « Une chose qu’il y a là, c’est qu’il porte des habits. Quelque chose lui est sûrement arrivé. »
102 Je peux le voir descendre, et voici l’histoire. Je peux le voir regarder. Eh bien, le propriétaire avait mis sa femme dehors. Il n’y avait pas… Pauvre petite créature, elle avait prié tout le temps, peut-être, pour qu’il soit guéri. Autrefois, quand il revenait, ses petits enfants, en le voyant revenir, fuyaient se cacher et tout. Sa pauvre petite femme devait se retirer parce qu’il devenait violent. Il revenait semer le désordre dans la maison.
C’est ce que fait un ivrogne ou une personne possédée de démons. Il pique l’une de ces crises et renverse tout à la maison. Vous deviez avoir honte de vous-même, en tant que membre d’église et, peut-être, membre du comité de diacres. Frère, j’aurais souhaité avoir une audience un peu plus large constituée de ces gens-là cet après-midi. C’est vrai. Oui. Etre membre du comité de diacres et agir comme cela.
Le voici arriver au… Toutefois, il arrive là, en se faufilant ; la maison est fermée. Où est la femme ? Il sort et demande à quelqu’un dans la rue, ce dernier lui dit : « Elle a été obligée d’aller là dans cette allée. »
103 Je peux le voir descendre là vers un tas de vieilles boîtes métalliques et tout, entassées, et il regarde là : une petite cabane bizarre en chaume, c’est là que sa femme était dans la cour arrière, frottant sur la planche à laver, faisant peut-être la vaisselle pour ses voisins. Ses petits enfants ont crié : « Maman, maman, le voilà venir, le voilà venir. » Ils se sont mis à fuir comme ça à toute vitesse.
Je peux l’entendre dire : « Un instant, chérie. »
Sa femme fait : « Oh ! Oh ! Oh ! »
Il dit : « Un instant, chérie, ne fuis pas. Quelque chose est arrivé. » Amen.
104 Je peux le voir entrer, regarder les manches en lambeaux de la robe de sa petite femme, regarder ses pauvres petits enfants qui se tenaient là, tremblant, et faire passer son bras autour d’eux. Je peux entendre un petit garçon dire à la petite–petite fille à côté, il dit : « Qu’est-il arrivé à papa ? » Il a dit : « Maman, maman, que–qu’est-il arrivé à papa ? »
Je peux voir les larmes lui couler sur les joues. Il fait passer ses bras autour de maman, autour de ses petits enfants, il les soulève et dit : « Bon, un instant. Je vais vous raconter ce qui est arrivé à papa. Papa est entré en contact avec Jésus. C’est ce qui est arrivé. Papa a trouvé Jésus. »
Et ce qui est arrivé à Légion en ce jour-là, arrivera aujourd’hui et à papa et à maman. Une fois que vous trouvez Jésus, vous ne serez plus jamais le même. Légion ne pouvait plus jamais être le même. Personne ne pourrait jamais être le même après avoir trouvé Jésus.
Prions.
105 Père, au Nom de Jésus, s’il y a une personne perdue ici cet après-midi, ou même un malade, qui n’est jamais entrée en contact avec Ta grande puissance de guérison, ou Ta grâce salvatrice, puisse celle-ci être l’heure même où ils entrent en contact avec Toi, notre Père céleste, que nous représentons… Et nous prions que le Seigneur Jésus étende Ses bras et bénisse tout le monde ici pour Ta gloire.
Et, Seigneur, je prie que ce soir il y ait une grande effusion de l’Esprit, ce soir, ici, que de grands signes et de grands prodiges soient accomplis. Exauce la prière de Ton serviteur, comme nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, je remets le service à frère Mattsson Boze. Et puisse le Bon Seigneur bénir chacun de vous et vous garder en bonne santé et heureux. A ce soir.
Restez bien assis une minute, jusqu’à ce que frère Boze… Que Dieu vous bénisse.
E-1 [Brother Boze speaks--Ed.]...?... Thank you. You can be seated if you will, friends. That's... Very happy to be here this afternoon to see the faces of God's children looking at me here, and to have the privilege of speaking to you again this afternoon. This is my second afternoon service that I've ever had in all the days of--of my ministry. Usually the manager and some of them have the afternoon services.
And I didn't really know I was coming to this one till just awhile ago when Brother Joseph called me. The... Mr. Moore told me, said, "Say, you know you got to preach this afternoon?"
I said, "Why, I didn't know that--just who that they'd given out."
E-2 He said, "You're given out for this afternoon, so you better get over there." So away we had to come. So I'm--I'm very happy to be here at any time that I can do something for the Lord. And I've had a little rest, so a afternoon doesn't hurt me to come out and speak.
I'm not much of a speaker, so I feel kinda a little backward of trying to do it, or trying to take one of the speakers place. But I've always called myself the spare tire. You know, when you got a flat, then you use a spare. But we haven't got no flat now. See, we--we--we got's plenty of ministers here, but I'm--they just put the spare on today, maybe again to have it.
E-3 Is that about right, Brother Ryan? I just thought it was. And so we're all one happy big group of God's children, together working. I see they got the books here and the--the picture of the Angel of the Lord. I... Folks, I am not a book salesman or a picture salesman. I don't do that. These books, we try to get them out, just as...
Well, I have never knowed of ever making a penny on the books. knowingly. Because if poor fellow come up, and he hasn't got no money, he gets a book anyhow. And he gives so many of them away. And then there's so much... You have to sell them at a close margin, and you lose a whole lot of them.
E-4 And some of them gets those, what silver fish in them and when they're setting around. Our country down there is kind of... Not this time of year, not this time anyhow, damp, but it could stand a little of that. But it's usually... We lose so many of them, till in the average you don't make on books. You can't even break even on them.
But if it wasn't for the Message that was in them, I wouldn't even have them. And we didn't sell them Sunday because I refrain from that, of selling on the Lord's Day. And I've always done that. Not as I don't say it's all right. Brother Bosworth used to get at me all the time, said, "You're selling something that might bring Eternal Life to people."
E-5 Well, I--I, that... Brother Bosworth is perhaps right. See? But it's not a superstition, but I have got by so far without it; so I don't think I have to, so I just let it go. Now, this little picture, I guess they have told you the--the write-up on it. It's in this book here, a photostatic copy of it.
And then the picture of this same Angel is in this book also. But it wasn't so authentic. It's just a newspaper reporter shot the picture of it here. If you'll notice, there's a man just about with his head down like he was blinded, like that. I was standing speaking that night, Camden, Arkansas.
A congregation just about the size of this auditorium, maybe about three thousand, something. And it was a basketball floor, like. And I think they had two or three balconies or something, or... I forget; it's been several years ago, about seven years or eight years ago when this happened.
E-6 And I was just speaking, and seeming like I couldn't get the--it over to the people about what I was talking about, about the Angel of the Lord. It was new then, the... This great move of God had just--just starting then. And the people were setting listening, and I looked; I said, "I won't have to speak any longer of It, here It comes."
And It come moving up through the building, like that, over the heads of the people. And as I stood there, it settled down, and the newspaper reporter was there taking some reports. And this Mister, minister that run up to shake my hands, he just--just caught him in that condition there. And he just bowed his head, and it just settled down like that. And the anointing had just come for discernment.
E-7 And that's where it was; you can see it. That's... I know it's in here because I have seen it several times. But it's never--never been taken by--so it would be so authentic as it is here in the picture. And the picture is not mine. It's--it belongs to the Douglas Studios of Houston, Texas, which is a member of the American Photographer Association.
And one night in a debate with a Baptist minister who had challenged me to a debate and said I wasn't nothing but a impostor and should be run out of the city, and so forth... Several thousand people gathered for the hearing. Mr. Bosworth took him up on the challenge. And after they'd got through the debate, they asked me if I would come, dismiss in prayer, and I went.
E-8 I said, "I am sorry that they debate these things. Christianity is not a debate; it's something to be lived." And I said, "I never..." The man kept calling me a healer. And I said, "I have never said I was a healer. I've never said I could heal anyone. I've always said that God is the Healer, and I'm just His servant to pray for the sick."
And I said, "I do claim a--a Divine gift from God that can understand and know things and tell me things that was and things that is to come." And I said, "That's undisputable; it can be proven anytime." See, I said, "That is undisputable. If that's what..." I said, "I only speak the truth. And anyone knows that God would never recognize an error. He will not have anything to do with an error."
And that was way back years and years ago. I said, "But if you speak the truth, God will take--will honour the truth. He said He would. And He would honour the truth." I said, "If I speak the truth, then God will speak for me."
E-9 And I no more that said that, till here He come, before many, many thousands of people. And they shot the picture of it, and there it is. And then the George J. Lacy of the fingerprint and document, one of the best in the world, taken the camera, the place and everything and day... two or three days he went through all, and seeing if it was a--a double exposure or was something... He put it through all kind of lights and treatment, so forth.
