Parle à ce rocher et il donnera ses eaux
1 Merci, frère. Vous pouvez vous asseoir. Je suis désolé de vous avoir gardés si longtemps debout en train de chanter, mais je viens de rencontrer là dehors un ami de longue date que je n’avais pas vu depuis des années, frère Noël Jones. Nous avions l’habitude de chasser ensemble là, en Arkansas. Vous m’avez entendu en parler à maintes reprises, le gars aux yeux de lézard, qui pouvait tirer des écureuils alors que moi, je ne les voyais même pas. Ainsi donc, c’est par hasard que je l’ai reconnu. Il a un peu changé et aujourd’hui il est un grand-père, mais j’étais vraiment content de le voir.
Quelqu’un m’a dit, l’un de mes secrétaires dans le champ missionnaire, que–que–que–qu’il y a un autre ami à moi ici ce soir, un ami de longue date, frère Marse des environs–des environs de là–de là à San Francisco. Je me demande si frère Marse voudrait bien se lever, ou lever la main, ou quelque chose comme ça, afin que je puisse… Marse, frère Marse. Que Dieu te bénisse. Je suis vraiment content de te revoir. Que Dieu te bénisse. Oh! un vieil enseignant de la Bible! Je me souviens… Est-ce cette soeur-là qui est avec toi là-bas? Oui, bien, je suis certainement content de–de te voir. Que le Seigneur te bénisse. C’étaient quelques-uns de mes premiers sponsors, quand je suis venu pour la première fois à la Côte Ouest, ça fait beaucoup, beaucoup d’années. Oh ! ceci est devenu une semaine de retour à la maison, n’est-ce pas ? Merveilleux !
2 Bien, nous sommes contents d’avoir notre frère et notre soeur, frère Jones et soeur Jones. Et je me souviens d’eux il y a des années… Je ne pense pas qu’il soit déjà à l’intérieur ; il est derrière, en train de parler avec les autres. Nous… Il m’avait demandé… j’avais passé environ huit jours et huit nuits à la chaire. Il a dit : « Frère Branham, n’aimeriez-vous pas aller chasser un peu ? »
J’ai dit : « Oh ! j’aime bien cela. »
Il a dit : « Bien, je vais vous amener à la chasse », et frère Johnson et moi. Il avait alors un ancien fusil 97. Vous les hommes, vous savez de quoi je parle, c’était le meilleur qui ait jamais été fabriqué. Et alors… Ainsi donc, il avait un autre ancien fusil là qu’ils avaient emprunté, et c’était juste une monture en bois de chêne, vous savez, l’ancien–l’ancien fusil. Et chaque fois que vous tirez un seul coup de canon, cela ouvrait avec secousses le… Il vous fallait amener un bâton avec vous pour donner des coups et repousser la coque, la partie arrière. Et frère Noël m’a dit, il a dit : « Eh bien, Frère Branham, prenez ce fusil. »
J’ai dit : « Non, avec celui-ci, je peux faire mieux que vous. »
Il a dit : « Je vous assure, vous feriez mieux de prendre ce fusil. » Alors, ils ont lâché le chien, et celui-ci a fait fuir environ quinze écureuils sur un arbre, et il a aboyé. Nous nous sommes mis à accourir là où il était, il a dit : « Maintenant, si vous voulez des écureuils, voici votre dernière chance. Vous feriez mieux de prendre ce fusil. »
J’ai dit : « Allez simplement de l’avant. » Eh bien, ce gars avait eu environ trois écureuils du coup. Je n’avais jamais vu autant de tirs de ma vie, des écureuils qui tombaient de partout. Et j’ai tiré une fois, et ce vieux fusil a failli me faire tomber. Je–j’essayais de cogner la coque pour la faire sortir.
3 Nous avons pris frère Johnson quelques jours après cela, et c’était son beau-père, et nous avons dû traverser le–le… une petite rivière marécageuse, c’est comme ça, là loin en Arkansas. Et il... Ainsi, il portait une paire de bottes. Le frère Noël était donc le plus grand, c’était un homme de grande taille et mince, et il m’a soulevé, m’a mis sur le dos et a traversé le marais. Il est revenu et a pris frère Johnson; ce dernier est trapu, il s’est apprêté là, alors je me suis mis à taquiner, et il s’est mis à rire et a fait tomber frère Johnson là en plein milieu d’eau. Oh ! la la ! Oh! que Dieu bénisse frère Johnson, je... Il vient de me dire qu’il est très malade. Ainsi, je prie que le Dieu Tout-Puissant vienne en aide au frère Johnson. C’est son beau-père.
4 Oh! je vous assure, partout où je suis allé, il y a certains de plus nobles et braves coeurs qui battent derrière ces vieilles chemises bleues, là en Arkansas. Vous ne... Combien de gens d’Arkansas sont ici? Faites voir les mains. Bien, toute la Californie est composée des gens de l’Oklahoma et ceux de l’Arkansas, me dit-on. Ainsi... Bien, c’est très bien. Il y a de très braves gens tant en Oklahoma qu’en Arkansas. Franchement, partout vous trouvez le peuple de Dieu, ce sont de braves gens. C’est tout à fait vrai, partout.
5 Nous avons eu une réunion merveilleuse ce matin, une bonne communion au petit-déjeuner des Hommes d’Affaires du Plein Evangile. J’y suis arrivé un peu en retard, mais j’ai eu à jouir des bénédictions du Seigneur. Le Seigneur est descendu et nous a bénis alors que je parlais de La Voie à laquelle Dieu a pourvu pour la communion, et comment Dieu nous a vus à travers le Sang de Son Fils et que nos péchés rouges étaient blancs comme neige.
Eh bien, demain soir... Mes remerciements à celui qui a changé ce service de l’après-midi au soir, parce que, certainement, j’ai prié pour cela. Eh bien, nous ne voulons pas chercher à gâcher les réunions des églises. Nous nous efforçons à tenir nos réunions comme celui de cet après-midi, ainsi les gens peuvent assister aux églises dans… au... à leur propre service. Mais ç’aurait été une journée torride, demain après-midi. Et ainsi, nous sommes très heureux que les ministres congédient leurs églises et tout pour venir à la réunion.
6 Eh bien, vous les visiteurs ici, le matin, trouvez-vous une de ces bonnes églises ici dans la–la vallée et allez-y, partout où vous voyez une bonne église, une église de votre choix. Les prédicateurs, je pense, ont déjà été présentés et tout, et on a dit d’où ils viennent. Allez à l’une de ces églises le matin. Et puis… et aidez-les, car elles vont annuler leurs services, bon nombre d’entre elles, demain soir, pour assister au… à ce service-ci. Que Dieu vous bénisse, mes frères; c’est une chose noble. C’est une précieuse collaboration. J’apprécie cela. Ce sont de telles choses qui touchent le coeur d’un homme et font qu’il veuille revenir une fois de plus pour avoir, on ne sait trop pourquoi, la communion. J’espère qu’il y aura des âmes sauvées, que vos églises prospéreront. Et quel que soit le désir de votre coeur, puisse Dieu vous l’accorder à vous et à vos braves gens qui nous ont apporté cette précieuse collaboration pendant ces soirées chaudes durant ce réveil.
7 Demain après-midi, nous avons l’intention... Je promets une carte de prière à tout le monde qui viendra à la réunion. Nous avons quelques soirées pour le discernement. Nous essayons de nous occuper des cartes après, et alors chaque personne qui serait présente, qui voudrait une carte de prière, pourrait en avoir une ; et je prierais pour chaque personne qui aurait une carte de prière. Tout celui qui voudrait qu’on prie pour lui, je le ferai assurément. Nous essayerons donc de le faire ce soir et demain après-midi, ou plutôt demain soir. Les cartes seront distribuées environ une heure avant le service. Je dirais, si la réunion commence à 19h30’, à 18h30’. Tout celui qui veut une carte de prière, qu’il vienne en prendre à 18h30’. La raison pour laquelle nous faisons cela, c’est mieux pour eux de venir aussi vite que possible avoir la carte, mais nous accorderons un petit espace de temps là, parce que nous ne voulons pas interrompre les autres services.
8 Le secrétaire dans le champ missionnaire, frère Goad, frère Mercier et les autres viennent de m’annoncer, naturellement, que demain ce serait trop tard pour obtenir des bandes ou des livres. Nous en avons fait une habitude de ne jamais vendre le dimanche, notamment ces bandes, les livres et tout ce qu’ils ont. Eh bien, ces choses ne m’appartiennent pas. Elles ne sont pas miennes. Je n’en retire pas du tout de l’argent. Je touche un salaire hebdomadaire de cent dollars à mon église.
Et alors, si seulement nous pouvions nous empresser sur la route du Ciel comme cela, ne serions-nous pas en train de faire quelque chose ? Comme ces courses de vieilles voitures qui se font là, mais je ne pense pas qu’elles peuvent m’étouffer là. Je ne crois pas qu’elles le peuvent. Nous pouvons bien étouffer cela par nos cris. Si en poussant des cris les murs de Jéricho sont tombés, eh bien, un tout petit peu de cris ne ferait pas mal maintenant, n’est-ce pas? Peut-être que les chaînes tomberont aussi.
9 Ainsi, nous nous attendons à ce que demain soir soit une soirée glorieuse. Et maintenant, le… Comme je l’ai dit, je perçois un salaire hebdomadaire de cent dollars à mon église. Et tout autre argent provenant des campagnes va dans la Fondation, et alors, cela est mis de côté de sorte que ça ne soit pas pour moi, ni pour quelqu’un d’autre, c’est utilisé pour les missions à l’étranger. Quand je réunis suffisamment d’argent pour pouvoir aller outre-mer, je vais prêcher aux païens, eux qui ne connaissent même pas qui est Jésus. Et là, nous avons vu les plus grands résultats, nos réunions les plus glorieuses.
A Durban, en Afrique du Sud, j’ai vu trente mille natifs purs recevoir Jésus-Christ comme Sauveur personnel à un seul appel à l’autel ; trente mille. A Bombay, en Inde, là où il y a des musulmans et les autres, c’était difficile à évaluer, aucun moyen de compter. On a estimé à cinq cent mille personnes le nombre de ceux qui étaient dans la ville pour assister aux réunions. Nous ne pouvions même pas les placer quelque part, il y en avait tellement que j’ai dû partir parce que nous n’arrivions pas à trouver un endroit vaste pour les mettre. Nous comptons y retourner bientôt et nous irons jusqu’à New Delhi, là où le – le Président nous offre l’amphithéâtre où nous pouvons mettre un million de personnes, un amphithéâtre à ciel ouvert, avec une vue des montagnes. Nous nous attendons à de grandes choses là-bas.
