Une Délivrance totale
1 D'une certaine manière, je ne savais pas quoi dire ce matin. J'étais assis là au fond avec frère Egan, et j'ai entendu... Frère Neville disait quelque chose là et regardait dans ma direction, j'ai alors demandé à frère Egan : «M'appelle-t-il?»
Et il a répondu : «Oui.»
2 Et ainsi, me voici ici pour dire quelque chose ce matin. Je me disais, quand j'étais... Ce ventilateur-là, là où il y a... aspire la voix, c'est comme s'il aspirait celle-ci simplement au-dehors, quand on parle. C'est comme si le ventilateur détourne carrément la voix.
J'écoutais donc... témoignage quand j'étais là à l'intérieur pour prier pour la dame qui était au téléphone. Mais celui qui avait reçu le message avait oublié de mentionner la ville où il fallait appeler, à partir de chez la femme du docteur Morrison. Mais je vais simplement vous dire ce que j'ai fait, grâce à toutes vos prières et à la mienne. J'ai posé mes mains sur le téléphone, et j'ai indiqué le numéro, peu importe où c'était, et j'ai demandé au Saint-Esprit d'aller vers cette femme. Je pense donc qu'Il a de toute façon entendu cela, étant donné qu'Il entendrait si nous pouvions... Voyez-vous? Puis j'ai simplement raccroché. Et peut-être que c'est ainsi que le Seigneur l'a voulu. Voyez-vous? Il se pourrait que ça soit mieux ainsi.
3 Et puis j'ai écouté les témoignages pendant que j'étais assis là à l'intérieur. Quelqu'un disait que soeur Rook avait... Je crois que frère Neville a dit qu'elle avait eu comme une - une perte de connaissance. Attachons-nous à Dieu pour cela, nous rappelant simplement cette unique chose : Dieu connaît les Siens. Il sait tout à leur sujet.
4 M'entendez-vous comme il faut là derrière? Sinon, il y a des sièges vides par ici. Vous pouvez vous déplacer si vous le voulez. Et, voyons, est-ce le micro principal? [Un frère dit : «Non, monsieur.» - Ed.] L'autre ici, est-ce le micro principal? D'accord. Nous verrons si nous pouvons le rapprocher un peu plus. Qu'en est-il de ce côté-ci, Gene? Ce sera bien. Et des fois je m'enroue un peu. Je prêche beaucoup. Est-ce mieux? M'entendez-vous mieux?
5 Et nous nous souviendrons certainement de ces gens dans la prière. Nous aimerions donc donner le compte rendu d'une glorieuse réunion tenue là à...
Est-ce bien soeur Rook que je vois ? J'ai cru voir une dame là au fond qui lui ressemblait. Je me suis dit : «Je ne parle certainement pas à deux, ici. Je regardais à quelqu'un qui lui ressemblait, vers le fond. Elle est à l'Hôpital Saint Edward.
6 Ainsi donc, à Cleveland, dans le Tennessee, et puis en Californie aussi, nous avons eu de glorieuses réunions. Le Seigneur a richement béni, et Il a accompli beaucoup de choses. Et nous en sommes heureux. Heureux de pouvoir revenir chez les nôtres, et faire un compte rendu de la bonté et de la miséricorde de Dieu. C'est ainsi que les gens le faisaient dans la Bible.
7 J'ai apprécié la prière de frère Neville, plutôt de frère Beeler, sa façon de prier pour les gens, et - et en implorant l'aide et la miséricorde. Et si seulement on regardait attentivement, tout le temps que quelque chose marche, on verrait qu'il y a quelque chose de très authentique à ce propos. Et puis quand frère Neville est arrivé et a amené ces diacres et tout, ici à l'estrade, pour - pour prononcer les bénédictions de Dieu sur la - l'offrande de l'église, je l'ai entendu dans sa prière à Dieu, parler de ces gens, comment ils ont prié les uns pour les autres. Et cela me fait du bien d'entendre un pasteur prier pour ses diacres, et les diacres prier à leur tour pour le pasteur. Quand vous voyez une église coopérer ainsi, quelque chose est près de se déclencher. Voilà comment l'église doit être dans l'ordre. Et cela me donne une idée pour un texte. J'allais parler de la bénédiction à Kadès, et du refus d'écouter le compte rendu des espions, mais après, j'ai changé d'avis alors, pour quelque chose d'autre.
8 Et maintenant, en ce qui concerne la guérison, j'ai un petit témoignage que j'aimerais donner. J'espérais voir mon fils, Billy, là derrière, mais il garde cela dans sa poche.
Et Billy se comporte mieux dans les réunions qu'il ne le faisait par le passé. Il était nerveux, troublé, et il disait par exemple aux gens : «Oh, allez vous asseoir. Allez vous asseoir.» Il disait : «Je vais - je vais vous donner une carte de prière.» Mais récemment, j'ai remarqué qu'il y avait des gens dans la réunion, dont il avait vraiment pitié. Quand il n'y a plus de cartes de prière, alors il les fait entrer dans une pièce afin que j'aille prier pour eux.
9 Dernièrement, la même chose est arrivée à Chicago. Et j'aurais aimé lire cette lettre s'il était ici. Je ne suis pas allé le voir. Il ne savait pas que j'allais venir ici ce matin, et - et que j'aurais besoin - j'aurais besoin de la lettre. Mais j'y ai juste pensé quand je pensais à tant de maladies. Et voici ce qu'il en est. C'est une lettre qui certifie que...
Je lisais dans un journal, (non, cela m'a été rapporté) qu'il y a des journaux qui critiquaient Oral Roberts parce qu'il avait prié pour une femme atteinte du diabète et celle-ci en est morte. Et moi, en tant qu'Américain, eh bien, je - j'aime entendre ce que disent les lois, et - et celui qui commande. Mais je pense que cela n'est pas correct. Je me demande s'ils seraient disposés à publier dans les journaux les cas de tous ceux pour qui Oral Roberts avait prié et qui ont été guéris, et que les médecins avaient renvoyés. Je me demande. changer cela juste une fois. Vous voyez ? Ils ne voudront pas faire cela. Et puis, je me suis dit peut-être que le diable les a simplement embrouillés, avec la permission de Dieu, afin qu'au jour du jugement ils aient à répondre pour cela. Mais je sais qu'il y a des milliers de gens pour lesquels Oral Roberts a prié, qui étaient mourants, et qui ont été guéris.
10 Ainsi, voyez-vous, eux, ils sont injustes à ce sujet. Ils vont justifier leur coté, leur attitude critiqueuse, mais ils n'acquitteront pas l'autre coté. Or, ce journal est censé tenir le public informé des événements qui arrivent. Et puis, je pense que si les hommes témoignent de l'intérêt les uns aux autres, si quelqu'un est guéri, réellement guéri, chaque journal des Etats-Unis devrait publier un article là-dessus. Mais vous ne saurez pas les payer pour faire cela. Non ! Si vous amenez là quelque chose comme cela, ils vont le ridiculiser et s'en moquer, et rejeter cela. Mais maintenant, s'il y a à critiquer... cela montre seulement que cette nation est prête à être jugée. C'est vrai. Et il y aura un jugement, et il n'y aura pas moyen d'y échapper. Et eux ne font qu'amasser du feu sur leurs têtes, et tout. Et un - un tel... en désaccord avec les objectifs ! Un journal, son objectif, c'est de - d'informer le public de tout ce qui se passe, que ce soit bon ou mauvais. Mais ils se sont écartés de leurs objectif. Et quand ils s'écartent de leurs objectifs, alors ils - ils ne peuvent pas jouer correctement leur rôle.
11 Et il en est de même de l'église. Quand l'église s'éloigne de ses principes, elle ne peut plus jamais servir les saints correctement. Nous devons rester ensemble, nous devons être unis. Nous devons être d'un même coeur et d'un même accord. Sinon nous ne servirons jamais Dieu ni le peuple, à moins que nous ne soyons d'un même coeur et d'un même accord, pour nous en tenir aux principes de la Bible et aux choses que Dieu a dites et qui sont vraies. Nous devons nous y en tenir constamment.
12 A Chicago, Billy s'était enfermé dans une pièce, il... quelqu'un était venu le voir, une dame accompagnée de son mari qui se mourrait d'un cancer de poumons. Et la femme, victime de la polio, était dans un fauteuil roulant, et elle essayait de prendre soin d'un homme qui pouvait à peine se mettre debout, ayant un cancer aux poumons. Et Billy lui a dit, il a dit : «Je - je regrette, monsieur.» Il a dit : «Je vous aurais donné volontiers une carte de prière.» Et il a dit : «Mais il ne m'en - m'en reste aucune.»
13 Et il a dit : «Eh bien, très bien, fiston.» Il a dit : «C'est très bien.» Il a dit : «Nous avons essayé d'arriver ici, mais c'était très difficile pour nous.»
14 Billy a dit : «Je vais vous dire ce que vous allez faire.» Il a dit : «Je vais chercher papa et je vais le faire entrer, et je l'amènerai dehors.» Et il a dit : «Aussitôt que vous aurez entendu son Message, a-t-il dit, alors prenez votre ma-... ou plutôt votre femme et vous, et entrez là dans la petite pièce, par où je passerai, et je lui demanderai de prier pour vous.»
15 «Oh, a-t-il dit, ça, c'est loyal, fiston. Ce n'est pas mal.» Voyez-vous? En voilà une - voilà une attitude. Voyez-vous? «Pas mal. C'est bien.» Voyez-vous?
16 Et ce soir-là, quand Billy alla là derrière, il n'était néanmoins pas d'accord avec ce qu'il avait dit, puisque son beau-frère était là avec une hémorragie aux poumons. Et sa belle soeur était là, saignant à l'estomac, avec des ulcères ; ils étaient aussi entrés avec eux, disons pour qu'on essaye de les aider à entrer. On a dû faire attention, sinon toute la salle se serait remplie, vous voyez. Mais je suis passé par là et j'ai prié pour eux, et nous avons eu en retour une lettre par courrier, disant que cet homme est parfaitement guéri de ce cancer des poumons. La dame, la femme qui était dans le fauteuil roulant, est debout, elle va ça et là aussi normale que jamais avant. L'homme qui avait l'hémorragie aux - aux poumons, dûe à la tuberculose, est complètement guéri. Et sa femme est guérie des ulcères. Tous les quatre guéris sur-le-champ ! Je me demande si les journaux seraient disposés à publier cela. Vous voyez? Vous voyez? Vous voyez? Oh! Mais Dieu est Dieu. Il fait les choses à Sa façon, vous savez, et I est si bon. Nous sommes si heureux de savoir qu'Il est Dieu.
17 L'autre matin, nous parlions d'un petit prédicateur que nous avions connu et qui avait l'habitude d'aller çà et là pour prier pour les malades et tout. Et il est allé prier pour une personne à l'hôpital de Louisville; et c'était un cas de tuberculose, la dame est morte. Le petit bonhomme a dit : «Eh bien, ça ne sert à rien de... Dieu ne... Dieu n'existe pas. Il aurait tenu Sa Parole.» Il a dit : «Je l'ai ointe d'huile comme - comme le dit la Bible. S'Il ne tient pas Sa Parole, Il n'est pas Dieu.» Il a dit : «Ce n'est qu'un livre.»
18 Eh bien, cela pourrait paraître ainsi, si vous ne connaissez pas Dieu. C'est une portion des Ecritures, mais ce ne sont pas toutes les Ecritures. C'est sur base de la foi de l'individu. Voyez-vous?
19 Et j'ai parlé à mon épouse, j'ai dit : «Il arrive tellement de choses que tout ce que je sais c'est que cela se produit. Je ne sais pas ce qui va m'arriver à la fin. Il se pourrait que je m'en aille de la même façon. Si Dieu ôte de moi Sa main de miséricorde, je m'en irai de la même façon. Mais tant qu'Il garde sur moi Sa main de miséricorde et que Sa conduite est là, je continuerai.» Mais j'ai demandé à Meda, j'ai dit : «Qui était là dans la pièce, ce matin-là, après cette vision où je voyais ma petite fille Sharon?»
20 A propos, l'autre jour, j'ai failli m'évanouir. Je me tenais dans la rue. Et vous connaissez l'histoire que j'ai racontée sur la vision que j'ai eue d'elle, après... Et je regardais, et voilà que venant de mon côté, une jeune fille venait dans la rue ici à Jeffersonville; et c'était exactement comme cette vision. J'ai dû me pincer les mains. Cela ressemblait tellement à cette vision de ma petite Sharon! Celle-ci était à ce moment-là une jeune fille.
21 Et ce matin-là, après cette vision, dans la Gloire, je... Hope me parlait, avec son bras autour de mon épaule, et elle disait : «Ne t'inquiète pas pour nous, Bill. C'est mieux que nous soyons parties.» Je cherchais à me suicider. Puis elle a dit : «Ne t'inquiète pas. Promets-moi que tu ne t'inquiéteras plus.»
22 Alors j'ai dit : «Je ne peux pas promettre cela, Hope, parce que je - je - je suis... Je m'inquiète. Je n'y peux rien.»
23 Puis je suis sorti de la vision, et j'étais debout dans la pièce sombre. Et ce n'était pas une vision, pas une imagination, mais son bras était toujours autour de moi. Et elle me tapotait. Je me suis dit : «Attends une minute. Ceci n'est pas...» Je ne savais pas comment appeler cela en ce temps-là, la vision. J'appelais cela «transe». J'ai dit : «Ceci est... Sa main est toujours là.» J'ai dit : «Es-tu ici, Hope?»
