Amour Divin
1 Comme nous venions de quitter la réunion, et que
nous étions allés voir une femme, une de nos amies, Madame Dobbleman, à
Edmonton, dans l'Alberta. Et nous nous trouvions juste à environ trente
kilomètres de la frontière canadienne, lorsque nous avons reçu la
nouvelle que mon frère était en train de mourir. Aussi nous avons fait
immédiatement demi-tour, dans une tempête de neige, et nous avons pris
le chemin de la maison, ce qui a représenté onze jours de voyage.
2 Et nous sommes rentrés tard hier soir, et nous nous
sommes levés tard dans la nuit, et à nouveau tôt ce matin. Ainsi nous
sommes très fatigués. Mais, dès que je suis allé chez ma mère, après
avoir trouvé un endroit où nous avons pu appeler; elle a dit: «Frère
Neville est allé là-bas.» C'est un véritable pasteur, les amis.
C'est... Nous apprécions certainement cela.
Maintenant, cela ne pourrait pas... Peut-être que
vos bien-aimés ne se sont jamais trouvés à ce point, peut-être. Mais
dans un temps de crise, quand vous savez que quelque chose se passe, et
que vous savez que votre ami se tiendra près de vous. Et il a couru
voir mon frère.
3 Et alors, quand j'y suis allé; dès que je suis
rentré, j'ai juste changé de vêtements et je suis parti là. Qui ai-je
trouvé dans la chambre, en prière, sinon Frère Neville; dans la chambre
là, avec Howard, en prière.
4 Je suis-je suis reconnaissant pour cela. Et je--je
préfère le dire ici à la chaire, comme je dis toujours: «Je préfère
vous donner un petit bouton de rose maintenant, que tout un bouquet
quand vous serez partis.» Maintenant même, c'est le temps de le faire.
5 Et j'apprécie Frère Neville. Et je sais que nous
l'apprécions tous, dans cette église; car c'est un vaillant pasteur.
Juste pour lui montrer combien nous l'apprécions, élevez vos mains
comme ceci, à Dieu. C'est cela. Merci. C'est réellement quelque chose
qui...
6 Je suis allé à la maison; j'ai dit à ma femme, j'ai
dit: «Chérie, quand je suis allé et que j'ai frappé à la porte... Je me
suis glissé dans le hall, j'ai lu la carte, pour voir réellement ce qui
n'allait pas. Et je suis allé là, et j'ai entendu quelque chose à
l'intérieur. Et j'ai frappé à la porte. Je pensais que c'était
quelqu'un qui parlait. Ils l'avaient fait asseoir dans son lit, avec sa
Bible, et tous deux étaient la tête baissée et priaient Dieu, quand je
suis entré. Assis... avec lui, en prière..»
7 Et--et aussi, ma prière, dire à Dieu que j'apprécie
un réel ami et un réel pasteur. Et puisse Frère Neville vivre
longuement en ce monde, pour--pour servir le Seigneur. Je crois que
Dieu l'a gardé ici pendant de nombreuses, nombreuses années, pour Le
servir; quelqu'un de vaillant. Cela a touché mon coeur plus que
n'importe quoi que j'aie eu depuis longtemps.
8 Maintenant, habituellement, maintenant ce... La
classe d'école du Dimanche n'est pas encore congédiée, là en arrière,
les--les enfants. Ainsi, je vais peut-être... Peut-être allons-nous
prier pour les malades. Je n'ai pas fait d'annonce disant que j'allais
venir prier pour les malades. Mais s'il y a quelqu'un ici pour qui
prier, alors nous aurons la prière juste pour eux.
9 Maintenant, si Soeur Gertie veut venir jouer «Le
Grand Médecin», pour nous. Et nous allons demander à notre cher Père
Céleste, s'Il veut bénir ceux qui ont besoin de Lui aujourd'hui.
Ensuite, nous voulons que tous ceux qui sont malades et nécessiteux, se
rassemblent juste autour de l'autel.
10 Si je ne me trompe pas, est-ce Nellie Sanders qui
entre ici? Oh! la la! Que Dieu te bénisse, Nellie. Il y a vingt-cinq
ans, un souffle au coeur. Que Dieu te bénisse, Nellie. J'ai jeté un
coup d'oeil, il y a un moment, et je t'ai regardée. Et je ne voulais
pas que tu penses... en regardant, observant quelqu'un. Je continuais à
regarder vers l'arrière, et je pensais que quelqu'un ressemblait à
Nellie.
11 Personne ici ne se souvient probablement. Je pense
que certains d'entre vous... Combien se souviennent de Nellie Sanders?
Eh bien! certainement. Elle était parmi les premiers qui sont venus au
Tabernacle. Elle et ma défunte épouse étaient des amies intimes, et des
soeurs Christ. Et elles... elle a épousé ici un des volontaires de
l'Amérique, un officier de ce mouvement. Et lui, notre frère, est parti
avec le Seigneur, la laissant, je pense, avec deux garçons, je pense;
des enfants, de toute façon, dont certains sont toujours à l'école. Et
Nellie se débrouille, arrivant juste dans un âge de réelle nervosité et
de troubles. Elle m'a appelé, quand j'étais à Phoenix, en Arizona, dans
une réunion, pour la prière.
Beaucoup de choses nous ramènent en arrière, Nellie,
au temps où il y avait de la sciure par terre, et que toi et Hope,
cette fille Adcock, et plusieurs autres venaient ici. Il y a de
nombreuses années, il y a vingt-cinq ans. Cela vient juste de passer.
Nous--nous descendons une route, rapidement; c'est vrai.
12 Eh bien! que Dieu soit avec toi, maintenant. Ceux
qui sont malades et qui veulent venir autour de l'autel, pour la
prière, notre pasteur et moi, nous nous unirons dans un mot de prière,
pour vous. Venez directement devant.
13 Ensuite, tout de suite après cela, juste un court
message pour vous, pendant la réunion de prédication. Je souhaite que
vous puissiez rester. Nous congédierons avec l'école du Dimanche, après
la prière pour les malades. Ensuite, nous irons directement dans
l'autre réunion, et j'ai quelques annonces à faire.
Le Grand Médecin est ici,
Le compatissant Jésus,
Il parle pour réconforter les coeurs languissants,
Nul autre nom que Jésus.
14 Maintenant, si nous pouvons juste entrer dans la
communion de cette prière, la guérison les uns pour les autres, sachant
que Dieu est ici et qu'Il a promis de répondre. [Frère Neville dit à
Frère Branham: «Une soeur aimerait que l'on prie pour elle.» - N.D.É.]
15 Oui, c'est très bien; nous allons prier pour elle,
la dame qui est assise là. Certainement. Très bien, Frère Neville,
voudriez-vous venir aider?
16 Maintenant, si vous voulez juste être aussi
respectueux que possible; que les petits s'asseyent. Et prions
maintenant, afin que, lorsque nous irons oindre les malades et les
affligés, nous aurons foi en Dieu, pour croire. Ayez foi que Dieu le
fera.
17 Vous tous, dans l'assemblée, qui êtes en bonne
santé, ce matin; qui n'avez pas besoin de venir autour de l'autel ici,
pensez juste maintenant que c'était la grâce de Dieu qui vous a amené
ici. Maintenant, priez pour ceux qui sont ici à l'autel, jeunes et
vieux.
18 Comme c'est la coutume ici au tabernacle, nous
envoyons le pasteur, pour l'onction. Nous prions pour eux. Et ensuite
nous envoyons le pasteur, pour oindre. Je viens avec lui, imposer les
mains aux malades, pendant qu'il les oint. Les Écritures: «Oignez les
malades avec l'huile, dans le Nom du Seigneur. Imposez-leur les mains
et ils seront rétablis.» Les Écritures!
19 Maintenant, vous tous, alors que vous courbez la
tête, maintenant, pendant que nous offrons ensemble la prière pour les
malades.
20 Notre Père Céleste, nous venons humblement dans Ta
Présence Divine juste maintenant, pour les nécessiteux, les malades,
ceux qui ne peuvent s'aider eux-mêmes. Et beaucoup parmi eux, Père,
sont au-delà de l'aide des médecins. Rien ne peut être fait à moins que
Ta grâce ne s'étende vers eux. Je prie, humblement, aujourd'hui, Dieu,
de tout mon coeur, en me joignant à cette petite église, afin que le
grand Saint-Esprit, qui est présent maintenant, vérifie la Parole du
Seigneur Jésus qui a dit: «Là où deux ou trois sont réunis en Mon Nom,
Je suis au milieu d'eux. S'ils demandent quelque chose, quoi que ce
soit, ils le recevront.» C'est Ta Parole Éternelle, Seigneur, qui a été
parlée avant la fondation du monde, qui nous a été donnée par le
Prophète, par le Fils de Dieu, Lui-même.
21 Maintenant, notre profond désir, Père, est que Tu
guérisses les malades, les nécessiteux qui sont ici autour de l'autel.
Je prie que Tu leur donnes juste à chacun d'eux une bénédiction
spéciale de foi, juste maintenant. Afin qu'alors que nous irons, Ton
serviteur et moi-même, les oindre et imposer nos mains aux malades;
puisse le Saint-Esprit atteindre les profondeurs, avec la foi dans mon
coeur, et puisse chacun d'eux être guéri. Nous le demandons dans le Nom
de Christ, pour Sa gloire.
22 Maintenant, la tête courbée, tout le monde étant
dans la prière, le pasteur et moi, nous allons prier. [Passage blanc
sur la bande. Frère Branham et Frère Neville prient pour les malades. -
N.D.É.]
