Le Berger De La Bergerie
1 Prions juste un moment avant de nous asseoir. Notre Père céleste, nous Te remercions du privilège que nous avons de venir, de nous assembler en Ton précieux Nom, une fois de plus, de ce côté-ci, où aura lieu la seconde Venue du Seigneur Jésus, dans l'assemblée des enfants rachetés par le Sang du Seigneur Jésus ; nous Te remercions pour eux.
Et nous Te prions, ô Dieu, de nous gratifier de Ton sourire par toutes Tes bénédictions au cours de la semaine prochaine. Accorde que ce soit une très grande réunion, ô Dieu, non pas à cause de nous, mais à cause du besoin qui est si grand. Le péché est partout. Et je prie que quelque chose puisse être fait au courant de cette semaine, ici à Chicago, qui fera éclater un véritable réveil qui s'étendra sur toute la ville. Accorde-le, Père. Nous ne pouvons que demander avec foi en croyant. Bénis tous les malades et affligés, puissent-ils être guéris ; que de grandes choses se produisent, alors nous Te donnerons humblement gloire. Au Nom du Seigneur Jésus, Ton Fils, nous le demandons. Amen. Asseyez-vous.
2 Bonsoir, mes chers amis en Christ de Chicago. Je considère ceci comme un grand privilège d'être ici ce soir sur l'estrade, dans cette belle église de Philadelphie que je considère comme un second chez moi. Je suis toujours heureux d'être ici et de servir le Seigneur ici avec vous, assemblée de croyants. J'ai toujours. Ça n'a jamais été pour moi un fardeau que d'aller à une quelconque réunion, et c'est toujours une joie ; mais il semble que c'est juste une - une grande détente pour moi de venir chez les gens de Philadelphie, à l'église d'ici à Chicago. Il est très facile de vous prêcher, à cause de votre foi, à cause de votre gentillesse et à cause de votre aimable pasteur, frère Boze. Et j'étais heureux ce soir d'avoir rencontré frère Rasmusson, un très cher ami. Je pense qu'il est le pasteur associé ici. Et celui-ci, un autre frère à nous [Le frère dit : "Hutchinson" - N.D.E.] Hutchinson de Philadelphie, [ "Brooklyn"] ou plutôt Brooklyn. Excusez-moi. Et d'avoir cette belle communion avec vous tous.
3 Maintenant, je - je ne pense pas que vous puissiez le remarquer en moi, si je ne vous disais pas que j'étais fatigué. Je ne sais pas pourquoi. Je pense que je suis toujours fatigué. C'est du fait d'être constamment de service, c'est ce qu'il en est. Et je me souviens, il y a des années, lorsqu'une fois j'ai eu la vision de… lorsque j'étais très perplexe, non pas perplexe, mais je dirais peut-être très découragé, ou plutôt… Après que j'ai perdu mon épouse et mon bébé, j'ai vu mon bébé, elle était devenue une jeune dame dans la gloire. Et il y avait là une chaise dans notre maison, et vous connaissez l'histoire, et j'ai dit : "Je suis très fatigué", ai-je dit à mon épouse.
Elle a dit : "Oui, tu es tout le temps parti, Billy." Elle a dit : "Assieds-toi et repose-toi un peu." C'est ce que j'attends, un moment où je peux m'asseoir et me reposer un peu. Et j'aimerais tirer une chaise à côté de toutes vos chaises (vous voyez ?), et nous allons beaucoup communier. Pas le temps d'arrêter, le soleil ne se couche jamais, point de chagrin, ou plutôt pas d'empressement, on n'est pas non plus pressé, l'éternité commence simplement - simplement… Et ainsi nous - nous serons plutôt simplement passés du temps à l'éternité. Nous attendons donc ce jour-là.
Et pendant qu'il fait jour, je pense à ceci, je garde ceci à l'esprit, et c'est bon que vous vous rappeliez, chers chrétiens, que ceci est le seul moment, de tous les âges sans fin au-delà du temps à venir, où vous avez jamais le privilège de travailler pour Jésus-Christ. Ceci est l'unique jour. Et nous ne savons pas si nous serons ici demain. Voyez ? Je pense donc qu'il nous appartient de nous y mettre de tout notre être et de faire tout ce que nous pouvons.
4 Et je regarde tout autour ; l'autre jour, quelqu'un a dit, il a dit : "Billy, il ne faut pas trop te fatiguer." Un ami médecin, il a dit : "Maintenant, te voilà encore parti."
J'ai dit : "Mais, Doc, l'ennui... " Et il s'est fait que j'ai regardé. Je vois Tommy Hicks sortir maintenant du champ missionnaire, épuisé. Gayle Jackson et ce jeune King, son nom m'échappe, le jeune King, je… Comment s'appelle-t-il encore ? Je dois le connaître, mais… je le connais sûrement, mais je ne me souviens plus de son prénom. [Un frère dit : "Paul." - N.D.E.] Paul Cain, excusez-moi. Merci, frère. Paul Cain, et beaucoup d'entre eux, les garçons essaient de travailler très durement (Vous voyez ?), et quand vous le faites, vous vous épuisez rapidement.
5 J'ai donc eu des services presque un mois d'affilée avant d'avoir un instant de répit. Nous partons d'ici, directement pour la Colombie ; et de la Colombie à Spindale ; de Spindale à - à Charlotte ; et de Charlotte à Anchorage, en Alaska, et puis, nous rentrons immédiatement, et nous allons au Cadle Tabernacle, nous retournons directement à Minneapolis, puis outre-mer. Ainsi nous sommes vraiment… immédiatement... juste d'un endroit à un autre. Eh bien, j'aime faire cela. Si vous tous vous voulez bien prier pour moi, je vais simplement continuer à être parti. C'est - c'est…
Il n'y a pas longtemps, je parlais à un prédicateur ; il a dit : "Eh bien, Frère Branham, mieux vaut se tuer de travail que de croupir dans l'oisiveté, comme de se mettre là à se nourrir des désirs."
6 Ainsi, je me disais ce soir qu'il serait bon que nous fassions encore connaissance, ou plutôt que nous communions un peu autour de la Parole, et je vous demande une petite faveur, si je peux juste avoir une prière de l'assemblée pendant une ou deux soirées. Je me suis presque tiré de la situation au Mexique, la semaine passée, et je voudrais vous parler de la réunion. J'avais pensé venir directement ici, mais je suis allé chez moi dimanche alors que je ne devrais pas le faire, pour ne jamais avoir ce genre de réunion. Mais mon cœur est très ému. Combien ont lu la vision, voyons ? C'est... Certainement, vous tous avez lu cela. Et mon cœur attend cela impatiemment. Maintenant, notez bien ce que je vous dis. Voyez ? Et ici ce n'est pas moi ; c'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez ? Ça sera l'événement le plus glorieux de tous, juste là quand le Seigneur… quand il nous faut tenir les services de cette manière-là. Et j'attends impatiemment comme un enfant attend la Noël, pour arriver à cela.
Et je me disais que peut-être dimanche je pouvais tenir un service de ce genre dans mon tabernacle. Et puis, quand je - je l'ai fait, beaucoup s'étaient entassés là à l'intérieur au point que je ne pouvais pas le tenir. Nous avons donc dû l'avoir juste comme une ligne de prière normale, telle que nous l'avons ici, ou que sais-je encore. C'était hier, et cela - cela me déchire terriblement. Ainsi ce soir, cela fait que je sois plus fatigué que jamais.
7 Et puis, je pensais pouvoir vous parler de notre - notre agréable voyage là au - au Mexique, lire un passage de l'Ecriture, vous parler du Seigneur et voir simplement ce qu'Il veut que nous fassions. Je... ass... Je vous assure ; j'apprécie le Seigneur Jésus et Ses bénédictions comme plus que jamais de ma vie. Et si je sais que nous vivons dans ce jour d'aujourd'hui, et que beaucoup de choses que comporte la vie missionnaire… particulièrement ces missions d'évangélisation, à travers le monde où tous nous sommes exposés à toutes sortes de maladies et - et tout, vous - vous… Je vous assure que c'est dur. Vous ne pouvez pas vous l'imaginer, mais c'est une chose vraiment difficile lorsqu'il vous faut aller chez des gens où vous devez manger ce qu'ils ont et compter sur Dieu ; il y a tout là-dedans. Et - et vous ne vous en rendez pas compte. La lèpre et - et tout ce à quoi on peut penser… Et là-dedans même, c'est la saleté, la souillure et tout. Vous - vous devez simplement fermer les yeux et manger de toute façon, parce que vous êtes en train de les gagner à Christ. C'est vrai. Et c'est un plaisir de le faire pour Lui qui est mort pour vous et pour moi. C'est vrai. Et de savoir que Son amour nous a été si favorable…
8 Nous sommes ici dans ce faible vieux corps, une maison de pestiféré. Mais pensez-y, après que cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous entrons directement dans une autre juste là au-delà du voile. Nous n'y resterons pas longtemps. C'est vrai. Nous n'avons pas été créés pour celle-là. Nous n'avons pas été créés pour être des Anges. Dieu a des Anges, mais nous, nous avons été créés hommes et femmes. C'est donc comme tels que nous allons… nous devons être… Et quand nous sommes là dans ce corps céleste, nous ne sommes pas dans notre état normal. Vous voyez ?
Et quand autrefois Israël était en dehors de sa patrie, en Egypte, ils avaient un mémorial devant eux comme quoi un jour ils retourneraient dans leur patrie. Savez-vous ce que c'était ? Les os de Joseph. Et quand ils passaient tout près, peu importe combien ils étaient fatigués et abattus qu'ils étaient, ils regardaient à l'intérieur et voyaient les os de ce prophète ; ils savaient qu'un jour quelqu'un viendrait et que ces os seraient emportés ; et ils seraient en route vers la terre promise, de retour à la maison.
9 Et quand nous quitterons cette vie et entrerons dans la vie de l'au-delà, nous... Je pourrais serrer… Je ne pourrais pas vous serrer la main, car vous n'aurez pas de main.
Voyez, toutes choses dans la Bible vont par trois ; nous le savons. Et il y a trois Venues du Seigneur. La première Venue est passée ; la deuxième Venue, c'est l'enlèvement, quand nous Le rencontrerons ; et la troisième Venue, c'est quand Il vient pour dominer et régner pendant mille ans. Et tout marche par trois comme Père, Fils et Saint-Esprit, le seul Dieu en trois. Et les œuvres de la grâce en trois et tout. Tout, dans les Ecritures, marche par trois. Maintenant, trois, sept, douze, vingt, vingt-quatre, quarante et cinquante.
10 Et en sortant de ce corps, il n'est pas révélé aux hommes quel genre de corps ce sera. Nous ne savons pas ce que ça sera ; cela n'est pas révélé. Et puis, ce n'est pas encore notre état normal. Nous avons été créés ici sur cette terre pour être des êtres humains, pour manger et boire et vivre et aimer et… C'est pour cela que nous avons été créés. Et nous aimons nos foyers. Vous aimez cela. N'aimez-vous pas être ici ? Des fois, la maladie et toutes ces choses horribles rendent cela si misérable, mais tout cela aura disparu à ce moment-là. Mais rien qu'à y penser, vivre ici jeune et dans la jeunesse, et sans que personne ne s'inquiète de quoi que ce soit, juste aimer jusqu'à la perfection, quel - quel temps ! Eh bien, ce n'est pas un rêve mythique ; cela arrivera. C'est vrai, c'est la Bible.
Et alors, nous sortons de ceci pour entrer de l'autre côté afin d'entrer dans ce corps-là, et nous resterons là. Et pendant que nous serons là en train de nous promener, nous regardant les uns les autres, nous ne pourrons pas nous serrer les mains, car nous n'aurons pas ce genre de mains. Nous ne dormirons pas, car nous n'aurons pas ce genre de corps. Nous ne mangerons pas, parce que nous n'aurons pas besoin de ce genre de nourriture pour fabriquer les cellules de sang et tout. Mais nous serons dans un corps différent. Mais la Bible dit que les âmes sous l'autel étaient toujours en train de crier : "Seigneur, jusqu'à quand ?" Jusqu'à quand, pourquoi ? Pour retourner et devenir chair de nouveau.
11 Et ainsi nous avons un mémorial là pendant que nous passons à côté, comme Israël en avait ; le Seigneur Jésus-Christ sera assis là dans la splendeur de Sa beauté sur le trône de Dieu dans un corps physique, lequel fut ressuscité des morts comme un mémorial comme quoi un jour, nous retournerons dans notre patrie. Un jour, Il se lèvera de ce trône, le trône de Son Père. Il n'est pas assis sur Son propre trône ; Il est assis sur le trône du Père. Et Il reviendra, et Son trône doit devenir le trône de David sur la terre. C'est pourquoi, quand Il reviendra, Il se lèvera, et nous… Il se lèvera ; Ses manteaux tomberont autour de Lui et Il reviendra sur la terre ; je vous assure, ce sera un temps merveilleux. Vous parlez des gens émotionnels et qui crient ! Attendez simplement ce temps-là. Pensez-y simplement, ce moment où nous retournerons.
12 L'autre jour, je parlais à certains amis, et j'ai dit : " Vous savez, quand Dieu avait rencontré Abraham et qu'Il avait parlé à Abraham dans un corps de chair..." C'était environ huit cents ans avant la naissance de Christ. Et j'ai dit : "C'était le Dieu tout-puissant. La Bible dit que c'était Dieu. Et Il était là accompagné de deux Anges, et Il a eu faim quand Il était ici. Il a mangé la viande de veau ; Il a bu du lait de vache, et Il a mangé du pain de maïs beurré." C'était un très bon repas. Dieu accompagné de deux Anges, savourant un repas terrestre. C'est vrai.
Ils ont dit : "Maintenant, Frère Branham, où a-t-Il eu ce corps?"
J'ai dit : "Ne Le limitez pas à votre foi, Frère."
Oh ! la la ! De quoi est fait ce corps ? Oh ! du pétrole, de la potasse, des lumières cosmiques, et des atomes qui tiennent cela ensemble ; c'est tout. Autrefois, ce n'était rien ; à présent c'est quelque chose; et cela rentre au néant et ensuite cela retournera de nouveau à un état glorifié. Voyez ? Ce n'est qu'un processus comme celui du développement d'une photo.
J'ai dit : "La seule chose que Dieu a faite, Il a dit : 'Vous savez, on Me dit que là à Sodome et à Gomorrhe, c'est plein de péchés. C'est le moment de donner un exemple de ce que nous allons faire dans le monde au temps de la fin." Il a donc simplement dit : "Viens ici, Gabriel ; viens ici, Michaël." Et Il [Frère Branham souffle. - N.D.E.] "Entre dans ce corps." C'est tout. Il a simplement réuni la lumière cosmique et tout, et Il est entré dans ce corps-là et a mis un… Et Il en a fait un pour Lui-même. Et quand Il était ici, Il a eu faim comme un homme, Il a mangé comme un homme, et s'est volatilisé devant Abraham (C'est vrai), Il est de nouveau retourné à Dieu. Certainement.
13 Maintenant, si c'est là le genre de Dieu que nous servons, si c'est l'omnipotence que nous servons, alors de quoi devons-nous nous inquiéter ? Que ce soit la maladie, ou la mort, ou le chagrin, ou la corruption, ou que sais-je encore… Un de ces jours, tous ces vieux atomes qui tiennent ce corps ensemble vont se désintégrer, et nous allons retourner à la poussière, et la lumière va retourner, toutes les autres parties de la terre vont retourner à leurs places ; mais à la résurrection, Il va [Frère Branham souffle. - N.D.E.] "Entre là-dedans." et…?… Ça sera ainsi. Oui. N'est-ce pas merveilleux ?
Et cette même promesse que ce même Dieu a faite se manifeste à nous dans la réunion, bénit nos cœurs, nous donne Sa Parole, nous change des pécheurs en Ses enfants, en des saints, nous lave dans Son Sang, nous guérit quand nous sommes malades, nous dit à l'avance les choses qui doivent arriver, nous révèle nos péchés et nos iniquités, et chaque fois de façon parfaite. Nous n'avons donc de quoi nous inquiéter, n'est-ce pas ? Nous sommes simplement en route vers notre maison. Alors pourquoi ne voudrions-nous pas aimer, servir et chérir un tel Homme. Sachant que... Nous ne savons pas à quel moment le cœur battra pour la dernière fois, et que ce sera fini pour nous ; et quitter cette vie, c'est entrer dans Sa Présence.
14 Et ensuite Il - Il sait que nous n'étions pas créés des anges ; nous ne savons pas nous réjouir comme les anges ; nous sommes loin de la patrie, mais un jour. Pourquoi loin de la patrie ? Nous avons été formés de la poussière de la terre. Et Dieu a voulu que nous soyons des créatures terrestres. C'était le péché qui a été la cause de notre mort et qui nous éloigne de cette terre. C'est le péché qui a causé la vieillesse et la maladie. Mais quand tout sera aboli, Ses créatures ainsi que les délégués de Son grand domaine seront comme ils l'étaient dans le jardin d'Eden, sans péché, sans mort, sans chagrin, sans maladie, sans crise cardiaque, sans souci. Ne sera-ce pas merveilleux ? Et nous sommes en route là, très certainement.
15 Un de ces jours, je voudrais dresser cette tente que le Seigneur va me donner, juste en dehors de ce côté de Chicago, ici quelque part, et avoir une série de réunions de six ou de huit semaines. Nous allons entrer directement dans la Bible et enseigner ces choses et laisser la guérison divine tranquille, y aller juste une ou deux fois par semaine, ou quelque chose de ce genre, et enseigner simplement la Bible.