It's all in here what he done for it. And he said that the light struck the lens; the supernatural Being was there. And it's the first one in all the world that has ever been proven, absolutely scientifically proven that was a supernatural Being had--was photographed. Now, you could go to Washington, if you wish to.
E-10 Here some time ago, you all noticed they had the picture of, said was taken by someone, of Jesus holding His arms out and two planes coming over. You seen that in the paper. But the man admitted it: he painted the picture. It wasn't so. You see? And he admitted it; it was in the--the "Reader's Digest," that it wasn't so.
But this picture here, not because, dear Christian, that--that I had--I--I... It's not me. I just happened to be standing there; that was all, so... But that is the picture of a supernatural Being. And to my opinion, if you notice it's a Pillar of Fire. Go back in my books, for even years before this was testified, look back there at the time after time It appeared.
E-11 Look in the little book, the first one I written called "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever," how the big newspapers of Louisville, Kentucky, and all, said, "A mystic light appears over a local Baptist minister while baptizing."
When He stood down there and told me right there before at least ten thousand people, that this thing that was coming to pass, said, "Your ministry will be as John the Baptist was, was sent forth as a forerunner of the first coming of Christ; your ministry will be the bringing forth of the second coming of Christ."
E-12 And--and there... And I didn't even know what it was talking about, knowed nothing about it. But look at the move that's on today. See. There it's done it. How could I, a seventh grade education, illiterate, I... when I've... In them times when I would try to read the Bible, I couldn't do it. The girl that I married, my boy's mother, would set at the platform and read the Bible, my text for me, 'cause I couldn't even read the Bible (That's right.), couldn't even read It.
E-13 And I'd... I remember my first sermon. I preached on, I believe the first sermon I tried by myself was in the little local Baptist church. I preached on, I believe it was, "Samson, the Mighty Man." And I tried one by myself, and I thought, "Well, I'll just try to preach it as I bring it off." And it was John 14. And I said, "Read, honey."
She said, "Let not your hearts be troubled."
I said, "You hear what It said."
And so, said, "You believe in God, believe also in Me."
I said, "Do you do it?" Just as she... That's the way I preached my first one. Brother Ryan, you can almost remember in those days, and when it taken place. But now, I've still got a long ways yet to go, friends, but I still love the Lord Jesus. And the same Lord Jesus that appeared there on the river that day, that's His picture there. [A man gives a testimony of the Light that appeared the night before--Ed.] Yes, that's... Thank you.
Now, someone might say, "Brother Branham, do you think Brother Boze's testimony's right?"
Absolutely.
"Well then how could... I was setting here too and I didn't see it." That is true. It could be all possible that you could set right there and maybe two... one setting on either side of you could see it and you couldn't.
E-14 Look at the star that led the wise men. It come over every observatory and everything else, and no one seen it but them. It was just given for them to see it. Look at Paul when he had the vision, was knocked off of his horse, that fell off his horse or whatever, when he was on the road to Damascus. See? See, it's just given for some to see and some cannot see. That's exactly right.
So when we all get to glory, when the days are over... I'm going to make this statement. I believe it with all my heart. We're re--read in the Bible that it was a Pillar of Fire that led the children of Israel from Egypt into the promised land. Is that right? And that Pillar of Fire was the Angel of the Covenant. Is that right, teachers? And who was the Angel of the Covenant? Jesus Christ.
E-15 And He's the same then, yesterday, today, and forever. Is that right? What does it mean? He's still leading the Church. He's the Angel of the Covenant. The Covenant was written with His own Blood, and He went into the Presence of the Father packing His own Blood. Is that right?
And--and now this is the same Holy Spirit. And they said... George J. Lacy said, "It looked like an emerald light, a burning with flapping flames like that, as it whirled around and around like that. Looked like it was going in a circle a whirling around."
Now that, It looks to be about that big and probably that thick. Practically every night when I... Frankly, right now, I can tell you now that we as--as I'm preaching today to dying men as a dying man, that I... That isn't standing five feet from where I am right now. That's right.
E-16 Now, the way that it happens at night, I just submit myself to It and have a way of doing it, of submitting myself that I am no more, It is. See? I go out, It comes in. And It couldn't stay on me long, 'cause I--it would just--I don't know what would take place. But then It'll move back. I can tell It's near me, standing somewhere.
Then I'll be talking to the patient, then maybe again I feel It coming like that; It'll just move down over me. And that's when the visions are seen. Then It'll go away again. Then I--I can hear myself talking, but I don't know what I'm going to say. And I... And then that's the way it happens.
E-17 And I'm very thankful. I don't expect everybody to believe that. They wouldn't even believe the Lord Jesus, so I--I--I can't expect everybody to believe it. But I can only testify what's truth. And if I go out of this world today, Christian friends, my testimony is true.
Thousands times thousands has literally seen it with their eyes. The Church throughout the world has recognized Its ministry, not mine, Its ministry, how It's done and what It's done, blessed of the thousands, and sent men out across the world today on fire for God. That's right. It has done it.
The scientific world can't say that but what it's so. There it is right there on a--a... George J. Lacy said, after submitting the picture, he said he had oft times said that--heard of my meetings and has heard people say that, and he said it was psychology. He said, "But," when he called me up, he said, "the mechanical eye of that camera will not take psychology." That's right. The mechanical eye of the camera won't take psychology.
E-18 So the scientific world has to say it's the truth. Now, we may be a illiterate bunch of people. That's right. I am, I am I know. But here's one thing that... I--I--I'd rather have favor with God and be called a holy-roller, or fanatic, or whatever they want to call me, and have favor with God to know that He's standing here this afternoon, than all the wealth Chicago's got or all the glory that the world has got.
I'd rather be standing right here now a holding this picture and telling you what that is and know that He's standing right here within five feet of where I'm standing right now. I'd rather have this feeling and consolation that I have right now, than to be king over all the earth for a million years. That's right.
E-19 Now, I am happy. I get tired. I get physically wore out. I have difficults, things that an ordinary person doesn't have. You can imagine how Satan fights at me day and night, all the time. Cast those demons out and they haunt at you. You see? But all those things there... I have a battle that no one knows about.
But I love people. I love them with all my heart. And therefore, people know that. And I have never let my ministry get to a big place, to where it would look like it would be big. It might--it might go to my head. My ministry's been kept little. And I deal with a few people and about time the crowd gets built up, I move off somewhere else, and just go somewhere else. Because my--my whole motive is this: to please my heavenly Father. That's only thing I have to do, is to please Him.
E-20 And I--I desire the prayer of all you. That always within my own sight, Lord keep me little. See. That... it's... where I can be to where He can use me. I want to a place to where He... when the angelic beings come out together He can say, "Well, I know My servant William Branham will mind Me." That--that's what I--I want Him to do.
And then that day... I've often wondered... I'd loved to have been standing there that day when He stretched out His arms and said, "Come unto Me, all ye that labor and heavy laden, I'll give you rest." I probably never will hear that, but there's one thing I am looking to hear, someday to hear Him say, "It was well done, My good and faithful servant."
E-21 That's--that's the Voice that I long to hear. If He will only let me move into His Kingdom, and then go up close enough that I can lay my hands on His sacred feet, or something like that, that'll be all right. If I can just see Him...
Here sometime ago I was speaking at the Business Men's meeting. I believe it was right here in Chicago. And an old darkie down south by... He got saved one night. And he was out the next morning saying, "I'm free; I'm free," telling all the other slaves.
And the slaves said, "Why..." wanted to know what happened.
He said, "The Lord Jesus made me free."
And the owner of the slaves come by and said, "All right, Sambo, at your work."
He said, "Yes, master, I--I didn't mean to take any of the time."
Said, "I hear that you said you was free."
He said, "Yes, sir, master." He said, "The Lord Jesus set me free last night from the--the slave of (I mean,) the burdens of sin."
And--and he said, "Well, I want you to come by my office after while." And after a bit he came by the office. He said, "I want you to say that again. Did you tell me at that meeting last night that Jesus Christ made you free, that you was no longer a slave to sin?"
E-22 He said, "Yes, yes, boss, He did. He made me free from sin and death last night."
He said, "Then, Sambo, if Jesus Christ made you free from sin and death last night, this day I set you free from slavery (That's right.) so you can preach to your brethren."
The old man preached for many, many years. When he got ready to die as an old man, he was called in all... a lot of his white brethren come in to see him. And the old fellow had went off in a coma. And they thought that he was dead. And after while he looked around; he seen them all standing there; he greeted them all again.
And he said, "Oh, I just got inside." Said, "Why did I come back?" And said--said, "I was standing inside the door." And said, "I was standing, looking, and an Angel come up to me and said, 'Sambo, are you ready now to receive your crown and your reward?'"
He said, "Crown? Reward? Don't talk to me about crown and reward. I don't need them. Just let me stand and look at Him for a thousand years; that's my crown and reward."
