Dieu Tient Sa Parole

Date: 57-0115 | La durée est de: 1 hour and 51 minutes | La traduction: Shp
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1 Asseyez-vous. Et je suis heureux d’être ici ce soir, au service du Roi. Ça fait des années, nous chantions un ancien cantique : Je suis heureux au service du Roi. Vous souvenez-vous de ce cantique ? N’était-ce pas formidable ? Heureux au service du Roi. Tout celui qui est au service de ce Roi dont nous parlons doit être heureux, n’est-ce pas ?
Eh bien, ce soir, c’est un plaisir d’être dans ce petit tabernacle ici. Le Tabernacle du Peuple, j’aime ce nom, cette appellation. C’est pour le peuple, tout le monde. C’est bien. Tout le monde est le bienvenu. Je pense que des appellations telles que Tabernacle du Peuple, Eglise à la porte ouverte, Maison de prière, j’aime vraiment cela, il y a là quelque chose de bien plutôt que de dire : C’est l’Eglise presbytérienne, baptiste, catholique ou une église de ce genre.
Eh bien, maintenant, cela ne veut pas dire que ces églises ne sont pas bonnes, comprenez bien. Ces appellations sont très bien. Mais je ne fais qu’exprimer mes propres sentiments. Je pense que c’est un–c’est un tabernacle du peuple, L’Eglise à la porte ouverte, ou La Maison de prière. La Bible dit : « Il est écrit : La maison de Mon Père sera appelée une maison de prière. » Et ainsi, on prend ce… Bien sûr que ça ne le rend pas meilleur ou pire. Ce sont juste des noms qu’on attribue à cela.

2 Et alors, quelqu’un me parlait, disant : « Que pensez-vous de ces différentes dénominations ? Et pensez-vous que ce sont ces gens-là qui ont la chose ou que ce sont ces gens-ci qui ont la chose, et ainsi de suite ? » Je vous assure, c’était un–un doyen de l’université luthérienne. Il m’avait écrit une lettre. Et vous parlez de me faire une bonne réprimande ! Il m’en a fait une. J’étais à Minneapolis, et il a dit : « J’ai roulé sur une distance de quinze miles [24 km] hier soir, dans une tempête de neige aveuglante, m’attendant à venir écouter un serviteur du Seigneur. Et qu’ai-je trouvé, sinon un diseur de bonne aventure raffiné ? » Et il a dit : « Et votre théologie est, oh ! la la !… » Une lettre de vingt-deux pages, et il m’en a vraiment fait une bonne. Et il a dit : « A l’idée même qu’un homme comme toi, qui se tient devant les gens, fasse des déclarations comme celles que tu as faites hier soir ! »
J’ai continué à lire ; eh bien, je pensais : « Je me demande ce que j’ai dit. » Je me suis proposé d’appeler absolument certains d’entre eux pour prendre la bande et vérifier cela. Il a donc dit… Voici ce pour quoi il s’en prend à moi. Il a dit que j’avais déclaré que le diable ne pouvait pas guérir. Et il a dit : « Je voudrais te faire comprendre que, malgré tes vingt-cinq ans de ministère dont tu te vantes, a-t-il dit, mon fils, moi, je prêchais l’Evangile avant ta naissance. »
Eh bien – eh bien, alors, je me suis dit : « Eh bien, maintenant, c’est très bien. Je… Ce n’est pas grave. »

3 Et il a dit : « Et permets-moi de te montrer comment je sais que le diable peut guérir. » Il a dit : « J’habite dans une ville où il y a une femme qui invoque les esprits. » Vous savez, un des esprits du diable. Et il a dit : « Les gens vont chez elle pour la guérison. » Et que fait-elle sinon leur arracher un cheveu à la tête, arracher un… Non, elle arrache un cheveu de sa tête, je pense, s’ouvre les veines et les fait saigner sur ce cheveu le sang tiré de son bras–du bras, elle descend à la rivière derrière sa maison et jette cela par-dessus son épaule. Puis, elle remonte ; et si elle est contrainte au point qu’elle doit se retourner pour regarder cela, alors la maladie demeure sur la personne et revient. Sinon, alors elle dit à la personne qu’elle sera guérie.
Et il a dit : « Nous avons compté les gens et, a-t-il dit, environ vingt pour cent de ces gens-là sont guéris. » Il a dit : « Et alors, tu veux me dire que tu te tiens là et tu as l’audace de dire que le diable ne peut guérir! »
Eh bien, je me suis dit : « Eh bien, là, c’est très bien. Voyez, tout le monde a le droit d’avoir sa propre opinion. » Et j’ai dit : « Il me faut bien répondre par cette courte lettre, par une courte. » Et je me suis préparé ; la suite que je réservais allait être courte. Je ne pouvais pas penser à tout cela.

4 Ainsi, je me suis assis et je me suis adressé à lui, après qu’il m’avait d’abord dit qu’il pensait que j’étais un démon (voyez ?), un diseur de bonne aventure, ce qui voulait dire un démon, bien sûr. Il a donc dit : « Toi… ». Je–j’ai dit : «Bien-aimé frère, j’ai été content de recevoir votre lettre. Je suis toujours content des critiques de la part des amis. Elles m’aident. » Ça vous aide si vous prenez simplement cela de cette façon. Oui, oui. Laissez quelqu’un vous critiquer, peut-être qu’il y a des taches qui doivent disparaître.
J’ai dit : « Je suis très content de recevoir votre lettre. Et vous devez avoir de la considération pour moi, sinon vous ne m’auriez pas écrit. » J’ai dit : «Et puis, autre chose que j’apprécie en vous, ce sont vos cinquante ans au service de mon Seigneur. » Et j’ai dit : « Je – je respecte certainement cela au plus haut point.» J’ai dit : « Puis, une autre chose, ai-je dit, vous devez L’aimer, sinon… dire que les foules devant lesquelles je me tiens et ma théologie...» J’ai dit : « Vous devez avoir de la considération pour le Seigneur et L’aimer, sinon vous n’auriez pas cherché à me corriger (voyez ?) ; c’est parce que vous L’aimez, vous ne voulez pas que Son œuvre aille mal.» J’ai donc dit : « Vous devez m’aimer. »

5 Et je–j’ai dit : « Eh bien, la première chose que je vais vous dire, c’est que je vous pardonne de m’avoir taxé de diseur de bonne aventure, ai-je dit, parce que… et d’un démon. En effet, vous vous rappelez, Jésus, quand Il faisait cette même chose, Il disait : ‘Je ne peux faire que ce que Mon Père Me dit.’ Et Il avait des visions et disait aux gens ce qu’ils étaient… qui ils étaient et ce qu’ils étaient, et ce qui s’était passé, et ainsi de suite ; les pharisiens ont dit que c’étaient les œuvres du diable. C’était un diseur de bonne aventure, un Béelzébul. »
Et savez-vous ce que Jésus leur a dit ? Il a dit : « Si vous dites ça contre Moi, le Fils de l’homme, Je vous pardonnerai. Mais, quand le Saint-Esprit sera venu, celui qui parlera contre Lui ne sera jamais pardonné alors. » J’ai dit : « Et si j’avais raison ? Je dis simplement : Et si j’avais raison ? (Voyez ?) Alors, qu’avez-vous fait ? (Voyez ?) Il n’y aurait point de pardon ni dans ce monde, ni dans le monde à venir, selon les Ecritures qui ne peuvent pas mentir. Voyez ? » Eh bien, maintenant… Eh bien, c’est le blasphème contre le Saint-Esprit. C’est taxer les œuvres de Dieu d’impur…d’esprit impur. Voyez ? Ainsi donc…

6 Eh bien, j’ai dit : « Juste pour vous redresser, frère, ai-je dit, j’aimerais juste vous demander quelque chose : Je suis surpris qu’un doyen luthérien fonde sa théologie sur une quelconque expérience. » Eh bien, j’ai dit : « Dans l’Eglise baptiste, dans–dans la première année de formation, nous avons appris à fonder tout sur la Bible. » J’ai dit : « Toute notre théologie doit provenir de la Bible et, ici, vous essayez de fonder votre théologie sur une expérience. » Eh bien, alors j’ai dit : « Pour établir cela, Jésus a dit que le… Satan ne peut pas chasser Satan. Cela règle donc la question. Si Jésus a dit que Satan ne peut pas guérir, peu m’importe donc ce que quelqu’un d’autre peut dire, c’est réglé. Il ne peut pas guérir ; c’est tout. »
Et si vous considérez cela, il ne le peut pas, car l’unique chose qui peut opérer la guérison, c’est la formation, le développement de nouvelles cellules ; alors il y a un rétablissement. C’est comme quand vous vous blessez à la main, le médecin ne peut pas guérir cela. Certainement pas. Le médicament ne peut pas guérir cela. Il faut Dieu pour guérir cela. Vous vous cassez le bras, le médecin ne peut pas guérir cela. Il met simplement cela en place, mais c’est Dieu qui le guérit. Voyez ? En effet, il n’y a qu’un seul Créateur. Et si vous dites que Satan peut créer (oh ! la la !), où vous retrouverez-vous alors ? Vous le faites égal à Dieu. Voyez ? Et il est alors un dieu. S’il peut créer, il peut se créer lui-même. Voyez ? Mais il ne le peut pas. Il pourrait se créer lui-même s’il – s’il le pouvait. Mais il ne peut pas créer, il ne peut que pervertir ce que Dieu a créé. Et, ainsi donc, il ne peut pas guérir.

7 Et j’ai dit : « Mais maintenant, pour répondre à votre... vous donner mon opinion sur votre question au sujet de laquelle vous me condamnez, ai-je dit, cela me rappelle beaucoup de choses qui se passent dans le monde aujourd’hui, du sensationnel pentecôtiste. » J’ai dit : « Certainement, je pense que les gens ont été guéris. Je pense que tout celui qui va s’approcher sera guéri. » Et j’ai dit : « Mais ce n’est pas la sorcière qui opère la guérison, pas plus que ces gens qui disent : ‘J’ai la guérison dans mes mains. Sentez cela, sentez cela, sentez cela.’ Non, on ne la sent pas. Vous pouvez sentir leurs mains, mais vous ne sentez pas la guérison. C’est une œuvre achevée. C’est déjà accompli. Voyez ? Cela, et toutes ces diverses choses qu’ils font… »
J’ai dit : « Je ne pense pas que ces gens aient jamais guéri quelqu’un. Je ne pense pas qu’une sorcière ait déjà guéri quelqu’un. Mais ce qui produit la guérison, c’est la foi de l’individu, qui pense contacter Dieu au travers de cette sorcière. Et Dieu est tenu d’honorer la foi, peu m’importe là où elle se trouve. (Voyez ?) Il s’agit donc de leur foi, ils pensent qu’ils s’approchent…»

8 J’ai vu des païens s’agenouiller devant les idoles et être guéris (voyez ?), assurément, la guérison divine venant de Dieu au travers d’une idole. Mais c’est leur foi. Ils croient que Dieu est dans l’idole et ils ont la foi, et ils croient cela et Dieu est tenu de reconnaître cette foi; en effet, ces choses sont basées sur la foi.
La guérison n’est pas basée sur vos œuvres, ni sur vos bonnes œuvres, ni sur votre expérience chrétienne, ni sur le salut de votre âme; la guérison… J’ai vu des gens, qui étaient des saints de renom, passer dans la ligne de prière et quitter l’estrade toujours malades. J’ai vu des gens de mauvaise réputation passer et être guéris de la cécité et tout. Voyez ? C’est basé sur votre – votre foi, pas sur votre religion, pas sur votre expérience. C’est basé sur la foi.

9 Ainsi, la dernière fois, là-bas…?… Il m’avait écrit une nouvelle lettre et a dit : « Monsieur Branham, j’ai appris que vous reviendrez prêcher à la Convention Internationale des Hommes d’Affaires Chrétiens. » Il a dit : « Puis-je vous parler un peu ? » Je lui ai dit de voir l’organisateur, et ce dernier lui a dit : « D’accord. » Ainsi, quand il est arrivé là ce matin-là, il y était. Nous sommes donc allés à l’université, c’était un bel endroit là loin. Et quand nous sommes entrés, il avait apprêté le dîner pour nous, ou plutôt vous tous ici, vous appelez cela le déjeuner. Là, au Sud, si je l’appelle déjeuner, je–je saute un repas. Donc, pour moi, il y a le petit-déjeuner, le dîner et le souper. Je–je…
Ainsi, nous… Pour nous, c’était–c’était l’heure du dîner. Et nous sommes donc partis là-bas, et ils avaient un vaste, oh ! un bel endroit, des centaines d’hectares, là où les étudiants pouvaient travailler d’arrache-pied et tout pour payer le minerval. Et il avait soixante-dix et quelques étudiants assis là.

10 Et, après notre dîner, il a dit : « J’aimerais vous poser une question, Monsieur Branham. »
J’ai dit : « Je vous en prie. » Et je me suis dit : « Oh ! la la ! Ça y est maintenant, doyen luthérien ! »
Il a dit : « J’ai été chez les pentecôtistes et je les ai vus donner des coups de pied çà et là aux meubles et tout, comme cela. Mais j’aimerais vous poser la question : Y a-t-il quelque chose là ? »
J’ai dit : « Oui, oui, il y en a. » J’ai dit : « C’est comme un petit enfant, quand il a un jouet, il ne fait que tomber. » Et j’ai dit : « Comme Ezéchiel l’a dit : ‘Il y a une vallée remplie d’ossements desséchés.’ On lui a posé la question : ‘Ces os pourront-ils revivre ?’ Il a dit : ‘Tu le sais.’ On lui a alors dit : ‘Prophétise sur ces ossements desséchés.’ Et quand les ossements se sont rassemblés, il y a eu du bruit et un mouvement, beaucoup de bruit. Mais après, quand la peau est venue dessus, ou plutôt la chair est venue sur cela, il n’y avait pas beaucoup de bruit. Il a dit : ‘Prophétise pour l’esprit maintenant.’ Voyez ? Je pense que c’est ce qui se passe. Voyez ? » Ainsi, j’ai dit : « Ils… Je les vois faire beaucoup de bruit. » J’ai dit : « Je pense que les ossements se rassemblent. »

11 Et alors il a dit : « Nous avons faim et soif de Dieu. »
J’ai dit : « C’est bien. »
Il a dit : « Et nous voulons que vous nous disiez comment recevoir le baptême du Saint-Esprit. » Il a dit : « Maintenant, a-t-il dit, nous croyons que–que nous recevons le Saint-Esprit quand nous croyons. »
Et je leur ai dit : « Avez-vous déjà lu Actes 19 ? »
Et il a dit : « Oui. »
J’ai dit : « Eh bien, il y avait de très bons baptistes là avec un bon pasteur, un bon prédicateur du nom d’Apollos; c’était un juriste converti. Il prouvait par la Bible que Jésus était le Christ. » Et j’ai dit : « Paul a parcouru les hautes provinces d’Ephèse, il a trouvé certains disciples et leur a dit : ‘Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru ?’ Ils ont dit : ‘Nous ne savons pas qu’il y ait un Saint-Esprit.’ Voyez ? Ainsi, après cela, ils ont été baptisés au Nom du Seigneur Jésus et Paul leur a imposé les mains, et alors ils ont reçu le Saint-Esprit. »

12 Il a dit : « Mais Abraham a cru en Dieu, Frère Branham, et cela lui fut imputé à justice pour avoir cru. Quoi de plus un homme peut-il faire à part croire ? »
J’ai dit : « C’est tout ce qu’un homme peut faire. » J’ai dit : «Vous croyez et vous acceptez Christ comme votre Sauveur personnel ; ça, c’est votre foi. Mais, rappelez-vous, Dieu a donné à Abraham le sceau de la circoncision comme une confirmation de sa foi. » C’est vrai. Et j’ai dit : « Alors, ça, c’était l’Ancien Testament. Dans le Nouveau Testament, quand nous disons que nous croyons, Dieu nous donne le baptême du Saint-Esprit, qui est un sceau de confirmation. (Voyez ?) Ephésiens 4.30 dit : ‘N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellé jusqu’au jour de votre rédemption.’ Voyez ? C’est un sceau comme quoi Dieu a reconnu votre foi. Mais s’Il ne vous a pas encore donné le Saint-Esprit, c’est qu’Il n’a jamais reconnu votre foi. Voyez ? »

13 Alors, il a dit : « Nous voulons le Saint-Esprit. »
Je me suis dit : « Vous êtes une université luthérienne. »
J’ai dit : « Que diront les luthériens ? »
Il a dit : « Peu nous importe ce que les luthériens disent, nous voulons Dieu. »
« Eh bien, ai-je dit, c’est merveilleux. » Je – j’ai dit : « Quand voulez-vous…? »
Il a dit : « Maintenant même. »
J’ai dit : « Eh bien, quittez vos sièges et je vais prier. » Et je leur ai demandé d’aller près du mur comme cela, je leur ai imposé les mains et soixante-douze étudiants luthériens ont reçu le baptême du Saint-Esprit. Ils ont des signes, des merveilles et des guérisons qui se produisent à l’université luthérienne de Minneapolis, dans le Minnesota. Voyez ?