Eh bien, ces choses ne sont pas des mythes. Je suis en contact avec le Saint-Esprit, je suis un illettré. C'est vrai. Je ne vaux rien. Mais quand je viens sous Son Onction et qu'Il m'emporte et me montre des choses, j'ai une confiance parfaite que c'est tout à fait vrai, car cela n'a jamais failli. Et Il ne dira jamais rien qui est en dehors de ce qui est écrit dans cette Bible. C'est vrai. Observez cela. Tout au long des années, Il n'a jamais dit quoi que ce soit à n'importe quel moment, sans que cela soit absolument basé de façon scripturaire sur la Bible, AINSI DIT LE SEIGNEUR.
16 Il y a quelques soirées, je venais de là en... il y a plutôt quelques mois, je venais de la réunion. Et j'étais découragé en Californie. Et je... Mes réunions avaient échoué lamentablement. Et j'avais promis au Seigneur que si jamais Il me décevait… Quand j'ai commencé dans le champ missionnaire, je sais qu'il y a deux ou trois choses auxquelles un ministre doit veiller, et l'une, c'est l'argent. Donc l'argent, la popularité, les femmes et autres… J'ai donc fait une promesse à Dieu. J'ai découvert que Samson était tombé à cause de Delila, la - la femme. Et j'ai découvert que Saül était tombé à cause de l'orgueil. Et Balaam était tombé à cause de l'argent. Et toutes ces choses ont été écrites pour qu'elles nous servent d'exemples, dit le Livre des Hébreux. Et nous veillons à ces choses et gardons la protection du Sang entre nous et ces choses.
Et chemin faisant, j'ai dit : "Maintenant, Seigneur, je sais que ceci coûtera beaucoup d'argent, mais je suis venu au monde nu et je retournerai nu( voyez ?), et viens-moi en aide." Et par la grâce de Dieu, cela a été merveilleux. Et ainsi j'ai dit : "Si jamais Tu me délaissais au point où je serai obligé de mendier de l'argent ou de faire pression pour les offrandes, je - je vais quitter le champ missionnaire." Et je l'ai fait quand je - j'avais manqué six mille dollars, ou plutôt quinze mille dollars, en Californie. Et le.
17 Je suis rentré à la maison, et le lendemain matin, Il m'est apparu dans une vision et m'a dit ce que vous avez lu. Observez simplement comment cela est arrivé. Je ne savais pas que c'était des enfants mexicains qui descendaient, tel que vous avez lu la vision. Je - j'ai dit que c'étaient juste des enfants de couleur. J'étais censé me rendre en Arizona à ce moment-là et dresser une tente. Et je me rendais là-bas pour avoir, d'après la vision, ce petit endroit sur le côté, juste comme Il me l'avait dit et comment le faire, là où je ne serai pas en présence des gens. Vous… Le micro donnant dehors, parlant de tout cela. Il a dit : "Ceci ne sera pas imité." Ainsi donc, quand cela sera placé sur le côté. Mais alors vous pourriez entendre cela… Mais ce sont les gens qui font opérer ce don. Ce n'est pas moi ; Je n'ai rien à voir avec cela. Je m'abandonne simplement, et vous faites opérer cela vous-même. C'est votre foi qui fait cela. Et c'est donc à ce moment-là que lorsque toute la foi commence à s'élever, vous pouvez donc vous représenter ce que cela fait pour vous. Et je peux rester juste pour un petit nombre. Mais dès que j'ai la chose bien en ordre et disposée de cette manière-là, je peux en prendre des centaines et des centaines chaque soir. Et le Seigneur fera de très grandes choses. Prenez note de cela. Et je me suis dit : "Commencer cela à Phœnix, c'est bien."
18 Et alors, il s'est fait qu'à peu près au moment où je devais me rendre à Phœnix, notre frère Allen s'y est rendu, et il a dit : "Je ne sors pour personne." Ainsi, il - il est simplement resté là.
J'ai donc dit : "Oh, je n'irai pas, notre frère est là-bas. Cela ne serait pas correct, deux réunions au même moment." Ainsi, j'ai dit : "Eh bien, je n'irai donc pas." Avant de m'engager pour quelque chose, je laisse simplement faire. Je laisse faire la chose comme cela pendant un moment.
Et alors monsieur Arganbright est venu et m'a parlé, disant : "Dites donc, et si on allait au Mexique ?" Frère Joseph a essayé de me convaincre pour que j'aille au Mexique.
J'ai dit : "Non. Je ne veux pas aller au Mexique."
Alors quelque chose a dit : "Va au Mexique."
Ainsi j'ai dit : "D'accord, j'ai pris des dispositions."
Les gens ont dit : "Nous avons un hall là-bas," une sorte de grand hall. Et le soir suivant, j'étais chez frère Wood et j'ai dit : "Vous savez quoi ? C'est exactement cela. Des petits enfants de couleur, en lambeaux, c'est ça." Et frère Arganbright était censé préparer cela. Vous avez lu la vision. Et j'ai donc dit : "C'est simplement... "
19 Mais le hall, ça me tracasse un peu, car c'était plutôt dans un endroit panoramique, et quelqu'un avait congédié la réunion, et personne ne savait qui l'avait fait. J'ai dit : "C'était étrange." Ainsi quelques soirées après cela, il a encore téléphoné et il a dit : "Dites donc, nous avons eu une grande arène." Il a dit : " C'est ce que nous allons avoir, une grande arène." Le panoramique est tout à fait juste. J'ai dit : "Oh, la la ! c'est bien ça, juste ce que le Seigneur a dit." Et j'ai dit : "Ce qui me dérange, c'est que quelqu'un a congédié la réunion, et personne ne savait qui l'avait fait." Ainsi… Eh bien, nous sommes allés là au Mexique, comme nous étions censés y aller. Et nous sommes arrivés là-bas, et frère Arganbright a dit : "Bon, je vais vous rejoindre sur la seizième, à l'hôtel Regas." Je suis allé à l'hôtel Regas ; il n'était pas du tout là, aucune disposition, rien. Frère Moore et les autres ont dit: "Eh bien, qu'en est-il de ceci ?"
J'ai dit : "Je ne sais pas." J'ai dit : "Mais nous ne sommes pas enregistrés ?"
"Non." Ainsi nous sommes entrés, nous avons quand même eu quelques chambres. Je ne savais rien à ce sujet ; beaucoup de nos amis américains que je connaissais là-bas au Mexique attendaient. Et alors j'ai dit : "C'est bien ce que ça sera, ça sera certainement la volonté de Dieu. Mais je ne peux simplement pas comprendre… Et j'ai dit…
20 Vous rappelez-vous que j'ai dit dans la vision qu'il surviendrait une petite pluie, vous rappelez-vous cela ? Eh bien, ensuite lorsque - lorsque nous nous sommes mis en route pour l'arène… Il ne pleut jamais au Mexique en cette période de l'année, comme vous le savez, dans la ville de Mexico, là-haut dans la montagne. Et il survint une pluie et le chauffeur dit : "Dites donc ! Ceci ne nous arrive pas très souvent."
J'ai donné un coup de poing à frère Moore ; j'ai dit : "Qu'en est-il de ça ?"
Et il a dit : "Bon, Frère Branham, si je ne croyais pas dans cela, je croirai maintenant."
Et j'ai dit : "Observez ; nous allons avoir des ennuis quand nous arriverons à cette arène." Et quand nous sommes arrivés là, il n'y avait aucune âme (c'est vrai), personne là-bas. Quelqu'un avait congédié la réunion, et on ne savait pas qui. Nous avons cherché à contacter une personne, une autre ; nous avons passé toute la soirée à téléphoner en Amérique et nous ne sommes même pas parvenus à joindre quelqu'un. Finalement j'ai joint - joint mon épouse, et elle a dit : "Frère Vayle" de l'église baptiste a dit qu'il a été en Californie et que la réunion a été congédiée." Elle a dit : "Les gens n'ont pas su qui l'avait fait."
Alors, Frère Moore a dit : "Je saurai qui l'a fait."
J'ai dit : "Très bien, je vais juste dire ceci : Vous ne savez pas qui l'a fait, et vous ne saurez pas qui l'a fait." Vous voyez ? Ainsi, il a cherché toute la journée, il n'a trouvé personne qui en savait quelque chose. Personne ne sait rien jusque-là. C'est parce que la vision l'avait dit.
21 Je suis rentré chez moi. Eh bien, je suis sorti pour prier. Beaucoup de gens étaient là, et frère Arganbright s'est approché, venant de là, et il a dit : "Frère Branham, voici le Général Valdena et beaucoup de gens du gouvernement mexicain, et c'est la première fois dans toute l'histoire du monde, ou plutôt dans l'histoire du Mexique qu'un protestant soit invité par le - par le gouvernement." Et il a dit : "Vous devez venir."
Et alors j'ai dit : "Laissez-moi prier d'abord." Je suis retourné dans les bois et j'ai prié. Et le lendemain matin, avant le jour, le Seigneur est venu vers moi et m'a donné une vision. Et Il m'a dit : "Retourne au Mexique ; Je serai avec toi."
Aussi suis-je retourné au Mexique le jour suivant. Et quand nous sommes allés là-bas… Vous pouvez vous imaginer combien les gens sont pauvres ; c'était pitoyable. Et on ne nous a pas permis d'avoir accès aux bureaux de la rédaction. Toutes les annonces, on ne nous a pas permis de les publier, ni quoi que ce soit. Et on ne nous a pas permis d'avoir un endroit où installer les gens. On nous a juste accordé un très grand terrain d'environ deux pâtés de maisons… un peu rectangulaire, comme cela, et tout le monde devait rester debout. Je pouvais prendre trois soirées de réunions pour eux. Et - et nous avons atteint la moyenne de la dimension du terrain que nous avions. Et un grand nombre de gens se tenait à cet endroit, six personnes se tenaient debout à tous les trois pieds carrés [ 2787,09 cm²]. Eh bien, ils restaient debout du matin jusqu'à vingt-deux, vingt-trois heures, ils se tenaient simplement là. Mais ils sont habitués à se tenir debout, en guise de sacrifice.
22 Une femme rampait là dans la rue, venant d'auprès d'une certaine femme morte, une certaine sainte. J'espère que je ne blesse pas vos sentiments, ami catholique. Mais les gens y vont, et elle pardonne leurs péchés, ou peu importe ce qu'ils font, elle fait pénitence, et cette pauvre femme rampait sur des pierres comme cela et saignait ; et ses deux petits enfants la suivaient derrière, et son pauvre vieux père était épuisé. Elle donnait l'air de ne pouvoir y parvenir, mais elle a rampé simplement, kilomètre après kilomètre sur des pierres, par pénitence pour ses péchés. Alors qu'est-ce que le Sang de Jésus-Christ a à faire à ce sujet? Voyez ? Ainsi donc, c'est une situation lamentable, bien entendu. Et ce gouvernement là-bas, lorsque les gens…
Un groupe de gens est allé vers eux et a dit : "Ne permettez pas que cet homme vienne ici." Il a dit : "C'est un fanatique."
Il a dit : "Eh bien, a-t-il dit… " Le gouverneur a dit : "Il jouit d'une très bonne réputation." Il a dit : "Eh bien, a-t-il dit, il prêche dans le monde entier ", dit-on.
Il a dit : "Eh bien, vous voyez, a-t-il dit, il ne fait que soulever les gens."
Il a dit : "Eh bien, a-t-il dit, c'est très bien. Peut-être que les gens ont besoin d'un soulèvement." C'était donc le gouverneur. Ainsi il a dit... Et le Général Valdena se tenait là, vous savez, juste… Il a dit : "Eh bien, a-t-il dit, je vous assure, a-t-il ajouté, il va déranger la sainte église s'il vient."
Il a dit : "Eh bien, peut-être qu'elle a besoin d'être dérangée."
Il a dit : "Eh bien… Mais comprenez, Monsieur, dit-il, que ceux qui sortent pour voir quelqu'un de ce genre, ce ne sont que les ignorants, des gens illettrés."
Il a dit : "Pourquoi sont-ils des ignorants et des illettrés ? Vous les avez eus pendant des centaines d'années." Cela a réglé le problème. C'était suffisant.
23 Et notre Seigneur Jésus a fait énormément des merveilleuses choses. La première soirée, c'était merveilleux de voir ce qu'Il faisait. Et c'était si facile de s'humilier devant l'Esprit de Dieu, à cause de pauvres gens qui se tenaient là debout, se cognant les uns contre les autres, s'agrippant les uns aux autres, avec ce sable qui soufflait et ce vent qui changeait constamment de directions, et quatre estropiés et des affligés…
Et le jour suivant, la deuxième soirée… La première soirée, le Seigneur a guéri un homme qui avait été aveugle depuis des années. Beaucoup d'autres choses ont eu lieu. Et au cours de la deuxième soirée le - le point culminant fut atteint au cours de la deuxième soirée de la série de réunions, car lorsqu'ils sont allés… Une - une dame, là au fond, là au fond, presqu'à une distance d'un pâté de maisons, hurlait, se débattait, avançait avec difficulté et continuait comme cela, et finalement elle est parvenue à l'estrade. Billy Paul, frère Moore et frère Brown étaient avec moi. Je ne sais pas si frère Alment est dans la réunion ce soir ? Il… Oui, Frère Alment, vous - vous étiez là, n'est-ce pas ? Leo et Gene sont-ils ici ? Ils sont censés être ici. Leo et les autres n'étaient pas là, je ne pense pas. Y avait-il quelqu'un d'autre qui était là à la réunion du Mexique comme témoin ou pour rendre témoignage ? Monsieur Alment était là ; je sais qu'il était là, car il nous a accompagnés jusque là au Texas, et puis il a continué par bus.
24 Lorsque j'ai jeté un coup d'œil, Billy est venu vers moi, frère Moore et les autres ont dit : "Frère Branham, vous ne pouvez rien faire pour elle." Ils ont dit : "Son bébé est mort." Et ils ont dit : "Vous n'y pouvez rien." Ils ont dit : "Elle se fraye un chemin et crie en disant : "Padre." Vous connaissez la signification de ce mot : père. "Padre, padre." Continuant ainsi.
Ainsi j'ai dit : "Frère Moore descendez..."
Billy a dit : "Vous... Elle se débat de toutes ses forces." Il a dit : "Elle a ce bébé-là mort, et il est raide dans ses bras." Et il a dit...
Ainsi j'ai dit… Elle se tenait alors debout aussi proche que l'est ce coin, là dans l'auditoire comme cela. Et j'ai dit : "Maintenant, Frère Moore, descendez et priez pour elle et consolez-la d'une façon ou d'une autre. Elle ne saura pas nous distinguer, nous qui prions." J'ai dit : "Allez la consoler", comme cela.
Frère Moore s'est mis à descendre là ; j'ai levé les yeux et j'ai vu une vision. Et là j'ai vu un médecin secouer la tête et lui dire : "Le bébé est mourant." Et le bébé était effectivement mort. Et c'était la veille qu'il lui parlait ; Et la mère a amené le bébé ce jour-là mais, elle ne pouvait pas atteindre le lieu. Et alors ce jour-là, le - le jour suivant, le second jour de la série de réunions, elle a amené le bébé et s'est tenue là au fond, et c'était une soirée terrible. Et le bébé était mort dans ses bras, il était rigide, raide et mort. Et elle s'est mise à crier. Le bébé était mort peut-être depuis dix, quinze minutes ou peut-être vingt, au moment où elle est arrivée là.
Eh bien, je suis descendu là où le petit enfant se trouvait dans les bras de sa mère, mort. Et j'ai dit... Il m'était impossible de lui parler, pas d'interprète là pour lui parler. J'ai donc pris le petit enfant et lui ai imposé les mains et j'ai dit : "Bien-aimé Seigneur Jésus, regarde seulement le cœur de cette pauvre femme." Et quand j'ai fait cela, le petit enfant se mit à gigoter et à crier ; il est revenu à la vie. Et cela a simplement déchiré le Mexique. Je suis. Et elle le portait là sur l'estrade, un enfant vivant, il n'avait rien d'anormal, parfaitement en vie.
25 Et le soir, au cours de l'appel à l'autel, j'ai fait l'appel à l'autel et j'ai dit : "Je ne veux pas que les membres de l'église reformée lèvent la main ou quelqu'un qui fréquente une église. Je veux simplement ceux qui n'ont jamais fréquenté l'église." Qu'a-t-Il fait ? L'Evangile est un... J'ai dit : "Il a dit aux disciples de Jean :'Allez rapporter à Jean ces choses, ou montrer à Jean : les boiteux marchent, les aveugles voient."
Ils ont rassemblé une quantité de bras, une quantité de béquilles et de bâtons et autres, là où les gens les laissaient. Juste une prière de l'assemblée, quand ils ont vu cela arriver. Voyez ? C'est tout ce qu'ils voulaient savoir, que cela… Il était revenu effectivement à la vie, c'est tout ce qu'ils savaient. Et s'ils. Ils avaient été gardés sous la superstition pendant assez longtemps. Quand ils ont vu le véritable Seigneur Jésus, là dans Sa puissance, et qu'ils L'ont entendu dire là dans l'auditoire: "L'homme assis là avec ceci et cela, il s'appelle", je n'arrivais même pas à prononcer cela, il me fallait épeler cela, et comme cela. Et "Il vient d'une certaine ville. Il est comme ceci, et il a fait ceci. Et ceci devait arriver. Levez-vous, le Seigneur Jésus vous a guéri." Il se levait et s'en allait. " Voici un autre par ici ; son nom, c'est Pedro Untel ; et il vient de tel endroit. Il a fait ceci ou cela. L'autre jour, vous avez fait quelque chose que vous n'auriez pas dû faire, quand vous avez fait ceci et cela. Maintenant, mettez cela en ordre devant Dieu et Dieu vous guérira." Et il s'en allait en poussant des cris. Ces gens ont simplement laissé tomber leurs béquilles et tout, les ont jetées, se sont mis à courir dans tous les sens, louant le Seigneur. C'est vrai. C'étaient des catholiques. Voyez-vous ?