E-23 That's the way I think we all feel this afternoon. I don't care about rewards. I don't care if I have a shack or what I have. Just let me see Him Who is the unseen One here today, and all the rest of life will... Everything else seems so little when I think that someday I can see Him.
E-24 In the church we used to sing an old song:
Oh, I want to see Him, look upon His face,
There to sing forever of His saving grace;
On the streets of Glory let me lift my voice;
Cares all past, home at last, ever to rejoice.
That's our feeling this afternoon. That's my motive of being here in Chicago this afternoon, and in this meeting, is to try to get my brethren out here... after knowing His Presence being here, is to try to get them to believe Him.
E-25 Now, I wished I was a forceful speaker, like maybe, Brother Jaggers, or Brother Roberts, or Billy Graham, or some of those men, where they go preach their sermon and go home and that's over. I can't; I'm not a speaker. I... The only thing that I can do... God has give me something else to win His children to Him by, and that's praying for them.
E-26 And I honour my brethren. How I honour and think of Brother Roberts, and Billy Graham, and men like that who go out and win souls for Christ. I--I just admire them; they're God's servants and I love them. Brother Jaggers, and Brother Coe, and all of those brethren who has those great ministries, my heart... I pray for them constantly.
The other day when I heard that our Brother Billy Graham had a kidney block, and was laying in the hospital or something in Germany and...?... courage... Said, "I'll preach if they have to pack me down there on a stretcher."
I stopped my car. I was driving along the road, and I stopped my car and I said, "Dear God, move it off of the man, so he can go down there. He's Your servant, and he's there trying... We're all one big realm of Protestant believers. United we stand, and we must stand together in the power of the resurrection of our Lord Jesus Christ.
E-27 We might different. Billy might say, "I don't... Brother Branham, I don't believe your Divine healing." He might. That wouldn't make me think a bit less of him. He's my brother just the same. That's right. Some of the other brothers might say, "Brother Branham, I don't agree with you." That don't make any difference. We're all trying to see His lovely face. And we're human; we might different.
If--if I was going to buy an automobile this afternoon, I might buy a different car from what Billy Graham would. He might argue his car, and I might argue mine, but we're both in cars; that's all necessary. So I think as long as we're in Christ. Amen. That's all...?...
E-28 Now... Just... I kept you so long yesterday afternoon and preached last night, and I guess you're kind of getting tired of it... so... of so much of mine. So we'll try tonight to make it just as short as possible. And I just kinda read over in the Scriptures here. All morning long we've been very, very busy. Brother Moore, the manager here knows that, that we just been very busy taking recordings and everything, and meeting, little conferences and so forth.
And now, just had a few moments time, maybe ten minutes to pick up the Bible, and look through the Bible, and say, "Lord, where would I talk to them people this afternoon?" And now, I don't know what to after I got up here. So I just opened up here, and I had this sticking here on a--a--a subject here in the Bible. It was either Jesus stilling the waters...
E-29 I got a little old Scofield Bible that was given me several years ago, and down here is the maniac of Gadara. Now, I can talk from either one of those the Lord wants me to. So we'll read something about the maniac from Gadara, just for a few moments and see what the Lord would have us to know in here. Mark the 11th, Mark the 5th chapter.
And they came over unto the other side of the sea, into the country of Gadara.
And when they were come out of the ship, immediately there met Him out of the tombs a man with an unclean spirit,
Who had his dwelling among the tombs; and no man could tame him, no, not with chains:
Because that he had been oft times bound with fetters and with chains, and chains had been plucked asunder by him, and the fetters broken in pieces: neither could any man tame him.
And always, night and day, he was in the mountain,... in the tombs, crying, and cutting himself with stones.
But when he saw Jesus far off, he ran and worshipped Him. (That was strange, wasn't it?) He ran and worshipped Him,
And cried with a loud voice, and said, What have I to do with Thee,... Thou Son of the most high God? I adjure Thee by God, that Thou torment me not.
For Jesus had said unto him, Come out of the man, thou unclean spirit.
And He asked him, What is thy name? And he answering, saying, My name is Legion: for we are many.
And he besought Him much that He would not send them away out of the country.
Now there was nigh unto the mountain a great herd of swine feeding.
And all the devils sought Him--besought Him, saying, Send us into the swine, that we may enter into them.
Now, may the Lord add His blessings to the reading of this Word. Shall we just bow our heads while we pray?
E-30 Our kind heavenly Father, we thank Thee this afternoon for mercy. We thank Thee, that Jesus, Thy Son, has redeemed us from sin and we are now Thy children. And we pray that Your blessings will be upon us. Forgive us of our sins. Many are setting here, Father, perhaps, just come in today. Some of them are in dying condition. Unless they can get to You, they will perish here on earth.
And, Father, we need them. They are believers. And I pray that something may be said in the reading of this Word, or something may be said by Thy servant, that will cause them to have faith in the vicarious suffering and death of our Lord Jesus Christ, Who redeemed them from this sickness. And may this be a great evening--or day of service.
E-31 And give us an outpouring, the exceedingly, abundantly tonight. May the power of God be here to make the blind to see again, the deaf to hear, the dumb to speak, the cripples to walk. Lord, we pray that You will manifest Yourself to us in a great way. And love us and care for us, Father. For we ask it in the Name of Thy dear Child, the Lord Jesus. Amen.
Now, I'd just like to think of the Lord Jesus. Always, I like to put all the emphasis I can on Jesus. Someone said not long ago; it was over here in Illinois, another city, said, "Brother Branham, you just say so much about Jesus. You brag so much on Him."
I said, "Well, He's worthy of all the bragging I could do, or anybody else could do."
Said, "Well, you just--you just don't... Why don't you talk about some of the other characters of the Bible?"
I said, "He's about the only One I know anything about, is-is Him."
E-32 And I just love to talk of Him, and I believe Him. And in this day when He's thought of among so many people as just a--a good Man... Some of them said, "Well now, He's just a Man." Well, I admit He was a Man. But He was more than a Man.
And some of them said, "Well, He was a--He was a prophet." Yeah, that's right, but He was more than a prophet. And He was God. Jesus Christ was God manifested in flesh. Jehovah God, His Father, overshadowed the virgin Mary and formed in her a blood cell which made the Son, Christ Jesus.
And at the baptism... He lived as a man until He was baptized by John, at Jordan. And immediately after His baptism, John bare record seeing the Holy Ghost coming from heaven and descending in him, and going upon Him.
And before that time, John heard a Voice in the wilderness that told him, "Upon whom thou shall see the Spirit descending, and remaining, that's the One that'll baptize with the Holy Ghost and fire."
And Jesus said, when He was here on earth, that, "I do nothing of Myself; it's not Me; it's My Father, and He dwelleth in Me." See? Now, the Bible said that, "God the Father was in Christ the Son, reconciling the world to Himself." See? So He was more than a Man. He was a God Man. He was not a God man, the God Man.
E-33 He was God made flesh to take away sin. That's the only way it could be. God had to suffer. And God couldn't suffer the penalty of His own judgment unless He was made flesh. Because God is immortal. He's a Spirit. Jesus said in Saint John the 4th chapter, "God is a Spirit, and they that worship Him must worship Him in Spirit, in Truth."
And a spirit could not suffer death that the spirit had pronounced. And the Spirit did not send a prophet to take Its place. The Spirit did not send a good man to take Its place. The Spirit came Itself, in flesh, to take the place of It. That's right. God taken the place of a sinner, and died in its stead.
E-34 And if I pronounced penalty upon everyone in here if they looked at that Light, and somebody looked, and I didn't want them to die and I wanted to redeem them, I could not ask my good friend Brother Moore to take the place. I could not ask Brother Joseph to take their place. And I would be unjust if I asked my boy setting there, Billy Paul, to take the place.
There's only one way I can justly do it: that's take the place myself. That's the only way I can do it and justify. And God is just. So God came down and formed a body, built it Himself, a tabernacle and... that they made Him. "But how be it, the most high dwelleth not in tabernacles made by hands, but a body has Thou prepared Me." That's right.
E-35 God made the own body that He dwelt in. And that body was His own Son, Christ Jesus. "God dwelt in Christ, reconciling the world to Himself. No man has seen the Father at any time, but the only begotten of the Son has declared Him." Is that right? That's wonderful.
And today... Now, I know some of you dear Christian Science people would disagree with that, but He, and only that, through the offering of the Blood of Jesus Christ is man saved and healed, the only way it can be done, friends. And Jesus, when He was here on earth, He was an example of what God will be when He returns in His Son, Christ Jesus, when Jesus returns.
E-36 The Holy Spirit is here now on earth, but Jesus Christ is setting at the right hand of the Majesty on high, above all Angels and Archangels and all, and has received a Name that all the family of heaven and earth is named after Him. That's right. That's our Lord Jesus Christ. So I certainly believe Him.
