Avoir soif de la vie
1 Seigneur, je crois, Seigneur, je crois,
Tout est possible, Seigneur, je crois.
Inclinons la tête maintenant pour un mot de prière. Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants de nous rassembler encore ce soir, et d’avoir une occasion de Te parler, Te chanter nos hymnes, et T’exprimer la profonde adoration de nos coeurs, car nous T’aimons et nous T’adorons. Et Tu es le seul vrai Dieu. Ton Fils, Jésus-Christ, qui est mort pour que nous soyons réconciliés avec Dieu par le lavage de Son Sang au moyen de la Parole... Et nous Te prions de nous accorder une merveilleuse réunion ce soir.
Que les pécheurs trouvent le salut par Christ. Que les malades trouvent la guérison par Christ. Que les saints trouvent la joie et la force par Christ. Nous le demandons en Son Nom. Amen.
2 Vous pouvez vous asseoir. C’est si agréable d’être de nouveau ici, dans ce bâtiment ce soir, pour servir le Seigneur avec vous. Et je voudrais demander maintenant, nous avons annoncé que demain soir il y aura un service de guérison ou la prière pour les malades. Nous ne savons pas ce que le Seigneur va faire. C’est la raison pour laquelle nous n’annonçons jamais le service de guérison. Comment savoir que le Seigneur va guérir? Ça ne dépend que de Lui. Et je ne pense pas, à vrai dire, que cela dépende de Lui; je pense que cela dépend de vous qui désirez la guérison. Il a payé le prix, et – et nous avons l’assurance qu’Il le fait, et nous savons qu’Il le veut. Cela ne dépend que de l’individu.
3 Chaque soir, ou c’était cela, on laisse simplement le Saint-Esprit... ça... Je veux enlever quelque chose de votre esprit. Chaque soir, j’ai comme... laisse le Saint-Esprit lorsqu’Il entre et se meut au-dessus de l’auditoire... Et vous – vous, votre propre foi amène cet Esprit de Dieu à revenir immédiatement pour vous prouver qu’Il est ici dans le bâtiment, et qu’Il connaît le secret même de votre coeur, Il connaît votre état. Pas une seule fois cela n’a failli, et cela n’a jamais failli depuis que j’étais un petit garçon.
La première chose, ou presque, que j’avais vue, et dont je me souviens, c’était une vision. J’avais environ... Je ne devais pas avoir plus de deux ans. Et je m’en souviens aussi nettement que si c’était hier. Et sur des centaines et des centaines de ces visions, pas une seule n’a manqué de s’accomplir parfaitement et au moment indiqué à chaque fois. Voyez? Ça doit donc être Dieu. Et ceci montre simplement qu’Il est ici. Et toutes Ses promesses sont là, et Il a promis qu’Il ferait cela juste avant la fin des temps. Nous savons donc que le Message est vrai. Mon Message, c’est le Message du temps de la fin, et Il amène l’Eglise à se mettre en ordre.
4 Et la guérison divine, nous en avons vu la publicité : «Les aveugles verront; les sourds entendront; les muets parleront.» Je ne sais pas si ça va se produire. Je préférerais ne pas faire de la publicité comme cela. J’ai toujours dit aux gens : «Dites simplement quelque chose de bien à propos de Jésus. Nous aimons le Seigneur Jésus dans cette assemblée, aussi avons-nous un grand réveil, et nous nous attendons à ce que Dieu fasse de grandes choses, et tout.» Puis, au coin, sur un petit espace, dites : «Frère Branham sera notre orateur.» Voyez? Parce que c’est (euh) Il peut ne pas le faire. Si donc Dieu accomplit un miracle, les gens le sauront. Voyez? Mais si je dis qu’Il va le faire, je ne... A moins qu’Il m’ait dit qu’Il le fera, alors là je – je sais qu’Il va donc le faire. Mais si je... s’Il ne me l’a pas dit, je serais en quelque sorte très peu disposé à dire cela.
Mais chaque soir, nous nous attendons à ce que Dieu fasse quelque chose pour... qui va secouer les gens et les ramener à la... à la position où ils devraient être. C’est à cela que nous nous attendons.
5 Eh bien, nous n’avons pas prié pour les malades. Et je... si maintenant même, si nous faisons se lever chaque personne... Si je pouvais rester debout assez longtemps pour faire cela, et prendre chaque personne dans ces lignes comme ceci, et parcourir chacune... bien sûr, je succomberais avant d’en finir avec le un dixième de ces gens. Mais vous ne pouvez pas faire cela. Quiconque connaît les Ecritures sait que les Ecritures prouvent que vous ne le pouvez pas. Eh bien, une femme avait touché le bord du vêtement du Fils de Dieu, et Celui-ci a demandé : «Qui m’a touché?»
6 Et Il a regardé tout autour et tout le monde avait peur, alors Il a dit... Pierre l’a repris, en ces termes : «Dites donc, qui M’a touché?» Il a dit : «Eh bien, c’est tout le monde qui Te touche.»
7 Il répondit : «Mais, Je sens qu’une vertu est sortie de Moi.»
Eh bien, tout le monde sait que la vertu, c’est votre force. Et si un simple toucher d’une femme en a tiré assez pour amener le Fils de Dieu à avoir une vision, qui Lui a permis de savoir qui avait fait cela, qui avait tiré de Lui la vertu, qu’en sera-t-il de moi un pécheur sauvé par grâce?
8 Eh bien, la seule raison pour laquelle cela s’est fait davantage, c’est parce que Jésus a dit : «Les oeuvres que je fais, vous les ferez aussi; et vous en ferez davantage, car je m’en vais au Père.»
Maintenant, je – je sais que Roi Jacques dit : «de plus grandes», mais cela n’est pas exactement conforme au texte original. Voyez? C’est «davantage.» Personne ne peut faire quelque chose de plus grand. Il a ressuscité les morts, Il a guéri les malades, Il a arrêté la nature, Il a fait tout ce qui devait être fait. Ça ne peut pas être plus grand en qualité, mais cela peut être plus grand en quantité.
9 Donc, en ce temps-là le Saint-Esprit était dans un seul Homme : C’était le Fils de Dieu. Il avait l’Esprit sans mesure. Dieu habitait en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il... Dieu était en Christ.
Maintenant, Dieu est en vous, si vous avez le Saint-Esprit. Dieu est en vous en portion. Mais Il était en Lui sans mesure. Il avait la plénitude de Dieu en Lui. Mais maintenant, cela est donné avec mesure à chacun de nous.
10 Il y a quelque temps dans mon église, je lisais et je donnais un enseignement sur la Pentecôte, au cours d’un petit réveil que j’avais eu. Eh bien, j’ai un vieil Emphatic Diaglott sur la traduction grecque originelle, et c’est celui... un ouvrage très remarquable. Je le recommanderais à tout pasteur. Il – il n’est plus sur le marché; mais je pense que vous pouvez l’obtenir en Angleterre. Je n’en suis pas sûr. Mais j’en ai un; il est très vieux, et il fait remonter la chose jusqu’au terme grec originel, et revient ensuite de l’autre côté, et établit cela, car en grec, le verbe précède l’adverbe. Voyez? Et – et c’est inversé afin que vous le lisiez facilement. Mais vous pouvez bien lire cela directement à partir de... S’il s’agit juste d’un mot qui est là, c’est juste comme Il avait dit cela.
11 Et quand le Saint-Esprit est entré dans la chambre haute, il est dit : «Il y eut un bruit comme celui d’un vent impétueux (Eh bien, rien ne soufflait, c’était juste pareil à un bruit comme cela), et il remplit toute la maison où ils étaient assis, et enfin, des langues séparées se posèrent sur eux, semblables à des langues de feu.»
Et comment cette grande Colonne de Feu, l’Ange de Dieu, le Logos qui est sorti de Dieu, qui avait conduit les enfants d’Israël dans le désert... Quand Elle est venue parmi les gens, Elle s’est partagée, et de grandes langues de feu ont commencé à se poser sur chacun, quand la Colonne de feu a commencé à se fractionner, et pour... Dieu se divisant Lui-même parmi Son peuple.
12 Oh! cela devrait arracher le coeur à n’importe qui. Dieu se divisant Lui-même, pour pouvoir donner une petite portion de Lui-même à chacun de nous, afin que tous ensemble... Voyez-vous ce que cela signifie ?
Voyez-vous maintenant pourquoi je suis pour l’unité de toutes les églises, de toutes les églises du Plein Evangile, de tous les croyants? Nous devrions être d’un même coeur, d’un même esprit, d’un commun accord. Peu importe combien nous sommes en désaccord sur les Ecritures ; cela peut être... L’un peut voir ceci de cette manière, ou – cela n’a rien à voir. Mais en principe, nous devrions nous tenir debout, comme une grande et puissante armée de Dieu, allant de l’avant; car chacun de vous dans votre particularité, Dieu a prouvé qu’Il ne tient pas compte de votre doctrine, en effet, Il vous donne le Saint-Esprit. Et la Bible dit : «Il a donné… Il donne le Saint-Esprit à ceux qui Lui obéissent.»
Eh bien, si je Lui ai obéi à ma propre manière, et que vous Lui obéissiez à votre propre manière, et qu’Il nous donne à nous tous le Saint-Esprit, par conséquent, nous devons être assez frères et soeurs chrétiens pour nous tenir ensemble la main dans la main et avancer vers un seul grand but : l’Evangile.
13 Oh! combien je pense à Dieu se divisant afin qu’Il puisse pénétrer dans Sa grande âme et déverser une petite cuillerée en moi, et Il a tendu la main et a déversé une cuillerée en vous, et en vous, et en vous, et en vous, et en vous, se divisant Lui-même, le feu, la puissance purificatrice de Dieu. Alors, si vous avez une cuillerée, et moi, une cuillerée, et que tous deux nous nous rassemblions, nous avons deux cuillerées. Et si cinquante d’entre nous sont ensemble, nous avons cinquante cuillerées. Là où il y a l’unité, là où il y a un rassemblement, là, il y a la sécurité et tout.
14 Il est deux fois plus difficile de casser les bâtons qui sont dans la main du prophète. Il est deux fois plus difficile de casser deux bâtons que d’en casser un... Et quand nous pourrons atteindre ce niveau, frère... Si je peux voir cela arriver, j’irai là au sommet de la montagne du Camel’s Back, je lèverai mes mains, et dirai : «Oui, viens, Seigneur Jésus. Prends-moi maintenant; tout est fini.» Voyez? Je serai prêt à partir à ce moment-là même.
Quand je verrai toutes ces différentes personnes du Plein Evangile d’un seul coeur et d’un commun accord, se tenant ensemble comme une grande armée, cela ramènera Jésus-Christ sur la terre aussi certainement que je me tiens ici.
15 J’ai essayé chaque principe que je connais. Il faut Dieu pour faire cela; c’est tout. Voyez?
Je suis venu parmi eux, comme.... parmi les frères comme un... Venant de l’Eglise baptiste, et j’ai vu cette grande chose, je ne me suis jamais rangé du côté d’une quelconque église. Peu importe leurs croyances et tout, j’essaie de me tenir simplement à la brèche et de dire : «Nous sommes des frères.» Malgré tout, nous sommes des frères.
16 Si nous pouvons discerner l’esprit l’un de l’autre, et savoir que si un homme se présente, peu m’importe l’église dont il est membre, s’il a l’Esprit de Dieu en lui, il est mon frère. Et peu m’importe combien c’est un grand homme, combien il est intellectuel, et combien il parle avec puissance, s’il y a un …s’il essaie de faire quelque chose de faux, je – je ne crois pas qu’il soit encore mon frère. Mais il s’agit de ce qu’il essaie de faire. S’il essaie de sauver les âmes, ou de faire quelque chose pour Dieu, c’est un frère. S’il est témoin de Jéhovah, il est toujours mon frère. S’il est pentecôtiste de la sainteté, s’il est des Assemblées de Dieu, de l’Eglise de Dieu, s’il est unitaire, s’il est binitaire, s’il est trinitaire, ou, oh! quoi que ce soit, ils sont tous mes frères et soeurs. Si nous avons... si nos coeurs sont en ordre avec Dieu, essayant d’accomplir quelque chose pour le Royaume de Dieu... Nous essayons de bâtir notre propre royaume, alors c’est... par conséquent, Dieu ne pourra pas honorer cela.
17 J’observais juste... Les garçons vendent probablement ces livres ici. Il n’y a pas longtemps je parcourais cela, dans un état tendu, et je suis tombé sur la photo de madame Nightingale. Certainement, je me souviens de cela. Lorsque cela a été pris… cela... Mais ce livre ne donne pas tous les détails sur ce cas. Monsieur Stadsklev est l’éditeur de ce livre ; c’est un très bon livre, un livre excellent. Tout est exact, en effet, il a été soumis à la critique.
18 Madame Nightingale a des liens de parenté avec la feue Florence Nightingale. Cette femme s’appelle Florence Nightingale, et elle est infirmière. Mais elle n’était pas, bien sûr, Florence Nightingale, la vraie-la véritable fondatrice de la Croix-Rouge. Mais elle est de l’Angleterre, et elle était une – une infirmière, et elle était une parente lointaine de madame Florence Nightingale, la fondatrice de la Croix-Rouge.
J’avais d’abord entendu parler d’elle. J’ai été en Afrique. Sa photo que vous voyez ici, comme un squelette... Celle que nous avons dû... Frère Gordon Lindsay, quand nous avons arrangé cette photo, nous avons dû mettre quelque chose là-dessus, en effet il n’y avait qu’un petit lambeau noué autour de la femme, et c’était très, très affreux. Ainsi, nous avons mis un morceau de… de quelque chose là-dessus, et nous avons fait une reproduction de la photo, afin que nous puissions la publier dans le livre. C’est elle, quand je... Et après la prise de cette photo, elle a crevé encore de faim pendant plus d’un mois, et la voici six mois plus tard, exerçant de nouveau sa profession d’infirmière.
J’aimerais raconter cette histoire avant de commencer ce soir. J’aimerais vous en parler. J’étais...
19 Elle était en Afrique du Sud. Et comment cette femme a-t-elle su que j’allais à Londres, je l’ignore jusqu’à présent. Et quand l’avion a atterri, frère Lindsay, moi et frère Jack Moore sommes descendus de l’avion, et frère Baxter... Et nous nous sommes mis à descendre, et j’ai entendu mon nom appelé par haut-parleur à l’aéroport international de Londres. Et on me demandait de me présenter, et j’ai envoyé frère Baxter. Le frère Baxter est revenu avec… vers moi avec un prédicateur et il a dit : «Avez-vous déjà entendu parler d’une femme du nom de Florence Nightingale?»
J’ai répondu : «Ce nom me dit quelque chose.» Et j’ai dit : «Je ne sais pas.»
20 Et il a dit : «Eh bien, on l’a amenée par avion de l’Afrique du Sud jusqu’ici, et elle se meurt là dans une ambulance.»
Bien, il y avait beaucoup de gens là-bas, et je ne pouvais pas l’atteindre. J’ai dit : «Vous, parlez-lui.»
Il a dit : «Voici un prédicateur, vous, parlez-lui.»
Et j’ai dit : «Monsieur!»
Il a répondu : «Eh bien…», il a dit…
21 J’ai dit : «N’est-elle pas une parente de Florence Nightingale, la- l’infirmière?»
22 Et elle a répondu : «C’est – c’est bien Florence Nightingale, l’infirmière.»
Et elle a dit : «Mais ce n’est pas elle la fondatrice de la Croix-Rouge. Naturellement, celle-là est morte, il y a, je pense, 50 ans ou plus, peut-être cent ans. Et non, je – je pense qu’elle est morte vers les années 1908, ou 1909, quelque part, pendant cette période-là. Celle-ci est donc l’une de ses parentes.
Et j’ai dit : «Combien de temps pensez-vous qu’elle pourra encore tenir?»
23 Il a dit : «Il est probable que nous la trouvions morte si nous allions à l’ambulance tout de suite.» Il a dit : «Elle se meurt.» Il a dit : «Ils... Elle vient de l’Afrique du Sud.» Et il a dit : «Monsieur, elle n’est qu’un – qu’un tas d’ossements.»
24 Bien, j’ai dit : «Nous serons, je crois, à l’hôtel Picadilly, a-t-on dit.»
Et le roi George m’avait écrit ou plutôt envoyé un télégramme, que je garde encore, venant de son personnel, sollicitant la prière, car il avait la sclérose en plaques. Vous souvenez-vous de cela? Et j’ai prié pour lui, et après la prière, eh bien, il a pu – il s’est rétabli, et il a pu marcher. Et, je suis donc allé là; je pensais que je devrais le voir là. Et alors, lorsque nous sommes allés à l’hôtel Picadilly, le pasteur est venu le lendemain matin, et m’a pris et nous sommes allés chez lui, juste derrière son église, là où ils avaient placé madame Nightingale avec deux infirmières pour veiller sur elle.
25 Et, mes amis, j’ai vu beaucoup de scènes. J’ai vu des gens aux visages rongés par le cancer, jusqu’ici au cou. On devrait placer un petit tuyau ici pour déverser le liquide dans leur gorge ici, avec les dents et les os rongés – la chair rongée par cela. Et des scènes en Inde; j’ai vu des lépreux étendus là, ne pouvant même pas soulever leurs mains, avec des bouts d’oreilles, sans nez, et ils étaient devenus blancs comme une verrue blanche retournée.
Les petits enfants et tout, rongés par la lèpre, étendus, entassés les uns sur les autres... J’ai vu les petits enfants étendus , crevant de faim, par centaines dans les rues, avec leurs petits ventres ballonnés à cause de la famine, une pauvre mère couchée à coté d’eux mendiait un sou pour aider quelqu’un d’autre. C’est la raison pour laquelle je ne peux pas... Si c’était... Si je pouvais mendier, je mendierais pour eux. Je – je me prive de tout lorsque je sais que les êtres humains, pour lesquels Christ est mort, sont en train de souffrir ainsi. Et il y en a des centaines et des centaines ce soir, partout dans le monde entier. Et ils sont là dans cette condition-là.
26 Mais quand j’ai vu Florence Nightingale, elle était étendue là, couverte d’un drap. Et elle pouvait à peine bouger ses lèvres, ses – ses joues étaient toutes creuses. Ses mâchoires étaient enfoncées et son front ici, vous… cela ressemblait bien à un-un squelette mort étendu là, et sa peau s’était desséchée. Le cancer l’avait rongée et mise dans cet état, et avait sucé son sang.
27 Et elle essayait sans cesse de dire quelque chose. Je ne pouvais pas entendre cela, et l’infirmière s’est penchée. Et elle a dit : «Je veux lui serrer la main.»
Et alors, l’infirmière a dû soulever ces os et les a placés dans ma main. Eh bien, c’était tout autant que tenir un squelette. Ses bras mesuraient probablement deux centimètres de diamètre à ce niveau-ci, et son... Ils ont mis... Elle voulait que je voie son corps. Et on a soulevé ce drap, cela briserait le coeur de n’importe qui, même le tour de la hanche était ressorti comme cela. C’était à peu près cette grandeur, si on réunit cela ici dedans. Et ses jambes étaient tout bleues et j’ai demandé ce que cela – cela était. Ses jambes, ici près de sa hanche, avaient probablement à peu près cette – grandeur. Et j’ai dit... Bien, voici cela sur la photo qui en a été prise. Voyez? Et vous pouvez voir ce qu’elle était devenue après, environ six semaines plus tard. Voyez? Et ainsi, je – j’ai regardé, et quelqu’un a dit : «On lui donnait du glucose jusqu’au moment où ses veines s’étaient atrophiées.»
28 Et ainsi donc, oh!, j’ai dit : «Oh! la la! Es-tu chrétienne?»
Et elle me l’a fait savoir en disant : «Oui.» Et elle...
Elle s’est encore penchée, l’infirmière, pour entendre ce qu’elle allait dire. Et elle a dit : «Dites à frère Branham de demander au Seigneur de me laisser mourir.» Voyez? Elle... elle s’était accrochée jusqu’à ce qu’il n’y avait rien à quoi s’accrocher davantage, pas – rien sur quoi compter. Elle a dit : «Dites à frère Branham de demander au Seigneur de me laisser mourir.»
29 Je ne pouvais pas faire cela. A ce qu’il paraissait, c’était une jeune dame aimable. J’ai donc dit : «Prions.»
30 Et si quelqu’un a déjà été à Londres, vous savez, c’est l’un des lieux les plus brumeux au monde. Quand il y a du brouillard, il vous faut y aller presque à tâtons. Ce matin-là, il y avait vraiment du brouillard.
