L'Approche Vers Dieu (L'Approche Divine)
1 Tout est possible, crois seulement
Crois seulement, crois seulement,
Tout est possible, crois seulement.
Prions.
Père, nous Te remercions au Nom de Jésus, Ton Fils, pour la bonté dont Tu nous as bénis, pour la bonne santé, et pour le privilège d'être rassemblés ici cet après-midi au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Romps le Pain de la Vie pour chacun de nous, Père. Nous prions que le Saint-Esprit vienne prendre les Paroles de la Bible, la Parole même de Dieu, pour L'apporter à chaque cœur selon nos besoins. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Merci. Vous pouvez vous asseoir.
2 Et, bon après-midi, les amis. C'est un privilège d'être ici aujourd'hui, cet après-midi, on est un peu en retard, mais cette fois-ci, ce n'était pas ma faute. C'était la faute du comité. J'étais ici à 14 h 30' comme je l'avais promis. Mais ce sont eux qui sont en retard cette fois-ci, cela fait que je me sente un peu bien, vous savez, alors qu'ils me disent toujours que je suis en retard. Où étiez-vous? Qu'est-ce qui vous presse? Et maintenant, cette fois-ci, ce sont eux qui sont en retard. Ainsi, ça c'est donc votre tour.
Si frère Wood est dans la - la - l'église, je ne le vois nulle part. Mais si frère Wood est ici, Billy aimerait vous rencontrer là derrière, Frère Wood. Je ne l'ai pas vu ici, et la fosse d'orchestre où se fait l'enregistrement, et - et je ne l'ai pas vu en compagnie de sa femme qui est assise là, mais je... S'il est quelque part ici, frère Wood, frère Banks Wood, le vendeur de nos livres, Billy Paul aimerait vous rencontrer là derrière, concernant le chargement des livres et autres, afin d'être prêt pour l'expédition.
3 Eh bien, je pensais peut-être que, si - si nous n'étions pas un peu en retard, cet après-midi j'allais aborder le sujet de Melchisédek, le Souverain Sacrificateur. Mais comme nous n'avons pas beaucoup de temps maintenant, pas plus de quarante minutes, je pense, tout au plus, nous allons devoir changer de sujet.
Ainsi nous allons chercher à lire un autre - un autre passage des Ecritures ici. Et puis, ce soir... Je n'aime pas me hâter dans ce genre de réunion avant d'atteindre le point de départ, et ensuite commencer le - le service de prière. Parce que je désire, je prie, et je compte sur Dieu pour qu'Il nous accorde ce soir la plus grande effusion de la puissance de la guérison divine que nous n'avons jamais vue à Chicago. Non pas à cause de cette réunion-ci, mais parce qu'il y a un grand besoin.
4 Je reçois des lettres et tout, et les gens sont poussés à bout. Et ce matin Billy a dit, là dans son appartement, qu'il y avait constamment des appels de l'extérieur de la ville, et que les gens de partout... "Venez ici. Venez par ici, ici juste un seul jour, juste quelques heures. Vous pouvez faire une escale sur votre route." Et il y a un besoin énorme. Et je prie tout simplement que Dieu nous accorde une telle effusion ce soir qu'il y aura tout simplement - les gens qui sont ici, que cela sera - qu'Il vous aura tellement oints que vous irez dans vos propres communautés prier pour les malades et les nécessiteux. Il y a un très grand besoin.
Et maintenant, passons à la Parole aussi vite que nous le pouvons. J'étais assis là, il y a quelques instants, dans la voiture, attendant qu'on me fasse venir, et c'était... Pendant que j'étais assis là, ce sujet-ci m'est venu à l'esprit. Et j'ai trouvé un petit passage à lire dans le Psaume 65, et au verset 4.
5 Ça semble être une belle pensée. J'aime... de David. Vous savez, les Psaumes ne sont pas seulement des cantiques, mais ce sont aussi des prophéties. Saviez-vous cela? Avez-vous déjà lu le Psaume 22, là où se trouvent les paroles même que Jésus avait prononcées? Ses dernières paroles à la croix sont écrites dans ce Psaume 22: "Mon Dieu, pourquoi M'as-Tu abandonné? Tous Mes os me regardent et..." Et toute Sa situation avait été annoncée dans le Psaume 22.
Je crois qu'il y a un petit - d'une certaine façon un petit écho ici, je ne sais pas pourquoi. Je... Peut-être l'ingénieur a mis cela un peu trop haut. Et... M'entendez-vous tous très bien, là derrière? M'entendez-vous à l'étage? Excusez-moi, je suis un garçon de campagne, je voulais dire au balcon, pas à l'étage.
Cela en serait une bonne où ma femme pourrait m'avoir. Et toi, Sœur Wood, ne rapporte pas cela quand tu seras à la maison. Voyez?
6 Très bien, au - au Psaume 65, verset 4, lisons ceci maintenant comme une petite toile de fond pour notre méditation. Et maintenant, voici ce qui est écrit : Heureux celui que tu choisis, et que tu admets en ta présence, pour qu'il habite dans tes parvis : nous nous rassasierons du bonheur de ta maison, de la sainteté de ton temple. Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de cette Parole. Et maintenant, le psalmiste dit ici : Heureux celui que Dieu a choisi pour s'approcher de Lui, afin qu'il demeure dans Ses parvis, que Dieu a choisi pour s'approcher de Lui. Oh! comme nous pouvons... Je crois que le Saint-Esprit pourrait effectivement déterrer certaines choses là, si nous pouvions - si nous avions le temps de le faire.
7 Eh bien, remarquez : "Heureux celui que Tu as choisi pour s'approcher de Toi afin qu'il (celui qui a été choisi pour s'approcher) puisse habiter dans Tes parvis, et que nous soyons rassasiés dans Ton temple."
Remarquez, l'approche vers Dieu. Il existe une façon d'approcher Dieu. Vous savez, si vous allez rendre visite à un roi, il y a une façon pour vous approcher d'un roi. Il y a une façon de s'approcher... Eh bien, pour rendre cela plus simple que ça, le garçon qui aimerait aborder une jeune fille pour faire connaissance avec elle, il y a - il y a une certaine approche. Vous ne pouvez tout simplement pas aller là et dire : "Hé! là. J'aimerais faire connaissance avec toi et te serrer la main." Et à moins qu'elle ne soit pas une vraie dame, sinon elle vous remettra à votre place. Très bien. Il y a une certaine façon pour vous d'aborder cela. Il vous faut vous approcher de cette dame avec - avec respect et tout le reste.
8 Il y a aussi une façon d'aborder chaque chose. Il y a une façon d'approcher Dieu. Et si nous ne connaissons pas l'approche vers Dieu, nous ne pourrons jamais avoir une audience auprès de Dieu. Voyez? Il nous faut savoir...
Dans une salle d'audience, si... Vous ne vous approchez pas tout simplement là, alors que le juge est sur l'estrade, et vous dites : "Hé! juge, j'aimerais vous parler un peu." Quelqu'un vous chassera de la salle d'audience et vous mettra en prison, voyez, pour atteinte à l'ordre public. Voyez? Il y a une façon d'aborder le juge.
Et nous devons trouver la - une façon de nous approcher du Grand et Divin Juge, Dieu Lui-même.
Quand autrefois l'homme, par les Etres Angéliques, peut-être que, lorsqu'il entrait dans la Présence de la - de Sa Majesté, le Grand Roi du ciel, il s'approchait peut-être d'une autre façon. Mais depuis que le péché a coupé les relations... Eh bien, les relations...
9 Eh bien, si on est un fils, et qu'on veut aborder son père, on s'approche tout simplement du père, et on dit : "Père, je - je viens te rendre visite ou te voir pour quelque chose." C'est ça son approche. Mais maintenant, pour un étranger, il y a une autre approche. Voyez-vous?
Et il y a une approche vers Dieu pour beaucoup de cas différents. Maintenant, si j'allais - mon père était vivant, et que je voulais l'aborder pour un problème d'argent, ça serait une approche un peu différente d'un autre type d'approche. J'aurais aimé lui dire combien je l'estime et ainsi de suite. C'est l'approche que vous devez avoir pour rencontrer Dieu.
10 Eh bien, lorsque l'homme a péché là au commencement dans le jardin d'Eden, il s'est séparé, et il a rompu toute approche vers Dieu, son lien vital même. Il s'était séparé de son Créateur, n'ayant aucun moyen du tout de Le revoir. En effet, son péché, son manque de confiance en Dieu par incrédulité, l'avait séparé de Lui.
L'unique péché qu'il y a, c'est votre péché d'incrédulité. L'incrédulité, c'est ça votre péché. Et aujourd'hui, la seule raison pour laquelle nous ne sommes pas là où nous devrions être, c'est à cause de notre incrédulité. C'est - c'est cela. La raison pour laquelle les - les miracles et les autres choses ne sont pas dans l'église comme ils devraient être, c'est à cause de l'incrédulité qui nous sépare.
11 La raison pour laquelle ce pauvre homme pèche, commet les meurtres et tout dans notre monde aujourd'hui, et que toutes sortes de désastres arrivent, c'est à cause de l'incrédulité envers Dieu. C'est tout. Si nous croyons… il n'y a que deux choses : soit vous croyez, soit vous ne croyez pas, l'une ou l'autre.
Si vous croyez effectivement, alors les œuvres de justice suivront un croyant. Et si vous ne croyez pas, les œuvres d'iniquité vous suivront. La seule chose qu'il y a... mentir, voler, dérober, et tout le reste, ce sont les attributs de l'incrédulité. Et la longanimité, la patience, la bonté, la miséricorde, et tout le reste, ce sont les attributs de la foi en Dieu, la foi en Dieu.
Eh bien, mais quand l'homme a été séparé sans... sans aucune voie d'approche, son seul lien vital, tout a été retranché. Il a été abandonné dans les ténèbres, sans espoir, sans aucun moyen du tout de s'approcher de son Créateur.
12 Et alors, lorsque Dieu est descendu à la recherche de l'homme… J'aimerais que vous remarquiez ceci. C'est toujours Dieu qui cherche l'homme, ce n'est pas l'homme qui cherche Dieu. Avez-vous déjà pensé à cela? Aucun homme, en aucun moment, en aucun âge, a jamais de lui-même désiré servir Dieu, jamais. Sa nature s'y oppose.
Eh bien, il pourrait avoir une sorte de pensée intellectuelle selon laquelle il fait - il pense qu'il croit effectivement en Dieu, mais quand il croit réellement - effectivement en Dieu, il se convertit et devient une nouvelle créature, aussitôt qu'il croit en Dieu. Il - il se peut qu'il soit un croyant intellectuel en Dieu, mais dès qu'il croit du fond du cœur, alors il est converti et devient un - un - un membre du Corps de Christ. Lorsqu'il est converti du fond du cœur, pas à partir de son intellect... Eh bien...
13 Mais l'homme ne cherche jamais Dieu; c'est Dieu qui cherche l'homme. Dieu, Sa nature est sainte et noble. L'homme, dans sa chute, est vil et dégradé. Et un homme sans Dieu n'est jamais (Je pense que je ferais aussi bien de le dire, n'est-ce pas), il n'est pas dans son bon sens. C'est tout à fait vrai. Je peux prouver cela. Un homme sans Dieu n'est rien qu'une brute. Eh bien, c'est très profond, mais je peux vous le prouver.
Ce qui fait qu'il y a une civilisation aujourd'hui, c'est Jésus-Christ. Les gens disent que la religion de Jésus-Christ rend les gens fous. Elle vous donne votre bon sens. Et vous n'êtes pas dans votre bon sens jusqu'à ce que vous Le trouviez. C'est vrai. Maintenant, cela... Je n'ai pas l'intention de blesser vos sentiments, mes frères, ou messieurs, voyez, et mesdames. Je n'ai pas cette intention. Mais j'aimerais effectivement présenter la chose exactement telle quelle.
14 Christ ne vous fait pas perdre la raison; Il vous redonne votre bon sens, après que vous l'avez perdu. C'est le diable qui prend - qui vous fait perdre votre raison. C'est un démon.
Considérez le - le fou de Gadara. Voyez? Lorsqu'il a rencontré Jésus, il a recouvré sa raison, son bon sens. Et un homme qui n'a pas son bon sens, peu importe combien il est intelligent, il n'est toujours pas sain d'esprit. Un homme qui ne connaît pas Christ n'est en lui-même rien d'autre qu'une brute. Il va... A cause des passions et des envies, il pourrait arracher un bébé des bras de sa mère, et la violer, à cause de ses propres désirs bestiaux. C'est vrai. Certainement qu'il le fera.
15 Il va intoxiquer son corps par l'alcool et autres, le tabac et la drogue, qui l'intoxiqueront et le tueront, et il pense être intelligent, instruit. Voyez? Il n'est pas plus avisé que ça. Vous devez naître de nouveau. Et alors, pour cet homme-là, vous devenez fou. Mais aux yeux de Dieu vous êtes béni.
16 Et peu importe que le monde cherche à dire n'importe quoi à ce sujet, vous savez alors que vous êtes passés de la mort à la Vie, parce que la Vie règne dans vos corps mortels par Christ.
Ainsi, c'est juste comme... Prenez un cochon et un agneau. Et que l'agneau dise au cochon : "Oh! je déteste vraiment d'être un cochon. Regarde comment tu te vautres dans cette pâtée et tous tes agissements comme cela."
Le cochon, s'il pouvait répliquer à l'agneau, il dirait : "Occupe-toi de tes affaires, mon vieux. Je sais de quoi j'ai besoin. Ce n'est pas ton affaire." Voyez, il n'a aucun désir de devenir un agneau, parce que sa nature, c'est celle d'un cochon. Eh bien, la seule façon de le faire sortir de cette pâtée, ce n'est pas de le laver, non non, mais de changer sa nature. Lorsque vous changez sa nature, vous n'avez pas à le laver, il se lavera lui-même, et si sa nature est changée. Est-ce vrai? Assurément.
17 Ainsi, simplement parfaire l'éducation, se joindre à l'église, et - et lire beaucoup, et connaître beaucoup de livres, d'auteurs et tout le reste, cela ne signifie pas que vous êtes converti. En effet, c'est l'esprit intellectuel que vous avez qui vous donne une conception intellectuelle selon laquelle il existe un Dieu quelque part, cependant vous n'êtes pas encore un chrétien, jusqu'à ce que vous ayez effectivement un contact personnel avec Christ, contact qui change votre cœur et votre nature. Alors vous devenez un enfant de Dieu. Et les choses anciennes sont passées, et toutes choses sont devenues nouvelles.
Eh bien, si vous remarquez bien, Dieu, alors... Il était impossible à l'homme de s'approcher, il a fallu donc que ça soit la miséricorde de Dieu. C'était Dieu qui appelait l'homme, disant : "Adam, où es-tu?"
18 Eh bien, aujourd'hui, c'est la même chose aujourd'hui, l'homme ne peut pas venir à Christ, à moins que Dieu l'appelle premièrement. Voyez? Sa nature. Si jamais vous aviez eu une nature, une pensée de quelque chose, de venir à Dieu, c'est que Dieu traite avec vous. C'est vrai. Parce que Jésus a dit : "Nul ne peut venir au Père, ou ne peut venir à Moi, à moins que..." Nous ne pouvons pas venir à - à Dieu, à moins que ça soit par Christ. Est-ce vrai? Le Saint-Esprit doit nous appeler premièrement, sinon nous n'y penserons jamais. Ça sera juste - nous irons juste de l'avant en pensant aux choses du monde : "Eh bien, l'église, c'est très bien. Assurément, je crois que c'est en ordre." Mais un vrai contact, c'est Dieu qui doit le faire.
19 Maintenant, la voie d'approche que Dieu a tracée pour Adam... Eh bien, observez. Adam s'était fait une approche. Il avait dit : "Eh bien, je dois aller rencontrer Dieu." Aussi, s'est-il fait un tablier de feuilles de figuier pour couvrir sa honte. Et il s'est aperçu que Dieu a rejeté cette approche.
Et aujourd'hui, si quelqu'un se dit : "Eh bien, je vais venir en aide à madame Dupont qui est là; c'est une veuve; elle a besoin de charbon. Je vais faire des dons à la Croix Rouge, ou à une organisation philanthropique avec ce que j'ai en surplus. Je vais me joindre à l'église." Vous vous faites seulement une approche que Dieu rejettera. Il n'y a qu'une seule approche à travers... vers Dieu.
Eh bien, Dieu a rejeté l'approche d'Adam. Et alors, Dieu est allé, Il a fait une approche pour Adam. Il a fait pour Adam une approche vers Lui-même. Et en le faisant, Il a tué une brebis ou quelque chose comme cela, Il leur a procuré des peaux. Et au travers du sang, Il a présenté au monde la première approche vers Dieu pour le péché. Car sans effusion du sang, il n'y a pas de pardon de péché. C'est vrai. Seul le sang peut frayer la voie.
20 Et Dieu avait pourvu à une approche pour Adam là dans le jardin d'Eden; c'était au travers de l'effusion du sang d'un innocent, pour se réserver une approche vers Lui. Alors Adam pouvait une fois de plus venir au travers du sang versé de l'agneau, par cette approche, et parler encore face à face avec Dieu au travers - au travers du sang, par l'approche à laquelle Dieu avait pourvu pour lui.
Eh bien, c'était la première méthode de Dieu pour que les gens s'approchent de Lui, au travers du sang versé. Depuis ce jour-là jusqu'à aujourd'hui, c'est la même chose. L'approche vers Dieu, c'est au travers de l'effusion du Sang.
Eh bien, bien des fois Dieu a donné des choses telles que - que des symboles et des représentations et autres, frayant une voie vers ce Sang. Eh bien, prenons par exemple Job.
