1    La colombe… Et Noé après que le déluge fut terminé et que le jugement eut frappé la terre, et que la paix fut revenue, la colombe retourna, représentant la paix–la paix, avec la feuille d’olive dans son bec.
    Nous pouvons passer beaucoup de temps à étudier la colombe. La colombe est un oiseau qui peut… quoiqu’elle puisse voler comme un corbeau ou un charognard, elle ne peut pas manger la nourriture de charognard, parce qu’elle est constituée différemment. Elle n’a pas de bile, la colombe n’a pas de bile. C’est pourquoi elle ne peut pas digérer ce que le charognard mange. Elle ne peut manger que les choses propres et pures.
    Combien c’est le type du chrétien qui porte la colombe dans son cœur. Il ne peut simplement pas supporter les souillures du monde. Voyez? Elle n’a pas de bile, elle n’a pas d’amertume. Elle est–Elle est humble, l’humilité. Quoi de plus doux que le roucoulement d’une colombe?

2    Ce soir, ma pensée remonte dans le passé, sur le flanc d’une colline ce soir, à bien des kilomètres, à l’endroit même où repose ma femme bien-aimée, celle qui m’a quitté à l’âge de vingt ans. J’ai déposé sur son bras ma petite chérie Sharon, âgée de huit mois, quand je les ai enterrées ensemble.
    À mon retour du travail un soir, je suis entré dans la maison et j’ai regardé… Et nous avions là un petit fourneau que nous avions acheté à un dollar et soixante-quinze cents quand nous avions faits le ménage.
    J’ai considéré ce vieux fourneau, il ne valait pas grand-chose, mais elle avait préparé dessus. Nous étions au bazar acheter la petite bouilloire… Elle devait avoir ressenti un petit choc, ce qui a fait que nous avons pu l’acheter à moins cher. Ça ne valait pas grand-chose, mais elle l’avait utilisée.

3    Je me suis dirigé vers le berceau et j’ai regardé dedans, et mon bébé était parti. Ça pourrait… À plusieurs reprises, je–je n’arrivais même pas à manger. Je me faisais un sandwich et restais assis là. Alors, j’entrais dans ma voiture et me rendais au cimetière; j’arrêtais ma voiture et je marchais le long de la route, je m’asseyais près du terreau frais, pleurant, me disant que juste là en dessous reposait la chair humaine qui était le plus précieux trésor au monde pour moi. Et Dieu envoyait une belle tourterelle. Et elle se posait dans un buisson et me roucoulait au coucher du soleil.
    J’attends qu’elle revienne encore, pas celle-là, mais ce qu’elle a représenté, quand mon soleil va se coucher dans cette vie, un de ces jours. Comme elle roucoulait! On eût dit que les feuilles chantaient:
Il y a un pays sur l’autre rive,
Appelé «terre de joie sans fin»,
Nous l’atteignons par la décision de la foi.
Un à un nous y entrerons,
Pour être là avec les immortels.
Quand on sonnera les cloches d’or pour toi, pour moi.

4    Regarder …?… les immortels d’abord… elle chantait et faisait des va-et-vient sur une branche, me consolant, et j’écoutais la douce musique pendant qu’elle me roucoulait, au coucher du soleil.
    Dieu, quand Il est descendu… beaucoup de gens passent outre cette Écriture, mais pour moi c’est l’une des Écritures les plus remarquables de la Bible, quand le ciel et la terre se sont embrassés, quand Dieu est descendu sous la forme d’une colombe et s’est posé sur son Fils, Lequel était sous la forme d’un Agneau.
    Pourquoi a-t-Il choisi l’agneau et la colombe? C’est parce que la colombe ne peut demeurer que sur un agneau. Ils ont la même nature. C’est la raison pour laquelle les deux pouvaient rester ensemble. Leur nature, c’est d’être doux, humble, modeste; et c’est la raison pour laquelle ils pouvaient demeurer ensemble. Lorsque Dieu et Christ sont devenus un, lorsque la Colombe est descendue sur l’Agneau, le ciel et la terre se sont étreins. Dieu et l’homme se sont réconciliés. Eh bien, c’est l’un des moments les plus glorieux que le monde ait jamais connus, lorsque l’homme et Dieu se sont réconciliés. La Colombe et l’Agneau se sont unis.

5    Eh bien, comme je l’ai dit, la raison pour laquelle ils pouvaient demeurer ensemble… Maintenant, la Bible dit qu’il vit l’Esprit de Dieu comme une Colombe, et il dit: «Voici l’Agneau de Dieu.» Et la Colombe vint sur l’Agneau et demeura… J’aime cela «demeurer».
    Maintenant, que se serait-il passé si l’Agneau avait hurlé comme un loup? Eh bien, la Colombe s’en serait allée.
    Vous savez, des fois je me demande si ce n’est pas la raison pour laquelle il y a tant de problèmes dans l’église. Si nous sommes des agneaux de Dieu, nous devons avoir la nature des agneaux, si nous voulons que la colombe demeure. Croyez-vous cela? Moi, je le crois.