C’est pourquoi William Cowper n’a pas pu se suicider; il n’a pas pu retrouver l’– l’océan après qu’il eut écrit ce fameux cantique : Il y a une Fontaine remplie de Sang. Il n’a pas pu trouver le… l’endroit où se jeter. Le-le taxi ne pouvait pas accéder à... permettre… l’océan pour se suicider, pour se noyer.
31 Et – et quand je me suis agenouillé pour prier, d’abord j’ai commencé à prier comme ceci; j’ai dit : «Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Dispensateur de tout don excellent.» Et lorsque j’ai terminé cela, une petite colombe s’est envolée de quelque part, et s’est posée sur le rebord d’une fenêtre là. Et celle-ci était à peu près à cette distance-ci de ma tête. Et le petit oiseau faisait sans cesse des va-et-vient, faisant : «Coucou.» Vous savez comment elles le font. Eh bien, je pensais que c’était un oiseau domestique, de la maison. Je me suis simplement dit que c’était une petite colombe domestique.
Je n’avais fait que 24 heures en Angleterre, ou à peu près cela; et cela a duré; et j’ai pensé que c’était une petite colombe domestique. J’ai donc continué à prier.
32 J’ai dit : «Père céleste, je... cette pauvre femme étendue ici, en train de mourir, elle m’a demandé de – de prier pour que Tu lui ôtes la vie, car elle semble être dépassée, elle n’a rien sur quoi compter. Mais, ô Dieu, Tu es toujours le Créateur; Tu – Tu es toujours Dieu.»
Et cette petite colombe semblait être très agitée. Et les autres pasteurs qui priaient avec moi, ont semblé arrêter. Et alors, comme je continuais à prier, quand j’ai dit : «Père, je prie que Tu sois miséricordieux envers elle, et si Tu veux lui retirer la vie et ne pas la laisser vivre, alors laisse-la partir en paix. Accorde-lui d’aller auprès de Toi maintenant. Mais si c’est Ta volonté de la guérir, alors Père, puisse-t-elle être guérie.» Et lorsque j’ai fini la prière, j’ai dit : «Amen.»
33 Et la petite colombe s’est envolée de nouveau dans le brouillard.
Eh bien, je… dès que j’ai arrêté de prier, le ministre qui était à côté de moi, a regardé un autre et a dit : «Avez-vous remarqué cette colombe?»
J’ai dit : «Quelle était cette colombe? Est-elle domestique?»
34 Il a répondu : «Non. Elle n’est pas domestique, a dit le ministre, c’était juste une colombe qui a agi drôlement.»
35 Et comme je me retournais pour parler à madame Nightingale, je commençai à dire : «Bien, je pensais que c’était votre colombe.» Et quand elle a agi comme cela, quelque chose a dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Oh! la la! là par-dessus ce qui était comme son cercueil, où elle était étendue, il y a eu là une vision dans laquelle, elle marchait là dans la rue. En voici la photo ici même, comment elle est devenue un peu plus tard. C’est ce que j’avais vu dans la vision. Alors, la chose est venue : «AINSI DIT LE SEIGNEUR, tu vas vivre et tu ne vas pas mourir.»
Et quand j’ai dit cela, je me suis dit : «Ces choses sont très surnaturelles; je ne les comprends pas. Je ne sais pas ce qu’elles signifient.»
36 Et je suis sorti; je pense que c’était le frère Baxter qui m’a dit, a dit : «Comment peut-elle vivre?» Il a dit : «Dieu sera obligé de créer une nouvelle femme.»
37 J’ai dit : «Eh bien, Il est capable de faire infiniment au-delà de tout.»
Et six mois plus tard, après que j’ai reçu deux lettres, et voici la photo qui m’est parvenue : elle est totalement rétablie et en bonne santé, on ne peut pas trouver une trace de cancer, et elle a repris son travail d’infirmière, et elle le fait depuis longtemps.
38 Il y a quelque temps, une polémique s’était engagée entre le... un éditeur de magazine en Angleterre, il disait : «C’était vraiment un manque de scrupule que cette femme... C’était un faux témoignage.»
Il s’est fait que j’avais dans mes documents le propre témoignage de la femme. Je l’ai retourné à M. Stadsklev qui l’a reproduit et l’a envoyé là-bas; et elle s’est emparée de cela, et ensuite, elle est allée auprès de l’homme qui avait écrit le magazine et elle a dit : «Qui disait que ce témoignage était faux?»
39 Voyez, c’est là que vous y arrivez, quand vous avez par écrit leur propre témoignage, là vous y êtes. Voyez?
40 Et alors, l’homme m’a écrit une lettre pour s’excuser, en ces termes : «Je tenais cela de quelqu’un d’autre, sans en avoir la preuve.»
41 J’ai dit : «Ne publiez rien, monsieur, sur base d’une déclaration de quelqu’un d’autre; vous voyez, en effet, ce que vous avez fait là maintenant. Voyez?» J’ai dit : «Ne faites jamais cela.»
42 Mais le témoignage est absolument véridique. Nous n’aurions jamais publié cela si ce n’était pas la vérité. C’est comme ça que ça doit être, une vérité établie.
Ainsi, voyez-vous, le même Dieu qui était avec Florence Nightingale là-bas, c’est le même Dieu qui est juste ici. C’est le même Dieu. Et tout ce que... vous ne devez pas attendre que l’on prie pour vous. La seule chose que vous avez à faire, c’est de croire simplement que l’oeuvre a été accomplie.
43 Si vous êtes un pécheur, il ne faut pas attendre un appel à l’autel. Là même où vous êtes assis... «Comme Pierre prononçait encore ses mots, le Saint-Esprit descendit sur ceux qui écoutaient la Parole.» Ils étaient prêts. Il s’agit de la disposition du coeur. Il s’agit de la disposition des gens.
Eh bien, maintenant même, s’il y a une personne malade ici, vous n’êtes pas obligé de rester malade, même pas jusqu’à ce que je lise les Ecritures. Vous pouvez être guéri maintenant même, en effet, vous avez été guéri. La seule chose que les Ecritures feraient, c’est – c’est de témoigner, de dire que Jésus a dit cela. Et si le Saint-Esprit venait ce soir, et faisait un – un grand appel ici, et appelait là différentes personnes, cela ne signifierait pas qu’elles sont guéries. Cela élèverait tout simplement la-la foi des gens afin qu’ils puissent accepter leur guérison, celle-ci a déjà été acquise pour eux. Comprenez-vous cela maintenant? Voilà donc en quoi consiste la guérison.
44 Eh bien, demain soir, le Seigneur voulant… j’ai désiré avoir une – une soirée à l’ancienne mode une fois de plus à Phoenix, et j’ai choisi demain soir, si le Seigneur le veut. Combien se souviennent de ma première visite à Phoenix, il y a des années? Eh bien, il y avait une ligne de prière jusque là dans la rue, cela amenait les gens jusque là dans la rue, maintenant la ligne de prière longue d’un pâté de maisons. J’ai prêché hier soir : N’éteignez pas votre alarme, vous savez. Gardez juste cette alarme allumée, car le jour va bientôt poindre.
Bon, demain soir, pour les malades de Phoenix, nous aurons un service de prière pour les malades. Et nous allons simplement les faire venir là, leur imposer les mains, prier pour eux, et voir ce que le Seigneur fera. Et, demain soir, venez en étant prêt.
45 Combien ici désirent qu’on prie pour eux, désirent entrer dans la ligne de prière pour qu’on prie pour eux? Faites voir vos mains. Levez-les, partout où vous êtes. Nous serons presque obligés de distribuer les cartes . Voyez? Sinon, si j’arrive au milieu de cette ligne, et que les visions commencent à apparaître, cela écartera d’autres. Eh bien, à ma connaissance, les jeunes gens seront là demain à un moment donné de l’après-midi, vers six heures, sept heures, à n’importe quel moment. Ils vont distribuer les cartes de prière.
Eh bien. Eh bien, nous verrons alors ce que le Saint-Esprit fera quand nous y arriverons.
46 Eh bien, alors le dimanche, c’est le... Nous continuons... (Nous aurons la réunion le dimanche soir ici, n’est-ce pas? La réunion du dimanche soir?) La réunion du dimanche soir... Et je crois que le mardi, il y aura les réunions des ministres. À dix heures trente dans la matinée, ce sera les ministres et leurs femmes à l’Assemblée de Dieu de Garfield, sur la onzième, à Garfield, c’est pour les ministres. J’aimerais vous rencontrer, frères, vous les frères ministres. J’aimerais parler avec vous. Vous êtes mes frères. Voyez? Je – je vous aime.
47 Vous dites : «Mais, Frère Branham, je suis en désaccord avec vous.» Cela ne change rien. Je vous aime de toute façon. Alors que le... je veux que vous...
48 Un homme m’a dit il y a quelque temps, il a dit : «Frère Branham, ne pouvez-vous pas vous accorder avec ceci?»
49 J’ai répondu : «Je peux m’accorder avec vous, mais je ne sais pas si je peux m’accorder avec ce que vous dites là ou non. Mais je peux – je peux m’accorder avec vous de toute manière, parce que vous êtes mon frère.»
50 Eh bien, j’ai choisi pour ce soir un texte court, afin que nous ne prenions pas trop de temps, et pour pouvoir être ici demain soir, où ça pourra peut-être aller jusqu’un peu tard demain soir, avec toute cette ligne de prière. Ce soir, ouvrons dans Psaumes 63, ce soir, dans Psaumes 63, vous qui notez le texte et tout.
Maintenant, je voudrais lire un texte familier que vous avez peut-être déjà lu ; j’espère que je n’ai pas prêché sur le même sujet à Phoenix. Peut-être que le Saint-Esprit me conduira autrement là-dessus, si nous le faisons. Et ainsi, nous allons lire à partir du verset 1, Psaume 63.
Ô Dieu! tu es mon Dieu; je te cherche au point du jour; mon âme a soif de toi, ma chair languit après toi, dans une terre aride et altérée, sans eau,
Pour voir ta puissance et ta gloire, comme je t’ai contemplé dans le sanctuaire.
Car ta bonté vaut mieux que la vie; mes lèvres te loueront.
51 Inclinons encore la tête, juste un moment. Père divin, dans ce tourbillon d’activités de la vie dû à l’agitation, les voitures roulant à vive allure dans les rues, des chars sans cheval se heurtant l’un contre l’autre, avec des lumières comme des torches. Et nous voyons le temps de la fin approcher, et je voudrais Te demander, Seigneur, d’être miséricordieux envers chaque personne qui est dans la Présence divine ce soir. Sonde nos coeurs, Seigneur, pendant que nous parlons, non pas seulement à mon assemblée, mais à mon propre coeur aussi, Seigneur, comme David dit dans un autre psaume : «Sonde-moi et éprouve-moi.» Et s’il y a quelque chose de souillé en moi, Seigneur, je Te prie de l’ôter, pour que mon coeur soit pur au-devant de Toi, que les pensées de mon coeur et la méditation de mon esprit puissent être agréables à Tes yeux.
52 Bénis tout le monde ici, Seigneur. Et s’il y en a ici qui ne Te connaissent pas, puisse ceci être la soirée où ils trouveront cet Adorable Seigneur Jésus, le plus beau d’entre dix mille pour notre âme, le Lis de la vallée, la Rose de Sharon, l’Etoile brillante du matin, l’Alpha et l’Oméga. Puisse-t-Il venir briller sur leur vie, et éclairer le chemin vers le Calvaire, afin qu’ils Le découvrent ce soir, comme leur Précieux Sauveur.
53 Je prie ce soir pour ceux qui sont fatigués sur le chemin, qui sont sur le point de rompre les rangs.
Ô Dieu, fais-leur savoir que ce n’est pas le temps de rompre les rangs, mais de former les rangs, car la bataille est en cours. Les lumières du soir s’éteignent, et bientôt il y aura l’obscurité et personne ne pourra alors travailler. Nous Te prions, Père céleste, de nous accorder une grande réunion ce soir. Ce que nous entendons par grand, Seigneur, c’est que les âmes T’acceptent, et que Ton Fils soit honoré, que les malades soient guéris, que les rétrogrades soient ramenés dans le Royaume de Dieu et que les églises soient consolidées, les coeurs des membres et des ministres étant liés ensemble par le lien d’amour, afin que tous ensemble le… la gloire revienne à Ta Glorieuse Personne. Car nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus. Amen.
54 Dans ce verset 3 [verset 4 en français – N.D.T.] :
Car ta bonté vaut mieux que la vie, mes lèvres célébreront tes louanges.
Quand j’ai lu cela pour la première fois, je me suis dit que c’était un texte qu’on n’a pas l’habitude de prendre. Et Dieu est inhabituel, et Dieu fait des choses inhabituelles, des choses inhabituelles. Et lorsque j’ai lu cela, je me suis demandé ce que David voulait bien dire quand il dit : «Ta bonté vaut mieux que la vie.» J’ai examiné cela, me demandant ce qui peut bien valoir mieux que la vie.
Si nous devrions faire un voyage ce soir, et monter là au ciel, et que je rencontrais le père Abraham, je lui demanderais : «Abraham, quelle est la chose la plus glorieuse que tu aies jamais connue? Quelle est la chose la plus essentielle que tu aies jamais connue?» Abraham me répondrait : «La Vie Eternelle.»
55 Puis, j’effectuerais encore un petit voyage, et nous monterions vers le grand Archange, Gabriel, qui est le messager de l’alliance auprès du peuple juif, qui se tient à la droite de Dieu, qui appartient à l’ordre le plus élevé des Anges du Ciel. Et je lui demanderais : «Gabriel, tu es un Ange puissant. Tu es aimé de Dieu, et tu as été ici des siècles et des siècles, toi, peut-être, tu connais tout au ciel, et où se trouve chaque chose, parce que tu es l’un des Anges qui se tiennent à la droite de Dieu. Et tu connais les grands secrets du Ciel. Tu as sonné la trompette à la Venue du Seigneur Jésus. Tu as annoncé Sa première Venue, et Tu annonceras Sa seconde Venue, par conséquent tu dois être un homme puissant ou plutôt un Ange puissant. Dis-moi, dans tous les trésors de Dieu, quelle est la plus grande chose que tu as trouvée parmi Ses trésors?»
56 Je peux voir Gabriel se concentrer et dire : «La plus glorieuse chose que j’ai trouvée dans les trésors de Dieu depuis qu’Il m’a créé, c’est la Vie.
57 Dieu M’a créé pour vivre éternellement, pour l’éternité. Et la Vie est la chose la plus glorieuse qui soit.»
Peu importe combien vous pouvez être riche, peu importe combien vous pouvez être populaire, qui que vous soyez, la plus grande chose qui existe, que n’importe quel homme peut accomplir sur cette terre, c’est de recevoir la Vie Eternelle.
Que vous soyez roi et monarque, que vous dirigiez le monde entier pendant un million d’années comme roi et jeune homme, si cependant vous n’avez pas la Vie Eternelle, vous avez perdu la chose la plus glorieuse que l’on puisse perdre.
J’ai souvent dit que si je pouvais redevenir un jeune homme de vingt-cinq ans, si Dieu apparaissait sur l’estrade ce soir, et disait : «Je te ramène à l’âge de vingt-cinq ans. Tu vivras pendant un million d’années, et Je ferai de toi le roi de tout l’univers. Tout se fera sur ton ordre. Ou bien Je te donnerai cent ans de misère et de malheur, de troubles et de tristesse, mais à la fin de ces cent ans, Je te donnerai la Vie Eternelle. Mais à la fin de ce million d’années, tu seras perdu.»
58 Oh! je dirais : «Seigneur Dieu, je n’ai pas à attendre un seul instant pour faire mon choix. Accorde-moi les cent ans de misère et de malheur, n’importe quelle sorte de mort que Tu choisis pour moi; seulement, Seigneur, donne-moi la Vie Eternelle. Quand bien même j’aurais le monde entier et que je serais roi pendant un million d’années, à la fin de ce million d’années, je deviendrais une créature destinée à l’enfer pour toujours. Mais peu importe combien mon sort est malheureux ici, à la fin de ma vie, si j’ai la Vie Eternelle, je continuerais à vivre dans la Présence bénie de Dieu d’éternité en éternité.
59 Alors, Cela m’a donc dérangé quand je me suis mis à me demander de quoi parlait ce prophète. Eh bien, nous savons que David était un prophète. Je me suis donc demandé de quoi il parlait quand il a dit : «Ta bonté vaut mieux que la vie.» Enfin, j’ai compris que la vie avait plus d’une signification.
60 La vie a beaucoup de significations. Cela dépend de l’angle sous lequel vous le considérez. Et votre vie, c’est ce qui vous contrôle. Vous avez la vie, le mouvement, votre existence, c’est la vie. Et ça dépend du genre de vie qui est en vous, la manière dont cela vous contrôle.
Il n’est pas étonnant que les gens ne puissent pas croire, et pourtant ils prétendent être religieux; ils ne peuvent pas croire à la guérison divine, ils ne peuvent pas croire aux miracles, ils ne peuvent pas croire au Saint-Esprit qui fait que les gens soient remplis de la puissance de la résurrection de Christ. La raison pour laquelle ils ne peuvent pas croire cela, c’est qu’ils n’ont rien en eux pour croire, en effet votre vie est… votre mouvement est contrôlé par la vie qui est en vous.
61 Il y a quelque temps, une chose frappante m’est venue à l’esprit. Dans les années passées, dans les régions du Sud, on vendait des esclaves, les gens de couleur, les nègres qui venaient d’Afrique, que les Hollandais avaient amenés là et vendus comme esclaves. C’était une chose pitoyable. Je suis certainement d’accord avec Abraham Lincoln que Dieu n’a jamais voulu que l’homme soit un esclave. Dieu a fait l’homme; l’homme a fait des esclaves.
62 C’est ce qu’ils essaient de faire ce soir, pas seulement avec la race noire, mais avec les races du monde; chaque homme dans chaque nation essaie de faire des autres des esclaves. Dieu a créé l’homme libre, une créature libre sous l’autorité de Dieu, pour L’adorer.
63 Eh bien, ils prenaient ces pauvres gens pour les vendre aux enchères et en faire l’objet des transactions. Il y a quelque temps, là en Louisiane, j’ai vu l’un des anciens et premiers enclos pour taureaux, qu’ils avaient. Là où ils amenaient et plaçaient ces hommes et les gardaient dans le bloc de ventes aux enchères, et ils les vendaient aux enchères, et on tâtait leur pouls, on examinait leurs dents, et on prenait un fouet et on les faisait courir dans la rue, on les fouettait derrière les talons, on les faisait courir très vite, et puis on revenait examiner leur coeur.
Et un vieil homme qui se tenait là m’a dit : «Pasteur, j’ai assisté à votre réunion l’autre soir.»
J’ai dit : «Merci, j’observais tout simplement ceci.»
64 Il a dit : «Je me souviens de l’époque où l’on pratiquait cela.» Et il m’a dit, il a dit : «Savez-vous quel était l’esclave le plus cher?»
J’ai dit : «Quoi?»
65 Il a dit : «Une jolie fille.» Il a dit : «L’enchère pour un esclave homme commençait à cinq cents dollars ou à trois cents dollars.» Mais, a-t-il dit, pour une jeune fille de couleur, une belle fille exposée là, l’enchère commençait à deux mille dollars.» Et il m’a regardé, et il a dit : «S’il y a un enfer, leurs âmes s’y trouvent aujourd’hui.»
66 J’ai dit : «Vous parlez de leurs âmes, qu’en est-il de la vôtre, papa? Où ira la vôtre?» Quelques jours après, un ami prédicateur l’a baptisé du baptême chrétien.
67 Alors, quand on prenait ces esclaves, les acheteurs venaient et les achetaient. Et ils allaient là, et regardaient partout, et trouvaient celui qui était robuste et en bonne santé, et on l’échangeait contre un plus petit ou quelque chose comme cela, juste comme vous le feriez pour une voiture d’occasion ou pour quelque chose d’autre au parking, et on en recevait un acte de vente.
Oh! c’était terrible.
68 Et un jour, un – un revendeur vint dans une vieille plantation où il y avait beaucoup d’esclaves. Et – et les esclaves qu’on avait amenés là étaient tristes. Ils se retrouvaient loin de leur patrie, et ils n’allaient plus voir papa, ni maman, ni les enfants; ils avaient été déportés et vendus ici pour mourir sur une terre étrangère. Et ils étaient tristes, et bien des fois pour les amener à travailler, on prenait le fouet et on les fouettait pour les amener à travailler. On les réprimandait sans cesse.