21 Et lorsque Job était (c'est le livre le plus ancien de la Bible)... et lorsque Job, un vieil homme... Et juste avant que ce désastre ne s'abatte sur son foyer, il était un peu inquiet. Il avait un bon nombre d'enfants, et ils étaient des mondains, ils sortaient, ils se mêlaient aux choses du monde. Et nous tous parents, nous savons quel sentiment cela donne, lorsque vos enfants, votre cœur même, se mettent à se mêler au monde, et à fréquenter des incroyants. Je ne pense pas que Billy soit ici maintenant; je pense qu'il est dehors peut-être en train de parler à frère Wood. Mais dans notre ville, nous n'avons pas d'école chrétienne. Il y a une bande d'enfants mondains, des filles tout comme des garçons. Et lorsque je pensais envoyer mon fils à cette école-là, sachant que malgré tout ce que je lui ai inculqué, à moins qu'il soit réellement converti, qu'il soit venu effectivement à Christ, c'est-à-dire que toute sa nature soit changée, il m'échapperait dès qu'il fréquenterait ce groupe mondain. En effet, sa nature même, peu importe qu'il soit un bon garçon, cela ne... qu'il ait un père prédicateur, une famille pieuse, où nous n'approuvons aucune chose du monde dans notre maison... nous essayons de vivre par la grâce de Dieu comme des chrétiens le devraient, il en subit l'influence. Je savais que s'il était perdu, il devrait certainement passer par-dessus un foyer correct, pour être perdu. J'aimerais qu'il ait à passer par-dessus ma vie. Et il aura à passer par-dessus la Bible. Il aura à passer par-dessus le Sang de Christ. Car je vais certainement par la grâce de Dieu placer cela en face de lui.
22 Mais si sa nature n'est pas changée, il continuera malgré tout. Et combien je pense au jour où Billy est entré à l'école secondaire, et comment je me suis dit : "Oh! la la!" et sachant que cependant... Il avait - oh! il a été baptisé, certainement, mais il ne s'est jamais complètement abandonné, consacré à Christ. Sachant que sa nature était encore la nature d'un enfant, combien mon cœur était ému pour lui, et combien je priais, je sortais à bord de ma voiture, et j'allais dans les environs et je disais : "Ô Dieu! ne laisse pas mon fils s'embourber dans ce genre de sottises là-bas." Combien je disais : "Ô Dieu! je - j'espère, je prie, sa mère est morte, j'ai été à la fois son père et sa mère. Ainsi, je T'en prie, ne le laisse pas s'embourber là-bas, et avoir des ennuis. Voudras-Tu le protéger d'une certaine façon?"
23 Et oh! si j'en avais le temps cet après-midi, cela prendrait des heures pour expliquer comment Dieu a donné des avertissements à Billy, à plusieurs reprises. Oui, oui. Je l'ai vu... Il n'y a pas longtemps, j'étais à New Albany, la petite se faisait plomber les dents, un petit enfant lui avait endommagé les dents à l'école. Et alors, Billy était allé à la pêche, il est revenu fortement enrhumé, ou quelque chose comme cela. J'étais avec quelques prédicateurs, et nous étions à New Albany. Et ma femme était là avec la petite fille qui se faisait soigner les dents. Lorsque je... J'étais là, et Quelque chose m'a dit : "Sors de la voiture et mets-toi à marcher." Je me suis dit : "Qu'était-ce?" Je suis sorti et je me suis mis à marcher dans la rue. Et le Saint-Esprit m'a rencontré là, Il a dit : "Rentre vite à la maison, Billy est sur le point de mourir." Et je l'avais laissé sur sa bicyclette, allant à la pêche. Eh bien, il est allé là, je pense, il est tombé dans la rivière, pendant qu'il pêchait, il s'est mouillé, et il a attrapé un gros rhume, il a traîné à la rivière. Au lieu de rentrer à la maison, il est directement passé chez Sam, et il lui a demandé (C'est un... mon ami médecin.) et il a dit : "Doc, donnez-moi une piqûre de pénicilline. Je suis... Je me suis mouillé aujourd'hui. Je - je n'aimerais pas attraper un gros rhume", a-t-il dit. Et le médecin lui a donné une piqûre de pénicilline, et quand il est rentré à la maison, ses orteils étaient devenus gros comme ceci, il est tombé...
24 Là, ma belle-mère l'a appelé d'urgence, et il est vite venu là et a appelé un spécialiste de Louisville, on a fait venir très rapidement l'ambulance, on l'a amené à l'hôpital, on l'a étendu là, on lui a fait deux piqûres de l'adrénaline au-dessus du cœur. Et son cœur est passé directement à dix sur vingt, quelque chose comme cela. Je suis rentré en toute hâte à la maison. Les prédicateurs qui étaient avec moi ont dit : "Comment le sais-tu, Billy?" J'ai dit : "Observez et voyez." Nous avons franchi les portails, et ma belle-mère se tenait dans la cour, criant à tue-tête. Elle a dit : "Billy se meurt à l'hôpital." Je les ai tous déposés là aussi vite que possible et je suis sorti pour aller à l'hôpital.
25 Quelques jours auparavant, je lui avais dit : "Billy, tu es sur un terrain dangereux. Abandonne cette compagnie que tu fréquentes." J'ai dit : "Le Seigneur Jésus m'a montré hier soir, juste avant d'aller au lit, pendant que j'étais dans la pièce là, après la prière, je t'ai vu et tu n'écoutais pas ce que je te disais. Mais tu as sauté par la fenêtre, je t'ai vu tourner, la tête en haut; puis les talons en haut, comme cela, faisant des tonneaux continuellement, passant dans l'espace." J'ai dit : "Tu dois cesser de fréquenter ce genre de compagnie-là." Eh bien, étant un enfant, il a tout simplement continué.
26 Ainsi, je me suis précipité là à l'hôpital, et voici venir mon petit ami médecin dans le hall, il a jeté son chapeau dans le hall, il a dit : "Bill, je crois vraiment, je crois que j'ai presque tué ton fils il y a quelques minutes." Il a dit : "Nous avons deux spécialistes ici, a-t-il dit, nous lui avons donné deux piqûres d'adrénaline au-dessus... juste au-dessus du cœur et, a-t-il dit, il est toujours couché là inconscient."
27 Et moi, essayant d'agir en père, et en ministre de l'Evangile, je me suis redressé, je me suis mis à marcher lentement. J'ai dit : "Très bien, Doc, tu - tu es mon ami. Tu as fait de ton mieux."
Il a dit : "Je ne savais pas qu'il était allergique à cela, Billy. Je le lui avais donné auparavant, a-t-il dit, je ne sais pas ce qui est arrivé." Et il se tordait les mains, comme nous sommes des amis intimes. Et le petit... Il s'est mis à parcourir le hall, j'ai dit : "Puis-je le voir, Doc?"
Il a dit : "Eh bien, nous lui avons mis des sondes." Il a dit : "Vas-y."
28 Et je me suis faufilé très doucement et j'ai regardé là où il était...?... pour tirer la porte derrière moi, et là Billy... Le visage était tout aussi sombre que possible, et ses yeux enfoncés. On l'avait mis sous oxygène, il gargouillait avec une sonde au nez, et tout. Sa langue était ressortie, sa bouche était renvoyée vers l'arrière, et ses yeux étaient fixes; il était tout aussi sombre que possible, je me suis dit : "Le voilà." Je me suis agenouillé, j'ai pensé : "Ô Dieu! vas-Tu prendre mon unique fils? Vas - vas-Tu le prendre, Seigneur, lui que j'ai porté sur mon bras... et je - je sais, Seigneur, Tu comprends les enfants. Je Te prie de lui venir en aide", en étant aussi calme que possible devant Dieu.
29 Et le Dieu Tout-Puissant qui est mon Juge, ici devant cette chaire sacrée cet après-midi, L'approchant par Jésus le Fils de Dieu, Son propre Fils, qui est mort pour sauver mes… et pendant que j'étais en prière, cette vision s'est répétée là. J'ai vu ses pieds et sa tête tournoyer sans cesse comme cela continuellement, il descendait constamment, tournoyant comme cela dans la vision qui s'est produite quelques soirées auparavant. Et j'ai vu deux bras se tendre et l'attraper, comme cela, et commencer à le ramener en le transportant, comme cela. Et quelques instants après, j'ai levé les yeux, Billy a regardé, et il a dit : "Papa, où sommes… où suis-je?" J'ai dit : "Tout va bien, mon fils. Tout va bien."
30 Je suis allé là, et Doc se tenait là en train de parler à l'interniste. J'ai attendu que ce dernier soit parti. J'ai fait passer mon bras autour de Doc, j'ai dit : "C'est complètement fini, Doc." Il a dit : "Penses-tu qu'il va s'en sortir?"
J'ai dit : "C'est déjà fait." Christ... Amen. Parlez d'une approche! Oui, Job, pensant peut-être que ses enfants avaient pu pécher par hasard, il a dit : "Il se peut qu'ils aient péché, et je ne - je n'en sais rien." Il n'avait donc qu'une seule voie par laquelle s'approcher. Et c'était au moyen d'un holocauste.
31 Il a donc pris l'holocauste et a offert une offrande pour ses enfants. Il l'a offerte en sacrifice pour chacun de ses enfants, car peut-être... Ecoutez, voyez, peut-être qu'ils avaient péché. Peut-être qu'ils n'avaient pas péché à côté de Job. Peut-être qu'il n'en savait rien. Mais étant donné qu'ils étaient partis seuls dans le monde... Je vous assure, ce dont nous avons besoin aujourd'hui, c'est davantage de bons pères et mères à l'ancienne mode qui prient pour leurs enfants. Si nous avions cela, ce serait le plus grand soutien à ma connaissance pour éradiquer la délinquance juvénile. Premièrement, donnez-moi des mères et des pères à l'ancienne mode qui prient pour leurs enfants.
32 Ecoutez ceci, jeunes garçons ou jeunes filles, cet après-midi. Si vous avez une mère ou un père de ce genre, le Saint-Esprit est en train de parler à votre cœur, ce sont les prières de votre mère sur lesquelles vous marchez. Souvenez-vous-en. Vous ne prospérerez jamais, à moins de retourner et de vous abandonner à Christ. C'est vrai. Eh bien, Job a dit : "Peut-être qu'ils ont péché." Ainsi, il a offert le meilleur qu'il avait, tout ce qu'il connaissait, car c'était toute l'approche qu'il avait vers Dieu. Ainsi il a tué un agneau pour sa propre approche. Il a tué un autre pour un fils, un autre pour un autre, et il a offert un holocauste pour chacun afin d'avoir une voie d'approche vers Dieu. Dieu a vu l'honnêteté et la sincérité.
33 Oh! vous dites : "Eh bien, Frère Branham, attendez donc une minute. Je ne crois pas que l'influence du père... Je crois que c'est une affaire individuelle." C'est vrai. Mais nous avons reçu la commission de prier les uns pour les autres, c'est vrai, et de présenter nos bien-aimés à Dieu, afin qu'Il les sauve.
Maintenant, remarquez. Dans tout ceci, Job a gardé sa pensée sur Dieu en offrant des sacrifices expiatoires, afin que, s'ils avaient péché, peut-être que l'approche... Vous dites : "Eh bien, cela était-il aussi valable dans le Nouveau Testament?" Oui. Certainement. Eh bien, quelqu'un dira : "Si je suis sauvé dans ma maison, devrais-je quitter ma maison?"
34 Non. A moins qu'on soit obligé. Je resterais là même. Car Paul a parlé au geôlier philippien, il a dit : "Crois au Seigneur Jésus-Christ, et tu seras sauvé, toi et ta maison." C'est vrai. La femme sanctifiée sanctifie le mari. Vivez comme un chrétien. Soyez comme un chrétien. Priez tout le temps. Croyez que Dieu est là, et qu'Il va exaucer votre prière. Offrez cela par l'approche qui a été donnée.
35 C'est ainsi que Job avait fait, il avait une approche, c'était par l'holocauste. Ainsi il a pris un holocauste, il est allé l'offrir, il s'est approché de Dieu pour ses enfants. Voyez-vous cela? Il avait une approche. Ainsi, il a utilisé cette approche en faveur de ses enfants. "Me voici maintenant, ô Dieu! avec cet agneau, je l'offre pour John. Eh bien, s'il a péché, Seigneur, je Te prie de lui pardonner." Voyez? Voyez? Par l'approche de l'holocauste d'un agneau, parce que c'était la seule chose par laquelle il devait s'approcher.
36 Eh bien, si jamais vous faites bien attention, lorsque le désastre a frappé le foyer de Job, et que tous les enfants étaient tués et tout le reste... Et tout ce que Job avait était détruit. Dieu ne réprimandait pas Job. Il le purgeait seulement. Amen. J'aime ce mot, une purge. La branche qui porte des fruits, Dieu l'émonde donc, afin qu'elle porte davantage de fruits. Le problème en est que nous pensons parfois que Dieu est fâché contre nous. Mais Il cherche seulement à nous purger afin que nous portions davantage de fruits, en nous donnant quelques épreuves. La Bible dit qu'elles valent pour vous plus que l'or précieux.
37 Saviez-vous que chaque fils qui vient à Dieu doit premièrement - premièrement être éprouvé, fouetté, être corrigé au fouet comme un enfant? Ce n'est pas facile. Lorsque Dieu vous fouette, vous allez là et vous dites : "Eh bien, je vais me mêler aux gens." Dieu vous donnera une très bonne fessée à l'ancienne mode pour cela. Et je vous assure, si nous en avions plus dans le naturel aujourd'hui, nous aurions des meilleurs enfants. Dieu aime que Sa famille soit redressée. Ainsi Il vous fouette un peu, afin que vous soyez redressé. Cela vous amène à L'aimer davantage. Mon père me fouettait, et je me disais : "Oh! la la!" Je souhaiterais faire revenir mon vieux frère aux cheveux gris, mon père, de l'autre côté aujourd'hui. J'honorerais chaque coup de fouet qu'il m'a jamais donné. Je n'en ai jamais eu autant que je le méritais. C'est ainsi que je pensais à l'époque, mais pas aujourd'hui, parce que cela m'a corrigé. Quoiqu'il ne se comportait pas correctement lui-même, cependant il voulait que je me comporte correctement. Amen.
38 Il le veut pour nous aussi. Si nos parents terrestres veulent que nous nous comportions bien, qu'en est-il de notre Parent céleste, le Seigneur Jésus? Il doit nous corriger. Et les Ecritures déclarent... "Si nous ne pouvons pas supporter le châtiment, ou le fouet, la correction de l'enfant, alors nous sommes des enfants illégitimes et non des enfants de Dieu." Voyez? Si vous êtes vraiment né de nouveau, saisissez cela donc, si vous êtes réellement né de nouveau, rien ne peut vous séparer de Dieu. C'est vrai. Ni la faim, ni le péril, ni les épreuves, ni la souffrance, ni la mort, rien ne peut nous séparer de l'amour de Dieu qui est en Jésus-Christ." Vous dites : "Eh bien, autrefois quand je suis devenu un chrétien, tout commençait à aller dans ce sens et dans l'autre sens, et je me suis dit : 'Oh! la la! J'étais mieux dans l'autre sens.'" Vous n'êtes jamais venu à Dieu, frère. Si jamais vous venez réellement à Dieu, et que vous goûtiez au don céleste de Dieu, que vous étiez participant de Sa nature divine, eh bien, vous ne pourrez plus redevenir un pécheur, un incroyant, pas plus qu'une tige de maïs ne pourrait devenir un chardon. C'est vrai.
39 C'est votre nature. C'est votre constitution. Vous avez suivi l'approche correcte. Vous suivez votre propre approche. Suivez une fois l'approche pourvue par Dieu et voyez ce qui arrive. Oui. Job amenait ses enfants par chaque - l'unique approche pourvue qu'il y avait, l'holocauste. Et maintenant, voici une petite chose que j'aimerais vous faire remarquer. Après que tout le trouble et tout était fini... et puis, Dieu avait pris toutes ses brebis, tout son bétail, et tous ses chevaux, et tout, alors, à la fin de son châtiment, ou de sa purge, Dieu lui a donné le double. S'il avait dix mille vaches, Il lui a donné vingt mille vaches. Voyez? Oh! N'est-ce pas merveilleux? Dieu a purgé Job en vue de le bénir.
40 Vous dites : "Frère Branham, je suis chrétien, et je suis malade maintenant. Je me demande pourquoi cela est venu." Peut-être que Dieu est en train de vous purger (Amen.), de vous éprouver, de vous attirer un peu plus près de Lui, pour que vous priiez un peu, et ensuite Il vous guérit, afin que vous ayez un témoignage. Christ vous guérit. Vous dites : "Eh bien, j'ai appris qu'Il a guéri les autres." Alors vous êtes un - vous êtes un... Le cultivateur jouit alors des fruits. Voyez-vous cela?
41 Je me disais que c'était vraiment dur lorsque je recevais les miennes. Et si ça ne dépendait que de moi, j'aurais échoué. Mais Quelque Chose en moi, ce n'est pas moi qui garde Cela, Cela me garde. La question n'est pas de savoir si je tiendrai ou pas, c'est de savoir si Lui tiendra ou pas. Et s'Il tient bon, je suis donc sûr d'être là. La question, ce n'est pas de savoir si je peux y parvenir ou pas, c'est de savoir si Lui y est parvenu. Je crois qu'Il y est parvenu. Cela règle la question. Amen.
42 Cela vient de mon cœur, j'ai confiance en Dieu, que c'est le cas. Ce n'est donc pas, ou plutôt pas du tout tout ce que je fais, c'est ce que Lui a fait. Vous dites : "Eh bien alors, qu'en est-il... Cela autorise-t-il à pécher?" Non frère, certainement pas. Qu'est-ce que cela fait? Si vous péchez, et que vous continuiez dans ce que nous appelons péché, boire, se méconduire, et faire des mauvaises choses, cela montre que votre cœur n'est pas correct pour commencer. Cela doit provenir d'ici. Alors, quand vous suivez cette voie-là, la voie de Dieu... Et remarquez.