6    Maintenant, si nous considérons la Colombe… La raison pour laquelle Elle est restée sur l’Agneau, c’est parce qu’ils ont la même nature. Et la raison pour laquelle la Colombe se pose sur le chrétien. Elle y restera là tant qu’il est un agneau. Mais s’il adopte une autre nature, la Colombe prendra son envol.
    Cet Agneau était d’abord un Agneau sans tache. La Bible dit qu’Il était un Agneau sans tache. Et l’agneau ne peut pas se conduire seul, un agneau doit être conduit, ou guidé, ou plutôt gardé.
    Êtes-vous déjà allé à l’abattoir pour voir les gens tuer les brebis? L’agneau… les brebis ne peuvent pas d’elles-mêmes aller à l’abattoir; un bouc les conduit jusqu’à la chute, mais le bouc, dès qu’il arrive au lieu où on doit les tuer, il saute de l’autre côté.
    Maintenant, c’est juste ainsi que le diable agit. Il va conduire les brebis de Dieu directement à l’abattoir, et ensuite il saute de côté. C’est vrai. D’où, faites attention à celui qui vous conduit. Ah, ah. Amen.

7    Les brebis… Christ… Voyez combien Il était doux. Il n’a jamais essayé de faire Sa propre volonté. Il a dit: «Je ne viens pas faire Ma volonté, mais la volonté de Celui qui M’a envoyé.» Et le Père qui L’a envoyé est allé avec Lui et Il était en Lui. Et ainsi, Il a dit: «Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie.» Donc Il ne nous a pas seulement envoyés, mais Il va avec nous.
    Et observez-Le, comme Il est conduit partout. Et alors, Il ne compte pas sur Ses propres capacités; une brebis ne le fait pas. Il compte sur la capacité du berger. Il ne doute pas de son berger. II marche simplement avec son berger et la–la brebis aussi.

8    Quand j’étais un jeune homme, j’ai fait une petite expérience dans l’élevage des moutons dans une ferme. Nous avions l’habitude de prendre les moutons pour les tondre. Un mouton tondu, rasé, on les attrapait et on les jetait sur la table. Vous avez un petit endroit, vous liez leurs petites pattes à l’aide d’une petite boucle. Ils ne ruent et ne se sauvent pas. Ils restent simplement étendus, tranquilles et abandonnent tout ce qu’ils ont: leur laine. Ils vous laissent les tondre sans donner des coups ni bêler à tue-tête pour ça.
    J’espère que vous comprenez ce que je veux dire. Une brebis reste tranquille. Bon, une véritable brebis, une brebis renonce à ses droits, et c’est ce à quoi j’essayais d’arriver hier, quand je parlais de l’habillement et du comportement de nos sœurs chrétiennes, et de la manière dont nos frères se conduisent.

9    Une dame était assise à côté d’une autre dame, laquelle était une amie à moi, et elle m’a rencontré aujourd’hui et a dit… Une dame a dit: «S’il y avait une porte par ici, je m’empresserais de sortir» Elle a dit: «Il a tort.» Eh bien… Elle a dit: «C’est notre droit de faire cela.» C’est vrai.
    Vous me direz: «Frère Branham, les magasins vendent de ces petits habits courts que les femmes portent. C’est notre privilège en tant qu’Américains. C’est notre droit.» Mais êtes-vous prêts à renoncer à vos droits, pour devenir une brebis? C’est la chose suivante. C’est vrai.
    Vous dites: «C’est notre privilège, Monsieur Branham, si nous voulons être membres d’église ou si nous voulons fumer la cigarette. Le gouvernement dit qu’on peut en vendre, et on en vend. Il n’y a rien de mal à cela. C’est notre privilège en tant qu’Américains de fumer la cigarette.» C’est vrai. Mais voulez-vous renoncer à vos droits de fumer la cigarette? Voyez? C’est ça.

10    Vous dites: «C’est bien, et c’est être sociable avec les voisins, quand nous nous rencontrons avec nos voisins. Et c’est notre privilège en tant qu’Américains si nous désirons prendre un petit verre amical. C’est notre privilège. Mais frère, êtes-vous prêt à renoncer à vos privilèges impies pour devenir une brebis tondue, c’est ce que je désire connaître? Voulez-vous le faire? Renoncez à vos droits. Ne vociférez pas là à ce sujet, les brebis ne font pas cela. Voyez? Elles s’étendent simplement et se laissent tondre.
    Si vous voulez le retour sur la rue Azusa, étendez-vous simplement et soyez complètement tondu avec la Parole et observez. Oui, monsieur. C’est le chemin du retour à l’expérience de la rue Azusa: Être dépouillé de ces choses.

