Tout Est Possible À Celui Qui Croit
1 …?… Je reste continuellement en prière l’après-midi; et – et ensuite, je viens directement ici, je me mets à prêcher, puis… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… de vous, et la réunion semble manquer un – un certain quelque chose de bien. Je – je ne vois pas très clairement les visions, parce que cela fait deux onctions différentes. Avec l’une, vous recevez; avec l’autre, vous libérez. Voyez? Avec l’une, vous prêchez et vous vous sentez bien et heureux, avec l’autre, vous vous affaiblissez de plus en plus, au fur et à mesure que vous y pénétrez. Voyez? L’une, c’est quand vous tirez de Dieu (voyez?) ce que vous désirez, et l’autre, c’est quand Dieu vous donne Sa Parole. Voyez? L’une, c’est pour une vision, et l’autre, c’est pour la prédication de la Parole.
2 Maintenant, pour un petit texte dont Dieu pourrait nous donner un contexte, c’est dans Saint Marc. Prenons cela dans Saint Marc chapitre 9, et lisons, eh bien, disons, un verset comme cadre. Prenons le verset 23 :
Jésus lui dit : Si tu peux croire, tout est possible à celui qui croit.
C’était là notre cantique. Eh bien, cela ôte tout doute de la chose, n’est-ce pas? «Et si c’est Ta volonté?» Il a dit : «Tout est possible à celui qui croit.» Non pas : «Si c’est Ta volonté ou pas.» C’est Sa volonté, si vous avez la foi. Car tout vous est gratuitement donné par le Seigneur Jésus qui est mort pour… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… la chute, que Christ a apporté à l’église, par Sa justice et Son sacrifice, et maintenant nous avons le gage de notre délivrance totale.
Il y a quelque temps, un homme me parlait, disant : «Frère Branham, je ne vois pas comment vous pouvez, raisonnablement, inclure la guérison divine dans l’expiation.»
J’ai dit : «Je place toute bénédiction rédemptrice dans l’expiation, tout.»
3 Eh bien, le sang de Jésus n’a pas coulé deux fois, ou plutôt, Il n’est pas mort deux fois; mais la guérison divine et chaque bénédiction dont vous avez besoin vous ont été accordées en une seule expiation. C’est vrai. Vous ne pouvez pas traiter du péché sans traiter de la maladie. Et lorsque vous prêchez l’Evangile du salut pour ceux qui croient pour leurs âmes, vous devez y inclure la guérison divine; car la maladie est un attribut du péché.
Avant le péché, il n’y avait pas de maladie. La maladie est une conséquence du péché; vous ne pouvez donc pas traiter du péché sans traiter de la maladie. C’est impossible.
Eh bien, cet homme a dit : «Frère Branham, si je vous prouve par l’Evangile…» Charles Fuller, le chanteur, le chanteur cow-boy qui vient de se convertir, qui écrit ces beaux cantiques… Je n’arrive pas à me rappeler son nom pour l’instant. Oh! il… Stuart Hamilton. Nous avions notre… Les gens s’étaient tous fait photographier à cet endroit, et ils venaient de quitter la ville. Alors je suis arrivé, et il a dit : «Eh bien, pourquoi ne vous faites-vous pas photographier?»
4 Ainsi donc, après s’être débarrassé de l’organisateur et des autres, les hommes intelligents et instruits… Il savait que moi, j’étais sans instruction, il s’est dit alors qu’il allait sauter sur moi avec ses deux pieds.
Alors il a dit : «Je voudrais vous demander…» Il a dit à l’organisateur, il a dit : «Je – je voudrais prendre encore quelques poses de frère Branham. Je peux vous garantir que j’ai…» Il a dit : «Quand j’ai pris…»
«Environ 25 minutes, le temps pour lui de se mettre à étudier et à prier pour la réunion de ce soir.» Il a dit : «Je vous promets, frère Baxter, que je l’emmènerai là-bas.» «Très bien.» Il est alors parti.
Ainsi donc pendant… est parti, l’autre a dit : «J’ai une question que je voudrais vous poser.»
Je me suis dit : «Oh! je sais que vous êtes – que vous êtes tous bourrés.»
Alors il a dit : «Appliquez-vous, placez-vous la guérison divine dans l’expiation?»
J’ai dit : «Bien sûr que oui.»
Et il était fraîchement sorti du séminaire, et il était habile au plus haut degré. Et il a dit : «Eh bien, si vous appliquez, si vous placez la guérison divine dans l’expiation, frère Branham, vous êtes dans l’erreur.»
J’ai dit : «Je ne pense pas.»
5 Et il a dit : «Eh bien, si la guérison divine était comprise dans l’expiation, comme – comme le péché était dans l’expiation, a été expié, a-t-il dit, nous ne souffririons pas, puisque si cela était inclus dans… la guérison divine était incluse dans l’expiation, la douleur aurait été ôtée, car l’expiation a ôté les effets même du péché.»
J’ai dit : «Je voudrais vous poser une question, frère. La tentation existe-t-elle?»
Il a répondu : «Oui.»
«Alors la douleur existe.» C’est vrai. Certainement, certainement. C’est votre foi qui surmonte cela. Assurément. C’est votre foi qui fait cela, elle est la réponse.