26 Et ainsi quand ce petit… J'ai dit : "Que personne ne lève la main. Je ne peux plus faire d'appel à l'autel, et si vous levez la main, soyez sûr que vous comprenez que vous êtes maintenant en train d'abandonner vos péchés et que vous acceptez Jésus-Christ comme votre Sauveur personnel, après que vous avez vu et déclaré qu'Il a été ressuscité des morts. Il fait encore aujourd'hui les mêmes choses qu'Il fit autrefois." J'ai dit : "Autrefois, vous pensiez qu'il y avait un Jésus, mais qu'Il est mort il y a bien des années et que c'en était fini de Lui. Mais deux mille ans se sont écoulés et Le voici ici même au milieu de vous, faisant la même chose. Les estropiés marchent, les aveugles voient, les pauvres entendent l'Evangile être prêché ; les morts sont ressuscités. 'Et heureux celui pour qui je ne serai pas une occasion de chute', dit le Seigneur Jésus." J'ai dit : "Combien maintenant sur base de... qui n'ont jamais été des chrétiens, qui accepteront le Seigneur Jésus-Christ comme leur Sauveur personnel ?" Et partout... On a estimé près de vingt mille les personnes qui ont accepté en une fois le Seigneur Jésus comme leur Sauveur personnel ; vingt mille en une fois.
27 Eh bien, je crois, si cela a-... je devais annuler la réunion de Joseph, ici, votre réunion, et par la grâce de Dieu, j'ai dit. Il se peut que Satan me mette parfois dans une condition tel que je devais être porté à l'estrade ; mais il faudrait que je sois vraiment très malade, je pense, ou que quelque chose soit arrivé qui ne dépend pas de moi, avant que je ne me résolve à annuler une réunion de ce genre. On a dit que j'ai été à bien des endroits et que j'ai été annoncé ici. Je ne peux pas empêcher cela. Quelqu'un d'autre l'a annoncé. Mais quand je promets, j'aime tenir parole.
28 Et ainsi ils ont dit : "Frère Branham, si vous pouvez rester et faire quinze jours de réunion ici, ça ne fait que se répandre." Et de cette soirée-là à la soirée prochaine, le trou… la foule a triplé, trois fois le nombre de gens qu'il y avait la veille au soir ; ils étaient montés sur les murs et tout. C'était un - un merveilleux… Pas assis, mais debout, ils se tenaient debout l'un à côté de l'autre, comme cela. Une marée humaine.
Et maintenant, qu'est-ce que cela aurait donné en quinze soirées ? Il a dit : "Le Mexique aura reçu un coup en ce qui concerne le christianisme, de sorte que si le monde existe encore dans trois, quatre cents ans à partir de maintenant, les gens parleront encore de cela." Mais j'ai eu la présente série de réunions, mais j'irai un jour au Mexique. Et je voudrais que le Seigneur m'y ramène, afin que j'y retourne comme je l'ai fait autrefois au Nom du Seigneur Jésus. C'est vrai. Qu'est-ce qui a fait cela ? Vos prières. Je me suis rappelé que l'église de Philadelphie priait pour moi concernant ces soirées. Je me souviens toujours de cela, que vous priez pour moi.
29 Maintenant, combien nous devrions être heureux ? Maintenant, concernant la déclaration, j'ai quatre cas différents, quatre témoins, tous les quatre sont en vie aujourd'hui, pour montrer que Jésus-Christ les a ressuscités des morts après qu'ils eurent été morts : quatre cas remarquables. Trois ont été donnés par les médecins. Celui-ci, j'ai... Frère Alment, vous m'avez entendu dire : "Prenez la déclaration du médecin, tout ce que vous pouvez, et que cela soit tout à fait authentique afin que je puisse alors exhiber cela." Vous voyez ? Je sais donc que l'enfant était mort, je - j'ai vu cela et je le savais, je savais que c'est Dieu qui l'a fait. Mais nous sommes dans un jour où vous devez tout prouver. Au temps de la Bible, quand un miracle avait lieu, les gens disaient : "Gloire à Dieu !" Mais aujourd'hui nous devons tout prouver. Nous devons aller là. Si ceci était le temps de Moïse, quand ce buisson brûlait, les gens auraient dû arracher quelques feuilles et les amener au laboratoire pour les analyser et voir ce qui était sur cette feuille pour que - pour qu'elle ne se consume pas. C'est la raison pour laquelle nous n'allons pas très loin, n'est-ce pas vrai ? Si Dieu fait quelque chose, dites : "Gloire au Seigneur, je crois cela et c'est tout ce qu'il faut pour cela", et allez de l'avant. C'est vrai.
30 Et aujourd'hui, nous avons des ostéopathes, des chiropraticiens, la science médicale, la guérison divine, et chacun d'eux semble combattre l'autre. Et maintenant, amis, nous devons admettre que tous aident les gens. C'est vrai. Et pourquoi les gens ne peuvent-ils pas oublier leurs différences pour que nous travaillions tous ensemble pour essayer d'aider notre prochain, notre frère. Et si nous n'avons pas cette sorte de motif, mon opinion c'est qu'il y a un autre motif égoïste derrière. Si je savais que - que boire un verre d'eau ou - ou faire quoi que ce soit, pourrait aider quelqu'un, Dieu sait que je soutiens pour cela ; c'est tout. N'importe quoi, si l'ostéopathie, la chiropraxie, la science médicale, ou quoi que ce soit, peut venir en aide à quelqu'un, louez Dieu pour cela ; je Le remercie de tout mon cœur (c'est vrai.) de ce que nous avons ces choses. Et si nous pouvions simplement ôter ce vieux motif égoïste…
La science médicale dit : "Oh ! elle ne vaut rien, la chiropraxie."
La chiropraxie dit : "Elle ne vaut rien, la mer... la science médicale."
Et tous les deux disent : "Elle ne vaut rien, la guérison divine."
Mettons nos bras les uns autour des autres et disons : "Soyons - soyons des frères ; aidons quelqu'un. Rendons la vie un peu plus facile. Ces gens ne vont pas rester ici très longtemps. Essayons de rendre cela aussi facile pour eux. Si l'ostéopathe, le chiropraticien, qui que ce soit, si cela peut vous aider, allez de l'avant et faites-le ; c'est en ordre. Donnez gloire à Dieu." C'est exact.
Si quelqu'un vient avec un don de guérison, la foi, eh bien, ne donnez pas gloire à l'homme. Si le médecin peut enlever un - un… remettre en place votre bras quand il est cassé, et l'arranger, le redresser vraiment, et que Dieu guérisse cela, donnez gloire à Dieu. C'est vrai. Si le chiropraticien... vous avez la colonne vertébrale désarticulée, il peut redresser le dos et vous aider à marcher droit de nouveau, donnez gloire à Dieu, pas à l'homme. Voyez ? Mettons-nous tous ensemble. Et tout cela vient de Dieu. "Toute grâce excellente et tout don parfait viennent de Dieu", de Dieu seul.
31 Maintenant, que le Seigneur vous bénisse. Je voudrais lire une petite portion de l'Ecriture ici afin que notre réunion soit basée un peu sur les Ecritures et tout, je suis certain qu'elle l'est. Nous vous disons la vérité. Mais j'aime témoigner. Ne - n'aimez-vous pas les témoignages ? Et oh, la la !
Allez-vous prier pour moi pour que je retourne au Mexique ? Et oh, que j'aille là-bas et les pauvres, et nous n'avons... Le peu que nous avions, nous avons pu les aider et faire... Oh ! le Seigneur a simplement béni de façon merveilleuse.
32 Maintenant, nous allons lire dans le livre de I Chroniques, chapitre 17, verset 7. Ceci m'est venu il y a longtemps, et j'ai noté ici, ce qui - ce qui est arrivé. Et je n'ai jamais essayé de prêcher là-dessus. J'ai dit à frère Wood qui m'a accompagné le soir jusqu'à la réunion, j'ai dit : "Ce soir, je vais avoir un entretien avec les gens, juste un bon entretien à cœur ouvert." Demain soir, nous serons à Lane Tech, là où nous aurons beaucoup de places, où nous pouvons facilement amener les gens et tout, pour le service de prière et tout. Maintenant, au verset 7, nous lisons ceci : Maintenant tu diras à mon serviteur David : Ainsi parle l'Eternel : Je t'ai pris au pâturage, derrière des brebis.
33 Quand j'ai lu cela, je. mon cœur a simplement débordé. "David, Je t'ai pris au pâturage." Et savez-vous pourquoi cela a eu une grande signification pour moi ? Voici pourquoi. Lorsque j'ai lu cela, je me suis dit : "Il y a dix ans…" Maintenant, je suis - je... Vous tous mes… Nous sommes en famille, n'est-ce pas ? Nous pouvons le dire. Vous voyez ? Vous tous mes… Dans un petit… notre petit groupe comme celui-ci, nous pouvons nous parler, les uns aux autres juste comme si nous nous connaissions depuis des années, et nous nous connaissons.
Je me suis dit : "Il y a dix ans je parcourais une ligne pour quarante cents l'heure, parce que je n'avais même pas d'instruction pour aller chercher un emploi plus rémunérateur ; trente milles [48,270 km - N.D.T.] par jour à travers le désert, je revenais à la maison une fois par semaine, pour quarante cents l'heure. Et j'étais connu à Jeffersonville, dans l'Indiana. Et aujourd'hui, par la grâce de Dieu, toujours sans instruction, je pense que je connais dix millions de gens ou plus, à travers le monde." Qui a fait cela ?
Je parlais à ma femme ; elle a dit : "Billy, je me rappelle te voir venir de ces bosquets, en lambeaux et tout débraillé, et pesant environ cent dix, quinze livres[ 49,9 kg, 52,16 kg - N.D.T.], la figure basanée, les habits déchirés à force de patrouiller là tout le long de ces lignes et tout."
Je me rendais en ville. Mon père buvait terriblement, et pas de réputation très bonne à Jeffersonville. Mais je me disais : " Ça ne doit pas en être ainsi." Et je me suis dit : "Aujourd'hui quand je rentre à la maison, il me faut sortir discrètement pour aller quelque part dans le désert me cacher, afin d'avoir un petit repos, loin de personnes chères, aimables et sympathiques." J'aime les gens, et je recherchais leur compagnie. Mais qu'y avait-il ? Je ne pouvais pas le faire ; il n'y avait pas moyen que je le fasse. Rien ne pouvait se faire, mais Jésus-Christ s'est abaissé. Je n'avais pas plus d'instruction qu'autrefois. Je n'ai jamais eu de renommée. Je - je n'ai pas quelque chose au monde auquel je pouvais attribuer cela, si ce n'est l'amour de Dieu qui s'est abaissé.
34 Et David était un petit berger ; Il a dit : "Je t'ai pris là-bas au pâturage. Qui étais-tu, David ? Je t'ai pris au pâturage, derrière les brebis de ton père, et J'ai rendu ton nom semblable au nom des grands qui sont sur la terre."
Et je pensais à cela, aux brebis et au berger. Pourquoi a-t-Il choisi David ? David parlait toujours des eaux paisibles et des verts pâturages. C'est lui le psalmiste qui a écrit les chants et qui a joué la harpe pour la gloire de Dieu. Et il devait y avoir quelque chose en David pour garder les brebis ; il devait avoir été un véritable berger. Avez-vous remarqué qu'une fois un ours était entré et avait attrapé une de ses brebis, et il a tué cet ours. Et un lion était entré et en avait attrapé une, et il a saisi cet ours - ce lion par la crinière et s'est saisi d'un couteau et a tué ce lion. Voyez ? Il se sacrifiait pour ses brebis. Et s'il était prêt à donner sa vie pour les brebis, il était un type du bon Berger. Il était le Fils de David, vous le savez, le véritable Berger, le Roi Berger de tous.
Avez-vous déjà remarqué dans la Bible, je pensais à cela l'autre jour, que quand un prophète parle, il dit : "AINSI DIT LE SEIGNEUR." Mais quand Jésus parlait, Il ne disait jamais cela. Il disait : "Mais Je vous le dis." Alors, on L'appelle un prophète. Il était Emmanuel. Il n'a jamais dit : "AINSI DIT LE SEIGNEUR", Il était le Seigneur. "Je vous le dis."
35 Eh bien, il y a quelque chose qui amenait Dieu à comparer toujours les hommes aux brebis, avez-vous déjà remarqué cela ? "Vous êtes les brebis du pâturage, les brebis d'une seule bergerie. J'ai d'autres brebis," et tout, comparant les hommes aux brebis. Savez-vous pourquoi Il nous a comparés aux brebis ? Avez-vous jamais - avez-vous jamais malmené une brebis ? Elles vous enseignent certainement, et il y a une instruction divine à - à recevoir des brebis. Je les ai élevées et je les ai guidées partout, ainsi que les agneaux.
Mais lorsqu'une brebis est perdue, elle est absolument incapable de s'en sortir. J'ai pris des brebis, ne me tenant peut-être pas à trois cents yards [274,32 cm - N.D.T. ] de la bergerie, et… là où toutes les autres brebis se trouvaient. Et cette brebis, aussitôt qu'elle est perdue, elle ne peut pas s'en sortir seule ; elle se tient juste là et bêle et bêle jusqu'à ce que le loup l'attrape ou que quelque chose lui arrive. Elle - elle ne peut simplement pas retrouver son chemin de retour. Elle est totalement incapable de s'en sortir sans le berger.
36 Et c'est ainsi qu'est la race humaine, nous sommes totalement et absolument incapables de nous en sortir sans le Berger de la bergerie. Nous sommes incapables de retrouver notre chemin de retour. Nous avons essayé de retrouver notre chemin de retour par l'instruction ; nous avons essayé de retrouver notre chemin de retour par la reforme ; mais nous n'y arriverons jamais. L'instruction n'y arrivera jamais. La réforme n'y arrivera jamais. Nous ne sommes pas des réformateurs. Les réformateurs, c'est la police ici. Nous sommes des prédicateurs de l'Evangile, pas pour essayer d'infliger aux gens des peines et que vous puissiez ramper sur vos genoux et tout, mais pour prêcher l'Evangile de Jésus-Christ : la délivrance aux gens. C'est ce que les bergers sont censés faire, nourrir les brebis. Vous savez qu'Il a dit à Pierre : "M'aimes-tu, Pierre, plus que ne m'aiment ceux-ci ?"
"Oui."
"Pais Mes brebis." Eh bien, Il n'a jamais dit : "Conduis Mes brebis." Il n'a jamais dit : "Donne des coups de pied à Mes brebis." Il a dit : "Pais Mes brebis." C'est ce dont les brebis ont besoin, c'est de la nourriture des brebis, ne pensez-vous pas ? Et savez-vous la meilleure nourriture des brebis que je connaisse pour vous les brebis malades et pour toute espèce de brebis ? La voici. C'est vrai. Dans cette énorme corbeille à pain de Dieu. "L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu." C'est de cela que vit le Saint-Esprit qui est en vous, Il vit de la Parole de Dieu. Cette relation entre le Berger et les brebis…
37 Je… Une fois, j'étais là en Orient, j'ai appris une grande leçon au sujet de… J'ai vu dans Saint Jean, je crois au chapitre 10, là où Il dit : "Je suis le - le Portail de la bergerie", ou plutôt "la Porte de la bergerie." Je me suis souvent demandé comment Il pouvait être une Porte, étant un homme ? Mais quand j'étais là-bas, j'ai appris ce que cela voulait dire. Les bergers conduisent leurs brebis dans la bergerie, et ils ont une - une voûte où ils entrent, et lorsqu'il les conduit toutes à l'intérieur, alors après qu'elles sont toutes entrées, alors il les compte, et ch-… S'il en manque une, il ira la chercher. Il doit la faire entrer là. Chaque brebis doit être comptée à chaque heure de la journée.
Oh ! quel Berger Il est ! Il avait… rend compte pour chaque brebis à chaque heure de la journée. Peu importe où vous êtes, Il sait où vous êtes. Il connaît tout à votre sujet. C'est la raison pour laquelle Il peut se tenir ici à l'estrade au milieu des gens soumis, pour révéler, faire connaître et parler ; Il le sait. Il sait où vous en étiez il y a une année. Il sait où vous vous trouviez à - à tout moment. Il doit rendre compte de Ses brebis, toujours... et surtout elles sont toutes recomptées après avoir été rassemblées dans la bergerie. Je me disais : "Quelle belle image ! Les rassembler dans la bergerie, puis les compter."
38 Et puis après qu'il les a comptées toutes et qu'elles se sont toutes couchées, le berger entre par cette ouverture par laquelle les brebis sont entrées, et se couche en travers de cette ouverture. Alors aucun loup ne peut entrer, aucun voleur ne peut entrer, aucun mal ne peut entrer sans passer d'abord par le berger.
Quelle image de Christ qui se couche là pour nous, afin que rien ne nous fasse du tort sans d'abord passer par Lui. Ainsi si vous êtes malade et que vous disiez : "Frère Branham, la maladie est passée par Lui." Mais cela était pour la gloire de Dieu. C'est vrai. Il veut peut-être vous donner un témoignage. Comme un homme l'a dit une fois, il a vu un berger avec son… transportant une brebis. Et il a dit : "Eh bien." Le... sa patte était tout bandée, et il a dit : "Eh bien, qu'est-ce que vous avez… Qu'y a-t-il, est-elle tombée dans une falaise ?
Il a dit : "Non, a-t-il dit, c'est moi qui ai cassé sa patte."
"Oh ! a-t-il dit, vous devez être un berger cruel pour casser la patte de votre propre brebis."
Il a dit : "Non, cette brebis s'en foutait de moi, c'est pourquoi j'étais obligé de lui casser la patte pour la garder, la choyer, l'aimer et lui donner une petite nourriture spéciale, afin qu'elle m'aime et me suive."
Et ainsi, des fois Dieu est obligé de nous faire cela. Que le médecin dise : "Oh ! tout est fini ; on ne peut rien faire."