11    Je sais que c’est un privilège. Cela vous appartient parce que vous êtes né dans les péchés, conçu dans l’iniquité, venu au monde en proférant les mensonges; mais voulez-vous abandonner cela et devenir un agneau? L’Agneau n’était pas ronchonneur. La Bible dit: «Il n’a pas ouvert Sa bouche. Quand on L’a insulté.» Il n’a pas répondu par l’insulte.» Mais oh! c’est la raison pour laquelle la Colombe a pu se poser sur l’Agneau.
    Mais nous, qu’une personne agisse mal envers nous et nous nous mettons en colère. Qu’est-ce qui se passe? L’Agneau… La Colombe prend son envol. Le Saint-Esprit s’en va. Bien des fois on se demande pourquoi on n’a plus la paix qu’on avait. Il y a quelque chose qui a fait fuir la Colombe. C’est vrai.

12     Pourquoi ne pouvons-nous pas avoir ce genre de réunions que nous avions dans nos églises? Devenez simplement une brebis. La Colombe s’est posée sur un perchoir, prête à retourner dans le cœur, si vous devenez une brebis. Il est toujours la même Colombe, mais vous devez devenir une brebis. Vous ne pouvez pas grogner, faire des histoires, murmurer, médire, et tout le reste, et vous attendre à ce qu’Il reste là. Il ne le fera pas. Vous devez avoir la nature qu’Il a, et alors, Il demeurera. C’est vrai. Si vous possédez la nature de la brebis, alors le reste s’accomplira.

13    Il n’a pas ouvert… Quand Il–quand Il a laissé… On a tiré la barbe de Son visage. Il avait un privilège. À la crucifixion, Il a dit: «Je peux parler à Mon père, et Il m’enverrait des millions de légions d’anges.» Il pouvait le faire, mais pour être un Agneau, Il a renoncé à Ses droits. Il était un Agneau pour mourir à votre place.
    Vous dites: «Frère Branham, quelle est la voie pour revenir aux réunions à l’ancienne mode?» Redevenez tout simplement des agneaux. C’est tout. Redevenez tout simplement des brebis. La Colombe n’est pas allée très loin. Elle cherche une occasion pour rentrer. C’est… Voilà le chemin du retour sur la rue Azusa. Voilà où il faut retourner. Retourner aux réunions de la rue Azusa, c’est retourner à la nature de l’agneau.

14    Vous ne pouvez pas, tout en étant un loup ou n’importe quel autre charognard, espérer que la paix de la Colombe demeure en vous. Elle ne le fera pas. Vous devez devenir un agneau. Votre nature doit être changée, et vous verrez les choses différemment. Et vous ne ferez pas des histoires à un prédicateur si sa prédication condamne de manière stricte, s’il prêche une religion du Saint-Esprit à l’ancienne mode et la manière de vivre. Débarrassez-vous de cet esprit de loup ou de cet esprit de charognard et revêtez-vous de la nature de l’agneau, et vous serez prêt à renoncer à toutes ces choses que vous avez faites autrefois, tous ces privilèges mondains et autres. Amen.
    Cela est aussi vrai que je me tiens ici, amis chrétiens. Humiliez-vous. N’essayez pas de tout connaître. La meilleure chose, c’est de voir combien vous pouvez oublier ce que vous connaissez réellement. Ne reconnaissez qu’une seule chose, et c’est Christ.

15    Comme le geôlier philippien… La question était: «Que dois-je faire pour être sauvé?» Paul lui a dit ce qu’il devait faire. Mais aujourd’hui, nous avons changé cela. Nous lui disons tant de choses qu’il ne devrait pas faire au lieu de lui dire ce qu’il doit faire. Et nous faisons de lui un faux disciple.
    Amenez-le à Christ afin que Christ puisse changer sa nature en celle d’un agneau, et tout le reste ira bien, parce que l’Esprit de Dieu, la Colombe viendra sur lui pour le conduire.

16    Lorsque les gens de la rue Azusa se sont humiliés et sont devenus des agneaux, le Saint-Esprit est entré. Il fera cela. Il le fera en ce moment même, juste ici dans ce bâtiment si nous sommes disposés à renoncer à toutes ces prétendues choses que nous avons et à nous humilier pour devenir des agneaux. Le Saint-Esprit prendra cette réunion sous Son pouvoir. Et il n’y aurait que des agneaux qui sortiraient d’ici, conduits par le Saint-Esprit, l’Agneau. C’est vrai.
    Je sais qu’Il est ici. La Colombe est ici ce soir, cherchant un endroit où… où entrer. Combien lamentable doit être la marche d’un chrétien moderne devant Dieu? Combien nous devrions changer nos voies et nos manières.

17    Il y a quelque temps, dans le sud, les gens avaient l’habitude d’acheter des esclaves. Les marchands passaient et les achetaient comme un lot de voitures d’occasion qu’on a aujourd’hui. Et ils achetaient les esclaves.
    Et un marchand est venu dans une plantation, et il a dit: «Combien d’esclaves avez-vous en vente?» L’homme n’en avait que peu à vendre. Et il y avait un jeune homme là. Oh! ces esclaves étant loin de leur pays; bien des fois, ils. Ils savaient qu’ils ne pourraient jamais retourner dans leur patrie, les Boers les avaient emportés de l’Afrique et les avaient vendus dans les terres du Sud comme des esclavages, et on pouvait. On les fouettait parce qu’on n’arrivait pas à les faire travailler.

