La Foi Transmise Aux Saints Une Fois Pour Toutes
1 Maintenant, inclinons la tête juste un instant. Notre Père céleste, nous Te remercions pour le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu qui est venu dans ce monde et qui a revêtu la forme de la chair pécheresse, pour ôter nos péchés et nos iniquités, pour nous donner cette vie merveilleuse et la vie dans l’au-delà. Nous Te sommes reconnaissants pour Lui. Nous Te sommes reconnaissants ce soir pour tous Ses serviteurs, Ses ministres à travers le pays, qui servent en Son Nom.
Nous Te sommes reconnaissants ce soir, ô Dieu, pour notre frère Joseph; nous l’aimons. Et maintenant, alors qu’il s’en va, puisses-Tu aller avec lui. Ô Dieu, couvre-le de l’ombre de Ton Saint-Esprit. Que Tes mains soient sur lui. Fortifie-le, ô Seigneur ; qu’il monte comme les aigles. Accorde-le, Père, et qu’à son retour, son cœur nous revienne réchauffé et plein de zèle pour ce peuple-là, ces défavorisés, dans cette terre étrangère. Sois avec lui, ô Père, et donne-lui des âmes comme salaire. Nous demandons cette bénédiction à cause de Jésus.
Maintenant, bénis ce peuple d’ici, qui a rendu son voyage possible. Ô Dieu, nous Te prions d’être avec eux et de les aider. Et puissent-ils continuer de faire brûler le feu à la maison jusqu’à ce que le frère revienne en paix. Accorde-le, Seigneur. Bénis-nous tous ensemble maintenant, pardonne-nous nos péchés, et puisse Ta Présence se déverser au milieu de nous ce soir. Nous demandons ceci au Nom du Seigneur Jésus, le Fils bien-aimé de Dieu. Amen. Vous pouvez vous asseoir et...?...
2 Je fais confiance que ce soir le Dieu Tout-Puissant fera reposer Ses bénédictions sur nous alors que nous sommes ici, et qu’Il sera avec frère Joseph comme il s’en va dans d’autres champs missionnaires pour servir au Nom du Seigneur. Et maintenant, quant aux compliments qu’il a faits ou prononcés à mon sujet, vous voyez ce que l’amour peut faire. Cela couvre une multitude de péchés. Ainsi...
Eh bien, frère Pethrus, je le connais très bien ; et c’est un très bon frère, c’est vrai. Et j’étais... Pendant qu’il restait – se tenait là, un homme de l’envergure de notre frère Joseph Boze... L’entendre, rester là, prononcer ces paroles à mon sujet, une personne inhum-… indigne dans le Royaume de Dieu, cela me donne l’envie de pouvoir m’agenouiller et ramper aux pieds de tout le monde. Simplement, je… je – je pense simplement que si... Eh bien, si – si j’avais été... Je préférerais entendre ces paroles plutôt que d’être le président des Etats-Unis, plutôt que de prendre sa place. Je préférerais cela, pour que quelqu’un sache cela, qu’il croie que Jésus m’a sauvé, et – et qu’Il m’aime et m’aide. Eh bien, pour moi cela représente la Vie Eternelle. Et je – j’apprécie réellement mes auditoires, les aimables enfants de Dieu. Je ne sais simplement pas comment m’exprimer. Je suis vraiment médiocre en la matière, pour essayer d’exprimer mes sentiments.
Dans les petites lettres... Billy m’a suivi il y a quelques instants. D’habitude, là sur la route, il ne me parle pas. Mais il a dit : « Papa, j’aimerais que tu jettes un coup d’œil à ces lettres qu’il y a ici, pendant que tu y vas. » J’ai lu vos lettres. Et vos dons et tout… Que Dieu soit avec vous. Je les apprécie, chacun d’eux. Et, oh ! j’espère pouvoir vivre longtemps pour être avec vous et servir ici sur terre, et ensuite être dans la gloire avec chacun de vous pendant les âges sans fin. Combien je désire cela.
3 Maintenant, cet après-midi, en vous parlant, je pense qu’il me – me faudrait vous demander de prier pour moi pour cela. Je n’ai pas l’intention d’être rude, quand je prêche très durement. Mais cet après-midi, en parlant, j’ai taxé de camps de nudistes ces baigneurs, de sorte que je ferais peut-être mieux de m’excuser pour cela. Je – je... Peut-être que je l’ai dit de façon un peu trop rude, et peut-être que Dieu n’était pas content de cela. Mais je – je m’excuse pour avoir taxé de camp de nudistes ces baigneurs qui sont là, parce qu’en fait ils avaient sur eux un quelques vêtements. Et je suis – je suis désolé d’avoir dit cela ainsi. Et je deviens simplement tout agité parfois, et je... Si seulement je peux rester tranquille, Dieu prendra soin de cela, et me permettra de prier pour Ses enfants malades. Il... Ce n’est pas à moi de faire cela. Et chaque fois que je suis tout agacé à cause de ce genre de choses, je… on dirait que je... Il y a d’autres choses que je peux prêcher, le Royaume de Dieu, et ainsi de suite.
Et ce soir, dans la prière, j’ai parlé au Seigneur ; j’ai dit : « Quand je vais retourner à l’église, je vais m’excuser pour avoir dit cela, car ce n’était pas à moi de dire cela. » Et... Mais je – je continue à prêcher le Sang de Jésus-Christ, c’est – c’est suffisant. Voyez-vous ? Maintenant, suivez cela et vous serez... La réalité est que je n’ai aucun moyen de juger ces gens. Je ne sais pas ce qu’il y a dans leur cœur ; c’est Dieu qui le sait. Mais ici… Je vous aime tous, vous le savez.
4 Mais voici ce qu’il en est, mon ami : je suis tellement opposé à cela, mais je ne dis pas que vous faites ces choses, et je ne veux pas que vous pensiez que je parle de vous. Mais je – je voudrais tout le temps brandir cet avertissement devant vous afin que si jamais vous commenciez à désirer faire cela, vous vous en teniez éloignés. C’est – c’est ça l’essentiel. C’est juste une mise en garde qui vous est adressée avant que vous ne fassiez cela ; ne faites pas cela. Voyez-vous? Et c’est comme ça, mais en réalité, c’est… aux ministres comme frère Joseph, et ces autres ministres qu’il appartient de faire cela. J’étais...?... en quelque sorte un pneu de rechange en tant que prédicateur, de toute façon. J’ai donc été envoyé pour prier pour les enfants de Dieu qui sont malades, c’est donc ce que je voudrais faire, si possible. Et c’est pour cela qu’Il m’a oint et c’est ce qu’Il m’a envoyé faire, c’est pour prier pour Ses enfants. Je suis très heureux de pouvoir faire cela. Chez moi, j’aurai voulu servir chez moi, mais je ne peux pas.
5 Et ils sont tellement nombreux que je… et surtout en cette période, dans l’état où se trouve ma femme, nous... Ma femme a dû endurer beaucoup. Elle s’est tenue entre moi et le public, c’est-à-dire des millions. Voyez-vous? Et ainsi, elle a eu trente-six ans l’autre jour ; sa tête est presque entièrement blanche comme neige. Et c’est à cause des soucis, des hauts et des bas, et ainsi de suite. Que Dieu lui accorde une demeure dans la gloire quand elle y arrivera. Et Il le fera. Il le fera. J’en suis convaincu. Et ainsi je – je suis vraiment reconnaissant à Dieu pour une bonne femme.
Ainsi je… Il y a tant de choses pour lesquelles je dois être reconnaissant. J’ai deux charmantes fillettes à la maison. Je suis très heureux pour ces fillettes.
J’ai un jeune homme, un garçon, Billy Paul, qui est assis ici quelque part. Je suis vraiment reconnaissant pour Billy. C’est juste un adolescent, avec beaucoup de – de caprices, vous savez, des choses qui caractérisent des enfants et que... C’est encore un garçon. Il va en sortir dans quelque temps. Je sais que Dieu est avec lui. Je l’ai vu, et je sais que le don de Dieu repose sur ce garçon. C’est juste. Si seulement il s’abandonnait à Dieu, il se tiendrait à un bout de la ligne du discernement et moi à l’autre bout. C’est juste. En effet, cela passe juste à côté de lui.
6 Quand nous faisons route ensemble, il me dit : « Papa, cette sensation revient encore. Maintenant, nous allons rencontrer une certaine chose, juste dans quelques minutes, et ce sera d’une certaine façon. » C’est comme ça. Voyez-vous?
Et ainsi, j’ai une fillette à la maison qui est comme ça. Cela fait environ deux ou trois mois qu’elle a eu sa première vision. Elle se trouvait dans la salle de classe, et là, Jésus lui est apparu sous la forme d’une nuée (juste une fillette de sept ans), et Il avait les bras tendus vers elle. Bientôt elle sera aussi connue, je crois, et... Oh ! il y a tant de choses pour lesquelles je dois être reconnaissant, tant de choses.
Et sachant que la meilleure part est juste au-delà du voile, là-bas, vous voyez, juste là-bas, quand je pourrai avoir une rencontre avec vous tous à travers les âges sans fin pendant qu’ils s’écouleront tout simplement.
7 Eh bien, hier soir, il y a deux soirées, frère Thoms... A-t-il parlé ici à l’église? Frère Thoms de l’Afrique du Sud a parlé ici (très bien) ; c’est l’un de mes frères convertis à la guérison en Afrique, qui envoie des missionnaires, et... A-t-il projeté les films ici? L’a-t-il fait, Frère Joseph? Beaucoup d’entre vous ont vu ces films, je pense. Bien sûr... Maintenant, c’est un vrai tableau de l’Afrique du Sud. Voyez-vous? Voyez-vous ces pauvres gens-là? Quelle... Oh ! la la ! Vous… cela fait saigner mon cœur, voyez-vous, quand on asperge du sang, le sang de chèvre sur une idole, et sachant que c’est une insulte au Sang de notre Sauveur béni. Et la seule chose qu’il leur faut, c’est que quelqu’un aille leur parler. Vous ne saurez jamais leur parler par un – un pamphlet.
Oh ! je pense qu’un traité ou un pamphlet, c’est un merveilleux missionnaire. Mais ce genre de personnes ont beaucoup de psychologie, donc... Et cela s’est enraciné en eux pendant des années, des années et des années. Mais ce qu’il leur faut, c’est une action du surnaturel, se tenir là et démontrer les choses. C’est ce que fait la grande œuvre du Seigneur. Voyez-vous, les gens croient que quand ils... Ils doivent voir pour croire. Voyez-vous ? Ils doivent voir quelque chose se produire.
Et là le ministère est très puissant. Et je prie afin que Dieu oigne frère Joseph là-bas, au point que de grands miracles et prodiges accompagneront merveilleusement mon frère. Et puisse-t-il gagner des milliers d’âmes au Seigneur Jésus pendant ce voyage, alors qu’il sera parti.
8 Eh bien, que Dieu vous bénisse tous. Je ne veux pas prendre trop de votre temps maintenant, je voudrais vous parler quelques instants jusqu’à ce que nous ayons l’onction de l’Esprit. Et dès qu’elle sera là, eh bien, je vais – je vais alors arrêter le service et commencer à prier pour les malades. Je vous remercie et que Dieu vous bénisse.
Maintenant, nous voulons ouvrir les Ecritures juste pour quelques moments de méditation, sur la – la Bible. J’aime la Parole. Oh ! j’aurais souhaité pouvoir exprimer cela. Savez-vous où je prêche mes meilleurs sermons? Chez moi, dans ma chambre de prière, ou quelque part, dans mon lit. Pendant que je suis couché la nuit, je reçois l’onction du Saint-Esprit; et je passe la moitié de la nuit à me prêcher moi-même. Oh ! si seulement je pouvais faire cela à la chaire, mais je deviens trop rapide, trop empressé, et en un rien de temps je prends de l’avance sur moi-même. Je pense que c’est parce que je suis nerveux, et je perds en quelque sorte le fil d’idées. Mais excusez-moi du fait que ceci est trop rapproché, ça donne une bonne voix, je... donc je... Quand vous êtes...