43 A la fin donc, après que Job eut tout fait selon la voie, ces voies pourvues pour approcher Dieu pour tous Ses enfants, il s'approchait pour ses enfants, priant pour eux. Et si jamais vous faites attention, en fin de compte, il a été restitué à Job le double. Dieu lui a donné le double de ce qu'il avait, Il l'avait purgé, et Il lui avait tout restitué.
44 S'il avait dix mille têtes de vaches, il en reçut vingt. S'il avait dix mille têtes de brebis, il en reçut vingt. S'il avait trente mille têtes de - de chèvres, eh bien, il en reçut - il en reçut une - une soixantaine : Dieu lui en a donné le double. Et d'autre part, je crois qu'il avait sept enfants. Et Dieu lui a restitué ses sept enfants. Avez-vous déjà remarqué cela? Il ne lui avait pas donné les enfants au double, il lui a simplement restitué ses enfants. Amen. Pourquoi? Comment a-t-Il fait cela? Par l'approche, l'holocauste. C'est vrai. Oui certainement. Ils étaient tous dans la gloire, attendant qu'il y arrive, Dieu a restitué à Job ses enfants après qu'ils furent morts. Il ne lui a pas donné, en restituant, quatorze enfants. Il lui a restitué ses animaux et tout le reste, mais Il lui a fait une restitution. Pourquoi? Il était devenu la voie d'approche pourvue par Dieu au travers de l'holocauste. C'est cela l'approche.
45 Abraham, lorsqu'il était devenu vieux, il était venu du pays de Chaldéen, dans la ville d'Ur, et il y avait séjourné. Dieu l'avait séparé de son peuple, de tous ses associés, Il l'avait séparé de tous ses bien-aimés, et Il l'a envoyé, lui et Sara, dans un pays étranger, pour rester avec des étrangers, pour être un étranger. N'êtes-vous pas content d'être un étranger?
46 Un étranger, un pèlerin. Amen. Un étranger, quelqu'un qui est envoyé. En d'autres termes, Abraham était un missionnaire ou un apôtre. Il a été envoyé par Dieu dans un pays étranger. Et le mot "apôtre" signifie "celui qui est envoyé", un missionnaire, de même. Et dans ce pays, il était différent de tous les autres. Il était donc un apôtre, un pèlerin, et un étranger. C'est ce qu'est chaque croyant qui vient à Dieu aujourd'hui au travers du sacrifice du Seigneur Jésus-Christ, il est appelé à sortir de son habitation. Vous les femmes, avec vos parties de cartes, vos soirées dansantes, votre tapage et - et toutes vos beuveries, et vous les hommes avec votre péché, Dieu vous sépare de ces choses, et Il vous appelle à sortir pour être un quoi? Un apôtre. Il vous envoie loin de cette assistance, ou plutôt de cette foule, au milieu d'une autre catégorie de gens... Pour être un quoi? Un pèlerin pour le monde, un étranger.
47 Oh! J'aime ce vieux cantique. On le chante toujours lorsque nous baptisons:
Nous sommes pèlerins et étrangers ici,
Nous cherchons une cité à venir.
Le bateau de sauvetage vient bientôt,
Pour rassembler les joyaux à la maison.
Oh! J'aime vraiment ce vieux cantique. J'entends presque les eaux clapoter alors qu'on se met à chanter cela. Nous chantions cela lorsque l'Etoile du Matin, l'Ange du Seigneur a fait Sa première apparition en public au-dessus de là où je me tenais, pour la première fois de ma vie, au bas de Spring Street dans le fleuve Ohio en juin 33, alors que j'étais un jeune prédicateur baptiste, baptisant là.
48 Eh bien, Abraham fut appelé à se séparer afin de séjourner comme un pèlerin et un étranger. Avec quoi? La promesse que Dieu allait bénir le monde par lui. Il était appelé à sortir lorsqu'il avait soixante-quinze ans, Sara en avait soixante-cinq, ils avaient un écart d'âge de dix ans... Et il est allé là, et a attendu pendant vingt-cinq ans, ayant toujours confiance, croyant toujours, il professait qu'ils étaient des étrangers, il venait à Dieu selon l'approche et tout, et il croyait toujours qu'il allait avoir un fils. Et puis après qu'il avait cent ans, ou quatre-vingt-dix-neuf ans, au chapitre 15 de Genèse nous voyons que Dieu, après qu'Abraham avait attendu pendant vingt-cinq ans, Dieu S'est approché d'Abraham...
Il a dit : "Eh bien, Seigneur, je me fais vieux, mais comment? Je crois que Tu vas le faire. Mais je ne sais tout simplement pas comment Tu vas le faire." Amen. Très bien. "Je - je - je... sans douter de cela. Ce sera le Seigneur. Mais pouvez-vous tout simplement me montrer un peu comment cela va se faire?" C'est par-là que votre petite bénédiction spéciale vient. Voyez-vous? "Comment vas-Tu le faire, Seigneur? Maintenant, je suis vieux. Tu vas le faire. Mais peux-Tu simplement me montrer comment Tu vas le faire?" Oh! j'aime ça, pas vous? "Peux-Tu simplement me montrer comment Tu vas le faire, Père?"
49 Dieu a dit : "Viens juste ici, Abraham. J'aimerais te parler juste un instant." Il a dit : "Abraham, Je suis le Tout Puissant, le Dieu Tout-Puissant. Marche devant Ma face et sois parfait. C'est ainsi que Je vais le faire. Je suis le Tout-Puissant."
50 En Hébreu, le mot El... Tout-Puissant, signifie El-Shaddaï, ce qui signifie le Tout-Puissant. Ou plutôt El signifie Dieu, et Shad signifie un sein. Shaddaï, c'est le pluriel. Je suis le Tout-Puissant, le Fort, le Tout-Suffisant. Voyez-vous cela? Eh bien, Abraham a fait attention à ce qu'était ce nom sous lequel Il était apparu. Je suis El-Shaddaï. En d'autres termes, Je suis Celui qui porte des seins, Abraham. Le Dieu, le... A vrai dire, le mot S-h-a-d vient de... dans la Bible, cela signifie le - comme la - la femme, l'endroit où le bébé tète. En d'autres termes, Abraham, je suis le Fort. Je suis Celui qui donne la Vie. Pas seulement Celui qui donne la Vie quand le bébé pleure, Je suis Celui qui satisfait.
51 Le petit bébé, s'il pleure, étant malade, ayant des maux de ventre, tant qu'il se trouve dans les bras de sa mère en train de téter, il en est satisfait. Oh! la la! Saisissez-vous cela? Il peut être malade, avec sa petite tête qui tourne, tout le reste, mais s'il est sur la poitrine de sa mère en train de téter, il est apaisé. Peu importe à quel point vous êtes. Peu importe ce qui s'est passé, que Dieu tarde à répondre, tant que vous êtes sur Sa poitrine, suçant la Parole, cela satisfait le croyant.
52 " C'est cela Mon approche, a-t-Il dit, c'est ainsi que Je vous demande de vous approcher de Moi. Je - Je suis Celui qui vous satisfait, croyez-vous cela? a-t-Il dit." Amen. "Je suis Celui qui vous satisfait tant que vous tirez de Moi la Vie. Abraham, tu as cent ans, mais tu n'es qu'un bébé pour Moi." Voyez? "Eh bien, a-t-il dit, regarde ma chair, comme elle a des rides. Et mes cheveux sont gris, et mes épaules sont voûtées." "Mais Je suis Celui qui donne la Vie." Amen. " C'est cela, Abraham. Vois-tu cela? " Abraham crut alors en Dieu, parce qu'il avait une - une approche par un symbole, par un nom. De même, nous avons une approche par un nom : Jésus. Que signifie Jésus pour nous? Sauveur. Amen. Pour Abraham, El-Shaddaï : Celui qui satisfait, le Fort, Celui qui donne le salut, Celui qui donne la force. Ce que El-Shaddaï était pour Abraham, Jésus l'est également pour le croyant. Oh! la la! Cela ne vous emballe-t-il pas?
53 Cela rend les choses très insignifiantes, ces petites choses de cette terre. C'est donc très enfantin que d'y penser même. Nous devrions être de grands géants en Dieu aujourd'hui, pas de petits, de tous petits enfants. Tant que Christ est avec nous et qu'Il nous bénit, ayant fait les choses qu'Il a faites, et nous, après avoir vu Ses grandes œuvres, nous restons toujours des bébés. Paul a dit : "Lorsque... Pendant... Alors que nous devrions être capables de donner de la nourriture solide, vous en êtes encore à recevoir la nourriture solide - pas capable de recevoir la nourriture solide, mais nous donnons toujours du lait." C'est vrai. Il nous faut encore prendre du lait, du lait pur de l'Evangile, alors que vous seriez forts en mangeant de la nourriture solide. Voyez? Oh! la la, lorsque nous voyons ce que Dieu fait, et Ses œuvres grandes et puissantes, Sa Parole confirmée, nous devrions être grands et forts. C'est vrai. Vous savez pourquoi? Nous ne mangeons pas assez.
54 Eh bien, Abraham : "Je suis le Fort, le Tout-Suffisant."
55 Il était le Tout-Suffisant pour Daniel, lorsqu'il était dans la fosse aux lions. Il était le Fort qui pouvait apparaître là sous la forme d'une Lumière, et un lion ne pouvait même pas s'approcher de Lui. Il était le Fort dans la fournaise ardente avec les enfants hébreux, étant donné que Sa puissance suffisait pour les préserver même de l'odeur des flammes et de la fumée : le Tout-Suffisant. Amen. Et qu'est-ce que le roi Nebucadnetsar a dit? Il a dit : "J'en vois quatre. Vous en avez mis trois, et j'en vois quatre. Et un ressemble au Fils de Dieu ", le Tout-Suffisant, l'approche. Voyez-vous cela? Remarquez donc. Le voici. Merveilleux!
56 Eh bien, Abraham était vieux, pourtant Dieu lui avait fait la promesse, et Il avait dit : "Voici donc l'approche, Abraham. Tu vas suivre cette voie, par l'offrande du sang. Et Je suis donc derrière le Sang, comme Celui qui allaite, Celui qui donne la force, Celui qui satisfait, le Fort, le Tout-Suffisant." Pensez-y tout simplement. Eh bien, Il... " Je suis Celui qui porte les seins." Oh! avez-vous remarqué cela? Il n'a jamais dit : "Je suis El-Shad, mais Shaddaï, les deux (Amen), composé.
Il n'est point mort uniquement pour nos péchés, mais Il est mort pour nos maladies. Il a été blessé, notre approche... Qui est notre approche? Le Seigneur Jésus. Pourquoi a-t-Il été blessé? Pour nos péchés, un sein. Pourquoi a-t-Il aussi été meurtri? "Et c'est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris", un autre sein. Qui est-Il? Le JE SUIS, le grand El-Shaddaï, le Fort, le Tout-Suffisant, le Dieu porteur des seins pour le croyant (Amen et amen.), une double guérison, pas le double remède. Les médecins ont des remèdes. Dieu a la guérison. Voyez? L'église a le remède, mais Christ a la guérison, la double guérison.
57 Il n'est pas étonnant, je crois que c'était Charles Wesley qui a dit : "Qu'une double guérison sauve, non, me rende pur. Qu'il y ait une double guérison contre le péché, qu'elle me sauve de la colère et me rende pur." Comment ce Dieu peut-Il vous sauver de votre péché et de votre maladie? Celui qui porte des seins, le El-Shaddaï. En Israël, Il était l'approche. Et lorsqu'Israël a atteint un point où il devait être racheté, Dieu a pourvu à une approche. Avant qu'Il prenne Abraham, Il a dû lui montrer l'approche. Avant qu'Il puisse faire passer Job à travers des fournaises, Il a dû lui montrer l'approche. Avant de faire sortir Israël, Dieu a dû voir l'approche.
58 Ainsi, Moïse leur a ordonné de tuer un agneau et d'en faire une aspersion en signe de croix sur la porte. Et le croyant à l'intérieur, après l'aspersion... Observez cela. Saisissez l'ordre des Ecritures. Le croyant, une fois derrière le sang, ne pouvait plus sortir que par l'approche, il devait passer par le sang. La mort était sur la route. L'Ange de la mort ne pouvait pas toucher au sang. "Quand Je verrai le sang, Je passerai par-dessus vous." Et le croyant était passé par cette approche. Dieu allait leur accorder des miracles. Il allait les éloigner des pots d'ail... et leur permettre de manger la nourriture des Anges. Mais Il ne pouvait pas faire cela avant qu'ils aient une approche. Amen.
59 Il allait les amener loin des eaux sales et boueuses de l'Egypte, et leur donner des eaux vives d'un rocher. Il ne pouvait pas faire cela avant qu'Il ait fait une approche. Il ne pouvait tout simplement pas faire cela parce qu'Il en avait envie. Une approche devait être pourvue. Ils allaient voir la Mer Rouge être ouverte. Ils allaient voir des miracles se produire. Mais avant qu'ils voient cela, ils avaient (Laissez cela pénétrer profondément), ils ont dû passer par l'approche pourvue par Dieu. Voyez-vous cela, chrétiens?
60 Ce n'est pas parce qu'ils désiraient voir cela, pas parce que vous voulez voir quelque chose arriver. Si vous voulez voir si Christ a raison ou pas, passez par l'approche de Dieu pour aller vers Lui. Alors vous le saurez. Eh bien, les incirconcis ont essayé de passer par la même chose, de faire la même chose, et ils furent noyés. Si vous ne voulez pas être ruiné dans la vie, cessez de prétendre être un chrétien. En effet, vous allez vous retrouver ruiné ici quelque part. Oui, passez par la voie d'approche pourvue par Dieu.
61 Si je me mettais en route vers chez moi cet après-midi, et que j'allais - et que je traversais un champ, je me retrouverais enfoncé dans une mare de boue quelque part. L'autoroute mène à Jeffersonville, et je dois suivre l'autoroute. On roule facilement lorsqu'on est sur la route. Mourez à vous-même, passez par le Sang de Christ, alors vous pourrez vous approcher du Père, et Il vous donnera le Saint-Esprit, qui fera de vous un croyant. En effet, ce n'est plus vous qui croyez, c'est le Saint-Esprit en vous. Votre nature a été changée. Oh, j'aurais souhaité que nous ayons plus de temps, mais c'est... mon temps est terminé. Oh! j'aime vraiment la Parole, pas vous?
62 Ecoutez, avant de voir les miracles, ils ont dû suivre l'approche qui a été pourvue. Avant de voir la mer Rouge être ouverte, ils devaient être participants de la gloire... Remarquez. Avant de devenir participants de la gloire, ils ont dû passer par la voie pourvue, vers Dieu pour être participant de l'approche vine - divine, ou des choses divines. Et avant que vous ne deveniez participant de cette vocation céleste bénie, vous devez passer par l'approche qui a été pourvue, pas en vous nourrissant vous-même, pas intellectuellement, mais en mourant à vous-même, et en naissant de nouveau en Jésus-Christ à travers l'offrande du Sang. Alors...
63 Vous dites : "Oh! la la! Pourquoi n'ai-je pas su ces choses depuis longtemps?" Vous avez cherché à passer par votre église. Vous avez cherché à passer par votre organisation. Vous avez cherché à venir par un auxiliaire, ou l'une ou l'autre chose. Vous avez cherché à venir par vos propres bonnes œuvres, par vos mérites. Vous ne le verrez jamais. Vous ne pouvez pas vous approcher de cela à moins que vous mouriez à ces choses et que vous passiez par la voie d'approche pourvue par Dieu, qui est Jésus-Christ, et que vous soyez rempli du Saint-Esprit, la voie pourvue par Dieu par laquelle les pécheurs doivent passer. Vous ne pourrez jamais vous nourrir de la bonté de l'Ancien Testament et de la bonté du Nouveau Testament. Vous ne pourrez jamais vous nourrir de la joie, de la paix, du contentement, de la guérison de votre corps. Vous vous tiendrez à l'écart, pour critiquer, disant : "Oh! Cela a peut-être eu lieu il y a longtemps, mais je crois que l'approche a tout simplement tari maintenant." Ecoutez, si Christ est l'approche vers Dieu, alors Dieu, c'est El-Shaddaï. Amen. Ainsi, suivez la voie pourvue. Ne cherchez pas à la contourner, suivez la voie qui a été pourvue.
64 Une belle parabole, si nous avions le temps d'aborder cela, la parabole du souper des noces. Comment l'Epoux distribuait les robes, Il invitait tout le monde. Et les robes donnaient la même apparence à tout le monde. On se tenait à la porte, quand les gens passaient en présentant leurs invitations, en Orient, en Inde et ailleurs, c'est très beau, cela se fait encore. On distribuait les robes. Et tous les invités recevaient des robes. J'aime ça. Ainsi donc...
65 Lorsqu'ils arrivaient à la porte, il y avait un homme à l'entrée qui prenait leurs invitations. Ils mettaient une robe quand ils entraient. Un autre entrait, puis un autre entrait. Et alors, lorsqu'ils sont entrés là-dedans, et que le dîner était apprêté, on en a trouvé un là, qui ne portait cependant pas de robe. Qu'est-il arrivé? Cela montrait qu'il était entré par une fenêtre, qu'il avait contourné la porte et qu'il était entré par une autre voie. Il n'avait pas suivi l'approche qui avait été pourvue; en effet, le portier l'aurait renvoyé. La robe leur donnait à tous la même apparence. Que vous soyez riche ou pauvre, esclave ou libre, lorsqu'on portait la robe, on ressemblait aux autres. On ne pouvait pas exhiber d'habits fantaisistes, et toutes ces choses lorsqu'on portait la robe.
