Dès ce moment
1 Ça doit être dans une autre ville ici...?... Grants Pass. Et il est juste quelque part là, ailleurs dans l’Oregon. Je l’ai rencontré là, il n’y a pas longtemps, et je... Vous savez, ça fait plaisir de revoir de vieux amis. C’est le cas pour moi. Et je pense à lui presque tout le temps. C’est lui qui organisait les réunions...?... Il était ici un peu avant et nous lui avons demandé de dire quelque chose.
Il a dit : «Je peux venir. Oh! j’ai dû descendre en courant pour vous voir.»
Et j’ai dit : «Bien sûr que tu peux venir.»
2 Une autre chose qui m’a réjoui, il y a juste quelques instants, c’est quand Billy (mon fils) m’a remis un petit paquet. Et je – je vous assure, c’était la chose la plus précieuse que je – j’ai reçue depuis un certain temps. Il y avait une petite fille, là, sa petite âme était tout émue et elle m’a envoyé une – une offrande. Eh bien, maintenant, si les agents de l’administration fédérale pensent que je vais déclarer cela, ils se trompent. C’est accompagné d’une si belle petite note.
Elle dit ceci : «Je vous aime beaucoup. J’ai treize ans. Je vous donne cette offrande. J’ai eu cela en vendant des bouteilles. Que Dieu vous bénisse à jamais. C’est treize cents.»
C’était vraiment doux. Elle n’y a pas mentionné son nom – juste «une petite fille qui aime le Seigneur.» Qui que vous soyez, chère soeur, que Dieu vous bénisse. C’est... Vous ne savez pas ce que cela représente pour moi. C’est tout aussi sacré pour moi que de recevoir de quelqu’un un billet de cent dollars et que sais-je encore.
3 Je crois que c’était le grand Gypsy Smith. Comme je lisais une partie de sa biographie, une fois on lui a demandé quelle avait été la plus grande joie qu’il ait jamais éprouvée. Il a dit : «Eh bien, un soir, on allait prélever une offrande d’amour pour lui, et comme il gravissait les marches de derrière, a-t-il dit, voici que se tenait là une petite fille bohémienne en lambeaux.»
Et elle a dit : «Monsieur Smith?»
Elle a dit : «Nous sommes issus d’une famille pauvre.» Et elle a dit : «Vous avez conduit ma mère et mon père au Seigneur Jésus.» Et elle a dit : «Je savais que ce soir on allait prélever une offrande d’amour et je n’avais rien à vous donner.» Elle a dit : «Et aujourd’hui, une dame m’a remis une – une sucette, et je ne voulais pas mettre cela dans le plateau d’offrande, Monsieur Smith, alors je – je l’ai simplement emballée et je me suis dit que j’allais vous remettre mon offrande en personne.» Une sucette, une petite sucette.
Il a dit qu’il a regardé cette pauvre fillette en lambeaux, et qu’est-ce qui s’est passé? Vous savez, cela signifie... Ça vient vraiment du fond du coeur. Vous savez, c’est juste quelque chose de doux et de frappant. Et je pense que c’est là que réside la vraie vie, c’est quand la chose vient du fond du coeur.
4 Je pense à un – un petit quelque chose de ce genre qui est arrivé à l’une des réunions là en Finlande. Excusez-moi, c’était en… Oui, je crois que c’était bel et bien en Finlande; oui, c’était à Kuopio. Je n’y ai plus pensé depuis quelque temps. Il y avait un petit garçon qui était ressuscité des morts et que j’avais vu dans une vision, deux ans auparavant (ici en Amérique), avant que j’aille outre-mer. Il se peut qu’il y ait des gens ici qui m’ont entendu en parler; je suis venu... Oui, beaucoup de mains se sont levées.
J’ai dit : «Il y aura un petit garçon quelque part, couché à un endroit où il y a des arbres, des pins, et de gros rocs entassés. Et ce petit garçon sera tué dans un accident et le Seigneur Dieu va le ressusciter.»
Et je descendais de la tour de... je vais... Ça fait longtemps; le nom de cette tour m’échappe. C’était là à... C’était à Kuopio, en Finlande, ça fait environ deux ans. Et nous descendions...
5 En Finlande, une voiture d’occasion ayant fait environ six ou sept ans peut être vendue à environ deux mille cinq cents dollars, peut-être trois mille. Et l’essence, c’est quatre-vingts quinze cents le gallon [1 gallon équivaut à environ 4 litres – N.D.T.]. Alors qu’il y avait là vingt cinq ou trente cinq mille personnes au moins, on voyait environ deux ou trois automobiles. Et là, ils... ils conduisent un petit traîneau semblable – semblable à une calèche [en anglais «travois» : espèce de voiture indienne tirée par un cheval, un chien ou une autre bête – N.D.T.] que portent – conduisent les Indiens et… Ils avaient coutume de – de voyager à bord de cette voiture. Et ils avaient un caribou qui les tirait dans cette voiture. Et alors, là dans le...
J’étais à bord d’une voiture au sommet de la colline et en bas, c’était Kuopio, en Finlande, la... J’étais là vers le mois de mai; le soleil n’y apparaît qu’un jour par an, juste un seul jour. Pendant six mois le soleil est haut; et pendant six mois il est bas. Et c’est juste au moment où le soleil longe la ligne de l’horizon. A minuit, on peut juste – il fait beau et il fait clair comme ici, on peut lire un journal à minuit. Puis, il se lève de nouveau. Et vous allez simplement dormir, dès que vous avez sommeil. C’est à peu près comme ça que vous organisez votre journée, quand le soleil apparaît. Et alors, quand il descend pendant une année... pendant six mois. Alors... C’est là, en Laponie.
6 Et en descendant de la montagne où nous étions en train de chanter, il y avait eu un – un Anglais ivre là-bas. Il ne savait pas ce qu’était...?... C’était un acheteur de bois, venant de l’Angleterre, et il voulait savoir pourquoi on chantait. Et il était tout aussi médiocre que moi. Je... Si vous parvenez à parler le finlandais, vous êtes très doué, car je pense que leur alphabet compte environ cinquante ou soixante lettres et alors, ils... Ce sont des gens très doux, ils sont parmi les gens les plus aimables que j’aie jamais rencontrés dans ma vie. C’était des gens très aimables. Et ainsi donc, pendant que j’étais là, cet Anglais a continué. Et je lui ai dit que c’était une réunion évangélique. Je lui ai demandé s’il connaissait le Seigneur Jésus comme son Sauveur personnel. Et il a dit non, disant qu’il n’avait rien appris sur une quelconque religion. Et alors, là, j’ai eu le privilège de voir le Seigneur Jésus désenivrer cet homme et lui accorder le salut de son âme – il s’est agenouillé là dans cette boue et cette saleté, là dans cette cour où cette grande tour... C’est une espèce de tour de garde, une vieille tour de garde historique. Et nous étions là, en train de louer Dieu depuis là haut.
7 Et ils m’ont raconté comment les Russes étaient venus pendant la guerre larguer des bombes sur la ville et... Ils avaient survolé cette tour. Et alors, on pouvait promener les regards jusqu’en Russie, de l’autre côté du rideau de fer, là en Russie, à une distance d’environ deux miles [3km – N.D.T.].
En descendant de... Nous nous étions rassemblés pour offrir une prière après qu’ils ont vu cet Anglais. Je suis descendu et je me promenais au bas de la tour; frère Jack Moore était avec moi, et cet Anglais venait d’être conduit à Christ. Ils sont tous descendus et un sentiment étrange m’a envahi. Quand ils En ont pris la photo... (Je l’ai à la maison.)
J’ai dit : «Souvenez-vous, quelque chose est sur le point d’arriver; je le sens. Quelque chose va arriver. Je ne sais pas ce que c’est.»
Alors, ils ont commencé à demander : «Qu’est-ce que ça sera?»
J’ai dit : «Je ne sais pas. C’est simplement quelque chose qui est sur le point d’arriver.»
8 A environ un mile [1,609 km – N.D.T.] au bas de la colline, nous avons vu là où une vieille voiture Ford, de marque américaine, ayant déjà fait environ cinq ou six ans... Certaines personnes qui étaient là, sur la colline et à la tour étaient descendues et de petits écoliers rentraient de l’école. Et ils... Leurs parents... Ils habitent en ville, c’est comme en Allemagne. Ils habitent en ville et travaillent dans des fermes, à la campagne, et ils reviennent en ville.
Deux petits garçons, l’un d’environ neuf ans et l’autre d’environ (Oh ! je dirais) d’environ six ans, traversaient la route, et cette voiture est venue à toute vitesse, et il n’y avait presque pas d’autres voitures par-là. Ils ne s’attendaient pas à voir une voiture. Et les petits se tenaient par la main, et ils ont vu une voiture surgir; alors l’un est allé dans un sens et l’autre dans l’autre. Et ils se tenaient par la main. Finalement, ils ont relâché leurs mains, le chauffeur a paniqué, et il n’a pas su où aller comme les deux enfants sont brusquement allés de deux côtés, et il a perdu le contrôle de sa voiture.
9 Et l’une des ailes, celle du côté gauche a heurté un petit garçon juste entre les yeux comme cela, l’a projeté là, l’a écrasé contre un arbre, et il a eu une commotion cérébrale et les os étaient brisés. Et l’autre garçon, la voiture l’a simplement écrasé comme cela. Elle lui est passée dessus et l’a projeté, là où la roue arrière l’a cogné, en le propulsant de l’autre côté de la route, sur la pelouse. La voiture est montée sur la colline et s’est écrasée contre un tas de pierres, puis s’est renversée.
Nous sommes arrivés sur les lieux et il y avait un – quelqu’un d’autre, un...?... qui était arrivé là avant nous , il a pris le petit garçon qui respirait encore et l’a amené à l’hôpital. Et le responsable de la ville (ce qui correspond au maire de la ville.), était là, le médecin est venu là, et... Mais selon la loi de la Finlande, ils ne pouvaient donc pas déplacer cet enfant avant l’arrivée de ses parents. Ils sont donc partis à cheval ou à bord d’une voiture à cheval dans les champs pour chercher les parents de ce garçon afin de les amener.
10 Eh bien, nous nous sommes arrêtés. Frère Gordon Lindsay, le beau-frère de frère Hall, était de la partie, frère Ern Baxter et frère Jack Moore et beaucoup d’autres frères. Et nous nous sommes arrêtés. Et Madame Isaacson, peut-être qu’elle assiste à cette réunion ce soir; elle habite quelque part ici. Etes-vous ici, Soeur Isaacson? C’est elle qui m’interprétait en finlandais.
Et alors, ils sont sortis de la voiture pour regarder le petit garçon et ils sont revenus. Nous avons constaté qu’un accident avait eu lieu. Ils sont revenus et ils ont dit... J’ai dit : «Qu’était-ce?»
Ils ont dit : «Oh ! viens voir, Frère Branham. C’est un petit garçon qui a été tué. Il y a un autre qui a été aussi tué; on l’a déjà – on l’a déjà amené à l’hôpital.»
J’ai dit : «Oh ! je ne veux pas y aller.» J’ai dit : «Ça me fait penser à mon propre petit garçon, Billy Paul.» Et il était juste un petit garçon et je ne l’avais pas vu depuis des mois. Et comme vous le savez tous, sa mère est morte et j’ai été à la fois la mère et le père pour lui. En fait, nous sommes des copains. Elle m’avait demandé de ne jamais laisser Billy pendant qu’elle mourait, et je... Il est – il a été mon copain depuis lors.
11 Et je – je – je ne voulais pas voir ce petit garçon. Cela susciterait simplement... Il pouvait donc avoir à peu près l’âge de Billy, environ neuf ou dix ans. Et vous vous rappelez tous comment je vous l’avais dit, quel aspect aurait ce petit garçon : qu’il aurait les cheveux coupés ras et des yeux bruns. Et il était petit... Il portait ce qu’on appelait à l’époque un petit «panty-waist» [habit à deux pièces, pour enfant, boutonné au niveau de la taille – N.D.T.] ... comme cela et alors avec ses – avec ses longues chaussettes, et ses pieds étaient écrasés dans ses chaussettes et son... Il était tué dans l’accident.
Eh bien, je ne suis pas allé là-bas, et Madame Isaacson a dit : «Je crois que vous devriez y aller.»
Je suis allé voir et le petit garçon... Je suis allé là et on lui avait couvert le visage avec son manteau. Quand j’ai vu ce petit garçon étendu là, écrasé comme cela, je me suis tout simplement mis – tout simplement mis à pleurer. Je me suis retourné et quelqu’un a posé sa main sur moi. J’ai pensé que c’était frère Moore. Et je me suis retourné, mais il n’y avait personne à côté de moi et cette main était toujours posée sur mon épaule. Eh bien, j’ai dit : «C’est étrange.» Et cette main m’a quitté.
Je ne sais pas si vous croyez dans – si vous tous, vous croyez dans les choses surnaturelles ou pas, mais la chose est bel et bien arrivée. Et je me suis remis en marche et la main s’est encore posée sur mon épaule. Je me suis dit : «Eh bien, je me demande ce que cela signifie. Peut-être que je suis censé prier pour ce petit garçon.» Et je me suis dit : «Eh bien...»
12 J’ai regardé une fois de plus derrière et ils avaient déjà couvert son petit visage. Et il y avait environ trois cents personnes qui se tenaient là. Et je me suis mis à partir et la main m’a bien retenu. Eh bien, j’ai dit : «Demi-tour.» Et je suis retourné vers le petit garçon et la main – la main a approuvé cela, et elle m’a libéré. Eh bien, cela m’est arrivé à deux reprises. Et j’ai dit : «Faites-moi encore voir ce petit garçon.» Et ils ont soulevé le... Madame Isaacson me traduisait, elle interprétait cela. Et ils ont soulevé la – la chose pour que je voie son visage une fois de plus. Et j’ai regardé. Je me suis dit : «C’est étrange. On dirait que j’ai déjà vu ce petit garçon.»
Eh bien, le docteur Manninen, il était le chef de l’association des ministres de – de Helsinki, ainsi je... Il était avec moi.
Et j’ai dit : «Docteur Manninen, est-ce que – est-ce que ce petit garçon était dans la ligne de prière?»
Il a dit : «Je ne pense pas.»
Il a dit : «Je vais demander à l’un des pasteurs locaux.» Et ils se tenaient là. Non, ils n’avaient jamais vu ce petit garçon, ils ne savaient rien à son sujet.
Eh bien, j’ai dit : «C’est étrange; on dirait que j’ai déjà vu ce petit garçon.» J’ai de nouveau commencé à m’éloigner et de nouveau, cette main s’est posée sur mon épaule. J’ai regardé en arrière et je me suis dit : «Quelque chose...»
13 Puis, j’ai vu la petite coiffure ras, les petits yeux bruns ressortis, il était étendu là sur le dos. Ses petits pieds étaient écrasés dans ses chaussettes comme cela. Oh ! il était dans un état horrible. La voiture l’avait simplement écrasé comme cela, après cela, et la roue arrière, après que la voiture eut perdu le contrôle, l’avait cogné; et le chauffeur était tout simplement figé sur le – l’accélérateur comme cela, alors la voiture a continué à gravir la colline. Cet homme n’a eu aucune lésion. On l’a tiré de cette épave, et il était tout seul. Et alors, j’ai de nouveau regardé et – et j’ai levé les yeux vers la colline. Et là, ces pins étaient arrachés de la colline, ces...?... du rocher.
Oh! la la! amis chrétiens, j’espère qu’un jour (Sinon, ça sera...?... dans un autre pays) quand ce sentiment qui vient sur vous alors que vous savez... Je souhaiterais avoir ce sentiment tout le temps. Si je pouvais... C’est quelque chose. C’est un amour; c’est comme un amour très profond. Et je... Si – si le diable envoyait tous ces petits démons du lieu de tourment et qu’ils se tenaient là même sur les lieux, cela – cela n’ôterait pas du tout ce sentiment. C’est quelque chose dont l’accomplissement avait été annoncé par Dieu; vous pouvez voir cela, là même, devant vous. Cela va arriver.
14 J’ai donc dit : «Je connais ce garçon.» Frère Moore et les autres se tenaient là. J’ai dit : «Regardez dans vos Bibles, Frère Lindsay, sur la feuille de garde...» Vous savez ce que je vous ai demandé (Quand je suis venu ici, c’était là à Portland), notamment de noter cela sur la feuille de garde de votre Bible. J’avais vu cela à bord d’un train allant en Floride. Et j’ai dit : «J’ai écrit...» J’ai dit : «AINSI DIT LE SEIGNEUR, un petit garçon (Je l’ai décrit) ressusciterait des morts.»
Et il a regardé sur la feuille de garde de la Bible et Frère Moore a dit : «Il s’agit de ce garçon.»
J’ai dit : «C’est lui.» J’ai dit : «Maintenant...» J’ai parlé à tout le monde (Madame Isaacson était à mes côtés), j’ai dit : «Eh bien, dis-leur : ‘Soyez respectueux.’» J’ai dit : «Si ce petit garçon n’est pas vivant dans cinq minutes, vous pouvez alors me chasser de la Finlande; je suis un faux prophète.» Voyez? J’ai dit : «Le petit garçon va ressusciter des morts maintenant même.» Ça faisait environ trente minutes qu’il était mort.
15 Et alors, on attendait le père et la mère; et je pensais au sentiment qu’ils devaient éprouver – au sentiment qu’ils devaient éprouver en venant voir leur petit garçon écrasé et étalé sur la route comme cela, sa petite langue pendant d’un côté de la bouche, le sang coulant de ses oreilles et de partout. Alors, je me suis agenouillé exactement comme la vision l’avait montré, j’ai imposé les mains au petit garçon, et aussitôt que je lui ai imposé les mains, j’ai dit : «Père céleste, il y a dix ans en Amérique, Tu m’as promis la vie de cet enfant, prédisant qu’il ressusciterait.» Maintenant, la mort ne peut pas le retenir, comme cette vision se manifeste.» J’ai dit : «Mort, rends sa vie au Nom de Jésus-Christ.»
Le petit garçon a sauté et a crié...?... son pied. Il était tout aussi normal et bien portant qu’un enfant peut l’être.
16 Eh bien, aujourd’hui j’ai dans mon bureau une attestation écrite par le numéro un de la ville de Kuopio, en Finlande. C’est vrai. Et on y a relaté ce qui s’était passé, puis au verso on a mis la traduction. Il est dit : «Frère Branham, nous sommes pauvres en Finlande. Nous ne pouvons rien vous offrir. La seule chose que nous avons, c’est du papier. Ainsi, voici un livre sur Kuopio et un commentaire de ma part.» Et il y a apposé son sceau comme cela, car il avait écrit personnellement ce témoignage.
Quelqu’un m’a écrit depuis la Finlande il n’y a pas longtemps. Il a dit : «C’était faux.» Et il allait écrire un livre là-dessus pour démontrer que c’était faux.
Et j’ai dit : «Allez-y, écrivez tout simplement le livre. Ensuite, moi, je vais publier ce témoignage du maire de la ville après cela. Ainsi donc, allez-y et écrivez-moi ce que vous voulez.
17 (Avons-nous encore une ou deux minutes pour autre chose? Je voudrais terminer ceci.) Ce soir-là, quand nous avons quitté la Finlande, ce... Nous nous rendions quelque part, il y avait beaucoup de gens là; on avait placé des gardes sur la route. Et je... Je suis entré dans la salle là... Je marchais; il y avait environ six ou sept soldats autour de moi. Ces pauvres petits Finlandais, ils n’étaient pas encore assez grands pour se raser la barbe; tous les autres hommes âgés avaient été tués à la guerre par les Russes. Et ainsi, on m’amenait...
Et si vous êtes né en Russie, et que vous soyez à quarante miles [64 km – N.D.T.] de votre lieu de naissance, il vous faut avoir un visa. Mais ne laissez jamais quelqu’un vous dire qu’il n’y a pas de chrétiens en Russie; il y en a des millions. Et là se trouvaient ces soldats russes qui... Là-bas, on ne peut pas diffuser des histoires comme celles que nous avons, le rock-and-roll et toutes ces histoires là-bas; il n’y a que les affaires et le commerce à – à la radio. Et de là, ils sont allés partout en Russie. Je vais...
18 Le Baron Von Bomburg m’a dit il n’y a pas longtemps (un petit ami qu’ils avaient amené de l’autre côté du rideau de fer), il a dit : «Je suis surpris, Frère Branham, que votre ministère ne soit pas mieux connu en Amérique qu’il l’est ici.» Il est mieux connu en Russie qu’ici, il est connu là derrière le rideau de fer. Il a dit : «Nous avons tous entendu parler à – à la radio, de ce petit garçon qui a été ressuscité des morts là-bas.» Et alors, ces... Ces soldats russes qui se tenaient au bord de la rue, ont exécuté le salut à la Russe à mon passage. Et ils ont dit... Un interprète m’a dit, alors que nous passions, il a dit qu’ils disaient : «Nous accepterons un tel Dieu.» Certainement.
19 Voyez? En fait, c’est la faiblesse de l’église qui a suscité le communisme; c’est un produit de ce genre d’oeuf. Si l’église prend tout l’argent qu’il y a dans un pays et bâtit des autels en or, qui coûtent des millions de dollars alors que les gens se meurent de faim dans les rues, vous pouvez voir pourquoi de telles choses peuvent surgir. Mais qu’un être humain voie la réalité de Dieu, il va croire cela, s’il a quelque chose en lui qui peut croire.
Il se tenait donc là et disait : «Nous croirons à un tel Dieu qui est capable de ressusciter les morts. C’est ce que nous voulons connaître.»
Et je vous assure, alors que je suis sur ce sujet, je pourrais dire ceci : «J’ai vu des soldats russes saisir des Finlandais à la taille, là dans le bâtiment, les embrasser et se tapoter l’un et l’autre – comme le font les Scandinaves – ils s’embrassent et se tapotent l’un l’autre. Quelque chose qui peut amener un Russe à mettre son bras autour d’un Finlandais et un Finlandais à passer son bras autour d’un Russe mettrait fin à la guerre pour toujours. Nous n’avons pas besoin de l’ONU; nous avons besoin de Jésus-Christ. C’est ce dont le monde a besoin. Voyez?
20 Quand nous entrions ce soir-là, une petite fille était sortie, vous en avez lu l’histoire, vous... Frère Gordon n’a pas écrit cela en détails; il a simplement raconté cela. Elle était – elle sortait du dortoir des femmes, pour ainsi dire. Et nous sommes sortis et nous nous sommes dirigés dans ce sens, et il y avait des soldats. Et cette fillette, quand elle s’est présentée, elle avait... une de ses jambes était à peu près comme ça, plus courte que l’autre. Et alors, elle portait une – une grande ceinture, et un – un – un appareil prothèse artisanal qui descendait comme cela, et elle avait deux béquilles. Elle avait une lanière au bout de son orteil qui passait par-dessus son épaule et était attachée là au dos de cette ceinture. Et quand elle se mettait à marcher, elle devait avancer cet appareil orthopédique... ces béquilles, puis engager sa petite épaule pour faire basculer sa petite jambe et la disposer comme cela; alors elle effectuait un pas. Et elle m’a donc vu.
21 Et nous les avons avertis, vous savez. J’aime les enfants, et quand je sortais dans la rue avec un peu de cette monnaie finlandaise, j’achetais des tas de bonbons, vous savez. Et frère, je les distribuais tout simplement aux enfants. J’avais toute une file d’enfants, allant d’ici jusqu’à deux pâtés des maisons, qui me suivaient partout, parce que je – j’aime les enfants. Et ainsi...
Quand je l’ai regardée, elle a baissé sa petite tête comme cela, elle avait peur qu’elle ait fait quelque chose de mal. Et j’ai regardé cette enfant et je me suis mis à avancer, et Quelque chose a dit : «Parle à cet enfant; elle veut te parler.» Je me suis arrêté. Et les soldats ont continué... Ils ne parlent pas l’anglais, ils ont donc continué à avancer. Je pouvais les entendre chanter : «Crois seulement.» Et ainsi, je me suis avancé dans ce… Ces soldats se tenaient simplement là... Et j’ai dit : «Une minute.» Ces autres soldats ont regardé derrière. Et j’ai dit : «Une minute.» Voyez?
22 Et alors, cette petite fille, je l’ai regardée, et je lui ai dit : «Viens ici, chérie.» Elle ne comprenait pas; on dirait qu’elle avait neuf ou dix ans, environ. Et j’ai dit: «Viens ici, chérie.» Elle a baissé sa petite tête; bien sûr, elle ne comprenait pas ce que je disais. Et je – je... Elle a de nouveau levé les yeux vers moi, puis elle a vite baissé sa tête à la manière des enfants. Et je lui ai fait signe comme ceci. Voyez? Et elle a fait avancer ses petites béquilles, elle a soulevé cette jambe, puis elle est venue. Et je me tenais tranquille, et les soldats se tenaient là, observant tout simplement ce qui se passait.
Elle s’est avancée tout près de moi, là où je me tenais, comme cela. Elle s’est arrêtée, elle gardait sa tête baissée, et sa vieille petite jupe en lambeaux pendait, et sa petite chevelure lui tombait sur le visage. J’ai appris plus tard qu’elle était une petite Finlandaise, orpheline de guerre; sa mère et son père avaient été tués. Elle habitait dans une tente. Et – et j’ai regardé, et elle m’a regardé comme cela. Elle a levé les yeux vers moi, et de grosses larmes ont coulé de ses petits yeux, coulant sur son visage comme cela.
23 Elle a étendu la main, a saisi mon manteau et m’a embrassé à la poche de mon manteau. Et elle a déployé sa petite jupe comme ceci, sa petite jupe en lambeaux. Elle a dit : «Kiitos.» Ce qui veut dire «merci». Mon coeur s’est mis à battre à grands coups; vous savez comment vous vous sentez, comme cela. Cette petite enfant... Et j’ai regardé de ce côté-ci et je l’ai vue debout là, n’ayant plus des béquilles ni d’appareil orthopédique, louant simplement Dieu.
J’ai dit... Je crois que même si j’étais le plus grand hypocrite du monde, Dieu aurait honoré la foi de cette enfant. Il l’aurait certainement fait. Il l’aurait honorée.
Et j’ai dit : «Chérie, je vais... Comment puis-je te le dire?» J’ai dit : «Tu es guérie, chérie. Dieu t’a guérie.»
«Jésus , a-t-elle dit, Kiitos, Jésus.» (Ce qui veut dire «Merci Jésus.»)
J’ai dit : «Il te...»
Je ne connaissais pas d’autres mots et j’ai donc dit : «Il te guérit. Kiitos, Jésus te guérit.» Elle ne comprenait pas cela. Et alors, ils...
Frère Baxter s’est présenté à la porte et a dit : «Venez, venez.»
Et je… je me suis dit : «Eh bien, Dieu le lui révélera un jour.» Je suis donc entré. Elle allait être guérie.»
24 Ainsi, je suis entré et nous avions eu une grande ligne de prière. Vous avez bien vu dans le livre la photo de ce tas des béquilles et autres, cela s’entassait autour de moi comme ça. Aussitôt que ce...
Qu’est-ce qui s’est passé ce soir-là? Il y avait environ huit ou dix personnes qui étaient montées sur l’estrade. Et il y avait une – une femme, on dirait, de Laponie, assise là derrière, elle avait un bébé qui louchait; elle l’avait couché sur le plancher. Le Saint-Esprit se mouvait là, mais je n’arrivais pas à avoir la femme. Je me suis dit : «Seigneur, je n’arrive pas à prononcer ce nom; je vais l’épeler tout simplement.»
J’ai commencé à l’épeler et un petit...?... Je lui ai dit qui elle était, tout à son sujet, comme cela et le problème de ce bébé. «Prenez-le et regardez-le», a-t-Il dit. (J’ai donc épelé cela.) Elle était une... Et comment elle a compris cela, je ne le sais pas. Elle a soulevé ce bébé, l’a regardé et ses yeux étaient tout aussi droits que possible. Elle a failli... Elle a presque piqué une crise; tout en criant elle a parcouru la salle où des milliers de gens...
25 Et alors, Howard, mon frère (exactement comme Billy le fait maintenant), quand il m’a touché sur le côté... Je deviens presque inconscient quand je suis sous l’effet de ces visions. Il m’a touché comme cela : «C’est le temps de partir.»
Et j’ai commencé à m’éloigner et Quelque chose a dit : «Attends une minute; appelle encore quelques personnes.»
Et j’ai dit : «Juste une minute, Howard.» J’ai dit : «Ne m’amène pas maintenant.»
Il a dit : «Pourquoi?»
J’ai dit : «Appelons encore cinq personnes.» J’ai dit à madame Isaacson... J’ai dit : «Appelez en finlandais les – les – les numéros qu’il vous faut appeler.» Et elle a appelé les prochains et, par la grâce de Dieu, là dans la salle, cette petite fille était la prochaine personne d’après le numéro de sa carte de prière. Combien Dieu, dans Sa souveraineté...
26 Mes amis, je suis heureux que... La plus grande chose que j’aie jamais vue de ma vie, c’est de se soumettre tout simplement à Dieu et de marcher dans l’Esprit, voyez, juste jour après jour, combien Il peut vous conduire et faire des choses.
Et quand j’ai vu cette fillette venir, je me suis dit : «Gloire au Seigneur.» On l’a fait monter sur l’estrade et on l’a aidée à monter. Et deux ou trois huissiers l’ont fait monter là où j’étais, ils l’ont portée et l’ont fait asseoir là. J’ai dit : «Maintenant, Madame Isaacson, soyez attentive à ceci.» J’ai dit : «Maintenant, dites exactement ce que je vais dire.» Et elle a dit : «Je vais le faire.»
Et j’ai dit : «Chérie, Jésus-Christ a honoré ta foi là, quand tu as embrassé ma poche il y a quelques instants. Tu as témoigné du respect pour les choses que tu pensais être de Dieu.» J’ai dit : «Dieu t’a guérie. Maintenant va là, assieds-toi et dis à l’un de ces ministres ou quelqu’un d’autre de te débarrasser de ces appareils orthopédiques. Et mets ta main à la hanche comme ça.» Et cela lui donnait quelque chose à faire pour garder son courage. Voyez?
J’ai donc dit : «Quand vous venez... Vous vous êtes... Quand ils seront en train d’enlever l’appareil orthopédique et ce grand crochet en fer du dessous de ton pied, quand ils seront en train d’enlever cela, fais simplement descendre ta main le long de ta jambe jusque là où tu penses que cet appareil orthopédique se trouve, sur ta jambe courte.»
27 Et alors, j’ai dit : «Faites donc venir la prochaine personne. Et on a fait venir la prochaine personne. Le ministre l’a amenée là. C’est madame Isaac qui devait faire cela, et ils ont amené la fille et se sont mis à défaire ces histoires.
Ainsi, la première chose, vous savez, je l’ai entendue crier. La voilà parcourir l’estrade, les deux jambes aussi normales que possible, les béquilles sur sa tête, criant et se comportant de façon étrange. Oh! la la! Les choses se sont simplement succédé continuellement les unes aux autres.
Je suis rentré à la maison ce soir-là, j’ai regardé là en bas et j’ai vu ces Finlandais marcher, les mains en l’air, louant Dieu. C’est alors que l’Ange est apparu pour l’autre petit garçon. Vous en avez lu le récit dans le – dans le livre. Et comment ce petit garçon était couché là, mourant, les médecins l’avaient abandonné, il était guéri le lendemain soir exactement au moment que le Saint-Esprit avait indiqué qu’il serait guéri. Et il est reparti tout à fait normal, il vit aujourd’hui. On continue à recevoir des lettres de leur part, disant que le Seigneur les a guéris. Il est toujours Jésus-Christ. Si nous...
28 Merci ma petite soeur pour cette dîme. En tant que ministre, je suis censé recevoir des dîmes. Alors, tous mes remerciements, ma petite amie. Et que Dieu te bénisse à jamais. Et ne laisse pas ta mère te dire que tu es grasse. Tu ne l’es pas. Voyez? Très bien. Elle a écrit ici (Je n’ai pas lu cela.); elle a dit : «Maman dit que je suis grasse, mais je ne le suis pas.» Moi non plus je ne pense pas que tu l’es. Ainsi, si tu l’es, que Dieu t’accorde le désir de ton coeur, chérie; c’est ma prière, si Dieu trouve que c’est important pour toi.
