L’Aveugle Bartimée
1 Restez debout juste un instant pendant que nous offrons un mot de prière. Inclinons la tête.
Cher Dieu, c’est avec des coeurs reconnaissants que nous inclinons nos têtes dans Ta Présence, ce soir, pour Te remercier pour ce que Tu as fait en notre faveur dans les jours passés. Et nous voudrions Te demander, Seigneur, de nous pardonner toutes nos offenses, et de pardonner toutes nos iniquités, et nous voudrions Te demander de nous bénir à l’extrême, abondamment, ce soir, à tel point que Tu sauveras toute personne perdue qui est dans la Présence divine, ou qui suit à l’antenne. Et nous prions aussi, Seigneur, que Tu guérisses chacun de ses infirmités ce soir. Nous sommes très heureux de Te voir accomplir ces glorieux prodiges chaque soir ici pour nous. Et nous Te sommes vraiment reconnaissants, Seigneur. Et nous prions que Tu bénisses cet endroit dénommé «Angelus Temple», son pasteur, ceux qui y travaillent, l’école et tout ce qu’il soutient, ainsi que tous ceux qui travaillent ensemble durement pour le Royaume de Dieu, toutes les églises dans le pays.
Que Ta Présence soit parmi nous, ce soir, Père, afin que nous puissions ramener dans le vieux sentier ceux qui se sont écartés du chemin. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Vous pouvez vous asseoir.
2 C’est certainement un grand privilège d’être de retour cet après-midi pour parler de nouveau de Celui que j’aime tant. Et je suis sûr que c’est le sentiment de chaque personne ici présente, en pensant à Celui que nous aimons tant, le Seigneur Jésus.
Demain soir, le petit Ricky devra donc être ici pour le témoignage. Beaucoup d’entre vous ont entendu parler de son – du grand miracle que Dieu a accompli sur – pour lui. Son père et sa mère doivent l’amener demain soir.
3 Et maintenant, ce soir, pour la lecture de l’Ecriture, j’aimerais lire dans le livre de Saint Luc, chapitre 19, les versets 37 et 38. On lui dit : C’est Jésus de Nazareth qui passe. Et il cria : Jésus, Fils de David, aie pitié de moi!
4 Ce soir, notre scène commence dans la ville de Jéricho. Celle-ci se situe juste au pied des montagnes. Par rapport à Jérusalem qui est sur les montagnes, Jéricho est en bas, au – dans la vallée. Elle est en quelque sorte dans les plaines du Jourdain. Et elle est... Je crois qu’elle est censée être l’une des villes les plus basses de la... toute la Palestine.
Et ça devait être par un matin froid, disons quelque chose comme ça, vers octobre.
On comptait beaucoup de mendiants dans le pays à cette époque-là. Et on comptait... Les médecins n’étaient pas en mesure de leur venir en aide; beaucoup d’entre eux étaient si malades et affligés que les médecins n’étaient pas en mesure de leur venir en aide. Et en plus, s’ils étaient des mendiants, c’est qu’ils n’avaient peut-être pas assez d’argent pour subir les opérations possibles.
Et nous ouvrons maintenant la scène de ce matin froid. Nous regardons et nous voyons un mendiant de ce genre (tel que nous venons de le lire), cherchant son chemin à tâtons au milieu des pierres de la muraille de la ville, qui gisaient intactes là où elles étaient tombées au son de la trompette du temps de Josué, et selon la promesse de Dieu qu’Il démolirait la muraille.
Et le mendiant dont nous parlons maintenant était un aveugle. Il s’appelait Bartimée. Et ce matin-là, il est arrivé en retard pour occuper sa place qui était à la porte, une pratique juste comme ce qu’on voit aujourd’hui; chaque homme a un endroit où mendier, où vendre. Et Bartimée était arrivé tard. Presque tout le monde était déjà parti en ville, les marchands et le reste. Et pour cette journée-là, il lui serait difficile d’attraper une pièce de monnaie, car d’habitude, la ville n’étant pas très riche, les hommes n’avaient journellement, peut-être, qu’une seule pièce de monnaie à lancer à un mendiant. Et peut-être que le premier qu’ils voyaient étaient le premier qui recevrait la pièce de monnaie.
5 Et Bartimée était arrivé tard à sa place pour mendier. Et toute la nuit, il a rêvé qu’il voyait. Il y avait quelque chose de très étrange à ce propos. Il – il a rêvé toute la nuit (il s’était tourné et retourné), qu’il a recouvré la vue, alors qu’il nous est dit qu’il était aveugle depuis sa jeunesse.
Et comme le dépeint le poète, vêtu de son manteau en lambeaux, ou plutôt de sa petite robe en lambeaux, et ses manches toutes déchirées... Et ça devait être une scène pathétique que de voir cet homme, malgré son grand retard, s’asseoir à la porte et mendier quelque chose à manger pour ce jour-là. Il essaie alors de se trouver quelque part une pierre où s’asseoir...
Vous savez, je crois que la cécité est l’une des choses les plus cruelles qu’on puisse s’imaginer, une personne qui ne voit pas la lumière du jour. Et si nous pouvons penser que la cécité naturelle est une chose très grave, combien plus grave est la cécité spirituelle, pour ceux qui ont de bons yeux, mais qui ne voient pas les promesses de Dieu.
Et, comme il cherchait son chemin à tâtons sous le soleil, finalement (le soleil n’était peut-être pas encore suffisamment haut pour donner loin de la muraille), il se trouva une pierre et s’assit.
6 Il y a quelque temps, j’ai lu une petite histoire sur l’aveugle Bartimée. Elle disait que... Je ne sais pas, c’était peut-être de la fiction. Mais elle disait qu’il mendiait à la porte de Jéricho. Et il était un homme marié, et il avait une fillette d’environ douze ans. Et il n’avait jamais vu cette fillette. Et quand il... Si vous vous asseyiez près de la porte, n’ayant rien comme divertissement susceptible d’attirer l’attention des – des passants, c’était plus difficile d’obtenir une pièce de monnaie.
Comme nous le voyons aujourd’hui, ils jouent un instrument ou font quelque chose. Récemment en Inde, oh! ils ont un – un cobra à qui il faut jouer d’une petite flûte pour le charmer, ou – ou un petit singe qui les bat avec un bâton comme s’ils recevaient une correction, quelque chose comme ça, une chose qui attire l’attention.
7 L’aveugle Bartimée, dit-on, avait deux petites tourterelles qui faisaient de petites culbutes l’une sur l’autre. Et cela attirait l’attention des passants.
Et aussi en ce jour, nous voyons que les aveugles sont conduits par un chien qui a été dressé pour leur faire traverser la rue. J’ai oublié comment on appelle cela. (Comment? Chien d’aveugle.) En ces jours-là, au lieu d’avoir un chien dressé, ils avaient une brebis dressée qui les conduisait.
Et on raconte qu’une nuit, la femme de Bartimée tomba gravement malade. Et le médecin s’étant retiré après avoir déclaré qu’il ne savait quoi faire pour elle, l’homme est allé sur le côté de la maison et s’est agenouillé. Et il a adressé une prière à Dieu, il a dit : «Seigneur, si seulement Tu permettais que ma chère et précieuse épouse se rétablisse, je Te promets que je prendrai ces deux tourterelles et Te les offrirai en sacrifice.» Et sa femme se rétablit.
8 Quelque temps après, sa petite fille tomba malade, très gravement malade, elle faisait de la fièvre. Et il est allé sur le côté de sa maison et a prié, disant : «Seigneur, il ne me reste que mon agneau. Mais si seulement Tu laisses vivre mon enfant, je Te promets que je prendrai mon agneau et le donnerai en sacrifice sur l’autel.» Et comme l’histoire le dit, sa fille se rétablit.
Comme il était en route vers l’église pour offrir le sacrifice, il rencontra le sacrificateur. Et celui-ci lui demande : «Où vas-tu, l’aveugle Bartimée?»
Il répond : «Sacrificateur, je vais au temple de l’Eternel pour offrir mon agneau en sacrifice.»
Et le sacrificateur dit : «Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau. Je vais... Cet agneau est tes yeux. Je vais te donner l’argent pour t’acheter un agneau. Va aux stalles acheter un agneau et offre-le, car cet agneau-ci est tes yeux.»
L’aveugle Bartimée répond : «Je vous suis reconnaissant pour cette gentillesse que vous voulez bien me témoigner. Mais, voyez-vous, je n’ai jamais offert un agneau à Dieu, je Lui ai offert celui-ci.»