N’aimez-vous pas vous retrouver seul avec le Seigneur ? Oh ! la la ! juste être seul. Des fois... Nous chantions un petit cantique : Des fois j’aime être tout seul avec Christ, mon Seigneur. Avez-vous déjà entendu cela ? Je peux Lui dire tous mes problèmes tout seul. Et c’est de cette manière qu’Il veut vous avoir, seul avec Lui. Vos prières, pas tellement comme lorsque (oh !) vous venez peut-être, vous savez, par exemple, eh bien, quand vous êtes en public pendant que vous priez comme à l’église ou autour de l’autel. Soyez seul. Vous ferez une prière différente en étant seul qu’en étant en public. Isolez-vous, vous tous; sortez et ayez simplement un véritable lieu secret de rencontre, là où vous vous rencontrez, le Seigneur et vous, plusieurs fois par jour, et là faites votre prière.
9 Je parcourais du regard cet auditoire ce soir. Je... juste voir qui je peux reconnaître. Je vois là mon brave ami, frère Peterson, qui n’est pas de – de cet Etat. C’est juste. Minni-... Minneapolis, dans le Minnesota... Que Dieu vous bénisse, Frère Peterson ; enchanté de vous voir ici. Et j’ai vu frère Scaggs tout à l’heure, quand je franchissais la porte. Evidemment, Leo et Gene ici... Le voici assis ici en bas. Et je vois les jeunes gens ici. Le vieux frère Ryan me manque, je l’ai cherché toute la journée, par ici. Un homme a crié : « Eh bien, gloire ! » par là il y a quelques instants. J’ai regardé par là pour voir si ce n’était pas frère Ryan.
Ainsi donc, nous remercions simplement le Seigneur et Le louons pour Sa bonté, n’est-ce pas pour tous Ses... [Un frère parle à frère Branham. – N.D.E.] Oh ! c’est vrai ça? Je viens d’apprendre que frère Ryan s’en est allé pour être avec le Seigneur. Pas possible ! Mon Dieu! Voilà qui attriste mon cœur. Eh bien, que Dieu accorde le repos à son âme. Voulez-vous vous incliner un peu avec moi? Frère organiste, voulez-vous aller à l’orgue juste un instant ? Faites-moi une faveur, s’il vous plaît. Connaissez-vous ce cantique? Un jour je marchais sur une route de campagne, et là un Etranger faisait aussi route avec moi. Vous l’avez déjà entendu, n’est-ce pas? Allez-y tout doucement, c’était l’un de ses cantiques favoris.
10 Un jour, il y a de cela plusieurs années, j’étais à Louisville. Un vieil homme à la tête grise, qui était assis dans la réunion, s’est levé ; il est venu et a posé ses mains sur moi, sans me connaître, et il s’est mis à parler en langues. Je pense que cela fait près de vingt ans. C’était étrange pour moi ; je n’avais jamais entendu pareille chose. Il a dit : « Tu n’es qu’un jeune homme maintenant, mais un jour, Dieu va t’utiliser. » C’était frère Ryan.
Plus tard, j’ai été dans son humble petite demeure à Dowagiac, dans le Michigan. Sa très chère épouse, quelle femme dévouée ! Frère Ryan était un homme qui, dès qu’il apprenait que le Seigneur m’appelait quelque part, partait, peu importe les conditions. Et j’ai rencontré sa femme. Un jour, je suis parti à la pêche sur le lac ; à mon retour, elle a dit : « John est parti quelque part dans l’Indiana. » J’ai dit... Je savais qu’ils étaient pauvres; ils ne vivaient que de ce que les gens leur donnaient.
11 Frère John Ryan était un catholique converti. Il fut un cavalier dans le grand cirque des Frères Ringling, de Barnum et Bailey. Il montait ce célèbre Garland. Il était vedette de cinéma. Vous ne le sauriez pas, mais c’est ce qu’il était. C’est pourquoi sa barbe était un déguisement. Un bel homme, charmant, et il portait une longue barbe pour se déguiser. Il était vedette de cinéma. Personne ne sait cela; moi je le savais. Il n’en parlais pas aux gens. Et il montait le célèbre Garland quand il était jeune.
J’ai dit : « Madame Ryan, frère Ryan vous a-t-il laissé de l’argent, soeur? »
Elle a dit : « Non. »
J’ai dit : « Quand reviendra-t-il? »
Elle a dit : « Je ne sais pas. » Elle a dit...
J’ai dit : « Cela ne vous dérange-t-il pas un peu ? » J’étais un jeune ministre baptiste. J’ai dit : « Cela ne vous gêne-t-il pas? »
Elle a dit : « Oh ! non. John est un homme de Dieu ; où que Dieu le conduise, Dieu prendra soin de moi. » Quelle femme confiante ! Il y a juste quelques semaines, dans les bras de son mari, elle s’en est allée à la rencontre du Seigneur. Elle a trouvé une demeure beaucoup plus glorieuse là-bas. Elle a probablement appelé John pour être avec elle. Et ce soir, j’ai confiance en Dieu et crois qu’ils sont ensemble dans les bras de notre Seigneur Jésus. Il nous a quittés maintenant, mais sa – sa mémoire durera dans mon cœur longtemps dans le futur. Prions.
12 Précieux Père céleste, alors que cette triste nouvelle... Il n’est pas étonnant que mon cœur ait été agité aujourd’hui lorsque je cherchais frère Ryan des yeux ici. Il venait de passer de l’autre côté du voile. Peut-être que Tu ne voulais pas que je le sache à ce moment-là. Je Te remercie pour sa vie. Il nous manquera, Père, mais Tu sais ce qu’il y a de mieux. Il s’asseyait dans cette église ; il prêchait à ces gens. Que Dieu accorde du repos à sa vaillante âme. Nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait pour lui.
Je prie ce soir pour sa rencontre avec sa bien-aimée épouse. S’ils sont ensemble ce soir, garde-les en sécurité, Père, jusqu’au jour de leur retour avec le Seigneur Jésus. Que l’Evangile qu’il a toujours prêché subsiste encore dans les cœurs des gens. Puissent ces gens être obéissants et aimer le Christ pour qui il a vaillamment pris position, jusqu’à ce que nous nous rencontrions tous à cet endroit, là où il n’y a pas de séparation. Nous demandons ces bénédictions au Nom du Seigneur Jésus. Amen.
Que Dieu accorde le repos à l’âme de mon brave frère. Un autre grand héros de la bataille s’en est allé.
13 Nos frères ministres, cela signifie que nous resserrons un peu plus l’armure, il y a un peu plus de travail à faire maintenant; l’un d’eux s’en est allé.
Dois-je être amené à la maison au ciel
Sur un lit fleuri d’aisance,
Alors que d’autres ont combattu pour gagner le prix,
Et ont navigué sur des mers de sang?
Non, je dois combattre, si je dois régner ;
Donne-moi plus de courage, Seigneur,
Et soutiens-moi par Ta sainte Parole.
14 Maintenant, dans le livre de Jude, le verset 3, lisons pour notre petite portion de la Parole éternelle de Dieu. J’aime la Parole, pas vous? Ce sont les Paroles de Vie, la Vie bénie de Dieu. Nous Les aimons, parce qu’Elles annoncent la paix. Elles viennent de la Bible, le seul Livre qui me dit qui je suis, d’où je viens, et où je vais ; le seul Livre existant qui nous dit cela. Et de toute la belle littérature écrite qu’il y a dans le monde, c’est le seul Livre, le seul Livre qui est de façon certaine la Vérité. Peu importe combien les autres... Ce sont de petites choses qui ont des erreurs et des défauts, et tout, mais Ceci ne peut pas faillir. « Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne faillira point. » La Vérité de Dieu...
Eh bien, environ trente ans après la Pentecôte, Jude écrit à l’Eglise. Cette lettre est adressée précisément à l’Eglise.
Bien-aimés,... (J’aime ce terme, pas vous ? Bien-aimés, combien il… son cœur aime l’Eglise.) …
Bien-aimés,... je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire, afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.
15 Maintenant, que Dieu bénisse Sa Parole. Eh bien, juste un petit cadre pour la réunion. Je veux que ceci soit basé solennellement sur les Ecritures, car moi aussi, tout comme vous, je dois suivre le sentier que notre frère Ryan vient de prendre. Par conséquent, je veux que tout ce que je dis et laisse derrière moi soit basé sur la Parole de Dieu. Et vous rendez-vous compte ce soir de la responsabilité qu’il incombe au ministre chrétien qui se tient devant un auditoire, alors que la valeur de chaque âme est estimée à dix mille mondes, et ce qu’une seule Parole mal interprétée ferait dans le Royaume de Dieu, si nous l’interprétons d’une certaine façon ? C’est donc avec révérence que j’aborde ce sujet, étant donné que c’est une chose très vitale pour aujourd’hui.
16 Et maintenant, Jude parle trente-trois années après ; pensez un peu comment... Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, je crois, c’est premièrement d’une bonne persécution à l’ancienne mode pour nous amener à nous unir. Nous voyons que lorsque l’Eglise est vraiment persécutée... Je crois que Dieu permet que le communisme arrive dans le pays. Je crois que je peux démontrer raisonnablement cela par la Bible, que Dieu a promis que cela aboutirait à ces ismes, comme le communisme, il y a des années, quand ils ont créé ce NRA au début, je... Eh bien, souvenez-vous-en. Au début, lorsque Mussolini est arrivé au pouvoir, un matin, par une vision... Eh bien, c’est écrit dans un vieux journal qui se trouve à la maison aujourd’hui, datant d’autrefois, de 1933 – 32 ou 33.
17 Un matin, en route pour l’école du dimanche, je fus pris dans une vision. Et j’ai dit : « Eh bien... » Sous l’inspiration du Saint-Esprit, j’ai dit : « Eh bien, il viendra trois grands ismes. Ils existent effectivement aujourd’hui. L’un d’eux est à Rome, c’est – c’est-à-dire le fascisme, et l’autre est en Allemagne, c’est-à-dire le nazi-… le nazisme. Et l’autre est en Russie, c’est-à-dire le communisme. » J’ai dit : « Ces trois grands ismes sont les esprits impurs qui sont sortis de la bouche du faux prophète, et des dragons, et ainsi de suite, qui s’uniront, proférant des choses qu’ils ne devraient pas, et ils vont tous s’affronter l’un et l’autre jusqu’à devenir finalement un seul isme. Et je prédis que ce sera le communisme. Et le communisme brûlera la cité du Vatican. »
Et j’ai dit : « Juste avant que le temps de la fin vienne… » Eh bien, rappelez-vous, je dis encore ceci : « Avant que le temps de la fin vienne... » Cela fait trente-trois ans que c’est écrit. « Avant que le temps de la fin vienne, il y aura une femme qui sera un grand chef dans ce pays. Elle sera soit présidente, soit quelque chose de ce genre, une femme importante. Et alors, juste avant la Venue du Seigneur, les voitures auront la forme d’un œuf. » Eh bien, souvenez-vous-en; gardez cela à l’esprit. Voyez-vous? C’était en 1932, ou à peu près. Et voyez quelle forme elles prennent chaque année, elles tendent droit à cela. Nous sommes plus près du temps de la fin : nous le sommes.
18 Et une grande persécution va mettre en pièces toutes les différences et nous amener à nous unir comme une seule personne. Nous... Aucun homme, aucun homme ne sera jamais capable de le faire. C’est trop grand pour qu’un ho-… une trop grande tâche pour un homme; c’est Dieu Lui-même qui l’accomplira. Un jour nous serons un. Amen. Oh ! la la ! J’en serai très heureux, pas vous ? Lorsque tout sera terminé.
Maintenant, ici on dispersait les gens. Après trente-trois ans, on pensait au grand jour de la Pentecôte. Et j’aimerais dire quelque chose ici, juste un petit rappel, juste un petit mot. C’est à tort que nous utilisons le mot « Pentecôte ». Je n’ai jamais fait attention à cela, voyez-vous, ou plutôt le mot « Pentecôte ». Nous ne sommes pas des pentecôtistes. Pas du tout. Les pentecôtistes étaient les blasphémateurs. Certainement, c’étaient ces gens qui étaient là à la Pentecôte. C’étaient ceux qui étaient venus là à l’adoration de la Pentecôte, pas l’Eglise. Nous sommes l’Eglise des premiers-nés. Nous sommes ceux qui sont dans le Royaume de Dieu. C’était les adorateurs pentecôtistes qui se moquaient de ceux qui étaient remplis du Saint-Esprit. Ce ne sont pas les pentecôtistes qui – qui étaient les… Les pentecôtistes étaient des Juifs qui adoraient là à la Pentecôte. Mais ici, c’était un nouveau programme que Dieu donnait à l’Eglise. Nous ne sommes donc pas des pentecôtistes. Voyez-vous? Ceci, c’est quelque chose de neuf. Là, ils ont simplement transféré ce nom là. Voyez-vous? Très bien.