10 Et là-bas, à ces gens qui ne savent pas…de petits garçons noirs se tenant comme ça ; ils n’ont jamais pris un bain de leur vie, ils ne savent pas distinguer la main gauche de la main droite, ils se tenaient là avec un peu de larmes coulant sur les joues pour entendre une seule fois une histoire d’un Dieu qui les a aimés. Quand vous faites ça, mon ami... Je sais que nous soutenons nos églises ici chez nous. C’est tout à fait vrai. Mais c’est ici où nous avons de grandes églises à chaque coin, avec de très belles flèches, et tout. Et ces pauvres petits enfants, Jésus est mort pour eux de même qu’Il est mort pour votre enfant et pour mon enfant. Il a tout autant faim–il a tout autant faim que nos enfants; et ce n’est pas juste que nous, nous ayons tout, même pour le prestige, et ces pauvres petits garçons n’aient jamais entendu l’Evangile une seule fois. Je pense qu’il est de notre devoir d’apporter Cela... Et si vous ne pouvez pas le faire, les offrandes que vous me donnez comme offrande d’amour qui...
11 J’aimerais que vous sachiez ceci. Je ne sais pas si on a fait face aux dépenses. Je ne prélève pas d’offrande d’amour. Et si on n’arrive pas à faire face aux dépenses, je dois moi-même envoyer quelqu’un emprunter de l’argent pour subvenir aux dépenses. Nous ne quittons jamais une ville étant redevables d’un centime. Ça, c’est mon record ; et si jamais on en arrive au point où Dieu ne parraine pas mes réunions et ne–ne paye pas le tout, alors c’est le temps pour moi de rentrer à la maison pour servir encore comme pasteur au tabernacle. Je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. J’ai toujours compté sur Dieu. Je n’ai jamais voulu, dans mes campagnes, laisser les gens mendier, quémander et supplier. Si les gens aiment Dieu, de pauvres personnes, ils vont... ils soutiendront tout ce qu’ils peuvent. Sinon, je dois alors… j’emprunterai, d’une manière ou d’une autre, à un ami à moi ou quelque chose comme ça, pour payer tout cela.
Et puis, je... S’ils ont tout payé et qu’on est donc quitte, je prélève une offrande d’amour. Je ne la vois même pas. C’est mon secrétaire qui la reçoit et l’apprête, et c’est déposé à la banque, dans un compte bancaire sous le nom du Branham Tabernacle à New Albany, dans l’Indiana, et là, cet argent ne peut pas être utilisé à d’autres fins que pour le Royaume de Dieu, pour soutenir les missions à l’étranger comme je vais prêcher ailleurs. Et quand j’en ai assez là pour aller, alors je file et je m’en vais. Maintenant, je pense que cela permettra simplement aux gens de savoir ce–ce qu’il en est.
12 Ces livres que nous avons appartiennent au frère Gordon Lindsay. C’est pour lui. C’est lui qui les écrit. Nous les achetons chez lui avec une réduction de quarante pour cent par rapport au prix auquel il les revend. Ces jeunes gens qui vendent ces livres sont payés. Ils sont payés pour les transporter. Il y en a beaucoup qui se perdent. Beaucoup sont cédés aux gens. Nous avons toujours des manquants pour les livres. Les jeunes gens vendent les bandes pour le tabernacle. Eh bien, les bandes sont placées sous copyright, et l’enregistrement doit être fait sous les bandes de meilleure qualité. De même que pour les livres, si ça ne satisfait pas, renvoyez-les, récupérez votre argent. Voyez ? Nous... Et puis, le livre... les bandes sont vraiment vendues à bon marché. Les disques et tout ce que vous achetez ne sont pas à moi, ils appartiennent aux autres. Nous ne faisons que les exposer à la réunion.
Et si je ne pensais pas que cela vous aiderait ou soutiendrait la cause, je ne permettrais certainement pas qu’ils soient vendus. Et je mène des enquêtes là-dessus pour voir s’il y a quelque chose qui cloche pour les prix, je les compare à celui des autres, et s’il y a quelque chose qui semble coûter trop cher, j’arrête cela sur-le-champ. Oui, oui. Ce n’est pas à moi. Mais ce soir, si vous voulez des livres ou autres, L’Histoire de ma Vie, Un prophète visite l’Afrique, des sermons, Pareil à l’Aigle qui éveille sa couvée, Avez-vous peur du cancer, tant d’autres, Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Je n’ai point désobéi à la vision céleste, plusieurs de ces livres, si vous en voulez, et les disques, les bandes, vous pouvez les obtenir au fond du bâtiment, quelque part ici. Où est-ce, Gene ? Tout au fond ? Il y a un endroit pour les livres, je pense, là derrière pour que vous puissiez les avoir ce soir uniquement, parce que demain, nous ne les vendrons pas.
13 Maintenant, m’entendez-vous très bien tout au fond ? Là tout au fond ? Oh ! c’est bien. Je... Que le technicien augmente le volume au maximum tant que vous ne provoquez pas une transposition.
Maintenant, L’aimez-vous de tout votre coeur ? Oh ! C’est vraiment bien. Oh ! la la ! Je me sens vraiment religieux pour commencer ce soir.
14 [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… nous voulons lire dans le Livre des Nombres. A vous qui notez les… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] Toute l’assemblée des enfants d’Israël arriva dans le désert de Tsin le premier mois, et le peuple chercha querelle à Kadès (Attendez une minute, j’ai mon… attendez…) le premier mois, et le peuple s’arrêta à Kadès. C’est là que mourut Marie, et qu’elle fut enterrée. Il n’y avait point d’eau pour l’assemblée ; et l’on se souleva contre Moïse et Aaron. Le peuple chercha querelle à Moïse. Ils dirent : Que n’avons-nous expiré, quand nos frères expirèrent devant l’Éternel? Pourquoi avez-vous fait venir l’assemblée de l’Éternel dans ce désert, pour que nous y mourions, nous et notre bétail ? Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d’Égypte, pour nous amener dans ce méchant lieu ? Ce n’est pas un lieu où l’on puisse semer, et il n’y a ni figuier, ni vigne, ni grenadier, ni d’eau à boire. Moïse et Aaron s’éloignèrent de l’assemblée pour aller à l’entrée de la tente d’assignation. Ils tombèrent sur leur visage ; et la gloire de l’Éternel leur apparut. L’Éternel parla à Moïse, et dit : Prends la verge, et convoque l’assemblée, toi et ton frère Aaron. Vous parlerez en leur présence au rocher, et il donnera ses eaux ; tu feras sortir… eux de l’eau du rocher, et tu abreuveras l’assemblée et leur bétail. Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole. Et maintenant, j’aimerais tirer un sujet de là. Quand j’ai vu frère Noel, il m’est venu à l’esprit un vieux passage des Ecritures d’un–d’un message que je prêchais, ça fait beaucoup, beaucoup d’années. J’ai un peu oublié une partie de cela, ce que j’utilisais comme contexte, mais je suis sûr que le Saint-Esprit me le révélera au fur et à mesure que j’avance. Mon sujet, ce soir, c’est Parle à ce rocher et il donnera ses eaux. Il donnera Ses eaux. Remarquez, il donnera Ses eaux. Il donnera Ses eaux.
15 Ça doit avoir été une matinée chaude ; tout le monde était tout confus et frustré, parce que toute la nuit, les bétails avaient beuglé, et les–les enfants avaient pleuré, et les gens s’étaient agités, ils avaient discuté et s’étaient querellés. Le pauvre Moïse, c’était un temps affreux pour lui. Vous voyez, il était descendu en Egypte et avait fait sortir les enfants selon la promesse de Dieu et il les conduisait à la Terre promise, un pays où coulent le lait et le miel, avec la promesse de Dieu de les protéger et de subvenir à tous leurs besoins jusqu’à ce qu’ils soient arrivés dans ce pays glorieux où coulent le lait et le miel.
Moïse, un serviteur appelé de Dieu, un prophète ordonné, avec au-dessus de lui la Colonne de Feu au-dessus de lui le suivant, confirmant par des signes et des miracles les paroles qu’il prononçait sur son chemin vers la Terre promise avec les enfants, un antitype bien précis, ou plutôt un type du voyage d’aujourd’hui. Nous sommes en route vers la Terre promise. Et nous sommes conduits par le glorieux Saint-Esprit. Et de même qu’eux étaient conduits dans le naturel, nous, nous sommes conduits dans le spirituel vers cette glorieuse Terre promise que Dieu avait promise et qu’Il nous a donnée. Dieu leur avait promis de subvenir à tous leurs besoins. Mais leurs pensées charnelles les avaient fait sortir de la volonté divine de Dieu et les avaient conduits au désert.
16 Il y a pas mal de cela aujourd’hui. C’est ça le problème de beaucoup de nos églises. Ils ont choisi la voie charnelle et intellectuelle et se retrouvent à court d’approvisionnement de bénédictions de Dieu pour la guérison, la puissance et le baptême du Saint-Esprit, et ils ont pris le chemin du désert. C’est pourquoi nous avons des disputes, nous faisons des histoires, nous nous mettons dans tous nos états et nous nous plaignons. Mais pour ceux qui demeurent toujours dans la voie, il y a la joie ineffable et pleine de gloire avec Dieu, ils ont Sa Colonne de Feu au-dessus d’eux, ils ont la puissance, la joie et des signes et des miracles. Oh! comme cette église véritablement née de nouveau avance vers la Terre promise, la promesse de la Vie Eternelle, un pays où coule la Vie Eternelle, là où il n’y a plus de maladie, de mort, de tristesse ni rien de nuisible !
17 Eh bien, mais quand les pensées charnelles ont commencé à s’infiltrer parmi eux, finalement cela les a écartés du sentier principal pour les entraîner au désert. Ils ont commis leur erreur fatale quand ils ont refusé d’avancer. Ils effectuaient leur voyage, pas vraiment de beaucoup de kilomètres, ils auraient pu les parcourir en quelques jours avec tous ces deux millions de personnes là dans le désert s’ils étaient restés sur le chemin. Mais une fois arrivés à l’endroit appelé Kadès Barnéa… Kadès Barnéa était autrefois un grand siège du jugement, m’a-t-on dit. On dit qu’il y avait là une grande source, ou plutôt un puits, beaucoup de petits puits, un type parfait de l’église. L’église est le siège du jugement, tandis que le Ciel, c’est le grand Trône du Jugement de Dieu. Et les petits puits représentent les petites églises partout, et le jugement commence dans la maison de Dieu. Voyez ? C’est ici que commence le jugement.
C’est pourquoi… Je ne vois pas pourquoi beaucoup se plaignent du fait que je parle trop durement pour essayer de redresser les gens ; et en dénonçant leur façon de vivre, leur habillement, ils me disent que cela ruine mon ministère, alors que le Trône du jugement, c’est la maison de Dieu. C’est vrai. C’est ici que ça doit commencer, c’est d’ici même, de cette chaire, que doivent être proclamés la justice, la droiture et le jugement de Dieu.