«Bien, dit-il, tu ne peux pas faire cela, car cet agneau est tes yeux.»
Il dit : «Oh! serviteur de l’Eternel, si seulement je tiens la promesse que j’ai faite à Dieu, Dieu pourvoira d’un agneau pour mes yeux.»
Combien c’est vrai! Si seulement nous tenions les promesses que nous faisons à Dieu, nos voeux, et nous nous conformions à notre conduite.
9 Et comme nous le voyons maintenant assis là sous ce chaud soleil, que va-t-il faire? L’hiver approche. Et peut-être qu’il n’y a pas de bois à la maison et d’autres choses dont il aurait besoin.
Et il s’est mis à penser à cette nuit qu’il – à ce songe qu’il avait eu, dans lequel il avait recouvré la vue. Et cela ramena des souvenirs de son enfance.
Vous savez, je crois qu’en ce jour dans lequel nous vivons, de temps en temps, avec ce tourbillon d’activités de la vie, cela nous fera à tous du bien si de temps en temps nous nous isolions, nous nous assoyions et nous nous mettions à penser à Dieu et à Sa bonté. Généralement, c’est quand nous pensons à Lui qu’Il apparaît. C’est quand ils pensaient à Lui et parlaient de Lui qu’Il est apparu parmi ceux qui étaient en route, de Jérusalem vers Emmaüs.
Et il s’est mis à penser à quelque chose comme ceci, que petit garçon, là sur les collines de Judée, où il y avait ces petites fleurs jaunes, que petit enfant, il avait l’habitude de sortir cueillir ces petites fleurs, et comme elles étaient jolies, particulièrement quand elles sortaient au printemps. Et comment il contemplait le ciel bleu, se demandant quelle était la distance jusqu’aux cieux. Mais depuis cette époque-là, ses yeux étaient empêchés de voir cela.
10 Il se souvint alors d’un autre fait marquant de son enfance, comment sa ravissante petite mère juive avait l’habitude de le prendre dans ses bras après qu’il avait pris son repas de midi, et elle s’asseyait sous la véranda de devant avec – et le berçait et – pour lui faire faire sa sieste, et elle lui racontait des histoires de la Bible au sujet du Grand Jéhovah Dieu, notamment comment Dieu avait délivré leur peuple de la servitude de l’Egypte, et l’avait amené dans ce grand pays où ils vivaient. Et il aimait beaucoup entendre ces histoires.
L’une de celles qu’il aimait beaucoup, c’était quand on pouvait s’imaginer que c’était juste au pied de la colline, au gué, que Jéhovah Dieu avait fait reculer le Jourdain et l’avait immobilisé jusqu’à ce que le vaillant Josué et l’armée d’Israël en marche aient traversé. Il aimait ces histoires sur la puissance de Dieu.
Et il y en avait encore une autre qu’il aimait beaucoup. Dans la Bible, il était parlé d’une – une femme, et c’était une femme sunamite. Et elle avait un petit garçon comme lui. Et sa maman lui racontait ces histoires, et ses petits yeux se fermaient tandis qu’ils contemplaient son beau visage...
11 Et alors dans cette histoire de la femme sunamite, le prophète Elie était un homme d’une merveilleuse gentillesse. Et cette Sunamite l’honorait comme un grand serviteur du Seigneur. Et elle était âgée et n’avait pas d’enfant, et le prophète l’avait bénie et lui avait dit qu’elle embrasserait un fils. Et au temps fixé, le petit garçon est venu.
Oh! Il aimait cette histoire, car elle parlait d’un petit garçon. Et combien ce petit garçon aimait son père. Et un jour dans le champ, pendant qu’on rassemblait le grain, le petit ami a dû attraper un coup de soleil. C’était vers midi, et il s’est mis à crier : «Ma tête! Ma tête!» Et le père ordonna qu’on amenât le petit garçon à sa mère. Et elle le garda sur ses genoux pendant quelques heures, et il perdit tout son souffle et mourut.
12 Et combien cette femme a dû être vraiment inspirée pour amener le petit ami jusqu’au lit du prophète et l’y étendre. Quel merveilleux endroit pour l’étendre!
Et comme elle avait une grande foi en Dieu, elle dit : «Selle une mule maintenant, pars, ne t’arrête pas, a-t-elle dit au serviteur, jusqu’à ce que nous arrivions auprès de l’homme de Dieu.» Elle se disait que si jamais elle parvenait à être en présence d’Elie, c’était lui qui lui avait dit que l’enfant viendrait, il pourrait alors certainement lui dire pourquoi Dieu avait repris l’enfant. Et j’aime moi-même cette histoire.
13 Et quand Elie l’a vue venir,... Dieu ne révèle pas tout à Ses prophètes. Il ne révèle à Ses prophètes que ce qu’Il veut qu’ils sachent. Il ne révèle pas tout à Son prophète.
Et ce grand prophète, Elie, bien qu’il était puissant et béni de Dieu, il a dit cependant... Le coeur de la femme était plein de chagrin, et Dieu le lui avait caché et ne lui avait rien dit à ce sujet. Et quand elle fut assez proche, il a dit: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Ton fils se porte-t-il bien?»
Maintenant, écoutez la femme. Elle a répondu : «Tout va bien.» Quelle foi! J’aimerais que Dieu nous donne une telle foi. Son enfant était étendu là, un cadavre, et son mari se tordait les mains et se tirait les cheveux, criant et pleurant à l’extérieur de la maison, et tous les voisins aussi pleuraient. Et la voilà, une mère à laquelle la mort avait arraché et pris ce qu’elle avait de plus cher, mais : «Tout va bien.»
Elle était près de l’homme qui représentait Dieu à cette époque-là. Il était le plus proche représentant de Dieu. «Tout va bien.» Alors elle a accouru et est tombée à ses pieds et s’est mise à lui dire ce qui était arrivé.
14 Et Elie dit à son serviteur, il dit : «Prends mon bâton et pars. Et si quelqu’un te salue, ne lui réponds pas. Continu simplement ton chemin et met le bâton sur l’enfant.»
Je crois vraiment que c’est là que Paul a eu l’idée des linges qui avaient touché son corps, car Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni, car l’Esprit de Dieu était sur lui.
Mais la foi de la femme n’était pas dans le bâton; elle était dans le prophète. Et j’aime sa détermination. Elle a dit : «L’Eternel est vivant et ton âme est vivante! Je ne te quitterai point.»
Ce soir, nous pouvons nous accrocher de cette façon au représentant de Dieu. Ce soir, si vous pouvez dire au Saint-Esprit : «Aussi certain que Tu es l’Esprit immortel de Dieu et que Tu m’as donné la promesse de ma guérison dans la Bible, je vais m’accrocher jusqu’à ce que je voie quelque chose arriver», des miracles se produiraient. Les boiteux ji–... – sauteraient et courraient, et demain, les – les médecins de Los Angeles seraient surpris de voir leurs patients guéris et bien portants.
15 Si seulement nous pouvons nous saisir de l’agent de Dieu. A ce moment-là, l’agent de Dieu, c’était Elie. Aujourd’hui, l’agent de Dieu, c’est le Saint-Esprit. Accrochez-vous à Lui. Si jamais vous entrez en contact et que vous sentez le Saint-Esprit sur vous, alors accrochez-vous à Lui. «Je ne Te quitterai pas.» Restez avec Lui comme Jacob l’a fait quand il a lutté avec l’Ange. «Je vais m’accrocher jusqu’à ce que Tu m’aies béni et m’aies donné les choses que je désire.»
Un merveilleux réveil n’éclaterait-il pas au Angelus Temple, et partout sur cette côte-ci, si les gens qui sont ici même ce soir ainsi que ceux qui suivent à l’antenne, adoptaient cette attitude vis-à-vis du Saint-Esprit ce soir: «Je vais rester avec Toi jusqu’à ce que je découvre la chose que je désire savoir»?
16 Et Elie comprit qu’elle était sous sa responsabilité. Il n’y avait rien d’autre à faire que de partir avec elle.
Et c’est là la seule condition, que vous restiez avec le Saint-Esprit. Restez sous Sa responsabilité. Il vous aime assez bien pour venir vers vous, vous bénir et vous sauver, alors restez sous Sa responsabilité. Ne vous souvenez-vous pas de l’enseignement de Jésus sur le juge inique? Ce dernier disait : «Je ne crains ni Dieu ni les hommes. Mais cette femme me tourmente en criant après moi nuit et jour.» A combien plus forte raison Dieu donnera-t-Il le Saint-Esprit à ceux qui crient après Lui nuit et jour?