Et un certain revendeur vint dans cette plantation et demanda au propriétaire : «Avez-vous des esclaves?»
69 Il répondit : «J’en ai cent et quelques ici. Voyez – les là-bas.» Et il remarqua un jeune esclave; il semblait différent des autres. On n’avait pas du tout besoin de le fouetter; il marchait droit, le menton relevé, les épaules redressées, prêt à tout faire.
70 Et il encourageait toujours les autres, disant : «Redressez-vous, travaillons.» Et on se demandait pourquoi.
71 Alors ce revendeur demanda au propriétaire, disant : «Je voudrais acheter cet esclave.»
Il répondit : «Non, mais il n’est pas à vendre.»
72 Il demanda : «Pourquoi n’est-il pas à vendre?»
Il dit : «C’est un esclave, n’est-ce pas?»
Il dit : «C’est un esclave.»
Il demanda : «Eh bien, pourquoi ne voulez-vous pas le vendre?»
Il répondit : «Parce que je ne veux pas le vendre.»
73 Il dit : «Bien, j’aimerais vous poser une question. Qu’est-ce qui fait qu’il soit si différent des autres ? Est-ce… Est-il le chef des autres?»
Il répondit : «Non, C’est un esclave.»
74 Et le revendeur demanda au propriétaire : «Parfois vous le nourrissez peut-être un peu mieux.»
75 Il répondit : «Non, il mange là à la cuisine avec les autres esclaves. Ce n’est qu’un esclave.»
76 «Eh bien, dit-il, je voudrais alors vous poser une question.» Il dit : «Qu’est-ce qui fait qu’il se comporte différemment? Qu’est-ce qui fait qu’il soit si différent des autres?»
77 Le propriétaire répondit : «Je me suis moi-même posé la question pendant longtemps, mais un jour j’ai découvert que là dans la vieille patrie d’où «il vient, son père est le roi de la tribu.» Et il a dit : «Bien qu’il soit un étranger, et qu’il soit ici, loin de son peuple, il sait néanmoins dans son coeur, qu’il est fils d’un roi. Et il se comporte en conséquence.»
Oh! je me suis dit que peu importe la situation que nous devons peut-être traverser, que ce soit les épreuves, que ce soit les chagrins, que ce soit la persécution, qu’on se moque de nous ou que l’on soit l’objet de raillerie, quel genre de personnes devrions-nous être? Nous sommes fils et filles du Roi.
78 Bien que nous soyons dans un monde hostile, bien que nous soyons dans un endroit où nous sommes haïs, peut-être taxés des noms honteux du genre «saints exaltés, langues pentecôtistes». Qu’est-ce que ça change? Nous devrions avoir le menton relevé, les épaules redressées, croyant la Parole de Dieu, car là de l’autre côté du pays, notre Père est le Roi.
Et je pense que c’est ridicule et honteux de voir les filles du Roi porter le genre d’habits qu’elles portent en ces jours-ci. Quand je vois les fils du Roi fumer la cigarette, et boire du whisky, et un petit verre de bière, comme c’est indigne du fils du Roi du ciel!
Notre Père est riche en maisons et en terres;
Il détient les richesses du monde dans Ses mains!
Du rubis et du diamant, de l’argent et de l’or,
Ses coffres sont remplis, Il a des richesses immenses.
Nous sommes les enfants du Roi.
79 Peu importe combien nous sommes pauvres, combien vous devez être écrasés, combien le monde vous critique et dit n’importe quoi sur vous, cela devrait vous faire garder la tête haute pour le mo-... moral des autres. Nous ne devrions jamais nous disputer les uns avec les autres. Nous devrions toujours dire la chose la plus louable au sujet d’un frère ou d’une soeur. Si quelqu’un est tombé dans un caniveau, ne l’enfoncez jamais davantage. Relevez-le ; faites-le sortir de là aussi vite que vous le pouvez, parce que cela l’aidera. Nous devrons être un exemple. Nous devrions mener une vie exemplaire, comme nous sommes des fils et des filles de Dieu, le Roi éternel. Nous devrions nous conduire de cette façon, en tant que fils et filles du Roi. Nous ne devrions jamais faire quoi que ce soit qui pourrait amener la honte.
80 Je disais ceci l’autre jour, et ma femme qui est assise là derrière, m’écoute. Il y a quelques semaines nous allions à un magasin, pour faire quelques provisions, et en plein hiver, nous avons vu une femme portant de tout petits habits, des habits courts, avec un petit pull-over sur elle. Ma femme a dit : «Tu sais, elle ne peut pas être à l’aise comme cela.»
81 Eh bien, nous nous sommes mis à parler de la chose.
J’ai dit : «Chérie, quand je vais en Allemagne, je vois...» J’ai dit : «C’est une Américaine, c’est tout.»
Et j’ai dit : «Quand je vais en Allemagne, les gens ont un esprit allemand, l’esprit national. Quand je vais en Finlande, ils ont l’esprit finlandais. Quand je vais en Suède, ils ont l’esprit suédois. Quand je vais en Afrique, ils ont l’esprit africain. Quand nous venons en Amérique, ils ont l’esprit américain.»
«Eh bien, a-t-elle dit, ne sommes-nous pas Américains?»
J’ai dit : «Non, pas moi; j’habite simplement ici.»
Elle a dit : «Eh bien, le – quel...»
82 J’ai dit : «Voici la raison : ils ont simplement l’esprit américain. Nous sommes taxés des religieux.»
Je parlais à une fille une fois; j’ai dit : «Mademoiselle, es-tu une chrétienne?»
83 «Eh bien, a-t-elle dit, je vous apprends que j’étais déjà chrétienne encore enfant.»
J’ai dit : «Qu’est-ce que cela a à faire?»
84 Une fois, le vieux frère Bosworth a demandé à une autre, disant : «Es-tu chrétienne?»
85 Elle était très fâchée; elle a grogné et a dit : «Je vous apprends que je brûle un cierge chaque soir.» Comme si cela avait bien quelque chose à voir.
86 Une fois, l’une d’elles m’a dit là à Mishawaka, elle a dit : «Je vous apprends que je suis Américaine.»
87 J’ai dit : «Cela n’a rien à voir. Rien à voir.»
88 Et j’ai dit : «Chérie, la raison pour laquelle les chrétiens...» J’ai dit : «Les chrétiens n’ont pas le désir d’agir comme cela, parce qu’ils ne sont pas à vrai dire des Américains. Pour la citoyenneté, quoique vivant ici, ils sont des pèlerins et des étrangers, ils... Notre citoyenneté est du Ciel, et on est né d’En-haut, où règnent la sainteté et la piété. Les vrais chrétiens, qui sont nés de l’Esprit de Dieu, n’agissent pas comme cela.»
Non, monsieur, oh! il se peut que vous soyez – il se peut que vous soyez un pentecôtiste. Il se peut que vous soyez membre de l’Eglise presbytérienne, méthodiste, baptiste, et que vous fumiez la cigarette, que vous buviez, que vous ayez des parties de cartes, des jeux d’escroquerie, des danses, mais si vous êtes chrétien, vous ne le ferez pas. C’est juste.
89 Dans mon pays, nous avons des «chênes». Très bientôt ce sera le printemps; toutes les feuilles qui étaient à ces arbres l’année passée sont toujours là. Eh bien, je n’ai pas besoin d’aller dehors pour détacher chacune d’elles, afin que les nouvelles feuilles apparaissent. Laissez juste la nouvelle vie monter, et les vieilles feuilles tomberont. C’est la même chose pour l’Esprit de Dieu, que vous soyez chrétien ou pas. Laissez la nouvelle vie de Christ entrer, et la vieille vie va mourir, et vous deviendrez une nouvelle créature en Jésus-Christ. Oh! c’est ainsi.
90 Alors, j’ai découvert qu’il y a deux différentes sortes de vie. Certaines personnes pensent que la vie, c’est boire, passer de beaux moments. Ça; c’est l’esprit de cette nation : passer de grands moments, une vedette, un programme à la télévision, faire beaucoup de plaisanteries. Eh bien, cela donnerait des maux d’estomac à un vrai chrétien, d’entendre ce genre de choses. Un homme ou une femme qui peut regarder à ce genre de sottises que nous avons à la télévision aujourd’hui, certains de ces programmes et – et apprécier cela; cela montre que c’est mentionné «I-Kabod» sur votre coeur, la gloire de l’Eternel s’en est allée.
Et quand l’église n’attire plus, quand elle en arrive au point où vous devez signer des cartes et autres pour venir à l’église, je pense qu’il est temps de tenir une réunion de prière ou que quelque chose se produise à l’église.
91 Il y a quelque temps, je descendais d’un poteau, et un certain prédicateur de ma ville était là. Et j’avais été au – avant d’arriver au travail. Et j’apportais une – une facture d’électricité à une dame, et j’ai frappé à la porte, et elle est venue à la porte, une toute petite femme à moitié vêtue, et elle a dit… Et il y avait là un certain gars, parmi ces musiciens sauvages, vous savez, avec ces violons et tout, et il continuait, chantant une espèce de petite chanson, et – et exécutait de petites danses gigues de rock and roll, ou je ne sais quoi. Et... et un... Et cette pauvre petite créature est allée me chercher la facture du courant, et elle fut emballée par cette chanson, au point qu’elle oublia que j’étais à la porte. Elle dansait de long en large sur le parquet, et faisait toutes sortes de scènes. Je me tenais en retrait et je l’ai regardée un moment. Et alors, quand elle a fini, elle a dit : «Oh! pardonnez-moi.»
J’ai dit : «Çà va, Madame.»
92 Et elle est venue et a dit : «Ma mère avait oublié d’amener la facture, la voici donc.» Elle a dit : «J’aime tellement danser, que je – que je – j’ai simplement oublié que vous vous teniez ici.»
J’ai dit : «Oui, Madame, j’ai vu cela.»
93 Peu de temps après cela donc, un pasteur me rencontra et me dit : «Vous savez, Frère Branham, dit-il, récemment j’ai connu des problèmes très difficiles avec les fidèles de mon église.» Il a dit : «Je n’arrive pas à les faire venir à l’église» , il a dit : «Vous savez quoi? J’ai envoyé aux membres de cette église mille cartes, et je leur ai demandé de promettre qu’ils assisteraient à l’école du dimanche au moins six mois par an.» Il a dit : «Savez-vous combien parmi les membres de cette église ont répondu à ces mille appels?»
J’ai dit : «Docteur Brown, je n’ai aucune idée.»
94 Il a dit : «Deux! deux sur mille, qui ont souscrit qu’ils viendraient six mois par an, au moins six mois par an, qu’ils assisteraient à l’école du dimanche...»
95 J’ai dit... je lui ai raconté l’histoire de cette pauvre petite fille au bas de la colline, là où se trouvait l’église. A ce que je sache, il se peut qu’elle ait été membre là. Et il a dit...
96 J’ai dit : «Pensez-vous...?... Quand ce musicien a quitté l’antenne, et qu’elle lui a envoyé une bise par la télévision ou la radio, en disant : «Au revoir, chéri. Je te verrai là ce soir à ce bal populaire où l’on va se rencontrer.» Elle a dit : «Je te verrai là.»
97 J’ai dit : «Pensez-vous que cet homme devra signer–lui faire signer une carte pour dire qu’elle serait là?» Certainement pas. Elle y sera même si elle doit mettre ses souliers en gage. Elle y sera. Pourquoi? Pourquoi? Parce que l’esprit de ce monde est en elle, et elle est un membre fidèle, et elle sera là-bas.
98 Et si les hommes et les femmes aiment Dieu autant qu’ils – que le monde aime ses plaisirs... Le plaisir d’un chrétien, c’est de servir le Seigneur dans la maison de Dieu. Vous n’avez pas besoin de signer une carte; vous ne pouvez pas – vous ne pouvez pas ouvrir assez vite la porte.
Et si les membres de l’église s’aiment assez les uns les autres, au lieu de former de petits groupes et vous éloigner de l’église... Frère, si vous vous aimez les uns les autres au point que vous – vous souffrez dans le coeur jusqu’à ce que vous vous réunissiez encore, c’est ainsi que cela devrait être.
Béni soit le lien qui unit
Nos coeurs dans l’amour chrétien ;
La communion des âmes soeurs
Ressemble à celle d’En haut.
Quand nous nous séparons,
Cela nous cause la peine;
Mais dans les coeurs nous restons unis,
Espérant nous revoir.
99 Ô Dieu, même s’il nous faut retirer tous les miracles de l’église, même s’il nous faut enlever toutes les grandes orgues, des bancs en peluche, redonne-nous cet amour divin, l’amour fraternel parmi le peuple et la communion. S’il nous faut faire tout cela, ramène cela là . La vie.
100 Oh! la vie! Des fois les gens pensent que la vie, c’est avoir une – une fête, aller à la fête et passer un beau moment. Ça, ce n’est pas la vie. D’autres personnes ont ramené cela au fait de s’enivrer. Ils sortent dans la rue et s’enivrent, et ils passent un beau moment. Ils disent : «C’est ça la vie.»
101 Un écrivain a écrit une fois, il n’y a pas longtemps, dans un magazine, je crois que je me suis référé à cela il y a quelque temps ici. Je ne suis pas sûr. Mais il a dit : «La vie commence la nuit. La nuit a été faite pour la vie.» La nuit a été faite pour le repos. Le soleil se couche; vous vous couchez, reposez-vous, ne rodez pas toute la nuit, pour revenir à l’aube, et… vous n’êtes pas censé faire cela. Les mauvaises créatures rodent la nuit. Le mal se fait la nuit; tous les serpents, les lézards, les punaises et tout se grom... se promènent la nuit. Et ce sont les – les puissances démoniaques qui rodent la nuit.
Et l’homme est tombé plus bas que la bête.
102 L’homme est le – est le... On nous a enseignés qu’il fait partie du règne animal, mais que cet homme s’éloigne de Dieu, il est le plus bas de tous les animaux. Il n’y a pas un animal au monde qui soit aussi bas qu’un homme éloigné de Dieu. Observez-le.
Prenez une vieille m – mère chienne, ou une vieille mère truie, peu importe le nom que vous voulez lui donner, tout ce que vous voulez. Mais considérez sa moralité, elle est à un million de kilomètres au-dessus de beaucoup de vedettes de cinéma, quant à la moralité. C’est vrai. Vraiment trop bas... L’homme est tombé si bas qu’il arracherait un enfant des bras d’une mère et violerait cette maman par envie bestiale. Mais placez l’Esprit de Dieu en lui, c’est une créature différente, parce qu’il est une nouvelle créature. En Jésus-Christ, il verserait son sang pour protéger cette maman. C’est cela la différence. L’une est la mort, et l’autre, la vie.
103 Il y a quelque temps j’étais au Canada, je tenais une série de réunions là au Saskatoon. Et nous tenions une série de grandes réunions là-bas à une patinoire. Sept ou huit mille personnes y assistaient. J’étais avec certains de mes amis là-bas dans cette certaine réunion. Je venais de quitter Phoenix. C’était la première série des réunions après que j’ai quitté Phoenix, il y a environ trois ou quatre, ou cinq ans, l’une des réunions.
Et je suis descendu, cette nuit-là à la réunion à – à – à là – à la patinoire. Et sur mon chemin de retour à la maison, j’ai remarqué ce soir-là que les gens affluaient à ce grand hôtel. Je me suis dit : «Eh bien, il semble que ce sont toutes des plaques d’immatriculation américaines et tout, sur ces voitures, elles viennent des Etats-Unis.» Alors je...
104 Ce soir-là, quand je suis revenu, j’ai compris que l’Amérique était au Canada, ce soir-là.
Quand je suis entré dans l’ascenseur, il était si plein de bouteilles de whisky et de gin qu’on trouvait à peine une place où se tenir. Et j’ai regardé là-dedans; j’ai dit... j’ai regardé tout autour comme cela, et ce petit opérateur de l’ascenseur me connaissait, et il a dit : «Ils sont ici.»
J’ai dit : «C’en a vraiment l’air.»
Il a dit : «Ça, c’est – c’est un terrain des ivrognes invétérés, Frère Branham.»
105 J’ai dit : «N’est-ce pas affreux!» C’était un club. Eh bien, je peux citer son nom maintenant même, mais il y a probablement leurs membres qui sont assis ici. Ils sont donc tous pourris de toute façon, pour commencer. Il n’y a qu’un seul club; c’est le club de Jésus-Christ. Vous n’y entrez que par la naissance. Vos autres clubs peuvent être très bien, mais le véritable c’est celui de Christ. C’est l’unique qui modèle le caractère et rend les gens ce qu’ils devraient être, le club de Jésus-Christ. Et vous n’y entrez que par la naissance.
106 Et alors, lorsque nous nous sommes arrêtés à l’étage, où ma chambre… j’en suis sorti. Oh! la la! vous pouviez entendre çà et là partout, toute la… la fumée de la cigarette se répandait, et – et de sales plaisanteries partout. Et je commençais à avancer dans le hall, et j’ai entendu un… quelqu’un dans le coin, et c’étaient deux jeunes femmes américaines, toutes deux portaient des alliances de mariage, ayant sur elles des – juste des sous-vêtements. Elles se sont approchées, tenant une bouteille de whisky, titubant et se heurtant l’une contre l’autre, faisant de petits amusements innocents, les maris restés à la maison pour faire la garde des enfants.
C’est là que vous attrapez cela. Juste de petits amusements innocents; c’est ainsi que nous appelons cela. C’est tout ce qu’on a ici , des écrans de télévision publics, et toutes ces publicités ici, sur le whisky, la bière, la cigarette et tout. C’est la porte de l’enfer.
107 Je peux avoir l’air vieux jeu, mais ma jeune soeur, mon jeune frère, souvenez-vous, c’est ça la porte de l’enfer. Celui qui aime cela mourra éternellement. C’est vrai. «L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra.» «La femme qui vit dans les plaisirs est morte, quoique vivante», dit la Bible. C’est la vérité.
108 Comment la féminité, cette douce...
La plus grande chose que Dieu a donnée à un homme à part le salut, c’était une femme. Elle lui a été donnée pour le réconforter, l’assister, le bénir, et le consoler, et… et être une vraie compagne pour lui. Et aujourd’hui, c’est si corrompu, et pourri que je… c’est... Eh bien, les Hottentots d’Afrique peuvent venir ici et enseigner à nos femmes à mener une vie décente. C’est juste.
109 Il y a une tribu, au fin fond de l’Afrique, où si une femme n’est pas mariée à un certain âge, elle doit être expulsée de la tribu. Et si elle est mariée, et avant d’être mariée, on doit vérifier sa virginité. Si on la trouve coupable, elle doit dénoncer l’homme qui a fait cela, et on les tue tous deux. On en tuerait beaucoup aux Etats-Unis si cela se faisait ici, n’est-ce pas?
Pensez-y. Des païens. C’est une honte. C’est une tache sur ce drapeau pour lequel nos aïeux ont combattu. C’est une honte pour notre nation.
110 Et quand la féminité est brisée ainsi que la maternité, dans n’importe quel pays, la colonne vertébrale est brisée. Que Dieu nous donne encore des mères à l’ancienne mode.
J’ai une coupure de journal qui a été publié là dans notre journal, un journal local, qui montrait que trois soldats sur quatre qui étaient partis outre-mer pendant l’autre guerre , ont divorcé d’avec leurs femmes six mois après leur retour. Et elles étaient parties travailler dans les usines où l’on fabrique la poudre, ainsi de suite comme cela...
Eh bien, si un homme est malade et que sa femme ne peut pas travailler, je veux dire si lui ne peut pas travailler, je ne condamne pas la chose; sa femme doit gagner de quoi vivre. C’est en ordre. Mais si elle s’en va travailler juste pour avoir un peu plus d’argent, vous feriez mieux de la garder loin de cette bande de voyous avec laquelle elle travaille là. Sa place est à la maison. C’est cela. Ici elle... elle est censée être à la maison.
111 Et, monsieur, vous pourrez vous considérer vous-même comme étant très correct, mais si vous avez des clubs et ces autres choses qui vous éloignent d’elle la nuit, vous devez avoir honte de vous-même. Dieu vous a donné un foyer pour... à chérir et à réconforter et des choses comme cela, et c’est honteux de voir la manière dont les hommes traitent leurs femmes, et la manière dont les femmes traitent leurs maris. La féminité et la paternité de la nation sont détruites, les tribunaux de divorce sont pleins.
