La Marque De La Bête
1 Que le Seigneur vous bénisse. Bonjour, mes amis. Je suis heureux d’être de nouveau ici aujourd’hui. Et je vois qu’il fait un peu chaud là derrière, et s’il y a quelques ventilateurs qu’on aimerait mettre en marche, eh bien, ce sera en ordre.
J’étais juste un peu en retard. Je suis toujours un peu en retard, mais les appels téléphoniques et autres m’ont beaucoup retenu. Et, surtout, l’organisateur m’a téléphoné pour m’annoncer les lieux où se tiendront les prochaines réunions. Ainsi, le dimanche prochain, nous commencerons aux champs de foire, à Shreveport, sous une grande tente, le dimanche prochain, pour conduire une série de réunions de deux semaines. La première semaine, il n’y aura que les services de prédication, l’Evangile ; et puis, la deuxième semaine, un service de guérison. Et ensuite, du 5 au 9, ça sera à Saskatoon, dans le Saskatchewan, au Canada, dans l’arène verglacée, où nous étions il y a quelques années. Et puis, en ce moment-là, nous reviendrons pour aller ensuite en Californie, cette fois-là pour le grand rassemblement à l’occasion de cinquante ans de « la Rue Azusa ». Et la côte de Californie, là à San Francisco, et il est prévu là plusieurs réunions. Et Frère Kopp apprêtera très bientôt cela, aussitôt que nous les aurons programmées, si possible.
2 Eh bien, ce matin, je suis très content d’être un chrétien. Et je ne sais vraiment rien de plus glorieux que d’être un chrétien. Et je peux me souvenir des années passées et de la vie qui a été gaspillée. Et l’autre jour, je me disais, comme j’ai maintenant quarante-sept ans, je me disais : « Si seulement je pouvais récupérer ces vingt-trois ans que j’ai passées dans le monde ! » J’avais vingt-trois ans avant de devenir prédicateur de l’Evangile, par la grâce de Dieu. Et si seulement je pouvais récupérer ces années-là, j’aimerais bien le faire dans un seul but : consacrer cela à la prédication de l’Evangile, pour… ou au salut des âmes. Il n’y a rien de plus glorieux que de voir une âme naître dans le Royaume de Dieu.
3 Et je peux me souvenir des années passées dans le monde, où, apparemment, je pensais passer un bon moment. Du côté moral, je… le Seigneur m’a tellement béni de ce côté-là que je n’ai pas été immoral, en buvant, fumant, courant çà et là, une vie immorale. Mais cependant, je–je pensais être un très bon garçon, mais un jour, le Seigneur m’a amené sur le lit de mort, alors je me suis rendu compte qu’il n’y avait donc rien de bon en moi… Cela… Ainsi, cela… Il me fallait avoir l’expérience de la nouvelle naissance. Quand le Seigneur Jésus m’a sauvé… Je ne dis pas que tout va très bien depuis lors, mais j’ai eu beaucoup de joie de savoir que si n’importe quoi arrivait, tout irait bien (voyez ?), que je–j’ai avec Dieu une paix qui dépasse tout entendement. Parfois, je n’arrive pas à comprendre ces choses, mais connaissant Sa Parole où Il a promis cela, que tout concourt pour le bien, alors, c’est en ordre ; cela règle simplement la question pour toujours.
4 Eh bien, aujourd’hui, j’ai annoncé le sujet que j’allais enseigner : La Marque de la bête, qui est un sujet très capital. Et on pourrait, peut-être, essayer d’aborder cela aujourd’hui d’un–d’un point de vue… Eh bien, ce sujet prendrait probablement… Je peux m’attarder là-dessus trois ou quatre mois, jour pour jour, restant toujours dans les Ecritures sur ce grand sujet.
Mais aujourd’hui, je me suis dit que comme nous allons prier pour les malades après le service de l’école du dimanche, le matin… Beaucoup de gens s’assemblent ici pour la guérison, ils attendent là dans des motels et des hôtels, ils attendent de venir ce matin pour qu’on prie pour eux. Nous n’aimerions certainement pas prendre tout leur temps. Alors, si j’aborde ce sujet et qu’ensuite je continue là-dessus dans quelques jours, à mon retour, peut-être entre deux séries de réunions, alors revenir après cela… J’essayerai de continuer là-dessus, le Seigneur voulant, sur La Marque de la bête. Et vous… Pour enseigner sur la marque de la bête, on doit voir le sceau de Dieu, comparer avec ça, car les deux évoluent juste côte à côte.
5 Maintenant, abordons ce sujet très capital. Avant de l’aborder, parlons à l’Auteur de la Parole, le Seigneur Jésus, juste dans un moment de prière ; inclinons la tête.
Notre Bienveillant Père céleste, nous venons maintenant auprès de Toi, humblement, au Nom du Seigneur Jésus, Ton Fils. Et nous implorons la miséricorde divine et la conduite de Dieu dans les Ecritures ; je sais personnellement qu’ici devant moi se tiennent les rachetés par Son sang et qu’une seule Parole mal présentée pourrait causer l’égarement d’une âme. Mais une bonne Parole, présentée au bon moment et à l’endroit convenable, pourrait amener un pécheur rebelle à venir à Christ. Viens-nous donc en aide, Dieu bien-aimé, et scelle nos lèvres à tout ce qui serait contraire à Ta volonté divine. Tu connais chaque cœur, et Tu connais le besoin de chaque cœur. Et nous Te prions de laisser le Saint-Esprit prendre la Parole de Dieu, L’apporter à chaque cœur selon que nous en avons besoin, car nous le demandons au Nom de Christ, Ton Fils. Amen.
Maintenant, au chapitre 13 de–d’Apocalypse de Jésus-Christ, nous aimerions lire une portion là, et aussi au chapitre 14 du Livre d’Apocalypse.
6 Maintenant, il y a un–un siège ici, un petit banc, si frère Fleeman, si vous voulez le prendre pour certaines personnes qui sont là derrière. C’est vraiment collé au mur ici. Eh bien, vous serez plus que les bienvenus.
Notre petite église n’offre peut-être pas assez de places vu le nombre de–de gens, mais nous… les gens viennent et ne peuvent trouver des sièges, et alors ils rentrent. Mais c’est ici que nous avons commencé et c’est un petit endroit sacré, nous l’aimons beaucoup, de tout notre cœur. Et nous–nous aimons bien rester entre ces vieux petits murs, parce que Dieu y est souvent descendu et nous y a bénis.
7 Maintenant, au chapitre 13, à partir de… Voyons, nous commençons à partir du verset 11 du chapitre 13 d’Apocalypse. Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, et qui parlait comme un dragon. Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, même jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui était donné d’opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l’épée et qui vivait. Et il lui fut donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parlât, et qu’elle fît que tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête fussent tués. Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. Au chapitre 14, nous lisons ceci : Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Evangile éternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. Il disait d’une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux. Et un autre, un second ange suivit, en disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d’une voix forte : Si quelqu’un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, Il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l’agneau.
8 Eh bien, ce sujet important que nous abordons a certainement suscité une grande controverse et il y a eu des pour et des contre sur ce–sur ce sujet. Et moi, personnellement, je pense que c’est une portion importante et capitale des Ecritures ; en fait, toutes les Ecritures doivent être enseignées : Tout. Nous ne devrions rien laisser de côté. Dieu a parlé, dans les Ecritures, de la marque de la bête et comment elle apparaîtrait dans les derniers jours. Et, en tant que prédicateur de l’Evangile, je crois que nous vivons dans les derniers jours. Je pense que c’est un Message opportun qui devrait être abordé avec respect en ce jour-ci.
Eh bien, on a inculqué beaucoup d’idées aux gens concernant ce Message vital envoyé de Dieu et qui avertit l’Eglise. Il y a beaucoup de choses qui ont été conçues et enseignées aux gens sur ce qu’était cette marque de la bête. Et, évidemment, comme pour toutes les autres Ecritures, cela suscite des cultes. Et, mais, assurément, si pareille chose est sur le point d’arriver aux habitants de la terre, il devrait y avoir un Evangile, une réponse raisonnable à la question.
9 Si Dieu a dit que ceux qui reçoivent cela seront tourmentés dans la Présence de l’Agneau et des anges, dans le feu et le soufre, qu’il y aura un châtiment éternel et perpétuel pour ceux qui reçoivent cette grande marque, il est indispensable pour nous d’avoir une conception de ce que cela est.
Et alors, cela ne devrait pas être abordé par une théologie mentale. Cela devrait être abordé avec les Ecritures. Les Ecritures doivent concorder. Nous savons que lire la Bible… Vous ne La lisez pas comme vous lirez un journal ; en effet, la sagesse du Saint-Esprit, c’est de cacher beaucoup de choses aux yeux des sages et des intelligents et de les révéler aux enfants qui veulent apprendre. Dieu veut quelqu’un qui a faim, de telle sorte qu’Il peut l’amener à l’écart, le faire asseoir et lui dire : «Voici, Mon enfant ; c’est ça. Le monde ne comprend pas ça, mais vous, vous comprendrez. » Voyez ? Voyez ?
Qu’il en soit ainsi. Donc, toutes les Ecritures étant données par inspiration, doivent aussi être interprétées par inspiration. Et les Ecritures doivent donc concorder.
10 Et aujourd’hui, je pensais que peut-être–peut-être, sachant que, par la grâce de Dieu et le ministère qui m’a été confié d’amener les gens… Oh! comme les gens s’attachent aux mots et s’y accrochent, j’essaye toujours d’aborder Cela avec autant de respect et de désintéressement que possible ; en effet… et par les Ecritures. Et si ça ne concorde pas avec les Ecritures, alors je laisse simplement cela de côté.
Eh bien, ceci a été souvent dit, ça a été inculqué ici il y a quelques années. Je me rappelle que quand j’étais un jeune prédicateur, les gens ne voulaient pas placer le petit N.R.A. à leurs fenêtres, ils disaient que c’était cela la marque de la bête. Il a été souvent dit que la hiérarchie catholique, le pape de Rome, et souvent les différents personnages qui ont été suscités comme Adolf Hitler, Mussolini et beaucoup de ces gens, étaient la marque de la bête et autres.
Eh bien, comme je ne suis pas instruit, j’essaie d’utiliser les Ecritures de l’Ancien Testament comme un type ou une ombre du Nouveau. Dieu annonce tout sous forme de type avant que cela arrive, dans tous les âges, et jamais cela n’a failli : dans tous les âges.
11 Eh bien, ce matin, je pensais qu’on passerait un bon moment en retournant prendre la marque de la bête sous sa forme amateur, ou plutôt à ses débuts, là où ça commence. Et il est vrai qu’il y aura une certaine personne, un homme, en qui cela va aboutir en ces derniers jours. Mais ça a été annoncé sous forme de type là au commencement et c’est aussi présenté sous forme de type dans votre vie, et c’est présenté sous forme de type dans chaque âge de l’église ; et puis, cela en arrive à une réalité dans un homme, dans les derniers jours.
Maintenant, pour aborder cela, comme je l’ai dit, cela prendrait des semaines à l’enseigner dans la Bible. Mais comme aujourd’hui nous n’avons qu’un temps court et limité, nous l’examinerons sous une forme amateur, ou plutôt, non pas… ce n’est pas ce que je veux dire. Je veux dire à ses débuts, son origine, et démontrer cela, le début de la marque de la bête. Comment reçoit-on cela ?
