L'Histoire De Ma Vie
1 Je suis très heureux d'être ici cet après-midi pour vous parler du Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et nous espérons que ça sera un grand jour pour nous tous. En venant dans votre - ici pour vous rendre visite cette fois-ci, je suis venu très fatigué. Je ne suis pas en forme. Je venais de quitter une grande réunion aux Etats-Unis, et je suis venu directement ici. Et je suis donc reconnaissant de ce que vous m'avez supporté. Ainsi, nous avons fait... J'ai cependant fait de mon mieux. Et j'espère que Dieu fera pour vous au-delà de toutes mesures.
Dites donc, je suis très heureux d'apprendre que beaucoup d'Allemands et de Français sont venus. Je voudrais aussi visiter votre pays un jour, quand le Seigneur le permettra, et que vous voudrez que je le fasse. Je prie donc que ça marche.
2 Après ma réunion ici, viendra un ami à moi, Tommy Hicks. C'est à peine si je connais Tommy, mais il... Ce que je sais sur lui, c'est que c'est un homme aimable, un vrai - un vrai chrétien... Venez l'écouter. J'ai un autre ami en Amérique, Oral Roberts. C'est un autre... C'est l'un de mes convertis à la guérison divine. Beaucoup d'entre eux, à partir des réunions que nous avons... Le Seigneur a suscité environ cinq cents ministres de la guérison divine.
Ainsi, nous sommes heureux de rencontrer ces amis ici, qui croient le même Message. [L'interprète lit dans la langue locale Hébreux 13.10 – 14- N.D.E.]
Nous avons un autel dont ceux qui font le service au tabernacle n'ont pas le pouvoir de manger.
Les corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le souverain sacrificateur pour le péché, sont brûlés hors du camp.
C'est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre Sang, a souffert hors de la porte.
Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre.
Car nous n'avons point ici bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir.
6 Je suis très reconnaissant pour cela. Nous n'avons pas ici bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir. C'est ce que nous faisons tous.
Je réfléchissais pendant que le frère lisait, en voyant le grand nombre de malades qui sont assis par ici. Je ne prétends pas être un guérisseur. Vous témoignerez de moi à ce sujet. Depuis la toute première soirée jusque maintenant, j'ai dit que je ne suis pas un guérisseur. Il n'y a - il n'y a personne d'autre qui soit un guérisseur. C'est Jésus-Christ et votre foi en Lui. Si seulement j'avais - si seulement j'avais la puissance, je descendrais ici et je guérirais chacun de ces malades. Je n'ai pas la puissance. Personne d'autre n'a la puissance. Si jamais ils sont guéris, ce sera par leur propre foi en Jésus-Christ. Jésus apporte Sa Parole, et Il fait des miracles montrant qu'Il les aime effectivement.
7 Mais le programme de Dieu, c'est de faire un contrat avec le peuple : " Si tu crois... "
Vous rappelez-vous les deux hommes aveugles? Ils ont dit : "Pitié, Seigneur." Jésus a dit, quand Il a touché leurs yeux, Il a dit : "Maintenant, qu'il vous soit fait selon votre foi."
A la femme qui avait été guérie, celle qui avait touché Son vêtement, Il a dit : "Ta foi t'a guérie." C'est vrai.
L'homme qui avait un enfant épileptique a dit : "Aie pitié de mon enfant." Il a dit : "Si tu crois, tout est possible." Dieu ne change pas. Les - les gens savaient qu'Il était le Fils de Dieu.
Tous y croyaient, à l'exception des membres d'église. Les Pharisiens, les Sadducéens disaient : "Non, Il ne l'est pas." Mais tous ceux qui avaient cru ont été guéris et ont été sauvés. Eh bien, c'est pareil aujourd'hui.