24 Elle a dit : «Billy, promets-moi que tu ne t'inquiéteras plus à mon sujet et au sujet de Sharon.» En effet, j'étais au bout du rouleau. J'étais prêt à me suicider.
J'ai dit : «Je te le promets.» Alors elle me serra dans ses bras, et elle me tapota de sa main.
Et puis je - j'ai dit : «Hope, où es-tu?» Je devins... je tâtais et j'ai saisi la petite chaîne sur la lampe et je l'ai tirée. Je suis allé ça et là cherchant parmi toutes ces chaises pour voir où elle était assise.
Il est Dieu. Il est autant Dieu aujourd'hui qu'Il l'était sur la Montagne de la Transfiguration, quand Moïse et Elie avaient apparu. Il est Dieu.
25 Il se peut que nous passions par tant de peines et d'épreuves. Rappelez-vous simplement qu'il y a Quelqu'un qui sait, qui éclaire la voie, et qui rend la chose réelle. J'ignore ce qu'il y a derrière le rideau. Mais je sais une chose, je cours chaque jour vers le but de la vocation céleste, essayant de vivre pour ce glorieux événement qui va arriver un de ces jours; quand je Le verrai face à face, et que je raconterai cette histoire : «Sauvé par grâce». C'est pour ce jour-là que je vis. Laissant en arrière ces choses, ce qu'elles sont, j'aimerais courir, continuer simplement à avancer.
26 J'aimerais que ce tabernacle... maintenant que vous êtes debout, j'aimerais que vous courriez vers le but de la vocation céleste. Quoi que vous fassiez, soyez unis, autant unis que possible, mais tendez toujours un bras pour saisir et faire entrer les gens. Mais la Foi que nous prêchons maintenant et pour laquelle nous combattons, ne vous En éloignez pas d'un iota. Car si vous croyez que je suis Son serviteur, voici le programme de Dieu. Ça ne sera jamais une affaire de la majorité. Ce sera toujours une minorité, ça l'a toujours été et ça le sera toujours. Mais, rappelez-vous, il est écrit : «Ne crains pas, petit troupeau; votre Père a trouvé bon de vous donner le Royaume.»
27 Il y a un groupe d'agents de notre église : les diacres, les administrateurs, le surveillant de l'école du dimanche, le pasteur, selon l'ordre établi dans notre église. Et c'est vous qui avez élu ces agents et ce pasteur. Je ne suis que le surveillant général, pour voir si ça marche correctement, et pour donner des conseils et ainsi de suite. C'est vous qui élisez votre pasteur, c'est vous qui élisez vos administrateurs, c'est vous qui élisez vos diacres, c'est vous qui élisez chaque office qu'il y a dans cette église; c'est vous. Et il est de votre devoir de soutenir ces hommes, voyez-vous, car ils feront des erreurs. Ce sont des mortels. Ce ne sont que des hommes, et ils feront des erreurs. Mais si le Président des Etats-Unis fait une erreur, allons-nous le rejeter comme Président? Nous oublierons cela et continuerons. C'est de la même manière que nous devons agir à l'égard de notre église maintenant. Je l'ai entendu prier, il y a quelques minutes, pour ces diacres. Et d'entendre là derrière un témoignage, la porte, venant des administrateurs, combien vous êtes tous d'un même coeur. Eh bien, restez ainsi. Eh bien, vous, membres, soutenez ces administrateurs, ces diacres, et ce pasteur. Et souvenez-vous-en, quand vous parvenez à garder cela uni, rappelez-vous que le diable cherchera à voir cela être brisé. Eh bien, cela a toujours été ainsi et cela le sera toujours. Mais vous, soutenez vos agents, et c'est de cela que j'allais vous entretenir.
28 Et puis, j'ai aussi quelque... ici quelque chose ce matin pour le tableau d'affichage, concernant la réunion des comités avec leurs responsables. Et ce sera mis sur le tableau d'affichage. Et j'ai une copie pour frère Roberson, le président des di-... des administrateurs. Et puis j'ai une copie pour frère Collins, je pense, qui est le président du comité des diacres. Et maintenant, tous ces offices sont placés conformément aux Ecritures. Ils doivent avoir des règles scripturaires sur ce qu'ils doivent faire. C'est pourquoi, les administrateurs ont un office spécifique. Et les diacres ont un office spécifique. Le surveillant de l'école du dimanche a un office spécifique. Et le pasteur est la tête du troupeau.
29 Eh bien, tous, ils ont des choses en commun. Et je pense que votre réunion ne devrait pas être commune, mais cela devrait être selon chaque office, puisque les diacres n'ont rien à dire aux administrateurs, à moins qu'ils n'aient des problèmes à leur soumettre. Et vice versa, les administrateurs s'occupent des finances et des biens de l'immeuble; ils n'ont rien à voir avec les diacres. Les diacres sont les policiers de l'église, et les assistants du pasteur. Mais les administrateurs sont les détenteurs de toute la propriété. Les administrateurs n'ont rien à voir avec le but spirituel de cela, et le diacre n'a rien à voir avec son but financier. Par conséquent, cela doit en être ainsi. Et le surveillant de l'école du dimanche dirige son école du dimanche. Ainsi, j'ai fait écrire, dactylographier tout ceci, pour que je le mette au tableau d'affichage.
30 Et puis, nous allons aussi mettre dans un encadrement la doctrine que cette église soutient, et j'ai fait encadrer cela ici à l'intérieur, dans l'église; ce que nous soutenons, les - les principes, la doctrine de l'église. Eh bien, pour être une église, nous devons avoir une doctrine.
31 Nous ne posons pas des piquets pour dire : «Nous nous arrêtons ici.» Nous avançons, communiant avec tous, allant dans les Ecritures avec les gens aussi loin que Dieu nous le permettra. Maintenant, restez ensemble, soyez d'un même accord, d'un même coeur, et allez de l'avant pour Dieu. C'est ainsi que Dieu veut que nous le fassions.
Prions maintenant, et ensuite ouvrons la Parole.
32 Oh, Précieux Seigneur, nous sommes maintenant sur le point de nous approcher de la Parole divine, plutôt de la lecture de cette Parole. Puisse Ton Saint-Esprit interpréter pour nous ce dont nous avons besoin. Et accorde-nous de parler, ô Seigneur, d'agir et de vivre sachant que nous sommes tous Tes enfants, par grâce, puisque Tu nous as appelés. Puisse-t-il y avoir communion dans cette église, étant donné que nous sommes sur le point de déboucher sur un grand mouvement, nous le sentons, qui fera susciter d'autres ministres pour aller dans les champs missionnaires, de sorte que si Tu m'envoyais à différents endroits du monde, là pour établir la foi, qu'on ait un ministère prêt, disposé et entraîné pour prendre la relève. Et que la foi qui fut transmise aux saints une fois pour toutes, que nous soutenons vaillamment, environne le monde. Accorde-le, Seigneur. Que cette petite plante puisse croître, tel qu'il en était un jour quand nous te l'avions dédicacée; que d'ici une église s'élève, ô Seigneur, afin que delle des ministres, des évangélistes, des docteurs et des missionnaires aillent partout dans le monde.
33 Ce matin, nous aimerions demander une bénédiction spéciale pour notre frère et notre soeur Stricker qui souffrent maintenant. Mais nous savons que nous sommes tous mis à l'épreuve. Chaque fils qui vient à Dieu doit être châtié et éprouvé. Et si nous abandonnons facilement, et que nous nous en détournions, alors nous sommes des enfants illégitimes et non des enfants de Dieu. Donne la force et le pouvoir à notre frère et à notre soeur Stricker afin qu'ils restent attachés à leur poste du devoir. S'ils doivent mendier leur nourriture, que Ta main de bénédiction soit sur eux. Car nous ne savons pas, mais cela pourrait être au travers de ce même effort que Tu pourras montrer à l'indigène d'Afrique ce qu'est un véritable chrétien. Accorde-le, ô Seigneur. Que tout cela soit donc fait selon Ta volonté.
34 Bénis ce pasteur, frère Neville. Nous Te prions, Seigneur, de faire de lui le berger du troupeau, comme Tu l'as fait dans le passé. Et nous ne pourrons pas oublier sa charmante petite épouse qui est très malade. L'ennemi voudrait laisser frère Neville avec cette ribambelle d'enfants sans mère, mais nous nous tenons debout et plaçons par la foi le Sang de Jésus-Christ entre cet ennemi et notre soeur. Seigneur, que Ton Esprit agisse merveilleusement sur elle, sachant que toutes les femmes sont destinées à traverser cette vallée ténébreuse relative à cet âge, mais nous Te prions d'être avec elle. Bénis ces petits enfants. Il se peut qu'elle soit nerveuse et agitée maintenant, mais que le Saint-Esprit soit constamment un moyen d'accès à la miséricorde pour cette famille.
35 Bénis notre comité d'administrateurs, notre frère Wood, notre frère Egan, frère Roberson, ainsi que tous les autres, Seigneur. Les diacres, les administrateurs, et tous ceux qui sont associés à cette église, nous Te prions, ô Seigneur, de leur permettre de servir avec sainteté et - et justice pendant leur mandat. Seigneur, bénis ceux qui ont servi dans le passé. Et nous Te prions de continuer d'être avec nous tous, afin que nous soyons reconnus comme étant une église unie, une église de l'Esprit et de l'amour du Seigneur. Nous Te prions maintenant de nous partager la Parole, selon nos besoins, pendant que nous lisons Ta Parole écrite. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
36 Pendant la prière, je me disais, quand nous bénissions ou plutôt nous demandions des bénédictions pour notre... moderne... notre nouveau comité d'administrateurs et ainsi de suite, je pensais à notre frère Fleeman et à frère Deatsman et aux autres qui sont assis ici et qui ont bien servi avant. Et nous voudrions être reconnaissants à Dieu pour leur service loyal. Que le Seigneur soit toujours avec eux pour les bénir et les aider. Je voudrais lire avant... Maintenant rappelez-vous le tableau d'affichage et tout, et les prochaines réunions.
37 Et nous sommes heureux ce matin d'avoir parmi nous... eh bien, je pourrais le dire comme ceci, un homme qui m'a été très précieux autrefois, et qui l'est encore, un brave frère, Fred Sothmann, de... et son épouse ; il est du Saskatchewan, au Canada; il est ici pour rester avec nous, dans notre pays, un visiteur; mais il prend part à notre communion, c'est un bien-aimé frère, ce frère Fred Sothmann qui est assis là. Il dirige mes campagnes quand je suis au Canada.
38 Et un autre précieux frère qui, avant, était aussi Canadien ; il était un homme d'affaires, et qui peut prouver au monde qu'on ne peut pas laisser tomber Dieu. Lui et son ami ont créé une fondation pour financer la construction d'un édifice, ou plutôt pour une mission, une fondation à l'étranger. On m'a invité à Oakland pour une réunion et on m'a dit qu'ils avaient l'argent. Dans leur fondation, ils ont parrainé le tout.
39 Frère Fred et moi avons essayé cela avec l'argent que frère Fred avait, que je ne voulais pas prendre en tant qu'individu. C'est ainsi que nous avons donc décidé de donner cela au peuple canadien, sans même en prélever une offrande, mais cela n'a pas bien marché. C'étaient des belles réunions. Mais comme nous n'avions pas prélevé d'offrande... Peu m'importe si l'église peut valoir cent milliards de dollars, c'est votre devoir envers Dieu que vous préleviez une offrande. Cela fait partie de l'adoration. Et si vous volez cela... Tant que j'étais contre l'argent et des choses de ce genre, je constate que quand un homme est dans l'erreur, il ferait mieux qu'il reconnaisse qu'il est dans l'erreur, puisque frère Fred et moi avons vu cela tourner très mal.
40 Et, Frère Borders, quand j'ai quitté frère Fred et que je suis venu vous rendre visite à Oakland, j'ai dit : «Ne le faites pas. Passez simplement la corbeille pour prélever une offrande, et quoi que ce soit, remettez cela dans votre fondation pour une autre réunion quelque part.»
41 Et avant la clôture de la série de réunions, frère Borders et son ami sont venus me voir et m'ont dit : «Tout ce que nous avons dépensé pour la - la réunion est déjà prélevé.»
42 Et puis, il y a quelques jours, il a préparé une réunion à San José, en Californie, là où il avait fait que, je pense, soixante ou soixante-dix églises de la vallée, toutes tendances, coopèrent ensemble. Nous avons eu une merveilleuse réunion, et nous comptons retourner en novembre. Nous sommes heureux de vous avoir parmi nous, Frère Borders et Frère Fred, vous qui êtes assis là-bas. Et ces hommes sont peut-être des étrangers pour vous tous, mais ils ont été des précieux frères pour moi dans les champs missionnaires, combattant ardemment pour la foi que nous soutenons. Que Dieu vous bénisse, Frère. Nous sommes heureux de vous avoir ici ce matin dans ce vieux petit tabernacle. Il n'a rien d'attrayant pour être contemplé. Mais il y a quelque chose ici que nous savons, c'est que Dieu vit ici, vous voyez ; nous en sommes très heureux. Et il y a d'autres précieux frères qui sont ici avec nous, que j'aimerais mentionner si j'en avais le temps.