A lady, a Christian Science lady said to me, the same lady was talking to me; she said, "Brother Branham," said, "you say about Jesus being so great and all like that." Said, "We... He wasn't no more than just a Man."
I said, "Yes, He was."
She said, "I'll prove it to you by the Bible that He was just a man."
I said, "Oh, sure."
She said, "If I can prove to you He was only a man, will you accept it?"
I said, "Yes, ma'am."
E-37 Well, she said, "In Saint John the 11th chapter when Jesus went down to the grave of Lazarus, the Bible said, 'He wept.' And a immortal cannot weep. He wasn't God 'cause God can't cry."
And I said, "Lady, your argument is thinner and weaker than the broth made out of the shadow of a chicken that... [Blank.spot.on.tape--Ed.] to death. You just absolutely haven't got nothing at all." I said, "That--that has nothing to do." I said, "He was a man, but He was the God Man." I said, "It is the truth when He went down to the grave of Lazarus He was weeping. He wept like a man going to the grave of Lazarus, but when He stood there and said, 'Lazarus, come forth,' that was more than a man." Yes, sir.
E-38 A man had been dead four days and the skin worms crawling through his body, laying there in the grave rottening... And a... the... Why, corruption knew its master; the soul knew its Maker. And a man that had been dead four days stood on at the Voice of Him. That was more than a man. Yes, sir.
He was a man when He was out on this little boat we're going to talk about in a few minutes, out there stormed about that night like a little old bottle stopper. Ten thousand devils of the sea swore they'd drowned Him that night. Why, He was just a man, tired, laying there in the boat and the waves bouncing Him around from place to place.
E-39 That was a man laying there asleep till even the waves wouldn't wake Him. He was tired, physically worn out. That was a man. But when He did wake up, walked over and put His foot on the brail of the boat, looked up and said, "Peace, be still."... And the mighty storms folded their wings and went to the bottom of the sea, hushed it and rocked it to sleep there. That was more than a man. Yes sir. That was more than a man.
He was a Man when He come off the mountain that morning, looking around on that tree for something to eat and like that. That was a man. He had a stomach like we have. He had an appetite like we had. That was a man that was hungry, wanting something to eat, and looking for something on a tree. That was a man. But when He took five biscuits and fed five thousand, that was more than a man. Isn't that right? That was God in His Son.
E-40 He was a man when He died on Calvary for a sacrifice, bleeding, the blood running out of Him like a mortal, spit hanging all over His beard. And He was a man disgraced, standing there hanging in shame, taking our place. He was a man when the pains got so great till He cried, "My God, My God, why hast Thou forsaken Me?"
That was a man there, but when He rose up on Easter morning He proved He was more than a man. Yes, sir. That was God that raised Him up on the Easter morning. Yes, sir. He was the God Man. He sure was. Went about doing good, taking on Himself the form of a peasant.
He never come as a king or a potentate. He was born, come by the way of a stable door and went out through capital punishment. That He was, humble, meekly, low. Come in the world with a black name hanging on His name as a illegitimate child. That's right. Bore all kinds. He was a fanatic. He was called Beelzebub, the prince of the devils and everything. Yet humble, meek, opened not His mouth.
E-41 He set His face to do the will of the Father, and that's what He did. That's right. And He accomplished the work. And then you and I are going to be called holy-roller, fanatic, insane, everything else. We're going to be called everything that could be thought of.
But we got one motive, that's set our face to do the will of the Father and stay with it. That's right. Let the world say what they want to, that's up to them. But we've got one thing to do; that's to obey God.
Some people said, "Why, Brother Branham, that's of the devil." I don't care how much they...?... said, Jesus was of the devil. They said He was Beelzebub. That don't bother me. They can just say anything they wish to. And say, "Well, what do you wait here, and you won't come here, and you won't come there?"
I'm waiting to find out where God want's me and then I go do it. That's right. That's the best way to do.
E-42 We find Him here now, never out somewhere gadding about on nonsense and everything. He was always about the Father's will, doing the Father's business. And I see Him here that night crossing the sea. And oh, my. The waves a roaring. And why did that man take that chance after setting teaching all day and healing the sick?
And we find Him now out in a little ship, coming across the sea. Because over in another land, in Gadara, one soul was calling for Him. Think! Across the sea in a mighty storm. All through those dangerous perils as He went that night, to save one soul and to heal one person. He come from one side of the lake through the storm, all night long to the next day, to storm that great tide that night, to heal one person.
E-43 And I'll say this, my brother, He'd come from glory this afternoon to set any one of you free. That's right. He will come down through every church and every critic and everything else, and every fanatic and everything else, to you, to heal you this afternoon, to make you right. Don't you believe that? Yes, sir.
Just let Him find one sincere heart that He can get into, that's... He will come anytime, any hour of the night. I'm so thankful that we have a doctor that'll come anytime. Oh, I'm so happy for that, to know that He's my Refuge and Strength, the very present help in the time of trouble."
I remember here some time ago, as you all know that I kind of a a person of nature. I love to go out into the hills and look and go hunting, and so forth. Not so much to hunt the game, but just to be out in the mountains. I remember being... And I thought I was a real woodsman. Nobody... My granddad was a half Indian and he lived in the woods, and I thought, "Well, I'm like my granddad, he... Why, you couldn't lose me nowhere. I've got instinct enough to know just where I am at all times."
E-44 God has to take you off your feet sometime to let you know that you don't know. We have to depend on Him. And one day way atop the Adirondack... I just taken... My little boy, Billy back there, was just a little bitty fellow then. We was in a little old lean-to. The ranger hadn't come up yet. We was going to go bear hunting. I said to the wife, I said, "There's a group of deer that goes down here in the giants." I said, "I want to walk down there today."
And I got out and there come up a storm. And you know in the New England states when the storms come, the fog comes and you can't see nothing. And I... I'd just shot a dear, and I was going back up. And I said, "Well, I'll go back up and get to her." 'Cause I told her I'd be in at two o'clock.
E-45 And I went up along, going up a little branch like this, going along. I kept walking, walking. I thought, "Well, say, I ought to be getting up towards the place to turn off in a few moments." And I happened to look up and I was right back to my deer again. Well, I thought, "How did I miss that?" I kept walking again and walked about thirty or forty minutes and I was right back at my dear again.
Now, the Indians call that the death walk. You're walking in a circle, but you don't know where you are. And the fog's so low you had no markers or nothing. And then I seen I was caught. And I said, "Well, I must take some course." I thought, "When I come, the wind was in my face, so I, perhaps, better keep the wind right in my face and go this way."
E-46 And I started that way, and I thought, "Oh..." I kept getting... I, why I couldn't see hardly as far as the wall. And those great tall trees swaying. And I thought, "What can I do?" And I was walking this way, and I thought, "You know, my wife she's young and in that lean-to, and it's almost zero weather. And that little baby boy of mine, they'll freeze to death tonight. She'd scare to death to be in these wilderness, about twenty-five mile from any road or any thing."
I said, "It'd scare her to death to be here alone, 'cause there's a mountain lion we seen over there this morning, and she'd be scared of that." And I said, "I don't know what to do." And I started moving on, and seen that I was all mixed up. I didn't know where to go. And I kept hearing Something in my ear saying, "I'm the Lord, and I'm a very present help in the time of trouble."
E-47 And I said, "Looky here, William Branham, why, you--you know more--more about the woods than to get nervous now." Why, I... Many of them die every year like that, get a fever and then you die when you get lost. And I said, "Why, you know more about the woods than that."
And something kept telling me, "That baby will perish; that wife will perish; and you'll perish here in this woods." Now, if it'd been ordinarily (my wife not there), I'd have found me a place and built me up a fire and wait till the storm was over, a day or two, and I'd have went on out.
So, but the wife in the woods and the--and the baby there, so I just didn't know what to do. So I kept walking, and I could hear a Voice saying, "I'm the Lord, and I'm a very present help in the time of trouble." So I just set my old rifle down against a tree; I pulled off my hat and laid it down. And I looked up, I said, "Heavenly Father, I'm not no woodsman." I said, "I was mistaken. And, Lord, I can't--I can't do nothing without You. And I'm lost, absolutely lost."
E-48 And you don't know what a feeling it is, till you are lost one time. And I said, "Oh, I'm lost, Father. I know I'm going wrong. I don't know which a way to turn. And there's only one way I know to turn, that's heavenly, and look to You, Lord, and ask You to help me get out of here. I'm not worthy that I should live; but my baby and my wife, I want them to live, Lord."
And I said, "I pray that You'll help me get out of here, will You, Father?" And I raised up and I was weeping a little and took my hat and shook it off. It was kind of damp on the grounds, some snow. And I put it on my head; I picked up my rifle. I said, "Now, the best of my knowledge, I shall go this way." And I started that way again; I felt a hand lay on my shoulder.