Le Ciel et la terre Te louent,
Le Ciel et la terre Te louent,
Ô Seigneur, Très-Haut.
23 Notre Père Céleste, nous Te remercions pour la
leçon d'école du Dimanche, combien elle a remué nos coeurs.
Puissions-nous nous ceindre ce matin, et sortir des prisons
d'incrédulité, et être libres, alors que nous marchons. Nous savons que
l'Ange du Seigneur ira devant nous, confirmant la Parole de Dieu, et
libérera chacun de nous des prisons de la crainte, et de la maladie, et
de la détresse, et de la maladie, et de l'affliction, car Dieu l'a
promis. Tous ceux qui sont enfermés dans ce genre de conditions, ce
matin, puisse la Lumière de Dieu briller sur eux, juste en ce jour
même. Et puissent-ils sortir d'ici, étant quelqu'un en bonne santé.
Merci pour le Message et pour Ta Parole, pour la conduite du
Saint-Esprit. Accorde ces bénédictions, Père. Et maintenant, soyez avec
nous dans le service de prédication de ce matin, pour un petit, court
message qui suit. Nous le demandons dans le Nom de Christ. Amen.
24 Maintenant, pour quelques instants, ceux qui
doivent partir maintenant, levons-nous juste pendant que nous chantons
un hymne. Ceux... «Prends le Nom de Jésus avec toi.» Ceux qui doivent
s'en aller peuvent être congédiés. Ceux qui peuvent encore rester pour
trente minutes, nous serions heureux que vous restiez. Très bien.
Prends le Nom de Jésus avec toi,
Enfant de tristesse et...
Tournez-vous et serrez la main de quelqu'un près de vous.
...vous donnera la joie et le réconfort,
Prends-Le partout où tu vas.
Précieux Nom, précieux Nom; Oh! comme il est doux!
Oh! comme Il est doux!
Espoir de la Terre et joie...
[Frère Branham parle à quelqu'un sur l'estrade. - N.D.É.]
25 Amen. Asseyez-vous. Et que le Seigneur vous
bénisse tous, vraiment richement, bien. Je viens de remarquer que nous
avons quelques «Héraut de la Foi» ici, ces petits programmes, ces
petits journaux de Frère Joseph Boze de Chicago, un très cher frère.
Nous avons toujours... Nous avons eu une communion tellement
formidable, l'un avec l'autre. Nous avons passé un bon moment, chaque
fois que nous sommes allés à Chicago. J'étais juste avec lui, il y a
quelques soirées, à nouveau. Et ils sont gratuits. Venez simplement
vous en procurer un, à la fin de la réunion. Ils se trouvent ici.
26 Maintenant, nous sommes heureux de voir beaucoup
d'entre vous tenir encore fermement à Christ. Et maintenant, juste pour
quelques minutes de votre temps, j'aimerais juste dire quelque chose,
parce que je suis ici avec vous.
27 Je suis fatigué. Ma voix est faible. Et j'ai eu de
grandes réunions. À Indianapolis, ce furent de grandes réunions,
formidables. Et ce soir-là, nous avons été tellement heureux de voir
des centaines descendre dans ce tabernacle, où il y avait environ dix
mille personnes assises, descendre pour donner leurs coeurs à Christ,
ce soir-là.
28 Et Russell Ford et les autres, combien ils étaient
émus. Et--et le travail que Cadle, Frère Cadle a commencé il y a des
années, et qui continue encore. Vous savez, j'aimerais avoir un endroit
qui ressemble à cela, un jour. C'est l'un des endroits les plus vastes
que j'ai vus, juste comme c'était arrangé. Et il y a juste quelque
chose à ce sujet, là-bas. Je pense que c'est dans mon tempérament.
Quand je vois une grande oeuvre que quelqu'un a commencée, j'ai un
sentiment pour cela.
29 Maintenant comme je suis enroué, et que nous
sommes allés dans la montagne, en essayant d'atteindre une femme
malade, une de nos amies, là-haut, au Canada. Nous étions sur le point
de franchir la frontière, quand j'ai appris la nouvelle que mon frère
était en train de mourir, et je suis revenu. Et nous avons roulé jour
après jour, nuit après nuit; nous sommes restés assis dix jours dans
cette voiture. Ainsi, vous pouvez vous imaginer comment nous nous
sentons ce matin.
30 Et, mais je vous suis reconnaissant à tous, ce
matin, à nouveau, pour vos prières pour mon frère, car il semble qu'il
soit sur le voie du rétablissement, à nouveau. Dieu lui a donné une
autre chance. Et ainsi, je--je vous remercie, et je loue Dieu pour
toutes choses.
31 J'ai encore beaucoup de grandes décisions à
prendre. Un voyage autour du monde qui arrive. L'Afrique qui brille
devant mon visage. Et des endroits partout, au point où je ne sais plus
où aller, partout, partout. Et il y a encore au moins dix ou davantage
de grandes conventions remarquables, devant moi, et où je suis appelé.
Je dois prendre des décisions, dans les prochaines vingt-quatre heures,
ainsi pour le prochain mouvement. Aussi, priez pour moi. Priez pour
moi. Et je--j'ai besoin de vos prières.
32 J'espère que ça ne vous ferait rien si on coupait
ce ventilateur pour une minute, vous qui êtes devant.
33 J'ai été exposé à tant de choses dans ma vie, en
voyageant pour le Seigneur, dans toutes sortes de conditions et de
maladies et--et la lèpre. Et j'ai embrassé des lépreux, et je leur ai
serré la main, et--et toutes sortes de maladies. Et je suis allé dans
leurs camps et retranchements, et tout, autour du monde, pratiquement.
34 Et je--je--je ne suis plus un jeune homme. Je
pense que vous savez cela. Et j'arrive à l'âge où... Alors j'entends
parler de Frère Bosworth, l'autre jour, à environ quatre-vingt-dix ans.
Et il, quand j'étais à Indianapolis, il a eu un caillot qui a monté au
coeur. Il était inconscient, et avait les râles de la mort à la gorge.
Madame Bosworth m'a appelé pour prier pour lui.
35 Je suis allé là, nous l'avons annoncé et nous
avons commencé à prier. Le lendemain, il m'a appelé, disant:
«J'aimerais aller à une réunion avec vous, l'un de ces jours.» Alors je
sens qu'à l'âge de quarante-sept ans, je devrais avoir honte de
moi-même. Mais c'est juste, c'est juste le côté humain, je pense.
36 Mais, oh! combien cela en vaut la peine, et comme
c'est merveilleux! Rien n'est comparable au fait d'être sauvé. Être
sauvé! Ce que vous ne réalisez pas, les amis, j'en suis sûr, c'est que
le diable garde cela éloigné de vous autant qu'il le peut (il le fait
pour moi), de réaliser quelle est la valeur d'une âme. Avez-vous jamais
réalisé ce que c'est, et ce que l'Éternité signifie, et combien de
temps vous allez être ainsi? Voyez? Réalisez, c'est le temps où vous
prenez votre décision pour l'Éternité.
37 Dimanche dernier, avec vous ici, je crois que j'ai
prêché sur l'assurance, la puissance que Dieu a promise; et qu'Il vous
a ordonné et vous a appelé avant la fondation du monde, et a mis votre
nom dans Son Livre. Vous n'avez rien eu à y faire. Dieu l'a fait.
N'est-ce pas merveilleux? L'Agneau fut immolé avant la fondation du
monde; et cependant, cela n'est arrivé que quatre mille ans plus tard.
Mais Dieu, quand Il l'a parlé, Il a dû le faire, car Il devait garder
Sa Parole. Et de même que cela fut écrit pour l'Agneau, votre... vous
avez été écrits avec Lui. «Nos noms furent écrits dans le Livre de Vie
de l'Agneau», non pas le soir où nous sommes venus à Christ, mais
«avant la fondation du monde», dit la Bible. Ainsi, c'est l'assurance.
Et le Frère a touché cela ce matin, dans cette merveilleuse lecture
d'école du Dimanche.
38 Maintenant, lisons les Écritures quelque part,
juste pour un peu... Je désire... juste quelque chose qui est sur mon
coeur. J'aimerais juste le parler pour quelques moments, et ensuite
nous clôturerons. Et nous nous attendons à avoir une réunion de
nouveau, demain soir. Et maintenant, j'ai un message sur le coeur, en
venant ici l'autre jour, et je désire, Dieu voulant, si je suis de
retour Dimanche prochain, au matin, l'apporter d'abord au tabernacle.
Juste quelque chose du temps et qui est sur mon coeur.
39 Je suis allé à un endroit pour manger; et je
pensais: «Eh bien! est-ce que je deviens fou? Que se passe-t-il avec
moi? Je ne peux pas supporter cette musique et tout ce qu'ils ont
aujourd'hui: ces femmes sottes qui chantent: «Dans un palais
d'ivoire...» ou... et tout ceci.» Je disais: «Il doit y avoir quelque
chose qui ne va pas avec moi.»
40 Et le Saint-Esprit dit: «Oh! non. Oh! non. Si vous
aimez le monde ou les choses du monde, l'Amour de Dieu n'est même pas
en vous.»
41 Ainsi, je pensais: «Eh bien! alors je ne veux pas
être ajusté à ce monde. C'est vrai.»