43 Maintenant, j'envisage et je prie que dans les quelques prochaines semaines, le Seigneur voulant, je tiens à partir, je me sens conduit ; je n'ai pas annoncé la prochaine réunion, à Ohio, en compagnie de Frère Sullivan, sur le terrain de camping, dans peu de temps. C'est seulement à environ cent milles [160,9 km. - N.D.T.], je pense, Gene, quelque chose comme cela. Ce sera un beau voyage, si vous n'avez pas programmé vos vacances, si le Seigneur continue à nous conduire. C'est un très brave homme, et nous apprécions beaucoup le frère Sullivan. Juste un - Il est le maire de la ville. Il n'était qu'un ex-maire, et un kentuckien à l'ancienne mode. C'est tout ce que je peux dire de lui. Quand je l'ai vu l'autre jour dans... Nous avons été élevés tous deux là dans les montagnes du Kentucky. Il m'a dit : «As-tu toujours ton asa-foetida autour du coup, Billy ?» Eh bien, vous savez combien - combien il est kentuckien. Maintenant, ouvrons dans...
Ce n'est pas pour manquer d'égard envers mes frères du Kentucky qui sont ici, frère Jefferies et ainsi de suite. Je suis aussi du Kentucky, vous savez. Je vais vous dire ce que nous sommes. Nous ne sommes ni Kentuckiens ni Américains. Nous sommes des pèlerins et des étrangers. Nous cherchons une cité à venir.
44 Maintenant pour la lecture, lisons dans le Livre de l'Exode, pour quelques instants. J'aimerais lire le chapitre 23, et du verset 20 à 23 inclus. Et j'aimerais prendre un texte ce matin, tiré comme ceci, plutôt de ceci : Une Délivrance Totale. Et je ne parlerai pas pendant longtemps ; maintenant pendant que j'attends que vous ouvriez votre Livre et le chapitre. Voici, j'envoie un ange devant toi, pour te protéger en chemin, et pour te faire arriver au lieu que j'ai préparé. Tiens-toi sur tes gardes en sa présence,... écoute sa voix ; ne lui résiste point, parce qu'il ne pardonnera pas vos péchés, car mon nom est en lui. Je suis certain que la congrégation sait qui cet Ange était. «Mon Nom est en Lui.» Et si tu écoutes sa voix, et si tu fais tout ce que je te dirai, je serai l'ennemi de tes ennemis et l'adversaire de tes adversaires. Mon ange marchera devant toi, et te conduira chez les Amoréens, les Hétiens,... Phérésiens,... Cananéens,... Héviens, et ...Jébusiens, et je les exterminerai.
45 Que le Seigneur bénisse Sa Parole pendant que nous parlerons quelques instants, si vous priez. Je pensais à ce sujet concernant Une délivrance totale.
46 L'Eglise est en - en minorité. Elle le sera toujours en nombre jusqu'à la Venue du Seigneur. Mais Elle est en train de vivre en dessous des privilèges que Dieu Lui a donnés. Si seulement nous savions que ceci est l'Eglise du Dieu vivant ; pas le Branham Tabernacle, mais le Branham Tabernacle n'En est qu'une partie. Il y a d'autres églises semblables à travers le pays.
Ce soir, frère Snelling va avoir un service de baptême. J'ai oublié que frère Curtis m'a dit d'annoncer cela, plutôt il m'a dit hier qu'il allait l'avoir. Il va avoir un service de baptême. Et si quelqu'un ici n'a pas encore été baptisé, eh bien, frère Snelling serait heureux de le faire, ce soir. Ça, c'est le Tabernacle de la Sainteté à Utica, et frère Junior Jackson dans la Nouvelle Albanie. Et il y a tant d'églises de ce genre à travers le pays. Mais il semble que nous vivons tous plus ou moins en vaincus.
47 Ce matin, j'ai entendu frère Neville déclarer, là derrière, puisque cela me vient en quelque sorte à l'esprit, qu'apparemment les gens sont en train de s'éloigner de la délivrance. Cela semble être quelque chose que les gens ont vu, alors ils le poussent d'un côté, disant : «Oh, eh bien, Dieu peut faire cela.» Mais cela n'est pas l'attitude qu'il faut.
48 Eh bien, Moïse, quand il a été appelé par Dieu, il était tout à fait et totalement un prophète.
Quand Dieu envoie un homme pour faire quelque chose, Il l'équipe en tout ce dont il a besoin. Si Dieu appelle un homme pour qu'il soit prédicateur, Il met en lui quelque chose pour prêcher. S'Il l'appelle pour qu'il soit un docteur, Il met en lui quelque chose pour enseigner. S'Il l'appelle à être un prophète , Il met en lui quelque chose pour voir des visions et être un prophète. Dieu équipe toujours Son homme.
Et c'est exactement ce qu'Il a fait quand Il a envoyé Moïse en Egypte. Il a envoyé Moïse en Egypte. Il l'avait élevé d'une certaine façon. Et Il l'avait instruit d'une certaine façon, et Il l'avait modelé, et l'avait créé, et l'avait façonné. Après avoir promis à Abraham, des centaines d'années avant, qu'Il délivrerait le peuple, alors Il - Il se souvint qu'Il ferait Moïse tel que Moïse était. Moïse était tout à fait un prophète. Et puis, en tant que prophète, alors...
49 C'est juste comme vous, si vous êtes chrétien, Dieu ne fait pas de demi-chrétiens. Dieu fait toujours des chrétiens complets. Dieu ne fait pas de demi-prédicateurs, mais le prédicateur peut l'être à moitié. Dieu fait de Ses enfants des chrétiens, mais des fois ils sont des demi-chrétiens. Mais ce n'est pas dans l'intention de Dieu qu'ils soient ainsi. Ce sont leurs voies qu'ils ont mélangées avec le plan de Dieu concernant leur vie, et c'est ainsi qu'ils sont. Dieu ne veut pas qu'ils soient des demi-chrétiens, ou des demi-prédicateurs, se compromettant de tout côté. Ou... Il veut qu'ils se tiennent tout à fait à la brèche.
50 Ainsi, Moïse, Dieu a fait de lui un prophète complet, pour une délivrance totale. Et Moïse était complètement abandonné entre les mains de Dieu. C'est ce qui fit de lui ce qu'il était. Il était si complet en Dieu que Dieu pouvait lui faire confiance.
51 Ce matin, je me demande si, en tant que chrétiens, nous avons abandonné notre propre volonté, si nous nous sommes abandonnés complètement à Dieu au point qu'Il peut nous confier la place où Il nous a établis. Ce matin, je me demande si je pourrais m'abandonner à Dieu au point qu'Il pourrait me faire confiance, qu'Il pourrait faire confiance à frère Neville, Il pourrait faire confiance à notre comité d'administrateurs, à notre comité de diacres, ou aux membres de notre église. Nous avons tous un poste, et nous avons un devoir.
52 Le ministre a un poste du devoir où il se tient et prêche les richesses insondables de Christ, sans compromis, s'il a un appel pour être prédicateur. Il n'épargnera rien pour un individu, s'il est appelé pour être prédicateur.
53 Et le membre de l'église est appelé pour être membre d'un groupe bien déterminé, ainsi il ne se compromettra pas. Si l'église croit que nous ne devrions pas jouer aux jeux d'argent, alors ce membre ne devrait jamais toucher à un jeu de cartes. Nous ne croyons pas que l'on doive boire, il devrait se détourner complètement de la boisson. Si nous ne croyons pas que l'on doive jouer aux jeux d'argent, ou fumer, le membre de cette église ne devrait jamais toucher à une chose de ce genre. Dieu accorde une délivrance totale. Quand nous...
Il fera cela si nous nous sommes totalement abandonnés à Lui. Si nous nous sommes abandonnés à Lui, alors Dieu peut vivre en nous. Christ, l'Espérance de la gloire, peut Se refléter en nous quand nous nous mettons hors du chemin. Alors nos pensées sont Ses pensées. Pourriez-vous vous imaginer Christ buvant, ou jouant à la carte ?Ainsi, si notre esprit est une partie de Son Esprit, Il veut que cela soit sur base de notre confession. Mais vous laissez le diable venir prendre le dessus. Et dans votre cour, là au fond, vous savez toujours que vous avez tort quand vous faites ces choses.
Et quand un membre dit du mal d'un autre membre, vous savez que c'est mauvais. On vous recommande de prier les uns pour les autres, non pas de parler en mal les uns des autres, mais de vous aimer les uns les autres. Et si quelqu'un tombe, relevez-le, aidez-le. Et bien, cela fait de nous, un - un - un groupe de croyants unis. Maintenant, quand nous n'obéissons pas à cela, alors nous n'obéissons pas à Dieu et nous déplaisons à Dieu. Et par conséquent, notre église, notre peuple ne peut pas prospérer, l'église ne peut pas aller de l'avant parce que nous sommes désunis, ensemble. Comme l'a dit Jésus : «Un peu de levain fait lever la pâte.»
54 Eh bien, si le comité de l'église, plutôt comme qui dirait, les - les diacres venaient et disaient que nous devions ... pensant que nous devrions construire un nouveau tabernacle. Si c'est ce que les diacres ont voté, et qu'on consultait les administrateurs, et que ces derniers n'avaient pas l'argent pour le faire, alors ils auraient un programme de construction comme celui que nous avons maintenant. Et ensuite cela sera amené devant l'audience générale, comme nous pourrions l'être, toute l'église étant souveraine. Alors si l'église vote pour un nouveau tabernacle, nous devrions par conséquent tous coopérer pour construire ce nouveau tabernacle.
55 Franchement, moi-même, quand on m'a parlé d'un nouveau tabernacle, j'étais contre cette idée. C'est vrai. J'ai dit : «Nous n'avons vraiment pas besoin d'un nouveau tabernacle. Je vais probablement partir d'ici très bientôt, comme le Seigneur... si ce qu'Il m'a montré arrive. Pourquoi aurons-nous besoin d'un nouveau tabernacle ? Nous n'avons pas d'argent.»
56 Ainsi je suis venu et j'ai compris ce que ressentait l'église, que l'église, dans la majorité, semblait vouloir cela. Ensuite, qu'ai-je fait? J'ai sacrifié mes propres pensées et je me suis rallié à l'église. Bien sûr, faisons cela. Si c'est ainsi que nous jetons le sort, c'est ainsi que cela se passait au temps de la Bible, c'est de cette manière que l'église votait. La - La souveraineté, le groupe de gens, ils se rassemblent. C'est dans l'unité qu'il y a la force. Puis, j'ai alors dit : «Certainement, si c'est ce que l'église veut, si c'est ce que Dieu veut, Il a plus d'autorité en ce qui concerne le vote dans tout un groupe de gens qu'Il n'en a en moi, parce que je n'ai aucune vision pour dire que cela ne devrait pas se faire.» Ainsi, nous nous sommes ralliés à l'église et nous marchons avec l'église. Et je me range derrière cela pour faire tout mon possible, voyez-vous, pour aider l'église.
57 Cela devrait être l'objectif de chaque chrétien et de chaque personne dans l'église, que nous soyons unis et que nous restions ensemble. Tout ce pourquoi l'église vote, c'est ce que nous devrions soutenir. Disons par exemple, qu'on désire changer quelque chose dans l'église. Eh bien, si les administrateurs veulent cela, alors, le... quelqu'un d'autre veut cela, les diacres, ils veulent changer quelque chose, cela est présenté à l'église, toute l'église réunie à ce moment-là. Et si notre - notre avis là- dessus semble être un peu différent de ce que l'église a dit, sacrifions cet avis, parce que c'est le seul moyen que nous ayons de rester unis. Et si cette église fait exactement ce que vous faites maintenant, et qu'elle est unie, Dieu va ... Ce qu'Il fera est illimité, si nous restons ensemble. Nous devons rester ensemble. C'est ainsi qu'il nous faut être, très unis les uns avec les autres, et ainsi très unis dans les mains de Dieu.
58 Et puis, nous devons avoir un homme dont nous croyons qu'il prêche la Parole de Dieu. Si cet homme ne le fait pas, alors prenons quelqu'un d'autre pour le faire. C'est ainsi qu'il faut agir. Si le comité des administrateurs ne veut pas soutenir ce qui est correct, alors il est de votre devoir d'élire quelqu'un d'autre qui soutiendra ce qui est correct. Et puis si vous le faites, soutenez cela. Cela dépend de vous. Soutenez cela. Et tous ensemble, nous soutenons une chose, c'est Dieu.
59 Si un membre fait une erreur, ne le rejetez pas. Aidez-le. Relevez-le. Mettez-vous ensemble et écoutez-vous les uns les autres. C'est ce que disent les Ecritures. Lorsque nous commettons une erreur, présentons-nous devant Dieu. Avant de nous présenter devant Dieu, nous devons nous présenter devant la personne que nous avons offensée.
60 J'ai dû le faire. Et je sais que j'avais mal agi. J'avais menti, j'avais poussé ma femme à mentir. Je crois que je vous en ai parlé ici à l'église. Cela fait quelques jours, c'est récent, cela fait à peu près six semaines. Les magistrats m'avaient tellement déchiré à propos de cette investigation, au point que je savais à peine où j'en étais. Je venais de quitter le bureau pour rentrer à la maison, dîner. Et le numéro de téléphone privé a sonné, et Meda est allée répondre au téléphone. Elle a posé sa main dessus et a dit : «C'est encore une fois ces magistrats.»
61 J'ai dit : «Je ne pourrais pas supporter encore une soirée. C'est comme si ma tête va éclater. Je perds la tête; on me tire de ce côté-ci, puis de ce côté-là.» J'ai dit : «Je ne peux pas supporter cela.» Puis j'ai sauté et j'ai dit : «Dis-leur que je ne suis pas ici à l'intérieur,» et j'ai couru derrière la maison.