Je suis sûr que personne parmi nous n’en veut ; jamais. En effet, ceux qui la portent ne vont certainement pas se tenir dans la Présence de Dieu. Et cela aura lieu dans le dernier jour, c’est alors que ça doit être manifesté. Et il nous faudra certainement connaître une raison, ou plutôt ce que c’est. Eh bien, hier soir, pendant que j’étudiais dans le sous-sol, parcourant les Ecritures, sondant, comme je le fais semaines après semaines sur ce sujet…
12 Eh bien, parfois en parlant dans un auditoire mixte, comme nous en avons aujourd’hui, où il y a et des hommes et des femmes, parfois j’utilise des paraboles pour me faire comprendre ; on aura peut-être l’impression que je dis quelque chose qui ne serait vraiment pas approprié dans un groupe mixte. Mais si vous étiez assis au cabinet du médecin, ce serait approprié. Vous pourriez l’entendre, peu importe que vous soyez une adolescente, ou un adolescent, qui que vous soyez. Et nous sommes dans la maison de Dieu où il nous faut avoir des pensées pures et des cœurs purs. Si ce n’était pas le cas, notre place serait à l’autel. C’est vrai.
Ainsi, pour ces termes… Et, à aucun moment je n’ai l’intention d’utiliser quelque chose pour le lancer aux gens. Si je le fais, alors il me faut me retrouver à l’autel. Mais c’est pour apporter la Vérité de l’Evangile, pour connaître Cela. Car si vous manquez de dire la vérité, Dieu demandera des comptes au pasteur. Alors, si le pasteur s’en débarrasse en le disant à l’assemblée, alors l’assemblée répondra pour elle-même.
13 Maintenant, tout l’Ancien Testament, ce sont les types, les ombres, Christ sous forme de l’Agneau. Comme Dieu connaissait tout au commencement, il n’y a rien qui ait donc été prédit ou qui ait été placé dans les Ecritures sans que Dieu en ait déjà parlé avant la fondation du monde. Tout le plan de Dieu avait été tracé. Croyez-vous cela ? Saint Jean, chapitre 1, verset 7, Il est dit : « Au commencement était la Parole,… la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. »
Donc, ce que cette Bible était, c’est Dieu avant la fondation du monde. L’unique raison pour laquelle Elle est écrite ici, c’est que les prophètes recevaient de Dieu, par prescience, le plan prédestiné pour les âges.
Un juriste étudie les codes pour avoir toute la connaissance, il sait comment s’y prendre, afin qu’il puisse mettre cela au profit de son–de son client. Oh ! c’est pareil pour les prophètes, les docteurs. Ils étudient la Parole.
D’abord, le prophète va auprès de Dieu. Et la Parole descend ; alors, il a écrit Cela dans la Bible. Et alors, c’était le plan pré-ordonné de Dieu que les prophètes voyaient. Et il a écrit Cela sous forme des paroles de sorte que les gens, en suivant, soient avertis des situations et des événements à venir. Voyez ? Bon, c’est par inspiration que la Parole a été proclamée par Dieu. C’est par inspiration que les prophètes L’ont apportée. Et c’est par inspiration qu’il nous faut La recevoir. Ce n’est pas naturel, ce n’est pas une chose naturelle. Ce n’est pas une… la pensée charnelle… Ecoutez. L’homme, dans son état charnel, ne peut jamais comprendre Cela. En aucun cas. C’est impossible. En effet, les choses spirituelles sont de la folie pour un esprit charnel, disent les Ecritures et vice-versa. Donc, il nous faut être spirituel.
14 Eh bien, alors que nous abordons ceci, prenons quelque chose dans l’Ancien Testament que même les nouveau-nés, les enfants en Christ, pourraient saisir, comprendre alors que nous le montrerons en paraboles, comment c’est arrivé. Comme je le dis donc, rappelez-vous, tout dans l’Ancien Testament était une ombre des biens à venir. Hébreux 11.1… « … La loi qui possède une ombre des biens… » Une ombre… Hébreux 10 plutôt ,1… « La loi qui possède une ombre des biens à venir… » Donc on offrait un agneau dans l’Ancien Testament comme une ombre de ce que Dieu donnerait l’Agneau de Dieu. Tout était une ombre. Donc, si cette grande et vitale prédiction ici, dans les Ecritures… assurément que Dieu nous en donnera une préfiguration, comment ça se fait.
15 Eh bien, je pense qu’il y a un très beau type de cela dans les Ecritures et il a été donné par inspiration. Et nous pouvons retourner dans–dans Exode. Nous pourrons retourner dans Lévitique 21 voir l’année de jubilé, et aller dans Exode, je pense, vers le chapitre 6 et autres, et à beaucoup d’autres passages pour relever cela.
Mais maintenant, comment sommes-nous sauvés ? C’est par la foi que vous êtes sauvé, et cela par la grâce : Il n’y a rien que vous puissiez faire, il n’y a rien que vous puissiez faire pour être sauvé. Si vous le pouvez, alors la mort de Christ est vaine. Ce n’est pas par ce que vous mangez, ce que vous buvez, votre habillement, telle ou telle chose, mais vous êtes sauvé par la grâce au moyen de la foi. Dieu, par Sa grâce souveraine, avait pré-ordonné, avait amené votre parole… votre vie à l’existence par la Parole avant donc la fondation du monde et, par Sa pensée infinie, Il savait ce que vous serez tout à la fin.
Alors, la grâce L’a contraint. L’amour L’a contraint à projeter la grâce souveraine sur la terre pour faire une provision afin de vous sauver. Puisqu’Il vous avait vu avec le désir d’être sauvé, alors Dieu, par Son amour, Ses grands attributs, ne se permettrait rien d’autre.
16 Si Dieu est amour et qu’Il voit devant Lui un groupe de gens qui va être perdu, c’est à l’amour d’intervenir, de faire une issue. Il doit le faire. Ce serait contraire à Sa nature de ne pas le faire. Il fraye donc une voie. Et alors, quand Il fraye une voie, il a aussi placé beaucoup de poteaux indicateurs, de signes d’avertissement, de feux rouges et autres, comme nous effectuons le pèlerinage de la vie. Eh bien, même la loi du pays place des stops, des feux rouges, des feux verts, pour nous épargner la vie mortelle. Et là, c’est juste la sympathie qu’éprouvent les hommes les uns envers les autres. Combien plus le Dieu du Ciel a-t-Il placé des signes d’avertissement, des signaux, des signes, pour nous permettre d’éviter ces choses.
17 Et aujourd’hui, nous abordons le sujet relatif à l’un de ces signes vitaux, les grandes barricades qui se sont érigées.
Maintenant, une marque, la Bible dit que la marque de la bête sera identifiée à la main ou à la tête. J’ai entendu cela être prédit de plusieurs manières, qu’on vous mettrait un signe de tatouage à la main, un signe à la tête.
Eh bien, je ne pense pas que cela soit conforme aux Ecritures. Il y aura un groupe de gens qui seront marqués pour leur destinée en enfer. Et il y aura un groupe de gens qui seront marqués pour leur destinée éternelle au Ciel. Et ces deux marques évoluent côte à côte. Et ça deviendra si puissant (écoutez.), si serré que… Juste avant la Venue du Seigneur, il vous faudra avoir l’une ou l’autre marque, sinon il y aura un boycott : Vous ne pourrez ni acheter ni vendre.
Remarquez. Maintenant, comment commence-t-elle ? Eh bien, ces deux grandes choses opèrent dans les églises depuis des années. Maintenant, écoutez. Judas était l’antichrist. Nous le savons. Apparemment, il n’était pas contre Christ. Apparemment, il était pour Christ. Et la Bible dit que, dans les derniers jours, ces deux esprits seront si proches l’un de l’autre que cela séduirait même les élus, si c’était possible.
Et de même que l’Esprit de Dieu, depuis le commencement, avait fini par opérer dans Moïse… Croyez-vous que Christ était en Moïse ? Certainement. Christ était-Il en Joseph ? Eh bien, il représent… Il a bien parfaitement représenté Christ : Né, aimé du père, haï de ses frères, vendu à pratiquement trente pièces d’argent, jeté dans une fosse et censé être mort, il en est ressorti, il s’est assis à la droite de Pharaon, dans la nation la plus puissante du monde. Quand il passait, les gens s’agenouillaient : « Joseph arrive. » Un type parfait de Christ… Comment ses frères se sont fait connaître à lui, comment ils ont pleuré, disant : « C’est à cause de notre péché », et comment cela représentait Christ à la lettre.
18 Considérez David. Le Fils de David, Christ était le Fils de David. Christ en David a été haï, méprisé, rejeté par Son propre peuple, détrôné ; il a gravi la montagne, s’est retourné, a pleuré parce que même ses propres enfants bien-aimés l’avaient rejeté et détrôné. Et il a pleuré sur Jérusalem alors qu’il gravissait : un type parfait de Christ, le Fils de David se tenant sur le Mont des oliviers, rejeté par Ses propres bien-aimés. Et Il s’est tenu là, pleurant sur Jérusalem, disant : « Combien de fois ai-Je voulu te couver comme une poule couve ses poussins, mais tu ne l’as pas voulu ! »
Eh bien, qu’était-ce ? L’Esprit de Dieu opérant par les prophètes jusqu’à ce qu’Il a atteint la pleine manifestation en Jésus-Christ. Et Il était Dieu rendu manifeste dans la chair. Et l’esprit de l’antichrist s’est transmis par les docteurs religieux, Caïn, Nimrod et autres, et par chacun d’eux, jusqu’à ce que finalement il s’est manifesté dans un personnage appelé Judas Iscariot.
Et au même moment où Christ a été rendu manifeste, Judas est entré en scène. Et au même moment où Christ quittait la terre, suspendu à un arbre, Judas a quitté la terre, suspendu à un arbre. Et au même moment où le Saint-Esprit est venu le jour de la Pentecôte vers l’Eglise, l’esprit antichrist L’a suivi.
19 Saint Jean, ou plutôt I Jean 1 dit : « Bien-aimés (I Jean 4.1), n’ajoutez pas foi à tout esprit, car cet esprit de l’antichrist, qui devait venir, est déjà dans le monde et il opère parmi les enfants de la désobéissance. »
Maintenant, comme ils commencent de nouveau… Ils sont venus et ont été manifestés en l’an 1 après Jésus-Christ. Au commencement, ils sont partis au même moment, et les deux esprits sont à l’œuvre dans l’église, appelant une église à sortir de part et d’autre. Et tous les deux… Oh ! ne manquez pas de saisir ceci. Tous les deux sont religieux. Tous les deux sont très religieux.
20 Effectuons un voyage dans le passé, là très loin, au début : Caïn et Abel, Judas et Jésus, tous les deux religieux, tous les deux adoraient. Comprenez-vous cela ? De même que Judas tua Christ, ou plutôt de même que Caïn avait tué Abel à l’autel, de même Judas a déçu et–et livré Christ, et ce Dernier a été tué sur l’autel.
Et voici les deux esprits apparaître et évoluer ensemble. Et ils sont religieux, tous les deux. Oh ! j’espère que vous comprendrez cela. « Il y a une voie qui paraît droite. » Que Dieu m’accorde la grâce de m’attacher toujours à Cela !
Comme au cours de l’âge, ici au tabernacle, peu importe ce que les gens pensaient, j’ai taché de m’accrocher aux Ecritures. J’aime les gens, mais parfois on est obligé de les blesser ; en effet, l’église est une maison de correction. Le siège du jugement de Dieu, c’est dans Son Eglise.