Et alors Dieu vous prend dans Ses bras et vous tapote un tout petit peu, disant : "Mon enfant, ne sais-tu pas que Je t'aime ? Ne sais-tu pas que Je suis l'Eternel qui te guéris de toutes tes maladies ?"
"Mais Seigneur, on m'a enseigné que les jours de mir-…"
"Je sais qu'on t'a enseigné cela, mais Je devais laisser arriver ceci afin que Je puisse t'accorder une petite faveur spéciale. Maintenant, ne M'aimes-tu pas un peu plus maintenant que Je vais t'accorder d'être guéri ?"
Cela vous est-il déjà arrivé ? Cela m'est arrivé plusieurs fois. Que quelque chose arrive, juste pour me sonder un peu, pour Le laisser exprimer Son amour…
39 Maintenant, autre chose qu'on remarque au sujet du berger et des brebis. Vous savez, c'est une honte qu'un berger perde une brebis. Saviez-vous cela ? C'est un opprobre sur le berger. Maintenant, je vais… Eh bien, tenez ferme maintenant. Oh, la la ! Certainement. Si le berger perd une brebis, c'est une honte pour lui. "Tout ce que le Père M'a donné viendra, et personne ne sera perdu." Voyez ? C'est... "Quiconque vient à Moi..."
Très bien, le berger ne peut pas perdre une brebis. C'est pour cette raison que vous les rétrogrades ce soir, qu'Il est toujours en train de corner… poursuivre… rôder autour de votre cœur, essayant de vous ramener à la bergerie, parce qu'Il vous a une fois embrassé, et vous L'avez embrassé, et vous Lui avez dit que vous L'aimiez, et vous avez levé les mains et L'avez loué, mais vous avez rétrogradé et vous êtes sorti là, et vous avez été complètement massacré et blessé dans votre esprit. Mais Il rôde toujours autour de vous : "Reviens, ô toi brebis errante. Je ne peux simplement pas te laisser te perdre." Il se peut que cette petite brebis qu'Il a dû aller chercher là loin sur la montagne, partout ; il se peut que vous soyez cette brebis, ce soir, étendue là, blessée quelque part. Mais le berger ne peut pas perdre une seule brebis.
40 Savez-vous comment le berger distingue ses brebis des autres brebis ? Le berger le sait, si vous le remarquez, toutes les brebis portent une marque. N'êtes-vous pas heureux de porter une marque ? Vous savez que là dans l'ouest, nous avons l'habitude de marquer les brebis tout le temps. Et cette marque… Vous savez, des fois lorsque vous marquez une brebis ou une vache, ce n'est pas très agréable quand vous les marquez, mais elle est bien marquée après être passée par là.
Nous avons l'habitude de… J'ai travaillé dans une ferme de bœufs ; Nous - nous attachions ces bœufs avec une corde, et puis ce que nous appelons bien des fois bouledogue ou plutôt nous les désarçonnons. Et aussitôt que vous les avez désarçonnés… Mon travail était de porter le fer. J'étais trop petit pour désarçonner les veaux, ainsi je - je devais porter le fer, le garder chaud et courir jusque là. Et on prenait ce fer et on l'appliquait sur le dos de cette vache ou de cette brebis pour la marquer. Et oh, la la ! vous parlez de brûler ! Mais, frère, elle était marquée pour le reste de sa vie.
Ainsi, des fois, lorsque l'Evangile est prêché, Il est rude, dur, Il brûle, et serre le cœur. Il vous faut abandonner un tas de choses auxquelles vous teniez autrefois, mais vous êtes marqué, frère. Ne vous en faites pas.
41 Et lorsque la brebis était marquée… Voici le beau côté. "Oh ! dites-vous, c'est très bien, prédicateur, mais qu'en est-il alors des autres marques ?" Très bien. Nous sommes tous marqués. L'un marqué de cette façon, et l'autre marqué de telle autre façon, l'un est orthodoxe et l'autre est épiscopalien, ceci et cela. Mais attendez un instant, le berger portait la marque de ses brebis dans sa main. Si vous voulez savoir quelles brebis ce. Voyez ? Le berger a aussi la marque à sa main.
Et oh ! comme cela est approprié, ce soir, pour ceux qui sont marqués par notre grand Berger ! Il a dit : " Une femme pourrait oublier son - une mère pourrait oublier son nourrisson, mais Moi Je ne vous oublierai jamais, parce que vos noms sont inscrits dans Ma main." Marqué, le berger porte la marque de ses brebis. "Je connais Mes brebis et Mes brebis Me connaissent." Elles portent la même marque.
42 Ainsi Son Eglise porte la même marque. Quelle sorte de marque avait-t-Il ? Spirituellement parlant, quand Il était ici sur terre, Il était méprisé et rejeté, Homme de douleur, habitué à la souffrance. Mais Dieu était avec Lui, les miracles et les prodiges L'accompagnaient partout où Il allait. Il pouvait discerner les pensées de cœur des gens. Il a dit : "Je fais ce que le Père Me montre." Les malades étaient guéris ; les morts étaient ressuscités ; l'Evangile était prêché aux pauvres.
Et ce soir, l'Eglise du Dieu vivant porte la marque du Dieu vivant. "Les choses que Je fais, vous les ferez aussi." Saint Jean 7.12 dit : "Celui qui croit en Moi, fera aussi les œuvres que Je fais, et il en fera de plus grandes, parce que Je m'en vais à Mon père." Marqué. Amen.
43 Peut-être que vous avez dû être traité de fanatique. Peut-être que vous avez dû être traité de saint exalté. Peut-être que vous avez dû prendre n'importe quel type de signe ecclésiastique de mépris et n'importe quelle marque, mais tant que votre Berger était marqué avec la même chose… Il a été méprisé et rejeté des hommes. Les gens Le haïssaient. Pourquoi ? Parce qu'Il faisait ce qui est juste, parce qu'Il faisait du bien.
Etienne, le premier martyr, mourut parce qu'il a dit aux gens qu'ils étaient des hommes aux cous raides, incirconcis de cœur et d'oreilles ; ils s'opposaient au Saint-Esprit. Marqué de la même marque avec laquelle le Berger mourut sur…
Oui, les brebis se lèvent, elles portent la marque, elles se rassemblent. Etes-vous heureux ce soir de pouvoir... Eh bien, l'apôtre a dit : "Ils retournèrent les cœurs pleins de joie, parce qu'ils - ils ont été trouvés dignes de porter l'opprobre de Son Nom." Oh comme nous devrions être heureux, dix neuf cents ans après, de voir le même Saint-Esprit agir dans le même type de gens, et produire les mêmes résultats, ceux des gens du dehors qui pointent un doigt méprisant, et aussi les mêmes résultats à l'intérieur à cause du Seigneur Jésus ressuscité qui tend Ses mains pour accomplir les miracles et les prodiges qu'Il fit au commencement !
Les bergers et les brebis… Je suis très heureux ce soir du fait que notre Berger a porté ces marques sur Son corps.
44 Il n'y a pas longtemps, en Orient, quand j'ai effectué un voyage avec un ami à bord d'une jeep, nous traversions un endroit, et j'ai entendu des grincements des freins, et la jeep s'est arrêtée, et des voitures ont crissé, et je me suis dit : "Qu'est-il arrivé là-bas ?" Il s'est tenu hors de la jeep et il s'est relevé et a regardé là, puis il a dit : "Oh, c'est un berger."
"Un berger ?"
"Ben oui." Il a dit : "Dans ce pays, le berger est la personne la plus honorée du pays." Amen. La plus honorée. Aujourd'hui, frère prédicateur, chrétien, vous les conducteurs du troupeau, il se peut qu'on vous méprise et qu'on se moque de vous, car ceci est le jour de l'homme. Mais quand le jour du Seigneur viendra, ce sera différent.
45 Une fois, en Nouvelle Albanie, dans l'Indiana, quand notre dernier président Roosevelt venait pour prononcer un discours, il venait par train, et les gens s'arrêtaient à la rivière, je vous assure, chaque endroit était bondé de gens. Et deux ou trois d'entre nous, les prédicateurs, de petits, ce que nous appelons des prédicateurs remplis du Saint-Esprit... Je vous assure, vous parlez d'être vieux jeux, nous l'étions. Les gens ne voulaient pas nous laisser même aller quelque part. Aussi devions-nous nous tenir très loin au fond, quelque part. Mais je me disais : "Oui, c'est ça le jour de l'homme. Mais attendez que le jour du Seigneur arrive." Amen.
46 Un missionnaire revenait d'outre mer après vingt ans, épuisé, les épaules voûtées, les cheveux gris, les lèvres tremblantes, atteint de paralysie agitante, après avoir gagné des centaines d'âmes à Christ, il est arrivé à New York, il a vu les orchestres qui étaient tous en train de jouer et tout, il s'est dit : "Oh ! Dieu merci." Il a dit : "Retourner dans ma patrie et tous ces orchestres jouent et tout, une grande escorte de la police, des fleurs et des guirlandes de fleurs suspendues, a-t-il dit, quel accueil chez soi, que c'est merveilleux !" Mais quand il est descendu, il s'agissait d'une certaine vedette de cinéma qui était là en train de tourner un film. Pas une seule personne ne le connaissait, il n'y avait personne pour l'accueillir. Il s'est tenu là et a dit : "Je pense donc que ceci n'est pas chez moi."
Bien. Mais attendez un jour quand les orchestres angéliques se tiendront aux portails de la gloire, quand le vieux battement battu des vents jouera là, les saints de Dieu entreront au pas du rythme de l'orchestre angélique. Lorsqu'ils se tiendront là par milliers, chantant les chants de la Rédemption de Sion, pendant que dix millions d'anges se tiendront tout autour de la terre, les têtes inclinées, ne sachant pas de quoi nous parlons. Ce sera le jour du Seigneur. Oui. Chaque - chaque roue s'arrêtera et cédera pour cela. C'est vrai. Aujourd'hui, c'est le jour de l'homme. Il se peut que les choses marchent bien en ma faveur et que je fasse connaissance avec le maire, et que je sois tapoté dans le dos, et toutes ces choses propres aux politiciens ; mais j'aimerais mieux avoir le baiser de Dieu sur mon cœur et être sûr que je suis marqué comme Il l'avait été Lui.
47 Vous connaissez le petit chant que les gens chantaient là au Tabernacle. Je ne connais plus la mélodie ; Je n'arrive pas… ne pourrais le chanter de toutes les façons. Mais c'est quelque chose comme "Les gens passent sans aucune attention pour moi, là où ils passaient autrefois avec un sourire." Quelque chose qui disait : "Maintenant je suis marqué, marqué, je suis marqué maintenant où que j'aille, je suis marqué, marqué, tous semblent savoir ce que je suis" Voyez ? "Mais je suis scellé, scellé, scellé par l'Esprit divin de Dieu, Oh ! gloire à Dieu, alléluia ! Je suis Sien et je sais qu'Il est mien.
Oui, ça m'est égal ! c'est ainsi que j'ai reçu Sa marque. Et quelle était Sa marque ? Le Saint-Esprit était en Lui sans mesure, faisant l'œuvre du Père, ne cherchant pas à plaire aux hommes ou à recevoir les louanges des hommes, ne cherchant pas à se plaire à Lui-même, mais à faire l'œuvre de Dieu, et Dieu était en Lui. Pierre a dit : "Vous hommes Israélites", dans Actes 2, "ce Jésus de Nazareth que vous avez crucifié, Dieu, un homme approuvé de Dieu parmi vous au moyen des miracles et des prodiges que Dieu a faits par Lui au milieu de vous tous…"
Nicodème a réellement fait un témoignage à l'église, disant : "Nous savons, Rabbi, que Tu es un docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n'est pas avec lui." C'est cela la marque. C'est cela. Je suis très heureux ce soir de savoir que j'ai le privilège d'être appelé l'un d'eux (C'est vrai), d'être l'un d'eux.
48 Quand tous ces freins ont grincé, j'ai regardé dehors et j'ai vu une scène que je n'avais jamais pensé voir. Juste là au milieu de la rue, sans s'arrêter pour le feu rouge ni quoi que ce soit, un berger venait et toutes ses brebis le suivaient. Tous les freins et les voitures, tout s'était arrêté pour le berger. J'ai dit : "Gloire à Dieu !"
"Oh , ai-je dit, c'est une personne importante." J'ai dit : "Que je le suive un peu." Nous l'avons observé. Il est allé directement dans ces petits endroits étroits et toutes se tenaient sur chaque côté de la rue. Et j'ai dit : "Eh bien, ne… Pourquoi ces brebis n'ont-elles pas pris cette autre direction ?
Il a dit : "Chacune d'elles suit le berger. Où qu'il aille, les brebis le suivent." "Où qu'Il me conduise, je suivrai." J'ai dit : "Sortent-elles de la ligne" ?
Il a dit : "Si jamais une sort du chemin ou désobéit, c'est qu'elle est malade."
Oh ! spirituellement parlant, vous brebis qui êtes malades ce soir, pourquoi sortez-vous de la ligne ? Le Grand Berger est ici ce soir avec Son baume curatif pour empaqueter tout cela et vous ramener de nouveau dans la marche de la vie chrétienne. Croyez-vous cela ? Certainement. Il a dit : "Seules celles qui étaient malades et faibles peuvent sortir du chemin." Et alors le berger les nourrit avec un soin particulier, puis il les ramène.
49 Ainsi j'ai observé ces brebis, et quelque chose d'étonnant que j'ai remarqué chez elles, dans ces brebis, c'était ceci : quand elles sont descendues dans la rue, il y avait toutes sortes de friandises exposées là. Les - les pays de l'Est ne sont pas comme ceux de l'Ouest. Nous mettons toutes nos choses sous toutes sortes de - de déshydratation et nous laissons cela exposé dans de grands comptoirs gelés et tout, mais à l'Est, les gens les exposent simplement dehors, dans la rue, juste comme cela. Et voici venir ce berger avec toute une file de brebis, presque longue comme un pâté de maisons, marchant tout simplement, à moins de dix pieds[ 304,8 cm - N.D.T.] d'un côté et de l'autre, il y avait des friandises à manger, comme les poires, et - et les papayes, et tout était exposé dans la rue ; et il marchait juste là dans la rue, et pas une seule brebis ne s'est retournée à droite ni à gauche pour prendre quelque chose. Amen.
J'ai dit : "Comment expliquer cela, mon ami ?"
Il a dit : "Ces brebis sont tellement dévouées au berger qu'elles ne font attention à rien, sauf le suivre."
Je me suis dit : "Ô Dieu, Ton Eglise devrait être tellement dévouée à Toi que les tentations du monde n'auraient rien à faire avec eux. Les gens seraient tournées vers le Berger." Ce berger ferait un pas dans ce sens, qu'elles iraient dans le même sens. Chaque brebis venait juste après l'autre, faisant le même pas, et suivait le berger. Oh ! suivre les empreintes des pas du Berger, c'est ça. Ne soyez pas tenté, ballotté, inquiet, tenté ici et là, et aujourd'hui vous avez la victoire, demain vous perdez la victoire. Suivez le Berger. C'est Lui qui conduit.
50 "Ainsi Mes brebis connaissent Ma voix, dit-Il, et un étranger... " Il dit : "Elles sont habituées à la voix."
J'ai dit : "Eh bien, si un autre berger venait et lançait ce petit appel "o'de'le'lee'", qu'il lance là, ces brebis, si elles étaient dans le champ, viendraient-elles ?
Il a dit : "Oh, non. Non, ces brebis connaissent le son même pour chaque timbre de la voix de ce berger."
Je me suis dit : "Eh bien, voici le pays de la Bible. Maintenant, peu importe, un autre berger pouvait se tenir là et essaye d'imiter cela, ces brebis continuaient simplement à brouter. Mais laissez simplement cette petite voix parler, chaque brebis se tiendra debout ici. Elles étaient en ligne, en train de venir. Oh ! la la ! Un glorieux jour, ce Roi Berger criera des Cieux, et nous entreprendrons une marche vers la Ville de Sion, dans cette grande ramification incassable de l'armée du Seigneur, quand nous ressusciterons vainqueurs de la mort et de l'enfer.
51 Le Grand Berger du troupeau. Oh ! ne L'aimez-vous pas ? Je n'oublierai jamais cela. Là loin dans les régions sud de l'Afrique, dans ces grands pays des brebis, je gravissais une montagne. J'observais un petit agneau qui devenait vraiment nerveux. J'ai dit : "Je me demande ce qu'il a, ce petit agneau." Et oh, il était simplement… Il bêlait ; il regardait là ; il mangeait un peu et regardait tout autour. Je me suis dit : "Eh bien, qu'est-ce que le petit agneau a." J'ai pris mes jumelles et j'ai ratissé partout. Là au loin derrière lui, se trouvait un gros lion à la crinière blonde et épaisse, qui se glissait très facilement, se dirigeant vers ce petit agneau. Celui-ci ne pouvait pas le voir, cet animal.
Eh bien, le cerf ou l'ours peut flairer un être humain à cause de glandes de musc sous les aisselles. Ils flairent cela. Et ils peuvent vous détecter. L'élan peut vous détecter parfois à un demi-kilomètre presque ou plus, si le vent souffle normalement. Cette glande de musc qui est sous votre bras, c'est ce qu'ils flairent. Et ils - ils peuvent détecter cela, mais la brebis ne le peut pas. Et elle ne peut pas flairer le danger, l'animal. Mais le petit agneau, par l'instinct, était nerveux. Il savait que quelque chose était sur le point d'arriver.
Et qu'en est-il ce soir des petits pauvres agneaux là dans le champ aujourd'hui, à cette grande ligne de la mort quelque chose s'avance juste vers eux et ils sont nerveux. Et le monde est tout déchiré. Les gens ne savent pas ce qui se passe. Lorsqu'ils sauront que les bombes, et le cobalt et les bombes à hydrogène qui vont réduire ce monde dans un anéantissement total en vingt-quatre heures sont suspendus là...