Alors il a dit, il a dit : «Eh bien, si je peux…?… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Esaïe a dit qu’Il a pris…?… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Ses meurtrissures [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… cela vous est confirmé par la Bible, allez-vous l’accepter?»
Et j’ai dit : «Oui, bien sûr. La Bible le dit, c’est donc – donc vrai.»
6 Il a dit : «Eh bien, dans Matthieu 8, la Bible déclare : ‘On amena à Jésus tous ceux qui étaient malades et tous ceux qui étaient affligés afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par Esaïe, le prophète, quand il avait dit : Il a pris nos infirmités.’» Et j’ai dit… Il a dit : «Vous voyez cela maintenant, frère?» Cela a été accompli juste là, chaque portion.»
J’ai dit : «Eh bien, frère, c’était un an et six mois avant que l’expiation ne soit faite. C’était avant que Jésus ne meure sur la croix. A ce moment-là, l’expiation n’avait pas encore eu lieu. Ainsi, d’après votre doctrine, il y avait plus d’effets avant l’expiation qu’il n’y en a de ce côté, après que l’expiation a eu lieu.»
Ainsi donc, il s’est mis à utiliser de grands mots, voyant que mon instruction était limitée. J’ai dit : «Je n’ai pas encore le don d’interprétation.» J’ai dit : «Parlez-moi tout simplement dans la simple langue claire, et je – je – nous en parlerons.»
Et il a continué. Et j’ai dit… Il a dit : «Oh! cela fait partie de l’expiation, et ainsi de suite.»
J’ai dit : «Je voudrais vous poser une question, frère. Croyez-vous que la guérison divine se trouve dans la Parole?»
7 J’avais l’intention de l’amener juste ici, et dans Marc 11.24. Jésus a dit : «Tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir», peu importe ce que c’est.
J’ai dit : «Jésus a-t-Il mis cela dans la Parole, la guérison divine dans la Parole?»
Il a dit : «Oui, Il a dit : ‘Tout ce que.’»
J’ai dit : «C’est juste.» J’ai dit : «Alors, s’Il a mis cela dans la Parole, la Parole est venue avant l’expiation.»
«Oh, a-t-il dit, c’est ridicule, frère Branham.» Il a dit : «Absolument pas, a-t-il dit, c’est un sacrilège.»
J’ai dit : «Oh, non. Ce n’est pas un sacrilège, ai-je dit, Il – Il doit tenir Sa Parole.»
Et il a dit…
«Eh bien, je vais vous dire quelque chose. Autrefois, un roi avait un grand royaume et dans tout son domaine, il avait établi des règles et des lois, des peines et tout. Et alors, pour un certain péché, il avait prévu comme peine à infliger au coupable la mort.»
8 «Et tout homme qui commettait ce péché-là devait subir la peine de mort. Et, un jour, un esclave commit un acte méritant cette peine. Il devait mourir. On l’amena devant le roi, et le roi dit : ‘Je suis un homme honorable. Je tiens ma parole, et conformément à mes lois, ici dans mon royaume, tu as commis … Et en tant qu’homme juste qui tiens ma parole, ma parole déclare ici qu’il n’y a pas d’expiation pour ce péché. Tu dois mourir. Je ne puis rien faire d’autre que t’ôter la vie.’»
Et le pauvre gars a dit… s’est mis à trembler, et a dit : «Eh bien, un instant.»
Il a dit : «Ressaisis-toi, dit-il, que puis-je faire pour toi avant de t’ôter la vie?»
Il a dit, l’esclave qui encourrait la peine de mort, il a dit : «J’ai besoin d’un verre d’eau.» Et alors le roi a dit : «Donnez-lui un verre d’eau.» Et lorsqu’il l’a reçu, le pauvre homme qui était sur le point d’être décapité ne faisait que trembler, il n’arrivait pas à tenir cela. Et le roi a dit : «Un instant. Ressaisis-toi. Je ne te tuerai pas avant que tu aies bu cette eau.» Et il l’a déversée par terre. Que va donc faire le roi? Or, il est un homme honorable. Il doit tenir sa parole. Et son expiation a dit que – qu’il y a… ou plutôt, je veux dire sa parole déclare qu’il n’y a pas de peine… ou plutôt de rédemption pour ce péché, et cependant le roi a parlé et a dit qu’il ne le tuera pas avant qu’il ait bu cette eau. Chose qui est impossible, vu que l’homme a déversé l’eau par terre.» J’ai dit ce que…
Il a dit : «C’était une gaffe de la part du roi.»
J’ai dit : «C’est vrai. Et vous pensez que Dieu a fait une gaffe, ai-je dit, en omettant de mettre cela dans l’expiation alors qu’Il a mis cela dans Sa Parole?» J’ai dit : «Oh, frère, c’est plus pauvre que le potage fait de l’ombre d’un poulet qui a crevé de faim.» J’ai dit : «Ça ne marchera jamais. Certainement pas. Dieu a mis cela dans Sa Parole, et c’est pour ceux qui croient, c’est seulement pour les croyants.»
9 Tout est possible à celui qui croit. Même si nous n’avons peut-être pas assez de foi… Et je voudrais que vous sachiez ceci au départ : la guérison dépend plus de la personne qui prie pour vous; c’est en ordre, mais pas totalement. Elle dépend aussi de votre foi. Il vous faut avoir la foi. Observez cela dans ces quelques paroles que nous allons citer : «Celui qui s’approche de Dieu doit croire que Dieu existe et qu’Il est le Rémunérateur de ceux qui Le cherchent.»