42 Et ensuite, le Saint-Esprit a commencé à me
révéler ce Message. Je n'aurais pas le temps ce matin; j'étais trop
fatigué, de plus. Peut-être, le Seigneur voulant, Dimanche prochain au
matin, si nous sommes encore aux alentours. Je dois faire quelques
voyages cette semaine. Mais si je suis encore là Dimanche prochain,
Dieu voulant. Frère Neville l'annoncera à la radio, le samedi. Et nous
serons là, pour essayer d'apporter ce Message. Et je désire L'apporter
d'une certaine manière. C'est un message de l'Évangile, du jour, de
l'heure et de la saison.
43 Et je l'ai prédit il y a six mois: ceci est
l'année de clôture pour l'Amérique. Et nous allons voir si c'est selon
l'Évangile ou pas. Ceci est le temps où elle est partie. Elle va soit
monter ou descendre, cette année. C'est vrai.
44 Maintenant, vous les enfants, je désire que vous
preniez une feuille de papier et que vous l'écriviez à la page de garde
de votre Bible, afin que lorsque Frère Branham sera parti, peut-être,
vous verrez si j'avais raison ou tort. Voyez? Et vous saurez si le
Seigneur me parle encore, vous voyez.
45 Maintenant, dans Romains, au quatrième chapitre,
je désire lire juste une--une portion de la Parole, pour continuer.
Que dirons-nous donc qu'Abraham notre père, a obtenu
selon la chair?
Si Abraham a été justifié par les oeuvres, il a
sujet de se glorifier, mais non devant Dieu.
Car que dit l'Écriture? Abraham crut à Dieu, et cela
lui fut imputé à justice.
Or, à celui qui fait une oeuvre, le salaire est
imputé, non comme une grâce, mais comme une chose due;
et à celui qui ne fait point d'oeuvre, mais qui
croit en celui qui justifie l'impie, sa foi lui est imputée à justice.
46 Puisse le Seigneur ajouter la bénédiction à la
lecture de Sa Parole. Maintenant le petit sujet, s'ils veulent
l'appeler ainsi, sur lequel je désire vous parler, est: «L'Amour
Divin.» Et lorsque l'Amour Divin a été projeté et arrive à sa
destination, la grâce souveraine prend sa place. Voyez? Maintenant,
pouvez-vous penser à cela? Maintenant, réfléchissez-y, afin que nous
nous en approchions tout près, maintenant. Voyez? Quand l'Amour Divin
est projeté et arrive à son destin, alors la grâce souveraine prend la
relève.
47 Maintenant c'est une--une chose étrange comment
les gens, le type de personnes et ce que nous faisons, dans notre
association. Maintenant, nous devons tous faire face à ce fait, qu'il y
a des gens dans la compagnie desquels vous aimez être. Et il y a des
gens qui sont des gens de bien, et vous les aimez, mais cependant, il y
a quelque chose au sujet de la personne qui fait que vous pouvez juste,
vous pouvez juste à peine rester près d'eux. Maintenant, nous voulons
parler de fait. Maintenant, la raison en est l'atmosphère que
l'individu lui-même, ou elle-même, crée.
48 Car vous êtes un créateur miniature, parce que
vous êtes fils et filles de Dieu. Peu importe combien vous avez été
plongés dans le péché, vous êtes toujours des fils et filles de Dieu,
parce que vous êtes tombés, dégénérés, dans votre âme et votre esprit.
Mais Dieu est votre Créateur. Et dans votre état déchu, vous êtes la
création de Dieu, perdue, non achevée, dominée par le diable, c'est
vrai, mais malgré tout vous êtes les fils et les filles de Dieu. «Il ne
veut pas qu'aucun périsse, mais que tous parviennent à la repentance.»
Voyez? Et Il a fait tout ce qui--ce qui est possible pour les... Seul
Dieu Lui-même pouvait faire ceci: donner les--les occasions à Ses
créatures, d'accepter d'être ce qu'Il veut que vous soyez, à nouveau de
retour dans votre véritable état. Et personne...
49 Maintenant écoutez ceci; c'est assez fort. Mais
personne n'est dans son état mental correct avant d'avoir accepté le
Seigneur Jésus. C'est une parole forte, mais c'est la vérité. Aucune
personne n'est mentalement saine, avant d'avoir accepté Christ Jésus
comme Sauveur personnel. Cela semble... Mais, c'est la Bible.
Certainement, C'est vrai. Il est Celui-là. Et dans votre être créé...
maintenant, vous allez être fou, pour le monde, lorsque vous ferez
cela. Parce que vous devez sortir de l'atmosphère dans laquelle vous
êtes, pour entrer dans cette autre atmosphère. Quand vous faites cela,
Dieu vous élève directement hors du monde et vous vivez dans une
atmosphère céleste. Voyez? Et alors, pour le monde, c'est juste
contraire à ce que c'est. Voyez? Et Ceci est contraire au monde. Voyez?
50 Maintenant, ce que vous désirez faire, c'est
d'être élevé par Christ, dans une--une atmosphère, où vous êtes
heureux, paisibles. Et alors, là, vous créez une situation.
51 Et maintenant, bien souvent, dans les églises,
nous... Ceci peut sembler étrange, mais si vous voulez juste observer.
Maintenant, ceci est pour l'église, c'est pour les gens. Les gens
reçoivent l'esprit les uns des autres, au lieu de recevoir le
Saint-Esprit. Vous entrez dans un groupe de gens, vous observez la
manière avec laquelle cette personne agit. Et--et ce genre de personnes
qui viennent dans cette assemblée, la première chose que vous
découvrez, c'est que ces gens agissent de la même manière. Toujours
vous...
52 Vous prenez une femme bonne et un homme bon; et
soit il va sentir... Il deviendra soit un homme bon, ou elle une
mauvaise femme. Et l'atmosphère dans laquelle vous vivez; vous projetez
au travers de vos associés ce que vous êtes.
53 Alors, quel genre de personnes devrions-nous être,
si nous sommes chrétiens? Dans quel genre d'atmosphère devrions-nous
vivre? Dans une atmosphère de consolation, adoucissante, de guérison;
dans laquelle nous devrions vivre, avec le coeur constamment en prière,
avec un amour profond pour chaque personne avec qui nous entrons en
contact.
54 Si je dis ceci, à cette petite église qui a prié
pour moi, pour la mission mondiale, ce qui fait mon succès quand je
prie pour les malades. Si je ne peux pas entrer dans le sentiment de la
maladie avec cette personne; habituellement cela ne fait pas de bien.
Vous devez en arriver au point où cela juste... où vous le sentez
vous-même.
55 Ici, il n'y a pas longtemps, un vieil homme
mexicain là sur l'estrade, quand il a couru sur l'estrade. Avec
beaucoup de foi, il s'est prosterné, a saisi son rosaire. Je--je lui ai
dit: «Ce n'est pas nécessaire», avec l'aide de l'interprète, Frère
Espinoza. Ainsi, il s'est levé. Il mit ses bras autour de moi, et
commença à avancer quelque part. Il était aveugle. Je l'ai regardé.
J'ai regardé ses vieux pieds fripés; il n'avait probablement jamais
porté de paire de chaussures, de sa vie. J'ai regardé mes chaussures,
pour voir si elles lui conviendraient. Je lui aurais donné mes
chaussures. Et j'ai regardé, il était plus large des épaules. Un homme
fort, il pesait cent kilos et quelque, je pense. Il n'aurait pu porter
mon manteau.
56 Et comme il se tenait là, les cheveux gris, je
pensais à mon papa. Je pensais: «Si papa avait vécu jusqu'à cet âge, il
aurait eu environ le même âge que cet homme-ci, environ soixante-cinq
ou soixante-dix ans.» Et l'amour pour cet homme est entré en moi, alors
que je pensais ainsi. «Peut-être n'a-t-il jamais eu de repas
convenable, de toute sa vie. Peut-être ne s'est-il jamais assis à une
table, de toute sa vie. Et en plus de tout ceci: marcher seul dans les
ténèbres.»
57 Alors Quelque Chose est entré dans mon coeur. Que
Dieu soit miséricordieux! C'est un homme. C'est un frère. Ensuite,
quand Cela frappe, il y a quelque chose qui oint. Il y a une création
qui en train de se mouvoir aux alentours, et vous êtes... C'est projeté
vers cette personne. Après quelques instants, je l'entendis hurler
quelque chose par-dessus mon épaule. Et il hurlait: «Je vois! Je vois!»
58 Qu'était-ce? L'Amour Divin. La compassion avait
été projetée, par le Saint-Esprit, dans cet homme. Et par cela, au bout
du chemin, là où il ne pouvait... On ne pouvait rien faire. Et l'amour
a pris sa place, et l'amour avait rencontré l'amour, ensuite la grâce
souveraine est entrée en action. Et Dieu, par la grâce souveraine, a
restauré la vue à cet homme. Voyez? D'abord, vous devez entrer dans
cette pensée.
59 C'est ainsi que vous devez faire envers un
pécheur. Beaucoup de gens prient pour les pécheurs. C'est très bien.
Mais ce n'est pas la manière de gagner un pécheur. C'est votre affaire
de gagner le pécheur. Vous ne le gagnez pas en priant pour lui. Vous le
gagnez--gagnez, le gagnez en lui parlant, et en lui présentant Christ.
C'est votre affaire. C'est votre devoir, c'est de gagner des pécheurs
en leur parlant. Et en leur projetant l'Amour de Dieu, par la Parole de
Dieu, c'est ce qui gagne le pécheur. Quelqu'un dira: «Je n'irais pas à
l'église. J'aime certainement cette femme, j'aime ce gars-là.» Vous
voyez, parce que vous les gagnez. Si vous restiez à la maison, juste
pour prier pour le pécheur et que vous n'entriez jamais en contact avec
lui... très peu de choses peuvent être faites. Mais vous devez prier,
et ensuite aller. C'est exact. Allez, et faites-le, maintenant; la
projection de cet Amour.