14 Oh ! Il est merveilleux ! Ce n’est pas seulement pour vous les pentecôtistes. C’est pour les luthériens, les baptistes, les presbytériens. C’est pour quiconque veut, pour tous. Tout ce que nous… Le problème… je pense, ce qu’il nous faut, c’est nous maîtriser et juste arrêter de nous disperser et de sauter, et respecter les dons de Dieu et autres, les mettre à leur place comme cela, laisser le Saint-Esprit conduire l’Eglise, et alors les autres commenceront à avoir faim et soif de cela. Mais tant que vous laissez cela aller branlant, et celui-ci dans ce sens, et celui -là dans tel autre, sans contrôle, les gens se disent que ce n’est que du balbutiement. On parle mieux que ça dans la Bible. On n’est pas contre les dons ; on est contre la façon relâchée dont vous les utilisez. C’est plutôt contre cela.
Jésus a dit : « Vous êtes le sel de la terre. » Mais le sel ne peut avoir de la saveur que s’il entre en contact. Vous devez donc avoir un contact. Et votre vie est le meilleur moyen par lequel établir un contact avec quelqu’un. Je préférerais que vous me viviez un sermon plutôt que de m’en prêcher un tout le temps. C’est cela le désir des autres.

15 Eh bien, maintenant, juste pour quelques minutes… Ma femme est dans la salle et elle regarde droit vers moi, et elle sait que je prêche pendant très longtemps et cela amène les gens à se lever. Et je ne… d’une façon ou d’une autre, je ne sais pas, Frère Jackson, je ne sais tout simplement pas quand arrêter. Je suis vraiment un glouton des choses spirituelles, je pense.
Je ne voulais jamais, comme je travaille durement, oser aller au travail le matin, après qu’on m’a servi des corn-flakes dans une petite assiette comme ça. C’est impossible pour moi. Je ne pourrais vraiment pas prospérer. Je travaillais durement. Et il me fallait avoir quelque chose, des biscuits, la mélasse de sorgho, un gros morceau de jambon, et–et je trempe simplement tout cela. Ainsi, je – je vais – je… C’est ainsi que je–j’aime manger. Et si je vais travailler…
Et si je vais vivre pour Dieu, j’aimerais avoir un bon repas complet de quatre heures de temps en temps, vous savez ce que je veux dire, juste venir prendre la Bible et rester bien accroché à cela. Mais nous les gens du Sud, là-bas nous sommes, on dirait, habitués à cela ; mais nous savons que vous, les Yankees par ici, vous êtes un genre plus cultivé. Et ainsi, nous–nous savons que…

16 Je vous assure, j’aimerais certainement vivre ici malgré tout. C’est vrai. J’aime vraiment cette contrée, c’est beau, et la neige est vraiment sèche, et–et vous pouvez bien entendre cela crisser sous les pneus quand vous entendez une voiture passer. Je pense à l’époque, quand j’étais un petit garçon et que nous avions de la neige là au sud de l’Indiana, comme cela. Mais la terre doit être un peu sortie de son orbite aujourd’hui, quelque part ; elle ne tourne pas bien correctement. Et nous… Je pense qu’on est tellement proche de la Venue du Seigneur Jésus que tout est sens dessus dessous. La seule chose qui devrait être en ordre et marcher dans l’ordre, c’est l’Eglise du Dieu vivant. C’est vrai.
Alors, inclinons la tête un moment juste avant d’aborder la Parole maintenant, alors que nous mettons de côté toutes les petites choses, de petits rassemblements, de petites choses telles qu’une poignée de main ou quelque chose comme cela. Eh bien, nous allons nous approcher de Dieu maintenant.

17 Notre Père céleste, nous venons présenter cette requête au Nom de Ton Fils bien-aimé qui a dit, quand Il était ici sur terre : « Si vous demandez quelque chose au Père en Mon Nom, Je le ferai. » Maintenant, nous sommes si heureux pour cela. Et Il a dit : « Quand vous priez, croyez que vous avez reçu ce que vous avez demandé, et vous le recevrez. » Et je Te remercie pour ceci, car c’est une promesse de Dieu. Et chaque promesse dans le Livre appartient à chaque croyant. Ainsi, je Te remercie pour cela.
Et je prie ce soir, alors que j’ai tourné ces pages de ce Livre sacré appelé la Bible… Je suis seulement capable de L’ouvrir physiquement, mais seul le Saint-Esprit peut nous L’interpréter. Nous prions donc qu’Il vienne ce soir nous interpréter la Parole en donnant le sens qui peut créer la foi pour le salut des âmes d’abord, pour la guérison du corps ensuite, et pour apporter la joie aux saints et les établir, de telle sorte qu’ils puissent continuer. Accorde ces bénédictions, Père, ainsi que le pardon de nos péchés, comme nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

18 La Parole est vraiment quelque chose de si merveilleux. Je L’aime. Et, maintenant, pour annoncer ce que nous pourrons appeler sujet, pendant un petit moment… Et je… et puis, lire un passage des Ecritures ici pour–pour en tirer un contexte. Je vais… Ce soir, mon sujet, c’est : Dieu tient Sa Parole. Et je désire lire dans Saint Jean, chapitre 12 et le verset 35 pour commencer.
J’aimerais vous entendre tous tourner ces pages et tout. Je–j’aime voir les gens apporter leurs Bibles à l’église. Et cela veut dire que, si je lis juste Sa Parole… Or, ma parole faillira, parce que je suis un homme. Mais, si de cette réunion ce soir je n’obtiens rien de plus que juste la lecture collective de cette Parole, nous serons bénis ; en effet, nous nous serons autant nourris de la Parole de Dieu. Ses Paroles ne failliront jamais. Elles ne peuvent pas faillir. C’est Dieu Lui-même. Au verset 35 : Jésus leur dit : La lumière est encore pour un peu de temps au milieu de vous. Marchez, pendant que vous avez la lumière, afin que les ténèbres ne vous surprennent point : celui qui marche dans les ténèbres ne sait où il va. Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière… (Puis-je m’arrêter ici juste un moment pour reprendre cela.) Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière, afin que vous soyez les enfants de lumière. Jésus dit ces choses, puis il s’en alla, et se cacha loin d’eux. Malgré tant de miracles qu’il avait faits en leur présence, ils ne croyaient pas en lui,... Maintenant, pendant que j’édifie le contexte de ceci dans quelques instants… Eh bien, Jésus avait accompli beaucoup de miracles selon qu’Il voyait faire au Père. Nous avons vu cela hier soir, n’est-ce pas ? Rien que ce que le Père Lui disait de faire. Maintenant, le verset 38. afin que la Parole du prophète…afin que s’accomplît la parole qu’Esaïe, le prophète, a prononcée : Seigneur, qui a cru à notre prédication ? Et à qui le bras du Seigneur a-t-il été révélé ? Aussi ils… Aussi ne pouvaient-ils croire, parce qu’Esaïe a dit encore :… (voyez-vous cela? Ils ne pouvaient pas croire, parce qu’Esaïe l’avait dit environ huit cents ans avant cela.) Il a aveuglé leurs yeux ; et il a endurci leur cœur, de peur qu’ils ne voient des yeux, qu’ils ne comprennent du cœur, qu’ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse.

19 Maintenant, puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à cette Parole. Avez-vous remarqué ici combien étrange est ce passage? Afin que ces gens ne puissent pas croire, parce qu’Esaïe, le prophète, l’avait dit. Avez-vous saisi cela ? Eh bien, savez-vous que–que la Parole de Dieu, une fois proclamée, ne peut jamais être retirée ? Et la Parole de Dieu est si parfaite qu’ici Jean essayait de l’expliquer aux gens, qu’Esaïe avait prophétisé, disant : « Qui a cru à notre prédication ? Et à qui le bras du Seigneur a-t-il été révélé ? » Esaïe, chapitre 40.
Et il a dit : « Et Esaïe a encore dit (voyez ?) : Qui a cru à notre prédication ? » Qui a cru cela, au sujet du Seigneur Jésus ? Qui–qui a accepté cela, la prédication qui disait qu’Il était le Messie ? Et puis, il dit encore ici, Esaïe dit : « Il a endurci leur cœur (voyez ?), aveuglé leurs yeux, endurci leur cœur, de peur qu’ils ne voient des yeux, qu’ils ne comprennent du cœur, qu’ils ne se convertissent. » Eh bien, parce qu’Esaïe l’avait dit, en avait parlé environ huit cents ans auparavant, cela devait s’accomplir. Voyez-vous combien la Parole de Dieu est parfaite ? Peu importe combien ils voulaient croire, ils ne pouvaient pas croire, parce qu’Esaïe avait dit qu’ils ne le pouvaient pas. Voyez ? Maintenant, comment…

20 Pensez-vous qu’Esaïe avait maudit les gens comme ça ? Non. Mais il a eu une vision sur ce que Dieu connaissait déjà par prescience avant la fondation du monde, et Esaïe a regardé et a vu ce qui allait arriver, et Esaïe a annoncé ce que Dieu avait dit avant la fondation du monde. Car cette Parole-ci, ce soir, est seulement ce que Dieu avait dit avant la création du monde. Et le…
Un prophète, on l’appelle un don de connaissance. Souvent, dans la Bible, un prophète est identifié à un aigle. Un aigle peut aller plus haut dans les airs que n’importe quel autre oiseau, grâce à sa–sa constitution. C’est un oiseau du ciel. Il plane plus haut. C’est sa particularité. Il n’y a pas d’autres oiseaux près de lui. Et il va très haut. Et quand il est là-haut, il voit très loin. Et ses yeux d’aigle, que ceux d’un autre oiseau ne peuvent égaler, ça ne peut jamais se faire… Le faucon ne se hasarde pas. Voyez ? Quand il… par rapport à l’aigle; en effet, l’aigle voit très loin. Eh bien, alors–alors, quand vous êtes très haut et que vous pouvez voir très loin, alors, une fois redescendu, vous pouvez dire ce qui est devant nous si nous voyagions dans cette même direction.

21 Et Dieu prend Ses aigles de l’Ancien Testament là et Il les élève, Il leur permet de voir des événements qui arriveront plus tard. Alors, quand ils descendent, ils peuvent prédire ce qu’ils ont vu. Comprenez-vous maintenant ? Ce sont des aigles. Et je pense que beaucoup, certains parmi vous, des érudits ici, vous avez lu Les Ages primitifs de Pember et beaucoup de ces livres, ainsi que Le Prédicateur et la Prière.
Et ainsi, je me demandais une fois, quand j’étais au zoo de Cincinnati, à Cincinnati, dans l’Ohio. J’ai vu une scène qui m’a frappé. En tant qu’amoureux de la nature, j’aime les animaux. J’ai été garde-chasse pendant des années. Et j’aime la nature, et j’aime étudier les – les habitudes des animaux et tout, parce que je–je–je les aime. Ce sont des créatures de Dieu. Et Il nous les a données.

22 Ainsi, en observant cela, j’étudiais l’aigle. Et, une fois, j’ai vu une scène qui m’a brisé le cœur. C’était un aigle qui avait été enfermé dans une cage. Il avait été attrapé quelque part dans un piège. Et on l’avait juste mis dans une cage, et il ne comprenait pas pourquoi il devait être enfermé dans une cage. Et cet aigle reculait, déployait ces grandes ailes et cognait cette cage. Alors, les plumes volaient, quand il battait ces grandes ailes contre cette cage au point que cela le faisait tomber à la renverse. Et il se relevait, secouait la tête et reprenait l’envol. Il tombait sur son dos, il levait les yeux, et ses yeux regardaient dans tous les sens. Il était là, il était dans une cage. C’est l’homme qui l’avait mis dans une cage. C’était une super race pour lui, il l’avait enfermé dans une cage. Or, c’est–c’est un oiseau du ciel. Et il regardait au travers de ces barrières, brûlant du désir de s’élever avec ces grandes et puissantes ailes. Que pouvait-il encore en faire ? Il–il regardait au ciel. C’était une scène triste que de voir cet aigle.
Mais j’ai vu une scène plus triste que ça, quand j’ai vu les fils de Dieu enfermés là, dans les cages de dénominations, derrière des barrières et des ismes, jusqu’à ce qu’ils se rendent compte qu’il y a en eux quelque chose qui veut bondir. Ils ont été créés pour être des fils de Dieu. Mais une super personne, le diable, les a liés dans des endroits tels qu’ils ne font qu’y rouler la tête et se poser des questions. « Il y a une fontaine quelque part; oh ! si je pouvais l’atteindre ! » Ça, c’est la scène la plus triste que j’aie jamais vue : Les hommes qui avaient été créés pour être des fils de Dieu et qui, cependant, ont laissé le diable les lier en dessous des privilèges que Dieu leur a donnés !

23 Satan les a pris au piège et les a placés dans un endroit, et il a dit : « Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Oh ! ça fait des années que ces choses se sont passées ! » Ça, c’est une scène triste, de voir un homme dans cet état-là, alors que Dieu l’a créé à Sa propre image, pour être aussi libre qu’un fils du Dieu vivant qui plane dans le ciel, déployant ses ailes, se réjouissant et battant des ailes dans la brise.
J’en ai vu déployer leurs grandes ailes comme ceci, ils ne les ont plus battues, juste les déployer et naviguer au gré des courants d’air. Le vent soufflait, ils savaient bien comment disposer leurs ailes et remonter. Et ils s’élèvent tellement haut qu’ils… Il devenait juste comme un point noir dans les cieux. Voyez ? Il ne–il ne s’efforçait pas. Il n’avait pas étudié. Il n’était pas allé de séminaire en séminaire, d’église en église, d’une mission à une autre. Il déployait simplement ses ailes et était emporté par le courant. Il naviguait au gré du courant d’air et il a continué jusqu’à disparaître.

24 Oh ! comme les hommes devraient, ce soir, prendre uniquement la Parole de Dieu et ne pas essayer d’Y ajouter ou d’En retrancher quelque chose, mais juste placer votre foi droit dans les Ailes de Dieu, droit dans Sa Parole, et avancer au fur et à mesure que le Saint-Esprit vous élève au-dessus de…toutes ces vieilles jacasseries : « Les jours des miracles sont passés, la guérison divine n’existe pas ; le baptême du Saint-Esprit n’existe pas. Et–et si vous étudiez simplement cela, vous allez perdre la tête. » Regardez tout droit à la Parole de Dieu et partez sur les ailes de la foi. Vous êtes les aigles du jour.
Dieu tient Sa Parole, et Jésus a dit : « Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera jamais. » Eh bien, cela règle la question. Et maintenant, en disant ceci, je l’apporte uniquement à cette petite église. C’est comme, il y a quelques instants, avant qu’on vienne me prendre, j’ai dit à ma femme : « Je pense que je donnerai un témoignage ce soir sur une expérience. » Et j’y pensais. Et puis, le Saint-Esprit a semblé dire : « Donne à l’église ce petit avertissement. » Présente ceci comme ça. Je préfère donc être obéissant.