Eh bien, il y a une grande différence entre avoir la foi dans son esprit et avoir la foi dans le cœur. Le cœur a des facultés mentales tout à fait différentes de celle de la tête.
10 Les gens… La science ne l’a su que depuis environ deux ans. Le savez-vous? La Bible dit : «L’homme... tel que sont les pensées de son cœur…»
La science a dit : «Oh! c’est faux.» Elle a dit : «Il n’existe pas de faculté mentale dans le cœur. C’est dans la tête, dans la pensée. On ne réfléchit pas avec le cœur. On réfléchit forcément avec l’esprit.» Il y a deux ans, j’étais là dans les rues de Chicago, lorsqu’il a été publié un très long article dans le journal, à peu près comme ça. J’en ai acheté un, et cela disait que la science avait découvert dans le cœur humain (pas d’un animal), dans le cœur humain un petit compartiment où il n’y a même pas de cellule sanguine, et ils disent que c’est le lieu qu’occupe l’âme. L’âme se trouve dans le cœur.
Oh! la la! Voyez-vous, Dieu a toujours raison. Ils en arrivent enfin à cela, vous savez. Ils – ils finissent par voir cela de temps en temps. Ainsi, lorsque Dieu a dit que le soleil tournait, la science a dit qu’il est immobile… C’est ce que j’ai appris à l’école.
Eh bien, en Californie, ces grands observatoires qui sont là disent que les gens s’étaient trompés à l’époque. Ils ont scientifiquement démontré que c’était faux; le soleil tourne aussi. Vous y êtes donc.
11 La science doit forcément dire des choses et les retirer, dire des choses et les retirer; mais, frère, voici un Livre que vous pouvez lire et la chose ne sera jamais retirée; c’est la Parole éternelle de Dieu. Et vous pouvez reposer votre âme là-dessus. Peu importe que l’on soit capable de L’expliquer ou pas, je crois Cela de toute façon. C’est juste. Dieu L’a dit, et cela règle la question.
Soyez tout aussi très simple que ça dans votre foi, alors Dieu se mettra à l’œuvre pour vous. Oui, oui. Il est lié par Sa Parole. Il a dit : «Tout est possible à celui qui croit.» Tout. «Tout ce que vous désirez, croyez que vous l’avez reçu. Vous le verrez s’accomplir. Cela vous sera accordé, si vous le croyez tout simplement.» C’est cela l’exigence de Dieu, et la foi c’est ce qu’il faut pour amener Dieu à agir.
12 Eh bien, c’était tragique, là… Oui, un cas très remarquable qu’il nous faudrait étudier et examiner pendant quelques instants.
Chose étrange, juste quelques jours avant cela, Jésus avait réuni ces mêmes hommes et leur avait donné le pouvoir pour guérir toutes sortes de maladies, chasser toutes sortes de mauvais esprits, guérir la lèpre, et ressusciter les morts. Il les a envoyés, et ils sont partis et ont fait cela, puis ils sont revenus en se réjouissant.
Mais, lorsque Jésus est parti et qu’Il est monté au sommet de la colline, sur la montagne, nous retrouvons ces disciples dans la vallée, carrément, totalement vain – vaincus devant un cas d’épilepsie. Ils n’arrivaient pas à maîtriser ce mauvais esprit.
Eh bien, récemment quelqu’un a dit : «Si vous aviez le pouvoir de guérir les malades, comme les disciples avaient…» Eh bien, ces gens ne croient pas qu’on puisse recevoir le Saint-Esprit comme eux L’avaient reçu au commencement. Mais ils ne connaissent pas les Ecritures et ils ne connaissent pas le Saint-Esprit. La promesse de Dieu l’a dit, et si les gens dont les têtes ne sont pas bourrées de tant de théologie croient donc tout simplement Dieu et reçoivent cela, c’est tout.
13 C’est comme un homme qui soutenait une discussion. Il soutenait une discussion. Il disait : «Dieu n’existe pas. Dieu n’existe pas.» Il a continué ainsi, et un pauvre petit gars, à l’air stupide, se tenait là derrière, avec des cheveux qui lui tombaient dans les yeux; il portait un blouson. Il s’est avancé, avec une dent ressortie devant, et il s’est tenu là devant l’infidèle, il a dit… Il s’est mis à peler une pomme, et l’autre a dit : «Qu’est-ce que tu veux?»
Il a dit : «Je voudrais juste vous poser une question.»
L’autre a dit : «Eh bien, pose-la.»
«Eh bien, un instant.» Il a simplement continué de peler sa pomme, et il en a ôté le trognon.
Il a dit : «Bon, vas-y. Dépêche-toi et dis ce que tu as l’intention de dire, sinon je te fais jeter dehors.»
14 «Eh bien, juste un moment.» Il mange… Il a pelé la pomme, il a pris un morceau, l’a mis dans sa bouche, s’est mis à le mâcher, puis l’a avalé. Il a dit : «J’aimerais vous poser une question. Cette pomme est-elle sucrée ou aigre?»
L’infidèle a dit : «Ce n’est pas moi qui la mange. Je ne sais pas.»