Nous avons la foi pour croire que Dieu peut le faire et qu’Il le fera. Emparons-nous de cela et tenons bon. Ne laissez pas cela s’échapper. Restez avec cela. Si cela ne vient pas maintenant, cela viendra dix minutes plus tard, une heure plus tard, deux semaines plus tard, un mois plus tard – peu importe quand cela viendra, je tiens bon et je vais rester avec cela.
17 Elie ceignit alors ses reins et partit avec la femme. Et comme il arrivait à la maison, il n’avait pas un grand soutien spirituel, car les gens marchaient dans la maison en pleurant et en faisant beaucoup de bruit. Et Elie est entré, les a tous fait sortir et a refermé la porte derrière lui.
Eh bien, il n’a pas prié. Il a fait les cent pas dans la pièce, attendant que l’onction vienne sur lui, observant de travers ce petit corps froid de l’enfant étendu là, mais il a attendu que le Saint-Esprit le touche. Il marchait de long en large dans la pièce, et quand il a senti l’Esprit du Dieu vivant venir sur lui, il s’est étendu sur le petit enfant, a mis ses lèvres sur les siennes, son nez sur le sien, ses mains sur les siennes, et l’enfant éternua sept fois et revint à la vie. Il le remit à sa mère.
Quand le Saint-Esprit vient, le passage de la mort à la vie se produit. C’est ce qu’Il fait. Il fait passer de la mort à la vie, physiquement et spirituellement. Quand le Saint-Esprit vient, Il prend le cancer, le condamne et le chasse. Pour Sa gloire, Il prend la mort qui oeuvre dans votre corps et la condamne pour épargner votre vie. Quand le Saint-Esprit descend, Il prend le pécheur qui était loin de Dieu, loin de Christ, et sujet de l’enfer, Il le nettoie de toute injustice et fait de lui un fils du Dieu vivant.
18 Oh! Cela a fait frémir le coeur du petit garçon, d’entendre ces histoires. Oh! Ensuite je vois, il entend un bruit approcher. Il se lève de sa pierre. Qu’est-ce? C’est comme le bruit des sabots d’une petite mule. «Oh! Ça doit être un riche. Je vais sortir rapidement pour demander à cette gentille personne une pièce de monnaie.» Et il entend un coureur marcher devant la petite mule en la conduisant, comme ses petites pattes résonnaient sur le pavé qui mène de – à Jérusalem.
Il courut là, vêtu de ses haillons, et il dit : «S’il vous plaît, gentil monsieur, voudriez-vous bien me donner une pièce de monnaie? Je suis ici, affamé. Je suis aveugle et je me suis levé tard, ce matin. J’ai rêvé toute la nuit que j’allais recouvrer ma vue. Et je me suis réveillé en retard. Et tout le monde est passé. Auriez-vous la gentillesse de me donner une pièce de monnaie?»
J’entends une voix venir de la personne assise à califourchon sur la mule qui dit : «Hors de mon chemin, aveugle. Mendiant, je n’ai pas le temps de m’arrêter pour toi, ce matin. Je suis un serviteur du Seigneur. Je suis un sacrificateur qui vient de Jérusalem. Et si j’ai bien compris, un prophète fanatique du nom de Jésus de Nazareth sera dans cette ville aujourd’hui. Mais nous ne voulons pas d’une campagne de guérison ici. Je suis venu réunir l’association de tous les sacrificateurs de Jéricho pour stopper cette histoire avant même qu’elle ne commence. Ecarte-toi donc, mendiant.»
19 La petite mule continue avec l’homme. Le mendiant rentre retrouver sa pierre. Il doit avancer, dirons-nous, de deux ou trois pierres, car le soleil monte de plus en plus. Et pendant qu’il est là assis, il pense à cette histoire. «Oh! Si seulement j’avais pu vivre aux jours d’Elie, le prophète! Quel temps glorieux cela a dû être! Si j’avais vécu en ce jour-là, vous savez, je crois que je serais allé chez Elie, et il aurait prié pour moi, et Dieu aurait ouvert mes yeux aveugles. Mais, hélas, tous les sacrificateurs nous disent que les jours des miracles sont passés, que les prophètes et – et les miracles n’existent plus.»
«Mais je me demande pourquoi ce grand Dieu qui a pu créer les cieux et la terre, qui a pu ouvrir la mer Rouge, qui a pu accomplir ces miracles à travers Ses serviteurs... pourquoi sommes-nous incapables de faire ces choses aujourd’hui? Mais ce sont eux qui sont instruits. Ils disent que ces jours sont passés et révolus depuis longtemps.»
20 Il se souvient alors que ce même prophète Elie avait descendu cette même rue pavée – ou plutôt cette route, en compagnie d’Elisée, bras dessus bras dessous, se rendant au Jourdain (à cinq cents yards [environ 457 m – N.D.T.] de là où il était assis) pour ouvrir ce dernier.
Oh! je puis l’imaginer qui se dit : «S’il pouvait se faire que j’entende le bruit de leurs pas descendre cette route maintenant, j’accourrais très vite là et tomberais à côté d’eux et dirais : ‘Ô grands prophètes de l’Eternel Dieu, je crois que vous êtes des serviteurs de Dieu. Offrez une petite prière pour moi et Dieu me rendra la vue.’» En effet, cela faisait des années qu’il n’y en avait plus. Les jours des miracles étaient passés.
Il se mit alors à penser à quelque chose d’autre : après que Josué avait traversé le Jourdain (qui était ouvert par la main de Dieu), un jour, juste avant qu’il ne soit près de s’emparer de Jéricho... Josué était un puissant guerrier. Et il faisait le tour des lieux, inspectant ces très hautes et imposantes murailles, se demandant comment il franchirait ces murailles pour mener son armée à la conquête du pays que Dieu avait promis. Dieu avait promis le pays, mais il devait combattre pour chaque centimètre de celui-ci.
21 Soeurs, dans ce fauteuil roulant, et sur cette civière, Dieu vous a promis la guérison. Vous devrez combattre pour chaque centimètre de celle-ci. Le diable fera que vous puissiez combattre avec l’Epée de Dieu pour chaque centimètre que vous – vous pourriez... Et, souvenez-vous, les pas représentent la possession. «Tout lieu que foulera ton pied, je te le donne.» Chaque pas que vous pouvez faire. Vous savez, cela fait que je me sente religieux. Les pas représentent la possession. Tout lieu, dans ce pays promis, que foulera votre pied vous appartient.
Et c’est pareil pour tout croyant, ce soir. Tout ce que vous pouvez prendre, chaque promesse divine de Dieu, réclamez-la, saisissez-la, ça vous appartient. Les empreintes de pieds...
Et alors, quand Josué était – n’était pas encore arrivé très loin... Il avait campé, et il était dehors et examinait la situation. Tout à coup, il regarda, et là se tenait un grand Guerrier avec son épée dégainée. Aussi Josué dégaina-t-il son épée et s’avança pour L’affronter. Il s’est donc arrêté et a dit : «Es-Tu des nôtres ou es-Tu pour notre ennemi?»
Et une voix répliqua, venant de Celui qui avait Son épée levée; Il dit : «Je suis le Chef de l’Armée de l’Eternel.»
Josué, le puissant guerrier, ôta son casque et le posa par terre.
22 L’aveugle Bartimée s’est dit : «Si seulement j’avais pu m’asseoir à cette porte quand ce grand Chef de l’Armée de l’Eternel S’est tenu là, j’aurais obtenu ma guérison. Si seulement j’avais su que Sa Présence était là.»
Il ne savait guère qu’à moins de deux cents yards [environ 183 m – N.D.T.] de lui, juste à cet instant-là, arrivait ce même Chef de l’Armée, le Seigneur Jésus, le Chef de l’Armée de l’Eternel. Alors, tout à coup, il y eut un bruit. N’est-ce pas très curieux que, là où est Jésus, il y ait généralement beaucoup de bruit?
Et nous les entendons franchir les portes en criant, certains en poussant des cris: «Hosanna à Celui qui vient au Nom du Seigneur.»
D’autres en disant : «Ô Toi puissant prophète de Galilée», et d’autres en disant : «Qu’on L’emmène! C’est un sorcier. C’est Béelzébul. Il ne fait que séduire les gens. C’est un spirite. C’est un liseur de pensées. Qu’on emmène, cet hypocrite.» Et les gens lui lançaient des légumes pourris, je crois. Je l’entends dire, comme les uns disaient une chose et les autres une autre, et – et la grande ruée qui venait...