18 Eh bien, quand ils sont arrivés là, ils ont campé. Dieu avait été bon envers eux, Il leur a montré beaucoup de grands prodiges et de grands signes là en Egypte. Pendant leur voyage, Il avait tout mis à leur disposition, mais toujours est-il qu’il leur fallait atteindre ce lieu-là, qui était pratiquement à la proximité de la Terre promise, juste peu de temps après qu’ils était partis. Et quand ils sont arrivés à cet endroit-là, Moïse a pris un homme de chaque tribu et les a envoyés à Canaan pour espionner le pays. Nous connaissons tous cette histoire, comment ils sont arrivés à… deux d’entre eux, là à Jéricho, et comment la prostituée a caché les espions et ainsi de suite, et tout. Quand ils sont entrés dans le pays, ils l’ont exploré pour voir s’ils… la promesse était vraie. Quand ils sont revenus, ils ont ramené des grappes de raisins ; il fallait deux hommes pour en porter une. Je me suis souvent demandé : Si un pays sous une malédiction a pu produire ce genre de raisins, qu’en sera-t-il quand la malédiction sera ôtée ? Quelles grappes de raisins ce sera ! Oh ! la la !
Je–je–je–j’en ai un petit avant-goût de temps en temps. Je prêchais ici il n’y a pas longtemps ; je pensais à cela ce matin, je balbutie souvent, vous savez, je pense, quand je prêche, mais j’ai mangé un peu de ces raisins qui avaient été ramenés, et cela fait que je balbutie un peu, vous savez, comme un cheval qui broute des trèfles.
19 Ainsi donc, quand nous… Quand ils sont revenus, ils ont ramené cette grande grappe de raisins et ils se sont tous rassemblés devant l’assemblée de l’Eternel, et ils ont donné ce rapport : « Oh ! Dieu a dit la vérité ; c’est un pays où coulent le lait et le miel. C’est un bon pays ; c’est un pays de la semence ; tout y poussera. Oh ! c’est un endroit magnifique ; nous avons beaucoup d’eau et de rivières, des irrigations et tout pour en faire une grande nation. Mais, oh ! les–les Amoréens, les Hétiens, et les… tous les autres sont là. Certains parmi eux sont des géants, et nous étions comme de petites sauterelles. » Et quand ils se sont mis à raconter cela, oh ! les enfants d’Israël ont perdu la force. Ils se sont mis à pleurer et à crier ; ils avaient quitté l’Egypte et ils étaient venus là, toutes ces choses, et cela à eu lieu.
Mais il y en avait deux ; sur un total de douze, il y en avait deux qui avaient confiance. Les autres avaient dit : « Nous ne pouvons pas le faire ; nous ne pouvons simplement pas aller plus loin ; nous sommes… C’est impossible pour nous d’affronter ce genre de peuple. »
Mais Caleb et Josué ont dit : « Nous sommes plus que capables de nous en emparer. » Pourquoi ? Les autres, ceux qui étaient du côté intellectuel, considéraient l’apparence de ces géants. Mais Caleb et Josué considéraient la promesse que Dieu avait donnée. Eh bien, tout dépend de ce que vous considérez.
20 Il y a des gens assis ici ce soir qui étaient dans des fauteuils roulants il y a une soirée ou deux. Ils sont debout et marchent maintenant. Cela dépend de ce que vous considérez. Si vous considérez votre affliction, vous n’irez jamais plus loin. Mais si vous considérez la promesse de Dieu, vous avez un droit à chaque bénédiction rédemptrice que Dieu a promise dans Sa Parole ; c’est pour vous. C’est vrai. Le chrétien regarde toujours aux choses invisibles. Chaque bénédiction rédemptrice de Dieu est invisible. Le… Voici toute l’armure du chrétien : l’amour, la joie, la foi, la longanimité, la bonté, la douceur, la gentillesse, la patience. Tout ça, ce sont des forces invisibles qui oeuvrent dans le coeur du croyant. Amen. C’est vrai. Nous regardons aux choses que nous ne voyons pas. Si nous sommes les enfants d’Abraham, alors nous ne marchons pas par la vue ; nous marchons par la foi. Car Abraham a marché par la foi et il a appelé ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient, parce que Dieu l’avait dit.
21 Eh bien, Josué n’avait aucun moyen de savoir qu’il pouvait s’emparer de cette ville. Caleb n’avait aucun moyen de le savoir. Mais voici comment ils croyaient cela, parce que Dieu avait dit : « Je vous ai donné ce pays. J’ai un Ange qui ira devant vous ; mais prenez garde de ne pas Le mépriser parce que Mon Nom est en Lui. Il ne pardonnera pas vos péchés ; Il vous portera dans la cheminée ; Il va hérisser vos plumes. Il va... il fera des choses pour vous. Mais souvenez-vous, suivez-Le. Il vous conduira à la Terre promise. Mais ne Le méprisez pas, ne Le rejetez pas. Croyez en Lui. »
Bon, et puis nous remarquons que lors du voyage, Josué se rendait compte qu’il avait vu ce Grand Dieu vivant là dans cette Colonne de Feu accomplir toutes sortes de miracles. Caleb et Lui avaient vu cela, et ils avaient confiance que Dieu tiendrait Sa Parole. Observez Dieu là, en Egypte : « Je vous ai donné le pays ; maintenant, allez en prendre possession. »
22 Dieu a donné à chaque personne malade ici la guérison divine, à chacun de vous. Jésus a été meurtri pour nos péchés ; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. C’est pour vous. Mais vous aurez à combattre pour chaque centimètre que vous possédez. « Chaque lieu que foulera la plante de vos pieds pendant le voyage, a dit Dieu à Josué–Josué, Je vous l’ai donné. » Les pas des pieds signifient la possession. Entrons ce soir. Amen ! Entrons. Les pas des pieds, c’est la possession. Prenons possession de chaque centimètre de terrain que Dieu nous donne. Si vous n’avez pas le baptême du Saint-Esprit, Pierre a dit : « La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Les pas des pieds, c’est une possession. Allons nous en emparer. C’est pour nous. « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement » ; possédons cela. « Vous les ferez aussi, les oeuvres que Je fais.» Possédons cela. C’est la promesse de Dieu. Ne considérez pas les circonstances. Ne considérez pas combien la chose est difficile. Possédons le pays.
Nous aurons une réunion, comme ce matin nous avons eu une réunion là, et le Saint-Esprit s’est déversé sur le lieu, les gens poussaient des cris, criaient, louaient le Seigneur, et alors quelqu’un est venu et a dit : « Priez pour moi, Frère Branham. » Je lui ai imposé les mains et j’ai prié pour lui. J’ai dit : « Maintenant, allez en croyant. »
Eh bien, voici ce qu’il en est ; c’est facile de sentir la puissance de Dieu, de voir cela quand vous croyez. Mais alors, quand on en arrive à une confrontation, êtes-vous capable de posséder la chose que vous confessez avoir ? C’est ça le problème, frère. Nous devons l’avoir ; nous devons nous en emparer ; c’est pour nous ; mais vous combattrez pour chaque centimètre.
23 Josué a combattu pour chaque centimètre de terrain d’un bout à l’autre du pays. Mais il avait la promesse. Dieu avait dit : « Je vous l’ai donné. » Amen. Qu’il y ait des géants, qu’il y ait des athées, qu’il y ait des infidèles, qu’il y ait des églises froides et formalistes, qu’est-ce que cela change ? Dieu donne la promesse ; emparons-nous-en. C’est pour nous. Cela nous appartient. C’est notre possession. Allons nous en emparer. N’ayez pas peur ; ne restez pas en arrière en disant : « Eh bien, je–je crois que les jours des miracles sont passés. Oh! je ne sais pas. » Ne faites pas cela. Ce n’est pas l’attitude d’un enfant d’Abraham. Peu importe combien c’est dans un temps lointain, la promesse semble subsister. Eh bien, cela a duré 25 ans. Mais au lieu qu’Abraham s’affaiblisse davantage, il est devenu plus fort tout le temps, car il savait que ce serait un miracle plus grand tout le temps.
Et on va prier pour nous un soir, et le lendemain matin, nous avons toujours mal à l’estomac ; nous dirons : « Peut-être que je n’ai pas obtenu ma guérison, il me faut encore passer par la ligne de prière. » Oh ! Et vous vous dites enfant d’Abraham ? Alléluia ! Si Dieu a fait une promesse, Dieu a donné la promesse, et que vous, vous la croyez, peu m’importe ce qui se passe, c’est pour vous. Combattez le diable sur chaque centimètre de terrain sur lequel il se tient ; avancez et emparez-vous-en. Prenez l’épée de la Parole.
La promesse de Dieu est la vérité. Rien ne peut arrêter cela. Ce sont les promesses de Dieu. Il nous a promis cela tout comme Il l’avait fait aux enfants d’Israël. L’Eglise pentecôtiste est arrivée à son Kadès Barnéa. Sommes-nous capables ? Pouvons-nous le faire ? « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Pouvons-nous nous avancer là, nous emparer de la promesse de Dieu et dire : « C’est la vérité ; je réclame cela. C’est ma propriété ; c’est pour moi. Dieu me l’a donné » ?
« Comment allez-vous le faire ? »
« Je ne sais pas ; ce n’est pas mon affaire. »
24 C’est comme une fois quand je prêchais sur Elie. Et un homme m’a parlé après la réunion, disant : « Eh bien, un instant, prédicateur ; je crois que vous êtes un homme plus sain pour croire réellement que ces corbeaux ont amené du pain et du poisson à Elie. »
J’ai dit : « Je crois cela, chaque mot de cela. » J’ai dit : « Les poissons étaient frits et les pains étaient cuits. »
Il a dit : « Comment est-ce que vous… où… Dites-moi alors, mon ami… » C’était un témoin de Jéhovah. Il a dit : « Dites-moi alors, mon ami : où est-ce que ces corbeaux prenaient ces poissons frits et ces pains cuits ? »
J’ai dit : « Ça, ce n’est pas une question à me poser. Ce n’était pas à Elie qu’on devait poser des questions. Tout ce qu’il savait, c’est que quand il avait faim, les corbeaux étaient là pour lui apporter du pain et du poisson et il en mangeait. » J’ai dit : « Il en est de même du baptême du Saint-Esprit. Je ne peux pas vous dire d’où ça vient, comment ça arrive ici, je sais que ça vient, et je m’en réjouis. Et c’est tout ce dont je me soucie. »
Je ne peux pas vous dire comment opère la guérison divine. Je ne peux pas vous dire comment une vache noire peut manger de l’herbe verte et donner du lait blanc, mais j’en bois quand même. Je ne cherche pas à en trouver la formule. Je ne sais pas ce qui amène le Saint-Esprit à se déverser dans une réunion, et les gens parlent en langues et prophétisent, les boiteux sautent de leurs fauteuils roulants, et les malades sont guéris. Je ne peux pas vous le dire. Tout ce que je sais : Dieu a promis cela, et c’est notre possession. Emparons-nous-en et marchons avec. On ne peut pas expliquer la distance qu’il y a jusqu’à la lune ou combien de molécules sont dans un atome. Ça, ce n’est pas leur affaire. Mais tout ce qu’ils connaissent, c’est que Dieu l’a promis ; ils ont la chose et ils s’en réjouissent. Amen.