29 Maintenant ce soir, je voulais relater une expérience que j’ai eue. Et d’abord, je voudrais lire la – la Parole. Eh bien, demain après-midi (A quelle heure commence le service, Billy? Quatorze heures trente.) Eh bien, demain à treize heures trente, tous ceux qui veulent être – venir dans la ligne de prière pour qu’on prie pour eux, nous distribuerons des cartes de prière, faisant venir tout le groupe comme nous l’avons fait hier soir. C’est ainsi que je pense que mon ministère commencera et continuera, comme on l’a fait hier soir. Vous tous qui voulez des cartes de prière, venez à treize heures trente demain après-midi, pas plus tard que – que... Soyez ici au plus tard à quatorze heures ou quatorze heures quart, parce que toutes les cartes auront probablement été distribuées en ce moment-là, et cela ne va pas interrompre la suite de la réunion.
Maintenant, si certains des messages que j’ai apportés, si ça vous intéresse, les jeunes gens les ont ici – frère Goad et frère Mercier. (Où sont-ils?) Savez-vous où ils sont? Là au point de vente, au fond de la salle, ils ont les disques et les bandes. Ces jeunes gens, ce sont eux qui sont chargés de cela et ils seront heureux de vous les donner. Et j’ai mené une enquête sur leurs ventes et tout.
30 Je vous ai raconté, hier soir, comment ces jeunes gens se sont attachés à moi. Et j’ai envoyé acheter une bande auprès d’un ministre il n’y a pas longtemps. Il me l’a vendue à neuf dollars. Et j’ai mené une enquête sur ces jeunes gens, et je pense qu’elle vaut environ deux dollars et demi ou quelque chose comme cela. Ils gagnent environ trente-cinq, quarante, peut-être cinquante cents par bande – ils achètent les meilleures bandes (la marque Scotch) – et ils font des bandes de meilleure qualité. S’ils mettent un prix élevé sur cela, je leur dirai aussitôt : «Ne vendez plus les bandes.» Non, monsieur.
Eh bien, ils doivent avoir quelque chose pour les frais de manutention. En effet, on abîme beaucoup de bandes et tout, puis vous... Ils doivent vivre. L’un d’eux est marié et ainsi, nous... Ils doivent vivre et ils ont le droit de faire un petit bénéfice sur cela. Et puis, parfois, ils les reçoivent abîmées, cassées, ils les envoient, mais ils ne reçoivent rien et... Vous savez comment ça se passe. C’est juste comme pour nos livres là derrière. Je les achète chez la Voix de la Guérison, avec une réduction de quarante pour-cent. Et avec ce que nous devons payer du fait de les avoir vendus et les frais de manutention...
Et j’ai toujours dit : «Si quelqu’un veut un livre...» (Je donne chaque fois cet ordre à ces jeunes gens.) Si quelqu’un veut un livre... un pauvre vieil homme qui s’avance, met la main dans la poche et demande : «Combien ça coûte?»
«Eh bien, ça coûte soixante-quinze cents» ou quoi que ce soit... dollars, ou n’importe quel prix que ça coûte. Et s’il dit qu’il a cinquante cents, dites-lui : «Papa, prenez le livre et partez. Oubliez le reste.»
31 Voyez? Laissez tomber cela. Ainsi, les livres ne s’autofinancent même pas. L’église doit m’aider pour ces livres. Nous... Le temps pour nous de payer pour cela, pour l’impression, les – les pertes, ce qui est déchiré et tout ce que ça subit, et ce que nous devons offrir comme cadeaux et tout – eh bien, ils – ils ne... Ils ne sont pas – ils ne s’autofinancent pas. Et par conséquent, nous n’avons pas de quoi nous faire de l’argent. Tout ce que nous faisons...
Et moi-même, mes offrandes d’amour sont affectées aux champs missionnaires. Je ne les vois pas. Cela est affecté à une bonne cause. Je reçois cent dollars par semaine de mon église ici , que je sois en Amérique ou en dehors de l’Amérique, où que je sois, je reçois 5.200 dollars par an. C’est de cela que je vis, et nous devons vivre dans l’austérité avec cette grande famille que j’ai. Et je dois vivre dans une maison qui appartient à l’église.
32 Et nous ne sommes pas venus ici pour l’argent; ce n’est pas ça notre intention. La seule raison pour laquelle nous vous laissons acheter ces livres, la raison pour laquelle nous les revendons encore et nous vendons ces bandes, c’est parce que nous pensons que cela va aider à faire avancer la cause de Jésus-Christ. Ce n’est pas du tout une question d’argent. Mais je ne permettrais pas que ces livres ou ces bandes, ou quoi que ce soit d’autre, soient vendus le jour du sabbat. C’est demain. Nous ne les vendrons pas le dimanche; nous ne l’avons jamais fait, et nous n’en avons jamais eu l’intention. Et ainsi, si vous voulez des livres ou des bandes ou des disques, il y en aura là-bas au fond du bâtiment ce soir.
Et si vous en achetez et que vous ne pensez pas... Si vous n’avez pas d’argent, ça vous appartient de toute façon. Si vous en achetez, et que cela n’ait pas la valeur de cinquante cents ou de n’importe quel prix ou que vous avez payé pour cela, renvoyez simplement cela ou jetez-le et dites-le-nous, ou plutôt donnez cela à quelqu’un d’autre. Donnez cela à quelqu’un d’autre, et faites-nous savoir que cela n’avait pas cette valeur; l’argent vous sera remboursé. Nous ne voulons donc rien qui... une quelconque dépense, rien de semblable. Pas du tout. Ce n’est rien…
33 Mais les – les offrandes d’amour, c’est pour le champ missionnaire à l’étranger. Je ne les reçois pas moi-même; c’est mon secrétaire de champ missionnaire qui les reçoit, ce sont les ministres qui les comptent quand on les leur remet, puis on dépose cela à la banque. Et quand je vais outre-mer ou ailleurs, c’est ce qui me soutient dans les champs missionnaires à l’étranger, pour apporter ce même Message de délivrance aux gens qui ne savent même pas distinguer leur main gauche de leur main droite. C’est là que ça va. Je ne sais même pas à combien s’élèvent ces offrandes, à moins que quelqu’un me le dise. Quand je retournerai chez moi (ça fait un mois que je suis absent), alors, j’aurai quatre cents dollars à mon retour à la maison pour payer mes dettes et autres. Eh bien, c’est comme ça que nous vivons; c’est afin que vous compreniez que nous n’avons pas de... Non non, nous ne sommes pas là pour l’argent ou quelque chose comme ça. Et ce que nous avons, j’aimerais rendre cela très clair afin que vous puissiez comprendre.
Maintenant, ce soir, c’est... J’aimerais prendre un petit texte (Si je peux l’appeler comme ça), pour parler pendant quelques moments. Avant de l’aborder, inclinons la tête, juste un moment pour la prière.
34 Père céleste, nous Te remercions du plus profond de nos coeurs, combien les expériences... Seigneur, je T’ai vu agir dans mes petites réunions – sans parler de ces grands hommes qui sont dans les champs missionnaires comme notre frère Roberts, Tommy Osborn et ceux – je T’ai vu faire assez dans mes propres services pour écrire plusieurs Bibles sur de grandes choses – ressuscitant des morts (Tu as permis que les médecins établissent les attestations là-dessus.), guérissant les aveugles, les sourds, les muets... prédisant des choses... annonçant les choses avec exactitude; chaque fois on a vu cela se passer parfaitement à la lettre. Tu es Dieu, et nous savons que Tu es Dieu.
Je Te prie, Père, s’il y a au milieu de nous ce soir quelqu’un qui ne croit pas, que quelque chose soit fait ou dit ce soir qui appellera Ta semence à T’abandonner son incrédulité en échange d’un Esprit bien courageux et croyant, venant de Dieu, le Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Tu es prêt à ôter d’eux le mal et à leur donner ce qui est bien. Oh ! Tu es si bon, Père, nous T’aimons pour cela.
35 Nous Te prions d’inspirer Tes serviteurs partout. Puissent-ils devenir des flambeaux qui brûlent en cette heure sombre où nous vivons, alors que nous voyons cette soi-disant civilisation éteindre, au possible, le feu même de Dieu. Mais néanmoins, ce flambeau va brûler dans les coeurs des gens jusqu’à ce que Jésus vienne. Père, ajoute davantage aux rangs ce soir, nous prions. Guéris tous les malades, tous les affligés; nous prions que Ta grâce et Ta miséricorde reposent sur eux. Donne-leur la Vie Eternelle dans le monde à venir, et donne-leur la bonne santé dans ce monde-ci. Car il est écrit dans la Bible : «Je souhaite que tu prospères à tous égards et que tu sois en bonne santé.»
Inspire les églises dans cette vallée et partout, qui sont – celles qui sont représentées dans ce grand réveil du Saint-Esprit, qui a balayé le monde. Nous Te prions, Père, de ranimer encore cela d’une manière glorieuse. Que cela commence encore une fois ici en Oregon, un grand réveil dans chaque église.
36 Demain, le sabbat, puissent les églises être remplies, puissent les ministres être en feu, et que les âmes soient ramenées, que beaucoup viennent en confessant leurs péchés et qu’ils réclament le baptême d’eau. Accorde-le, Père. Et puisses-Tu remplir du Saint-Esprit tous ceux qui suivent Tes prescriptions, comme nous l’avons enseigné l’autre soir. Je Te prie, Père, de leur faire savoir que la promesse est pour chaque génération, et pour quiconque veut, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. C’est ce que dit Ta prescription. Nous En croyons chaque Parole. Je Te prie, Père, d’accorder cela à chaque personne. Pardonne-nous nos péchés. Prends le service entre Tes mains et tires-en gloire pour Toi-même, au Nom de Jésus, nous prions. Amen.
37 Maintenant, je voudrais lire juste une ligne du chapitre 4, et le verset 17 de Matthieu.
Et dès ce moment Jésus commença... prêcher et à dire : Le royaume... Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche.
Maintenant, je voudrais prendre comme sujet, ces trois premiers mots Dès ce moment. Maintenant, tous ceux qui sont ici peuvent se rappeler un moment donné dans leur passé: Dès ce moment, comme nous le disons. Quand nous étions de petits garçons, de petites filles, nous pouvons dire que nous avions fait une certaine chose, puis quelque chose s’est passé et «dès ce moment», les choses ont changé pour nous. Et nous pouvons aller trouver, ce soir dans cette ville, la femme la plus vile et la plus immorale, qui court les rues de votre belle petite ville ici, dans la vallée. Si je m’asseyais à côté d’elle et que je disais : «Madame, je voudrais que vous me racontiez votre histoire.»
Et elle se mettrait à le faire; elle pourrait dire quelque chose comme ceci : «Frère Branham, autrefois j’étais aussi pure que le lys. Et je pouvais garder la tête haute parmi les gens de renom, et je pouvais aller à l’église et me sentir à l’aise. Mais, il y a eu un temps, un soir où j’étais sortie avec un certain garçon, et il a corsé mon coca, et dès ce moment...»
Ou peut-être une autre amie, qui n’était pas une croyante et qui sortait avec elle, l’a persuadée d’aller à une certaine danse. Et elle est tombée dans les mains d’un garçon et dès ce moment... Il y a toujours eu un point de départ qui est marqué.
38 Ou je peux aller ici dans votre ville ce soir, et trouver le pire alcoolique que vous avez. Et je m’assiérais à côté de cet homme – jeune ou vieux – et je lui dirais : «Mon ami, je voudrais vous poser une question. Pourquoi gâchez-vous votre vie comme ça? Qu’est-ce qui vous pousse à boire et à agir comme vous le faites, alors que vous auriez pu être un – un grand travailleur ici dans la ville? Vous auriez pu travailler dans une église, ou vous auriez pu être un bon mari pour une femme, un père pour des enfants.» Ou dire à une femme ivrogne qui aurait pu être une – une vraie mère pour des enfants, une douce et tendre femme pour un mari...
Et elle commencerait comme ceci et dirait : «Eh bien, dès... Autrefois, j’étais prohibitionniste. J’avais une tendre mère et un aimable père qui m’ont appris à ne pas boire. Et une fois, j’ai commencé à fréquenter un garçon qui était populaire parmi les filles et je – je – je voulais devenir aussi populaire ; alors, je me suis dit que nous allons boire. Et je suis allée à l’encontre de l’enseignement de ma mère et de mon père. Et il m’a persuadée, disant : «Ce soir, si tu veux passer un bon moment, il te faut consommer de l’alcool...» Et j’ai pris mon premier verre, et dès ce moment...
39 C’est comme ça que ça commence. Il y a quelque temps à New York, docteur Berg... Il est maintenant pasteur au tabernacle de la soeur Brown, Bethany Tabernacle, à New York, l’un des vieux établissements pentecôtistes, l’un des plus vieux du monde. Je pense que nos frères le connaissent bien.
Et là... Alors que j’étais là, je devais rencontrer Sophia, la lavandière, la Suédoise qui allait travailler à Bowery avec elle. Je devais passer deux jours là-bas pour recevoir la piqûre contre la fièvre jaune. Je pensais que je pourrais aller en Afrique sans l’avoir reçue, mais ils ne voulaient même pas me laisser passer ni entrer dans l’avion. J’ai dû attendre deux jours avant d’aller dans les arsenaux de la marine américaine pour prendre la piqûre contre la fièvre jaune.
Et frère Berg a dit : «Que voudriez-vous faire?»
J’ai dit : «Je voudrais visiter le Bowery.»
Il a dit : «D’accord, nous irons là.»
Il a dit : «J’ai plusieurs missions là-bas.»
40 Et nous sommes descendus, si je... Je pense que ce serait une bonne chose pour tout homme d’amener son fils à Bowery et de le lui faire visiter. A mon avis si jamais vous allez en France, amenez votre fille à Pigalle; laissez-la voir à quel point la vie humaine peut se dégrader.
Alors, quand je suis allé à – à Bowery, il y avait là des hommes couchés, inertes, et des mouches attirées par le vomi volaient sur leurs visages. Oh! des toxicomanes, des alcooliques...
Et j’ai dit : «Oh ! Frère Berg, ai-je dit, peut-être que ces hommes ont été élevés dans des foyers qui – qui ne se souciaient pas de ce qu’ils faisaient; on les laissait tout simplement courir dans les rues.
Il a posé sa main sur mon épaule et a dit : «Vous allez être surpris.» Il a dit: «Juste là dans la mission où nous allons, nous avons ramassé cent quatre-vingts personnes mortes là même, l’année passée. Nous les avons retirées des rues, nous les avons nourries et tout, et finalement, elles sont mortes; il n’y a pas d’espoir pour eux en dehors de Christ.
41 Et alors, ils sont là, ils sont trop loin pour ça. Il a dit : «Tenez, voici un homme là.» Il a dit : «Je le connais. Soulevez-le.»
Et je me suis approché de lui et j’ai dit : «Monsieur, puis-je vous parler?»
Il a dit : «Eh bien, il se peut qu’il ne soit pas en mesure de parler.»
Oh ! je ne saurais tout simplement pas dire dans quel état cet homme se trouvait. Il avait atteint un point où ses habits, à partir de la taille jusqu’en bas, étaient dans un état horrible. C’était complètement mouillé. Et il était vraiment dans un – dans un état horrible, il puait. Et j’ai dit : «Monsieur, puis-je vous parler?»
Et frère Berg l’a secoué. Je... Il s’est réveillé. Et frère Berg a dit : «Je suis frère Berg.» Eh bien, il ne savait rien au sujet de frère Berg. Il était toujours en état d’ivresse.
Et j’ai dit : «Je voudrais vous poser une question.» J’ai dit : «Dans quel genre de foyer avez-vous été élevé?»
Il a dit : «Voulez-vous me donner assez d’argent pour prendre un verre?»
42 Et j’ai dit : «Je suis ministre de l’Evangile. Je ne donnerais pas l’argent de Dieu à un homme pour qu’il boive.» J’ai dit : «Je...» L’argent que j’ai vient des enfants de Dieu, et ça doit être dépensé pour le Royaume de Dieu. Je vais vous dire ce que je vais faire : je vais vous acheter un sandwich; je vais vous offrir un dîner ou – si vous voulez venir avec moi. Mais je voudrais juste, en tant que ministre, vous poser une question.»
Il a dit : «Excusez-moi, Révérend.»
Et j’ai dit : «Comment en êtes-vous arrivé à ce point?»
Il a dit : «Monsieur, je doute que vous croyiez mon histoire.»
J’ai dit : «Eh bien, je vous considère comme un homme digne de foi. Je – je croirai votre histoire. Racontez-la-moi; racontez-la-moi du fond de votre coeur.»
Et il a dit : «Monsieur, a-t-il dit, j’ai été élevé dans un foyer chrétien.»
Et j’ai dit : «Pour ensuite tomber dans ceci?»
Il a dit : «Oui, monsieur.» Il a dit : «J’avais la famille la plus charmante. Trois enfants – deux garçons et une fille et – la femme la plus douce qui soit.» Et de grosses larmes ont commencé à couler sur sa vieille barbe grise. Il a dit : «C’est moi qui étais le président de cette banque là-bas, dans un certain coin.»
Et j’ai dit : «Est-ce vrai?»
Il a dit : «Allez à cette banque et demandez-le-leur.»
Et il... J’ai dit : «Eh bien, qu’est-ce qui vous a amené à faire ceci?»
Il a dit : «Monsieur, monsieur le Révérend, a-t-il dit, un soir je suis rentré à la maison et il y avait une lettre de rupture posée sur la table. Ma femme m’avait quitté.» Il a dit : «Et je – je n’avais jamais bu, mais je me suis dit : ‘Je dois faire quelque chose, sinon je prendrai un pistolet et je me ferai sauter la cervelle.’ Et j’ai commencé à boire, et voilà ce que je suis devenu.» Je me suis dit : «Ô Dieu, aie pitié !» Voyez?
«Dès ce moment...» C’est ce qui avait engendré cela. Il y a toujours un moment qu’on peut se rappeler.
43 Puis comme un jeune couple qui se marie. Oh ! ils s’aiment autant que possible. La première chose, vous savez, je pourrais aller auprès de cette femme qui a quitté son foyer et dire : «Madame, pourquoi avez-vous quitté votre foyer? Vous aviez un bon mari.»
«Oh ! me dirait-elle.» Elle dirait : «Frère Branham, je – je – j’étais aussi pure que la rosée du ciel. Je me suis mariée avec mon mari et je suis venue vers lui étant une femme vertueuse. Et il était un grand homme. Il travaillait, peinait et prenait soin de moi, et les enfants étaient... Mon petit garçon potelé, quand il était né, je peux encore voir mon mari porter le petit garçon sur son dos – le portant sur le dos et parcourant le plancher. Et, oh ! si seulement je pouvais revivre cela!»
Je dirais : «Eh bien, qu’est-ce qui est arrivé?»
Elle dirait quelque chose comme ceci : «Eh bien, tout marchait bien. Et un jour, un marchand a frappé à la porte, il avait de beaux cheveux ondulés et de grands yeux bruns, et dès ce moment...» Voyez? C’est ainsi que ça commence; cela marque un temps. C’est juste ça le point de départ de la chose. Ne pensez jamais que le péché est toujours dans la rue, dans des égouts; le péché est bien habillé et il est beau. Certainement. J’ai toujours dit que Satan porte un smoking et un chapeau en tuyau de poêle, et il tient une canne à la main. Observez ce voyou tiré à quatre épingles. C’est exactement... Satan n’est pas un idiot, vous savez. Il – il – il sait bien s’habiller; il en a l’habitude. Voyez?
44 Et puis, ce n’est pas toujours le vieux Charley Barleycorn là-bas avec son chapeau rabattu; parfois, c’est un homme au coeur vraiment sincère. S’il avait un – un bon départ ou quelque chose pour l’aider tout du long, il évoluerait bien; mais ce n’est pas toujours le cas. J’ai vu plusieurs fois, et je me suis promené avec des gens qui étaient en lambeaux au possible. Et je les ai regardés... (Et Dieu m’a donné un moyen pour savoir qui m’aime et qui ne m’aime pas. Et vous savez cela.)
Ainsi, de voir un homme tout sale et tout; je préférerais l’avoir souvent à mes côtés plutôt que d’avoir un homme bien habillé ayant peut-être le col retourné, qui va me tapoter dans le dos et dire : «Oh ! Frère Branham, nous sommes pour toi.» Et de savoir là même qu’il est en train de mentir. Voyez, voyez? C’est ça. Je n’ai que faire d’un menteur. Oh! la la !.. Vous pouvez échapper à un voleur, mais pas à un menteur. Ainsi, ce – ce...
45 Mais quand nous en arrivons à ces points-là : «Dès ce moment...» Alors, le jour du Nouvel An vient. Vous sortez tous et vous mettez une résolution par écrit: «Ce soir, ma femme, je vais te faire une promesse. Je vais tourner une nouvelle page. Et je – je ne boirai plus jamais.»
Et la femme a tellement fumé des cigarettes qu’elle ne peut plus allaiter son bébé de peur de lui transmettre le poison, de la nicotine, et de le tuer; et elle va arrêter de fumer le jour du Nouvel An. L’ivrogne va arrêter de boire le jour du Nouvel An; la personne immorale va arrêter son immoralité le jour du Nouvel An; et tout comme cela. Que faites-vous? Juste tourner une page et la ramener le lendemain. Voyez; vous... Cela... Vous ne prenez pas un bon départ. Toutes ces choses sont bonnes; je n’ai rien contre elles. Mais cela...
46 C’est juste comme dans le monde – après la Première Guerre mondiale... Beaucoup d’entre vous les gens d’âge moyen et les gens qui ont à peu près mon âge... Je pense que j’avais huit ou neuf ans quand la guerre était terminée. Et je me souviens quand elle – ils ont déclaré la guerre, en 1914, j’étais un petit garçon, j’étais assis sur un léger wagon à ressort. Mon père avait un sac de haricots; c’est de ça qu’on vivait – des haricots avec du pain de maïs; j’aime toujours ça. Et ainsi, ils... Papa parlait de la guerre et peut-être qu’il devait aussi aller à la guerre.
J’ai dit : «Si ces...?... ces gens te poursuivent, je prendrai ce sac de haricots et les frapperai avec.» Et ainsi, là, c’est quand j’étais très jeune.
Et puis, je me souviens que quand il m’a acheté ma première paire de chaussures, il – il a dit que lui et maman iraient les choisir. J’étais pieds nus. Vous savez, les petits garçons là dans les montagnes où j’ai été élevé n’avaient que ce qu’on appelle le vieux hickory – quelque chose comme un petit tablier ou une petite chemise quand on était des gosses. J’ai porté cela jusqu’à l’âge de six ans environ, je pense. Et ma première paire de chaussures avait une languette avec des trous.
Et chaque fois qu’une écharde s’enfonçait dans ma main, je courais vers ma mère et elle enlevait cela comme ça. Et je me disais que ces petits trous dans mes chaussures, c’était par-là qu’on prenait ces aiguilles et qu’on les tirait, parce que ma mère avait dit qu’elle irait me «tirer» une paire de chaussures. Je pensais qu’elle les faisait avec une aiguille. Ainsi...
47 Mais après la guerre mondiale, je me souviens qu’un message a été diffusé: «Nous n’aurons plus jamais de guerre. La guerre est terminée.» C’était de bonnes intentions; ces gens étaient sincères. Et alors, ils ont créé ce que nous connaissons sous le nom de la Société des Nations, ils ont pris beaucoup d’hommes (des soldats de chaque nation pour faire la police du monde entier.) C’était de bonnes intentions, mais cela n’a pas marché parce que ce n’était pas le programme de Dieu. A présent, on a ce qu’on appelle l’ONU [L’organisation des Nations Unies – N.D.T.], et c’est ce qui se passe au sein de l’ONU, les gens ont les fusils braqués presque les uns sur les autres. Cela ne marchera pas.
Mais il y a Quelque Chose qui, une fois que vous L’avez rencontré, tout change alors. C’est quand vous rencontrez Dieu, et dès ce moment, vous êtes une personne changée. Un homme peut rencontrer Dieu et dire : «Dès ce moment...» Vous ne serez plus jamais le même après avoir rencontré Jésus-Christ. Laissez-moi vous le rassurer : vous ne serez plus jamais, plus jamais le même après avoir rencontré Jésus. Alors, vous vous y référerez toujours : «Dès ce moment...»
48 Interviewons ce soir certaines personnes qui ont rencontré Dieu. Pensons au père Abraham. Il n’était qu’un homme ordinaire. Il est venu avec son père de Babylone et a demeuré dans les vallées de Shinear, dans la ville de – d’Ur, au pays des chaldéens. Il n’était spécial en rien; il n’était pas un saint. Il était juste un homme ordinaire comme vous et moi.
Et un jour... Il était peut-être un fermier qui cultivait là dans le champ, et – ou quelque chose comme cela, et un jour, il a rencontré Dieu. Il n’avait pas plus de foi que tout autre homme, mais quand il a rencontré Dieu à l’âge de soixante-quinze ans, cela a changé tout son être. En effet, il avait rencontré Dieu. Dieu lui a dit... alors qu’il avait soixante-quinze ans, et il avait épousé sa demi-soeur Saraï qui, à ce moment-là, avait soixante-cinq ans. Et Dieu a dit à Abraham qu’il allait avoir un enfant par Saraï.
49 Maintenant, cela aurait pu être... Si quelqu’un était venu lui parler ( un des associés), disant : «Abraham, tu auras un enfant par Saraï, et elle donnera naissance à un enfant et tu...»
Abraham aurait ri et se serait tenu les côtés et aurait dit : «Moi, un vieil homme comme moi? Et ma femme, ça fait trente ans que – ou vingt ans depuis qu’elle a eu la ménopause? Et j’ai vécu avec elle depuis qu’elle avait dix-sept ans; elle est stérile et je suis stérile. Et comment allons-nous donc avoir un enfant alors que moi, j’ai soixante-quinze ans et elle soixante-cinq?» Il aurait ri au nez de son ami. Mais il avait rencontré Dieu. Et dès ce moment, il appelait toute chose contraire à cela comme n’existant pas. Amen. Il avait rencontré Dieu.
50 Si jamais un malade peut rencontrer Dieu, peu importe à quel point il peut être estropié, à quel point il peut être malade, à quel point il peut être aveugle, si vous avez rencontré Dieu, il y a quelque chose qui s’est ancré en vous et vous ne voyez plus ces circonstances. Vous considérez ce que Dieu a dit. Si jamais Dieu peut– peut nous amener à surmonter complètement les soucis de la vie, qui sont là au fond de notre coeur, et y insuffler la foi, il n’y a rien au monde qui puisse une fois vous ébranler et vous éloigner de cela. Quand un homme rencontre Dieu, dès ce moment-là, il est une personne changée.
A l’âge de cent ans, Abraham appelait toujours ce qui était contraire à cela comme inexistant. L’évidence devenait de plus en plus grande alors que cela s’accumulait contre lui. Sara avait quatre-vingt-dix ans et lui cent ans. Il rendait toujours gloire à Dieu, il était fort, il ne doutait pas par incrédulité, mais il rendait gloire à Dieu chaque jour de ce qu’il aurait un enfant. Pourquoi? Dieu l’avait rencontré; Dieu était miséricordieux. Dieu lui avait confirmé l’alliance.
51 Aurons-nous le temps d’examiner cette confirmation au chapitre 16 de la Genèse? Ou pourrions-nous aussi examiner le chapitre 17,quand Il l’a rencontré sous le Nom du Dieu Tout- Puissant, ce qui signifie El-Shaddai, cela signifie le – en hébreu «Les seins d’une femme» ; El-Shaddai : «Celui qui est fort, Celui qui satisfait, Celui qui nourrit.»
Qu’il était vieux! un homme de cent ans, et Dieu l’a rencontré et lui a dit : «Je suis El-Shaddai.»
Eh bien «Shad» signifie «le sein d’une femme», mais «Shaddai» signifie «porteur des seins» au pluriel. Eh bien, il n’est pas seulement un Dieu porteur d’un seul «sein», Il est un Dieu porteur «des seins».«Il a été blessé pour nos péchés, par Ses meurtrissures nous sommes guéris.» Si vous avez besoin du salut, accrochez-vous, tétez à ce sein de Dieu, Sa Parole, Sa promesse. Vous sortirez de ces ornières du péché et d’immoralité pour devenir une personne sainte et pieuse. Si vous êtes malade, «Par Ses meurtrissures, vous êtes guéri.» Emparez-vous simplement de cette promesse de Dieu et tétez.
52 Que doit faire l’enfant? L’enfant... Nous sommes les enfants de Dieu. Je voudrais que vous saisissiez ceci, soeurs, vous toutes là-bas. Nous sommes les enfants de Dieu. Et que fait l’enfant quand il est malade et agité? Il est vraiment agité et malade. Eh bien, tout ce que vous avez à faire... La seule chose qui va le calmer, c’est que la mère le prenne, le porte à son sein et l’allaite. Maintenant, que fait la mère? La mère produit le lait, et l’enfant (quand il est allaité ) tire la force de la mère pour lui en tétant. Alors, l’enfant est fortifié par la force de la mère. Et quand nous nous emparons de la promesse de Dieu dans notre coeur, nous tirons la force de Dieu en tétant Celui qui est fort. Nous tétons...?...
Et pensez à un petit enfant qui est appuyé sur la mère – sur le sein de sa mère, il va... Il cesse de s’agiter. Et aussitôt qu’il s’empare du sein de sa mère, il cesse de s’agiter. Il ne s’agite plus; il est satisfait. Il arrête de s’agiter. Alors, quand nous nous emparons de la promesse de Dieu, quand Il nous la révèle : «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. Que celui qui veut vienne.» J’ai gardé Son espérance, alors je suis satisfait, comme je tire ma force en tétant auprès de Jéhovah, le Dieu Tout- Puissant, Celui qui donne la force.
53 Quel encouragement pour un vieil homme de cent ans, pratiquement mort, et le sein de Sara déjà fermé, car elle était née stérile. Et quel message : «Je suis Celui qui te donne la force, Je suis El-Shaddai. Tu as cent ans, mais pour Moi, tu n’es qu’un bébé. Couche-toi ici dans Mes bras et empare-toi de Ma promesse; et ne t’éloigne jamais d’une telle promesse. Que peux-tu donc faire? Que la barbe blanchisse, que les cheveux grisonnent, tu peux toujours téter et être convaincu que Je tiendrai Ma Parole.»
Le médecin peut dire : «Votre état ne fait qu’empirer.» Cela ne change rien pour vous, vous tétez toujours au – au sein de El-Shaddai. «Ô Dieu, Tu as dit cela dans mon coeur; Tu m’as donné la promesse. Tous les démons de l’enfer ne peuvent pas me l’arracher. Je suis convaincu que je serai guéri. Je tète El-Shaddai.» Amen. Je vous assure, frère, cela ôte le bréchet et met à la place la colonne vertébrale (certainement), quand vous vous emparez de Dieu.
54 Quand Abraham... Quand Il confirmait la promesse, observez qu’Il a dit : «Prends-moi une gerbe – une brebis, un bélier; donne-moi un bélier, donne-moi aussi une génisse de trois ans. Et prends ce...» Et il les a coupés par le milieu, les a posés côte à côte. Il a dit : «Prends une tourterelle et un jeune pigeon.»
Mais avez-vous remarqué... J’aurais souhaité que nous ayons le temps d’entrer dedans. Je surveille cette horloge. Et je suis... Je ne vais pas m’écarter de mon sujet, mais Abraham a pris...
Il a dit : «Prends les deux... ou la tourterelle et le pigeon.»
55 Eh bien, la tourterelle a toujours été... représentait ou était utilisée comme sacrifice expiatoire pour la maladie. Vous voyez, les colombes n’étaient pas coupées en deux; les autres étaient coupés en deux parce qu’avec l’Evangile la – l’alliance était changée de la loi à la grâce, mais la guérison divine est toujours restée la même. Pour guérir la lèpre, on prenait un pigeon ou une colombe et on lui coupait la tête, et on versait son sang sur l’autre, et ce dernier était relâché pour la purification de la lèpre, il faisait l’aspersion en criant : «Saint.»