19 Mais pour que les bénédictions du Seigneur viennent sur l’Eglise, et ces apôtres sont allés avec cette grande puissance au point qu’ils ont tenu un grand réveil. Il ne semblait pas possible que cela s’arrête. Nous ne pensons pas non plus qu’un jour, après que Moïse eut traversé la mer Rouge avec les enfants d’Israël et que Dieu eut fait pleuvoir du ciel la manne, qu’il fût possible qu’ils oublient ces grands miracles. Mais pas plus tard que trente ou quarante jours après, ils ont oublié tout cela et se sont mis à murmurer contre Dieu. Voyez comment le peuple oublie vite la première chose.
Maintenant, Jude essayait de leur dire... Eh bien, il a dit que vous devez… je... « Bien-aimés, j’ai écrit, je désirais vivement vous écrire, afin que – afin que vous combattiez pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. » Eh bien, chacun de nous ici, peut-être que nous sommes des méthodistes, des baptistes, des presbytériens, des catholiques, et toutes les autres églises dénominationnelles. Pour moi, cela ne veut rien dire. Je crois que c’est par la nouvelle naissance que vous êtes un chrétien dans votre cœur.
20 Or, si vous êtes né de nouveau, vous êtes un enfant de Dieu. Et maintenant, remarquez ceci : chacun de nous voudra dire qu’il s’agissait de son église. « C’est notre église qui combat pour la foi. »
Si ce soir je vais dans une Eglise catholique, ils diront : « C’est nous qui sommes certainement l’église mère. Notre église est celle qui a la foi qui fut transmise aux saints une fois pour toutes. »
Si je vais à l’Eglise baptiste, l’église dans laquelle j’ai été ordonné, ils diront : « Bien sûr, c’est nous qui sommes les docteurs fondamentalistes ; c’est absolument nous qui avons la foi apostolique. »
Et si je vais à l’Eglise méthodiste, l’église de ma mère, eh bien, ils diront : « C’est certainement nous qui sommes l’église apostolique. C’est nous qui avons la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. » Si je vais d’une église à l’autre, chacun voudra dire qu’il s’agissait de son église.
21 Mais maintenant, Jude nous a dit de combattre pour la foi, « la » foi, non pas « une » foi, « la » foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Or, il n’y a qu’une seule façon raisonnable de le faire, n’est-ce pas, les amis, c’est de retourner carrément dans le passé pour voir quel genre de foi ils avaient ; et alors, une fois que nous aurons trouvé le genre de foi qu’ils avaient, combattre alors pour cela.
Maintenant, comme baptiste, je vais déposer la mienne, et quoi que vous soyez, vous, déposez la vôtre, et considérons ce que la Bible dit, alors nous pouvons comprendre cela.
22 Or, nous ne pouvons pas aller dans l’Ancien Testament. En effet, ils n’étaient pas appelés des saints, dans l’Ancien Testament. C’est dans le Nouveau Testament qu’ils étaient des saints. Nous devrions donc commencer à partir du Nouveau Testament. Eh bien, le Nouveau Testament était donc basé sur le christianisme, lequel vient de Christ. Et Christ était le premier Administrateur de la foi pour laquelle nous devons combattre, car c’est la foi qu’Il a apportée au monde.
Le Fils de Dieu né Christ, né d’une vierge... Jean se situait entre la loi et la – et la dispensation de la grâce. Luc 16.16 dit : « La loi et le prophète ont subsisté jusqu’à Jean, et depuis lors le Royaume des cieux est prêché. » Et Jean L’a vu venir, juste un homme ordinaire.
23 Maintenant, commençons juste ici avec Jean. En quoi Jésus paraissait-Il différent, en tant qu’homme, du point de vue stature, du point de vue aspect, et que sais-je encore ? Avait-Il la même apparence que tout autre homme ou était-Il différent ? De tous les récits de l’histoire ou de la Bible dont nous disposons, aucun n’atteste que Jésus a fréquenté l’école un jour. Rien n’est dit concernant Son diplôme, rien n’est dit concernant Son instruction. Evidemment, je pense qu’Il en avait une. Ayant été élevé dans une famille pauvre, Il n’a probablement pas reçu beaucoup d’instruction de ce monde; Il n’en avait pas besoin. Eh bien, mais à l’âge de douze ans, Sa sagesse avait confondu les docteurs en théologie. Ils n’arrivaient pas à comprendre comment ce Garçon de douze ans, eh bien, pouvait dérouler là les Ecritures d’une telle manière et leur prouver des choses qu’ils ignoraient. Voyez-vous, eux enseignaient cela d’un point de vue intellectuel, mais Jésus savait cela par une révélation directe.
Et puis-je dire ceci, mon frère, ma soeur, avec tout l’amour qu’il y a dans mon cœur, que le véritable et authentique Evangile du Seigneur Jésus-Christ est donné par une révélation spirituelle ; c’est par ce seul moyen que vous pouvez le connaître.
24 Maintenant, considérez Caïn dans le jardin d’Eden. Lorsqu’il est revenu en Eden, Caïn était tout aussi religieux que possible. Il a apporté des fleurs et tout, et il les a déposées sur l’autel. Il a apporté les fruits des champs et les a étalés là. Il croyait en Dieu; il adorait Dieu; il offrait des sacrifices à Dieu; il a bâti une église à Dieu, étant tout aussi religieux que possible.
Et Abel s’est roulé une pierre et s’est fait une église ou un lieu d’adoration. Mais quand Abel est venu, lui, par la foi... La Foi n’est pas quelque chose d’imaginaire. Je veux que vous saisissiez cela. La foi est une révélation directe. Voyez-vous, si vous n’acceptez Christ comme votre Sauveur que par l’intellect, vous n’avez pas encore reçu la chose. Vous ne pouvez pas dire que Jésus est le Christ, à moins que le Saint-Esprit vous l’ait révélé. Voyez-vous, une foi intellectuelle, cela... Oh, si seulement je pouvais arriver à faire pénétrer profondément ce seul point maintenant même dans chaque cœur ! Je suis reconnaissant pour cet endroit, cette position maintenant même. Voyez-vous? Oh ! si seulement vous pouvez voir ceci, vous aurez vu la plus glorieuse chose que vous ayez vue depuis des années. Ecoutez, je ne dis pas cela parce que je me tiens ici, mais si vous pouvez comprendre que la foi n’est pas quelque chose qui est perçu mentalement, mais que c’est une révélation – une révélation de Dieu, par la foi, pas par l’intellect, mais par le cœur...
25 Eh bien, comment Abel a-t-il su qu’il fallait apporter un agneau ? Il avait été enseigné par le même père et la même mère que Caïn. Le seul moyen, dit la Bible, c’est par la foi qu’il offrit un sacrifice plus excellent que celui de Caïn, montrant qu’il était juste. En d’autres termes, il était justifié aux yeux de Dieu, et Dieu lui avait donné la révélation de ce qu’était le plan du salut. C’était par l’effusion du sang, pas par l’offrande consistant à construire des églises et à venir avec une grande foi intellectuelle en disant : « Certainement… »
Caïn a dit : « Ô Dieu, je crois en Toi. Je vais certainement me prosterner ici. » Aucun homme faisant face à l’éternité ne pouvait jamais venir sans sincérité, sachant que sa destinée éternelle reposait sur le fait de trouver grâce devant Dieu. L’homme est donc venu devant Dieu avec un cœur sincère, et il a dit : « Seigneur, je crois en Toi. Et je T’offre ce bel autel, cette belle église. Et j’apporte une partie de ma subsistance, avec ma dîme, et je me mets à genoux et je lève les mains pour T’adorer, ô Jéhovah. Je te prie de me recevoir. » Il était religieux au possible. Mais il n’avait pas la révélation directe.
26 Mais Abel, ayant trouvé grâce devant Dieu, a apporté un agneau ; ce n’était pas beau, alors qu’il tirait le pauvre petit animal jusque-là à l’aide d’une vigne autour de son cou, pour le mettre à mort. Il bêlait et s’agitait. Abel l’a jeté sur le rocher, puis il a pris une pierre tranchante et il lui a tranché son petit cou jusqu’à ce qu’il mourut après avoir saigné. Mais c’est par la foi qu’il l’a fait, ayant une révélation spirituelle de l’exigence de Dieu. Saisissez-vous cela ?
Eh bien, quand ils sont descendus de la montagne de la Transfiguration, Jésus de Nazareth a interrogé Ses disciples, en disant : « Qui dit-on que Je suis, Moi, le Fils de l’homme ? »
– Et certains disent, eh bien, que Tu es Elie. Et d’autres disent que Tu es le prophète.
Il a dit : « Et vous, qui dites-vous que Je suis ? »
Et Pierre, parlant ouvertement, a dit : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. »
Ecoutez, Il a dit : « Tu es heureux, Simon Barjonas (plutôt fils de Jonas, son père), a-t-Il dit, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux. Et Moi, Je te dis : ‘Tu es Pierre, et sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne peuvent pas prévaloir contre elle.’ »
27 Eh bien, l’Eglise catholique veut faire croire qu’Elle a été bâtie sur Pierre, la petite pierre. L’Eglise protestante déclare que c’est sur Christ, la Pierre angulaire. Mais considérez l’Ecriture ; ce n’était ni sur l’un ni sur l’autre. C’était sur la révélation spirituelle que Dieu avait donnée à Pierre, Il a donné la même chose à Abel au rocher, à l’autel. Il a donné à Abel la révélation spirituelle de ce qu’était le plan de Dieu. Et Il a donné à Pierre, non pas par la chair et le sang, ni par la récitation des prières, ni par le fait de fréquenter l’église, mais par la révélation spirituelle : « Tu es heureux, Simon, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux. Sur cette pierre Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. »
A présent, voyez-vous pourquoi nous avons tant de différentes dénominations ? Voyez-vous pourquoi nous avons tant de confusion, l’un croyant ceci et l’autre croyant cela ? C’est parce que la vérité spirituelle révélée ne doit venir que par Dieu seul. La Parole est cachée aux yeux des sages et des intelligents. C’est Dieu qui l’a dit. Et Il la révèle aux enfants qui veulent apprendre. Soyez donc un enfant, humiliez-vous, et dites : « Ô Dieu, me voici. Révèle-Toi à moi. Je T’aime. » Dieu se révélera à vous ; Il se fera connaître. Voyez-vous cela ?
28 Remarquez. Alors quand Jean a vu Jésus venir, c’était juste un homme ordinaire, qui n’était pas peut-être différent en stature de l’homme ordinaire. Il a juste traversé la foule, et personne ne Le reconnaissait ; Il a juste traversé la piscine de Béthesda, et tout ce qui était tout autour. Des fois, les pharisiens se mettaient à discuter avec Lui, et Il sortait tout droit de la foule. Et les gens n’arrivaient pas à Le distinguer de tous les autres ; ils portaient tous des barbes et des robes ; ils avaient donc tous la même apparence, il n’y avait aucune différence.
Mais Jean, pendant qu’il se tenait là, en train de prêcher, étant le précurseur… Comme le dit une petite histoire à ce propos, qui peut être vraie ou pas, peut-être pas, je ne saurai pas le dire. Mais il est rapporté qu’il prêchait ce jour-là vers 11h00 et discutait avec le sacrificateur, de l’autre côté de la rivière. Nous savons de toute façon qu’il baptisait au fleuve. Et il s’est retourné et a regardé, et voilà Jésus descendant la colline, venant vers la rive du Jourdain. Et quand Jean a regardé, aussitôt il L’a reconnu. Il a dit : « Voici l’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde. » Comprenez-vous cela ? Voici veut dire regarder. « Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. »
Dans le livre de Jean, il a dit : « Je ne Le connaissais pas (Il était comme tout autre homme), mais Celui qui, dans le désert, m’a dit d’aller baptiser d’eau, a dit que Celui sur qui je verrai l’Esprit descendre et demeurer, c’est Celui qui baptisera du Saint-Esprit et de Feu. » Amen.