112 Jésus a dit qu’il en sera ainsi : «Comme il en était aux jours de Noé; ils se mariaient, et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche.» C’est un péché et une disgrâce. Ne me traitez pas de ce genre… Je ne...
Comme Jacob le disait à sa mort, quand il a appelé ses deux fils qui avaient tué cet homme, il a dit : «Que mon âme soit loin de leur colère. Car dans leur colère, ils ont tué un homme.»
Même à ses propres fils, il a dit : «Ne laisse pas mon âme s’approcher de Ta colère.»
113 Et je dirais à ma mort : «Si cet esprit qui est en Amérique, si c’est par cela que je dois être jugé, que Dieu me garde loin de cela autant que possible. Que j’aie l’Esprit de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Que quelque chose se passe en moi, peu importe ce qui doit arriver.»
114 Les gens ont peur de la nouvelle naissance. Ils ont peur de cela. Eh bien, peu m’importe à quel échelon elle a lieu, chaque naissance est un gâchis. A supposer que ce soit là dans une porcherie, toute naissance est un gâchis. Que ce soit dans une porcherie, que ce soit dans un… Que ce soit dans une étable à vaches, que ce soit dans une chambre d’hôpital décorée en rose, peu m’importe l’endroit où une naissance a lieu, c’est un gâchis.
Et la nouvelle naissance, c’est la même chose. Elle vous fera faire des choses que vous ne pensiez pas faire. Il se peut que vous criiez, pleuriez à chaudes larmes, et que vous vous frottiez tout autour de l’autel; peu importe ce que vous faites.
115 Je n’ai jamais demandé à Dieu (cela ne ferait aucun bien), d’essayer de ramener la nouvelle naissance à mon niveau. J’aimerais me mettre au niveau où Dieu a placé la nouvelle naissance, et la recevoir. Peu importe ce que je dois faire.
Quelqu’un disait il n’y a pas longtemps : «J’ai peur de recevoir le Saint-Esprit. J’ai peur qu’Il me fasse parler en langues comme les autres.» Peu importe si j’ai parlé en langues, si je me suis exprimé en langues, si j’ai crié en langues ou n’importe quoi d’autre; je veux le Saint-Esprit. C’est ce qui est fondamental ; peu importe à quel niveau ça se trouve. Je veux rencontrer Dieu à Son niveau. Ce qu’Il veut dire est juste. C’est là que je veux me tenir.
116 Cette nouvelle naissance qui change un homme, change une femme, amène un nouveau désir, change leurs appétits... Luttez avec Dieu jusqu’à avoir prise, jusqu’à ce que la bénédiction vienne. Alors, Dieu vous changera comme Il a changé Jacob, du «supplanteur» à Israël, «le prince». La nouvelle naissance...
117 Ces femmes sont descendues là, et elles avaient un... un homme sortit… deux vieux messieurs sortirent en courant, essayant de les saisir. Ils les ont ratées et ont tapé leurs mains derrière elles comme cela, l’une a été prise par le talon, et elle s’est étalée par terre, et a renversé un peu de son whisky. Et cette autre a pris cela et a ajouté dans son verre. Et ce vieil homme était si ivre qu’il ne pouvait pas se relever du plancher, oh, passant un moment beau et sain, juste un petit amusement.
118 C’est ce qui brise les foyers; c’est ce qui gâche les enfants; c’est ce qui engendre des névrosés; c’est ce qui cause la délinquance juvénile; c’est quand la maternité et la paternité sont brisées.
Cette femme a levé cette bouteille; elle a relevé ce petit jupon, tout ce qu’elle portait, elle a lancé sa petite jambe en l’air comme cela, et a crié : «Youpi!» Elle a dit : «C’est ça la vie.»
119 Je ne pouvais pas en supporter davantage. Je suis allé là, et j’ai dit : «Excusez-moi. Ça, c’est la mort.» J’ai dit : «Le diable vous a séduites. C’est la mort.»
Et elle a dit : «Tu veux un verre? Vas-y, chéri.»
120 J’ai levé cette même Bible-ci, j’ai placé Cela devant elle, j’ai dit : «Je suis un prédicateur de l’Evangile.»
Et elles ont fait tomber la bouteille, avec ces maquillages sur tout le visage, sur les yeux, et partout, et leurs lèvres qui étaient censées être ici, elles étaient peintes là autour du nez, toutes sortes de truc, et ce truc bleu coulant sous les yeux.
J’ai regardé à leurs mains, elles portaient des alliances; j’ai dit : «N’avez-vous pas honte de vous? Je suis aussi un citoyen américain.» J’ai dit : «Vous faites la honte de la nation.»
«Ô, ont-elles dit, nous l’avons fait sans penser en mal.»
121 J’ai dit : «Vous l’avez fait sans penser en mal! Et vous portez toutes deux des alliances.»
Elles ont commencé à s’éloigner comme cela. Je les ai saisies par la main; elles étaient trop ivres pour m’échapper. Je les ai saisies par la main. J’ai dit : «Ecoutez, mesdames, agenouillons-nous ici et prions que Dieu ait pitié de vos âmes pécheresses. Allez prendre du café noir, désenivrez-vous et retournez à la maison auprès de vos enfants et de vos bébés.»
122 La vie, la vie, ça, c’est la mort! C’est le genre de vie dont David a dit : «Car Ta bonté vaut mieux que la vie. Oh, mon âme a soif de Toi, ô Seigneur. Je soupire de Te voir dans cette terre aride, desséchée; ainsi, je Te contemple dans Ton sanctuaire.»
123 ... gravir une haute tour, ou plonger dans une rivière, ou s’étaler sur la rue, ou prendre de l’acide carbonique, pour mettre fin à ce genre de vie. Ce n’est pas de cela que David parle. Ce genre de vie a une fin, et la fin est désastreuse. Et ce genre de vie n’a pas une bonne fin. Et alors, je voudrais juste poser cette question à l’auditoire, pour un instant : «Qu’est-ce qui pousse une personne à faire cela?»
124 Eh bien, par exemple, je suis allé à une fête une fois, où... Ce n’était pas une fête; c’est là où nous avions vendu des lampes lors d’une campagne. Et on a prononcé un petit discours. Et nous sommes allés là pour voir à Louisville, dans le Kentucky, et la compagnie de services pour laquelle je travaillais, j’avais vendu plus de lampes que toute la compagnie, que tous les autres. Alors, on a offert un petit moment; nous avions eu un petit dîner. Et alors, après que tout était fini, les gens ont reculé et – et le – et ils ont organisé la danse. Quelques jeunes filles sont venues pour danser. Quand elles se sont amenées, mon patron m’a dit, il a dit : «Billy, va te tenir là derrière, à la porte; nous allons avoir un petit amusement innocent.»
J’ai demandé : «Quel genre d’amusement innocent?»
125 Il a dit : «Cela te dérangerait d’aller à la porte?» Il a dit : «Je sais que tu ne crois pas à la danse; mais ces gens vont danser.»
«Bien, ai-je dit, ne puis-je pas attendre dehors?»
Il a dit : «Comme tu veux.»
126 J’ai dit : «D’accord.» C’est au moment où j’ai commencé à me retirer que je… une pauvre petite fille est sortie en courant comme cela, elle a couru sur la piste, elle a commencé à faire… une espèce d’actes de folie et – et elle continuait, sa pauvre petite jupe volait autour d’elle. Je me suis dit : «C’est la fille d’une mère!» Je suis resté là à la porte juste une minute et j’ai regardé là. Je me suis dit : «Ô Dieu, vraiment une jolie petite fille. N’est-ce pas une honte? Elle pouvait bien être une idole d’un homme, peut-être d’un bon prédicateur, une – une consolation, ou d’un bon ouvrier qui reviendrait la nuit à un petit château, où ils auraient des petits enfants qu’ils pourraient prendre, s’amuser avec, et avoir une bonne vie en toute liberté. C’est... Peut-être, il se pourrait que sa mère ait été une chrétienne.»
127 Et elle s’est mise à courir ça et là, saisissant chaque homme. Et elle est revenue vers moi. Et elle a dit : «Veux-tu danser?»
J’ai dit : «Oui, madame. Je veux bien.»
Et elle a dit : «Viens.»
Je me suis avancé sur la piste.
128 J’ai dit : «Un instant.» Et je l’ai tenue ; elle était trop petite pour se dégager de moi. Je l’ai tenue par la main, j’ai dit : «Il y a une chose que j’ai toujours l’habitude de faire.» J’ai dit : «Chaque fois, avant de faire quoi que ce soit, je prie toujours. Veux-tu prier avec moi? Incline-toi.» Je tenais sa main. Elle n’y pouvait rien. Nous avons mis fin à cette affaire là en quelques minutes. Certainement.
129 Le vieil orchestre du Jazz a arrêté, et ils ont pris leurs instruments et sont partis. J’ai dit : «Monsieur Hanson, vous pouvez me licencier si vous voulez.»
Il a dit : «Non, Billy, vous avez fait la chose qu’il fallait.»
130 Voilà. Ce n’est pas ça la vie. Il y a deux conceptions de ce qu’est la vie. L’une a le suicide; et l’autre a le ravissement. Oh! le ravissement divin! Puisse cette vie descendre en moi.
131 Mais qu’est-ce qui amène une personne à faire cela? Il y a une raison. Laquelle?
Maintenant, écoutez attentivement. La raison pour laquelle les gens font cela; c’est parce que Dieu les a créés pour qu’ils aient soif. «Mon âme a soif de Toi, comme dans une terre aride desséchée.» Bien, Dieu a créé l’homme pour qu’il ait soif. Mais, voyez-vous, ce Dieu a créé l’homme pour qu’il ait soif, qu’il ait soif de Lui. Il doit avoir soif de Dieu.
Maintenant, le diable essaie d’étancher cette soif avec les choses du monde. Mais il n’y arrivera jamais. Eh bien, s’il peut vous prendre et vous amener à avoir soif de la danse, à avoir soif de la télévision, du rock-and-roll, et de toutes ces autres choses immondes...
132 Eh bien, je n’ai pas l’intention de condamner toutes les émissions de télévision, ni toutes les émissions à la radio. Si vous voulez regarder la télévision, suivez Oral Roberts. Il a une bonne émission. Suivez cela. Si vous voulez... C’est correct. Je soutiendrais cela à cent pour cent. Billy Graham, Oral Roberts, ou des gens comme cela, c’est bon, ou quelque chose qui est décent et bienséant. Mais toutes ces absurdités concernant la boisson...
133 Et l’autre jour par ici… Je suis dans un conflit sur les impôts à propos de l’argent que j’ai dépensé dans ces réunions. Le gouvernement a dit que cela a dû m’appartenir en propre. Je devrais payer les impôts sur tout ce….»
J’ai dit : «Comment pouvez-vous penser cela?» J’ai dit : «C’est passé par mon église, et cela a été utilisé pour toutes ces réunions.»
134 Ils ont dit : «Oh, cela vous appartenait avant d’appartenir à l’église.» Et ils allaient m’arrêter pour ça.
135 Et j’ai dit : «J’aimerais vous poser une question au nom de toute la décence.» J’ai dit : «Vous faites passer ces émissions la nuit. J’ai passé trente-deux ans de ma vie à parcourir toute la nation, le monde entier, essayant d’en faire un endroit meilleur où vivre, essayant de transformer des escrocs pour en faire des hommes honnêtes, essayant de prendre les enfants au berceau, et les mettre dans l’église, et quelque chose pour le bien. J’ai consacré ma vie sur terre à faire cela. Et l’argent que j’ai utilisé là-bas, et vous essayez de me dire que je dois cela.» Et j’ai dit : «Vous laissez toutes ces vieilles émissions désagréables et vulgaires passer à la télévision, cette compagnie de whisky, de tabac, qui détruisent la nation, qui font commettre des viols, des meurtres, et tout le reste, la délinquance juvénile qui déchire votre nation; et ils ne payent pas la publicité de cela.» Et j’ai dit : «Qu’est-ce qui nous reste?»
136 Il y a une chose qui nous reste, et c’est Christ. Certainement, ces compagnies de bière, et tout ce que vous avez comme publicité là-dessus, ce sont des impôts du gouvernement. Ils ne payent pas cela. Mais que moi j’essaye de ne pas payer cela; disons : «Bien, j’ai tenu une réunion au jardin de Madison Square, on a prélevé autant. Je dois déclarer chaque sou. Et ensuite ,nous avons payé autant pour l’auditorium.»
137 «Oui, c’est à vous que les gens donnent cela. Cela vous appartenait. Vous devez payer l’impôt sur le revenu pour cela.»
Vous y êtes. Voyez? Eh bien, c’est – et puis vous appelez cela justice, mentionnée là sur les portes des tribunaux. Pas à mon avis, cela ne l’est pas. Pas dans cette Bible, non. C’est vrai.
138 Nous rendons à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. C’est vrai. Mais ce monde est perverti, au point que l’on examine même les examinateurs. Eh bien, c’est pitoyable. Des névrosés examinent des névrosés, et le – les psychiatres le – soignent les psychiatres. Eh bien, les choses sont corrompues, foutues pour toujours. Mais le Royaume de Dieu subsistera éternellement.
139 Ecoutez. Vous n’allez jamais satisfaire ce désir ardent. Vous sortez ce soir vous enivrer, vous soûler, et vous faites la noce à tout casser, demain matin vous avez des maux de tête, et la peur. Vous allez briser votre foyer. Vous allez ruiner votre vie. Vous allez jeter cela aux chiens, pour ainsi dire. Mais il y a un seul moyen pour satisfaire cela – cela... Et je vais vous dire maintenant, vous... Ecoutez ceci! Vous les gens, jeunes ou vieux, comment osez-vous prendre les choses du diable pour étouffer cette sainte soif bénie, cette soif qui est en vous? Comment pouvez-vous prendre les plaisirs dans le monde, du whisky, de la bière, de beaux moments, le luxe, pour satisfaire cette soif sainte et bénie, que Dieu vous a donnée pour avoir soif de Lui?
140 Pour certaines personnes, le diable est si méchant qu’il les laisse se joindre à une église pour étancher cela. Oh, oui. Les gens vont et se joignent à une église, ils disent : «Bien, j’inscrirai mon nom dans le registre de l’église, et je vais…»
L’église c’est bien, mais permettez-moi de vous dire, mon ami, que se joindre à une église ne va jamais étancher cette sainte et ardente soif. C’est l’endroit où Dieu vient, et rien d’autre ne peut combler cela jusqu’à ce que vous soyez rempli du Saint-Esprit. Alors le Saint-Esprit vient dans votre coeur. Il est la Fontaine éternelle de Dieu. Il est la Fontaine inépuisable de la vie. Recevez-Le et abreuvez-vous de Lui pour le reste de votre vie, dans tous les âges. Dieu a fait cet endroit ici dedans pour Lui-même. Vous avez soif de quoi? De Lui. Il veut que vous ayez soif. Ayez soif de Lui.
141 David était un homme de bois, un berger. Il utilisait les termes de bergers, et de bois, et ainsi de suite. Un... dans un autre Psaume il a écrit :
«Comme une biche soupire après des courants d’eau, mon âme a soif de Toi, ô Dieu!»
Eh bien, je suis un chasseur, et j’ai chassé dans le monde entier, presque. Bon, avez-vous déjà vu une biche blessée?
142 «Comme une biche a soif des courants d’eau, ainsi mon âme a soif de Toi, ô Dieu!»
143 Eh bien, en Afrique, frère Duplessis, dans son pays, ils ont là-bas des chiens sauvages, ils attrapent la – la biche. Et si vous blessez une biche, si elle peut atteindre l’eau ,vous avez perdu votre biche. Si elle peut atteindre l’eau... elle trouve l’eau et elle retourne dans ce sens, elle descend, remonte le ruisseau, et tra-… trompe les chiens, elle retourne là, gravit la colline, revient derrière eux, elle marche dans le ruisseau, en boit encore, jusqu’à ce que cette eau froide suffise pour faire coaguler le sang, alors elle peut vivre. Mais si elle n’arrive pas à trouver cette eau, elle va mourir.
Il en est ainsi.
144 Bien des fois j’ai observé le loup poursuivant la... la biche. Et s’il peut trouver une petite biche là toute seule, c’est de celle-là qu’il va s’occuper. Il y a là une leçon. S’il peut trouver une biche éloignée du troupeau, alors il – c’est ce que le diable cherche à faire. Ainsi pour vous, jeunes filles, il veut que vous sortiez avec un garçon qui n’est pas chrétien. Pour vous, jeunes garçons, il veut que vous sortiez avec une petite Jézabel maquillée qui – qui n’est pas une chrétienne. C’est là qu’il veut vous dépecer. C’est là qu’il veut… il veut planter ses dents en vous.
Et cette petite biche va se mettre seule à l’écart, loin du troupeau. C’est de celle-là que le loup va s’occuper.
145 Et pour vous, hommes et femmes âgés, lorsque vous vous séparez des croyants... Les gens disent : «Je peux rester à la maison, y être tout autant un bon chrétien qu’à l’église.» Vous ne pouvez pas.
La Bible dit : «N’abandonnons pas notre assemblée, d’autant plus que nous voyons le temps s’approcher.»
Si vous êtes un chrétien, vous désirez ardemment aller là où se trouvent les autres chrétiens pour communier avec eux. Ainsi vous ne pouvez pas rester loin de l’église et vivre la même vie.
146 Vous – vous ne pouvez pas faire cela, parce que c’est comme de dire : «Je – je – je –j’ai faim, mais je n’irai point à table. Seulement je – je ne vais pas manger. Seulement je – je ne vais pas le faire.» Voyez? Vous devez aller vous nourrir de la Parole de Dieu et communier les uns avec les autres.
Nous avons maintenant besoin les uns des outres – des autres plus que jamais, c’est maintenant. Lorsque vous vous séparez des autres, en vous faisant un peu remarquer, vous ne voulez pas vous associer avec les autres parce qu’ils croient ceci, et vous ne voulez pas vous associer à cela, vous êtes sur un terrain dangereux à ce moment-là, en vous éloignant de l’église. Trouvez-vous-en une de votre choix, et restez-y, et soyez un frère chrétien pour tous les autres. C’est ça être un vrai chrétien. Alors nous avons la communion, la protection; les gens vous aiment et ils prient pour vous.
147 Ce qui fait le succès de mes réunions, c’est le fait que les gens très pieux prient pour moi. C’est cela. C’est la raison pour laquelle il y a du succès dans mes réunions. Quand j’arrive et que je présente ces choses au sujet des visions et tout, il y a beaucoup de vieilles mamans et de vieux papas, des soeurs et des frères, assis là qui croient cela de tout leur coeur. Alors, le Saint-Esprit descend directement sur eux. S’ils ne croyaient pas cela, je n’ai aucun autre moyen de le faire. Peu importe combien cela est merveilleux pour moi, cela doit l’être aussi pour vous. Nous devons former une unité, nous deux ensemble, pour être en contact avec Dieu : vous, comme un croyant, et moi-même comme un croyant.
148 Eh bien, quand ce petit animal se retrouve seul à l’écart, alors le loup s’amène. Il épie le chien – épie la – la biche. Et il continue à s’approcher de plus en plus. La petite biche commence à se sentir agitée. Beaucoup de gens s’asseyent dans une réunion, s’asseyent suivant la prédication, ils se disent : «Vous savez, il se peut que ça soit moi. Peut-être que je devrais faire ceci. Peut-être, je devrais venir à Dieu.» Cela montre que le loup est bien sur toi.
149 Eh bien, quand le loup fait ce grand bond sur la biche... Eh bien, d’abord, un loup a deux crocs appelés «les crocs à sang.» S’ils peuvent attraper la – la biche juste par derrière ses oreilles, il y a une veine là, et c’est une artère, juste derrière l’oreille. Il enfonce ses dents juste là-dedans. C’est comme le serpent, et il se suspend de tout son poids là. Et que fait-il ? Il coupe la gorge de la biche. Il est foutu. Cette veine fait jaillir le sang, et elle ne fera pas quarante sept mètres sans qu’elle ne meure. Elle saigne simplement à mort, et elle perd le sang. Sa vie s’en va.
Combien de précieux jeunes garçons et jeunes filles, hommes et femmes, ont été attrapés par le diable, sans protection, et il leur a fait cela? Comme c’est pitoyable.
150 «Comme une biche soupire après des courants d’eau.»
Alors nous remarquons, si la – si la petite biche est rapide, elle redresse sa tête et s’aperçoit que le loup vient, elle peut se retourner. Et alors, la biche – le loup a un autre endroit par où saisir. C’est juste au flanc. Eh bien, ceci est le point d’équilibre de la biche. Le train arrière est plus lourd que le train avant, et il faut le milieu ici pour faire l’équilibre.