Remarquez : religieux. Jésus a dit aux pharisiens, les conducteurs religieux de ce jour-là : «Vous êtes de votre père, le diable. Si vous M’aviez connu, vous auriez aussi connu Mon jour. » Maintenant, retournons à notre type. Maintenant, il y a un beau type qui a été donné, que je–je souhaiterais aborder aujourd’hui, en rapport avec la marque de la bête.
21 Eh bien, dans l’Ancien Testament, la Bible dit qu’il devait y avoir un jubilé de cinquante ans. Ça faisait sept fois sept ans. Et à la quarante-neuvième année, c’était pour se préparer, et la cinquantième année, c’était l’année de jubilé. Cinquante signifie Jubilé. C’était… Cinquante, c’est le chiffre de Dieu pour le jubilé. Le mot Pentecôte signifie cinquante. Il y a eu l’effusion du Saint-Esprit au bout de cinquante jours. Il y en avait aussi à la fin de la cinquantième année. Jésus était venu pour annoncer, ou plutôt avertir les gens de l’arrivée de l’année de jubilé. Il entra dans la synagogue, à Capernaüm, Il s’assit, prit les Ecritures et ouvrit dans Esaïe 61.1 et lit ce passage des Ecritures :
L’Esprit du Seigneur est sur moi, car Il m’a oint pour proclamer une année de grâce du Seigneur, pour libérer les captifs, pour donner la vue aux aveugles.
Et quand Il a terminé de lire, Il s’est assis, a remis les Ecritures au sacrificateur et a dit : « Aujourd’hui, cette Ecriture que vous venez d’entendre est accomplie sous vos yeux. » Voyez-vous cela ? En effet, Il avertissait sur la venue de cette grande effusion de la Pentecôte, pour libérer tous ceux qui étaient esclaves du péché et qui étaient liés.
22 Eh bien, à l’arrivée de cette année de jubilé, un son devait retenir partout dans le pays. Une trompette retentissait. Et cette trompette distinguait… ou, la trompette de la cinquantième année annonçait qu’on relâche chaque esclave qui avait été acheté, ou qui l’était devenu pour avoir été pauvre–pauvre et qui ne pouvait se prendre en charge…
Il était tombé dans la servitude. Et son maître, à cause de sa créance, l’avait acheté et l’avait placé dans un champ comme esclave. Il devait travailler pour lui, car il était trop pauvre pour se racheter. Mais Dieu avait dit : « Souvenez-vous, autrefois, vous étiez vous-mêmes esclaves là en Egypte. Et Je vous avais libérés. » Par conséquent, au son de la trompette, chaque esclave, peu importe combien long ou court est le temps qu’il a fait, est libre de retourner dans sa famille, retourner auprès des siens, et il est quitte de chaque dette, car c’est le temps du jubilé.
23 On ne devait même pas planter le maïs, et tout ce que le champ produisait, c’est ce dont on devait vivre. Vous ne devriez même pas émonder votre vigne ni rien. C’était le pauvre du pays qui devait en manger : C’est un très beau type du Millénium. Remarquez bien. Chaque esclave, dès qu’il entendait le son de cette trompette, pouvait jeter sa houe, ou n’importe quel outil de travail qu’il utilisait, et dire : « Je suis un homme libre. Je ne pouvais pas me racheter moi-même, mais Dieu, par Sa grâce, a proclamé une année de jubilé. Par conséquent, je crois en Dieu, et je n’ai plus à travailler. » Les lois du pays le proclamaient libre. Quel beau type d’aujourd’hui !
Nous, les pauvres, les étrangers, nous ne pouvions rien faire, même si nous observions chaque sabbat, chaque nouvelle lune, et que nous cessions de manger la viande, même si nous observions toutes sortes de jours, que nous offrions toutes sortes de sacrifices religieux, nous demeurions sous le joug. Nous sommes vendus au péché. Nos parents nous ont vendus au péché dans le jardin d’Eden. Et nous sommes chargés–chargés des liens du péché comme esclaves du diable. Nous étions nés dans le péché, conçus dans l’iniquité, nous sommes venus au monde en proférant des mensonges. Il n’y a rien que nous puissions faire pour nous venir en aide. En effet, toute notre constitution, toute notre nature et tout ce que nous sommes, c’est le péché. Mais quand le temps du jubilé arrivait, alors nous sommes libres ! Et la trompette, c’est l’Evangile, la Bonne Nouvelle. La trompette était donc l’Evangile : La Bonne Nouvelle. Vous n’êtes plus liés. Vous n’avez plus à vivre dans le péché. Vous pouvez retourner chez vous, libres. Vous n’avez plus de dettes, pas du tout. Toute la déclaration de la liberté est déjà signée, et vous êtes libres.
24 Et aujourd’hui, quand un homme entend la Bonne Nouvelle, que Christ est mort à votre place, il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. Christ a payé le prix, le son de l’Evangile retentit. Vous pouvez laisser tomber chaque cigarette, chaque chique de tabac, chaque bouteille de whisky, chaque–chaque chose qui vous lie, et dire : « Je suis libre. C’est la Bonne Nouvelle. Christ m’a libéré. » Vous êtes des gens libres. Vous n’avez plus à y aller. Vous n’avez plus à servir le diable. Vous pouvez être libre si vous le désirez.
Eh bien, vous n’avez pas à boire ; vous n’avez pas à courir çà et là ; vous n’avez pas à maltraiter votre femme ; vous n’avez pas à maudire ; vous n’avez pas à mentir ; vous n’avez pas à voler ; vous n’avez pas à vous inquiéter. Eh bien, vous avez là des ressources de bénédictions de bonté de Dieu qui n’ont jamais été exploitées, dont le monde ne sait rien. Vous direz : « Il me faut avoir un peu de loisir. » Eh bien, frère, si jamais vous entendez la Bonne Nouvelle par la trompette, les plaisirs du monde apparaîtront si insignifiants, ils seront de l’airain qui retentit ou la cymbale qui résonne. Vous n’en aurez plus besoin.
25 De loin plus grande est la Bonne Nouvelle que les vieilles frontières de l’esclavage, les vieilles marques du péché qui vous poussaient à être des misérables aux yeux comme une chauve-souris, fumant la cigarette ; des alcooliques tremblotant dans la rue ; vous n’avez plus à suivre cette voie-là. La trompette de l’Evangile retentit : « Que celui qui veut, vienne et boive à la Fontaine des Eaux de la Vie. » Mais rejetez ce…
Si un homme disait : « Moi, je veux rester tel que je suis. Je ne veux pas partir. Je veux juste rester ici même », cet homme-là était amené au temple par son maître. Son oreille devait être collée à un poteau pour être percée avec un poinçon. Et c’était un signe qu’il ne pouvait plus devenir libre. Il devait servir son maître tant qu’il serait en vie, car il avait rejeté la Bonne Nouvelle.
Si ce n’est pas là un type parfait de la marque de la bête ! La Bonne Nouvelle, c’est l’Evangile. Si vous refusez d’entendre l’Evangile, vos oreilles seront scellées de sorte que vous taxerez toujours Cela de fanatisme, et qu’il n’y a rien là. Vous servirez le péché en ayant l’apparence de la piété, tant que vous vivrez. Peu importe à quel point vous êtes religieux, vous êtes scellé loin de la Présence de Dieu.
26 Ecoutez. Qu’est-il arrivé il y a cinquante ans sur la rue Azusa, en Californie ? Un groupe de gens était en train d’a–d’adorer Dieu. Le méthodisme était devenu si formaliste et si indifférent qu’ils ne voulaient rien de… ce qu’on taxait de fanatisme : pas de cris, pas d’amen, rien dans l’église. Ils pensaient que l’instruction et la réforme réformeraient les gens au point qu’ils n’auraient plus besoin de cette histoire-là.
27 Laissez-moi vous le dire, mes amis. L’instruction, quelque bonne qu’elle puisse être, et la réforme, quelque bonne qu’elle puisse être, ne prendront jamais la place du baptême du Saint-Esprit. C’est le plan éternel de Dieu pour sceller Son Eglise.
Et ils allaient aux coins des rues. Ils marchaient le long des voies ferrées. Ils ramassaient par moment des grains de maïs, les écrasaient dans un plat et en faisaient des gâteaux de maïs pour nourrir leurs enfants. Ils prêchaient l’Evangile dans tout le pays. Ils étaient jetés en prison. On se moquait d’eux. Ils étaient rejetés, taxés de saints exaltés, de fanatiques pentecôtistes. Et le monde, l’Amérique, avait rejeté cela. Et alors, ses oreilles ont été scellées contre l’Evangile depuis lors.
28 Qu’ont-ils fait ? Ils ont refusé de boire aux Fontaines de l’Eau vive. Qu’est-ce qui est à la base de toutes ces choses dans le monde aujourd’hui ? Qu’est-ce qui pousse les femmes à porter de petits shorts ? Qu’est-ce qui pousse à porter ces blouses transparentes ? Qu’est-ce ? Ce sont des enfants affamés (c’est vrai), assoiffés : « Heureux serez-vous quand vous aurez faim et soif de la justice. » Jésus a dit : «Vous ne viendrez pas à Moi. » Ecoutez. La raison pour laquelle ils font cela, c’est qu’ils ont rejeté les Fontaines de l’Eau vive et ont bu à une citerne crevassée d’Hollywood. C’est tout à fait vrai. Ils ont reçu cela par la vieille et vulgaire télévision et autres choses semblables. Et le plan même qu’ils ont établi, ils sont directement retournés en Eden, là où ça a commencé.
L’Amérique a rejeté Christ comme son Dieu et a reçu les femmes comme son dieu. Qu’ont-elles fait ? Elles se sont déshabillées et ont mis… Oh ! c’est une disgrâce pour une personne décente de marcher dans les rues de n’importe quelle ville. Qu’est-ce que ça montre ? Ça montre exactement ce qui se trouve dans le cœur de la femme. Jésus a dit : « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. » Ils ont déshonoré la féminité. Pourquoi ? Parce que la femme est devenue une déesse.
29 Dans le jardin d’Eden, il y avait deux arbres. L’un d’eux était l’Arbre de la Vie. L’autre était l’arbre de la mort. Et l’homme a rejeté l’Arbre de la Vie et a accepté l’arbre de la mort. Et c’est ce que le monde a fait aujourd’hui. Il a–il a rejeté l’Arbre de la Vie, qui est Christ, et a fait d’une femme sa déesse. Elle est la déesse de l’Amérique. Ça a l’air dur, et je mets à nu les femmes, et j’aimerais vous le dire. Après tout, une femme… Laissez-moi enfoncer… ceci ; les hommes aussi, vous serez les prochains.
Ecoutez, une femme n’est même pas si vile… Elle n’est même pas une création de Dieu. Elle est un sous-produit. Après que Dieu eut tout créé, Il a retiré une partie de l’homme et en a formé une femme. Elle n’était même pas considérée dans la création originelle. C’est exact. Elle est devenue une aide de l’homme. Et par là, elle est censée vivre pour cela. Mais, aujourd’hui, l’homme a changé cela et en a fait une déesse.