E-49 And I turned to look, and just as I looked, I seen Hurricane Mountain, this way. I was going exactly backwards right into Canada, right like that. And I stood there and just held my course like this. And I thought, "Oh, thank You, Lord." And for about the next three or four hours I climbed just in that direction, not moving at all, watching, going just as straight as I could to that place, and holding my course.
And then I knowed I was on top of Hurricane Mountain, the tower was up there. And the ranger went up there every fall, and I'd helped him take the lines down, but the lines wasn't down yet. And I knowed there was a line there somewhere. And I was thinking; I was holding my hands up in the dark, walking like this, knowing that the telephone line, two strings of wire, that I'd touch it somewhere. And I was holding my hands up, walking.
E-50 I thought, "If I'd only touch that line." And I stopped and looked way back, and it black and snowing and blow--the wind a blowing. And I thought, "Yes, that's right, I've held a straight course now." And I thought, "That's it. One day I was lost in sin. That's right. And when I looked up one time when I was going the wrong way, a hand pointed me to Calvary."
And I set my course like that. And I'm walking now with my hands up, "Lord Jesus," I thought, "there's only one thing I could do. If I don't touch that line, I'll still... My family will perish this night. And yet I'm trying to go." I thought, "Lord, that's right, let me touch the lifeline too, as I'm going."
E-51 And after while my hands hit something. I clasped them; it was the telephone wire. I could hold that telephone wire and go right down the mountain, and they was right at the end of that telephone wire, about five miles below the mountain. I thought, "Oh, my." When I held that telephone wire in my hands, I rejoiced; I shouted; I praised the Lord.
I thought, "Oh, how good it feels to know I got the line in my hand." I thought, "Right at the end of that line waits my loved ones." I thought, "Oh, glory, that's right. I got the lifeline in my heart here. At the end of this Line waits my Saviour and all that's dear to me, waiting yonder somewhere."
And today if you're feeling, friends, if you've never been born again, keep your hands up till you touch the Lifeline; then hold on to it until you get to glory. Yes, He's real.
E-52 And I see Him in His work as He was tossed there in this little old sea. And one soul was in need over there. We never have a--a record of anyone else being helped in the land of the Gadarenes, but this one maniac. Poor fellow, I think of him being out there in--in that condition, perhaps one time a good citizen, a good man.
Let's dramatize it a moment in his character. I can imagine seeing him as a fine fellow. But the first thing you now, some of the crowd come along and got him to get away from church, or go away from God. Next thing you know, the devil had him on the next step; he started drinking. One drink, one devil. Just kept on, backsliding, going away.
E-53 And after while the devil drove him insane. And there the man was out there. He must of been a terrible character. He lived out there in those rough places. And they'd bind him with fetters. He was twice his strength. He could break them little old fetters and--and move out just like there was nothing holding him. Even the--the army or--or the officers that would bind him up, he'd just break them apart and go on. He was a real rough...
It wasn't his human strength; it was the devil's strength that was doing that. And the devil is powerful, but God is more powerful. And I thought, "If a man completely surrendered to the devil would have two or three times his strength, what would a man do that's laying so weak he can't get up, or crippled so bad that he can't get up, what will he do when the strength and power of God comes into Him?" How much more strength God has than the devil has.
E-54 I think of our sister setting here with the hip trouble, on that crutch, how much power that God can give you to move up with strength and faith to lay the crutch down and walk away without it. You see? When the anointing of the Holy Spirit comes in there, strength...
I seen that little Georgie Carter when her little limbs wasn't much bigger than a broomstick. When she'd been laying there nine years and eight months, and couldn't... They had to put a draw sheet under her; couldn't even put her on a bed-pan. And when the power of God struck the girl, she come out of there and run set down at the organ and played, "Jesus Keep Me Near The Cross." That's right.
E-55 And she's a living today after nine, yeah, ten years, eleven years it is now. Eleven years, and she's never been to bed, only just to go to bed at night and go to sleep. Been laying there nine years and a half, given up by all doctors and everything to ever live: TB through the throat and plumb through the female glands. And there she was.
Some of them said, "How did she walk, Brother Branham?"
I said, "The power of the living God held her up." She just come submitted to the power of God.
That's what's the trouble, friends. At night time when you see me, your brother under vision, that's nothing else in the world but submitting myself to the Holy Spirit. You that's sick can submit yourself to the Holy Spirit so completely that you'll forget your sickness.
E-56 You can completely submit yourself to the Holy Ghost, and no affliction can hold you. You walk by the power of the Holy Ghost. You are well; you give your testimony, everything else. You're healed by the power of the Holy Ghost.
You that's sinful, that maybe drink and smoke and gamble and do things like that, you'd say, "I can't give them up, Brother Branham."
Yes, you can. You just submit yourself to God one time, and just yield your whole self to God and watch what takes place. That's the whole thing. There's no secret in it. It's not a hocus-pocus. The only thing it is is submit yourself to God. Amen. There it is, and then it's--then it's not you any longer; it's the Lord. The Lord does it after that. Aren't you happy that we have that opportunity today for that?
E-57 Seeing this poor old fellow, Legion, out there, maybe once in a while he'd come to himself; he'd just look, say, "What am I doing here? What--what..." Look there's chains all around him and things like that and his body all cut up. Then the devil would throw him into a spell and here he would go. Maybe he'd come to again and think, "I got a wife and children somewhere."
And the first thing you know, the devil pull him into another spell, and here he go. And he was a murderer, if he could get to people. He didn't know he was doing it; the devil was doing it. That's right.
E-58 Then we notice that Jesus, knowing, perhaps, by vision that man was over there, He crossed the sea. Going over on the other side, pulled in, that little boat begin to push into them willows on the other side of the sea shore there. Why they got out of the boat, the ship, and started up. Here was this man come down out of that graveyard. Tombs, look where the devil made him hang out, around the graveyard.
That's a... Oh, that's a good hang-out for the devil, around a dead place. That's about the way it is today, the same thing. He hangs out around an old dead place. Somebody that's dead in sin and trespasses, don't believe in the power of the resurrection of the Lord, that's a good hang-out for the devils. Amen. That's right.
E-59 If you want to know truthfully, some of these old cold, formal churches that has the form of godliness and denies the power thereof, are real hang-out for devils. That's right. A place where they say, "Oh, that's all work up. That's all mental. That's psychology."
Oh, my, and some of those devils don't make you cut yourself; some of them is just as shrewd and polished as they can be. Amen. They're scholars. Don't think they're not. Oh, you say, "Brother Branham, you're..."
Oh, no, I'm not, I'm Scripturally. Them high priest and all those Jews in that day that denied Jesus Christ, they were polished Bible scholars. Hallelujah. That same religious devil comes down into people today. Someone trying to make fun of the baptism of the Holy Ghost or speaking with tongues...
E-60 I--I'm not a debater, a fusser, but I sure called his hand on it the other day. He wrote a little book called, "Jibber-Jabbers, Tongue Talkers." And I said, "It's pure blasphemy." Absolutely, blaspheming the Holy Ghost... He tried to say that--that nobody... Said, "John the Baptist received the Holy Ghost and didn't speak in tongues. And a lot of these received the Holy Ghost," and so forth like that, and never said anything about tongues, Zacharias and them.
I said, "That was before the Holy Ghost was ever given." Yes, sir.
He said, "Well, they said they had the..."
I said, "Now, they did not say they had the baptism of the Holy Ghost."
E-61 Adam had the Holy Ghost potentially. That's right. All the prophets as they was moved by the Holy Ghost. But the... Saint John said that--that the Holy Ghost had not yet come, for Jesus had not yet been glorified. That's right.
And I said... Well said, "They never spoke with tongues."
I said, "There was only one of them that did speak with tongues."
Said, "Jesus received the Holy Ghost and never spoke with tongues."
E-62 I said, "Why? He was the Holy Ghost." Amen. I said, "He did speak with tongues." Amen. I said, "John didn't 'cause he never--he died before the dispensation, and Zacharias and the rest of them as far as we know. But Jesus spoke in tongues because He was the Holy Ghost." That's exactly right.
When He went to raise Jairus' daughter, look at Him standing there. All the people saying, "Well, here comes that holy-roller. Here's that fanatic."
He said, "The damsel is asleep; she's not dead."
They said, "Listen at that radic now."
E-63 And He put them all out. And there the outside was... What is the Holy Spirit to speak for? It's when you're in trouble. When the church is in trouble, that's when a message goes forth to correct the thing.
Notice, and then when Jesus there, when all on the outside was making fun of Him and everything, then He was possessed with the power. He spoke in another language and said out into the spirit world, and called the spirit of a dead girl back again by speaking in tongues.
And when He was on the cross, when His disciples had forsaken Him, when His Church had forsaken Him, when His people had forsaken Him... He was forsaken by God and man, hanging on the cross. He died speaking in tongues. That's right. Brother, don't you call that jibber-jabber.