25 C’est là qu’ils ont commis leur erreur, quand ils sont venus au siège du jugement et qu’ils ont ramené l’évidence d’un bon pays. Je suis si content qu’il y ait des gens, il y a des années, qui ont fait face à tous les formalismes, ils se sont avancés et ont possédé le pays, ils ont eu l’évidence à leur retour, [ils ont dit ] qu’il y avait un pays au-delà de la rivière. Amen. J’en suis si heureux.
Eh bien, ils ont commis leur erreur fatale quand ils ont commencé à murmurer contre Moïse, contre les serviteurs de Dieu et contre Dieu, et ils ont manqué cela. Et, rappelez-vous, aucun de ceux qui avaient murmuré n’est jamais entré dans le pays. Quand Il était sur terre, Jésus a dit : « Vos pères ont mangé la manne dans le désert, mais ils sont tous morts (c’est vrai). Mais Je suis le Pain de Vie qui est venu de Dieu, descendant du Ciel, qu’un homme peut manger et il ne mourra pas. » Oh ! j’aime cela. Il est passé de la mort à la vie, il est devenu une nouvelle créature en Jésus-Christ.
26 Le charnel avait coupé l’approvisionnement de l’esprit. Le charnel avait coupé toute leur joie, tout… ils se sont mis à murmurer et à faire des histoires ; ça les a amenés au désert. S’il y a quelque chose que je hais, c’est le désert. Il y fait chaud ; c’est à peine si quelqu’un peut y vivre, et tout ce que vous heurtez dans le désert a des épines dessus. Toutes sortes de petites vieilles plantes rampantes ont des épines dessus. Savez-vous pourquoi ? C’est parce qu’il n’y a pas d’eau là-bas. Or, si cette même petite plante poussait dans mon pays, ou là dans une contrée pluvieuse, cette petite plante n’aura plus d’épines. Cette petite épine va s’ouvrir et ça sera une belle feuille tendre, quand cela est placé dans un endroit où il y a de l’eau.
C’est ça le problème des églises. Et les soi-disant chrétiens, la raison pour laquelle ils font des histoires, se querellent, se tiraillent, c’est parce qu’ils se sont détournés du pays de la bénédiction, de la fontaine qui ne tarit jamais, du Rocher qui est dans une terre altérée. Et ils sont devenus secs et charnels. Ils aiment piquer et dire : « Les jours des miracles sont passés. C’est une bande de saints exaltés. Pareille chose n’existe pas. » Oh ! laissez-les simplement venir aux eaux une fois. Cela va se dérouler et ils vont devenir tendres, doux, gentils et humbles. Quelque chose se passe quand vous les mettez dans l’eau. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est ce qui se passera. Oh ! le charnel les privait.
27 Ecoutez, voici ce qu’ils avaient fait. Ils avaient laissé des pots d’ails de l’Egypte pour manger la nourriture des anges, mais ils se plaignaient. Pouvez-vous imaginer cela ? Oui, nous le voyons. Ils avaient aussi… ils avaient laissé les eaux boueuses de l’Egypte pour boire de ce Rocher spirituel, néanmoins ils se plaignaient toujours à ce sujet. Ils avaient laissé les médecins vantards de l’Egypte, qui se vantaient de leur grandeur, pour être avec le Grand Médecin, qu’il n’y avait pas… même leurs habits ne s’étaient pas usés, et il n’y avait pas un faible parmi eux quand ils sont sortis du désert, mais ils se plaignaient toujours. Et puis, ils ont quitté les–ils ont aussi quitté les gens qui disaient que les jours des miracles sont passés, pour être avec le peuple qui avait des signes qui accompagnaient les croyants.
Eh bien, n’est-ce pas la même chose aujourd’hui ? Vous sortez de cette histoire froide et formaliste, vous recevez le Saint-Esprit et Dieu vous remplit de bonté, et vous buvez de cette Fontaine qui ne tarit point, et toutes ces choses là, une joie ineffable et pleine de gloire, et puis, vous vous mettez à vous plaindre. C’est vraiment la même chose. La chose suivante, vous savez, vous déviez pour entrer au désert. C’est ainsi que Dieu fait. Exactement comme ça. Cela… le peu… Dieu ne fait pas cela ; les gens font cela d’eux-mêmes. C’est leur propre pensée charnelle qui le fait.
28 Ils avaient vu dix puissants miracles être accomplis là en Egypte : des mouches, des poux, du feu, l’ange de la mort. Ils avaient tous vu cela en Egypte. Malgré tous ces grands miracles qu’ils avaient vu Dieu accomplir, et ils avaient toujours des pensées charnelles. Et puis, ils ont vu la mer Rouge qui s’étendait sur le chemin du devoir. Ils étaient donc en route en train de marcher, ils étaient sortis, la Colonne de Feu était devant eux, et ils se dirigeaient vers la mer Rouge. Et quand ils y sont arrivés, juste dans le chemin du devoir s’érigeait un obstacle. Et la première chose, vous savez, ils étaient pris de peur, et ils ne savaient que faire.
C’est ce que les gens font aujourd’hui. Quand ils sont pris de peur alors qu’ils sont dans l’accomplissement de leur devoir… Ecoutez, frère, permettez-moi de dire ceci : Si vous marchez dans la lumière, que vous êtes en communion avec Dieu, avec Son peuple, et que le Saint-Esprit est sur vous, et que vous rencontrez un obstacle en plein accomplissement du devoir, ne vous arrêtez pas, continuez simplement à vous avancer. Dieu frayera un chemin à travers cela. Ça, c’est l’une des plus grandes expériences de ma vie, c’est voir Dieu. Quand je ne peux passer par-dessus cela, passer sous cela, contourner cela ou n’importe comment, Dieu fraye une voie et je traverse cela. D’une façon ou d’une autre, Sa grâce est suffisante pour nous amener à travers cela.
29 Eh bien, c’est à ce point-là qu’ils sont arrivés et ils ont vu la mer Rouge s’ouvrir, et ils…. Quelle glorieuse chose c’était ! Comment pouvaient-ils murmurer ? Comment pouvaient-ils se plaindre après avoir vu ces miracles ? Comment pouvons-nous nous plaindre aujourd’hui après avoir vu ce que nous avons vu ? De grands réveils, des campagnes de guérison, l’Esprit du Seigneur descendant, un Discerneur. La Bible dit que la Parole de Dieu…et Jésus était la Parole. « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous. » Dieu s’est Lui-même uni, Sa Personne, à Son Empreinte. Et Dieu qui a créé la terre est devenu la terre et a vécu dans la terre. Dieu qui a créé la chair est devenu chair et a vécu dans la chair
Oh! cela devrait attirer les gens. Dieu aurait pu descendre du Ciel avec une cohorte d’anges au garde-à-vous s’Il l’avait voulu. Dieu aurait pu descendre étant un–un homme complètement mûr, avec des anges de deux côtés, descendant le corridor du Ciel en train de sonner de la trompette du Ciel. Il–Il aurait pu faire cela. Il aurait pu venir comme un homme majeur, mais Il a choisi de venir comme un bébé. Il aurait pu naître dans un palais. Il aurait pu être créé au Ciel s’Il l’avait voulu. Mais Il a choisi de venir, pas même en naissant sur un lit. Il est allé dans une mangeoire, sur un tas de fumier, sur un tas de fumier, c’est là qu’Il a choisi de naître. Cela aurait dû être attrayant. Jéhovah pleurant comme un bébé, Jéhovah jouant comme un garçon, Jéhovah travaillant durement comme un homme. Oh ! c’est un grand mystère. C’est un super signe pour les gens. Celui qui veut un signe, c’est le plus grand signe que Dieu ait jamais fait, quand Dieu devint chair et habita parmi les hommes. Un super signe. Certainement que cela aurait dû attirer les gens. Mais ils sont devenus charnels, ils se sont éloignés : « Oh ! oui, je pense que c’est très bien. » Oh ! c’est plus que très bien. C’est la perfection de Dieu à l’oeuvre, se créant Lui-même et s’unissant à Son Empreinte, faisant un tabernacle et vivant dans Son Tabernacle, s’établissant parmi nous et vivant comme nous. Amen ! Dieu, voilà, mais cela n’attire pas l’attention. L’église devient charnelle et dévie, elle passe par-dessus cela, s’éloigne de ces glorieuses choses.
30 Maintenant, nous voyons qu’ils avaient déjà vu ces miracles. Regardez ce qui les accompagnait. Ils avaient avec eux le Rocher frappé; ils pouvaient boire là. Ils avaient avec eux le serpent d’airain pour la guérison. Oh ! la la ! Ils avaient avec eux un–un prophète qui avait la Parole de Dieu. Au-dessus du prophète se trouvait la Colonne de Feu qui les conduisait, et pas une seule fois Cela ne les avait donc délaissés
Gloire ! Oh ! je–j’ai envie de crier. Ecoutez, Cela n’avait pas failli. Dieu ne faillit pas. Il ne peut pas faillir et demeurer Dieu. Il est toujours Dieu. Le Rocher frappé, le serpent d’airain, un prophète, une expiation, un sacrifice, la grâce avait déjà pourvu à toutes choses pour eux.
Et après que Dieu avait accompli toutes ces choses, ils étaient comme beaucoup de gens aujourd’hui, on devait les dorloter. Dieu n’a pas besoin de bébés. Dieu veut des hommes et des femmes.
J’aime le témoignage du vieux Buddy Robinson, il a dit : « Seigneur, donne-moi une colonne vertébrale ayant la taille d’un bloc de sciage. Place beaucoup de connaissances au fin fond de mon âme. Laisse-moi combattre le diable tant qu’il me restera une dent, et ensuite, le mâcher avec mes gencives jusqu’à ce que je meure. » Ce dont nous avons besoin, c’est du courage, pas un bréchet, mais une colonne vertébrale, un coeur vraiment rempli de l’Esprit, rempli du Saint-Esprit, sanctifié par le Sang de Jésus-Christ, vivant une vie, marchant dans le sentier de Dieu, gardant Ses commandements, réclamant chaque promesse comme Sa propriété personnelle. Alléluia !
31 Oh! je sais que j’agis comme un fou, mais si vous vous sentez comme moi, vous agirez de la même manière. Très bien ; en effet, c’est bon. Quelqu’un a dit : « Mon vieux, vous avez perdu la tête. » Eh bien, peut-être que je l’ai perdue, mais si c’est le cas, alors laissez-moi tranquille. Je suis plus heureux comme ça que je ne l’étais autrement. Ainsi, laissez-moi simplement rester comme ça.