66 Ainsi donc, cela montrait qu'il était entré par une fenêtre, ou qu'il était passé par la porte de derrière, ou qu'il avait contourné la porte. Jésus a dit : "Mon ami, que fais-tu ici?" Et il ne savait quoi dire. Voyez, Dieu a une approche, et nous devons suivre cette approche. Et tout homme qui suit cette approche meurt à lui-même, vient à Christ, il est régénéré, né de nouveau, rempli du Saint-Esprit, la robe de la justice de Dieu lui est donnée et il vit désormais pour Christ. Vous suivez l'approche pourvue par Dieu.
67 Vous avez alors une nouvelle vie en vous. La vieille vie du péché est passée. Les vieilles pensées charnelles que Dieu - il y a très longtemps, il y a des années... Dieu est un Etre vivant, pas seulement là, mais juste ici maintenant. Tout ce qu'Il a dit est la vérité, et vous croyez tout cela, tout.
68 Alors, vous ne critiquez pas les autres. Vous ne critiquez pas votre pasteur, et tous les autres... Les femmes qui parlent de cette façon, vous avez pitié d'elles et vous priez pour elles. Vous suivez alors l'approche pourvue par Dieu. Voyez? Et si Christ avait trouvé tellement de fautes en vous qu'Il ne serait pas mort pour vous? Mais, voyez, Il était l'approche de Dieu vers - notre approche vers Dieu au travers de Lui. Saisissez-vous cela? Maintenant, remarquez. Lorsqu'Israël avait besoin de la guérison, El-Shaddaï... Lorsqu'ils avaient besoin de la guérison, ils avaient un objet, un objet divin là, qui était une représentation, un serpent, qu'ils regardaient, et croyaient, et étaient guéris. Eh bien, j'aurais souhaité que nous ayons du temps. Mais naturellement, il se fait - il se fait tard. Terminons maintenant.
69 Eh bien, toutes ces bonnes choses... Beaucoup d'autres personnages me viennent à l'esprit maintenant même, mais je dois me dépêcher. Observez. Eh bien, qu'en est-il de l'approche chrétienne? Comment nous approchons-nous? Un jour, comme Dieu l'a fait dans le jardin d'Eden, Il a pris un agneau innocent, ce qui était une image, Jésus-Christ, et Il l'a immolé pour en faire une couverture, Il a pris l'agneau, Il l'a dépouillé, et Il en a couvert l'homme pécheur afin que ce dernier ait la couverture de l'innocent. Dieu a amené Son Fils au Calvaire, Il L'a dépouillé de Sa chair, Il a versé le Sang, (la cellule de vie se trouve dans le Sang), Il a rendu l'Esprit afin de prendre la justice de Jésus-Christ et couvrir le coupable. Voilà l'approche de Dieu.
70 Y a-t-il des articles divins qui s'accordent avec cela? Oui. Alors Dieu, par Sa miséricorde, après avoir placé Christ à Sa droite, a envoyé de nouveau le Saint-Esprit. Et le Saint-Esprit a ordonné dans l'église comme symbole : les apôtres, les docteurs, l'évangéliste, les dons de guérison, les miracles, le parler en langues, l'interprétation des langues; les signes et les prodiges pour accompagner l'église au fur à mesure qu'elle avance, pour votre profit. Ce qui est divin, quelque chose pour montrer que le pardon divin, le Saint-Esprit est présent, Lui qui est sorti de la Vie même de Dieu, le Seigneur Jésus-Christ. Sa Présence est ici. La prédication de la Parole amène Sa Présence. L'opération des miracles amène Sa Présence. Et lorsque vous venez, dites : "J'aimerais m'approcher de Dieu". Quelqu'un dit : "Eh bien, maintenant, comment pourrais-je m'approcher de Lui?" Suivez l'approche à laquelle Il a pourvu, c'est par Son Fils Jésus-Christ. Ensuite, Il a d'autres choses, l'enseignement de la Parole. Il a la prédication de l'Evangile; Il a des visions, des signes et des prodiges, et des miracles, et tout cela aboutit à Son approche divine, afin que vous vous approchiez de Lui, pour vous emparer de la Vie Eternelle.
71 Là, il y a très longtemps, je pensais à Celui qui porte des seins, l'El-Shaddaï, juste avant de terminer. Oh! Des années avant que l'Ange de l'Eternel m'apparaisse, j'étais une nuit dans une pièce, en train de prier, ou plutôt dans la maison de ma mère. Ma mère est une campagnarde à l'ancienne mode, elle avait lavé ses habits, et elle avait mis un grand panier là dans le coin, il y avait une chaise, elle avait mis les habits sur une chaise. Et j'étais - j'étais... Juste après que j'avais perdu ma femme, environ trois ou quatre ans après, et j'étais célibataire, essayant de... Je suis entré. Et j'ai dit : "Maman, je - je - je voudrais te parler un instant."
72 Elle a dit : "Assieds-toi, Billy." Et je me suis assis, et nous nous sommes mis à parler du Seigneur. Et - et alors, je suis allé dans l'autre chambre, et j'ai dit : "Je sens que j'ai besoin de prier un moment, maman." Et elle a dit : "Eh bien, vas-y." Et je suis entré dans la chambre, je me suis agenouillé là et je me suis mis à prier. J'ai prié jusque vers une heure. Et je me suis levé et je me suis dit : "Eh bien, je crois que je vais marcher jusqu'à la maison." Et alors, j'ai regardé au coin, j'ai pensé voir la chaise d'habits de maman, quelque chose de blanc, mais au lieu que ce soit cela, c'était cette Lumière qui se déplaçait, en s'avançant vers moi. Et lorsqu'Elle est arrivée là où j'étais, j'ai regardé, et j'ai vu une petite vieille maison, ce que nous appelions shotgun house [une maison où les chambres s'ouvrent en donnant les unes sur les autres - N.D.T.], deux ou trois petites pièces en ligne droite. Et ainsi... Et je m'en suis approché, allant du sud vers le nord. Et lorsque je suis entré dans cette maison, il y avait du papier rouge au mur, un vieux petit lit - avec un affichage dessus, et un petit garçon y était couché. Il avait de petites, de toutes petites lèvres, et il portait comme une petite salopette bleue. Et son petit corps était tout tordu. Ses petits bras étaient entortillés contre son corps tout le long, et chaque jambe était tordue, et son corps tordu, au point que ça ressemblait à quelque chose qui avait été retenu ici et qui avait tordu son corps par ici.
73 Et je me suis dit : "Oh! pitié. Ceci doit être l'un de ces... Je ne savais même pas que c'était une vision." On m'avait appris que ça n'existait pas, mais cela arrivait, et je n'y pouvais rien. Et j'étais là debout, regardant là ce petit enfant. Et je me suis dit : "Oh! la la! ce pauvre petit enfant." Et le père est allé le prendre et il me l'a apporté. Et j'ai entendu une Voix par ici, je n'avais jamais vu l'Ange auparavant. Je ne L'avais plus vu depuis des années après cela, mais j'entendais toujours la Voix. Et Il se tenait là, Il a dit : "Maintenant, impose tes mains à cet enfant." Quand j'ai imposé les mains à cet enfant, je l'ai vu descendre des bras de son père dans un coin, juste un... il a fait descendre une jambe, elle s'est redressée. Et il a fait descendre l'autre et celle-ci s'est redressée. Puis le reste de son corps s'est redressé. Et alors il est venu vers moi en marchant et il a mis ses mains dans les miennes, et c'était comme s'il avait un petit... comme une petite moustache de babeurre ou du lait au chocolat sur ses lèvres, comme ceci. Il a dit : "Frère Branham, je suis totalement guéri."
74 Et alors, je - je me suis approché, je suis sorti de la vision, car c'était tôt le matin, et quelqu'un frappait à la porte. [Frère Branham frappe. - N.D.E.] Et alors, c'était un homme qui criait : "Madame Branham, est-ce que frère Branham est là?" Et je... Maman, elle n'avait - elle n'avait pas pu se réveiller. Et je sortais en quelque sorte de cela, vous savez, et j'étais assis là. Et je l'ai entendue dire : "Billy?"
75 Et j'ai dit : "Oui."
Et elle a dit : "Il y a quelqu'un à la porte." Et je suis allé à la porte et je l'ai ouverte, et c'était monsieur Emil.
Il a dit : "Salut, Billy."
Et j'ai dit : "Eh bien, salut, John." J'ai dit : "Je ne t'ai pas vu ça fait très longtemps." J'ai dit : "Entre." Et il s'est assis; je continuais à me frotter le visage, parce que mon visage est très engourdi lorsque ces choses arrivent. Et certaines personnes ont posé la question, j'ai reçu une lettre aujourd'hui, il y est dit : "Qu'est-ce qui fait que vous vous frottez toujours le visage?" Je le sens engourdi, il devient très épais. Et je... Ainsi, je - j'étais assis là, me frottant le visage. Et ceci s'est passé il y a environ seize ans, je pense. Et alors, il a dit : "Eh bien, écoute Billy." Il a dit : "La première chose que j'aimerais dire, c'est que je regrette d'avoir fait ce que j'ai fait."
76 Et j'ai dit : "Qu'est-ce qu'il y a, monsieur Emil?"
Et il a dit : "Te rappelles-tu ce jour-là sur le rivage, lorsque tu coupais du maïs là au fond, et nous étions là en train de faire la pêche et tu nous parlais du Seigneur Jésus-Christ?"
Et j'ai dit : "Oui."
"Et tu étais en salopette, tu m'as pris, moi et ma famille, nous sommes allés à la rivière et tu nous as baptisés."
J'ai dit : "Oui, j'ai fait ces choses plusieurs fois." Lorsque j'étais un garde-chasse, j'entrais en uniforme dans l'eau et je baptisais, puis je sortais et je me séchais un peu, et je courais là, j'entrais dans mon véhicule, je repartais en patrouille, voyez, peu importe ce que... On n'a pas besoin de pompes. Et dès qu'un croyant est prêt, baptisez-le. Il est temps d'être baptisé. Dieu, ce n'est pas une affaire des rites de toutes les façons. C'est : "Celui qui croit et qui sera baptisé."
77 Il a dit : "Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, j'avais à l'époque deux petits enfants, deux petits garçons."
Et j'ai dit : "Oui, je me rappelle." Il y a de cela quatre, cinq, six ans.
Il a dit : "Eh bien, je regrette. J'ai pris le mauvais chemin." Il a dit : "Je travaillais ici dans l'une de ces usines de fabrication de poudre..., a-t-il dit, j'ai tué un homme." Et il a dit : "Je l'ai frappé avec un marteau; nous étions en train de nous battre. Et c'est lui qui m'a frappé le premier, et il allait me plonger dans une grande cuve là, où il y avait du coton en ébullition, quoi que c'était. Et il a dit : "Et il m'a cogné, j'ai pris un marteau et j'ai frappé cet homme, cela l'a tué." Il a dit : "Je - j'ai fait un an de prison pour cela, mais a-t-il dit, parce que c'était la légitime défense."
78 Il a dit : "Je suis rentré chez moi, au lieu d'aller vers Dieu, j'ai commencé à boire et à mal agir." Il a dit : "J'ai perdu mon fils aîné." Il a dit : "Frère Branham, a-t-il dit, il y a juste une heure, le médecin de cette ville, le docteur Bruner, il venait juste de quitter ma maison, mon autre petit garçon se meurt de la pneumonie." Il a dit : "Le médecin dit qu'il ne peut pas s'en sortir d'ici l'aurore." Il a dit : "Je me suis dit que je viendrai te demander si tu peux me pardonner pour ce que j'ai fait, et si tu peux venir offrir une prière pour mon enfant."
"Eh bien, ai-je dit, assurément, frère." J'ai dit...
79 Il a dit : "Je vais aller chercher mon cousin", qui par la suite était devenu l'un de mes associés, Graham Snelling. Il a dit : "C'est un chrétien, je me suis dit que nous allions tous nous mettre à prier." Maman est entrée. Et j'ai dit : "Je vais m'apprêter, revenez donc me chercher." Ma mère a apprêté, ou plutôt je me suis moi-même apprêté, et je suis sorti. Et maman a demandé : "Billy, qu'y avait-il, a-t-elle dit là?." J'ai dit : "Maman, c'est une vision." J'ai dit : "Cet homme a un petit enfant, je crois qu'il va être guéri." Elle ne le connaissait pas. Et j'ai dit : "Eh bien, je crois qu'il va être guéri ce matin."
Et elle a dit : "Tu vas... et... tu n'y vas pas maintenant?"
Et j'ai dit : "Oui, je pars maintenant. Il revient me chercher." Après quelques instants, il m'a pris. Nous nous sommes mis en route, et il a dit... nous passions là près du vieux chantier naval, là sur le rivage, en montant...
80 Et j'ai dit : "Monsieur Emil, ai-je dit, tu... Où habites-tu?"
Il a dit : "J'habite au nord de Utica, là dans la campagne."
J'ai dit : "Je n'ai pas eu de tes nouvelles ça fait des années." J'ai dit : "N'habitez-vous pas dans une longue et petite maison comme le shotgun, comme cela?"
Il a dit : "Oui."
Et j'ai dit : "Vous passez par une petite porte comme ceci, et vous montez des pierres en haut, et un grand arbre sycomore se tient là."
Il a dit : "Oui."
J'ai dit : "Vous avez - vous avez du papier rouge sur les murs."
Il a dit : "C'est vrai."
J'ai dit : "Ton petit garçon est couché dans un lit, et au côté droit de la porte, lorsqu'on y entre, il y a un petit lit métallique portant un affichage."
Il a dit : "Y as-tu déjà été?"
81 Et j'ai dit : "Oui, monsieur."
Il a dit : "Eh bien, quand y as-tu été, Billy? a-t-il demandé, ça fait à peine deux semaines que j'habite là." Il a dit : "On venait de l'Ohio."
Et j'ai dit : "J'étais là il y a environ une heure et demie."
Et il a dit : "Eh bien, Billy, je - je - je ne comprends pas."
Et j'ai dit : "Ton petit garçon ne porte-t-il pas une petite salopette bleue en velours côtelée?"
Il a dit : "C'est ce qu'il porte maintenant même."
J'ai dit : "C'est ce que je pensais." Et j'ai dit : " Ta femme n'a-t-elle pas des cheveux noirs, et n'est-elle pas un peu mince?"
Il a dit : "Si."
Il a dit : "Quand... Tu étais chez moi… une heure..."
J'ai dit : "Oui, monsieur Emil, j'étais chez toi il y a une heure, ou une heure trente en vision, ou une sorte d'Esprit m'a emmené là." J'ai dit : "Le Seigneur va guérir ton enfant." Et il a tiré le frein de cette vieille Ford modèle A, il s'est affaissé sur le volant, et il a crié levant les mains et disant : "Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je Te servirai, ô Dieu." Et là, j'ai fait passer mes bras autour de lui et je l'ai conduit de nouveau au Seigneur Jésus-Christ.
82 Il y a deux ou trois ans, j'étais en Floride. Et j'ai entendu quelqu'un crier : "Billy..." J'ai regardé autour de moi. C'était... Je l'ai toujours appelé... Nous avions travaillé un peu, ou plutôt ensemble, nous l'appelions monsieur John. J'ai dit... [Espace vide sur la bande - N.D.E.]... là de l'autre côté de la rue, à côté de la poste, je suis entré dedans. C'est là qu'il habite maintenant. Nous sommes donc montés à la maison... Eh bien, je vais vous montrer tout simplement combien c'est parfait. Eh bien, j'ai vu en - en vision une scène, avant que l'enfant ne soit remis entre mes mains, la petite mère s'appuyait contre le mur, comme ceci. Et une dame âgée... Eh bien, il y avait un mobilier rouge pliable en deux, placé dans la pièce aussi. Et une vieille dame est entrée par la porte, comme cela, et elle essuyait ses lunettes, et s'est assise dans ce fauteuil de ce côté-ci. Et un jeune garçon aux cheveux blonds, un jeune homme était assis dans ce mobilier pliable ici, et ils regardaient par la fenêtre.
83 Alors, lorsque je suis entré... Bien sûr, ne connaissant donc rien de cela ni ce que c'était; comment m'y prendre, en effet, je ne savais pas ce que c'était. Et ainsi, je suis entré dans la pièce; et comme j'entrais là, j'ai regardé et là était couché ce petit enfant, et une maman avec cette histoire sur le nez de l'enfant, vous savez, essayant, pleurant et continuant ainsi, c'est à peine s'il vivait. J'avais vu ce que la vision était. La pneumonie l'avait complètement étouffé, et voici qu'il s'en allait [Frère Branham décrit le son - N.D.E.] un tout petit enfant... Et j'ai vu ce petit enfant aux cheveux bruns, juste un garçon. J'ai dit : "Amenez-le ici, monsieur Emil, vous verrez la gloire de Dieu."
84 Alors le petit enfant - l'homme a pris le petit enfant dans ses bras, tout nerveux, il l'a amené précipitamment à moi. Observez comment j'ai agi là. Voyez? Je n'avais pas suivi l'approche à laquelle il a été pourvu. Voyez? J'ai dit : "Amenez-le ici." Je suis entré là de moi-même, parce que j'avais vu dans la vision qu'il allait se rétablir. Mais vous devez suivre l'approche de Dieu. Voyez? Et on l'a amené là. Je lui ai tout simplement imposé les mains. J'ai dit : "Ô Dieu! Je Te prie de rétablir ce petit enfant. Tu as dit que Tu le ferais." Et le petit enfant a fait trois ou quatre halètements et il s'est évanoui complètement. Je l'ai regardé. Et sa mère s'est mise à pleurer : "Oh! il est mort, il est mort, il est mort." Et je me suis dit : "Eh bien, qu'est-ce qui s'est passé? Oh!" Je me suis dit : "Oh! la la! Ça y est. Oh! Voici Graham Snelling qui se tient là; voici l'homme aux cheveux blonds qui est censé être assis là avec des cheveux bouclés, mais une femme âgée est censée être assise dans ce fauteuil-ci." Le meuble et tout étaient là, mais ce n'était pas parfait. Je n'avais pas suivi l'approche correcte.