E-64 He said of these Pentecostal people, said, "They never keep the Sabbath." Said, "The women cut their hair." 'Course he was a Pilgrim Holiness. And he said, "The women cut their hair and they wear jewels on their fingers." I know and that's a shame. Boy, that didn't go good. I felt that. But it's the truth. That's right.
Sure, you're getting just as formal and ungodly as the rest of them. That's exactly the truth. We've let down the bars. We just don't think about these things. But, brother, I'll tell you, it's a shame that it ever ceased to be preached from the pulpit. That's right.
Now, there they was, out there like that and he made... I said, "Yes, and I show just as many Pilgrim Holiness do the same thing."
He said, "They work on Sunday, do... cut their grass on Sunday and so forth."
E-65 I said, "So does Pilgrim Holiness, if you want to ask the different questions or debate about the different churches." But I said, "Looky here, brother, the first place, you don't even know what the Sabbath is."
Oh, he said, "It's Sunday."
I said, "It is?"
He said, "Then I guess you're Seventh Day Adventist."
E-66 I said, "No, sir. But you don't know what the Sabbath is. Let me show what the Sabbath is." I said, "Isaiah 28:18, he... the prophet said that all the tables of the Lord would become full of vomit, like today. Said, 'Who can I teach doctrine, who can I make understand.' He said, 'Precept must be upon precept, line upon line, here a little and there a little; hold fast to that what's good. For with stammering lips and with other tongues will I speak to this people. And this is the rest that I said they should hear.'"
I said, "And you're a criticizing the very thing that you think that we're not keeping." Hallelujah. That's right. I said, "Brother, don't worry; we got our sails set towards Calvary, and the Holy Ghost is blowing the wind right on them." I said, "It's right." I said, "That's the rest; that's the Sabbath keeping."
E-67 Jesus said, "Come unto Me all ye that labor and heavy laden and I'll give you rest to your souls." And Isaiah said that rest was stammering lips and other tongues would He speak to this people. And this is the keeping of the Sabbath.
Now, what about that? How's that? Where was it ever changed or anything else? Jesus verified the same statement. Paul in the Hebrews the 4th chapter verified the same statement. He said, "God did speak of the seventh day in this wise, again He limited another day saying to David after so long a time, 'When you hear My voice, harden not your heart.'"
E-68 That's right. The entering in of the Holy Ghost... Said, "For we," that's got the Holy Ghost, "have... when we have received Christ in our heart we've ceased from our works like God did from His and rested the seventh." That's right. There you are. There's the real Sabbath keeping. See what I mean? It's when the Holy Spirit comes in, God gives you the seal of your faith.
Now, all those things are... Probably this poor man had been criticized, everything. And Jesus walked in, and here he was out there, cutting himself and wringing himself and carrying on. Jesus, seeing that he was in that condition, as soon as Jesus started walking up to him, the man wanted to be very religious. That's the way the devil does.
E-69 The devil is religious as he can be, smart, scholarly, polished, but yet know no more about God than a rabbit would know about snow shoes. And here he comes up, walks up like that and falls down and worships Jesus, this maniac did. Well, you say, "Would that be the devil?" Why, Judas even come and kissed Him and betrayed Him by a kiss.
Religious spirits, certainly they are. Someone said, "Well..." This fellow goes ahead to write and said, "Why, religious spirits," said, "don't get around them Pentecostal people." Said, "If you do, that spirit'll get on you." And said, "It's of the devil." Don't get on... That's right.
E-70 Listen. he said, "The Bible said," said, "there was... Believe not every spirit, but try them see if there of--of God." That's exactly what the Bible did. And Jesus said, "These signs shall follow them that believe." See if that's right or not, try it by the Spirit. Sure.
And the religious spirit all down through every age has always been a denier. The devils spirit that's religious has denied the real genuine Spirit. And every time God's Spirit comes, signs and wonders follows the Spirit.
Look in the days back there when Cain worshipped. He had a form of godliness. He built an altar; he built a church; he built everything just as religious as Ad... Abel was. But look, here's a little something... I'm way off my subject; I don't aim to keep it anyhow.
E-71 So look, in the days of Cain and Abel, notice, Cain was just as religious as Abel was. And notice, when he worshipped, he built his altars; he made it pretty just like a fine big church. He--he wasn't an unbeliever; he bowed down and worshipped. And God absolutely refused him.
If God's just and only requires faith in Him, if God only requires faith, only requires sacrifice, only requires membership of the church, God would be unjust to condemn that boy. For he absolutely was a believer in God. He confessed the same publicly, he was a believer in God.
He built a church to the Lord, an altar; he brought his fruits in and made it beautiful, and made a sacrifice and done obligations, and worshipped the Lord. Brother, that's a pretty good church member today. Is that right? And God refused him.
E-72 But look, coming here, at Abel, not with working. Wrapped a little vine around this old sheep's neck, and here he come pulling him up there, throwed him upon the altar and begin to beat his throat, and killed him. Why? Abel had a revelation. We're letting that soak just a minute.
It was a revelation that Abel had that made him just. He had a revelation of the requirement of Almighty God, and he brought a lamb. And that's the only way that you'll ever be able to see Divine healing, the baptism of the Holy Ghost, it'll be by revelation.
When they come down off the mountain... Here it is, I'll prove it. They come down off the mountain and Jesus said, "Who does man say I am?"
Well, some of them said, "You're Elias."
Other ones said, "Why, You're of the prophets." Just like they try to tack now the coat of Elijah and so forth, all them things you know. They had the same spirits them day; they just living on today.
E-73 "Some said, You're Elias, and some say You're the prophet, and some say You're this or that or that or the other."
He said, "But who do you say I am."
Peter said, "Thou art the Christ the Son of the living God."
He said, "Blessed art thou Simon Bar-jona, for no seminary revealed this to you. No tholo--theologians ever revealed this to you. Not flesh and blood has not, but My Father which is in heaven. And upon this Rock I'll build My Church, and the gates of hell will not prevail against It."
What is it? The revelation of God. There you are. The... God reveals sinner truth in the Spirit. "Upon this Rock (the spiritual revelation of God) I'll build My Church and the gates of hell can't prevail against It." So you can fight the holy-rollers, as you call them, all you want to; God's Church will prevail right--go right on to end of time. Yes, sir.
E-74 They'll always had healings and signs and wonders; God worked with them through the age. And you look back there and see what the Pharisees did, they fought against it. You see where they went. Don't get on that same group, better get over here. You see where the rel... Oh, they had scholars; they had good pastors. They had smart man, educated, everything. They had everything that they had needed of in that day, scholarship far beyond what we got now. Even a man had to be so holy. He had to be borned in a certain tribe or he couldn't even be a minister. Had everything like that and yet when they come, Jesus said, "You got the devil." Said, "You're of your father the devil." Is that right? Yes, sir, polished scholars... So therefore religious spirits, instead of making--cutting a man and making him be a maniac, he can be a shrewd scholar too.
Look at the devil when he met Jesus. He said, "If Thou be the Son of God, command these stones to be turned to bread."
Jesus said, "It's written: man shall not live by bread alone."
E-75 Took Him up and said, "Oh, so He wants to play scholarship with me, huh. I'll show Him my degree too." So he took Him up on the pinnacle of the temple, said, "It is written, He will give his angels charge concerning, lest anytime dash foot against a stone, they'd bear Thee up."
Jesus said, "And it's also written." Amen. Yes, sir.
All right, there you are. See how shrewd and scholarly the devil is? Religious spirit, but here's the only way that you'll know it. That's the only way... When Balaam come down to curse Israel, when he made a sacrifice, he built seven altars. That's exactly what they had down there with them holy-rollers, the Israelites. They was holy-rollers.
E-76 You say, "You mean to tell me the Israelites were holy-rollers?" The same as they have today. That's that same Spirit out of Abel coming up. There's the same spirit out of Cain, just the same. Look. When they come up here, called them holy-rollers.
Why, when they... the... God performed a miracle and opened up the Red Sea and let them by, Moses sang in the Spirit. And Miriam picked up a tambourine and run down the bank, dancing, and the daughters of Israel following her, dancing in the Spirit. If that ain't a bunch of holy-rollers, I never seen any. That's right.
And I want to give you a little encouragement: they were interdenominational too. Yes, they was. They were interdenominational. Amen. They were interdenominational, because they wasn't even a nation. Now, here stands their brother, just as fundamental as they are.
E-77 The son... The daughter of Lot brought forth the children which was the children of--of Moab, that had the Moabites there. That's were they sprang from. They had a preacher up there, a--a prophet, a scholar, Balak. And he come down and the Lord tried to show him speaking in tongues was right. He had to give it through a mule, but he got it there anyhow, to show him he was wrong in his doctrine.
But here he come on down anyhow. So he just walked on over that. And when he got down there, and they said, "Now, I'll tell you," said, "Jehovah requires seven altars." So he went and built seven altars. He said, "Now, let's see, He's got to have seven clean sacrifices, seven bullocks."