18    Ils étaient tristes, mais ils ont remarqué la manière dont ce jeune homme marchait, la poitrine bombée et le menton relevé. Vous n’aviez pas à le fouetter. Il était à l’oeuvre.
    Et le marchand dit: «J’aimerais acheter cet esclave.»
    Le propriétaire de la plantation dit: «Il n’est pas à vendre.»
    Il dit: «Eh bien, avez-vous… Qu’est-ce qui fait qu’il soit différent des autres esclaves?
    Et il demanda: «Est-il le chef des autres?»
    Le propriétaire répondit: «Non, il n’est qu’un esclave.»
    Il dit: «Peut-être que vous le nourrissez mieux que les autres?»
    Il répondit : «Non, il mange à la cantine avec les autres.»
    Il demanda: «Qu’est-ce qui fait qu’il soit si différent?»
    Il répondit: « Je ne le savais pas moi-même, jusqu’au jour où j’ai appris qu’il venait d’une contrée dont son père est le roi d’une tribu. Et bien qu’il soit un étranger et un pèlerin, il garde haut le moral des autres parce qu’il sait qu’il est le fils d’un roi, bien qu’il soit un étranger.

19    Quel genre de personnes devrions-nous être? Des gens remplis du Saint-Esprit bien qu’étant pèlerins et étrangers! Combien devrions-nous mener nos vies et nous comporter, non pas comme le reste du monde, mais nous séparer des choses du monde. Tenons bon, pour ainsi dire, parce que nous savons une chose: Nous sommes fils et filles du Roi. Bon, une fille de roi n’agit pas de manière immorale, et elle ne s’habille pas de cette manière-là. Elle se présente en public dans toute sa dignité, parce qu’elle est une fille de roi. Amen.
    Ainsi, lorsqu’un homme est le fils d’un roi… C’est ça le chemin du retour à l’expérience de la rue Azusa. Comportons-nous comme fils et filles de Dieu, ne nous habillons pas comme le monde, et n’agissons pas comme le monde, ne parlons pas comme le monde, ne restons pas à la maison le mercredi soir pour regarder le… tous ces programmes et tout, l’habillement de Hollywood. Nous n’avons rien à faire avec Hollywood.
    Nous sommes nés de nouveau par l’expérience de la Pentecôte. Hollywood a son lieu de divertissement. Nous avons notre lieu de divertissement. Le leur, c’est dans le monde, et le nôtre en Christ. Mais nous ne pouvons pas le prendre pour modèle, prenons pour modèle Christ, agissons comme Lui et aimons-Le.

20    Maintenant, quelle belle image cela nous donne! Combien Dieu doit être brisé à cause de notre conduite, après qu’Il nous a acceptés comme fils et filles, et voir la manière dont nous agissons, nous nous conduisons et comment nous nous comportons, gardons rancune, faisons des histoires, et de petites choses qu’on ne–qu’on ne devrait pas faire, et nous, nous continuons quand même à nous appeler fils et filles de Dieu.
    Nous devons être de vaillants hommes. Nous devons être de vaillantes femmes. Nous devons nous comporter comme des enfants de Dieu. Nous devons être un exemple pour le monde, comme l’était notre Seigneur. Nous devons mener une vie remarquable comme David. Quand Dieu a vu son–son… Comment… Quel vaillant homme il était, Dieu a dit: «Tu es un homme selon Mon cœur.»

21    Il y a quelque temps en Afrique, je parlais à un–un vieux saint, et il me dit: «Frère Branham, là dans mon église, un soir, nous avons eu une division. L’un faisait ça et l’autre voulait ceci. Et il y avait de petits clans dans notre église et je… Le Saint-Esprit ne pouvait pas nous visiter.» Il ne le fera jamais dans de telles conditions. Et il dit: «L’un voulait croire ça comme une doctrine, l’un d’eux voulait commencer cela, et nous nous sommes divisés. Et il dit: «J’ai honte de le dire, mais, dit-il, j’ai essayé de prendre position pour l’un et puis pour l’autre.» Un pasteur ne devrait jamais faire ça. Vous devriez vous en tenir à la Parole éternelle de Dieu sans vous en détourner ni à droite ni à gauche.
    Et il dit: «J’ai garé ma voiture, et puis, j’ai gravi la colline.» Et il dit: «Comme j’atteignais le–presque le sommet de la colline, il m’est arrivé d’entendre quelqu’un venir derrière moi. Et quand j’ai regardé derrière moi, j’ai entendu des pas monter la colline», et j’ai dit: «Comme je gravissais la colline, je me suis dit; «peut-être que je suis du côté de cette personne-ci, je vais donc l’attendre». Et il dit: «Il s’est fait que j’ai vu un petit Homme gravir la colline, mais Il portait un grand fardeau sur Son dos. Je pouvais à peine comprendre comment ce petit Homme-là pouvait porter un tel fardeau.» Et il dit: «Je L’ai regardé et juste à ce moment-là, j’ai su que c’était une vision, car j’ai vu des cicatrices dans Ses mains. Et il dit: «J’ai accouru vers Lui et j’ai dit: «Seigneur, est-ce que Tu portes encore les péchés du monde?»
    Il dit: «Non. C’est juste les tiens que je porte.»
    Il dit: «Quand la vision m’a quitté, je suis allé à l’église et j’ai raconté la vision et j’ai dit: ‘Si les péchés de cette église attristent le Seigneur Jésus comme cela, nous devons tous nous repentir.» Et Il dit: «Cela a amené une grande explosion dans l’église et un véritable réveil a commencé.»