Maintenant, à ce propos remarquez ceci. Les colombes n’étaient pas coupées en deux. Maintenant, observez le symbole. Oh! la la! J’espère que vous saisissez ceci. Sur... Quand Dieu... Abraham chassait tous ces oiseaux de proie loin de cela, les oiseaux du ciel, jusqu’à ce que cela – le soleil a commencé à se coucher. Et quand le soleil s’est couché, cela signifie qu’il n’y aura plus de temps. Et là, un profond sommeil est tombé sur Abraham, comme cela arrive à chaque mortel né sur cette terre : Nous entrons dans le sommeil de la mort. En fait, vous ne mourrez pas; vous vous en allez simplement et vous changez de demeure.
56 Eh bien, Abraham est tombé dans un profond sommeil et il a regardé, et devant lui est passée, un – une fournaise fumante. Chaque pécheur qui meurt et chaque homme qui est né dans ce monde vient par la naissance sexuelle; il est sujet à la mort. Nous avons tous péché et nous sommes privés de la gloire de Dieu, et chaque homme né dans ce monde est un pécheur. Peu m’importe combien vos parents étaient saints, vous êtes venu dans ce monde de la même façon que n’importe qui d’autre, étant un pécheur. Nous sommes... Vous êtes un pécheur. «Nous sommes nés dans le péché, conçus dans l’iniquité, venus au monde en proférant des mensonges», dit la Parole. Vous êtes – vous êtes – vous êtes vaincu dès le départ.
Et alors, chaque mortel qui meurt a pour lieu de repos l’enfer. C’est tout ce qu’il reçoit comme repos; cela est passé devant Abraham. Remarquez, au-delà de cela, après la mort vient l’enfer, mais au-delà de l’enfer apparaît une petite Lumière blanche. Oh! la la! béni soit le Nom du Seigneur. Cette petite Lumière blanche est passée d’un bout à l’autre entre ces sacrifices.
Il a dit : «Tu vois ce que Je vais faire, Abraham?» Il confirmait l’alliance qu’Il avait conclue avec Abraham. Eh bien, peut-être que je vais expliquer cela rapidement.
57 Eh bien, aujourd’hui nous les Américains, comment procédons-nous quand nous concluons une alliance? Nous allons et nous traitons une affaire; la première chose, vous savez, je vais tendre la main et saisir la main de mon partenaire et dire : «Tope là.»
C’est ainsi que nous concluons un accord. «Félicitations. Serre-moi la main. Nous avons conclu cela; c’est en ordre; nous allons nous entendre sur base de cela.» C’est ça un accord. Eh bien, au Japon... Savez-vous comment ils concluent un accord là-bas? Ils en parlent et ensuite, ils prennent une petite sous-tasse pleine de sel et ils se jettent du sel l’un sur l’autre. C’est ça un accord au Japon.
58 Mais au temps d’Abraham, en Orient, la manière dont ils concluaient un accord, ils prenaient une bête, par exemple une brebis ou quelque chose de ce genre, ils la tuaient et la divisaient en deux; et chacun passait entre ces deux morceaux de la bête. Eh bien, voyez-vous ce que la petite lumière blanche faisait? Et ils mettaient par écrit cette alliance : «Je suis pleinement d’accord de faire telle chose et telle autre chose.»
Maintenant, quand ils concluaient cette alliance entre eux, ils disaient : «Si nous brisons cette alliance... Si nous brisons cette alliance que nos corps soient comme cette bête morte au-dessus de laquelle nous concluons cela.» Alors, ils prenaient l’alliance et la déchiraient en deux comme cela, l’un en prenait une partie et l’autre une autre. On ne pouvait jamais reproduire cela.
Vous ne pouvez jamais reproduire ce morceau de papier, peu importe ce que vous faites. Cela doit être ramené et s’ajuster, les parties des écrits qui ont été séparés. Vous ne serrez jamais capable de le faire. L’un emporte une partie et l’autre une autre. Et quand cette alliance est confirmée et amenée – l’alliance est confirmée, alors ils rassemblent ces deux morceaux, et ça correspond morceau par morceau.
59 Eh bien, qu’était cette alliance à l’orientale que Dieu donnait à Abraham? C’était qu’à travers la semence d’Abraham viendrait le Seigneur Jésus, Celui qui est béni. Dieu L’a amené là au Calvaire et Il L’a déchiré, Il a séparé Son âme d’avec Son Corps. Et Son Corps, Dieu L’a ressuscité le troisième jour, et Il L’a pris et L’a fait asseoir à Sa droite. Et le jour de la Pentecôte, Il a renvoyé l’Esprit qui était en Jésus-Christ, l’alliance avec l’Eglise.
Et quand l’Eglise s’assemblera à la résurrection, le même Esprit qui était en Jésus-Christ, qui avait été retiré de Lui devra être dans l’Eglise. Vous ne pouvez pas copier quelque chose de pareil; vous ne pouvez pas faire quelque chose qui soit différent de cela. Ça doit être le même Saint-Esprit qui a habité en Christ. Et quand l’enlèvement aura lieu, quand ce Corps viendra, Son Epouse qui a été tirée de Lui, ou plutôt le Saint-Esprit amènera cette Epouse à s’ajuster parfaitement au Corps de Jésus-Christ.
Et pouvez-vous voir depuis le temps de Luther jusqu’à celui de Wesley, des pentecôtistes, et maintenant au temps de la fin, quelle forme cet Esprit est en train de prendre? Les mêmes miracles et prodiges qu’Il accomplissait sur la terre sont produits dans l’Eglise aujourd’hui. C’est cette alliance que Dieu a conclue avec Abraham, et nous sommes les enfants d’Abraham. «Etant morts en Christ, nous revêtons la nature de la semence d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse.» Dès ce moment, l’Eglise avait une alliance. Oui, c’était différent.
60 Eh bien, quand Moïse – un prophète en fuite, là derrière le désert... Cet homme était né pour être prophète. Et c’était un grand homme; il avait étudié l’art militaire. Mais il a essayé d’accomplir cela avec tout son intellectualisme. Eh bien, il était très intelligent, capable d’enseigner ces enseignants égyptiens. Il était un homme intelligent. Eh bien, là derrière le désert, qu’a-t-il dit? «J’ai failli, c’est pourquoi mon peuple est toujours dans l’esclavage. Je ferais peut-être mieux d’étudier un petit peu mes mathématiques ou mes stratégies, ou mes stratégies militaires, ou quelque chose d’autre. J’irai là-bas étudier encore pendant deux ans, et peut-être que je serais capable de délivrer mon peuple. »
61 C’était juste par son intelligence qu’il faisait cela comme on le ferait en envoyant un homme apprendre à être prédicateur. Dieu appelle des hommes qui ne savent pas distinguer les grains de haricot des grains de café fendus. Qu’est-ce que ça change? S’il connaît Christ, c’est ça l’essentiel. Si jamais vous Le connaissez...
Je préférerais que l’un de mes enfants soit avec quelqu’un là dans un – dans un champ d’armoise, quelque part là, sur une vieille souche, quelqu’un qui ne connaît même pas son abc ou ne sait pas distinguer sa main gauche de sa main droite. S’il connaît Jésus-Christ, je préférerais l’avoir à côté de mon fils au lieu d’un professeur qui connaît beaucoup de théologie et qui ne connaît pas plus au sujet de Dieu qu’un lapin au sujet de raquettes. Je voudrais... Je vous assure, frère, ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est d’un retour à la Bible et du retour dans l’Eglise du baptême du Saint-Esprit à l’ancienne mode, et d’enlever beaucoup de ces autres histoires.
Je ne cherche pas à soutenir l’ignorance. Je veux dire que si vous avez de l’instruction plus cela, amen. Mais l’alliance intellectuelle va tomber l’un de ces jours, mais l’alliance avec Dieu va durer pour toujours et toujours. Cela continuera à travers des siècles et des siècles jusque dans l’éternité.
62 Maintenant, Moïse... Il n’avait rien à perfectionner; tout ce qu’il avait à faire, c’était de rencontrer Dieu. Et un jour, Dieu est descendu et est allé là dans un buisson, et Il a dit : «Viens ici, Moïse. Je veux te parler.» Vous savez, c’est quelque chose d’étrange. Moïse pouvait dire : «Dès ce moment, quelque chose est arrivé.»
Observez-le. Il s’était installé là derrière la montagne – au pied de la montagne. Et alors, il a épousé une belle éthiopienne; et elle était jolie, et elle avait un petit garçon appelé Guerschom. Et oh ! tout allait bien pour lui. Il a épousé Séphora, la fille de Jéthro, le sacrificateur – le sacrificateur de Madian, et ils – ils s’entendaient bien, ils avaient une belle petite famille, et il avait beaucoup de brebis. Tout allait bien pour lui, ainsi, il a laissé le peuple continuer comme à l’accoutumée. Mais quand Dieu l’a rencontré, Il l’a changé. Regardez-le là, ce grand berger, là, mais le matin...
63 Vous savez, certaines choses... La vérité là-dessus, c’est que quand un homme rencontre Dieu, vous pouvez toujours le savoir. Il fera les choses les plus ridicules par rapport à ce qu’il faisait d’habitude. Observez Moïse.
Maintenant, Moïse le lendemain matin après qu’il eut rencontré Dieu dans le buisson ardent et que Dieu lui avait dit de descendre en Egypte, il a dit : «Montre d’abord Ta gloire.» Et Il lui a montré la guérison divine, comment Il a pu guérir sa main qui avait la lèpre. Et il est descendu en Egypte.
Maintenant regardez, le lendemain matin, le voilà en route. Eh bien, il avait quatre-vingts ans. Vous savez, il avait fallu quarante ans pour lui inculquer la théologie; il a fallu quarante ans pour que Dieu fasse sortir cela de lui (c’est vrai), pour ôter cela de lui, ce que le monde lui avait inculqué. Mais Dieu peut faire cela pour vous en quarante secondes, si seulement vous Le laissez le faire. Mais alors...
64 Eh bien, le lendemain matin, il était là. Un jour, un fin érudit, ayant toute la sagesse des Egyptiens, et le lendemain matin, regardez cet érudit. Il a fait asseoir sa femme à califourchon sur un mulet; elle a porté le petit enfant à sa hanche. Et il avait là une très longue ...?... Il avait une barbe comme ça, une tête chauve qui brillait, un bâton à la main, descendant là, clopinant : «Gloire, gloire...?...»
– Où vas-tu, Moïse?
– Que dis-tu? Hein?
– Où vas-tu?
– Je descends en Egypte pour envahir.
Un homme avec un enfant... Toutefois il l’a fait. Il l’a fait. Pourquoi? Il avait rencontré Dieu. Et quand la situation était devenue plus dure, et que le – et que tout allait mal, il s’est souvenu qu’il avait rencontré Dieu dans ce buisson ardent. Cela brûlait dans son coeur, peu importe combien les Egyptiens étaient devenus méchants, à quel point ils étaient déterminés à ne pas laisser partir les enfants, combien de fois ils avaient commis des offenses dans le désert et ont dit : «Nous voulons que Dieu...»... qu’ils voulurent le lapider et...
[Espace vide sur la bande – N.D.E.] Je crois que cela ne l’a pas du tout dérangé, il a poursuivi son chemin vers la Terre promise, car il avait rencontré Dieu dans le buisson ardent. Oui, oui.
65 Il y a eu la petite vierge Marie, elle n’était qu’une jeune fille ordinaire, dans une ville pire que celle-ci. Mais néanmoins, elle ne fumait ni ne buvait; elle était vierge. Et elle... Un jour, elle était sur son chemin avec un – probablement un petit seau sous le bras, descendant au puits public pour puiser – puiser de l’eau, la provision journalière d’eau.
Représentons-nous la jeune fille longeant la route – marchant, monologuant, ou chantant seule, peut-être un bon cantique : «L’Eternel est mon Berger; je ne manquerai de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages; Il restaure mon âme.»
66 [Espace vide sur la bande – N.D.E.] c’était une cruche en ce jour-là, plutôt qu’un seau. Tout à coup, la grande Colonne de Feu est descendue devant elle. De ce Feu est sorti Gabriel, l’Archange. Il a dit : «Je te salue, Marie. (Cela veut dire : Stop. Attends une minute) Stop, Marie. Tu es bénie d’entre toutes les femmes. Tu as trouvé grâce devant Dieu, et tu auras un enfant sans connaître d’homme.»
Elle a dit : «Comment cela se fera-t-il?» Il a dit : «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre. Et le Saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé le Fils de Dieu.» Amen.
A partir de ce moment, Marie était une femme différente. Cette petite vierge timide allait partout, témoignant : «J’aurais un enfant sans connaître d’homme.»
67 Elle n’a pas attendu jusqu’à ce qu’elle soit sûre; elle n’a pas attendu jusqu’à ce qu’elle sente la vie; elle n’a pas attendu... de sûr... La Parole de l’Ange suffisait pour elle. Elle avait rencontré Dieu. Maintenant, cela... Si vous pouvez faire cela maintenant, si nous avions davantage de Marie ici ce soir... Si nous avions des Marie qui ne diraient pas : «Attendez jusqu’à ce que je... Voyons si je constate l’absence de... un peu mieux avant de dire quoi que ce soit.» Avant de sentir quoi que ce soit, elle a juste pris Dieu au Mot et a commencé à Le louer pour cela, Oh! la la! Suivons-la pendant quelques minutes. Voyons-la, très rapidement.
Elle avait une – une cousine appelée Elisabeth. Et Elisabeth... L’Ange lui a parlé, disant : « Ta cousine, Elisabeth est vieille...» Zacharie était un sacrificateur, et l’Ange l’a rencontré au temple, il se tenait du côté de l’autel, Il lui a dit qu’il allait avoir un fils par Elisabeth. Et celle-ci allait concevoir après son temps de service au temple. Et elle...
68 Eh bien, il a douté. Ce... Juste...?... pensant, ce vieux sacrificateur qui avait beaucoup d’exemples, telles que Anne au temple, et – et Sara (nous venons d’en parler) qui étaient vieilles et avaient eu des enfants, a dit : «Oh ! c’est impossible. Ma femme est trop vieille.»
Il a dit : «Je suis Gabriel, je viens de la part de Dieu. Tu seras muet jusqu’au jour de la naissance de cet enfant. Tu l’appelleras Jean.»
Et il devint muet. Et il est allé vers sa femme. Elle a conçu, et elle était à son sixième mois avec un bébé sans vie, et elle était très inquiète. Ainsi, Marie avait entendu parler de cela. Ainsi, je vois ces petites joues toutes rouges, alors qu’elle s’avance, heureuse au possible – ne sentant encore rien.
Jésus n’a jamais dit : «Avez-vous senti cela?» Il a dit : «Croyez-vous cela?» Il vous faut croire cela. Au moment où vous croyez...
69 «Combien précieuse cette grâce parut au moment où je l’ai sentie au début.» Cela ne sonne pas juste, n’est-ce pas? Au moment où je venais de croire. Quand j’ai cru en Dieu...» C’est comme ça que cela a été précieux. Oh! Dieu se manifeste soir après soir dans les réunions et accomplit de grands miracles et prodiges; oh! cela devrait secouer nos coeurs. Certainement. «Combien précieuse parut cette foi – la grâce au moment où j’ai cru.»
Voilà partir Marie – ces petites joues toutes roses, ces petits yeux étincelants, brillants, elle a ceint son petit corps et a gravi les collines de Judée jusque là où sa – sa cousine habitait. Et je peux voir Sara...
70 J’ai vu des femmes là dans la rue... Pendant que je prenais mon dîner aujourd’hui, je – je ... On m’aurait chassé du restaurant, si je n’avais pas le dos tourné. Une femme est entrée là – elle pouvait accoucher à n’importe quel moment – en ce petit short bizarre, une très grosse histoire, oh ! et elle fumait une cigarette. Et le médecin dit que c’est une de ces choses qui tuent le plus. Ecoutez, frère, c’est un sabotage. Ça l’est certainement. Et le médecin met en garde contre le cancer de la gorge et des poumons, et en fumant, cela va directement jusque là où se trouve le bébé d’une façon ou d’une autre. Mais cela...
Mais les femmes étaient différentes en ce jour-là. Elle est allée se cacher, elle s’est dérobée aux regards des hommes, elle est allée se cacher. Et elle était là depuis – depuis six mois; le petit Jean n’avait jamais bougé. Il s’était développé dans le ventre de sa mère. Nous savons que c’est tout à fait anormal.
71 Alors, il se peut qu’elle a tiré la fenêtre et a regardé dehors comme ceci, les rideaux, et elle a vu une belle femme, d’environ dix-huit ans venir. Elle a encore regardé.
«Oh ! fit-elle, c’est Marie, oh! la la!» Et elle a pris son petit châle, et s’en est enroulée et elle est très vite sortie en courant.
Et son mari était muet en ce temps-là; il ne pouvait pas parler. Elle est sortie en courant et a pris ce – elle a pris ce petit châle, s’en est enroulée, puis est sortie en courant. Elle était assise là derrière, tricotant de petits chaussons et autres, vous savez, se préparant. Vous savez, de petites couvertures et de petits ouvrages d’aiguille. Et alors, elle est sortie en courant et elle a dit : «Oh! Marie!»
72 En ce temps-là, vous savez, ils s’embrassaient les uns les autres; ils s’aimaient les uns les autres. Mais aujourd’hui, on ne voit plus cela.
J’étais parti en ville. (Ma femme n’est pas ici ce soir. J’ai déjà dit cela pendant qu’elle était là.) Eh bien, je suis allé en ville, il n’y a pas longtemps, et une soeur a dit : «Bonjour, Soeur Branham.»
J’ai dit : «Tu ne lui as pas parlé.»
Elle a dit : «Si, je l’ai fait.»
«Eh bien, ai-je dit, comment t’a-t-elle entendue là dans la rue, alors que moi qui suis juste à côté de toi, je ne t’ai pas entendue?»
«Oh! a-t-elle dit, j’ai souri.»
J’ai dit : «Un pauvre petit sourire vague, cela ne veut rien dire. Miséricorde! Pourquoi n’as-tu pas parlé à la soeur?»
73 Je déteste voir cette histoire. Il y a quelque temps, j’étais là en Floride, et il y avait une – une... Nous tenions une réunion là-bas dans une sorte de concession appartenant à une Duchesse. Et ils ont dit... l’un des organisateurs est venu et a dit : «La Duchesse voudrait vous voir.»
J’ai dit : «Eh bien, qui est-elle?»
Et il a dit : «Eh bien, elle – c’est une grande dame ici. C’est une Duchesse.»
J’ai dit : «Eh bien, ce... Elle n’est qu’une femme, n’est-ce pas?»
Il a dit : «Oui.»
Alors j’ai dit : «Eh bien, maintenant si vous voulez me donner du temps pour lui parler, qu’en sera-t-il de ces pauvres gens malades ici qui ont plus besoin de cela?» Voyez? Et j’ai dit : «Qu’en est-il de leur temps?» Voyez?
«Oh ! a-t-il dit, mais elle – elle va...» « Je vais la recevoir là derrière l’estrade.»
74 Et je suis parti. Elle se tenait là avec dans sa main une paire des lunettes montées sur un petit bâton, elle les tenait comme ça. Eh bien, tout homme raisonnable sait que vous ne pouvez pas voir à travers – à travers des lunettes juste en les tenant comme ça. Une très grosse femme ayant aux poignets assez de bijoux pour supporter cinq voyages d’un missionnaire au tour du monde... Oui oui. Cela pendait à...
Et elle a dit : «Est-ce vous, Docteur Branham?»
J’ai dit : «Non, madame; non.» J’ai dit : «Je suis frère Branham.»
«Oh! dit-elle, enchantée.» Et elle avait soulevé sa grosse main comme ceci.
Maintenant, j’ai saisi cet... J’ai tendu la main et je l’ai saisie par cette grosse main dodue et j’ai rabaissé celle-ci. J’ai dit : «Je suis enchanté de faire votre connaissance.» J’ai dit : «Baissez-la pour que je vous reconnaisse la prochaine fois que je vous verrai.» Voyez?
C’est vrai. J’aime une bonne poignée de main vigoureuse à l’ancienne mode. Je – je – j’aime que les gens soient juste ce qu’ils sont. Nous faisons beaucoup d’épate à l’américaine, comme nous l’appelons. Nous sommes des chrétiens. Vivons comme des chrétiens et soyons des hommes et des femmes, des soldats de la croix. Tout ce non-sens, ça sera... Oh! j’aime cette bonne poignée de main qui communique la chaleur.
75 Paul Rader a dit une fois, il avait laissé sa femme juste assise à table, et ils avaient eu une petite dispute au sujet d’un endroit où il voulait l’emmener. Le grand Paul Rader, vous le connaissez, un cher ami à moi. Il a dit... Il – il s’est un peu fâché, alors il – il est allé à la porte et d’habitude sa femme l’attendait là pour lui dire au revoir en l’embrassant. Et il avançait vers les marches pour sortir, il allait jusqu’à la dernière marche, et il lui faisait au revoir de la main comme ça, et s’en allait au travail.
Il a dit qu’ils avaient eu une petite prise de bec à table sur quelque chose. Et elle s’est tenue à la porte, il a dit qu’il s’était avancé [Frère Branham produit le son d’un baiser. – N.D.E.] «Au revoir.»
Elle a dit : «Au revoir.»
Il est sorti et s’est dirigé vers ...?... Et il s’est retourné à la grille et lui a fait signe de la main, et il a dit qu’elle se tenait à la porte, en train de pleurer. Il a dit: «Au revoir.»
Et elle a dit : «Au revoir.»
Il est descendu dans la rue et, il a dit que cela a commencé à lui faire mal au coeur (le Saint-Esprit l’a saisi, vous savez.), cela a commencé à lui faire mal au coeur. Et il a dit : «Oh! qu’en serait-il si elle mourait pendant que je serai parti? Qu’en serait-il si elle tombait morte? Qu’en serait-il si je mourais? Qu’en serait-il si je me faisais tamponner dans la rue ici à Fort Wayne avant que je revienne? Que ferais-je?» Comme cela, parlant à ce sujet comme cela. Oh! la la! Il a dit... Il a dit : «Oh ! j’étais tellement convaincu que je ne savais plus quoi faire.» Il a dit: «Je suis très vite rentré en courant, j’ai brusquement ouvert la grille, j’ai couru et j’ai poussé la porte, et il a dit... J’ai regardé tout autour et j’ai dit : «Helen, où es-tu? Où es-tu?»
Il a dit : «J’ai entendu un [Frère Branham renifle. – N.D.E.]» Il a dit, elle se tenait debout derrière la porte. Il a dit : «Je l’ai regardée comme cela.» Il a dit: «Je n’ai pas dit un seul mot.» Il a dit : «J’ai juste tendu les mains, je l’ai saisie dans mes bras et je l’ai embrassée. Et j’ai dit : ‘[Frère Branham produit le son d’un baiser. – N.D.E.] Au revoir.’ Elle a dit : ‘Au revoir.’»
Alors, il est sorti par la grille en courant, s’est retourné et a regardé. Et il a dit : «Elle se tenait debout à la porte, et j’ai dit : ‘Au revoir.’ Et elle a dit : ‘Au revoir.’» Il a dit : «Elle a fait signe de la main juste comme la première fois, mais la seconde fois il y avait de l’émotion.» C’est juste ainsi que...
76 C’est presque pareil pour le service du Seigneur, vous savez. Vous devez y mettre votre coeur. Vous devez être sincère. Vous devez rencontrer Dieu, non pas aller à l’église et faire une confession froide et aux yeux secs; allez là et restez-y...
J’ai été élevé dans une église baptiste, vous savez cela. Et nous n’étions pas des baptistes comme vous tous baptistes qui êtes ici : s’avancer, serrer la main, donner la main d’association et inscrire son nom dans un registre et être baptisé. Nous nous agenouillions à l’autel et nous nous tapotions dans le dos jusqu’à ce que nous terminions. Nous recevions quelque chose, frère. Je veux dire que vous avez davantage besoin... Vous avez besoin des baptistes du Kentucky, de vieux missionnaires baptistes, ici. Je dis, ils... La seule différence que je vois entre eux et les pentecôtistes, c’est qu’ils n’acceptaient pas le parler en langues; c’est tout ce que je sais. Ils...
Nous entrions, nous restions là à l’autel et des mamans âgées autour de nous criaient et priaient et nous tapotaient dans le dos jusqu’à ce que quelque chose arrivait. Nous restions là jusqu’à ce que nous mourions, naissions de nouveau, et que nous devenions des nouvelles créatures en Jésus-Christ. Oui, oui. C’est vraiment dommage que nous ayons... Il nous fallait rencontrer Dieu. Quand un homme rencontre Dieu, c’est différent. C’est une... C’est une personne différente dès ce moment-là.
77 Il y eut une fois un lépreux entièrement couvert de lèpre. Et quand il a rencontré Dieu, dès ce moment-là, il n’avait plus de lèpre. Il y eut une fois une femme immorale qui alla au puits pour puiser de l’eau. Et elle vit un – un Juif qui était assis là, de l’autre côté. Et elle a fait descendre le seau; elle était tellement immorale; elle ne pouvait pas venir en même temps que les femmes respectables. On les séparait à l’époque; on ne le fait plus maintenant. Ainsi, ils... Ça, c’est la société. Ainsi, ils ont juste mis le puits... descendre le seau et s’est mis à le remonter comme cela.
Et alors, elle a entendu quelqu’un dire : «Apporte-moi à boire, femme.» Ou plutôt : «Femme, apporte-moi à boire.» (C’est comme ça qu’Il l’a dit, en effet, le verbe précède toujours l’adverbe dans cette contrée.) Mais il a dit : «Apporte-moi à boire.»
Et alors, elle a dit : «C’est inhabituel pour vous les Juifs de demander pareille chose aux Samaritains. Ce n’est pas la coutume entre nous.»
Il a dit : «Mais si tu savais à qui tu parlais, c’est toi qui Me demanderais à boire. Je Te donnerais de l’eau, et tu ne viendras pas ici pour en puiser.»
«Eh bien, a-t-elle dit, le puits est profond, et comment vas-Tu... comment vas-Tu puiser de toute façon?»
Il a dit : «L’eau que Je donne c’est la Vie, la Vie Eternelle qui bouillonne dans l’âme.»
«Eh bien, a-t-elle dit, nos – nos pères ont adoré sur cette montagne et vous, vous dites que c’est à Jérusalem...»
78 Et Il poursuivit la – avec la causerie jusqu’à ce qu’Il saisît son esprit. Quand Il a saisi son esprit, Il a dit : «Eh bien, va chercher ton mari et viens ici.»
Elle... (Rappelez-vous, elle était une femme immorale.) Il a donc dit : «Va chercher ton mari et viens ici.»
«Eh bien, a-t-elle dit, je n’ai point de mari.»
Il a dit : «Tu as dit la vérité. En effet, tu en as eu cinq et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.»
Observez cette femme. Rapidement elle avait rencontré quelque chose, la même Personne que vous rencontrez chaque soir. Cela vous changerait-il comme ce fut le cas pour elle?
Elle a dit : «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Quelle différence par rapport au sacrificateur qui disait qu’Il était Béelzébul? Elle était mieux enseignée que la moitié de prédicateurs, et pourtant elle était une prostituée.
Elle a dit : «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Maintenant nous savons... Nous les Samaritains, nous attendons la Venue du Messie; Il sera le Dieu Prophète. Il sera le Messie, et Il nous annoncera ces choses. Il fera les oeuvres de ce genre quand Il viendra.» Est-ce là le signe du Messie? C’était le cas, alors. Voyez?
Elle a dit : «Nous savons... Je sais que Tu es Prophète; je vois que Tu L’es. Nous savons que quand le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses. Mais, Toi, qui es-Tu?»
Jésus a dit : «Je Le suis, Moi qui te parle.»
79 Maintenant, je veux qu’un incroyant me montre une seule fois où Jésus a dit... Beaucoup d’incroyants disent : «Jésus n’a jamais déclaré être le Fils de Dieu.» Il l’a fait là. Il a dit : «Je Le suis, Moi qui te parle.»
Et vite, elle a laissé son seau et dès ce moment... dès ce moment, elle a su que le Messie était sur la terre. Oh! la la! Si seulement nous pouvions faire la même chose ce soir! Si nous pouvons nous rendre compte qu’Il n’est pas mort. Il est vivant pour toujours; Il vit pour faire l’intercession. «Parce que Je vis, vous vivrez aussi.» Cela est ici en nous; Son Esprit est parmi nous.
Dès ce moment, les gens de cette ville ont cru en Dieu à cause du témoignage de cette femme. Jésus n’a plus jamais fait cela de nouveau là-bas. Il s’est tout simplement rendu là et l’a fait cette unique fois, et toute la Samarie a cru en Lui. Il n’a pas tenu un seul service de guérison; Il a réservé cela à Philippe. Mais dès ce moment-là, cette femme a été changée; cette ville a été transformée.
80 Une fois un vieux pécheur, il portait un vieux tablier crasseux, son frère André l’a amené devant Jésus. Et aussitôt qu’il est venu devant Jésus, Jésus a dit: «Ton nom est Simon; tu es le fils de Jonas.» Et dès ce moment... Dès ce moment, c’était un homme différent.
Philippe est allé trouver Nathanaël et l’a amené auprès de Jésus et Celui-ci a dit : «Voici un Israélite en qui il n’y a point de fraude.»
Il a dit : «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»
Il a dit : «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’avais vu.» Et dès ce moment... Dès ce moment, il était un homme changé. Tout celui qui entre en contact avec Dieu est changé.
81 Il y eut un petit Juif au nez crochu... L’église, avec les clés, avait commis une erreur grave. Les gens allaient partout, en disant : «Maintenant, rassemblons-nous tous.» (Nous verrons combien ces clés sont efficaces.) Ils sont allés là et ont dit : «Rassemblons-nous et choisissons un homme qui entrait et sortait au milieu de nous depuis le début pour prendre la place de Judas , car il est écrit dans les Ecritures : «Que sa demeure devienne déserte et qu’un autre prenne sa charge.»
Et il est écrit qu’ils ont tiré au sort, et le sort tomba sur Mathias, et il n’a rien fait du tout. Ça, c’était le choix de l’homme. Et Dieu est allé prendre un petit homme, le plus coléreux de la ville pour prendre sa place, un pauvre petit Juif.
Il a dit : «Je vais lui montrer ce que Je ferai de lui...?...»
Et il... il a vu Etienne mourir, cela l’avait secoué. Alors la chose suivante, vous savez, il était là en route. Il avait une lettre en poche, il a dit : «Je vais m’occuper de ces saints exaltés. J’ai ici même la lettre du souverain sacrificateur. Je vais descendre là à Damas et je vais les jeter en prison; je ferai tout ce que je pourrai. Je mettrai fin à ces cris et ces hurlements et toutes ces agitations, ces parlers en langues et tout. J’aurai les recommandations; je le ferai.» Il avait un petit nez crochu comme ça.
Dieu a dit : «Je vais le rencontrer juste en route et le transformer.»
Vers midi, il était à mi-chemin, la première chose qu’il a vue, c’est que cette Colonne de Feu est apparue devant lui et a dit : «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»
Il est tombé par terre. Il a dit : «Seigneur, qui est-ce que je persécute? Quel est Ton Nom?»
Il a dit : «Je suis Jésus, et il te sera dur de regimber contre les aiguillons.»
82 Et dès ce moment, il s’est débarrassé de sa lettre et est devenu l’un d’eux. Dès ce moment... Oui, cela l’a changé.
Ananias lui a imposé les mains conformément à une vision qu’il avait eue, et l’homme a recouvré la vue, il l’a amené à la rivière Damas et l’a baptisé. Il est devenu le – un saint de l’église des Gentils. Dieu...
Maintenant, regardez ici. Comment... Ce qu’il a dit... Quand Paul a été converti, peut-être que l’église a dit : «Oh! voyez ce que nous avons maintenant. Nous avons cet illustre Paul. Nous savons que cet homme a étudié sous Gamaliel; c’est l’un des plus grands docteurs du pays. Et c’est un pharisien; il est... Oh! c’est un grand homme. Nous allons le présenter comme candidat à Jérusalem et nous allons faire de lui le chef de l’église de là-bas et nous allons prendre Pierre... Evidemment, c’est lui qui a les clés; il est sans instruction. Il n’est pas capable (La Bible dit qu’il était un homme du peuple sans instruction.)... Et il a les clés, ainsi nous l’enverrons simplement là vers ces pauvres Gentils stupides. C’est – c’est auprès de ceux-là que nous allons l’envoyer aussi. En effet, il a fait beaucoup de miracles, mais ce grand intellectuel, nous le ferons venir ici auprès de ce groupe d’intellectuels.»