62 Quand je suis revenu... Meda est très sensible à ces choses. Elle m'a rencontré à la porte, à moitié en larmes. Elle a dit : «Bill, était-ce la chose à faire ?»
63 Vous savez ce que vous êtes. Je sais ce que je suis. J'ai dit : «Bien sûr. Je n'étais pas ici à l'intérieur.» Je savais que Dieu m'avait condamné pour cela. J'ai dit : «Je n'étais pas ici à l'intérieur à ce moment -là.»
Elle a dit : «Mais tu étais à l'intérieur quand il a appelé.»
64 Cet après-midi-là, je suis allé prier pour un enfant malade. Et avant de quitter la maison, le téléphone a encore sonné, et le petit Joseph a couru prendre le téléphone et il a dit : «Papa veux-tu que je leur dise que tu n'es pas ici?» Vous voyez comment le péché corrompt ; quelle famille ce serait finalement?
65 I Jean 1, chapitre 5, verset 21 dit : «Si votre cour ne vous condamne pas, alors vous avez de l'assurance devant Dieu.» Mais si nos cours nous condamnent, comment pouvons-nous avoir de l'assurance devant Dieu? Nous savons qu'aussi longtemps que nous avons un péché inconfessé, Il ne nous écoutera jamais. C'est fort, mais c'est - c'est - c'est... l'église a besoin de ces choses.
66 Puis, je suis parti prier pour ce bébé. Et quand je me suis mis à imposer les mains sur lui, le Seigneur m'a réprimandé et a dit : «Tu as menti. Tu n'es pas digne de prier pour ce bébé.»
67 Je me suis retiré d'auprès de cet homme. J'ai dit : «Monsieur, attendez simplement ici. J'ai quelque chose à arranger.»
68 J'ai téléphoné au magistrat, et je suis allé à son bureau, où je l'ai fait venir. J'ai dit : «Ecoutez, monsieur, j'avais menti. J'avais poussé ma femme à mentir. Elle a dit que je n'étais pas à l'intérieur, mais j'avais couru derrière la maison.» Et j'ai confessé cela et je lui en ai parlé.
69 Il s'est approché et a posé ses mains sur mon épaule. Il a dit : «Frère Branham, je vous ai toujours fait confiance, mais je vous fais plus confiance maintenant, a-t-il dit, un homme qui est disposé à corriger ses erreurs.»
70 Et je lui ai parlé, j'ai dit : «Je me suis mis à prier pour un bébé, mais le Seigneur m'avait condamné dans mon cour, car je savais que j'avais mal agi.»
71 Ensuite, le lendemain, mon épouse a dit : «Où vas-tu?»
J'ai dit : «A ma caverne.»
72 Puis je suis allé à la caverne, là au-dessus de Charlestown, là où je vais depuis des années. Je suis entré à l'intérieur et j'ai prié toute cette journée, disant : «Ô Dieu, ne me laisse plus faire une telle chose. Pardonne-moi, Seigneur, car lorsque je mets mes mains sur les malades, pour prier, alors je sens la condamnation.» Aux environs de trois heures de l'après-midi, je suis sorti. Il y a là un grand rocher. Et je me suis mis sur ce rocher et j'ai regardé vers l'est, les mains levées, glorifiant le Seigneur. Et il faisait très calme là-bas. Alors j'ai dit : «Seigneur, si seulement Tu... Une fois, Tu es passé près de Moïse et il a dit, quand Tu l'avais caché dans le creux du rocher, que cela ressemblait au dos d'un homme.» J'ai dit : «Seigneur, pourrais-Tu faire cela de nouveau pour me montrer que je suis pardonné?» Et j'ai dit : «Si Tu veux bien m'aider et venir à mon esprit...» J'ai dit : «Seigneur, mentalement, je ne suis pas très fort, car je n'ai pas d'instruction.» J'ai dit : «Et je - j'essaie de e servir. Tu connais mon cour, et je n'ai pas... Je n'aurais pas dû faire cela. Je ne voulais pas faire cela. Il me semblait que ma tête allait exploser, tellement j'étais nerveux ; et j'ai fait cela étant dans un piège à un moment où Satan m'a attrapé.» J'ai dit : «Si tu m'as pardonné, Seigneur, laisse-moi alors Te voir.»
73 Et Dieu est mon Juge, juste là à côté de moi, à un petit endroit dans les buissons, un tourbillon a commencé comme un vent, et Cela est venu juste le long de la caverne où je me trouvais, et Cela est parti dans les bois. Oh, frère, une paix qui dépasse tout entendement m'a inondé, et j'ai crié, j'ai pleuré, j'ai hurlé. J'étais certain que mes péchés m'étaient pardonnés. Vous voyez, j'étais séparé de Dieu, je ne pouvais pas obtenir la délivrance pour le bébé.
74 Je. Et le lendemain, un homme est venu de Chicago, un grand homme, un catholique nouvellement converti, les valves de son coeur avaient gonflé comme une chambre à air gonflée; et on avait essayé depuis longtemps de les enlever ; on voulait le faire, mais lui ne le leur permettrait pas. Finalement, il est passé par un entretien. Ces entretiens, nous les poursuivons tout simplement jusqu'à ce que nous découvrions ce qui ne va pas. Et cet homme n'était pas plus entré que le Saint-Esprit remonta dans sa vie passée et révéla quelque chose qu'il avait fait lorsqu'il était un enfant de choeur dans l'Eglise catholique. Il a dit : «C'est la vérité. C'est la pure vérité.» Il a dit : «Voulez-vous dire que c'est ce qui se dresse contre moi?»
J'ai dit : «C'est la seule ombre que je vois dans votre vie.»
75 Il est rentré et a parlé au médecin, disant : «Très bien, apprêtez les instruments maintenant, nous allons avoir l'opération.»
76 Le médecin a dit : «Nous allons encore vérifier ce pauvre cour.» Et quand il l'a examiné, il a dit : «Vous n'avez pas besoin d'être opéré.» Voyez-vous?
77 Si nos cours nous condamnent, il nous faut une délivrance totale. Il ne faut pas que nous soyons une demi-église. Nous voulons être une véritable église ou pas une église du tout. Il nous faut être de véritables chrétiens ou pas des chrétiens du tout. Il nous faut une délivrance totale de nos habitudes, de nos péchés, de nos mauvaises pensées, de nos mauvais actes, de notre négligence, de quoi que nous ayons fait. Il nous faut avoir une délivrance totale, afin que lorsque les gens viennent à l'église pour que l'on prie pour eux, il y ait juste ce petit groupe de gens (peut-être pas plus de cent, ou deux cents) assis ici, mais qui seront complètement entre les mains de Dieu. Et quand nous prierons, alors Dieu entendra du Ciel. Dieu cherche à avoir quelqu'un qu'Il peut tenir dans Sa main, quelqu'un dont Il dira : « J'ai confiance en lui. Je peux envoyer celui-ci, Mon serviteur malade, au Branham Tabernacle, à Jeffersonville, et ce groupe de gens là sont d'un commun accord.» Quelque chose arrivera.
78 Eh bien, observez ce qu'Il fait pour nous dans la condition dans laquelle nous sommes. Que ferait-Il si nous étions d'un même cour et d'un commun accord? Le seul moyen pour nous d'y parvenir, c'est d'unir nos cours dans l'amour fraternel, d'obéir aux représentants de l'église, et au pasteur, et que le pasteur obéisse à Dieu. Alors Dieu agit à travers le pasteur, le comité, là dans l'église, et tous ensemble sont un seul groupe pour le Royaume de Dieu. Alors Dieu écoutera, quand nous serons un groupe uni. Que rien ne vous trouble. Ne soyez pas effrayés devant quoi que ce soit.
79 Bien, c'est le genre de personne à qui Dieu a ordonné de prendre possession du pays. Moïse était complet, il était un homme qui ne pouvait pas faire des compromis. S'il y avait des problèmes et des agitations, et des choses semblables, il ne faisait pas de compromis. C'est ainsi que Dieu veut que nous soyons maintenant.
80 Pharaon a accepté de donner son accord, en disant : «Moïse, vous pouvez tous partir, et, mais laissez vos enfants, ou plutôt laissez une partie de votre bétail après vous.»
81 C'est ainsi que le diable veut que le chrétien vienne. «Ce sera très bien que vous deveniez membre de l'église, mais ne pardonnez jamais à votre voisin. Il n'y a pas de problème si vous pouvez y amener votre... Si vous pouvez aller... Vous n'êtes pas obligé d'abandonner la cigarette, la boisson, le mensonge, le vol, les critiques, la médisance. Vous n'êtes pas obligé d'abandonner cela. Joignez-vous simplement à l'église.»
82 Mais Moïse n'était pas quelqu'un à faire des compromis. Il cherchait à avoir une délivrance complète. Il a dit : «Nous ne laisserons pas un seul sabot. Nous prendrons tout ce qui nous appartient, quand nous irons adorer l'Eternel.»
83 C'est ainsi que l'église devrait être. «Nous prendrons la justice. Nous prendrons la sainteté. Nous amènerons le Saint-Esprit. Nous prendrons un groupe de gens unis quand nous irons à l'autel. Nous serons un véritable groupe. Nous ne laisserons rien. Nous emporterons tout. Pas un seul sabot ne restera là derrière.» Vous savez, et les gens peuvent prier de telle manière que le diable sera obligé de céder.
84 C'est ce que firent Moïse et son groupe. Ils arrivèrent là et se mirent sous le Sang. Vous avez vu qu'avant qu'ils n'arrivent sous le Sang, il n'y avait pas de délivrance totale. Moïse, lui-même, était uni à Dieu, mais Israël ne l'était pas. Le péché était toujours là. Et ils ont murmuré contre Moïse et ont dit : «Pourquoi - pourquoi fais-tu ceci? Tu nous amènes plus de problèmes.» En effet, Pharaon avait simplement doublé la quantité de briques, et ainsi de suite. Ça, c'était Moïse ; il était complètement entre les mains de Dieu, totalement délivré de la garde de moutons, pour garder les brebis de Dieu. Il était totalement délivré, lui. Mais les gens n'étaient pas délivrés, puisqu'il y avait encore des murmures parmi eux.
85 Un soir, lorsque Dieu avait ordonné qu'un agneau soit tué, un type de Christ, et que le sang soit plongé dans l'hysope, laquelle n'est qu'une herbe (ordinaire, humble), et qu'il soit appliqué sur le linteau de la porte et sur les poteaux, c'est alors qu'Israël fut complètement délivré, sans laisser un seul sabot. Tout ce qui leur appartenait était délivré. Leurs familles, leurs bien-aimés et tout était délivré quand ils sont venus complètement sous le sang.
86 L'Eglise sera complètement délivrée quand tout sera sous le Sang. Quand vos péchés sont sous le Sang, quand vos cigarettes, quand vos jeux d'argent, quand votre tricherie, quand votre vol, quand votre mensonge, quand tout sera apporté sous le Sang, alors il y aura une délivrance totale. Si vous faites du tort à quelqu'un, arrangez cela. Vous ne pouvez pas apporter cela sous le Sang, cela ne restera pas. Vous ne pouvez pas apporter cela. Rien ne vous le permettra. Quand votre moi est complètement, totalement apporté sous le Sang, il y aura une délivrance totale; alors vous aurez une liberté que vous n'avez jamais connue auparavant. Quand tout est apporté sous le Sang, apporté dans la soumission au Royaume de Dieu, alors il y aura une véritable délivrance.
87 Jésus était complètement, totalement un homme. Il pouvait pleurer comme un homme. Il pouvait manger comme un homme. Il pouvait se comporter en homme. Il était complètement, totalement un homme, dans Son corps. Mais dans Son Esprit, Il était complètement, totalement Dieu, aussi fit-Il soumettre Sa chair à l'Esprit qui était en Lui. Vous voyez, Il a été tenté en toutes choses comme nous. Il était un homme, pas un ange. Il était un homme. Il avait des désirs et des tentations, juste comme nous. C'est la Bible qui le dit. Il était un homme, pas un ange au-dessus de la tentation. Hébreux 1 dit qu'Il était... Hébreux 1 : 4 dit qu'Il a été abaissé en dessous des anges. Il était un homme, complètement un homme ; Dieu prit un homme complet pour apporter une délivrance totale, et Il Le remplit de Son Esprit. Le Saint-Esprit était en Lui, sans mesure. Et Il a été tenté comme nous. Et Il était complètement Dieu. Il l'a démontré quand Il est ressuscité des morts, quand Il a arrêté la nature, le mugissement des mers et es vents puissants. Quand Il a parlé aux arbres et tout, ils Lui ont obéi. Il était Dieu, au-dedans de Lui. Et Il aurait pu être un homme, car Il était un homme, mais Il S'était totalement et complètement abandonné (en tant qu'homme) entre les mains de Dieu, au service de Dieu.
88 Et Il est notre exemple. Nous sommes des hommes et des femmes. Nous sommes aussi des chrétiens. S'Il est notre exemple, abandonnons-nous complètement entre les mains du Saint-Esprit enfin que nous soyons des sujets du Royaume de Dieu.
89 Il était totalement un homme ; Il était totalement Dieu. Mais Il avait abandonné Son naturel à Son... et Son corps et Ses propres pensées, Ses propres oeuvres, ainsi que Ses propres soucis, et, «Je ne fais que ce qui est agréable au Père». Vous y êtes. Totalement délivré vis-à-vis des humains. Les sacrificateurs sont venus Le voir, des grands hommes, et ils ont dit : «Rabbi Untel,» et ils ont essayé de Le corrompre pour qu'Il se joigne à leurs affiliations et dénominations. Mais Il était totalement délivré parce qu'Il se confiait en Dieu.