Il a dit : «C’est ce que je pensais.» Il est retourné immédiatement s’asseoir.
Comment pouvez-vous savoir si oui ou non il existe un Saint-Esprit avant que vous ne L’ayez reçu? Comment pouvez-vous savoir si oui ou non Jésus guérit avant que vous n’ayez reçu cela?
Il a dit : «Nul ne peut dire que Jésus est le Christ si ce n’est par le Saint-Esprit.» Peu importe que vous lisiez la Bible, cela ne marchera pas. Le Saint-Esprit doit vous témoigner cela – Sa résurrection dans votre vie… sinon vous ne saurez pas si c’est sucré ou aigre. C’est juste. Le poète a dit : «Goûtez et voyez combien le Seigneur est bon.» Qui peut savoir avant d’avoir goûté à cela? C’est celui qui a goûté qui le sait. Comme le dit le vieux dicton : «C’est à l’usage qu’on peut juger de la qualité d’une chose.» C’est donc bon.
Cet infidèle a donc été vaincu devant ce cas.
15 Bien, ces disciples ont été vaincus à cause de leur incrédulité. Jésus était allé sur la montagne, et vous savez quoi? Je suis plutôt content qu’ils aient été vaincus juste à ce moment-là, parce que cela tire tout au clair pour moi.
Oh, nous voyons des fois… Oh, tenez, j’ai vu qu’on a prié pour les voisins; j’ai vu qu’on a prié pour celui-ci. Cela ne les a pas du tout aidés. Assurément. Les disciples avaient prié pour l’enfant, et ils avaient le pouvoir de le guérir. Jésus-Christ [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… serviteurs, leur avait donné le pouvoir de faire cela, mais ils ont été vaincus. Certainement. Cela n’avait rien à voir.
Jésus était sur la montagne, et ici, alors lorsque la première défaite s’est manifestée dans ce drame terrestre, dans cette scène, tous les pasteurs étaient ici et là dans la vallée, leur posant des questions. «Oui, oui. Je pensais qu’Il vous a donné le pouvoir de faire cela. Faites-le sous nos yeux. Eh bien, Lui est loin là-bas.»
16 Et les disciples étaient en train de prier et de chasser le démon, ou plutôt, ils essayaient de le faire. La crise d’épilepsie continuait de plus belle chez l’enfant. Il a dit : «Je…?… Une telle chose, c’est en quelque sorte de la tricherie. Les jours des miracles sont passés.»
Et là se tenait peut-être cet homme, le père de l’enfant était peut-être parti chercher son pasteur, et il a dit : «Pasteur, que pensez-vous de ces disciples, ou plutôt, de cet homme qu’on appelle Jésus de Nazareth, qui va ça et là, chassant les démons, comme les gens le racontent?.»
«Oh! c’est de la télépathie. Ça ne vaut rien.» Sans doute que le pharisien Jones savait tout à ce sujet, vous savez.
«Je vous annonce que nous aurons, dans quelques jours, une réunion de l’association, et si vous y amenez votre enfant, j’apprends que les disciples en question seront là. Nous allons donc l’amener là pour les défier de faire cela. Oui, oui.»
Eh bien, c’est simplement le diable, c’est sa façon d’agir. «Faites quelque chose devant moi, que je le voie.»
17 Il n’y a pas longtemps, un homme m’a défié d’abord à la radio, disant qu’il donnerait mille dollars à quiconque prouverait que les gens étaient guéris… la guérison divine. Et j’ai amené avec moi deux médecins et quatre personnes; nous sommes allés jusque chez lui. Il a dit : «Eh bien, c’est là au Texas que nous avons cela.» Il a dit : «Ce que nous voudrions faire, c’est prendre un couteau et couper le bras d’un petit enfant, et vous, vous allez tenir cela devant nous, frères, et le guérir sous nos yeux, et alors nous vous croirons.»
J’ai dit : «Vous avez besoin d’une guérison mentale.» Et j’ai dit : «Il y a quelque chose qui ne marche pas en vous. Vous êtes mentalement malade, monsieur.» Certainement. Tout homme qui veut que vous coupiez le bras d’un enfant, que vous le teniez là et puis, que vous le guérissiez devant lui… eh bien, certainement, nous… Aucun homme sensé… Ce n’est même pas raisonnable. C’est vrai. Bien sûr.
Et j’ai dit : «Qu’en est-il de cette femme qui est juste ici? Et voici son médecin qui confirme qu’elle avait le cancer et que maintenant elle est bien portante? Voici la déclaration du médecin. Je veux avoir les mille dollars pour un voyage missionnaire.» Il n’a pas voulu me les donner. Certainement, certainement pas.
Oh, c’est juste comme frère Moore a l’habitude de le dire : «C’est comme la chouette de l’Irlandais, de la pure comédie, et il n’y a pas de chouette.» C’est exactement ce qu’il en est aussi de ces choses.
18 Bien, c’est simplement essayer de se cacher derrière une certaine doctrine ecclésiastique, au lieu de venir et de dire : «Vous n’avez pas de foi.» C’est tout. Satan n’a jamais reçu le Saint-Esprit; il n’a donc rien pour vous donner la foi. C’est Dieu qui a la foi. Et autant vous êtes rempli de Dieu, autant vous êtes rempli de foi.