83 Oh! le Saint-Esprit a envoyé Paul auprès des stupides, et lui a fait oublier tout ce qu’il avait appris, et il a pris Pierre (le stupide) et l’a envoyé auprès des gens instruits. Quel était le problème? Ils avaient rencontré Dieu, et dès ce moment-là, l’intellectualisme ne comptait plus. C’est vrai. Dès ce moment-là, l’histoire avait changé. Comme Dieu fait des choses de façon contraire à ce que l’homme pense! Oh! la la! Cela... Il ne... Il fait des choses de façon si simple. Oui, Paul devint un homme changé.
Il y eut un aveugle (Nous avons prêché là-dessus l’autre soir), qui était assis à la porte, demandant l’aumône. Et il a rencontré Dieu, et dès ce moment...?... Il y eut un fou là à Gadara, qui déchirait les habits qu’il portait, il voulait habiter au cimetière. (C’est un bon endroit pour les démons.) Ainsi, il restait là et on l’enchaînait. Il était très fort. Regardez un homme...
84 Avez-vous déjà vu un fou? Eh bien, il est trois fois plus fort, ou quatre fois. Et si une âme qui est livrée au diable peut vous rendre quatre fois plus fort, que deviendrez-vous en vous abandonnant au Saint-Esprit? Combien de milliers de fois vous serez plus fort! N’ayez pas peur. Pourquoi? Il marchait au Nom du Seigneur Jésus; c’est ça l’onction. Rencontrez Dieu et voyez ce qui s’en suit.
Ce fou a couru là. Le diable a dit : «Va attraper ce pauvre petit maigrelet qui vient là, aux épaules affaissées.» Il a dit : «Va attraper ce vieux petit gars là-bas. Voyez tous ces gens-là qui L’observent.» Il a dit : «Va l’attraper.»
Le voici qui court et alors, il a rencontré Dieu. Et dès ce moment-là, il a porté des habits; il a retrouvé son bon sens. Quoi? Quand il a rencontré Dieu! Mes amis, des fois quand vous rencontrez Dieu, cela change chaque homme.
85 Juste pour un moment, je vais faire une confession maintenant. Je voudrais que vous écoutiez ceci. Ça fait 31 ans que je suis ministre. (Je termine après ce témoignage.) Je n’ai jamais eu peur de la mort depuis que je suis devenu chrétien. Mais ce qui m’effrayait ou plutôt m’inquiétait, c’était la période, au cas où je mourrais avant que Jésus vienne, je ne voulais pas devenir un – un esprit. Je – j’ai toujours eu peur de tout ce qui a l’air d’un fantôme; je – j’ai – j’ai peur de cela. Ainsi, je – je – je pensais que quand j’étais... Je – je connais ce corps. Je me disais que j’irais pour être avec le Seigneur, mais peut-être que je verrais un de mes frères. Et là, ils passeraient sous forme d’un petit nuage blanc, un esprit, l’âme de cette personne.
Je dirais : «Oh! voilà – voilà mon frère. Oh! si je pouvais simplement lui serrer la main! Il n’a pas de mains; cela a pourri là dans la tombe. Si je pouvais dire : «Salut,» mais il n’a pas... Je ne peux pas avoir... Je n’ai pas de langue; ma langue a pourri dans la tombe. Si je pouvais l’embrasser, mais je n’ai pas... Je – je suis un esprit.»
Oh! cela m’effrayait à mort. Je – je n’aimais tout simplement pas cela. Et je – je – je suis illettré, et je – je sais à peine lire, je n’ai eu qu’une instruction d’école primaire. Et alors, je me suis donc dit : «Eh bien, oh! la la! si je pouvais simplement... J’espère que je vivrai jusqu’à la Venue du Seigneur.»
86 Eh bien, je savais que quand Il reviendra, mon corps ressuscitera. Je sais que j’aurais un corps; toute la vieillesse s’en ira. Vous ne vieillirez jamais là-bas. Certainement pas. Chaque marque du péché sera ôtée, et la vieillesse est la marque du péché. Donc, tout ce qui représentait le péché sera ôté parce qu’à partir de la malédiction... Non pas que vous avez péché, mais vous faites partie de la race d’Adam, et vous – vous retournez à la poussière.
Et je me suis dit : «Si seulement je pouvais vivre assez longtemps pour voir la Venue de Jésus!»
87 J’ai dit plusieurs fois à frère Gene qui est ici présent, à frère Léo et aux autres, à frère Fred, à beaucoup de mes amis, j’ai dit : «Oh! j’espère que je vivrai assez longtemps pour voir la Venue de Jésus. En effet, quand Il viendra, je serai changé, et je n’aurai pas à être un fantôme. Je ne voudrais pas l’être. Non, non.» Je – j’ai dit : «Je serai... La mort c’est bien, mais je – j’aime serrer la main. J’aime les êtres humains. Je n’aime pas...?... des êtres humains, ainsi je – je voudrais être cela.»
Et un matin (Il y a environ cinq semaines maintenant), j’avais été à une série de réunions et j’étais revenu. J’étais fatigué, et je me suis réveillé dans la chambre vers sept heures. Et j’ai dit à ma femme : «Nous irons au Tabernacle ce matin... ou plutôt le matin.» Et elle continuait à dormir, et j’ai un peu relevé ma tête du lit et j’ai ramené mes mains comme ceci. Et j’étais simplement couché là en train de penser. J’ai dit : «Oh ! j’ai cinquante ans. Je n’ai encore rien fait pour le Seigneur. Je dois me dépêcher et faire quelque chose.» Et j’ai dit : «Ou plutôt j’ai... Je – je deviendrai vieux d’ici peu.» J’ai dit : «Je – je dois me dépêcher et faire quelque chose; je n’ai rien fait pour le Seigneur.»
Et j’ai dit : «Mais, tu sais, je détesterais vraiment... Je déteste la pensée de devoir mourir avant Sa Venue.» J’ai dit : «S’Il vient...» J’ai dit : «Je – j’ai en horreur cette pensée, s’il me faut partir, au cas où Il tarderait encore quelques années, peut-être je ne vivrai pas assez longtemps pour voir cela, il me faudra mourir et devenir un esprit.» Hum, je n’aimais pas du tout cela.
88 Et pendant que j’étais couché là, en train d’y penser, j’ai entendu quelque chose tout aussi distinctement que vous entendez ma voix, comme je vous le disais hier soir, cela a dit : «Continue à aller de l’avant.»
Eh bien, je – je... D’abord, je... Cela vient d’une telle façon, juste comme ces visions-ci : Vous le dites, et vous ne savez pas que vous l’avez dit. Vous parlez, vous dites quelque chose; vous ne savez pas que vous parlez. Quand je vois une vision devant quelqu’un, je ne sais pas ce que j’ai dit. La seule façon pour moi de le savoir, c’est d’écouter cette bande pour découvrir la chose. Voyez? Je ne sais pas ce que je dis parce que vous êtes quelque part ailleurs, à un autre endroit, peut-être à quarante ou cinquante ans dans le passé de quelqu’un ou très loin dans le futur de quelqu’un. Vous voyez? Vous ne savez pas; vous ne savez simplement pas que vous le dites.
Et je – j’ai dit : «Je continue à avancer.» Il a dit : «Continue à aller de l’avant; continue à aller de l’avant.» Il a dit : «La grande récompense est au bout du chemin.»
89 Maintenant, j’ai demandé l’autorisation aux – aux présidents et autres pour dire cela. Je crois que c’était une vision, mais si c’en était une, je n’ai jamais rien vu de pareil. J’ai des visions depuis que j’avais à peu près trois ans, peut-être que j’étais plus jeune que ça. Et je n’ai jamais vu quelque chose de pareil, jamais il ne m’est arrivé une telle expérience. Je lis un livre que ce pasteur m’a remis, sur quelqu’un d’autre qui a eu une expérience semblable. J’ai lu cela, car il y est dit que frère (Qu’était-ce? Wigglesworth? Ou plutôt...) Price – Frère Price a eu une expérience, quelque chose comme cela; je voulais avoir son livre pour voir ce qu’il en était. Je – je veux voir.
Je n’aimerais pas dire l’enlèvement parce que cela paraîtrait comme (si vous voulez) si on essayait d’imiter saint Paul. Non, je veux – veux être juste ce que je suis. Vous voyez? Juste... Je ne peux pas être saint Paul, mais je sers le même Dieu que lui. Et ainsi...
90 J’ai dit... Cela continuait à dire : «Va de l’avant.»
Et je – je – j’ai répondu et j’ai dit : «Eh bien, je vais de l’avant.» Il a dit : «La grande récompense est au bout du chemin.»
J’ai dit : «Je me rends compte...» J’ai dit : «Qui... Ça doit avoir été ma femme.» J’ai dit : «Qu’est-ce que tu as dit, chérie?»
Je l’ai secouée; j’ai dit : «Meda, qu’est-ce que tu as dit?» Elle a dit : «Hein?» Elle dormait.
Et j’ai dit : «Eh bien, ce n’était pas elle.» J’ai dit : «Peut-être que c’était le Saint-Esprit.» J’ai dit : «Bienveillant Père céleste, est-ce Toi qui parlais à Ton serviteur? Que veux-Tu que je sache?»
Rien n’a parlé. J’ai attendu un peu. J’ai encore entendu cela dire... C’était comme si j’entendais quelqu’un chanter ce cantique : Seigneur, laisse-moi voir au-delà du rideau du temps. Avez-vous déjà entendu cela? Vous le connaissez?
Seigneur, laisse-moi voir au-delà du rideau de l’ombre – des peines et des craintes;
Laisse-moi entendre le doux son des cloches du port.
Cela va éclairer mon sentier, et cela va bannir toute crainte ;
Seigneur, laisse-moi regarder au-delà du rideau du temps.
On dirait que j’entendais quelqu’un chanter cela. Je me suis dit : «Je me demande ce que c’est?» J’étais simplement tel que je suis maintenant.
Et j’ai entendu quelque chose dire : «Continue à aller de l’avant.»
J’ai dit : «Je vais aller de l’avant.»
Il a dit : «Veux-tu voir au-delà du rideau?»
J’ai dit : «Cela m’aiderait.»
Et juste alors, j’ai senti quelque chose m’arriver. Et je me suis dit : «Qu’y a-t-il ici?» Et j’ai regardé derrière, et je me suis vu étendu sur le lit.
91 Maintenant si ceci – si ceci vous achoppe, alors que Dieu me pardonne pour avoir dit cela. Voyez? Je ne l’ai jamais dit auparavant, sauf à mon église, ma propre église. Et j’ai regardé derrière... Et j’espère – par la grâce de Dieu, que vous n’allez pas me taxer de fanatique. Je – je... Si je le suis, je l’ignore. Je – je ne veux pas l’être. Vous savez? Mais je... Le Dieu du Ciel sait que ceci est la vérité, comme je tiens ma Bible sur cela, juste comme je vous l’ai dit hier soir à propos des écureuils. Ceci s’est passé tout récemment.
J’ai regardé derrière et je me suis vu et je ne bougeais pas. Et je me suis retourné, et j’ai regardé de ce côté-ci; c’était comme un petit endroit qui s’étendait comme ceci.
Et je – je – je dis ceci non pas en guise d’excuse, mais j’ai été assez dur envers les femmes. On me traite de misogyne, mais je ne le suis pas. Je – je ne le suis pas. Je – j’aime mes soeurs, mais je n’aime pas voir les femmes agir comme agissent ces américaines modernes. Quand je suis allé à Saint Angelo, dans les catacombes à Rome, en – en Italie – il y avait une inscription là à côté des catacombes, qui disait : «S’il vous plaît, femmes américaines, habillez-vous avant d’accéder à ce lieu par respect pour les morts.» Une inscription à l’intention des femmes américaines... Eh bien, c’est une honte.
On m’a demandé : «N’avez-vous pas des femmes décentes là-bas?»
J’ai dit : «Oh ! certainement, nous en avons. C’est juste le... Ça, c’est un autre monde.» Voyez?
Mais ils savaient que comme il s’agissait des Américaines, c’était la même chose.
92 Et ainsi ceci... Je–je n’aurais pas le temps de vous le raconter dans cette réunion. En 1933… Ça, c’est un pays de la femme. Son nombre est treize. Il apparaît au chapitre treize de l’Apocalypse : treize étoiles, treize rayures, treize... Tout est treize. Tout, c’est la femme. Et souvenez-vous, AINSI DIT LE SEIGNEUR, une femme va diriger avant le temps de la fin. Elle sera soit présidente, soit vice-présidente, soit ce sera l’Eglise catholique en tant que femme. J’ai vu cela : une grande femme, la nation s’inclinait devant elle. Il y en aura une avant le temps de la fin. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Notez cela et voyez, vous les jeunes gens. Voyez si cela va arriver. Si ce n’est pas le cas, je suis un faux prophète.
93 Eh bien, souvenez-vous-en bien, c’est la fin. Cette Amérique est une nation de la femme. C’est un endroit où elle est une déesse en toute indépendance, et l’homme ne lui dit rien. C’est elle le chef; elle dirige tout, les affaires et tout, elle est même entrée dans l’église à l’estrade, à la chaire, et elle la dirige maintenant. Voilà donc où vous allez. Voyez, c’est... Cela est tout aussi contraire aux écritures que – que Caïn et Abel... Ou Abel serait comme le – comme Caïn. Certainement, toutes ces choses, c’est elle qui les dirige. Et elle est – elle est une déesse. C’est ce qui se passe en Amérique.
Il ne s’agit pas de vous, mes soeurs... Mais, j’ai toujours été un peu dur envers elles comme ça. Et peut-être, je – j’ai quelquefois des opinions un peu trop dures, peut-être. Mais que puis-je? Si vous... Si vous êtes spirituel, vous saisirez la chose maintenant même? Voyez? Combien parmi vous pensent comprendre ce que je veux dire? Bien.
94 Considérez Elie. Qu’est-ce qu’il disait? Il n’y pouvait rien. Il a crié contre cette Jézabel, n’est-ce pas? Comment... Voici venir Jean-Baptiste avec le même Esprit. Comment pouvait-il s’empêcher de crier contre cela : «Il ne t’est pas permis d’avoir pour femme, la femme de ton frère.» Ça lui a coûté sa tête. Voyez? Dieu prend Son homme, mais jamais Son Esprit. Voyez? Ça continue à agir. Le signe avant-coureur de la Venue du Seigneur Jésus, comme Il l’a annoncé là à la rivière dans le – en 1933, quand je baptisais là, et vous avez vu ce qui s’est passé à ce propos. Vous voyez? C’est exactement ce qu’Il a dit devoir arriver. Ainsi, vous n’y pouvez rien.
Et quand j’ai regardé, c’était… il m’a semblé qu’un million de jeunes filles d’environ 20 ans accouraient vers moi. Je n’avais jamais vu de si belles femmes de toute ma vie. Leurs yeux étaient comme des étoiles, leurs dents aussi blanches que les perles, leur longue chevelure descendant jusqu’à la taille, elles étaient en robes blanches qui descendaient jusqu’aux pieds et elles étaient pieds nus. Et elles étaient toutes... Maintenant, je... (Excusez-moi maintenant, vous les femmes.) Toutes accouraient et m’entouraient de leurs bras en criant : «Mon précieux frère.»
95 Maintenant écoutez, Dieu sait que quand j’étais un jeune garçon... Vous avez lu mon histoire. Quand j’avais sept ans, l’Ange du Seigneur m’a rencontré sous forme d’un tourbillon dans ce buisson ce jour-là et a dit : «Ne fume pas, ne bois pas ou ne souille pas ton corps.» Je n’ai jamais fumé de ma vie, je n’ai jamais bu de ma vie et j’ai... Je ne connais pas de femme en dehors de ma femme. Et ainsi donc, je n’ai pas vécu une vie immorale quand j’étais pécheur. Et... Mais, je... Depuis que je suis chrétien, j’essaye de vivre aussi droitement que possible, et Dieu sait que c’est la vérité.
Et – et permettez-moi de dire ceci : peu importe combien un homme est saint, tant qu’il est un humain, il ne peut prendre une personne d’un autre sexe dans ses bras (une femme) sans ressentir une sensation humaine. Et peu m’importe, si vous me dites ça, je vous dirai que vous racontez une histoire. C’est... Si vous êtes viril; si vous êtes vraiment un – un homme, la chose est ainsi; vous n’y pouvez rien. Vous êtes un humain. Je ne dis pas que vous feriez alors quelque chose de mal, alors; mais la sensation est tout de même là.
Mais là-bas, cela avait disparu. Gloire à Dieu, cela avait disparu. C’était comme... pas comme... Quand je prends ma propre soeur Dolorès dans mes bras. Ce n’était pas comme quand une mère prend son bébé. Je – je ne sais pas. C’était parfait.
96 Et j’ai regardé, et j’ai vu venir un groupe d’hommes, c’était comme si des millions d’entre eux venaient par ce côté-ci. Et ils étaient tous – portaient tous des robes blanches et ils avaient, on dirait, des cheveux touffus descendant autour du cou. Et ils m’étreignaient et criaient : «Notre précieux frère.»
J’ai dit : «Je – je ne sais pas.» Je me suis retourné; j’ai regardé et j’étais couché là sur le lit. Eh bien, où que ce soit, ce n’est pas très loin d’ici. Si c’est une autre dimension ou que sais-je, je ne peux pas le dire. Mais j’ai regardé derrière, et je me suis vu étendu sur le lit. J’ai regardé de ce côté-ci, et là se trouvaient des gens. Et cela...
Si je disais «parfait», cela ne pourrait pas exprimer cela. Si je disais «superbe», je ne peux pas trouver de mot anglais. Il n’y avait pas d’hier, ni de lendemain; c’était seulement le temps présent : pas de maladie, pas de peine, pas de péché, pas de fatigue. Ils ne mangeaient ni ne buvaient; ils ne dormaient pas (Ils n’avaient pas à le faire), mais pourtant c’était des êtres. Et ils m’ont entouré de leurs bras, je sentais cela comme je sens mes propres mains comme ceci.
97 Et j’ai vu ma propre femme bien-aimée se faufiler au milieu de la foule et venir là. Elle est morte à vingt-deux ans. Et la voici venir, la mère de Billy. Et elle s’est approchée. J’ai dit : «Elle va m’appeler son mari.»
Elle se frayait un chemin au milieu des femmes, me faisant un signe de la main comme ça. Je voyais ses yeux noirs qui brillaient. (C’était une Allemande.) Elle a accouru et elle m’a entouré de ses bras. Elle a dit : «Mon cher frère.»
Et là se tenait une très belle femme, et elle a simplement passé son bras autour de moi et a dit : «Notre précieux frère.»
Et alors Hope, elle a fait passer son bras (C’était ma femme.) – elle a fait passer son bras autour de cette autre femme; elle a dit : «N’est-ce pas merveilleux? Il est avec nous maintenant.»
J’ai dit : «Je – je ne comprends pas ceci.» J’ai dit : «Je – je – je ne peux pas comp-…»
98 Et ces hommes m’ont soulevé, et m’ont placé sur une très grande place surélevée et m’ont placé là. Et ils louaient Dieu, aucun d’eux ne me donnait de baiser, ils m’embrassaient simplement et disaient : «Frère, notre précieux frère.»
Et j’ai regardé et les gens affluaient de partout. Et j’ai dit : «Qu’est-ce?»
Et alors, cette voix, qui n’émanait de personne, la même voix qui a parlé dans cette chambre, elle était toujours avec moi. Il a dit : «Ceci est l’amour parfait.»
Et j’ai toujours enseigné que l’évidence du Saint-Esprit, c’est l’amour parfait. Voyez? Je crois au parler en langues, certainement. «Mais quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien; je suis un airain qui résonne et une cymbale qui retentit. Ainsi, quand vous parlez en langues et que l’amour y est associé, ça sera une évidence pour vous.
99 Et l’amour que nous pourrions avoir ici serait comme une ébauche ici à partir d’une ombre de l’ombre, de l’ombre jusque dans l’ombre. Et de cette ombre on aboutit à un nuage, et à un peu d’humidité, et à une rivière, à un fleuve, et finalement à un océan. C’est là que cela en arrive, juste parfait, tout. Vous ne pouvez pas mourir; vous ne pouvez pas être dans le péché. Oh ! jamais, je… Je – je ne serai jamais capable d’expliquer ce qu’était cet endroit. Voyez? Cela – cela – simplement cela… C’était simplement parfait, au-delà de la perfection. Et juste alors, il y eut un…
J’ai dit : «Je – je ne comprends pas ce que c’est.»
Et une très belle femme a accouru et a dit : «Oh ! mon précieux frère,» elle a dit : «Je suis si heureux que tu sois arrivé.»
Et elle s’est retournée et je l’ai regardée et je me suis dit : «Oh! la la! Comme tout le monde est si beau et si jeune, et si…» Et j’ai dit : «Qu’est-ce?»
Et cette voix a dit : «Ici, tout ce qui a trait à la vieillesse et tout est ramené à la perfection.»
100 Voyez, nous mangeons de la nourriture jusqu’à ce que nous atteignions un certain âge. Quand j’avais seize ans, je mangeais la mê-… Que la science me donne une réponse : je mange la même nourriture que je mangeais quand j’avais seize ans, je mange maintenant des haricots, du pain, des pommes de terre, de la viande. Et chaque fois que je mange, je renouvelle ma vie. Tout le monde le sait, que cela forme les cellules de sang, et c’est comme ça que nous sommes venus ici. Et maintenant… Si un médecin est assis ici, il connaît la même chose. Puis, je suis devenu plus fort, plus grand tout le temps. Quand j’ai atteint environ vingt-deux ans (vous aussi), je mangeais toujours la même nourriture, mais je devenais plus âgé et plus faible tout le temps, en recevant une nouvelle vie dans mon corps.
Expliquez-le-moi, vous les hommes de science. Si je verse de l’eau d’un jar dans un verre, et quand il est à moitié plein, plus je continue à en verser, plus ça diminue. Expliquez-le-moi scientifiquement. Qu’est-ce? C’est un rendez-vous que Dieu a fixé. Quand vous atteignez cet âge-là, Il vous a amené au point où Il veut vous avoir, et a dit : «Viens, mort, installe-toi.» Demandez à la science si vous ne commencez pas à mourir après que vous avez atteint environ vingt-deux ans. Peu importe la bonne qualité de la nourriture que vous mangez, vous êtes en train de mourir, vous vous en allez carrément. Finalement cela va… La mort est sur votre piste, à ce moment-là même. Mais vous grandissez jusqu’à ce que vous atteignez cet âge-là. C’est à partir d’environ… Vous êtes dans votre meilleure forme à partir de quinze ans jusqu’à vingt-deux ans environ. C’est vrai.
101 Ces gens là-bas semblaient être tout simplement au top, dans leur meilleure forme. Et je les regardais là et l’aspect qu’ils avaient. Ainsi cela… Je me suis dit: «N’est-ce pas merveilleux?»
Et quand j’ai vu ma fillette de huit ans, quand… Vous vous rappelez cette nuit-là et vous avez lu cela dans mon histoire. Quand je l’ai rencontrée, elle était une jeune femme. Elle a dit : «Salut, papa.»
Et j’ai dit : «Papa? Eh bien, tu es aussi âgée que moi. Je ne comprends pas.»
Elle a dit : «Papa, sur la terre j’étais ta petite Sharon.»
Et j’ai dit : «Où est ta mère?»
Elle a dit : «Elle est là à ta demeure en train de t’attendre.» Elle a dit : «J’attends mon frère Billy Paul ici.»
102 Et quand je suis sorti de la vision… Hope avait son bras autour de moi là, et quand je suis sorti de la vision (Je me tenais dans la chambre), elle avait toujours son bras autour de moi. Et je n’étais pas dans une vision, pas dans le coma; je me tenais tel que je suis maintenant. Et elle me tapotait sur cette épaule. Dieu est mon Juge. Et j’ai dit : «Hope, tu es toujours ici, n’est-ce pas?»
Elle a dit : «Billy, promets-moi que tu ne vas pas t’inquiéter pour moi et Sharon.»
J’étais juste sur le point de… J’avais un pistolet en main quelques minutes auparavant. J’ai tiré le pistolet, cherchant à me suicider. Le même jour, j’ai essayé de poser ma main sur une ligne de trente trois mille volts, quand je travaillais comme électricien. (Vous connaissez mon histoire.) Et la chose suivante que j’ai vue, c’est que j’étais par terre, assis là en train de suer, ne sachant pas ce qui s’était passé. Ça montrait que Dieu épargnait ce ministère pour vous; je serais parti en ce moment-là même.
Et ainsi, elle avait son bras autour de moi. Et j’ai dit : «Hope, tu es encore ici.» Il faisait sombre dans la chambre…
Elle a dit : «Tu me promets?»
J’ai dit : «Je te promets, Hope.»
Et alors, elle m’a quitté. Elle m’a tapoté, m’a en quelque sorte embrassé, et elle m’a quitté.
J’ai dit : «Tu es encore ici Hope, quelque part, n’est-ce pas?»
Et j’ai tâté tout autour pour la retrouver. J’ai allumé la lumière, et je suis allé à chaque chaise et j’ai touché partout.
J’ai dit : «Où es-tu, chérie? Ne me quitte pas; ne me quitte pas.»
J’ai parcouru la chambre, la cherchant comme cela. J’étais juste un jeune homme, je venais de me marier, ça ne faisait pas longtemps, et Billy et Sharon étaient nés.
103 Et je l’ai vue. Quand je l’ai vue cette fois-ci, elle était toujours la même. Et je me tenais là, à cet endroit. Et j’ai dit : «Je ne comprends pas ceci. Pourquoi m’avez-vous mis ici en haut?»
Ils ont dit : «Tu es un conducteur. Tu es né pour être un conducteur, pour conduire les gens.» Et j’ai dit : «Oh! la la!» J’ai dit : «Eh bien…»
Il a dit : «Eh bien, ça c’est la perfection.» Il a dit : «C’est comme les patriarches quand ils étaient rassemblés avec les leurs.»
Et j’ai dit : «Est-ce… Je – je – je – je… Ceci, est-ce après la mort?»
«Oui.» Et je me suis retourné et j’ai regardé en arrière. J’étais toujours étendu là sur le lit.
Il a dit : «Ceci, c’est après la mort.»
Et j’ai dit : «Oh ! je suis donc mort. Eh bien, c’est merveilleux; c’est bon pour moi d’être ici. J’aime ceci.»
Et alors cette femme, une très jolie fille qui m’avait tout simplement entouré de ses bras comme ça. Et Il a dit : «Continue d’avancer.»
Et j’ai dit : «Eh bien, pourquoi… Je n’arrive pas à comprendre ça.» J’ai dit: «Tous ceux-ci sont-ils des Branham?» On dirait qu’il y en avait des millions. J’ai dit : «Tous ceux-ci sont des Branham?»
Cette voix a dit : «Ce sont tes convertis.»
J’ai dit : «Des convertis?»
Il a dit : «Tu vois cette femme que tu admires?» Il a dit : «Elle avait plus de quatre-vingts ans quand tu l’as conduite à Christ. Regarde-la maintenant. Ce n’est pas étonnant qu’elle se soit écriée : «Mon précieux frère !»
J’ai dit : «Oh ! si seulement je pouvais retourner. Si seulement je pouvais avoir une occasion. Je les saisirais; je les tirerais. Je les persuaderais. Voyez? Je ne laisserais personne manquer ceci. C’est – c’est la perfection.»
104 Et juste alors, j’ai regardé… Et j’avais un vieux chien. Nous faisions la chasse. Il m’a habillé, il m’a mis à l’école, en chassant l’opossum, en cherchant le raton laveur et autres. Et quand nous avons emménagé en ville, un policier l’a empoisonné.
Quand je tassais la terre sur sa tombe, après l’avoir enterré dans notre cour arrière, j’ai dit : «Fritz, s’il existe un endroit…» J’étais un pécheur, d’environ dix-sept ans. J’ai dit : «S’il y a un lieu appelé ciel, tu y seras.» Plus tard, je me suis converti. J’ai toujours pensé…
Eh bien, quelques… J’ai raconté cela à quelqu’un, il a dit : «Un animal être au Ciel!»Absolument, il y a des animaux au Ciel. Je voudrais vous poser une question pour vite dissiper les critiques. Dites-moi ce qui est arrivé à ces chevaux et à ces chars qui étaient descendus prendre Elie et qui sont remontés? Où est ce cheval que Jésus chevauchera quand Il viendra, revêtu de Son vêtement teinté de sang, chevauchant un cheval de bataille blanc? Vous voyez? Où sont ce loup et cet agneau qui vont paître ensemble, et le lion qui va manger la paille comme le taureau? D’où viendront-ils?
105 Alors quand je descendais la colline, j’ai vu venir le brave Fritz. Il m’a regardé et s’est approché de moi, il m’a léché la main et je l’ai caressé. Juste à ce moment-là, le brave Prince, mon cheval, est venu mettre son cou sur mon épaule et s’est mis à hennir.
J’ai dit : «Oh ! Dieu.» J’ai levé les yeux.
Et Il a dit : «Tous ceux que tu as jamais aimés et tous ceux qui t’ont jamais aimé sont rassemblés ici.»
Et j’ai dit : «Je veux voir Jésus. Je veux voir Celui que j’ai aimé et – et pour qui j’ai travaillé.»
Et ils ont dit : «Tu ne peux pas Le voir pour l’instant; Il est plus haut qu’ici. Mais un jour, Il reviendra. Et quand Il reviendra, Il viendra d’abord à toi. Et tu vas répondre pour l’Evangile que tu as prêché. Et alors, si tu es accepté, alors nous retournerons avec toi vers Lui, nous retournerons sur la terre et vivrons ensemble pour toujours dans un corps, un corps de chair où nous allons manger et boire.»
Et j’ai dit : «Vous voulez dire qu’Il va me demander de répondre pour la Parole que je prêche?»
Il a dit : «Oui.» Et c’est cette Voix qui me parlait qui l’a dit.
Et j’ai dit : «Eh bien, est-ce que saint Paul répondra aussi?»
Il a dit : «Certainement, avec sa congrégation.»
J’ai dit : «Alors si saint Paul est accepté, je le serai aussi.» J’ai dit : «J’ai prêché cela exactement comme lui, je n’ai pas changé un seul mot.»
Et alors ces millions ont crié : «Nous savons cela et nous nous reposons avec assurance.»
Et à ce moment-là, j’ai entendu la Voix dire : «Continue à avancer.»
Et je me suis senti partir doucement. J’ai dit : «Il ne me faut pas rentrer, n’est-ce pas?»
«Continue à avancer.» Et je me suis retourné et j’ai regardé mon corps; je l’ai vu bouger. Je me suis dirigé là et un instant après, j’étais de nouveau en chambre.
106 Mes amis, dès ce moment-là, je suis une personne changée. Je ne sais pas ce que vous en penserez, mais avec ma main sur la Bible, c’est la vérité. Cela… Où que ça soit… Je ne sais pas si c’était ici, si c’était une vision. Je n’en ai jamais eu une de pareille. Et disons que c’était un petit enlèvement. (Je ne dis pas que c’était ça.) Je dis que mon esprit était sorti et était allé là-bas. Je ne sais pas ce que c’était. Si – si c’était glorieux sous ce premier Ciel, qu’est-ce que Paul a dû voir quand il était allé au troisième Ciel et qu’il est revenu et a dit : «Ce sont des choses que l’oeil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l’homme, les choses que Dieu garde pour ceux qui l’aiment.»
Je suis plus déterminé. J’ai… Ceci, c’est mon deuxième réveil depuis lors. Je suis plus déterminé à faire tout ce que je peux pour persuader les hommes et les femmes – s’il vous plaît, soyez sûr de ceci : Si l’amour de Dieu n’est pas ancré dans votre coeur d’une manière suprême, n’acceptez aucune sensation ni aucune émotion. Soyez sûr que vous – que vous pouvez tendre l’autre joue, que cela… – que Dieu est… – Christ est tout en tout pour vous. Ne manquez pas cela, mon frère.