90 Le psalmiste n'a-t-il pas dit : «Tu le délivreras, car il s'est entièrement confié en moi» ? Voyez-vous? «Je délivrerai mon bien-aimé des chiens, car il s'est confié en moi.»
91 Quelques heures avant que nous arrivions à la fin du voyage, j'aimerais que cela soit dit à mon endroit. Et je suis certain que vous aimeriez que cela soit dit à votre endroit. J'aimerais qu'Il dise : «Je le délivrerai des griffes de la mort, car il s'est confié en Moi. Je le délivrerai de la tombe, au matin de la résurrection, Je le délivrerai totalement, et son âme, et son corps, et son esprit, car il s'est confié en Moi.»
92 Toutes les oeuvres de Jésus étaient complètes. Tout était complètement, totalement délivré. Il a totalement délivré le lépreux de sa lèpre. Il a totalement délivré de son flux la femme qui avait la perte de sang. Il a totalement délivré le monde du péché, quand Il mourut le jour de l'expiation. Il l'a totalement délivré du péché. Il a délivré l'Eglise. Ainsi, il ne nous faut pas vivre en dessous des privilèges. Il a vaincu le diable et a pris toutes les principautés et les dominations, et les a abaissées sous Ses pieds, et ils n'ont pas des droits légaux de dominer sur nous. Nous sommes des chrétiens, remplis du Saint-Esprit. Nous n'avons pas à ord... à permettre au diable de nous donner des ordres. Christ nous a délivrés : une délivrance totale ; Il nous a délivrés du mal ; Il nous a délivrés du péché; Il nous a délivrés de nos habitudes ; Il nous a délivrés de nos bavardages; Il nous a délivrés de - de la vulgarité; Il nous a délivrés de toutes sortes de sales choses. Il nous a totalement délivrés et nous a placés entre Ses Saintes mains ; une délivrance totale et complète.
93 Il a délivré nos maladies. Il nous a délivrés de la maladie, car nous avons un titre incontestable pour cela. Alléluia ! «Car Il était blessé pour nos péchés ; par Ses meurtrissures nous sommes guéris.» Il est notre Guérisseur. C'est la raison pour laquelle cette pauvre petite dame à la polio qui essayait de s'occuper d'un mari se mourant du cancer, est entrée dans le domaine de la Présence de Dieu. Elle avait la foi et elle... Les médecins avaient fait tout leur possible, alors elle a obéi aux instructions de Dieu et a été totalement délivrée.
94 Les disciples avaient une délivrance totale, une délivrance tout à fait totale. Pourquoi? Parce qu'ils étaient complètement et totalement remplis du Saint-Esprit. Quand vous, en tant que membre de l'église, serrez la main du pasteur, ou un... faites une petite expérience consistant à sauter, à crier, ou à parler en langues, l'une ou l'autre chose, et que vous ayez encore de la malice dans votre cour, des comportements bizarres, racontant des mensonges, fumant la cigarette, convoitant les femmes, il ne s'est encore rien produit. Il y a quelque chose de faux. «Car quiconque aime le monde ou les choses du monde, l'amour de Dieu n'est pas en lui.» Vous avez été induit en erreur. «C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.»
95 Il nous faut tous être unis au Saint-Esprit. Tous les membres devraient être unis, les uns avec les autres. L'amour de Dieu est répandu dans nos cours par le Saint-Esprit. Cela nous purifie de toute impiété. Nous sommes délivrés des choses du monde. Jésus a dit : «A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres,» quand un membre aime un autre membre au point qu'il pourrait mourir pour lui.
96 Quand une mauvaise chose commence, le monde extérieur, certaines femmes viennent et disent : «Eh bien, regardez, ma chère. Tu ferais mieux de faire ceci ou de faire cela, de porter ceci, ou de faire cela ou ceci, et de quitter cette bande d'exaltés,» et ainsi de suite.
97 Nous sommes vraiment unis à Dieu! Vous dites : «Eh bien, Frère Branham, c'est une tentation terrible.» Mais Christ est mort pour cela. Le diable est vaincu. Il nous faut une délivrance totale. Il nous faut une église pure, propre, sans mélange, lavée dans le Sang de l'Agneau et remplie du Saint-Esprit, ayant des signes, des prodiges et des miracles. [Espace non enregistré sur la bande - Ed.]... délivrer totalement chacun. [Espace non enregistré sur la bande - Ed.]
98 Dieu bien-aimé, Tu n'enlèveras pas les choses à moins que l'on soit totalement délivré. Tu ne peux pas accepter un sacrifice qui a un défaut. Tu ne peux pas accepter une prière s'il y a un péché dans la vie de la personne. Tu ne peux simplement pas le faire, Seigneur. Tu ne l'as pas fait dans les âges écoulés, et Tu ne peux pas le faire aujourd'hui. Mais le sacrifice doit être sans défaut. Et, ô Seigneur Dieu, comme nous nous mettons sur l'autel en tant que sacrifices vivants, ôte de nous, ô Seigneur, toutes les souillures du péché. Je place entièrement mon âme, mon corps, ma force, mes efforts, avec cette église, sur l'autel ce matin. Purifie-nous par Ton Sang et pardonne-nous tous les péchés que nous avons commis. Et que le Glorieux Saint-Esprit demeure abondamment en nous, que Sa Présence nous accompagne ce matin à partir de ce tabernacle afin que nous sachions au-dedans de nous qu'Il nous a pardonnés. Et alors la prière sera : «Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés» Accorde-le, Seigneur.
99 Sois près de nous maintenant, bénis-nous et garde-nous jusqu'à ce que nous nous rencontrions de nouveau à la réunion du soir. Puissions-nous y venir avec les mains propres et un cour pur, afin que Tu ne nous rejettes pas, car nous voulons avoir une délivrance complète et totale de toute chose, Seigneur, qui nous empêche d'être la lumière du monde, une chandelle placée sur une montagne, non pas sous le boisseau, mais une chandelle qui est placée sur une montagne, qui éclaire pour diriger les pas de ceux qui marchent sur le droit chemin. Accorde-le, Père. Nous le demandons au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen.
100 Je vais demander à Doc.... je pense qu'il est là au fond, ou à l'un des diacres présents, pour que l'église lise ceci. Doc, venez mettre ceci sur le tableau d'affichage pour que l'église voie cela à la sortie. Et puis, frère Collins, s'il est ici... Frère Collins est-il ici ? Donnez-lui l'autre.
101 Et... très bien, monsieur, et nous verrons ce que le... [Frère Branham fait une pause et lit silencieusement une note. - Ed.] Il s'agit de quelqu'un qui désire avoir un entretien. C'est toujours accordé. Nous en sommes heureux.
Et j'accorde des entretiens. Vous voyez, tout ce que vous avez à faire, c'est d'appeler notre numéro d'ici. Nous - nous avons eu tant de problèmes à la maison; eh bien, l'église le sait. Ça, c'est - c'est pour les étrangers. L'église le sait. On devrait avoir un petit truc mis... Je vais faire mettre cela ici aussi dans l'église, pour ceux qui arrivent. Vous voyez, il y en a tellement que nous ne pouvons pas nous occuper d'eux tous, comme ils viennent selon le numéro. Voyez-vous ? Et nous... Et si vous appelez BUlter 2-1-5-1-9, BUtler. Et tout membre qui voit quelqu'un dans le besoin. je suis toujours ravi de voir les gens. Mais nous avons un système ordinaire. Il y en a qui ont déjà été appelés, voyez-vous. Et nous venons simplement, un à un, au fur et à mesure. Et puis, il y a... D'habitude, nous avions quelque peu un succès hasardeux, de toute manière, on saute et hop ! Les gens rentraient chez eux déçus et tout. Maintenant, on a mis tout en ordre. Et c'est de cela que nous essayons de parler maintenant, oyez-vous, mettre tout en ordre, parfaitement.
Et je serais heureux de voir ce précieux groupe, s'ils appellent simplement BUtler 2-15-19 (1-5-1-9), et M. Mercier et M. Goad, l'un ou l'autre répondra au téléphone et vous dira exactement quand vous pourrez obtenir un rendez-vous. Nous avons là une pièce climatisée et prête pour recevoir les gens pour qui on doit prier. Nous sommes vraiment heureux de le faire.
102 Maintenant, la raison pour laquelle je ne viens pas à l'église, les gens pensent que je cherche à les éviter ; ce n'est pas ça. J'essaie de - d'être tout à fait correct. Vous voyez? C'est ce que j'aimerais être, ne pas montrer que je fais acception des gens. Chaque personne, tout le monde, n'importe où, n'importe quand, vous voyez ? La race, le credo n'y a rien à voir. Nous venons ici exactement pour rencontrer les gens. Et s'ils ont un besoin, nous restons simplement avec Dieu jusqu'à ce que cela soit résolu. S'ils veulent savoir quelque chose concernant les réunions, bien entendu, nous nous en occupons et enregistrons cela. Il s'agit simplement de la conduite du Saint-Esprit. Et c'est... Cette façon de faire, je pense, est correcte, elle met tout le monde sur le même pied d'égalité. Par conséquent, on ne fait acception de personne. Pas d'acception.
103 Y a-t-il des gens qui sont venus ce matin pour qu'on prie pour eux? Ceux qui étaient malades et qui voulaient qu'on prie pour eux. Très bien. Il n'y en a pas.
Alors, chantons ce beau cantique de la... d'adoration. Que pouvons-nous chanter ce matin? «Qu'est-ce qui peut laver mon péché?» Le connaissez-vous, Teddy? «Rien que le Sang de Jésus.» Qu'est-ce qui peut...
[Une soeur dans la congrégation dit qu'une dame est très malade. - Ed.] Certainement, oui. Voulez-vous prier pour elle maintenant?
Je vais prier pour cette dame. Imposez les mains à cette femme-ci. Inclinez un moment la tête avec moi, calmement maintenant. [Frère Branham quitte le micro de la chaire. - Ed.]
104 Dieu bien-aimé, il y a une dame qui est très malade. Notre soeur a placé son corps. même pour ôter des autres le cancer, en se tenant à la brèche pour les autres. Mais, Tu l'as délivrée de cela, ô Seigneur, il y a quelques jours qu'on a eu connaissance de ces choses. Qu'elle découvre alors elle-même, ô Seigneur, qu'elle sache que cela vient de Toi. Je lui impose les mains et réclame la miséricorde pour cette autre dame qu'elle soutient. Que la grâce de Dieu, la Puissance du Saint-Esprit... S'il y a le mal dans nos cours, Seigneur, révèle-le-nous premièrement, ensuite nous irons le redresser. Alors nous saurons que nous avons trouvé grâce aux yeux de Dieu, que nous sommes en paix avec Dieu, que nous recevons ce que nous demandons, car nous n'avons pas de condamnation. Accorde-le, Seigneur. Je prie au Nom de Jésus. Amen. Merci, madame.
Très bien. [Frère Branham revient à la chaire. - Ed.]
Qu'est-ce qui peut laver mon péché?
Rien que le Sang de Jésus;
Qu'est-ce qui peut me rendre saint?
Rien que le Sang de Jésus.
Oh! précieux est le flot
Qui me rend blanc comme neige
Je ne connais d'autre source,
Rien que le Sang de Jésus.
105 Combien sentent que tous leurs péchés sont sous le Sang? Chantons cela les mains levées maintenant.
Qu'est-ce qui peut laver mon péché?
Rien que le Sang de Jésus ;
Qu'est-ce qui peut me rendre saint?
Rien que le Sang de Jésus.
Maintenant alors que nous baissons les mains, serrons la main à ceux qui sont autour de nous.
... Précieux est...
Faisons-le tout autour de nous.
...blanc que neige.
Je ne connais d'autre source,
Rien que le Sang de Jésus.
L'aimez-vous ? [L'assemblée répond : «Amen.» - Ed.] Amen.
Oh! combien j'aime Jésus,
Oh! combien j'aime Jé- ...
Maintenant, attachez-vous donc à cela. Que chacun s'accroche à Dieu.
Oh! combien j'aime Jésus,
Car Il m'aima le premier.
Je ne L'oublierai jamais...
1 I was kinda didn't know what to say this morning. I was setting back there with Brother Egan and I heard... Brother Neville was saying something there, looking towards me, and I said to Brother Egan, "Is he calling me?"
And he said, "He is."
And then here I'm up here to say something this morning. I was thinking when I was... The fan there where there--draws the voice, just seems to pull it right out when you're speaking and seems that the fan takes the voice right away.
I was hearing so testimony when I was in there to pray for the woman on the phone, and the one who got the message forgot to put the city of the place where to call, from Doctor Morrison's wife. And I'll just tell you what I done for you-all's prayer, and mine, I laid hands on the phone and pointed to the number wherever it was, and asked the Holy Spirit to go to the woman. So I think He'd hear that just the same as He would be if we would... See? And I just laid it down. And it might be that that's the way the Lord wanted it. See? It might be it would be better like that.
3 And then I heard the testimonies while I was in there. Someone saying that Sister Rook had... I believe Brother Neville said that she'd had a--a mental collapse like. Let's hold onto God for that, just remembering this one thing: God knows His Own. He knows all about them.
4 Can you hear all right in the back? If you can't, there's some empty seats up here, you can change if you wish to. And, let's see, is this the main mike? This over here is the main mike? Okay. We'll see if we can get that just a teeny bit closer. How about right around here, Gene? That'll be just fine. And sometimes I get just a little hoarse. I've been preaching quite a... Is that better? Can you hear that better?