Si vous êtes fils de Dieu, vous êtes comme Dieu. Il prononce simplement la Parole et Celle-ci amène Elle-même la chose à l’existence. Sa Parole est la puissance créatrice. Comment le monde est-il là? Il l’a fait à partir des choses qui n’existaient pas. Il a simplement dit : «Qu’il y ait ceci », et voilà la chose est là. Il croyait Sa propre Parole.
19 Et cette terre sur laquelle vous êtes assis ce soir n’est qu’une puissance créatrice du Dieu Tout-Puissant, la Parole créatrice. Cette terre est la Parole de Dieu rendue manifeste. Dites : «Amen.» [L’assemblée dit : «Amen.» – N.D.E.] …?… Certainement.
La terre même sur laquelle vous êtes assis ce soir, c’est la Parole de Dieu. Amen. Ce poteau qui est là debout, c’est la Parole de Dieu rendue manifeste. Je suis ici ce soir à cause de la Parole de Dieu rendue manifeste. Amen.
Oh! la la! Cela ne donne-t-il pas au diable un œil au beurre noir [œil enflé et marqué de noir à la suite d’un coup violent – N.D.T.]? Oh! bien sûr que oui. C’est la Vérité; c’est la Parole. Eh bien, ils étaient là, et il a dit : «Maintenant,…?… tenez-vous là, amenez votre enfant, nous allons voir combien ils ont la puissance.»
Eh bien, les gens étaient tout excités, vous savez, et ils se tenaient là tout autour; l’association se tenait là tout autour, les mains derrière, disant : «Oui oui. Ça y est. L’enfant ne va pas mieux qu’avant, pas du tout, pas du tout.»
20 Que pouvez-vous faire avec ce genre d’histoires tout autour de vous? Oui. C’était bien là. Ainsi les disciples essayaient tous de le chasser. Oh, ils en avaient bien le pouvoir. Jésus a dit qu’ils en avaient. Christ avait donné à chacun le pouvoir de le faire, et ils avaient fait cela auparavant. Mais l’autre disait : «Faites-le devant moi maintenant. Faites-le devant moi.»
Maintenant, permettez-moi de tirer cela au clair dans votre esprit pour toujours. Quand vous entendez quelqu’un dire cela, sachez que c’est le diable qui parle au travers de cette personne.
Laissez-moi vous le montrer juste par un cas dans la Parole. La première fois que le diable a rencontré Jésus-Christ, il a douté de Lui. Le doute est toujours du diable. C’est ce qui engendra le premier péché. Il n’existe pas d’autre péché que le doute. L’incrédulité est l’unique péché originel.
Commettre adultère n’est pas un péché; fumer la cigarette n’est pas un péché; s’enivrer n’est pas un péché. Ce sont des attributs de l’incrédulité. Amen.
21 Vous parlez de… Les gens ont dit : «Frère Branham, vous dites qu’il…?… Croyez au Seigneur Jésus et vous serez sauvé.» C’est ce que Dieu déclare. L’ennui , c’est que je dis quelque chose et m’imagine que vous croyez; mais si vous croyez réellement, vous réglez toute la chose. C’est vrai. La foi… Remarquez. Dans le jardin d’Eden, le premier péché originel a été commis parce que Eve douta de la Parole de Dieu. Et lorsque Satan rencontra Jésus et …?… la postérité d’Eve, la Semence de la femme, il utilisa la même technique dont il s’était servi devant Eve.
La première chose était cet appétit, et ensuite il dit : «Si tu es le Fils de Dieu, fais un miracle ici devant moi. Que je Te voie faire quelque chose, un miracle.»
Or, lorsque vous entendez quelqu’un dire cela, vous savez qui parle au travers de cette personne. C’est le diable. C’est vrai. Il a dit : «Que je Te voie maintenant faire un miracle devant moi afin que je voie cela. Que je Te voie transformer ces pierres en pain et le manger Toi-même encore, et je croirai que Tu es le Fils de Dieu.»
22 Jésus s’est immédiatement retourné avec la Parole du Père. Il aurait pu faire quelque chose d’autre. Mais pour apporter les bénédictions de Dieu au croyant le plus faible, vous pourriez prendre… vous n’avez pas besoin d’avoir des dons. Ayez simplement foi dans la Parole de Dieu.
Jésus n’a jamais utilisé Ses dons ni Sa puissance. Il a utilisé la Parole du Père. Il s’est retourné et a dit : «Il est écrit : ‘L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.’»
Quand Il prophétisait, nous savons qu’Il avait des visions. Il pouvait dire ce qui n’allait pas dans les gens, révéler les secrets de leur cœur, et ainsi de suite; Il a dit : «Voici les miracles qui vous accompagneront jusqu’à la fin du monde.»
23 Un jour, ils ont bandé Son visage avec un chiffon… des soldats… et ils L’ont frappé à la tête avec un bâton, et ont dit : «Eh bien, prophétise.» (C’est le diable qui Le frappait.) Ils disaient : «Prophétise. Dis-nous qui T’a frappé et nous croirons en Toi. Dis-nous qui T’a frappé.» Un chiffon sur Ses yeux. Jésus n’a jamais ouvert la bouche ni dit quoi que ce soit.