Et, savez-vous que là où Se trouve Jésus, il y a généralement une multitude de gens de toute espèce, comme ça? Ça a toujours été ainsi. Il y a une multitude de gens de toute espèce : les uns pour Lui, et les autres contre Lui.
23 Et Il vient en marchant. Je Le vois marchant tranquillement, un petit être d’apparence frêle, pendant qu’Il avançait le long de la route et que certains criaient une chose ou l’autre. Et tout à coup, une voix acerbe que l’aveugle Bartimée peut distinguer s’élève. C’est le même sacrificateur qui lui a parlé quelques heures auparavant. Il dit : «Dis, Toi le guérisseur divin qui a accompli ce tour sur cet homme du nom de Lazare, si Tu es le guérisseur divin qui peut ressusciter les morts, nous en avons ici tout un cimetière plein. Viens en ressusciter quelques-uns.»
Vous savez, cela fait longtemps qu’ils sont morts. Mais cet esprit vit encore aujourd’hui. «Si tu peux guérir, fais ceci. Si tu peux faire autant, fais ceci.» Dieu ne peut pas oeuvrer dans le sens contraire à votre foi. Vous devez croire la chose. Si vous croyiez, vous ne poseriez pas de telles questions.
C’est la même personne qui a dit à la croix : «Si tu es le fils de Dieu, descends et nous Te croirons.» C’est le même gars qui L’a rencontré dans le désert et qui a dit : «Si Tu es le fils de Dieu... Si Tu es... Et c’est Toi le grand faiseur de miracles, laisse-moi Te voir accomplir un miracle ici devant moi, alors je le croirai.»
Dieu ne fait pas le clown pour les gens. Il poursuit un but quand Il accomplit des choses. Dieu ne fait pas les choses juste au hasard ou pour faire plaisir aux incroyants. Il fait Sa volonté pour accomplir Ses promesses.
24 Et pendant que je le vois assis là, il a fait un mouvement pour se lever, mais la foule l’a bousculé et il tomba sur ses genoux; il dit : «Pourquoi toute cette agitation? Qui est en train de passer?»
Et certains d’entre eux l’ont fait reculer en disant : «Assieds-toi.»...
Et finalement, je vois une bonne dame se pencher sur le vieux mendiant aveugle, pour le remettre en quelque sorte sur ses pieds. Et il demande : «Gentille dame, auriez-vous la bonté de – et la gentillesse de me dire ce que signifient toute cette ruée et toute cette agitation?»
– Oh! répondit-elle, monsieur, peut-être que vous ne comprenez pas. C’est ce Prophète galiléen qui passe.
– Quel Prophète galiléen, ma très aimable dame? Quel Prophète galiléen? Je n’ai jamais entendu parler d’une telle Personne.
– C’est Jésus de Nazareth, le Fils de David. Connaissez-vous les Ecritures, monsieur l’aveugle?
– Oui, je connais les Ecritures. J’étais assis ici sous ce soleil brûlant pensant au Grand Jéhovah Dieu.
– Eh bien, cet Homme qui passe c’est Jésus de Nazareth, Son Fils, Il guérit les malades et accomplit de si bonnes choses pour les gens.
«Oh! vous ne voulez pas me dire que c’est le Fils de David? Maintenant Il est trop loin sur la route. Je n’arriverai pas à traverser cette foule.» Il était – Il était à près de cent yards [environ 91 m – N.D.T.] sur la route, et à ce moment-là, à peut-être deux cents yards [environ 183 m – N.D.T.] sur la route. «Comment y arriverai-je? Mais s’Il est le Fils de David, l’Esprit de Dieu est en Lui. Et puisqu’Il est le Fils de David, Il peut entendre mon cri.» Et il crie : «Ô Jésus, Toi Fils de David, aie pitié de moi!»
25 Eh bien, il se pourrait que Jésus ne l’ait pas entendu, physiquement, car tout le monde criait l’une ou l’autre chose. Mais qu’était-ce? Sa foi L’avait touché. Et Il S’arrêta.
Souvenez-vous, Il était en route pour Jérusalem pour être offert en sacrifice pour les péchés du monde. Et le fardeau du monde entier reposait sur Ses épaules. Et malgré tout cela, les cris de part et d’autre, malgré cela, la foi d’un insignifiant mendiant aveugle a fait qu’Il S’arrête sur Son chemin.
La foi d’un individu, d’une petite personne insignifiante ici dans ce bâtiment ce soir Le fera descendre de la gloire jusqu’ici dans ce bâtiment pour prouver qu’Il est toujours le Fils de David, le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Peu importe combien vous êtes pauvre, la couleur de votre peau, ce que vous êtes, ça importe peu. Il S’arrêtera au moindre cri de la foi.
26 – Toi, Fils de David, aie pitié de moi!
Jésus S’arrêta et dit : «Amenez-le ici.» Que se passait-il? Il dit : «Que désires-tu que je fasse?»
Il répondit : «Que je puisse recouvrer la vue!»
Jésus dit : «Eh bien, ta foi t’a déjà guéri!» Qu’était-ce? Dieu avait pourvu à un Agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée.
Il a été pourvu au même Agneau ce soir pour chaque personne spirituellement ou physiquement aveugle dans ce monde, qui a assez de foi pour crier du fond du coeur : «Toi, Fils de David, aie pitié de moi!» Il ôtera le cancer. Il ôtera la maladie, la cécité, tout ce qui ne va pas chez vous. Juste le moindre cri, Dieu a pourvu à l’Agneau, le même hier, aujourd’hui et pour toujours.
27 C’est la foi de cet homme qui L’avait arrêté. C’est la foi de la femme au – elle se fraya un chemin à travers la foule et toucha Son vêtement, et Il Se retourna.
C’est le même Jésus qui a pu dire à Simon quel était son nom et quel était le nom de son père. C’est le même Jésus qui a pu voir derrière la montagne, à quinze milles [environ 24 km – N.D.T.], et dire à Nathanaël avant que ce dernier ne vienne à la réunion : «Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre.» C’est le même Jésus qui a vu la prostitué au puits, qui l’a regardée en face et qui a dit : «Va chercher ton mari et viens ici.»
Quand elle a répondu : «Je n’ai point de mari...»
Il a dit : «C’est exact, tu en as eus cinq.»
Alors, elle a dit : «Seigneur...»
Ce n’était pas comme les sacrificateurs de ce temps-là, eux disaient qu’Il était Béelzébul, un diseur de bonne aventure, un esprit démoniaque. «Ces choses sont accomplies par un esprit impur.»
Mais cette petite femme a dit : «Seigneur, je vois que Tu es un prophète. Nous savons, nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie viendra, ceci sera le signe qui accompagnera le Messie, car Il nous dira toutes choses. Il sera le Dieu-Prophète dont Moïse avait dit qu’Il sera suscité. Et Tu dois être Son serviteur. Mais nous savons que quand le Messie viendra, Il nous dira toutes choses. Mais Qui es-Tu?»
C’est cette Voix-là qui pouvait dire : «Je le suis.»
Et elle entra dans la ville en courant et en disant : «Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites.»
Et le témoignage de cette petite femme mit toute la ville en émoi, si bien que les hommes crurent au Seigneur Jésus. Mais à ce moment-là Il n’a guéri personne. Il a envoyé Philippe guérir les malades après Sa résurrection.
28 Ce même Jésus peut venir au Angelus Temple ce soir, avec la même puissance de Sa résurrection. Et votre foi peut L’appeler sur la scène, si seulement vous voulez Le laisser le faire. En effet, Il est l’Agneau de Dieu qui a été immolé depuis la fondation du monde, qui guérit toutes nos maladies et pardonne tous nos péchés.
Inclinons la tête pour Lui parler.
Seigneur, comment exactement pourrions-nous Te parler, Seigneur, de manière à avoir le – le vocabulaire qui nous permet d’exprimer les sentiments de nos coeurs? Combien nous T’aimons et Te sommes reconnaissants! Nous qui sommes témoins de la puissance de Ta résurrection, nous à qui Tu es cher, nous prions, ô Dieu, que Tu viennes maintenant même. Un seul mot de Ta part vaudra plus que ce qu’on pourrait dire dans un million de vies, car l’homme peut dire tout ce qu’il désire; mais un seul mot de Ta part, ô Seigneur, confirmera que Ta Parole est vraie.