Cela se glisse vers nous, mes amis. Soyez prêts. Reconnaissez la Voix du Berger.
52 Et l'une des choses surprenantes… Pour terminer, je peux dire ceci. J'ai appris beaucoup de choses en étudiant les brebis. Mais j'ai vu un berger conduire aussi le troupeau dans un champ, mais il avait des chèvres, et il avait des - des chameaux, et il avait quelques mulets, et il avait des brebis. Eh bien, j'ai dit : "Je suppose que le berger signifie simplement un gardien de troupeau ?"
Il a dit : "Oui, il peut faire paître n'importe quoi." Il a dit : "Mais, Frère Branham, vous serez étonné en observant la tombée de la nuit." Il a dit : "C'est vrai. Ils paissent tous dans le même pâturage. Ils paissent dans la même texture du pâturage." C'est vrai. Mais il a dit : "Vous savez quoi ? A la tombée de la nuit, le soir, le berger s'en va appeler. Il n'y a que les brebis qui sont conduites dans une étable pendant la nuit." Je me suis dit : "Ô Dieu, je - je veux être une brebis. Je veux Le connaître dans la puissance de Sa résurrection."
Le connaître, c'est avoir la vie. Il ne s'agit pas de connaître votre catéchisme, ce n'est pas cela la vie. Il ne s'agit pas de connaître la doxologie, il ne s'agit pas de connaître les crédos des apôtres, ce n'est pas cela la vie. Ne pas connaître la Bible, c'est la vie autant que cela puisse être. Mais Le connaître Lui, c'est cela la Vie. Et c'est seulement ceux… lorsque le temps du soir approche, et que le soleil de notre vie commence à se coucher, j'aimerais entendre là, au-delà de la montagne qui me sépare de la gloire, j'aimerais entendre la voix du Berger appeler et dire : "Frère Branham, c'était bien, Mon bon et fidèle serviteur." Je crois qu'il en est de même de vous tous.
53 Et si vous ne Le connaissez pas ce soir, cherchons à Le connaître maintenant. C'est maintenant le temps de Le connaître, pendant que nous prions. Ayons la tête inclinée ainsi que le cœur incliné dans Sa présence, sachant que le grand Roi Berger est ici maintenant. Je vous ai parlé longuement et j'ai témoigné de Sa gloire. Et nous L'aimons. Je me demande ce soir s'il y a un animal d'un an, égaré quelque part, qui s'est écarté bêtement du sentier, qui n'est pas rentré. Vous n'êtes pas dans la communion ; vous n'arrivez pas à L'aimer et à Lui parler comme vous devriez vraiment le faire. Et juste au début de ce réveil, voudriez-vous lever la main pour un mot de prière ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. C'est bon. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, soeur, vous, vous, vous et vous, et vous soeur. Que Dieu vous bénisse. Là au balcon, y a-t-il quelqu'un ? Que Dieu vous bénisse; je vois votre main là-haut. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Brebis égarées... Que Dieu vous bénisse, mon bien-aimé, frère ici. Brebis égarées. Que Dieu vous bénisse, vous ici, en face de moi. Egarée du chemin et vraiment. Vous avez entendu Sa voix appeler, mais vous avez simplement négligé d'aller vers Lui. La nuit s'installe ; les ténèbres approchent.
54 Y a-t-il quelqu'un ici qui n'est réellement jamais venu. Mais vous sentez comme si c'est juste ce soir que vous aimeriez dire : "Ô Roi Berger, je - j'aimerais reconnaître Ta Voix, car Tu pourrais appeler avant le jour, et je ne saurais où Te suivre. J'aimerais que Tu te souviennes de moi, ô Dieu, et je lèverai la main vers Toi, et dirai : "Souviens-Toi de moi, un pécheur. Je voudrais que l'on se souvienne de moi." Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C'est bien. Quelqu'un d'autre qui n'a jamais accepté Christ. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, mon frère là derrière. Que Dieu vous bénisse, ma soeur, par ici. Celui qui n'a jamais été sauvé et qui veut connaître le Grand Berger de la Bergerie.
55 Savez-vous ce qui vous a poussé à lever la main ? Jésus. Dieu a dit dans Sa Parole, écoutez : "Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l'attire premièrement." Dieu est ici, et Il est en train d'attirer au moyen du Saint-Esprit. Quelque vingt ou trente ont levé la main. Et Il est en train d'attirer au moyen du Saint-Esprit, car vous L'aimez. Il y a quelque chose là-dedans ; vous qui n'êtes pas capable de vous en sortir tout seul. Qu'est-ce ? Ce… Autrefois, vous L'avez connu. Vous savez, c'est une - c'est une honte pour un berger de perdre une de ses brebis. Il ne peut simplement pas supporter cela.
Lorsque Moïse et Aron, en type, avaient amené tout Israël au-delà du Jourdain, pensez-y, personne n'était perdu. Chacun d'eux a traversé le Jourdain par la main de Dieu, par Moïse. A combien plus forte raison traverserions-nous les mers glacées de la mort, par la main de Dieu, par Jésus alors qu'Il étend vers vous ce soir Ses mains portant les cicatrices de clous ; ne voulez-vous pas être marqué avec ce Sang, le même Sang qui a été percé par les clous cruels qui L'avaient maintenu sur le bois, et les épines sur Son front ? L'acceptez-vous maintenant ?
56 Père céleste, nous Te remercions ce soir pour tous ceux qui ont levé la main, et nous savons que, par Ta grâce, Seigneur, et par Ta bonté, Tu n'abandonneras aucun d'eux. "Nul ne peut venir", as-Tu dit, si le Père ne l'attire : et tout celui qui vient, Je lui donnerai la Vie Eternelle et Je le ressusciterai au dernier jour." C'est Ta Parole, Seigneur Jésus. Tu as dit : "Celui qui entend Ma Parole, et qui croit en celui qui M'a envoyé, a la Vie éternelle, et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie."
Ô Dieu, qu'est-il arrivé dans cette église à l'instant même ? La mort a laissé la place à la Vie, le souci à la joie, les chagrins au bonheur, le désespoir à l'espoir, la tombe à la gloire. Oh ! que c'est merveilleux ! Tes brebis sont retournées à la maison. Ils ont levé la main. Touche-les, Seigneur, avec ce Sang venant de Ta propre main et marque-les, Tes brebis. Ils n'auront plus à s'inquiéter ; ils entendront la Voix du Berger, et ils marcheront avec Lui pendant qu'Il marche. Les choses du monde seront mortes pour eux dès ce soir. Ils T'ont accepté. Et ils sont venus avec leurs mains posées sur Toi, disant, Tu as dit : "Brebis de Ma Bergerie, Sang de Mon Sang, l'os de Mes os, venez, vous les bénis de Mon Père." Et Seigneur Dieu, accorde-leur la paix et le repos. Et ô Dieu, puissent-ils le dire à quelqu'un d'autre, et puissent-ils entrer. Accorde-le, Seigneur.
57 Le jour est très avancé, et Tu vas rassembler les brebis et les séparer des mulets, des chameaux, des chèvres, et des autres animaux qui broutent dans le même pâturage, la même Parole, la même Bible, le même Livre, dans le même bâtiment appelé église. Mais Tu n'appelleras que la brebis. "Beaucoup sont appelés, peu sont élus." Tu l'as dit. "Ce ne sont pas ceux qui disent : Seigneur, Seigneur, qui entreront. Mais celui qui fait la volonté de Mon Père." Et Seigneur, ils ont fait la volonté du Père ce soir en acceptant le Seigneur Jésus comme leur Sauveur personnel, et nous Te remercions pour eux.
Et Père, nous prions que nous trouvions grâce à Tes yeux et que Tu nous donnes le plus grand coup de balai que nous n'avons jamais eu à Chicago. Accorde-nous Ta faveur, Père, devant les gens afin que nous puissions les gagner à Toi.
58 Et maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, et vous qui avez accepté Christ, dans quelques instants, je vais vous demander de venir jusqu'ici et de vous tenir autour de l'autel pour la prière. Mais avant que nous fassions cela, je vais demander s'il y a un malade ici qui aimerait que l'on se souvienne de lui dans la prière, que le Berger se souvienne de vous ce soir pendant qu'Il intercède. Ô Dieu, sois miséricordieux. Oui, je vois la petite fille, une soeur. Que Dieu te bénisse, ma chérie. Puisse Dieu t'accorder ta guérison, chérie. Je vois les autres. Combien plus Il vous voit ? Je vous vois, papa, assis ici dans le fauteuil roulant. Ayez confiance en Dieu que vous - vous n'aurez plus à y rester. Croyez en Lui maintenant même ; ayez foi.
59 Si un pauvre Mexicain illettré, qui ne connaîtrait même pas son nom si cela lui était présenté, alors qu'il était couché paralysé... Et des petits enfants spasmodiques enveloppés tout autour. De pauvres petites mères nues, à moitié nues, sans chaussures, jamais elles ont eu une paire de chaussures de leur vie... Leurs pauvres maris travaillent pendant la journée pour environ huit pesos, environ six cents, ils se tiennent dans une petite Martina et le long de la route pendant la nuit pour une petite crêpe grasse mexicaine. Il ne peut pas en avoir une, car il doit acheter de la cire pour aller à un pauvre autel valant un million de dollars, pour ses péchés.
Ô mon Dieu, si des gens de ce genre peuvent accepter Jésus-Christ simplement en restant debout des heures et des heures, à combien plus forte raison… doit-on accepter cela au travers d'un interprète, à combien plus forte raison vous qui êtes assis sur des chaises confortables ce soir, des gens instruits au plus haut point, avec beaucoup de nourriture sur vos tables, de beaux habits, roulant en auto, le confort à la maison... que demanderez-vous d'autre ? Ne pouvez-vous pas L'accepter maintenant, croire cela de tout votre cœur qu'Il vous guérit ? Certainement, vous le pouvez. Abandonnez vos béquilles, vos fauteuils roulants, vos problèmes à l'autel et partez d'ici ce soir étant de nouvelles personnes, guéries et rétablies pour servir le Seigneur Jésus.
60 Maintenant, pendant que nous inclinons la tête et imposons les mains les uns aux autres, je vais offrir une prière pour vous pour ceci. Et ensuite, nous allons vous demander de venir à l'autel et prier autour de l'autel. Maintenant, chacun de vous avec un esprit ferme, tenez-vous-en à Dieu. Ne serait-ce pas merveilleux de voir cet homme assis ici dans le fauteuil roulant, être guéri ! L'homme assis ici, un homme de couleur avec une vieille canne, s'appuyant sur ce pauvre vieil homme aux mains ridées, Dieu seul sait le travail qu'il a abattu. La journée est presque terminée; ses cheveux sont tout blancs.
Je vois une petite fille qui se tient ici, et sa mère qui essaye de poser la main sur cette petite enfant qui souffre. Vous savez que Jésus voit ceci, le Bon Berger. Certainement.
Je vois un papa qui pose sa main sur une mère. Quelle scène! Quelle scène! Une mère avec son petit enfant serré dans ses bras et ses mains à elle posées sur lui.
Maintenant, le Bon Berger est ici. Ne soyez pas excité, juste solennellement, calmement, venez et dites : "Berger de Dieu, je viens maintenant ; je suis dans Ta maison et je - je viens. J'ai entendu Ta Parole, et - et j'ai vu Tes œuvres, et je viens pour T'accepter maintenant. Mon enfant est malade ; je vais croire cela. Je suis aveugle. Je suis... Si Tu peux rendre la vue à un pauvre Mexicain illettré, si Tu - si Tu peux ressusciter un bébé mort après qu'il fut déjà mort, le ramener à la vie, et les médecins ayant déclaré qu'il était mort, Tu l'as ramené à la vie, à combien plus forte raison pourras-Tu guérir mon enfant, Seigneur ? Je crois en Toi."
61 Maintenant, je vais offrir une prière pour vous de tout mon cœur, mes bien-aimés. Rappelez-vous que c'étaient vos prières qui m'ont soutenu à l'étranger. C'était la contribution que vous m'avez envoyée, que vous m'avez donnée par une petite offrande d'amour qui nourrit mes enfants, qui paye mon voyage vers de différents endroits. Vous êtes... de Dieu - vous êtes les rachetés de Dieu par Son Sang. Je porte un costume ce soir que vous avez payé. Je suis appelé serviteur de Dieu ce soir, parce que votre foi s'est ralliée à ce que je vous ai dit. C'est vous, les étoiles de la couronne. Je vous aime. Je ne peux pas du tout vous dire quelque chose de faux. Certainement, j'ai trouvé grâce à vos yeux ce soir d'être… Dieu a confirmé. Je vous dis la vérité. Maintenant, Il est ici et Il veut guérir chacun de vous. Je vais prier. "La prière de la foi sauvera le malade", dit la Bible. Dieu le relèvera.
62 Notre tendre Père céleste, regarde cette scène juste maintenant. Nous n'avons pas à attendre jusqu'à ce qu'ils viennent à un certain moment ici à l'estrade, à l'instant même nous... Seigneur… Tu es ici. Ton Esprit est juste sur nous maintenant même. Je… Tout aussi sûr que je ne l'ai jamais été pour quoi que ce soit… Tes serviteurs, les ministres sont debout avec la tête inclinée, en train de prier; les laïques ont la tête inclinée ; les malades ont les mains posées les uns sur les autres ; les mères ont les mains posées sur les petits enfants ; les pères ont les mains posées sur leurs femmes et vice versa, ils sont dans le besoin. Et ô Dieu, Tu m'as donné d'avoir trouvé grâce à leurs yeux comme un pauvre, un indigne, pris - pris au pâturage. Ô Dieu, il m'était difficile d'avoir un pâturage, mais Tu as pris David. Tu as dit : "Maintenant, j'ai fait de toi conducteur de mon peuple Israël."
Nathanaël lui a dit : "Fais tout ce qui est dans ton cœur, David, car Dieu est avec toi." Eh bien, c'est ce qui est dans mon cœur, Seigneur, c'est d'offrir la prière de la foi pour ces pauvres personnes malades. Veux-Tu me recevoir, Seigneur ? Je me place moi-même dans le canal ici pour intercéder par Jésus-Christ pour ces gens, le bon Berger qui se tient là meurtri et blessé pour nos transgressions. Par Ses meurtrissures nous sommes guéris." Et Père, j'apporte Ses bénédictions pour ces gens. Je viens avec Son Esprit, avec Son onction, avec Ses Paroles, et elles sont là sur les gens maintenant comme des graines de nourriture, et ils ont accepté cela. Ô Dieu, puissent-elles s'enraciner maintenant même. Puisse la vie commencer à jaillir. Puisse la semence commencer à s'ouvrir, la vie commencer à apparaître, la force commencer à venir dans les corps faibles, la vue commencer à entrer dans les yeux aveugles, la force dans les genoux faibles. Ô Dieu, puisse cela commencer à croître, le Saint-Esprit nettoyant cela continuellement, jusqu'à ce qu'il y ait un grand fleuve victorieux de Dieu… et que chaque personne malade soit guérie à l'instant même, ce soir. Ô Dieu bienveillant, écoute la prière de Ton serviteur inutile, au Nom de Jésus-Christ.
63 Maintenant, avec nos têtes inclinées, nos mains levées vers Dieu, chantons pour Lui : "Seigneur, je crois ; Seigneur, je crois. Sauveur, élève ma foi en Toi, au point qu'elle déplace la montagne ; Seigneur, je crois. Tous mes doutes sont ensevelis dans la fontaine." Je porte la marque du Berger. Je viens par la foi sur base de la Parole de Dieu comme Il le fit. Faites-le et vous recevrez cela.
E-1 Shall we pray just a moment before setting down. Our heavenly Father, we thank Thee for the privilege that we have of coming, gathering one more time this side of the second coming of the Lord Jesus into Thy lovely Name, into the congregation of the Blood bought children of the Lord Jesus; we thank Thee for them.
And we pray God, that You'll smile upon us with all Your blessings this coming week. May it be an exceeding great meeting, God, not because of us, but because the need is so great. Sin is on every hand. And I pray that something might be done this week here in Chicago that would cause a real city wide revival to come. Grant it, Father. We can only ask with faith believing. Bless all the sick and afflicted, may they be healed; may great things take place, and we'll humbly give Thee praise. In the Name of the Lord Jesus, Thy Son, we ask it. Amen. Be seated.
E-2 Good evening, my lovely friends in Christ here in Chicago. It's a great privilege I deem it to be here tonight on the platform in this lovely Philadelphian Church, which seems as though a second home to me. Always glad to be here and serve the Lord here with you congregation of believers. I have always... It's never burdensome for me to go to any service, and it's always a joy; but it seems like it's just a--a great relaxing for me to come to the Philadelphia people, church here in Chicago. Because of your faith, it's so easy to minister to you with your kindness and with your lovely pastor Brother Boze. And I was happy tonight to meet Brother Rasmusson, a very dear friend. I believe he used to be the associate pastor here. And this our other brother, [Brother says, "Hutchinson."--Ed.] Hutchinson from Philadelphia, ["Brooklyn"] or Brooklyn. Excuse me. And to have this fine fellowship with you all...
E-3 Now, I--I don't believe you ever see me when I didn't say I was tired. I don't know why. I guess I just always tired. It's because of constantly in the services, is what it is. And I remember years ago when one time I saw a vision of, when I was so perplexed and not perplexed, but just so discouraged maybe I'd say, or... After I lost my wife and baby, I saw my baby, a young lady she was in glory. And there was a chair setting there in our home, and you know the story, and I said, "I'm so tired," said to my wife.
She said, "Yes, you've been going constantly, Billy." She said, "Set down and rest awhile." That's what I'm waiting for, for some time I can set down and rest awhile. I want to pull up a chair around all your chairs (You see?), and we'll have a lot of fellowship there. No time to quit, sun never goes down, never no trouble or in a hurry, eternity just--just begin... And so we--we just stepped out of time into eternity, rather. And so we look for that day.