Je me promenais dans la ville ; j’ai entendu une fois quelqu’un dire… Il y avait un homme qui descendait la rue, il portait un écriteau sur sa poitrine, comme ceci, comme s’il était en grève quelque part ; il disait : « Je suis fou de Christ. » Et sur le dos, après qu’il est passé, quand vous regardez au dos, il était écrit : « De qui êtes-vous fou ? » Ainsi, je me suis donc posé des questions. Je préférerais être fou de Christ, Le connaître, connaître ceci, que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, qu’un jour quand la mort me prendra, ce dernier grand canal placé là-bas, mon coeur bat à chaque minute qu’il s’approche de ce canal, mais quand j’arriverai là, je ne veux pas y arriver comme un lâche. Je veux marcher là et m’envelopper de la robe de Sa justice, sachant ceci, que je Le connais dans la puissance de Sa résurrection, que quand Il appellera, je sortirai des morts, laissant ces choses dans le passé ; je cours vers le but de la vocation céleste. Gloire. Oui, oui.
32 Frère, nous avons besoin d’un réveil à la Pentecôte du vieux temps, de fond des bois, qui tue le péché comme ceci pour frapper la Californie, tous les autres Etats et les nations dans cette région, qui ramène une fois de plus la puissance de Dieu dans l’église. Nous sommes arrivés à Kadès, un siège du jugement. Toutes ces choses, continuer à faire des histoires, continuer à se plaindre… la Colonne de Feu sur les prophètes (ses paroles étaient parfaites), le rocher frappé, le serpent d’airain, des miracles et des signes qu’ils ont accompli à partir de cela, mais ils continuaient à se plaindre. Oh ! ils mangeaient la nourriture des anges au lieu de l’aïl, et ils voulaient retourner aux vieux pots d’aïl. Cela montrait qu’ils n’étaient pas prêts pour entrer à Canaan. C’est vrai.
33 Vous savez, quelqu’un a dit une fois… je prêchais ; il y avait une femme qui criait, elle avait simplement tenu les mains levées et elle criait, louant Dieu. Le Saint-Esprit était là. La femme était remplie du Saint-Esprit. Comment un aimant peut-il attirer quelque chose si celui-ci n’est pas aimanté à cela ? C’est vrai. Il y avait un homme, un ami à moi, un membre d’une autre église, il se tenait là dehors; il a dit : « Billy, je me réjouissais de ton sermon jusqu’à ce que cette femme s’est levée et a commencé à crier. » Il a dit : « Comment est-ce que tu as pu prêcher pendant qu’elle agissait comme cela ? »
J’ai dit : « C’est à ce moment-là seulement que je peux prêcher, quand je vois que la puissance de Dieu a saisi l’église, a saisi le message. »
Il a dit : « Cela me donnait simplement des frissons sur le dos. »
J’ai dit : « Si jamais vous avez assez de chance d’aller au Ciel, vous allez geler à mort. En effet, là-bas les gens crient, poussent des cris et louent Dieu jour et nuit. Les anges volent de part et d’autre en criant : Saint, saint, saint est l’Eternel. Saint… » Eh bien, laissez-moi vous dire quelque chose maintenant même, mon frère, vous vivez dans le monde le plus calme où vous puissiez jamais vivre. Amen. Si vous allez en enfer, il y aura des pleurs, des gémissements et des grincements de dents. Si vous allez au Ciel, il y aura des alléluias et des louanges à Dieu jour et nuit, tout le temps…?… Ceci est l’endroit le plus calme où vous ayez jamais vécu. Oui.
34 Oh ! comme Dieu veut bénir Son Eglise ! Ils ont vu toutes ces choses, mais ils ont toujours des pensées charnelles. Combien vite ils oublient tous ces miracles quand une–une nouvelle chose se lève ! Quand une nouvelle épreuve surgissait, ils oubliaient tout ce qu’ils avaient vu. C’est ce que nous faisons. Nous tenons une réunion ; la puissance de Dieu peut tomber ; de grands signes et prodiges se produisent ; puis Satan peut venir et vous lancer quelque chose ; vous oubliez que c’est le Dieu du Ciel qui vous a fait crier, qui vous a amené à louer le Seigneur. Vous oubliez le Dieu du Ciel qui vous a fait sortir de… comme un tison, vous oubliez le Dieu du Ciel qui vous a tiré de l’abîme, du rocher, d’où vous étiez tiré. C’est facile de L’oublier…
Laissez-moi vous dire, mon frère, ce qu’il nous faut ce soir, c’est un homme avec une conscience en fer, qui se tiendra là avec la puissance du Saint-Esprit. Peu importe les circonstances, il continue à agiter ce drapeau de la victoire, allant vers la Terre promise. Ce soir, nous avons besoin de ce genre d’Église, cette Église pure, sanctifiée par le Sang de Jésus-Christ, ointe du Saint-Esprit, ayant des miracles et des prodiges, un chant de triomphe royal, alors qu’elle est en route, alors qu’elle s’avance.
Oui, oui, tout ceci, en dépit de tout comportement charnel qu’ils avaient adopté, tout au long du désert jusqu’à cet endroit-là, comme la plupart des églises sont ce soir… beaucoup de pentecôtistes là. Quand il y a de lourds fardeaux, les gens se mettent à crier : « Oh ! que ne serions-nous pas morts en Egypte ! »
35 Eh bien, que s’est-il passé ? Dieu a appelé Moïse et Aaron dans le... Sa Présence, Il est descendu dans Sa gloire de la Shekinah et les a bénis. Dieu a parlé au prophète, disant : « Va parler au rocher. » Amen. Au milieu de tous leurs péchés… Si Dieu était…voulait amener le jugement sur nous, il n’y aurait personne parmi nous qui ne se soit plaint. Nous méritons d’aller en enfer. Nous ne méritons pas notre guérison. Nous ne méritons pas notre salut. Mais au milieu de tout cela, ce même Dieu, qui a pardonné leurs péchés et tous leurs doutes, a continué à dire : « Parle au rocher et il donnera ses eaux. » Amen ! C’est vrai. Peu importe ce qui s’est passé, continue à parler au Rocher. Dans leurs péchés, continue à parler au rocher.
Au jour même où les églises sont toutes très formalistes et très organisées, l’une dit : « Je suis ceci », et l’autre dit : « Je suis cela », et l’une est ceci, cela, et autre ; n’ayez rien à faire avec elles ni avec cela, Dieu est en plein milieu de tout cela, Il continue à envoyer Son Saint-Esprit, Il continue à envoyer Sa puissance, Il continue à guérir les malades, Il continue à manifester le signe du Messie vivant parmi les gens, le même hier, aujourd’hui et éternellement, au milieu de nos querelles charnelles et tout.
36 Regardez-les ; beaucoup parmi eux ont dit : « Eh bien, si donc c’est tout ce que vous pouvez faire… Nous voici en train de camper dans le désert ; nous avons creusé chaque puits, nous avons creusé dans chaque oasis ; et il n’y a pas d’eau. » Et pourtant l’endroit le plus sec dans tout le désert, c’était ce vieux rocher qui était là sur la colline : « Va parler au rocher. » Comme Dieu fait des choses ! Cela confond l’esprit charnel ; ils ne savaient que faire à ce sujet.
Eh bien, l’endroit le plus sec au désert, c’est le rocher. Tout le monde le sait. Eh bien, s’il n’y a pas… s’ils ne pouvaient trouver de l’eau dans ces sources d’autrefois, comment allaient-ils donc en trouver dans un rocher ?
S’ils ne peuvent pas trouver la guérison divine dans la grande église avec ce nom… « S’il n’y a pas de guérison divine dans cette grande église dont nous sommes membres, ou s’il n’y en avait pas dans telle grande église dont nous sommes membres, la vieille source, comment au monde allez-vous en trouver une maintenant, en allant au sommet de la montagne pour parler à ce rocher-là alors qu’il n’y a pas d’eau là pour commencer ? » Mais voici ce qu’il en était; ce qui compte, ce n’est pas l’apparence; il est question de prendre Dieu au Mot. Parlez de toute façon.
Si le médecin vous renvoie, en disant : « Ce cancer va vous tuer, comment serait-ce… pour qu’un homme vous impose les mains ? » Cela ne change rien, comment cela se présente, combien cela paraît de la folie pour la science ; Dieu a dit : « Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. » Peu importe comment cela est considéré…
37 Vous voulez dire qu’en un jour comme celui-ci, où nous avons toute la culture et toute la–toute la culture… Je me suis toujours dit concernant la culture, oui, ce–c’est une grande chose; oui, oui. A mon av–à mon avis, la culture, c’est un homme qui n’a pas assez de cran pour tuer un lapin, mais qui peut en remplir son ventre si quelqu’un d’autre en tue. Eh bien, c’est… Oh ! la la ! Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, ce n’est pas de la culture. Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est du Saint-Esprit pour susciter en nous la foi dans la Parole du Dieu vivant. C’est tout à fait vrai.
En ce grand jour de l’instruction, ce grand jour de la science, qu’est-ce que cela représente pour Dieu ? Eh bien, les gens… Une fois, la science a construit une–une très haute tour, cela allait atteindre le ciel. Et Dieu s’est simplement mis là et s’est moqué de leur ignorance. Et voici ce qu’Il a fait : Il a envoyé un petit mouvement de langues là-bas et a confondu la chose entière. Oh ! Dieu peut simplement faire ce qu’Il veut, n’est-ce pas ? Oh ! Il est Dieu ; Il est Dieu pour toujours, certainement.
38 Remarquez ce qui s’est passé là. Eh bien, alors nous voyons que Dieu a dit à Aaron, au milieu de tout cela, à lui et à Moïse : « Allez parler au rocher et il donnera ses eaux. »
Combien leur pensée charnelle était de la folie ! « Eh bien, si c’est ça le meilleur que vous pouvez me donner, laissez simplement cela tranquille. » C’est comme Elie, un jour, après s’être mis à prier, il a envoyé son serviteur là pour voir s’il y avait un signe de nuage. Ce dernier est allé pour la septième fois, et quand il est revenu, il a dit : « Oh ! oui, il y a un petit nuage à peu près de la taille de la paume de la main d’un homme là à l’ouest, là-bas. »
Il a dit : « Relevez le tonneau ; j’entends le bruit d’une pluie abondante qui vient. » Qu’était-ce ?