Eh bien, si le loup saisit… s’il essaie de viser ces côtes, il va la rater. S’il attrape dans sa chair ici, ça ne lui servira à rien. Mais, juste là au flanc, s’il peut saisir avec sa gueule juste là, et bien saisir, et cette biche à moitié déséquilibrée comme cela, il peut jeter la biche par terre. Et s’il ne fait pas cela, il arrache une bouchée de chair de la biche, s’il rate la gorge.
151 S’il attrape la gorge, c’en est fini de la biche. Mais s’il le saisit comme ceci, et si la biche est rapide, elle saute, se tortille de part et d’autre, saute et s’élance avant que le loup se suspende pour la jeter par terre. La petite biche se secoue et se fait arracher toute une bouchée. Et quand il le fait, un grand trou apparaît là, et le loup tombe par terre, et la petite biche fait un bond en avant. Elle peut distancer le loup.
152 Eh bien, cette biche va courir de toutes ses forces, et de toutes ses forces, mais cependant, elle commence à saigner, saigner. Elle perd du sang.
Oh, combien sont mordus ce soir à Phoenix par la meute de l’enfer. Leur précieuse vie est en train de dépérir, parce qu’ils – ils regardent… le trou dans leur flanc. Il leur est arrivé quelque chose, Ils ont laissé quelqu’un entrer dans leur vie, quelque chose s’est passé, un homme est sorti avec une autre femme, ou une femme avec un autre homme, ou ils ont pris un petit verre amical. Ils ont voulu être comme le voisin d’à côté ou quelque chose comme cela. C’est alors que vous êtes attrapé.
Une petite secousse, et alors il lui faut trouver de l’eau. C’est ce que David a dit : «Comme une biche a soif des courants d’eau, ainsi mon âme a soif de Toi, ô Dieu.»
153 Et cette petite biche saigne là, tremble, et a soif. Elle va lever son petit nez. Je les ai observées bien des fois. Elle va flairer [Frère Branham produit un son d’halètement – N.D.T.] Elle flaire pour trouver l’eau . Elle regarde; la meute est derrière elle. Si elle peut trouver de l’eau, elle va vivre. Si elle ne trouve pas de l’eau elle va mourir, puisqu’elle s’affaiblit de plus en plus. Eh bien, quand cette biche, elle doit atteindre l’eau, sans quoi elle meurt.
154 Et quand vous en arrivez là, mon frère, où le péché a rongé votre vie au point qu’il vous faut trouver les eaux de Dieu, à moins que vous trouviez cette fontaine remplie de Sang tiré des veines d’Emmanuel, là où les pécheurs plongent dans le flot, perdent toutes les taches de leur culpabilité...
Si vous êtes si assoiffé et que vous soupiriez après l’eau : «Ô Dieu! où se trouve-t-elle? Je dois trouver Jésus ou périr.» Quelque chose... Vous allez Le trouver, Dieu mettra de l’eau... Pour voir ce Beersheba – que – un – Anne avait trouvé pour l’enfant... Dieu peut créer une fontaine juste à côté de vous.
155 Peut-être que vous êtes rongé par le cancer. Peut-être êtes-vous cloué dans un fauteuil roulant. Il se peut que ce coeur soit sur le point de cesser de battre, le docteur l’a examiné, et a dit : «Vous n’en avez pas pour longtemps.» Peut-être que la tuberculose est sur le point de vous avoir, ce démon s’est saisi de vous, est en train de vous cribler, à moins que vous trouviez cette fontaine. Si vous avez soif de cela : «Heureux ceux qui ont faim et soif, car ils seront rassasiés.»
Mon précieux ami, ce soir, permettez-moi de vous dire en tant que votre frère, et celui qui vous aime : si vous avez un besoin ce soir, s’il y a… si vous avez été mordu par… physiquement ou spirituellement, par la meute de démons, allez vers les eaux aussi vite que vous pouvez. Il y a une fontaine ouverte ce soir dans la maison de Dieu, dans la cité de David. C’est pour les gens qui sont impurs. Vous pouvez plonger dans cette fontaine, perdre toutes les taches de votre culpabilité. Je vous recommande le Sang de Jésus-Christ, alors que nous inclinons la tête.
156 «Ta bonté vaut mieux que la vie pour moi. Et parce que Ta bonté vaut mieux que la vie, mes lèvres célèbrent Tes louanges. Ô Seigneur, afin que je puisse Te voir comme je T’ai vu dans Ton sanctuaire. Puis-je Te voir dans cette terre aride, desséchée. Mon âme a soif de Toi, ô Dieu.»
157 Assoiffée, assoiffée, essayant de trouver un… un endroit où s’abreuver.
Etes-vous ici, ce soir, homme ou femme, garçon ou fille qui n’avez jamais bu à cette Fontaine? Vous avez été mordu par les péchés, et vous avez soif ce soir de la guérison. Si cela vous concerne, voulez-vous lever la main et dire : «Frère Branham, souvenez-vous de moi dans votre prière. Maintenant j’ai… j’ai... »
158 Dieu vous bénisse, monsieur. Dieu vous bénisse. Dieu vous bénisse, madame. Dieu vous bénisse. Il y a une fontaine remplie de Sang, tiré des veines d’Emmanuel.
Ici derrière, à ma droite, Dieu vous bénisse, jeune dame. Dieu vous bénisse, jeune homme. C’est bien. Dieu vous bénisse. C’est merveilleux. Pensez-y, les amis, examinez cette soif qui est vous. Avez-vous tourné cela vers l’ennemi? Vers les choses de ce monde? Avez-vous simplement essayé de la satisfaire avec, disons : «Bien, je vais aller en ville et je vais acheter de nouveaux habits. Je...» Ce n’est pas cela. Vous avez besoin… Peut-être que vous avez besoin de nouveaux habits. C’est en ordre. Mais lorsque vous en faites votre idole, comment vous devez être toujours très impeccable. Peut-être c’est votre maison. Peut-être quelque chose d’autre a pris la place de cette soif et de cet appel. Ça devrait être Dieu. Dieu est cette portion qui satisfait.
Je vais vous demander de faire quelque chose. Si vous croyez que Dieu entend ma prière, si vous avez confiance en moi comme votre frère, et si vous avez besoin de cela, je me demande si – si vous pouvez venir ici, et croire que...
159 Je parlais à une dame; elle m’a rencontré aujourd’hui au restaurant. Et elle me parlait de frère Outlaw, je pense, qui m’avait amené à son chevet lorsqu’elle se mourait de la tuberculose. Elle a été guérie. Les médecins l’avaient abandonnée. Et elle a été guérie, plus tard dans une autre réunion, elle a été guérie du cancer. Sa fillette était couchée, se mourant de la leucémie... Si la dame ne témoignait pas, j’avais demandé à frère David de me rappeler son… l’amener à témoigner. Et la fillette atteinte de la leucémie, au dernier stade, son poids avait chuté à 10 kg environ, et aujourd’hui, pas une trace de la leucémie. Oh! la la!
160 Un homme par ici a dit hier soir, qu’il n’a pas pu entrer dans la réunion... Et il a découvert, je crois, là où j’avais déposé mon chapeau, là derrière, et il a dit : «Je n’arrive pas à entrer, mais je… Seigneur, je vais toucher son chapeau.» Et il avait la tuberculose, et il a été guéri.
161 Si vous croyez en Dieu... ne... Soyez simple. Le Saint-Esprit est si simple. Simplement il… suivez-Le simplement tel qu’Il va. Et si vous croyez que Dieu écoute ma prière, et que vous êtes réellement mordu ce soir, quelque part le long de la ligne... Vous avez un tempérament tel que vous vous déchaînez facilement; c’est le diable. Il vous a mordu; il va empoisonner votre expérience. C’est comme de l’acide sulfurique. Cela vous tuera, et vous serez perdu.
Si vous voulez que je prie pour vous, voulez-vous venir vous tenir ici afin que je puisse vous imposer les mains, pendant que nous chantons? Si l’organiste peut y aller, pendant que vous jouez, et avec vos têtes inclinées : «Il y a une fontaine remplie de Sang tiré des veines d’Emmanuel; les pécheurs plongés dans ce Sang, perdent toutes les taches de leur culpabilité.»
162 Dieu vous bénisse, monsieur. Venez directement ici. C’est bien. Quelqu’un d’autre veut-il venir maintenant? Pendant que nous attendons, venez par ici et tenez-vous là. Dieu vous bénisse, madame. C’est bon. Restez juste là, mon frère. Je veux descendre et vous imposer les mains juste dans une minute.
Eh bien, très bien, frère, si vous pouvez nous donner le ton de : «Il y a une fontaine remplie de Sang.»
Il y a une fontaine remplie de sang
(Dieu vous bénisse, mon frère. Je suis juste à vous dans un instant.)
...de ... (venez directement, soeur)... des veines d’Em-…
Les pécheurs plongés dans ce flot
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Perdent toutes les taches de leur culpabilité
Perdent toutes les... de leur culpabilité
163 Ne voulez-vous pas venir juste devant maintenant, levez-vous? Vous qui êtes mordu, avez-vous soif de quelque chose de réel? Avez-vous soif d’une expérience avec Dieu? Venez maintenant, juste ici, que nous priions et que nous leur imposions les mains maintenant même.
... les taches de leur culpabilité.
Le voleur mourant...
164 Dieu vous bénisse, soeur. C’est bon. Venez directement. Approchez-vous, autour de l’autel maintenant. Tenez- vous juste ici tout autour, juste un moment pour la prière.
... son jour;
Et...
Dieu vous bénisse, monsieur. Approchez. Il faut être vraiment un homme pour faire cela. Venez directement...?... Venez juste par ici et tenez-vous là.
... laver tous mes péchés,
Laver tous mes péchés;
laver tous mes péchés,
Et là, puis-je, quoiqu’aussi vil que lui,
Laver tous mes péchés.
Depuis que par la foi je...
165 Ne voulez-vous pas venir maintenant? Les autres, venez jusqu’ici, voulez-vous vous tenir tout autour ici pour un instant maintenant. Vous qui êtes mordus. Voulez-vous être guéris de cette morsure du diable, venez directement maintenant. Maintenant c’est le temps de recevoir cela.
L’amour …-teur est mon thème,
Jusqu’au jour de ma mort.
Jusqu’au jour de ma mort,
Jusqu’au jour de ma mort;
L’amour rédempteur est mon thème,
Jusqu’au jour de ma mort.
166 Maintenant, alors que nous sommes rassemblés, ne voulez-vous pas venir carrément ici? Je ne sais combien de prédicateurs sont ici ce soir. Combien de prédicateurs, voulez-vous lever la main? Observez les prédicateurs. Merci bien. Je vais vous demander une chose : venez ici juste une minute, et tenez-vous avec moi. Je vais descendre imposer les mains à ces gens. Eh bien, ils auront besoin d’une église qui sera leur église. Ils auront besoin d’être baptisés du baptême chrétien, et ils auront… ils vont…. Il vous faudra les inviter dans vos églises. Et nous voulons que vous veniez et que vous vous teniez avec nous ici, pour que nous priions. Juste dans un instant nous aurons la prière pour les malades aussi, juste dans un instant. Restez simplement un… les malades, restez sur vos sièges.
167 Eh bien, je vais demander au pasteur ici, frère Shores, s’il peut se tenir ici et – et cond-… et nous conduire dans un cantique vraiment doux, pendant que les autres ont la tête inclinée. Je vais imposer les mains à nos frères et soeurs ici, qui sont venus pour consacrer leur vie. Ils ont été mordus par l’ennemi et nous allons leur imposer les mains afin qu’ils... Et j’aimerais que vous les prédicateurs, vous fassiez de même. Et alors, nous allons offrir la prière de la foi pour ces gens.
168 Eh bien, vous qui êtes debout ici, peu importe ce que vous avez fait... Eh bien certainement, vous ici, vous savez que je vous dis la vérité. Dieu confirme cela. Je vous dis la vérité, parce que c’est la Parole. Le Saint-Esprit vient et se meut... Il y a quelques minutes au lieu de faire une – une ligne de discernement comme j’avais prévu de le faire, quelque chose à la fin est intervenu et a dit : «Il y en a ceux qui sont mordus.» Voyez?
Comment saurais-je si l’un de ceux qui sont debout ici ne serait pas un ministre de l’Evangile dans peu de temps? Comment saurais-je si certaines de ces jeunes dames, et le reste, qui se tiennent debout ici, ne pourraient être des missionnaires en route vers le champ missionnaire? Comment saurais-je qui ils sont? Ça pourrait être un autre Billy Graham, ça pourrait être un autre Sankey, Moody, Finney, Knox, Calvin. Comment le saurais-je? La seule chose que nous faisons, c’est de lancer le filet, et puis le tirer. C’est le Saint-Esprit qui attire.
169 Jésus a dit : «Quand j’aurai été élevé, j’attirerai tous les hommes à Moi.»
Mes amis qui êtes debout ici à cet autel, le Vrai, le Vrai Christ qui guérit le corps, guérit l’âme. Eh bien, pendant que nous prions, chacun avec sa tête inclinée, et vous – conduisez-nous dans un cantique comme vous...?... [Le frère conduit le cantique : «Jésus passe par ici.» – N.D.T.]
Alors que nous sommes émus..?... dans la prière maintenant, je voudrais que les prédicateurs s’approchent maintenant de ces gens. Chaque personne qui se tient tout autour de l’autel ici, maintenant, confessez tout simplement tous vos torts. «Seigneur, l’ennemi m’a brisé, mais ce soir je me tiens ici pour un seul but : sachant que je suis une personne qui se meurt, je sais que ma vie est ruinée, et je l’ai gâchée; et la soif que je devrais vraiment orienter vers Toi, je l’ai tournée vers autre chose. Pardonne-moi, ô Seigneur. Purifie mon coeur, purifie ma soif, et que je la tourne vers Toi, ô Dieu, et qu’à partir de cette heure, je boive à la Fontaine de la vie gratuitement, parce que Dieu m’a invité à cette Fontaine.»
170 Et maintenant, quant à vous qui êtes là dans l’auditoire, qui êtes malades et nécessiteux, voulez-vous simplement lever la main? Je vais vous demander de faire quelque chose; comme je l’ai fait hier soir. Imposez-vous simplement les mains les uns aux autres maintenant. Imposez-vous les mains les uns aux autres.
J’ai reçu un très bon rapport sur la réunion depuis hier soir. Eh bien, pendant que je prie, je désire que chacun de vous reçoive sa guérison. Croyez cela de tout votre coeur. Croyez que cela arrivera ce soir, pas... Dieu n’a pas promis d’entendre seulement ma prière, Il a promis d’entendre votre prière. «La prière de la foi sauvera le malade. Dieu le relèvera.» Maladie physique, maladie spirituelle, peu importe ce qu’est votre maladie, le Sang de Jésus-Christ purifie de tout.
171 «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, s’ils imposent les mains aux malades...»
Maintenant, nous formons une… nous formons une unité; nous sommes d’un commun accord maintenant. Nous sommes des chrétiens; le Saint-Esprit est ici, ce Grand Ange de Dieu, cette Colonne de Feu, dont vous avez la photo, juste ici. Ce même Ange de Dieu est ici maintenant même dans ce bâtiment, ici même. Si vous êtes des croyants et que vous ôtiez tout musc d’incrédulité de vous, tous les doutes de vous, et que vous croyiez maintenant même... Maintenant ne priez pas pour vous-même; priez pour la personne à qui vous avez imposé les mains. Voyez? Priez pour l’homme qui est à côté; il prie pour vous. Et priez l’un pour l’autre pendant que je prie pour vous, cela formera une chaîne ici, et Dieu va guérir chaque personne ici. Il n’y aura personne qui restera malade au milieu de nous, si seulement vous croyez.
172 Chacun de ces gens-ci, qui sont debout ici tout autour de l’autel. Je regarde ici et je vois cette Indienne, je crois, elle s’approche d’ici. Rappelez-vous l’année passée, l’année où j’étais ici, une fillette indienne aveugle avait recouvré la vue là dans la réserve des Indiens. Combien je me souviens de ces précieux Indiens là-bas, comment Dieu avait opéré des guérisons au milieu d’eux, et vous êtes ici maintenant. Dieu vous remplira du Saint-Esprit et vous comblera infiniment.
Maintenant, vous les prédicateurs, inclinez la tête et priez avec moi. Partout, maintenant, tous d’un commun accord... lorsqu’ils étaient réunis ensemble, ils ont prié d’un commun accord; et l’endroit où ils étaient réunis était ébranlé, et la Parole de Dieu fut apportée avec assurance.
173 Père céleste, en tant que serviteur de Dieu, j’apporte cet auditoire dans Ta Présence, priant maintenant que Tu brises toute la puissance de Satan, toute incrédulité. Ces précieuses personnes qui se tiennent ici, elles ont été mordues par le… du diable et elles ont besoin de Ta puissance de guérison. Qu’ils puissent s’accrocher à la Pierre Principale, la Pierre, Christ Jésus, jusqu’à ce que tout le poison du – du péché soit retiré de leurs âmes, et que toutes les maladies soient ôtées de leurs corps. Puissent-ils s’accrocher à la Pierre de Dieu jusqu’à ce qu’ils soient totalement libres.
174 Que le Saint-Esprit descende dans ce bâtiment maintenant sur chaque coeur et sur chaque croyant.
Que la puissance qui a ressuscité Jésus d’entre les morts, opère maintenant dans chacun d’eux. Fais-leur savoir que Tu es Dieu, le Grand Guérisseur, qui ne peut échouer devant un cas. Tu es Dieu pour toujours. Je Te les confie, Seigneur.
E-1 Lord, I believe, Lord, I believe,
All things are possible, Lord, I believe.
Let us bow our heads now for a word of prayer. Our heavenly Father, we are grateful tonight, to assemble ourselves together again, and have an opportunity to speak to You, and to sing our hymns, and express to You the very adoration of our hearts, for we love You, and worship Thee. And Thou art the only true God. Jesus Christ, Your Son, Who died that we might be reconciled unto God through the washing of His Blood by the Word... And we pray that You'll give us a great meeting tonight.
May sinners find salvation through Christ. May sick find healing through Christ. May the saints find joy and strength through Christ. We ask it in His Name. Amen. (You may be seated.)
E-2 It's so good to be back here in the building tonight, to serve the Lord with you. And I would like to ask now, we have give out tomorrow night as a healing service or to pray for the sick. We don't know what the Lord's going to do. That's the reason we never announce healing service. How do we know the Lord's going to heal, it's just up to Him. And I don't think it's really up to Him, I think it's up to you wants healing. He's paid the price, and--and we have the assurance that He does it, and we know that He's willing. It's just up to the individual.
Each night, or have been, just let the Holy Spirit--it... I want to get something off of your mind. Each night I've been having like--let the Holy Spirit when He comes in and moves out over the audience... And you people--you people, your own faith moves that Spirit of God to come right back and prove to you that He's here in the building, and knows the very secrets of your heart, knows you condition. Not one time has it ever failed, and never has since I've been a little boy.
E-3 First thing I ever saw, nearly, was a vision to remember. I was about--couldn't have been over two years old. And I remember it as well as if it was yesterday. And thousands and thousands of them, and not one of them but what's perfectly right on the dot every time. See? So it has to be God. And that just shows that He's here. And here's all of His promises, and He promised He would do that just before the end time. Then we know the message is right. My message is the end time, and get--the church to get right.
And Divine Healing, we seen it advertised: "The blind will see; the deaf will hear; the dumb will speak." I don't know whether they will or not. I'd rather not have advertisement like that. I've always told the people, "Just say something good about Jesus. We love the Lord Jesus in this community, so we're having a great revival, and we going to expect God to do great things, and so forth." Then down at the corner a little place, say, "Brother Branham, will be our speaker." See? Because it's a--it's whether He does it. Then if God does a miracle, the public will know about it. See? But if I say He's going to do it, I don't... Unless He's told me He's going to do it, then I'll--I know He's going to do it then. But if I--He hasn't told me, I'm kinda a little reluctant about saying that.
But each night, we're expecting God to do something to--that will just shake the people back to the--the place where they should be. That's what we're expecting.
E-4 Now, we haven't prayed for the sick. And I--if right now, if we would stand each person... If I could stand long enough to do it, and take each person down along these lines like this, and go each one... 'Course, I'd pass out before I got one-tenth of them in here done. But you can't do that. Anyone knows the Scripture, knows the Scripture proves that you can't. Why, one woman touched the border of the Son of God, and He said, "Who touched Me?"