22    Le monde cherche ce genre d’église. Nous pouvons être un exemple. Je crois que l’Église de Dieu est un exemple pour le monde; c’est pourquoi nous devons vivre différemment, agir différemment, être différents. «Vous n’êtes pas du monde, petits enfants», dit l’Évangile.

23    Mais mon temps passe, alors j’aimerais dire ceci. Il y a quelque temps, là haut dans ces belles montagnes vertes du New Hampshire… Comme vous le savez tous, j’aime aller à la montagne pour chasser, pas tellement pour les animaux, mais pour être seul avec Dieu. Chaque personne veut être seule avec Dieu.
    Vous vous souvenez bien de cette douce paix que vous avez quand vous êtes seul avec Dieu. Tout cela vous a été enlevé maintenant. Pourquoi? Parce que vous avez fait quelque chose qui a attristé la Colombe et L’a éloignée. Vous n’avez qu’à redevenir un agneau, Il va revenir.

24    Remarquez, et j’ai fait la connaissance d’un chasseur là-bas. Et j’ai fait cela beaucoup de fois et j’ai quitté… J’ai conduit beaucoup, beaucoup de rudes cow-boys et des chasseurs à Christ, en allant avec eux dans le bois. Et cet homme-là était le chasseur le plus cruel que j’aie jamais vu. Il ne tirait que sur des faons, et–et il faisait… et il tirait une douzaine par année s’il pouvait en trouver. Et je lui ai dit: «Burt, ce n’est pas correct. Tu ne devrais pas faire cela. Tu as un cœur insensible.»
    Et il a dit: «Prédicateur, tu es simplement un peureux.» Il a dit: «Tes prédicateurs sont vraiment des peureux.»
    Je dis: «Mais, Burt, il y a beaucoup de ces gros et vieux animaux mâles ici sur lesquels la loi te permet de tirer, tu ne devrais donc pas faire ces choses, tirer sur ces pauvres faons et tout le reste.
    Il a dit: «Ah, va-t-en, espèce de prédicateur mou.»

25    Et il s’était fait un pauvre petit sifflet ou un pipeau, et il pouvait imiter parfaitement le cri d’un faon comme je n’en avais jamais entendu. Un jour donc que j’étais avec lui dans les montagnes, il était assis sur un tas de broussailles, et je me suis approché de lui pour lui parler du Seigneur Jésus. Et il voulait simplement se donner des airs, juste pour me montrer qu’il pouvait quand même le faire, comme beaucoup de pentecôtistes le font. Vous voyez? «Je n’aurai rien à faire… Je vous montrerai ce que je ferai.»
    C’est comme ça que vous avez des problèmes avec Dieu, juste à ce moment-là. Il s’assit et fit sortir ce pipeau et laissa échapper le cri le plus triste, comme d’un faon qui pleure. J’étais assis juste de l’autre côté de buisson et, à ma grande surprise, une jolie biche sortit juste de l’autre côté.
    Oh! c’était un bel animal, ses oreilles dressées, son nez en train de flairer. Elle entendait le cri d’un petit. Elle s’avança de quelques pas. Je vis l’homme lever son fusil, fit décliquer le cran. Je dis: «Oh! Dieu, ne le laisse pas faire cela.»

26     Il souleva le fusil pour viser, et sa main était levée. Et le cri du petit attirait toujours l’attention de la biche. Alors la biche regarda de l’autre côté et vit le chasseur alors qu’elle voyait le fusil qui était braqué sur son cœur. Mais cela a-t-il arrêté la biche? Non, elle a entendu le cri du petit. Bien que le fusil fût pointé sur son cœur, le cri du petit signifiait plus que le fusil qui était braqué sur son cœur.
    Elle s’avança, l’attention attirée par le cri du petit, et j’observais le chasseur. J’ai vu ses mains trembler; j’ai vu ses épaules trembler. Il jeta le fusil, revint vers moi en courant, m’entoura de ses bras, et il dit: «Frère Branham, je ne peux plus supporter cela.» Il avait vu une démonstration de l’amour d’une brave mère.
    Frère, ce monde cherche une démonstration de braves soldats de la croix, de véritables héros qui vont prendre position pour Dieu et rester fermes. Vous les pentecôtistes, vous devriez montrer cet exemple.