29 Comprenez-vous cela ? « Celui sur qui tu verras », la révélation. Jean n’a pas dit que l’auditoire… Jean a témoigné avoir vu l’Esprit de Dieu. Jean était oint ; Jean a reçu le privilège de Le présenter. Jean était le seul qui savait quelque chose à ce sujet. En effet, cela n’était donné qu’à Jean, et à lui seul. Et il a rendu témoignage, disant : « J’ai vu l’Esprit de Dieu descendre comme une Colombe. Et Il s’est posé sur Lui, et une Voix venant de cette Colombe s’est fait entendre, disant : ‘Voici Mon Fils bien-aimé en qui J’ai mis toute Mon affection ; écoutez-Le.’ » Oh ! la la ! Vous y êtes : la vérité spirituelle révélée. Personne d’autre n’a vu cela. Ou bien, les Ecritures ne déclarent pas que les gens ont vu cela. Mais Jean a rendu témoignage.
Cela fut révélé à Jean, comme cela fut révélé à Abel, comme cela fut révélé à Pierre, comme cela est révélé à tout croyant qui est ici ce soir. C’est quelque chose que vous ne pouvez pas, que vous ne pouvez pas expliquer. Jean ne pouvait pas procéder par toutes les analyses pour dire : « C’était comme ceci, c’était comme cela. » Il a dit : « J’ai vu l’Esprit de Dieu. Ça règle la question. Et Dieu m’a dit dans le désert que Celui sur qui je verrai l’Esprit descendre et demeurer, c’est Celui qui baptisera du Saint-Esprit et de Feu ; je sais donc que c’est Lui. » Amen. Cela règle la question.
30 Remarquez, Il est allé là dans le désert pendant quarante jours, jeûnant et priant ; et Il en est sorti oint. Voyez-vous ce que le Saint-Esprit a fait avec Lui ? Il L’a conduit dans le désert, là où Il était seul. Tout homme et toute femme né de l’Esprit de Dieu et qui reçoit le Saint-Esprit, ce Dernier le conduira à s’éloigner de ses associés, pour être seul : la communion, l’union, seul dans le désert.
Et puis, remarquez. Quand Il est sorti du désert, Il s’est mis à prêcher. Il avait la pleine révélation, car Il était alors la Divinité elle-même. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il avait un témoignage direct. Jean a vu l’Esprit. Jésus savait qu’il devait en être ainsi, parce qu’Il avait été appelé et mis à part dans ce but-là, avant la fondation du monde. Il était le Fils de Dieu, qui devait ôter les péchés du monde.
31 Et là, une Lumière visible sous la forme d’une colombe… Quelle foi Il avait ! Il marchait calmement avec autour de Lui les gens qui Le persécutaient, qui se moquaient de Lui en disant : « Blasphémateur, discoureur ! » Les Siens ne L’ont pas reçu. Mais Il marchait d’un pas ferme, parfaitement convaincu que le Dieu qui était en Lui ordonnait Sa destinée. Amen.
Vous y êtes. Toute personne qui est née de l’Esprit de Dieu, qui sait que le Saint-Esprit est en elle, a la certitude. Dieu connaît votre destinée. Marchez calmement devant Lui.
32 Eh bien, c’était là le commencement de la foi qui a été transmise premièrement aux saints. Voyons ce que Jésus a fait. Et alors nous pourrons avoir une bonne idée de ce qu’est la foi. Eh bien, c’est Lui qui l’a apportée. Jean L’a présenté à partir d’un miracle, un signe, ou plutôt un halo au-dessus de Lui, sous la forme d’une colombe. Et Cela s’est posé sur Lui. Et Jean avait entendu l’Esprit dire : « Maintenant, Celui sur qui tu verras cette Lumière, et en qui Elle entrera, c’est Lui le Messie, car c’est là le signe du Messie. » Amen. « Jean, ce sera là le signe pour toi ; tu le verras. »
33 Et la femme au puits, pour elle, le signe était le fait qu’Il savait ce qu’elle avait dans le cœur. Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « Tu as eu raison de dire cela; tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari, et tu as eu raison de dire cela. »
Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es prophète. Nous savons (Oh ! la la ! j’aime cela), nous avons appris et nous savons que lorsque le Messie viendra, Celui qui va nous apporter la foi, Il fera ces choses. Quand le Messie viendra, Il nous annoncera toutes choses. »
Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. »
Elle a abandonné sa cruche d’eau, et elle est entrée dans la ville en courant. Elle avait bu à une fontaine. C’était tellement différent qu’elle a dit : « Venez voir un Homme qui m’a dit ce qu’il y a dans mon cœur. Ne serait-ce pas le Messie même ? N’est-ce pas là ce que nous avons appris, à savoir que lorsque le Messie viendra, Il connaîtra ces choses ? N’est-ce pas là le signe ? »
34 C’est ce que Jean a vu. Considérez ce que Pierre a dit. Il a bien présenté ce que l’église... à l’église, Actes chapitre 2. Il a dit : « Hommes Israélites, Jésus de Nazareth, cet Homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous… » Par quoi ? « Par des signes, des prodiges et des miracles qu’Il a opérés par Lui au milieu de vous tous, comme vous le savez tous. » Voyez-vous cela ? Voilà la chose. Dieu vous L’a révélé par des signes, des prodiges et des miracles.
Nicodème l’a bien dit. En effet, l’église orthodoxe savait cela. Les Juifs savaient que c’était le Messie. Mais ils ne pouvaient pas L’accepter, parce qu’ils perdraient leur prestige social. Jésus est venu, Il est allé à la maison un soir. Nicodème descendait la ruelle. Regardez là, un aristocrate qui vient vers un pauvre. « Les renards ont des tanières, les oiseaux des nids, le Fils de l’homme n’a pas un lieu où reposer Sa tête. » Un homme âgé venant vers un jeune. Et quand il L’a rencontré, qu’était-Il ? Un érudit, détenant toutes sortes de diplômes, venant vers un Homme qui n’avait aucun diplôme de ce monde. Et il a dit : « Rabbi, nous l’église, les orthodoxes, nous savons que Tu es un docteur venant de Dieu. En effet, personne ne peut faire les miracles que Tu fais, si Dieu n’est avec lui. » Ça, c’est un fait établi. Amen. Comprenez-vous cela ? « Personne ne peut faire les choses que Tu fais, si Dieu n’est avec lui. Et nous savons cela. » J’aime ça.
35 Oh ! qu’a-t-Il fait alors ? Nous allons voir quel genre de foi Il a apportée. Il ne prétendait pas être une personne importante. Mais Il avait une puissance que les gens n’arrivaient pas à comprendre. Il émanait de Lui un tel amour que tout le monde désirait ardemment être à Ses pieds. Et pourtant, bien des fois Il avait un langage tranchant. Cependant, peu importe ce qu’Il disait, les gens, les gens du commun L’aimaient et restaient attachés à Lui.
Et nous voyons que quand Il se tenait là, un jour Philippe fut sauvé, et il alla chercher Nathanaël et il l’a amené auprès de Lui. Il est entré dans l’auditoire, il s’est tenu là, Jésus l’a regardé et a dit : « Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude. »
Il a dit : « Eh bien, Rabbi, quand m’as-Tu connu ? »
Il a dit : « Eh bien, avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu. » C’est la foi qui a été apportée.
36 Quand Il était à… La femme au puits, Il lui a dit où ses maris étaient, qui ils… plutôt le nombre de fois qu’elle s’était mariée. Et Elle a dit que c’était le signe du Messie. Il a fait beaucoup de choses de ce genre. C’était donc ce qu’Il a apporté à ce moment-là quand Il est parti.
Suivez attentivement maintenant avant que nous formions la ligne de prière. Oh! cette horloge! Plusieurs fois, quand Il était ici sur terre, avant de s’en aller, Il a dit : « Les choses que Je fais, vous les ferez aussi. Vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père. Allez par tout le monde. » La dernière commission, la grande commission adressée à chaque ministre : « Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle. »
Qu’est-ce que l’Evangile ? Vous dites : « C’est la Parole. » Ce n’est pas seulement ça. Paul a dit que l’Evangile n’a pas été prêché en paroles seulement, mais avec la puissance et la manifestation de la Parole par le Saint-Esprit. Enseigner la Parole, c’est comme lire un journal.
37 Quand j’étais – je suis arrivé en Inde, l’évêque méthodiste et beaucoup d’autres sont venus m’attendre là. Ils ont dit : « Frère Branham, nous avons déjà entendu ces choses. Nous avons prêché la Parole, nous en savons peut-être plus sur la théologie que vous tous les Américains réunis, parce que la Bible est un Livre oriental. » Et c’est juste. Il a dit : « Mais nous voulons voir quelqu’un qui est oint du Saint-Esprit, qui peut faire vivre encore Cela. » Voilà la chose. « Nous voulons quelqu’un qui peut produire ce que la Bible déclare qu’elle produira. Nous (en d’autres termes), nous voulons voir la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. » Vous y êtes.
38 Eh bien, Jésus n’a pas avancé comme un mât totémique. Jésus a dit, une fois qu’Il traversait un groupe de gens, Il a guéri un homme qui était couché sur un grabat, Il s’en est allé et a quitté l’auditoire. Eh bien, on Lui a posé des questions, peut-être qu’on L’a interpellé pour l’avoir fait le sabbat et ainsi de suite. Et Il a dit : « En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils de ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père. Ce que le Père montre au Fils, le Fils fait exactement ce que le Père dit. » En d’autres termes : « Je ne peux rien faire jusqu’à ce que le Père Me montre une vision, et alors Je fais ce que le Père Me dit de faire. » C’était là la foi qui a été transmise aux saints.
Beaucoup ont vu cela ; beaucoup ont cru cela ; beaucoup n’ont pas cru cela. Eh bien, longtemps après que Jésus fut parti, on a amené des malades de toutes les régions avoisinantes et on les a étendus dans les rues de Jérusalem, afin que ne fût-ce que l’ombre de Pierre puisse passer sur eux.
39 L’homme qui était couché là à la porte appelée la Belle, par laquelle Jésus était entré et sorti plusieurs fois, était toujours couché là, estropié depuis le sein de sa mère. Et Jésus était passé plusieurs fois par cette porte. Comprenez-vous ? Ensuite, après Son départ (nous voyons quel genre de ministère Il avait), eh bien, après Son départ, Il a ordonné à l’Eglise… Ceci va secouer, soyez donc prêts. Il a ordonné à l’Eglise d’apporter le même Evangile jusqu’à l’extrémité de la terre : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru ; en Mon Nom, ils chasseront les mauvais esprits ; ils parleront de nouvelles langues. S’ils saisissent un serpent ou boivent quelque breuvage mortel, ils ne pourront point leur faire de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Il montrait en peu de mots quels miracles devraient accompagner le croyant. Et ces miracles ont accompagné pendant tout l’âge apostolique. Amen.
40 Jésus a apporté la foi. Les ministres l’exercent. Pendant le premier siècle, elle fut exercée à la lettre. Ensuite, le Concile de Laodicée a eu lieu, et les gens ont commencé à … ?… et à se chamailler au sujet de différentes doctrines et ont démoli la chose jusqu’à présent. Mais le temps du soir vient, le moment dont le prophète a dit que vers le soir la Lumière paraîtra. La Lumière de l’Evangile est apparue quand cela s’est levé là-bas. Le prophète a dit : « Il y aura un jour qui ne sera ni jour ni nuit ; mais vers le soir la Lumière paraîtra. » Quand le soleil s’est levé chez les peuples de l’est, il y a deux mille ans… En parlant du jour et de la nuit, de vingt-quatre heures, des cycles de douze heures, du jour et de la nuit… Quand le soleil a commencé à se lever jadis sur la première Eglise, les gens ont eu des miracles et des prodiges, et les mêmes choses que Jésus de Nazareth a faites, ils les ont faites eux aussi.