60 Il y a quelques jours, j'écoutais le témoignage
d'un--un grand fabricant de charrues, qui était sur l'estrade. Eh bien!
il y avait des hommes d'affaires du monde entier, qui se tenaient sur
l'estrade, et cet homme des charrues. Il s'est levé et a dit: «Eh bien!
je ne savais pas pourquoi je devais être opéré.» Et j'aime cet homme.
C'est un grand disciple de Frère Roberts, notre ami. Et ainsi,
lorsque... Il a dit: «Quand j'ai vu que je devenais malade et que
j'avais des problèmes de pierres, des pierres aux reins, il se fait que
j'étais en train de dîner avec Frère Oral.» «Et, dit-il, Frère Oral
s'est levé et a dit: «Frère, je--je vois que tu es dans la détresse,
ainsi, dit-il, je vais--je vais prier pour toi.»
61 Et il dit: «Eh bien! gloire à Dieu! Je voulais
juste que vous disiez cela, Frère Oral.»
62 Et dit-il, Oral est venu et a posé les mains sur
ses reins, et il a dit: «Je réprimande cette pierre aux reins; qu'elle
quitte cet homme immédiatement.» Et il dit: «Quand il a fait cela,
dit-il, j'ai eu un soulagement.» Et il dit: «Un peu plus tard, c'est
revenu; je suis allé chez Frère Oral, de nouveau.» Et il dit: «Il a
encore prié. J'ai eu du soulagement. Mais chaque fois, cela revenait;
cela empirait.»
63 «Et dit-il, la chose suivante à laquelle j'ai
pensé: Si je pouvais aller chez Frère Branham, me tenir devant lui. Le
Saint-Esprit viendrait, il me dirait alors pourquoi je n'ai pas été
guéri quand Frère Oral a prié pour moi.»
64 Ainsi, il se mit en chemin pour venir en
Louisiane. J'avais des réunions là. Et je me suis tenu devant lui,
pendant vingt minutes. Le Saint-Esprit ne disait rien, ne disait pas
une seule chose. J'ai prié pour lui, et il a dit qu'il se sentait
mieux. Et il est descendu, ensuite, il est parti et est devenu tout
excité. Il est allé d'en endroit à l'autre, à tout le monde: «Priez
pour moi! Priez pour moi!»
Et il aimait le Seigneur.
65 Mais finalement c'est arrivé au point où il
était... il a été embarqué chez Mayo. Mayo l'a examiné et a dit: «Vous
avez une chance sur mille de survivre. Il y a de l'infection. Votre
corps entier est empoisonné, de l'urémie» et, oh! j'ai oublié tout le
reste. Il a dit: «Vous avez une chance sur un millier.»
66 Donc il a dit: «Je l'ai prise.»
Il a dit: «J'ai prié: - Ô Dieu, Tu sais que je
T'aime. Et je suis allé voir tous Tes serviteurs.»
67 Il a saisi la chance et ils le firent dormir. Et
il a dit que lorsqu'il s'est réveillé dans la chambre, il a dit qu'une
Lumière brillait dans la pièce, et que la Gloire de Dieu était tout
autour de lui.
68 Et les docteurs étaient étonnés. Ils venaient et
disaient: «Eh bien! que s'est-il passé ici?»
«Eh bien! disait-il, j'ai envie de rentrer à la
maison.»
69 Qu'était-ce? Voyez, il avait bâti son espérance
sur: «S'il m'arrive quelque chose, j'irai chez Frère Roberts. Si cela
faillit, j'irai chez Frère Branham.»
Et cependant, il aimait le Seigneur Jésus. Dieu a dû
laisser tout échouer pour l'étendre là, sur son lit, même au point où
le médecin disait: «Nous ne pouvons rien faire.»
70 Et alors, quand l'amour Divin est arrivé à son
extrémité, la grâce souveraine a fait son entrée et a pris la place.
Elle le fera chaque fois; si vos motifs sont justes, vos alternatives
sont justes, si vous avez l'amour Divin et que vous croyez, en marchant
de l'avant, sans douter de rien. Quand il semble que l'on soit arrivé
au bout de la route, alors la grâce souveraine prend sa place.
71 Combien je l'ai vue agir! Combien je l'ai remarqué
dans ma propre vie! Et non pas juste par une théologie, ou par quelque
sorte de--de l'expérience de quelqu'un d'autre. Je suis si heureux,
aujourd'hui, de pouvoir parler d'une expérience personnelle, de savoir
que c'est la vérité. Pourquoi avons-nous de la crainte alors? Aussi
longtemps que nous savons que l'amour de Christ demeure de façon Divine
dans notre coeur, que nous sommes passés de la mort à la Vie, tous les
démons de l'enfer n'ont aucune chance d'entrer, même à la mort, si vous
continuez dans cet amour et cette foi.
72 C'est juste comme un petit bébé. Vous prenez un
petit bébé... Je vais vous montrer, afin que les petits puissent le
saisir. Voici Madame Kelly, assise ici devant nous. Quand un soldat
ivre, je crois que c'était, leur est rentré dedans, là. Et elle fut
emmenée comme morte, ici. On l'a conduite à l'hôpital, inconsciente.
Alors que tout avait échoué, et qu'elle faisait sa route. Et malgré
tout, avec l'Amour de Dieu dans son coeur, elle en est sortie. Je suis
allé là, l'autre jour, et ensuite la grâce souveraine fut projetée,
après l'Amour Divin. Et là voici assise ici, ce matin, parmi nous,
vivante aujourd'hui.
73 Voyez, c'est quelque chose qui est arrivé. Quand
vous arrivez au bout de la route, quand vous en arrivez au point où
vous ne pouvez plus bouger, alors la Puissance de Dieu va agir, par la
grâce souveraine, c'est la chose que vous voyez.
74 Prenez un petit gosse, un petit bébé, qui a une
crise de colère, des spasmes; ils vont crier, taper du pied et hurler.
Et la première chose qui arrive: ils vont bloquer leur respiration.
Alors vous allez voir la mère l'attraper, et le tirer, et le lancer en
l'air, lui souffler au visage. Laissez-le tranquille. Il n'y en a
jamais eu aucun, dans toute l'histoire médicale, qui soit mort comme
cela. Ils ne mourront pas. Il a tout simplement un crise de colère. Il
essaie d'obtenir de la compassion. Il est juste un peu comme une mule,
c'est juste un éclat d'humeur. Et après avoir eu son éclat d'humeur, à
un certain moment, il va retenir sa respiration et quand il ne pourra
plus aller plus loin, la nature reviendra et il va se relaxer et
commencer à respirer à nouveau. Et le fait de le prendre, de crier,
font juste... de hurler et lui souffler au visage ne font qu'empirer la
chose.
75 C'est ainsi qu'il en est, après avoir voyagé
d'église en église, de colonne en poteau, de service de guérison en
service de guérison. Frère, prenez l'amour et allez de l'avant, parce
que vous êtes au bout de la route. Quand l'amour a rencontré son plein,
Dieu est obligé alors. Quand vous êtes arrivé à votre extrémité et que
l'homme est au bout de rouleau, alors la grâce prend le relais. C'est
dans la nature de Dieu de faire ainsi.
76 Combien je l'ai remarqué! Combien, quand
j'étais... Excusez maintenant ce témoignage personnel, une minute. Vous
avez lu le livre. Ce jour-là, à Portland, dans l'Oregon, quand ce
maniaque a couru sur l'estrade, il allait me tuer. Vous avez tous lu
cela, peut-être, dans le livre. Qu'est-il arrivé? Dieu m'a envoyé
prêcher l'Évangile. C'est ce que je faisais.
77 Des milliers de personnes étaient rassemblées. Les
rues étaient pleines; il y avait environ six mille personnes à
l'intérieur; et il pleuvait à verse, les gens étaient là. Leurs coeurs
étaient affamés. C'est quand il n'y avait personne d'autre sur le
terrain; aux réunions. Et ils devaient vous frayer un chemin dans la
foule, et tout, avec l'escorte de la police, pour vous faire entrer.
78 J'avais été dans une pièce, et là, j'avais conduit
deux jeunes officiers à Christ, là dans les vestiaires; deux jeunes
garçons, de la police, au début de la vingtaine. L'une de leurs mères
avait été guérie, la nuit précédente. Et ils se sont inclinés là, tous
les deux, et je les ai conduits au Seigneur Jésus.
79 Je me suis avancé sur l'estrade, pour parler la
foi. Tout à coup, un maniaque qui avait frappé un prédicateur dans la
rue, cet après-midi là; il s'était enfui de l'asile, il lui avait brisé
la clavicule, et brisé la mâchoire. Il avait la manie de tuer les
prédicateurs. Il a accouru à l'intérieur et il pensait: «Voilà ma
chance!»
Il est venu jusqu'à l'estrade, il pesait environ 125
ou 130 kilos, il mesurait environ deux mètres dix et balançait les
mains d'avant en arrière. Il a dit: «Toi, hypocrite! Toi, serpent dans
l'herbe!»
80 Voilà comme c'était! Le service de Dieu en ordre;
les gens étaient guéris; des milliers étaient sauvés et bénis; des
prédicateurs inspirés. Ce grand réveil était juste alors à son début;
pour commencer à se produire partout autour du monde. T.L. Osborn était
assis-là (amen!), lui qui a gagné des dizaines de milliers d'âmes à
Christ; ils étaient assis là, étant pasteur d'une assemblée avec huit
ou dix de son assemblée, s'avançant là, au balcon.