27    Comme il s’était agenouillé là, tremblant et secoué, il a dit: «As-tu vu comment cette biche me regardait en face, Frère Branham?»
    J’ai répondit: «Oui, Burt.» Il a dit: «Elle n’avait pas peur de la mort.» J’ai dit: «L’amour l’a obligée à affronter la mort pour protéger ce petit dont tu imitais le cri.» J’ai dit: «Burt, un jour un Homme vint du ciel. Il avait entendu les cris d’un peuple mourant, et Il n’avait pas peur d’affronter la mort. Et Il l’a fait, Burt, pour toi.» Il s’agenouilla là, les mains en l’air, et pleura jusqu’à ce qu’il trouvât le précieux Seigneur Jésus dans son cœur. Et il fut changé d’un loup cruel en un agneau, et le Saint-Esprit vint en lui.

28    Il y a quelques années, dans le sud-ouest des États-Unis, il y a cinquante ou soixante ans, il y avait un–un éminent évangéliste. Peut-être que beaucoup d’entre vous ont déjà entendu parler de lui. Il s’appelait Daniel Curry. Il était bien connu à travers l’Amérique Centrale pour son évangélisation, un excellent érudit et ministre de l’Évangile. Et une nuit, il eut un songe qu’il était mort, et il fut transporté au Ciel. Et arrivé à la porte du Ciel, le gardien lui dit. «Qui es-tu?»
    Et il dit: «Je suis Daniel Curry, l’évangéliste.»
    Et il dit: «Un instant, monsieur. Je dois voir si ton nom est enregistré ici.» Et il partit et parcourut le Livre.
    Il revint et dit: «Monsieur, ton nom n’est pas enregistré ici. Oh! dit-il, Tu t’es trompé, monsieur. Il dit: «Mon nom, c’est Daniel Curry.» L’Ange qui était à la porte lui dit: «Je te comprends bien, monsieur.»
    «As-tu regardé minutieusement?» «Oui, monsieur et ton nom n’est pas enregistré ici.»
    Il dit: «Que dois-je faire?»
    L’Ange dit: «Veux-tu recourir pour ton cas à la décision du jugement du trône blanc?»
    «Bien, Monsieur, dit-il, je n’ai pas de choix. Je dois recourir pour mon cas à la décision du jugement du trône blanc.»

29    Daniel Curry dit qu’il a senti qu’il traversait indéfiniment l’espace, continuellement, continuellement. Il dit que quelque temps après, il est entré dans une Lumière. Il dit: «Il faisait de plus en plus clair à tel point que c’était des milliers de fois plus clair que le soleil. Cela ne venait de nulle part, mais il se tenait au milieu de cette Lumière éclatante qui brillait autour de lui. Et Il dit qu’Il s’arrêta et une voix lui parla directement et dit : «Es-tu Daniel Curry?»
    Il a répondu : «Oui, Seigneur, c’est moi.»
    Il a demandé : «Daniel Curry, n’as-tu jamais dit un mensonge quand tu étais sur la terre?»
    Et il a répondu: «Jusque là, je pensais n’avoir jamais dit un mensonge, mais dans la Présence de cette Lumière, je me suis rendu compte que j’avais dit beaucoup de choses qui étaient fausses.» Qu’en sera-t-il en ce jour-là?
    Il a demandé: «Daniel Curry, as-tu jamais brisé mes commandements ou volé quand tu étais sur la terre?»
    Il a répondu: Je pensais, je pensais avoir toujours été un homme honnête, mais, dit-il, dans la Présence de cette Lumière, je me suis rendu compte que j’avais effectué des transactions louches.» Il a dit: «Oui, Seigneur, j’ai volé et j’ai menti.»
    Il a dit qu’une voix est alors venue et a dit: «Daniel Curry, étais-tu parfait quand tu étais sur la terre? «Oh! dit-il, non, Seigneur, je n’étais pas parfait.» Il a dit qu’il s’attendait à ce qu’un claquement de doigt dise: «Éloigne-toi de moi et va dans la ruine éternelle.» Il a dit: «Chacun de mes os semblaient se déboîter, je tremblais.» Et il a dit: «Tout d’un coup, j’ai entendu la plus douce voix que j’aie jamais entendue de ma vie, dit-il, plus douce que n’importe quelle voix de mère que j’aie jamais entendu parler.» Et il a dit: «Quand je me suis retourné pour regarder, j’ai vu, debout à mes côtés, le plus doux visage que je n’avais jamais vu. Je n’ai jamais vu un visage de mère ou quoi que ce soit d’autre qui remplacerait cela.» Il a dit: «Celui qui se tenait là dit: «Père, prends tous les péchés de Daniel Curry et mets-les sur Mon compte; car sur la terre, Daniel Curry avait pris position pour Moi, et ici au Ciel, Je prends position pour Daniel Curry.»

30    Oh! combien j’ai besoin de Lui, combien je désire ardemment… Oh! mes amis, est-ce que ça vaut la peine d’attendre dans le péché? Est-ce que ça vaut la peine de vivre dans un état de tiédeur? Est-ce que ça vaut la peine d’adhérer à une église? Prenons position pour Jésus maintenant, pour qu’à la fin, quand ce moment crucial arrivera, Il puisse prendre position pour nous dans la Gloire.
    Mon temps est écoulé. Pouvons-nous incliner la tête un moment partout dans l’assistance. Que l’organiste veuille bien se mettre à l’orgue un moment pendant que chaque tête est inclinée.