And He looked around and everybody was afraid, so He said... Peter rebuked Him, said, "Say, who touched Me?" Said, "Why, all of them's touching You."
He said, "But I perceive that virtue has gone from Me."
Now, anyone knows that virtue is your strength. And if one touch from a woman brought enough to bring a vision to the Son of God to let Him know who it was that did it, took strength out of Him, what would it do to me, a sinner saved by grace? Now, the only reason it's done more, because Jesus said, "These things that I do shall you also; more than this shall you do, for I go to My Father."
Now, I--I know the King James says, "Greater," but it really isn't the original. See? It's "more." No one could do anything greater. He raised the dead, healed the sick, stopped nature, done everything there was to be done. It couldn't be greater in quality, but it could be greater in quantity. So the Holy Spirit then was in one Man: That was the Son of God. He had the Spirit without measure. God dwelt in Christ reconciling the world to Himself. He--God was in Christ.
Now, God is in you if you have the Holy Spirit. God is in you in a portion. But it was in Him without measurement. He had the fulness of God in Him. But now, it's measured out to each one of us.
E-5 I was reading and teaching in my church sometime ago upon Pentecost, in a little revival I had. Now, I've got an old Emphatic Diaglott of the original Greek translation, and it's the one--most outstanding things. I'd advise it to any of the clergymen. It's--it's out of print, but I think you can get in England. I'm not sure. But I have one; it's very old, and it brings it down just at the original Greek word, then it comes over on the other side, and just puts it, because in the Greek the verb is before the adverb. You see? And--and it just turns it around so you can read it out. But you can just read it right off... If it's one word right down, just as He said it.
And when the Holy Spirit came in the upper room, it said, "There came a sound as a rushing mighty wind (now, nothing was blowing, it was just like a sound like it was), and it filled all the house where they were setting, and then, cloven tongues set upon them, like fire."
E-6 And how did this great Pillar of Fire, the Angel of God, the Logos that went out of God, that led the children of Israel through the wilderness... When It come among the people, It separated Itself, and great licks of fire begin to come upon each one as the Pillar of Fire begin to break up, and to--God dividing Himself among His people... Oh, that ought to tear the heart out of anybody. God tearing Himself apart, that He might divide Himself a little bit with each one of us, that all together... You see what it means?
Can you see now why I'm standing for unity of every church, every full gospel church, every believer? We ought to be one heart, one mind, and one accord. No matter how much we different in the Scriptures; that might be... One might see this that way, or--that has nothing to do with it. But in principle, we ought to stand, one great, mighty, army of God marching on, because each one of you in your peculiarity, God has proved that He's ignoring your doctrine, because He give you the Holy Ghost. And the Bible said, "He gave--give them the Holy Ghost that obeyed Him."
Now, if I obeyed Him in my peculiar way, and you obeyed Him in your peculiar way, He give us both the Holy Ghost, so we ought to be Christian brethren and sister enough, to arm up together and march on for one great purpose, the Gospel.
E-7 Oh, how I think of God separating Himself that He might dip down into His big soul and pour out a little spoonful in me, and reach over and pour out a spoonful in you, and in you, and in you, and you, and you, dividing Himself, the fire, the cleansing power of God. Then, if you have a spoonful, and I have a spoonful, and we both get together, we got two spoonfuls. And if fifty of us are together, we got fifty spoonfuls. Where there is unity, where there is gathering, there is safety and whatmore. It's just twice as hard as in the prophet's hand, the sticks to break. Two sticks are harder to break than one. And when we can come to that place, brother... If I can see that happen, I'd walk out here on top of Camel's Back Mountain, raise up my hands and say, "Even so, come, Lord Jesus. Take me now; it's all over." See? I'd be ready to go right then.
When I can see all the different full gospel people with one heart and one accord, standing together as one big army, it'll bring Jesus Christ to the earth just as certain as I'm standing here. I've tried every principle that I know how. It'll take God to do it; that's all. See?
E-8 I have come among them, as--among the brethren as a... Out of the Baptist Church, and I have seen this great thing, and I have never taken sides with any different one. Just whatever their belief is and everything, I try to stand right in the breach and say, "We're brothers." We are brothers regardless.
If we can discern the spirit of one another, and realize, if a man comes in, I don't care what church he belongs to, if he's got the Spirit of God on him, he's my brother. And I don't care how great he is, and how intellectual he is, and how powerful he can speak, if there's a--if he's trying to achieve the wrong thing, I--I don't believe it's my brother yet. But it's what he trying to do. If he's trying to save souls, or do something for God, that's a brother. If he's a Jehovah Witness, he's still my brother. If he's a Pentecostal Holiness, Assembly of God, Church of God, Oneness, Twoness, Threeness, or, oh, whatever it might be, it's all my brother and sister. If we've got--if we've got our hearts right with God, trying to achieve something for the Kingdom of God... We're trying to build a kingdom of our own, then that's--then God won't honor that.
E-9 I was just looking... The boys probably been selling these books up here. I just turning through it, nervously, a few moments ago, and struck this picture of Mrs. Nightingale. I certainly remember that. When that was take--that... But this book doesn't give the full detail of it. Mr. Stadsklev printed this book; it's very good, very fine book. Everything is accurate, because it's been--went through the fire and trials.
Mrs. Nightingale, now, she was a relative of the late Florence Nightingale. This woman's name is Florence Nightingale, and she's a nurse. But she wasn't, of course, Florence Nightingale, the regular--original founder of the Red Cross. But she's from England, and she was a--a nurse, and she was a distant relative of Mrs. Florence Nightingale, the founder of the Red Cross.
I'd first heard from her; I was in Africa. This picture that you see in here of her, as a skeleton... That we had to... Brother Gordon Lindsay, when we fixed that picture, we had to put something across it there, 'cause they just had a little rag tied around the woman, and it was very, very bad. So we put a piece of--of something over it, and took a photostatic copy of the picture, that we might put it in the book. That's her, when I... And she was starved, yet over a month after that picture was taken, and here she is six months later, nursing again.
E-10 I'd just like to say before I start tonight, that story. I'd like to tell you about it.
I was... She was in South Africa. And how that woman ever knowed that I was coming to London, I don't know yet. And when the plane landed, Brother Lindsay and I, and Brother Jack Moore, we got off of the plane, and Brother Baxter... And we started down, and I heard them paging me there at the International Airport at London. And said for me to come, and I sent Brother Baxter. Brother Baxter come back with--to me with a minister and he said, "Did you ever hear of a woman named Florence Nightingale?"
I said, "The name sounds familiar." And I said, "I don't know."
And he said, "Well, they've flown her in from south Africa, and she's dying over here in a ambulance."
Well, there's a great lot of people out there, and I couldn't get to her. I said, "You tell her."
He said, "Here's the minister, you talk to him."
And I said, "Sir?"
He said, "Well," said...
I said, "Is she any relation to the Florence Nightingale, that the--the nurse?"
And she said, "She--she is Florence Nightingale, a nurse." And said, "But she's not the founder of the Red Cross." Of course, she's been dead for, I guess, fifty years or more, maybe a hundred. And, no, I--I think she died about 1908, or 09, or somewhere along there. So this is some of her relations."
And I said, "How long you think she'll last?"
He said, "She'll probably be dead if we went to the ambulance right now." Said, "She dying." Said, "They... She's come in from South Africa." And said, "Sir, she ain't nothing but just a--just a pile of bones."
Well, I said, "We're going to stay, I believe, they said at the the Picadilly Hotel."
E-11 And King George had written or sent me a telegram, which I have yet from his staff, for prayer, because he had multiple sclerosis. You remember that? And I prayed for him, and after the prayer, why, he would--he got all right, and was able to go around. And so, I went over there; I thought I'd get to see him there. And so when we went on to Picadilly Hotel, the minister came and got me that next morning, and we went to his parish right behind his church where they had Mrs. Nightingale with two nurses attending her.
And friends, I've seen lots of sights. I've seen people when their face would be eat with cancer, till it'd be down here in their neck. They'd have to put a little trough here to pour their liquid in their throat here with just the teeth, and the bones eaten--the meat eaten from it. And sights in India, I've seen lepers lay till there was not even enough for them to raise their hands and stubs of ears, and no nose, and just turned out white like a white wart turned inside out. Little children and everything, eat up with leprosy, laying, piled on top of each other... Seen little children laying starving by the hundreds of them, through the streets, and their little bellies swelled out from starvation, a poor mother laying by them begging for one penny to help that person. That's the reason I can't... If it'd be... If I could beg, I could beg for them. I--I don't want nothing when I know human beings, that Christ died for, is suffering like that. And there's hundreds and hundreds of them tonight, everywhere around the world. And there they are in that condition.
E-12 But when I seen Florence Nightingale, she was laying there with a sheet over her. And she could hardly move her lips, her--her flesh had all left from her cheeks. Her jaws were sunken in, and her forehead here, you--it just looked like a--a dead skeleton laying there, and the skin had dried up. That cancer had eaten her in that condition, just taken her blood from her. And she kept trying to say something. I couldn't understand it, and the nurse got down. And she said, "I want to shake his hand."
And so the nurse had to raise up them bones and put them in my hand. Why, it's just like taking a hold of a skeleton. Her arms are probably couple of inches around in here, and her... They put... She wanted me to see her body. And they raised up that sheet, it would break the heart of anyone, even the ring in the hip was sticking like that. It was about that much in being together through here. And her legs was all blue, and I asked what that--that was. Her legs was probably up here near her hip, about that big around. And I said... Well, here it is in the picture where they taken it. See? And you can see what she was then after about six weeks later. See? And so I--I looked, and he said, "They fed her glucose until her veins collapsed."
And so then, oh, I said, "My, you are a Christian?"
And she let me know, "Yes." And she...
They got down again, the nurse, to see what she was going to say, and she said, "Have Brother Branham to ask the Lord to let me die." See? She--she just hung on till there was nothing to hang on for anymore, no--nothing to build to. Said, "Ask Brother Branham to ask the Lord to let me die."
I couldn't do that. She looked like she was a fairly young woman. So I said, "Let us pray." And if anybody's ever been in London, you know, it's one of the most foggy places in the world when it get foggy. You have to feeled your way around almost. It was real foggy that morning.
That's why William Cowper could not commit suicide; he couldn't find the--the ocean when he wrote that famous song, "There Is A Fountain Filled With Blood." He couldn't find the--the place to jump in. The--the cab couldn't get to the--let--ocean for him to commit suicide, drown himself.
E-13 And--and as I knelt down to pray, the first thing I started off prayer like this, I said, "Almighty God, Creator of heavens and earth, Author of Everlasting Life, Giver of all good gifts..." And when I got through with that, there's a little dove flew from somewhere, and set on the sill of that window. And it was just about that far from my head. And the little fellow was restlessly walking back and forth going, "Coo, coo." You know how they go. Well, I thought it was a pet at the house. I just thought it was a little pet dove.
I'd just been in England about twenty-four hours, or hardly that long; and I thought it was a little pet dove. So I just kept on praying; I said, "Heavenly Father, I--this poor woman laying here a dying, and she's asked to me to--to pray that You would take her life because she's beyond herself like, and she's nothing to build to. But God, You are still Creator; You--You are still God."
And this little dove seemed to be so restlessly. And the rest of the ministers who was praying with me, seemed to stop. And then, as I kept on praying, when I said, "Father, I pray that You'll be merciful to her, and if You are going take her life and not let her live, then let her go in ease. Let her go to be with You now. But if it be Your will that You're going to let her get well, then Father, let her get well." and when I got through praying, I said, "Amen," and the little dove took off through the fog again.
Well, I--as soon as I stopped praying, the ministers by me, he looked over to another minister, he said, "Did you notice that dove?"
I said, "What was that dove? Is that a pet?"
Said, "No. It wasn't a pet," the minister said, "it was just a dove that acted funny."
And I started to turn to say to Mrs. Nightingale, I started to say, "Well, I thought it was your pet." And when it did like that, something said, "THUS SAITH THE LORD."
Oh, my, there over almost her casket where she was laying, there was a vision of her walking along down the street. This is a picture of it right here, how she was a little later. That's what I saw in the vision. Then it come, "THUS SAITH THE LORD, you're going to live and not die."
And when I said that, I thought, "Them things are so supernatural; I don't understand them. I don't know what they mean."
And I walked out; I believe it was Brother Baxter said to me, said, "How could she live?" Said, "God will have to create a new woman."
I said, "Well, He's able to do exceedingly abundantly above all."
And six months from then, after two letters before that, here come the picture, perfectly, normally, healthy, can't find a trace of cancer, and she's back nursing, and been nursing for a long time.
E-14 Here some time ago, it come up a dispute between the--a writer of a magazine in England, said, "It was a very unscrupple thing that this woman... That was a false testimony."
I happen to have in my files her own testimony. I sent it back Mr. Stadsklev. He photostatic it and sent it over, and she got a hold of it. And then she went to this man writing the magazine, said, "Who said this testimony wasn't right?"
See that's where you have it, when you've got their own testimony in writing, you have it there. See? And then, the man wrote me back a letter of an apology, that he said, "I taken somebody else's word for it."
I said, "Don't never print nothing, sir, upon the basis of somebody else's word, 'cause you see what you've done here now. See?" I said, "Don't never do that."
But the testimony's absolutely the truth. We would not print it unless it was the truth. It has to be that way, stated that it's truth.
E-15 So you see, the same God was with Florence Nightingale there, is the same God that's right here. He's the same One. And the only thing--you don't have to wait to be prayed for. The only thing you have to do is just believe that the work is done. If you're a sinner, you don't have to wait for an altar call. Right where you're setting... "While Peter yet spake these words, the Holy Ghost fell on them that heard the Word." They were ready. It's a condition of the heart. It's a condition of the people.
Now, right now, if there is a sick person in here, you don't have to remain sick till I even read the Scripture. You can be healed right now, because you are healed. The only thing the Scripture would do would be--be a witness, to say that Jesus said it. And if the Holy Spirit would come tonight, and gave a--a great calling here, and called out different people, and that wouldn't mean they were healed. It would only just lift up the--the faith of the people that they can accept their healing, that's already been purchased for them. You understand it now? So that's what healing's for.
E-16 Now, tomorrow night, the Lord willing, I've wanted to have a--an old fashioned night in Phoenix once again, and I have chosen tomorrow night, the Lord willing. How many remembers when I first come to Phoenix, years ago? Why, there was a prayer line all the way down the street, pulling the people around out there on the street, keeping the prayer line for a city block. I preached last night, "Don't Turn Your Alarm Off," you know. Just keep that alarm a going, because it's fixing to break day.
Now, tomorrow night, for the sick people of Phoenix, we're going to have a prayer service for the sick. And we're just going to bring the people right down, lay the hands on them, pray for them, and see what the Lord will do. And, you come prepared, tomorrow night. How many in here, would like to be prayed for, like to come into the prayer line and be prayed for? Let's see your hands. Raise them up, everywhere you are. Going to almost have to give out cards. See? If you don't, if I get halfway down that line, and visions would start breaking, it would set some of it off. Well, as far as we know the boys will be down sometime tomorrow afternoon about six, seven o'clock, whenever it is. They'll give out the prayer cards.
Now--now, we'll see then what the Holy Spirit will do when we get into it.
E-17 Now, then Sunday is the... We continue... (We have Sunday night service here, don't we? Sunday night service?) Sunday night service... And I believe Tuesday is the ministerial services. Ten thirty in the morning is the ministers and their wives at the Assembly of God at Garfield, Eleventh and Garfield, is the ministers. I'd like to get with you brethren, you ministers brothers. Like to talk with you. You're my brother. See? I--I love you. You say, "But, Brother Branham, I different with you." That don't make any difference. I love you anyhow. So--let the--I want you...
A fellow said to me sometime ago, said, "Brother Branham, can't you go with this?"
I said, "I can go with you, but I don't whether I can go with what you're saying there or not. But I can--I can go with you anyhow, 'cause you're my brother."
E-18 Now, I've chosen for a text tonight, shortly, so we cannot take too much time, and be here tomorrow night where it'll, may be a little late tomorrow night, all that prayer line. Let's turn back in the Psalms tonight, to the 63, 63rd Psalm, you that's keeping a record of the text and so forth.
Now, I'd like to read a familiar text that maybe you have read it before, I hope I haven't preached on this same subject at Phoenix. Maybe the Holy Spirit will take me another way on it, if we do. And then we shall read beginning at the 1st verse of the 63rd Psalm.
O God, thou art my God; early will I seek thee: my soul thirsts for thee, my flesh longeth for thee in a dry and thirsty land, where no water is;
To see thy power and thy glory, so as I have seen thee in the sanctuary.
Because thy lovingkindness is better than life, my lips shall praise thee.
E-19 Let us bow our heads again, just a moment. Father God, in this nervous hustle and bustle of life, down through the streets the cars rush, the carriages without a horse, jostling one against another with lights like torches. And we see the end time approaching, and I would ask, Lord, that You would be merciful to every person in Divine Presence tonight. Search our hearts, Lord, as we speak, and not only to my congregation, but my own heart also, Lord, as David said in another Psalm, "Search me and try me." And if there be any unclean thing about me, Lord, I pray that You'll take it away, that my heart might be pure before Thee, that the thoughts of my heart and the meditation in my mind might be acceptable in Thy sight."
Bless everyone here, Lord. And if there be some here who doesn't know You, may this be the night when they'll find that blessed Lord Jesus, the Fairest of ten thousands to our soul, the Lily of the valley, the Rose of Sharon, the bright morning Star, the Alpha Omega. May He come shining in upon their life, and light up the way to Calvary, that they might find Him tonight, as their precious Saviour. I pray tonight, for those who are weary in the way, just about to fall out. God let them know that this is no time to fall out, but fall in line, for the battle is on. The evening lights are falling, and soon it'll be dark and no one can work then. We pray, heavenly Father, that You'll give us a great meeting tonight. What we mean in great, Lord, is that souls might accept Thee, and that Thy Son might be honored, that sick might be healed, backsliders brought back to the Kingdom of God, and the churches strengthened by members, ministers' hearts bound together with the cord of love, that all together the--might get glory unto Thy great Self. For we ask it in Name of the Lord Jesus. Amen.
E-20 In this 3rd verse:
Because thy lovingkindness is better than life, my lips shall praise thee.
When I first read that, I thought it was an unusual text to take. And God is unusual, and God does things unusual, unusual things. And when I read it, I wondered what David must have been speaking about when he said, "Thy love-kindness is better to me than life." I weighed that out, wondering just what could be better than life.
If we should take a trip tonight, and go up into the heaven, and I'd meet with father Abraham, and I'd say, "Abraham, what is the most glorious thing that you have ever known? What is the most essential thing that you have ever known?"
Abraham would say to me, "Life Eternal."
Then I'll take a little trip, and we'll go again, and we'll go up to the great Archangel, Gabriel, Who is the messenger of the covenant to the Jewish people, Who stands at the right hand of God, one of the highest order of Angels in the heaven. And I would say to Him, "Gabriel, Thou art a mighty Angel. You are loved of God, and You've been here for eons of time, and You, perhaps, know everything in the heavens, and where everything is placed, because You're one of God's right hand Angels. And You know the great secrets of the heavens. You sounded the trumpet at the coming of the Lord Jesus. You announced His first coming, and You shall announce His second coming, so You must be a mighty man or a mighty Angel. I want to ask You in all of God's treasures, what is the greatest thing that You have found among His treasures?"
I can see Gabriel bring himself to attention, and say, "The greatest thing that I have found in God's treasures since He created Me is Life. God made Me to live for eternal, for eternity. And Life is the greatest thing that there is."
E-21 No matter how rich you might be, no matter how popular you might be, no matter who you might be, the greatest thing there is that any man can achieve in this earth, is to achieve Eternal Life.
Though you be king and potentate, though you rule the world for a million years as king and young men, and you fail to find Eternal Life, you've lost the greatest thing that anyone could lose.
E-22 I've often said if I can be a young man of twenty-five years old, if God would appear on the platform tonight, and say, "I will turn you to twenty-five years of age. There you'll remain for a million years, and I'll make you the king over all the universe. Everything will be at your command. Or I'll give you a hundred years of misery and woe, and trouble, and sorrow, but at the end of that hundred years, I'll give you Eternal Life. But the end of the million years, you are lost."
Oh, I'd say, "Lord God, I don't have to wait any longer to make my choice. Let me have the hundred years of misery and woe, any kind of a death that you choose for me to die, only, Lord, give me Eternal Life. For though I own the whole world and was king for a million years, at the end of that million years, I become a hell bound creature for eternity. But no matter how bad my lot is here, at the end of my life, if I've got Eternal Life, I live on in the blessed Presence of God forever and forever."