107 Souvenez-vous tout simplement. Je vais dire ceci, avec toute la foi que j’ai dans cette vision-là, quoi que cela ait été, je vais dire cela au Nom du Seigneur. Sans cet amour parfait, vous ne serez jamais là-bas. En effet, rien ne peut se retrouver là sans cela. Votre esprit n’aurait pas de place là-bas. Il ne pourrait pas y arriver. Il n’y a pas moyen qu’il y arrive. Pas plus qu’il n’y en aurait pour un grain de maïs de germer de la terre s’il n’a pas de germe de vie. Peu importe combien il peut paraître naturel, il ne peut pas germer.
Mes amis, vous les gens âgés, vous les jeunes gens, vous ne savez pas quand vous allez partir. Nous ne le savons pas. Mais laissez-moi vous persuader en tant que votre frère chrétien, celui qui vous aime : si vous ne naissez de nouveau et que l’Esprit de Dieu, l’Esprit d’amour, vienne dans votre coeur, vous allez certainement manquer cet endroit. Laissez-moi vous poser une question : si Dieu m’a accordé – m’a fait trouver grâce dans notre milieu, et que vous me croyez, je suis sincère. Ce qui s’est passé, je l’ignore. Mais le Dieu du Ciel, qui est – qui est Omniprésent et qui est ici maintenant… Quand je quitterai ce monde, Père céleste, je T’en prie, laisse-moi me reposer là jusqu’à ce que Jésus vienne. C’est – c’est – ce – ce sera suffisant comme récompense pour moi, si seulement je peux me reposer à cet endroit, jusqu’à ce que je Le voie venir.
108 Et alors, il m’a été révélé : «Si cette tente où nous habitons sur la terre est détruite, nous en avons déjà une qui nous attend.» Nous en avons une qui attend. Frère, soeur, c’est la vérité. Maintenant, je pense que j’ai l’Esprit de Dieu. Si l’Esprit qui est en moi ne l’est pas, je ne sais pas.
Ecoutez, considérons sa nature. Considérons la Colonne de Feu qui suivait les enfants d’Israël, Celle dont on a la photo. Sans doute que beaucoup d’entre vous l’ont. Sinon, prenez-la en sortant. Elle a été examinée par le gouvernement fédéral, les agents du FBI chargés des empreintes digitales et des documents douteux; c’est là dans le hall. Il y en a une qui est exposée dans le hall des arts religieux à Washington DC, comme le seul Etre surnaturel qui ait jamais été photographié. Cela a été vu à l’estrade. Les saints connaissent Cela; ils ont vu Cela. Des millions et des millions à travers le monde ont observé Cela agir, ont vu personnellement Cela apparaître à l’estrade.
109 Il y a environ six mois, ma femme a vu Cela pour la première fois. Elle était à la rivière ce jour-là quand C’était apparu là-bas. Quand cet article a été diffusé partout dans le – le monde anglophone, par la Presse Associée : «Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un ministre baptiste local pendant qu’il baptisait.» Elle s’est tenue là... Elle a parlé; les gens L’ont entendue parler de façon suivie. Des milliers de gens se tenaient là m’observant baptiser après mon premier réveil – cinq cents convertis – dans la rivière Ohio... C’était dans le journal, dans les coupures de journal; nous en avons. Cela est passé dans la Presse Associée, le Canada a reçu cela, partout à travers le pays. «Une Lumière mystique...»
Maintenant le monde scientifique L’a photographiée. Eh bien, ils L’ont photographiée à trois ou quatre reprises. Elle a été photographiée en Allemagne. Ils L’ont photographiée ici en Californie, il n’y a pas longtemps. Ce sont de vrais hommes avec de vrais appareils photographiques.
Le photographe allemand a dit : «Je me demande si notre appareil photographique pourra La photographier?» J’ai dit : «Je vous en prie, essayez.»
Et quand l’Esprit descendait, ils ont photographié Cela quand Ça descendait, ils ont photographié Cela quand Ça discernait, ils ont photographié Cela quand Ça redescendait encore. Oh! la la! Des milliers et des milliers sont tombés aux pieds de la croix en Allemagne. Et c’est là que je dois retourner, aussitôt qu’ils... je pourrais être libre pour retourner encore en Allemagne, là à Lucerne, en Suisse, Cela était encore apparu.
110 Maintenant, observez sa nature. Si un cep... Si cela... Si le premier sarment... Jésus a dit : «Je suis le Cep; vous êtes les sarments.» Jean 15, je crois. Est-ce vrai? «Je suis le Cep.»
Maintenant, qu’est-ce que le cep a fait pousser? Un sarment? Le premier sarment était l’Eglise de la Pentecôte. Est-ce vrai? Alors le second sarment qui poussera sera une autre Eglise de la Pentecôte. Or, nous ne voyons pas la Pentecôte dans toutes les églises, n’est-ce pas? Non. Eh bien, qu’est-ce? C’est un sarment greffé.
Vous pouvez prendre un pêcher ou prendre un... Je dirais un – un oranger, et y greffer pratiquement n’importe quelle branche d’agrume. Vous pouvez faire une greffe sur un... presque tout, une pamplemousse ou que sais-je encore, mais c’est quelque chose de greffé. Mais si le cep original fait pousser lui-même un sarment, cela produira la même espèce de fruits que le premier sarment avait produite.
111 Eh bien, si Jésus-Christ est le Cep et que Sa Vie... Maintenant, souvenez-vous, Son... Le cep ne porte pas de fruits; c’est le sarment qui porte les fruits, mais il tire la vie du cep. Est-ce vrai? Eh bien, alors si la Vie de Christ est en nous, cela manifestera Son Esprit et Ses oeuvres. Est-ce vrai? Il le faut, parce que C’est le Cep de Dieu. Maintenant...
Maintenant, observez cet Ange du Seigneur. Nous savons que c’est vrai. Maintenant, observez quelle est Sa nature. Il porte les mêmes fruits qu’Il a portés quand Il était ici sur terre. Maintenant, Il est revenu dans l’Eglise, portant les mêmes fruits, formant une autre Eglise de la Pentecôte, exactement comme Il l’avait fait la première fois. Eh bien, cette Eglise-là a scellé son témoignage de son sang. C’était des gens pieux; ils aimaient Dieu; ils se sont accrochés à Cela.
112 Et quoi que vous fassiez, quoi que vous fassiez, mes amis... Laissez-moi vous demander quelque chose. Si vous croyez que je suis un serviteur de Dieu, laissez-moi vous dire quelque chose : Ne manquez pas ce merveilleux endroit. Ne le manquez pas. Inclinons la tête juste un instant.
Je me demande maintenant même avant que nous allions plus loin dans le service : «Y en a-t-il ici un, deux, une douzaine, combien ici voudraient dire : «Frère Branham, souvenez-vous de moi dans la prière maintenant même. Depuis que vous avez raconté cela, j’ai eu un petit peu peur de la mort. Je – je – je voudrais avoir cette assurance. Je voudrais lever la main vers Dieu pour dire : ‘Priez pour moi.’»
Que Dieu vous bénisse, ici, fils. Que Dieu vous bénisse; que Dieu vous bénisse, vous, vous. Oui, vous tous là derrière, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, partout dans le bâtiment, aux balcons; nous voyons vos mains là-bas. «Je voudrais avoir cette paix qui dépasse tout entendement.»
113 J’observe, je prie, levez la main. Que le Saint-Esprit parle. Si vous mourez ce soir, allez-vous partir là où il y a des pleurs, des gémissements et des grincements de dents? Ou voudriez-vous entrer dans ce repos béni et doux en Lui? Je dis ceci au Nom du Seigneur, avec l’onction du Saint-Esprit.
Que Dieu vous bénisse, chérie. Que Dieu vous bénisse là derrière; que Dieu vous bénisse, soeur. Quelqu’un d’autre? Levez la main. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est vrai, que Dieu vous bénisse.
J’observe, j’attends un moment. Chacun de vous a la tête inclinée, en train de prier. C’est très bien, continuez. Que Dieu vous bénisse; je vous vois. J’observe quelque chose... Que Dieu vous bénisse; c’est bien. Très bien. Quelqu’un d’autre? Je continue simplement à attendre.
114 Père céleste, Tu vois leurs mains. J’observais, j’observais quelque chose qui se faisait. Tu sais tout à ce sujet, Père. Je prie maintenant que Ton Esprit repose sur eux avec douceur. Qu’ils sachent que tel que je l’ai dit, puissent-ils arriver à dire : «Depuis ce moment…» Leurs attitudes ont été changées; la dureté de leur coeur a disparu. Une douce paix et l’amour divin ont pris place. Accorde-le, Père.
Puisse chacun d’eux recevoir le baptême de l’amour de Dieu dans son coeur, de sorte qu’ils puissent tendre l’autre joue, faire encore un mille. C’est comme ce qu’Il a fait, avec les crachats au visage et des épines sur Son front, alors qu’Il avait les cieux et la terre dans Ses mains, Il a marché humblement vers la croix pour mourir pour les gens qui Le tuaient. Ô Dieu, comment...
Rends-nous comme cela, Père. Ôte de nous ces coeurs de pierre et place en nous un coeur bon, doux et gentil; mets en nous le même Esprit qui est – est en Lui. Que l’Esprit de Dieu repose sur chacun de ces gens; ces trente ou quarante personnes qui ont levé la main. Je Te prie, Père, de leur donner la Vie Eternelle. Qu’ils ne puissent jamais avoir honte de Toi; qu’ils puissent venir auprès de Toi avec douceur.
115 Qu’ils puissent maintenant se rendre compte que quelque chose leur a fait lever la main. Qu’est-ce? Le Saint-Esprit. L’Esprit de Dieu qui est sur eux maintenant leur a fait lever la main pour prendre une décision.
Puisse cette soirée être celle où – ils peuvent dire : «Depuis ce samedi soir-là, là-bas dans l’auditorium de cette école, j’ai rencontré Dieu. Quelque chose m’est arrivé; j’ai été changé depuis lors.»
Accorde-le, Père. Je Te les confie comme les trophées du Message. Et Tu as dit : «Tous ceux que le Père m’a donnés, viendront à Moi et aucun d’eux ne sera perdu.» Ô Seigneur, Tu m’as dit que Tu leur donnerais la Vie Eternelle et que Tu les ressusciterais aux derniers jours, cette Vie Eternelle, cet amour, qui va les amener en ce glorieux endroit que j’ai eu le privilège de voir il y a quelques semaines.
116 Père, je ne peux pas dire ce que c’était. Je ne sais vraiment pas. Tu connais mon coeur, que je suis seulement sincère dans ce que je dis. Rends-moi témoignage, Père. Et je vais... C’est un endroit très doux. Ô Dieu, quand mes jours seront finis, je voudrais voir le petit Joseph devenir un homme, afin que je puisse placer cette Bible dans sa main. En effet, le jour de sa consécration, Tu as parlé. Tu as dit : «Joseph, tu es un prophète.» Je Te prie, ô Dieu, d’accorder qu’une double portion de l’Esprit repose sur mon garçon. Si seulement Tu m’accordes de vivre pour gagner des âmes pour Toi jusqu’à ce que je devienne vieux, et qu’ensuite je place – je place cette Bible dans les mains de mon fils Joseph et que je lui dise de continuer avec le même Evangile, ce sera une vie comblée, Père.
Néanmoins, quand Tu seras prêt pour moi, amen. Quel beau repos! Je – j’ai un ardent désir de revoir cet endroit. Seigneur Jésus, puisse tout le monde qui est ici ce soir, chaque personne qui a entendu le message ce soir, qu’aucun d’eux ne soit perdu. Mais puisse chacun... Je les vois là. Alors, quand nous courrons et que nous ferons passer nos bras les uns autour des autres, quand il n’y aura plus alors de différence entre l’homme et la femme...
117 Il n’y a pas de différence; la – la – la marque du péché a disparu. Nous serons alors de vrais frères et des soeurs, là où nous pourrons vivre et où le péché ne pourra plus entrer, pas de mauvaises pensées, rien ne peut entrer dans un endroit comme celui-là. On ne peut y trouver aucune souillure. Nous serons tous un en Christ.
Accorde que nous arrivions là, Seigneur. Que ces femmes et ces hommes âgés comprennent que je leur ai dit la vérité. C’est – c’est – c’est la vérité. Que ces jeunes gens prennent comme modèle de leur vie… alors qu’ils se tiennent à la croisée de chemins ce soir, puissent-ils choisir le bon chemin, afin qu’il n’y ait pas de tristesse le jour du départ. Accorde-le, Père. Je les confie entre Tes mains maintenant, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
118 Vous sentez-vous vraiment bien? Croyez-vous que c’est l’Esprit de Dieu qui vous a amenés à lever la main?...?... Croyez-vous que c’était cela? Croyez-vous que cela vient de Dieu? Je vous ai parlé du fond de mon coeur.
119 Quand j’ai parlé à un rabbin, il n’y a pas longtemps, il a dit : «Monsieur Branham, vous L’appelez le Fils de Dieu.» Il a dit : «Loin de Dieu l’idée d’avoir un Fils.»
J’ai dit : «Il était le Fils de Dieu.»
Il a dit : «Dieu avoir un Fils? Il n’était ni Jésus ni Christ.» Il a dit : «Il se peut qu’il ait été un Jésus, mais Il n’était pas Christ.» (C’était comme ça.)
J’ai dit : «Monsieur, croyez-vous au prophète?»
Il a dit : «Oui, bien sûr que je crois au prophète.» C’était un rabbin, un rabbin juif, à Benton Harbor, dans le Michigan.
J’ai dit... John Rhyn avait été guéri, il avait été aveugle pendant vingt ans, il s’asseyait dans la rue. Il a dit : «J’ai donné beaucoup d’aumônes à John.» Il a dit : «Par quel – par quel pouvoir... Par quelle autorité lui avez-vous rendu la vue?»
J’ai dit : «Je ne lui ai pas rendu la vue. Il a recouvré la vue par la foi dans le Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.»
Il a dit : «Quel Fils de Dieu? Comment Dieu peut-Il avoir un Fils?»
Et j’ai dit : «Il avait un Fils.» J’ai dit : «Croyez-vous Esaïe 9.6?»
Il a dit : «Certainement.»
J’ai dit : «De qui le prophète parlait-il? Du Messie?»
Il a dit : «Oui.»
J’ai dit : «Quel – quel rapport y aura-t-il entre le Messie et Dieu?»
Il a dit : «Il était Dieu. Il sera Dieu.»
J’ai dit : «C’est ce qu’était Jésus. Il était Dieu fait chair et – et Il a habité parmi nous. Dieu s’est exprimé au travers d’un Corps. Il – Il était Dieu fait chair; l’Esprit de Dieu demeurait en Lui dans la plénitude. Nous, nous L’avons avec mesure.»
120 Et nous observons Sa Vie. Maintenant, l’Esprit de Dieu est en nous, mais le problème c’est que nous ne pouvons tout simplement pas ouvrir ces petits canaux bouchés pour laisser l’Esprit couler à travers cela. Maintenant, l’Esprit de Dieu (S’Il était dans cette Eglise ce soir), rendrait témoignage à l’Esprit de Dieu. Est-ce vrai?
Y a-t-il des cartes de prière dans la réunion? (A-t-il distribué des cartes de prière? Non?) Y a-t-il une carte de prière? Non, il n’y a pas de cartes de prière, mais Dieu est là. Son Nom est Jésus-Christ; Il est le Fils de Dieu. Je crois que j’ai Son onction. Le message que je vous ai prêché, si ça vient de Dieu, que Dieu confirme Sa propre Parole. Je n’avais pas l’intention de faire ceci. Mais je – je sens simplement une urgence pour ceci avant que je ne dise quelque chose d’autre.
Combien de malades y a-t-il ici? Levez la main, vous qui êtes malades et qui avez besoin de Dieu? Levez la main. Levez simplement la main et dites : «Je crois.»
121 Croyez-vous? Si Dieu vient ici et fait les mêmes oeuvres qu’Il avait faites... Combien croient que Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur maintenant même... (Le Livre des Hébreux – est-ce vrai, frère? Est-ce vrai?) Il est Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Combien savent que c’est la Bible? Quand l’est-Il? Maintenant même. Eh bien, s’Il l’est... Et la Bible dit (Hébreux 13.8) : «Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement.» Est-ce vrai? Très bien. S’Il est le même Souverain Sacrificateur, alors le même hier, aujourd’hui, et éternellement, si vous L’avez touché, comment va-t-Il agir aujourd’hui? S’Il est le même, Il agira de la même façon. Est-ce vrai?
Alors, une fois, une femme s’est frayé un chemin à travers la foule et a touché Son vêtement, et elle a senti en elle qu’elle était guérie, elle est partie et s’est tenue dans la foule.
Beaucoup de gens Le touchaient, disant : «Oh! bonjour Rabbi. Nous sommes contents de vous avoir ici», et ainsi de suite. Et alors cette femme...
Jésus a dit : «Qui M’a touché?» Pierre L’a repris, mais Il a dit : «Je vois qu’une vertu (une force) est sortie de Moi.» Et Il a promené le regard sur tout l’auditoire jusqu’à ce qu’Il a trouvé cette petite femme, Il lui a dit qu’elle avait une perte de sang et que sa foi l’avait sauvée. Est-ce vrai?
122 Eh bien, maintenant, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, ne ferait-Il pas la même chose ce soir s’Il est touché? Maintenant, comment le fera-t-Il? Il est le Cep maintenant; nous sommes les sarments. Est-ce vrai? Eh bien, alors, Il agirait à travers les sarments. Si c’est le vrai sarment sorti du Cep, cela agirait exactement de la même manière que la Vie qui était dans le Cep. Est-ce vrai? Maintenant, priez. Croyez.
Je prie, je crois. Et sur base de la position que j’ai prise pour Dieu à travers le monde... Et ce ministère de discernement est maintenant en train de s’en aller, et j’entre dans un ministère plus élevé, qui consiste à prononcer la Parole. Et voyez-vous ce que Dieu a fait? Il a remis cela juste entre les mains des gens. Qu’ils viennent avec une approche correcte et observent ce qui se passera. Mais ils doivent avoir l’approche correcte. Hein, hein? Voyez, personne ne peut guérir; c’est Lui le Guérisseur. Mais je ne peux le dire que s’Il me parle. Voyez? Mais vous pouvez parler maintenant avec votre foi et obtenir votre guérison si vous croyez.
Simplement, vous... Mettez-vous à prier dans votre coeur : «Seigneur, qu’il me parle.» Voyez ce qui se passe.
Et s’Il le fait, je veux que tout celui qui a levé la main vienne ici se tenir autour de l’autel, et faisons la paix avec Dieu. Priez, ayez foi.
123 Maintenant, Père céleste, après avoir prêché comme cela, ceci est un – vraiment un changement. Je Te prie, Père, de me donner la force pour me détendre et détendre les gens qui sont là, afin que tous ensemble nous puissions laisser Ton Esprit oeuvrer au travers de nous. Quel bien cela ferait-il si Tu oeuvrais au travers de moi sans oeuvrer au travers d’eux? Il n’y aurait pas de réponse. Tu es allé dans Ta propre ville, là où Tu avais été élevé et les gens étaient achoppés à cause de Toi. Et Tu as dit que Tu ne pouvais pas faire beaucoup de puissantes oeuvres à cause de leur incrédulité. Tu es le même ce soir. Car Tu es le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Que toute incrédulité soit ôtée. Puisse... Si l’incrédulité me frappe et dit : «Cela ne marchera pas ce soir», je proteste. Il m’a fait la promesse et je crois en Lui. Maintenant, que l’incrédulité quitte ce bâtiment, et que Christ montre qu’Il est vivant comme Il a dit qu’Il le ferait.
Alors, Père, si la fin vient d’ici le matin, alors Seigneur, ils partiront sans excuse. Que ces gens qui ont levé la main et qui ont besoin de Toi puissent savoir que c’est le vrai Esprit de Dieu qui leur parle dans ce bâtiment ce soir. Nous Te confions ces choses au Nom de Jésus-Christ. Amen.
124 Maintenant, je prends chaque esprit ici sous mon contrôle au Nom de Jésus-Christ, sous le contrôle du Saint-Esprit. Maintenant priez.
Il y a une dame assise là derrière, la seconde personne juste ici, elle a une affection des reins, elle prie pour sa guérison. Voulez-vous être guérie, madame? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Acceptez-vous cela? Très bien, levez alors la main. Rentrez en bonne santé chez vous.
Demandez à cette femme si elle n’était pas en train de prier pour l’affection des reins qu’elle avait? C’est vrai. Est-ce vrai, madame? Si c’est vrai, levez la main pour que les gens puissent voir.
Eh bien, elle n’a pas de carte de prière. Je ne connais pas cette femme; je ne l’ai jamais vue de ma vie. Est-ce vrai, madame? Sommes-nous étrangers l’un à l’autre? Faites signe de la main. Maintenant, ayez foi et croyez.
125 Est-ce que cela fait de Lui le même? Qu’est-ce qu’elle a fait? Elle a touché le Souverain Sacrificateur; le Souverain Sacrificateur m’a parlé et m’a montré une vision, exactement ce qu’Il a dit qu’Il ferait.
Jésus a dit : «Je ne fais rien, le... ( Jean 5.19) En vérité, en vérité, Je vous le dis : le Fils ne peut rien faire de Lui-même. Mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai? Combien savent que c’est l’Ecriture? Jean 5.19. Priez, priez tout simplement; priez humblement.
126 Tenez, j’ai vu une femme âgée assise là derrière juste dans la direction de mon doigt. Ne voyez-vous pas cette Lumière suspendue au-dessus de cette femme juste ici? Regardez là-bas; tournez simplement la tête et regardez juste ici. La femme a levé la tête. Elle est plutôt âgée; elle a des cheveux gris. Elle a des problèmes d’yeux. Elle a la cat-... elle a la cataracte à l’oeil, et on va essayer d’ôter cela. Et elle a déjà subi une opération de cataracte. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Maintenant, mère, c’est vrai, n’est-ce pas? Si c’est vrai, faites signe de la main. Si nous sommes étrangers l’un à l’autre, agitez la main. Voilà. Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur? Maintenant ayez foi; croyez tout simplement en Dieu.
127 Maintenant, qu’est-ce qu’elle a touché? Elle a touché le Souverain Sacrificateur. Si vous croyez, tout est possible. Si tu peux croire... Tout est possible à ceux qui croient. J’observe; continue tout simplement à prier où que vous soyez, au balcon, où que vous soyez, cela importe peu. Continuez à prier. Dites tout simplement : «Seigneur, souviens-Toi de moi. Je suis malade.»
Maintenant, n’essayez pas de vous rendre nerveux. Dites tout simplement: «Seigneur, je crois que cet homme est en train de me dire la vérité. Je crois.»
Maintenant, voyez, qu’est-ce que l’Ange m’a dit? «Si tu peux amener les gens à te croire (Non pas me croire en tant qu’homme, croire le Message que je vous apporte. Croire en moi...) et que tu es sincère quand tu pries, rien ne résistera à ta prière.» C’est ce que cet Homme m’a dit.
128 Je vois une femme en train de pleurer, elle essuie les larmes de ses yeux. Si elle croit que je suis le prophète de Dieu (elle est assise juste ici devant moi.), Dieu va la guérir. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Mais vous n’êtes pas d’ici; vous êtes de Grant’s Pass. Si vous croyez de tout votre coeur, vous serez guérie. Ô Dieu, elle va manquer cela. Ne la laisse pas manquer cela, Seigneur. Madame Kruger? Je vous adjure de croire en Lui. Ayez foi.
Je ne connais pas cette femme; je ne l’ai jamais vue de ma vie. Dieu le sait. Il n’y a aucun moyen au monde pour moi de la connaître. C’est juste une femme qui est assise là.
Si nous sommes étrangers l’un à l’autre, madame, levez la main. Eh bien, tout ce qu’Il vous a dit, est-ce vrai? Faites signe de la main comme ceci. Très bien donc, si vous croyez...
129 Je vois une femme assise là tout au fond. Elle porte une robe à pois bleus et blancs. Elle a une grosseur sur le côté gauche. Ayez foi; ne doutez pas. Ne manquez pas cela. Ô Dieu... Madame Griffith, ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur et le Dieu Tout-Puissant va vous guérir et vous rétablir.
Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur? Que pensez-vous de Lui?
Croyez-vous que Dieu peut guérir, soeur? Bien sûr qu’Il le peut. Croyez-vous que cela va partir, votre... Très bien, vous pouvez avoir ce que vous demandez.
Maintenant, croyez-vous en Lui? Alors l’Esprit qui m’a amené là est le même Esprit qui se meut ici, que le monde scientifique a photographié, la première fois qu’un Etre surnaturel ait jamais été photographié. C’est une grande Colonne de Feu. Comme Celle qui a conduit les enfants d’Israël, Elle est ici en train de nous oindre ce soir, faisant les mêmes oeuvres qu’Elle faisait quand Elle était en Jésus-Christ sur la terre.
«Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus», a dit Jésus. «Mais vous, vous Me verrez, car Je («Je» est un pronom personnel.), Je serai avec vous et même en vous jusqu’à la fin du monde», Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui, et éternellement.
130 Les amis (Ô Dieu !), ne pouvez-vous pas vous en rendre compte? Ne faites pas attention à ce petit homme au dos voûté, à la tête chauve qui se tient ici, essayant de vous dire ces choses. Ne regardez pas à moi, un homme sans instruction, inculte; ne faites pas attention à cela. Observez la nature de l’Esprit qui agit par ici. Croyez le Seigneur Jésus! Ce n’est pas moi; je ne vous connais pas, je ne connais rien sur vous. C’est Lui, Christ accomplissant Sa Parole, conformément à ce qu’Il avait dit qu’Il ferait.
Souvenez-vous, la fin est proche. Cherchez le refuge pendant que vous le pouvez, pendant que les portes de la miséricorde sont ouvertes aux Gentils. Réfugiez-vous. C’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.
131 J’invite chacun de vous qui n’a pas cette paix qui vous amènera là-bas, à venir ici, à se tenir ici près de l’autel. Chaque pécheur ici, chaque rétrograde, je voudrais que vous veniez vous tenir juste ici près de l’autel. Si l’Esprit de Dieu, Lui qui vous connaît est ici, Il saura certainement ce dont vous avez besoin.
Que Dieu vous bénisse, monsieur. Levez-vous et venez ici; voyez combien vous êtes sincère. Marcheriez-vous depuis là derrière jusqu’ici, si cela signifiait la différence entre aller au Ciel et perdre votre salut?
Vous dites : «Je suis membre de l’église. Je suis né de nouveau.»
Avez-vous cet amour qui donne l’assurance? Ne courez pas le risque là-dessus. Chantons maintenant.
Je L’aime, je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier (Que Dieu vous bénisse, mon frère.)
Et acquit mon salut
Sur le Calvaire.
132 Que chaque pécheur vienne maintenant. Voulez-vous vous tenir ici? Peu importe de quelle église vous êtes, peu importe votre credo, votre couleur, qui vous êtes.
Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Puisse le Seigneur faire de vous un prédicateur. Très bien. Venez. Voulez-vous venir maintenant même, avant que nous chantions ce cantique? Vous qui avez levé la main, qui voulez trouver cette paix, venez. La paix qui dépasse tout entendement... Ne voulez-vous pas venir? Je L’aime (Il faut Son amour pour vous amener là-bas.) Je (Levez-vous maintenant et venez ici, je prie?) parce que... Et (Ne voulez-vous pas venir? Environ trente mains se sont levées.)
... salut
Sur le bois du Calvaire.
133 Maintenant, juste un moment. Que Dieu vous bénisse, vous qui êtes debout ici, vous les trois hommes. Je pensais que les femmes allaient passer les premières. Ecoutez. Ceci est adressé à l’église, c’est au Nom du Seigneur. (Je suis en train de prophétiser.) Voilà pourquoi nous ne pouvons pas avoir de réveil; voilà pourquoi l’Esprit de Dieu ne peut agir dans l’auditoire; voilà pourquoi mon ministère auprès... apparemment, devient impopulaire auprès des gens. Le Saint-Esprit vient et confirme tout ce qu’Il a dit qu’Il ferait, et les gens lèvent la main et restent sur leurs sièges. Ce n’est pas la sincérité.
Alors comment pouvez-vous vous attendre à avoir un service de guérison? Comment pouvez-vous vous attendre à ce que l’église aille jusqu’à la perfection, quand trente personnes peuvent lever la main, et trois seulement viennent. Ecoutez cela! C’est au Nom du Seigneur. L’Amérique a vu son jour; elle ne se relèvera plus. Elle est dans sa chute. Je parle au Nom du Seigneur. Je...
E-1 Is to be over to another city here...?... Grants Pass. And he's just on up somewhere else in Oregon. I just met him out there, and I... You know it thrills you to meet old friends again. It does me. And I think of him about all the time. He used to be the manage in the meetings...?... been here a little before and we'd have him say something.
Said, "I can come in. Oh, I just had to run down and see you."
And I said, "You bet you can come in."
E-2 Another thrill that just come a few moments ago, as Billy (my son) give me a little package. And I--I tell you, it was the sweetest thing that I--I've had in quite awhile. There was a little girl here, and she got her little soul all stirred up, and she sent me a--an offering. Well now, if the Federal agents think I'm going to turn this in; they're wrong. And it's got a little note here that's real cute.
She says that: "I love you so much. I am thirteen years old. I give you this offering. I got it selling bottles. God bless you forever: thirteen cents."
That was really sweet. She never signed it--just "a little girl that loves the Lord." Whoever you are, sister dear, God bless you. That's... You don't know what that means to me. That's just as sacred to me as somebody giving me a hundred dollar bill and that.
E-3 I think it was the great Gypsy Smith, in reading some of the context of his life story. He was asked one time what was the greatest thrill he ever had. He said: 'Well, they were going to take a love offering for him one night, and as he come up the back steps," he said, "there was a little ragged gypsy girl standing there.
And said, "Mr. Smith?" Said, "We've come from a poor family." And said, "You have led my mother and father to the Lord Jesus." And she said, "I knew tonight was your love offering, and I didn't have nothing to give you." She said, "And a lady today give me a--a lollipop, and I just didn't want to drop it in the offering, Mr. Smith, so I--I just wrapped it up and thought I'd give you my offering personal." A lollipop, little sucker.
He said he looked at that poor little ragged child and what happened? You know, that means... That's from the real heart. You know, that's just something that's sweet and touching. And I think that's where real life lays, is when it's from around the heart.
E-4 I can think of a--a little something on that order in one of the meetings up in Finland. I beg your pardon, it was in... Yes, I still think it was Finland; yes, it was in Kuopio. I haven't thought of it for some time. There'd been a little boy raised from the dead, that I saw in a vision two years (here in America) before I went overseas. There might be some people here that heard me speak of it; I'd come up... Yes, there's many hands up.
That I said, "There will be a little boy somewhere, laying where there's trees, pine trees, and there'll be big rocks slabbed together. And the little boy will be killed in an accident, and the Lord God shall raise him up."
And I was coming down from the tower of... I'll... It's been a long time; I can't think of the name of the tower. It was up at... It was Kuopio, Finland, about twelve years ago. And we were coming down...
E-5 A used Ford about six or seven years old in Finland, would sell for around two thousand five hundred dollars, maybe three thousand. And gasoline is ninety-five cents a gallon. So where there was at least twenty-five, thirty-five thousand people, you'd see about two or three automobiles. And up in there, they--they ride a little sled like--like a travois, an Indian wears--rides, and... Used to--to travel by travois, and they had a caribou that hauled them on the travois. And then down at the...
I'd been up in a car at the top of the hill, and down was Kuopio, Finland, the... I was there during the time about May; the sun is only out one day in a year there, just one day. Six months the sun's up; six months it's down. And this was just when the sun just skirting the edge of the horizon. At midnight, we could just--nice and light as it is in here, read a newspaper at midnight. Then it comes back up again. And you just go to sleep when you get sleepy; that's about the way you manage your day while the sun's up. And then it's down for a year... for six months. Then... That's up in the Laplands.
E-6 And coming down off of the mountain where we'd been singing, there's been a--a drunken Englishman up there. He didn't know what was...?... He was a lumber buyer from England, and he wanted to know what that singing was about. And he was about as bad off as me; I... When you can speak Finnish, you're pretty good, because I think they got about fifty or sixty letters in the alphabet, and so they... They're very sweet people, some of the nicest people I ever met in my life. And they was very lovely people.