Nous voulons donc Te demander, Seigneur, de bien vouloir sauver chaque personne ici présente. Et si nous avons trouvé grâce à Tes yeux, pour notre foi... Ce n’est pas parce que nous sommes si saints, nous ne confessons pas cela. Mais nous confessons que nous avons foi en Celui qui est saint, et nous avons confessé nos péchés et demandé pardon, et nous avons eu sur nous le témoignage du Saint-Esprit. Nous sommes justifiés par Ses oeuvres.
Nous demandons, Seigneur, de bien vouloir venir parmi nous maintenant. Prends notre foi, toute celle que nous pouvons – pouvons rassembler. Que le glorieux Saint-Esprit vienne et continue les oeuvres du Seigneur Jésus, ce précieux corps qui est assis à Ta droite ce soir en tant que Souverain Sacrificateur, pour faire intercession sur base de notre confession. Sauve les perdus et guéris les malades. Nous le demandons au Nom de Jésus.
29 Et pendant que nous avons la tête inclinée, avant qu’une chose visible ne soit faite, combien dans cette grande assemblée, ce soir, voudraient lever la main vers Dieu et dire : «Ô Dieu, j’ai pensé à Toi tout au long de la journée. Approche-Toi de moi maintenant; j’ai besoin de Toi.» Voulez-vous simplement lever la main vers Lui? «J’ai besoin de Toi, Seigneur. Approche-Toi de moi.» Que Dieu vous bénisse.
Y aurait-il quelqu’un ici qui n’est pas tout à fait en ordre avec Dieu et qui dirait : «Seigneur, je crois maintenant; avant même que je ne Te voie faire une seule chose, je voudrais que Tu sois miséricordieux envers moi. J’ai fait ce qui est mal, et je vais maintenant même Te confesser mes péchés. Aie pitié de moi.» Levez la main, le voulez-vous bien? Que Dieu vous bénisse, vous, vous (Oh! la la!), des douzaines de mains partout dans le bâtiment, au balcon.
30 Seigneur, avant même qu’ils ne voient une action de Ta part, que ce petit message un peu haché, le Saint-Esprit S’est approché, le Chef de l’Armée de l’Eternel... Maintenant, apporte Toi-même la preuve, cher Seigneur, en accomplissant des miracles et des prodiges juste comme Tu l’as fait avant Ta crucifixion, et ces gens vont vite Te recevoir comme leur Sauveur. Nous Te remettons le service maintenant, Seigneur. J’ai parlé de Toi, maintenant, Toi, parle, Seigneur, et confirme que ce que j’ai dit est la vérité si Tu juges bon de le faire ce soir, Seigneur. Je le demande au Nom du Seigneur Jésus. Amen.
31 Notre soeur qui est au piano... Bon, vous qui avez levé la main il y a juste un moment, je vous aurais appelé juste maintenant. Mais, étant donné que j’ai fait cela dans un but... Je ne sais pas trop pourquoi, j’éprouve un sentiment étrange ce soir, je sens que le Saint-Esprit est – est ici ce soir. Je sens cela comme une expectative en vue de recevoir quelque chose qui reste suspendu sur cet auditoire. Oh! quelle soirée ça pourrait être! Le Saint-Esprit, je suis – je suis sûr qu’Il est ici. J’en suis certain. Et si vous pouvez simplement vous saisir de Lui maintenant et dire : « Ô Agneau, Tu es aussi Celui qui était immolé pour moi. Je m’accroche maintenant à Toi pour ma guérison, pour mon salut», pour tout ce dont vous avez besoin.
Bon, Il a envoyé des dons dans l’Eglise. Les uns sont des apôtres. Apôtre et missionnaire, c’est un même mot qui signifie «un envoyé». Pourquoi le missionnaire – voulait être appelé uniquement un – un missionnaire, je ne sais pas pourquoi. En effet, missionnaire et apôtre signifient tous les deux «un envoyé». Missionnaires ou – prophètes, apôtres, prophètes, docteurs, évangélistes et pasteurs, ce sont là les offices de l’Eglise. Et ces offices doivent être vivifiés par le Saint-Esprit, non pas établis par un homme, mais établis par le Saint-Esprit dans chaque église. Des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes, des pasteurs... ce sont des offices que Dieu a établis dans l’Eglise. L’homme n’a rien à voir avec cela. C’est Dieu qui les a placés dans l’Eglise.
32 Oh! nous avons bien sûr des imitations, et ainsi... Je ne dis pas cela pour critiquer, mes amis. Ne – ne me comprenez pas mal. Mais je veux dire qu’en ce jour où nous avons un évangile social qui est beaucoup prêché, c’est devenu juste de la routine que d’aller à l’église, et (cela) c’est mauvais.
Dieu vit dans Son peuple. Il est vivant, Il oeuvre parmi Son peuple, Il est ressuscité, Il appelle Son peuple à sortir, et Il lui fait la cour. Et ces véritables offices de Dieu rendent témoignage de la même chose, parce qu’ils sont remplis de Son Esprit qui était – qui vécut sur la terre dans une chair humaine, dans le corps de Jésus, lequel est assis à la droite de Dieu maintenant pour faire l’intercession, et Son Esprit est ici bas, agissant parmi Son peuple. Béni soit Son saint Nom. Il agit dans Son peuple, une Eglise vivante, remplie de Son Esprit, tous Ses dons et Ses prodiges oeuvrent parfaitement dans le Corps...
33 Cela devrait amener chaque homme à chercher à venir maintenant même, quand nous voyons que presque tout peut arriver en une... Avant que ce service se termine ce soir, nous pouvons tous nous retrouver dans l’éternité. Une bombe à hydrogène pourrait frapper Los Angeles. Et sans doute «Los Angeles» se trouve mentionné en ce moment sur l’une d’elles quelque part dans un hangar, là à l’Est. Vous savez cela. Ils ont fixé un temps pour chaque ville des Etats-Unis, et il y a une bombe à retardement prévue pour chacune d’elles. Il suffit qu’on appuie une seule fois, c’est fait.
Ils ont une bombe qui va faire une excavation de 177 pieds [environ 54 m – N.D.T.] de profondeur sur une étendue de 100 miles carrés [environ 160 m2 – N.D.T.]. Où allez-vous vous abriter contre cela? Eh bien, la secousse atteindrait la – la couche volcanique. Le choc briserait chacun des os de votre corps si vous pouviez descendre à 100 pieds [environ 31 m – N.D.T.] sous terre. Vous ne pouvez pas vous cacher. De toute façon, nous, nous n’allons pas dans cette direction-là, nous allons dans cette direction-ci, comme ceci vers le haut.
34 Ainsi, mes chers amis, au temps biblique, de la dernière église, avant que Dieu ne détruise Sodome avec le feu et le soufre, Il vint vers Son Eglise, Son Eglise élue. Il envoya deux ministres pour prêcher là à Sodome. Mais Il vint vers Son Eglise élue dans Son – dans un bo–...[Espace non enregistré sur la bande – N.D.E.]
Jéhovah Dieu a fait cela. Et Il S’assit avec Son dos tourné à la tente, parlant à Abraham. Et Il dit : «Je ne vais te cacher aucun secret, Abraham. Tu as attendu cette promesse. Et le mois prochain, Je vais t’apparaître quand ce sera le temps de la vie pour Sarah.» Et Sarah, dans la tente, rit en elle-même. Et l’Ange dit : «Pourquoi Sarah a-t-elle ri?» Et la Bible dit qu’Il avait le dos tourné à la tente. Qu’a-t-Il fait? Il discerna son esprit. Qu’était-ce? Ce signe fut donné juste quelques heures avant que Sodome ne soit brûlée. C’est ça le dernier signe.
35 Qu’a-t-Il fait juste avant qu’Il ne vienne vers les Siens, les Siens qui ne L’ont pas reçu? Il vint et dit à Pierre qui il était. Il dit à Nathanaël d’où il venait. Il parla à la femme au puits. Il l’a fait devant les Juifs et les Samaritains, mais pas une seule fois devant les Gentils, pas une seule fois. Pourquoi? Il a dit que cela viendrait.
Et maintenant c’est la fin de l’âge des Gentils. Nous sommes à la fin. Nous avons eu des signes et des prodiges dont les miracles de la guérison, des évangélistes, et la puissance, et ainsi de suite; mais quel est le dernier signe? Dieu est infini. Et s’Il fait une chose une fois, Il doit la faire encore si les mêmes circonstances se présentent, Il doit faire la même chose. C’est la fin de l’âge des Gentils. Bon, tout ceci c’est les Ecritures. Bon, si c’est la vérité, cela va-t-il marcher? Que Dieu accorde cela.