E-23 So it bothered me when I begin to think what was this prophet speaking of? Now, we know David was a prophet. So I wondered, "What was he speaking of when he said, 'Thy lovingkindness is better than life.'" Then I found out that life has more than one meaning. Life has many meanings. It depends on which a way you look at it. And your life is what controls you. You have your living, your moving, your being is life. And it depends on what kind of life is within you, the way it will control you.
No wonder that people cannot believe, yet they claim to be religious, cannot believe Divine healing, cannot believe in miracles, cannot believe the Holy Spirit makes people to--to be filled with the power of the resurrection of Christ. The reason they cannot believe it, they have nothing inside of them to believe with, because your life is--your motion is controlled by the life that's in you.
E-24 Sometime ago, an outstanding thing come to my memory. In the years gone by, in the south lands, they used to sell slaves, the colored race of people, the negro that came from Africa, that the Hollanders brought over and sold for slaves. It was a pitiful thing. I'm certainly with Abraham Lincoln, that God never intended any man to be a slave. God made man; man made slaves. They're trying to make it tonight, not only over the colored race, but the races of the world, every man in every nation trying to take the rest of them in slavery. God made man free, a free creature under God, to worship Him.
Now, they used to take those poor people and auction them off and have markets. Sometime ago, down in Louisiana, I saw one of the original old bull pens they used to have. Where they would take those men and put them in there, and stand them on an auction block, and auction them off, and listen to their hearts, and look at their teeth, and take a buggy whip and run them down the street, whip them behind their heels, get them running real fast, and then come back and examine their heart.
E-25 And an old man standing there said to me, "Preacher, I was at your meeting the other night."
I said, "Thank you, I was just looking this over."
He said, "I remember when they used to do it." And he told me, he said, "You know what the highest selling slave was?"
I said, "What?"
He said, "A nice looking girl." Said, "A man slave would start a bid of five hundred dollars or three hundred dollars." But said, "A young colored girl, beautiful girl put up there, they'd start the bid at two thousand dollars." And he looked at me, and he said, "If there is a hell, their soul is there today."
I said, "Speaking of theirs, what about yours, dad? Where would yours go?" And a few days after that, a minister friend of mine baptized him in Christian baptism.
E-26 Then when they used to take those slaves, and buyers would come by, and buy them. And they would go out, and look around, and find the big and healthy, and swap a lesser one to him or something or another, just like you would a used car or something on the lot, get a bill of sales by it.
Oh, it was terrible. And one day such a--a broker came by an old plantation where they had many slaves. And--and the slaves that brought over here, they were sad. They had been away from their home, and never would see papa no more, mama no more, babies no more, drug away and sold over here to die in this strange land. And they were sad, and many times to get them to work they'd take whips and whip them with them to make them work, always scolding them.
And a certain broker came by this plantation, and he said to the owner, "Have you any slaves?"
He said, "I have a hundred and something here. Look them over."
And they noticed one young slave; he seemed to be different from the rest of them. They never had to whip him: and right up, chin up, shoulders up, ready to do anything, and he just always encouraging the rest of them, "Straighten up, let's work." And they wondered why.
So this broker said to the owner; he said, "I would like to buy that slave."
He said, "No, but he's not for sale."
He said, "Why isn't he for sale?" Said, "He's a slave, isn't he?"
Said, "He's a slave."
He said, "Well, why wouldn't you sell him?"
He said, "Because I don't want to sell him."
Said, "Well, I want to ask you something. What makes him so much different from the rest of them. Is it--is he the boss over the rest?"
He said, "No, he's a slave."
And the broker said to the owner, "Perhaps maybe you feed him just a little bit better."
Said, "No, he eats out in the galley with the rest of the slaves. He's just a slave."
"Well," said, "then I want to ask you something." Said, "Why is it that he conducts himself different? Why is it that he is so different from the rest of them?"
The owner said, "I wondered for a long time myself, but one day I found out. Over in the old country where he came from, his father is the king of the tribe." And said, "Though he's a alien, and he's over here away from his people, yet in his heart, he knows he's the son of a king. And he conducts himself like one."
E-27 Oh, I thought no matter what we may have to go through with, if it's trials, if it's heartaches, if it's persecution, if it's to be laughed at and made fun of, what kind of a people ought we to be? We are sons and daughters of the King. Though we be in an unwelcome world, though we be to a place where we're hated, maybe called scandalous names like "holy-roller, pentecostal-tongue." What different does it make? We ought to have our chin up, our shoulders out, believing God's Word, because across the land yonder, our Father is the King.
And I think it's a ridiculous shame when I see King's daughters wearing the kind of clothes that they wear in these days. When I see King's sons smoking cigarettes, and drinking whiskey, and a little drinks of beer, how that's not becoming as the son of the King of heaven.
Our Father is rich with houses and lands,
He holdeth the wealth of the world in His hands!
Of rubies and diamonds, and silver and gold,
His coffers are full, He has riches untold.
We're the child of a King.
E-28 No matter how poor we are, how we have to be run over, how the world talks about you, and says everything about you, it ought to make you keep head up for the mo--morales of the rest of them. We should never have words against one another. We should always say the highest thing about a brother or sister. If one is down in the gutter, don't never shove them any farther down. Pick him up; get him out of there as quick as you can, because it helps. We should be an example. We should live an example, like we are sons and daughters of God, the Eternal King. We ought to conduct ourselves in that manner as sons and daughters of the King. We should never do nothing that would bring disgrace.
E-29 I was saying this the other day, and my wife setting back here listening at me. We were going to a store to get some groceries a few weeks ago, and right in that wintertime we seen a lady with them little bitty clothes on, short clothes, with a little sweater around her. My wife said, "You know she cannot be comfortable like that."
Well, we got to talking about it. I said, "Honey, when I go to Germany I find..." I said, "She's just an American, that's all." And I said, "When I go to Germany, they have the German spirit, national spirit. When I go to Finland, they have the Finnish spirit. When I go to Sweden, they have the Swedish spirit. When we go to Africa, they have the African spirit. When we come to America, they have the American spirit."
"Why," she said, "aren't we Americans?"
I said, "No, not me, I just live here."
She said, "Well, th--what..."
I said, "That's the reason; they've just got the American spirit. We're called religious."
E-30 I said to a girl one time; I said, "Lady, are you a Christian?"
"Why," she said, "I'll give you to understand, I was Christian when I was a baby."
I said, "What's that got to do with it?"
Old Brother Bosworth ask one, one time, said, "Are a Christian?"
She was so put out; she snorted; she said, "I get you understand, I burn a candle every night." Well, like that had anything to do with it.
One of them said to me up in Mishawaka, one time, said, "I'll give you to understand I'm an American."
I said, "That don't have nothing to do with it. Not one thing to do with it."
E-31 And I said, "Honey, the reason that Christians..." I said, "The Christians doesn't have any desire to act like that, because they are not really American. As citizenship they are here, but they are pilgrims and strangers, they... Our citizenship is in heaven, and they are borned from above, where holiness, and godliness rule. Real Christians, that's borned of the Spirit of God, doesn't act like that."
No sir. Oh, you can be--you can be a Pentecostal. You can belong to the Presbyterian, Methodist, Baptist church, smoke cigarettes, drink, have card parties, bunco dance, but if you're a Christian you won't do that. That's exactly.
In my country we have oak trees. It's coming spring pretty soon now; all the leaves was on them trees last year is still there. Now, I don't have to go out and pick every one of them leaves off so that new leaves comes on. Just let the new life come up, and the old leaf drops off. That's the same thing it is about the Spirit of God whether you're a Christian or not. Let the new life of Christ come in, and the old life dies, and you become a new creature in Christ Jesus. Oh, that's what it is.
E-32 Then I found out that there was two different kinds of life. Some people try to think life is drinking, having a big time. That's the spirit of this nation: big times, somebody, a TV program, a lot of jokes to be cracked. Why, that makes a real Christian sick at his stomach to hear of such things. A man or a woman can look at that kind of stuff that we have on TV today, some of them programs and--and enjoy it, it shows that it's Ichabod wrote over the top of your heart. The glory of the Lord has departed.
And when the church lose its attraction, when it comes to a time that you have to sign cards and things to come to church, I think it's time for a prayer meeting or something to take place in the church.
E-33 Sometime ago I was coming down a pole, and a certain minister in my city was there. And I'd been down to--just before coming to the work. And I was taking a--a electric light bill to a lady, and I knocked on the door, and she came to the door, little bitty half dressed woman, and she said. And there was some kind of a fellow on these wildcat players, you know, with them fiddles and things, and was going on, and playing some kind of a little song, and--and one of the little rock and roll jigs, or ever-what it was. And--and a--and that poor little thing went to get me the light bill, and she got so lost with that song, until she forgot that I was at the door. She was dancing all over the floor, and doing all kinds of carrying on. I just stood back and looked at her for awhile. And then when she got through, she said, "Oh, pardon me."
I said, "Yes, ma'am."
And she come and said, "My mother forgot to bring the bill, so here it is." She said, "I just love to dance so well, that I-- that I--I just forgot you was standing here."
I said, "Yes ma'am, I seen it."
E-34 So in a little while after that, a minister met me, and he said, "You know Brother Branham," said, "I've had some of the awfullest trouble with my church membership lately." Said, "I can't get the people to come to church." Said, "You know what? I sent out for members of this church a thousand cards, and ask the people to pledge that they would attend Sunday school at least six months out of the year." Said, "You know how many responded to that thousand calls of the members of this church?"
I said, "Doctor Brown, I have no idea."
He said, "Two! Two out of a thousand, that signed that they would come for six months out of the year, at least six months out of the year they'd attend Sunday school..."
I said... I told him the story about that little old girl just below the hill, where the church was. She might have been a member there for all I know. And he said...
I said, "Do you think when that player went off the air, she'd throwed him a kiss through the television or radio, and said, 'Bye-bye honey. I'll see you out to the old, some kind of a hoe-down place tonight where you're going to have the meeting' Said, 'I'll see you out there.'" I said, "Do you think that man would have to sign--make her sign a card that she'd be there? Certainly, not. She'll be there if she has to pawn her shoes. She'll be there. Why? Why? Because the spirit of that world is in her, and she's a loyal member, and she'll be there."
E-35 And if men and women love God as much as they--the world, loves their pleasures... The pleasure of a Christian is serving the Lord at the house of God. You don't have to sign no cards; you can't--you can't open the door quick enough.
And if the members of the church love one another enough instead of put a little clicks and pulling away from the church... Brother, if you love one another so much that you just--hurts your heart till you got together again, that's the way it should be.
Blest be the tie that binds
Our hearts in Christian love;
The fellowship of kindred mind
Is like to that above.
When we asunder part,
It give us inward pain;
But we shall still be joined in heart,
And hope to meet again.
E-36 Oh God, if we have to take every miracle out of the church, if we have to take all the pipe organs out, and the plush pews, give us back to that godly love, brotherly love among the people and fellowship. If we have to do all that, take it back to that again. Life, oh, life...
Sometime people think that life is having a--a party, going to the party and having a big time. That's not life. Some people has brought it to a place to getting drunk. They get out on the street and get drunk, and they're having a big time. They say, "This is life."
E-37 A writer once wrote, here not long ago, in a magazine, I believe I referred to it sometime here. I'm not sure. But said, "Life begins at night. Night was made for life." Night was made to rest. The sun goes down, you lay down, take your rest, not prowl all night, and come in at daylight, and--you're not supposed to do that. Evil things prowl at night. Evil works at night: All serpents, and lizards, and bugs, and everything crav--travel at nighttime. And that's the--the demon powers that prowl in the nighttime.
And man has become lower than beast. A man is the-- is the... We're told that he's animal life, but let that man be away from God, he's the lowest of all the animals. There's not a animal in the world as low as a man that's away from God. You watch.
Take the old m--mother hound dog, or the old mother hog, and so forth, whatever it is you want to call her, whatever you wish to. But you look at her morals, she a million miles beyond a lot of movie stars when it comes to moral. That's right. Just so degraded... Man so degraded that he'd jerk a baby out the arm of a mother and ravish that mother for beastly lust. But put the Spirit of God in him, he's a different creature, because he's a new creature. In Christ Jesus he'd shed his blood to protect her. That's the difference. One's death and the other one is life.
E-38 Some time ago I was in Canada, holding a meeting up in Saskatoon. And we'd been having a great meeting out that at the ice arena, seven or eight thousand people attending. I was with some friends of mine up there in this certain meeting. I'd just left Phoenix. That's the next meeting after I'd left Phoenix, about three or four or five years ago, one of the meetings.
And I went down that night to the service at a--at--at the t--at the ice arena. And on my road coming home, I noticed that evening the people were crowding into this big hotel. I thought, "Well, them all look American license and so forth, on those cars, coming from down in the United States." Then I... That night when I come in, I realized America was there in Canada that night.
When I got onto the elevator, it was so full of whiskey bottles and gin, till you could hardly find a place to stand. And I looked in that; I said... Looked around like that, and the little operator of the elevator knew me, and he said, "They're here."
I said, "It sure looks like it."
He said, "This place is a--is a drunken sot, Brother Branham."
I said, "Isn't that awful." It was some club. I could call it, right now, but there's probably members of the same setting here. So they're all rotten anyhow to begin with. There's only one society; that's the society of Jesus Christ. You only get in that by being born. Your other societies may be all right, but the real one is Christ. That's the One that molds character and makes people what they ought to be, the society of Jesus Christ. And you only get in that by birth.
E-39 And then, when we stopped upstairs, and where my room--I got off. My, you could hear up-and-down through here, all the--the cigarette smoke a boiling, and--and the dirty jokes everywhere. And I started to walk up through the hall, and I heard a--somebody around the corner and it was two young American women, both of them wearing wedding bands, with their--just their underneath garment on. Here they come with a bottle of whiskey, staggering over one another, having a little clean fun, hubby home baby-setting.
There's where you get it. Just a little clean fun; that's what we call it. That's what all this here a--popular television screens, and all this advertisement out here, of whiskey and beer and smoking and stuff. It's the gate of hell. I may sound old fashioned, but my young sister, my young brother, remember, that is the gate of hell. He that loves that thing shall die eternally. That's true. "The soul that sinneth shall die. The woman that lives in pleasure is dead while she's alive," says the Bible. That's the truth. How the womanhood, that sweet...
Greatest thing God give man outside of salvation was a wife. She was to comfort him, to help him, to bless him, and to console him, and--and be a real companion to him. And today, it's so degraded, and demoralized, till I--it's... Why the hottentots of Africa could come here and teach our women how to live moral. That's right.
E-40 In the Africa there's a tribe of them back there, that if a woman isn't married by a certain time, she has to get out of the tribe. And if she is married, and before she is married she has to be tested for her virgincy. If she be found guilty, she has to tell the man that's done it, and they kill them both together. Be a lot of killing around the United States if that took place, wouldn't it?
Think of it. Heathen, it's a disgrace. It's a stain on that flag that our forefathers fought for. It's a disgrace to our nation. And when the womanhood is broke, and motherhood, in any nation, the backbone's broke. God give us old fashion mothers again.
E-41 I got a piece of the paper that was in our paper there, our local paper, that showed that three out of every four soldiers that went overseas during the other war was divorced six months after they were there by their wife. Went to work in powder plants, so forth like that...
Now, if a man is sick and his wife can't work, I mean, he can't work, I don't blame; his wife got to make a living. That's right. But if she's just out working to have a little extra money, you'd better keep her away from that scalawag bunch that's she's working with out there. Her place is home. That's it. Here she--she's supposed to be at home.
And mister, you might call yourself ever so good, but if you've got lodges and other things that calls you away from her at night, you ought to be ashamed of yourself. God gave you a home to--for cherish and comfort and things like that, and it's a shame to see the way man does their wives, and wives do man. The womanhood and fatherhood of the nation is tore to pieces, divorce courts piled full.
Jesus said it would be that way, "As it was in the days of Noah, they were marrying and giving in marriage until the day that Noah entered into the ark." It's a sin and a disgrace. Don't call me that kind--I don't...
E-42 As Jacob said in his death, when he called to his two sons that had killed that man, he said, "Far be my soul from your wrath. For in your wrath you slew a man."
Even his own sons said, "Let not my soul come near your wrath."
And I say that in my death, "If this spirit that's in America, if that's what I'm to be judged by, God keep me as far away from it as can be. Let me have the Spirit of Jesus Christ, the Son of God. Let something happen in me, no matter what has to take place."
E-43 People are afraid of the new birth. They're afraid of it. Now, any birth, I don't care what level it's on, it's a mess. You take if it's out yonder in a pig pen, any birth makes a mess. If it's in a pig pen, if it's in a... If it's in the cow stable, if it's in a pink decorated hospital room, I don't care where a birth takes place, it's a mess. And a new birth is the same. It'll make you do things that you didn't think you'd do. You might cry, boo-hoo, and rub around on the altar; no matter what you do, I've never ask God (it wouldn't do no good) to try to bring the new birth to my level. I want to meet God's level of the new birth and receive it. I don't care what I have to do.
Someone said not long ago, "I'm afraid to receive the Holy Ghost. I'm afraid It'd make me speak in tongues like them others." I don't care if I spoke in tongues, talked in tongues, crowed in tongues, or anything else; I want the Holy Ghost. That's the main principle; I don't care what level it is. I'll meet God on His level. What He wants to say is right. There's where I want to stand. That new birth that changes a man, changes a woman, changes a new desire, changes their appetites... Wrestle with God until you can hold on until the blessing comes. Then God will change you like He did Jacob, "supplanter," to Israel, "prince." The new birth...
E-44 These women walked down through there, and they had a--a man draw out--a couple of old man run out trying to grab them. They missed them, and stroke their hands down behind them like that, one grabbed by the heel, and she sprawled out in the floor, and spilled some of her whiskey. And this other one took and poured some more in her glass. And this old man was so drunk he couldn't get up off of the floor, oh, having a nice, clean time, just a little fun.
That's what breaks up homes; that's what spoils children; that's what makes neurotics; that's what makes teen-age delinquency is when motherhood and fatherhood is broke.
That woman raised up this bottle; she pulled up that little underskirt, as much as she had on, kicked her little leg up in the air like that, and hollered, "Whoopee!" She said, "This is life."
I couldn't stand no more. I walked out there, and I said, "I beg your pardon; that's death." I said, "The devil has deceived you. That's death."
And she said, "You want a drink? Come on, honey, take a drink."
I raised out this same Bible here, laid It out before her, I said, "I'm a Gospel preacher."
And they started to drop the bottle, that make-up stuff all over their face and eyes, and everywhere, and their lips supposed to be down here, and painted plumb up around their nose, and all that kind of stuff, and that blue stuff running down their eyes.
I looked in their hands, and wedding bands on; I said, "Aren't you ashamed of yourself? I'm an American citizen too." I said, 'You disgrace the nation.'
"Oh," said, "we didn't mean nothing by it."
I said, "You don't mean nothing by it. And you're both wearing wedding rings." They started down the place like that. I grabbed them by the hand; they was too drunk to get away from me. I grabbed them by the hand. I said, "Look women, let's kneel down here and pray to God that He will have mercy on your sinful soul. Go get you some black coffee and sober up, and go home to your children and babies." Life, life... It's death!
E-45 That's the kind of life David said, "That Thy lovingkindness is better to me than life. Oh, my heart thirsts after Thee, O Lord. I long to see You in this dry, thirsty land, like I have seen You in Your sanctuary."
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... Climb a high tower, or jump off into a river, or flatten yourself on the street, or take carbolic acid, to end that kind of life. That's not what David is speaking of. That kind of life has a end, and the end is disastrous. But that kind of life has no good end to it. But then, I just want to ask the audience this question, for a moment: "Then what makes a person do that?"
Now, you take, I went to a party one time, where... It wasn't a party; it's where that we had sold lamps, campaign. And they give a little speech. And we went over there to find out at Louisville, Kentucky, and the service company that I worked for, I'd sold more lamps than--than the whole company had, any of the rest of them. So they give a little time over there; we had a little dinner. And then after it was all over, they moved back and--and the--and they had some dancing. Some girls come out to dance. When they did that, my boss said to me, said, "Billy, go stand back there at the door; we going to have a little clean fun."
I said, "What kind of clean fun?"
Said, "Would you mind stand at the door?" Said, "I know you don't believe in dancing, but these people are going to dance."
"Well," I said, "can't I wait outside?"