So then, while I was up there, this Englishman was going on. And I told him it was a religious meeting. I asked him if he knew the Lord Jesus as his personal Saviour. He said no, he never learned about no religion. So there I had the privilege of seeing the Lord Jesus sober that man and gave him salvation to his soul--kneeling down out there in that mud and muck out there in the yard of where this big tower... It's kind of a watchtower, an old ancient watchtower. And we were up there praising God from on high.
E-7 And they'd tell me how the Russians would come in during the time of the war and drop the bombs on the city, and... come over that tower. And then we could look right over across the Iron Curtain into Russia, about two mile away.
Coming down from the... We'd gathered together to have prayer after they'd seen this Englishman. I'd went down and just walking around at the bottom of the tower, and Brother Jack Moore was with me, and this Englishman had just come to Christ. They all came down, and something come over me real strange. When they took a picture of it... (I have it at home.)
I said, "Remember, something's fixing to happen; I just feel it. Something's going to take place. I don't know what."
So they begin to ask, "What will it be?"
I said, "I don't know. It's just something's fixing to take place."
E-8 About a mile down the hill, we seen where there'd been about a five or six year old American made Ford... Some of the people that was up on the hill at the tower had went down, and some little school children was coming from the school. And they... their parents... They live in the city, something like Germany. They live in the city, and they farm out in the country, and they come back into the city.
Two little boys, one about nine years old, and one about (Oh, I'd say) about six years old. They was crossing the road, and this car coming fast, and no cars hardly there. They wasn't expecting a car. And the little fellows holding one another's hands, and they seen the car whirl into sight; and one started one way and one the other. And they was holding each other's hand. Finally, they let loose of each other's hand, and the man driver got excited, and didn't know which way to go, because the children was jerking both ways, lost control of the car.
E-9 And one of the fenders on the left side hit one little boy right in between the eyes like that, and threw him over, and smashed him into the tree, and concussion of the brain and broke his bones up. And the other one, it run right straight over the top of him, like that. Went over, and it throwed him, where the back wheel hit him, all the way across the road into the grass flat. The car went over the hill, and smashed into a bunch of rocks, and turned over.
We arrived at the scene, there'd been a--a someone else a...?... that had got there before us and took the little boy that was breathing, taken him to the hospital. And the chief man of the city (which is equivalent to a mayor of the city.), he was there, the doctor had gotten there, and... But the law in Finland, that they couldn't move this child now, until the parents come. So they'd gone on horseback or carriage to the field to find the child's parents, to bring them in.
E-10 And well, we stopped. Brother Gordon Lindsay, Brother Hall's brother-in-law, was along, Brother Ern Baxter, and Brother Jack Moore, and several of the brethren; and we stopped. And Mrs. Isaacson; she may be right in this meeting tonight; she lives out in here somewhere. Are you here, Sister Isaacson? She was my Finnish interpreter.
And so, they got out of the car to look at the little boy and come back. We'd seen an accident had happened. They come back and they said... I said, "What was it?"
They said, "Oh, come out and look, Brother Branham. It's a little boy was killed. There was another one killed too; they done--they done taken him to the hospital."
I said, "Oh, I don't want to go." I said, "I'd think of my own little boy, Billy Paul." And he was just a lad, and I hadn't seen him for months. And as you all know, his mother's dead, and I've been both mother and father to him. In fact, we've been chums together. She asked me to never leave Billy when she was dying, and I... He's--he's been my chum ever since.
E-11 And I--I--I didn't want to look at the little boy. It'd just bring... He'd be about Billy's age then, about nine, ten years old. And you that all remember how I told you the little boy would look: He kinda had one of those crop hair cuts and brown eyes. And he was little... wearing them what we used to call in my days "little panty waist" like, and then his--his long stockings, and his foot would be mashed through his stockings, and his... He'd be killed in an accident.
Well, I didn't go over, and Mrs. Isaacson said, "I believe you should go over."
Went to look and the little boy... I went over there and they had his coat over his face. When I see that poor little fellow laying there mashed up like that, I just--just started weeping. I turned around and something laid his hand on. I thought it was Brother Moore. And I looked around, and there was nobody around me, and that hand was still laying on my shoulder. Well, I said, "That's strange." And the hand left away from me.
I don't know whether you believe in--all of you believe in supernatural things or not, but it happened just the same. And I started to move again, and the hand laid back on my shoulder again. I thought, "Well, I wonder what this means. Maybe I'm supposed to pray for this little lad." And I thought, "Well..."
E-12 I looked back again, and they'd done covered his little face up. And there was about three hundred people standing there. And I started to move on and the hand just held me. Well, I said, "Walk back." And I started back towards the little boy, and the hand--hand was all right, left me. Well, I done that twice. And I said, "Let me see the little boy again." And they raised up the... Mrs. Isaacson talked for me, interpreted it, and they raised up the--the thing for me to see his face again. And I looked. I thought, "That's strange. It looks like I've seen that little boy."
Well, Doctor Manninen, he was the head of the ministerial association of--of Helsinki, and so I... He was with me.
And I said, "Dr. Manninen, has--has that little boy been in the prayer line?"
He said, "I don't think so." Said, "I'll ask some of the local pastors." And they were standing there. No, they had never seen the little boy, didn't know of him.
Well, I said, "It's strange; it looks like I've seen the little boy." I started to walk away again, and that hand laid on my shoulder again. I looked back, and I thought, "Something..."
E-13 Then I noticed the little crop hair cut, little brown eyes pushed out, laying back. Little foot through his socks where it'd mashed through like that. Oh, he was in terrible condition. That car just wadded him up like that, and the back wheel after it lost control, it just flipped him out, and he just froze on the--the accelerator like that, and it just went on over the hill. The man never got hurt; they pulled him out of the wreck, and he was by himself. And then I looked again, and--and I looked up the hill. And there was them pine trees coming off the hill, these...?... of rock.
Oh, my, Christian friends, I hope that someday (if not, it'll be...?... in another land) when that feeling that comes to you when you know... I wished I could have that feeling all the time. If I could... It's something. It's a love; it's like a real deep love. And I... If--if the devil would've sent all of his imps out of torment and stood right there on them grounds, it--it could not have moved that feeling at all. It's something that God has told is going to happen; you can see it right here laying before you. It's going to happen.
E-14 So I said, "I know the boy." And Brother Moore and them standing there. I said, "Look in your Bibles, Brother Lindsay, on the fly leaf..." You know what I asked you people (when I come through here, was Portland there) to it write on the fly leaf of your Bible. I seen it on a train going to Florida. And I said, "I wrote... I said, 'THUS SAITH THE LORD, a little boy (described how he looked) would be raised from the dead.'"
And he looked on the fly leaf of the Bible, and Brother Moore said, "That's the boy."
I said, "That's him." I said, "Now..." And I told all the people (I had Mrs. Isaacson) I said, "Now, tell them, 'Be reverent.'" I said, "If this little boy isn't on the scene alive in five minutes from now, then you can take me out of Finland; I'm a false prophet." See? I said, "The little boy's going to rise up from the dead right now." Been dead about thirty minutes.
E-15 And so... Was waiting for the father and mother, and I was thinking how they must have feel--how they would feel to come to see their little boy crushed and laying on the road like that. His little tongue was hanging the side of his mouth, blood running out of his ears, and everything. So, I knelt down just the way the vision showed, laid hands on the little boy, and as soon as I laid hands on him, I said, "Heavenly Father, in America ten years ago, You promised me the life of this child, that it would rise again." Now, death cannot hold it when that vision's speaking." I said, "Death, return his life in the Name of Jesus Christ."
The little boy jumped up and screamed...?... his foot. He was just as normal and well as any child could ever be.
E-16 Now, I've got that written by the chief man of the city of Kuopio, Finland, in my study today. That's right. And in there written, and then translated on the other side, of what it was. Said, "Brother Branham, we're poor in Finland. We can't offer you. Only thing we got is paper. So here's a book of Kuopio and a comment from me." And it's got their seal on it like that, when he wrote the testimony himself.
Someone wrote to me from Finland here not long ago. Said, "That was false." And he was going to write a book on it; it was false.
And I said, "Go right ahead, just write the book. Then I'm going to publish this testimony of the mayor of the city behind it. So now, you just go ahead and write me what you want to."
E-17 (Have we got just a moment or two longer for something? I want to finish that up.) That night when we left Finland, that... We was going into the place; there was so many there; they had to have guards on the street. And I... Going into the room, there... I was walking along; there was about six or seven soldiers around me. Them poor little Finns, not old enough to shave yet, all the other grown men had been killed off nearly by the Russians. And so, they were taking me...
And when you are born in Russia, if you're forty miles from your birthplace, you have to have a visa. But don't let nobody ever tell you there's no Christians in Russia; there's millions of them. And there was those Russian soldiers that... They can't broadcast stuff like we have, rock-and-roll and all that stuff, over there on; nothing but business and commercial on--on radio. And here, they'd had went all over Russia. I'd...
E-18 Baron Von Bomburg told me not long ago (a little fellow they'd brought up behind the Iron Curtain) said, "I'm surprised, Brother Branham, that your ministry's no better known in America then what it is." It's known better in Russia then it is here, where it had been behind the Iron Curtain. Said, "We all heard on--on the radio of that little boy being raised from the dead up there." And now, this... Them Russian soldiers standing on the street, give that Russian salute when I passed by. And they said... An interpreter telling as we going by, said they said, "We'll receive a God like this." Certainly.
E-19 See? What it is, is the weakness of the church raised up Communism; it's bred from that kind of an egg. If the church taken all the money there is in a country and building million dollar gold altars, and people starving on the street? You can see why such things as that would come up. But let any human being see the real thing of God, he will believe it, if he's got anything he can believe with.
So he was standing there, and he said, "We'll receive a God like, that that can raise the dead. We want to know about that."
And I'll tell you; while I'm on this subject, I might say this: I seen Russian soldiers grab Finns around their waist in there on the inside of the building, and hug and pat one another--like the Scandinavian people do--hug and pat one another. Anything that'll make a Russian put his arm around a Finn, and a Finn around a Russian, would settle wars forever. We don't need U.N.'s; we need Jesus Christ. That's what the world needs. See?
E-20 Going in that night, there was a little girl come out. You've read the story; you... Brother Gordon, never wrote it in details; he just kindy told it. She was--come out of a ladies dormitory, such as it was. And we started out walking this way and there was soldiers. And that little girl, when she stepped out, she had... One leg was about that much shorter than the other. And then she had a--a big belt around her, and a--a--a brace that went down (homemade), like that, and she had two crutches. She had a strap in the end of her toe that went over her shoulder and hooked back there in the back of this belt. And when she started to walk, she had to put her braces out... crutches out, then take her little shoulder and tip that little leg up and set it out like that, then make her step. And so, she seen me.
E-21 And we'd warned them, you know. I like kids, and I'd get on the street with some of that old Finnish money and buy big bunches of that candy, you know. And brother, I'd just give it out to kids. I had a string from here two city blocks, that followed me everywhere, 'cause I--I love children. And so...
When I looked at her, she dropped her little head like that; she was afraid she'd done something wrong. And I looked at that child and I started to walk on, and Something said, "Speak to that child; she wants to speak to you."
I stopped. And the soldiers kept... They couldn't talk English, so they kept going on. I could hear them singing, "Only Believe." And so I started on in that just... Them soldiers just standing there... And I said, "Just a minute here." Them other soldiers looked back. And I said, "Just a minute." See?
E-22 And so, that little girl, I looked at her, and I said, "Come on over here, honey." She couldn't understand; she looked to be about nine or ten years old. And I said, "Come on over, honey." And she dropped her little head down; 'course she didn't understand what I was saying. And I--I... She looked up at me again, and put her little head down real quick, kindly childlike. And I motioned to her like this. See? And she put her little crutches out, and raised that leg up and here she come. And I just stood still, and the soldiers stood there just watching what was going on.
She got right up close to me where I was at like that. She just stopped, held her little head down, and her little old ragged skirts hanging down, her little old hair over her face. I learned later she was a little Finnish war orphan; her mother and father was killed. She was living in a tent. And--and I looked, and she looked at me like that. She looked up at me, and great big tears running out of her little eyes, running down her face like that.
E-23 She reached over and got a hold of my coat, and just kissed me on the pocket of my coat. And she pulled her little skirt out like this, her little ragged skirt. She said, "Kiitos." That means thank you. My heart was just up in my mouth; you know how you feel like that. That little kid... And I looked out this way, and I seen her standing out there with no crutches or braces, just praising God.
I said... I believe if I'd have been the biggest hypocrite in the world, God would've honored that child's faith. He sure will; He would have honored it.
And I said, "Sweetheart, I'm going... How can I tell you?" I said, "You are healed, honey. God has made you well."
"Jesus," she said, "Kiitos, Jesus." (That's "Thank you, Jesus.")
I said, "Make you..."
I couldn't know the other words, and so I said, "Make you well. Kiitos, Jesus make you well." She couldn't understand that. And then they...
Here come Brother Baxter at the door, and said, "Come on, come on."
And I--I thought, "Well, God will let her know sometime, so I just went on in. She'd...?... be all right."
E-24 So I went on in, and we had a great prayer line. You just noticed the picture in the book of them big piles of crutches and things, just piling around me like that. Just as soon as that...
What happened that night? There'd been about eight or ten people come up to the platform. And there was a--a kinda of a Lapland woman setting back there, had a cross-eyed baby; she had it laying on the floor. The Holy Spirit moved around, and I couldn't get her. I thought, "Lord, I couldn't say that name; let me spell it out?"
And I started spelling, and a little...?... told her who she was, what all about her like that, and what was wrong with the baby. "Picked it up and look at it," It said. (Spelling it, now.) That she was a... And how she understood it, I don't know. She grabbed that baby up and looked at it, and his eyes just as straight as they could be. She like... She just had a spasm almost, just up-and-down that floor screaming, and where there thousands of people...
E-25 And then Howard (just as Billy does now) my brother, when he touched me on the sides... I just pretty near unconscious under them visions. He touched me like that, "Time to go."
And I started to go away, and Something said, "Wait a minute; call some more."
And I said, "Just a minute, Howard." I said, "Don't take me now."
He said, "Why?"
I said, "Let's call five more people." I said to Mrs. Isaacson... I said, "Call in Finnish the--the--what numbers you have to call." And she called the next and by the grace of God, out of the room, that little girl was the next one with the prayer card. How God in His sovereignty...
E-26 Friends, I'm glad that... The greatest thing that I've ever seen in my life is just submit yourself to God and walk in the Spirit (See?), just day after day, how He will lead you and do things.
And when I seen this little girl come, I thought, "Praise the Lord." They brought her up on the platform and helped her up. And two or three of the ushers brought her up to me, packed her and set her down. I said, "Now, Mrs. Isaacson, watch this." I said, "Now, you just say just the words I say."
And she said, "I will."
And I said, "Sweetheart, Jesus Christ honored your faith out there when you kissed my pocket awhile ago. You was giving respect for things you thought was of God." I said, "God has healed you. Now, you go over there and set down and have some of the ministers or some to take those braces off of you. And you hold your hand on your hip like this." And that would give her something to do to keep her courage. You see?
So I said, "When you come... When you're... When they move the brace, and the big iron hook from under your foot here, when they move that, you let your hand move down your limb just as far as you think that that brace is, shortness of your leg."
E-27 And so I said, "Bring the next person, now." And they brought the next one. And the minister took her over there. Mrs. Isaacson to administrate it, and they took her and begin unbuckling the things.
So, the first thing you know, I heared her scream. Here she come across the platform, both legs just as normal as they could be, them crutches over the top of her head, screaming and carrying on. Oh, my. It was just one thing after another after another after another.
I went home that night, looked down across there, seeing those Finns walk across there, their hands up in the air, praising God. That's when the Angel appeared about the other little boy. You read the story of that in the--in the book. And how that that little boy, laying there dying, doctors had given him up, he was healed the next evening just exactly when the Holy Spirit said he would be healed. And he left and was normally well, living today, still getting letters from them, that the Lord made them well. He still remains Jesus Christ. If we...
E-28 Thank you, my little sister, for this tithing. As a minister, I'm supposed to receive tithing. So, I thank you very kindly, my little girl friend. And may God ever bless you. And don't you let your mommy tell you you're fat. You're not. See? All right. She said in here (I didn't read that.); she said, "Mommy says I'm fat, but I'm not." I don't believe you are either. So, if you are, God give you the desire of your heart, honey, is my prayer, if it means anything to God to you.
E-29 Now, tonight I was going to give an experience that happened. And first, I want to read the--the Word. Now, tomorrow afternoon (What time's the services start, Billy? Two-thirty.) Now, tomorrow at one-thirty, all that wants to be--come in the prayer line, be prayed for, we'll be giving out prayer cards, bringing the entire group like we did last night. That's the way I think my ministry will begin and move on from last night. All of you that want prayer cards, come at one-thirty tomorrow afternoon, not later then--then... Be here no later then two or a quarter after, because all the cards probably be given out by that time, and it won't interrupt the rest of the meeting.
Now, if some of the Messages while I was preaching, if you care for them, the boys has got them here--Brother Goad and Brother Mercier. (Where are they at? Do you know?) On the stand in the back of the building, they got records and tapes. These boys, they belong to them, and they'll be glad to let you have them. And I have searched it over in their sales and so forth...
E-30 I told you the story how the boys got connected with me last night. And I sent to a minister not long ago to get a tape. He charged me nine dollars for it. And I checked these boys, and I think it's about two dollars and a half, or something like that; they make about thirty-five, forty, maybe, fifty cents off a tape--buying the best of the tapes (Scotch tape)--and make the best. If they'd put a big price on them, I'd tell them right now, "No more tape selling." No, sir.
Now, they've got to have something for their handling, 'cause you break up a lot of tapes and everything, then you... They got to live. One of them's a married man, and so we... They got to live, and they have a right to make a little off of them. And then sometimes, they get them damaged and broke, and send them out and don't get paid for them, and... You know how it goes. Just like our books back there: I buy those from the "Voice of Healing" on under forty percent less. And with what we have to pay for selling them, and handling charges...
And I've always said, "If anybody wants a book..." (Give the order to the boys all the time.) If anybody wants the book... And the poor old man walks up and reaches down in his pocket, "How much are they?"
"Well, they're seventy-five cents," Or whatever... dollar, or whatever they're worth. And he says he's got fifty cents.
Tell him, "Dad, take the book and go on; forget about it."
E-31 See? Let it go. That way, the books don't even support themselves. The church has to help me with the books. We... Time we pay for them, and the printing, and the--the wreckage, and tear up, and everything on them, and what we have to give away and things--why, they--they don't... They're not--don't support themselves. And so therefore, we have nothing that we make money out of. Everything that we do...
And myself: My love offering goes to the mission fields. I don't see it. It goes for a good thing. I get one hundred dollars a week from my church, whether in America, out of America, wherever it is, I get fifty-two hundred dollars a year. That's what I live on, and we have to live close with a big family like I got. And I have to live in the church parsonage.
E-32 And we never come here for money; that's not our intention. The only reason we let you buy the books and sell them again, and sell the tapes and that, is because we think that it will further the cause of Jesus Christ. There's no money in it at all. But I will not permit the books or tapes or anything else to be sold on the Sabbath day. That's tomorrow. We will not sell them on Sunday; we never did, and we never intend to do it. And so if you want some of the books, some of the tapes or records, they'll be at the back of the building tonight.
And if you get it, and you don't think... If you haven't got any money, it's yours anyhow. You get it, it ain't worth the fifty cents, or whatever you paid for it, send it right on back, or throw it away and tell us, or give it to somebody else. Give it to somebody else, and send and tell us it wasn't worth it; the money will be refunded back to you. So we don't want nothing that... Any expenses, any thing like that at all. It's nothing
E-33 But the--the love offering is for the foreign fields. I do not receive it myself; it's taken by my field secretary, counted by the ministers, given to him, deposited in the bank. And when I go overseas and so forth, it supports me in foreign fields to bring this same message of deliverance to people that don't even know which is right and left hand. That's where it goes. I never know even what the offerings is, unless somebody tell me. When I get home (I'll be gone a month), so I'll get four hundred dollars when I get back home to pay off my debts and things. Now, that's the way we live, so that you'll understand that we don't have any... No, no, we're not for money or anything like that. And what we have, I want to make it real clear so that you'll understand.
Now, tonight be... I want to take a little text (if I should call it that) to speak from for a few moments. Before we approach It, let us bow our heads just a moment for prayer.
E-34 Heavenly Father, we thank Thee from the very depths of our heart. How the experiences... Lord, I have seen You do in my little meetings--let alone those great men who are on the field, like our Brother Roberts, and Tommy Osborn, and those--I've seen You do enough in my own services to write many Bibles of great things--of raising dead. Let the doctors sign a statement to it. Making the blind, deaf, dumb, foretelling, telling what exactly, watch it happen every time exactly right. You're God, and we know that Thou art God.
Please, Father, if there be in our midst tonight, one who does not believe, may something be done or said tonight, would call to Your seed to surrender their unbelief to Thee and exchange it for a real gallant Spirit of belief from God, the Holy Spirit. Grant it, Lord. You're ready to take away their evil and to give them good. Oh, You're so good, Father; we love You for it.
E-35 We pray that You'll inspire Your ministers everywhere. May they become burning torches to this dark hour that we live in, as we see that so called civilization smothers out the very light of God if it is possible. But yet, that torch will burn in the hearts of people until Jesus comes. Father, add more to the ranks tonight, we pray. Heal all the sick people; all that's afflicted, we pray that Your grace and mercy will rest upon them. Give them Eternal Life in the world that is to come, and give them good health in this world. For it is written in the Bible, "I would above all things, that you prosper in health."
Inspire the churches throughout the valley and everywhere that's--that's represented in this great Holy Ghost revival, that's swept the world. We pray, Father, that You'll revive it again in a great way. Let it start here in Oregon again, a great revival in every church.
E-36 Tomorrow--the Sabbath--may the churches be filled, may the ministers be on fire, may souls be brought in, may many come confessing their sins and require water baptism. Grant it, Father. And may You fill every one with the Holy Ghost that follows Your prescription as we taught it the other night. I pray, Father, that You'll let them know that the promise is unto every generation and "whosoever will, as many as the Lord, our God, shall call." That's what Your prescription said; we believe every word of it. I pray, Father, that You'll grant this to every one. Forgive us of our sins. Take the service into Your hands and get glory to Thyself, in Jesus' Name we pray. Amen.
E-37 Now, I wish to read just a line out of the 4th chapter and 17th verse of Saint Matthew.
And from that time Jesus began... preach and to say, The kingdom... Repent: for the kingdom of heaven is at hand.
Now, I want to take the subject, those three first words: "From That Time." Now, there's all here that can call back to such and such a time. "From that time," we say. Like the little boy, little girl, we can say we were doing a certain thing and such a thing happened, and "from that time" things changed for us. And we could go tonight into the city here and find the most degraded and immoral woman that walked the streets of your lovely little city here in the valley. And I would set down by her, and I'd say, "Lady, I wish you could tell me your story."
And she would start off; she might say something like this: "Brother Branham, there was a day when I was as pure as a lily. And I could hold my head up amongst the people of renown status, and I could go to church, and feel just fine. But there come a time that one night I was out with a certain boy, and he spiked the--the coke for me, and from that time..."
Or it might be that some other girl friend that was not a believer, that got with her and persuaded her off to a certain dance. And she got in the arms of some boy, and from that time... It's always marking from a time.
E-38 Or I might go out here into your city tonight, and find the worst alcoholic that you have. And I would set down by the side of that man--young or old--and I would say to him, "Friend, I would like to ask you something. Why do you throw your life away like this? What makes you drink and do the way you do, when you could be a--a great worker here in the city? You could be a worker in some church, or you could be a real husband to some woman, a father to some children." Or some drunken woman that could be a--a real mother to some children, a sweet loving wife to some husband...
And they'd start like this, and say, "Well, from... I once was a prohibitionist. I had a lovely mother and father who taught against the drinking. And one time I got into a fellowship with a certain boy that was very popular amongst the girls, and I--I--I wanted to be popular too, so I thought we'd join in the drinks. And I went against the teaching of my mother and father. And he persuaded me, 'Tonight if you want to have a good time, you want to get some spirits in you.' And I took my first drink, and from that time..."
E-39 That's the way it starts. Here some time ago in New York, Dr. Berg... He's a pastor now at Sister Brown's tabernacle, Bethany Tabernacle, in New York City, one of the old Pentecostal establishments, one of the oldest in the world. Guess our brethren know of them well.
And there... While I was there, I got to meet Sophia, the wash woman, the Swedish woman that went and worked the bowery with her. I had to lay over two days to get a yellow fever shot; I thought I'd get into Africa without taking it, but they wouldn't even let me pass or get into the airship. And I had to wait two days to go to the Navy yards to take a yellow fever shot.
And Brother Berg said, "What would you like to do?"
I said, "I'd like to visit the bowery."
He said, "All right, we'll go down." Said, "I have several missions down there."
E-40 And we went down, and if I... I think that it would be a good thing for any man to take his son to the bowery and let him see. I think if you was ever in France, take your daughter to Pigalle; let her see how degraded human life can get.
So when I went down to--by the bowery, men laying helpless, flies blowing in his face from vomiting. Oh, dope fiends, alcoholics...
And I said, "Oh, Brother Berg," I said, "perhaps these men here was raised in homes that--that did not care what they do; they was just let loose to run on the street."
He laid his hand across my shoulder and said, "You'd be surprised." He said, "Right in the mission here we're going to, we got out a hundred and eighty that died in there last year. Kept them off the streets, feeding them and so forth, and they finally died; there's no hope for them outside of Christ."
E-41 And then, they're up here, they're too far for that. He said, "Here, this man here." Said, "I know him. Raise him up."
And I went over to him, and I said, "Sir, could I speak to you?"
He said, "Well, he may not be able to speak."
Oh, I just can't say the condition the man was in. He had gotten to a place his clothes from his waist down was in a terrible condition, wet all over. And he was just in a--an awful state, smelling. And I said, "Sir, could I speak to you?"
And Brother Berg shook him. I... He raised up. And he said, "I'm Brother Berg." Well, he didn't know nothing about Brother Berg. He was still on the drunk.
And I said, "I would like to ask you a question." I said, "What type of home was you raised in?"
He said, "Will you give me enough money for a drink?"
E-42 And I said, "I'm a minister of the Gospel. I would not give the money of the Lord to a man to drink." I said, "I... The money that I have comes from the children of God, and it's to be spent for the Kingdom of God. I'll tell you what I'll do: I'll buy you a sandwich; I'll buy you your dinner or--if you'll go with me. But I would just like, as a minister, to ask you."
He said, "Excuse me, Reverend."
And I said, "How did you ever come to be this way?"
He said, "Sir, I doubt whether you'll believe my story."
"Well," I said, "I take you as a man of honor. I--I'll believe your story; you tell me; tell me from your heart."
And he said, "Sir," he said, "I was raised in a Christian home."
And I said, "And then fall into this?"
He said, "Yes, sir." Said, "I had the most lovely family: Three children--two boys and a girl--and the sweetest wife that ever lived." And the big tears begin to run through his old gray beard. He said, "I was the president of this bank over here on a certain corner."
And I said, "Is that so?"
He said, "Go to the bank and ask them."
And he... I said, "Well, what caused you to do this?"
He said, "Sir, reverend sir," he said, "one evening I come home and there was a 'Dear John' letter laying on the table. My wife had left me." He said, "And I--I never drinking, but I thought, 'I got to do something or I'll take a pistol and blow my brains out.' And I started drinking, and here I am."
Thought, "God have mercy." See?
"From that time..." That's what started it. We can always think from a time.
E-43 Then like the young couple that gets married. Oh, they're as loving as they can be. The first thing you know, I'd go to this woman who had left her family, and I'd say, "Lady, what made you leave your family? You had a nice husband."
"Oh," she'd say to me; she'd say, "Brother Branham, I--I--I was as pure as the dew from heaven. I married my husband and came to him a virtuous woman. And he was a grand man; he worked and sweated and taken care of me, and the children was... My little chunky boy, when he was born, I can see hubby now with the little boy on his back--piggy backing riding up-and-down the floor. And oh, if I could only call back again."
I'd say, "Well, what happened?"
She'd say something like this. "Well, it was all right. And one day, a salesman knocked on the door with pretty wavy hair and big brown eyes, and from that time..." See? That's the way it starts; mark a time. That's just the starting of it. Don't you never think that sin lays in the street always in the gutter; sin's dressed up and beautiful. Certainly does. I've always said Satan wears a tuxedo suit, and a stove pipe hat, and carries a cane on his arm. Watch that slick greaser. That's exactly... Satan's no fool, you know. He--he--he knows how to dress up; he makes it a practice. See?
E-44 And then, it ain't always old Charley Barleycorn out there with his hat pulled down; sometimes that's a real honest heart. If he had a--a good start or something to help him along, he'd go right; but not always. I've seen many times, and I've walked with people as ragged as they can be; I look at them... (And I have a way by God to know who likes me and who doesn't. And you know that.)
So, see a man all dirty and everything; I'd rather have him with me many a time then someone dressed up with their (maybe) collar turned around, and pat me on the back, and say, "Oh, Brother Branham, we're for you." And know right then he's a lying. See, see? That's it. I've got no use for a liar. My... You can hide from a thief, but you can't from a liar. So, that--that...
E-45 But when we hit those spots "From that time..." Then New Year's comes along. You all go out and write up a resolution. "Tonight, wife, I'll give you the promise. I'll turn a new page, and I--I'll never drink no more."
And the woman smoked so many cigarettes, till she can't nurse her baby no more, give it nicotine poison, kill it; and she's going to stop smoking on New Year's. The drunk's going to quit drinking on New Year's; the immoral person's going to stop their immorality on New Year's, so forth like that. What do you do? Just turn a new page and turn it back the next day again. See? You... It... You don't get started right. All these things are fine; I have nothing against them. But that...
E-46 Just like in the world--after the First World War... Many of you middle aged men, and about my age... I think I was eight or nine years old when the war ended. And I remember when it--they declared war: 1914, I was a little baby boy setting on a spring wagon. My father had a sack of beans; that's what we lived on--beans and corn bread: still like it. And so, they... Pop was talking about war, and he might have to go to war.
I said, "If them...?... fellows come after you, I'll take this sack of beans and hit them with it." And so, now that's when I was so little.
And then, I remember that when he got me my first pair of shoes, he--he said he was going down, him and mama, to pick them out. I'd been barefooted. You know, the little boys down in the mountains where I was raised just had a, what you call the old hickory--a little apron like or a little shirt when you was a little boy. I wore that till I was about six years old, I guess. And my first pair of shoes, they had the cap across them, that's got them little holes in them.
And I'd always, when I'd get a splinter in my hand, I'd run to Mama, and she'd pick it out like that. And I thought them little holes in my shoes was where they'd took a needle and picked them out of somewhere, 'cause Mama said she had to go down and "pick me out" a pair of shoes. I thought she did it with a needle. So...
E-47 But after the world war, I remember the message come out: "We will never have no more war. War is over." That was good intentions; they meant that. And then, they formed what we know as the League of Nations, taking so many men (soldiers) out of each nation, and they would police the whole earth. That was good intentions, but it didn't work, because it wasn't God's program. Now, we've got what's called the U.N. and what it is setting in the U.N. with the guns on one another almost. It'll never work.
But there is something that, one time you can meet some a certain time and everything will be changed. That's when you meet God, and from that time you're a changed person. A man can meet God and say, "From that time..." You will never be the same after you meet Jesus Christ. Let me assure you that; you'll never, never be the same after you meet Jesus. Then you'd always refer back, "From that time..."
E-48 Let us interview tonight, some people who met God. Let's think of father Abraham. He was just an ordinary man. He came down with his father from Babylon, and dwelt in the valleys of Shinar, in the city of--of Ur, the land of the Chaldeans. He was nothing special; he wasn't any sainted person. He was just an ordinary man like you or I.
And one day... Perhaps he was a farmer out in the fields farming and--or something, and one day, he met God. He never had no more faith than any other man, but when he met God at the age of seventy-five years old, it changed his entire being; because he met God. God told him... Him being seventy-five years old, and he had married his half sister, Sarai; and that time, she was sixty-five years old. And God told Abraham that he was going to have a baby by Sarai.