25 Eh bien, je n’ai rien contre la croyance de quelqu’un, voyez. Rien contre le… n’importe quelle église dénominationnelle ou quoi que ce soit, mais aujourd’hui il y a beaucoup d’histoires qui passent à la télévision et à la radio, qui ne devraient pas passer. Et c’est le cas de cet évêque Sheen et des autres qui animent ces émissions. Eh bien, je n’ai rien contre les catholiques. S’il veut être catholique, c’est son affaire, voyez. Mais je… Ça le regarde.
Mais quand un homme peut se tenir au... dans–dans le lieu sacré de Dieu et dire : « Essayer de vivre selon la Bible, c’est comme marcher dans des eaux boueuses ; et si le… Qui a écrit la Bible ? Je pense que Dieu a eu l’idée de vous donner une Bible, ainsi L’a-t-Il écrite sur du papier ; et Il l’a donnée à des anges, et ces derniers ont descendu les corridors du Ciel et vous L’ont donnée. » Et dire vraiment que ce n’est qu’un tas d’épîtres écrites quatre cents ans après la mort des apôtres et qu’elles ne sont pas fidèles et tout, comme ça. Et si…
Vous connaissez l’Eglise catholique. Je viens d’une famille catholique. L’Eglise catholique ne… Ils acceptent la Bible, certainement. Mais voici ce qu’ils disent : Dieu est dans Son église. Peu importe que l’église dise quelque chose de contraire à la Bible, acceptez la parole de l’église.

26 Eh bien, j’ai eu une discussion avec un prêtre dans mon bureau tout récemment. Et il a dit… Je parlais du baptême d’une fille. Il m’a demandé comment je l’avais baptisée : par immersion au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Il a dit : « C’est comme ça que l’Eglise catholique baptisait. »
J’ai dit : « Quand ? »
Il a dit : « A l’époque primitive. »
J’ai dit : « Quelle époque primitive ? »
Il a dit : « Le début de l’Eglise catholique. »
J’ai dit : « Depuis quand l’Eglise catholique a-t-elle commencé ? » En fait, j’avais tous les livres de l’histoire sacrée posés là : Le Livre des martyrs de Foxe. J’avais Les Ages primitifs de Pember. J’avais tous les écrits de Josèphe ainsi que de tous les autres historiens là même. Et je–j’ai dit : « J’aimerais vous demander quand. »
Il a dit : « Eh bien, avec le premier apôtre. »
Et j’ai dit : « Et vous dites qu’ils étaient des catholiques ? »
Il a dit : « Ils l’étaient. »
J’ai dit : « l’Eglise catholique est-elle une église universelle ? »
Il a dit : « Oui. »
J’ai dit : « Le mot même catholique signifie universelle, n’est-ce pas ? »
Il a dit : « C’est ça. »
Eh bien, j’ai dit : « Pourquoi alors l’enseignement de l’Eglise catholique d’aujourd’hui est-il si contraire à la Bible ? »
Il a dit : « Eh bien, vous, vous croyez la Bible. Nous, nous croyons l’église.»
Eh bien, j’ai dit : « Pas du tout. Nous…»
Il a dit : « Eh bien, Dieu est dans Son église. »
J’ai dit : « La Bible dit que Dieu est dans Sa Parole. » C’est vrai. Et aussi, la Bible dit à la fin du Livre : « Celui qui En retranchera quelque chose ou ajoutera quelque chose à Cela, sa part sera de même ôtée du Livre de Vie. » Ainsi, je crois que la Bible est infaillible. Je crois qu’Elle est la Parole infaillible de Dieu. Je crois qu’il n’y a plus rien à Y ajouter ni à En ôter. Je crois que ça, c’est le plan de Dieu pour Son Eglise. Nous, les constructeurs, nous y avons embrouillé cela, je le reconnais. Mais cela n’a rien à faire avec le plan. Il demeure toujours le même. Et c’est la Bible de Dieu, et je crois que cela est… Dieu est dans Sa Parole. Et Dieu est responsable de Sa Parole.

27 Maintenant, pour un petit contexte, remonter pour avoir une toile de fond pour les choses que je–j’aimerais dire. Et la raison pour laquelle j’ai toujours essayé de m’accrocher à la Bible… Je suis allé maintes fois dans des églises. C’est juste pour vous permettre d’avoir un–un petit tableau général. Et je suis allé dans des églises, et voici ce qu’on y observe. Si vous entrez dans une église, vous verrez que, généralement, la façon dont le pasteur agit, c’est ainsi que l’assemblée aussi agira. Voyez ? Je crois que, quelques fois, ils reçoivent l’un l’esprit de l’autre plutôt que le Saint-Esprit.
Eh bien, c’est possible. Absolument. Prenez une très bonne femme et mariez-la à un homme qui ne vaut rien, soit ce dernier deviendra un gentleman, soit c’est elle qui deviendra une vaurienne. Voyez ? Vous recevez l’un l’esprit de l’autre. C’est ça. Qui se ressemblent s’assemblent. Et vous êtes un être doté d’un esprit ; c’est ça le problème…

28 Placez la télévision là, telle qu’elle est aujourd’hui, avec des émissions non censurées sur toutes ces vulgarités et tout. Laissez un petit garçon suivre cela. La porte, c’est l’œil de l’âme… L’œil est la porte de l’âme, plutôt. Laissez-le entrer, et laissez ces petites filles entrer dans l’un de ces cinémas ou quelque chose comme cela ou autres, et voir l’une de ces femmes de Hollywood, avec huit ou dix maris, faire l’amour à un homme. Cette petite fille fera la–la même chose le lendemain. Laissez une personne aux pensées imaginaires, une absurdité sortir là en une espèce de vieille petite jupe scandale ou l’une ou l’autre chose du genre, et vous verrez les femmes américaines se mettre à porter la même chose. C’est vrai. Voyez, vous attrapez… l’un de l’autre.
Ce dont vous vous nourrissez… Laissez-moi entrer dans votre bureau, monsieur. Et vous me direz que vous êtes un chrétien. Et laissez-moi entendre votre…Vous allumez votre radio quand je suis là, et vous écoutez une espèce de vieille musique boogie-woogie, et que je voie des femmes à moitié vêtues, des photos de femmes nues affichées à votre mur. Peu m’importe ce que vous dites, je sais de quoi se nourrit votre esprit. C’est vrai. C’est tout à fait vrai. Voyez, toujours.

29 Je préférerais avoir une vieille maison sans tapis sur le parquet, avec un petit lit métallique placé là, une vieille garde-robe quelque part là ou je ne sais quoi, avec une vieille petite table de cuisine faite avec des caisses, portant un écriteau qui pend là : « Que Dieu bénisse notre maison » plutôt que toutes ces belles maisons du monde, avec vos photos des femmes nues et du non-sens que vous avez aujourd’hui, et une Bible posée sur la table plutôt que tous ces vieux magazines d’histoires d’amour et tout poussiéreux, sales, le désir sexuel et tout le reste à inculquer aux enfants. Comment pouvez-vous vous attendre en retour à autre chose qu’à une bande d’infidèles et de non-croyants ? C’est vrai, mes amis. Elevez l’enfant selon la voie qu’il doit suivre, enseignez-lui la Parole de Dieu.
Abraham Lincoln, jusqu’à ce qu’il était devenu adulte, avait deux livres : L’un d’eux, la Bible, et l’autre, Le Livre des Martyrs de Foxe. Abraham Lincoln… Et il a beaucoup étudié cela, il avait lu, il–il s’est concentré sur cela. C’est ce qui a développé ce genre de personnage qu’était Abraham Lincoln.

30 Montrez-moi ce que vous lisez. Montrez-moi ce que vous écoutez. Laissez-moi écouter les chansons que vous aimez le plus, je vous dirai ce dont votre âme se nourrit. « C’est à leurs fruits qu’on les reconnaîtra. » C’est vrai.
Allez dans certains restaurants... Et il y avait cet absurde juke-box qui faisait du bruit. J’y suis allé plusieurs fois et je demandais au tenancier, si je m’étais déjà assis pour commander mon dîner avant de savoir que cette histoire était dans la maison, je m’avançais pour demander : « Monsieur, combien de disques cette histoire joue-t-elle par heure ? » Il me le disait. Je disais : « Tenez, débranchez cette histoire jusqu’à ce que j’aie terminé de manger et je vous payerai maintenant même. Je–je veux manger dans–dans–dans la décence. » Et j’ai dit : « Je vais débrancher cette histoire, si–si seulement–seulement vous gardez, s’il vous plaît, cette histoire éteinte pendant que j’essaie de manger là, le voulez-vous ? Et je paierai pour chaque disque qui pouvait être joué. Si on en joue un toutes les deux ou trois minutes, je–je payerai bien pour chacun d’eux (voyez ?), pendant que je suis ici. » Oh ! une telle bêtise, et tout cela.

31 Eh bien, c’est la raison pour laquelle l’Amérique en est arrivée à être toute rongée aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle les fondements mêmes sont rongés à partir de dessous.
Eh bien, prenez les gens qui laissent l’ulcère les ronger comme cela, comment pouvez-vous jamais leur parler du surnaturel ? Tout ce qu’ils écoutent à l’église, c’est une petite doxologie ou quelque chose comme ça ou autre, ou quelque chose au sujet de qui sera le prochain maire, mais jamais la Parole de Dieu. Voyez ? S’il y En a, c’est sous une forme douce pour le petit enfant, c’est comme de l’aspirine pour petit enfant à un adulte. Voyez ? Cela ne soulage pas la peine de–d’un être humain abattu. C’est vrai. Il vous faut avoir quelque chose qui est l’hypo de Dieu. Amen. Cela stimule.
Vous savez, Il était appelé « Le Lys de la vallée. » Et le lys, c’est ce qui nous procure l’opium. L’opium provient du lys. Et, je vous assure, si vous êtes abattu, épuisé et fatigué du péché, laissez simplement Dieu vous donner l’opium qui provient du Lys de la vallée, et vous verrez que cela calmera chaque douleur et chaque souci; cela disposera votre cœur à regarder vers Dieu en ce qui concerne Sa Parole, et vous croirez Cela de tout votre cœur. C’est vrai.

32 Eh bien, comme toile de fond, nous allons retourner dans I Rois, dans la Bible, juste pour un court instant en pensée, pour permettre à notre esprit de retourner à un certain événement. Il y avait le roi Achab de l’Ancien Testament. En fait, le roi Achab, en son temps, c’est un beau type du–du Nouveau Testament. Et remarquez bien. De même qu’Achab a épousé Jézabel, une idolâtre, et a introduit l’idolâtrie en Egypte, c’était un type au cours de–de sept dispensations de l’Ancien Testament, comme les sept chandeliers du Nouveau Testament.
Au cours des âges de ténèbres, les mille cinq cents ans des âges sombres, le protestantisme a épousé le romanisme et a introduit l’idolâtrie dans l’église juste de la même façon. Consultez la Bible et voyez si ce n’est pas ce qu’Elle dit. C’est vrai. Durant ces mille cinq cents ans des âges sombres, vous êtes sortis avec un faux baptême, l’aspersion, le faux nom et tout le reste de fausseté. Et Dieu a dit : « Tu as une petite lumière et tu as un nom, mais tu as renié le Mien. » Voyez ? C’est donc la même chose.

33 Et Achab, cet Israélite tiède, frontalier et rétrograde, oh ! il se peut qu’il ait été circoncis dans la chair ; il se peut que son nom ait été inscrit dans le registre quelque part comme un Israélite. Mais, dans son cœur, il pensait plus à cette petite Jézabel au visage fardé qu’au Royaume de Dieu.
Et combien ce soir, combien de gens ont vendu leur droit d’aînesse contre les choses du monde et se sont éloignés de Dieu ! Accrochez-vous à la Parole. C’est pourquoi, quand nous venons dans une réunion, je parlais d’attraper l’esprit l’un de l’autre ; quand nous venons dans une réunion, nous voulons nous accrocher bien à la Parole. Accrochez-vous à la Parole afin que l’Esprit de la Parole repose sur les gens, pas l’esprit d’une personne aux pensées imaginaires, ou d’un ministre ou de quelque chose comme ça. Et nous aurons à répondre pour cela au jour du Jugement.
Eh bien, quand je me tiendrai là en ce jour-là, avec les–les gens à qui j’ai prêché à travers le monde, je veux une chose : c’est que je n’ai pas inculqué dans les gens quelque chose de moi-même, mes histoires imaginaires, mais que je m’en suis tenu à la Parole de Dieu. Alors cette Chose sera placée là même devant moi et je dirai : « Ô Dieu, c’est Toi qui as écrit Cela. » Voyez ? C’est le genre d’esprit qu’il vous faut, quelque chose qui recevra la Parole de Dieu et non un tas de choses imaginaires, un tas de théologie faite de main d’homme. Tenez-vous-en à la Parole éternelle de Dieu.

34 Eh bien, Elie, le grand et puissant prophète, avait prophétisé et il avait annoncé à Achab, comme celui-ci avait tué Naboth, ce qui lui arriverait, que les chiens lécheraient son sang et ainsi de suite. Et il avait annoncé à Jézabel ce qui lui arriverait. Puis, longtemps après le départ d’Elie…
Dieu, toujours, de la Genèse à l’Apocalypse, Dieu a toujours eu au moins un homme sur qui Il peut mettre la main. Il n’a jamais manqué de témoin.
Ensuite vint un jeune homme du nom de Michée, un petit prophète. Il était haï des autres. Et Achab avait… Eh bien, peut-être qu’il pensait que la religion juive était très bien. Eh bien, c’est ce que le croyant moderne pense aujourd’hui. Ils considèrent cela juste comme quelque chose que… eh bien, qui est là comme ça. Voyez ? Et ils vont à l’église parce qu’ils savent que c’est une chose décente à faire. Si c’est uniquement pour ça que vous allez à l’église, vous n’êtes qu’un hypocrite. C’est tout. Vous n’allez pas à l’église parce que vous pensez que c’est une chose décente à faire, vous allez à l’église pour adorer Dieu. Vous allez rencontrer Dieu, Lui rendre des actions de grâce, Le louer et L’adorer. C’est la maison d’adoration. Eh bien, c’est ce dont nous avons besoin.

35 Et alors, Achab, il avait un groupe de prophètes qu’il avait bien instruits, et il les avait avec leur… toute la meilleure théologie qu’il y avait en ce jour-là. Il les avait enseignés. Et il y en avait beaucoup, quatre cents. Et il les avait tous bien habillés, bien nourris et il prenait soin d’eux. Il nourrissait ces gens avec le fond de son royaume. Il a dit : « Eh bien, maintenant, un instant. Si jamais j’ai des problèmes, eh bien, peut-être que je pourrais courir là voir mes pasteurs et ils–ils pourraient me consoler. »
Ainsi, une fois, Josaphat, qui était fils d’un homme juste et qui était lui-même un homme juste, est venu rendre visite à Achab. Et c’est là qu’il a commis son erreur fatale.
Ecoutez. L’huile et l’eau ne se mélangent point. Et, souvent, beaucoup de gens de bonne vie ont été complètement détruits par leurs partenaires. Dites-moi qui vous fréquentez, je vous dirai qui vous êtes. Voyez ? C’est vrai. C’est un vieux proverbe, mais c’est la vérité. Associez-vous aux gens qui croient en Dieu.

36 Ne laissez pas vos enfants… S’il court dans la rue vers un petit Oswald là-bas, c’est un bon petit garçon ; mais prenez soin de savoir qui est le petit Oswald. Voyez qui est son père, qui est sa mère. Ce sont peut-être des gens qui haïssent l’Evangile. Ils peuvent avoir tout inculqué au petit Oswald. Et vous laissez votre petit garçon ou votre petite fille fréquenter quelqu’un de ce genre et, la chose suivante, vous savez, il viendra et agira comme le petit Oswald. Eh bien, vous savez que c’est vrai.
Observez vos partenaires. Ayez de bonnes fréquentations. N’allez pas dans des salles de billard avec ce garçon-là juste parce que vous pensez que vous pouvez le gagner à Christ. Si vous n’êtes pas capable de le gagner à Christ dans l’église ou là, chez vous, ou assis dans votre voiture, vous ne le ferez pas dans la salle de billard. Je vous assure, vous êtes sur le terrain du diable. Restez-en éloigné. C’est vrai. Séparez-vous. Dieu a dit : « Sortez du milieu d’eux et séparez-vous, a dit Dieu, et alors, Je vous recevrai. » Dieu cherche quelqu’un qui a le–le courage de tenir bon. C’est ce que Dieu a toujours voulu.
Et chaque homme de Dieu qui a jamais pris position, de la Genèse à l’Apocalypse, et de l’Apocalypse en ce temps moderne, a désapprouvé le système ecclésiastique du monde et s’en est tenu à l’écart ; il s’agit des églises du monde de son époque.