Eh bien, le … eh bien, la pensée charnelle aurait rapidement saisi cela et dit : « Eh bien, si c’est ça le meilleur que vous pouvez me donner, si c’est tout ce que vous pouvez faire… »
39 Oh ! frère, combien plus grand en est le signe que nous avons du Dieu vivant parmi nous ce soir ! Comment avons-nous… Nous sommes passés de la mort à la Vie. Le baptême du Saint-Esprit est venu sur nous. Jésus nous guérit. Jésus nous sauve. Jésus nous remplit du Saint-Esprit. Jésus descend et fait des miracles, discerne le coeur, accomplit des signes. La Colonne de Feu, des photos en sont prises ; ça se trouve ici en ce moment. Le même Jésus qui était hier, est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Jésus a dit, quand on Lui avait posé des questions... on a dit : « Tu n`as pas encore cinquante ans, et Tu dis que Tu avais vu Abraham! »
Il a dit : « Avant qu’Abraham fût, Je Suis. » Et Je Suis était cette Colonne de Feu qui conduisit Moïse dans le désert. Quand Il était sur la terre, Il avait dit : « Je viens de Dieu et Je vais à Dieu. Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus ; mais vous, vous Me verrez, car Je (« Je » est un pronom personnel), Je serai avec vous, et même en vous jusqu’à la fin du monde. » C’est vrai.
40 Et après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, environ quelques semaines plus tard, Saul était en route vers Damas, et une glorieuse Colonne de Feu, Celle qui avait conduit les enfants d’Israël, est descendue là devant lui, Elle l’a aveuglé. Il a dit : « Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu ? »
Il a dit : « Qui es-Tu, Seigneur ? »
Il a dit : « Je suis Jésus et il te serait dur de regimber contre les aiguillons. » Qu’était-ce ? Il était venu de Dieu, Il a habité dans la chair, Il est retourné à Dieu. Cette même Colonne de Feu, ce même Saint-Esprit est avec nous ce soir, accomplissant les mêmes oeuvres, les mêmes signes, tout le reste, le même, prouvant qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. La femme pouvait toucher le bord de Son vêtement. Oh ! on peut dire à un homme qui il est, ce qu’il a fait, comment s’en sortir, tout cela par la puissance du Dieu vivant qui demeure parmi Son peuple. Amen. Très bien. Parlez simplement au Rocher.
41 Considérons quelques personnes qui ont parlé au Rocher. Voyons ce qui s’est passé. Le premier homme qui a jamais parlé au Rocher, c’était un homme qui avait été lié par une théologie. Il s’était confectionné un vêtement en feuilles de figuier : Adam. Il s’est dit : « Ça marchera tout aussi bien que n’importe quoi. Mais quand il s’est trouvé face à face avec Dieu, il a découvert qu’il était nu. Qu’avait-il fait ? Il a parlé au Rocher, et le Rocher a fait une échappatoire pour lui, ce Rocher qui était en Eden.
Il y eut Noé, un autre homme qui avait prêché, et les gens l’ont méprisé et se sont moqués de lui. Un jour, il a parlé au Rocher, et le Rocher l’a fait entrer dans l’arche, l’a caché dans Ses bras, l’a fait naviguer par-dessus la tempête, et Il a noyé le monde qui persécutait. Oui, oui, Noé…
42 Il y eut une fois un homme du nom de Daniel qui était dans la fosse aux lions. Il était allé à Babylone, et il s’est dit qu’il ne se souillerait pas avec les mets du roi. Il n’allait rien avoir à faire avec le monde, bien qu’il fût forcé de vivre parmi ces gens. Mais il n’allait pas se souiller ; il résolut de ne pas le faire. Et un jour, le roi l’a jeté dans la fosse aux lions parce qu’il accomplissait ses devoirs, mais il a parlé au Rocher, et cette Colonne de Feu est descendue et l’a préservé des lions toute la nuit, parce qu’il avait parlé au Rocher avant d’aller dans la fosse.
Il y eut les enfants hébreux qui ne voulaient pas se prosterner devant les statues du roi Nebucadnetsar, et on les a jetés dans la fournaise ardente, mais ils ont parlé au Rocher et un quatrième Homme s’est tenu là dans la fournaise ardente, le Rocher des âges. Alléluia ! David a dit : « Si je me couche au séjour des morts, Il sera là. Si je prends les ailes de l`aurore, et que je m’envole… »
43 Observez Agar. Elle avait été chassée de chez elle. Elle avait un petit garçon qu’elle allaitait, Ismaël. Elle est allée au désert, il n’y avait pas d’endroit où aller, l’eau était épuisée, que pouvait-elle faire ? Elle avait grandi dans un foyer où on connaissait le Rocher, et qu’avait-elle fait ? Elle ne voulait pas voir l’enfant mourir, elle a donc pris le petit enfant, l’a couché sous un arbre, et elle s’est éloignée à une portée d’arc, elle est tombée sur ses genoux et a parlé au Rocher, et le Rocher a fait jaillir Ses eaux, et l’enfant a été sauvé. Et jusqu’à ce jour, Beer Schéba est toujours là, cette fontaine, que je… « Le Dieu qui m’a vue. » Elle a parlé au Rocher pour son enfant qui se mourait. Pouvez-vous parler au Rocher ce soir ? Lui parlez-vous ? Savez-vous quelque chose à ce sujet ?
44 Josué, il a traversé le Jourdain après qu’il avait pris cette grande décision ; il avait calmé le peuple, disant : « Nous sommes capables de nous en emparer. »
Dieu a dit : « Josué, c’est toi qui sais tout à ce sujet. Je vais bien te laisser conduire les enfants par la suite. » Il est allé à sa première campagne ; il s’est buté aux murs de Jéricho ; il en a fait le tour et a dit : « Eh bien, comment vais-je les franchir? Comment vais-je escalader ces murs ? Ils ont toutes ces pierres et autres posés là, leurs arcs et autres prêts à lancer, et nous voici ici pratiquement sans armes, nous n’avons que le butin obtenu dans notre voyage. Et nous voilà. Comment vais-je le faire ? » Et après un moment, il a vu un Homme debout avec Son Epée dégainée. Josué a dit : « Qui es-Tu ? Es-Tu notre ennemi ? Es-tu l’un de nous ? »
Il a dit : « Non, Je suis le Capitaine de l’Armée de l’Eternel. » Et Josué a parlé au Rocher. Et un cri a retenti, et les murs se sont écroulés, parce qu’il avait parlé au Rocher.
45 Plusieurs centaines d’années plus tard, il y eut un pauvre aveugle mendiant assis sur l’une de ces pierres qui étaient tombées de ce mur-là. Oh ! la la ! L’église, par ses explications, avait nié le fait de parler au Rocher ; une telle chose n’existait pas. Mais lui était assis là, aveugle, méditant sur cela, sur cette route-là, comme il savait qu’Elie et Elisée, la main dans la main, avaient emprunté cette même route, allant au Jourdain. Juste de l’autre côté, Josué avait parlé à ce Grand Capitaine de l’Armée de l’Eternel. Il a dit : « Oh ! si j’avais vécu en ce temps-là, je Lui aurais aussi parlé. »
Et à peu près en ce moment-là, un bruit s’est fait entendre. Vous savez, généralement, il y a beaucoup de bruit là où se trouve Dieu. Je ne sais pas pourquoi, mais il y a beaucoup de bruit là où Dieu vient. Voilà venir ce même Capitaine de l’Armée de l’Eternel. Les gens essayaient de le faire taire, mais il a parlé au Rocher et le Rocher lui a restitué la vue. Il… Les gens ont essayé de le faire taire. Ils ont essayé de le calmer, alors qu’il était assis là en train de trembler, ses pauvres petites jambes nues étendues là sous le soleil, et ses pauvres petits bras desséchés, et–et ce vieux manteau en lambeaux ; mais il a jeté ce manteau d’un côté et de l’autre, et il est parti. Mais pourquoi ? Il était prêt à parler au Rocher, et le Rocher lui a restitué la vue. Alléluia ! Ça, c’est un avertissement à chaque homme aveugle ici ce soir ; que vous soyez aveugle spirituellement ou physiquement, parlez au Rocher. C’est un Rocher qui restitue la vue. Amen. Parlez au Rocher. Oui, oui. L’aveugle…
46 Une fois, il y eut une femme qui était partie au puits puiser de l’eau. Elle était dans un sale état; c’était une prostituée. Elle a vu un Homme assis là contre le mur, et elle ne savait pas qui Il était. Un moment après, l’Homme lui a dit : « Femme, donne-Moi à boire. » Il s’est mis à lui parler jusqu’à ce qu’Il découvrît ce qu’était son problème. Il a dit : « Va chercher ton mari. »
Elle a dit : « Je n’en ai point. »
Eh bien, Il a dit : « C’est vrai ; tu en as eu cinq ; et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. »
Elle a dit : « Seigneur, je vois que Tu es prophète. Nous savons qu’un jour un Rocher, appelé le Messie, viendra et fera ceci. »
Il a dit : « Je Le suis, Moi qui te parle. » Et je peux la voir laisser tomber cette cruche d’eau, ses beaux grands yeux brillent, elle est rentrée dans la ville, sachant qu’elle avait parlé au Rocher. Alléluia ! Et elle a trouvé de l’eau qu’elle n’était pas venue puiser à ce puits-là. Oh ! elle avait parlé au Rocher.
47 La petite Marthe, un jour, son frère était décédé, et il avait été enterré, il a fait quatre jours là dans la tombe, il était déjà décomposé, les verres rongeaient son corps, et elle a entendu dire qu’il y avait quelque chose dans la ville, que Jésus était venu. Elle est partie là où Il se trouvait ; elle est tombée devant Lui et a dit : « Seigneur, si Tu avais été là, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera. »
Il a dit : « Ton frère ressuscitera. » Pourquoi ? Elle avait parlé au Rocher (Amen !), et cela a fait sortir la mort de cette corruption ; Il a réprimandé la mort et a ramené la vie. Là, un homme qui était mort depuis quatre jours s’est levé et a de nouveau vécu, parce que la femme avait parlé au Rocher.
Un soir, les disciples étaient sur la mer. Il n’y avait plus d’espoir ; et que s’est-il passé ? Ils avaient vu quelque chose, on dirait un esprit, qui venait vers eux. Et ils ont découvert que c’était le Rocher, et ils ont parlé au Rocher. Il y avait un nouvel espoir, et ils sont partis. Et tout a été épargné, parce qu’ils avaient parlé au Rocher.
48 Jaïrus, le petit sacrificateur. Sa fille était morte ; il n’ y avait plus d’espoir. Il lui est aussitôt arrivé de penser à quelque chose. Sa femme l’a vu courir prendre son chapeau. « Où vas-tu, Jaïrus ? » Le médecin était en train de quitter la maison ; il avait déclaré qu’elle était morte ; son coeur s’était arrêté ; elle ne respirait plus ; elle avait été malade pendant plusieurs jours ; maintenant, elle était morte. Elle a dit : « Où vas-tu maintenant ? Pourquoi as-tu pris ton chapeau ? »
« Une pensée m’est venue tout à l’heure à l’esprit ; je sors parler au Rocher. » Et le Rocher a ramené la vie dans sa fille. Alléluia ! Voilà notre Dieu.