E-49 Now, that would've been... If it would've been somebody would've walked up and told him (some of his associates) and said, "Abram, you are going to have a baby by Sarai, and she's going to bear a child, and you..."
Abraham would've laughed, and held his sides, and said, "Me, an old man like me? And my wife thirty years there--or twenty years a past menopause? And I've lived with her since she was seventeen years old; she's barren, and I'm sterile. And how can we ever have a baby, and me seventy-five and her sixty-five?" He'd have laughed in the face of his friend. But he met God. And from that time he called any thing contrary to it as though it wasn't. Amen. He'd met God.
E-50 If the sick person can ever meet God, no matter how crippled you remain, how sick you remain, how blind you remain, you meet God, there's something pressed into you, and you don't see any more of these circumstances. You look at what God said. If God could ever--could get us way down through the cares of life into your heart, and instill a faith there, there's nothing in the world will ever shake you from it. When a man meets God, from that time on, he's a changed person.
A hundred years old Abraham was, and he was still calling anything contrary to it as though it was not. The evidence got greater and greater, piled up against him; Sarah was ninety and he was a hundred. He was still giving praise to God, strong, not staggering through unbelief, but was giving praise to God every day that he'd have the baby. Why? God had met him; God was merciful. God confirmed the covenant to him.
E-51 Would we have time to take that confirmation in the 16th chapter of Genesis? Or could we take also over in the 17th chapter when He met him in the Name of Almighty God, which means "El Shaddai," meaning the--of the Hebrew word "the breast of a woman," El Shaddai: "The strong One, the--the Satisfier, the Nourisher."
What an old man, a hundred years old, and God met him and said, "I am El Shaddai."
Now, "shad" means "woman's breast" but "shaddai" means "breasted," plural. Now, He's not only a "breast" God, but He's a "breasted" God: "He was wounded for our transgressions; with His stripes we were healed." If you need salvation, hold on and nurse from that breast of God, His Word, His promise. You'll come bringing yourself from them ruts of sin and immorality, to a godly sainted person. If you're sick, "by His stripes you were healed." Just take a hold of the other promise of God and nurse.
E-52 What does the baby have to do? The baby... We are God's babies. I want you to get this, sisters, you all there. We're God's babies. And what does the baby do when it's sick and fretty? It's real fretty and sick. Now, the only thing you have to do... The only thing that'll pacify it, is for the mother to pick it up, hold it to her bosom, and nurse it. Now, what does the mother do? The mother produces the milk, and the baby (nursing the baby) nurses the strength from the mother to the baby. Then the baby is strengthened by the mother's strength. And when we take a hold of God's promise into our heart, we are nursing God's strength, the strong One. We're nursing...?...
And think of a little baby laying on the mother--bosom of its mother, it'll--it stops its fretting. As soon as it gets a hold of its mother's breast, it stops fretting. It don't fret any more; it's satisfied. It quits its fretting. Then when we get a hold of God's promise when God reveals it to us: "I'm the Lord who heals all thy diseases. Whosoever will let him come." I've kept His hope, then I'm satisfied, as I'm nursing my strength back again from Jehovah, Almighty God, the strength Giver.
E-53 What an encouragement to an old man a hundred years old, as good as dead, and the wombs of Sarah, already closed when she was born sterile. And what a--a message, "I am your strength Giver; I am El Shaddai. You're a hundred years old, but you're just a baby to Me. Lay up here in My arms, and take a hold of My promise; and just don't you never get off such a promise. Then what can you do? As the whiskers get old, as the hair turns gray, you can still nurse and be satisfied that I'll keep My Word."
The doctor can say, "You're getting worse and worse." That don't have one phase to you. You're still nursing from the--the breast of El Shaddai. "God, You spoke it in my heart; You give me the promise. All the devils out of hell can't take it away from me. I'm satisfied that I'll be well. I'm nursing from El Shaddai." Amen.
I tell you, brother, that takes the wishbone out and puts a back bone in there (certainly does), when you get a hold of God.
E-54 When Abraham... When He was confirming the oath, you notice He said, "Take Me a sheave--a sheep, a ram; give Me a ram, and also give Me a heifer of three years. And take these..." And he split them in half, laid them on the side. He said, "Take ye a turtledove and a young pigeon."
But did you notice... I wish we had time to go into it. I'm watching that clock. And I'm... I don't want to get away from my subject, but Abraham took...
Said, "Take the two... or turtledove and the pigeon."
E-55 Now, the turtledove was always, represented or was an atonement for sickness. See, the doves was not separated; the others was separated, because the--the covenant with the Gospel was changed from law to grace, but Divine healing has always remained the same. For leprosy cured, they took a pigeon or a dove, and cut its head off, and poured the blood over on the other one, and it went forth for the cleansing of leprosy, sprinkling, crying "Holy".
Now, notice in this, the doves wasn't separated. Now, notice the symbol Oh, my. I hope you get this. On... When God... Abraham watched all the birds off of it, the fowls of the air, until it--the sun begin to go down. And when the sun went down, meaning time shall be no more. There a deep sleep fell upon Abraham, as does every mortal that's born in the earth: We go into the sleep of death. You do not die; you just go and change your dwelling places.
E-56 Now, a deep sleep fell upon Abraham, and he looked, and before him went a--a smoking furnace. Every sinner that dies and every man that's born in this world comes through sexual birth; it's subject to death. We're all sinned and come short of the glory of God, and every man is born in this world a sinner. I don't care how holy your parents was, you come to this world the same way a sinner or anybody else comes. We are... You are sinful. "We are born in sin, shaped in iniquity, come to the world speaking lies," says the Word. You're--you're--you're whipped to begin with.
And then, every mortal that dies, hell is his resting place. That's all the rest he gets; that come before Abraham. Notice, then beyond that, after death comes hell, but beyond hell come a little white Light. Oh, my. Blessed be the Name of the Lord. That little white Light passed up-and-down between those sacrifices.
He said, "You see, Abraham, what I'm going to do?" He was confirming the covenant with Abraham. Now, maybe I'll explain that quickly.
E-57 Now today, we Americans, how do we do when we confirm a covenant? We go and make a business deal; the first thing you know, I'll reach out and grab a hold of the fellow's hand and say, "Shake on it." That's the way we make a covenant: "Shake. Shake hands. We confirmed it; that's right; we'll agree upon that." That's a covenant.
Now, in Japan... You know how they make a covenant there? They talk it all over, and then get a little saucer full of salt and throw salt on one another. That's a covenant in Japan.
E-58 But in the days of Abraham in the Orient, the way they made a covenant was to take a beast, like a sheep or something, and kill it and cut it apart; and each one went in between these two pieces of the beast. Now, see what the little white Light was doing? And they wrote this covenant: "I do agree to do such and such, and such and such."
Now, when they held this covenant between them, they said, "If we break this covenant... If we break this covenant, let our bodies be as this dead beast that we take it over." Then they took the covenant, and they tore it apart like that, one taking one piece and one another. They could never be duplicated.
You can never duplicate that piece of paper, no matter what you do. It's got to come right back and coincide, the pieces of letter that's tore between. You'd never be able to do it. One carries one and one the other. And when this covenants is confirmed and brought--the oath is confirmed, then they bring these two pieces back together, and they match piece by piece.
E-59 Now, what was the Oriental covenant God was giving to Abraham? That through the seed of Abraham would come the Lord Jesus, the blessed One. God took Him up to Calvary and He tore Him apart, separated His soul from His body. And His body, God raised up on the third day, and took up and set on His right-hand. And on the day of Pentecost, He sent down the Spirit that was in Jesus Christ, the Covenant with the church.
And when the Church comes together in the resurrection, the same Spirit was in Jesus Christ, that was tore out of Him will have to be in the Church. You can't copy anything like It; you can't make nothing different from It. It's got to be the same Holy Spirit that dwelt in Christ. And when the rapture comes, when that body comes, His Bride that was tore from Him, or the Holy Ghost will bring that Bride just exactly dovetail right into the body of Jesus Christ.
And can you see from the days of Luther to Wesley, to Pentecost, and now at the end time, how that Spirit's shaping up? The same signs and wonders that He did on earth is being done in the Church today. It's that covenant that God made with Abraham, and we are Abraham's children. "Being dead in Christ, we take on Abraham's seed and are heirs according to the promise." From that time, the Church had a covenant. Yes, it was different.
E-60 Now, when Moses--a runaway prophet back on the backside of the desert... That man was born to be a prophet. And he was a great man; he studied military achievements. But he tried to work that with all of his intellectuals. Why, he was so smart, he could teach those Egyptian teachers. He was a smart man. Now, back on the backside of the desert, what did he say?
"I failed, so my people are still in bondage. Perhaps I better study up a little bit on my mathematics, or on my strategy, or army strategy, or something or other. I'll go down and take two more years of school, and maybe I'll be able to deliver my people."
E-61 That's just as much as intelligence of him doing that, as it would be to send a man away to learn to be a preacher. God calls men who don't know beans from split coffee. What difference does it make? As long he knows Christ, that's the main thing. If you ever know Him...
I'd rather have somebody with one of my children out here on a--in the sage brush field, somewhere down by an old stump, that didn't even know his ABC's or know which was right or left hand. If he knows Jesus Christ, I'd like to have him by side of my child, before I would any professor that knows a lot of theology, and knows no more about God than a rabbit knows about snow shoes. I want... I'll tell you, brother, what we need today is back to the Bible and the old fashion baptizing of the Holy Ghost back into the church, and so much of this other stuff cut out.
I'm not trying to support ignorance. I mean, if you've got the education plus that, amen. But the educational covenant will fall one of these days, but the covenant with God will last forever and forever and forever. It'll go on through the eons of times into eternity.
E-62 Now, Moses... He didn't have to polish up on nothing; only thing he had to do is meet God. And one day, God come down and got a bush out there, and said, "Come over here, Moses. I want to talk to you." You know, it's some strange thing about. Moses could say, "From that time, something happened."
Look at him. He'd settled down back in behind the mount--beneath the foot of the mountain. And when he did, he married a beautiful Ethiopian woman; and she was pretty, and she'd had a little son named Gershom. And oh, he was just faring all right. He'd married a priest--a priest of Midia, Jethro's daughter, Zipporah, and they--they were getting along fine--had a lovely little family, had plenty of sheep. And he was just going along fine, so he let the people go on. But when God met him, He changed him. Look at him there, this great sheepherder back there, but the morning...
E-63 You know, some things... One thing about it, when a man meets God, you can always tell it. He will do the foolishest things to what he used to do. Look at Moses.
Now, Moses, the next morning after he'd met God in this burning bush and God had told him to go down to Egypt, he said, "First, show me Your glory." And He showed him Divine healing, how He could heal his hand with leprosy. And he was going down to Egypt.
Now look, the next morning, here he was on his road down. Now, he was eighty years old. You know, it taken forty years to school theology into him; it taken God forty years to beat it out of him (That's right.) to take out of him what the world had put in. But God can do it for you in forty seconds, if you'll just let Him do it. But then...
E-64 Now, here he was the next morning. One day a polished scholar, all the wisdom of the Egyptians, and the next morning, look at the scholar. He's got his wife setting in astraddle of a mule; she's got that young-un on her hip. And here he's got a big long...?... He's got a beard like this, his bald head shining, a stick in his hand, going down, limping along, "Glory, glory...?..."
"Where are you going, Moses?"
"What did you say? Huh?"
"Where you going?"
"Going down to Egypt to take over." One man and a baby... But he done it. He did it. Why? He met God. And when the troubles got harder, and the--everything going wrong, he remembered he had met God in that burning bush. That burned in his heart, no matter how bad the Egyptians got, and how much they wouldn't let the children go, how many times they spoiled in the desert, and said, "We would to God..." and wanted to stone him, and...
[Blank.spot.on.tape--Ed.] I believe that didn't bother him a bit, he pressed on toward the promised land, for he had met God in a burning bush. Yes, sir.
E-65 It was the little virgin Mary, just an ordinary little girl, in a meaner city than this is. But she still didn't smoke or drink; she was a virgin. And she... One day she was on her road with a--probably a little bucket under her arm, going down to the public well to get--get some water, the daily supply of water.
Let's just imagine her going along side of the road, walking along, talking, or singing to herself, maybe some good hymn: "The Lord is my shepherd; I shall not want. He maketh me to lie down in green pastures; He restoreth my soul."
E-66 [Blank.spot.on.tape--Ed.] a pitcher it was in them days, instead of a bucket. And all at once the big Pillar of Fire pulled down in front of her. Out of that fire stepped Gabriel, the Archangel. Said, "Hail, Mary. (That means 'Stop. Wait a minute.') Stop, Mary. Blessed art thou among women. You've found favor with God, and you're going to have a baby, knowing no man."
Said, "How will this be?"
Said, "The Holy Ghost will overshadow you. And that holy Thing which will be born of you will be called the Son of God." Amen.
From that time on, Mary was a different woman. That little timid virgin was going around everywhere testifying, "I'm going to have a baby, knowing no man."
E-67 She didn't wait till she was positive; she didn't wait till she felt life; she didn't wait for no positive... The Angel's word was enough for her. She'd met God. Now, that... If you could do that now, if we had more Marys here tonight... If we had Marys that didn't, "Wait till I... See if I miss a little bit better, before I say anything." Before she felt anything or anything else, she just took God at His Word and started praising Him for it. Oh, my. Let's follow her a few minutes. Let's see her right quick.
She had a--a cousin named Elisabeth. And Elisabeth... The Angel told her, said, "Your cousin, Elisabeth's old..." Zacharias was a priest, met him in the temple, standing at the right-hand of the altar, and told him that he was going to have a son by Elisabeth. And she was going to conceive after the days of his ministrations at the temple. And she...
E-68 Why, he doubted. That... Just...?... thinking, that old priest had a lot of examples like Hannah at the temple, and--and Sarah (we just talked about) old and having babies, said: "Oh, this can't be. My wife's too old."
He said, "I'm Gabriel that come from God. You'll be dumb till the day the baby's born. You'll call his name John."
And he was dumb. And he went up there to his wife. She conceived, and she was six months with her without any life in the baby, and she was very much worried. So Mary had heard about this. So I see her little cheeks just as red, as she was going along, just as happy as she could be--no feeling yet.
Jesus never did say, "Did you feel it?" He said, "Did you believe it?" You want to believe it. The time you believe...
E-69 "How precious did that grace appear, the hour I first felt." That don't sound right, does it? "The hour I first believed. When I believed God..." that's how the precious, it did. Oh, God's making His appearance night after night in the meetings and showing the great signs and wonders; oh, it ought to just stir our hearts. Certainly. "How precious that faith appears--grace, the hour I believed."
There went Mary--her little cheeks just as rosy, her little eyes just a sparkling, bright, girded her little self up, and up over the hills of Judaea she went, up into where her--her cousin lived. And I can see Sarah...
E-70 I seen women out on the street... Eating dinner today, I'd--I'd... They'd throwed me out of the restaurant, if I hadn't have turned my back. A woman come in there--to be mother any time--with these little old shorts on, a great big old thing, oh, and smoking a cigarette. And the doctor says it's one of the killingst things. Listen, brother, that's a sabotage. Certainly it is. And doctor's warning that cancer of the throat and lungs, and smoking that right on down to that baby anyway. But that...
But women was different in them days. She went in and hid herself, keep away from the sight of men, and she went in and hid herself. And she was in there for--for six months; little John had never moved. He was formed in his mother's womb. We know that's all together subnormal.
E-71 So she might have raised up the window, a looked out like this, the curtains, and she seen a beautiful woman coming, about eighteen years old. She looked again.
"Oh," she said, "that's Mary. Oh, my." And she grabbed her little shawl and throwed around her, run out there real quick.
And her husband was dumb at that time; he couldn't speak. Run out and took this--took this little shawl and wrapped around her, run out. She was setting back there, knitting little booties and things, you know, getting ready. You know, the little blankets and little needlework. And so she run out, and she said, "Oh, Mary."
E-72 In them days, you know, they hugged one another; they had love one for another. Now days, you don't get it no more.
I was downtown. (My wife ain't here tonight. I've told it and her being here.) Well, I went downtown here not long ago, and some sister said, "Hello, Sister Branham."
I said, "You didn't speak to her."
She said, "Yes, I did."
"Well," I said, "how did she hear you over there on the street, and I'm setting right by you and didn't hear you?"
"Oh," she said, "I smiled."
I said, "A little old silly grin, that ain't nothing. My goodness. Why didn't you speak to the sister?"
E-73 I hate to see that stuff. Sometime ago, I was down in Florida and there was a--a... We was having a meeting out there on some kind of grounds that's owned by a duchess. And they said... One of the managers come up and said, "The duchess wants to see you."
"Well," I said, "who's she?"
And said, "Why, she--she's a great woman here. She's a duchess."
I said, "Well, that... She's just a woman, isn't she?"
Said, "Yes."
Then I said, "Well now, if you're going to give me time to talk to her, what about some of these poor sick people out here that needs it worse?" See? And I said, "What about some of their time?" See?
"Oh," said, "but she--she'll... I'll just have her at the back of the platform."
E-74 And I walked off. She was standing there with a pair of specs in her hand on a stick, holding out like that. Now, anybody with sense knows you couldn't see on--on a glass just holding out like that. Great big woman with enough jewelry on her wrist to send a missionary around the world five times... Yes, sir. Hanging on...
And she said, "Are you Doctor Branham?"
I said, "No, ma'am; no." I said, "I'm Brother Branham."
"Oh," she said, "I am charmed." And she held that big hand up like this.
Now, I got that... I reached up and got her by the big fat hand and pulled it down there. I said, "I'm glad to know you." I said, "Hang it down here so I'll know you next time I see you." See?
That's right. I like a good old fashion pump handle handshake. I--I--I like people to be just what they are. We putting on a lot of this "American dog" as we call it. We are Christians. Let's live like Christians and be men and women, soldiers of the cross. All this here nonsense, it'll be... Huh, I like that good old handshake, when you feel it.
E-75 Paul Rader said one time, he'd left his wife just setting at the table, and they got in a little dispute about somewhere he wanted to take her. (Great Paul Rader, you know, and a good friend of mine.) He said... He--he got kinda of angry, so he--he went to the door, and his wife would always wait there and kiss him good-bye. And he'd go on out to the steps, and go out to the end of the walk, and wave back at her like that, and go on to work.
Said they'd had a little spat at the table about something. And she stood at the door, said he went [Brother Branham makes kissing noise--Ed.] "Bye."
She said, "Bye."
Went on out and went out to...?... and turned around at the gate, waved back, and said she was standing at the door crying. He said, "Bye."
And she said, "Bye."
Went on down the street and said it begin to work on his heart (The Holy Spirit got a hold of him, you know.), got to work on his heart. And he said, "Oh, what if she'd die while I was gone? What if she'd drop dead? What if I'd die? What if I'd get hit on the street here in Fort Wayne 'fore I ever get back? What could I do?" Like that, talking about it like that. Oh, my. Said... He said, "Oh, I got so convicted, I didn't know what to do." He said, "I run back real quick, jerked open the gate, and run, and shoved the door open, and said... Looked around and I said, 'Helen, where are you? Where are you?'"
Said, "I heard a [Brother Branham sniffs--Ed.]" Said, She was standing behind the door." Said, "I looked at her like that." Said, "I never said a word." Said, "I just reached over and grabbed her in my arms, and kissed her. And I said, '[Brother Branham makes a kissing noise--Ed.]Bye.' She said, 'Bye.'"
So he run on out the gate and turned around, looked back. And said, "She was standing in the door, and I said, 'Bye.' and she said, 'Bye.'" Said, "She waved like she did the first time, but the second time she had a feeling in it." So that's just how...
E-76 That's about the way serving the Lord, you know. You've got to put your heart in it; you got to be sincere. You've got to meet God, not go to church and make some cold, dry-eyed confession; go down there and stay down there...
I was raised in a Baptist church, you know that. And we wasn't Baptist like you all Baptist here: Walk up and shake hands, and take the right-hand of fellowship, and put your name on the book, and be baptized. We got down at the altar and beat one another on the back till we come through. We got something, brother. I mean, you need more... You need some Kentucky Baptists, old missionary Baptists out here. I say, they... The only difference I seen between them and the Pentecostal people is they didn't accept speaking in tongues; that's all I know. They...
We come through; we stayed there at the altar, and the old mammies around us crying and praying and beating us on the back until something happened. We stayed there until we died, and was borned again, and become a new creature in Christ Jesus. Yes, sir. Too bad we got... We got to meet God. When man meets God, it's different. He's a... He's a different person from then on.
E-77 There was a leper one time, just full of leprosy. And when he met God, from that time on, he had no leprosy. There was a immoral woman come up to the well one time to get some water. And she seen a--a Jew setting across on the other side. And she let down the pitcher; she was so immoral; she couldn't come out with the decent women. They segregated them then; they don't now. So they just... That's society. So they just put the well... bucket down and started bringing it up like that.
And when she did, she heard someone say, "Bring Me a drink, woman." Or "Woman, bring Me a drink." (That's the way He said it, 'cause the verb's always before the adverb in that country.) But He said, "Bring Me a drink."
And so, she said, "It's not customary for you Jews to ask the Samaritans such. We have no customs to one another."
He said, "But if you knew Who you were talking to, you'd ask Me for a drink. I'd give you water you don't come here to draw."
"Why," she said, "the well's deep and how do you... How you going to draw with any how?"
He said, "The water that I give is Life, Eternal Life bubbling up in the soul."
"Why," she said, "our--our fathers worshipped in this mountain and you say at Jerusalem..."
E-78 And He went on with the--with the conversation until He caught her spirit. When He caught her spirit, He said, "Well, you go get your husband and come here."
She... (Remember, she was a immoral woman.) So said, "Go get your husband and come here."
"Why," she said, "I don't have any husband."
He said, "You've said the truth. 'Cause you've got five, and the one you're living with now is not your husband. In that thou saidst well."
Watch that woman. Quickly, she had met something, the same One that you meet nightly. Would it change you like it did her? She said, "Sir, I perceive that Thou art a prophet." What difference it was to that, to the priest that said He was Beelzebub. She was better trained then half the preachers, and yet a prostitute.
Said, "Sir, I perceive that Thou art a prophet. Now, we know... We Samaritans are looking for a Messiah to come; He will be a God prophet. He will be the Messiah, but He will tell us these things. He will do these same kind of works when He comes." Is that the sign of the Messiah? It was then. See?
Said, "We know... I know that You're a prophet; I perceive You are. We know when the Messiah cometh, He will tell us these things. But Who art Thou?"
Jesus said, "I am He that speaketh with you."
E-79 Now, I want the infidel to tell me one time that Jesus said... Many infidels say, "Jesus never did claim to be the Son of God." He did there. He said, "I am He that speaks with you."
And quickly she left that bucket, and from that time... From that time, she knowed that the Messiah was on earth. Oh, my. If we could only do the same thing tonight. If we could realize that He's not dead. He's alive forever more; He lives to make intercession. "Because I live, you live also." Here it is in us; His Spirit's among us.
From that time, the men of the city believed on God because the woman's testimony. Jesus never did it again down there; He just went down and done it that one time, and all Samaria believed on Him. He never had one healing service; He was saving that for Philip. But from that time on, that woman was changed; that city was changed.
E-80 One time an old fisherman, an old greasy apron around him, his brother, Andrew, brought him up before Jesus. And as soon as he come before Jesus, Jesus said, "Your name is Simon; you're the son of Jonas." And from that time... From that time, that was a different man.
Philip went and found Nathanael and brought him to Him, and He said, "Behold an Israelite in whom there's no guile."
He said, "Rabbi, when did You know me?"
He said, "Before Philip called you, when you were under the tree, I saw you." And from that time... From that time, he was a changed man. Anyone is changed that ever comes in contact with God.
E-81 There was a little old hook-nosed Jew... The Church with the keys had made a great big blunder. They'd went around and said, "Now, let us all come together." (We'll see what good the keys did.) Went around and said, "Let's all come together and select one man who's went in and out from among us from the beginning to take Judas' place, because it's written in the Scripture, 'Let his place be desolate and let another take his bishoprick.'"
And said they cast lots, and it fell upon Matthias, and he never done a thing. That was man's choice. And God went out and He got the meanest little old guy there was in the city to take his place, a little old Jew.
He said, "I'll just show him what I'll make him...?..."
And he... Watched Stephen when he died, that kindy got on to him. Then the next thing you know, he was on his road down. He had a letter in his pocket, said, "I'll get on them holy-rollers. I got the letter right here from the high priest. I'll go down to Damascus, and I'll throw them in jail; I'll do everything I can. I'll stop that screaming, and shouting, and all that carrying on, speaking in tongues and things. I'll get orders; I'll do it." Had a little nose hanging down like that.
God said, "I'll just meet him in the road and change him."
About midday, he was coming along the middle of the road, and the first thing he knowed, that Pillar of Fire appeared before him, and said, "Saul, Saul, why persecutest thou Me?"
He fell onto the ground. He said, "Lord, Who is it that I'm persecuting? What's Your Name?"
He said, "I'm Jesus, and it's hard for you to kick against the pricks."
E-82 And from that time, he got rid of his letter and became one of them. From that time... Yes, it changed him.
Ananias laid hands on him by a vision that he saw, and he received his sight, took him down to the Damascus river and baptized him. He become the--a saint to the Gentile church. God...
Now, look here. How... What he said... When Paul got converted, perhaps the church said, "Oh, look what we got now. We got this great big Paul. We know that that man set under Gamaliel; he's one of the greatest teachers in the land. And he's a Pharisee; he's... Oh, he's a great man. We'll put him up at Jerusalem, and we'll make him the head of the church up there. And we'll take Peter... 'Course the one that's got the keys; he's ignorant. He can't (The Bible said he was a ignorant and unlearned.)... And he's got the keys, so we'll just send him out to the poor dumb Gentiles. That's--that's the one we'll send him too. Because he does a lot of miracles, but this great intellectual man; we'll bring up here at this intellectual crowd."
E-83 Huh, the Holy Ghost sent Paul out to the dumb ones, and made him forget all he ever knowed, and took Peter (the dumb one) and sent him up to the educated ones. What was the matter? They met God, and from that time on the intellectuals didn't count. That's right. From that time on, the record was changed. How God does things just contrary to man's thinking. Oh, my. It... He don't... He does things so simple. Yes, Paul was a changed man.
There was a blind man (we preached on the other night) setting at the gate, begging for alms. And he met God and from that time on...?... There was a maniac over in Gadara, who would tear his clothes off of him, wanted to live in a graveyard. (That's a good place for demons.) So he was laying out there, and they put chains around him. He was so powerful. Look at a man...
E-84 Did you ever see an insane person? Why, he's three times the strength, or four. And if a soul surrendered to the devil would give you four times your strength, what would you be to surrender yourself to the Holy Ghost? How many thousand times your strength it would be. Don't be scared. Why? He walked in the Name of the Lord Jesus; that's the anointing. Meet God and find out what takes place.
This maniac run out there. The devil said, "Go get that little old skinny looking guy coming up there, His shoulders stooped down." Said, "Go get that little old fellow down there. Look at all them people looking around him." Said, "Go down and get him."
Here he run out, and when he did, he met God. And from that time on, he put on his clothes; he was in his right mind. What? When he met God! Friends, there's times when you meet God, it changes every man.
E-85 For just a moment, I'm going to make a confession now. I want you to listen to this. I have been a minister thirty-one years. (I'm closing after this testimony.) I've never been afraid of death since I been a Christian. But what scared me, or worried me, was the time, if I died before Jesus come, I didn't want to be a--a spirit. I--I'm always afraid of anything that looks like a spook; I--I'm--I'm scared of it. So, I--I--I thought when I was... I--I know this body. I thought I'd go to be with the Lord, but maybe I would see one of my brothers. And there they'd go by like a little white cloud, a spirit, the soul of that person.
I'd say, "Oh, there--there's my brother. Oh, if I could just shake his hand. He hasn't got any hand; it's rotted down in the grave. If I could say, 'Hello,' but he ain't got... I can't got... I ain't got no tongue; my tongue's rotted down in the grave. If I could embrace him, but I haven't... I--I'm a spirit."
Oh, that scared me to death. I--I just didn't like that. And I--I--I'm an illiterate person, and I--I can just barely read, got a seventh grade education. And so then I thought, "Well, my if I could just... I hope I live till the Lord comes."
E-86 Now, I knowed when He come back, my body would be resurrected. I know that I'd have a body; all the old age will be gone away. You'll never be old there. No, sir. Every symbol of sin will be taken away, and old age is a symbol of sin. So, everything that represented sin will be taken away, because from the curse... Not that you sinned, but you're one of Adam's race, and you--you turn back to the dust.
And I thought, "If I could just live to see Jesus coming."
E-87 I said to Brother Gene here, and Brother Leo and them many times, Brother Fred, many of my friends, I'd say, "Oh, I hope I live to see Jesus come. 'Cause when He comes, I'll be changed, and I won't have to be that spook. I don't want to be that. No, sir." I--I said, "I'd be... Death's all right, but I--I want to shake hands. I love human beings. I don't love...?... human beings, so I--I'd like to be that."
And the other morning (about five weeks ago now) I'd been out on a meeting and come in. I was tired, and I woke up in the room about seven o'clock. And I said, "We'll go down to the Tabernacle this morning... or in the morning," to my wife. And she was still sleeping, and I kinda raised up the head of the bed and put my hands back like this. And I was just laying there thinking. I said, "Hey, I'm fifty years old. I haven't done nothing for the Lord yet. I got to hurry up and do something." And I said, "Or I got... I--I'll be old after while." I said, "I--I got to hurry and do something; I ain't done nothing for the Lord."
And I said, "But you know, I'd sure hate to... I hate the idea of having to die before He comes." I said, "If He'd just come..." I said, "I--I dread that thought, if I have to go if He tarries for a few years yet, and maybe I don't live to see it, and I'll have to die and become a spirit." Mmm, I didn't like that at all.
E-88 And while I was laying there thinking that, I heard something just as plain as you hear my voice, as I was telling you last night, said, "Keep pressing on."
Well, I--I... first I... It comes in such a way, just like these visions here: You say it, and you don't know you said it. You're speaking, talking; you don't know you're talking. When I see a vision before somebody, I don't know what I said. Only the way I know it, go back to the tape here and find it. See? I don't know what I said, 'cause you're somewhere else in another place, maybe forty, fifty years back down somebody's life or way yonder ahead in somebody's life. See? You don't know; you just don't know you say it.
And I--I said, "I am pressing on."
Said, "Keep pressing on; keep pressing on." Said, "The great reward is at the end of the road."
E-89 Now, I asked permission of the--the chairmen and so forth to say this. I believe it was a vision, but if it was, I've never seen anything like it. I've seen visions since I was about three years old, maybe younger than that. And I've never seen anything like this, never had such an experience to happen to me. I'm reading a book, that the pastor here gave me, of someone else who had a similar experience. I read it, for it said Brother (What was that? Wigglesworth? Or... ) Price--Brother Price had an experience something like that; I wanted to get his book and see what it was. I--I want to find out.
I do not want to say translation, because it would look like (if you would) it was trying to copy of Saint Paul. No, I want to--I want to be just what I am. See? Just... I can't be Saint Paul, but I serve the same God he did. And so...
E-90 I said... It just kept saying, "Press on."
And I--I--I spoke back, and I said, "Well, I'm pressing on."
He said, "The great reward is at the end of the road."
I said, "I realize..." I said, "Who... That must have been my wife." I said, "What did you say, honey?"
I shook her; I said, "Meda? What did you say?" She said, "Huh?" She was asleep.
And I said, "Why, it wasn't her." I said, "Maybe that was the Holy Spirit." I said, "Kind heavenly Father, was You speaking to Your servant? What would You have me to know?"
Nothing spoke. I waited a little while. I heard it again, saying... Seemed like I could hear someone singing that song, "Lord, let me look a past the curtain of time." Did you ever hear it? You know?
Lord, let me look a past the curtain of shadow--of
sorrows and fears;
Let me hear the sweet harbor bells chime.
It would brighten my path,
And it would banish all fear;
Lord, let me look a past the curtain of time.
Seemed like I could hear somebody singing that. I thought, "Wonder what that is?" I was just like I am now.
And I heard something say, "Keep pressing on."