30 C’est comme Eve était dans le jardin d’Eden. Adam a tourné le dos à Dieu et est allé avec Eve. L’Amérique et le reste du monde ont tourné le dos à Dieu et sont allés avec les femmes. Ça écorche. Mais c’est vrai. Regardez tout autour. Eh bien, vous les hommes, qu’est-ce qui ne va pas avec vous ? N’importe quel homme qui laisse sa femme porter de tels habits et fumer la cigarette, montre de quoi il est fait. Hommes, savez-vous que vous êtes les fils de Dieu ? Ne le savez-vous pas ? Dieu n’est pas… Vous n’avez pas la crainte de Dieu ; vous avez la crainte de votre femme. C’est vrai. Des citernes crevassées ! Le non-sens d’Hollywood ! Eh bien, ce n’est pas seulement chez les presbytériens et les catholiques ; c’est aussi chez les pentecôtistes et les gens de la sainteté. C’est vrai.
Il y a quelques années, quand la trompette s’était mise à sonner, vous les femmes, vous portiez de longs cheveux, vous vous habilliez comme des dames. Mais vous les femmes pentecôtistes, vous devenez tout aussi pourries que les autres (C’est vrai.), vous vous coupez les cheveux. Et la Bible dit : « Toute femme qui se coupe les cheveux, son mari a le droit de divorcer d’avec elle et de la quitter. » I Corinthiens, chapitre 11. Voyez si ce n’est pas vrai. Elle déshonore même son mari.
31 Pourquoi voulez-vous porter de tels habits ? Eh bien, je m’adresse à vous, les femmes, parce que je vous vois laisser vos enfants agir comme cela dans des rues ; vous aussi, vous vous comportez ainsi. Pourquoi diantre voulez-vous porter de tels habits ? C’est… Peu m’importe combien de religion vous êtes censée avoir. Cela montre ce qui sort de votre cœur. Cela montre exactement de quoi vous êtes faite. Pourquoi ? Vos oreilles sont devenues sourdes au vrai Evangile de libération. C’est vrai. Vous avez été marquées par l’antichrist, et vous agissez comme lui. Les fruits de votre vie prouvent ce que vous êtes.
Et vous les hommes, puisque vous la laissez faire cela, cela montre qui est votre dieu et cela montre ce que vous avez fait. C’est l’Evangile. C’est la Parole.
Maintenant, qui a la marque de la bête ? C’est si proche que cela séduirait même les élus, si c’était possible. Ne pouvez-vous pas voir, amis, que les pommiers portent des pommes, que les pêchers portent des pêches ? Pourquoi diantre une femme, qui est censée être une enfant de Dieu, veut-elle s’habiller comme cela ?
Vous direz : « Eh bien, on ne confectionne plus de blouses et d’habits. » Oh ! On ne le fait plus ? Vous avez une machine à coudre, certainement, vous en avez. C’est parce qu’au fond de votre cœur, vous cherchez à couvrir cela de cette croûte religieuse, vous avez écouté le diable. C’est vrai. Et peut-être que votre pasteur est coupable de ne vous avoir pas dit la vérité. C’est vrai.
32 « Vous êtes un peuple particulier, un peuple séparé, un peuple saint, un sacerdoce royal », tout à fait différent du monde. N’agissez pas comme eux, ne vous habillez pas comme eux, ne parlez pas comme eux ; vous êtes appelés à sortir, séparés. C’est vrai.
Eh bien, voyez-vous ce que je veux dire ? Si vous refusez, eh bien, vous vous en irez, disant : « Ce prédicateur-là est tout simplement en train de réprimander.» Moi ? Ce sont les Ecritures. Ce sont donc les Ecritures qui réprimandent. Si donc vos oreilles sont tellement percées pour avoir suivi le diable que vous ne pouvez plus jamais entendre la Vérité de l’Evangile et marcher dans la Lumière, c’est ça la marque de la bête. C’est là… scripturaire. Vous refusez d’entendre la vérité, la libération, que Christ vous a libéré de ces choses-là.
Et vous les hommes, vous pauvres petites créatures sans colonne vertébrale, vous laissez une femme, votre femme, aller çà et là et souffler la fumée de la cigarette par ses narines, s’habiller en shorts et agir comme cela chez vous à la maison, et vous n’êtes pas assez homme ! Vous êtes un piètre fils de Dieu. Je ne dis pas que la mienne ne fera jamais cela. Si jamais elle se rabaisse à ce point-là, le diable s’empare d’elle, elle le fera ; mais ça sera ce jour-là qu’elle ne sera plus madame Branham. C’est vrai. C’est la vérité. Tenez-vous debout. Dieu ne place pas de bréchets dans les hommes. Il place des colonnes vertébrales dans les hommes, les os de l’Evangile, qui prendront position pour la Vérité.
33 Oh ! la la ! Quel temps horrible vivons-nous ! Regardez tout autour et voyez le péché. Regardez ça. Oh ! oui. Vous ne pouvez pas aller à une réunion de prière : « Oh ! il fait vraiment trop chaud ! Il fait vraiment trop froid ! Eh bien, après tout, le prédicateur prêche trop longtemps. » Mais vous pouvez garder votre tête collée à cette vieille télévision du diable nuit et jour.
Vous regarderez un… Eh bien, la moitié des petits enfants… alors que vous les mères, vous devriez les enseigner sur Christ et non pas compter sur les quinze minutes, une fois par semaine, de l’enseignant de l’école du dimanche. Chaque enfant du pays peut vous dire qui est David Crockett, d’où il vient, et à quel âge il a tué l’ours. Mais, à aucun moment, un pour cent de ces enfants ne peuvent vous dire comment Jésus-Christ est venu sauver les pécheurs. Dans vingt-quatre, dans moins de vingt-quatre mois, oui, moins de douze mois, toute la nation a su au sujet de David Crockett.
34 Pourquoi les chrétiens ne peuvent-ils pas être enflammés pour Dieu comme Hollywood l’est pour des niaiseries, et laisser les gens savoir qui est Jésus-Christ ? Pourquoi ? Ils ont l’oreille scellée : « Je fréquente l’église, je suis tout aussi bon que vous. » C’est ça l’attitude. Judas était comme cela. Les pharisiens aussi. Est-ce vrai ? C’est vrai. Des citernes crevassées !
Vous direz : Qu’en est-il du pape et des autres ? Tout cela, c’est pareil. Quand vous rejetez l’Evangile, votre âme devient un sépulcre ouvert au diable. Et toutes ces choses vont finalement vous entraîner dans la tombe. Et non seulement le Vatican catholique est inclus, mais l’Eglise protestante aussi.
35 Apocalypse, chapitre 17, dit que l’Eglise catholique était une débauchée et les Eglises protestantes, des prostituées. Mais le peuple de Dieu a été appelé à sortir de cela, de tout : « Sortez de Babylone », dit le dernier avertissement du Message de l’ange. « Ne prenez pas part à ses péchés. Sortez. » Séparez-vous et soyez différents, pas juste d’un point de vue logique, pas parce que vous pensez que c’est bien de faire ça, mais priez jusqu’à ce que cette chose soit dans votre cœur. En effet, c’est exactement ce qui est arrivé aux pentecôtistes il y a quelques années, aux nazaréens, aux pèlerins de la sainteté, à tous les autres parmi vous. C’est vrai. C’est ce qui vous est arrivé. Vous direz : « Eh bien, les autres, eux–eux tous… Toutes les sœurs laissent pousser les cheveux, et elles sont… Et, vous savez, je pense que je le ferai, moi aussi. » Oh ! vous hypocrite ! C’est exact. C’est la raison pour laquelle vous avez tournoyé et vous faites ce que vous faites aujourd’hui. Vous n’avez jamais eu cela pour commencer. Si Cela avait été dans votre cœur, tous les démons de l’enfer n’auraient jamais déraciné Cela de là.
Comment pouvez-vous jamais devenir autre chose qu’un être humain après être né un être humain ? Comment pouvez-vous être autre chose qu’un chrétien, si vous êtes né chrétien ? Mais si vous rejetez la Vérité, alors le diable scelle l’oreille. La foi vient de quoi ? [L’assemblée répond : « De ce qu’on entend. » – N.D.E.] Et si votre oreille est scellée, vous n’entendrez plus Cela.
«Ah ! du non-sens. Je ne crois pas dans cette sottise-là. Mon pasteur… Il ne nous a jamais dit Cela. Il–il–il a quatre diplômes d’université. Je… Il vaut plus que ces saints comédiens. » Allez-y. Vos oreilles sont scellées. C’est ce qu’on disait de Pierre et Jean. On disait : « Ce sont des gens du peuple sans instruction. » Mais ils avaient la puissance (Alléluia !) de faire sauter un boiteux comme un cerf. Ils ont ouvert les yeux des aveugles. Ils ont ouvert les oreilles des sourds, car ils prêchaient l’année de jubilé. Grâces soient rendues à Dieu pour le même Saint-Esprit !
Ça, c’est juste le premier pas : Rejeter Christ, rejeter le Message. Peu importe à quel point vous osez faire des prétentions, cela ne vous fait rien. Ça ne fait que vous enfoncer plus bas en enfer. Votre vie prouve ce que vous êtes. Jésus a dit : « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez », non pas à leur église, non pas à leur affiliation, mais à leurs fruits. Vous y êtes. C’est ça le commencement de la marque de la bête.
36 Ensuite, la chose suivante, vous savez, vous vous rendez à une grande et belle église où on a beaucoup de théologie, le docteur en philosophie John Doe. « Oh ! eh bien, vous voyez, ces gens-là sont des illettrés. Vous voyez, ils ne comprennent pas. Nous savons, au séminaire, que ces choses sont un peu différentes de cela. » Je suis très content de ce qu’il existe toujours un Christ vivant pour confirmer Sa Parole.
Et puis, ils voient tous les signes et les prodiges. Ils ne peuvent pas cacher cela. Ils ne peuvent pas mettre fin à cela. C’est comme ça avec Dieu, Il rend cela si réel qu’on ne peut même pas manquer de voir Cela. Ils cherchent à combattre cela avec tout ce qu’ils peuvent, mais ils vont se faire sauter la cervelle sans jamais y parvenir.
37 Comme je vous l’avais dit, j’étais une fois à la Statue de la Liberté. De petits oiseaux gisaient là et tout, autour de la grande lumière là, alors j’ai demandé à quelqu’un : « Qu’est-ce qui a fait ça ? »
Il a dit : « Il y a eu un orage hier soir. Et les petits oiseaux ont accouru directement à la lumière et ont cherché à l’éteindre. Au lieu de se servir de la lumière pendant qu’ils cherchaient un refuge, ils ont cherché à éteindre la lumière en cognant contre, et ils se sont fait sauter la cervelle. »
Et j’ai dit : « Gloire au Seigneur ! »
Il a dit : « Qu’y a-t-il avec vous ? »
J’ai dit : « Je pensais juste à tous ces prédicateurs ainsi que ces croyants infidèles, tièdes et frontaliers, qui cherchent à éteindre la véritable Lumière de l’Evangile. » Vous allez vous faire sauter la cervelle. Et l’Evangile de Dieu brillera jusque dans les âges éternels. Il le fera. Pourquoi n’entrez-vous pas dans la Lumière et ne laissez-vous pas Cela vous conduire à un refuge ? Cela vous conduira directement au creux du Rocher. C’est vrai, où…
Il y a une Fontaine remplie de sang,
Tiré de veines d’Emmanuel,
Les pécheurs, une fois plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
38 Vous y êtes. Considérez le temps dans lequel nous vivons. Nous y sommes. « Des signes et des prodiges. » Considérez l’église : Le port des shorts. Regardez les femmes : Des cheveux coupés, les manucures, et n’importe quoi, cette histoire de maquillage que… Laissez-moi vous le dire. Je suis un missionnaire. Vous le savez. Savez-vous d’où cela est provenu ? Du fin fond de l’Afrique. Les païens portent cela. Les païens africains. Et aussitôt que ces femmes-là furent converties, elles ont enlevé ces histoires. Vous n’avez pas à leur dire quelque chose à ce sujet. Mais les païens instruits savent plus à ce sujet, vous voyez, toujours un païen. La Bible dit que c’est ça : Vous ne devriez pas vous modeler ou agir comme les païens. Les païens ont une oreille sourde, marquée, conçue pour l’enfer éternel, pour être brûlée dans les feux de tourments aux siècles des siècles.