E-78 Now, he said, "I want seven rams because He's going to send His Son, Christ Jesus, someday; these rams has to speak of Him. So he put the seven rams on, just exactly the same sacrifice that them holy-rollers was offering. See? Down there... Said, "Well, they're not even a denomination. Look at them. Why we're a nation. They're not a nation; they're kent--tent dwellers. Well, look at them."
And said, "Look how dirty and ornery they been. Look how low down they been." But he failed to see that Pillar of Fire hanging over them. It was blinded from him. He didn't see that. Oh, hallelujah. You're going to call me holy-roller anyhow; I am one.
Look, and he said... Look, he couldn't see that. But he thought, "Now, I'm fundamental. So I know I'm fundamental, so I'll offer these sacrifices; that's what Jehovah said. And I'll go put a curse on that people down there, that's all... doing all that there carrying on, having all that healing services and things."
E-79 Healing services? Sure they had. Moses lifted up a brass serpent; every one got sick, went and looked at it and got well. Is that right. Had all kinds of signs and wonders. And that's what made them what they were. That was the vindication of God being with them, signs and wonders a following them.
He said, "I'll go down there and curse them." So fundamentally speaking, he was just as fundamental as the rest of them. And so he made his great sacrifice, and he brought all the Doctors of Divinity around. And they stood around, the princes of the land, and around the smoldering sacrifices saying, "Great Jehovah, now come down. You know what kind of a people we are, and we're scholared, and we're a great nation, and we're great people. We have great churches; we have great things here. And there that bunch of trash coming up down there, just curse them, Lord. Don't let that doctrine get scattered around here in this city. We'll have nothing to do with it," like that. "Oh, stop it, great Jehovah." And said, "Now, prophet, go forth and prophesy."
Balaam said, "Just a minute, I'll do it." And away he went.
E-80 God met him out there, said, "Why don't you come over here and look at that little part. He just showed you the worst part of it. You go back and speak, but don't say nothing but what I put in your mouth."
He said, "Yes, Lord." He run back down there when he got through. He said, "Blessed art thou, O Israel. Blessed are the tents. How righteous they are." He said, "I beheld you from the hilltop, and I've seen no iniquity in you." Hallelujah. There it was, a bunch of maniacs, as you'd call them, a bunch of holy-rollers.
What was the difference. Fundamentally speaking, that group on the hillside was just as fundamental as them down there in the valley. But the difference of it was, God was vindicating them with signs and wonders following.
And Paul said, "In the last days they'd be heady, high-minded, lovers of pleasure, having a form of godliness, but deny the power thereof; from such turn away."
E-81 Jesus said, "These signs shall follow them that believe. In My Name they'll cast out devil; they'll speak with new tongues, take up serpents or drink deadly things; it shall not harm them. They lay their hands on the sick, they shall recover."
Oh, my brethren, sisters, be encouraged; straighten up. We're nearing something. You'll hear a sound of abundance of rain. For one of these days the curtains will be drawed back from the heavens, and God will pour out His Spirit without measure upon that group of people that's fought to win the prize and sailed through bloody seas. And what a meeting we'll have. Yes, sir.
E-82 Them religious demons, and then trying to say we're demons. God said, "These signs shall follow them that believe; they'll have D.D.s." Could you imagine the Bible reading that? "They will be out of seminaries. They'll have very much religious manners, walking to their church with a pigeon-tailed coat on and saying, 'Amen,' so beautiful." Practicing all this, "They'll say two hail Marys or they'll do this or do that." There never was such a thing. "They'll build great shrines. They'll polish the altars. And they'll have doctors with degree who speak the very proper, highest of English, and the very highest of words. And they'll have beautiful this, and beautiful that." That's what the world says today.
But the Bible said... Jesus Himself said, "These signs (s-h-a-l-l) shall follow them that believe to the end of the world. In My Name they'll cast out devils." Hallelujah. That's the Gospel Church. And She'd be made fun of. She'd have her fingers pointed at Her, called scornful. But said, "Fear not, I'll be with you even in you to the end of the world: Jesus Christ the same yesterday, today, and forever."
E-83 And living in a day when atomic bombs is hanging around, and everything else. Hallelujah. I'm happy today to be sealed away in God's Kingdom by the Holy Ghost, with signs, wonders, and a vindication that we have a home in that Rock, don't you see. Amen.
Then your calls... They call it devils because they don't know what devils is. So did those Pharisees turn around and call Jesus devils because He was casting out evil spirits and healing the sick. Jesus said you was blaspheming, because you said, "He has a devil." When He was healing the sick, He said, "How can Satan cast out Satan? If Satan cast out Satan, his kingdom's divided."
E-84 Said, "If I cast out Satan, we're to know it's by the finger of God." The finger of God. How little the devil is to God then. Not no more than His finger. Just takes His finger and flips him away. That's all that cast out a devil is to God. That's right.
He said, "I cast out devils by the finger of God." Oh, my, just take His finger and say, "Get away, devil." That's all there is to it. That's all. Amen. Cast out by the finger of God. Oh, my, just a finger of God... But that's all it means to God, just to take His finger and knock a devil out. It's just so easy.
E-85 But notice when He went after the lost sheep. It wasn't His finger; He took the lost sheep and put it over His shoulders. Hallelujah. How He cares for a lost sheep, one that strayed out some of them formal ungodly places, in the desert and wilderness out there. He goes and gets him, puts him over His shoulder, fills him full of the Holy Ghost, and sends him back to the fold.
The devil's just no more to Jesus; He just kicks him out with His finger, goes on. But the lost sheep, He goes and hunts him up and lays him over His shoulder, holds his legs like this. And the most powerful part about a man is across his shoulders. You know that. Lays it around His neck and across His shoulders and here He comes packing him through the wilderness.
E-86 Brother, little old lamb laying there, looked around and said, "Ha-ha-ha-ha-ha." I can imagine hearing that little lamb sing,
Amazing grace! how sweet the sound,
That saved a wretch like me!
I once was lost but now I'm found,
I was blind but now I see.
Laying right across the Master's shoulders, going right on into the fold... Oh, he can sing, amazing grace, then, can't he? That's right. Yes, sir, the Master's packing him back on His shoulders.
E-87 Now, we notice here then, that our character, that in him, he was a religious devil, exactly. For he run down and fell down and worshipped Jesus. Now, you say, "If I worship Jesus, I'm all right." Wait just a minute. This devil worshipped Jesus, sure did, and confessed Him publicly, and said, "I know who You are. I'll give witness of You that You're the Son of God, the Son of the most high God."
And watch, he give Him a--a command. Said, "I adjure Thee," the devil did. Watch some of these guys that wants to talk about Divine healing. Said, "Oh, by the living God I know these things." See? "I adjure Thee by the living God, that Thou torment me not" There you are.
E-88 Jesus said to him, "Come out of him (That's right.), you unclean spirit." Now look, the devil had him a good home church, so he didn't want to leave that country. It was a good hang-out. He liked to hang-out around there. So he had him a good home place, settled down. So he just didn't want to leave the place.
And that's the way with devils: whenever they once get settled down amongst a bunch of people, they don't want to leave. That's right. Oh, they're stubborn, say, "Now, I don't believe in no such thing as Divine healing. I don't believe in that kind of stuff." Sure not, that's a devil making you do that.
E-89 No, he didn't want to leave. He said, "We'll..." Said, "he didn't want to leave," said...
And then Jesus said, "Come out of him."
E-90 Well, he said, "Now, if I must come out, let me go over there in that bunch of hogs." My, and so they went over and got in a bunch of hogs. And look, there was two thousand devils in one man. Think of it, two thousand devils in one man.
And the hogs run down the hill. They had better sense then a lot of the people. A man's gets full of the devil, he goes to church and said, "Why, I know what it's all about." But the hog had enough respect to go down and choke hisself in the sea, drowned hisself. The hog run down and run into the sea and choked himself (That's right.) to get out of the way of the Lord.
E-91 The hog didn't want to stand in the way. A lot of people wants to stand in the way of the Lord. And you know what? Them devils, when they did that, they wanted to stay in that land. And those people, when they come out... Look at the people. When they come out, when this was noised abroad, the man was in his right mind. My, the Bible said that the man was in his right mind.
I tell you; when you get the baptism of the Holy Ghost and Christ in you, you come in your right mind. He was in his right mind to worship. Look where he was at then. He was setting at the feet of Jesus. Hallelujah. What a wonderful place to set, clothed--clothed in his right mind, setting at the feet of Jesus, worshipping (Hallelujah.), 'cause He cast the devils out.
E-92 He said, "Now, what I done, you can too." What a pity the Church don't take Its position in Christ Jesus. Yes, sir. And then here come all the members of the church out over there. And they come out and said, "Where's our hogs?" Well, they all had respect enough to go drown themself.