8 Mais écoutez, avant que je cherche à enlever - à enlever le seul espoir que ces gens ont... Savez-vous qu'il y a des gens ici qui sont cardiaques, cancéreux, tuberculeux, qu'aucun médecin ne peut toucher? Leur seul espoir, c'est Jésus-Christ. Et vous qui oseriez ôter cela, malheur à votre âme pécheresse. C'est comme arracher du pain à un homme affamé. Ces gens veulent être guéris. Les médecins ont fait tout leur possible. Et ces gens savent que d'autres ont été guéris. Ils viennent à la réunion pour écouter, beaucoup d'entr'eux reçoivent la foi et ils sont guéris. Et alors, vous essayez de le leur priver? Vous ne devriez pas faire cela, mon frère. Vous devriez les encourager. Ce sont des êtres humains. Ce sont des frères et des sœurs. C'est le papa de quelqu'un. C'est la maman de quelqu'un, c'est le petit enfant de quelqu'un. Aidons-les. Ne cherchez pas à les en empêcher.
C'est là mon objectif : essayer d'aider quelqu'un. Et l'un de ces jours, j'arriverai au bout du chemin. Je serai alors à la fin, je poserai la tête sur l'oreiller; mon travail sur la terre sera fini. J'espère Le rencontrer en paix. Et j'espère L'entendre dire : "C'est bien, Mon bon et fidèle serviteur, entre dans la Vie."
9 Prions. Père céleste, aide-nous maintenant, nous qui connaissons Ton Fils bien-aimé. Et comme je m'approche de la fin de cette route où j'ai voyagé, et je repasse ces choses dans mon esprit et dans mon cœur une fois de plus, puissent toutes mes fautes servir de tremplin à ceux qui sont ici aujourd'hui. Et puissent-ils venir à Christ et être sauvés au Nom de Jésus. Amen. [2,5 kg - N.D.T]. J'étais très petit.
11 Et ma mère voulait voir à quoi je ressemblais. La lumière de la petite bougie ne - ne suffisant pas, on avait donc ouvert la petite fenêtre au-dessus du lit. C'était le jour. Et quand on a ouvert la fenêtre, cette Lumière de Feu est entrée. Ils se sont tous mis à pleurer. Ils ne savaient pas ce que cela signifiait. Elle se tenait juste au-dessus de l'endroit où j'étais.
La même photo prise en Amérique, nous l'avons ici, et le… et les écrits des hommes de science à ce sujet qui déclarent, que c'est absolument un Etre surnaturel. Cet homme a dit que l'œil mécanique de l'appareil photo ne pouvait pas prendre de la psychologie. Et c'est lui le - l'un des chefs du FBI [Espace vide sur la bande - N.D.E.]... voir s'il y avait quelqu'un qui s'était noyé, mais ils étaient partis à bord d'un train. Et ici j'étais seul sur l'île. Dieu m'a donné une occasion afin que… soit traiter les gens de racaille ou pas. J'ai dit : "Ô Dieu, je reconnais que je me suis mal - je me suis mal comporté. Ne laisse pas ma femme mourir." Des semaines plus tard, quand les eaux avaient baissé, je l'ai retrouvée moribonde. Elle était atteinte de la tuberculose, mes deux enfants étaient malades. Et j'aimais ma femme. Et je courais à travers le bâtiment cherchant à la retrouver. Et je l'ai réclamée avec des cris. Et je l'ai vue étendue sur une civière dans un camp des réfugiés. Et ses yeux étaient très enfoncés. Et elle a levé les mains, elles étaient vraiment squelettiques. Alors je me suis mis à pleurer. Et elle a dit : "Ô Bill ! je - je - je suis désolée d'avoir une telle mine."
Et je l'ai prise dans mes bras, et je me suis mis à pleurer. J'ai dit : "Chérie, je regrette vraiment que tu sois si malade."
Et le médecin m'a touché au dos, et il a dit : "Venez ici, Révérend Branham." Il a dit : " Révérend Branham, a-t-il dit, votre femme se meurt. Il n'y a pas moyen de la sauver." "Oh! ai-je dit, assurément qu'il y a un moyen, docteur." Je me suis mis à appeler des spécialistes, et ils sont venus. On ne pouvait rien faire. Nous avons fait tout ce qu'il nous était possible; elle ne faisait que s'en aller.