Les Juifs sur la croix… Lorsqu’ils ont pendu Jésus à la croix, ils ont dit : «Eh bien, si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle ici devant nous. Dégage Tes mains et descends, et nous croirons que Tu es le Christ, le Fils de Dieu.» Jésus n’écoute pas le diable. Il n’a jamais rien dit. Voyez?
Ainsi, quand vous voyez quelqu’un qui dit : «Fais un miracle devant moi », rappelez-vous, c’est le diable.
Quand Il est arrivé dans Sa propre contrée, les gens ont dit : «Maintenant, nous voyons que tu as guéri là-bas dans l’autre contrée, nous avons entendu parler de la guérison là-bas. Fais quelque chose ici parmi nous; que nous voyions cela.»
24 Et Jésus était étonné de leur incrédulité, et Il n’a pas pu faire beaucoup de miracles. Il faut aussi votre foi. A cause de quoi? De Son manque de puissance? Du manque de la volonté de Dieu? A cause du manque de foi, de l’incrédulité. A cause de votre incrédulité, Il ne pourra pas faire cela.
Voici les disciples récoltant un échec, et en plein dans leur défaite, et voilà descendre de la montagne la Personne la plus aimable qui ait jamais marché sur la terre, le Seigneur Jésus, le Fils de Dieu. Peut-être encore faible, puisqu’Il sortait de cette grande onction, lorsqu’Il était amené là dans une vision où Il vit à l’avance… Pierre, Jacques et Jean ont vu à l’avance la Venue du Seigneur, ils ont vu à l’avance l’ordre, comment Elie et Moïse viendraient d’abord, et ensuite Jésus. Ils Le virent, c’était alors la première venue, Elie et Moïse; et alors en se retournant, ils virent Jésus seul, lorsqu’Il viendra, et – et après le Millénium.
25 Remarquez, à ce sujet, premièrement certains d’entre eux ici, le pharisien Jones et les autres, ont dit : «Regardez donc maintenant, voilà ce gars qui arrive. C’est le chef de leur groupe. C’est lui qui a commencé tout ce mouvement. Nous irons donc écouter ce qu’Il a à dire.» Alors, lorsque les disciples ont vu venir le Seigneur (ils savaient qu’Il pouvait faire cela), ils sont donc allés vers Lui. Et quand ils se sont regroupés autour de Lui, qu’a dit Jésus? Il s’est avancé vers ce groupe de pharisiens aux cols retournés… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]…?…
Oh! pauvre lavette de prédicateur. Sur quoi va-t-Il vous interroger au jugement? Vous vous tiendrez de la même façon devant Lui.
«Alors sur quoi l’interrogez-vous? Pourquoi toute cette agitation? Pourquoi interrogez-vous ceux-ci, mes enfants?» Oh! la la! Je peux Le voir les parcourir du regard.
Et quelqu’un parmi eux a parlé franchement, disant : «Monsieur.» Je vois qu’Il est juste un Homme ordinaire, jusque-là pour lui. Il a dit : «Monsieur, j’ai amené mon enfant à Tes disciples.» Il a dit : «Il a un esprit impur, il est muet, il écume de rage, il tombe dans le feu et dans l’eau, et, a-t-il dit, je l’ai amené à Tes disciples pour qu’ils le guérissent, mais ils n’ont rien pu faire à ce sujet.»
26 Je peux voir le pharisien Jones, le pasteur, dire : «Oui, ils n’ont pu rien faire à ce sujet; je vais donc Te l’amener.» Et il a ajouté : «Les disciples n’ont pas pu le chasser, alors je Te l’amène. Si Tu peux faire quelque chose à ce sujet – si Tu peux faire quelque chose à ce sujet – si…» Saisissez-vous cela? «Si.» Oh! la la! «Si Tu le peux, fais alors quelque chose à ce sujet.»
Jésus se tenait là, Il regarda tout autour, et dit : «Amenez-le ici.» Et quand ils ont amené l’enfant, le diable s’est alors donné en spectacle. C’est ce que le diable fait. Il aime se donner en spectacle. Oui. Il a plongé cet enfant dans la pire de toutes ses crises qu’il eût jamais faites. Il est carrément tombé par terre, pour essayer d’effrayer Jésus. Quand il est tombé par terre, et a commencé à écumer au sol, ou plutôt, à écumer devant les disciples, ils ont eu un peu peur. Mais, frère, vous n’allez pas L’effrayer, Lui. Le diable a plongé cet enfant dans une terrible convulsion. Il est tombé par terre et se mourait, et il écumait tout en se roulant par terre, ayant un… juste…?… car il savait que son heure était proche.
Jésus a regardé l’enfant, Il a demandé au père, Il a demandé : «Depuis combien de temps est-il dans cet état?»
27 Il a répondu : «Depuis son enfance. Oh, a-t-il dit, il tombe dans le feu et tout.» Et quand Il capta l’attention… Eh bien, imaginons une scène ici.
Oh! la la! Voici la vallée; là, c’est la montagne. C’est juste là sur la montagne que Dieu était descendu, L’avait couvert de Son ombre, et avait dit : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé. Ecoutez-le.»