5 And we certainly remember these in prayer. And we want to report a glorious meeting from down in... Am I looking at Sister Rook? I thought I looking at a lady back here that looked like her. I thought, "Surely I'm not talking double here." I looking at someone looked like her, towards the back. She's in the Saint Edward's Hospital.
6 And so at Cleveland, Tennessee, and also in California, we had a glorious meeting. The Lord blessed greatly, and many things that He did. And we're happy for that, happy we can come back to our own company, reporting the goodness and the mercy of God. That's the way they did in the Bible.
I was appreciating Brother Neville's--or Brother Beeler's prayer, how he prayed for the people, and--and asking for help and mercy. And if we'll just look along, you always, everything that goes on, you'll find there's something real genuine about it. And then when Brother Neville come and brought these deacons and so forth up here to the platform to--to pronounce the blessings of God upon the--the church offering, I heard him speaking in his prayer to God about those men, how that they prayed for one another. And that does me good to hear a pastor that can pray over his deacons, and the deacons pray back for the pastor. When you see a church going into cooperation like that, well, something's fixing to move. That's the way the church has to be in order. And it give me just an idea for a text. I was going to speak on the blessing at Kadesh, and the refusal of the hearing of the report of the spies, but then I changed my mind to something else then.
8 And now, concerning healing, I got just a little testimony that I'd like to give. I was in hopes I'd see my boy, Billy, back there, but he's got it in his pocket. And Billy's getting to be better in the meetings than what he used to be. He was nervous and upset, and he'd kind of tell the people, "Oh, go set down, go set down. I--I'll give you a prayer card." But I've noticed recently there's getting to be people in the meeting that he just feel's so sorry for, if he ain't got no prayer cards left, then he'll put them in a room so I can go pray for them.
9 And such a thing happened at Chicago the last time, and I'd like to read that letter if he does come in. I never got to see him. He didn't know I was coming this morning over here, and want--want the letter. But I just thought of it when I thought of so much sickness. And here's the way it is. It's a certified letter that I was reading in the paper (I never was told), that where the papers was criticizing Oral Roberts for praying for a woman who had diabetes and died. And I, not out... As an American, I--I like to listen to the laws and--and the man who's in authority, but I think that's not just. Wonder if they'd be willing to put in the paper all that Oral Roberts had prayed for and got healed, that the doctors turned down. I wonder--just swap it right around once. See? They wouldn't do that. And then I think maybe that the Devil has just muddled them up so, that, and God permitting it, that the day of the judgment they'll have to answer for that. But I know of thousands of people that Oral Roberts has prayed for, that's been dying, and they're well.
10 So you see, they--they're unfair about it. They'll deliver their side, the critical side, but won't deliver the other side. Now, the paper is supposed to keep the public up to date on events that happen. Then I think if human beings are concerned with one another, if somebody gets healed, really healed, every paper in the United States ought to pack the article of it. But you can't hire them to do it. No, you take something like that there, they'll snicker and laugh at it and turn it back; but now if there's anything to criticize... It just goes to show that this nation is ready for judgment. That's right. And there's got to be judgment, and there's no way to escape it, and they're only heaping fire upon their heads, and so forth, and such a--a disunified to the principles. A paper, its principles is to--to inform the public of anything good or bad that's happening. But they're away from their principles. And when they're kee--away from their principles, then they--they will not serve their purpose well.
11 And that's the same way it is with the church. When the church is away from its principles, it can never serve the saints well. We've got to stay together, got to be unified. We got to be one heart and one accord. Or we'll never serve God or the people unless we're one heart and one accord, to stand by the principles of the Bible and the things that God has said that's right. We must always stand by them.
12 Billy stuck into the room at Chicago, he... Someone come to him, a woman with her husband with cancer on the lungs, dying, and his wife was a polio victim in a wheelchair, and her trying to take care of a man that couldn't hardly stand up with cancer on his lung. And Billy said to him; he said, "I--I'm sorry, sir." Said, "I'd gladly give you a prayer card." And he said, "But I--I haven't got another one left."
And he said, "Well, all right, sonny." He said, "That's all right." Said, "We tried to get here, but it was so unhandy for us."
Billy said, "Tell you what you do." Said, "I'm going to get Dad and I'm going to bring him in, and I take him out." And said, "When I do, as soon as you hear his message," said, "then you get your hu--or your wife and you, and get into a little room there where I pass through, and I'll have him pray for you."
"Oh," he said, "that's loyal, son. That's good enough." See? There's an--there's an attitude. See? "Good enough. That's fine." See?
16 And that night, Billy, when he went back there, still against what he had said, that he had his brother-in-law there who was bleeding with hemorrhages from the lungs, and his sister-in-law there who was bleeding from the stomach with ulcers, also that they'd come in with them, kind of on the side of helping them get in. You have to watch; there'd be a whole room full. You see? But going through and praying for them, we get a letter back through the mail that that man has perfectly healed of that cancer of his lungs; the woman, the wife in the wheelchair, is up going around just normal as she ever was; the man with the hemorrhages of the--of the lungs from tubercular is completely well, and his wife is well of the ulcers. Four of them healed straight, I wonder if the newspapers would be willing to print that? See, see? See? Oh, but God still is God. He just does things in His Own way, you know, and He's so good. We're so happy to know that He is God.
17 We was talking the other morning about a little preacher that we know that used to go around and pray for the sick and everything, and he went and prayed for a person in the hospital in Louisville, and a tubercular case, the lady died. The little fellow said, "Well, there's no need... God ain't... There ain't no God; He'd keep His Word." But, "I anointed her just like--like the Bible said. If He don't keep His Word, He's not God." Said, "It's just a Book."
Now, that would seem like that unless you knowed God. That's part of the Scriptures, but it's not all of the Scripture. It's upon the basis of the faith of the individual. See?
19 And I told my wife, I said, "There's been so many things happen, that I just know that there is. I don't know what's going to happen to me at the end. I may go the same way. If God ever moves His hand of mercy from me, I'll go the same way. But as long as He'll keep His hand of mercy and guidance upon me, I'll go on." But I asked Meda; I said, "Who was it in the room that morning after the vision of me seeing my little girl, Sharon?"
20 By the way, the other day, I like to have fainted; I was setting on the street. And you know my story of the vision of her after... And I looked, coming by my side, and there come a young girl down the street here in Jeffersonville, was just exactly like that vision. I just had to grasp my hands together. Looked so much like that vision of my little Sharon; she was a young woman then.
And after that vision that morning when in glory, I--Hope was telling me, had her arm around my shoulder, saying, "Don't worry about us, Bill. We're better off." I was just trying to commit suicide. And she said, "Don't worry. Promise me you won't worry anymore."
And I said, "I can't promise it, Hope, because I--I--I'm--I worry. I can't help it."
23 And I come out of the vision, standing in the dark room. And not a vision, not imagination, but her arm was still around me. And she was patting me. I thought, "Wait a minute. This is not..." I didn't know what to call it in them days, a vision; I called it a trance. I said, "This is. Her hand's still there." I said, "Are you here, Hope?"
She said, "Bill, promise me that you won't worry anymore about me and Sharon." 'Cause I was at the end of the road; I was ready to commit suicide. I said, "I promise you." And she hugged me and patted me with her hand. And then I--I said, "Hope, where are you?" I got--felt up and got ahold of the little chain on the light and pulled it. I went around, searched through every chair to see if she was setting there. He's God. He's just as much God today as He was on Mount Transfiguration when Moses and Elijah appeared. He's still God.
25 We may go through lots of troubles and trials. Just remember, there's Someone Who knows, lights the way, makes it real. I do not know what's behind the curtain, but I know one thing; I'm pressing towards the mark of the high calling, everyday trying to live for that great event that will take place someday when I shall see Him face to face and tell the story saved by grace. That's the day I live for. Leaving those things behind, which are, I want to press on, just keep going.
26 I want this Tabernacle, now that you're on your feet, I want you to keep pressing towards the mark of the high calling. Whatever you do, cling together, be as clannish as you can be, but always with a arm out to reach and get someone else to bring them in. But in this faith that we're now preaching and earnestly contending for, don't you move one inch from it. For if you believe me to be His servant, this is the program of God. It'll never be in the majority. It'll always be in the minority, always has and always will be. But remember, it is written, "Fear not, little flock; it's your Father's good will to give to you the Kingdom."
27 Now, there is a group of offices of our church, deacons, trustees, Sunday school superintendent, pastor, as our church is set in order. And you the people elected these officers and this pastor. I'm just general overseer to see it goes on right, and to give advice and so forth. You are the one who elects your pastor; you elect your trustees; you elect your deacons; you elect every office there is in this church, you the people. And it's your duty to stand by those men (See?) for they'll make mistakes. They're mortals; they're just men, and they'll make mistakes. But if the President of United States makes a mistake, do we throw him out as President? We forget about it and move on. That's the way we want to do our church now.
I was listening to him pray a few minutes ago for those deacons, and to hear back there a testimony at the door from the trustees, how that with one accord you all are. Now, stay that way. Now, you members stand by these trustees, deacons, and pastor. And remember, when you get this together, remember that it's the Devil's business to see that that's broke up. Now, it's always has been and it always will be. But you stand by your officers, and that was the talk that I was going to make.
28 And then I have here also some--something for the bulletin board this morning, about the meeting of the board and their authority. And it'll be on the bulletin board, and I got a copy for Brother Roberson who is the chairman of the de--of the trustees. And then I got a copy for Brother Collins, I think, who acts as the chairman of the deacon board. And now, all these offices are set according to the Scripture, and they must have the Scriptural rules of what they must do. Therefore, the trustees has an office of their own. And the deacons has an office of their own. The Sunday school superintendent has an office of his own. And the pastor is the head of the flock.
29 Now, each one of these has things in common. And I think that your meeting should not be together, but it should be as each office, 'cause the deacons has nothing to say to the trustees unless they got some business to present to them. And vice versa, the trustees is over the finance and things of the building; they have nothing with the deacons. The deacons are the policemen of the church, and the assistants to the pastor. And the trustees is the holding of all the property. The trustees has nothing to do with the spiritual end of it, and the deacon has nothing to do with the financial end of it. Therefore, it must be. And the Sunday school superintendent is over his Sunday school. So I've got it all wrote, typed out, to be on the bulletin board.
30 And then we are also going to get in a frame the doctrine that the church stands for, and have it framed in here in the church; what we stand for, the--the principles, the doctrine of the church. Now, to be a church, we got to have a doctrine.
We don't draw down any stake and say, "We just go this far." We go out just as far with fellowship with everybody that God will let us go in His Scriptures with the people. And now stick together; be of one accord, one heart, and move on for God. That's the way God wants us to do. Now, let us pray and then open the Word.
32 O precious Lord, we are now about to approach the Divine Word or the reading of this Word. May Your Holy Spirit interpret to us that which we have need of. And let us speak, Lord, and act and live, knowing that we are all Your children by grace as You have called us. May there be a fellowship in this church, seeing that we're just about to emerge into some great move, we feel, of bringing up other ministers to go out into the fields to where, if You shall send me into the different parts of the world, there to establish the faith, and to have a minister ready, and willing, and trained to take over. And may the faith that was once delivered to the saints, that we are gallantly standing for, become a circle around the world. Grant it, Lord. And may this little weed pile, as it was one day when we dedicated it to You, may there be a church rise up here, Lord, that out of it shall go ministers, and evangelists, and teachers, and missionaries to all parts of the world.
33 We would ask this morning, a special blessing for our Brother and Sister Stricker who's suffering now. But we know that we're all put to these tests. Every son that cometh to God must be chastened, tried. And if we give up easy, and turn back, then we are illegitimate children, and not the children of God. Give Brother and Sister Stricker strength and power to stick to their post of duty. If they have to beg what food they eat, let Thy hand of blessing be upon them. For we know not but it might be through that very effort that You'd show the native of Africa what a real Christian is. Grant it, Lord. Now, let it all be done according to Thy will.
34 Bless this pastor, Brother Neville. We pray, Lord, that You'll make him a shepherd of the flock, as You have in past. And we would not forget his lovely little wife who is very sick. The enemy would like to leave Brother Neville with that group of children with no mother, but we stand and place, by faith, the Blood of Jesus Christ between that enemy and our sister. May Your Spirit, Lord, be great upon her, knowing that all women are ordained to walk down through this valley of darkness of this age, but we pray that You'll be with her. Bless those little children. She'll be nervous now and fretful, but may the Holy Ghost be at the door of mercy at all times for that family.
35 Bless our trustee board, our Brother Wood there, and our Brother Egan, Brother Roberson, and all--all of the others, Lord. Deacons, trustees, and all that's associated in the church, we pray, Lord, that You'll let them serve their term with holiness and--and righteousness. Bless those, Lord, who have served in the times past. And we pray that You'll continue to be with all of us that we will be known as a church of unity and spirit and love of the Lord. We pray now that You'll divide to us the Word as we have need, as we read out of Thy written Word. For we ask it in Jesus' Name. Amen.
36 And in praying, I was thinking as we were blessing or asking blessings for our modern--our new board of trustees and so forth, I was thinking of our Brother Fleeman and Brother Deakman and them setting here, who has served well on before. And we want to be thankful to God for their loyal service. May the Lord ever be with them to bless them and to help them. I want to read before... Just remember now, the bulletin board and so forth, and the coming meetings.