31    Notre Père céleste, nous voulons être les brebis de Ton pâturage. En ce jour-là, nous ne voulons pas nous tenir seuls et sur notre propre justice. Ô Dieu, nous voulons maintenant prendre position pour Toi. Nous T’aimons, Seigneur Jésus.
     Je pense au parcours de ma propre vie, voir les endroits couverts de ronces, les collines et les vallées par où Tu m’as conduit par Ta grâce étonnante. Et je pense à ce temps-là où j’avais quitté la maison, et que mes enfants se cramponnaient là à mon manteau, et ils imploraient en criant: «Papa, ne nous quitte pas. Tu ne vas peut-être plus revenir.» Et mon cœur battait très fort pour mes enfants et pour ma pauvre petite femme grisonnante, qui se tenait là, sa main tremblante dans la mienne, les larmes coulant sur les joues…
    Mais Père, je me rends compte que tout ceci ne peut pas expier mes péchés. Tous mes efforts seront vains si Jésus ne prend pas position pour moi ce jour-là. Toutes les promesses que j’avais faites à ma pauvre femme mourante, quand je lui avais promis de la rencontrer devant la porte ce matin-là, toutes mes prédications et tous mes efforts seront vains si Jésus ne prend pas position pour moi.

32    Ô Dieu, cela se trouve dans chaque cœur ce soir. Nous, en tant que pentecôtistes, Père, nous regrettons à cause de nos péchés. Nous avons honte de notre état rétrograde et de nos manquements.
    Veux-Tu ce soir, Seigneur, prendre Ta Parole pour nous tondre tous? Nous déposons ce soir, sur l’autel de sacrifices, tous les plaisirs mondains qui sont malsains, et tout ce qui n’est pas de Jésus. Ô Dieu, prends-moi et eux, ce soir, tonds-moi, rends-moi petit et laisse-moi, en tant que Ton humble serviteur, prendre position pour Toi maintenant, Seigneur, afin qu’en ce jour-là, Tu dises: «C’était bien.» Pas seulement à moi, mais à chaque homme et à chaque femme qui sont ici, ô Dieu.
    Peut-être qu’ils ont péché, ou qu’ils se sont éloignés; peut être qu’ils ne T’ont jamais accepté. Mais puissent-ils devenir des agneaux ce soir, et puisse cette Colombe qui est en train d’oindre ce bâtiment maintenant, d’oindre cet endroit… Nous pouvons sentir Sa présence pendant qu’Il pénètre dans nos cœurs. Il est en train de nous briser, comme l’a vu le prophète chez le potier.
    Ô Dieu, modèle-nous pour que nous soyons un peuple différent. Modèle-nous pour que nous soyons un peuple qui aime, plein d’amour. Puissions-nous ce soir ouvrir la porte de notre cœur et faire entrer la Colombe.
    Ensuite, qu’en partant d’ici, nous puissions, en tant qu’hommes et femmes, marcher, vivre, agir, nous habiller et être comme doivent être de véritables chrétiens. Accorde-le, Père.

33    Et pendant que nos têtes sont inclinées, je demande si dans cet auditoire. Je ne vais pas dire que nous soyons des bébés, que nous pleurions. Mais quand je reconnais Qui est celui qui prendra position pour moi en ce jour-là… Mon pasteur ne le peut pas, mon frère ne le peut pas, ma mère ne le peut pas. Seul Jésus peut prendre position pour moi.
    Je me demande si, ce soir, il y a quelqu’un qui est convaincu dans son cœur qu’il a attristé et éloigné le Saint Esprit; la Colombe S’en est allée; vous n’avez plus cette douce paix qu’elle procure. Vous n’allez pas faire la vaisselle dans l’évier en regardant par la fenêtre pour voir si vous pouvez Le voir revenir. Vous n’allez pas en roulant dans votre voiture pour vous rendre au service, frère, et regarder vers le ciel à travers la glace quand il y a une occasion, et sentir cette paix profonde dans votre cœur comme vous en aviez l’habitude; quelque chose s’est passé. La Colombe a pris Son envol

34    Je me demande ce soir, si vous voulez prendre position pour Jésus. Si vous êtes en erreur, dites: «Je veux être tondu. Je veux être dépouillé. Je vais renoncer à tous mes plaisirs mondains et à mon comportement mondain. À partir de ce soir, je me rangerai du côté du petit groupe des méprisés de Dieu. Je vais aller de l’avant pour Dieu ce soir.»
    Avec nos têtes inclinées, et chaque chrétien, s’il vous plaît, je me demande qui aimerait se lever et dire, «Par ceci, je vais maintenant demander à Dieu de me tondre, d’ôter de moi toutes les choses qui ne sont pas de Christ.» Dieu vous bénisse partout. C’est juste. Levez-vous simplement. «Je vais maintenant accepter Christ. J’ai honte de ma vie.» Dieu vous bénisse, vous qui êtes debout, partout. Levez-vous.
    Et en ce jour-là, Il prendra position pour vous, si seulement vous serez ce. En rapport avec ce petit don de prophétie que Dieu m’a donné, le Saint-Esprit semble me dire dans mon cœur qu’Il y en a beaucoup ici qui devraient être debout, bien plus que ceux qui sont debout maintenant.