Et Le voici, se tenant là maintenant; la montagne… Le Père était avec Lui. La Colombe était sur l’Agneau; la Colombe était toujours sur l’Agneau, et Il en était conscient. Que cherche-t-Il à faire? Il venait d’achever de dire avant cela : «En vérité, en vérité, je vous le dis, le Père peut faire… le Fils ne peut rien faire, sinon ce qu’Il voit faire au Père.» Est-ce juste? Saint Jean 5.19 «Je vois des visions; Je ne fais rien à moins que le Père Me le montre dans une vision.» Saint Jean 5.19. «Je ne fais rien.»
28 Les disciples sont vaincus. Le père se tient là, hostile. «Eh bien, je sais donc qu’Il ne va pas faire cela. En effet, s’Il ne le fait pas… Si ces disciples n’y sont pas parvenus, alors Il ne le pourra pas. Ainsi, je commence à croire avec toi, pasteur, que ce n’est qu’une bande d’imposteurs, une bande d’exaltés, un tas de télépathie mentale ou quelque chose de ce genre. C’est tout ce qu’il en est.» Il s’est mis à penser cela dans son cœur.
Voyez à quel point l’incrédulité peut s’emparer de quelqu’un? Oh! peu m’importe combien de fois cela faillit, Il est toujours Dieu, le Guérisseur. Si je prie pour 500 personnes ce soir et que toutes les 500 meurent le matin, demain Il sera le même Guérisseur qu’Il est ce soir. Cela n’a rien à voir. Je sais que Dieu l’a dit, et pour moi cela règle le problème. Sa Parole le dit.
29 Regardez Elie quand il est allé…?… prophète. La Colombe était sur lui. Alors il…?… et il a appelé tous les prêtres là-bas et il… Elie les a décapités, quatre cents prophètes, cet après-midi-là, il est allé s’asseoir sur la montagne, il a dit : «Eh bien, je vais prier pour obtenir la pluie.» Trois ans et six… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… a plu. Il s’est prosterné, la tête entre ces vieux petits genoux décharnés, et il a prié, disant : «Ô Dieu, envoie la pluie.»
Il a dit : «Guéhazi, va regarder au sommet de la colline et vois si tu apercevras des nuages au-dessus de la mer.»
Guéhazi est monté et a dit : «Aucun signe.»
Oh! la la! Comme l’incrédulité aurait pu saisir cela. «Mais Il est toujours Dieu.» Il a dit : «Ô Dieu d’Abraham, d’Isaac, et de Jacob, écoute la prière… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]…?… Guéhazi, retourne.»
«Eh bien, j’en reviens.»
«Vas-y encore. Regarde encore.»
«Cela ressemble à de l’airain; aucun signe de pluie.»
«Tiens-toi tranquille.» Il a encore baissé sa tête, et a dit : «Ô Eternel, Dieu d’Abraham, d’Isaac, et de Jacob, envoie-nous la pluie.»
«Retourne encore.»
«Aucun changement.»
30 Il est monté sept fois. Après un moment, Guéhazi est descendu, disant : «Oh! la la! Je vois un tout petit nuage suspendu là, et c’est à peu près de la taille de la main d’un homme.»
Combien l’incrédulité aurait vite dit : «Si c’est tout ce que vous pouvez faire pour moi, si c’est tout ce que vous pouvez faire pour m’aider, eh bien, je n’accepte pas ça.» Mais il y avait dans Elie quelque chose qui savait que c’était là le signe de Dieu. «Eh bien, je suis allé à la réunion hier soir; j’avais des maux de tête, j’étais malade pendant une ou deux semaines, un mois. Je me suis senti mieux, mais pas tout à fait bien. J’avais une main infirme; j’ai pu bouger mes doigts, mais, hélas! c’est…»
Oh, frère, combien l’incrédulité s’empresse pour se mettre tout de suite à l’œuvre :«Oh, j’ai pu voir un peu; j’étais aveugle, mais je vois un peu, mais peut-être que si j’avais fait assez d’efforts, j’y serais parvenu avant.» Oh, pauvre… Je ne sais pas comment vous qualifier. Vous faites un piètre chrétien, et c’est vrai.
31 Elie n’a pas fait cela. Quand Elie a reçu le premier moindre signe, il s’est levé et a dit : «Alléluia, beaucoup de…Roulez les tonneaux d’eau de pluie, levez-vous et voyez. J’entends le bruit d’une pluie abondante.» Amen.
Si j’arrive à agiter mon doigt : «Alléluia. Otez les béquilles de dessous moi; me voici. Docteur, je vais vous payer votre facture; je n’en ai plus besoin. Merci, docteur, pour tout ce que vous avez fait, mais je n’aurai plus besoin de vos services. J’entends le bruit d’une pluie abondante. Oui, oui. Elle descend dans le tuyau maintenant même, et je vais rester juste là où il y a le tuyau de descente pour recueillir tout.» Voyez? Oh, il était prêt.
Combien rapidement l’incrédulité s’empare de vous; et peut-être que le père … C’est la raison pour laquelle il a dit : «Si Tu peux, si Tu peux faire quelque chose pour nous.» Très bien.
Eh bien, Jésus s’est approché de lui pour un entretien, comme Il l’avait fait avec la femme au puits; Il a dit : «Depuis combien de temps l’enfant est-il dans cet état?»
«Oh, fit-il, depuis son enfance.» A un moment donné, alors qu’Il regardait ces yeux, quelque chose est venu sur lui. Alors il a dit : «Aie compassion de nous.»