37 And we're happy to have with us this morning, well, I might say it like this, a man who has been very precious to me in times past, and precious now, a good brother, Fred Sothmann from--and his wife, from Saskatchewan, Canada, who is here to sojourn with us, in our nation, a sojourner; but in our fellowship, a beloved brother, Brother Fred Sothmann setting there. He manages the campaign for me when I was in Canada.
And another precious brother who is also formerly a Canadian, which was a businessman, and can prove to the world that you can't out-give God. He and his buddy formed a foundation for finances of building a place, or for a foreign mission, a foundation. And they called me to Oakland for a meeting, and said they had the money, they'd sponsor it all in their foundation.
39 Brother Fred and I tried that for some money that Brother Fred had that I would not take as an individual. So then we decided we would give it to the Canadian people and not even take up an offering, but it didn't go so good. The meetings were fine, but because we didn't take up an offering... I don't care if the church is worth a hundred billion dollars, you still owe it to God to take up an offering. That's part of the worship. And you rob that... As much as I've been against money and things like that, I find out when a man's wrong you might as well admit you're wrong, 'cause Brother Fred and I seen it pan out not so good.
40 And, Brother Borders, when I left Brother Fred and come down to you at Oakland, I said, "Don't you do it. You just pass the collection plate and take up an offering, and whatever it is, put it back in your foundation for another meeting somewhere."
And before the services closed, Brother Borders and his friend come to me and said, "As much as we put into the--the meeting, is already took up."
And then a few days ago he made arrangements for a meeting in San Jose, California, where he had some, I guess sixty or seventy churches in the valley, of all different faiths all cooperating. We had a wonderful meeting, and returning back again November. We're happy to have you with us, Brother Borders and Brother Fred setting back there. And these men has--strangers maybe to you all, but they've been precious brothers to me out in the fields, contending earnestly for the faith that we're standing for. God bless you, brothers. We're glad to have you this morning in the little old Tabernacle here; not much to look upon, but there's something here that we know that God lives here. You see? So we're happy for that. And there's other precious brethren, if I had time to mention, that's with us today.
43 Now, I am anticipating and praying that in the next few days, the Lord willing, I want to go, feeling led, I haven't made the announcement, the next meeting, to Ohio, to be with Brother Sullivan on the campgrounds, within a short time. It's only about hundred miles up there, I guess, Gene, something like that. Be a fine trip if you hadn't planned your vacation, if the Lord continues to lead us. Very fine man, and we appreciate Brother Sullivan a great deal. Just, he's the mayor of the city, and was just ex-mayor, and just an old fashion Kentuckian. That's all I can say about him. When I met him the other day in... We was both raised down there in the mountains of Kentucky, or, he said to me, "Have you still got your asafetida around your neck, Billy?" Now, you know how--how Kentucky he is. Now, let's turn in... No disregards to my Kentucky brethren here, Brother Jeffreys and so forth. I'm a Kentuckian too, you know. I tell you one thing we are; we are not Kentuckians or neither are we Americans; we are pilgrims and strangers; we're seeking a city to come.
44 Now, for a reading, let's read out of the Book of Exodus for a few minutes. I wish to read from the 23rd chapter, and the 20th verse to the 23rd, inclusive. And I want to take a text this morning from like this, of this, rather, "A Total Deliverance." And I won't be long speaking now while I was waiting for you to turn to your Book and chapter,
Behold, I send an Angel before thee, to keep thee in the way, and to bring thee to the place which I have prepared.
Beware of him,... obey his voice, provoke him not; for he will not pardon your transgressions: for my name is in him. (I'm sure that the congregation knows who this Angel was.)... my name is in him.
And if thou will indeed obey his voice, and do all that I speak; then will I be an enemy unto thy enemies, and an adversary unto thy adversaries.
For mine Angel shall go before thee, and bring thee unto the Amorites, the Hittites, Perizzites, Canaanites, Hivites, and Jebusites: and I will cut them off.
45 May the Lord bless His Word as we speak now for a few minutes, if you'd pray. I was thinking on this subject of "A Total Deliverance." The Church has been in the--in the minority; it always will be in members until Jesus comes. But it's living under its God-given privileges. If we only knew, this is the Church of the living God, not the Branham Tabernacle, for the Branham Tabernacle's just part of it. There's other such tabernacles through the country.
46 Brother Snelling tonight is having a baptismal service; I forgot Brother Curtis told me to announce that, or told me yesterday he was having it. He's having a baptismal service, and if anyone here has never been baptized yet, why, Brother Snelling would be glad to do that tonight. That's the Holiness Tabernacle at Utica. And Brother Junior Jackson in New Albany... And there's many such churches throughout the country, but we're all living, seem like, on the defeated side, more or less.
I heard Brother Neville announce this morning back there, that it kind of come to my mind, that the people seemingly are getting away from deliverance. It seems to be something that the people seen it so they just push it out to one side, "Oh, well, God can do it." But that's not the attitude.
48 Now, Moses, when he was called by God, he was a total, complete prophet. When God sends a man to do anything, He completely equips him with everything that he has need of. If God calls a man to be a preacher, He puts something in him to preach with. If He calls him to be a teacher, He puts something in him to teach with. If He calls for him to be a prophet, He puts something in him to see visions and to be a prophet. God always completely equips His man. And that's just what He done when He sent Moses into Egypt. He raised him up in a certain way, and He schooled him in a certain way, and He molded him and made him and fashioned him. After He'd promised Abraham, hundreds of years before, that He would deliver the people, then He--He even had in mind that He would make Moses just the way Moses was made. Moses was a complete prophet. And then being a complete prophet...
49 Then just like you, if you are a Christian. God don't make any halfway Christians; God makes complete Christians. God don't make halfway preachers, but the preacher can be halfway. And God makes His children Christians, but sometimes they're halfway Christians. But it's not God's intention for them to be that way. It's their own ways got mixed up with the plan of God for their life, and that's what makes them the way they are. God don't want them to be halfway Christians or halfway preachers, compromising on either side. Or, He wants them to completely stand in the breach.
Now, Moses, God had made him a complete prophet for a complete deliverance. And Moses was completely surrendered into the hands of God. That's the reason it made him what he was. He was so complete in God till God could trust him.
51 I wonder this morning, as Christians, if we have yielded our own will, and yielded ourself so completely to God, till God can trust us the place that He has put us. I wonder this morning, of myself, if I could be so yielded to God till God could trust me, could trust Brother Neville, could trust our trustee board, our deacon board, or our members of our church. We all have a place and we got a duty.
The minister's got a place of duty to stand and preach the unsearchable riches of Christ without compromising, if he's called to be a preacher. He wouldn't spare one thing for one person if he's called to be a preacher.
53 And the member of the church, he's called to be a member of this certain group, then he would not compromise. If the church believes that we should not gamble, then that member should never touch a deck of cards. We don't believe in drinking; he should turn his head completely from drinking. If we do not believe in gambling or smoking, the member of this church should never touch such a thing. God gives complete deliverance. When we... He will do it if we'll completely surrender ourselves to Him. If we will completely deliver ourselves into His hand, then God can live in us, Christ the Hope of glory. He can reflect Himself from us as we get ourselves out of the way; then our thoughts are His thoughts. Could you imagine Christ smoking a cigar? Could you imagine Christ drinking or playing cards? Then if your spirit is part of His Spirit, He wants it to be upon your confession. But you permit the Devil to come in and take over, and all the time in your heart way down deep you know you're wrong when you do those things.
And when one member would talk against the other member; you know that's wrong. You're commanded to pray for one another, not to talk against one another, but to love one another. And if someone is down, let's pick him up, help him. Now, that makes us a--a--a unified group of believers. Now, when we don't obey that, then we don't obey God and we displease God. And therefore, our church, our people cannot prosper, the church cannot go on, is because we're disunified together. As Jesus said, "A little leaven leavens the lump."...
54 Now, if the church board, or like the--the deacons would come and say that we were to--thinking we should build a new tabernacle. If that is the vote of the deacons, and the trustees are consulted and they don't have the money to do it, then they have a building program like we have going on now. And then it's took over the general audience, as we should be, all the church being sovereign. Then if the church votes for the new tabernacle, then we all should cooperate together in building that new tabernacle.
Frankly, myself, when they spoke of new tabernacle to me, I was against the thought. That's right. I said, "We don't need exactly a new tabernacle. I'll probably be leaving here pretty soon as the Lord if it--what He showed me comes to pass. What do we need with a new tabernacle? We haven't got the money."
56 Then I come down and felt the feeling of the church, that the church in the majority seemed to want it. Then what did I do? I sacrificed my own thoughts and throwed in with the church. Sure, let's do it, if that's the way we cast lots. That's the way it was in the Bible time, the way the church voted. The--the sovereignty, the groups of the people they come together. In unity there's strength. So therefore I said, "Certainly, if that's the way the church wants, if that's what God is wanting, He's got more of authority to vote amongst a whole group of people than He has to me, because I have no vision to say that it shouldn't be. So we throw in with the church, and move with the church. And I'm behind it to do all that I can (See?), to help out the church.
57 That should be the motive of every Christian and every person in the church is for to unify ourselves and stick together. Whatever the church votes for, that's what we should stand for. Then say, for instance, they want to change something in the church. Well then, if the trustees wants to, or somebody else wants to, the deacons, they want to change something, that comes before the church, the church then together... And if our--if our idea here seems to be a little different than what the whole church does, let's sacrifice that idea, because that's the only way we can stand united. And if this church will just go on the way you're going now, and be united together, God will... It's unlimited what He'll do if we'll stick together. We must stick together. That's how we want to be, so complete with one another, and then so complete in the hands of God.
58 And then we've got to have a man that we believe that preaches the Word of God. If the man don't do it, then get somebody who does do it. That's the way we must stand. If the trustee board won't stand for what's right, then it's your business to elect somebody who will stand for what's right. And then when you do it, stay by it. It's up to you. Stand by it. And all together we're standing for one Thing; that's God.
If a member makes a mistake, don't turn him down; help him, raise him up, get together, have a hearing with one another. That's what the Scripture said. When we make a mistake, let's go before God. Before we can go before God, we got to go before the person we hurt.
60 I just had to do that. And I know that I did wrong; I lied, caused my wife to lie. I believe I told you about it here at the church. It was a few days not long ago; it's been about six weeks ago. The attorneys had me so tore up over this investigation, till I hardly knew where I was at. I'd just went home from the office to eat dinner, and the private phone number rang, and Meda went to answer the phone. She put her hand over it, said, "It's them attorneys again."
I said, "I couldn't stand another evening. My head feels like it's going off. I'm losing my mind, just pulling me this way and that way and this way." I said, "I can't stand it." And I jumped up, and I said, "Tell them I'm not in here," and run around behind the house.
When I come back (Meda's very conscientious of those things), she met me at the door, half crying; she said, "Bill, was that the right thing to do?"
You know how you are. I know how I am. I said, "Sure, I wasn't in here right then." I knew God had condemned me for it. I said, "I wasn't in here right then." Said, "But you was in here when he made the call."
64 That afternoon I went to pray for a sick baby. And before I left the house, the phone rang again and little Joseph run over and took ahold of the phone and said, "Daddy, you want me to tell them you're not here?" You see how sin corrupts, what a family that would finally be?
I John the 5th chapter and the 21st verse said, "If our hearts condemn us not, then we have confidence in God." But if our hearts condemn us, how can we have confidence in God? We know as long as we got sin that's not confessed, He'll never hear us. That's strong, but it--it--it's the church needs these things.
66 Then I started to pray for this baby. And when I started to lay my hands on it, the Lord rebuked me and said, "You told a lie, and you ain't fit to pray for that baby."
I turned away from the man; I said, "Sir, you just wait here. I've got something to make right."
I called up the attorney and went down to the office, called him in, and I said, "Look, sir, I told a lie. I had my wife to lie; she said I wasn't in there. And I run out behind the house." And I confessed it and told him about it.
Walked up, put his hands on my shoulder, he said, "Brother Branham, I've always had confidence in you, but I got more than ever now. A man," he said, "that's willing to make right his wrongs..."
And I told him, I said, "I started to pray for a baby and the Lord would just condemning my heart, because I knowed I'd done wrong."
Then the next day, wife said, "Where you going?"
I said, "To my cave."
72 And I went up to my cave up above Charlestown, where I've been going for years, and I got in there and I prayed all that day, "O God, don't never let me do a thing like that again. You forgive me, Lord, for when I start to put my hands on the sick people to pray, then I was condemned." Along about three o'clock in the evening I come out, and there's a big rock lays out there, and I got on that rock and was looking up towards the east, with my hands up, praising the Lord. And it was just so quiet in there, and I said, "Lord, if You'll just... One time You passed by Moses, and he said it was when You had him in the cleft of the rock, and it looked like the back part of a man." I said, "Could You do it again, Lord, let me know I'm forgiven?" And I said, "If You'll help me and come on my mind," I said, "Lord, I--I'm not very strong mentally, 'cause I've no education." I said, "And I--I'm trying to serve You. You know my heart, and I didn't... I oughtn't to have done that. I didn't mean to do that. My head just felt like it was coming off, I was so nervous, and I done it in a catch of a moment when Satan caught me." I said, "If You'd forgive me, let me see You then, Lord."
73 And God being my Judge, just right over to my side, a little place the bushes begin to whirl like a Wind, and It come right along the side of the cave where I was at, and went down through the woods. Oh, brother, a peace that passes all understanding swept over me, and I cried, I wept, I shouted. I know my sins were forgiven me. See, I was disunified with God; I couldn't have deliverance for the baby.