81 Et ce maniaque a couru sur l'estrade, pour
déranger la réunion du Seigneur. Et il avait dit: «Toi, serpent dans
l'herbe! Toi, hypocrite qui t'imposes toi-même comme serviteur de Dieu.
Je vais montrer ce soir que tu n'es pas serviteur de Dieu. Et je vais
briser tous les os de ton minable petit corps.»
Et il courut là et tira son poing en arrière pour me
frapper. Je me suis retourné. Les prédicateurs s'enfuyaient, et tout.
82 Il était debout et me lança son crachat au visage.
Il dit: «Toi, serpent dans l'herbe! Je vais montrer quel genre de
serviteur de Dieu tu es. Trompeur!»
83 Je n'ai pas dit un seul mot. Je le regardais
simplement. Et tout à coup, le Saint-Esprit, quelque chose d'autre...
84 Que penseriez-vous si un homme vous crachait au
visage? Eh bien! si vous avez un tant soit peu de tempérament, cela
vous agacerait. Certainement. Et voici que deux policiers s'avancent,
les deux mêmes policiers qui... avec ces choses en main, pour abattre
l'homme, pour le faire sortir. Mais je ne pouvais les laisser faire.
85 Dieu avait mis de l'amour dans mon coeur pour cet
être humain. Je pensais: «Ce n'est pas l'homme. C'est le démon qui le
tient dans cet état. Cet homme serait un homme normal qui voudrait
aimer et vivre, comme les autres hommes. Mais c'est le diable qui le
tient comme ça.» Et un amour a commencé à couler, pour cet homme. Et ce
qui est arrivé, c'est que cet homme s'est écroulé et est tombé en
travers de mes pieds là. Quand l'Amour Divin a été projeté, la grâce
souveraine est intervenue et a pris sa place; elle le fera chaque fois.
86 Ici, il n'y a pas longtemps, quand... Je vous ai
peut-être déjà raconté cela. L'année dernière... c'était
l'avant-dernière. J'étais en train de tondre ma pelouse là, essayant de
tondre ma pelouse, tout autour. J'ai dû m'arrêter pour changer de
vêtements; je suis rentré et je suis sorti pour aller prier pour
quelqu'un. Eh bien! ma pelouse avait grandi. Avant que je... à
l'arrière, avant que je n'arrive à tondre devant, c'était repoussé.
87 Et ainsi, un jour, j'étais là, à l'arrière, avec
ma vieille tondeuse, en train de tondre là, le long, en train
d'essayer, une petite tondeuse électrique. Et j'avais oublié qu'il y
avait un nid de frelons là, au coin. Et je suis entré avec cette
tondeuse là-dedans. Et là derrière, j'avais enlevé ma chemise; je
n'avais pas de chemise. J'ai cogné contre la palissade avec cette
tondeuse, et je n'avais pas de chemise... En un instant, j'étais
recouvert de frelons. Vous savez comment ils sont, un gros nid de
frelons; ils pourraient vous tuer. De gros gaillards en train de
bourdonner! Oh! je pensais...
88 Tout d'abord, cela m'a effrayé. Alors, tout à
coup, quelque chose commença à arriver, le calme commença à
s'installer. Ces frelons continuaient à bourdonner tout autour.
Maintenant, cela paraît enfantin, cela semble juvénile. Mais le Dieu du
Ciel, devant Qui je me tiens, sait si c'est la vérité ou pas. Alors, au
lieu d'essayer de combattre, de me battre et de frapper ces frelons, il
y eut comme un genre d'amour pieux qui est descendu sur moi.
89 Et je pensais: «Pauvres petites créatures, vous
avez le droit de construire un nid. C'est la manière que Dieu a pourvue
pour que vous vous protégiez. Et je vous ai dérangés, et je regrette de
l'avoir fait. Si je devais recommencer, je ne vous dérangerais pas. Je
ne voulais pas le faire.» Mais j'ai dit: «Je suis le serviteur du
Seigneur. Et je dois aller prier pour Ses enfants malades, et je dois
me dépêcher de tondre cette pelouse. Maintenant, petites créatures de
Dieu, au Nom de Jésus-Christ, retournez dans votre nid. Je ne vous
ennuierai pas.»
90 Et qu'était-ce? C'est parce que j'avais prié, car
j'aurais pu être piqué à mort. Dans l'Amour de Dieu, avec un coeur
soumis, la projection de l'Amour est sortie, et la grâce souveraine a
pris le relais; qui a pu dire à ses frelons, parler, et chaque--et
chaque frelon a pris son vol circulaire et ils se sont alignés comme un
bataillon militaire de soldats et ils sont rentrés directement dans
leur nid.
91 Qu'était-ce? Je n'ai pas pu parler aux frelons. Je
n'ai aucun moyen de leur parler. Comment pouvais-je les empêcher de me
piquer? J'étais au bout de ma route. J'avais l'Amour. Dieu a donné
l'Amour pour ces frelons, et je leur ai parlé de ma voix. Et le
Saint-Esprit, par la grâce souveraine, a guidé ces frelons directement
de retour dans leur nid.
92 En descendant la route, pas loin d'ici, un vieux
Guernsey là, à Henryville, un jour. Ce vieux taureau là, qui avait tué
cet homme de Couleur, à la ferme Brooks, là-bas. Il avait tué un homme
de Couleur, et presque tué ce jeune West, de la même manière. Ils
l'avaient mis là, dans cette ferme. Je ne le savais pas. J'étais en
patrouille. J'étais censé porter un fusil; je n'en avais pas.
93 Un jour, en traversant là, je pensais que j'allais
aller, aller là, prier pour une personne malade. J'ai traversé ce
champ, ne pensant pas à ce taureau qui se trouvait dans ce champ. Et je
me suis retrouvé au milieu du champ. Que s'est-il passé? La première
chose qui est arrivée, sortant de ce petit massif de buissons, voici ce
gros taureau batailleur, des cornes longues comme cela, et rugissant.
Je savais que c'était ce tueur.
94 J'ai regardé en arrière. J'étais trop loin de la
clôture, à environ 180 mètres. Il ne se trouvait pas à plus de neuf ou
douze mètres. Il se tenait là, les cornes baissées, et laissa échapper
un gros mugissement. Je n'avais pas de fusil, et il n'y avait pas
d'arbre où me réfugier. Je ne pouvais retourner vers la clôture. Je
pensais: «Eh bien! voici la fin. Bill Branham, c'est ici que tu dois
rencontrer ton destin, être martyrisé et être encorné, à mort, ici dans
ce champ.» Je me tenais là.
95 Mais tout à coup, quelque chose commença à
s'installer là...?...coeur. La gloire de Dieu. Quelque chose est venu
dans mon coeur. Je pensais: «J'ai dérangé ce pauvre animal. Ce n'est
pas ce pauvre animal. C'est le diable qui le fait agir ainsi.»
96 Et je ne connais qu'une seule chose... La voici.
Je veux que vous l'entendiez. Il n'y a qu'une chose qui conquerra le
diable, c'est l'amour Divin pur. L'amour conquerra tout. «Dieu a tant
aimé le monde», cela a conquis la question du péché, cela a conquis la
question de la maladie. Cela conquerra les différends dans les églises.
Cela conquerra tout ce qui n'est pas comme Lui, pour être conquis. Il
le fera, si vous Le laissez simplement faire.
97 Et quand ce grand animal s'est dirigé vers moi. Et
au lieu de haïr cet animal, Frère Mike, je l'ai aimé. Et je pensais:
«Tu es la créature de Dieu. Qui d'autre aurait pu te faire, sinon Dieu?
Et tu étais là, paisiblement, et je suis venu sur ton territoire, avec
des signes partout sur le champ. Je n'y ai jamais pensé. J'ai
simplement dépassé mon territoire habituel, pour aller prier pour un
homme malade.»
98 Et là, j'ai vu ce taureau arriver, en balançant la
tête juste comme cela. Et il se dirigeait vers moi, pour me tuer, et je
le savais.
99 Mais l'amour Divin a commencé à venir. Je pensais:
«Pauvre créature, une grosse brute qui ne sait pas mieux. Tu es couché
là, et je t'ai dérangé. Ainsi maintenant, je suis le serviteur de Dieu;
tu es la créature de Dieu. Dans le Nom de Jésus-Christ, retourne te
coucher, car je suis en chemin pour aller prier pour l'un des enfants
malades de Dieu. Retourne te coucher.»
100 Et ce taureau s'avançait vers moi avec autant de
force qu'il le pouvait. Aucune crainte; je n'étais pas plus effrayé que
je ne le serais de Frère Neville, assis ici. Il y avait juste un amour
pur et saint dans mon coeur! Qu'a-t-il fait? Il a créé une atmosphère.
Et ce taureau a foncé directement dans cette atmosphère. Il n'était pas
à plus de trois mètres de moi quand il s'arrêta et lança ses pattes en
avant. Il regardait par ici, tellement vaincu, avec le regard le plus
doux qui soit sur le visage, et il se retourna, s'en alla se recoucher.
Et je suis passé à un mètre cinquante de lui. Qu'est-ce? Quand l'amour
Divin a été projeté, la grâce a pris le relais à ce moment-là.
101 C'est le même Dieu qui a pu empêcher les lions de
venir vers Daniel. Ils sont venus en rugissant, et le vieux Daniel se
tenait là, enveloppé dans l'Amour de Dieu. Les lions sont allés se
recoucher. C'était paisible.