85 Et cette dame n'était pas censée se tenir là à côté de son mari. Elle était censée s'appuyer contre la porte. Et je me suis dit : "Ô Dieu, j'ai tué l'enfant. Je... Oh! la la!" Et le père a couché l'enfant, la maman s'est mise à pleurer, à crier et tout. Je me suis tout simplement tenu là. Je me suis dit : "Oh! la la! Qu'ai-je fait? Qu'ai-je fait?" Et j'ai attendu un instant, et l'enfant, oh! c'est à peine s'il vivait, cela s'était empiré sur-le-champ. Et je me suis dit : "Oh! si j'ai tué cet enfant, oh! mais pas le tuer moi-même, mais j'ai été à la base, si j'avais obéi à ce qu'Il m'avait dit de faire, mais j'ai tout simplement laissé cela..." Et c'est vrai, mes amis. Dieu au ciel sait que c'est la vérité, ici devant cette Bible.
86 Et je me suis dit... Eh bien alors, je me suis approché et je me suis assis là. Et le jour s'est levé, on était assis là environ une heure. Et le jour s'est levé. Monsieur Snelling a dit : "Eh bien, je dois me rendre au service", a-t-il dit, je... Je me suis dit : "Oh! la la! si on le ramène, c'est lui l'homme aux cheveux blonds qui était assis sur ce mobilier... si ça se fait, toute la vision est gâchée, et je - j'ai gâché tout le tableau." Moi, j'étais assis là, oh! Je... Mon cœur a tout simplement commencé à saigner en moi. Et on m'a dit quelque chose, et je ne pouvais même pas répondre. J'étais tout simplement assis là. Je ne pouvais pas leur expliquer, parce que je pensais que peut-être Dieu d'une façon ou d'une autre pouvait corriger cela et redresser le tableau. Ainsi, je suis donc resté simplement assis là, regardant simplement - simplement. Et ils ont dit : "Frère Branham, voudriez-vous prier encore pour le bébé?"
J'ai dit : "Merci." Je me suis assis... Je me suis dit : "Oh! où est cette femme âgée, et oh..." Eh bien... Et frère Graham est allé porter son manteau.
John a dit : "Frère Branham, voudriez-vous retourner à Jeffersonville avec nous?"
J'ai dit : "Non, merci." Je devais rester là. Je me suis dit : "Il fera nuit avant... et cet enfant ne peut pas, je ne vois pas comment il peut encore tenir une heure." Et c'était dans cette situation-là que le jour s'est levé. Et généralement, vous savez, les malades, juste vers l'aurore... Je me suis dit : "Oh! ça y est, oh! la la! qu'ai-je fait."
87 Et tout d'un coup... Monsieur Snelling a mis son manteau et il s'est mis à sortir. Et monsieur Emil s'est adressé à sa femme, disant : "Bien, au revoir chérie", il a dit : "Je serai de retour aussitôt que j'aurai ramené Graham, afin qu'il puisse aller au service." Et il a dit... Il travaillait à l'une de ces usines.
Il a dit : "Je vais - je serais de retour dans un instant, et je ne veux pas travailler ce matin."
Et elle a dit : "Très bien, mon chéri."
Et j'étais assis là; je me suis dit : "Oh..." Et il m'est arrivé de regarder par la fenêtre et voici venir la grand-mère de l'enfant, marchant avec un petit sachet en main, portant une paire de lunettes aussi, les cheveux grisonnants, faisant quelques pas, allant par derrière. Eh bien, chaque fois comme elle l'a témoigné après, elle venait toujours par la porte de devant. Mais elle est passée par derrière, par la petite cuisine pour entrer.
88 Alors je me suis dit : "Oh! c'est elle; c'est cette femme-là." Je ne savais pas à ce moment-là que c'était la grand-mère de l'enfant. Mais je savais que c'était la femme qui était dans la vision. Et alors, la voici venir marchant droit... Et je me suis dit : "Ça y est. Ça y est. La grâce de Dieu va l'emporter sur cela." Je me suis dit cela dans mon cœur, vous savez, je me tenais là, observant la femme âgée. Et elle est venue, elle est entrée par la porte de derrière. Et lorsqu'elle a ouvert la porte, elle a dit; j'ai dit : "Qui est-ce?" Et frère Graham se tenait à la porte, lui et monsieur Emil sur le point de partir.
89 Alors, la mère est allée ouvrir la porte de la cuisine pour regarder par la cuisine, et la vieille... la mère de l'enfant, la jeune dame a regardé par-là, et voici - et elle a dit : "Oh! c'est maman." Et John et Graham ont tout simplement fait demi-tour et alors, je me suis levé de là où j'étais assis, parce que Graham était censé être assis là. Ainsi je - je me suis levé, j'ai regardé derrière moi, et la mère est venue. Elle a dit (elle a appelé l'enfant par son nom), elle a dit : "Est-ce que l'enfant est encore vivant? Va-t-il mieux?"
90 Et la dame a dit : "Non, il est presque mort, maman." Et elle a mis ses mains au mur, elle s'est mise à pleurer comme cela, vous savez, pleurant simplement à chaudes larmes... contre la porte comme cela, elle a embrassé sa mère. Et la dame âgée... Je me suis dit : "Où allez-vous?" Je l'ai observée, et elle est allée s'asseoir sur ce fauteuil-là, elle a enlevé ses lunettes; en effet, elle venait par un temps froid... Il gelait dehors et elle essuyait ses lunettes, je me suis dit : "C'est parfait." Si frère Graham va tout simplement s'asseoir là." Et frère Graham, ayant des liens de parenté avec eux, s'est mis à pleurer, parce que la jeune dame pleurait, et il est allé s'asseoir à l'endroit qu'il fallait. Oh! la la!
91 Maintenant, c'est correct. Je me suis tenu là. J'ai dit : "Monsieur Emil, voudriez-vous me pardonner?"
Il a dit : "Pourquoi?"
J'ai dit : "Avez-vous toujours confiance en moi?"
Il a dit : "Oui, Billy, pourquoi?"
J'ai dit : "J'ai commis une bévue il y a quelques instants." J'ai dit : "Je regrette, je me repens devant Dieu. C'est la raison pour laquelle je n'ai rien dit pendant ces deux heures ou plus. Je n'ai pas attendu la vision. Frère Graham s'est levé, ou le... ce qui m'était révélé."
Il a dit : "Eh bien, quoi - que - que voulez-vous dire?"
J'ai dit : "Tout est en ordre. Si vous me croyez toujours, apportez l'enfant ici maintenant." Et le père a pris l'enfant, il s'est avancé là. J'ai dit : "Père céleste, pardonne-moi ma stupidité et mon erreur. Maintenant, accomplis ce que Tu as dit que Tu ferais." J'ai imposé mes mains à l'enfant. Il a fait passer ses bras autour du cou de son père, et il a dit : "Papa, papa, papa."
92 Et tout le monde s'est mis à crier, à pousser des cris. Les gens pensaient qu'on avait l'Armée du Salut là sur le flanc de la colline. Alors, lorsque - lorsque le petit enfant... Après - après quelques minutes, j'ai dit : "Maintenant, partons."
On a dit : "Frère Bill, est-ce que mon enfant va bien?"
J'ai dit : "Selon ce qui m'a été montré, l'enfant est sorti du coin, et il s'est tordu à trois reprises, une fois à cette jambe, dans ce sens, et une autre fois à cette autre jambe, vers le derrière dans ce sens, ensuite c'est son corps qui s'est déplié, trois étapes, ce qui veut dire trois jours." J'ai dit : "En effet, selon ce qui m'a été dit, dans trois jours, cet enfant sera normal et bien portant."
93 Alors, ils l'ont remis au lit et il parlait à son papa, il pouvait à peine respirer avant. Nous sommes allés prendre la voiture, et nous sommes rentrés à la maison. J'en ai parlé à l'église ce mercredi soir-là. Et j'ai dit : "Combien aimeraient aller là après demain, ou plutôt demain soir-là, et voir lorsque je m'approcherai de la porte, pour voir si ce petit enfant,... ils ne savent donc rien de ceci là, à la maison donc"; j'ai dit : "Voyez si ce petit enfant ne va pas venir vers moi, et mettre ses petites mains dans les miennes et dire : 'Frère Bill, je suis parfaitement guéri', et il aura du lait sur sa bouche." J'ai dit : "Voyez si ça ne se fera pas." Voyez? Et tout un camion plein est allé là.
94 Et ils se sont rassemblés tout autour des fenêtres. Et alors, je suis sorti de la camionnette, je me suis avancé et j'ai frappé à la porte, ce n'était que des gens pauvres, il n'y avait pas de tapis sur le plancher. Le...?... J'ai commencé à traverser là, et les enfants - l'enfant jouait par terre avec un autre petit enfant du voisinage qui était venu lui rendre visite, une petite fille. Et lorsque j'ai frappé à la porte, Meda, qui est maintenant ma femme... Nous n'étions pas encore mariés. Elle se tenait près de moi avec, trois ou quatre personnes. Et madame Emil a dit : "Oh! c'est frère Bill." Elle a dit : "Entrez, Frère Bill. J'aimerais vous montrer quelque chose."
95 Je les ai regardés, comme cela. Nous sommes entrés dans la pièce. Et lorsque nous nous sommes tenus là, le petit enfant jouait avec quelques cubes là dans le coin, il s'est levé, il m'a regardé, il venait de boire du lait, il avait la petite moustache autour de sa bouche, il s'est avancé et il a saisi ma main, et il a dit : "Frère Bill, je suis parfaitement guéri maintenant." Qu'est-ce? Trois jours d'allaitement auprès d'El-Shaddaï, la promesse divine de Dieu, suivant l'approche divine. Il a une approche. Croyez-vous cela?
Prions. Père céleste, nous Te remercions aujourd'hui. Oh! combien nos cœurs brûlent parce que nous avons toujours l'approche divine. Nous avons chaque élément de la Bible, une démonstration vivante ici même maintenant, le Dieu Tout-Suffisant pour pourvoir à chaque chose dont nous avons besoin. Et, ô Dieu, aujourd'hui je m'approche maintenant, au travers du sacrifice Tout-Suprême. Car la loi étant l'ombre de bonnes choses à venir, les holocaustes, juste une ombre, comme Job est passé par une ombre... Mais l'exacte représentation des choses ne pouvait pas amener l'assistant à la perfection. Mais cet Homme, Christ, mourut une fois pour toutes et Il a réglé la question pour toujours. L'unique et la seule approche de Dieu vers Lui-même, c'est à travers Jésus-Christ, Son Fils, c'est par le Sang versé. En implorant le Saint-Esprit, je demande aujourd'hui, que cette voie soit ouverte à chaque personne qui est dans la Présence divine. Accorde-le, Seigneur. La nuit s'approche, et le service de guérison approche.
96 Et, Père, maintenant même, s'il y a ici quelqu'un qui est rebelle et indifférent, qui ne Te connaît pas, qui ne sait tout simplement pas comment venir, peut-être qu'il s'est mis tout simplement en route et qu'il n'a jamais cherché à venir réellement et naître de nouveau, et alors s'approcher de Toi. Il cherche à s'approcher de Toi de l'extérieur. Puisse-t-il entrer par Christ maintenant même, venir au sein de El-Shaddaï, qui a été blessé pour nos péchés. Et alors en retour ce soir, qu'il puisse poser sa tête sur le sein de Maman Dieu. L'unique Personne qui peut nous donner la naissance de la façon correcte, c'est Dieu, notre Mère, et notre Père, et notre - notre Rédempteur, et notre Bien-aimé, oh, le tout en tout. Ô Dieu, accorde cela maintenant même. Doucement, pendant que la musique joue. Puisse chaque âme rebelle venir maintenant même à la porte d'entrée du paradis de Dieu, et dire : "Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur, maintenant même; ou un rétrograde, car je viens selon la voie pourvue au travers du Seigneur Jésus. Accepte-moi, Père."
97 Pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande s'il y a un, deux, combien, partout dans le bâtiment, levez la main pour dire : "Frère Branham, j'ai été un peu traînard, sautillant un peu, espérant plutôt venir à Dieu par une sorte d'expérience, ou peut-être parce que j'avais une sensation, j'avais vu des lumières ou... Mais maintenant même, je mets tout cela de côté. Je viens suivant la voie de Dieu. Je viens par la voie de la croix maintenant même. Je lève ma main vers le Dieu Tout-Puissant, disant : "Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi." Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous. Que Dieu vous bénisse. Continuez à prier partout. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous. Oh! la la! Là au balcon, quelque part là-haut quelqu'un qui dit : "Frère Branham, maintenant même, par la foi, je me suis approché de la porte. Je vois cela. Je comprends qu'aucune de mes voies ne peut le faire. Mes propres pensées ne valent rien. Mes propres pensées au sujet de la guérison divine ne valent rien. Je cherche à me cogner contre un mur de fer. Plus je viens, plus je cogne, pire ça devient pour moi. Je ne peux aboutir quelque part, Frère Branham. Ainsi, je vais accepter ce que vous avez dit maintenant même. Je viens selon la voie pourvue par Dieu. Je viens tout aussi simple, inconscient au - à tout ce qui m'entoure. Je viens auprès du Seigneur Jésus par la voie de la croix, et L'accepte comme le Fort, comme El-Shaddaï." Que Dieu vous bénisse, papa. Le vieil homme aux cheveux gris avec sa main levée, faiblement, tremblotant, cherchant à ce qu'on se souvienne de lui.
Prions.
98 Seigneur Jésus, regarde-les, une douzaine ou plus de mains ça et là. Peut-être deux douzaines ont levé la main. Certains hommes âgés, des pauvres frères qui ont erré, peut-être en joignant l'église, ou en cherchant à faire du bien. Tout cela était bien, Père. Tu les as vus lorsqu'ils sont allés à l'église, qu'ils ont inscrit leurs noms dans le registre de l'église. Tu les as vus, Père, lorsqu'ils ont fait ces bonnes œuvres aux gens : donnant leur nourriture, nourrissant les veuves, et ils ont apporté du charbon à la pauvre femme âgée qui n'en avait pas, ils ont coupé du bois pour le voisin, ils ont aidé un homme au bord de la route, ils ont mis 5 cents dans le - dans le compteur de stationnement, pour empêcher que le flic ne colle une contravention à un frère. Peut-être qu'un homme qu'ils n'avaient jamais vu, mais ils sont juste passés à côté, ils ont éprouvé de la pitié pour lui. C'était bien. Tu as vu cela, Seigneur. Tu les aimes pour cela, et maintenant Tu as parlé à leur cœur. Et ils aimeraient venir suivant la voie que tu as pourvue maintenant, non pas au travers de ce qu'ils ont fait, mais en abandonnant leur propre volonté au profit de la Tienne, et en T'acceptant comme leur Sauveur. Reçois-les maintenant même, Père. Car nous le demandons au Nom de Jésus.
99 Avec vos têtes inclinées et dans la prière, s'il vous plaît, je vais demander à frère Joseph de bien vouloir venir et terminer l'appel à l'autel, pendant que je m'éclipse pour prier, pour me préparer pour le service de guérison. J'aimerais que tous ceux qui ont levé la main viennent ici et prient personnellement le Seigneur Jésus pendant que la musique joue et que vous êtes en prière. Que Dieu soit avec vous jusqu'à ce que je vous revoie ce soir.
E-1 All things are possible, only believe
Only believe, only believe,
All things are possible, only believe.
Shall we pray. Father, we thank Thee in Jesus' Name, Thy Son, for the goodness that Thou has blessed us with, for the health, and the privilege of being out here this afternoon to gather together in the Name of Thy beloved Son, the Lord Jesus. Break the Bread of Life to every one of us, Father. We pray that the Holy Spirit will come and take the words of the Bible, God's own Word, and give It in every heart as we have need. For we ask it in Jesus' Name. Amen. Thank you. You may be seated.
E-2 And good afternoon, friends. A privilege to be here today, this afternoon, just a little late, but this time, it wasn't my fault. It was the staff. I was here at two-thirty as I promised. But they was the ones that was late this time, and that makes me feel kinda good, you know, when they are always telling me I'm late. Where you been? What's your hurry? And now, this time, it's them the ones that's late. So it comes right back.
If Brother Wood is in the--the--the church, I can't see him anywhere. But if Brother Wood in here, Billy wants to see you in the back, Brother Wood. I couldn't see him here, and the recorder's pit here, and--and I couldn't see him with his wife, setting there, but I just... If he's here, anywhere, Brother Wood, Brother Banks Wood, our book salesman, Billy Paul wants to see you in the back, about loading the books and things to be ready to leave.
E-3 Now, I thought maybe, if--if we wouldn't have been a little late, I was going to get on a subject this afternoon of Melchisedec, the High Priest. But being that we don't have too much time now, not over forty minutes, I guess, at the longest, we going to have to change the subject.
So we'll try another--another Scripture here to read. And then, tonight... I don't like to run right up in this kind of a meeting till just the jumping off spot, and then hit the--the prayer service. Because I'm wanting, and praying, and trusting to God, that He will give us the greatest outpouring of Divine healing power tonight, that we've ever seen in Chicago. Not because it's this meeting, but because there's such a need.
E-4 I get the letters and things, and they're desperate. And this morning, Billy said, over in his rooms, that the phone constantly rang from out of the town, and the people just, everywhere... "Come here. Come over here, here just one day, just a couple of hours. You can stop on your road." And there's such a tremendous need. And I just pray that God will give us such a pouring out tonight till there just--the people that's here it'll just be--have you so anointed, that you'll go into your own communities and--and pray for the sick and the needy. It's such an awful need.
And now, quickly as we can, to the Word. Sitting out there, just a few moments ago in the car, I was waiting for the call to come in, and it was... While sitting there, my mind fell upon this subject here. And I found a little Scripture to read in the 65th Psalm, and with the 4th verse.