36 A-t-on distribué des cartes de prière aujourd’hui? On va prendre K? K. Très bien. Nous ne pouvons pas faire se lever beaucoup de gens à la fois. K numéro 1, qui l’a? Carte de prière K numéro 1, voudriez-vous lever la main? Si on peut éteindre la grande lampe du balcon. K numéro 1, voudriez-vous lever la main? K numéro 2, voudriez-vous lever la main? C’est juste ici. Venez ici, madame, juste par ici. Numéro 3, levez la main. Très bien, par ici, la dame qui se trouve ici. Numéro 4, levez la main. Numéro 5, levez la main. Très bien, juste ici. Venez juste par ici. Numéro 6, vous avez le K numéro 6? Très bien. Si vous ne pouvez pas la faire se lever de la chaise, laissez-la simplement assise; il n’y a pas d’inconvénient, même si elle est dans la ligne de prière. Il n’y a pas d’inconvénient. Faites-moi simplement signe quand le 6 sera appelé. K numéro 7, levez la main. K numéro 8, levez la main. 9, levez la main. 10, levez la main. 11, 12, 13, 14, K-14? 15, 16, 17, 18, continuez simplement à avancer. 18, 19, 20.
37 Avez-vous remarqué qu’hier soir dans la salle, comme le – le discernement semblait continuer, les gens ont semblé se précipiter. Mais s’ils – s’ils ne s’étaient pas précipités, eh bien, alors à ce moment-là l’Esprit de discernement serait venu. Cela les amène à se précipiter. Certainement, cela l’aurait fait.
Je voudrais parler juste un moment à l’auditoire. Mon ministère est pour l’église un signe un peu plus récent que l’imposition des mains. L’imposition des mains est une pratique juive. Quand la fille de Jaïrus mourut, Jaïrus dit à Jésus : «Viens lui imposer les mains.» Mais quand le Romain, un Gentil, quand son serviteur tomba malade, il dit : «Je ne suis même pas digne que Tu viennes sous mon toit, prononce tout simplement la Parole.» C’est ça.
Maintenant, nous avons eu le signe de l’imposition des mains tout du long pendant deux mille ans. Mais maintenant, nous sommes à la fin de l’âge. Il y a quelque chose de différent maintenant. Mon ministère est de – est ceci – opère par un Esprit de discernement, afin que cela puisse manifester la présence de Jésus-Christ, cet Agneau au sujet duquel nous parlons et qui a été immolé.
38 Bon, combien savent qu’il n’y a personne sur terre qui puisse vous guérir? Vous savez cela. Personne ne peut vous guérir. Si c’est le cas, alors les Ecritures ont tort. Et Psaumes 133 dit : «Je suis l’Eternel qui te guérit de toutes tes maladies.» Ainsi, vous voyez donc qu’il n’y a personne qui puisse vous guérir. C’est Dieu qui guérit.
Voulez-vous mettre la soeur dans la ligne? Qu’est-ce qu’elle avait là? Le 6 ou le 7, n’est-ce pas, ou quelque chose comme ça? Que dites-vous? Le numéro 6. Très bien. Si vous voulez rester juste là, eh bien, il n’y a absolument aucun... Que dites-vous? Tout ce que vous voulez, vous pouvez la mettre dans la ligne ou la laisser là. Quand arrivera le tour du numéro 6, j’irai prier pour elle. Très bien, monsieur, restez simplement là. Très bien, monsieur. Très bien, monsieur.
Très bien. Et vous tous qui êtes sur vos chaises et autres, et qui ne pouvez pas vous lever comme cela, qui êtes simplement assis là, il n’y a absolument aucun inconvénient.
39 Bon, le ministère consiste à révéler le Seigneur Jésus, Sa Présence. Si – si donc Dieu a promis cela, et qu’Il tient cette promesse, combien cela est plus surnaturel et plus glorieux que la guérison d’une personne! Combien savent cela? Eh bien, assurément.
Cela pourrait être un – un petit cas de... Si vous étiez un estropié ou un boiteux, et que vous étiez peut-être assis et essayiez, vous pourriez vous lever et peut-être faire quelques pas; mais de voir quelque chose de si surnaturel, qui entre dans la vie de cette personne, fait connaître des choses et révèle les secrets du coeur, cela donne la preuve de Sa Présence. C’est vrai.
Alors vous devriez croire, chacun de vous. Et le groupe tout entier pourrait être guéri au même moment. Croyez-vous cela? Croyez-vous tous cela? Levez la main, vous tous qui croyez cela.
N’ajoutez plus des gens dans la ligne de prière, maintenant. Je voudrais voir à quel point vous croyez cela. Viens ici, Billy. Arrête la ligne de prière et viens ici une minute. Viens.
40 Combien dans cet auditoire n’ont pas de cartes de prière, mais vous croyez que Jésus-Christ va vous guérir? Regardez de ce côté-ci et priez. La Bible ne dit-Elle pas qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos faiblesses? Et si vous Le touchez, Il agira de la même façon qu’Il a agi quand Il était ici sur terre, s’Il est le même Souverain Sacrificateur. Bon, regardez de ce côté-ci et croyez de tout votre coeur. Ayez la foi.
Combien de gens as-tu dans la ligne maintenant? Vingt? C’est assez maintenant. Fais-les avancer.
Bon, tenez-vous là juste un moment, madame. Cette femme, je crois que je ne l’ai jamais vue. Je crois que nous sommes étrangers l’un à l’autre. Bon, c’est vrai. Nous – nous avons tous les deux levé la main pour montrer que c’est notre première rencontre. L’auditoire visible peut voir cela. Et vous, l’auditoire radiophonique, nous avons ici une très grande foule ici au Angelus Temple, ce soir, et il y a des malades partout, vous qui êtes dans les régions où l’on suit par radio.
41 Quand Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est apparu ici dans ce dernier jour, chez les Gentils comme Il avait promis de le faire... Il devra manifester le signe du Messie, Sa résurrection; juste comme Il l’a fait quand Il était ici dans Son corps physique, Il est ici maintenant dans le Corps de chair de Son Eglise quand nous sommes unis dans la prière et que le Saint-Esprit est présent.
C’est comme Paul, quand il a baissé les yeux, il a dit : «Je vois que vous avez la foi pour être guéri.»
Quand Il était dans ce petit bateau ce soir-là, et que le bateau était ballotté, et que dix mille démons avaient juré de noyer Paul, et chaque petit éclair venait avec un démon furieux au-dessus de la vague... Et en outre, l’Ange du Seigneur est venu vers Paul, et Paul est sorti en courant et a dit : «Prenez courage. Car l’Eternel Dieu dont je suis le serviteur a envoyé Son Ange qui m’est apparu; aucun d’entre nous ne sera perdu.» Il savait de quoi il parlait. Le même Jésus vit ce soir.
42 Voici une femme qui est une parfaite étrangère. Je ne connais rien d’elle, je ne l’ai jamais vue de ma vie, et elle ne m’a jamais vu. Nous avons tous les deux les mains levées pour montrer que nous ne nous sommes jamais rencontrés l’un l’autre. Et voici la Parole de Dieu, posée sur ce pupitre sacré.
Vous avez dit que si Jésus est le même, Il agira de la même manière et fera la même chose, car la Bible dit qu’Il est le même.
Voici un homme et une femme, juste comme dans saint Jean 4, quand Jésus, notre Seigneur, a rencontré cette femme au puits, et Il ne l’avait jamais vue auparavant. Elle avait un problème. Et Il lui a parlé juste une minute jusqu’à ce qu’Il a saisi son esprit et Il lui a dit quel était son problème. Et aussitôt que son – son problème lui a été révélé, elle a dit : «Je vois que Tu es un prophète. Et nous attendons que le Messie vienne faire ces choses.» Que tous ceux qui, dans cet auditoire visible, savent que c’est la vérité, disent «amen». [L’assemblée dit : «Amen» – N.D.T.]
43 Jésus a donc dit : «Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez, car Je (un pronom personnel), Je serai avec vous et même en vous jusqu’à la fin du monde.»
Si donc je vous disais que j’avais l’esprit de John Dillinger, le hors-la-loi, vous vous attendriez à ce que j’aie des armes à feu et que je sois méchant. Si je disais que j’avais l’esprit d’un artiste, vous vous attendriez à ce que je sois capable de peindre un tableau comme le ferait un artiste.
L’Esprit de Christ est dans l’Eglise; Il fera les oeuvres de Christ. Il le doit; c’est le même Esprit.