And they said, "Get out of our land. If it's going to cost us anything like that, we don't need a revival like that, that's going to cost us all that money."
When I get to glory I want to see how much... what a bearing his testimony had on hog raising, when I get to glory. I imagine he tore them hog raisers up (Yes, sir.) when he got back there. And there he was in his right mind. And the people of that land felt more at home with the hogs and the devils than they did with the lovely Jesus. Made Him leave the land. They felt more at home, more at peace around with the devils and the hogs.
E-93 And you know that's the same as it is today. If a man thinks that he's going to have to get enough religion to shout, or something another, to have to give a little money in the church, or a little something like this, or maybe confess his faith, and stand up and give praise to God, or speak in tongues, he'd rather he never hear about religion.
They feel more at home with the devil and their money than they do with the lovely Jesus Christ, with the baptism of the Holy Ghost, with signs and wonders following. Amen. Whew. My, I feel religious. Yes, sir. Oh, hallelujah. I'm glad to get rid of the thing. Glory to God. Give me Christ. Amen.
Clothe me in the mind to worship Him. Worship Him how? In Spirit, in Truth. Amen. Lord, if I'm walking right down, standing talking to the President of the United States, He comes upon me, and I'll holler, "Hallelujah." I don't care, sure not.
E-94 I was standing here at Gary, Indiana, sometime ago. There was one of those great big mills there where they make all that steel. And they was showing me around. And one fellow said, "Now," he said, "Dr. Branham," said, "I'll show you how this is done." He taken me way up to a great big place up there. I seen some kind of a looking outfit. And I... A little whistle blowed and everybody quit working.
And they took a little broom and swept out, like that, out in the middle of the aisle. I said, "What are they doing that for?"
E-95 Said, "I'll show you something in a few minutes." So he swept all the shavings out in the aisle. And then another little whistle blowed, they all went. He pressed a little button, and here come a great big magnet coming, roar, roar, roar, roar, roar, coming down like that, swept down the track. And as it went down across that aisle like that, all those shavings, nearly, jumped right up against that magnet, went right on out and he demagnetized it, dropped off in the cupola to be molded over again.
He said, "How do you like that?"
I said, "Hallelujah. Hallelujah."
He says, "What's the matter?"
Oh, I said, "I was just thinking something."
He said, "You must've."
I said, "I got a thought."
He said, "What are you talking about?"
E-96 I said, "I'm thinking of a great Magnet setting yonder in Glory. Hallelujah. One of these days," I was thinking, "I almost hear Him coming now. And He's going to come down and this old frail body; He's going to pick it up and take it out yonder and mold it over." Hallelujah. Yes, sir.
And I said, "I want to ask you something, sir." I said, "Why didn't all those shaving go?"
He said, "Some of them are aluminum. They're not magnetized to the magnet."
I said, "Hallelujah." I said, "Why didn't that piece of iron go, laying there then?"
He said, "You see, it's bolted down."
I said, "Hallelujah." That's right.
E-97 Brother, I'm glad to cut loose every fetter, every prestige and everything you've got. Lose yourself in Christ Jesus; be borned again, filled with the Holy Ghost, magnetized by His power, hallelujah, that when He comes I'll go with Him.
I want to say as Paul said, "I know Him in the power of His resurrection, that when He calls from among the dead, I'll come out from among them. Leaving these things behind, I press to the mark of the high calling in Christ," leaving the world behind, leaving their theologies behind. I see Christ and Him only. Amen. I look straight towards Calvary and just keep tramping on.
Say, "Hey, you know Billy Branham's a holy-roller?" I don't even hear it. I just keep on tramping on. That's right. I'm pressing towards the mark of the high calling yonder. Say, "You know, I believe that guy's a medium." That don't bother me a bit. I just keep moving on.
"I know Who I have believed. I'm persuaded He's able to keep that I've committed to Him against the day." Hallelujah. Just keep moving on.
E-98 Yes, them old fellows out there, felt better at home with all them hogs, had their hogs and slop pens around, had the devils all around them and everything like that. They felt more comfortable than they did when Jesus was there.
Why, you go to a big formal church today, and let two or three people get in there and go to praising God and shouting and going on like that, and maybe somebody give a message in tongues or somebody get healed by the power of God, or God give a vision, why, they just freeze them to death. "My, I--I don't want around nothing like that." See? Better at home with the devils (That's right.) than to have the lovely Jesus around.
You preach to them like that, they just set like a wart on a pickle, just as sour and cold as they can be. Nobody would say, "Amen," or nothing, just set there and freeze down. Oh, my. "I wish He would quit, he's done been up there fifteen minutes now. Ah, when's he going to stop?"
E-99 Oh, my, your digestive orders are not right. That's right. Brother, I like to get them converted and have a great big gastronomical jubilee, don't you? Amen. Take the whole Word of God.
The Angel give John the Bible, said, "Eat it." John said when he eat it, it was bitter eating but it was sweet in his stomach after it got there. Hallelujah. Say, what time is it. I'm way past, am I? Hallelujah. All right.
I can see Legion after he got his right mind. He got healed. I can see after he keeps waving to Jesus, the devils, them people come down and said, "We don't want you around here; we want the hogs. We'd rather have our hogs. We don't want no such a revival as that, all this here nonsense, Divine healing. We know the days of miracles is past. That man's only worked up. Now, get out of our land. We don't want that holy-roller stuff started over here."
E-100 Jesus won't stay; don't worry. Where He's not welcome He won't stay. He just turned His head and walked right on down to the ship, never said a word to them. Got... Old Legion said, "Oh, hallelujah, praise the Lord. O Jesus, let me go with You. Oh, I want to go with You. I don't care what this bunch of nonsense said, I don't care. I've left every fetter behind; let me follow You. I've found something. Let me go with You."
Jesus turned around and said, "Go, tell your parents now what's happened to you." My. "Go, give a testimony."
I just wonder what he said to them hog raisers when he got back. He kept waving as long as he could see that little old ship, till it went out of sight. Said, "Someday, I'll see Him again."
E-101 I can see him go down the street. Some of them say, "Well, who's that old guy going there?"
Said, "Glory, hallelujah."
They said, "That guy's still crazy. There he goes."
Went down the street, "Oh, hallelujah, praise the Lord."
Well, they said, "There's one thing about it: he's got some clothes on. Something surely has happened to him."
E-102 I can see him go down, and here's the story. I can see him look around. "Well, the landlord had done put his wife out. There's was no... Poor little thing, she prayed all the time, maybe, for him to be healed. Come back, his little children, when they'd see him coming they'd run and hide and everything. His poor little wife would have to get out of the way, 'cause he's bad. He come in, he tore up the place.
That's the way a drunkard does, or demon possessed: run into one of these temper fits and kick everything around the house. You ought to be ashamed of yourself, that even belong to church and maybe on the deacon board. Brother, I wished I had a little bigger audience this afternoon of some of them. That's right. Yeah, belong to the deacon board and act like that.
Here he comes in the... Though he comes down, slips down, the house is closed. Where's wife? He goes out and asks someone on the street, said, "She had to move down there in the alley."
E-103 I can see him go down there to a bunch of old tin cans and things, piled up and look around there and a little old shack with some bushes laying up together, and there she is in the back yard, a rubbing on a washboard, maybe taking in the neighbors washing. The little children holler, "Mommy, mommy, there he comes, there he comes." And they start to run like that, hard as they can run.
I can hear him say, "Wait a minute, sweetheart."
His wife say, "Oh, oh, oh."
And say, "Wait a minute, sweetheart, don't run. Something's happened." Amen.
E-104 I can see him walk in and look at tattered sleeve of his little old wife's dress. Look at his poor little children standing there trembling, put his arm around them. And I can hear one little boy say to the next little--little girl, say, "What's happened to daddy?" Say, "Mother, mother, what's--what's happened to daddy?"
I can see the tears running down his cheeks. Put his arms around mother, and around the little kiddies, pick them up, said, "Now, wait a minute. I'm going to tell you what's happened to daddy. Daddy come in contact with Jesus. That's what's the matter. Daddy found Jesus."
And as it did for Legion that day, it'll do for daddy and mother both today. When you find Jesus, you'll never be the same. Legion could never be the same. No man could ever be the same, after once finding Jesus. Shall we pray.
E-105 Father, in Jesus Name, if there be one lost here this afternoon, or even one sick, that has never yet come in contact with Your great healing power, or Your saving grace, may this very hour that they come in contact with You, our heavenly Father Who we represent... And we pray that the Lord Jesus will spread forth His arms and bless each one here for Your glory.
And, Lord, I pray that tonight will be the great outpouring of the Spirit tonight, in here, that great signs and wonders will be done. Hear the prayer of Your servant as we ask in Jesus' Name. Amen.
Now, I turn the service to Brother Mattsson Boze. And may the good Lord bless each one of you and keep you healthy and happy. And I see you tonight.