102 Je vous le dis, mon Frère, quand Dieu peut vous
envelopper dans l'amour Divin, il y a la paix dans la vallée pour vous,
alors. Voilà.
103 Ici, il y a quelque temps, je revenais de Dallas,
au Texas. Je volais en avion, pour rentrer à la maison. Nous avions eu
une réunion là. Et en chemin, nous avons eu une tempête et l'avion a dû
atterrir à Memphis. Et pendant que j'étais à Memphis, ils m'ont logé
là, à l'hôtel Peabody, oh! un grand hôtel super chic. Je ne me sentais
vraiment pas à ma place. J'étais là ce soir-là, et je suis resté toute
la nuit. Ils m'ont appelé le lendemain matin, et ont dit: «Révérend
Branham?»
- Oui.
104 Ils dirent: «La limousine viendra vous chercher à
exactement sept heures. L'avion partira à sept heures trente.»
105 J'ai dit: «Merci, monsieur», et j'ai raccroché.
Je me suis levé et j'ai prié. Et je pensais: «Eh bien! j'ai le temps,
peut-être, de trouver une boîte postale. J'ai du courrier ici, auquel
j'ai répondu la nuit dernière.» Je me suis levé et j'ai commencé à
descendre la rue; je descendais la rue en chantant:
Il y a des gens presque partout
Dont les coeurs sont en feu
Du feu qui est tombé à la Pentecôte,
Qui les a purifié et les a rendu purs;
Oh! il brûle maintenant dans mon coeur,
Oh! gloire à Son Nom!
Je suis si heureux de pouvoir dire
Que je suis l'un d'entre eux.
106 Je descendais la rue, avec ce paquet de lettres
en main, allant vers le bureau de poste. J'ai ressenti Quelque chose
d'étrange. Vous savez ce dont je veux parler, n'est-ce pas? Comme si
tout commençait à prendre tournure. Oh! quelle sensation! Je pensais:
«Oh! la la! N'est-ce pas merveilleux!» Maintenant, Doc avait l'habitude
de chanter un petit chant:
Laisse-moi marcher avec la Colombe céleste;
Remplis-moi chaque jour d'amour.
107 Je pensais à cela. Et cet amour commença à se
déverser, quelque chose en plus. Nous avons l'amour, mais nous avons
besoin de l'abondance d'amour, un débordement d'amour.
108 Vous dites: «Oh! j'aime les pécheurs.» Mais, oh!
frère, soeur, les aimez-vous assez pour sortir leur parler et les
attirer à Christ? Vous voyez ce que je veux dire?
Vous dites: «J'aime le Seigneur.»
109 Mais pouvez-vous Lui faire confiance quand le
docteur secoue la tête? Pouvez-vous Lui faire confiance quand tout le
reste est perdu? Vous avez besoin d'un baptême débordant d'amour,
l'amour Divin. Quand il semble, lorsque vous priez, que votre prière ne
reçoit pas de réponse, L'aimez-vous encore? Y a-t-il Quelque chose qui
continue à vous purifier? C'est la grâce souveraine de Dieu, qui doit
prendre le relais. Elle le doit. C'est la nature de Dieu. Dieu ne peut
rien faire d'autre que cela.
110 Quand Dieu a vu le péché de ce monde, et qu'Il a
vu que les hommes mouraient, sans espoir, et ne pouvaient être sauvés,
et cependant Il savait que les hommes L'aimeraient, cela--cela a
contraint Dieu et a prouvé Sa nature. La nature de Dieu est Amour. Dieu
est Amour. Et cela a contraint la nature de Dieu, au point qu'Il doive
pourvoir à une issue pour ceux qui voulaient échapper. Et Il a envoyé
Son Fils dans le monde, fait à la ressemblance de la chair pécheresse,
pour porter les péchés et la maladie au Calvaire. Dieu l'a fait.
L'Amour de Dieu, en sortant, a fait venir la grâce souveraine.
111 Et Dieu n'a jamais dit: «Si vous le faites; si
vous faites ceci, Je ferai ceci.» Dieu, sans condition. Il a envoyé Son
Fils mourir à votre place, et a réglé la question du péché. Cela
n'avait rien à faire avec ce que les gens pensaient. Dieu l'a fait de
toute façon. Amen. L'amour Divin, amené à la contrainte; la grâce
souveraine doit prendre sa place. C'est tout ce qu'il y a, quand
l'amour Divin est entré à l'endroit correct.
111 Et je pensais: «Oh! la la!» La petite Sarah, qui
faisait des efforts et qui avait des haut-le-coeur. La pauvre petite
avait été malade, toute la nuit. Le lendemain matin, elle était
tellement malade, nous avons dû arrêter la voiture. Elle devenait toute
blanche. Et alors, j'étais tellement fatigué et épuisé. Je pensais: «Ô
Dieu! Oh! la situation est terrible. Dieu, regarde ici, je--je n'arrive
pas à conduire; je suis si fatigué. Et j'ai été là-bas, avec Ton
peuple, essayant de faire de mon mieux, et la petite Sarah est si
malade.» Là où nous étions...
112 Écoutez attentivement. Ce matin-là, quand je suis
sorti de l'avion, ou sorti de l'hôtel, j'ai commencé à descendre la
rue, je marchais, en chantant. Tout à coup, Quelque chose a semblé se
déverser sur moi, une grande douche d'amour. Je pensais: «Oh! si je
pouvais seulement... Oh! je crois que c'est comme si je me sentais; si
je pouvais seulement voir quelqu'un pour qui prier!» C'est ainsi que
vous vous sentez, quand il y a quelque chose dans votre coeur, qui tire.
113 L'autre jour... Puis-je m'arrêter un moment, à
nouveau? L'autre jour, la petite Sarah est tombée malade. Quand nous
sommes partis, oh! il faisait si chaud. Et je m'étais relevé chaque
nuit, n'ayant que deux heures de sommeil, des délégués de tous les
coins du monde, je devais rencontrer celui-ci, celui-là; priant,
prêchant trois fois par jour. Oh! épuisé! J'allais juste... Et alors je
suis sorti, et je devais attendre. Et ensuite, j'ai fait quelques
kilomètres hors de la ville. Et j'étais tellement fatigué, même tôt le
matin, que j'ai dû me coucher, au bord de la route et dormir. Un peu,
quelques minutes, je me suis relevé et je suis reparti. Je ne pouvais
simplement pas tenir les yeux ouverts, essayant d'aller de l'avant,
pour atteindre cette femme. À travers le désert brûlant du Nebraska,
que je traversais là.
115 Et je suis allé poser mes mains sur elle. J'ai
dit: «Père Céleste, Tu m'as donné cet enfant; elle T'appartient. Je
n'ai fait que l'élever.» J'ai posé les mains sur elle. Quelque chose a
commencé de remuer dans mon coeur. Cela a mit fin aux vomissements.
Elle n'a plus vomi une seule fois, depuis ce jour-là, jusqu'à
aujourd'hui.
116 Le second jour, Becky a commencé, vraiment
malade, comme un virus, et elle a vomi; la petite a vomi toute la nuit.
Le lendemain, Meda a dit: «Nous allons prendre du Pepto-Bismol. Nous
avons versé quelques cuillerées et le lui avons donné. La petite a tout
vomi directement.»
117 Nous sommes entrés dans le «Tetons». Quand nous
sommes sortis du pays chaud, en partant, elle voulait voir les belles
montagnes. Elle n'a pas pu, elle était tellement malade. J'ai dit:
«Chérie, regarde ici. Je veux prendre...» J'ai dit: «Papa veut te
prendre en photo, ainsi tu pourras voir la montagne là.»
118 Elle dit: «Oh! papa, je me sens comme si j'allais
mourir.»
Aussi, nous lui avons encore donné du Pepto-Bismol.
Nous avons prié, ce matin-là, disant: «Seigneur,
sois miséricordieux.»
119 Et--et, oh! cela ne fit aucun bien. Ainsi, nous
étions là-haut, et je l'ai fait sortir. J'ai dit: «Chérie, sors dans
l'air frais.» Il faisait froid. Elle avait sa petite veste. Il y avait
de la neige sur le sol. Ainsi, je suis sorti, et elle essayait de...
Elle dit: «Oui, papa.» Va... [Frère Branham fait un bruit pour
imiter Rebekah, - N.D.É.] Et l'eau sortait de sa petite bouche. J'ai
regardé et ses petits yeux étaient enfoncés. Et sa petite bouche
coulait comme c'est possible.
120 J'ai fait quelques pas. J'ai regardé en haut,
vers la montagne. J'ai dit: «Je regarde aux collines d'où me vient mon
aide. Mon aide vient du Seigneur.»
121 Tout à coup, Quelque chose commença à tourner,
profondément en moi. Oh! je souhaiterais l'avoir tout le temps. Je me
suis avancé là, sur le côté de la voiture, j'ai ouvert la porte. J'ai
dit: «Regarde ici à papa, chérie.» Oh! la la! Cela a réglé la question
du vomissement pour toujours. En l'espace de cinq minutes, elle courait
et jouait avec Sarah.
122 Qu'est-ce? Quand l'amour Divin est projeté, la
grâce souveraine prend sa place. Elle le doit.
123 Dans cette rue, ce matin-là, j'étais en train de
marcher dans Memphis; pour revenir à mon histoire. Je descendais la
rue, à Memphis, en chantant au Seigneur, et tout à coup, Quelque chose
a dit: «Stop.» Et je me suis arrêté. Et immédiatement, Il a dit:
«Tourne-toi et fais demi-tour.» Eh bien! c'était vers le fleuve.