Bon, je suis un homme, un pécheur sauvé par grâce. Mais par un don divin... Bon, si cette femme est malade, je ne le sais pas. Je ne sais pas, je n’ai aucune idée de ce pour quoi elle se tient ici. Je n’ai rien pour connaître cela. Je ne sais pas qui elle est, d’où elle vient, rien, et... Oh! comment... Elle pourrait avoir des problèmes financiers. Elle pourrait avoir des problèmes spirituels. Elle pourrait avoir des problèmes physiques. Je ne sais pas. Mais si Dieu me révélait cela à son sujet, combien croiraient alors de tout leur coeur? Très bien. Soyez respectueux, maintenant.
44 Tenez-vous simplement là, madame. Vous, soyez juge. Et puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions. Car ceci, juste maintenant, la Parole qui vient de Dieu pourrait prouver si j’ai dit la vérité ou non. C’est vrai. Il est donc capable de faire cela. Le fera-t-Il ou pas, ça, je l’ignore.
Mais je vois que vous avez été examinée par un médecin. Et c’est un calcul, un calcul de la vessie, un calcul rénal ou quelque chose comme cela. C’est vrai, c’est un calcul. C’est tout à fait vrai. Et il pense que vous devriez être opérée pour cela. Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous maintenant?
Maintenant, c’est pour que cela puisse ôter chaque supposition afin que les critiqueurs n’aient pas la possibilité de critiquer. Bon, soyez prêts, et si quelque chose d’autre est dit à cette femme, je ne dis pas qu’Il le fera, mais si c’est le cas, alors réjouissez-vous simplement et saisissez ce Saint-Esprit qui est dans cet édifice maintenant même, et accrochez-vous-Y. Et vous qui êtes là-bas dans les régions où l’on suit par radio, faites de même.
45 Je ne sais pas ce que je vous ai dit. Mais quoi que ce fût, c’était la vérité. Je me souviens que vous avez levé la main. Vous voyez, c’est un autre – c’est un autre monde. C’est le domaine de l’Esprit dans lequel vous entrez pour voir quelque chose qui s’est passé. Oui. Je vois cela revenir encore, un homme plutôt fort, il fait l’examen : calcul de la vessie. C’est vrai. Et les calculs dans les reins exigent une opération. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous êtes de l’Est. Phoenix. Phoenix, dans l’Arizona. Oui. Et si Dieu me disait quel était votre nom, cela va-t-il – va-t-il vous aider? Madame Rose Wagner, vous pouvez rentrer à la maison maintenant et être guérie. Que Dieu vous bénisse. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.
Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Cela devrait régler la question. C’est le glorieux Saint-Esprit qui est dans l’édifice, la promesse de Jésus-Christ qui est en train de s’accomplir. Cela devrait faire que chacun de vous s’accroche à Dieu et dise : «Oui, Seigneur, je sais que Tu es ici. Je vais m’accrocher maintenant. Je ne vais pas Te laisser partir. Je serai comme la Sunamite envers Elie. Je vais m’accrocher jusqu’à ce que j’obtienne le désir de mon coeur.»
46 Voici une petite dame qu’on a aussi amenée ici. Nous sommes étrangers l’un à l’autre, je suppose. Dieu nous connaît tous les deux. Si Dieu peut révéler, pendant que le Saint-Esprit est présent, les choses – quelque chose dont vous savez que je ne sais rien; puisque je ne vous ai jamais vue, et je ne vous connais pas, eh bien, alors, ça doit être quelque chose de surnaturel.
Cette femme continue à apparaître, celle qui était sur l’estrade il y a juste quelques minutes. Où est-ce qu’elle est partie, celle qui était guérie? Une femme... Oh! est-ce elle qui se tient là tout derrière dans l’auditoire? Regardez de ce côté-ci, je vous vois toujours debout ici. Oui, c’est quelque chose dans votre coeur pour lequel vous êtes en train de prier. C’est votre frère. Il a une maladie de coeur, et il est là à côté de vous. Mais il n’est pas de l’Arizona. Il se fait que vous en avez parlé ici à l’estrade, de l’Arizona. Il n’est pas de l’Arizona, il est de l’Indiana – Indianapolis, dans l’Indiana. Rentrez à la maison, monsieur, Jésus-Christ vous guérit.
Voyez-vous le Saint-Esprit? L’homme ne... Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement... Accrochez-vous à la main immuable de Dieu et à Ses promesses, et vous pourrez obtenir ce que vous avez demandé. C’est la grâce et la bonté de Dieu. Que Tu es grand, Seigneur! Que Tu es grand! Il est toujours vivant, mille neuf cents ans après. Et quand il n’y aura plus de lune, ni d’étoiles, ni de mondes, Il sera toujours vivant, et Ses sujets seront avec Lui, toujours vivants. Oh! nous entrons dans l’éternité. Personne ne peut expliquer ce qu’est l’éternité. C’est pour toujours, plus que pour toujours; «pour toujours», c’est un laps de temps. C’est l’infini.
47 Si Dieu me révèle cela, madame, vous qui êtes debout ici, ce qu’est votre problème... Je n’avais pas l’intention d’être rude, mais il y a toujours cette femme, cette autre femme qui se tient là, une femme aux cheveux roux, pour ainsi dire. Et vous êtes une femme aux cheveux gris. Vous voyez, je sais qu’il y a une différence entre vous. Et c’était quelque chose d’autre dans son coeur qui n’était pas totalement satisfait. Et puis, il y a cet homme qui continue à apparaître. Et j’ai vu qu’il y avait quelque chose en rapport avec cela, que...
Mais si le Seigneur me révèle ce qu’est votre problème, ou quelque chose sur – croirez-vous que je suis Son prophète ou Son serviteur? Vous avez une maladie de coeur. Le médecin dit que c’est une insuffisance cardiaque. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous maintenant? Bon, un instant. Il y a quelque chose d’autre dans le coeur de cette femme. Elle se fait des soucis au sujet de quelqu’un d’autre, en effet, une – une petite fille est apparue à côté d’elle. C’est vrai, n’est-ce pas? Bon, observez juste un instant, et voyez ce que le Saint-Esprit va dire. Oui, c’est une fille, c’est sa petite-fille. Et elle est dans une sorte d’école, elle a des crises. C’est vrai. C’est la vérité. Voici une autre chose dont vous avez besoin. Vous avez toujours voulu marcher plus près de Dieu. Vous ne marchez pas vraiment bien avec Lui maintenant. Et votre mari aussi a besoin de marcher plus près de Dieu, il se trouve juste là derrière. C’est vrai. Très bien, croyez simplement de tout votre coeur et vous marcherez tous près de Dieu, et Dieu va délivrer votre petite-fille et la guérir. Croyez maintenant et rentrez à la maison. Et que Dieu soit avec vous et vous bénisse. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Remercions le Seigneur. Dites simplement : «Merci, Seigneur Jésus», pour Sa bonté et Sa miséricorde. Soyez vraiment respectueux maintenant. Soyez vraiment respectueux.
48 Cette personne qui s’approche... Voici une image parfaite de Jean chapitre 4, un blanc et une femme de couleur. Il y avait un – un Juif et une Samaritaine. Bon, madame, je crois que nous sommes étrangers l’un à l’autre. Le Seigneur nous a fait que nous – a fait que nous nous rencontrions pour la première fois. Si Dieu me révèle, comme Il l’a fait pour la femme au puits, la chose qu’il y a dans votre coeur, le secret pour lequel vous êtes ici, croiriez-vous cela et reconnaîtriez-vous... Vous savez si c’est la vérité ou non. Et s’Il sait ce qui a été, Il saura certainement ce qui sera. C’est absolument la vérité. Il y a beaucoup de choses qui ne vont pas chez vous. Vous étiez tombée, vous avez fait une chute et vous vous êtes fait mal au ventre ainsi qu’aux genoux, aussi. Et voici une autre chose. Vous êtes une femme prédicateur. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous êtes guérie. Rentrez chez vous. Jésus-Christ vous guérit.
Béni soit le Nom du Seigneur! Ayez foi.
49 La dame qui se trouve en ligne avec cette femme assise là dans cette deuxième rangée, là-derrière, cette personne, la deuxième personne assise là, souffre de la tête. Croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir, vous là-bas, là dans la deuxième rangée? Si vous croyez cela de tout votre coeur, vous pouvez l’avoir.