E-5 It seems to be a beautiful outline. I like David's... You know the Psalms are not only songs, but they are prophecy. Did you know that? Did you ever read the 22nd Psalm, where the very words of Jesus spoke, his last words at the cross was recorded in that 22nd Psalm? "My God, why hast Thou forsaken me? All my bones stare at me, and..." And all about His conditions, it was spoke in the 22nd Psalm.
I believe there's a little--some little rebound here some way. I... Perhaps, the engineer has got it a little too high. And... can you hear me all right, way back? Can you hear me upstairs there, all? Excuse me, I'm a country boy, I mean in the balcony, upstairs.
That would be one for my wife to get me on. And Sister Wood, you, don't you report that when you get home. See?
E-6 All right, in the--in the 65th Psalm, the 4th verse, let's read this now for a little background for our thought. And now, it reads like this:
Blessed is the man whom the Lord choosest, and causes to approach unto thee, that he may dwell in thy courts: we shall be satisfied with the goodness of Thy house, even of thy holy temple.
Now, may the Lord add His blessings to this reading of this Word. And now, the psalmist here said, "Blessed is the man who God has chosen to approach Him, that he may dwell in His courts," that God has chosen to approach Him. Oh, how we could... I believe the Holy Spirit could really dig some things out of there, if we would--had the time to do it.
E-7 Now, notice. "Blessed is the man whom Thou has chosen to approach Thee, that he (the chosen one to approach) may dwell in Thy courts, and we will be satisfied in Thy temple."
Notice, the approach to God. God has a way of approach. You know, if you're going to visit a king, there's a way you approach a king. There's a way to approach... Well, make it more simpler than that. The boy that wants to approach the young lady to get acquainted with her, there's--there's a certain approach. You just can't come up there and say, "Hey, there. Like to meet you and shake your hand." And she isn't very much of a lady, she'll let you know where to get on and off at. All right. There's a certain way you want to approach it. You want to come up with--with respects to the lady and so forth.
E-8 And there's a way to approach all things. And there's a way to approach God. And if we don't know the approach to God, we'll never be able to get an audience with God. See? You have to know...
In a court, if... You just don't walk up, and the judge is on the stand, and say, "Hey judge. I want to talk to you a little bit." Somebody'd throw you out of the court room, lock you up (See?), for disorderly conduct. See? There's a way you have to approach the judge.
And we must find the--a way of approach to the great, Divine Judge, God Himself.
When one time man, through angelic Beings, perhaps, when he came before the presence of the--His majesty, the great King of heaven, perhaps, approached in some other way. But since sin separated the relationship... Now, the relationship...
E-9 Now, when a man has become a son, if he's going to approach his father, he just walks up to the father, and says, "Father, I--I come to visit you or to see you about something." That's his approach. But now, to the stranger, there's another approach. You see?
And there's a approach to God for many different things. Now, if I was going to--my father was living, and I wanted to approach him on a financial matter, it would be a little different from another kind of approach. I want to tell him how much I thought of him and so forth. It's the approach you have to use to meet God.
E-10 Now, when man sinned back in the beginning in the garden of Eden, he separated himself and severed himself from all approach to God, his very lifeline. He was separated from his Maker with no way at all of ever seeing Him again. Because his sin, his unbelief in trusting God had separated him.
That's the only sin there is, is your sin of unbelief. Unbelief is your sin. And the only reason today that we are not where we should be, it's because of our unbelief. That's--that's it. It's because the--the miracles and things isn't in the church as they should be, is because of unbelief separating us.
E-11 And because that the poor man out there is a sinning, and murder, and stuff in our world today, and all kinds of disastrous things happen, is because of unbelief in God. That's all. If we believe, there's just two things; you either believe, or believe not, either one.
If you do believe, then the works of righteousness follow a believer. And if you do not believe, the works of unrighteousness follows. Only thing it is... lying, stealing, theft, and so forth, is attributes of unbelief. And long-suffering, patience, goodness, mercies, and so forth, are attributes of belief in God, faith in God.
Now, but when man was cut off without... with no way to approach, his only life line, everything was cut off. He was left darkly, hopelessly, without any way at all to ever approach the Maker.
E-12 And then, when God come down hunting for the man, I want you to notice this. It's always God hunting the man, not man hunting for God. Did you ever think of that? That no man, at any time, or at any age, ever did within himself desire to serve God: never has been. His nature's against it.
Now, he might have some kind of an intellectual thoughts that he--he thinks that he does believe God, but when he actually, really believes God, he becomes converted and a new creature, as soon as he believes God. He--he may be intellectually believing God, but when he believes from his heart, then he is converted and becomes a--a--a member of the Body of Christ. When he is converted from his heart, not from his intellects... Now...
E-13 But man never seeks God; God seeks man. God, His nature is holy and high. The man, in the fall is low and degraded. And a man without God is never (I guess I might as well say it, isn't it?), he's not mentally right. That's exactly right. I can prove it. That a man without God is no more than a brute. Now, that sounds very deep, but I can prove it to you.
And the only reason that we have a civilization today is because of Jesus Christ. People says that the religion of Jesus Christ runs you crazy. It gives you your right mind. And you're not right till you do find Him. That's true. Now, that... I don't mean to hurt your feelings brethren, or gentlemen (See?), and ladies. I don't mean to do that. But I mean to actually put the thing just the way it is, exactly.
E-14 Christ never makes you lose your mind; He gives you your mind, after you have lost it. It's the Devil that take--makes you lose your mind. It's a demon.
Look at the--the maniac of Gadara. See? When he met Jesus, he was restored to his mind, his right mind. And a man without his right mind, no matter how much intellect he has, he's still not sane yet. A man without knowing Christ is nothing more, hardly, in himself, than a brute. He will... For passions and lusts he'd throw the baby out of a mothers arms and ravish her, because of his own beastly lust. That's right. Certainly, he will.
E-15 He will take poisons of alcohol and stuff into his body, and tobaccos, and stuff, that'll poison him, and kill him, and thinking that he's a smart, educated person. See? He doesn't know any different. You've got to become born again. And then, to that man you become foolish. But in the sight of God you become blessed.
E-16 And no matter how much the world trys to say anything about it, you know then that you have passed from death into Life, because Life reigns in your mortal bodies through Christ.
So it's just like... Take a pig and a lamb. And let the lamb tell the pig, "Oh, I'd sure hate to be a pig. Look at you wallering in that slop and all your doing like that."
The pig, if he could talk back to the lamb would say, "You mind your own business, old boy. I know what I want. It's none of your business." See, he has no desire to become a lamb, because his nature is a pig. Now, the only way you'll get him out of the slop, is not wash him up, no, no, but change his nature. When you change his nature, you don't have to wash him up, he will wash hisself up, if he gets his nature changed. Is that right? Sure.
E-17 So just polishing, and joining church, and--and reading a whole lot, and knowing a lot of books, and authors, and so forth, doesn't mean that you're converted. Because you have an intellectual mind that makes you have a mental conception that there is a God somewhere, still, you're not a Christian yet, until, actually, you become personal in contact with Christ that changes your heart and nature. Then you become God's child. And old things is passed away, and all things become new again.
Now, if you notice, God, then... Is no way man could approach, so it had to be the mercy of God. It was God calling to man. "Adam, where art thou?"
E-18 Now, today it's the same thing today, that man cannot come to Christ, except God calls him first. See? His nature. If you ever had any nature, any thought of anything, of coming to God, God is dealing with you. That's right. Because Jesus said, "No man can come to the Father, or can come to Me, except..." We cannot come to--to God, except through Christ. Is that right? The Holy Spirit has to call us first, or we'll never think nothing of it. It'll just be--we'll just go right on, and just think of the things of the world. "Well, church is all right. Sure, I believe that's okay." But a real touch, God has to do it.
E-19 Now, the way that God made for Adam to approach... Now, watch. Adam made himself an approach. He said, "Now, I've got to go out and meet God." So he made hisself a apron of fig leaves to cover up his shame. And he found out that God refused that approach.
And today, if man thinks, "Now, I'll help Mrs. Jones over here; she's a widow woman; she needs some coal. I'll give to the Red Cross, or to some charity organization, out of my abundance. I will join the church." You're only making yourself an approach that God will refuse. There's only one approach. through... to God.
Now, God refused Adam's approach. And then, God went and made an approach for Adam. He made Adam an approach to himself. And by doing that, He slayed some sheep or something, and got them some skins. And through the blood, brought the first approach to the world, to God for sin. For without the shedding of Blood, there is no remissions of sins. That's right. Only Blood can make the way.
E-20 And God provided an approach there for Adam in the garden of Eden, that through the shedding of the blood of the innocent to appropriate an approach to Him. Then Adam could once more come through the shed blood of the lamb, to the approach, and talk face to face, again, with God through--through the Blood, through the approach, that God provided for him.
Now, that was God's first method of approach to Himself for the people, through the shed Blood. It has been from that day till this day the same thing. Through the shedding of Blood brings the approach to God.
Now, many times God has give such as--as symbols and emblems and so forth, making a way to come to that Blood. Now, for instance, we'll take Job.
E-21 When Job was the oldest Book in the Bible... And when Job, an old man... And just before that disaster happened to his home, he got kind of worried. He had a bunch of children, and they were worldly, going out, mingling with the things of the world.
And all of we parents know what a feeling that is. When your children, your very heart, begins to mingle with the world, get out among the unbelievers. I don't suppose Billy is present at the time; I think he's out maybe talking to Brother Wood. But in our city, we do not have a Christian school. And there's a bunch of worldly children, girls and boys too. And when I thought of sending my boy to that school, knowing that every thing that I drilled into him, unless he becomes really converted, really come to Christ, that is, all of his nature would be changed, he'd be swept out from under my hands, as soon as he got with this worldly bunch. Because the very nature in him, no matter, being a good boy, that doesn't... Having a minister father, a religious home, where we don't approve of any of the worldly things in our home... We try to live by the grace of God, like Christians ought to live, the influence set before him. I knowed if he was lost, he'd certainly walk over a righteous home, to be lost by. And I want him to have to walk over my life. And he'd have to walk over the Bible. He'd have to walk over the Blood of Christ. Because I'll certainly, by God's grace, present it in front of him.
E-22 But if his nature isn't changed, he will go right on just the same. And how I think of the day that Billy entered high school. And how I thought, "Oh, my." And knowing that he yet... He had, oh, he'd been baptized, certainly, but had never made a full surrender, consecration to Christ. Knowing that the nature of a child yet was in him, how my heart yearned for him, and how I'd pray, go out in my car and ride around and say, "God, don't let my boy get wrapped up in that kind of a stuff out there." How that I said, "God, I--I hope, I pray, his mother's dead, and I've been both daddy and mother to him. So please don't let him get wrapped up out there, and get in trouble. Some way, will You just protect him?"
E-23 And oh, if I had the time this afternoon, it would take hours to explain that how God has throwed the red light across Billy's path, time after time. Yes, sir. I've seen him... Here not long ago, I was sitting in New Albany. The baby was getting her teeth filled, the little fellow at school hurt her teeth. And then, Billy had been out a fishing, and come in and got a bad cold, or something. And I was with some ministers, and we were sitting in New Albany. And the wife was up with the little girl, getting her teeth worked on. When I... I was setting there, and Something said," Get out of the car and start walking."
I thought, "What was that?" I got out, and started walking down the street. And the Holy Spirit met me there, and said, "Turn home quickly. Billy's at the point of death."
And I left him on his bicycle, going fishing. Well, he got down there, I think, and fell in the river, a fishing, and got wet, and he got a bad cold, hanging around the river. Instead of coming on back up home, he goes right over by Sam's, and ask him (That's a... my Doctor friend.), and said," Doc, give me a shot of penicillin. I'm... I got wet today. I--I don't want to get any bad cold," said. And the doctor give him a shot of penicillin, and by the time he got home, his toes were that big around, fell out...
E-24 My mother-in-law there called him right quick, and he run up there and called a specialist out of Louisville, had the ambulance up there real quick, took him to the hospital, laid him in there, and give him two shots of adrenalin over his heart. And his heart gone plumb on ten over twenty, something like that. I rushed home real quick. Them ministers with me said, "How do you know Billy?" I said, "You watch and see." We entered into the gates, and there stood my mother-in-law in the yard, screaming to the top of her voice. Said, "Billy's dying in the hospital." I just dumped them all out, as quick as possible, and got out to the hospital.
E-25 A couple of days before, I said, "Billy, you're treading on dangerous ground. Get out of the company you're in." I said, "The Lord Jesus showed me last night, just before I went to bed, while standing in the room there, after prayer, I seen you not listen to what I was saying. But you jumped from a window, and I seen you turning, head up, and heels up, like that, going over, and over, going through space." I said," You must stop running with that kind of company." Well, a kid, he just kept on.
E-26 Then I rushed to the hospital out there, and here come my little doctor friend down the hall, threw his hat down the hall said, "Bill, I just believe, I just almost killed your boy just a few minutes ago." He said, "We got two specialist here." Said," We give him two shots of adrenalin, over... right over his heart," and said, "and still he's laying there unconscious."
E-27 Me, trying to be as a father, as a minister of the Gospel, straighten up, start walking slowly. I said, "All right, doc, you--you're my friend. You done the best you knowed how."
Said, "I didn't know he'd be allergic to it, Billy. I've give it to him before." He said, "I don't know what happened." And he was ringing his hands, 'cause we're bosom friends. And the little...
He started down the hall, I said, "Can I see him, doc?"
He said, "Well, we got tubes in him," said, "go ahead."
E-28 And I slipped in real easy and watched where he was...?... to pull the door down behind me, and there Billy just... face just black as it could be, and his eyes set back. They was pumping respiration to him, and gurgling, and a tube through his nose, and everything. His tongue out, his mouth way back, and his eyes set; just as black as he could be, I thought, "There he is." I knelt down, I thought, "God, will You take my only boy. Will--will You take him, Lord, since I've packed him on my arm. And I--I know, Lord, children You understand. I pray that You'll help him." Just as quietly as I could before God.
E-29 And Almighty God, Who is my Judge, here before this sacred desk this afternoon, approaching Him through Jesus the Son of God, His own Son, Who died to save mine... And while I was in prayer, here repeated that vision again. I seen his feet and head flying around and around, as he was going down, down, turning like that in the vision, which was a few nights before. And I seen two arms reach out and catch him, like that, and start bearing him back up like that. In a few moments, I looked up; Billy looked, and he said, "Daddy, where are... where am I?"
I said, "Everything's all right, son. Everything's all right."
E-30 I went around there, and Doc was standing there talking to the intern. I waited till he left. I put my arm around doc, I said, "It's all over, doc."
He said, "Do you think he's going to make it?"
I said, "He has done made it." Christ... Amen. Talk about an approach.
Yes, Job, thinking maybe, that his children might sin, peradventurally, he said, "That they may sin, and I don't--I don't know about it." So he only had one way that he could make the approach. And that was under a burnt sacrifice.
E-31 So he took the burnt sacrifice and made an offering for his children. He sacrificed for each and every one of his children, that maybe... Listen, see, maybe they had sinned. Maybe they never sinned around Job. Maybe he didn't know nothing about it. But knowing that they were out in the world alone...
I tell you; what we need today is more good, old fashioned praying mothers and daddy's for their children. If we had that, would be the greatest support to do away with juvenile delinquency I know of. First, give me old fashion mothers and daddy's who pray for their children.
E-32 Looky here, boy or girl, this afternoon. If you've got a mother or dad like that, the Holy Spirit speaking to your heart, that's your mothers prayers you're walking over the top of. Remember that. And you'll never prosper at all till you turn and surrender yourself to Christ. That's right.
Now, Job said, "They may have sinned." So he offered the best that he had, all that he knowed, because that's all the approach he had to God. So he killed one lamb for his own approach. He killed another one for one boy, and another one for another one, making a burnt sacrifice for each one to have a way of approach to God. God seen the honesty and sincerity.
E-33 Oh, you say, "Now, Brother Branham, now wait a minute. I don't believe that the influence of the father... I believe it's an individual affair." True. But we are commissioned to pray for one another (That's right.), and to offer up our loved ones to God, that He will save them.
Now, notice. In all of this Job kept his mind on God in offering the sin offerings, that if they did sin, maybe the approach... You say, "Well, was that in the New Testament too?"
Yes. Certainly does. Well, he said, "If I get saved in my house, should I leave my house?"
E-34 Not unless you have to. I'd stay right there. For Paul told the Philippian jailer, said, "Believe on the Lord Jesus Christ, and thy and thy household shall be saved." That's right. The sanctified wife sanctifies the husband. Live like a Christian. Be like a Christian. Pray all the time. Believe that God is there, and is going to answer your prayer. Offer it through the provided approach.
E-35 That's the way Job did; he had an approach; that was through the burnt offering. So he taken a burnt offering, and went out and offered it, and approached God in behalf of his children. You see it? He had an approach. So he used the approach in behalf of his children. "Now, God, here I come with this lamb, I'm offering it for John. Now, if he has sinned, Lord, I pray You forgive him." See? See? Through the approach of the burnt lamb, because that's the only thing he had to approach in.
E-36 Now, if you ever notice, how that when the disaster struck Job's home, and the children was all killed and everything... And all Job had was destroyed. God wasn't rebuking Job. He was only purging Job. Amen. I like that word, a purge.
The branch that bears fruit, then God purges it, that it'll bring forth more fruit. The trouble of it is, we think sometimes God's angry with us. But He's only trying to purge us that we'll bring abundance of fruit, giving us a few trials. The Bible said that they're worth more to you than precious gold.
E-37 Did you ever know, that every son that cometh to God, must first--first be tried, whipped, child whipping correction? It's not easy. When God gives you a whipping, you go out here and say, "Well, I'll mingle around a little bit." God will give you a real old fashion spanking for it. And I tell you, if we had more of that in the natural today, we'd have better children. God wants His household straightened out. So He gives you a little whipping, so you can get straightened up. Makes you love Him more.