49 Si vous avez besoin de vie, parlez au Rocher. Si vous avez besoin de joie, parlez au Rocher. Si vous avez besoin de guérison, parlez au Rocher. Si vous avez besoin du Saint-Esprit, parlez au Rocher. Tout ce dont vous avez besoin, parlez au Rocher et Il donnera Ses eaux. Croyez-vous cela ? Ce dont l’église a besoin ce soir, c’est de reprendre à parler au Rocher, le Rocher des âges, Jésus-Christ, le Rocher frappé de Dieu. C’est le Rocher de Dieu. C’est le salut de Dieu. C’est encore un commandement pour nous ce soir, pour tout ce dont nous avons besoin. Parlez au Rocher, et utilisez le Nom du Rocher, et Dieu fera jaillir Ses eaux de ce Rocher-là. Gloire !
Je sens comme si je peux courir une centaine de kilomètres. Pourquoi ? Oh ! frère, je sais que ce Rocher frappé est posé ici même maintenant. Ne Le frappez plus. Parlez-Lui simplement. Parlez simplement au Rocher et Il donnera Ses eaux. Croyez-vous cela ?
Inclinons la tête et parlons-Lui alors. Pour ce dont vous avez besoin, parlez à ce Rocher et voyez s’Il va donner Ses eaux.
50 Ô Dieu! sois miséricordieux. Nous savons que Tu es le Rocher dans une terre altérée. Tu es un abri pendant l’orage. Ce n’est pas étonnant que Jésus ait dit : « S’ils se taisent, ce Rocher va immédiatement crier. » Le Rocher.
Jean a dit : « De ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. » Ô Dieu, combien nous Te rendons grâce de ce que nous pouvons Te parler! Nous sommes si reconnaissants de parler avec Toi. Le Sang de Jésus-Christ nous place dans cette condition-là. Je Te prie, Père, de pardonner chaque péché des gens qui sont ici. Prends-nous tous ensemble ce soir, Père. Pardonne nos péchés ; guéris nos maladies. Puisse le Seigneur Dieu du Ciel manifester Sa puissance et Sa gloire sur ces gens.
51 Pendant que nous avons la tête inclinée, je me demande s’il y en a un ici qui ne Le connaît pas et qui aimerait Lui parler pour… comme son Sauveur. Voulez-vous lever la main et dire : « Seigneur Dieu, sois miséricordieux envers moi et donne-moi la Vie Eternelle. Je… » ? Voulez-vous lever la main ? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Y en aurait-il un autre ? Que Dieu vous bénisse, madame. Y en aurait-il un autre ? Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse là au fond, soeur. Un autre qui dirait : « J’aimerais parler au Rocher, Frère Branham. Le connaissez-vous ? » Oui, je Le connais. Je Le connais ; Il est mon ami. Il est mon Sauveur. Ça fait trente et un ans que je Lui parle. Il pardonne tous mes péchés. Il a guéri toutes mes maladies. Il me donne paix et satisfaction.
Voulez-vous que je Lui parle pour vous, Lui dire que vous aussi, vous voulez Le connaître ? Quelqu’un d’autre qui lèvera la main et dira : « Frère Branham, je veux Le connaître. » Levez simplement la main et dites : « Priez pour moi, Frère Branham. » Je le ferai certainement. Que le Seigneur vous bénisse. Y en aurait-il un autre avant que nous terminions? Que Dieu vous bénisse, vous, monsieur là derrière. Eh bien, c’est bien. C’est vraiment une conviction. Que Dieu vous bénisse, monsieur, vous ici, à ma gauche. Que Dieu te bénisse, petit ami là derrière, le petit garçon. Que Dieu soit avec toi, fiston, qu’Il fasse de toi un prédicateur. Quelqu’un d’autre qui dira : « J’aimerais parler au Rocher. » Très bien. Personne d’autre ? Que Dieu vous bénisse, là derrière. J’ai vu votre main tout à l’heure. J’attends un moment pour voir s’il y aura quelqu’un d’autre.
52 Pensez-y maintenant. Etes-vous au désert ? Ne savez-vous pas où aller ? Etes-vous… êtes-vous sorti du véritable sentier battu ? Pourquoi ne pas parler au Rocher ? Il donnera Ses eaux. Ce Rocher frappé était la verge de jugement de Moïse… La verge de jugement de Dieu a frappé le Rocher et celui-ci a été fendu. Et dans ce même Rocher, on a un jour découvert du miel. Oh ! la la ! Le jugement de Dieu a frappé Jésus-Christ, qui était le Rocher de notre salut. Il y a une fente sur Son flanc ; il y a du miel sur ce Rocher comme nous l’avons dit ce matin. On trouve la Nourriture ; vous Y trouvez un abri pendant l’orage. Vous Y trouvez la guérison pour votre corps. Vous Y trouvez… Que Dieu bénisse cette jeune fille assise ici. Vous Y trouvez tout ce dont vous avez besoin. C’est dans le Rocher. Si seulement vous croyez en Lui de tout votre coeur maintenant… Très bien. J’ai encore vu votre main là derrière. J’attends simplement, j’attends de voir ce que le Saint-Esprit dira. Très bien. « Si tu peux croire. » Très bien.
53 Notre Père céleste, Tu vois leurs mains, ils veulent Te parler. Je les amène dans Ta Présence, Seigneur, puisse ceci être la soirée qu’il faut. Ô Dieu, demain peut être trop tard. Il… Il se peut que nous... personne parmi nous ne soit ici demain. Comment savons-nous que la grande chose n’est pas en train d’être mise en place maintenant pour commencer le monde… pour l’exploser ? Comment savons-nous qu’un missile ne va pas être lâché quelque part et que cela va faire que la fusillade commence ? Quand ce moment-là arrivera, l’église sera en route vers la Gloire. Ô Dieu, elle sera enlevée et traversera le Jourdain, le Jourdain de la mort, et ira dans la Gloire. Que ces gens reconnaissent Ta Présence ce soir, Père. Qu’ils sachent que celui vers qui ils ont levé la main est toujours le même Seigneur Dieu. Il ne change pas. Les gens changent, le temps change, mais Dieu ne change pas.
54 [Espace vide sur la bande – N.D.E.]… venir ici. Et l’un des prédicateurs ici, les frères… Quelques fois, dans ces services de guérison, je deviens si faible que je ne peux même pas voir où je me tiens, et mon fils ou Léo ou Gene, ou l’un d’eux, vient me frapper sur le flanc et me fait sortir. C’est parce que ces visions me rendent si faible que je peux difficilement me tenir debout ici. Voyez ? C’est la raison pour laquelle je me dis que c’est plus suffisant… Et je vous fais confiance, frère, et vous, soeur, vous qui avez levé la main et vous qui ne connaissez pas Dieu : c’est votre salut. Dieu m’a déjà sauvé, mais je ne pouvais pas être satisfait tant que vous, vous n’êtes pas sauvés. Je veux que vous y alliez aussi. Je veux que vous soyez là.
55 Eh bien, si Dieu ne… Dieu ne fait pas ces choses juste…. Si je pouvais me tenir debout ce soir et dire : « Je vous dirai qui sera président » , et que je vous le dise avec précision, et qu’il en soit ainsi, eh bien, un moment après, vous direz : « Frère Branham est un grand prophète. Assurément, il a annoncé avec exactitude qui sera président. » Mais savez-vous quoi ? Quel bien cela ferait-il ? Voyez ? Cela ne glorifierait pas Dieu. Cela me glorifierait, moi. Voyez ? Ainsi, Dieu ne fait pas ces choses comme cela. Dieu ne le fait pas. Il fait simplement des choses pour Sa gloire.
Il–Il laisse le prophète en arriver au point où même le prophète pense parfois qu’il s’agit de lui-même. C’est comme David a crié dans le Psaume 22 : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-Tu abandonné ? » Les paroles même que Jésus a prononcées à la croix. Qu’était-ce ? L’Esprit de Christ en lui l’avait oint, et il avait prononcé les paroles de Christ. Considérez le… Esaïe, comment il a parlé et a pensé que c’était lui, tellement le Messie était en lui. Considérez David gravissant la montagne, se retournant vers Jérusalem, pleurant, étant un roi rejeté. Juste quelques centaines d’années après cela, le Fils de David gravissait, un Roi rejeté, Il a regardé Jérusalem et a pleuré : « Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-je voulu te couver comme une poule couve ses poussins, mais tu ne l’as pas voulu. » Pensez-y. Eh bien, c’est l’Esprit de Dieu. Eh bien, Dieu utilise Ses prophètes pour Le glorifier. Croyez-vous cela ?
56 Eh bien, dans la ligne ici ce soir, je ne prétends pas être un guérisseur. Je ne suis pas un guérisseur. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Tout ce que Dieu peut faire pour vous, Il l’a déjà fait. Eh bien, la chose suivante que vous avez à faire, c’est avoir la foi pour accepter ce qu’Il a fait. Il vous a donné la promesse, Il veut que vous entriez. Maintenant, combien croient que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement ? Merci. Combien savent qu’Il est maintenant même le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités ?
Comment saurez-vous que vous L’avez touché, si vous Le touchez ? Eh bien, Il… Comment ce Souverain Sacrificateur agirait-Il ? De la même façon qu’Il avait agi hier. Est-ce vrai ? Il est le même. Si vous pouvez Le toucher de là où vous êtes maintenant même, toucher le bord de Son vêtement, alors, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il se retournera directement par Son Esprit et fera la même chose qu’Il avait faite à cette femme qui L’avait touché. Est-ce vrai ? Il a regardé partout jusqu’à ce qu’Il trouvât qui elle était. Il y avait de grandes foules de gens là qui Le touchaient, mais Il a parcouru l’auditoire du regard jusqu’à ce qu’Il trouvât qui elle était. Il a dit : « Ta foi t’a sauvée. Ta perte de sang s’est arrêtée. » Voyez ? Il le savait. Eh bien, qu’est-ce qui a fait cela ? Elle avait touché le Souverain Sacrificateur. Vous pouvez faire de même ce soir, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, si c’est la même Colonne de Feu, cette photo que nous avons ici ; parfois, je la dépose ici. Mais la photo de l’Ange du Seigneur, si c’est le même Ange du Seigneur, Il fera la même chose. S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, cela produira Sa vie.