37 Aucune d’elles, sondez les Ecritures et sondez l’histoire, et voyez. Martin Luther, John Wesley…?… Calvin, Knox, Finney, Sankey, qui que ce soit, voyez-les, comment ils sont sortis du milieu de ces choses et se sont tenus seuls sur leurs convictions ; des serviteurs de Dieu.
Et, des fois, même dans votre propre famille, vous aurez à vous tenir seul. Parfois, votre maman et votre papa seront en désaccord avec vous. Parfois ce sont votre tante et votre oncle ; parfois ce sont les membres de votre loge qui seront en désaccord avec vous. Si la Parole de Dieu, si vous vous tenez sur Elle, restez-Y même si vous vous tenez seul sur la Parole de Dieu. Car chaque homme qui a abouti à quelque chose s’est tenu sur la Parole de Dieu avec son témoignage. C’est vrai ; en effet, c’est la seule voie pour être un... pour atteindre le but.

38 Eh bien, cet homme-ci, Josaphat, est venu parce qu’Achab l’avait invité. Et il a tué un bœuf et une brebis, et il a fait une très grande bouffe… Et souvent, nous avons des problèmes lors de ces grandes (ce que nous appelons de grandes bouffes)–ces grandes rencontres sociales où on a des fêtes et tout leur non-sens et tout. Et quand ils faisaient cela, peut-être que Josaphat a eu quelques morceaux de viande en plus et quelques verres de gin ou je ne sais quoi ils avaient à–à boire là-bas. Et Achab a dit : « Eh bien, je monte à Ramoth en Galid... Galaad, et je voudrais que vous montiez avec moi. »
Eh bien, Josaphat, tout emballé par ces grandes et belles choses et le rév…

39 C’est ainsi que le diable s’y prend. Il vous montre le côté brillant. Et ce genre de côté brillant, si ça ne s’accorde pas avec la Parole de Dieu, c’est un mirage. Vous savez ce que c’est qu’un mirage, c’est quelque chose qui a l’air réel. C’est une illusion d’optique. Et ça ne se trouve donc pas là quand vous y arrivez. Vous savez, vous descendez la route, on dirait qu’il y a de l’eau; une fois arrivé là, il n’y a pas d’eau. C’est ce que le diable vous fait. Il vous promet toujours quelque chose là-bas, tout là-bas, vous montrant quelque chose de brillant. Quand vous arrivez là, ce n’est jamais le cas.
Tenez-vous-en à la Parole, vous êtes alors en ligne. Vous êtes dans le plan de Dieu. Restez juste là. Ce que Dieu dit, peu importe à quoi cela ressemble, vous ne… La foi–la foi, ce n’est pas ce que vous voyez ; ce sont des choses que vous ne voyez pas. Vous confessez les choses que vous ne voyez pas. « La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. »

40 Eh bien, alors, remarquez. Alors que tout cela était en cours, la chose suivante, vous savez, Josaphat a conclu une alliance et s’est joint à ce grand peuple d’Israël là-bas, alors qu’il était un... qu’il n’aurait pas dû le faire. Il était un croyant. Et il a dit : « Maintenant… » Mais il était assez croyant, il avait assez de justice, jusqu’à dire : «Nous ferions mieux de consulter l’Eternel avant de monter à Ramoth en Galaad. »
Et il lui a été dit : « Oh ! a dit Achab, bien, certainement. Oui, c’est vrai. Nous–nous–nous devrions certainement faire cela. » Il a donc dit : « Eh bien, vous savez quoi ? J’ai un groupe de meilleurs docteurs en théologie ici que vous n’avez jamais vus. » Il a dit : « Je vous assure que notre église n’a pas d’imbéciles, là. Nous sommes de la meilleure classe. Nous avons la meilleure classe qui existe. Eh bien, nous avons là des hommes qui sont... qui ont des doctorats en théologie, des doctorats en philosophie et des doctorats en droit. Eh bien, il vous faut voir. » Josaphat a dit : « Eh bien, faites-les venir ici. »

41 Ainsi, les rois se sont assis sur leurs trônes, aux portails, et quatre cents prophètes sont venus. Et l’un d’eux, le plus grand, du nom de Sédécias, est venu, vous savez, et il a dit : « Eh bien, voyons. Prophétisons. Oui, AINSI DIT LE SEIGNEUR. Monte, l’Eternel est avec toi. » Voyez, eh bien, ils étaient payés pour ça. Ils n’accordaient aucune attention à la Parole. Ils étaient bien payés. Ils étaient bien nourris. Ils avaient leurs tickets-repas.
Et c’est là que beaucoup de braves gens commettent l’erreur aujourd’hui. Frère, je préférerais me coucher à plat ventre, boire l’eau de robinet et manger des biscuits secs, et m’en tenir à la Parole de Dieu et dire la vérité, plutôt que prendre des poulets frits trois fois par jour et vivre dans un palais. C’est vrai. C’est la vérité.

42 Juste là, à Dowagiac, pas Dowagiac, mais à Benton Harbor, dans le Michigan, un vieil homme, John Rhyn (non pas le John, vous savez, qui a une longue barbe, mais celui de Fort Wayne qui a été guéri dans les réunions)... Et on m’avait amené là; ce rabbin… Et il a demandé : « Comment cet homme, John, a-t-il recouvré la vue ? »
J’ai dit : « Le Seigneur Jésus-Christ lui a restitué la vue. »
Et le rabbin m’a dit, il a dit : « Eh bien, il n’était ni Jésus… ou plutôt Il se peut qu’il ait été Jésus, mais Il n’était pas le Christ. » Et c’est là que les Romains s’empoignèrent. Il a dit : « Oh ! vous, les Gentils, vous ne pouvez pas découper Dieu en trois morceaux et nous Le donner. » Voyez ?
Et j’ai dit : « Eh bien, nous ne Le coupons pas en trois morceaux, monsieur. »
Il a dit : « Il y a un seul Dieu. »
J’ai dit : « C’est correct. Correct »

43 Et, alors, il a dit… il a continué à parler comme cela. Il a dit, si… Il a dit : « Jésus était un voleur. »
Et j’ai dit : « Un voleur ? »
Il a dit : « Oui, oui. Vos Ecritures, ce que vous appelez le Nouveau Testament, disent qu’Il a traversé des champs de blé un jour de Sabbat et a volé du blé et en a donné à Ses disciples ; ce n’était même pas légal. » Il a dit : « Vous savez cela. » Et il a dit : « Votre… » Ils sont... ils étaient si confus. Il a dit : « Il a volé du blé et en a donné à Ses disciples, Lui même aussi en a mangé. Cela fait de Lui un voleur, à mon avis. »
J’ai dit : « Juste un instant, rabbin, vous me surprenez. Votre propre loi lévitique dit qu’un homme peut entrer dans un champ, cueillir et manger ce qu’il veut, mais qu’il ne doit rien emporter dans le sac. » C’est vrai. J’ai dit : « Honte à vous qui ne connaissez pas les Ecritures mieux que ça. » J’ai dit : « Il observait absolument la loi. » C’est tout à fait vrai.

44 J’ai donc dit : « Quoi… De qui Esaïe parlait-il dans Esaïe 9.6, quand il a dit : ‘Un Fils nous est né, un Enfant nous est donné’ ? De qui parlait-il, du Messie ? »
« Oui, monsieur. »
J’ai dit : « Est-ce que... Quand le Messie viendra, que sera-t-Il alors ? ‘Un Enfant est né.’ »
Il a dit : « Eh bien, le Messie sera un Enfant. »
« Oui, oui. Et Il naîtrait d’une vierge. »
« Oui, oui, mais pas selon que vous en parlez. »
J’ai dit : « Eh bien, je vous demande simplement de répondre à ma question. »
Et il a continué sur cette lancée, il a continué sur cette lancée. J’ai dit : « Alors, et si le Messie… Quel rapport y aura-t-il entre Lui et Dieu ? (Voyez ?) Quelle différence y aura-t-il entre le Messie et Dieu ? Quel rapport aura-t-Il avec Dieu ? » J’ai dit : « Il n’a que deux choses pour lesquelles votre loi Le condamne : violer le sabbat et se faire Dieu. » Et j’ai dit : « Il était le Maître du sabbat et Il était Dieu. » J’ai dit : « Dieu était en Christ considérant… Jéhovah Dieu était manifesté dans la chair, en Son Fils Jésus-Christ, pour ôter le péché. » J’ai vu que ça l’avait eu, peu après.

45 Il a dit : « Eh bien, à propos des yeux de cet homme, est-ce vous qui avez fait cela ? »
J’ai dit : « Non, non. C’est Jésus-Christ qui l’a fait. »
J’ai dit : « John voit, n’est-ce pas ? »
Il a dit : « Oui, il voit. »
Il a dit : « Je lui ai fait la charité bien des fois. »
Et j’ai dit : « Il était là aveugle pendant vingt ans, un mendiant. Et le voici aujourd’hui capable de lire des caractères plus petits que je ne le peux. » Et j’ai dit : « Eh bien, qu’en est-il de cela ? Quelque Chose lui a redonné la vue. » J’ai dit : « C’est Jésus-Christ qui l’a fait. »
Je l’ai vu détourner la tête comme ça, les larmes lui coulant sur les joues, comme cela, sur sa barbe grise ou grisonnante, alors qu’il détournait la tête et s’en allait comme cela, longeant un côté. Et j’ai dit : « Juste un instant, rabbin. »
Il a dit : « Je vous verrai plus tard. »

46 Et j’ai dit : « Un instant. Soyez courtois à mon égard. J’aimerais vous poser une question. Croyez-vous que c’était le Messie ? »
Il m’a regardé, il a dit : « Monsieur Branham, j’admettrai qu’Il était un Homme bon. » Eh bien, il s’est fait avoir là même. Voyez ?
Et j’ai dit : « Vous dites…?… »
« Oui. »
J’ai dit : « Qu’en est-il de Sa Parole ? »
Il a dit : « Il était un prophète. »
J’ai dit : « Rabbin, croyez-vous qu’Il était le Fils de Dieu ? » J’ai dit : « D’abord, si c’est un Homme bon, vous ne pouvez pas croire qu’Il est un menteur. Et un prophète, Il ne peut pas être un menteur. Et Il a dit : ‘Je suis le Fils de Dieu.’ Eh bien, vous vous êtes embrouillé quelque part. Or, vous avez dit qu’Il était un Homme bon et un prophète. Et vous devez reconnaître que Sa Parole était une prophétie et Il a dit qu’Il était le Messie de Dieu. C’est vrai. » J’ai dit : «Maintenant, vous croyez… »
Et il a dit : « Ecoutez. » Il a jeté un coup d’œil à ce petit bâtiment, là vers Benton Harbor, il a dit : « Si j’enseignais cela, je serais là, dans la rue, en train de mendier. » Bien sûr, il était un Juif, vous savez, avec de l’argent. C’est lui qui a dit : « Que gagnerons-nous ? » Il jeta Joseph dans la citerne. Voyez ? « Très bien. Vendons-le et gagnons de l’argent en contrepartie. »
Mais il avait son nom gravé là, en grosses lettres d’or, dans cette école. J’ai dit : « Mais, rabbin, je préférerais être là en train de ramasser les miettes de pain dans la poubelle. » (Chose que je n’aurais pas à faire si je servais Dieu.) Mais j’ai dit : « Je préférerais faire cela plutôt que d’avoir mon nom gravé sur ce bâtiment, là, et savoir dans mon cœur que j’ai tort devant Dieu. Je préférerais faire cela. La Parole de Dieu passe en premier. » Très bien.

47 Remarquez. Eh bien, tous ces prédicateurs ont dit : « Eh bien, monte, ô roi. Eh bien, assurément, l’Eternel est avec toi. Eh bien, tu as pris soin de nous. Tu as bâti de belles églises. Tu as fait de nous une grande dénomination. Tu es… Eh bien, regarde simplement comment nous avons prospéré avec ton argent. Eh bien, certainement que l’Eternel est avec toi, ô roi. Monte ! »
C’est ainsi que les gens sont aujourd’hui. Ils considèrent leur belle église, leur prédicateur bien instruit, raffiné, qu’ils ont par moment à la chaire. Et il se peut qu’il soit un vrai gentleman. Il se peut qu’il soit un serviteur de Dieu. Il se peut qu’il soit raffiné et qu’il soit quand même un serviteur de Dieu. Ce n’est pas ça que je dis. Mais il y en a beaucoup parmi eux, de l’autre côté, qui sont raffinés et qui renient la Parole de Dieu. C’est de ceux-là que je parle, pas du vrai et authentique frère. Non, non. C’est de l’autre côté. « Eh bien, nous sommes membres de telle ou telle église, Révérend Branham. Bien sûr que nous ne pouvons pas collaborer à une–une campagne de guérison, à l’une ou l’autre chose, ou – ou à des choses pareilles, parce que, eh bien, bien sûr, vous savez, le… Oui, le roi ne soutiendra pas cela. » Le roi… Oui, monsieur, oui. Le roi de votre groupe ne va pas soutenir cela. Il ne–il n’approuverait même pas cela. Vous serez excommunié si vous collaborez à cela.

48 Il n’y a pas longtemps, un grand homme ici a dit : « Tout ce que j’ai… » Le seul homme que j’aie jamais vu qui était... qui avait assez de conviction pour se tenir sur la vérité, c’était Rufus Mosley. C’est vrai. Si quelqu’un parmi vous… vous connaissez Rufus Mosley, là-bas, à Macon, en Georgie, oh ! une des grandes écoles de base qu’il y a là et qui possèdent des milliers là-bas. Il a dit : « Peu m’importe ce que vous dites, ceci vient de Dieu. » Frère, Dieu a secoué cette contrée-là aussi. Et ce qu’il a fait, il avait la conviction comme Martin Luther. Il avait la conviction, et comme John Wesley. Et il… Tout homme qui a la conviction sur la Parole de Dieu, pas sur quelque chose de fantastique, mais sur la Parole de Dieu, et qui la situe en Son temps… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]

49 Remarquez ce qui s’est passé. Puis, après, tous ces prophètes se sont mis à prophétiser… Et, oh ! la la ! c’est ça.
« Docteur Dupont, qu’en pensez-vous ?
– Amen.
– Frère Lévisquis ?
– C’est tout à fait vrai. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
– Eh bien, maintenant, docteur, qu’en pensez-vous ?
– Oui, oui. Amen. »
« Eh bien, maintenant, c’est moi le chef de cela, Sédécias, et je… Et vous, vous êtes le secrétaire ; et vous, vous êtes le chef ; et vous, vous êtes le surveillant général ; et vous, vous êtes le ‘ce que vous appelez cela.’ Eh bien–eh bien, que disons-nous tous ?
« Nous sommes d’accord. »
C’était très bien, mais ce n’était pas conforme à la Parole. Et Josaphat était assez spirituel pour reconnaître cela. Je peux voir Achab s’avancer et dire : « Eh bien, tu vois, Josaphat ? Je sais que tu es un tout petit peu méfiant (voyez ?), parce que tu es un tout petit peu radical dans ta religion. Mais voici des centaines de prophètes debout là, les érudits les plus intelligents de la contrée ; ils disent : Nous allons monter. Eh bien, tu vois, nous n’avons pas à nous inquiéter. »

50 Josaphat a dit : « Mais n’y en a-t-il pas un autre ? » « Un autre ? Un autre, toute l’organisation… ? » Il a dit : « Qu’en dis-tu alors ? Toute la congrégation dit que nous sommes en ordre. Tous les docteurs et tous les autres disent que nous sommes en ordre. »
« Il me semble avoir lu là où le Seigneur… Achab, n’en as-tu pas un autre ? »
Il a dit : « J’ai un saint exalté là », ou quelque chose comme cela, je ne sais quoi. C’était un paria hors cadre. Il a dit : « C’est le fils de Jimla ; il s’appelle Michée. » Mais il a dit : « Je le hais. » Oh ! certainement ! Il a dit : « Il ne veut pas se joindre à mon groupe. » Eh bien, je ne le blâme pas. Il a dit : « Oh ! la la ! a-t-il dit, c’est un radical. Et il ne dit jamais rien de bon pour moi. » Eh bien, ça dévoile donc les choses. Voyez ? Voyez-vous pourquoi il a dit cela ? Voyez ? Il a dit : « Il ne dit jamais rien de cont… » Comment pouvait-il dire quelque chose de bien pour lui ? Ils étaient bons envers lui ; en effet, il n’avait rien de bon pour commencer. Dieu l’avait condamné et rejeté. Et comment allez-vous bénir ce que Dieu a maudit ? Ou comment allez-vous maudire ce que Dieu a béni ?