23 Et un jour, pendant que je faisais la patrouille... J'étais aussi garde-chasse de l'Etat à l'époque, car je - je ne croyais pas dans le fait de prendre l'argent des gens, ainsi, je travaillais pour gagner ma vie. J'ai allumé la radio, et on faisait des communiqués : "Révérend Branham, venez - venez à l'hôpital; votre femme se meurt." J'ai ôté mon chapeau, j'ai enlevé mon fusil, et j'ai ôté le badge, j'ai levé la main vers Dieu, j'ai dit : "Ô Dieu ! laisse-la vivre jusqu'à ce que j'arrive là." Et j'ai actionné la sirène et j'ai filé sur la route. Je me suis arrêté devant l'hôpital et j'ai monté l'escalier en courant. Et voici venir mon médecin, mon copain. Nous sommes amis depuis l'enfance. Nous nous rendions visite. Il a une grande clinique là. Et - et il a passé son bras autour de moi. Il a dit : "Billy, elle s'en va." J'ai dit : "Voudras-tu retourner avec moi dans la pièce, docteur?"
Il a dit : "Je ne le peux pas." Il a dit : "Hope. " (C'était le nom de ma femme) Il a dit : "Je - je l'aime comme ma sœur. Je - je ne peux pas y retourner." Il a dit : "Je prierai, toi, vas-y."
24 Alors je suis entré, et quand j'ai fermé la porte derrière moi, là se trouvait ma tendre femme, une belle femme, une vraie chrétienne, la mère de mes enfants, la créature la plus précieuse sur la terre pour moi. Ses joues étaient très enfoncées, elle était comme morte. Je l'ai secouée avec ma main. J'ai dit : "Hope, parle une fois de plus. S'il te plaît, chérie. Ô Dieu ! ô Dieu ! laisse-la parler une fois de plus. Je l'aime tant. Ne veux-Tu pas me laisser lui parler juste une fois de plus?" Et elle a alors ouvert les yeux. Oh! Je n'oublierais jamais cela. Et quand je - elle m'a regardé, elle a essayé de lever ses - lever ses mains pour moi. Et je me suis approché d'elle en m'abaissant. Elle a dit : "Ô Billy ! je t'aime tant. Billy, je m'en vais, et je voudrais que tu sois un bon garçon." Elle avait vingt et un ans. Elle avait vingt et un ans. Moi, j'en avais vingt-trois.
Elle a dit : "Tu sais, le Saint-Esprit dont nous parlions?" Elle a dit : "Billy, tu sais, tu n'aurais pas dû écouter maman."
25 "Oh! ai-je dit, Hope, si seulement je pouvais revivre cela!" Nous savions que nous avions mal agi. Et elle a dit : "Promets-moi quelque chose, Billy, que tu prêcheras ce Message jusqu'à ta mort." Elle a dit : "Car Il est réel." Elle a dit : "J'étais dans la gloire. J'ai vu le Seigneur Jésus et les Anges." "Oh! a-t-elle dit, c'est merveilleux." Elle a dit : "Je dois retourner." Elle a dit : "Ne pense pas que j'ai perdu la raison, car ce n'est pas le cas." Elle a dit : "Mais je sais de quoi je parle." Elle a dit : "Veux-tu me promettre que tu prêcheras le baptême du Saint-Esprit jusqu'à ce que tu quittes cette terre?"
J'ai dit : "Je le promets."
Elle a dit : "Je suis... " Elle a dit : "Prends bien soin des enfants." Elle a dit : "Prends soin de Billy." [Frère Branham pleure - N.D.E.] Ô Dieu ! pardonne-moi, Seigneur, de pleurer ici à Ton service. Mais quand je pense à mon passé, à ma douce et bien-aimée femme qui a traversé la frontière, et à toutes les fautes que j'ai commises en écoutant les ministres au lieu de T'écouter, j'ai honte de moi-même. Ô Dieu ! aide-moi à continuer de prêcher la pure vérité. Tu as été très bon envers moi, j'ai été très mauvais. Mais je voudrais essayer d'arranger cela en disant aux autres combien Tu es un vrai Ami, que Tu es venu vers moi quand je n'avais pas d'amis, ô Dieu ! et Tu m'as donné des amis. Oh! Je suis très reconnaissant pour cela, Père. Nous voici très loin de la patrie. Aujourd'hui, ma pensée retourne là-bas sur le flanc de cette colline, où il y a un petit bouquet de roses posé près d'une pierre tombale. Un jour, si Tu tardes, je serai aussi enseveli là.