I said, "I will press on."
He said, "Would you like to see a past the curtain?"
I said, "It would help me."
And just then, I felt something happen to me. And I thought, "What's the matter here?" And I looked back, and I could see myself laying on the bed.
E-91 Now, if this--if this hinders you, then God forgive me for telling it. See? I've never told it before, only to my church, my own church. And I looked back... And I hope--by the grace of God, that you don't class me a fanatic. I--I... If I am, I don't know it. I--I don't want to be. You know? But I... God in heaven knows that this is true, as I hold my Bible over it, just as I told you last night about the squirrels. This happened just recently.
I looked back, and I seen myself, and I wasn't moving. And I turned, looked this way; it looked like a little place coming down like this.
And I--I--I say this not as an apology, but I've been pretty hard on women. I've been called a woman hater, but I'm not; I--I'm not. I--I like my sisters, but I don't like to see women acting the way these modern American women are. When I went to Saint Angelo's, the catacombs in Rome, in--in Italy--there was a sign up there by the catacombs said, "Please, American women, put on your clothes before entering this place in honor of the dead." Notice to the American women... Why, it's a disgrace.
They asked me, "Haven't you all got any decent women over there?"
I said, "Oh, sure we have. That's just the... That's that other crowd." See?
But they knowed just as American, that's what it was.
E-92 And so, this... I... I won't have time in this meeting to tell you. In 1933, this is a woman's nation. It's the number thirteen. It appears in the thirteenth chapter of Revelation: thirteen stars, thirteen stripes, thirteen... Everything's a thirteen. Everything is a woman. And remember, THUS SAITH THE LORD there will be a woman rule before the end time. She'll either be President, Vice President, or it'll be the Catholic church as a woman. I've seen her: A great woman, the nation bowed to her. It'll be one before the end time. THUS SAITH THE LORD. Write it down and find out, you young people. See if it happens. If it isn't, I'm a false prophet.
E-93 Now, just remember; that's the end. This America is a woman's nation. It's a place where she's god at free lance, and man says nothing to her. She's bossy; she runs everything, businesses and everything, even got into church on the platform, the pulpit, and running it now. So that, there you go. See, it's been... That's absolutely as unscriptural as--as Cain and Abel... or Abel would be the--like Cain. Certainly, all these things, she's ruler. And she's--she's a goddess. That's true in America.
Not you, sisters... But I was always a little rough with them like that. And maybe I--I thought a little too rough maybe sometimes. But how can I? If you... If you're spiritual, you'll catch it right now. See? How many of you thinks you understand what I mean? Good.
E-94 Look at Elijah. What did he call? He couldn't help it. He's cried out against that Jezebel, did he? How... Here come John the Baptist with his same spirit. How could he have helped crying out about it: "It's not lawful for you to have your brother's wife." It cost him his head. See? God takes His man, but never His spirit. See? It keeps moving on down. The forerunning of the coming of the Lord Jesus, as You spoke down there at the river in the--in 1933 when I was baptizing there, and you see what happened to it. See? It's just exactly what He said it would take place. So you can't help it.
And when I looked, coming running to me, it was, looked like to me, a million of young women, about twenty years old. I never seen such pretty women in all my life. Their eyes looked like stars, their teeth as white as pearls, long hair hanging to their waist, with white robes on down to their feet, and was barefooted. And they were each one... Now, I... (Excuse me now, you women.) Each one of them was running up and throwing their arms around me, and hollering, "My precious brother."
E-95 Now look, God knows when I was a boy... You read my story. When I was seven years old, the Angel of the Lord met me as a whirlwind in that bush that day and said, "Don't never smoke, drink, or defile your body." I never smoked in my life, never drank in my life, and I've got... I know no woman but my wife. And so then, I didn't live immoral when I was a sinner. And... But I... Since I've been a Christian, I've tried to live as straight as I know how to live, and God knows that's the truth.
And--and let me say this: I don't care how saintly a man is, as long as he's human, he cannot take the other sex in his arm (a female) without having a human sensation. And I don't care; you tell me that, and I'll tell you you're telling a story. That's... If you're a red blooded man, if you're really a--a man, it's that way; you can't help it. You're a human. I don't say you'd do anything wrong, now; but the sensation's there just exactly the same.
But in this, it was gone. Praise be to God, it was gone. It was like... like not... when I take my own sister, Delores, in my arms. It wasn't like a mother taking her baby. I--I don't know. It was perfect.
E-96 And I looked and here come a bunch of men, looked like millions of them coming from this a way. And they was all--had on white robes and they had like, shaggy hair hanging around their neck. And they was grabbing me and screaming, "Our precious brother."
I said, "I--I don't know." And I turned around; I looked and there I was laying on the bed. Now wherever it is, it ain't very far from here. If it's another dimension or what, I can't say. But I looked back, and I seen myself laying on the bed; I looked this way, and here was these people. And that...
If I'd say "perfect" that wouldn't make it. If I'd say "superb," I can't find the English word. There was no yesterday, no tomorrow; it was all now: no sickness, no sorrow, no sin, no tiredness. They didn't eat nor drink; they didn't sleep (They didn't have to.), but yet they were beings. And they put their arms around me, I feel it just the same as I feel my own hands like this.
E-97 And I looked pressing through the crowd, and here come my own darling wife. She died when she was twenty-two. And here she comes, Billy's mother. And she come up. I said, "She'll call me her husband."
She was making her way through the women, waving at me like that. I could see those black eyes just a shining. (She was a German girl.) She run up and threw her arms around me. She said, "My darling brother."
And there'd been a real pretty woman standing there, just put her arms around me and said, "Our precious brother."
And then Hope, she put her arm (That was my wife.)--she put her arm around this other woman; she said, "Isn't it wonderful? He's with us now."
I said, "I--I don't understand this." I said, "I--I--I can't under..."
E-98 And these men picked me up, and set me up on a great big high place, and set me down. And they were praising God, none of them kissing me, just embracing me and saying, "Brother, our precious brother."
And I looked and people was coming from everywhere. And I said, "What is this?"
And that voice now, from no one, the same voice that had spoke in the room is still with me. He said, "This is perfect love."
And I've always taught: The evidence of the Holy Ghost is perfect love. See? I believe in speaking in tongues, sure. "But though I speak with tongue in men and angels and have not charity, I am nothing--become a sounding brass and tinkling cymbal." So, when you speak with tongues and got love with it, that'll show you.
E-99 And the love that we would have here would be like starting here from a shadow, of the shadow, of the shadows, into the shadow. And from the shadow to a mist, and to a little moisture, and into a creek, into a river, and then into the ocean. That's where it arrive at there, just perfect, everything. You couldn't die; you couldn't be in sin. Oh, I never... I--I'll never be able to explain what that place was. See? It--it--it just... It was just perfect, beyond perfect. And just then, there was a...
I said, "I--I don't understand what this is."
And a real beautiful woman run up and she said, "Oh, my precious brother," she said, "I'm so happy you've arrived."
And she turned off, and I looked at her, and I thought, "My, how everybody's so pretty and so young and so..." And I said, "What is this?"
And that voice said, "In here all resemblance of old age and everything is brought back to perfection."
E-100 See, we eat food till we get to a certain age. When I was sixteen, I'd eat the sa... Let science answer this from me: I eat the same food when I was sixteen years old, I eat now: beans, bread, potatoes, meat. And every time I eat, I renew my life. Anybody knows, that makes blood cells, and that's how we come here. And now... A doctor setting here would know the same. Then I got stronger, bigger all the time. And when I got about twenty-two (you also), I still eat the same food, and getting older and weaker all the time, putting new life in my body.
Explain to me, scientists. If I'm pouring water out of a jug into a glass, and when it gets half full, I keep pouring more and it keeps going down. Scientifically, tell me about that. What it is? It's an appointment that God made. When you get that age, He's got you just where He wants you, and say, "Come on death; set in." Ask science if you don't start dying after you're about twenty-two years old. No matter how good you eat, you're dying, walking right away. It will finally... Death's on your track right then. But you're growing till you get up that age. From about... You're your best from about fifteen till about twenty-two. That's right.
E-101 These people looked to be just at their peak, just at their best. And I looking at them there and how they were looking. So that... I thought, "Isn't that wonderful?"
And when I seen my little girl, eight years old, when... You remember the night, and you've read it in my story. When I met her, she was a young woman. She said, "Hello, Dad."
And I said, "Dad? Why, you're as old as me. I don't understand."
She said, "Dad, on earth, I was your little Sharon."
And I said, "Where's your mother?"
Said, "She's up at your home waiting for you." She said, "I'll wait here for Billy Paul, my brother."
E-102 And when I come out of the vision... Hope had her arm around me there, and when I come out of the vision (standing in the room) she still had her arm around me. And I wasn't in no vision, no coma; I was standing like I am now. And she was patting me on this shoulder. God is my Judge.
And I said, "Hope, you're still here, aren't you?"
She said, "Billy, promise me you won't worry about me and Sharon."
I was just about to... I had a pistol in my hand a few minutes before that. I'd snapped it all the way around trying to commit suicide. The same day, I tried to lay my hand on a thirty-three thousand volt line when I was working as a electrician. (You know my story.) And the first thing I know, I was on the ground and setting there sweating, not knowing what had happened. That meant God reserving this ministry for you people; I'd have went right then.
And so, she had her arm around me. And I said, "Hope, you're still here." Dark in the room...
She said, "Promise me?"
I said, "I promise you, Hope."
And when she did, she left me. She patted me, kindy hugged me and left me.
I said, "You're still here, Hope, somewhere. Aren't you?"
And I felt around for her. I turned on the light, and I went to every chair and reached around.
I said, "Where are you, honey? Don't leave me; don't leave me."
Went around through the room, feeling for her like that. Just a boy, just been married a little bit, and Billy and Sharon had been born.
E-103 And I seen her. When I seen her this time, she looked the same way. And I was setting there on this place. And I said, "I don't understand this. Why did you put me up here?"
Said, "You was a leader. You were born a leader, to lead people."
And I said, "Oh, my." I said, "Well...
He said, "Well, this is perfection." Said, "This is like the patriarchs when they gathered with their people."
And I said, "Is this... I--I--I--I... This is after death?"
"Yes." And I turned and looked back. There I was still laying on the bed. He said, "This is after death."
And I said, "Oh, then I've died. Well, this is wonderful; this is good for me to be here. I like this."
And then this woman, real pretty girl that just put her arms around me like that. And said, "Just keep pressing on."
And I said, "Well, why... I can't understand it." I says, "Are all these Branham's?" Looked like millions of them. I said, "All these Branhams?"
That Voice said, "They are your converts."
I said, "Converts?"
Said, "You see that woman you're admiring." Said, "She was past ninety when you led her to Christ. Look at her now. No wonder she screamed, 'My precious brother.'"
I said, "Oh, if I could only go back. If I could only have a chance. I would grab them; I'd pull them; I'd persuade them. See? Don't let no one miss this. This is--this is perfection."
E-104 And just then, I looked... And I had an old dog. We used to hunt; he clothed me, put me to school, opossum hunting, coon hunting and things. And when we moved into the city, a policeman poisoned him.
When I patted his grave, when I buried him in our back yard, I said, "Fritz, if there is a place..." I was a sinner, about seventeen years old. I said, "If there is a place called heaven, you'll be there." Later on, I got converted. I always thought...
Now some... I told somebody this, and they said, "An animal being in heaven." Absolutely there's animals in heaven. I want to ask you something knock the criticism out right quick. Tell me what happened to that horses and chariots that come down and got Elijah and went up. Where's that horse at that Jesus come and riding with His vesture dipped in Blood, riding on a white charger? See? Where is that wolf and lamb going to feed together, and the lion eat straw like the bullock? Where's that coming from?
E-105 And I looked coming down across the hill, and there come old Fritz. He looked at me and come up and licked me on the hand, and I patted him. Just then old Prince, my horse, come put his neck around my shoulder and begin to nicker.
I said, "Oh, God." I looked up.
And He said, "All that you ever loved, and all that ever loved you is gathered here."
And I said, "I want to see Jesus. I want to see the One that I've loved and--and worked for."
And they said, "You can't see Him right now; He's higher than this. But someday He will come back. And when He comes, He will come to you first. And you'll be questioned on the Gospel that you preached. And then, if you pass the test, then we will go with you back to Him, back to earth and live together forever in a body, a fleshly body where we'll eat and drink."
And I said, "You mean, He will question me on the Word I preach?"
Said, "Yes." And that Voice speaking to me said it.
And I said, "Well, will Saint Paul be questioned too?"
Said, "Certainly, with his congregation."
I said, "Then if Saint Paul passes it, I will too." I said, "I've preached it just exactly the way he did, not moved one word."
And then those millions screamed out, "We know that, and are resting assured."
And about that time, I heard the Voice say, "Keep pressing on."
And I felt myself slip. I said, "I don't have to go back, do I?"
"Keep pressing on." And I turned and looked at my body; I seen it move. I was coming to and just a moment, I was in the room again.
E-106 Friends, from that time, I've been a changed person. I don't know what you'll think about this, but with my hand on the Bible, that is true. That... Wherever it is... I don't know whether it was here, whether it was a vision. I never had one like it. And let's say it was a little translation. (I don't say it was.) Say my spirit went out and went there. I don't know what it was. If--if that's glorious under that first heaven, what must have Paul saw when he went to the third heaven and come back and said, "Eye has not seen; ear has not heard; neither has it entered the hearts of man what God has for them in store that love Him."
I've been more determined. I've... This is my second revival since then. I've been more determined to do everything that I can to persuade men and women--please be sure of this! If God's love doesn't anchor in your heart supremely, don't you take any sensation or emotion. You be sure that you--you can turn the other cheek, that it-- that God is--Christ is all in all to you. Don't you miss it, my brother.
E-107 Just remember. I'll say this, with the faith that I have in that vision, whatever it was, I'll speak it in the Name of the Lord: Except you have that perfect love, you'll never be there, 'cause nothing could ever be there without it. Your spirit would be out of place there. It couldn't come; there'd be no way for it to come. No more then it would be for a grain of corn to raise up out of the ground without a germ of life in it. No matter how natural it would look, it could not raise.
My friends, you old people, you young people, you don't know what time you're going to leave. We don't know that. But let me persuade you as a Christian brother, that one that loves you: Except you are borned again, and the Spirit of God of love comes into your heart, you'll certainly miss that place. Let me ask you: If God has given me--has given favor between us, and you believe me, I'm honest. What happened, I don't know. But God in heaven, Who's--Who's omnipresent and is here now... When I leave this world, heavenly Father, please let me rest in there until Jesus comes. That's--that's--that'll--that'll be reward enough for me, if I can just rest at that place, till I see Him come.
E-108 And then, it was revealed to me, "If this earthly tabernacle be dissolved, we have one already waiting." We've got one waiting. Brother, sister, that's true. Now, I think I have the Spirit of God. If the Spirit that's on me isn't, I don't know.
Look, let's take the nature of it. Let's take the Pillar of Fire that followed the children of Israel, the One they got the picture of. No doubt many of you have it; if it isn't, pick it up when you go through. Was examined by the Federal Government, the FBI agents of Fingerprint and Document; it's there in the hall. One hangs in the Religious Hall of Art in Washington D.C. as the only supernatural Being was ever photographed. It's been seen on the platform. The saints know it; they've watched it. Millions times millions around the world has watched It move, seen It personally appear on the platform.
E-109 My wife, about six months ago, saw It for her first time. She was on the river that day when it appeared down there. When the article went all over the--the English speaking world on the Associated Press: "Mystic Light Appears Over Local Baptist Minister While Baptizing." Stood there... It talked; people heard It talking back and forth. Thousands of people standing there watching me baptize from my first revival--five hundred converts--in the Ohio River... It was in the paper, newspaper clippings; we have it. Got on the Associated Press, Canada got it, all around over the country. "Mystic Light..."
Now, the scientific world has taken It. Now, they got It three or four different times. Germany has taken It. They taken It down here in California not long ago. That is real men with real cameras.
The German cameraman said, "Wonder if our camera could catch It?"
I said, "You're welcome to try."
And when the Spirit was coming down, they took It coming down, took when It was discerning, and taken It descending back up again. Oh, my. Thousands times thousands fell to the Cross in Germany. And that's where I'm to return back as soon as they... I can get loose to go back into Germany again, there at Lucerne, Switzerland, It's come again.
E-110 Now, watch the nature of It. If a vine... If it... If the first branch... Jesus said, "I am the Vine; ye are the branches." Saint John 15, I believe. Is that right? "I am the Vine."
Now, what did the Vine put forth a branch? The first branch was the Pentecostal church. Is that right? Then the second branch comes forth will be another Pentecostal church. Now, we don't see Pentecostal in all the churches, do we? No. Well, what is it? It's a grafted vine.
You can take a peach tree or you can take a... I'd say a--a orange tree, and graft almost any kind of citrus fruit. You can graft on a... 'most anything, grapefruit or whatmore, but it's the grafted. But if the original Vine itself puts out a branch, it'll bring the same kind of fruit that the first one brought.
E-111 Now, if Jesus Christ is the Vine, and His life... Now remember, His... The vine does not bear fruit; the branch bears fruit, but it's energized by the vine. Is that right? Well, then if the Life of Christ be in us, it'll bring His Spirit and His works. Is that right? It's got to, because it's the Vine of God. Now...
Now, watch this Angel of the Lord. We know that that's true. Now, watch what kind of a nature It has. It bears the same fruit that It did when It was here on earth. Now, It's back in the church, bearing forth the same fruit, making another Pentecostal church, just exactly the way It did the first time. Now, that church sealed their testimony with their blood. They were godly people; they loved God; they stayed with it.
E-112 And whatever you do, whatever you do, friends... Let me ask you. If you believe me to be a servant of God, let me tell you something: Don't you miss that wonderful place. Don't miss it. Let us bow our heads just a moment.
I wonder just now, before we go farther in the service: Is there one here, two, dozen, how many is here that would like to say, "Brother Branham, remember me in prayer right now. Since you've told this, I've had a little fear of death. I--I--I want to have that assurance. I want to raise up my hand to God and say, 'Pray for me.'"
God bless you here, son. God bless you; God bless you, you, you. Yes, all back there, God bless you. God bless you, all over the building, balconies; we see your hands up there. "I want to have that peace that passes all understanding."
E-113 I'm watching, praying. Raise up your hands. Let the Holy Spirit speak. If you die tonight, are you going to go where there's wheeling and wai--wailing and gnashing of teeth? Or you want to enter into that blessed, sweet rest in Him? I say it in the Name of the Lord, with the anointing of the Holy Spirit.
God bless you, honey. God bless you back there; God bless you, sister. Someone else? Raise up your hand. God bless you. God bless you. That's right, God bless you.
I'm watching, just waiting a moment. Everybody with your heads bowed, praying. All right, just keep on. God bless you; I see you. I'm watching something... God bless you; that's fine. All right. Someone else? Just keep waiting.
E-114 Heavenly Father, You see their hands. I was watching, watching something being done. You know all about it, Father. I pray now that Your Spirit will be sweetly upon them. Let them know that just as I have said, may it be that they can say, "From this time on..." Their attitudes has been changed; the hardness that was in their heart has melted away. Sweet peace and Divine love has taken its place. Grant it, Father.
May each one of them receive the baptism of the love of God in their hearts, that they could turn the other cheek, go the second mile. Like He did with spit on His face and thorns on His brow, with heavens and earth in His hands, walked meekly to the cross to die for people who were killing Him. God, how...
Make us that way, Father. Take that stony heart out of us and put a real, sweet, kind heart in us; put a Spirit in us like He's got. Let the Spirit of God rest upon each of these; there's been thirty or forty people raise up their hands. I pray, Father, that You'll give them Eternal Life. May they never be ashamed of You; may they sweetly come to You.
E-115 May they realize now, that something made them raise their hand. What is it? The Holy Spirit. The Spirit of God that's upon them now, caused them to raise their hands to make a decision.
May this night be the night that'll--they can say, "From that Saturday night down there in that school auditorium, I met God. Something happened to me; I've been changed ever since."
Grant it, Father. I commit them to You as the trophies of the message. And You said, "All the Father has given Me will come to Me, and none of them is lost." O Lord, You told me You'd give them Eternal Life and raise them up at the last day, that Eternal Life, that love, that would bring them into the presence of this great place that I had the privilege of seeing a few weeks ago.
E-116 Father, I cannot say what it was. I do not know. You know my heart, that I'm only honest in what I'm saying. You bear me record, Father. And I'll... It's such a sweet place. God, when my days are done, I'd like to see little Joseph be a man that I could place this Bible in his hand. Because the day of his dedication, You spoke. Said, "Joseph, thou art a prophet." I pray, God, that You'll let a double portion of the Spirit on my boy. If You'll just let me live to win souls to You till I get old, then place--place this Bible over into the hands of my son, Joseph, and tell him to continue with the same Gospel. It would be a full life, Father.
Nevertheless, when You're ready for me, amen. What a beautiful rest. I--I long to see that place again. Lord Jesus, may every one that's here tonight, every person that's heard the message tonight, may not a one of them be lost. But may everyone... I see them in there. Then when we run and throw our arms around one another, when there's no difference then between man and woman...
E-117 There's no difference; the--the--the sin streak has gone away with. We're truly then brothers and sisters, where we can live, never sin can enter no more, no evil thoughts, no nothing can ever come to that kind of a place. There can be no defilement. We'll all be one in Christ.
Let us appear there, Lord. Let these old women and old men realize that I have told them the truth. It's--it's--it's truth. Let these young people pattern their life, standing at the crossroads tonight, may they choose the right way that there be no sadness at the day of departing. Grant it, Father. I commit them into Thy hands now, in the Name of the Lord Jesus Christ. Amen.
E-118 You feel real good? You believe that the Spirit of God caused you to raise your hand?...?... Do you believe that it was? You believe that it comes from God? I told you from my heart.
E-119 When I talked to a rabbi here not long ago, he said, "Mr. Branham, you call Him the Son of God." Said, "Far be it from God having a son."
I said, "He was the Son of God."
Said, "God having a son? He was neither Jesus nor a Christ." Said, "He could have been a Jesus, but He wasn't a Christ." (That's the way it was.)
I said, "Sir, would you believe the prophets?"
He said, "Yes, sure I believe the prophets." He was a rabbi, Jewish rabbi, Benton Harbor, Michigan.
I said... John Rhyn had been healed, blind for twenty years, set on the street. He said, "I give John many alms." He said, "What--what power... What authority did you give him his sight?"
I said, "I never give him his sight. He received his sight through faith in the Name of Jesus Christ, the Son of God."
He said, "What Son of God? How could God have a son?"
And I said, "He had a son." I said, "Do you believe Isaiah 9:6?"
Said, "Sure."
I said, "Who was the prophet speaking of? The Messiah?"
Said, "Yes."
I said, "What--what relation will Messiah be to God?"
He said, "He was God. He will be God."
I said, "So was Jesus. He was God made flesh and--and dwelt among us. God expressed Himself through a body. He--He was God made flesh; the Spirit of God dwelt in Him in the fulness. We have it by measure."
E-120 And we watch His life. Now, the Spirit of God is in us, but what it is: We just can't open those little clogged up channels to let the Spirit flow through. Now, the Spirit of God (if It was in the church tonight) would bear record of the Spirit of God. Is that right?
Is there any prayer cards in the meeting? (Did he give out prayer cards? No?) Is there a prayer card? No, there's no prayer cards, but there's a God. His Name is Jesus Christ; He's the Son of God. I believe I have His anointing. The message that I've preached to you, if it's of God, let God vindicate His own Word. I didn't aim to do this. But I--I just feel an urgence for this before I say something else.
How many sick people's in here? Raise up your hand, that you're sick and need God? Raise up your hand. Just raise your hand, say, "I believe."
E-121 Do you believe? If God will come here and do the same works that He did... How many believe that Jesus Christ is the High Priest right now... (The book of Hebrews--is that right, brethren? Is that right?) He's the High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities. How many knows that's the Bible? When is He? Right now. Well, if He is... And the Bible said, (Hebrews 13:8) "He's the same yesterday, today, and forever." Is that right? All right. If He's the same High Priest, then the same yesterday, today, and forever, if you touched Him, how would He act today? If He's the same, He'd act the same way. Is that right?
Then a woman one time, pressed through the crowd and touched His garment, and felt within herself that she was healed, and went out, and set in the crowd.
Many people were touching Him, saying, "Oh, hello rabbi. We're glad to have You here," and so forth. And then this woman...
Jesus said, "Who touched Me?" Peter rebuked Him, but He said, "I perceive that virtue (strength) has gone from Me." And He looked around over the audience, until He found the little woman, told her she had a blood issue and her faith had saved her. Is that right?
E-122 Well now, if He's the same High Priest, wouldn't He do the same thing tonight if He'd be touched? Now, how would He do it? He's the Vine now; we are the branches. Is that right? Well then, He'd act through the branch. If it's a correct branch out of the Vine, it'd act the same way the life was in the Vine. Is that right? Now, you pray; you believe.
I pray; I believe. And upon the stand that I have taken for God around the world... And this ministry of discernment is now leaving, and I'm stepping into a higher ministry of speaking the Word. And you see what God's done? He's put it right back into the lap of the people. Let them come with the right approach and watch what happens. But they've got to have the right approach. Huh, huh? See, no one can heal; He's the Healer. But I cannot say it until He speaks to me. See? But you can speak now with your faith and get your healing if you'll believe.
You just... You go to praying in your heart, "Lord, let him speak to me." See what happens.
And if He will do it, I want each one that raised your hand, come here and stand around the altar and let's make our peace right with God. You pray, have faith.
E-123 Now, heavenly Father, after preaching like that, this is a--quite a change. I pray, Father, that You'll give me strength to relax myself and to relax the people out there, that we together might let Your Spirit work through us. How much good would it do if You worked through me and not through them? There'd be no response. You came to Your own city where You was brought up, and they were offended at You. And You said many mighty works You could not do, because of their unbelief. You're the same tonight, for You're the same yesterday, today, and forever. May all unbelief be taken. May... If unbelief strikes me and says, "It won't work tonight," I resent that. He promised Me, and I believe Him. Now, let the unbelief leave this building, and let Christ prove Himself alive as He said He would do.
Then, Father, if the end comes by morning, then, Lord, they'll go without an excuse. That these people who raised their hands and want You might know that it's the true Spirit of God that's speaking to them in the building tonight. We submit these things to You in Jesus Christ's Name. Amen.
E-124 Now, I take every spirit in here under my control in the Name of Jesus Christ, under the control of the Holy Spirit. Now, you pray.
There's a lady setting right back here, second one in right here, got kidney trouble, praying for her healing. You want to be healed, lady? You believe that God will make you well? You accept it? All right, raise up your hand then. Go home and be well.
Ask the woman if she wasn't praying for her kidney trouble. That's right. Is that right, lady? If that's right, raise up your hand so the people can see.
Now, she hasn't a prayer card. I do not know the woman; I've never seen her in my life. Is that right, lady? Are we strangers to one another? Wave your hand. Now, you have faith and believe.
E-125 Does that make Him the same? What did she do? She touched the High Priest; the High Priest spoke to me and showed a vision, just exactly what He said He would do.
Jesus said, "I do nothing, the... (Saint John 5:19) Verily, verily I say unto you: The Son can do nothing in Himself. But what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise." Is that right? How many knows that's Scripture? Saint John 5:19. Pray, just pray; humbly pray.
E-126 Here, I seen an elderly woman setting right back here, right in the line of my finger. Don't you see that Light hanging over the woman right here? Looky there; just turn your head and look right here. The woman raised up her head. She's rather elderly; she's got gray hair. She's got trouble with her eye. She's had a cat--got a cataract on her eye, and they're going to try to take it off. And she's had a cataract operation before. That's THUS SAITH THE LORD.
Now, mother, that's right, isn't it? If that's right, wave your hand. If we're strangers to one another, wave your hand. There you are. Now, do you believe with all your heart? Now, have faith; just believe God.
E-127 Now, what did she touch? She touched the High Priest. If you'll believe, all things are possible. If thou canst believe... All things are possible to them that believe. I'm watching; just keep praying wherever you are, balcony or wherever you are, no matter. Keep praying. Just say, "Lord, remember me. I'm sick."
Now, don't try to make yourself nervous. Just say, "Lord, I believe the man is telling me the truth. I believe."
Now see, what did the Angel tell me? "If you can get the people to believe you (Not believe me as a man, believe the message I'm telling you. Believe me... ) and be sincere when you pray, nothing will stand before your prayer." That's what the Man said to me.
E-128 I see a woman weeping, wiping tears from her eyes. If she'll believe me as God's prophet (She's setting right here in front of me.) God will make her well. I don't know you, never seen you. But you're not from here; you're from Grant's Pass. If you'll believe with all your heart, you'll be healed. God, she's going to miss it; don't let her miss it, Lord. Mrs. Kruger? I challenge you to believe Him. Have faith.
I don't know the woman; I've never seen her in my life. God knows that. There's no way in the world for me to ever know her. She's just a woman setting there.
If we're strangers to one another, lady, raise up your hand? Well, whatever He told you, is that true? Wave your hand back and forth like this. All right now, if you'll believe...
E-129 I see a woman setting way back here. She's got on a blue and white polka dot dress. She's got a lump in her left side. Have faith; don't doubt. Don't miss it. God... Mrs. Griffith, have faith in God. Believe with all your heart, and God Almighty will heal and make well.
Now, do you believe with all your heart? What do you think about Him?
You believe God can heal, sister? Sure He does. You believe it's going to be gone, your... All right, you can have what you ask for.
Now, do you believe Him? Then the Spirit that taken me over there is the same Spirit that turns here, that the scientific world has got, the first time a supernatural Being was ever photographed. It's a big Pillar of Fire. Like that led the children of Israel, here It is anointing us tonight, doing the same works It did when It was in Jesus Christ upon earth.
"A little while, and the world won't see Me no more," said Jesus. "but you shall see Me, for I ('I' is a personal pronoun.), I will be with you, even in you, to the end of the world," Jesus Christ the same yesterday, today, and forever.
E-130 People, (Oh, God), can't you realize? Don't pay no attention to this little stoop shouldered, bald-headed man standing up here trying to tell you these things. Don't look at me, uneducated, uncouth; don't notice that. Watch the nature of the Spirit that's working through here. Believe the Lord Jesus! It isn't me; I don't know you, know nothing about you. It's Him, Christ fulfilling His Word to what He said He would do.
Remember, the end is drawing nigh. Seek ye refuge while you can, while the doors of mercy is open to the Gentiles. Take refuge; that's THUS SAITH THE LORD.
E-131 I invite every one of you that doesn't have that peace that would take you over there, to come here, stand here by this altar. Every sinner in here, every backslider, I want you to come and stand right here by the altar. If the Spirit of God is here that knows you, surely He'd know what to do.
God bless you, sir. Rise up and come here; see how sincere you are. Would you walk from back there to here, if it'd mean the difference between going to heaven or losing your salvation?
You say, "I'm a member of the church. I've been borned again."
Have you got that love, that assures? Don't take no chance on it. Let us sing now.
I love Him, I love Him
Because He first loved me (God bless you, my brother.)
And purchased my salvation
On Calvary.
E-132 Let every sinner come now. Will you stand here? No matter your church affiliation, your creed, your color, whoever you are.
God bless you, young fellow. May the Lord make a preacher out of you. All right, come. Will you come now, even before we sing the song? You that raised up your hand, wants to find that peace, come. The peace that passes all understanding... Won't you come?
I love Him (It takes His love to take you there.)
I (Stand up now and come on down here, will you?)
Because...
And (Won't you come? There was about thirty hands went up.) salvation
On Calvary's tree.
E-133 Now, just a moment. God bless you that's standing here, you three men. I thought women led the way. Listen. Here's to the church, here is in the Name of the Lord. (I am prophesying.) That's the reason we cannot have revivals; that's the reason the Spirit of God cannot move in the audience; that's the reason my ministry to, seemingly, become unpopular to the people. The Holy Spirit comes and confirms everything that He said He would do, and people will raise their hands and will remain in their seats. It's not sincerity.
Then how can you expect to have a healing service? How can you expect the church to go on to its perfection, when thirty people will raise their hands and three will come. Hear it! That's in the Name of the Lord. America has seen its day; no more will it rise. It's on its downfall. I speak in the Name of the Lord.
I...