51 Un autre vieux faux prophète a essayé cela une fois, quand il a amené toute sa grande dénomination là et les a placés là-bas ; ils étaient fondamentalistes jusqu’au bout. Oui, oui. Sept autels, sept sacrifices, sept taureaux purs, sept béliers, représentant la Venue du Seigneur Jésus pour la première fois. Et il y avait là un groupe de saints exaltés, là, au fond, du nom d’Israël. C’était un petit groupe interdénominationnel là-bas, qui habitait sous des tentes. Et Moab était un pays entouré de grandes clôtures, toutes les célébrités étaient là, tout aussi fondamentaliste qu’il l’était. C’est vrai. Mais il a manqué de voir ce Rocher frappé et cette Colonne de Feu qui allait devant Israël. C’est ce qu’il avait dit. Il a vu ce Dieu surnaturel entonner un chant de triomphe royal dans le camp. Il a manqué de voir cela.
Je crains qu’aujourd’hui beaucoup de nos grandes célébrités manquent de voir la main de Dieu oeuvrant parmi ce groupe de radicaux dont ils parlent. Je sais qu’on a des radicaux et tout, mais je prendrai mon chemin avec eux. Je ferai mon choix là, s’il me faut me ranger d’un côté. Ce sera là même. Lewi Pethrus m’a dit, il n’y a pas longtemps : « Je les ai vus se comporter drôlement et tout, Frère Branham. » Mais il a dit : « Je suis allé avec eux afin de pouvoir les ramener. » Et il l’a fait.

52 Eh bien, remarquez. Eh bien, il a dit… Josaphat a dit : « J’aimerais le voir. »
« Très bien. Nous ne lui permettons même pas de rester par ici. Nous ne lui permettons pas de tenir ses campagnes ou autre dans cette contrée. Nous le lui avons interdit depuis longtemps. Il vous faut aller à Amon pour l’avoir. » Très bien, aussi ont-ils envoyé… Il a dit : « Allez chercher ce fanatique. » Voici donc… Et toutes les célébrités se sont approchées de lui, vous savez, et ils ont, comme qui dirait, dit à cet homme, le coursier, l’officier, quoi dire à Michée.
Alors, le pauvre petit Michée était assis là, lisant sa Bible ou je ne sais quoi il lisait, il a tiré le rouleau du parchemin, il a dit : « Oui. C’est ça. J’ai un drôle de sentiment aujourd’hui, mais c’est ce qui est dit. Amen. Je le crois, Seigneur. Peu m’importe combien cela paraît drôle, je le crois de toute façon. C’est vrai, Seigneur. »
« Qu’avez-vous dit ? Où avez-vous lu le… » Esa–Esaïe a prophétisé, les prophètes, et ils ont dit telle et telle choses. Il a dit : « Je crois cela. Je crois cela, Seigneur. C’est vrai. »

53 Quelqu’un frappe à la porte. [Frère Branham frappe. – N.D.E.]
« Je suis garde du corps du roi. »
– Eh bien, entrez.
– Est-ce vous Michée ?
– Oui.
– Est-ce vous ce fanatique dont on parle ?
– Eh bien, c’est moi le soi-disant fanatique.
– Eh bien, j’ai ici un mandat pour t’amener auprès du roi.
– Eh bien, vous n’avez pas à me mettre les menottes ; j’irai avec vous.
– Eh bien, il veut que tu prophétises.
– Oh ! vraiment, hein!
– Ils ont tenu une grande réunion là-bas.
– Oh ! oui ?
– Oui, tous les prophètes se sont rassemblés, toute la dénomination. Ils se sont tous rassemblés. Oh ! ils passent un moment merveilleux maintenant.
– Oui, c’est vrai ? Qu’ont-ils fait ?
– Oh ! le roi…Savez-vous que Josaphat–que Josaphat est venu là-bas rendre visite à Achab ?
– Oh ! je vois ce dont l’Eternel me parle. Oh ! c’est vrai ?
– Oui, oui. Oui.

54 « Quoi au monde Josaphat fait-il là chez ce rétrograde (voyez ?), ce frontalier, ce faiblard, ce petit mou ? Que fait-il là-bas ? », pensait-il dans le cœur.
– Eh bien, qu’ont-ils fait ?
– Eh bien, évidemment, tu sais que le roi a formé une grande dénomination, celle dont tu as été chassé.
– Oh ! oui. Oui, je sais.
– Mais, tu sais, Josaphat vient d’un vieux groupe de gens plus illettrés là-bas. (Voyez ?) Et il n’a pas la même connaissance que le roi Achab ici. Tu sais donc que le roi Achab est un grand homme.
– Oui.
– Et Josaphat a passé un temps là, et le roi Achab veut qu’il monte là à–à Ramoth en Galaad, là-bas, pour affronter l’ennemi. Et tous les prophètes étaient… Oh ! toute l’école s’est présentée là et ils ont tous prophétisé, disant : « AINSI DIT LE SEIGNEUR. Monte, le roi est avec toi, et l’Eternel est avec toi, et tout est avec toi ; ainsi, tu dois gagner. » Et tu sais quoi ? C’était tellement sûr que Sédécias s’est fait deux grandes cornes en fer. Il les a placées sur la tête et a parcouru la rue, en criant : « Par ceci, par ceci, tu repousseras les Syriens jusque chez eux, par ces cornes. »
De vrais prophètes, vous savez ! Oh ! la la ! Oh ! la la ! Ils avaient tout.

55 C’est un peu comme beaucoup d’huile et de sang qui coulent des mains ; il n’y a pas d’Ecriture pour cela. C’est vrai. Mais tout ce non-sens qu’on a ici aujourd’hui parmi les pentecôtistes. C’est vrai. Beaucoup de ces choses ne sont pas scripturaires ; ainsi, tenez-vous-en loin. Il y a toute cette histoire qui se raconte : « C’est l’église ; c’est l’église et non pas la Bible. » Si ce n’est pas dans la Bible, tenez-vous-en loin. C’est la Parole.
Eh bien, ces hommes étaient assis là et, peu après, ils ont rencontré un groupe, ils ont dit : « Maintenant, écoute ça, Michée ; veux-tu être en bons termes avec ce groupe ? Si c’est le cas, tu dois dire la même chose que les autres. (Voyez ?) Dis simplement... prophétise et dis-lui de monter et tout ira très bien. Sois simplement d’accord avec lui, et je vais te dire quoi : Tu seras le surveillant général l’année prochaine (voyez ?), ou tu seras quelque chose comme cela. Oh ! il–il va, il va t’offrir un poste, si seulement tu dis la même chose que les autres. »
Michée a dit : « Mon Dieu est vivant ! Je n’annoncerai que ce qu’Il dira. » Amen. Eh bien, c’est ce dont nous avons besoin. C’est ce dont l’Amérique a besoin. « Je n’annoncerai que ce que Dieu dira, pas plus, pas moins. » C’est vrai.

56 Michée savait donc qu’Elie, le prophète de Dieu, un vrai et authentique prophète, avait prophétisé du mal contre Achab ; comment alors pouvait-il donc en provenir autre chose que le mal ? Ainsi, Michée… Ces autres hommes étaient minoritaires, majoritaires plutôt, mais Michée avait la Parole. Voilà donc ce qui faisait la différence : La Parole.
Peu importe combien les gens sont grands, combien de communistes il y a, combien de ceci, combien d’incroyants et de sceptiques, et–et de grandes choses aujourd’hui, peu importe combien ils sont grands, c’est ce que Dieu est qui compte. C’est ce que la Parole dit qui compte. Si on vous taxe de fanatique, si on vous taxe de diseur de bonne aventure, si on vous taxe de tout ce qu’ils veulent, qu’est-ce que ça change ? Ne prêtez pas attention à ces hommes.
Si vous fondez votre espoir sur les hommes, alors vous êtes perdu pour commencer, parce que l’homme est un échec, il est né un échec et il ne peut être rien d’autre qu’un échec. Mais : « Mon espoir ne repose sur rien d’autre que le Sang de Jésus et Sa justice ; quand tout cède autour de mon âme, alors Il est tout mon espoir et mon appui. Sur Christ, le Roc solide, je me tiens ; tous les autres terrains, c’est du sable mouvant », a dit Eddie Perronett, dans son–dans son cantique. C’est vrai.

57 Remarquez. Et Michée avait la Parole. Il savait ce que cette Parole annonçait. Comment pouvait-il bénir cet homme alors que le prophète de Dieu, qui avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, avait maudit cet homme ? Comment pouvons-nous nous attendre à ce que des bénédictions proviennent de ces choses, des incrédules et–et des choses sur lesquelles Dieu a placé Sa malédiction ? Comment pouvez-vous faire cela ? La crainte des hommes, la peur de perdre votre poste, ceci, cela ou autre, comment pouvez-vous faire cela, alors que Dieu a maudit cette chose ? Placez votre espoir en Christ. Placez votre foi dans Sa Parole. Tenez-vous là, peu importe ce qu’on dit, oui ou non. Tenez-vous-en à la Parole de Dieu.
Maintenant, pour terminer, écoutez. Michée s’est présenté là devant le roi. Et je peux m’imaginer le roi, le visage rougi, et ce pauvre petit gars en lambeaux s’est avancé là, vous savez, il a regardé tout autour, il a vu tous ces prédicateurs debout là, avec des doctorats en théologie. Je ne pense pas qu’il se soit senti seul, car Dieu était avec lui. Voyez ?

58 Il s’est avancé là. Je peux voir le roi, il a dit : « Bonjour, Michée. » Ce grand imposteur, vous savez ; en effet, Josaphat…
Josaphat a dit : « Ce gars a quelque chose que j’aime. Je ne sais pas ; il me paraît très bien, on dirait qu’il est vraiment sur la ligne. Eh bien, je vois qu’il n’a pas une grande instruction. Il se peut qu’il ne sache pas tous les–tous les grands mots et comment les prononcer correctement. Mais je crois une chose : ce gars connaît Dieu. » Voyez ?
Ainsi, il s’est avancé là. Il a dit : « Michée, que diras-tu ? Eh bien, votre parole doit concorder avec celle des autres, et ils ont tous dit : Monte, l’Eternel est avec toi, et tu auras du succès. »
Il a dit : « Allez-y ! » Il a dit : « Montez. S’ils ont dit cela, eh bien, allez. » Voyez ? Et il a dit : « Oh ! Montez ! Et vous aurez du succès. J’aimerais vous voir faire cela. »
Et Achab s’est dit : « Or, ce… » Je veux dire, il a dit : « Cela ne sonne pas bon de la part de ce gars. Comment pouvait-il prophétiser le mal, et on le voit venir ici et dire cela ? » Il a dit : « Je t’adjure, comme je sais que tu me dis toujours la vérité. »
Il a dit : « J’ai dit : ‘Montez et vous aurez du succès’. » Il a dit : « Mais j’ai vu Israël comme des brebis dispersées qui n’ont pas de berger; et l’Eternel a dit : ‘Ces gens n’ont pas de berger, qu’ils retournent en paix dans leur–dans leur maison.’ »
Il a dit : « Je te l’avais dit. Je t’avais dit que ce saint exalté ne dirait que du mal contre moi. Je pouvais bien le deviner. Je le savais avant que nous partions. »

59 Eh bien, qu’est-ce qui faisait la différence ? Une seule chose, oh ! toute la contrée s’était ralliée à ces prophètes, excepté un seul homme que voici. La raison pour laquelle il savait qu’il avait raison, et il s’est avéré qu’il avait raison, c’est qu’il se tenait sur l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, la promesse de Dieu. Et il savait que, peu importe combien de prédicateurs ou combien de dénominations, combien de rois, et combien d’autres choses disaient le contraire, la Parole de Dieu prévaudrait. S’il se tenait…
Il devait se tenir seul, ayant toute la nation contre lui ; mais il s’est tenu là seul sur la Parole de Dieu, sachant que Dieu tiendrait Sa Parole. En effet, Elie avait dit à Achab (on le maudissait là), par le Seigneur, disant : « Les chiens lècheront ton sang à cause de ce crime que tu as commis. » Comment cet homme pouvait-il se retourner et annoncer des bénédictions, alors que Dieu avait placé la malédiction là par un prophète authentique ? Il savait qu’il n’y avait que le mal qui pouvait arriver ; aussi s’accrocha-t-il à la Parole de Dieu. Il s’est tenu seul devant toute la nation, contre des centaines de prédicateurs et de docteurs en théologie autour de lui, et tout le reste ; mais il s’est tenu seul avec Dieu.

60 Savez-vous ce que le capitaine en chef des sacrificateurs a fait, comme cela ? Il s’est avancé, il a ôté ces cornes de sa tête et lui a directement administré une gifle à la bouche. Cela montrait sa religion, n’est-ce pas ? Eh bien, il se peut qu’il ait saigné à la mâchoire là pendant quelques minutes. Et il a dit : « Par où l’Esprit de Dieu est-Il sorti de moi pour aller vers toi ? »
Il a dit : « Attends un instant que tu sois assis là, caché dans une cage, alors tu sauras par où il était sorti », a dit Michée.
Michée a dit : « Je vois Israël dispersé. » Il a dit : « J’ai levé les yeux au ciel et j’ai vu le grand Trône de Dieu ; et les anges se tenaient à la main droite et à la main gauche de Dieu. Et ils tenaient une réunion, quand ils ont vu tout ceci se passer », de même que les autres tenaient leur réunion ici-bas. Souvenez-vous, quand quelque chose se passe ici-bas, des persécuteurs, des railleurs, des moqueurs, quelque chose se passe aussi là-haut, vous savez. Souvenez-vous-en bien. Fixez votre foi sur ça.

61 Ainsi donc, il a dit : « Je–je les ai vus tous en réunion au Ciel et ils allaient devant Dieu, essayant de trouver un moyen par lequel ils pouvaient amener Achab là-bas pour accomplir (bien sûr) la parole d’Elie, le prophète. » Elie avait dit cela sous inspiration ; cela devait s’accomplir. Il n’y avait rien d’autre qui pouvait arrêter cela. Ainsi, il savait que cela devait arriver.
Et il a dit : « J’ai vu un esprit se présenter devant Dieu et dire : ‘Je descendrai, j’entrerai dans tous ces prédicateurs et je serai un esprit de mensonge, je leur ferai prophétiser un mensonge. Et c’est ainsi que nous allons amener Achab là-bas pour accomplir la Parole de Dieu.’ » En effet, Dieu peut… Il a laissé ce mauvais esprit, cet esprit de mensonge descendre, entrer dans ces prédicateurs, les oindre et prophétiser un mensonge, au Nom du Seigneur.
Vous direz : « Alors, Frère Branham, comment pouvons-nous donc savoir qu’une prophétie est vraie ou pas ? » Comparez-la avec la Parole. C’est comme ça qu’il faut s’en tenir à Cela. Si elle ne se conforme pas à cette Parole, ne la croyez pas.

62 Hier soir, je vous ai dit que Ceci est l’Urim Thumim de Dieu. Si n’importe quelle chose de fantastique s’élève, où que ce soit dans cette petite église, quoi que ce soit, pasteur, tenez-vous-en à la Parole. Ne nourrissez pas ces brebis de quelque chose qui les tuera. Tenez-vous-en strictement à la Parole, car il est écrit : « L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. » Tenez-vous-en à la Parole. Voyez ?
Eh bien, Michée savait qu’il était dans le vrai, parce qu’il était en accord avec la Parole. Mais eux avaient juste une idée populaire, prétentieuse. Que s’était-il passé ? Ils ont pris Michée, ils l’ont giflé à la bouche, ils l’ont amené là et l’ont mis en prison, ils l’ont enfermé dans la prison intérieure et l’ont nourri du pain et de l’eau d’affliction. Il a dit : « Jusqu’à ce que je revienne en paix… », a dit Achab. Achab… Et Elie, ou plutôt Michée a dit : « Si jamais tu reviens en paix, Dieu ne m’a point parlé. » C’est vrai. En effet, sa vision était en accord avec la Bible.