36 Alors j'aurai à rencontrer, ô Père, ceux à qui j'ai prêché. Ô Père, ces aimables Suisses, Allemands, Français et ceux des environs, ce sont Tes enfants. Ô Dieu ! je Te prie de les bénir et de les sauver du péché. Et qu'ils considèrent mes fautes pour ne pas faire la même chose. Mais qu'ils contournent toutes ces mauvaises choses. Ne veux-Tu pas le faire, Seigneur ? Sauve tout le monde, tout le monde. Ô Dieu ! pardonne même ceux qui persécutent. Que Ton Esprit d'amour s'établisse sur ce pays, ce peuple. Ô Dieu, nous ne sommes que des humains, nous commettons beaucoup de fautes. Sois miséricordieux, ô Dieu, et sauve tous les perdus, pour l'amour de Jésus.
Pendant que vous avez la tête inclinée, je me demande... cette vie médiocre et misérable qu'est la mienne… mais un de ces jours, je ne serai plus ici. Je retournerai à la Maison. Etes-vous chrétien? Avez-vous accepté le Seigneur Jésus comme votre Sauveur? L'aimez-vous réellement? Sinon, et si vous voulez... Ceci est aussi pour vous qui n'avez pas pu avoir accès à la salle. Voudriez-vous accepter Christ? Voudriez-vous - voudriez-vous L'aimer? Si vous L'aimez, que tous ceux qui voudraient croire en Lui aujourd'hui disent : "Frère Branham, quand la vie sera terminée, je voudrais aussi traverser les eaux. Je voudrais rencontrer Jésus. Et j'aimerais m'asseoir avec vous et votre femme là de l'autre côté."
37 Si vous aimez le Seigneur, et que vous vouliez L'accepter maintenant, pour être né de nouveau et rempli du Saint-Esprit, voudriez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse. Partout, aux balcons, de deux côtés, et là où les gens n'ont pas pu avoir accès à la salle, que Dieu soit avec vous. Oh! vous ne savez pas comment je me sens. Que Dieu vous bénisse. Si vous croyez que Dieu entend ma prière, qu'Il me donne des visions, et que vous m'acceptez comme Son serviteur, voudriez-vous vous lever un instant, tous ceux qui veulent accepter Christ, et naître de nouveau. Oh! la la! ... ?... Voudriez-vous incliner la tête.
38 Ô Dieu ! regarde cet auditoire de gens. Sois miséricordieux, Père. Je suis désolé d'être tout déchiré. Mais, ô Dieu ! sois miséricordieux envers ces gens et sauve chacun d'eux. Ceux qui sont debout et ceux qui ne peuvent pas se mettre debout, puissent-ils tous entrer en paix dans la gloire. Puissent-ils tous recevoir le Saint-Esprit. Au Nom de Jésus-Christ, nous prions. Amen.
Vous qui êtes debout, acceptez-vous Jésus? Dites : "Amen." [L'assemblée dit : "Amen." - N.D.E.] Retournez-vous, serrez la main à quelqu'un qui est à côté de vous et dites : "Gloire au Seigneur." Tournez-vous juste vers quelqu'un qui est près de vous. Serrez-lui la main.
39 Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous. Que la paix de Dieu repose sur vous. Oh! Je vous aime. Non, je n'ai pas perdu la raison. Je vous aime. Et je suis très heureux de vous voir accepter Christ. Tous ceux qui sont heureux, dites : "Amen." [L'assemblée dit : "Amen." - N.D.E.] Gloire au Seigneur! [ "Alléluia!" ] Maintenant, tous ceux qui sont malades, levez la main, demandez à Dieu de vous guérir. Ô Dieu, au Nom de Jésus, guéris chaque malade; tires-en gloire, Seigneur. Je les confie entre Tes mains, au Nom de Jésus-Christ.