39 Le Message du premier ange a été proclamé, Martin Luther. Le Message du deuxième ange a été proclamé, John Wesley. Le Message du troisième ange est proclamé : ils continuent à rejeter Cela, et leur situation s’empire sans cesse. La Bible dit que ceux qui pratiquent le mal et les péchés iront de mal en pis, mais que ceux qui connaîtront leur Dieu, en ce jour-là, feront des exploits. Et la branche du Seigneur et les filles de Sion qui auront échappé seront belles aux yeux de l’Eternel en ce jour-là. C’est Esaïe qui donne cette prophétie. Où en êtes-vous ? Quel est votre problème, amis ?
Et vous, pauvres petits hommes sans colonne vertébrale ! L’autre jour, j’ai vu un homme qui était censé être un frère né de nouveau, il était assis là derrière, à l’ombre d’un arbre, en train de lire un magazine, et sa femme était en train de tondre la pelouse dans la cour en shorts, là où les hommes qui passaient l’observaient. Je ne suis pas juge. Mais la Bible dit : « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. »
L’autre jour, je suis entré dans un bâtiment, je descendais, je venais du parc national Yellowstone. Je suis entré dans un bâtiment, et mon sang s’est glacé. Je peux supporter un grand froid. Je me suis couché à zéro et à moins vingt, j’ai dormi jusqu’à ce que mes moustaches étaient tellement gelées par la glace que je pouvais gratter cela, scier mon lit de camp avec, et cela ne me dérangeait pas. Et il faisait tellement frais que ma femme a dû me donner un t-shirt et une jacquette. Et il y avait là ces pauvres petites païennes nues, allant çà et là, avec des petits enfants en tout petits habits courts, et leurs maris qui tiraient sur des cigarettes marchaient à côté, en pardessus, tandis qu’elles portaient de tout petits habits. Frère, je crois, au nom de toute la justice, que j’aurais arraché le bout de l’un de ces cèdres et je l’aurais rendue bleue. Elle aurait eu de quoi devenir bleue. Oui, oui. Je ne dis pas cela pour plaisanter. Ceci n’est pas un lieu où plaisanter. Je le dis parce que c’est la Vérité de l’Evangile.
40 Je suis entré dans un immeuble. J’ai vu entrer une femme avec un petit enfant, pas plus que ça, habillée comme un petit papillon : avec une petite bande autour d’elle, et la pauvre petite créature était bleue, courant çà et là comme ça. Et j’ai vu entrer sa sœur, d’environ dix-huit ans, coquette, une petite femme bien bâtie, et tous les petits yeux étaient braqués sur elle ; et elle, une pauvre petite créature nerveuse, tirait sur une cigarette. Et une autre femme est entrée, eh bien, elle avait l’air d’une femme décente. Elle avait une jeune fille, pas une petite fille, mais elle avait une fille d’environ quinze ans. Elle portait un manteau court et large ainsi qu’une longue robe. La mère portait un manteau lourd. J’ai dit : « Peut-être que je suis fou. Mais comment se fait-il qu’il y ait une si grande différence entre l’une et l’autre ? » Frère, sœur, cela est dû à l’esprit de la chose.
41 Vous les femmes, vous ne voulez pas faire cela. Mais c’est le diable en vous qui vous fait faire cela. Vous en êtes esclave. Vous vous abreuvez à une citerne stagnante du diable, parce que vous avez refusé de boire à la Fontaine qui ne tarit jamais. Vous avez rejeté l’Arbre de la Vie. Vous poursuivez la voie de Caïn et vous allez périr dans la révolte de Koré. Sortez-en pendant que votre oreille est ouverte à la Vérité. Séparez-vous et naissez de nouveau. C’est dur, mais c’est la vérité.
Maintenant, frère : « Comment puis-je échapper à cela ? », direz-vous. Le temps est terminé. Nous allons reprendre ici, à partir du scellement de cette oreille.
Voyez-vous comment cela les amène à agir ? Quand quelqu’un vient à l’autel et dit : « Frère Branham, oh ! Alléluia ! j’ai reçu le Saint-Esprit. J’ai reçu ceci. » Ils peuvent parler en langues. Ils peuvent sauter. Ils peuvent crier. Si leur vie ne change pas, il y a quelque… il n’y a pas de vie là. C’est la même vieille vie.
Si vous pouvez transfuser la vie d’un pêcher dans un pommier, cela produira des pêches aussi certainement que je me tiens ici. Sa vie montre ce que c’est. La décence…
42 Et Dieu a opéré des miracles. Je vois frère Coat assis là, assis là, juste là. Et quand… Il ne sait pas ceci. Mais quelqu’un–quelqu’un m’avait dit que cet homme n’avait que quelques jours à vivre, à cause d’un cancer. Le voilà assis là guéri ce matin. Là, dans la salle, il y en a beaucoup, à travers la nation. Qu’est-ce ? C’est Dieu qui opère des signes et des prodiges.
Je vais en Afrique, je prêche, des milliers de gens enlèvent leur maquillage, s’habillent et tout, et se mettent à agir comme des dames et des gentlemen. Mais, l’Amérique, oh ! non. Vous avez la télévision à regarder. Vous avez de vieilles émissions vulgaires, non censurées à la télé… la radio. La radio et la télévision, c’est bien si on y met une bonne chose. Ça peut être un moyen de diffuser l’Evangile. Mais, vous vous asseyez, vous prenez vos enfants et ils collent la tête à cela.
Et la chose suivante, vous savez, ils deviennent de petits névrosés et tout, ils ont des comportements et ils imitent. Eh bien, c’est une honte. Voilà votre citerne où vous vous abreuvez ! Pourquoi ne fermez-vous pas les yeux à cela et ne levez-vous pas les yeux vers le Calvaire pour dire : « Ô Dieu, remplis mon âme en péril » ?
43 Ecoutez. Vous pouvez vous passer de la nourriture pendant longtemps. Mais vous ne pouvez pas vous passer de l’eau. Quatre-vingt pour cent de votre corps, c’est de l’eau. Premièrement, Dieu se mouvait donc là-dessus, l’Esprit de Dieu se mouvait donc sur les eaux. Et vous ne pouvez pas vous passer de l’eau. Et si votre âme a faim d’adorer… Ecoutez, monsieur, pentecôtiste, pèlerin de la sainteté, presbytérien, baptiste, qui que vous soyez (voyez ?), si vous avez faim et soif, étanchez votre soif avec Christ. Et faites de Christ votre Dieu. Ne vous détournez pas pour boire à ces vieilles citernes stagnantes.
La chose suivante, vous savez, vous pourrez toujours agir de façon très religieuse, mais vos oreilles auront été scellées contre la Vérité. Et, rappelez-vous, qu’ils seront si proches que cela séduirait même les élus. Et rejeter l’Evangile, c’est être scellé avec la marque de la bête. Dieu vous marque. Et maintenant, que veut dire avoir cela à–à la tête. Vos oreilles se trouvent aussi à la tête. Qu’est-ce ? Votre tête, c’est votre connaissance. La foi vient de ce qu’on entend, entendre non pas les règlements de l’église, mais la Parole de Dieu. [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Donc, si vous rejetez Cela, qu’arrive-t-il ? Vous êtes scellé. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
44 « Oh ! c’est du non-sens. » Et vous êtes marqué. Et puis, la fontaine qui est dans votre vie reproduira exactement ce que vous êtes en réalité. Voyez-vous ce que je veux dire ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.] Sortez-en, peuple. Vous les hommes, vous les hommes et vous les femmes, honte à vous. « Comment puis-je échapper à cela, Frère Branham ? » Eh bien, vous y êtes. Laissez-moi vous le dire juste pendant les quelques prochaines minutes.
Dans Apocalypse, chapitre 7, l’ange était allé détruire (quatre anges), et c’était pour détruire le monde entier. Dieu dit : « Un instant. Retenez les quatre vents jusqu’à ce que nous ayons marqué du sceau le front des serviteurs de notre Dieu. » Et Il a apporté le Sceau du Dieu vivant. Le Sceau du Dieu vivant, c’est le baptême du Saint-Esprit.
Ephésiens 4.30 dit : « N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous êtes scellé pour le jour de la rédemption. » Est-ce vrai ? « N’attristez pas. » Ne cherchez pas à agir comme le monde. Ne portez pas ces… J’ai une balance à l’intérieure. Laissez-moi vous dire quelque chose. Je vais apporter cela ici et vous le lire, si vous le voulez aussi. J’en ai une dedans.
45 Le capitaine Al Farrar est l’un de mes convertis, le responsable de FBI chargé des enfants. Beaucoup de grands hommes viennent. Alors il a dit : « Frère Branham, si ce genre d’Evangile était prêché, nous n’aurions pas de travail. » Certainement, si les gens recevaient Cela. Mais ils ont déjà des oreilles marquées par l’une de ces dénominations des esclaves. Ils s’abreuvent aux vieilles citernes presbytériennes, luthériennes, baptistes et pentecôtistes. C’est tout. Et ils ne connaissent pas Dieu. Ils n’ont pas de cœur ouvert. Leur vie prouve ce qu’il y a. Ils sont assez colériques pour combattre une scie circulaire et ils vous injurieront pour un oui ou pour un non, et vous diront de fermer la bouche.
46 Eh bien, l’autre jour, une femme insensée a conduit un véhicule droit en face de moi, elle a failli tuer deux de mes enfants.
J’ai dit : « Madame. »
Elle a dit : « Eh bien, ferme ta bouche ; c’est moi qui conduis. » Et avant que j’arrive chez moi, trente-six conductrices avaient failli nous tuer. Nous avons compté ça.
Elles commettaient des fautes alors qu’on leur a livré des permis de conduire. On l’a placée là pour voter. On l’a placée ici pour exécuter des travaux publics. Et pendant la guerre, rien qu’à New York City, il y avait plus d’enfants illégitimes, nés des femmes prostituées, dans la ville de New York, alors que leurs maris étaient outre-mer, qu’il y avait des soldats tués pendant les quatre ans de guerre.
Quand une femme quitte la cuisine, elle n’est pas à sa place. Qu’elle soit en train de prêcher l’Evangile ou de faire n’importe quoi, elle n’est pas à sa place. L’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme a été créée pour l’homme. L’homme n’est pas un sous-produit de la femme, mais la femme est un sous-produit de l’homme. Je sais que ça écorche, mais c’est la pilule de l’Evangile qui vous ouvrira le tube digestif spirituel, laissera le Saint-Esprit passer et fera de vous une personne différente, si vous croyez cela. Amen.