35    Prenez position pour Christ ce soir. Faites-le de tout votre cœur. C’est juste. Levez-vous. Vous qui n’avez jamais accepté Christ, ou qui vous êtes éloignés de Christ, tenez-vous debout, à l’instant même pendant que nous offrons une prière.
    Offrez-la avec moi à Dieu, et dites: «Ô Dieu, je renonce maintenant à chaque–à chaque plaisir – mondain et malsain, et au péché que j’aie jamais connu. Je renonce maintenant à tout, si Tu laisses la Colombe de paix descendre dans mon cœur et faire de moi un véritable chrétien rempli d’amour et de paix. Je veux être du nombre de ce grand groupe.»

36    Si vous avez de la mondanité dans votre expérience, voudriez-vous prendre position pour Christ ce soir. En faisant cela, vous montrez à Dieu que vous prendrez position pour Lui et vous voulez que Lui prenne position pour vous. Si vous avez un doute dans votre cœur, que Christ ne prendra pas position pour vous à cause de la manière dont vous avez vécu et agi, je vous demande au Nom de Christ de vous lever et de bénéficier de cette prière que nous allons adresser pour vous ce soir. Levez-vous, partout.
    Nazaréens, pèlerins de la sainteté, pentecôtistes, méthodistes, baptistes, catholiques, juifs orthodoxes, qui que vous soyez, levez-vous et dites: «Maintenant, je veux être du nombre, ô Dieu. Je veux abandonner tout ce qui est du monde si Tu prends position pour moi.» Dieu vous bénisse. Il y en a beaucoup qui sont debout, beaucoup qui sont debout.

37    Je me demande, juste pour un moment, alors que nos têtes sont inclinées, de rester debout. Les autres sont debout. C’est juste. Levez-vous directement. Je me préparais à faire autre chose, mais le Saint-Esprit semblait me dire: «Tu ferais mieux de parler, car ça pourrait être la dernière soirée pour quelqu’un.»    
    Maintenant, tenez-vous debout. Dites: «Ô Dieu, par ceci je veux être Ton serviteur.» Avec nos têtes inclinées maintenant dans la prière… Savez-vous ce que vous avez fait?» Celui qui prendra position pour Moi dans ce monde, Je prendrai position pour lui dans l’autre monde. Celui qui témoignera de moi dans ce monde, je témoignerai de lui devant Mon Père et les saints anges.»

38    Si vous étiez mort il y a quelques instants, vous seriez perdu. Mais ce soir vous êtes sauvé, parce que vous vous êtes tenu dans la Présence de ces milliers de gens et dans la Présence de Dieu et des saints anges. Et ils sont maintenant en train d’écrire votre nom dans le Livre de Vie de l’Agneau.
    Maintenant, Père céleste, je Te donne cette grande assistance de gens. Je Te donne ceux qui sont debout en ce moment. Tu as parlé à leurs cœurs. Ils se sont rendus compte de leurs conditions, alors que nous pensons qu’il devrait y en avoir beaucoup plus…

39    Ô Dieu, comment pouvons-nous retourner sur l’avenue Azusa alors que nous refusons d’écouter la Colombe de Dieu? Ô Dieu, ça exige peut-être un grand jugement. Cela exige peut-être une mort dans la famille. Ça exige peut-être quelque chose, mais je suis sûr, ô Dieu, que si nous devons Te demander n’importe quoi que cela exige, ramène-nous à Dieu. Ramène les vieilles réunions à l’ancienne mode. Ramène l’humilité parmi les saints. Ramène la puissance de Dieu dans nos églises. Accorde-le, Seigneur.
    Tonds-nous ce soir. Ôte le monde de nous. Ôte tout ce qui n’est pas de toi, ô Dieu. Remplis-nous du Saint-Esprit , et, ô Colombe de Dieu, descends de ces rampes, descends du sommet de ce temple, Seigneur, et viens demeurer dans ces cœurs comme ils s’attendent maintenant même au baptême du Saint-Esprit, à . Ta Parole à double tranchant pour enlever les choses du monde et donner à leurs cœurs le riche et royal Jésus-Christ, au Nom de Jésus, nous prions. Amen.

40    Dieu vous bénisse. Combien veulent être guéris ce soir? Levez-vous immédiatement. Tous ceux qui veulent être guéris physiquement, spirituellement, quoi. Levez-vous immédiatement. Amen.
    La Colombe est en train de voler dans ce bâtiment. Le croyez-vous? L’heure est venue; le temps est proche. Ouvrez vos cœurs. Le Saint-Esprit est ici pour baptiser, pour guérir. Dieu tout-puissant, au Nom de Jésus-Christ, nous condamnons chaque démon, chaque maladie et le chassons …?… Et ils seront libres…