And while it's daylight, I think this, I keep this in my mind, and it's good for you dear Christians to remember that this is the only time of all ceaseless ages beyond the time to come, that you'll ever have the privilege of working for Jesus Christ. This is the only day. And we don't know whether we're going to be here tomorrow or not. See? So I believe it behooves us to move with all that's in us and do everything that we can.
E-4 And I look around; someone said the other day said, "Billy, you oughtn't to get too tired." Doctor friend of mine, said, "Now, there you go again."
I said, "But doc, the trouble..." And I happened to look. I see Tommy Hicks off the field now with a breakdown. Gayle Jackson and that King boy, I forget what his name is, the young King, I... What is his name now? I ought to know him, but... I do know him, but I can't think of his first name. [Brother says, "Paul."--Ed.] Paul Cain, excuse me. Thank you, brother. Paul Cain, and many them, the boys just try to work too hard (You see?), and when you do you break yourself down quickly.
E-5 So I got about a month's constant of services before I get any let up at all. We leave right straight from here and go to Columbia; and from Columbia to Spindale; from Spindale to--to Charlotte; and from Charlotte to Anchorage, Alaska, and then come right back and in the Cadle Tabernacle, right back to Minneapolis and overseas. So we're just really--just right--one right after the other. Well, I love to do it. If you all will just pray for me, I will just keep on going. It's--it's...
I was talking to a minister not long ago; he said, "Well, Brother Branham, it's good to wear out instead of rust out as it is setting around wishing."
E-6 So I thought tonight it might be good for us getting acquainted again, or having a little fellowship around the Word, and ask you a little favor, if I could just have a congregational prayer for a night or two. I come pretty near just passing out of the picture in Mexico last week, and I want to tell you about the meeting. I thought coming right straight here, and went to my home Sunday when I should not have done it, to never have that type of meeting. But my heart is so thrilled. How many's read the vision, let's see? It's... Sure, all of you have. And my heart is a longing for that. Now, you mark my word. See? And this is not me; it's THUS SAITH THE LORD. See? That's going to be the greatest of all, right there when the Lord, when we get to moving the services in that manner. And I'm longing just like a child with Christmas anticipations to get to it.
And I thought Sunday maybe I could run a service like that at my tabernacle. And then when I--I did, there was just so many packed in there till I couldn't do it. And then we had to run it just a regular prayer line like we do here, whatmore. That was yesterday, and it--it tore me down pretty bad. And so tonight makes me more tired than ever.
E-7 And then I thought I would tell you about our--our lovely trip down in--in Mexico, read some Scripture, talk to you about the Lord and just see what He'd have us to do. I te--tell you; I can appreciate the Lord Jesus and His blessings more than I ever in my life. And if I know that we're living in the day that we are, and so many things that missionary life consists of... Especially these evangelistic missionaries where we're all over the world among all kinds of diseases and--and everything, you--you... I tell you it's a hard thing. You wouldn't think it, but it's a real hard thing when you have to go in to people where you have to eat what they got and trust God; it's full of everything. And--and you just don't realize. Leprosy and--and everything that could be thought of... And right in there, and dirt and filth and everything. You--you just have to close your eyes and eat anyhow, 'cause you're winning them to Christ. That's right. And it's a pleasure to do it for Him Who died for you and I. That's right. And to know that His love has been so kind to us...
E-8 We're here in this old feeble body, pest house. But just think, after this earthly tabernacle is dissolved, we're stepping into one right over there just beyond the veil. We won't be there long. That's right. We wasn't made for that one. We wasn't made to be Angels. God's got Angels, but we were created men and women. So that's the way we'll--we must be. And when we're up there in that celestial body, we're not in our right estate. You see?
And then when Israel was away from their homeland in Egypt, they had a memorial before them that someday they were going back to the homeland. You know what it was? The bones of Joseph. And when they passed by, no matter how tired and weary they was, they'd look in and see the bones of that prophet; they knew that someday someone was coming, and those bones would be packed out; and they were on their road to the promised land, back home.
E-9 And when we leave this life and go into that life beyond, we... I could shake... I couldn't shake your hand because you won't have a hand.
See, there's everything in the Bible runs in threes; we know that. And there's three comings of the Lord. The first coming is past; the second coming's the rapture when we meet Him; and the third coming is when He's coming to rule and reign a thousand years. And everything travels in a trinity like Father, Son, and Holy Spirit, the one God in a trinity. And the works of grace in a trinity, and all... Everything in the Scripture runs in the trinity. Now, threes, sevens, twelves, twenty-fours, forties and fifties...
E-10 And in this stepping out of this body, it's not revealed unto men what kind of a body that will be. We don't know what it'll be; it's not revealed. And then that's not our right estate yet. We're was made here on this earth to be human beings, to eat and drink and live and love and... That's what we were made for. And we love our home. You love it. Don't you love to be here? Sickness sometime and all these horrible things makes it so miserable, but that'll all be vanished away with then. But just to think, to live here young and youthful, and no one worried about anything, and just love and to the perfection, what a--what a time. Now, that's not a mythical dream; that will be. That's right, it's the Bible.
And then we break out of this to go yonder into that body there, and there we remain. And while we're there walking around, looking at each other, we can't shake hands because we don't have that type of hand. We don't go to sleep, because we're not that kind of a body. We don't eat, because we don't need that food like that to make blood cells and so forth. But we're in a different body. But all the time the Bible said the souls under the altar were crying, "Lord, how long?" How long for what? To return back and become flesh again.
E-11 And then we got a memorial there as we pass by, like Israel had; setting there in the splendor of its beauty on the throne of God is the Lord Jesus Christ in a corporal body that was raised up from the dead as a memorial that someday we're coming back to the homeland. One day He will rise from that throne, His Father's throne. He's not on His own throne; He's on the Father's throne. And He will come back, and His throne is to take the throne of David on earth. So when He returns back, gets up, and we... He raises; His robes drop around Him and comes back to the earth, I tell you, it's going to be a marvelous time. You talk about people emotional and shouting, just wait till that time. Just think of it, that when we're coming back.
E-12 I was speaking the other day to some friends, and I said, "You know, when God met Abraham and talked to Abraham in a body of flesh..." about eight hundred years before Christ was born. And I said, "It was Almighty God. The Bible said it was God. And there He was and two Angels, and He was hungry when He was here. He eat the flesh of a calf; He drinken the milk from the cow, and eat some corn bread and had butter on it." That's a pretty good meal. God and two Angels enjoyed a earthly meal. That's right.
They said, "Now, Brother Branham, where did He get that body?"
I said, "Don't limit Him to your faith, brother."
Oh, my. What's this body made out of? Oh, some petroleum, some potash, and some cosmic lights, and atoms holding it together; that's all. It was nothing one time; it is now; and it's going away to nothing, and then come back again in a glorified state. See, it's just a process like developing a picture.
I said, "The only thing God did, He said, 'You know they tell me that down in Sodom and Gomorrah it's getting very sinful. About time to show an example of what we're going to do at the world in the end time.'" So He just said, "Come here, Gabriel, and come here, Michael." And He [Brother Branham blows--Ed.] "Step in that body." That's all. He just pulled the cosmic light and everything together, and stepped into that body, and put one... And made one for Hisself. And when He was here He hungered like a man and eat like a man, and vanished into air in the presence of Abraham (That's right), went back to God again. Sure.
E-13 Now, if that's the kind of God we're serving, if that's the omnipotence we're serving, then what have we got to worry about? Sickness, or death, or sorrow, or corruption, or whatevermore... One of these days all these old atoms that's holding these bodies together is going to be broke away, and we're going back to the dust, and the light's going back, and all the other parts of the earth is going back to its place; but at the resurrection, He will [Brother Branham blows--Ed.] "Step into it." And...?... That'll be it. Yes, sir. Isn't that wonderful?
And that same promise that that same God make appears to us in the meeting, blesses our hearts, gives us His Word, changes us from sinners to His children, saints, washes us in His Blood, heals us when we're sick, foretells us things to come, shows us our sins and iniquity, and every time perfect. We haven't got nothing to worry about then, have we? We're just on our road home. So why wouldn't we want to love and serve and cherish One like that. Knowing that... Don't know what minute that the heart will make its last beat and we're finished, but to step out of this life is step into His Presence.
E-14 And then He--He knows that we wasn't made angels; we don't know how to enjoy like angels; we're away from the homeland, but someday... Why, away from the homeland? We were made out of the dust of the earth. And God wanted us to be earthly creatures. It was sin that made us die and go off this earth. It's sin that brought old age and sickness on. But when all that's done away with, His creatures and His delegates of His great domain will be just like they was in the garden of Eden, without sin, without death, without sorrow, without sickness, without heartache, without worry. Won't that be wonderful? And we're on our road there, just as certain.
E-15 One of these days I want to pitch that tent the Lord's going to give me, right outside of this side of Chicago here somewhere, have about a six or eight weeks meeting. We're just going to go right down the Bible and teach on those things and just let Divine healing rest, go just about once or twice a week, or something, and just teach the Bible.
Now, those things are not mythical. In contact with the Holy Spirit, I'm an illiterate person. That's true. There's nothing to me. But when I come under His anointing, and He takes me away and shows me things, I just got perfect confidence that it's just exactly right, 'cause it's never failed. And He will never say one thing outside what's written in this Bible. That's right. You watch it. Through the years, He's never said one thing at any time, unless it was absolutely Scripturally based on the Bible, THUS SAITH THE LORD.
E-16 A few nights ago I'd come from down in--a few months ago, rather, from the meeting. And I was discouraged in California. And I... My meetings had failed terribly. And I'd promised the Lord if He ever failed me... When I started on the field, I know there's two or three things that a minister has to watch, and one of them is money. So money, popularity, women and so forth... So I'd made a pledge to God. I found out that Samson fell because of Delilah, the--the woman. And I found out that Saul fell because of pride. And Balaam fell because of money. And all those things are written for our examples, said the book of Hebrews. And we watch those things and keep the Blood cover between us and those things.
And as went along, I said, "Now, Lord, I know there'll be a lot of money mixed up in this, but naked came I into the world and naked shall I return (See?), and You help me." And by God's grace, it's been wonderful. And so I said, "If You ever go to failing me where you have to beg for money or put strain on offerings, I--I come in off the field." And I did when I--I failed six thousand dollars, or fifteen thousand dollars, rather, in California. And the...
E-17 I got home, and the next morning He appeared to me in a vision and told me, as you've read. Just watch how that happened. I didn't know it was Mexican children that come walking down, as you've read the vision. I--I said it was just dark children. I was supposed to go to Arizona during that time and set up a tent. And there I was going to have in the vision this little place on the side just as He had told me and how to do it, where I would not be in the presence of the people. You... The microphone coming out, talking all about it... He said, "This will not be impersonated." So then, when it would set on the side. But then you could hear it... But the people is what operates that gift. It's not me; I have nothing to do with it. It's just yielding myself, and you do the operating of it yourself. Your faith is what does it. And that's where then when all the faith begin to come, now you can just imagine what it does to you. And I can just stay for a few. But when I get it fixed up and arranged in that manner, I can take hundreds times hundreds of them each night. And the Lord will do the exceeding abundantly. You just mark that down. And I thought, "Start it in Phoenix is just right."
E-18 And then it come to pass, about time I was to go to Phoenix that our Brother Allen moved in there, and he said, "I'm not getting out for anyone." So he--he just stayed there.
So I said, "Oh, I wouldn't go and our brother there. That wouldn't be right, two meetings at the same time." So I said, "Well, I just won't go then." 'Fore I signed up for anything, I just let it go. I let it go like that for a while.
And then Mr. Arganbright come and told me, said, "Say, how about going to Mexico." Brother Joseph tried to get me to go to Mexico.
I said, "No, I don't want to go Mexico."
Then something said, "Go on to Mexico."
So I said, "All right, get it fixed up."
They said, "We got a hall down there," some kind of a big hall. And the next night I was over to Brother Wood's and I said, "You know what? That's just it. Little dark children, ragged, that's it." And Brother Arganbright was supposed to arrange it. You read the vision. And so I said, "That's just..."
E-19 But the hall kinda disturbs me, 'cause it was in a panoramic, and somebody dismissed the meeting and nobody knowed who done it. I said, "That was strange." So a few nights after that he called back and said, "Say, we got the big bull ring." Said, "That's what we're going to have, the bull ring." Panoramic just right. I said, "Oh, my, this is it, just what the Lord said." And I said, "What bothers me is somebody dismissed the meeting, and nobody knowed who done it." So... Well, we went on down into Mexico, as we was supposed to go. And we got down there, and Brother Arganbright said, "Now, on the 16th I'll meet you at the Regas Hotel." I went to the Regas Hotel; he'd never been there, no arrangements or nothing. Brother Moore and them said, "Well, what about this?"
I said, "I don't know." I said, "And we're not registered?"
"No." So we went in, got some rooms anyway. Knowed nothing about it, many of our American friends down there at Mexico I knew, waiting. And so I said, "This ever what it will, it surely will be the will of God. But I can't make out..." And I said...
E-20 Do you remember in the vision I said it come up a little rain, do you remember that? Well, then when--when we started out to the bull ring... It never rains in Mexico this time of year, as you know, and at Mexico City, up in the mountain there. And it come up a rain and the driver said, "Say, we don't have this very often."
I punched Brother Moore; I said, "What about that."
And he said, "Well, Brother Branham, if I wasn't a believer in it, I'd be a believer now."
And I said, "You watch; we're going to have trouble when we get to that ring." And when we got there, there was not a soul there (That's right.), no one there. Somebody dismissed the meeting, and they didn't know who. We tried to get a hold of one, the other one; we spent all night calling America and couldn't even contact anybody. Finally got a hold of--of my wife, and she said, "Brother Vayle," which is of the Baptist church said that he'd been in California and the meeting was dismissed." Said, "They didn't know who done it."
Well, Brother Moore said, "I'll find out who done it."
I said, "All right, I'll just say this. You don't know who done it, and you won't know who done it." You see? So he tried all day, didn't find nobody knowed anything about it. Nobody knows yet. That's 'cause the vision said that.
E-21 I come back home. Well, I went out to pray. Many people were there, and Brother Arganbright come up from down in there, and he said, "Brother Branham, here's the General Valdena and many of the Mexican government, and the first time in all the world's history, or the history of Mexico that ever a Protestant was invited in by the--by the government." And said, "You must come."
And so I said, "Let me pray first." I went back out to the woods and I prayed. And the next morning before daylight, the Lord came to me, give a vision. And said, "Go on back down to Mexico; I'll be with you."
So away I went to Mexico the next day. And when we went in down there... You can imagine how poor the people are; it was pitifully. And they wouldn't let us have no newspaper room. All the advertisements, they wouldn't let us put them out or nothing. And they wouldn't let us have no place to seat the people. They just give us a great big lot of a thing about two city blocks--kinda oblong, like that, and everybody had to stand. I could have three nights of meetings for them. And--and we averaged how much ground we had. And there was standing on the ground by the multitudes, they were standing six people every three square feet. Now, they stood up from morning until ten, eleven o'clock at night, just standing there. But they're used to standing, sacrifice.
E-22 A woman crawling down the street from some dead woman, Saint somebody... I hope I don't hurt your feeling, Catholic friend. But they go over, and she'll forgive their sins, or whatever they do, she'll do a penance, and poor woman crawling over rocks like that and bleeding and two little children walking behind her, and her poor old father wore out. Look like she could never make it, but just crawl mile after mile over rocks for penance for her sins. What's the Blood of Jesus Christ got to do about it then? See? So then it's very bad situation, of course. And that government down there, when they...
A group went to them and said, "Don't have that fellow come down here." Said, "He's a fanatic."
Said, "Well," said... Governor said, "He has a pretty good name." Said, "Well," said, "he's been preaching around the world they say."
He said, "Well, you see," he said, "he only stir up the people."
He said, "Well," he said, "that's all right. Maybe they need a stirring up." So this was the Governor. So He said... And General Valdena standing there, you know just... He said, "Well," he said, "I tell you," said, "he will disturb the holy church if he comes down."
Said, "Well, maybe it needs disturbing."
He said, "Well... But you understand," said, "sir, the only thing that goes out to see anyone like that is the ignorant, illiterate people."
He said, "Why are they ignorant and illiterate? You've had them for hundreds of years." That settled it. That was enough.
E-23 And our blessed Lord Jesus done the exceedingly abundantly. The first night, it was marvelous to see what He was a doing. And it was so easy to humble into the Spirit of God, 'cause poor people standing there just reeling against one another, holding each other, and them blowing sands and winds shifting around, and four crippled, afflicted...
And on the next, the second night... The first night the Lord healed a man that had been blind for years. Many other things taken place. And on the second night the--the climax came at the second night of the meeting, that when they went... A--a lady way back, way back, almost a city block, screaming and fighting and pushing and going on, and finally she got to the platform. Billy Paul was with me, Brother Moore, Brother Brown. I wonder if Brother Alment is in the meeting tonight? He... Yes, Brother Alment, you--you was there, wasn't you? Is Leo and Gene here, they're supposed to be. Leo and them wasn't there, I don't believe. Was anybody else at the Mexican meeting that was there as a testimony or witness. Mr. Alment was there; I know he was there, 'cause he went down with us as far as Texas, and then went on down on the bus.
E-24 When I looked over and Billy came to me and Brother Moore and them said, "Brother Branham, you can't do nothing with her." Said, "Her baby died." And said, "You can't do nothing about it." Said, "She's fighting her way and screaming, 'Padre.'" You know that word, father. "Padre, Padre." Going on.
So I said, "Brother Moore go down..."
Billy said, "You... She's just fighting everything." Said, "She got that dead baby there, and it's stiff in her arms." And said...