32 Dès qu’il a regardé le visage de Jésus, il a vu que ce n’était pas de la télépathie mentale. Il a vu que cet Homme avait quelque chose que nul autre n’avait. Et tout homme ou toute femme qui regarde la croix en face… L’autre jour… J’ai une vieille croix suspendue là à mon pare-brise. Je ne sais pas combien m’ont dit : «Frère Branham, cela ressemble à une croix catholique.»
Depuis quand les Catholiques ont opté pour la croix? Depuis quand la croix est-elle devenue l’emblème de la foi catholique? La croix, c’est l’emblème de la foi chrétienne, pas de la foi catholique. Certainement pas.
Ils ont dit : «Pourquoi l’avez-vous suspendu là?» Quelqu’un qui était à bord de ma voiture, on venait de Sellersburg, m’a plutôt déchiré. Ils aiment faire cela de toute façon. Je ne m’en fais pas, tant que ce n’est pas Lui qu’ils déchirent.
33 Il a dit : «Alors pourquoi est-elle suspendue là.»
J’ai dit : «Vous savez pourquoi? Chaque fois que je tourne ma tête ici vers cette contrée, quand c’est l’été, il y a une femme nue dans la cour, dans la rue, ou quelque part. Je regarde la croix. Amen. Je préfère regarder cela.» Il n’a plus jamais rien dit.
J’ai dit : «Eh bien, je vois où j’ai été racheté. J’y vois Ses meurtrissures par lesquelles j’ai été guéri. Autrefois j’étais aveugle, je n’avais pas d’yeux avec lesquels regarder, et je Lui avais promis que s’Il me guérissait, je regarderais la chose juste. Et je sais que ça, c’est la chose juste à regarder. Je regarde au Calvaire. Pour moi, c’est un mémorial me disant que mon Seigneur mourut, qu’Il m’a guéri. Et c’est là sur cette croix qu’Il pardonna mon péché. C’est là sur cette croix qu’Il ôta tous mes soucis, sur cette croix. Il m’a guéri par Ses meurtrissures.» J’ai dit : «Je regarde cela, puis je tourne ma tête et je regarde à la croix.» Très bien.
Cela dépend de ce qu’on regarde. Cela a beaucoup à voir là-dedans. Regardez une fois la croix, et voyez combien c’est vraiment différent.
34 Eh bien, lorsque cet homme a regardé le visage du Seigneur Jésus, Il était oint. Il était le Dieu oint. Il se tenait donc là, l’Homme oint, Dieu dans l’Homme. Et alors, quelque chose frappa cet homme…?… Il a dit : «Aie compassion de nous.» Eh bien, il est sur le bon terrain. Il vient sur ce terrain où l’on implore la miséricorde. Il arrive au trône de miséricorde. Et le seul moyen pour recevoir quelque chose de Dieu, c’est en venant au trône de miséricorde, pas de jugement, pas en comptant sur soi, mais en comptant sur la miséricorde de Dieu.
Eh bien, il est sur le terrain qui mène à la guérison. Là, il n’y a pas de «si». Il a alors mis cela sur Jésus. Observez. Il n’y a plus de «Monsieur», il dit quelque chose de différent maintenant, c’est donc Jésus qui met cela carrément sur lui.
Il a dit : «Oh, peux-tu croire? Peux-tu abandonner le pasteur Rabbi Jones qui est là? Peux- tu te débarrasser de tout doute? Peux-tu croire maintenant?
35 Et le père a regardé Son visage, disant… les larmes coulant sur ses joues, quelque chose l’avait frappé. Un changement s’était produit dans son cœur à l’instant même, et il a dit : «Seigneur, je crois. Pardonne-moi.» Beaucoup de paroles, «pardonne-moi mon incrédulité. J’ai essayé pendant tout ce temps de croire les pharisiens. J’ai douté lorsque Tes disciples ont failli. Seigneur, pardonne-moi mon incrédulité.» Et cela tout en larmes. L’Esprit de Dieu avait touché son cœur, et il a dit : «Seigneur, je crois. Pardonne-moi mon incrédulité.» Ou plutôt, la Bible le dit comme ceci : «Viens au secours de mon incrédulité,» mais ça signifie : «Pardonne mon incrédulité.»
Il se tient là. Qu’est-ce? Eh bien, observez. Quelque temps avant, il disait : «Monsieur, si Tu le peux.» Mais lorsque Jésus captiva son attention, ce n’était plus «Monsieur», mais «S-e-i-g-n-e-u-r», avec majuscule. Qu’est-il arrivé? Lorsqu’il est arrivé devant le trône de miséricorde, il a trouvé miséricorde. Alléluia! Je sais que vous pensez que je suis fou; je le suis, peut-être. Laissez-moi tranquille de toute façon, je suis heureux comme ça.
Ecoutez. «Si Tu le peux.» Pasteur, je pense que tu as raison. «Si Tu le peux,» et Il l’a regardé. Il a dit : «Depuis combien de temps est-il dans cet état?»
Il a dit : «Depuis son enfance.» Il a dit : «Aie compassion de nous.» C’est au trône de miséricorde qu’il a trouvé le pardon, qu’il a demandé pardon, et qu’il s’est repenti, et alors : «Seigneur, je crois. Pardonne-moi mon incrédulité.» Seigneur, «Seigneur» signifie «propriétaire.» …?… que je suis…