41 Les gens se couchaient à l’ombre de Pierre. Quand Paul s’est converti... d’abord il était guindé et arrogant, il était orthodoxe dans sa foi (saisissez), orthodoxe, il tendait des pièges : « Cette bande des fanatiques, je vais les empoisonner. Je vais les jeter en prison. » Il est monté sur son grand cheval de bataille et s’est mis à chevaucher, allant à Damas pour jeter en prison tous ces saints exaltés. Il a exercé tout ce genre de non-sens, tendant des pièges à l’Eglise, déclarant les grandes choses qu’il avait l’intention de faire ; en effet, il avait dans ses poches des ordres venant du souverain sacrificateur, qui était connu de tous.
Un jour, vers onze heures, il est tombé de son cheval. Eh bien, on a prétendu qu’il était épileptique au départ ; il ne l’était pas. C’est la puissance du Dieu Tout-Puissant qui l’a fait tomber. Des années plus tard, il a dit : « Je n’ai point résisté à la vision céleste – vision céleste. » Amen. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] J’aime ça, pas vous ? Avoir la foi qui a été transmise aux saints au commencement.
42 Il s’appelait Ananias. Il avait des visions. Et un jour, il était en prière. Et le Seigneur est venu vers lui et a dit : « Ananias, va dans la rue appelée la Droite. Et tu trouveras couché là quelqu’un qui a été aveuglé. » Il a dit : « Il s’appelle Saul. » Il a dit : « Seigneur, nous avons peur de cet homme ; nous avons appris comment il est… »
Il a dit : « Regarde, il prie. » Là, les choses avaient changé. « Je l’ai déjà rencontré, Je l’ai déjà préparé, J’ai fait sortir de lui tout l’amidon, Je l’ai roulé un moment dans la poussière, J’ai ôté son prestige. Il va apporter Mon Message. »
Quand Ananias est sorti de la vision, je peux le voir se frotter les yeux, descendre la rue à côté de la source de la ville, tourner et traverser la rivière de Damas, en se disant : « J’ai vu dans une vision un …?… » Il a dit : « C’est là, juste là. C’est bien l’endroit. » Il est entré directement là où il se trouvait, il lui a imposé les mains et a dit : « Frère Saul, le Seigneur t’est apparu, n’est-ce pas, Saul ? Pendant que tu étais en route là-bas. J’ai vu cela en vision. Et Il m’a dit de t’imposer les mains pour que tu sois guéri. Tes yeux vont s’ouvrir dans quelques minutes, Saul, et tu vas recevoir le Saint-Esprit, car Dieu va t’envoyer, et Il n’envoie pas quelqu’un sans lui avoir donné d’abord le Saint-Esprit. » Pas une seule dénomination pour les soutenir à ce moment-là, ils devaient aller par le Seigneur. Il donne aux gens le Saint-Esprit avant de les envoyer. C’est cela la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. « Frère Saul, Jésus t’est apparu, n’est-ce pas ? Je le sais par une vision que j’ai eue. »
Il a dit : « Oui, Ananias. »
Ananias a dit : « Eh bien, le Seigneur m’a parlé. C’est une vision ; cela doit arriver. » Il a dit : « Seigneur, me voici, je lui impose les mains. » Et les écailles sont tombées de ses yeux. Il s’est levé, j’imagine, il s’est agrippé à la main d’Ananias, et ils se sont dirigés vers le pont, et il fut baptisé là dans la rivière de Damas.
43 J’aurais aimé assister à cette réunion. Paul est parti aussitôt, pas à un séminaire, mais il est allé en Arabie, et il y est resté pendant trois ans à jeûner et à prier pour que le Seigneur lui montre ce qu’il devait faire.
Jésus, après avoir reçu le Saint-Esprit, s’est caché. Paul, après avoir reçu le Saint-Esprit, s’est séparé, et Dieu lui a révélé exactement la même foi. Quatorze ans plus tard, il était en consultation avec Pierre, et il s’est rendu compte qu’il prêchait la même chose. Sans avoir rien vu, sans avoir rien su de cela, il prêchait pourtant la même foi.
44 Pendant qu’ils étaient en mer une nuit, ayant fait quatorze jours et quatorze nuits, tout espoir d’être sauvé parti, tout le monde hurlait et criait, sans manger, Paul est descendu dans la cloison du navire qui était ballotté, plein d’eau, sur le point de faire naufrage. Paul était là au fond, en train de prêcher, ou plutôt de prier, là au fond, en train de prier, et Dieu lui est apparu dans une vision. Il est remonté sur le pont, il a regardé, la tempête faisant terriblement rage, pas de lune, pas une seule étoile. Chaque fois que le vieux petit bateau, et tout, se retrouvait sous une vague, tout le monde s’écriait : « C'en est fini cette fois-ci. »
Paul a dit : « Fortifiez-vous. » Alléluia !
45 La Bible dit que Jésus Lui-même a déclaré qu’Il était envoyé pour prêcher la délivrance, pour ouvrir les portes des prisons pour ceux qui étaient assis dans les ténèbres. Il a donné la même commission à Son église. Et voici où les gens manquent la chose. Eglise, écoute.
Supposons que vous soyez assis en prison, attendant d’être exécuté le matin à neuf heures. Et ils vous ont rasé toute la tête et ont mis sur vous un grand casque, ils ont retroussé votre manche gauche, et ont placé autour de votre jambe gauche une grosse bande en cuivre. Et un homme se tient là avec un interrupteur en main pour l’actionner, et tout à coup quelqu’un entre en courant et dit : « Ne le faites pas. J’ai obtenu une mesure de grâce de la part du gouvernement. Le gouverneur de l’Etat l’a gracié. Il ne doit plus… » Cet homme peut être plus heureux, en étant assis là avec ce casque sur la tête et ce cuivre aux bras, que s’il était dans la rue. Amen. En effet, sa grâce a été signée.
46 Et tout homme et toute femme ici ce soir qui peut reconnaître que c’est cette foi que nous prêchons, la foi en laquelle vous avez cru depuis plusieurs années, qui a été transmise aux saints au commencement, selon laquelle Jésus est venu pour vous pardonner, et vous a fait sortir de la cellule de la maladie et du péché… Votre grâce a été signée gratuitement. Christ l’a signée avec Son propre Sang. « Car Il était blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. »
Vous êtes libre. Où a-t-Il signé cela ? La Bible le dit. Cela fait deux mille ans et pas une seule Parole n’a failli. Et quand cent milliards d’années se seront écoulées, cela ne faillira toujours pas. Une fois que Dieu a parlé, Il ne peut pas retirer la chose. Moi, je peux parler et retirer la chose, vous aussi. Mais Lui une fois qu’Il a parlé, c’est réglé pour toujours.
Vous avez peur. Vous n’êtes pas tenu d’être lié par le péché ; vous n’êtes plus tenu d’être par la maladie. C’est vrai. Paul a prêché la foi qui fut transmise aux saints une fois pour toutes.
47 Or, qu’avons-nous adopté aujourd’hui ? Nous avons adopté d’autres choses. Nous avons adopté l’adhésion à une église au lieu de la chambre haute. Nous avons adopté la théologie au lieu du baptême du Saint-Esprit. Nous avons adopté tout autre chose au lieu de la chose que Dieu nous a recommandé de faire. C’est parce que nous avons écouté les lois et les ordonnances des hommes.
Mais quand cette Lumière de l’Evangile a brillé ce matin là-bas en orient, c’était un jour qui n’était ni jour ni nuit; c’était un jour brumeux. Le soleil ne pouvait pas être vu dans sa puissance, c’était une lumière obscurcie, un jour brumeux. Les gens savaient que le soleil brillait, mais les nuages l’ont caché à leur vue. Les gens avaient assez de foi pour dire : « Oui, Jésus était le Fils de Dieu. Oh ! Il s’en est allé. Nous voyons assez pour croire au salut. » Mais vous n’arrivez pas à croire toute la chose. Les gens ne vont pas jusqu’au bout.
48 C’est comme le prophète. Quand le – le – le roi est venu lui demander la victoire, pour avoir la victoire sur la Syrie, il a mis sa main sur son bras, il a dit : « Frappe le sol. » Et il frappé deux fois seulement. Le prophète a dit : « Pourquoi n’as-tu pas frappé plusieurs fois ? Tu as raté. Dieu t’aurait accordé plusieurs victoires. »
Et ce soir, je dis ceci avec respect, église. L’église ne frappe pas suffisamment par rapport à ce que Dieu lui a révélé, elle ne frappe pas suffisamment. Les gens frappent seulement deux fois. Nous pouvons être libres du péché ; c’est bien. Et nous pouvons avoir la joie ; c’est bien. Mais pourquoi ne frappons-nous pas pour avoir la guérison divine ? Pourquoi ne frappons-nous pas pour avoir la puissance de Dieu ? Pourquoi ne frappons-nous pas pour avoir la restauration des dons ? Pourquoi ne frappons-nous pas pour montrer que « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement » ? Pendant que Dieu a reposé Sa main sur les nôtres, remportons la victoire sur le péché et sur tout ce dont Jésus nous a libérés par Sa mort. L’église ne frappe pas suffisamment. Les gens frappent juste un peu. Mais cela ne fait aucun bien. C’est comme si nous frappions juste une fois, deux fois. Continuons à frapper. Le Calvaire a annoncé la liberté. Le Calvaire, frappez suffisamment.
Tout ce que la Bible dit, dites-le avec Lui. Comment le faire ? Le prophète, le voyant, avait sa main sur lui. Aussi longtemps que Christ a posé Sa main sur vous avec le baptême du Saint-Esprit, continuez à frapper. Dieu est avec vous.
49 Remarquez, combien le Saint-Esprit agit de la même façon aujourd’hui ! Paul, à son départ, a dit : « Après que je serai… après mon départ, il s’introduira des loups cruels qui n’épargneront pas le troupeau. » Mais, écoutez. Galates 1.8 : « Quand nous-mêmes, quand un ange du ciel vous annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons déjà prêché, qu’il soit anathème ! »
Ensuite, Jude a dit plus tard : « Bien-aimé, je désirais vivement vous écrire, afin que vous puissiez combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. » Voyez-vous ce qu’est la foi ? Si votre église l’enseigne et la pratique, que Dieu vous bénisse. Sinon, continuez à prier jusqu’à ce que Dieu vienne et se confirme ; il y a un Caïn parmi vous.
50 Oh ! combien j’aurais aimé continuer juste là-dessus, mais ce n’est pas possible. Combien j’aurais aimé parler du – du faux prophète qui jetait ses regards sur Israël ! Et il se disait : « Certainement que toute cette bande de gens qui errent comme des brebis là dans le désert, de lieu en lieu, se disait-il, certainement que Dieu maudira ce peuple. » Mais la Voix du Roi était au milieu d’eux. Balaam ne pouvait pas voir cela. Il y avait un signe au milieu d’eux, un rocher frappé et un serpent d’airain qui les précédaient, faisant l’expiation.
Et il en est de même de l’Eglise de Dieu ce soir, puisque la même foi qui fut transmise aux saints une fois pour toutes est transmise aujourd’hui. Le soleil s’est levé à l’est. Ils embellissent leur voie en dehors de cela avec la théologie. C’est un jour qui n’est ni jour ni nuit. Mais le prophète a dit : « Vers le soir… » Où se couche le soleil ? A l’ouest. Où se lève-t-il ? A l’est. Qui étaient les premiers à recevoir le Saint-Esprit autrefois, là au commencement ? Qui est ce peuple oriental ? Les Juifs, les Grecs et les autres. Qui le reçoit dans le dernier jour, quand le soleil se couche ? Les Etats-Unis d’Amérique, la dernière civilisation.
Vers le soir la Lumière paraîtra. Le Saint-Esprit est ici avec le même ministère qui a été transmis au Sei-… par le Seigneur Jésus-Christ à Ses apôtres. Et Elle traverse les ténèbres les plus épaisses, et les nuages s’écartent. Le même Saint-Esprit est venu et révèle la même chose. Que Dieu vous bénisse, pendant que nous prions.
51 Père céleste, nous Te remercions au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Selon les termes chrétiens : « Je sais. » C’est pour ça que nous aimons tout simplement cela. Non pas : « Je suppose que c’est ainsi, c’est peut-être ainsi » ; ça, ce n’est pas un témoignage chrétien. « Je sais. » C’est comme ça que nous procédons, Père, nous savons que Jésus est le Fils de Dieu. Nous savons qu’Il est ressuscité des morts. Il vit au milieu de nous. Et Il produit, parmi nous ce soir, la foi qu’Il a transmise aux saints une fois pour toutes.