So I said... She was standing then as close as the corner there, down over the audience like that. And I said, "Well, Brother Moore, you go down and pray for her and console her some way. She won't know the difference of who we are praying." I said, "Go and console her," like that.
Brother Moore started down there, and I looked up and saw a vision. And there I seen a doctor shake his head and say to her, "The baby's dying." And the baby actually had died. And that was the day before he told her. And the mother brought the baby that day and couldn't get up there. And then that day, the--the following day, which was the second day of the meeting, she had brought the baby and standing back out there, and it a terrible night. And the baby died in her arms, just straightened out, and stiffened out and died. And she started screaming. The baby been dead ten, fifteen minutes maybe and maybe twenty, time she got up there.
Well, I went down to where the little fellow was in his mother's arms, dead. And I said... I couldn't speak to her, no interpreter there to talk to her. So I just took and laid hands over on the little fellow and said, "Dear Lord Jesus, just look at the heart of this poor mother." And when I did that the little baby started kicking and screaming; it come to life. And that just tore Mexico up. I'm... And she had it there at the platform, a live baby, nothing wrong with it, perfectly alive.
E-25 And the night at the altar call, I made the altar call and I said, "I do not want any evangelicals raising their hand or anybody that goes to church. I want only those who have never went to church." What did He do? The Gospel is a... I said, "He said to John's disciples, 'Go tell John these things,' or show John. 'The lame walk, the blind see.'"
They just rake up arm loads and loads of crutches and sticks and things, where they'd just leave them laying there. Just congregational prayer, when they seen that happen. See? That's all they wanted to know, that it--He really lived, that's all they knowed. And if they... They'd been kept under superstition long enough. When they seen the real Lord Jesus out in His power, and hear Him go out in the audience, say, "The man standing there with so-and-so, his name is," couldn't even speak it, have to spell it out, and like that. And, "He come from a certain city. He's this way, and he did this. And this is supposed to take place. Stand up, the Lord Jesus has made you well." Up he'd go. "Here's another one over here; his name is Pedro so-and-so; he come from so-and-so. He did so-and-so. You did a thing the other day that you oughtn't to have done when you did so-and-so. Now, make that right before God and God will make you well." And screaming away he'd go. Them people just dropped their crutches and everything, throw them away, start running around praising the Lord. That's right. That was Catholic people. See?
E-26 And so when this little... I said, "Don't no one raise your hand. I can't make an altar call no more, and if you raise your hand, be sure that you understand that you are now forsaking your sins and accepting Jesus Christ as your personal Saviour, after you have seen and declared that He has risen from the dead. He still does the same things today that He did." I said, "Once you might've thought there was a Jesus, but He died many years ago and that was the end of Him. But two thousand years has passed and here He is right here now in the midst of you, doing the same thing. 'The lame walks; the blind sees; the poor has the Gospel preached; the dead's raised up. And blessed is he who is not offended in Me,' said the Lord Jesus." I said, "How many now upon--that's never been Christians, that will accept the Lord Jesus as personal Saviour?" And all around... They judged around twenty thousand at one time accepted the Lord Jesus as personal Saviour; twenty thousand people at one time.
E-27 Well, I believe, if it ha... I'd a had to cancel Joseph's meeting here, your meeting, and by the grace of God, I've said... May Satan may get me in such a fix some time till I have to be packed to the platform, but I'll have to be pretty sick I believe, or something happen that I can't, before I ever want to cancel a meeting of any kind. It's been said that I've been places and advertised here. I can't help that. Somebody else advertised that. But when I promise, I want to keep my word.
E-28 And so they said, "Brother Branham, if you'll stay and make out fifteen days of meeting here, and this just getting spreading out..." And from that night to the next night the trou--crowds tripled, three times what they was the night before, hanging over the walls and everything. It was a--a marvelous... Not setting, standing, standing up just right against each other, like that. Just like an ocean of people.
And now, what would it be for fifteen nights? He said, "Mexico will have a dent put in it for Christianity, that if the world stands in three, four hundred years from now, they'll still be talking about it." But I had these meetings, but I'm going back to Mexico someday. And I want the Lord to send me back so I can go back like I did then in the Name of the Lord Jesus. That's right. What did that? Your prayers. I remembered the Philadelphian church praying for me on those nights. I always remember that, that you're praying for me.
E-29 Now, how happy should we be? Now, upon record, I have four different times, four witnesses, all four living today, that Jesus Christ raised them from the dead after they had been dead: four outstanding cases. Three of them is by doctors. This one, I've... Brother Alment, you heard me say, "Get the doctor's statement, everything you can, and get it all authentically so that I can then place it out." You see? So I know the baby was dead, I--I seen it and knowed it, and knowed that God did it. But this is a day that where you have to prove everything.
In the days of the Bible when a miracle was done, they just said, "Praise the Lord." But today we got to prove everything. We got to go down... If it'd been the days of Moses when that bush was a burning, they had to pull some of the leaves off and take it down to the laboratory and analyze them and see what was on that leaf that--that it didn't burn. That's the reason we don't get very far, isn't that right? If God does anything, say, "Praise the Lord, I believe it and that's all there is to it," and go on. That's right.
E-30 And today we have osteopath, chiropractors, medical science, Divine healing, and each one seems to fight against the other. And now, friends, we got to admit that all of them helps people. That's right. And why can't people forget their differences and let's all work together to try to help our fellow man, our brother. And if we don't have that kind of motive, my opinion that there's some other selfish motive behind it. If I knowed that--that drinking a drink of water or--or doing anything would try to help somebody, God knows I'm for it; that's all. Anything, if osteopathic, chiropractic, medical science, or anything, could give anybody some help, praise God for it; I thank Him with all my heart (That's right.), that we have those things. And if we could just take that old selfish motive...
The medical science say, "Oh, there's nothing to chiropractic."
Chiropractic, "There's nothing to mer--medical science."
And both of them, "There's nothing to Divine healing."
Let's put our arms around one another and say, "Let's--let's be brethren; let's help somebody. Let's make life a little easier. These people ain't going to be here very long. Let's--let's just try to make it just as easy for them. If the osteopathic, chiropractor, whatever it is, if it can help you, go ahead and do it; that's fine. Give God the praise." That's exactly.
If somebody comes through with a gift of healing, faith, well, don't give the man praise; give God praise. If the doctor can take a--a--set your arm when it's broke, and fix it up, make it real straight, and God heals it, give God praise. That's right. If the chiropractor... You got a dislocated spine, he can straighten the back up and make you walk right again, give God praise, not the man. See? Let's all get together. And all that is coming from God. "All good and perfect gifts comes from God," God alone.
E-31 Now, may the Lord bless you. I want to read a little out of the Scripture here so that our meeting will be based a little bit on the Scriptures and so forth, which I know it is. We're telling you the truth. But I love to testify. Don't you, you like testimonies? And, oh, my...
Will you pray for me to go back to Mexico? And, oh, I go down there and the poor people, and we didn't... What little we had we could help them and get... Oh, the Lord just blessed wonderfully.
E-32 Now, we're going to read out of the Book of I Chronicles the 17th chapter and the 7th verse. Long ago this come to me, and I've got it marked here what--what happened. And I never did try to preach on this. I said to Brother Wood, that came with me tonight over to the meeting; I said, "Tonight I'm going to talk to the people, just a good heart to heart talk." Tomorrow night we're in the Lane Tech, where we have plenty of room, can bring the people up easy and so forth, for prayer service and so forth. Now, in the 7th verse we read this.
Now therefore... thou... say unto my servant David, Thus saith the LORD... I took thee from the sheepcote, even from following the sheep...
E-33 When I read that, I--my heart just poured out of me. "David, I took you from the sheepcote." And you know why it meant so much to me? This is it. When I was reading that, I thought, "Ten years ago..." Now, I'm--I... You all my... We're home folks, aren't we? We can say that. You see? You... In a little--our little group like this we can speak to one another just like we would knowed one another for years, and we do.
I thought, "Ten years ago I was walking a line for forty cents an hour, because I didn't even have the education to get out and get a job that would pay more: thirty miles a day through the wilderness, home once a week, for forty cents an hour. And I was known around Jeffersonville, Indiana. And today, by the grace of God, still with no education, I guess I know ten million people or more, around the world." Who did that?
I was talking to the wife; she said, "Billy, I remember seeing you come in out of them thickets, ragged and tore, and weighed about a hundred and ten, fifteen pounds, your face swathy, your clothes tore off of you from patrolling down through those lines and things."
I'd go downtown. My father drinked awful heavy, and the name wasn't too good in Jeffersonville. But I thought, "That can't be that way." And I thought, "Today when I come home, I have to slip out in the wilderness somewhere to hide to get just a little bit of rest from dear, loving, sweet people." I love people, and I wanted their fellowship. And what happened? I couldn't do it; there's no way for me to do it. There's nothing could happen, but Jesus Christ stooped down. I have no more education than I had then. I never did have a personality. I--I have nothing in the world that I could contribute it to, only the love of God that stooped down.
E-34 And David had been a little shepherd; He said, "I took you from the sheepcote out yonder. Who was you, David? I took you from the sheepcote, from following your father's sheep, and made you a great name," like man of great of the earth.
And I thought of that, about sheep and shepherd. Why did He choose David? David was always talking about still waters and green pastures. He was the psalmist that wrote songs and played on his harp to the glory of God. And he must have been something about David tending sheep; he must have been a real sheepherder. Did you notice one time there was a bear run in and got one of his sheep, and he killed that bear. And a lion run in and got one and he caught that beard--lion by the beard and took a knife and killed that lion. See, it was sacrificing for his sheep. And if he was willing to lay down his life for the sheep, he was a type of the good Shepherd. He was the Son of David, you know, the real Shepherd, the King Shepherd over all.
Did you ever notice in the Bible, just thinking the other day, when a prophet speaks, he says, "THUS SAITH THE LORD." But when Jesus spoke He never said that. He said, "But I say unto you." Then call Him a prophet. He was Emmanuel. Never said, "THUS SAITH THE LORD," He was the Lord. "I say unto you."
E-35 Now, there's something that God always likened people unto sheep, did you ever notice? "You're the sheep of the pasture, the sheep of one fold. Other sheep have I," and so forth, likening people unto sheep. You know why He likened us to sheep? Did you ever--did you ever fool with sheep any? They're certainly educational, and a Divine education to--to learn of sheep. I've raised them and shepherded them around, and the little fellows.
But when a sheep is lost, he's absolutely helpless. I picked up sheep, not standing maybe three hundred yards from the sheepfold, and--where all the other sheep was. And that sheep when he's lost he can't help himself; he just stands there and bleats and bleats until the wolf gets him or something takes place. He--he just can't find his way back. He's totally helpless without a shepherd.
E-36 And that's the way the human race is, we are absolutely, totally, helpless without the Shepherd of the fold. We can't find our way back. We tried to educate our way back; we've tried to reform our way back; but we'll never be able. Education will never do it. Reformation will never do it. We're not reformers. The police out here are reformers. We're preachers of the Gospel, not to try to put people on penalty and crawl on your knees and so forth, but to preach the Gospel of Jesus Christ: deliverance to the people. That's what the shepherds are supposed to do, to feed the sheep. You know He said to Peter, "Love me, Peter, more than these?"
"Yes."
"Feed My sheep." Now, He never said, "Drive My sheep." He never said, "Kick My sheep." He said, "Feed My sheep." That's what the sheep needs, is some sheep food, don't you think so? And you know the best sheep food I know of for you sick sheep and all kinds of sheep? Here it is. That's right. In this great big bread basket of God. "Man shall not live by bread alone, but by every Word that proceedeth out of the mouth of God." That's what the Holy Spirit lives on, that's in you, lives on the Word of God. That connection of shepherd and sheep...
E-37 I... One time when I was over in the orient, I learned a great lesson about... I seen in Saint John, I believe the 10th chapter, where He said, "I am the--the gate to the sheepfold," or the door to the sheepfold. I often wondered how could He, being a man, be a door? But then when I was over there I learned what it meant. The shepherds drive their sheep into the sheepfold, and they got a--a arch that they go in at, and when he drives them all in there, then after they're all in, then he counts them, and ev... If there's one lacking, he will go out and get it. He has to bring it in. Every sheep has to be accounted for every hour of the day.
Oh, what a Shepherd He is. He had--gives an account for every sheep every hour of the day. No matter where you're at, He knows where you're at. He knows all about you. That's the reason He can stand here at the platform through yielded people and reveal and tell and talk; He knows. He knows where you was at a year ago. He knows where you was at--at all the time. He has to give an account for His sheep, ever--and especially they're all renumbered again after they're gathered into the fold. I thought, "What a beautiful picture, gathering them into the fold and numbering them."
E-38 And then after he gets them all numbered and they're all bedded down, the shepherd goes down by this hole where the sheep come in at, and lays himself down across the hole. Then no wolf can come in, no thief can come in, no harm can come in, 'less it comes over the shepherd first.
What a picture of Christ laying Hisself down for us, that nothing can harm us unless it comes over Him. So if you're sick and you say, "Brother Branham, sickness crossed over Him." But it was for the glory of God. That's right. He wants to maybe give you a testimony. As the fellow said one time, he seen a shepherd with its a--packing a sheep. And he said, "Well..." The... Had his leg all bandaged up, and he said, "Well, what did you... What's the matter, did it fall off a cliff?"
Said, "No," said, "I broke its leg."
"Oh," he said, "you must be a cruel shepherd to break your own sheep's leg."
Said, "No, the sheep wouldn't mind me, so I had to break her leg in order to hold her, pet her, and love her, and give her a little special food, so that she would love me and follow me."
And so sometime God has to do that to us. Let the doctor say, "Oh, it's all over; nothing could be done."
And then God takes you up in His arms and pats you a little bit, says, "Child of Mine, don't you know I love you? Don't you know I'm the Lord that healeth all of thy diseases?"
"But Lord, I was taught that the days of mir..."
"I know you was, but I just had to let this happen so I could just show you a little special favor. Now, don't you love Me just a little more now I'm going to let you get well."
Did you ever have that just come to you? I have many times. Let something happen, just to check me down a little, to let Him express His love...
E-39 Now, another thing you notice about sheep and the shepherd. You know it's a disgrace for the shepherd to lose one sheep. Did you know that? It's a reproach on the shepherd. Now, I'm going... Now, hold wide now. Oh, my, yes, sir. If the shepherd loses one sheep it is a disgrace on him. "All the Father has given Me will come, and none's lost." See, that's... "All that comes to Me..."
All right, the shepherd can't afford to lose the sheep. That's the reason, you backslider tonight, He's still honking--haunt--hanging around your heart, trying to draw you back to the fold, because He once kissed you, and you kissed Him and told Him that you loved Him and raised your hands and praised Him, and you backslid and went out there, and got all butchered up and wounded up in your spirit. But He still holds around you all the time, "Come on back, wandering sheep. I just can't afford to let you be lost." Maybe the little sheep that He had to go way out on the mountain to find, all through the place, maybe you're that sheep tonight, laying out there wounded somewhere. But the shepherd can't afford to lose one sheep.
E-40 You know how the shepherd knows his sheep from other sheep? The shepherd knows it, if you'll notice, that all the sheep are branded. Aren't you glad you're branded? You know out into the west we used to brand the sheep all the time. And that brand... You know, sometimes when you brand a sheep or a cow, it's not very pleasant while you're branding, but he's sure branded after he gets through.
We used to... I would work on a cattle ranch; we'd--we'd rope these cattle, and then, what we call bulldog them a lot of times, or throw them. And as soon as you throwed them... My job was to pack the iron. I was too little to throw the steers, so I--I'd had to pack the iron, keep it hot and run over there. And they'd take this iron and slap it down on top of that cow or sheep that they were branding. And, oh, my, you talk about burning. But, brother, he was marked for the rest of his time.
So sometime when the Gospel is preached, harsh, hard, It burns, and stings to the core. You have to leave a lot of things that you once held onto, but you're marked, brother. Don't worry.
E-41 And when the sheep was marked... Here's the beautiful part. "Oh," you say, "that's all right, preacher, but how about all these marks then?" All right. Everybody we're marked. One marks this way, and one marked the other way, one Orthodox and the other one Episcopalian and this. But wait a minute, the shepherd bore the mark of his sheep in his hand. If you want to know what sheep that that... See, the shepherd's got the mark on his hand also.
And how appropriate that is tonight of our great Shepherd marked. He said, "A woman might forget her--mother might forget her little suckling babe, but never will I forget you 'cause your names are written in My hand." Marked, the shepherd carries the mark of his sheep. "I know My sheep and My sheep know Me." They mark the same mark.
E-42 Then His Church has got the same mark. What kind of a mark did He have? Spiritually speaking, when He was here on earth He was despised and rejected, a Man of sorrow, acquainted with grief. But God was with Him, signs and wonders accompanying Him everywhere He went. He could discern the thoughts of their heart. He said, "I do as the Father shows Me." The sick was healed; the dead was raised up; the poor had the Gospel preached.
And tonight the Church of the living God bears the mark of the living God. "These things that I do shall you also." Saint John 7:12 said, "He that believeth on Me, the works that I do shall he also; and greater works than this will he do, for I go unto My Father," branded. Amen.
E-43 You may have to be called a fanatic. You may have to be called holy-roller. You might have to take any kind of a ecclesiastical mark of scorn and brand, but as long as your Shepherd was branded with the same thing... He was despised and rejected of men. People hated Him. Why? Because He did right, because He did good.
Stephen the first martyr died because he told them that they were stiffnecked, uncircumcised in the heart and ears; they was resisting the Holy Ghost. Branded with the same brand the Shepherd died on...
Yes, sheep raising, branding, getting together. Aren't you glad tonight that you can... Well, the apostle said, "They returned rejoicing, because they--that they were counted worthy to bear the reproach of His Name." How happy ought we to be nineteen hundred years later to see the same Holy Ghost working in the same kind of a people, and causing the same results from the outside to point a scornful finger, and also the same results on the inside for a resurrected Lord Jesus stretching forth His hands to do signs and wonders that He did at the beginning.