Eh bien, c’est ce que dit la Bible. Maintenant, pouvez-vous entendre, ou votre oreille est-elle déjà bouchée ? Eh bien, si vous doutez de ceci, lisez I Corinthiens, chapitre 11, quand vous serez sorti. Voyez si ce n’est pas ça. Voyez si ce n’est pas vrai. D’autres passages des Ecritures : Esaïe 6, Esaïe 5, oh ! la la ! dans toutes les Ecritures, Colossiens, Galates… Paul parle et dit : « Obéissez à votre mari. »
47 C’est juste comme ceci… Mais votre mari est si poule mouillée, un piètre chrétien ; il est une disgrâce pour l’humanité, et pour le Royaume de Dieu, n’en parlons même pas, s’il vous laisse faire pareille chose. En effet, il vous craint plus que Dieu. Vous le bouterez dehors ; il ne se soucie pas que Dieu le boute dehors, il pourra aller chez les presbytériens ou les méthodistes. Mais si vous, vous le boutiez dehors : « Oh ! la la ! Qu’est-ce qui va arriver ? »… Vous la déesse, et vous l’amant de la déesse, pourquoi ne recevez-vous pas une colonne vertébrale ? Je ne sais pas pourquoi je parle ainsi. Quelque Chose me pousse à En parler. Je ne sais pas. C’est vrai. Je ne vous gronde pas, femmes et hommes ; je ne fais que vous avertir : « AINSI DIT LE SEIGNEUR : mettez-vous en ordre avec Dieu. »
« Comment puis-je échapper à cela, Frère Branham ? » Ce n’est pas par l’adhésion à l’église, jamais. Vous pourrez être baptisé au Nom de Jésus, au Nom du Père, Fils et Saint-Esprit, trois fois en avant, trois fois en arrière, de côté, n’importe comment que vous voulez. Vous pourriez avoir été aspergé ; on a déversé de l’eau sur vous, vous avez inscrit votre nom dans un registre, mais tant que vous n’êtes pas né de l’Esprit de Dieu, cette vie du diable demeure toujours en vous. C’est vrai. Comprenez-vous ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
48 Ecoutez attentivement avant de terminer : « Comment puis-je échapper à cela, frère ? » On est ni accepté ni rejeté du fait d’être homme ou femme. Vous êtes tous un aux yeux de Dieu quand on en arrive à ceci. Comment s’y prend-on ? Votre cœur est un sein. Vous savez de quoi je parle, hommes et femmes. Votre cœur est un sein. Et le sein retient la Semence. Et la Semence est l’Evangile. Eh bien, la Semence seule dans son cœur… Peu importe combien de Gamaliels sous lesquels vous avez été placés, peu importe combien fameux est votre pasteur, et combien vous avez lu la Bible, cela n’aura jamais la Vie tant que le germe de Vie n’a pas rencontré Cela.
La semence d’une femme, c’est une merveilleuse chose. C’est une monture du corps, mais cela n’a pas de vie. Cela ne le peut pas. C’est impossible. Cela n’a pas de vie pour commencer. Donc, peu importe combien vous connaissez la Bible et combien c’est bien établi dans votre cœur, vous êtes toujours un pécheur.
Eh bien, qu’arrive-t-il ? Le cœur est un sein. Et la foi passe par une oreille ouverte qui n’a pas été scellée par la théologie. La foi vient de ce qu’on entend. Entendre… La Parole entre dans l’esprit. Vous prenez votre décision là-dessus : « Est-ce vrai ? Cela peut-il être vrai ? Eh bien, c’est la Bible qui le dit. Je le crois. » Ouf ! Cela descend au fond du cœur. Donc, c’est un sein. Alors, le sexe mâle… Nous sommes l’Epouse, la femme. La Semence entre dans l’Eglise. Alors, le sexe mâle, qui est la cellule du sang… Le sang du Christ est appliqué. Et le germe de la vie passe par le sang, entre dans la Semence et produit un nouveau-né qui crie : « Abba ! Père ! Abba ! Père ! Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi ai-je donc fait de telles choses ? Mon Dieu, mon Dieu. » Vous y êtes.
49 Le petit sein qui est ici dans votre cœur, avec la Semence qui y tombe ce matin… Ne voudriez-vous pas ouvrir l’œil ? Ne voudriez-vous pas laisser Cela descendre (non pas de votre pensée) jusque dans le sein de votre cœur ? C’est pareil pour les hommes et les femmes ; sur ce point-ci, maintenant, il n’y a plus ni homme ni femme ; vous tous, vous avez un cœur. Laissez Cela tomber ici et dites : « Eh bien, assurément, c’est la Vérité. » Ecoutez. La Bible dit : « N’agissez pas comme des païens, les incroyants. Ne vous mettez pas sous un même joug avec eux. Sortez du milieu d’eux. » Ne soyez pas ainsi. Si vous aimez le monde ou les choses du monde, les modes… Ce mot vient du mot grec cosmos, qui signifie les modes du monde. Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous. Vous n’êtes jamais né. Donc, laissez le Mâle, Jésus-Christ, notre Amant, avec Sa Semence dans votre cœur… Il vient vivifier Sa Semence. La Parole, la lettre tue, l’Esprit vivifie. La lettre seule tue. Mais quand le Saint-Esprit descend, par le Sang purificateur jusque dans ce sein-ci, un germe se développe.
50 Qu’est-ce qui provient de la mère ? C’est un petit ovule qui se trouve là, une petite semence, elle se trouve là attendant le mâle. Et aussitôt que le germe mâle arrive… Le germe mâle se hâte vraiment. Et qu’est-ce ? Une cellule de sang. Cela s’ouvre. Ô Dieu ! Pouvez-vous entendre… comprendre ce que je veux dire ? Ô Dieu, laisse cela… Alors, cela s’ouvre, et il se forme une petite poche de sang autour de cela. Et là-dedans, ça vivifie ce petit ovule. Et là-dedans, cela commence à se développer. Là-dedans, ça produit la vie.
Nous sommes conçus par le Saint-Esprit. L’Esprit de Dieu entre dans nos cœurs, produit une nouvelle Personne, Jésus-Christ ; les choses anciennes meurent. Et si vous refusez d’entendre Cela et que vous allez simplement de l’avant avec : « Eh bien, mon pasteur a dit telle ou telle chose », et vous refusez de recevoir la Vie, vous devenez stérile. Alors, vous en arrivez à ne plus avoir des enfants. Vous êtes stérile. Vous êtes un opprobre. Vous ne pouvez pas avoir des enfants. Si vous attristez très souvent le Saint-Esprit de Dieu, vous serez scellé. Vous n’entendrez plus Cela.
La première fois que vous avez entendu Cela, oh ! la la ! vous avez laissé pousser les cheveux. Vous avez agi comme des dames. Vous ne portiez plus ces histoires. Vous agissiez comme une dame ; vous agissiez comme un homme. Vous gardiez votre maison en ordre ; vous faisiez ces choses-là. Mais après, tout d’un coup, cela a commencé à changer. Qu’était-ce ? Vous n’avez jamais laissé la Vie entrer et se mettre à l’œuvre. Vous êtes mort prématurément. C’est vrai.
51 Maintenant, laissez l’Esprit de Dieu entrer, passer par l’écoute de la Parole. Vous entendez Cela. C’est la Bible. Si vous recevez la marque de la bête, vous êtes perdu pour toujours. Si vous recevez le Sceau de Dieu, vous êtes scellé pour toujours. Et ce sont là–et ce sont là les deux esprits qui sont à l’œuvre.
Peut-être que le dimanche en huit, ou aussitôt que je serai de retour, nous terminerons cela, nous entrerons en détails et verrons ce qu’ils sont. Voulez-vous recevoir Cela ce matin alors que nous inclinons la tête pour un mot de prière ? Notre sœur va passer au piano en cet instant, si elle le veut bien, pendant que vous prenez votre décision.
Aujourd’hui, il y a des gens assis ici qui prennent peut-être maintenant leur–leur dernière décision. Soit vous le ferez, soit vous ne le ferez pas. Vous êtes-vous tellement enfoncés dans les péchés, sœur, frère, vous êtes-vous tellement enfoncés dans les péchés (et vous avez traversé la ligne de démarcation) que vous pensez que c’est de la folie ? Que vous pensez que ce n’est pas la Parole de Dieu ? Est-ce là votre situation ? Ou avez-vous encore là un petit tintement et que la porte n’est pas tout à fait fermée ?
Vous direz : « Oui, frère, je crois que C’est la Vérité et, ce matin, j’accepte Cela. Et désormais, je veux dire, par la grâce de Dieu, que ma vie sera différente. Je lève maintenant la main vers Jésus-Christ, et je Lui demande d’être miséricordieux envers moi et de laisser le flot de Sa Vie entrer en moi et faire de moi un nouveau-né dans le Royaume, afin que ma vie devienne comme la Sienne. »
52 Voudriez-vous le faire alors que vous levez la main vers Christ ? Que Dieu vous bénisse. Vous aussi, vous aussi, vous, vous aussi, vous aussi, vous aussi. Quelqu’un d’autre ? Voudriez-vous maintenant lever la main : « J’accepte Christ. Je crois cela » ? Il vous entend. Il vous connaît.
Regardez ce qui se passe dans le monde. Nous sommes à la fin. Il ne vous reste que quelques jours, ami. Savez-vous que ce qui est suspendu là en Russie porte déjà votre nom inscrit dessus ? Savez-vous que là, dans le séjour des morts, il y a à la porte une étiquette qui vous attend là l’un de ces quatre matins ? Vous feriez mieux de laisser Quelqu’Un qui peut y aller la prendre et l’enlever pour vous. Il n’y a qu’Un seul qui peut le faire, c’est le Fils de Dieu. « J’ai vaincu la mort et le séjour des morts. Je suis Celui qui était mort et qui vit aux siècles des siècles. » Tous les autres terrains sont du sable mouvant.
Environ six ou huit ont levé la main. Y en a-t-il un autre pendant que vous prenez votre décision ? Levez simplement la main vers Dieu et dites : « Maintenant, je lève la main vers Christ pour devenir désormais Son serviteur. » Que Dieu vous bénisse là, jeune dame. Quelqu’un d’autre, pendant que nous attendons juste un instant : « Je vais lever la main vers Christ. Désormais, j’ôterai le monde de mon cœur. Je rends mon cœur pur et net une fois de plus. Je veux connaître Christ. » Le connaître, c’est la Vie. Non pas : connaître la Bible, c’est la Vie. Non pas : connaître la théologie, c’est la Vie. Mais connaître Christ, c’est la Vie. Voudriez-vous lever la main une fois de plus maintenant ? Y en a-t-il un autre juste avant qu’on termine ?
53 C’est votre décision. Tout ce que je peux faire, c’est prêcher la Parole. Le Saint-Esprit L’a apportée. Que voulez-vous faire à ce sujet ? Pouvez-vous accepter Cela ? Ou votre oreille est-elle bien scellée : « Oh ! eh bien, j’ai entendu Cela auparavant. Je vais… A un autre moment. » Oh ! que Dieu soit miséricordieux envers vous, mon frère perdu ! Vous ne savez pas qu’avant de franchir cette porte pour sortir, votre cœur pourrait s’arrêter. Vous ne savez pas si vous serez encore dans une réunion évangélique. Et resteriez-vous assis là, mon frère, ma sœur, dans cet état-là, sans vouloir dire : « Christ, sois miséricordieux envers moi ; je suis en erreur, pardonne-moi. J’aimerais prendre un nouveau départ aujourd’hui » ?
Il y a environ six ou huit mains qui se sont levées. Y en aurait-il un autre avant que je termine, avant que je prie ? Je vais prier avec vous. Puis, nous allons prier pour les malades. Très bien. Gardons nos têtes inclinées.