Et Le voici au temps du soir, au coucher, à la côte ouest de la terre, la même Lumière brillante qui se manifesta autrefois ce jour-là dans la chambre haute, quand ces gens-là ont reçu le Saint-Esprit. Et voici le même Saint-Esprit qui descend encore aujourd’hui, de la même manière avec les mêmes miracles et prodiges. Ô Père, nous T’aimons, nous Te remercions.
Bénis-nous maintenant. Et tandis que je vais servir, conformément à ce que Tu as dit : « Tu as emmené des captifs. Et Tu as fait des dons aux hommes. » Cela montre que Tu reviendras et feras les mêmes choses que Tu avait faites quand Tu étais ici. Et, ô Père, je prie ce soir que cet auditoire puisse partir d’ici ce soir en disant comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, après la première résurrection : « Nos cœurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous ? », parce qu’ils savaient que c’était le même Jésus. Il a fait les mêmes choses qu’Il avait faites quand Il était ici sur terre. Et puisse-t-Il reproduire Sa Vie dans cette église ce soir, à travers Ses humbles serviteurs qui se sont réunis, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
52 J’ai promis de ne pas être très long. Je m’excuse. Vous êtes un groupe de gens très aimables, je pourrais tout simplement vous parler toute la nuit.
Je L’aime. Oh ! combien je L’aime ! Bon, on a distribué des cartes de prière, prions donc pour quelques malades, si on peut les conduire, je pense, par ici, d’une certaine façon. Peut-on les conduire ici, Frère Joseph ? Ou on peut les faire venir d’une certaine façon, d’une façon ou d’une autre, comme vous voulez, ça ne change rien. En haut par ici ? D’accord.
Nous voulons prier si possible pour tous ceux qui ont des cartes de prière. Maintenant, je désire que vous soyez très respectueux, je vous en prie, vous avez été si gentils.
53 Maintenant, si le Seigneur Jésus veut bien venir sur cette scène ce soir. Eh bien, je ne suis que votre frère, un homme. Mais Lui reste toujours le même Jésus ; croyez-vous cela ? Eh bien, s’Il est le même en puissance, le même en principes, le même en amour, eh bien, Il aura la même vie, n’est-ce pas ? En effet, Il a dit : « Je… » Là où Il a promis qu’Il serait avec nous, Il a promis qu’Il serait en nous, même jusqu’à la fin de l’âge, est-ce juste ? Et puis, aussi longtemps qu’il existera un monde ici, jusqu’à la fin de l’âge de le – de l’Evangile, Jésus, le Seigneur Jésus ressuscité, a promis d’être avec nous, en nous. Que Dieu vous bénisse.
Maintenant, avez-vous commencé cela pour moi ? De 1 à combien ? De 1 à 100.
54 Très bien, qui a la carte de prière numéro 1 ? Levez la main, le numéro 1. La carte de prière numéro 1 ? Peut-être que la personne est sortie. Qui a le numéro 2 ? Là derrière, des gens s’en sont allés ; il se pourrait que ce soit eux. Numéro 2 ? Avez-vous dit de 1 à 100 ? Numéro 3, la carte de prière numéro 3 est-elle ici ? Carte de prière numéro 3 …?… très bien. Très bien, numéro 3. Conduisez la dame ici. Numéro 4 ? Qui a la carte de prière numéro 4 ? C’est vous ici ? Numéro 5 ? Carte de prière numéro 5, quelque part, levez la main. Juste là ? Numéro 6. Très bien, madame. Numéro 7, qui a la carte de prière numéro 7 ? Voudriez-vous lever la main rapidement ? Carte de prière numéro 7, est-ce vous là derrière, madame, avec… qui vous mettez debout ? Carte de prière numéro 7 ? Levez la main rapidement vous qui avez la carte de prière numéro 7. Où est-ce ?
55 Quelqu’un a levé la main là derrière, et a indiqué quelqu’un qui est debout, est-il déjà debout là ? Carte de prière numéro 7 ? 6 ? Qui a la carte de prière numéro 7 ? Levez la main. Numéro 8, levez la main. Cette… Madame, c’est vous qui l’avez, la dame ici avec un chapeau blanc, en train de sortir, ici ? Vérifiez si cette dame a la carte de prière numéro 8, je vous prie ; elle a une carte de prière en main. Vérifiez si c’est le 8. Elle est peut-être sourde et elle ne peut pas… Très bien, 8. 9, qui a la carte de prière 9 ? Vous ? 10, très bien, levez rapidement la main pour que je voie qui vous êtes. Carte de prière 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20 ? Vous avez – vous avez le 20 ? Très bien, c’est bien. Très bien.
Maintenant, nous en avons combien là ? Peu importe combien sont debout, juste, oh ! la la ! ce n’est pas ce qui nous préoccupe. On ne veut pas avoir trop de gens debout, car ça prend un bon bout de temps. Quand l’onction du Saint-Esprit vient parmi nous, ça roule, ça agit en quelque sorte lentement. Mais il nous faut tout simplement attendre pour voir (Voyez-vous ?) ce que Dieu dira. On ne sait pas, si rien n’est dit, alors je continuerai à appeler les gens juste dans la ligne et à prier pour eux.
56 Maintenant, qu’on comprenne bien ceci, ce… Combien m’entendent très bien, quand je dis que Jésus-Christ est ressuscité des morts et que Lui-même, pas un prédicateur, pas un certain genre d’homme, mais Christ Lui-même vit dans Son Eglise ? Combien m’entendent dire cela ? Qu’ils disent : « Amen. » [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Et Il est ici ce soir, ayant promis que là où deux ou trois sont assemblés, « Je serai au milieu d’eux ». Donc, s’Il est ici, Il manifestera devant cet auditoire le même signe qu’Il avait manifesté devant la femme des Gentils au puits de Samarie, ou comme ce qu’Il fit avec Jean. Ce sera le signe messianique, c’est-à-dire les mêmes choses que Jésus a accomplies, qu’Il les accomplira de nouveau. S’Il le fait, vous en irez-vous en vous réjouissant et étant heureux du fait qu’Il est là ?
Très bien, je vais vous demander ceci : ne vous déplacez pas, s’il vous plaît. Eh bien, mettez-vous ici au-dessus à ma place en cet instant. Essayez juste de venir ici; vous pouvez bien le faire, si vous voulez. Voyez-vous ? Montez directement. Vous n’oseriez pas le faire, à moins que Dieu vous ait dit de le faire. En effet, ça ne tardera pas que vous vous rendrez compte qu’il y a quelque chose qui cloche. Voyez-vous ? Si seulement l’auditoire pouvait s’en rendre donc compte.
57 Maintenant, combien là-bas qui veulent que l’on prie pour eux ce soir n’ont pas de cartes de prière, mais veulent qu’on prie pour eux ? Levez la main pour que Jésus vous voie. Très bien, c’est bien.
Très bien, croyez maintenant de tout votre cœur. Ayez simplement foi en Dieu. Ne doutez pas. Très bien, que tout le monde soit respectueux. Maintenant, soyez… Maintenant, suivez. Quand la foi de Jésus qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, quand Il se tenait au milieu des gens, et que quelque chose clochait dans les gens, Il était capable de révéler cela, n’est-ce pas ? Si quelqu’un Le touchait avec foi au point qu’Il savait qu’on L’avait touché. Une fois, beaucoup de gens avaient une foi intellectuelle et venaient du fleuve depuis la Galilée. Et une femme a touché Son vêtement, puis elle s’est précipitée dans la foule, et elle s’est tenue là. Et Jésus s’est retourné, ne sachant pas qui avait fait cela, Il a dit : « Qui M’a touché ? » Il a posé cette question : « Qui M’a touché ? » Pouvez-vous vous imaginer Dieu dire cela ?
58 Pourriez-vous vous imaginer un homme, un prophète aveugle se tenant là, et son propre fils enveloppé d’une peau de chèvre, comme cela, dire : « Je suis Jacob. » Ou plutôt « Je suis Esaü. » Et il l’a touché, il a dit : « Eh bien, je sens comme si c’est Esaü, mais on dirait la voix de Jacob! », et il l’a béni. Et la bénédiction de Dieu a reposé sur lui, pourtant il trompait un prophète.
Pouvez-vous vous imaginer un homme revenir avec un manteau ensanglanté et dire que des lions et dévorer… qu’une bête avait tué son enfant là-bas ? Et pendant des années, des années et des années après cela, ce prophète ne savait pas qu’il en était autrement ? Et le même homme étant à l’agonie s’est assis sur un lit, il a ramené ses pieds au lit, et il a béni ces patriarches et les a placés exactement à l’endroit où ils sont encore aujourd’hui. Voyez-vous cela ? Amen.
Jésus a dit : « Qui M’a touché ? »
Eh bien, Pierre a dit : « Seigneur, c’est toute la foule qui essaie de Te toucher. »
Il a dit : « Oui, mais, a-t-Il dit, il s’agit d’un toucher différent. » Il a regardé tout autour, Il a dit : « La force M’a quitté, Je me sens faible. »
Je peux m’imaginer quelqu’un dire : « Eh bien, regardez, s’Il est Dieu, s’Il y a de la sainteté en Lui, pourquoi alors s’affaiblit-Il ? C’est un non-sens ! » Mais la Bible dit qu’une vertu était sortie, c’est-à-dire une force. Il a dit : « J’ai connu qu’une force est sortie de Moi. » Il a regardé tout autour dans l’auditoire ; Il a vu la petite femme.
Il a dit : « Eh bien, pas Moi, pas le Père, mais ta foi t’a sauvée. » Est-ce juste ? Sa perte de sang s’était arrêtée. Parce qu’elle avait cru cela de tout son cœur.
59 Maintenant, c’est ça la foi que ce même Jésus a apportée. Et un jour que Pierre prêchait, ou plutôt Paul, il a regardé un homme qui était assis là, estropié, il a dit : « Je vois que tu as la foi pour être guéri ; tiens-toi debout. »
Pierre, un autre cas avec lui : Ananias, Saphira sont venus ; il a su le secret même de leur cœur. Il a dit : « Pourquoi le diable a-t-il mis dans votre cœur de mentir au Saint-Esprit ? » Et ils l’avaient fait secrètement, mais lui le savait. Pourquoi ? Est-ce cela la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes ? Et le peuple eut la crainte de Dieu. Oh ! ne laissez jamais votre cœur s’endurcir, les amis, au point de ne pas avoir la crainte de Dieu. Puisse-t-Il vous bénir maintenant.
60 Maintenant, nous avons quelques personnes debout dans la ligne, je pense, environ 25. Hein ? Que dites-vous ? La carte de prière numéro 1, est-elle ici dans la salle ? Que tout le monde regarde autour de lui ; il se peut que ce soit quelqu’un… Regardez, voici une dame assise ici dans une chaise. 1, 2. Ou bien il s’agit peut-être d’un sourd, quelqu’un qui n’entend pas. Regardez autour de vous, la carte de prière numéro 1, 2 et 7. Cartes de prière numéro 1, 2 et 7.
Je vous prie de regarder tout autour, les amis, chez quelqu’un qui est à côté de vous. Ne les laissez pas manquer leur place s’ils sont là. Très bien, c’est… S’ils… C’est juste, ils manquent leur place, peut-être qu’ils sont partis quelque part. Très bien, inclinons la tête maintenant, que tout le monde soit très calme.
C’est juste, frère. Ô Dieu ! Vous ne savez pas ce que cela me donne comme sentiments. Tout est possible, croyez seulement.
61 Notre Père céleste, nous avons incliné nos têtes et nos cœurs devant Toi. Voici le sabbat, c’est le jour de la résurrection. Et nous nous sommes réunis aujourd’hui pour T’adorer, pour T’honorer, Seigneur, et pour prononcer des bénédictions en faveur de notre frère qui nous quitte demain pour aller outre-mer, où il va servir Tes enfants dans ce pays. Tu as dit que Tu nous donnerais les païens. Et nous Te prions de nous l’accorder.