63 Eh bien, c’est là que j’aimerais m’attarder juste un moment. Sa vision était en accord avec la Bible. Eh bien, si c’était… Eh bien, la vision des autres était contraire à la Bible. Mais celle de Michée était en accord avec la Bible, et Dieu doit tenir Sa Parole. Comprenez-vous cela ?
Eh bien, qu’est-il arrivé à Achab ? Il fut tué ce jour-là et les chiens léchèrent son sang au coucher du soleil, dans le char, à l’étang, avant qu’on lave cela cette nuit-là. C’est vrai. En effet, un seul homme qui avait considéré la Parole de Dieu, sa vision s’accordait avec la Parole de Dieu et elle était parfaite, absolument la vérité.
Et maintenant, mes amis, voici pour terminer : « Une vision doit être en accord avec la Parole de Dieu. Un prédicateur doit être en accord avec la Parole de Dieu. Peu importe ce que nous pensons, ce que nous sommes, les réactions qu’il y a dans le pays, la foule ou je ne sais quoi, nous devons nous aligner sur la Parole de Dieu. Et c’est la cause que j’ai défendue. »

64 D’abord, quand le Seigneur avait commencé à donner des visions, alors que j’étais petit, un tout petit garçon, et qu’Il a commencé à me montrer ces visions, mes pasteurs m’ont dit que c’était du diable.
Mais, une nuit, ça fait plus de dix ans à Green’s Mill, dans l’Indiana, alors que j’étais là, dans un vieux camp, et la … ma femme est assise là, là même maintenant, elle avait vu quand la vision m’avait frappé ce soir là et que j’étais sous l’emprise de cela, et j’ai dit : « Ô Dieu, je ne veux pas être possédé par un démon. » Eh bien, certainement pas. Je lui ai dit que je ne savais pas quand j’allais revenir. Et je suis parti à cet endroit-là pour prier. Et cette nuit-là, par la grâce de Dieu…

65 Environ dix ans avant cela, environ–environ quinze, à peu près dix ou quinze ans avant cela, alors que je n’étais qu’un jeune prédicateur baptiste, encore très jeune, et je baptisais là, dans la rivière, des centaines de gens cet après-midi-là ; c’était mon premier réveil. Et cette Lumière est descendue du ciel et s’est tenue là devant des milliers de gens. Ils se sont évanouis, et tout ; ça fait des années, pendant que je baptisais. Et une Voix a parlé depuis là-bas, disant que j’apporterais à travers le monde un Message qui déclencherait un réveil semblable à celui qui fut déclenché au jour de Jean-Baptiste, avant la Seconde Venue de Christ. Je ne savais pas grand-chose à ce sujet. J’ai noté cela et je l’ai gardé. Les gens aussi ont gardé cela. Les journaux ont publié cela, et tout. « Une Lumière mystique est apparue au-dessus d’un jeune pasteur baptiste local pendant qu’il baptisait dans l’eau », et tout à ce sujet.
Et alors, après ce moment-là, quand le temps est arrivé, le Seigneur Jésus a de nouveau envoyé Son Ange et Il a essayé de me parler cette nuit-là, alors que j’étais là en train de prier : « Ô Dieu, ne laisse plus cela m’arriver de nouveau. Tu sais que je ne veux pas être possédé par le diable, et Tu sais que je T’aime. Et mes pasteurs me disent… » Mais voici venir l’Ange du Seigneur, qui me dit que c’était Son œuvre et que c’est Lui qui avait ordonné cela, et jusqu’à dire que cela balayerait le monde entier.

66 Et quand je suis allé chez le–le surveillant général, l’un des haut placés chez les baptistes, franchement, celui qui m’a baptisé, le docteur Davis, pour me faire entrer dans la communauté baptiste, je suis allé lui en parler, et il a dit : « Billy, tu as besoin de repos. Tu as fait un cauchemar. »
J’ai dit : « Je n’apprécie pas ça. Je vais démissionner maintenant même de l’Eglise baptiste. »
Il a dit : « Tu veux dire qu’avec ton instruction de sixième primaire tu iras dans le monde entier prêcher l’Evangile et tout. »
J’ai dit : « C’est ce qu’Il a dit et c’est ce que je crois. »
Il a dit : « Ne prends pas cela au sérieux, Billy. Je pense que si tu te reposes quelques nuits, tu te sentiras mieux. » Je suis parti.

67 Par la grâce de Dieu, j’ai commencé. Et maintenant, que s’est-il passé ? Les feux du réveil brûlent sur chaque colline à travers le monde. Quand le vieux Goliath avait été tué et qu’Israël avait vu cela, les Israélites avaient dégainé leurs épées. C’est ce qui s’était passé. Les hommes de vision, les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les luthériens, les pentecôtistes et que sais-je encore, quand ils ont vu que Dieu a déversé Son Esprit en ces derniers jours, que les miracles et les prodiges se produisaient et que les os faisaient déjà du bruit et un mouvement, et qu’ils avaient renversé des chaises jusqu’à ce qu’ils se sont tous rassemblés, … Mais, maintenant, ils ont la peau sur eux, ils se tiennent debout comme une armée très puissante. Et les hommes se mettent à dégainer leurs épées et à dire : « Ô Dieu, si – si Goliath le plus fort a pu être tué, alors nous aussi nous allons égorger.» Et ils égorgent à droite et à gauche, de l’est à l’ouest, du nord au sud, et un grand réveil a balayé le monde entier. Quand le…
Alors qu’ils disaient : « C’est impossible. C’est impossible. C’est impossible », mais Dieu l’a fait de toute façon, parce qu’Il l’avait promis.
Il a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes (ou davantage que ceci), car Je m’en vais au Père. » Quand Il était ici sur terre, Il ne prétendait pas être une grande personne ; Il affirmait seulement qu’Il était le Fils de l’homme, quand Il était ici. Il était le Fils de Dieu, cependant Il était le Fils de l’homme par Marie. Il était le Fils de Dieu par Marie. Il était Dieu Lui-même par l’Esprit. Dieu en Christ, le Ciel et la terre s’étaient réconciliés, quand un homme terrestre né d’une femme, et l’Esprit de Dieu a demeuré en Lui. Quand l’agneau et la colombe se sont unis, le ciel et la terre se sont embrassés. Et c’était bien en ce grand jour-là.

68 Et Il allait çà et là. Il ne prétendait pas être un Guérisseur. Il disait qu’Il n’était pas un Guérisseur. Il a dit : « Je ne fais que ce que Mon Père Me montre. Je ne peux rien faire de Moi-même. Ce que Je vois faire au Père, c’est ce que le Fils fait pareillement. » Les hommes se tenaient devant Lui, des étrangers pour Lui, Il connaissait qui ils étaient. Il les appelait par leur nom. Il appelait les gens par leur nom. L’avait-Il fait ? Est-ce la Bible ? Est-ce la Bible, quand Il a dit qu’Il ne faisait rien sans que le Père le Lui dise ? Est-ce scripturaire ? Saint Jean 5.19, lisez cela. Chaque Parole est infaillible. Tout dans la Bible est la vérité.
Remarquez. Il ne faisait que s’en tenir à la Parole. Qu’a-t-Il dit ? « Ces choses étaient faites afin que s’accomplisse... » Est-ce vrai ? Les gens ne pouvaient pas croire parce qu’Esaïe l’avait annoncé. Jésus, il est dit que les gens avaient amené auprès de Lui (Matthieu 8)–il est dit que les gens avaient amené tous leurs malades et affligés et les avaient couchés devant Lui, et Il les avait guéris afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par Esaie, le prophète : « Il a pris nos infirmités et Il s’est chargé de nos maladies », et autres. Tout ce qu’Il faisait, c’était pour accomplir la Parole de Dieu.

69 Mon frère, ma sœur, comme je vous le dis ce soir, en tant que votre frère dans les liens de la communion, votre concitoyen du Royaume de Dieu, même si nous sommes peu nombreux ce soir et même si nous ne formons qu’un petit groupe, Dieu nous bénira et Il nous a bénis, et Il a manifesté Sa glorieuse Présence parmi nous. « Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux. » C’est exactement ce qu’Il a dit. « S’ils s’accordent pour demander une chose quelconque, ils la recevront. » C’est ce que Dieu a promis.
Maintenant, si c’est le cas, alors la Parole doit s’accomplir. Jésus a dit : « Vous ferez aussi les œuvres que Je fais. » A-t-Il dit cela ? Cette Parole doit s’accomplir. A-t-Il dit : « Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création » ? Par tout le monde, l’Evangile, la puissance du Saint-Esprit, la démonstration de la puissance du Saint-Esprit à toute la création… Vous direz : « Est-ce ce que ça signifie ? » Comment allez-vous accom… Lisez alors le verset suivant. « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils guériront les malades », et les choses qu’Il avait faites.

70 Comment pouvez-vous faire cela rien qu’avec la lettre ? La lettre seule ne le fera pas, à moins que la Parole tombe sous terre pour produire la Vie qui est dans la Parole. Comment… Tant que vous conservez le grain de blé avec beaucoup de tendresse dans votre main, vous n’en obtiendrez jamais une barbe de blé, à moins que vous l’enterriez, que ça pourrisse, et alors il produira une autre vie. A moins de mourir à vous-même, à vos propres pensées, à vos propres théologies, d’être enseveli en Christ et baptisé du Saint-Esprit, et de ressusciter avec la Parole dans votre cœur… Et si quelque chose semble venir vers vous, qui soit contraire à la Parole, ne croyez pas cela. C’est vrai. Peu importe votre organisation.
C’est exactement ainsi que les Juifs ont manqué de voir en Lui le Fils de Dieu au début. Ils s’étaient représenté tout le tableau, ce que le Messie ferait, comment Il viendrait au temple, là où Il s’asseyerait, et tout à ce sujet. Mais, quand Jésus est venu, c’était contraire à cela. Tout ce qu’ils s’étaient imaginés sur comment il viendrait, Il a fait le contraire de cela. Et c’est pourquoi ils ont dit : « Oh ! ce n’est pas ce qui nous a été enseigné. »
Mais Dieu n’est pas tenu de faire les choses telles qu’on vous les a enseignées. Il les fait telles qu’Il dit dans la Bible qu’Il les fera. C’est vrai. Oui. Ces prophètes, dans notre leçon de ce soir sur les Ecritures, on leur avait aussi appris quelque chose. Mais la Bible avait dit quelque chose d’autre, et Michée s’en est tenu à la Bible.

71 Eh bien, voici ce que je soutiens : Ne–ne–n’acceptez jamais, jamais quelque chose, à moins que ça provienne de la Bible. Voyez ? Ça, c’est le Plan. Que la chose soit correcte et dans la Bible. Et Dieu qui est l’Omnipotent, l’Omniprésent, le Dieu infini qui connaît toute chose, avait prédit qu’en ces derniers jours ces miracles s’accompliraient. Les œuvres qu’Il avait faites seraient de nouveau accomplies avant la Venue du Seigneur.
Il a dit que des choses fausses s’élèveraient et que les gens… Comment allons-nous distinguer cela ? Eh bien, ça, c’est une bonne question. Comment allons-nous différencier l’un de l’autre ? Nous voyons des choses qui se passent ici, on dit : « Oui, regardez seulement ici. Regardez ceci ici. Regardez ceci ici. Regardez ici même. Regardez par ici. C’est vrai. » Oh ! Oui, frère. Je vais bien reconnaître cela. Mais dites-moi une seule fois où la vraie Parole de Dieu a jamais failli. Vous avez un tas de choses imaginaires. C’était le cas pour ces sacrificateurs. Comprenez-vous ce que je veux dire ? Ces prédicateurs, ces prophètes avec ces cornes, donnant des coups de corne çà et là : « Oh! AINSI DIT LE SEIGNEUR, AINSI DIT LE SEIGNEUR. » Mais cela ne concordait pas avec les Ecritures. Voyez ? Mais, quand c’est absolument en accord avec les Ecritures, cela doit s’accomplir.

72 Et voici l’heure, frère, où… « De même que Jannès et Jambrès s’opposèrent à Moïse, de même ces hommes s’opposeront à la Vérité, étant corrompus d’entendement, leur condamnation est écrite depuis longtemps », dit la Bible. Ils ne pouvaient pas croire. Et ils ne croiront pas. La Bible dit qu’en ce jour-ci où nous vivons actuellement, ces hommes dont la condamnation est écrite depuis longtemps, changeront la grâce de notre Dieu en dérèglement. Voyez-vous ce que je veux dire ? Jude, chapitre 4, ou plutôt verset 4. Lisez et voyez si ce n’est pas ça.
Eh bien, les hommes dont la cond… est écrite depuis longtemps. Comment peuvent-ils croire alors que la Bible a déjà dit qu’ils ne le peuvent pas ? Comment pouvons-nous arrêter tous ces non-sens qui se passent dans le pays ? Comment pouvons-nous faire cela alors que Dieu a dit qu’il en serait ainsi ? Bien, alors, vous direz : « Qu’est-ce qui est vrai et qu’est-ce qui est faux ? » Comme c’était le cas pour Michée, avec la Bible. Un véritable Esprit de Dieu évoluera bien avec la Parole, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

73 Sans doute qu’il y a des malades dans cette salle ce soir. Je ne connais personne ici, à part ma femme et ma fille qui sont assises là, et frère Gene, ce frère ici, le frère assis juste là. Je pense que je connais bien cette jeune fille qui est ici ; je pense que celles-là sont ses filles à lui, et celui-ci est son fils à lui, ce… Et puis, il y avait quelqu’un d’autre que j’avais dépassé, il y a quelques minutes, quand je… Oh ! c’est… je… seulement… Je ne suis pas sûr, mais la dame assise ici, n’est-ce pas votre femme ? Oui, oui. C’est votre femme. Très bien. C’est établi. Combien ici savent que je ne les connais pas ? Faites voir la main.
Combien ici sont malades et désirent que Dieu touche leur corps pour les guérir ? Faites voir la main. Levez la main. Peu m’importe ce qui cloche en vous, levez la main. Très bien. Presque soixante pour cent de ce petit auditoire ici ce soir… J’aimerais vous poser une autre question : Et si Jésus-Christ se tenait ici ce soir, portant ce costume (comme je l’ai souvent dit) qu’Il m’a donné, que ferait-Il si vous étiez malade et que vous vouliez être guéri ? Qu’aurait-Il fait à ce sujet ? Que pouvait-Il faire à ce sujet ? Il n’y aurait qu’une seule chose qu’Il pourrait faire, c’est s’en tenir strictement à la Parole. Est-ce vrai ? Tenez-vous-en strictement à la Parole.

74 Que dit la Parole ? « Il se lèvera un homme qui aura de l’huile dans ses mains et il va frotter cette huile… » Non, ça, ce ne sont pas les Ecritures. Oui, oui. Qu’est-ce qu’Elles déclarent ? « Il y aura des évêques supérieurs, et s’il y a déclaration à faire, c’est celle qui soutient… » Non, non.
« Les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu. » Très bien. Que dira-t-on de la guérison divine ? « Il était blessé pour nos péchés ; c’est par ses meurtrissures que nous avons été guéris. » C’est une œuvre achevée.
Qu’arriverait-il si un homme a besoin du salut ? Qui peut le lui donner ? Le pape ? L’évêque ? Le cardinal ? Non, non. Non, non. Le pape de Rome ne peut rien avoir à faire avec cela. Le–l’archevêque de Canterbury n’a rien à faire avec cela. Aucun d’eux, il n’y a personne parmi eux qui puisse avoir à faire avec cela. C’est votre propre foi en tant qu’individu, une foi personnelle dans l’œuvre achevée de Christ au Calvaire. C’est ça, la Bible. C’est ce que la Bible dit.