Vous avez le cancer. Vous êtes couverte de l’ombre de la mort. Vous n’avez qu’un seul espoir, c’est en Jésus-Christ. Croyez-vous que si Jésus-Christ est vraiment – vraiment intéressé, qu’Il sait pourquoi vous êtes ici, et qu’Il me révèle ce qu’est votre problème, croirez-vous qu’Il vous guérira maintenant? Si je vous dis l’endroit où le cancer est localisé, est-ce que... C’est dans la vessie. C’est vrai. Est-ce vrai? Croyez-vous maintenant en Lui? Très bien, vous pouvez rentrer chez vous et Jésus-Christ vous guérit. Que Dieu vous bénisse. Amen.
Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur. Si vous pouvez croire...
50 Est-ce cette dame, la suivante? Très bien. Nous sommes aussi étrangers l’un à l’autre. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue.
Vous qui êtes assis là-derrière, qui avez l’hypertension, croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir? Si vous croyez cela de tout votre coeur, ayez foi en Dieu, vous pouvez l’avoir.
Pour vous, ce sont des complications, beaucoup de choses ne vont pas chez vous. C’est vrai. Cela est dû à un accident. Je vous vois debout là... Ou des camions – un camion vous a percuté, c’est ce qui a causé cela. Est... c’est vrai, n’est-ce pas? Levez la main si c’est vrai. Bon, puisque Dieu a pu m’amener à cette scène, où j’ai vu cette chose arriver, croyez-vous qu’Il va vous guérir? Très bien, vous avez votre guérison. Alors, continuez votre chemin et réjouissez-vous. Dites : «Merci, Seigneur Jésus!» Que Dieu vous bénisse.
Bon, ce... Mettez votre main sur la mienne, madame. Si Dieu me révèle pendant que je parcours des yeux cet édifice, de ce côté-ci, si Dieu me montre par une vision ce qui ne va pas chez vous, alors que moi, je regarde de ce côté-ci, croiriez-vous de tout votre coeur que c’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu? Le croiriez-vous? Alors, votre asthme, votre toux, c’est parti maintenant. Vous pouvez rentrer à la maison et être guérie. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi.
51 Mettez votre main sur elle. Venez ici. Croyez-vous que Dieu peut me dire, vous qui regardez vers le ciel comme ceci, ce qu’est votre maladie? C’est le diabète. Croyez, rentrez à la maison et soyez guérie. Ayez foi.
Croyez-vous en Dieu? La toux, l’asthme. Rentrez à la maison... Trouble féminin, tout cela vous quitte maintenant. Rentrez à la maison et soyez guérie.
Maintenant, si vous continuez à croire comme cela, cela ne nécessite même pas le discernement. Votre problème, c’est au niveau du dos. Rentrez à la maison, dites : «Merci, Seigneur Jésus.» Vous vous rétablirez et serez guéri.
On doit prier pour vous, car c’est le cancer. Ô Seigneur, je chasse de cette femme mourante ce mauvais démon appelé le cancer. Je place le Sang de Jésus-Christ entre elle et la mort. Puisse cela la quitter. Rentrez à la maison, vous réjouissant, disant : «Merci, Seigneur Jésus.»
Vous aviez aussi cela, monsieur. Croyez maintenant. Quand cela l’a quittée, elle, cela vous a aussi quitté. Allez en croyant de tout votre coeur. Croyez maintenant.
Maladie de coeur. Continuez simplement à avancer, dites : «Merci, Seigneur Jésus», et croyez.
Vous avez des problèmes de dos. Croyez de tout votre coeur, rentrez à la maison et soyez guéri au Nom du Seigneur Jésus.
Croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir et vous remettre en bonne santé si j’impose les mains...?
Dieu soit loué. Si cela ne veut pas dire quelque chose, alors regardez là-bas.
52 Seigneur, béni notre soeur et renvoie-la à la maison pour être en bonne santé au Nom de Jésus. Ayez foi maintenant.
Vous avez peur de devenir estropiée pour le reste de votre vie, à cause de cette arthrite. Allez-vous croire de tout votre coeur? Allez-vous le faire? Quittez cette estrade comme une jeune femme, croyant que Dieu va vous guérir, et Il va le faire si seulement vous croyez.
Votre coeur vous dérange. Croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir? Venez ici, laissez moi vous imposer les mains. Seigneur Dieu, je prie que Tu guérisses cet homme au Nom de Jésus. Amen.
Très bien, venez.
Juste ici. La dame qui est assise juste ici et qui me regarde, elle a des problèmes internes, elle a un mouchoir autour de la tête. Croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir, madame assise là, à la dernière rangée, là bas? Si vous croyez cela de tout votre coeur, acceptez cela au Nom du Seigneur Jésus et soyez guérie. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est bien. C’est bien.
Qu’est-ce qu’elle a touché? Qu’est-ce qui lui est arrivé? Elle a touché le Souverain Sacrificateur, Celui qui peut compatir à nos faiblesses.
Très bien, vous avez le diabète sucré. Croyez-vous que Jésus-Christ va vous guérir? Alors, rentrez à la maison, vous réjouissant, dites : «Merci, Seigneur Jésus.»
Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette tumeur, et que vous ne serez – ne devrez plus subir une opération? Allez, et que le Seigneur Jésus vous bénisse.
53 Je connais cette femme qui vient ici. Je sais qui elle est. Je n’aurai pas à exercer le discernement. Je connais bien cette femme. C’est madame Peterson. Bon, c’est une amie, on était chez elle l’autre jour. Je voudrais prier pour elle. Seigneur béni, je viens au Nom de Jésus prier pour cette chère mère d’Israël, comme on dirait. Je demande que Tu la guérisses. Que les bénédictions de Dieu reposent sur elle, et je condamne la maladie dans son corps, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, Soeur Peterson. C’est une amie de Minneapolis.
Très bien, la soeur qui est ici, allez-vous croire maintenant, vous qui étiez dans la ligne? Je vous dis, est-ce votre mari qui est assis là ...?... Mettez maintenant vos mains sur vous comme cela, et vous pouvez vous lever et rentrer à la maison ce soir et être guérie. Croyez simplement maintenant; gardez votre main sur elle juste une minute.
Juste ici au-dessus, au balcon, environ trois rangées en montant, à la deuxième place, il y a une dame assise là et qui souffre des varices. Croyez-vous, madame, que le Seigneur Jésus va vous guérir? Oui. Vous qui regardez tout autour, croyez-vous cela de tout votre coeur? Si vous le pouvez, acceptez cela juste maintenant, et vous pouvez rentrer à la maison et être guérie au Nom de Jésus-Christ.
54 Combien de personnes encore ici parmi vous voudraient recevoir maintenant même les bénédictions de Dieu, et croient que Dieu va vous guérir?
Très bien, frère, quelqu’un d’autre, venez ici, mettez vos mains sur cette personne juste ici... Je peux vous montrer le Royaume de Dieu qui s’approche de vous. Croyez-vous que c’est le même Agneau de Dieu? Cette femme de ce côté-ci aussi ...?...
L’Agneau de Dieu qui ôte les péchés du monde et les maladies du monde, Il est présent maintenant pour guérir. Croyez-vous cela? Combien encore... Que peut-Il faire d’autre? S’Il se tenait ici, portant ce costume, Il ne pourrait rien faire d’autre que ce qu’Il est en train de faire maintenant même. Il – Il était blessé pour nos transgressions. Par Ses meurtrissures, nous sommes guéris : le temps passé. Votre guérison est déjà accomplie. Croyez-vous cela? Dans Sa Présence à Lui qui est ici maintenant, Il bénit votre âme. Accrochez-vous à Lui. Ne lâchez pas.
Ne pensez pas que je suis un fanatique. Je ne suis pas un fanatique. Je sais où je me tiens. Et je sais de quoi je parle. Le Saint-Esprit est ici et Il guérira chacun de vous si vous croyez cela.
55 Ô Seigneur, au Nom de Jésus-Christ, je chasse la puissance du démon de la peur de cet auditoire et de cet auditoire radiophonique. Et que ceux qui sont dans les régions où l’on suit par radio, se lèvent de leurs lits, de leurs fauteuils roulants, sortez de votre chambre d’hôpital, marchez, allez , vous réjouissant et tenant bon, c-ar Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant est ressuscité des morts et Il est présent. Levez-vous de votre fauteuil roulant.
Voilà une femme se lever de son fauteuil roulant maintenant, elle était assise ici dans un fauteuil roulant; elle a accepté sa guérison; on essaye de faire lever une autre femme de sa civière.
Levons-nous et louons Dieu. Levez-vous, chacun de vous au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Levez-vous maintenant. On vous a imposé les mains. Chacun de vous peut être guéri. Chantez et louez-Le.