124 Je pensais: «Oh! la la!» J'ai marché un peu plus
loin. Je pensais: «Eh bien! c'était juste quelque chose que j'ai
juste...» Vous savez, vous êtes impressionnés, vous savez, bien des
fois. Et, bien souvent, les gens font des erreurs en suivant des
impressions, au lieu de la conduite Divine. Ainsi, j'ai continué en
pensant: «C'est juste quelque chose que j'ai ressenti.» Et, oh! plus
loin j'allais, pire cela devenait. Je me suis avancé dans un petit
endroit, sur le côté, et j'ai regardé autour de moi. Il y avait
quelques articles de pêche, qui se trouvaient là. Je pensais que
j'allais faire comme les gens qui passent; j'allais regarder ces
articles de pêche. Là où j'étais arrivé, tout le monde avait à peu près
cessé de marcher, ce groupe d'où la lumière s'était détournée. J'ai
dit: «Tendre Père Céleste, que voulais-Tu que je fasse? Était-ce Toi,
qui remuait dans mon coeur? J'ai l'impression d'éclater à l'intérieur,
il y a juste Quelque chose qui est en train de se déverser.»
Quelque chose dit: «Tourne-toi et fais demi-tour.»
J'ai dit: «Vers où?»
125 Il dit: «Tourne-toi et retourne.» Cela ne fait
aucune différence «vers où». Continue seulement à marcher!
126 J'ai fait demi-tour et j'ai commencé à
redescendre la rue. Je marchais. J'ai regardé ma montre. J'étais
toujours pressé. Le temps passait. Je suis allé un peu plus loin, le
temps était passé, il était passé sept heures trente; huit heures. Je
pensais: «Oh! la la la la!» Je suis retourné, tout le chemin jusqu'à
l'endroit où il y a des maisons de couleur, beaucoup de maisons de
couleur; là-bas, bien loin. Et je marchais là, le soleil était bien
haut alors, au début du printemps, tous les nuages étaient partis. Je
pensais: «Eh bien! j'ai raté mon... Je--j'ai raté mon avion.» Mais je
pensais: «Ô Dieu, je... C'est en ordre, si j'ai raté mon avion, pour
autant que Tu... Où me conduis-Tu, Seigneur? Je ne sais pas où Tu
m'emmènes. Où suis-je en train d'aller?» Ce n'était pas mes affaires;
«Continue seulement à marcher.» J'ai simplement continué à marcher.
127 Et après quelque temps, j'ai regardé. Penchée
au-dessus d'un portillon, comme ceci; il y avait une vieille tante
Jemima typique, penchée sur le portillon; avec de grosses joues
grasses; elle se tenait là, avec une chemise enveloppant la tête comme
ceci, et liée à l'arrière. Je marchais comme cela. Et je suis arrivé
près d'elle; les larmes coulaient le long de ses grosses joues, comme
cela. Elle me regarda et dit: «Bonjour, pasteur.»
J'ai dit: «Madame, dis-je, bonjour.»
128 Elle eut comme un large sourire et me regarda,
les larmes aux yeux. Je pensais: «Elle m'a appelé Parson.» C'est ainsi
qu'ils appellent un serviteur dans le sud, vous savez. Et j'ai dit:
«Comment saviez-vous que j'étais un Parson?
Elle dit: «Je savais que vous viendriez.»
- Quoi?
Elle dit: «Je savais que vous viendriez.»
J'ai dit: «Je ne comprends pas Tantine.
Voudriez-vous me dire?»
129 Elle dit: «Vous savez, avez-vous jamais entendu
parler de cette histoire au sujet de la femme sunamite, la femme qui
n'avait pas d'enfant, et elle a demandé au Seigneur de lui donner un
enfant?» Et elle dit: «Élie est venu et l'a bénie, et elle a eu un
enfant?»
J'ai dit: «Oui, madame. Je me souviens de cela.»
130 Elle dit: «Je suis ce genre de femme.» Elle dit:
«Je n'avais pas d'enfant. Et j'ai prié au Seigneur, et j'ai dit au
Seigneur, s'Il voulait me bénir et me donner un enfant, alors je
l'élèverais pour Lui. Et, dit-elle, Il m'a donné un enfant.» Et elle
dit: «J'ai lavé avec la planche à laver pour élever cet enfant.» Et
elle dit: «Quand il est devenu grand, Parson, il--il a pris la mauvaise
route. Et il dit qu'il est allé avec la mauvaise compagnie, et le voici
couché ici, en train de mourir.»
131 Et elle dit: «Le docteur était ici, il y a deux
jours, quand il est tombé dans le coma, et il a dit qu'il ne pouvait
plus rien pour lui. Ils lui avaient donné 6-0-6, de l'argent et tout le
reste, du mercure et de la pénicilline: rien. Une maladie vénérienne,
la syphilis; il pense que la valve de son coeur est détruite.»
132 Et elle dit: «Il n'y a rien qui puisse être fait
pour lui.» Et elle dit: «Il était couché ici, mourant.» Et elle dit: «Ô
Seigneur, je ne voudrais pas voir mon bébé mourir comme cela.» Et elle
dit: «Je--je... si je pouvais seulement l'entendre dire qu'il est
sauvé.» Et elle dit: «J'ai prié, et prié, pendant deux nuits.»
133 Elle dit: «Ce matin, vers trois heures, dit-elle,
le Seigneur m'a fait dormir, alors que j'étais agenouillée.» Elle dit:
«J'ai eu un songe.» Elle dit: «J'ai vu un homme arriver avec un costume
clair, portant un chapeau 'semi-western' sur le côté de la tête. J'ai
dit: «Seigneur, j'étais la femme, mais où est Ton Élie?»
Il a dit: «Le voici.»
134 Elle dit: «Je suis sortie directement de ce lit,
et je me tiens ici depuis lors; en train de vous attendre.» C'est ainsi
que j'étais habillé, exactement.
135 Oh! frère, quand l'amour Divin est projeté, cette
mère avec son bébé, oui, quatre-vingt-dix kilos, mais il était encore
son bébé, couché, mourant dans la honte. Peu importe combien il était
honteux, c'était son bébé. Elle l'aimait. C'est l'amour d'une mère. Peu
importe la honte qu'il avait apportée, elle l'aimait toujours.
136 Et si vous ne pouvez oublier votre bébé, peu
importe ce qui arrive, alors combien plus Dieu ne peut pas vous
oublier? Il a dit: «Vos noms sont gravés dans les paumes de Ma main.
Une mère peut oublier son bébé qui tète, mais Je ne vous oublierai
jamais.» Peu importe ce que vous avez fait, combien loin vous êtes
partis, où que vous soyez entrés, Dieu vous aime toujours. Dieu vous
aime. Gardez cet amour en marche. Ne le laissez pas faillir.
137 Ainsi, elle soupira. Elle dit: «Oh! je ne pouvais
simplement pas le faire.» Et elle dit: «Parson, j'ai eu un songe et je
vous ai vu venir.» Et elle dit: «Quand j'ai regardé dans la rue, et que
j'ai vu ce petit costume clair, et ce petit chapeau sur le côté de
votre tête, dit-elle, l'Esprit m'a dit: - Le voilà.»
Et elle dit: «Voulez-vous entrer?»
138 J'ai pensé: «Ô Dieu, pensais-je, peut-être est-ce
là où Tu m'as conduit; ceci est la raison pour laquelle j'étais censé
venir.» Je ne savais pas.
139 J'ouvris le portillon. Elle avait une chaîne avec
une pointe de charrue sur elle. Je ne sais pas si vous en avez déjà vu
une, ou pas. J'ai ouvert la petite porte et je suis entré.
140 Frères, j'ai été dans les palais de rois. J'ai
été dans les maisons les plus riches qu'il y a au monde. J'ai été dans
certaines, de multi-millionnaires, valant vingt... autant que
vingt-huit millions de dollars. J'ai marché sur leurs tapis de soie
veloutée, d'un bout à l'autre; là où j'aurais pu me coucher et
m'endormir à l'aise sur le tapis nu, là où ce sont de belles maisons.
141 Mais il n'y avait même pas une carpette par
terre. Il y avait là un petit lit en fer ordinaire, une petite
couverture était tirée sur ce garçon. Il y avait un signe sur la porte:
«Que Dieu bénisse notre foyer.» Je savais que j'étais en présence d'un
foyer chrétien. Je savais que j'étais quelque part où l'on prie. Pas de
pin-up au mur, pas de photos vulgaires; mais la Bible, ouverte, sur la
table recouverte de marbre, se trouvait là.
142 Et il y avait un grand garçon, là sur le lit, la
couverture dans sa main, s'en allant: «Oooh! Oooh!»
143 Je pensais: «Oh! la la!» J'ai touché ses pieds;
ils étaient raides et froids. La mort était sur ce garçon.
Et il continuait à dire: «Oh! il fait si sombre! Il
fait si sombre!»
Et je dis: «De quoi parle-t-il?»
144 Elle dit: «Parson dit-elle, il pense depuis de
nombreux jours, maintenant, qu'il est là, perdu sur une grande mer.»
Elle dit: «Il ne sait pas où il va.» Elle dit: «C'est ce qui me fait
mal au coeur.» Elle dit: «Il s'en va, et il est perdu, sur la mer, et
il ne sait pas où il va.» Elle dit: «Parson, j'ai prié. J'ai tout fait.