54 Dieu bien-aimé, comme le poète l’a écrit : « Il y a une Fontaine remplie du Sang, tiré des veines d’Emmanuel. » Nous savons que le Royaume de Dieu, ce n’est pas ce que nous mangeons ou buvons, ou des habits que nous portons. Nous savons, ô Dieu, que nous n’arrêtons pas de faire telle chose et nous n’arrêtons pas de porter telle et telle autre, pour être différents. Mais quand l’Esprit de Christ entre, ça se fait de soi. Ce n’est pas ce que nous, nous faisons, mais ce que Lui fait, ce qu’Il fait.
Ô Dieu, je sais que ceci a été très dur, très tranchant. Et je sais que l’Evangile est, as-Tu dit, plus tranchant qu’une épée à double tranchant, Il sépare la moelle d’avec les os et Il juge l’esprit. Et je prie, Père, que ceux qui ont été convaincus (huit ou dix personnes ici dans cette salle ont levé la main pour montrer qu’ils étaient dans l’erreur), que leur vie n’était pas conforme à Ta Parole ; ainsi, ils ont levé la main pour qu’on se souvienne d’eux dans la prière. Et je Te prie, Père céleste, qu’en ce jour même Tu sanctifies leurs cœurs de toutes les choses du monde, que Ton Esprit puisse entrer dans leur vie, et qu’Il leur accorde la grâce. Et puisse l’Enfant nouveau-né, Christ, être la preuve absolue aux yeux du monde entier, comme une Epître écrite lue de tous les hommes.
55 Comment, Père, une femme qui se dit chrétienne peut-elle s’habiller comme ça pour rencontrer des hommes ? Il n’y en a eu qu’une seule, Père, qui a fait cela dans Ta Parole, et c’était Jézabel. Tu l’as donnée en pâture aux chiens, et Tu as fait d’elle un exemple de... Quelle horrible créature elle était ! Et comment la petite Hérodias avait dansé dans ses petits habits de strip-tease devant son père adoptif. Quelle danse mondaine c’était ! Et on connaît l’histoire, que soixante-douze de ses enfants, des générations après elle, sont morts à la potence comme prostituées. Quel exemple !
Le bien-aimé Jean, avec sa tête sur le plateau, rend témoignage au monde aujourd’hui, que la justice existe en Dieu.
Qu’il en soit ainsi aujourd’hui, ô Dieu, pour tout celui qui est ici en dehors de Christ. Fais qu’ils comprennent, Père, que ces Paroles ne sont pas fausses, que c’est Ta Parole, et que la Bible est vraie, et que l’heure est bien proche. Accorde la grâce et la miséricorde à ceux qui les recherchent. Nous le demandons au Nom de Christ. Amen.
56 Tous ensemble maintenant, doucement : Il y a une Fontaine remplie de sang. Juste après le service de guérison, j’aimerais que chaque personne qui avait levé la main vienne à l’autel, personnellement, qu’elle s’agenouille et prie.
« Le fait de lever la main, cela fait-il quelque chose ? » Oui, oui. Certainement.
« Celui qui entend Mes Paroles, et qui croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle. » Cela fait de vous une nouvelle création. Eh bien, je ne veux pas dire juste s’imaginer ; ce n’est pas ce que je veux dire. Et vos fruits le prouveront. Donc, après que vous avez fait cela, alors nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps de puissance et de service.
Il n’a jamais dit que vous recevrez une nouvelle naissance après que le Saint-Esprit sera venu sur vous. Il a dit : « Vous recevrez la puissance après que le Saint-Esprit sera venu sur vous », une chose tout à fait différente. Pas une nouvelle naissance, mais une nouvelle puissance. Vous naissez de nouveau en croyant. Vous croyez à la Vie Eternelle. Mais vous avez été baptisé du Saint-Esprit pour la puissance, la puissance pour le service. Très bien, tous ensemble
Il y a une Fontaine remplie de Sang
Tiré des veines d’Emmanuel ;
Et les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité ;
Perdent toutes les taches de leur culpabilité,
Perdent toutes les… de leur culpabilité.
57 Eh bien, vous portez aujourd’hui, soit quoi ? Pas de terrain neutre. Soit la marque de la bête, du monde, l’église apostate, soit le Sceau de Dieu. Saint…?…
Eh bien, pendant… Juste un instant. Souvenez-vous, aujourd’hui, chaque personne qui sortira par cette porte ira soit avec la marque de Dieu, soit avec la marque de l’ennemi, l’église apostate. Oh ! vous direz : « Frère Branham, je fréquente… » Cela n’a rien à faire avec la chose. Le diable fréquente l’église ; il est très religieux. C’est la Bible qui le dit. Etes-vous né de nouveau ? Votre vie se conforme-t-elle à Sa Parole ? Vos actions, votre vie, votre habillement, votre comportement, votre esprit, est-ce que votre foi et tout correspondent à la Parole de Dieu ? Cela montre donc que la vie qui est en vous est le Christ vivant.
Maintenant, une fois de plus, cette fois-ci, lentement et tendrement :
Le voleur mourant (à sa dernière heure) s’est réjoui de voir
Cette Fontaine en son jour
… là puissé-je, quoi que vil comme lui,
Ôter toute ma culpabilité.
Tous ensemble maintenant. Fermons simplement les yeux et levons la main vers Dieu alors que nous chantons cela :
Le voleur mourant s’est réjoui de voir
Cette Fontaine en son jour ;
Et là, puissé-je, quoique vil comme lui,
Ôter tous mes péchés ;
Ôter tous mes péchés,
Ôter tous mes péchés ;
Et là, puissé-je, quoique vil comme lui,
Ôter tous mes péchés.
Cela ne vous fait-il pas quelque chose de savoir que Christ pardonne chaque péché ? [L’assemblée dit : « Amen. » – N.D.E.]
58 Il y a quelque temps, à Bombay, en Inde, cinq cent mille personnes étaient assises là. Quand elles ont vu un aveugle recouvrer la vue là, des bouddhistes, des musulmans, tous leurs prophètes étaient vaincus. Ils se tenaient là et j’ai dit : « Croyez-vous maintenant qu’Il est vivant ? » On a vu des milliers de mains se lever.
J’étais à Durban, en Afrique du Sud, où trente mille personnes ont reçu Christ à la fois, après que ce Dernier avait redressé un homme vraiment estropié.
Il n’y a pas longtemps à Winnipeg, en Chine, ou plutôt à Winnipeg, au Canada, un petit garçon chinois, un petit adorateur de Bouddha, à peu près de cette taille-ci, un petit nain, on dirait, s’est approché. Il était aveugle. Il adorait Bouddha. Et j’ai dit : « Si Christ te guérit, vas-tu Le servir ? »
Il a dit : « Je ne servirai que le Dieu qui guérira mes yeux. » Pendant qu’il se tenait là, ses yeux se sont ouverts. Et il s’est mis à pleurer, il a regardé tout autour et a dit : « Oh ! je vois. » La première fois qu’il a dit : « Mais je vois la croix où mes péchés ont été ôtés. »
59 Et je pense, alors que je traverse des pays et que je vois différentes personnes, je vois apparaître de grands signes que Jésus avait dit qu’ils seraient là. Il avait dit : « Le temps de perplexité, la détresse entre les nations. » Les chars sans chevaux parcourront les rues, munis de phares, se bousculant, et toutes ces choses que les prophètes avaient annoncées au cours des âges auraient lieu : Comment ils vont parcourir les airs comme des oiseaux et passer en-dessous de l’eau comme des poissons, comment cette grande détresse parmi les nations… et on verra toutes ces choses. Il a dit : « En ce jour-là, l’Esprit de Dieu se lèvera. Il accomplira des exploits, des signes et des prodiges. Ça sera le temps de la fin. » Il a dit : « Au temps du soir, la lumière paraîtra. Toutes les nations viendront. » Dieu appelle aujourd’hui. Je vous prie de Le recevoir.
Eh bien, ce soir, il y a un service au tabernacle. Notre très cher honorable et bien-aimé frère Neville prêchera, je pense, ce soir. J’ai moi-même l’intention d’être ici, le Seigneur voulant. Junie, je vais tâcher d’être chez toi, le jeudi soir, si possible, si–s’il y a moyen. Et là, à New Albany… Je pense que ça sera votre service du soir, n’est-ce pas ? Et je tâche d’aller à ces petites églises.
60 Et maintenant, mes chers amis, le suivant… Suivez l’émission de frère Neville. J’aimerais prendre cette marque de la bête et vous montrer exactement là où on en est aujourd’hui, vous montrer là où chaque tribu d’Israël se trouve, montrer que tout est bien exactement en train d’attendre que la Parole vienne du Ciel : « Voici, Il vient. » Voyez ? C’est ça. J’ai étudié, j’ai observé, j’ai attendu et j’ai prié…
61 Eh bien, mon service de ce matin et, eh bien, c’est pour prier pour les malades. Il y en a qui sont venus ici de différents coins du pays pour qu’on prie pour eux, et nous aimerions certainement prier pour eux. Et je tiens à vous assurer que Dieu est Guérisseur, qu’Il guérit tout genre. Combien ici ont été guéris ? Faites voir les mains, en les levant. Eh bien, vous pouvez voir. Et si je demandais… Il y a le cancer, la cécité, la surdité, le mutisme, l’infirmité. Pensez donc à ce qui se passera ce jour-là.
Quelqu’un a dit : « Je ne crois pas à la guérison. »
J’ai dit : « Vous venez juste un peu tard (C’est vrai.), juste un peu tard. Le Saint-Esprit vous a devancé ici. »
L’autre jour, comme je savais que mon frère se mourait là, et j’étais au Canada, juste à la frontière du Canada. Oh! comme le Seigneur a été miséricordieux ! Il faisait une fièvre de 41°C, languissant à genoux dans la prière. Alors les médecins sont entrés, les spécialistes de Louisville, et ils ont dit : « Eh bien, fiston, je ne sais pas quelle est ta foi, mais, a-t-il dit, il y a eu Quelqu’Un à part le médecin. » Fiston…?…
62 Hier, je l’ai amené à Scottsburg pour prendre son véhicule. On disait qu’il allait… On lui avait donné une heure pour vivre, pour faire venir les siens ; en effet, comme ils sont à plus d’une heure, ils n’allaient plus jamais le voir. Eh bien, cela montre simplement que la prière change les choses. Je suis très content de ce que nous avons un Dieu vivant. Des millions de témoignages sur Sa Gloire !
Maintenant, sœur Gertie, ce bon vieux cantique : Ne crains pas, petit troupeau, quelque soit ton sort. Il est ici.
Et maintenant, combien y en a-t-il ici pour qu’on prie pour eux ? Faites voir la main. Voudriez-vous lever la main, ceux pour qui on va prier ? On dirait une quinzaine. Et nous aimerions que vous… Maintenant, pendant que nous chantons Crois seulement, nous aimerions que vous veniez à l’autel pour qu’on prie pour vous. Et alors, quand vous serez ici, nous congédierons donc l’auditoire ; ils peuvent rester ou partir. Et puis, nous prierons pour les malades. Ou attendez, cela ne pourra prendre qu’un moment. Peut-être que le Seigneur fera quelque chose ici ce matin que vous aimeriez voir. Peut-être que le Seigneur pourra guérir quelqu’un d’aveugle, ou de sourd, ou de muet. Nous ne savons donc pas exactement ce qui arrivera.