Shepherds and sheep... I'm so happy tonight that our Shepherd bore those marks in His body.
E-44 Not long ago in the orient when I was traveling with a friend in a jeep, we crossed over a place, and I heard brakes a squeaking, and the jeeps a stopping, and cars a squealing, and I thought, "What taken place down there?" He stood outside the jeep and raised up, and looked down, and said, "Oh, it's a shepherd."
"A shepherd?"
"Oh, yes." Said, "In this country the shepherd is the highest respected man in the country." Amen. Highest respected... Today, preacher brother, Christian, you leaders of the flock, you might be scorned and laughed at for this is the day of man. But when the day of the Lord comes, it'll be different.
E-45 One time in New Albany, Indiana, when our late President Roosevelt was coming down to make a speech, and he came down by the train, and they stopped down at the river, I tell you, every place was filled up. And two or three of us preachers, little, what we call Holy Ghost preachers... I tell you, talking about a back number, we was. They wouldn't even let us get nowhere. So we had to stand way back up somewhere. But I thought, "Yeah, this is the day of man. But wait till the day of the Lord comes." Amen.
E-46 A missionary returning from overseas after twenty years, broke down, his shoulders drooped, his hair gray, his lips a quivering, shaking with palsy, after winning hundreds of souls to Christ, came into New York, he seen the bands all beating and everything, he thought, "Oh, thank God." He said, "To get back to the homeland again and the bands all playing and everything, the great police escorts, the flowers and the garlands hanging," he said, "what a welcome home, what a wonderful." But when he stepped off, it was some movie star that had been over there making a picture. Nobody even knowed, didn't have one person to welcome him. He stood and said, "I guess this is not home then."
Right. But wait one day when the angelic bands come out at the portals of glory, when the old weather beaten beat down saints of God come marching in by the angel band. When they stand by the millions singing the redemptive songs of Zion while ten million Angels stands around the earth with bowed heads, not even knowing what we're talking about. That'll be the day of the Lord. Yes. Every--every wheel will stop and give away for that. That's right. This is the day of man. I might get along good, and be acquainted with the mayor, and have the pat on the back, and all these things of the politician; but I'd rather have the kiss of God on my heart to know that I'm branded like He was branded.
E-47 You know, a little song they used to sing down at the tabernacle. Don't know just how the tune of it went; I can't--couldn't sing it anyhow. But something about, "They pass me by unnoticed, where they once passed with a smile." Something that said, "Now, I'm marked, marked, I'm marked, now wherever I go, I'm marked, marked, what I am everybody seems to know." See? "But I'm sealed, sealed, sealed by God's Spirit Divine, O glory to God, Hallelujah! I am His and I know that He is mine.
Yes. I don't care, just so I got His mark. And what was His mark? The Holy Spirit was in Him without measure, doing the work of the Father, not trying to please men or get the praise of men, not trying to please Himself, but to do the work of God and God was in Him. Peter said, "Ye men of Israel," in Acts 2, "this Jesus of Nazareth Whom you crucified, God, a man approved of God among you by signs and wonders which God did by Him in the midst of you all..."
Nicodemus really testified to the church, said, "We know, Rabbi, You're a teacher come from God, 'cause no man could do the things that you, do except God be with him." That's the mark. That's it. I'm so glad to know tonight that I have the privilege to be called one of them (That's right.), to be one of them.
E-48 When all these brakes a squeaking, I raised up on the outside, and I seen a scene I never had thought I ever would. Right down through the middle of the street, not stopping for a red light or nothing, come a shepherd and all of his sheep following him. All the brakes and cars, everything stopped for the shepherd. I said, "Praise be to God."
"Oh," said, "he's an important person." Said, "Follow him a little." We watched him. He went right over into the little straight places and all laying out on each side of the street. And I said, "Well, don't... Why didn't them sheep turn that way?"
He said, "They everyone follow the shepherd. Wherever he goes the sheep follows." "Where He leads me I will follow." I said, "Do they ever drop out of line?"
He said, "If one ever drops out or disobeys, it's because he's sick."
Oh, spiritually speaking, sick sheep tonight, why did you drop out of the line? The Great Shepherd with His healing balm is here tonight to bundle it all up and bring you back to the walk of a Christian life again. Do you believe that? Sure. Said, "Just the sick and weakly would drop out." And the shepherd so nourishes them and brings them back.
E-49 So I watched these sheep, and one amazing thing that I noticed about them, about the sheep, was this. That when they went down through the street, they was all kind of dainties laying out. The--the Eastern countries are not like the Western. We put all of our things under all kind of a--a dehydration and has it laying up in a great frosted counters and so forth, but in the East, they lay them right out on the streets, right like that. And here come this shepherd with about a string of sheep almost a city block long, walking right down, not ten feet on either side, was dainty things to eat, like pears, and--and papayas, and everything laying out on the street; and he walked right down the street and not one sheep turned right or left to take a thing. Amen.
I said, "What about that, fellow?"
He said, "Them sheep is so devoted to the shepherd till way pay no attention to nothing but they follow him."
I thought, "O God, Your Church should be so devoted to You that the temptations of the world has nothing to do with them. They keep their mind on the Shepherd." That shepherd could make one step this way, they'd go back this way. Every sheep coming right behind the other one, make that same kind of a step, and follow the shepherd. Oh, to follow the footsteps of the Shepherd, that's it. Don't be tempted, tossed about, worried, tempted here and down here, and today you got the victory and tomorrow you're out of the victory. Follow the Shepherd. He's a leading.
E-50 "So My sheep know My voice," He said, "and a stranger..." Said, "They get accustomed to hearing."
I said, "Well if another shepherd would come in and give that little "o'de'le'lee" call that he gives there, would them sheep, if they were out in the field, come?"
Said, "Oh, no. No, those sheep know the very sound to every tone of that shepherd's voice."
I thought, "Well, this is the land of the Bible. Now, no matter, another shepherd could stand up and try to impersonate that, them sheep would just keep on grazing. But just let that little certain voice speak, every sheep would stand up in here. They'd line up, come marching. Oh, my. Some glorious day that King Shepherd will scream from the skies, and we'll take and march to Zion City, in that great unbreaking branch of the armies of the Lord, when we rise triumph over death and hell.
E-51 The great Shepherd of the flock. Oh, don't you love Him? I'll never forget it. Way back on the south sides of Africa, in those great sheep countries, I was going up over a hill. I was watching a little lamb getting real nervous. I said, "Wonder what's the matter with the little fellow." And, oh, he was just... He'd bleat; he'd look down; he'd eat a little bit and look around. I thought, "Well, what's the matter with the little fellow." I picked up my binoculars and I combed everywhere. Way back down behind him was a big, yellow mane lion slipping up real easy, coming to this little fellow. He couldn't see it, the animal.
Now, the deer or the bear can smell a human being, because of the musk glands under the arms. They smell that. And they can pick you up. Elk can pick you up sometimes nearly a half a mile away or more, if the wind's just right. That musk gland, that's what they smell, under your arm. And they--they can pick it up, but a sheep doesn't. And it doesn't smell the danger, the animal. But the instinct of the little lamb, he was nervous. He knew something was fixing to happen.
And how many tonight of poor little sheep out into the field today, at that great line of death a slipping right up on them and they're nervous. And the world's all tore up. They don't know what's the matter. When they know hanging yonder is an atomic bombs, and cobalts, and hydrogen bombs that might set this world to a total annihilation in twenty-four hours.
It's slipping upon us, friends. Be ready. Know the voice of the Shepherd.
E-52 And one of the startling things... In closing, I might say this. Many things I have learned in studying of sheep. But I seen a shepherd a herding also in a field, and he had some goats, and he had some--some camels, and he had some mules, and he had sheep. Well, I said, "I suppose the shepherd means just a herder?"
Said, "Yes, he could just herd anything." He said, "But, Brother Branham, it would be amazing for you to watch now when nighttime goes to coming." Said, "It's true. They all feed in the same pasture. They feed upon the same texture of grass." That's right. But he said, "You know what? When nighttime comes, the shepherd goes to calling in the evening. It's only the sheep that's took into the barn for the night." I thought, "O God, I--I want to be a sheep. I just don't want to enjoy blessings and eat the texture there. I want to be a sheep. I want to know Him in the power of His resurrection."
To know Him is have life. Not to know your catechism, that's not life. Not to know the doxology, not to know the apostles' creed, is not life. Not to know the Bible is life, as good as it may be. But to know Him is Life. And it's only those, that when evening time begins to set, and the sun of our life begins to go down, I want to hear across the mountain yonder that separates between me and glory, I want to hear the Shepherd's voice call, say, "Brother Branham, it was well done, My good and faithful servant." I trust that's to all of you the same way.
E-53 And if you don't know Him tonight, let's know Him now. Now's the time to know Him while we pray. We have our heads bowed, our hearts bowed also in His Presence, knowing the great King Shepherd is here now. I spoke to you at length and testified of His glory. And we love Him. I wonder tonight if there would be a stray yearling somewhere that's foolishly strayed off of the path, just not back. You're not in fellowship; you can't love and talk to Him like you really ought to. And just the beginning of this revival, would you just raise your hand for a word of prayer? God bless you, sir. God bless you, sister. God bless you. God bless you, sister. God bless you. That's good. God bless you, brother. God bless you. God bless you, sister, you, you, you, and you, and you, sister. God bless you. Up in the balcony, someone? God bless you; I see your hands up there. God bless you, my brother. Strayed sheep... God bless you, my dear brother here. Strayed sheep. God Bless you here in front of me. Just strayed off the path and really... You heard His voice calling, but you just neglected to go to Him. Night is a settling; darkness is coming.
E-54 Has there been any here that really never did even come? But you just feel like it right tonight that you'd like to say, "Oh, King Shepherd, I--I want to know Your voice, for You might call before daylight, and I wouldn't know where to follow. I want you to remember me, God, and I'll raise up my hand to You, and say, 'Remember me a sinner. I want to be remembered.'" God bless you. God bless you. That's good. Some other that's never accepted Christ. God bless you, young man. God bless you, my brother back there. God bless you, my sister over here. Never has been saved and wants to know the great Shepherd of the sheepfold...
E-55 You know what caused you to raise your hands? Jesus. God said in His Word, listen, "No man can come to Me except My Father draws him first." God's here, and He's drawing by the Holy Spirit. Some twenty or thirty put up their hands. And He's drawing by the Holy Spirit, because that you love Him. There's something in it; you that you just can't help it. What is it? It... One time you knew Him. You know, it's a--it's a reproach for the Shepherd to lose one of his sheep. He just can't afford to do it.
When Moses and Aaron, as a type, brought all Israel across Jordan, think of it, there wasn't one lost. Everyone of them crossed Jordan by the hand of God, through Moses. How much more will we cross through death's chilly seas, by the hand of God through Jesus as He extends to you tonight His nail scarred hands, don't you want to be branded with that Blood, the same Blood that was pierced by the cruel nails that put Him into the tree, and the thorns on His brow? You accept Him now.
E-56 Heavenly Father, we thank Thee tonight for all these who have raised their hands, and we know that by Your grace, Lord, and Your loving kindness that You'll not turn one of them down. "No man can come," You said, "except My Father draws him: and every one that comes I'll give him Eternal life and will raise him up at the last day." This is Your Words, Lord Jesus. You said, "He that heareth My word, and believeth on Him that sent Me, hath Everlasting Life, and shall never come into condemnation, but's passed from death to Life."
O God, what's taken place in this church just now? Death has been swapped for life, worry for joy, sorrow for gladness, despair for hope, the grave for glory. Oh, how wonderful. Your sheep has come home. They raised their hand. Touch them, Lord, with that Blood from Your own hand and brand them, Your sheep. They'll have to worry no more; they'll hear the Shepherd's voice, and they'll walk with Him as He walks. The things of the world will be dead for them from tonight on. They've accepted You. And they've come with their hands upon You, saying, you say, "Sheep of My fold, blood of My Blood, bone of My bone, come you blessed of My Father." And Lord God, give them peace and rest. And O God, may they go tell someone else, and may they come in. Grant it, Lord.
E-57 The day is far spent, and You're going to gather the sheep and separate them from the mules, from the camels, from the goats, and from the other animals that eat in the same pasture, from the same Word, from the same Bible, out of the same Book, out of the same building called church. But just the sheep will You call. "Many are called; few are chosen." Thou hast said so. "Not all that saith unto Me, Lord, Lord, will enter in. But the one that doeth the will of My Father." And, Lord, they have did the will of Father tonight by accepting the Lord Jesus as personal Saviour, and we thank You for them.
And, Father, we pray that we've found grace in Your sight and that You'll give us a greatest sweeping we've ever had in Chicago. Give us favor, Father, before the people that we might win them to Thee.
E-58 And now, while we have our heads bowed, and you who have accepted Christ, in a few moments I'm going to ask you to come right up here and stand around the altar for prayer. But just before we do that, I'm going to ask if there's any sick here that wants to be remembered in prayer, the Shepherd to remember you tonight as He intercedes. God, be merciful. Yes, I see the little girl, sister. God bless you, sweetheart. May God grant you your healing, honey. I see the rest of you. How much more does He see you? I see you, dad, setting here in a wheelchair. Trust to God that you--you won't have to set in it any more. Just believe Him now; have faith.
E-59 If a poor illiterate Mexican, who wouldn't even know his name if it was before him, laying paralyzed... And little spastic children wrapped around it. Poor little naked, half naked mothers, no shoes on, never had a pair of shoes in her life... Her poor husband work a day for about eight pesos, about sixty cents, stand in a little Martina and them along the street at night for an old greasy tortilla. He can't get one because he's got to buy a grease candle to go on a million dollar, old altar for his sins.
Oh, my God, if people like that can accept Jesus Christ just standing hours after hours, how much more... and have to accept it through an interpreter, how much more you setting in fine seats tonight, educated to the highest, plenty to eat on your tables, fine dress, and riding in an automobile, the comforts of home, what more could you ask for? Can't you accept Him now, believe it with all your heart that He makes you well? Sure, you can. Leave your crutches, your chairs, your troubles at the altar and walk away from here tonight new people, healed and well to serve the Lord Jesus.
E-60 Now, while you bow your heads and lay your hands on each other, I'll offer prayer for you for this. And then we're going to ask you to come to the altar and pray around the altar. Now, every one with your mind steadily, stayed on God. Wouldn't it be wonderful to see this man setting here in a wheelchair, be made whole. The man setting here, a colored man with an old cane, leaning over on the poor old fellow, wrinkled hands, God only knows how much work he's done. Day's about finished; his hair's frosted white.
See a little girl standing here and her mother trying to put her hand on the little afflicted child. You know Jesus sees this, the good Shepherd. Sure He does.
I see a dad laying his hand over on mother. What a scene, what a scene. Mother with her little baby grouped in her arms and her hands laying over on it.
Now, the good Shepherd's here. Don't have to be excited, just solemnly, calmly, come, say, "Shepherd of God, I come now; I'm in Your house and I--I come. I've heard Your Word, and--and I've seen Your works, and I come to accept You now. My child's sick; I'm going to believe it. I'm blind. I'm... If You can make a poor illiterate Mexican to see, if You--if You can raise a dead baby after it's done dead, back to life, and the doctors that say it's dying, and bring it back to life, how much more can You heal my child, Lord? I believe You."
E-61 Now, I'm going to offer a prayer for you with all my heart, dear people. Remember, it's been your prayers that's helped me out. It's been the contribution that you sent to me, give it to me, in a little love offering that feeds my children, pays my way to places. You're God's--you're God's purchase of His Blood. I have a suit of clothes on tonight because you paid for it. I'm called a servant of God tonight because your faith has rallied around what I've told you. It's you, the stars of the crown. I love you. I wouldn't tell you anything wrong at all. Surely, I found grace in your sight tonight to be... God has vindicated. I've told you the truth. Now, He's here and wants to make everyone of you well. I'm going to pray. "The prayer of faith shall save the sick," the Bible said. God shall raise him up.
E-62 Our kind heavenly Father, look upon this scene just now. We don't have to wait till some time they can be here on the platform, we just right now, Lord... You're here. Your Spirit's right on us now. I... Just as positive as I ever was of anything... Your servants, the ministers, are standing with bowed head, praying; the laity's with bowed heads; sick people with their hands on one another; mothers with their hands on little babies; fathers with hand on mother and vice versa, they're needy.
And, God, You've give me grace in their sight as a poor, unworthy, took--taken from a sheepcote. God, hardly had a sheepcote, but You took David. You said, "Now, I've made you a leader over My people Israel."
Nathanael said to him, "Do all's in your heart, David, for God's with you." Well, this is what's in my heart, Lord, to pray a prayer of faith for these poor sick people. Will You receive me, Lord? I put myself in the channel here to intercede through Jesus Christ for these people, the good Shepherd Who stands there stripes and wounded for our transgressions. "With His stripes we were healed." And, Father, I come with His blessings for the people. I come with His Spirit, with His anointing, with His Words, and they're out on the people now as it was like grains of food, and they've received that. O God, may they take root right now. May life begin to spring. May the seed begin to break open, life begin to raise up, strength begin to come into weak bodies, sight begin to come into blind eyes, strength into feeble knees. O God, may it start growing, the Holy Ghost purging it, purging it on and on and on, until one great victorious stream of God and every sick person be healed right here tonight. O blessed God, hear the prayer of Your unprofitable servant, through Jesus Christ's Name.
E-63 Now, with our heads bowed, our hands up to God, let's sing to Him, "Lord, I believe; Lord, I believe. Saviour raise my faith in Thee, till it could move the mountain; Lord, I believe. All my doubts are buried in the fountain." I'm taking the mark of the shepherd. I'm coming upon faith on God's Word as He did. Do that and you will receive.