74 I... And the very next day there was a man from Chicago, who is a great man, a Catholic just converted, the valves in his heart was swelled out like an inflated inner tube, and they'd been trying to cut them out for a long time, was going to; he wouldn't let them. Finally he found an interview. Them interviews, we stay right with it till we find out what's wrong. And the man had no more than come in till the Holy Spirit went back down through his life and called out something he done when he was an altar boy in the Catholic church. He said, "That's the truth. That's the honest truth." Said, "Do you mean that was against me?"
I said, "That's the only shadow that I can see in your life."
Went back up and told the doctor, said, "All right, get things together now; we'll have the operation."
The doctor said, "We'll check that old ticker again." And when he looked into it, he said, "You don't need the operation."
77 See, "If our hearts condemn us." We want complete deliverance. We don't want to be a halfway church. We want to be a real church, or no church at all. We want to be real Christians, or no Christians at all. We want total deliverance from our habits, from our sins, from our evil thinking, from our evil doing, from our negligence, whatever we've done. We want total deliverance, so that when people come into this church to be prayed for, there'll be just this little group, maybe not over a hundred or two setting here, but they'll be completely in the hands of God. And when we pray, then God will hear from heaven. God wants somebody that He can hold in His hands, somebody that He can say, "I got confidence in. I can send this, My sick servant, to the Branham Tabernacle at Jeffersonville, and that group of people are one accord." Something will happen.
78 Well, look what He does for us in the condition that we're in, what would He do if we were one heart and one accord? And the only way we can do that is unify our hearts together with brotherly love, obey the offices of the church and the pastor, and the pastor obey God; then God works through the pastor, through the board, down into the church, and all together are one unit to the Kingdom of God. Then God will hear when we have a unified group. Let nothing bother you. Don't be dismayed in anything.
Now, that's the kind of a person that God ordained to take the land. Moses was complete; he was a man that wouldn't compromise. If there were stews, and fusses, and so forth, he wouldn't compromise. That's what God wants us now.
80 Pharaoh wanted to agree, said, "Moses, you all can go, but you leave your children behind, or leave some of your cattle back here."
That's the way the Devil wants a Christian to come. "It'll be all right for you to join the church, but don't you never forgive Jones. It'll be all right if you can bring in your... if you can go... You don't have to give up your smoking, your drinking, your lying, your stealing. Your faultfinding, backbiting, you don't have to give that up. Just join the church."
But Moses wasn't a compromiser; he wanted complete deliverance. He said, "We'll not leave one hoof behind. We'll take everything that belongs to us, when we go to worship the Lord."
83 That's the way the church ought to be. "We'll take righteousness; we'll take holiness; we'll take the Holy Spirit; we'll take a unified group, when we go to the altar. We'll be a real group; we'll leave nothing behind. We'll take everything. There won't be one hoof stay back here." You know, and people can pray in such a way till the Devil will have to give in.
84 That's the way Moses and his group did. They got over there and got under the blood. You noticed, until they got under the blood there was no total deliverance. Moses, hisself, he was unified with God, but Israel wasn't; there's still was sin, and they murmured against Moses, and they said, "Why--why do you do this? You bring more trouble upon us," 'cause Pharaoh just doubled their tally of bricks and so forth. That was Moses; he was completely in the hands of God, totally delivered from sheep-herding to herd God's sheep. He was totally delivered himself; but the people wasn't delivered, because there was still murmuring among them.
85 One night when God ordained that a lamb should be killed, type of Christ, and the blood was dipped in hyssop, which is weeds (common, humble), and put over the lintel of the door, and on the posts, and that's when Israel become completely delivered, with not a hoof left behind. All that belonged to them was delivered. Their families, their loved ones, and everything was delivered when they completely come under the blood.
86 That's when the church shall be completely delivered, when everything comes under the Blood. When your sins come under the Blood, when your smoking, when your gambling, when your cheating, when your stealing, when your lying, when everything is brought under the Blood, then there'll be a total deliverance. If you've wronged somebody, make it right. You can't bring that under the Blood; it won't stay. You can't bring it. Something won't let you do it. When your self is completely, totally brought under the Blood, there'll be a total deliverance. Then you'll have a freedom like you've never known before, when everything's brought under the Blood, brought in submissive to the Kingdom of God. Then there'll be a real deliverance.
87 Jesus was completely, totally man. He could cry like a man, He could eat like a man; He could become like a man. He was completely, totally man in His physical being. And in His Spirit, He was completely, totally God, so He made His flesh submissive to the Spirit that was in Him. You see, He was tempted in all manners like we are. He was man, not an Angel. He was a man. He had desires and temptations just like we do. The Bible said He did. He was a man, not an Angel above temptation. Hebrews 1 said that He was... Hebrews 1:4 said He was made lower than the Angels. He was man, completely man, that God took a complete man to bring total deliverance; and He filled Him with His Spirit; the Holy Ghost was in Him without measure. And He was tempted like we were. And He was completely God. He proved it when He raised the dead, when He stopped nature, the roaring seas and the mighty winds. When He spoke to the trees, and so forth, they obeyed Him. He was God inside. And He could've been man, for He was Man, but He totally and completely delivered Himself as a Man into the hands of God for the service of God. And He is our example.
88 We are men and women. We're also Christians. If He's our example, let us completely deliver ourselves into the hands of the Holy Ghost, we might be subjects of the Kingdom of God.
He was totally man; He was totally God, but He surrendered His natural parts to His--and His physical parts, and His Own thinking, and His Own doing, and His Own cares, and "I do only that which pleases the Father." There you are. Totally delivered from human beings... The priests come to Him, the great men, and said, "Rabbi So-and-so," and tried to bribe Him into their affiliations and denominations, but He was totally delivered because He trusted in God.
Did not the Psalmist say, "Thou will deliver Him, for He has completely trusted in Me"? See? "I will deliver my Darling from the dogs, because He has trusted in Me."
91 Some hour when we come to the end of life's journey, I want it for mine; I know you want it for yours. I want Him to say, "I'll deliver Him out of the jaws of death, for he's trusted in Me. I will deliver him from the grave on the resurrection morning, totally deliver Him, both soul, body and Spirit, because he has trusted in Me."
92 All Jesus' works was complete; everything was complete, total delivered. He totally delivered the leper from leprosy. He totally delivered the woman with the blood issue from her issue. He totally delivered the world from sin, when He died at the day of the atonement. He totally delivered every sin. He delivered the church. So there's no need for us to live underprivileged people. There's no need for us to live in a defeated state, because He defeated the Devil and took all the principalities and powers and subdued them under His feet, and they have no legal rights to rule over you. We are Christians, filled with the Holy Ghost. We don't have to dict--have the Devil dictate to us. Christ delivered us: total deliverance, delivered us from evil, delivered us from sin, delivered us from habits, delivered us from talking, delivered us from--from blackguard, delivered us from all kinds of smutty things. He totally delivered us and put us into His holy hands, a complete, total deliverance.
93 He delivered our sickness. He delivered us from sickness, for we have an abstract deed to that. Hallelujah. "For He was wounded for our transgressions; with His stripes we were healed." He is our Healer. That's why that poor little polioed woman, trying to take care of a cancer-dying husband, she walked into the realms in the Presence of God. She had faith, and she... The doctors had done all they could do, so she followed God's instructions and was totally delivered.
94 The disciples had total deliverance, absolutely total deliverance. Why? Because they were completely and totally filled with the Holy Ghost. When you just a church member and shook the pastor's hands, or some... had some kind of a little experience of jumping, shouting, or speaking in tongues, or something another; and still have malice in your heart, strange acts, telling lies, smoking cigarette, lusting after women, there's something hasn't happened yet; there's something wrong, "For he that loves the world, or the things of the world, the love of God's not in him." You've been misled. "By their fruits you shall know them."
95 We all want to be unified together with the Holy Spirit. Every member should be unified one with the other. The love of God is shed abroad in our hearts by the Holy Ghost; It cleanses us from all unrighteousness; we are delivered from the things of the world. Jesus said, "This will all men know that you're My disciples, when you've got love one for the other," when one member loves the other member so much that it would die for it.
96 When one evil thing starts, the outside world, some little women come along, say, "Now, look, dear, it would be better for you if you did this or do that, wore this or did that, or done this and got away from that bunch of holy-rollers, or so forth like that."
We are so unified with God. You say, "Well, Brother Branham, it's an awful temptation." But Christ died for that purpose. The Devil is defeated. We want total deliverance. We want a church that's pure, and clean, and unadulterated, and washed in the Blood of the Lamb, and filled with the Holy Spirit, and signs and wonders and miracles. [Blank.spot.on.tape--Ed.]... totally deliver everyone. [Blank.spot.on.tape].
98 Dear God, You don't take things unless it's totally delivered. You cannot receive a sacrifice with a blemish on it. You would never receive a prayer that there's sin back in the life of that person. You just could not do it, Lord. You didn't do it in the ages gone by, and You can't do it today. But the sacrifice must be without blemish. And, Lord God, as we lay ourselves on the altar as sacrificed life, take from us, O Lord, all blemishes of sin. I'll completely lay my soul and my body and my strength and my efforts, with this church this morning on the altar. Cleanse us by Thy Blood, and forgive us of every sin that we have did. And may the great Holy Spirit so richly abide in us, and His Presence go with us from this tabernacle this morning, that we'll know within ourselves that He has forgiven us. And then the prayer will be, "Forgive us our trespasses as we forgive those who trespass against us." Grant it, Lord.
Be Thou near us now, bless us and keep us until we meet again at the evening service. May we come in with clean hands and a pure heart, that You'll not turn down, for we want a complete and total deliverance from anything, Lord, that would keep us from being the light of the world, a candle that's set on a hill, not a bushel over it, but a candle that sets on the hill, that gives light to guide people's feet in the way that's right. Grant it, Father. We ask it in Jesus' Name, and for His glory. Amen.
100 I'm going to ask Doc; I think he's back there, or one of the deacons is present, that the church might read this. Doc, come put this on the bulletin board so the church can see it as they go out. And then Brother Collins, if he's here... Is Brother Collins in? Give him this other one.
All right, sir, and we'll see what the... [Brother Branham pauses--Ed.]. That's someone wanting an interview. That's always granted. We are glad. And I have interviews. You see, the thing you do is call our number out there. We--we had so much trouble up at the house; well, the church knows it. This is--is strangers. The church knows about it. There should be a little piece put... I'll have it placed here in the church too, for the oncomers. You see, there's so many, that we can't take care of them all, just as they come by number. See? And we... And if you'll just call BUtler 2-1519, BUtler. And any of the members that sees anyone that wants... I'm always glad to see people, but we have a regular system. There's some already called, several (See?), and we just come by one-by-one as we come. Then there's... Used to be we just had kind of a haphazard hit, any way, skip, hop, the people went home disappointed and everything. Now, they have everything just in order. And that's what we're trying to speak of now (See?), put everything in order, just perfectly. And I'll be glad to see this dear party, if they'll just call BUtler 2-1519, -1519, and Mr. Mercier or Mr. Goad, one, will answer the phone and tell you just exactly when you can have an appointment. We got a place out there, air conditioned, and ready to receive the people and pray for them. We're only happy to do it.
102 Now, reason I don't come to church, the people thinks I try to get away from the people; it isn't. I'm trying to--to be exactly in order. See, that's what I want to be, just won't show respect to persons. Each person, anybody, anywhere, any time... See? Color, creed has nothing to do with it. We come right there and meet the people. And if they have a need, we stay right with God until it's solved. If they want to know anything about meetings, 'course, we take care of it and follow it; that's only the leading of the Holy Spirit. And that's that way, I think it's just; it does everyone just exactly the same. Therefore, there's no respect of person, no respect.
103 Was there any peoples that come to be prayed for this morning, that was sick and wanted to be prayed for? All right, there's not? Then let's sing a good song for the--for worship. What can we sing this morning? "What can take away my sins?" You know it, Teddy? "Nothing but the Blood of Jesus." What can... [A sister in the congregation tells of a lady that is very sick--Ed.] All right, sis. Want to pray for her now? I'm going to pray for that lady, lay hands on this woman here. Would you bow your heads with me a minute, quietly now.
104 Dear God, there's a lady that's very sick. Our sister has put her body up...?... even to take cancer from others, standing in the breach for others. But You deliver her from that, Lord. A few days ago when those things were known, just let her find out herself then, Lord; she'll know that it comes from You. I lay my hands upon her and ask for mercy for that other woman. May the grace of God, the power of the Holy Ghost...?... our hearts, Lord. Reveal it to us first...?... Then we know that we have favor with God, we have peace with God, we get what we ask for, because we have no condemnation. Grant it, Lord. In Jesus' Name I pray. Amen. Thank you, ma'am. All right.
What can wash away my sin?
Nothing but the Blood of Jesus;
What can make me whole again?
Nothing but the Blood of Jesus.
Oh, precious is the flow
That makes me white as snow;
No other fount I know,
Nothing but the Blood of Jesus.
105 How many feels that all your sins are under the Blood? Let's sing it with our hands up now.
What can wash away my sin?
Nothing but the Blood of Jesus;
What can make me whole again?
Nothing but the Blood of Jesus.
Now, as we drop our hands, let's shake hands around.
... precious is the flow
That makes me white as snow;
No other fount I know,
Nothing but the Blood of Jesus.
You love Him? Amen.
Oh, how I love Jesus,
Oh, how I love Jesus (Now, stay with it, now, everybody hold onto God.)
... how I love Jesus,
Because He first loved me.
I'll never forsake Him...