63 La réunion ici au tabernacle, nous la conduisons un peu différemment de ce que nous faisons dans des réunions ailleurs. Généralement, nous les prenons un à un pour le discernement, afin de découvrir ce qu’il y a dans leur vie et ce qu’ils ont fait. Ici, nous prions et nous leur imposons les mains ; en effet, c’est une situation plus complexe. Les gens viennent de tous les coins du pays. Je vais vous le montrer. Y a-t-il ici quelqu’un qui vient de cinquante miles [80 km] de Jeffersonville pour qu’on prie pour lui ? Levez la main. Vous y êtes. Combien viennent de cent miles [160 km] ? Levez la main. Vous y êtes. Deux cent miles [320 km] ? Trois cent miles [482 km] ? Voyez-vous là ? C’est ce qu’il en est pour eux. Voyez ?
64 Probablement qu’ils viennent de très loin, ils viennent de différentes régions, ils viennent attendre ici, dans ces hôtels et autres jusque dimanche matin pour qu’on prie pour eux. Alors, pour les prendre tous, après la prédication, nous venons simplement prier, les oindre d’huile, leur imposer les mains. Et, oh ! comme Dieu opère des miracles pour nous ! Et nous croyons.
Maintenant, pendant que nous chantons, voudriez… Je me demande si on apprête une rangée. Frère ou sœur McSpadden, je me demande si vous voudriez bien venir un peu par ici, l’un de vous là, afin qu’ils puissent passer par ici et s’aligner le long de l’autel. Et laissez-les s’aligner dans ce sens-ci, de ce côté-ci, afin qu’ils puissent passer juste par ici. Là, de ce côté-ci, pendant que nous autres nous chantons : Il y a une Fontaine remplie du sang…
Là, à ma droite, alignez-vous jusqu’ici, et qu’on prie pour tout le monde au fur et à mesure qu’ils passeront dans la ligne. Passez bien jusqu’ici même, afin que vous puissiez rentrer [Espace vide sur la bande – N.D.E.]…
…une Fontaine remplie de Sang
Tiré de veines… d’Emmanuel
[Frère Branham parle à quelqu’un. – N.D.E.]
…leur tache de culpabilité,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité ;
Et les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
65 On est censé avoir ici deux petits garçons venant du Nord (Sont-ils arrivés ?), qui sont nés sourds-muets : Deux petits garçons nés sourds-muets. Deux petits jumeaux venant de Nord, de Sturgis, dans le Michigan. Ils sont censés être ici ce matin, tous les deux sont sourds-muets. Sont-ils ici ? (Levez la main.) Ils viennent de Sturgis, dans le Michigan. S’ils sont ici, j’aimerais que vous les ameniez. Et prenons-les pour exemple, pour vous montrer que Dieu peut faire entendre un sourd et faire parler un muet. Les deux petits garçons venant de Sturgis, Michigan, sont-ils arrivés ? On m’a téléphoné hier après-midi. J’ai vu de petits garçons arriver. Juste un instant et nous allons voir. [Frère Branham marque une pause. – N.D.E.]
Demandez à ce frère-là s’il vient de Sturgis. « Etes-vous de Sturgis, monsieur ? [« Non, non, non. »] Merci. Ça va. Ça va. Eh bien, c’est en ordre. Vous savez quoi ? Dieu guérit. Vous le savez. Alors, peut-être que votre cas peut ne pas être quelque chose que l’on pourrait voir… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Si je pouvais le faire pour vous, vous venir en aide d’une façon ou d’une autre, et que je ne le faisais pas, je serais une personne cruelle. Dieu aussi. Si je suis cruel pour ne vous avoir pas aidé, alors que j’en avais la possibilité (alors que moi je suis un homme, et vous me considérez comme cruel, ce que je serais en fait), à combien plus forte raison considéreriez-vous ainsi Dieu qui est omnipotent, omniscient, omniprésent ? Comment pourriez-vous manquer de Le traiter de cruel s’Il ne le faisait pas ? Mais Il l’a déjà fait. Il ne vous demande qu’une seule chose : Croire cela. C’est l’unique base.
66 S’Il vous demandait de payer une certaine somme d’argent, regardez là où vous seriez ; vous ne recevriez pas cela. Et s’Il disait : « Si peut-être vous faites certaines choses impossibles pour vous… » Mais il y a une seule chose qui est à la portée de tout le monde : La foi. Croire simplement cela. « La prière de la foi sauvera les malades. Dieu les relèvera. »
Et si les païens, les bouddhistes et les autres, les incroyants, les vrais indigènes qui adorent les idoles peuvent accepter Cela et être guéris de la cécité, de la surdité, de la paralysie…
En Afrique du Sud, une seule prière pour toute l’assemblée, vingt-cinq mille personnes ont été guéries. On a rempli sept camions de béquilles et–et de fauteuils roulants et autres (dans lesquels ils auraient porté leurs bien-aimés), ramassés au sol après une seule prière. Sept camions pour dégager le terrain pour la prochaine réunion.
Ô Dieu ! Nous, pauvres païens instruits, si pleins de doute et de peur ! Pourquoi faites-vous cela ? Oh ! ne pouvez-vous pas détacher chaque lien ce matin, là où il y a une Fontaine remplie de Sang ? « Mes oreilles sont ouvertes, mon cœur est ouvert, la Semence est ici. Viens, Seigneur Jésus, et rends-La réelle pour moi. » Et Dieu l’accordera.
67 Il y a un vieil homme qui se tient ici, je l’ai rencontré il y a quelques minutes, en entrant par la porte. Il était ici, souffrant de vésicule biliaire il y a quelques années. Dieu l’a guéri, Il l’a complètement rétabli. Il a dit : « Frère Branham, je ne savais pas que vous alliez prier pour les malades. Je suis donc venu… » Il avait eu une attaque cardiaque. Il a dit : « Je suis venu… en ne faisant que m’appuyer sur des histoires. » Et le voici se tenir maintenant à l’autel ce matin. Après qu’on a prié pour lui, il y a juste quelques minutes, le voici debout. Dieu est bon, n’est-ce pas ? C’est un Dieu bon. Il aime.
68 Eh bien, pour vous tous, je vais prier pour chacun de vous maintenant même. Et j’aimerais demander combien ici qui sont–qui sont en mesure d’éprouver de la sympathie pour ces gens qui sont malades, offriront cette prière avec moi alors que vous levez la main.
Eh bien, que dit la Bible ? « La prière de la foi sauvera les malades. Et ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Est-ce vrai ?
Maintenant, vous qui êtes dans la ligne, j’aimerais que vous offriez cette prière-ci. Eh bien, je vais dire cela. Offrez cette prière. Maintenant, avec nos têtes inclinées, vous tous ensemble, ceux qui se tiennent ici. J’aimerais que vous priiez.
69 Dieu Tout-Puissant [Dieu Tout-Puissant], Créateur des cieux et de la terre [Créateur des cieux et de la terre], Auteur de la Vie Eternelle [Auteur de la Vie Eternelle], je crois maintenant [je crois maintenant] en Jésus-Christ, Ton Fils. [en Jésus-Christ, Ton Fils.] Après L’avoir accepté comme mon Sauveur personnel, [Après L’avoir accepté comme mon Sauveur personnel,] je viens maintenant [je viens maintenant] L’accepter comme mon Guérisseur. [L’accepter comme mon Guérisseur.] Je confesse maintenant ma foi [Je confesse maintenant ma foi] en Lui [en Lui] et dans Ses œuvres achevées. [et dans Ses œuvres achevées.] C’est pourquoi je me tiens dans cette ligne, [C’est pourquoi je me tiens dans cette ligne,] pour que Tes serviteurs [pour que Tes serviteurs] exécutent la commission [exécutent la commission] de m’oindre [de m’oindre], de m’imposer les mains [de m’imposer les mains], d’offrir la prière de la foi. [d’offrir la prière de la foi.] Je crois maintenant [Je crois maintenant] que Tu me guéris. [que Tu me guéris.]
Maintenant, gardez vos têtes inclinées. C’est votre prière. Confiez-vous à Dieu. S’il y a un doute, ôtez-le maintenant même. Et je vous assure que personne ne passera ici sans être guéri. Si vous venez avec sincérité. Maintenant, je vais prier pour vous.
Oh ! la la ! je vois une sœur de couleur là debout, tenant un petit enfant, un petit enfant mignon. Je pense… L’autre jour, chez Junior Cash, cette jeune fille de couleur là qui avait connu un accident et avait des problèmes d’ouïe et de langage, elle ne pouvait plus jamais parler ni entendre. Je me tenais là même. Quand j’ai prié pour elle et demandé au Seigneur Jésus de la guérir, elle a de nouveau parlé et entendu, malgré que tous les nerfs étaient sectionnés. Comment cela s’est-il fait ? Le Créateur, Dieu, a remis les nerfs ensemble, et elle a parlé et entendu.
70 Maintenant, Père céleste, dans cette ligne, se tiennent des gens venus de différents coins du pays, et même de différentes régions du monde. Certains parmi eux sont ici, venant de l’Afrique et de différents endroits ; des Irlandais, des Anglais, des Africains ; toutes les différentes nations ; ils sont venus à la Fontaine. Et je Te les amène sur base de la confession de leur foi. Et après que je les ai amenés à répéter ces mots de prière à Ton intention, ô Dieu, cela est provenu de la profondeur de leur cœur sincère, j’offre maintenant cette prière, la prière de la foi qui sauvera les malades. Ô Dieu, sois miséricordieux. Et je Te prie de les guérir, eux tous.
Dieu bien-aimé, je sais qu’il n’y a rien en moi, ou dans Ton bien-aimé serviteur, frère Neville, mais Tu nous as donné la commission qu’il nous fallait aller par tout le monde, oindre les malades, prier pour eux, leur imposer les mains et offrir la prière de la foi, et Tu as dit : « Cela sauvera les malades. »
Et je sais que nous avons le pouvoir. Tu nous l’as donné quand Tu nous as donné le Saint-Esprit. C’est le pouvoir.
71 Et maintenant, Seigneur, donne-nous la foi pour mettre en action ce pouvoir. Nous voyons que, quand Tu avais donné le pouvoir aux disciples, Tu leur avais dit de ressusciter les morts, de guérir les malades, de chasser les mauvais esprits, nous voyons qu’ils avaient été vaincus. Et ils T’ont demandé : « Pourquoi n’avons-nous pas pu faire cela après que Tu nous as donné le pouvoir ? »
Tu as dit : « C’est à cause de votre incrédulité. »
Ô Dieu, ôte mon incrédulité et l’incrédulité de cet auditoire. Et je viens auprès de Toi, Seigneur, comme si j’étais un mourant. Et je me tiens ici ce matin à la brèche, entre les vivants et les morts. Et je Te demande, Dieu bien-aimé, que ceux qui sont au milieu, à la brèche, se mourant du cancer, des maladies… Ô Dieu vivant, débarrasse-les de la mort et laisse que la vie reprenne la place pour la gloire de Dieu.
Je crois, je prie et je T’offre cette prière, Seigneur, alors que j’impose les mains aux malades au Nom de Jésus-Christ, que Tu guérisses tout le monde pour la gloire de Dieu et pour l’amour de l’Evangile.
Maintenant, avec nos têtes inclinées… Doucement, sœur Gertie, entonne le cantique.
Il y a une Fontaine. Non ! je vais changer cela : Crois seulement, doucement, tout le monde. Frère Neville, venez avec l’huile d’onction. Tout le monde en prière. Tout le monde, accrochez-vous à Dieu alors que nous passons leur imposer les mains et prier.