Accorde une portion à frère Joseph alors qu’il s’en va. Et maintenant, Seigneur, pour cette soirée en souvenir du pasteur qui quitte l’église… une fois Paul a prêché toute la nuit, puis ils sont sortis et ils se sont agenouillés sur le rivage, et là, ils l’ont embrassé au cou. Nous nous aimons, Père, d’un amour divin. Nous prions donc ce soir, Père bien-aimé, que Ta glorieuse Présence soit ici, que frère Joseph aille outre-mer avec une vision toute fraîche, pour qu’il aille dire à ces gens là-bas : « Oh ! le soir où je partais, le Seigneur Jésus est apparu au milieu du peuple, et Il a fait les mêmes choses qu’Il faisait quand Il était ici sur terre. »
Ô Sauveur béni, que Ton Esprit et Ta vérité reposent sur cette petite assemblée de gens. Bénis tous ceux qui sont réunis ici ce soir. Et maintenant, Père, prends Ton pauvre et indigne serviteur, oins-le du Saint-Esprit, et que le Seigneur Jésus se manifeste avec une grande puissance à cet auditoire ce soir. Et tous croiront et s’en iront heureux, car nous le demandons en Son Nom. Amen.
62 A présent, s’il vous plaît, faites-moi une petite faveur. Que tout le monde reste assis très calmement et suive. Et j’aurais souhaité de tout mon cœur vous dire ce que c’est, mais je ne le peux pas. Quelque chose s’est produit maintenant même. Je – je souhaiterais… Ça ne servira à rien que j’essaie d’expliquer cela. Ça ne servira à rien que quelqu’un essaie, vous ne pouvez pas le faire. Quelque chose est arrivé. Chaque esprit dans cette salle semble être en mouvement. Voyez-vous ? Vous pouvez sentir cela. Vous pouvez dire qu’il y a la foi chrétienne ici. Il y a des gens qui croient en Dieu. Sortez tout simplement ce soir ; frappez suffisamment ; continuez à frapper. Continuez à croire. Nous sommes maintenant dans Sa Présence. Puissent Ses bénédictions venir.
Très bien, Frère Joseph, est-ce l’une des personnes ? Maintenant, la dame qui se tient ici, je – je ne connais pas cette femme. Je pense que nous sommes des inconnus l’un à l’autre ; nous ne nous connaissons pas. Le Seigneur Jésus connaît cette femme, moi non. Mais Il sait tout à son sujet, de même qu’Il sait tout à votre sujet. Maintenant, je vais parler à cette femme juste un instant. Eh bien, écoutez ceci pour que nous puissions faire passer l’auditoire, les gens, afin que nous puissions prier pour vous tous, si possible.
63 Voici une dame debout, une parfaite inconnue. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Maintenant, qu’est-ce que j’ai fait comme déclaration ? Premièrement, la Parole du Seigneur a dit que ces choses seraient faites aujourd’hui. La chose suivante, j’ai rencontré un Ange qui m’a dit d’aller faire cela. Alors qu’est-ce que je fais ? Je sens et je sais… Je ne peux pas l’expliquer. Mais quelque chose est arrivé. Quelque chose d’ici en haut est descendu ici. C’est un autre monde. Je ne peux pas expliquer cela ; personne d’autre ne le peut.
Mais voici une femme debout ici maintenant, elle sait que nous ne nous connaissons pas. Je ne sais rien du tout à son sujet. Peut-être qu’elle n’en sait pas davantage sur moi, et nous sommes des inconnus. Néanmoins il y a un Dieu au Ciel, et Il la connaît et Il me connaît. Et Il sait exactement le motif de sa présence ici. Elle est peut-être une pécheresse qui vient pour être sauvée. Or, je ne peux pas dire sa… la sauver, même si… peu importe le nombre de péchés qu’elle a commis, qu’elle a confessés. Si elle avait péché contre moi, je pourrais lui pardonner, mais si elle a péché contre Dieu, il faut que ce soit Dieu Lui-même.
64 Maintenant, voici une chose que je peux lui présenter. Si elle est une pécheresse, Dieu l’a pardonnée si elle croit cela. Est-ce juste ? C’est tout ce que n’importe quel homme pourrait faire. Si elle est malade, je ne pourrai pas la guérir. Mais je peux lui dire par la Bible que Christ l’a guérie lorsqu’Il est mort au Calvaire, de la même manière qu’Il l’a sauvée. Est-ce cela la Bonne Nouvelle ? Est-ce cela le… était-ce cela la première chose qui a été transmise aux saints ?
Eh bien, c’est la Parole. Ensuite Dieu est monté et Il a fait des dons aux hommes. Maintenant, que font les dons ? Premièrement, certains sont des apôtres, ensuite des prophètes, des docteurs, des évangélistes ; est-ce juste ? Tous les dons ont été placés dans l’Eglise, et c’étaient dans l’Eglise primitive au commencement. Maintenant, pendant deux ans il a fait sombre, cela réapparaît maintenant au dernier âge, à l’ouest ; l’Alpha, l’Oméga.
65 Maintenant, si le Saint-Esprit est ici, la Personne invisible, Il connaît cette femme, Il me connaît. Il peut m’oindre pour lui dire, lui parler pendant quelques minutes, comme à l’homme, comme à la femme au puits de… à la – la Samaritaine, et Il peut lui dire exactement le motif de sa présence ici. Et la femme a dit… Voici son témoignage d’après les Ecritures. Elle a dit : « Je sais que c’est le signe du Messie. Nous savons que quand le Messie sera venu, Il… mais Toi, qui es-Tu ? » Elle a dit…
Il a dit : « Je Le suis. » Eh bien, moi je ne suis pas Lui, mais je suis Son ministre qui déclare qu’Il est ici conformément à sa promesse qu’Il serait là, en nous, se manifestant : « Le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous… fin du monde, manifestant, faisant les mêmes choses que J’ai faites. Je suis le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Maintenant, comprenez-vous tous ? Amen.
Que Dieu vous bénisse maintenant, pendant que je m’entretiens avec ceux qui sont dans la ligne. Je vais tâcher de me dépêcher. Et si Dieu le fait… Mon ami, il me semble, après que la Bible a dit cela, le Saint-Esprit déclarant ici les mêmes choses, que c’est maintenant votre tour d’agir. Est-ce juste ? Priez ; regardez par ici ; croyez. Et que Dieu vous bénisse jusqu’à ce que je vous reverrai.
66 Maintenant, madame, dans tout ceci, mon intention n’était pas de vous garder debout ici devant le public. Je vois que vous portez des lunettes, naturellement cela montre quelque chose qui ne va pas, vos yeux sont malades. Mais je – je ne veux pas que vous parliez, je veux juste que vous me répondiez tout simplement (Voyez-vous ?), que vous me répondiez tout simplement. Maintenant, il y a …?… toute l’audience sait que nous sommes des inconnus l’un à l’autre, que nous ne nous connaissons pas, que nous ne savons rien l’un de l’autre, à ce que je sache.
Eh bien, Jésus est ressuscité des morts. Avez-vous déjà vu cette petite photo qui a été prise cette fois-là, où il y avait cette Lumière au-dessus, vous savez cela, je pense, avez-vous déjà vu cela ? Eh bien, pour moi, c’est le Signe qui m’a été donné à ma naissance. J’ai raconté cela. Il se pourrait qu’il y ait… Je ne peux pas répondre du témoignage de quelqu’un d’autre. Je dois répondre du mien. Voyez-vous ? Et puis, quand Elle est apparue, sous Elle il y avait un Homme. Et c’est Lui qui m’a envoyé faire ceci. Si c’est vrai, que cela venait de Dieu, Elle se confirmera. Est-ce juste ? Si ce n’est pas le cas, eh bien, ça ne sera pas confirmé.
Pour moi, c’était le – c’était le Signe tout aussi parfait. Et puis le monde scientifique En a pris la photo. Cela fait donc que le monde scientifique En sait quelque chose. Cela fait que l’Eglise En sait quelque chose. Dieu est en train de bénir, aussi ne devrions-nous pas être heureux, le peuple le plus heureux du monde, du fait que Jésus est ressuscité des morts, qu’Il est ici avec nous, que la foi a été transmise aux saints une fois pour toutes ? Et nous combattons pour cela, tenant fermement par la grâce de Dieu, puisque c’est la vérité. Et Dieu œuvre par nous avec des signes qui accompagnent. N’est-ce pas merveilleux ?
67 Qu’est-ce que je fais ? Je vous parle simplement, juste comme Jésus parlait à la femme, disant : « Apporte-Moi à boire », pendant qu’Il lui parlait. En effet, nous ne nous connaissons pas, je ne peux donc rien faire sinon vous citer simplement l’Ecriture, vous dire quelque chose, à moins que Dieu me montre de façon surnaturelle quelque chose à votre sujet, et me dise la raison pour laquelle vous vous tenez là. N’est-ce pas merveilleux ? Vous voilà debout là, je ne vous connais pas, vous ne me connaissez pas. Mais nous nous tenons ici dans la Présence de Dieu.
Cependant, Il peut me dire ce que vous voulez obtenir de Lui. Et s’Il me dit ce que vous voulez obtenir de Lui, alors vous pourrez certainement croire en Lui; s’Il connaît votre cœur, vous croirez certainement que vous obtiendrez la chose. Est-ce juste ? Vous êtes… bien entendu je – je ne parlerai pas de vos yeux (Voyez-vous ?), car c’est un …?… Ça, c’est quelque chose de visible, qu’on peut voir. Mais maintenant, vous êtes nerveuse, bouleversée, car vous êtes vraiment fatiguée de quelque chose. Vous êtes bouleversée au sujet de… C’est un… Je vois un – un homme. C’est une sorte de raidissement des muscles ou quelque chose comme cela. C’est un beau-père ou quelqu’un de cet ordre-là, quelqu’un qui vous est proche. C’est juste, une sorte de raidissement des muscles, comme l’arthrite ou quelque chose dans les muscles. C’est un parent, votre beau-père.
Et puis il y a un… Je vois autre chose. C’est un malade alité. C’est un… c’est un cas critique ; c’est un cas que les médecins… C’est le cancer, a-t-il dit, je crois. Il y avait une espèce de… Quelque chose...?... ou la maladie de Hodgkin, la maladie de Hodgkin. Voici la dame, par ici. C’est… Vous êtes la fille couchée juste là. Allez poser la main sur elle, puis ramenez-la à la maison. Père, au Nom du Seigneur Jésus, que Ta miséricorde repose maintenant sur sa requête au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.
68 Ayez la foi. Maintenant, croyez-vous en Dieu de tout votre cœur ? La foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Pas ma… Ce que Dieu vous dit, votre foi. Croyez maintenant.
Ceci, vous êtes la… Je vois que vous avez un – un des livres en main. Un petit livre qui a fait une grande chose. Cela a béni les gens. Vous lisez cela. Notre Seigneur est merveilleux, n’est-ce pas … ?… Ainsi, maintenant, madame, nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Le Seigneur Jésus nous connaît tous deux, n’est-ce pas ? Il nous connaît tous deux. Maintenant, c’est parfaitement ce que Jésus a dit à la femme au puits. Nous sommes du même sang, mais nous sommes de races différentes : l’un est anglo-saxon, l’autre de la race noire ; l’un c’est la race blanche, l’autre la race noire.
69 Mais lorsqu’Il a parlé à la femme au puits, voyez-vous, c’était une Samaritaine, elle a dit : « Il n’est pas d’usage que vous, les Juifs, vous demandiez quelque chose à nous Samaritains. » En effet, les Juifs considéraient que les Samaritains étaient inférieurs, qu’eux étaient plus grands que les Samaritains. Voyez-vous, le racisme. Mais Jésus lui a vite fait savoir que Dieu cherche ceux qui adorent en Esprit. Dieu, d’un seul sang, a fait tous les hommes : les Blancs, les Noirs, les Jaunes, les Bruns ; Il les a tous faits à partir d’un seul homme, Adam.
Et c’est de là qu’est issu votre père ; c’est de là qu’est issu mon père ; c’est de là qu’est venue la chute ; c’est par Christ qu’est venu le Rédempteur pour vous et moi. C’est juste, n’est-ce pas ? Etant donné qu’ici nous sommes des inconnus l’un à l’autre, qui se parlent…
Maintenant, je crois que la dernière dame qui est passée était une Blanche, c’était ça ? Etait-ce juste ou quelque chose d’autre ? Je crois que c’était une Blanche. Maintenant, c’était un signe pour vous les Blancs. Maintenant c’est pour les gens de couleur, si Dieu veut bien l’accorder. Puisse-t-Il l’accorder.