57 Dites donc, combien sentent la Présence de Dieu ? Cela me met simplement en pièces ici sur cette estrade. Ce–c’est vrai, mon ami. J’ai… même pas… Je pense que nous n’avons même pas à avoir une ligne de prière. Combien croient que Dieu peut les appeler juste là, qui que vous soyez, et les guérir de toute façon sans la ligne de prière ? Si vous croyez de tout votre coeur, Dieu va le faire. Très bien. Allez-vous croire s’Il le fait ? Allez-vous croire en Lui, L’accepter ? Très bien. Combien sont malades ici ? Levez la main. Combien ont besoin de Dieu dans leur vie pour la guérison ? Levez la main. Eh bien, combien parmi vous me sont inconnus ? Levez la main, ceux dont je ne sais rien, levez la main. Très bien. Maintenant, priez. Vous ne… Priez le Souverain Sacrificateur et touchez Son vêtement ; voyez ce qui se passe.
Oh ! s’Il va faire ceci… Je ne sais pas s’Il le fera. Je–j’espère qu’Il le fera. Je crois que l’onction, cette même Colonne de Feu, est ici ce soir. Je le crois. Je le crois de tout mon coeur. Il a dit... Il m’a dit–Il m’a dit que cela – que ça se passerait. Je crois en Lui de tout mon coeur. Je crois en Lui.
Satan, tu ferais tout aussi mieux de t’éloigner parce que je n’entends aucune de tes sales histoires. Je crois que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Sa Bible a promis cela. Et Il est le même. Les gens peuvent Le toucher.
58 Seigneur Dieu, que cela soit prouvé ce soir. Que le Saint-Esprit prouve cela, que Tu es le même Seigneur Jésus qui peut être touché. Accorde-le, Seigneur. Utilise Ton humble serviteur. Seigneur Dieu, parle aux gens à travers moi. Si Tu peux utiliser ma voix, me voici, Seigneur. Si Tu peux utiliser leur foi, parle, Seigneur, afin que cela puisse encourager les autres. Que quelqu’un Te touche, Seigneur, afin qu’ils sachent que Tu es le même Rocher des âges. Tu es le même Rocher qui va donner Ses eaux aussitôt qu’on Lui parle. Car Il est maintenant le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Accorde-le, Seigneur. Qu’il en soit ainsi au Nom de Jésus.
59 Croyez tout simplement. Entrez avec respect et croyez. Eh bien, je ne peux pas faire cela. C’est votre – votre foi qui doit le faire. Ayez simplement foi, soyez humble; ne soyez pas tendu. Ne soyez pas tendu ; détendez-vous simplement. Dites : « Oui, Seigneur, je crois en Toi. Je viens à Toi, Seigneur. Cet homme ne me connaît pas. Comment pourrait-il me connaître ? Il m’est inconnu. Eh bien, je sais qu’il prêche la vérité, car ça se trouve ici dans la Bible. Je sais que c’est vrai. Mais maintenant, si Tu as honoré Ton peuple en envoyant un don parmi nous, alors, Seigneur, permets que j’en tire les bénéfices. De… Si je n’en ai pas besoin… » Si vous n’avez pas besoin de guérison, dites : « Seigneur, touche quelqu’un ici qui prie. » Dites cela. Si vous n’avez pas besoin de guérison, laissez quelqu’un d’autre, il n’y a eu que quelques mains qui se sont levées pour dire qu’ils ont besoin de guérison. Je ne sais pas qui ils sont, mais si vous n’en avez pas besoin, priez pour quelqu’un d’autre qui en a besoin. Dites : « Je connais quelqu’un ici qui a besoin de guérison. Que le Saint-Esprit parle à cet homme et qu’Il l’appelle. » Croyez simplement cela comme ça et voyez ce qui se passe.
Oh ! n’est-ce pas un temps glorieux ? Voilà, peu importe ce que je dis, si Dieu ne tient pas Sa Parole, Il n’est pas Dieu. Eh bien, il n’y a pas une autre religion qui puisse prendre une telle position. Notre Jésus n’est pas mort. Il mourut, c’est vrai, mais Il est ressuscité ; Il est vivant pour toujours. Grâces soient rendues au Dieu vivant.
60 Tenez, afin que vous puissiez savoir… Voici une petite dame assise juste ici, je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais la femme souffre d’une hernie. C’est vrai, n’est-ce pas, madame ? Vous aviez plus de foi que vous ne le pensiez, n’est-ce pas ? Si c’est vrai, levez la main, madame, très haut pour que les gens voient. Voilà. Qu’a-t-elle touché ? Le Souverain… Je mentionne une autre chose ; cette femme n’est pas d’ici. Elle est d’une autre ville, l’Ukiah. Si vous croyez de tout votre coeur que c’est l’exacte vérité, vous pouvez rentrer chez vous et être rétablie, car Jésus-Christ vous rétablit. Amen.
Qu’a-t-elle touché ? Demandez-lui si jamais elle m’a connu. Je n’ai aucun moyen de connaître cela. Mais qu’était-ce ? Regardez-la. Ne voyez-vous pas cette Lumière qui est encore suspendue au-dessus de cette femme juste là ? Regardez cette Lumière juste là.
61 Il y a une autre dame, ça va juste là derrière elle, juste là derrière, juste là derrière dans cette direction-ci. Elle souffre d’une maladie de femme. Mademoiselle Haggy, allez-vous croire de tout votre coeur ? Ils ont… C’est vrai. C’est ce que vous êtes. Je vous suis inconnu. C’est de cette maladie que vous souffrez, vous qui êtes assise là en train de prier. Si c’est vrai, levez la main afin que les gens voient. La voilà. Qu’a-t-elle touché ? Elle a touché le bord de Son vêtement, pas de mon vêtement ; elle est à trente yards [27,43 m – N.D.T.] de moi. Elle a touché le bord du vêtement du Souverain Sacrificateur. L’aimez-vous ? Ayez foi, croyez en Dieu.
62 Que quelqu’un dans cette section-ci croie. Voilà. Voilà un homme assis ici en train de me regarder. Cet homme a un esprit sombre au-dessus de lui ; il souffre d’épilepsie. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, vous rétablir ? Vous souffrez de ces crises–de cette épilepsie. Croyez-vous que Dieu va vous guérir et vous rétablir ? Si c’est le cas, levez la main, dites : « Je l’accepte. » Rentrez chez vous, et que ce démon vous quitte et qu’il ne vous dérange plus jamais, au Nom de Jésus-Christ.
63 Tenez, je vois une autre femme. Elle est assise juste là derrière. Elle souffre de la tyroïde. Elle a incliné la tête ; elle était en train de prier. Elle priait : « Seigneur Jésus, permets qu’il m’appelle. » Elle a touché le bord de Son vêtement. Ô Dieu! ne la laisse pas manquer cela, s’il Te plaît. Elle s’appelle madame Strait. Très bien. Croyez, madame Strait, et rentrez chez vous bien portante. Croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous ? Levez-vous et rendez témoignage que vous croyez que Dieu va vous rétablir. Très bien. Si vous m’êtes inconnue, levez la main. Très bien. Mais vous n’êtes pas inconnue à Christ. Si ce n’est pas le même Seigneur Jésus, je ne sais pas ce que c’est. Amen.
64 Croyez-vous de tout votre coeur ? « Si tu peux croire… » Je vois une dame assise là derrière dans cette direction-ci. Elle souffre. Elle est opprimée. Elle a eu une dépression nerveuse. C’est une maladie de nerf, une maladie mentale. Oh ! si seulement la femme pouvait saisir cela ! Ô Dieu! dis-moi qui elle est. S’Il Te plaît, fais-le. Elle s’appelle madame Adams. Madame Adams, croyez de tout votre coeur, et Jésus-Christ vous rétablira. Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Acceptez-vous votre guérison ? N’ayez pas peur. Si vous avez peur, vous serez toujours dans cet état. C’est une oppression mentale. Mais ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur. Allez-vous le faire ? Alors, levez-vous, madame Adams. Levez-vous. Levez-vous, juste ici, et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ. Je réprimande ce démon qui vous dérange pour essayer de vous en empêcher. Le diable vous trompe. Vous allez bien vous porter. Rentrez chez vous bien portante maintenant. Que Dieu vous bénisse. Amen ! Alléluia !
65 Il y a un homme juste derrière elle, assis au bout, il souffre du coeur. Monsieur, croyez-vous que… Avez-vous une carte de prière, monsieur ? Croyez-vous que Dieu va vous guérir ? Vous souffriez du coeur. Vous avez été guéri tout à l’heure. Jésus-Christ vous a rétabli. Vous avez touché le bord de Son vêtement. On priait pour vous. Amen. Je vous exhorte de croire cela.
66 Tenez. Voici une femme assise juste là–juste là dans cette direction-ci. Elle souffre des hémorroïdes. Ô Dieu! révèle-moi, fais-le-moi savoir. Madame Hudenpough, levez-vous et acceptez votre guérison, et soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ.
67 J’exhorte cet auditoire à parler au Rocher. Croyez-vous en Lui de tout votre coeur ? Combien ici croient qu’ils Lui parlent maintenant ? Très bien. Pouvez-vous Lui parler ? Alors, placez vos mains les uns sur les autres. Imposez-vous les mains les uns aux autres. C’est cela. Oubliez-vous. Parlez au Rocher. Placez vos mains les uns sur les autres et offrez un mot de prière. Que Dieu vous guérisse.
Père céleste, je Te prie au Nom de Jésus d’envoyer le Saint-Esprit, et puissent-ils parler au Rocher, et que le Rocher donne Ses eaux de guérison, de force, de puissance, de joie, d’amour et de pardon des péchés. Accorde-le, Seigneur. Je Te les confie. Au Nom de Jésus-Christ.
68 Parlez au Rocher, et le Rocher donnera Sa puissance guérissante. Pouvez-vous croire que vous parlez au Rocher ? Que tout celui qui accepte sa guérison maintenant se lève. Levez-vous. C’est ça. Amen ! Alléluia ! Parlez au Rocher.
Maintenant, levons les mains et louons le Rocher. Alléluia ! Gloire soit rendue à Dieu !
Nous Te rendons grâces, Seigneur Jésus, pour Ta puissance, Ton omnipotence. Tu es le même hier, aujourd’hui éternellement. Nous parlons au Rocher et le Rocher donne Ses eaux, le même Jésus hier, aujourd’hui et éternellement. Tes paroles ne peuvent jamais faillir. Ces gens sont à Toi, Seigneur. Ils T’aiment. Ils Te louent. Seigneur, accorde aux pécheurs de venir à l’autel de la repentance. Accorde-le, Père, au Nom du Seigneur Jésus.
Maintenant, combien parmi vous L’acceptent ? Levez la main, dites : « Je crois qu’Il est parmi nous. » Levez les mains, louez-Le. Louez-le. Louez-Le. Comme c’est glorieux ! Comme c’est merveilleux ! Il n’y a rien d’autre qui puisse être fait. Je ne connais rien d’autre à faire maintenant. Il l’a déjà fait. On n’a pas besoin de former une ligne de prière. Le Rocher est déjà ici. Le Rocher a déjà parlé. Alléluia ! Croyez simplement au Rocher, et le Rocher donnera Ses eaux. Je vous recommande au Rocher des âges, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.