My father used to give me whippings, and I thought, "Oh, my." I wished I could call the old gray-headed brother, father of mine, back from the other lands today. I would respect every whipping he ever give me. I never got even as much as I needed. I thought so then, but I don't now, because it corrected me. Though he didn't do right himself, yet he wanted me to do right. Amen.
E-38 He wants us to. If the earthly parents wants us to do well, what about our heavenly Parent the Lord Jesus? He has to correct us. And the Scripture says, "If we cannot stand chastisement, or a whipping, child-correction, then we become illegitimate children and not the children of God." See?
If you're really born again, get it now, if you're really born again, there's nothing can separate you from God. That's right. "Neither starvation, perils, trials, suffering, death, nothing can separate us from the love of God which is in Christ Jesus."
You say, "Well, I started to be a Christian one time. Everything begin going this way, and that way, and I thought, 'My, I was better off the other way.'" You never did come to God, brother. If you ever really come to God, and got a taste of the heavenly gifts of God, partakers of His Divine nature, why, you could no more become a sinner again, unbeliever, than a stalk of corn could become a cocklebur. That's right.
E-39 It's your nature. You're made up. You've come the right approach. You come your own approach. You come God's provided approach one time, and see what happens. Yes.
Job was taking his children through every--the only provided approach there was, the burnt offering. And now, here's a little thing I want you to notice. After all the turmoil, and everything was over, and then, God had taken all of his sheep, and his cattle, and his horses, and things, then, at the end of his chastisement, or purging, God, doubled to him.
If he had ten thousand cattle, He give him twenty thousand cattle. See? Oh, isn't that marvelous? God purged Job for the purpose to bless him.
E-40 Say, "Brother Branham, I'm a Christian, and I got a sickness now. I wonder why it come." God may be purging you (Amen.), give you some trials, make you draw a little closer to Him, pray awhile, then heal you, that you can have a testimony.
Christ heals you. You say, "Well, I heard He healed others." Then you're a--you're a... The husband is the partaker of the fruits then. See it?
E-41 I thought it was awful hard when I was getting mine. And if it had just been me, I would've failed. But something in me, not me keeping It, It keeping me. The question is whether I'll hold out or not, it's whether He held out or not. And if He held out, I'm sure to be there then. The question isn't whether I can do it or not, it's whether He did it or not. I believe He did it. That settles it. Amen.
E-42 That's coming from my heart, which I trust to God that it is, then it's not whether, or at all what all I do; it's what He has done.
You say, "Well, then, what about... Does it give you license to go sin?" No, brother, certainly not. What does it do? If you sin, and go on out into, what we call sin, drinking, and carrying on, and doing things wrong. It shows that your heart's not right in the first place. It's got to come from here. Then when you come that way, God's way... And notice.
E-43 At the end then after Job had done everything laid in the way, these provided ways of approaches to God for all of his children, he approached for his children, praying in their behalf. If you ever notice, at the end of the road, Job restored back double. God gave him double what he had, purged him, and restored to him.
E-44 He had ten thousand head of cattle, he had twenty. He had ten thousand head of sheep, he had twenty. If he had thirty thousand head of--of a goats, why, he had--he had a--a sixty: God doubling to him. And then again, I believe he had seven children. And God restored his seven children. Did you ever notice? He never doubled his children, He just restored his children to him. Amen.
Why? How did He do it? Through the approach, the burnt sacrifice. That's right. Yes, sir.
They were all in glory, waiting for him to come. God restored Job his children after they were dead. He never restored back, making him fourteen children. He restored his animals and so forth back, but he restored to him. Because why? He become God's provided way of approach through the burnt offering. That's the approach.
E-45 Abraham, when he was old, he come from the land of the Chaldea, in the city of Ur, and sojourned. God separated him from his people, from all of his associates, separated him away from his loved ones, and sent he and Sarah into a strange land, to be with strange peoples, to be a sojourner. Aren't you glad you're a sojourner?
E-46 A sojourner, a pilgrim. Amen. A sojourner, one that is sent out. In other words, Abraham was a missionary or an apostle. He was sent of God to a strange land. And the word "apostle" means "one that's sent" missionary the same.
And in this land, he was a different from the rest of them. So he was an apostle, pilgrim, and a sojourner. And that's what every believer that comes to God today, through the sacrifice of the Lord Jesus Christ, is called out of his habitations.
You women and your card parties, and dances at night, and your rowding, and--and all your drinking, and you men with your sin, God separates you from those things, calls you out to be a what? An apostle. Sent away from that audience, or crowd, into a different type of people... To be a what? A pilgrim to the world, a stranger.
E-47 Oh, I love that old song. They always sing it when we're baptizing:
We're pilgrims and we're strangers here,
We're seeking a city to come.
The lifeboat soon is coming,
To gather the Jewels home.
Oh, I just love that old song. I can almost hear the water splashing when we go to singing that.
We were singing that when the Morning Star, the Angel of the Lord made It's first appearance over where I was standing in public, for the first time in my life, at the foot of Spring Street in the Ohio river in June '33, as a young Baptist minister, there baptizing.
E-48 Now, Abraham was called for separation to sojourn as a pilgrim and a stranger. With what? A promise that God was going to bless the world by him. Called out when he was seventy-five years old, Sarah being sixty-five, ten years difference in their age... And he set out, and waited twenty-five years, still trusting, still believing, professing to be a strangers, coming to God through the approach and everything, still believing that he was going to have a son. And then after he was a hundred years old, or ninety and nine, 15th chapter of Genesis we find that God, after Abraham getting way up into the twenty-five years now, God approached Abraham...
He said, "Now, Lord, I'm getting old, but how? I believe You're going to do it. But I don't know just how You're going to do it." Amen. All right. "I--I--I... not doubt it. It's going to be Lord. But could You just show me a little way that it's going to be?"
There's where your little special blessing comes. You see? "How you going to do it, Lord? Now, I am old. You're going to do it. But just could You just show me how You're going to do it?" Oh, I love that, don't you? "Just how You going to do it, Father, could You show me?"
E-49 God said, "Come right here, Abraham. I want to talk to You just a moment." He said, "Abraham, I am the Almighty One, Almighty God. Walk before Me and be perfect. That's how I'm going to do it. I am the Almighty One."
E-50 The word in Hebrew, "El..." "Almighty," means "El-Shaddai," which means "the Almighty One." Or, "El" means "God," and "shad" means "breast." Shaddai is in the plural. "I am the Almighty, the strong One, the all-sufficient One." You see it?
Now, Abraham watched what that name was that He appeared. "I am the El-Shaddai." In other words, "I am the breasted One, Abraham." The God, the... Really, the word s-h-a-d comes from the... In the Bible it means the--like the--the woman, the place, the nursing place of the baby. In other words, "Abraham, I am the strong One. I am the life Giver." Not only a life giver, like the baby fretting, "I am the Satisfier."
E-51 The little baby, if he's fretting, sick, still got the tummy ache, as long as he's laying on his mothers arms nursing, it satisfies him. Oh, my. You get it? He may be sick, and his little head is swimming around, everything else, but if he's laying on his mothers breast nursing, it pacifies him.
No matter how sick you are, what's taken place, how long the Lord is answering, as long as you're laying on His breast, pulling from the Word, It satisfies the believer.
E-52 "That's My approach," He said, "that's the way I'm asking You to approach Me. I--I am your Satisfier. Do you believe it?" He said. Amen. "I am the One that'll satisfy you as you draw from Me, life. Abraham, you're a hundred years old, but you're just a baby to Me." See?
Well, he said, "Look at my flesh, how it is wrinkled up. And my hair is gray, and my shoulders are stooped."
"But I am the Life-giver." Amen. "That's it, Abraham." Do you see it?
Abraham believed God then, 'cause he had a--a--approach through a symbol, through a name.
So have we an approach through a Name, Jesus. What does Jesus mean to us? Saviour. Amen. El Shaddai to Abraham, Satisfier, Strong One, salvation Giver, strength Giver. The same thing that El Shaddai was to Abraham, Jesus is to the believer. Oh, my. Doesn't it just carry you away?
E-53 Just makes things seem so petty. These little things of the earth here. So like so juvenile to even think of them. We ought to be great giants in God today, not little, bitty children. As long as Christ has been with us and blessing us, and doing the things He has, and we see His great works, and still babies.
Paul said, "When... while... When we ought to be able to give meat, you're still taking meat, not able to take meat, but still giving milk." That's right. Still have to take the milk, sincere milk of the Gospel, when you should be strong and eating meat. See?
My, when we see what God does, and His great mighty workings, His Word vindicated, we should be big and burly. That's right. You know why? We just don't eat enough.
E-54 Now, Abraham, "I am the strong One, the all-sufficient One."
E-55 He was the all-sufficient One for Daniel, when he was in the lions' den. He was a strong One that could appear there in the form of a Light, and a lion couldn't even approach His presence.
He was the strong One in the fiery furnace with the Hebrew children, when His power, sufficient to keep even the smell of the flames of the smoke off of them: the all-sufficient One. Amen.
And what did King Nebuchadnezzar say, he said, "I see four. You put in three, and I see four. And one looks like the Son of God," the all sufficient One, the approach. See it? Notice now. Here He is. Wonderful.
E-56 Now, Abraham being old, yet God promised him, and said, "This is the approach now, Abraham. That you're coming this a way, through the offering of the blood. And I'm behind the Blood now, as the Nurser, the strength Giver, the Satisfier, the strong One, the all sufficient One." Just think of that. Now, he... "I am the breasted One." Oh, did you notice it? He never said, "I am El Shad," but Shaddai: double (Amen.), the compound.
He never only died for our sins, but he died for our sickness. He was wounded. Our approach... Who is our approach? The Lord Jesus. What was He wounded for? Our transgressions, one breast. What else was He striped for? "And by His stripes, we are healed," another breast. Who is He? The I AM, the great El Shaddai, the strong One, the all-sufficient One, the breasted God to the believer (Amen and amen.), the double cure, not the double remedy. Doctors has remedies. God has the cure. See? The church has the remedy, but Christ has the cure, the double cure.
E-57 No wonder, I believe it was Charles Wesley said, "A double cure save, no, make me pure. Be of sin a double cure, save from wrath, and make me pure."
How that God can save you from your sin, and from your sickness: the breasted One, the El Shaddai.
In Israel He was the approach. And when Israel come to a place that they had to be redeemed, God provided an approach. Before He could take Abraham on, He had to show him the approach. Before He could take Job through the fiery trials, He had to show him the approach. Before God could take Israel out, He had to see the approach.
E-58 So Moses commissioned them to kill a lamb and to sprinkle it in the sign of the cross on the door. And believer, inside the door, after sprinkling... Notice it. Get the significance of the order of the Scripture. The believer, once behind the blood, could no more go out, only through the approach, had to go through the blood.
Death was in the road. The death Angel couldn't touch the blood. "When I see the blood I'll pass over you." And the believer, had come through the approach. God was going to give them miracles. Going to take them away from the garlic pots and let them eat Angel's food. But He couldn't do it till they had an approach. Amen.
E-59 He was going to take them away from the old muddy waters of Egypt and give them living Waters out of a rock. He couldn't do it until He made an approach. They just couldn't do it by desire. There had to be a provided approach.
They was going to see the Red Sea opened. They was going to see miracles take place. But before they could see this thing, they had (let that soak deep), they had to come through God's provided approach. You see it, Christian?
E-60 It's not because they desired to see it, not because you want to see something happen. If you want to see whether Christ is right or not, come through God's approach to Him. Then you'll know.
Now, the uncircumcised tried to come the same thing, to do the same thing, and they drowned. If you don't want to get wrecked up in life, you quit pretending to be a Christian. 'Cause you're going to find yourself wrecked up out here somewhere. Yes, you come through God's provided way of approach.
E-61 If I started to go home this afternoon, and went--cut across the fields, I'd find myself sunk down in a mud puddle somewhere. The highway has an approach to Jeffersonville, and I must go the way of the highway. It's easy running, if you'll just get in the road. Die out to self; come through the Blood of Christ, then you can approach the Father, and He will give you the Holy Spirit, that'll make you a believer. 'Cause it's not you that's believing any more, it's the Holy Spirit in you. Your nature's changed.
Oh, I wish we had more time, but it's... My time is gone. Oh, I just love the Word, don't you?
E-62 Look, before they could see miracles, they had to come the provided approach. Before they could see the Red Sea open, they had to be a partaker of the glory... Notice. Before they could become a partaker of the glory, they had to come the provided approach to God to be a--a partaker of the vine--Divine approach, or the Divine articles. And before you can ever become a partaker of this blessed heavenly calling, you have to come through the provided approach, not self-sustaining, not intellectually, but death to yourself, and a reborn again in Christ Jesus through the offering of the Blood. Then...
E-63 You say, "My, why didn't I know these things a long time ago?" You were trying to come through your church. You was trying to come through your organization. You was trying to come through the auxiliary, or something another. You was trying to come through your own good works, through your merits.
You'll never see it. And you can't approach it until you die out to those things, and come God's provided way of approach, which is Jesus Christ, being filled with the Holy Spirit, God's provided way for sinners to come. You'll never be able to nurse from the Old Testament goodness and the New Testaments goodness. You will never be able to nurse joy, and peace, and satisfaction, and healing from your body. You'll stand off and criticize, say, "Oh, it might been a long time ago, but I believe the approach is all dried up now." Listen, if Christ is the approach to God, then God is El Shaddai. Amen. So come the provided way. Don't try to bypass; come the provided way.
E-64 Beautiful parable, if we had time to go into it, of the wedding supper. How that the bridegroom give out the robes, and invited everybody. And robes made everybody look the same. They stood at a door. And as they come by giving their passes in the Orients and India, and so forth, very beautifully still carried on. They give out the robes. And everybody was invited, received a robe. I like that. So then...
E-65 When they come to the door, there was a man at the gate that took their invitation. They had on a robe when they come in. Come in another one, and another one come in. And then when they got in there, and the dinner was set, he found one that was there but didn't have on the garment. What happened?
It showed he come in a window, bypassed the door and come in another way. He didn't come the provided approach, because the gate man would have turned him back. The robe makes them all look alike. Whether you are rich or poor, bond or free, when the robe goes on you, you look like the others. You can't show off fancy clothes and everything when you got the robe on.
E-66 So then, it showed that he come in by a window, or come the back door, or bypassed the door. Jesus said, "Friend, what are you doing here?" And he was speechless. See, God's got an approach, and we must come that approach. And every man that comes that approach, dies to self, comes to Christ, regenerated, born again, filled with the Holy Spirit, the robe of God's righteousness given upon you, and you live for Christ from then on. You're coming God's provided approach.
E-67 Then you got new life in you. The old life of sin is passed away. The old carnal thoughts that God, way yonder, years ago... God is a living Being, not only out yonder, but right in here now. All things that He said is the Truth, and you believe it, every bit.
E-68 Then you don't criticize the others. You don't find fault with your pastor, and with all the other... The women that talks this way, you pity them and pray for them. You're coming God's provided approach then. See? What if Christ had found so much fault in you He wouldn't have died for you? But, see, He was God's approach to--our approach to God through Him. You get it?
Now, notice. When Israel needed healing, El-Shaddai... When they needed healing, he had an article, a Divine article there, which was represented way, a serpent, that they looked, and believed, and was healed. Now, I wish we had time. But of course it's--it's getting late. Let's bring it to a close now.
E-69 Now, all those fine things... Many other characters is clearing in my heart right now, but I just have to hurry. Watch.
Now, what about the Christian approach? How do we approach? One day as God did in the garden of Eden, taken a innocent lamb, which was in figure, Christ Jesus, and slayed it for a covering, taken off the lamb, stripped the lamb, and put it upon the sinful man that he might have the covering of the innocent.
God took His Son to Calvary and stripped His flesh from Him, pouring out the Blood, the life cell is in the Blood, giving up the Spirit that He might take the righteousness of Jesus Christ and cover the guilty. There's God's approach.
E-70 Is there any Divine articles that goes with it? Yes. Then God, in His mercy, after setting Christ at His right hand, sent back the Holy Spirit. And the Holy Spirit is ordained in the church as symbols: Apostles, teachers, evangelist, gifts of healing, miracles, speaking in tongues, interpretation of tongues; signs and wonders to accompany the church as it goes along for your article. Divine thing, something to represent, that the Divine forgiveness, the Holy Spirit is present, which came out of the very Life of God, the Lord Jesus Christ. His Presence is here.
The preaching of the Word brings His Presence. The working of miracles brings His Presence. And when you come, you say, "I'd like to approach God."
Some says, "Well, now, how would I approach Him?" Come His provided approach, is through Jesus Christ His Son.
Then He has other things, teaching of the Word. He has preaching of the Gospel; He has visions, and signs and wonders, and miracles, and all that come right up to His Divine approach, that you might lead up to Him, and lay hold on Everlasting Life.
E-71 Way sometime ago, thinking of the breasted One, the El Shaddai, just before closing. Oh, years before the Angel of the Lord ever appeared to me. I was sitting in my room, praying one night, or my mothers house, rather. My mother is just an old fashion country woman. She had washed her clothes, and put a big basket over in the corner, a chair it was, and throwed the clothes on a chair. And I was--I was... Right after I had lost my wife, about three or four years afterwards, and I was batching, trying to, and I'd come in. And I said, "Mother, I--I--I want a talk with you awhile."
E-72 She said, "Set down, Billy." And I set down, and we got to talking about the Lord. And--and so I went on in the other room, and I said, "I just feel like I want to pray awhile, mom."
And she said, "Well, help yourself." And I went into the room knelt down there and begin to pray. And I prayed till about one o'clock. And I raised up and I thought, "Well, I believe I'll wonder on up home." And then, I looked in the corner, and I thought I seen mothers chair of clothes, something white, but instead of it being there, it was that Light, moving, coming towards me.