75 « Si j’allais dans une église pentecôtiste, serais-je sauvé ? Et si je faisais ce que les pentecôtistes font ? » Non, non. Vous ne serez pas sauvé. Vous serez un imitateur et un hypocrite en faisant cela. C’est vrai. Soyez sauvé et faites ce que Dieu vous dit, n’essayez pas d’agir comme les autres. Faites ce que Dieu vous recommande. Et votre expérience doit s’aligner sur la Bible de Dieu. Si ce n’est pas le cas, alors vous êtes encore en erreur. Non.
« Eh bien, si je suis presbytérien, dois-je devenir membre de l’Eglise pentecôtiste ? » Non, non. Certainement pas. Tout ce que vous avez à faire, c’est venir à Jésus-Christ et L’accepter comme une œuvre achevée. Et, alors, quand Il reconnaît votre–votre foi, Il vous donnera le baptême du Saint-Esprit.

76 Voici la formule, si vous voulez la connaître. Très bien. La première… A l’inauguration de la première église, le jour de la Pentecôte, tout le monde criait. Et Jésus leur avait parlé, disant : « Ne prêchez plus, ne faites rien. » Et Luc 24.49 dit : « Restez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut. Le Saint-Esprit (Actes 1.8)–le Saint-Esprit survenant sur vous, alors vous serez Mes témoins à Jérusalem, en Judée, dans la Samarie et jusqu’aux extrémités de la terre. »
Ils sont montés là, pour attendre jusque quand ? Jusque quand ? Deux jours, cinq jours ? Jusqu’à ce que. Que s’est-il passé ? Ils étaient tous ensemble dans le même lieu et d’un commun accord. D’un commun accord ; ils ne discutaient pas : « Eh bien, moi, je suis sanhedrin. Moi, je suis pharisien. » Non, Cela ne viendra jamais sur un tel groupe, pas du tout, jamais. Ils attendaient tout simplement. C’étaient des frères et des sœurs ensemble, des femmes étaient là avec eux. Ils étaient tous là-haut pendant dix jours, attendant, attendant, d’un commun accord, lisant simplement la Bible, un peu, peut-être que quelqu’un se tenait debout et prêchait comme je viens de le faire, disant : « Les bénédictions de Dieu ont été promises. Maintenant, Dieu a dit qu’Il répandrait de Son Saint-Esprit. Joël a dit qu’Il le ferait. Et nous attendons l’accomplissement de la Parole. »

77 Oh ! la la ! Est-ce donc ce que vous faites ce soir ? Attendre l’accomplissement de la Parole. Oh ! comme cela enflamme mon cœur ! Attendre dans la chambre haute… « Eh bien, cela n’a pas eu lieu hier. Ça se passera aujourd’hui. Ou si ça ne se passe pas aujourd’hui, ça se passera demain. Nous allons rester ici même jusqu’à la fin. Nous allons attendre. Eh bien, la Parole l’a dit, chaque point de la vie de Jésus était l’accomplissement de cette Parole. Il nous a dit d’attendre ici avant d’aller prêcher l’Evangile partout à travers le monde, et que toute la création sur la terre entende l’Evangile. Avant de commencer, nous devions attendre ici, il nous fallait recevoir le baptême du Saint-Esprit. »
L’un d’eux a dit : «Eh bien, juste un instant. Une petite idée me vient à l’esprit. N’avons-nous pas marché avec Lui côte à côte ? »
« C’est vrai. Mais Il a dit : ‘Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez ; car Je serai avec vous, même en vous.’ Eh bien, maintenant, c’est vrai. Il a effectivement dit cela. Alors, Il va être en nous. Oui, oui. Ça, c’est la Parole. Tenez-vous-en à Elle. Et c’est réglé. Très bien. »

78 Les voilà venir. Tout à coup… Maintenant, voici comment nous nous y prenons. Ce n’est pas pour plaisanter maintenant. Je ne… ceci n’est pas un endroit où faire des plaisanteries. Il y a trop d’évangélisation à la Hollywood aujourd’hui, trop de plaisanteries et de comportements bizarres à la chaire. Ecoutez. Ça, c’est une chose sincère, et remarquez, et une chose sacrée.
Remarquez : Que s’est-il passé ? De même que nous écoutons… Si nous ramenions cela par exemple à aujourd’hui, qu’en serait-il si nous prenions l’Eglise catholique ? Eh bien, nous devrions lire Actes 2 comme suit : « Ils étaient tous ensemble dans le même lieu, faisant la confession, et ils jouaient... adressaient des prières aux saints bienheureux. » Ça, c’est une forme élevée de spiritisme, naturellement, vous voyez, parce qu’il n’y a que les spirites qui peuvent adresser une prière aux morts. C’est vrai. Ainsi donc, nous étions… « Ils adressaient des prières aux saints bienheureux. Des prêtres sont entrés et leur ont servi la sainte communion (la sainte eucharistie, comme on l’appelle suivant le grec), et les gens ont tiré la langue et ont pris la sainte eucharistie, mais eux ont bu du vin. » Eh bien, c’est ainsi que nous nous y prenons, nous acceptons les droits de l’Eglise catholique.

79 Maintenant, que les protestants ne rient pas, car la poêle ne peut pas se moquer du chaudron. Que faisons-nous ? Nous nous levons, nous nous avançons à l’estrade, nous serrons la main au prédicateur, nous serrons la main au prédicateur et on inscrit notre nom dans le registre, nous confessons, disant : « Nous croyons que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. » Chaque démon de l’enfer croit la même chose et le confesse publiquement. C’est vrai. Inscrire le nom dans un registre, c’est ce que nous faisons. Pourquoi est-ce que je condamne cela ? Parce que cela n’est pas en accord avec la Parole de Dieu. C’est vrai.
« Ils étaient tous ensemble dans le même lieu et, tout à coup, il vint du Ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux. » Non pas un prêtre venant ou un ministre venant, mais un bruit comme celui d’un vent impétueux venant du Ciel. « Et Cela remplit toute la maison où ils étaient assis. » Vous y êtes. Voilà le baptême du Saint-Esprit. Ils se mirent à crier, à pousser des cris et à parler avec des lèvres balbutiantes et dans d’autres langues, jusqu’à ce que le… même quand ils étaient sortis, criant, sans cesse, agissant comme…
Les gens religieux de l’époque ont dit : « Ces hommes sont ivres, pleins de vin doux », les femmes et tout.

80 Et, écoutez, ma sœur, si Dieu a exigé à la vierge Marie d’avoir une telle expérience avant d’entrer au Ciel, comment allez-vous Y entrer sans la même chose ? La vierge Marie était avec eux. Réfléchissez-y un tout petit peu. Nous nous alignons sur la Parole. C’est tout à fait vrai. Est-ce vrai ? Certainement.
Puis, quand ils étaient tous en train de faire du bruit dehors et qu’ils parlaient tous à… Ce groupe-là, c’étaient peut-être des Italiens, et voici un–et voici un autre homme, voici un Galiléen s’adressant à ce groupe d’Italiens en italien ; il leur parlait de la Résurrection. Ils disaient : « Comment entendons-nous, dans notre propre langue, des merveilles de Dieu ? Comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle ? Ne sont-ils pas des Galiléens, et comment les entendons-nous dans notre propre langue ? » Ils disaient : « Cela me trouble. » C’étaient des merveilles de Dieu qui s’accomplissaient.

81 Maintenant, ce n’était pas comme dans certaines de nos réunions modernes, un tas de sottises qu’on ne peut pas comprendre, mais eux les entendaient dans leur propre langue, leur langue maternelle. Voyez ? Remarquez. Chaque homme dans sa propre langue, sa langue maternelle… ils écoutaient. Ils disaient : « N’est-ce pas merveilleux ? » Voyez ?
Mais les autres s’en sont moqués, disant : « Ah ! Regardez-les. Ils sont vraiment ivres ; ils ne savent même pas ce qu’ils sont en train de faire. » Ils titubaient et chancelaient comme des hommes ivres, sous l’effet de la puissance du Dieu puissant. La grande onction, ce qui signifie en grec la ‘dynamite’, était dans leur âme, cela avait arraché les racines de la mondanité et le Saint-Esprit s’était établi dans leur cœur. Ils étaient là. Mais les autres se sont mis à s’en moquer.

82 Et Pierre, revenant un peu à lui-même, sauta sur une souche servant de caisse à savon, ou je ne sais quoi, et dit : « Hommes Galiléens et vous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci et prêtez l’oreille à mes paroles (Ecoutez-moi un instant. Ecoutez-moi.) : Ces gens ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour. » Les bars n’étaient même pas encore ouverts. Voyez ? « Ce n’est que la troisième heure du jour. » Il a dit : « Mais c’est ici ce qui… » Amen. « C’est ici ce qui. » Si ceci n’est pas ce qui, je garderai ceci jusqu’à ce que ce qui vienne. Il a dit : « C’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël. »
Pierre était-il le bon genre de prédicateur ? Absolument. A quoi s’était-il référé ? A une théologie ou un grand quelque chose d’autre que quelqu’un avait fabriqué ? Non, non. Il s’est directement référé à la Parole comme Michée l’a fait. « C’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël : Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai de Mon Esprit sur toute chair. C’est ici ce qui », a-t-il dit. Maintenant, voilà l’essentiel. C’est ça. C’est ici ce qui a été dit par Dieu. Dieu l’avait dit. Dieu l’avait confirmé. Et les gens rient de cela et s’en moquent.

83 Eh bien, nous en sommes une fois de plus à peu près là. Ce soir, juste avant le…?… du temps une fois de plus, alors que là, à Moscou, ce soir, il y a une rampe de lancement suspendue là, avec des bombes suspendues là, comme ceci, de telle sorte qu’à n’importe quelle minute ils peuvent les larguer vers n’importe quel lieu où ils veulent aux Etats-Unis, sans jamais quitter Moscou… Ils ont une rampe de lancement qui peut atteindre la cible. Ils chronomètrent cela à l’aide du satellite et du radar. Et ils peuvent atteindre cela et ça peut atteindre une cible peut-être à mille kilomètres, et une autre roquette explose et atteint une distance d’environ mille autres kilomètres, bien au-delà, juste près de la frontière de la Finlande, là où les gardes russes avaient braqué une mitrailleuse sur moi, me gardant comme ceci, m’empêchant de regarder à l’intérieur, à travers un petit mur qu’ils s’étaient fabriqué, comme cela, sur une distance de cinquante miles [80 km – N.D.T.], et on suffuquait là, on dirait, avec ces gardes russes.
Quand nous sommes allés là, j’ai vu ces Russes sortir de là derrière et saisir ces Finlandais et s’embrasser les uns les autres, les étreindre, ces véritables frères chrétiens là-bas. Frère, le christianisme est la réponse. C’est vrai. Certainement.

84 Je suis allé à ces endroits-là. Et là, ils peuvent chronométrer le temps d’une bombe et larguer cela sur Chicago, et effacer du coup Sturgis de la carte par la même bombe, sans jamais quitter Moscou. Ce sont des pécheurs qui détiennent tout cela, ce soir, des hommes impies. C’est vrai.
Et ça ne vaut pas la peine d’essayer de fuir. Cela ne vous servira à rien. Une seule de ces bombes à hydrogène, nous allons…?… la direction de cela, et vous avez votre… dans votre–votre tour de garde aérienne et autres. Quand cette bombe tombe sur une circonférence de quinze miles [24 km], elle pousse… son explosion creuse dans la terre un trou de cent soixante-quinze pieds [153 m] de profondeur, sur une distance de quinze miles [24 km]. C’est trente miles carrés [48 km²], où que ça tombe, une seule bombe. Puis, cela va parcourir une distance de kilomètres et de kilomètres et de kilomètres de cela, détruisant les arbres, arrachant des choses, réduisant simplement cela en poussière et en lumière cosmique. C’est ce qui se passe.

85 Pas étonnant que la Bible dise : « Dans les derniers jours, cela aura lieu. » Qu’est-ce ? « Il y aura des signes en haut dans le ciel (des soucoupes volantes, même le Pentagone et tous ne savent qu’en penser), des spectacles effrayants dans le ciel, les cœurs des hommes défaillent de peur, la crainte, le temps de perplexité, la détresse parmi les nations, la mer rugissant, les raz-de-marée, des tremblements de terre en divers lieux, et les hommes seront emportés, enflés d’orgueil, aimant les plaisirs plus que Dieu, calomniateurs, accusateurs, intempérants et ennemis des gens de bien. »
Vous dites : «Ça, ce sont les communistes. »
Non, ce sont des prédicateurs, ce sont des gens religieux : « Ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force : Eloigne-toi de ces hommes-là. » Eloignez-vous-en. Levez la tête, votre rédemption est proche. Amen.

86 Hommes et femmes, mes frères et sœurs, après avoir prêché l’Evangile pratiquement à cinq reprises à travers le monde, ayant vu des scènes, ce n’est même pas... ne serait peut-être pas bien de vous en parler… Mais je sais, quelque chose en moi… je ne sais pas quand ; personne d’autre ne le sait. Mais je crois que la Venue du Seigneur est proche. Nous en sommes proches. Jésus-Christ s’assemble avec Son petit groupe. « Je serai avec vous. Je confirmerai la Parole. » Et ce soir, la Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et si nous sommes assemblés ici, Il doit alors être ici.
Et s’Il apparaît ici dans cet auditoire et fait exactement les mêmes œuvres qu’Il avait faites quand Il était ici sur terre, aurez-vous tous un cœur plein de foi et Lui promettrez-vous : « Je ne m’en tiendrai qu’à Ta Parole, Seigneur ; je lirai vraiment Ta Parole et La suivrai. » Allez-vous le faire, s’Il le fait ? Allez-vous lever la main, peu importe qui vous êtes, ce que vous croyez ? Que Dieu vous bénisse. Prions.

87 Maintenant, Seigneur, il ne reste que peu de temps. J’ai longuement parlé et pendant longtemps, mais sachant… Je ne sais quand nous nous rencontrerons de nouveau de ce côté-ci du Ciel. Peut-être qu’il y en a ici qui seront morts, s’il me fallait retourner dans quelques mois. Je ne sais pas, Seigneur. Mais une seule chose que j’aimerais… [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Si vous êtes malade et que vous a… La Bible dit-Elle… Je vais vous donner une Ecriture…? … La Bible dit-Elle que Jésus est le Souverain Sacrificateur de notre confession ? Est-ce qu’Il l’a dit, Hébreux 3 ? Très bien. La Bible dit-Elle dans le Nouveau Testament que nous pouvons toucher Jésus comme la femme L’avait touché, touché Son vêtement ? Elle a juste touché Son vêtement et s’en est allée, elle s’est tenue dans la foule et Jésus s’est retourné et a dit : « Qui M’a touché ? »
Les gens ont dit : « Eh bien, tout le monde Te touche. » Tout le monde a renié cela. Mais Son grand Esprit de discernement est allé tout droit là où elle était et lui a révélé exactement ce qui n’allait pas. Est-ce qu’Il… Elle… Cela s’est-il passé ? Certainement. La Bible dit-Elle qu’Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités ? Est-ce vrai ?

88 Comment serions-nous alors identifiés s’Il a déjà accompli l’œuvre ? Je pose cette question juste comme Il en avait posé aux Juifs en Son jour. Si…« Qui dites-vous que Christ est ? »
Ils répondirent : « Le Fils de David. »
Il a dit : « Pourquoi donc David, en Esprit, L’appelle-t-il Seigneur ? » Voyez ? « Le Seigneur a dit à Ton Seigneur… Mon Seigneur : ‘Assieds-Toi à Ma droite, jusqu’à ce que je fasse de Tes ennemis Ton marche-pied.’ »
Comment ça donc ? S’Il a déjà accompli nos œuvres pour... ou plutôt les œuvres de grâce pour que notre foi L’accepte comme Guérisseur, étant donné qu’Il a acquis notre guérison, comment peut-Il encore être le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités ? Il doit frayer une issue. Et le seul moyen d’y parvenir, c’est de fonder cela sur Hébreux 13:8, comme quoi Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

89 Et quand Il s’en est allé, Ses œuvres devaient continuer dans Son Eglise jusqu’à ce qu’Il revienne. Est-ce vrai ? Il a dit que nous étions le cep… Nous sommes les sarments ; Il est le Cep. Est-ce vrai ? Saint Jean, chapitre 15 : « Je suis le Cep, vous êtes les sarments. » Et tout sarment qui porte des fruits est élagué, arrangé et émondé pour qu’il produise davantage. Mais le sarment qui ne porte pas de fruits est coupé.
Eh bien, ce sont les sarments qui portent les fruits, pas le cep. Nous aussi, l’Eglise, nous sommes restés comme les sarments. Ainsi, vos yeux et les miens sont les seuls que Dieu possède sur la terre. Vos lèvres et les miennes sont Ses–sont Ses sarments. Il leur donne de l’énergie pour qu’elles portent des fruits. Et nos oreilles, ce sont Ses oreilles. Nos mains sont Ses mains pour faire le bien. Nos pieds sont Ses pieds pour nous amener à l’église et pour faire le bien. « Bénis sont les pieds de celui qui apporte de bonnes nouvelles. » Et tout–tout, comme cela. Nous sommes Son cep. Et Il déverse simplement Son énergie en nous.