70 Maintenant, si je vous parle comme notre Seigneur a parlé à la femme au puits… Donc Il lui a simplement parlé jusqu’à ce qu’Il a découvert où était son problème. Alors Il lui a dit son problème, juste une chose, Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « Tu en as eu cinq. »
Elle a aussitôt dit : « Tu es prophète, mais nous savons que le Messie fera ces choses. »
71 Maintenant, s’Il se retourne et se révèle à vous à travers moi, Son humble serviteur, vous croirez qu’Il est ici pour vous accorder votre requête, n’est-ce pas ?
Je vois une image devant moi. Cela concerne un – un diaphragme, non, c’est un côlon, une maladie du côlon. C’est ce que vous avez, une maladie du côlon. Vous avez aussi un kyste. Vous avez un kyste.
Maintenant, vous êtes très préoccupée pour quelqu’un d’autre. Et cette personne est hospitalisée. Et c’est une femme qui a le cancer, et c’est votre sœur. Et puis, vous – vous avez un mouchoir sur lequel vous voulez que je prie. Vous l’avez maintenant en main. Mais vous ne l’aviez pas en main. Tout à l’heure, quand vous êtes venue, vous l’avez fait sortir de la lettre ; il est déjà emballé pour le lui envoyer, pour le lui apporter. Vous m’avez apporté le mouchoir pour que je prie dessus et que vous le lui apportiez. Donnez-le-moi. Dieu notre Père, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, béni soit Celui qui est ressuscité, le Seigneur Jésus ressuscité, qui a promis ces choses, et nous sommes vivants ce soir pour les voir s’accomplir. Je bénis la personne que ce mouchoir représente, et la personne qui se tient là pour elle. Qu’elle soit guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse. Partez et que Sa miséricorde soit avec vous. Amen.
Croyez-vous ? Jésus, le Fils du Dieu vivant ! Avec révérence maintenant, s’il vous plaît.
72 Je vois cette Lumière se déplacer ; Il se tient juste derrière cette fille qui est assise ici avec le bébé. Je crois que c’est la fille de madame Sim; je ne suis pas… Elle se tient juste au-dessus d’un homme. Cet homme n’est pas de cette ville. Il vient du Minnesota. Vous souffrez de la poitrine, n’est-ce pas, monsieur ? C’est juste. C’est la première fois que vous assistez à ma réunion. C’est juste, n’est-ce pas ? Je vous suis inconnu ; nous ne nous sommes jamais – jamais vus. C’est vrai. Très bien, vous allez rentrer maintenant chez vous pour être bien portant, monsieur. Votre foi vous a guéri. Gloire à Dieu !
Cette petite dame assise juste là-derrière, tout droit à l’endroit que j’indique du doigt, la deuxième femme, assise là et qui regarde de côté ; elle souffre de l’épilepsie. Je vois qu’elle tombe. Voulez-vous être guérie, madame ? Levez-vous et acceptez votre guérison maintenant. Que le Seigneur Jésus… Maintenant cela vous a quittée ; un cercle sombre était suspendu au-dessus de vous, mais maintenant c’est parti. Rentrez chez vous en vous réjouissant. Ma prière est que cela ne revienne plus jamais.
73 Comprenez-vous ce que je veux dire ? Ayez la foi ! Croyez au Seigneur Jésus qui est le Fils de Dieu. Croyez-vous, madame ? Croyez-vous en Dieu de tout votre cœur ? Je ne vous connais pas, mais Lui vous connaît. Si Dieu me révèle le motif de votre présence ici, allez-vous croire ? Vous souffrez d’une maladie depuis longtemps, vous étiez encore beaucoup plus jeune, vous pesiez bien moins. Et votre maladie n’est pas visible ; c’est dans le nez. C’est une grosseur dans le nez. Cela a atteint un niveau tel que ça… vous avez perdu l’odorat. Vous n’avez plus d’odorat. C’est vrai. Croyez-vous que Jésus vous a guérie ? Voilà ce dont il s’agit, allez-vous croire cela, si je vous impose les mains ? Approchez.
Précieux Père céleste, par obéissance aux ordres de notre Seigneur, j’impose les mains à cette sœur, et je réprimande ce démon. Au Nom de Jésus-Christ que cela sorte d’elle et s’en aille. Et qu’elle soit rétablie au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, sœur. Partez en vous réjouissant, en croyant.
74 Croyez-vous en Lui, sœur, de tout votre cœur ? Moi, je vous suis inconnu… Dieu seul sait. Vous avez quelqu’un pour qui vous priez. Vous-même, vous êtes très nerveuse ; c’est ce dont vous souffrez. Vous souffrez de la nervosité, cela vous bouleverse. Je vous vois inquiète. Est-ce un garçon qui a un œil, ou une jeune fille ? Et je vois cette fille devant un médecin. Et ce médecin a fixé le moment de l’opération de cette fille. Et l’opération est prévue au courant de ce mois de mai, la semaine prochaine, jeudi. Croyez-vous ?
Dieu Tout-Puissant, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, accorde la bénédiction qui a été demandée. Et que Ta puissance omnipotente qui est ici maintenant pour guérir soit accordée au Nom de Jésus. Amen. Ô Dieu, bénis. Sois miséricordieux, ô Dieu, c’est cela ma prière. Oh ! la la ! comme c’est merveilleux !
Pour notre Seigneur, guérir les troubles cardiaques n’est rien, n’est-ce pas? Croyez-vous que vous avez été guérie à ce moment-là ? Vous souffriez aussi des reins, n’est-ce pas ? Maintenant cela vous a quittée. Amen. Croyez-vous que Dieu peut guérir cette fille, qu’Il peut la rétablir ? Elle a maintenant dix-neuf ans. Les médecins ont dit qu’elle a l’intelligence d’un enfant d’environ quatre ans, mais vous croyez qu’elle sera rétablie. Donnez-moi votre mouchoir. Ô Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, accorde la requête de cette femme au Nom de Jésus. Satan, lâche cette enfant. Nous t’adjurons par la foi, au Nom du Dieu vivant et du Fils de Dieu, Jésus-Christ, de la lâcher. Que Dieu vous bénisse, sœur.
75 Approchez, madame. Croyez-vous que Dieu va vous guérir de ces troubles féminins et vous rétablir ? Le croyez-vous de tout votre cœur ? Acceptez-vous cela maintenant ? Satan, sors de cette dame, nous t’adjurons de la quitter au Nom de Jésus. Amen. Ne doutez pas. Croyez.
Vous étiez assise ici devant moi tout à l’heure. Tout à coup, pendant que je prêchais, vous avez été parcourue par une sensation très étrange. Vous avez penché en quelque sorte votre tête en arrière. Et c’est alors que Dieu vous a guérie de ce mal de dos que vous aviez. Maintenant, vous pouvez continuer votre chemin, en vous réjouissant et vous serez rétablie.
76 Approchez. Sœur, il n’y a qu’un seul espoir pour cette tumeur et c’est à travers Jésus-Christ. Croyez. Et, Précieux Père céleste, pendant que je lui impose les mains, demandant que Dieu au ciel réprimande ce démon, Seigneur Jésus …?… La petite femme a essayé de s’en sortir là par la foi, à ce qu’il paraît, elle n’arrive pas à s’emparer de la chose. Mais je joins ma foi à la sienne. Et maintenant avec tout cet auditoire, nous croyons que Jésus est mort et qu’Il est ressuscité. Satan, nous te condamnons. Nous réclamons sa vie au Nom de Jésus-Christ. Croyez maintenant de tout votre cœur. Amen.
Voilà une bonne manière d’obtenir votre guérison. Vous m’entendez très bien maintenant. De plus, votre arthrite est partie ; vous… votre prothèse auditive n’est plus nécessaire. Vous êtes guérie, vous pouvez donc partir en vous réjouissant. Disons : « Gloire à Dieu ! »
77 Très bien, madame, quand j’ai parlé à cette femme, qui était assise juste là, de son mal de dos, le vôtre est parti au même moment. Vous êtes donc aussi guérie. Disons : « Gloire à Dieu ! »
Pour Dieu, c’est très facile de guérir les troubles cardiaques et de rétablir de cela. Vous croyez cela, n’est-ce pas ? Amen. Père céleste, au Nom de Jésus, je condamne le démon qui a lié mes sœurs que voici. Sors maintenant, démon, au Nom de Jésus-Christ, quitte ces femmes ! Amen. Maintenant, partez en vous réjouissant, en étant heureuses, et en disant : « Grâces soient rendues à Dieu. »
Croyez-vous ? Ayez la foi. Si vous croyez, a dit Jésus, tout est possible. Croyez-vous cela, monsieur, vous qui avez les mains croisées et qui croyez que Dieu ôtera de vous cette hypotension et fera de vous un homme vraiment bien portant ? Croyez-vous cela ? Acceptez-vous cela ? Alors tenez-vous debout et dites : « Ô Jésus, je crois en Toi. » Amen. Voilà comment y aller. N’est-Il pas merveilleux ?
78 Je vous connais, monsieur. Je ne connais pas votre nom, vous qui êtes assis là, avec la cravate à carreaux. Voulez-vous me faire une faveur ? De tout… Croyez-vous de tout votre cœur ? Imposez les mains à la femme qui est assise là à côté de vous, et Jésus va la rétablir de cette arthrite, et faire qu’elle rentre chez elle, bien portante.
Père céleste, je Te prie au Nom de Jésus de guérir cette femme qui est assise là, que Tu as montrée dans cette vision. Qu’elle rentre chez elle et ne soit plus estropiée, au Nom de Jésus. Amen.
Oh ! je L’aime. Croyez-vous ? De quoi pensez-vous que vous avez pu vous débarrasser aussi au même moment que je priais pour elle ? Amen. Partez, recevez selon votre foi. Disons : « Gloire à Dieu ! » Oh ! n’est-Il pas merveilleux ?
79 Cette petite dame qui est assise ici en robe violette, qui est assise là et qui souffre du dos, vous. Croyez-vous que Jésus vous a guérie ? C’est… N’y a-t-il pas un changement à l’instant ? Agitez la main ; levez-vous et agitez la main. Si c’est juste, tenez-vous de nouveau debout et levez la main. Bougez votre dos dans tous les sens. Voilà. C’est complètement parti. Voyez-vous ? Voyez-vous, c’est votre foi qui a fait cela. Alléluia ! Oh ! je L’aime !
80 Que pensez-vous, vous là-bas qui avez une double hernie ? Croyez-vous que Dieu peut vous rétablir, monsieur ? Très bien, vous pouvez l’obtenir si vous le croyez. Amen. Dieu est merveilleux.
Que pensez-vous, vous qui êtes assis là et qui souffrez des genoux ? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? Croyez-vous cela ? Tenez-vous debout ; soulevez et baissez les genoux à plusieurs reprises. Jésus-Christ vous rétablit. Amen. Le voici, un parfait miracle. C’est sa foi qui a fait cela. Alléluia !
Posez la main sur la dame qui est là à côté de vous, pour qu’elle soit guérie de l’arthrite. Amen. Très bien, madame, tenez-vous debout. Jésus-Christ vous a guérie ; vous y êtes, c’est parti.
Maintenant, posez la main sur la dame qui est là à côté de vous, qui a un problème d’yeux, qui devient aveugle de suite d’un durcissement des globes oculaires, celle qui est juste de l’autre côté par rapport à vous, la dame de couleur qui est assise là, croyez de tout votre cœur, madame. Amen. Croyez cela et vous pouvez l’obtenir. Alléluia ! Le Seigneur Jésus est ici. Le croyez-vous ?
81 Levons-nous, nous tous, maintenant même. Levons nos mains ; louons-Le.
Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, je bénis ces mouchoirs ; je bénis ces gens maintenant même. Que le Saint-Esprit rétablisse chacun d’eux. Je condamne le diable. La foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes est ici, et les gens ont crié et louent Dieu. Mes amis, vous êtes délivrés. La foi qui a été transmise aux saints vous a été apportée ; vous êtes libres ! La porte est ouverte ; réclamez la victoire que Dieu vous a donnée. Amen. Au Nom de Jésus.