Said, "Suit yourself."
I said, "All right." And it's when I started back, I--little old girl run out like that, and run out on the floor begin to doing the--kind of crazy looking acts, and--and going on, her little old skirt flying around. I thought, "That's some mother's girl." I stood there at the door just a minute and looked out. I thought, "Oh, God. Really a pretty little girl. Isn't it a shame, make some man a idol, some good preacher, maybe, a--a consolation, or some good workman to come in at night time to a little castle, where they'd have the little babies they could pick up, and play, and freely have life right. That's... Maybe her mother might have been a Christian."
E-46 And she started running around, grabbing each man. And she run back to me. And said, "You want to dance?"
I said, "Yes ma'am. I sure do."
And she said, "Come on."
Started out in the floor, I said, "Just a minute." And I held her; she was too little to get away from me. I held by her hand, I said, "There's one thing that I always make a practice of." I said, "Before I always do anything, I always pray. Will you pray with me? Bow down." I held her hand. She couldn't help it. We broke that thing up there in a few minutes. Sure.
The old jazz band stopped, and they picked up their instruments and left. I said, "Mr. Hanson, you could fire me if you want to."
He said, "No, Billy, you done the right thing."
That's it. That ain't life. It's two different conceptions of what life is. One has suicide; the other one has rapture. Oh, rapture Divine. Let that life fall on me. But what makes a person do that? There's some reason. Why?
E-47 Now, listen close. The reason people do that is because God made them to thirst. "My soul thirst after Thee, like in a dry land, thirsting." Well, God made a man to thirst. But you see, that God made a man to thirst, to thirst after Him. He wants to thirst after God.
Now, the devil tries to satisfy that thirst by the things of the world. And he will never do it. Now, if he could take and make you thirst after dancing, make you thirst after the televisions, and rock-and-rolls, and all these other sinful things...
Now, I don't mean to condemn all television programs, nor all radio programs. If you want to look at television, watch Oral Roberts. He's got a good program. Watch that. If you want... That's okay. I'll endorse that a hundred percent. Billy Graham, Oral Roberts, or some of that, that's fine, or anything that's decent and moral. But all this nonsense of this drinking...
E-48 And here the other day, I'm in a tax dispute myself, of the money that I spent in these meeting. The government said, "It ought to be mine alone. I ought to pay taxes on all that..."
I said, "How do you think that?" I said, "It went through my church, and paid for these meetings."
Said, "Oh, it was yours before it was the church." And they was going to arrest me for it.
And I said, "I want to ask you something, in the name of all decency." I said, "You put on these programs at night. I've spent thirty-two years of my life across the nation, around the world, trying to make it a better place to live in, trying to break up crooks, and make them honest men, try to take children from the cradle size, and put them in the church, and a thing for right. I spent my life, on earth, to try to do that. And the money that I've used out there, you're trying to tell me that I owe it." And I said, "Then you'll let all this old, nasty vulgar programs come one, of television, and that whiskey company, and tobacco companies, which is killing the nation, and making rape, murder, and everything else, juvenile delinquency that's tearing your nation to pieces, and they write it off as advertisement." I said, "What have we got left?"
E-49 There's one thing we got, and that's Christ. Sure, that beer companies, and everything you see advertising that, that's government taxes. They're writing it off. But let me try to write it off, say, "Well, I had a meeting at Madison Square Garden; they took up so much. I have to show every penny of it. And then we paid this out for the auditorium."
"Yeah, but the people give to you. It was yours. You have to pay income tax on it."
There you are. See? Now, that's--and then you call it justice up over the courthouse doors. Not in my books, it isn't. Not in this Book, it isn't. That's right. We've give Caesar what's Caesar's, and God's what's God's. That's true. But this world is so crooked, till their even examining the examiners. Why, it's pitiful. The neurotics are examining the neurotics, and the--the psychiatrists the--are taking care of the psychiatrists. Why, the things corrupted, gone to eternity. But the Kingdom of God shall stand forever.
E-50 Listen. You'll never satisfy that longing. You go out and get drunk tonight, and paint the town red, tomorrow morning you got a headache, and a dread. You'll break up your home. You'll ruin your life. You'll throw it to the dogs, as it was. But there's only one way to ever satisfy that--that... And I'll tell you now, you'll... Listen to this! You, the people, young or old, how dare you to try to take the things of the devil to hush that blessed, holy thirst that's in you. How can you ever take pleasure of the world, or whiskey, or drinking, or big times, and luxury, to ever satisfy that blessed, holy thirst that God give you to thirst after Him.
Some people, even the devil's got so bad that he lets them join the church to satisfy it. Oh, yes. People go and join the church, say, "Well, I'll put my name on the church book, and I'll..."
The church is all right, but let me tell you friend, joining the church will never satisfy that holy, hungry thirst. That's the place that God comes in, and nothing else can fill it until you're filled with the Holy Ghost. Then the Holy Ghost comes into your heart. He is the everlasting fountain of God. He's the inexhaustible Fountain of Life. You just receive Him and drink from Him the rest of your life, in all ages. God made that place in here for Himself. You're thirsting, what for? For Him. He wants you to thirst. Thirst after Him.
E-51 David was a woodsman, a shepherd. He talked in the terms of shepherd, and woods, and so forth. One--in another Psalm he wrote, "As the hart panteth for the water brook, my soul thirst after Thee, O God."
Now, I'm a hunter, and I've hunt the world over, about. Now, did you ever see a deer wounded? "As the hart thirst for the water brook, so my soul thirst after Thee, O God."
Now, in Africa, Brother duPlessis, his country, they have wild dogs there, they catch the--the deer. And if you get a deer wounded, if he can get to water, you've lost your deer. As long as he can get to water... He will find water and he will go back this way, walk down, walk up the branch, and fa--fool the dogs, come back around, come over the hill, come back behind them again, walk into the branch, drink some more, until enough of that cold water clots the blood, and he can live. But if he can't find that water, he will die.
E-52 So is it. I've watched many times, the wolf after the--the deer. And if he can catch a little deer out to itself, that's the one they work on. There's a lesson. If he can catch a deer away from the herd, then he--that that's what the devil wants to do. So to you, young ladies, he wants you to go out with a boy that's not a Christian. To you, young men, he wants you to go out with some little painted Jezebel that's--that's not a Christian. That's where he wants to break you up. That's where he wants to--he wants to sock his teeth into you.
And this little deer will get out to itself, away from the herd. That's the one the wolf works on. And to you, old man or woman, when you separate yourself from believers... People say, "I can stay at home, be just as good a Christian as I can at church." You can't.
The Bible said, "Not forsake our assemble ourselves together, and that much more as we see the time coming."
If you're a Christian, you long to go where other Christians are, and fellowship with other Christians. So you cannot stay away from church and live the same life. You--you can't do it, because it's like, "I--I--I--I'm hungry, but I'll never go to a table. I just... I'll never eat. I just--I ain't going to do it." See? You've got to go and feed on the Word of God, and fellowship one with another.
We need one amother--another more now than we ever did need each other, is now. When you get yourself singled out from the rest of them making yourself just a little different, you don't want to associate with them because they believe this, and don't want to associate with that, you're getting on dangerous ground, right then, keeping away from church. Find the one of your choice, and remain there, and be a Christian brother to all of them. That's the way to be a real Christian. Then we've got fellowship, protection; people love you and pray for you.
That's the success of my meetings, is because real godly people pray for me. That's it. That's the reason success in my meetings. When I come in and introduce these things about the visions and things, there's a many old mother and dad, sister and brother, setting out there that believe that with all their heart. The Holy Spirit drops right down on them then. If they didn't do that, I have no way of doing it. No matter how great it would be for myself, it has to be for you the same. We have to do a unit, two of us together, to make the contact with God: you, as a believer, and myself, as a believer.
E-53 Now, then when this little fellow got hisself out, then the wolf comes up. He watches the dog--watches the--the deer. And he keeps getting closer and closer. The little deer begins to feel kindy excited. A many person set under a meeting, set in preaching, felt, "You know that might be me. Maybe, I ought to do this. Maybe, I ought to come to God." That's shows that the wolf is right on you.
Now, when the wolf makes his great dive towards the deer... Now, the first thing, a wolf has two fangs that called, "blood fangs." If they can catch the--the deer right behind the ears, there's a blood vein there, and it's a artery, right behind the ear. They throw their teeth right into them. It's like a snake, and they swing their weight right down. And what it does, it cuts the deer's throat. He's finished. That blood vein'll start spurting blood, and he won't run fifty yards until he's done. He just bleeds hisself to death, and the blood's spurting right out. His life is gone.
How many precious boys and girls, men and women, has the devil caught off of guard and done that to? Such a pity. "As the hart thirst for the waterbrook..."
E-54 Then we notice, if the--if the little deer's quick, jerks his head up, spies the wolf coming, he can turn. And when he does, the deer--the wolf's got one more place to grab. That's right in the flank. Now, that's the middle balance of the deer. The hind quarters is heavier than front quarters, and it takes the middle here to make up the weight.
Now, if the wolf will grab--if he tries to hit these ribs, he will miss it. If he hits in the flesh here, he will do not good. But right in the flank there, if he can grab his mouth right in there, and take a good hold, and that deer half balanced like that, he can throw the deer to the ground. And if he doesn't, he jerks a whole mouthful of flesh out of the deer, if he misses it's throat.
If he hits the throat, the deer is done. But if he grabs it like this, and if the deer is quick, and jumps, twists itself sideways, he jumps, and he throws before the wolf can swing himself to throw the deer down, the little deer catches that swing and jerks a whole mouthful out. And when he does, a big place comes in there then, and the wolf's fell to the ground, and the little deer is a jump ahead. He can outrun the wolf.
Now, that deer just run as hard as he can go. And as hard as he can go, still he begins to bleed, bleed. His blood is a losing.
E-55 Oh, how many tonight in Phoenix, is bitten by the hounds of hell. Their precious life is fading out, because they--they're looking, hole in their side. Something happened to them, let somebody come in their life, something happened, a man went out with another woman, or a woman with another man, or they taken a little sociable drink. They wanted to be like the Jones' next door or something. That's when he grabs you.
A little twist, then he's got to find water. That's what David said, "As the hart thirst for the water brook, so my soul, thirst after Thee, O God."
And that little deer out there, bleeding, trembling, and thirsting. He will throw his little nose up. I've watched them many times. He will smell. [Brother Branham makes a panting sound--Ed.] He's smelling for water. He looks; the hounds is behind him. If he can find water, he will live. If he don't find water, he will die, 'cause he's getting weaker and weaker. Now, when that deer, he's got to get to the water or die.
E-56 And when you get to that place, my brother, where sin has cankered your life into such a place that you've got to find the waters of God, till you've got to get to that fountain filled with Blood drawn from Immanuel's veins, where sinners plunge beneath the flood, lose all their guilty stains...
If you've so thirsty that you're breathing for the water, "Oh God, where is it at? I must find Jesus or perish." Something... You're going to find Him. God will place the water... To see that Beersheba--that--a--Hannah found for the baby... God can create a fountain right by the side of you. Maybe a cancer has got you eaten. Maybe you're bound in a wheelchair. Maybe that heart's about ready to quit beating, the doctor look at it, said, "Can't be long." Maybe tubercular has about got you, that demon has grabbed you and chewing you up, until you found that fountain. If you're thirsting for it, "Blessed are they that do hunger and thirst, for they shall be filled."
My precious friend tonight, let me say to you as your brother, and one that loves you: If you have a need tonight, if there's--if you've been bitten by physically or spiritually, by the devil's hounds, get to the water just as quick as you can. There's a fountain open tonight in the house of God, in the city of David. It's for the unclean. You may dive beneath that fountain, lose all your guilty stains. I recommend to you the Blood of Jesus Christ, while we bow our heads.
E-57 "Thy lovingkindness is better to me than life. And because Thy lovingkindness is better than life, my lips shall praise Thee. O Lord, that I might see You as I have seen You in Your sanctuary. May I see You in this dry, thirsty land. My soul thirst after Thee, O God." Thirsting, thirsting, trying to find some-- the place to drink.
Are you here tonight, person, man or woman, boy or girl, that has never drinken from this fountain? You've been bit by sin, and you're thirsting tonight to be healed. If you are, would you raise up your hands, say, "Brother Branham, remember me in your prayer' I--I now..."?
God bless you, sir. God bless you. God bless you, lady. God bless you. There is a fountain filled with Blood drawn from Immanuel's veins.
Back over here to my right, God bless you, young lady. God bless you, young man. That's good. God bless you. That's wonderful. Just think, friends, see that thirsting in you. Have you given that over to the enemy? to the things of this world? Have you just tried to satisfy that with, say, "Well, I'll go downtown and buy new clothes. I..." That isn't it. You need--maybe you need new clothes. That's legitimate. But when you just make that your idol of how you must be so spic and span all the time. Maybe it's your home. Maybe it's something else that's taken that place of that thirst and calling. It ought to be God. God is that satisfying portion.
E-58 I'm going to ask you to do something. If you believe that God hears my prayer, if you've got confidence in me as your brother, and if you have need of that, I wonder if--if you'd come here, and believe that... I was just talking to a lady; she's met me, today in the restaurant. And she was telling me about Brother Outlaw, I believe it was, bringing me to her bedside when she was dying with TB. She was healed. The doctors had give her up. And she was healed, later, was healed in another meeting by cancer. Her little girl laying dying with leukemia... If the lady hasn't testified, I had Brother David to tell me about her--get her to testify. And the little girl with leukemia, the last stages, done fell down to twenty something pounds, and today, there's not a trace of the leukemia.
Oh, my, about a man here, last night, said he couldn't get into the meeting... And I believe he found out where I laid my hat back there, and he said, "I can't get in, but I--Lord, I'll touch his hat." And he had TB, and was healed.
E-59 If you believe the God... Don't... Be simple. The Holy Spirit's so simple. It just--just follow It with the way It goes. And if you believe that God hears my prayer, and you've really been bitten tonight, somewhere along the line... You got a temper that just makes you fly loose; that's the devil. He bites you; he will poison your experience. It's like sulfuric acid. It'll kill you, and you'll be lost.
If you want me to pray for you, would you come stand here so I can put my hands on you, while we sing? If the organist will go, while you're playing, and with your heads bowed, "There is a fountain filled with Blood drawn from Immanuel's veins; sinners plunge beneath the flood, lose all their guilty stains."
E-60 God bless you, sir. Come right up here. That's good. Would someone else come now? While we're waiting, come up here and stand. God bless you, lady. That's good. Stand right there, my brother. I want to come down and lay hands on you, just in a minute.
Now, all right, brother if you'll give us a chord on that, "There Is A Fountain Filled With Blood."
There is a fountain filled with blood (God bless you, my brother. I'll be right with you in a minute.)
... from... (Come right, sister.)... el's veins,
And sinners plunged beneath that flood,
Lose all their guilty stains.
Lose all their guilty stains,
Lose all their guilty...
Won't you come right ahead now, raise up? You that's bitten, are you thirsting for something real? Are you thirsting for an experience with God? Come now, right here, let's pray and lay hands on you right now.
... Their guilty stains.
The dying thief...
God bless you, sister. That's good. Come right out, walk down here, around the altar now. Stand right around here, just a moment for prayer.
... his day;
And...
God bless you, sir. Come right on. It's a real man to do it. Come right out...?... Come right down here and stand.
... wash all my guilt away.
Wash all my sins away,
Wash all my sins away;
And there may I, though vile as He,
Wash all my sins away.
E'er since by faith I...
Won't you come now? The rest of you come right down, would like to stand around here a moment now. You that's been bitten. Wants to be healed of that bite of the devil, come right down now. Now's the time to receive it.
... ing love has been my theme,
And shall be till I die.
And shall be till I die,
And shall be till I die;
Redeeming love has been my theme,
And shall be till I die.
E-61 Now, as we are gathering, come right down, won't you? I wonder how many ministers are in here tonight? How many ministers, would you raise your hands? Look at the ministers. Bless your hearts. I'm going to ask you: Come down here just a minute and stand with me. I'm coming down to lay hands on these people. Now, they'll want a church home after this. They'll want to be baptized by Christian baptism, and they'll--they'll want... You'll want to invite them to your churches. And we want you to come down and stand with us here, that we'd pray. In just a moment then we're going to have prayer for the sick too, just in a moment. Just remain a--the sick people in your seats.
Now, I'm going to ask the pastor here, Brother Shores, if he will stand here and--and lea--and lead us in a song real quietly, while the rest of you bow your heads. I want to lay hands upon our brothers here and sisters, that's come to consecrate their lives. They've been bit by the enemy and we are going to lay hands upon them, that they... And I want you ministers to do likewise. And then, we're going to pray the prayer of faith for these people.
E-62 Now, you that's standing here, no matter what you have ever done... Now surely, you people know here that I'm telling you the truth. God vindicates that. I'm telling you the truth, because it's the Word. The Holy Spirit comes and moves... A few minutes ago, instead of making a--a line of discernment like I was planning on doing, Something at the end moved and said, "There are those that are bitten." See?
How do I know that one of these standing here isn't a Gospel minister after while. How do I know that some of these young women, so forth, standing here, might be missionaries heading for the field. How do I know who they are? Might be another Billy Graham, it might be another Sankey, Moody, Finney, Knox, Calvin. How do I know? Only thing we do is cast the net in, and then draw it. The Holy Spirit draws. Jesus said,"If I be lifted up, I'll draw all men unto Me."
My friends, standing here at this altar, the real, the real Christ Who heals the body, heals the soul. Now, while we're praying. Every one with your head bowed, and you--you lead us in a song as you...?... [Brother leads the song, "Jesus Is Passing This Way--Ed.]
E-63 While we're impressed...?... in prayer now, I want the ministers now, to come up close to these people. Each one that's standing around the altar here, now just confess all your wrongs. "Lord, the enemy has broken me down, but tonight I'm standing here for one purpose: to know that I'm a person that's dying. Know that my life is burning out, and I have used it; and the thirst that I really should have given to You, I've turned it to different things. Forgive me, oh, Lord. Clean my heart, and clean my thirst, and may I turn it to You, oh, God, and from this hour on, drink from the fountain of life freely, because God has invited me to this fountain."
E-64 And now, to you out there in the audience, that's sick and needy, would you just raise up your hands? I'm going to ask you to do something, as I did last evening. Lay your hands over on each other now. Just put your hands on one another.
I heard such good reports since last night from the meeting. Now, while I'm praying, I want you, each one, to receive your healing. Believe it with all your heart. Believe that it's going to happen tonight, not... God didn't just promise to hear my prayers. He promised to hear your prayer. "The prayer of faith shall save the sick. God shall raise them up." Physically sick, spiritually sick, no matter what your sickness is, the Blood of Jesus Christ cleanses from all. "And these signs shall follow them that believe, if they lay their hands upon the sick..."
E-65 Now, we're in a--we're in a unity; we're in an agreement now. We're Christians; the Holy Spirit's here, that great Angel of God, that Pillar of Fire, that you got the picture of, right here. That same Angel of God is right here now in this building, right here. If you are believers, and will wipe all the musk of unbelief away from you, all the doubts away from you, and will believe right now... Now, don't pray for yourself; pray for the person you got your hands on. See? You pray for the next man; he's praying for you. And you be praying for one another, and while I pray for you, that'll make the chain here, and God will heal every person here. There will not be one sick person left in our midst, if you'll just believe.
Everyone of these people here, that's up here around the altar. I look here and see this Indian woman, I believe, moving up here. Remember last year, the year I was here, the little blind Indian girl receiving her sight up on the reservation. How I remember those precious Indians up there, how that God healed among them, and you're here now. God will fill you with the Holy Spirit and give you exceedingly abundantly.
Now, you ministers, bow your heads and pray with me. Everywhere now, everybody with one accord... When they had assembled together, they prayed with one accord; and the place was shaken where they were assembled together, and the Word of God went forth with boldness.
E-66 Heavenly Father, as a servant of God, I bring this audience into Your Presence, praying now, that You'll break every power of Satan, every unbelief. These precious people, standing here, has been bit by the devil's...?... and they are needy of Your healing powers. May they hold onto the maj-stone, the Stone, Christ Jesus, until all the poison of--of sin has been pulled from their souls, and all the sickness has been pulled away from their bodies. May they stick to the Stone of God until they're perfectly free. Let the Holy Ghost fall in this building now, upon every heart and every believer.
May the power that raised Jesus from the dead, now come into force in every one. Let them know that You're God, the great Healer, that never can lose a case. Thou art God forevermore. I commit them to You, Lord.