And when It got on me, I looked, and I seen a little old house, what we call "shotgun" house, little two or three rooms straight in a row. And so... And I walked up to it, going from the south to the north. And when I got into the place, it had red paper on the wall, a little old poster bed, and a little boy laying there. He had a little, bitty, tiny lips, and he had little, blue overalls on like. And his little body was twisted around, and around, and around. His little arms wound up against his side. Each leg twisted around, and his body twisted, till it looked like something had been holding from right here and twisted his body up to here.
E-73 And I thought, "Oh, mercy. This must be one of them... I didn't even know it was visions." I had just been taught that it wasn't and it happened, and I couldn't help it. And there I was, standing there looking at the little fellow. And I thought, "Oh, my, that poor little fellow."
And the father went and got it and brought it over to me. And I heard a Voice standing here. I never seen the Angel before. And never seen It for years after that, but I'd always hear the Voice. And He was standing here, said, "Now, lay your hands on the baby." When I laid my hands on the baby, and I seen it hit down in the corner, drop out of his fathers arms, and just one... hit on one leg and it unwound. Hit on the other and it unwound. Then the rest of his body unwound. And then he come walking across to me and put his hands up in mine. And he looked like he had a little a... like a little mustache of buttermilk, or chocolate milk on his lips, like this. He said, "Brother Branham, I'm perfectly whole."
E-74 And so I--I come to, out of the vision, 'cause it was early in the morning, and somebody was knocking at the door. [ Brother Branham knocks--Ed.] And when it was, it was a man hollering, "Mrs. Branham, is Brother Branham here?" And I... Mother, she didn't, couldn't wake up. And I was kind of coming out of it, you know, and I was sitting there. And I heard her say, "Billy?"
E-75 And I said, "Yes."
She said, "Someone at the door." And I went to the door and opened it up, and it was Mr. Emil.
He said, "Hello, Billy."
And I said, "Why, hello there, John," I said, "I haven't seen you for so long." I said, "Come in." And he set down; I kept rubbing my face, 'cause my face gets real numb when those things happen.
And some people's asked, and I got a letter today, said, "What makes you always rubbing your face?" It feels numb, feels real thick. And I... So I--I was setting there rubbing my face. And this has been about sixteen years ago, I guess.
And so, he said, "Well, look, Billy." He said, "The first thing I want to say, that I am sorry that I have did what I have."
E-76 And I said, "What is the matter, Mr. Emil?"
And he said, "You remember over on the banks of the river that day, when you were cutting corn down there in a bottom, and we were down there fishing, and you talked to us about the Lord Jesus Christ?"
And I said, "Yes."
"And you took me with your overalls on, me and my family, and went out to the river and baptized us."
I said, "Yep, done it, them things many time." When I was a game warden, walked around in my uniform over in the water, and baptize, and get up and dry off a little bit, and run around, get in my car and take off again on patrol. See, it don't matter... You don't have to have so much pomp and stuff. And when a believer's ready, baptize him. It's time to be baptized. God ain't no ritualistic affair anyhow. It's, "He that believeth and is baptized."
E-77 He said, "Well, Brother Branham," he said, "I had two little children then, two little boys."
And I said, "Yes, I remember." It'd been four, five, six years before.
He said, "Well, I'm sorry. I took the road that's wrong. He said, "I was been working up here in one of these powder plants," said, "I killed a man." And he said, "I hit him with a hammer; we was in a fight. And he hit me first, and he was going to kick me into a big vat there, where they had some of that boiling cottons, ever what it was." And said, "And he hit me, and I grabbed a hammer and hit the man, and it killed him." He said, "I--I served a year for it," but said, "'cause it was self-defense."
E-78 He said, "And I come home, instead of going to God, I started drinking and doing wrong." Said, "I lost my oldest child." He said, "Brother Branham," said, "just a hour ago, the doctor, here of the city, Doctor Bruner, just left my house. My other little boy is dying with pneumonia." He said, "Doctor says he can't make it till daylight." He said, "I thought I'd come ask you if you'd forgive me for what I done, and would come and ask prayer for my baby?"
"Why," I said, sure, brother." I said...
E-79 He said, "I'm going down to get my cousin," which afterwards become one of my associates, Graham Snelling. He said, "He's a Christian; I thought we'd all get to pray." Mother come in.
And I said. "I'll make ready and you come on back and pick me up." Mother made ready, or I made myself ready, rather, and went out. And mother said, "Billy, what was the matter," said, "in there?"
I said, "Mother, it's a vision." I said, "This man's got a little boy, I believe it's going to be healed." She didn't know him. And I said, "Well, I believe he's going to be healed this morning."
And she said, "You going... are... You're not going now?"
And I said, "Yes, I'm leaving now. He's coming back after me." In a few moments he picked me up. We started up the road, and he said... Going along up there by the old shipyard, over on the side of the river going up...
E-80 And I said, "Mr. Emil," I said, "You... Where you live at?"
He said, "I live in above Utica, up in the country."
I said, "I haven't heard from you for years." I said, "Don't you live in a little long, like a shotgun house, like that?"
He said, "Yes."
And I said, "You come up through a little gate like this, and go up some rocks, up, and there's some big sycamore tree standing."
He said, "Yes."
I said, "You got--you got red paper on the walls."
He said, "That's right."
I said, "Your little boy is laying in a bed, at the right hand side of the door, when you go in, little, iron, poster bed."
He said, "Was you ever there?"
E-81 And I said, "Yes, sir."
He said, "Well, when was you, Billy," said, "I have only been living there about two weeks." Said, "We come down from Ohio."
And I said, "I was there about an hour and a half ago."
And he said, "Why, Billy, I--I--I don't understand."
And I said, "Don't your little boy wear a pair of blue corduroy overalls?"
He said, "He has them on now."
I said, "That's what I thought." And I said, "Isn't your wife kind of a black-headed woman, kinda thin?"
He said, "Yes."
Said, "When... you was at my house a hour..."
I said, "Yes, Mr. Emil, I was at your house a hour, or hour and a half ago in vision, or some kind of a spirit that taken me up there." I said, "The Lord's going to heal your baby." And he pulled the brake up on that old model A Ford, fell over his wheel, and screamed out with his hands up, said, "God, be merciful to me. I'll serve You, God." And there I put my arms around him and led him back to the Lord Jesus Christ.
E-82 Two or three years ago, I was in Florida. And I heard someone holler, "Billy..." I looked around. It was... I always called him... We worked a little, or would together, we called him, "Sir, John."
I said... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... over there on the side of the street in by the post office, and I pulled in. He's living down there now.
So we went up to the house... Now, I'll show you just how perfect it is.
Now, and I seen in the--the vision, a scene, before the baby was given into my hands, the little mother was leaning against the wall like this. And an elderly lady... Now, there's a red duofold suite setting in the room also. And an old lady come in from the door, that way, and was wiping her glasses, setting in this chair over on this side. And a young, blond-headed boy, young man, was setting on the duofold here, and they looked out the window.
E-83 So when I walked in... 'course not knowing about it then, how to take it, or what it was, 'cause I didn't know what it was. And so I walked into the room; and as I got in there, I looked and there laid that little boy laying there, and a mother with this here stuff over his nose, you know, trying, and crying and going on. He was just barely living.
I seen what the vision was. The pneumonia had choked him all out, but here he was going [Brother Branham describes the sound--Ed.] Little, bitty fellow... And I seen that little brown-haired, just a boy. I said, "Bring him here, Mr. Emil, you'll see the glory of God."
E-84 So the little boy--man picked up the little boy in his arms, excitable, and run him over to me. Watch how I move there. See? I didn't come the provided approach. See? I said, "Bring him here." And I got in myself, because I seen the vision was going to make him well. But you have to come God's approach. See? And they brought him over there. I just laid my hands on him. I said, "God, I pray that You'll make this little fellow well. You said that You'd do it." And the little fellow gasped three or four times and passed completely out.
I looked at him. And his mother begin to scream, "Oh, he's dead, he's dead, he's dead."
And I thought, "Well, what's happened? Oh," I thought, "my, there it is. Oh, here's Graham Snelling standing here; he's the blond head that is supposed to be setting over there with the curly hair. But there's supposed to be an old woman setting in this chair here." There was the furniture and everything, but it wasn't right. I didn't come the right approach.
E-85 And that woman wasn't supposed to be standing there by her husband. She was supposed to be leaning against the door. And I thought, "O God, I killed the baby. I... Oh, my."
And the father laid the baby down, and she started screaming and crying and everything. I just stood there. I thought, "Oh, my. What have I done? What have I done?" And I waited just a little while, and the baby, oh, just barely living, got worse right now.
And I thought, "Oh, if I killed that baby, oh, but not killed it myself, but been the cause, if I'd obeyed what He told me to do, but I just let it... And that's true, folks. God in heaven knows it's truth, here before this Bible.
E-86 And I thought... Well now, I walked over and sat down there. And it come daylight, set there about an hour. And it come daylight. Mister Snelling said, "Well, I've got to go to work," he said, "I..."
I thought, "Oh, my. If they take him, that's the blond-headed man that was setting on that duofold at... If it does, the whole vision's ruined, and I--I've spoiled the whole picture." Me setting there, oh, I--My heart just a bleeding in me. And they'd say something to me, and I wouldn't even answer. I just set there. I couldn't tell them, because I thought, maybe God in some way would rectify it and fix the picture again. So I just set there, just--just looking.
And they said, "Brother Branham, do you want to pray again for the baby?"
I said, "Thanks." I set down... I thought, "Oh, where's that old woman, and oh..." Now... And Brother Graham went and put on his coat.
John said, "Brother Branham, do you want to go back to Jeffersonville with us?"
I said, "No, thanks." I had to stay there. I thought, "It'll will be night before, and that baby can't, I don't see how it can make it another hour." And there it was in that condition, daylight coming. And usually, you know what sick people, right about the break of day. I thought, "Oh, here it is, my, what I've done."
E-87 And the first thing... Mr. Snelling put on his coat and started to go out. And Mr. Emil told his wife, said, "Well, good-bye, honey," said, "I'll be back, as soon as I take Graham on down so he can go to work." And said... He was working at one of those plants.
He said, "I'll--I'll be back after while, and I'm not going to work this morning."
And she said, "All right, dear."
And I was setting over there; I thought, "Oh..." And I happened to look up out the window, and here come the baby's grandmother, walking with a little satchel in her hand, with a pair of glasses on too, gray-headed, walking around, going into the back. Now, every time she witnessed before, she'd always come to the front door. But she went back to the little kitchen to come in.
E-88 And I thought, "Oh, that's her; that's the woman." I didn't know it was the grandmother of the child then, but I knowed it was the woman that was in the vision. And so here she come walking right... And I thought, "Here it is. Here it is. The grace of God's going to over ride it." I thought it in my heart, you know, I was standing there, watching the old woman.
And she come around and went in the back door. And when she opened the door, said, I said, "Who is that?" And Brother Graham was standing at the door, him and Mr. Emil fixing to go out.
E-89 So the mother went to open the kitchen door to look in to the kitchen, and the old... The mother of the baby, the young woman looked out there, and here--and said, "Oh, it's mother." And John and Graham just turned around. And when they did, I raised up from where I was setting, because Graham was supposed to be setting there.
So I--I raised up and looked back, and the mother come. She said (called the baby by name), she said, "Is the baby still living? Is it better?"
E-90 And the wife said, "No, it's just about dead, mother." And she put her hands upon the wall and started crying, like that you know, just boo-hooing against the door like that, kissed her mother.
And the old woman... I thought, "Where you going?" Watched her, and she went over and set down in that chair, and took off those glasses, 'cause coming out of the cold weather... It had frosted on the outside and was rubbing her glasses, I thought, "Perfect. If Brother Graham will just go set down on that." And Brother Graham, being relation to them, started crying, 'cause the young woman was crying, and went and set down in the same place. Oh, my.
E-91 Now, it's right. I stood there. I said, "Mr. Emil, will you forgive me?"
He said, "Why?"
I said, "Do you still have confidence?"
He said, "Yes, Billy, why?"
I said, "I spoke out of turn awhile ago." I said, "I'm sorry, and I'm repenting before God. That's the reason I haven't said nothing for these two hours or more. I didn't wait for the vision. Brother Graham raised up, or the... what was revealed to me."
He said, "Well, what, what do you mean?"
I said, "Everything's in order. If you still believe me, bring the baby here now."
And the father picked up the baby, walked over there. I said, "Heavenly Father, forgive me for my stupidity, for my error. Now, fulfill what You said You would do."
Laid my hands on the baby. It threw it's arms around its daddy's neck, and said, "Daddy, daddy, daddy."
E-92 And everybody begin screaming and shouting. They thought they had the Salvation Army up there on that hillside. Then when--when the little baby... After--after a few minutes, I said, "Now, let us go."
Said, "Brother Bill, is my baby well?"
I said, "According to what was showed me, the baby come out of the corner, and it twisted three times, one on this leg, this way. And one on this leg, back this way, then its body untwisted," three steps, meaning three days. I said, "For what told me, three days, this baby will be normal and well."
E-93 So they laid it back on the bed and it was talking to its daddy, couldn't even breathe hardly before. We went and got the car, went home. And I told the church that Wednesday night. And I said, "How many wants to go up day after tomorrow, or tomorrow night, and watch when I go up to the door, and see if that little baby... They don't know nothing about it up at home now; I said see if that little baby don't come to me and put its hands in mine, and say, 'Brother Bill, I'm perfectly whole,' and have milk on its mouth." I said, "See, if it don't." See? And a whole truckload went up.
E-94 And they gathered around the windows. And then I got out of the truck, went and knocked on the door, just poor people, no rug on the floor. The...?... begin to cross there, and the children--child was playing on the floor with another little kid, which had come up to visit from a neighbor, a little girl. And when I knocked on the door, Meda, my wife, which now is... We wasn't married yet. She was standing close to me, three or four people.
And Mrs. Emil said, "Oh, it's Brother Bill." She said, "Come in Brother Bill. I want to show you something."
E-95 I looked at them, like that. We walked into the room. And when we stood there, the little boy was playing with some blocks over in the corner, raised up and looked at me, been drinking milk, and had the little mustache across his mouth, walked over and took a hold of my hand, and said, "Brother Bill, I'm perfectly whole now." What is it? Three days nursing on El Shaddai, God's Divine promise, coming God's Divine approach. He has an approach. Do you believe it? Shall we pray.
Heavenly Father, we thank Thee today. Oh, how our heart burns because we still have the Divine approach. We have every article of the Bible, vivid evidence, right here now, all-sufficient God to provide everything that we have need of. And, God, today I approach now, through the all supreme Sacrifice. For the law having a shadow of good things to come, the burnt offerings, just a shadow, as Job come through the shadow... But not the very image of the thing could never make the comer unto perfect. But this Man, Christ, died once for all and settled it forever. God's one and only approach to Himself, through Jesus Christ, His Son, through the shed Blood.
Through the wooing of the Holy Spirit, I ask today, that this road be opened to every person in Divine Presence. Grant it, Lord. The night's coming on, healing service is coming.
E-96 And, Father, just now, if there be any here that's wayward and indifferent, doesn't know You, doesn't know just how to come, maybe they have just went along, and never tried really to come and get borned again, and then approach You. They're trying to approach You on the outside. May they come in through Christ just now, come to the breast of the El Shaddai, which was wounded for our transgressions. And then in return tonight, lay their head over on the bosom of the Mother God. The only One that could give us birth rightly is God, our Mother, and our Father, and our--our Redeemer, and our loved One, oh, all in all. God grant it, just now.
Sweetly, while the music's playing. May every wayward soul, just now, come to the entrance of the gate of the paradise of God, and say, "God, be merciful to me, a sinner, just now," or a backslider, "for I come Thy provided way through the Lord Jesus. Accept me, Father."
E-97 While we have our heads bowed, I wonder if there'd be one, two, how many, anywhere in the building, raise up your hand and say, "Brother Branham, I've been just a little dilatory, kinda jumping around, kind of hoping to come to God through some kind of an experience, or maybe because I had a feeling, seen lights or... But just now I'm laying all that aside. I'm coming God's way. I'm coming by the way of the cross just now. I raise my hand to Almighty God," say, "God, be merciful to me." God bless you. God bless you. God bless you, you, you, you. God bless you. Keep praying everywhere. God bless you. God bless you, you. Oh, my.
Up in the balcony, somewhere up there, somebody say, "Brother Branham, just now, by faith I've moved up to the door. I see it. I see that none of my ways could do. My own thoughts is no good. My own thoughts about Divine healing is no good. I'm trying to beat against a iron wall. The more I come, the more I beat, the worst I get. I can't get nowhere, Brother Branham. So I'm going to accept what you said just now. I'm coming God's provided way. I'm coming just as simply, unconsciously to the--any surroundings around me. I'm coming to the Lord Jesus by the way of the cross, and accepting Him as the strong One, as the El Shaddai."
God bless you, dad. old, gray-headed man with his hand up, feebly shaking wants to be remembered. Shall we pray.
E-98 Lord Jesus, look at them, dozen or more hands around. Maybe two dozen raised their hand. Some old fellows, poor brothers that's wandered along, maybe joining church, or trying to do good. That was all fine, Father. You seen them when they went up to the church and put their name at the church. You seen them, Father, when they done those good deeds to the people: Give their substance, fed the widows, hauled the coal for the poor, old woman didn't have any, chopped the wood for the neighbor, helped that man out on the side of the road, put the nickel in the--the parking meter to keep the cop from giving their brother a ticket. Maybe a man they'd never seen, but they just passed by and felt sorry for him. That was good. You seen it, Lord. You love them for it, and now You spoke to their heart. And they want to come through Thy provided way now, not by what they've done, but by surrendering their own will to Thine, and receiving Thee as their Saviour. Just now, receive them, Father. For we ask in Jesus' Name.
E-99 With your heads bowed and in prayer, if you will, I'm going to ask Brother Joseph if he will come and finish the altar call, while I slip to pray, get ready for the healing service.
I want every one that raised their hand to come here and personally pray to the Lord Jesus while the music is playing and you in prayer. God be with you till I see you tonight.