J'ai tout fait. Je ne veux pas qu'il soit perdu, Parson.» Et elle dit:
«C'est quand je priais.»
J'ai dit: «Tantine, qu'est-ce qui ne va pas avec le
garçon?»
145 Elle dit: «C'est une maladie vénérienne. Le
docteur a dit qu'il était en train de mourir; on ne peut plus rien
faire.» Et elle dit: «Il est inconscient. Cela fait deux jours qu'il
est perdu sur la mer.»
Elle dit: «Voulez-vous prier pour lui?»
146 J'ai dit: «Tantine, mon nom est Branham.
Avez-vous déjà entendu parler de moi?»
Elle dit: «Non, monsieur. Je ne crois pas, Parson.»
147 J'ai dit: «Eh bien! je vais vous raconter une
histoire.» J'ai dit: «Mon ministère est de prier pour les malades.»
Elle dit: «Vraiment?»
148 J'ai dit: «Oui.» Et j'ai dit, je lui ai raconté
au sujet de l'avion qui avait atterri, et tout.
Elle dit: «Est-ce la vérité, Parson?»
Je dis: «Oui.»
Elle dit: «Eh bien! je savais qu'Il ne me laisserait
pas tomber.»
J'ai dit: «Offrez la prière, Tantine.»
149 Et elle s'est mise à genoux là, et parlez-moi
d'une prière! Oh! frère, comme cette vieille sainte pouvait se saisir
de Dieu! Elle a prié, là, au point où des larmes coulaient de ses yeux.
J'ai levé les yeux, et il continuait à dire: «Ooh!»
Et j'ai dit: «Maintenant, Tantine, je vais prier.
Vous, avec moi.»
150 J'ai posé mes mains sur ses pieds. J'ai dit:
«Père Céleste, mon avion est parti, pour autant que je sache. Et voici
cette pauvre vieille mère qui pleure pour son bébé. Et, autant que je
sache, c'est ici que Tu m'as conduit. Je prie que Tu sois
miséricordieux envers lui.»
151 Et juste à ce moment-là, je l'ai entendu dire:
«Maman, oh! maman!»
152 Elle se leva et essuya les larmes de ses yeux,
elle dit: «Oui, chéri. Le bébé de maman se sent mieux?» Elle commença à
lui tapoter sur la tête.
153 Il dit: «Maman, il y a de la lumière dans la
pièce. Il y a de la lumière dans la pièce.»
154 L'amour souverain! Quand l'amour Divin a été
projeté vers le coeur de Dieu, la grâce souveraine a dû répondre à sa
place. Quand je pense qu'une pauvre mère, là-bas, tenant bon dans la
prière à Dieu, et tout ceci! Et alors, qu'est-il arrivé? Dieu, par Sa
grâce; Dieu, dans Sa miséricorde, allait faire descendre un avion du
ciel et le tenir au sol, pour répondre à la prière d'une pauvre femme
de Couleur ignorante; quand l'amour Divin fut projeté. Peu importe
combien elle était pauvre, combien elle était noire, combien jaune elle
était, ce qu'elle était; quand l'amour Divin est projeté, la grâce
souveraine doit prendre la relève. Cet amour de cette vieille mère, là,
comme elle pleurait!
155 Et ce garçon, quelques... environ deux ans plus
tard, j'allais vers le sud, j'étais en train, allant vers le sud. Je
suis descendu et je suis allé là, pour me chercher un hamburger. Ils en
voulaient soixante-dix ou quatre-vingts Cents, dans l'avion, et je...
dans le train. Et je pouvais en acheter un pour environ vingt Cents
dans une petite échoppe. Je suis descendu du train et j'ai commencé à
marcher. Il y avait quelqu'un avec une casquette rouge qui a dit:
«Hello, Parson Branham!»
J'ai regardé autour de moi. J'ai dit: «Bonjour,
fiston.»
«Eh bien! dit-il, ne me connaissez-vous pas?»
J'ai dit: «Non, je ne crois pas.»
156 Il dit: «Vous vous souvenez, il y a environ deux
ans, quand vous êtes venu et que vous avez prié pour moi? Et ma maman,
là?»
J'ai dit: «Êtes-vous ce garçon?»
157 Il dit: «Oui, monsieur, Parson Branham.» Il dit:
«Je suis entièrement guéri. Mais, je suis sauvé maintenant. Je suis un
chrétien.»
158 La grâce souveraine! Oui, monsieur. Frère! Je
vous dis, quand la grâce... quand Dieu voit l'amour projeté, la grâce
doit prendre sa place.
159 Il y a quelques semaines, chez moi, vous vous en
souvenez; beaucoup d'entre vous; bien, ce vieil opossum qui était
couché là. Alors que, cette jeune fille, non loin d'ici, avait noyé son
bébé. Et alors que Dieu lui avait donné un bébé, elle ne voulut pas
l'élever, et elle l'enveloppa d'une couverture et le jeta là, et le
noya dans le fleuve. J'ai dit: «Ce n'est pas une mère. C'est plus bas
qu'un chien. Un animal ne ferait pas cela.»
160 Et si l'amour souverain de Dieu va, a pu être
projeté envers un animal, combien plus peut-il être projeté envers un
homme ou une femme? C'est exact.
161 Et cette vieille mère opossum, se frayant un
chemin dans cette avenue, vous connaissez l'histoire. Et comment elle
est arrivée et s'est couchée sur mes marches, pendant vingt-quatre
heures, sans que je sache rien à ce sujet.
162 Frère Woods et les autres, assis là au fond, et
soeur Woods, avec de la pitié pour cette chose, dit: «Frère Branham,
pourquoi la laissez-vous souffrir? Et ces petits bébés opossums qui
buvaient son lait; alors qu'elle est là, morte?» Elle dit: «Pourquoi ne
les tuez-vous pas, Frère Branham, ou ne détruisez-vous pas la vieille
mère?»
Elle n'était pas tout à fait morte. Elle était...
Vous pouviez lui donner un petit coup, et elle... elle faisait un
mouvement. Et elle s'était étendue là, toute la nuit.
163 Et le jour suivant, la petite Becky là, elle est
sortie, elle a dit: «Papa?» Eh bien! le lendemain matin, quand il
commençait à faire jour, elle dit: «Que vas-tu faire avec cet opossum,
papa?» Elle dit: «J'y ai pensé toute la nuit.»
164 Et je dis: «Moi aussi, Becky.» Je suis allé dans
la chambre. J'ai dit: «Retourne et va au lit, chérie. Il est trop tôt
pour te lever.»
165 Je me suis assis là, dans mon bureau. Je pensais:
«Eh bien...» Je pensais: «Je dois faire quelque chose avec ce vieil
opossum. Je ne sais que faire.»
166 Alors j'entendis une Voix, quand je ne
L'attendais même pas.
167 Directement là, comme les pommes qui étaient
descendues ce matin-là, pour Frère Hall, quand il fut guéri du cancer.
Là où les malades et les affligés ont été guéris. J'étais assis dans le
petit bureau.
168 J'entendis une Voix disant: «Je l'ai envoyé vers
toi. Elle s'est couchée comme une dame, pendant vingt-quatre heures,
attendant son tour pour la prière. Et tu ne M'en as jamais dit un mot,
à ce sujet.»
169 J'ai dit: «Eh bien! je ne savais même pas.» J'ai
dit: «Eh bien! Tu veux dire que Tu as envoyé cet opossum là?»
170 Je pensais: «Qu'est-ce qui se passe avec moi?
Suis-je en train de me parler à moi-même?» Je me suis surpris en train
de me répondre à moi-même.
171 Je suis sorti, la petite Becky continuait à
regarder par la porte. Je me suis avancé jusque là. Ce vieil opossum
était là, avec de la rosée sur elle, et tout le reste. Je dis: «Père
Céleste, si Tu as envoyé ce pauvre opossum ignorant, si Tu l'as envoyé
ici; d'une manière ou l'autre, Tu as mis dans mon coeur de l'amour pour
elle, une mère que je n'ai pu tuer, je ne pouvais tuer ses bébés. Et la
grâce souveraine, pour apprendre aux autres personnes, afin qu'ils
sachent, l'a amené ici. Et Dieu, je prie dans le Nom de Christ, que Tu
le guérisses.»
172 Et ce vieil opossum, avec les pattes remplies de
vers, et qui les tirait ainsi derrière lui; elle était gonflée, deux
fois sa taille; elle tint debout sur cette patte. Et elle prit les
bébés dans sa poche, et se mit à marcher tout aussi normalement que
n'importe quelle bête que vous avez vue marcher. Elle se retourna, vers
moi; comme en se retournant pour dire: «Merci, gentil monsieur.» Autant
que je sache, ils sont vraiment heureux, elle et ses bébés, aujourd'hui.
173 Pourquoi? Quand l'amour Divin est projeté, la
grâce souveraine prend sa place. Oh! la la! Frère, Soeur, il n'y a
qu'une chose à faire dans votre vie, c'est: «Aimez le Seigneur votre
Dieu de tout votre coeur, de toute votre âme, de toute votre force, de
tout votre esprit», et de croire que chaque Parole qu'Il a dite est la
Vérité. Et quand vous arriverez au bout de votre route, là où vous ne
pourrez plus aller plus loin, alors, la grâce souveraine sera projetée.
174 Comment aurai-je pu lui parler, alors qu'elle
était couchée là, quand les frères Mayo m'avaient abandonné, se tenant
sur le côté de l'entrée, là, avec Frère Cox près de moi, se demandant
ce qui arrivait. Je ne pouvais même plus le supporter. Mais...