90 Eh bien, il y a cinq dons qui sont placés dans l’Eglise : les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes, les pasteurs. Ce sont des sarments. Et Dieu y a déversé Son énergie : certains parmi eux pour prêcher, d’autres pour être des évangélistes, d’autres pour être des pasteurs, des docteurs, des voyants. Et les apôtres sont des missionnaires, c’est l’un ou l’autre, c’est la même chose, le même mot.
Eh bien, s’Il est ressuscité des morts et qu’Il est ici ce soir, alors pourquoi… Que ferait-Il s’Il se tenait ici ? Il vous regarderait, Il vous connaîtrait. Il vous connaîtrait comme Il avait connu Pierre, Il l’a appelé par son nom et Il connaissait les autres. Il connaîtrait le besoin de votre cœur, comme c’était le cas pour la femme au puits. Il lui a dit… Il lui a parlé pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’Il a découvert son problème et Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’ai point de mari. »
Il a dit : « Tu en as eu cinq. »
Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es prophète. Nous savons que, quand le Messie viendra, Il fera ces choses. (Est-ce vrai ? Saint Jean 4.) Mais qui es-Tu ? »
Il a dit : « Je Le suis. »
Elle est rentrée en courant, disant : « N’est-ce pas le Messie ? N’est-ce pas le signe même du Messie ? »

91 Philippe aussi a dit la même chose quand il a amené Nathanaël. Nathanaël, quand il a dit : « Tu… » Eh bien, Il l’avait vu, quand il était sous l’arbre en train de prier la veille, à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne. Comment l’a-t-Il fait ? Eh bien, il a dit : « Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël. »
Mais qu’est-ce que la grande église orthodoxe a dit ? « C’est le diable. »
Jésus a dit : « Si vous dites cela contre Moi, cela sera pardonné ; mais quand le Saint-Esprit sera venu pour donner de l’énergie, prononcer une seule parole contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. » Vous y êtes.

92 Eh bien, je vous demande humblement de vous soumettre. Je vous demande de ne jamais… Comprenez ceci. Je ne suis pas un guérisseur. Et personne d’autre ne l’est. Je vous ai demandé d’abandonner tout votre esprit à Dieu, de regarder au Ciel et dire : « Dieu Tout-Puissant, j’ai un besoin. Et je Te demande que je puisse, d’une façon ou d’une autre, savoir comment augmenter ma foi, de telle sorte que Tu puisses apparaître ici et prouver par Cela, par les Ecritures, que Tu es avec nous, accomplissant la même œuvre que Tu avais faite. Parle-moi simplement. Je saurai si c’est la vérité ou pas, car je le saurai. » Vous le saurez. Votre esprit va rendre témoignage avec Son Esprit comme Josaphat l’a fait quand il a vu Michée.
Maintenant, priez. Ne–ne soyez pas sceptique. Si vous l’êtes, Il ne parlera jamais. Soyez sincère et croyez, comme moi je suis sincère et je crois. Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions.

93 Et, jeune sœur au piano, si vous le voulez bien, juste un petit cantique. Vous direz : « Pourquoi le cantique ? »
Eh bien, pourquoi Elie a-t-il dit : « Amenez-moi un joueur de harpe » ? Pour faire venir l’Esprit de Dieu sur lui. Il a dit : « Si je n’avais d’égard pour Josaphat, je ne te regarderais même pas. » Il a dit : « Mais, néanmoins… » Il était tout emporté. Il était en train de réprimander Joram, le fils d’Achab. Et il a dit : « Si ce n’était par égard pour Josaphat, je ne te regarderais même pas. Mais amenez-moi un joueur de harpe. » Il a... il devait se calmer. Quand le joueur de harpe a joué, l’Esprit est venu sur le prophète. Est-ce vrai ?
Jouez Reste avec moi, s’il vous plaît, doucement, pendant que nous tous… Eh bien, que tout le monde reste bien à son siège ; tenez-vous bien respectueux devant Dieu et ne l’oubliez pas, nous sommes dans Sa Présence. J’ai parlé à … longtemps. Maintenant, un seul mot de Sa part fera plus que toutes les paroles que j’ai pu prononcer.

94 Et s’Il retourne ce soir ici… Comme je sais qu’Il est ici, car c’est Sa Parole, je m’en tiens juste à Cela. S’Il revient et fait la même chose qu’Il fit au puits avec la femme, ou avec Philippe, ou avec n’importe... à n’importe quel lieu, s’Il revient et accomplit la même chose, chacun de vous Le reconnaîtra-t-il, et alors croira en Lui, et–et sortira… ? Reconnaîtrez-vous que c’est juste dans la Parole ? Et que ce n’est pas quelque chose de mythique que quelqu’un d’autre a dit, mais que c’est ce que Dieu a dit, ce que sa promesse dit, ce que Sa Parole a dit ? Très bien, sœur. Maintenant, soyez respectueux et soyez vraiment en prière, attendez un peu.
Maintenant, quand il y a beaucoup de gens, souvent je forme des lignes de prière pour qu’ils–pour que les gens viennent et qu’on prie pour eux. Je peux prendre une seule personne. Mais vous formez juste un petit groupe. Des fois, auparavant, peut-être comme en Inde, cinq cent mille ; en Afrique, peut-être deux cent mille, et des milliers comme cela… Voyez ? Je… Les petites lignes de prière se forment quand l’onction commence à agir.

95 C’est votre foi qui suscite cette vision. C’est votre foi. Jésus n’a-t-Il pas dit : « Je ne savais rien à ce sujet. » Elle L’avait touché, et alors Il a identifié cela. Maintenant, touchez-Le ce soir et voyez s’Il va vous identifier. Priez simplement. Priez simplement.
Et que le Dieu du Ciel soit miséricordieux envers nous. Pour le moment, reste avec nous, Père. Et nous avons longuement apporté Ta Parole aussi humblement que possible. Une fois, Paul a prêché toute la nuit sur le même Seigneur Jésus, et un garçon est tombé et s’est tué, et Paul a posé son corps sur lui et la vie est revenue.
Et maintenant, Seigneur Dieu, nous Te prions de nous apparaître ce soir, pour ces gens qui T’ont accepté, ces sept ou huit personnes qui ont levé la main. Nous Te prions de leur permettre de voir maintenant qu’il ne s’agit pas d’un credo mort, qu’il ne s’agit pas d’un Bouddha ou d’un musulman ou d’un sikh ou d’un jaïn ou quelque autre religion ; c’est la vraie religion, la religion de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui n’est pas mort, mais qui est vivant parmi nous ce soir. Tu as promis de nous rencontrer, Père, et nous savons que Tu es ici.

96 Comme nous sommes en prière, si vous voulez fermer les yeux, c’est en ordre. Sinon, vous n’êtes pas obligé. Mais soyez juste en prière. Souvenez-vous, l’Ange du Seigneur, dont la photo se trouve ici dans le livre, une très mauvaise photo que les hommes de science, la FBI et tous ont examinée… C’est suspendu là, à Washington DC ; c’est sous copyright.
Vous souvenez-vous avoir vu cette photo ? Si oui, dites : « Amen. » Cet Ange du Seigneur, cette Lumière qui est apparue là, sur la rivière, qui avait été photographiée par beaucoup de photographes de la presse… Là, en Allemagne, il y a quelques semaines, ils l’ont simplement diffusée dans toute l’Allemagne, après qu’un appareil de photo performant de marque allemande avait saisi Cela quand Ça descendait.
Cette Lumière n’est pas à deux pieds [60 cm] de l’endroit où je me tiens. C’est tout à fait vrai. Qu’est-ce ? Jésus-Christ. « Lumière ? » Oui. Tout le monde sait que c’était Jésus-Christ qui avait conduit les enfants d’Israël dans une Colonne de Feu, une Lumière. Il a dit : « Je viens de Dieu, Je vais à Dieu. » Et pendant qu’Il était ici sur terre, Il était un Homme. Il est retourné et est allé à Dieu. Il est apparu à Marie, Il est apparu à Cléopas, Il a fait quelque chose. Mais après qu’Il était monté vers Dieu le Père, Il est redevenu Lumière et Paul, sur le chemin de Damas, L’a vu. Et Il était une grande Lumière, comme un soleil brillant, qui avait terrassé Paul. Paul… Les gens qui se tenaient là n’avaient point vu de Lumière. Ils ne pouvaient Le voir.

97 Mais aussitôt que mon âme commence à entrer dans l’autre monde, cette autre dimension… alors la Lumière commence à voir Cela. Je vois Cela se déplacer dans le… comme Cela est devant moi.
Et je veux que vous priiez et croyiez. Quant à vous, peu importe à quel point vous êtes inconnu, je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît. Et je veux que vous croyiez. Or, je n’ai aucun moyen de vous connaître. Vous le savez. Mais Dieu vous connaît bien. Maintenant, juste pendant que vous priez, je ne fais que surveiller pour voir ce qu’Il dira. Touchez simplement Son vêtement comme la femme l’a fait, ayez foi et croyez.

98 Le voici, Il se tient au-dessus d’une dame, juste ici, devant moi, celle qui porte une robe bleue, assise à côté de la femme en robe verte. Elle tient un mouchoir bleu clair. Elle porte des lunettes. Elle prie Dieu. Et cette Lumière est suspendue à côté d’elle et, alors que je regarde, Cela apparaît, la femme s’éloigne de moi, et la dame souffre de la sinusite. C’est vrai, madame. Levez la main si c’est vrai, afin que l’auditoire puisse voir cela. Très bien.
Je vois quelqu’un d’autre qui apparaît à côté de vous. C’est une personne âgée. C’est une femme, gravement malade. Je vois un long rai passer. Je vois une petite fille dans un… Oh ! c’est pour votre mère que vous priez. Et votre mère est sérieusement malade. Et ses examens médicaux révèlent qu’elle a le diabète et le cancer aussi. Et vous avez peur pour votre mère. Et vous priez que Dieu vienne en aide à votre mère. C’est vrai.

99 Eh bien, si c’est vrai, j’aimerais que vous vous mettiez debout juste un instant, si ces paroles sont vraies. Eh bien, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas ? Je ne vous ai jamais vue. Mais quoi que ce soit qui ait été dit, cela est vrai. Est-ce exact ? Je ne le sais pas en ce moment-ci ; en effet, c’est enregistré. Maintenant, au mieux de mes souvenirs, c’était pour un cas de maladie. Et les larmes que vous essuyez de vos yeux avec ce mouchoir, posez cela sur celle que vous aimez.
Et, Père céleste, je Te prie de bénir et d’accorder à cette femme sa requête. Sa foi T’a touché. Je prie au Nom de Jésus. Amen.
[Espace vide sur la bande – N.D.E.]… peut croire, tout est possible, tout.

100 Maintenant, depuis que vous avez incliné la tête, juste ici derrière, vous êtes en train de surveiller et d’attendre avec beaucoup de sincérité, vous. Vous continuez à me regarder pour voir ce que seraient mes réactions. Je vous suis inconnu, n’est-ce pas ? Mais vous savez qu’il y a autour de vous Quelque Chose qui n’est pas–qui n’est pas humain. Vous en êtes conscient. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Vous êtes un étranger. Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Croyez-vous que ce que je vous ai dit est la vérité ?
Maintenant, voyez comment vous accédez à un don, c’est votre – c’est votre approche vers cela. Une fois, quand Jésus parlait aux gens, une femme a touché Son vêtement, elle a senti la vertu. Mais un soldat romain a placé un lambeau sur Sa tête, L’a frappé sur la tête et a dit : « Si tu peux avoir des visions ou prophétiser, dis-moi qui T’a frappé. » Il n’a pas senti de vertu. Il s’agit de votre approche.

101 [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… Cette pleurésie va vous quitter. C’est vrai, n’est-ce pas ? Vous avez plus de foi que vous ne pensez vraiment avoir. Eh bien, vous savez réellement que Quelque Chose est en train de vous oindre maintenant. Quand j’ai dit cela, cela a stimulé votre foi, n’est-ce pas vrai ? Eh bien, vous me considérez comme prophète de Dieu. Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une grande ville. C’est Détroit. C’est vrai. Vous vous appelez Elizabeth. Votre nom de famille, c’est Marshall.
Croyez-vous au Seigneur Jésus maintenant, madame ? Voyez-vous comment Il revient directement sur vous, aussitôt que vous êtes entrée en contact avec Son Esprit? Cela–cela ne vous guérit pas. Cela vous met simplement en contact avec l’Esprit. Maintenant, amenez-la à douter. Certains parmi vous le pourraient, mais pas elle. Nathanaël non plus n’a pas douté. Cette femme non plus, celle sur qui le miracle a été opéré. La femme au puits non plus n’a pas douté.

102 Il est arrivé que Cela est allé vers vous, sœur, assise là au coin. Croyez-vous que le Seigneur guérira ce mal de dos et qu’Il vous permettra de vous rétablir, qu’il vous guérira ? C’est pour cela que vous priez, n’est-ce pas ? Levez la main si c’est vrai. Très bien. Recevez ce que vous avez demandé. Puisse le Dieu du Ciel vous accorder cela, c’est ma sincère prière. [Espace vide sur la bande – N.D.E.]…?… la porte, un homme qui porte… Non, ce n’est pas ça. C’est une femme, c’est juste devant lui. L’Ange du Seigneur, cette Lumière, se tient près de la femme. N’ayez pas peur, sœur. Le Seigneur Jésus vous rétablira, vous accordera le désir de votre cœur, là. Vous vous appelez Alice, n’est-ce pas ? Votre nom de famille, c’est Granger. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

103 Il y a un jeune homme assis ; il porte un manteau rouge, ou plutôt un tricot rouge. Il a posé son doigt sur la bouche. Il prie pour quelqu’un qui lui est cher. C’est son père. Il a le cancer. Croyez-vous, jeune homme, que Dieu guérira votre papa ? Croyez-vous ? Etes-vous conscient que Jésus… Eh bien, comment ai-je su ce pour quoi cet homme prie ? [Espace vide sur la bande – N.D.E.]
Pendant que l’onction est sur vous tous, voulez-vous être guéris ? Souhaitez-vous être guéris ? Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Je vous dis que Christ est parmi nous. Demandez à ces gens ; je ne les connais point. Eh bien, cela apparaît sur le…

104 [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… sur les malades. Je crains d’aller plus loin maintenant, parce que le Saint-Esprit semble dire : « Prie pour eux. » Gardez votre main sur votre enfant ici, madame. Très bien. Soyez en prière maintenant, tout le monde. Oh ! reste avec moi.
Nous T’invitons dans notre petite barque, Seigneur, notre maisonnette, ce n’est pas grand-chose. Nous l’avons beaucoup maltraitée, Seigneur, mais Tu es Dieu. Et nous Te prions de bénir ce petit auditoire maintenant même. Tu es descendu et Tu as prouvé Ta Parole, que Tu gardes Ta Parole. La Parole ne faillira point. Tu as dit : « Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera jamais. » Rien ne peut empêcher Ta Parole de faillir, ou plutôt ne peut jamais La faire faillir. Il y a une seule chose qui est impossible : C’est que Dieu faillisse, car la Bible dit qu’Il ne peut pas faillir.
Et Tu es la Parole. Au commencement, Tu étais la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole a été faite chair et habite parmi nous, dans notre cœur, dans nos êtres. Alors qu’ils pensaient pouvoir détruire Cela en Le plaçant dans une tombe, en Lui transperçant le cœur d’une lance, mais observez l’Esprit de Dieu ouvrir une voie par l’Ange, qui a roulé la pierre, et…?…

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