Les Condoléances à la famille Stadsklev

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Date: 60-0924 | La durée est de: | La traduction: Shp
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1 C'est le soir du 24 septembre.
Frère Julius Stadsklev et Soeur Stadsklev, David et Déborah, ce soir en Allemagne, là de l'autre côté de la mer, coeur brisé, je vous envoie ce petit message, à vous, Frère Julius et Soeur Stadsklev, à David ainsi qu'à Grand-père et Grand-mère. Il n'y a pas longtemps que je vous ai parlé au téléphone. Il ne me semble pas possible que les choses puissent arriver aussi rapidement comme c'est le cas. Vous savez, cela me rappelle Jésus qui disait : ''Soyez prêts, puisque nous ne savons ni la minute ni l'heure.''
Cela a été un jour terrible pour nous, Frère Julius, Soeur Stadsklev, à cause de l'affliction que nous éprouvons pour vous. Combien nous sommes réellement désolés pour vous. Et sachant que nous sommes limités, c'est tout ce que nous pouvons faire... Mais nous aimerions vous exprimer notre amour et notre gratitude.

2 Partout dans la maison, aujourd'hui, presque tout ce que je regarde, c'est quelque chose que vous tous vous nous aviez donné ou autre chose. Je suis entré dans mon cabinet de travail, là est suspendu ce fusil que vous m'aviez donné. Je regardais, posées là sur le - sur mon bureau - et là se trouvaient les pierres que David avait taillées et dont il avait fait un - un - un porte-Bible ou un serre-livre, je ne sais comment vous l'appelez. Je suis entré dans la chambre pour décrocher le téléphone, et aujourd'hui matin quand je vous parlais et priais avec vous, [et] ce téléphone est posé juste là sur la machine à coudre que vous tous aviez achetée pour nous. Juste partout où je regardais, il semblait que ce n'était que... Je pense que c'est à cause de l'affliction que je ressens dans mon coeur pour vous. Je suis de tout coeur avec vous.

3 Et ce matin, Frère Julius, après que j'eus prié hier après-midi et la nuit dernière, je me suis endormi pendant un instant, puis je me suis réveillé et j'ai posé la question: ''Seigneur, veux-Tu me parler?'' Puis vers 6h30', Meda s'est levée pour aller à la cuisine apprêter le petit déjeuner pour les enfants. Et quand elle s'est levée, et juste quand elle quittait la chambre, j'ai entendu une Voix parler dans mon coeur et dire ces paroles que je vous ai dites : ''Ne réprimande pas cela. C'est la main de Dieu.'' Alors, cela m'a apporté un peu de réconfort, de savoir que tout ce que... Ce n'était pas quelque chose que Satan avait glissé parmi vous. C'était le plan et le programme de Dieu.
Frère et Soeur Stadsklev, comment puis-je vous le faire comprendre maintenant? Pas plus que je ne le pouvais lorsque j'étais entré là dans la chambre pour prier pour la petite Sharon et que Dieu avait refusé de m'écouter. Cela... Je ne pouvais pas alors comprendre comment cela pouvait être Son programme. Mais considérez ce que cette petite histoire a fait : elle a amené des milliers à Christ.

4 Il y a quelques semaines, je descendais le flanc d'une coline où j'étais allé, un après-midi, chasser dans le bois. Et je me tenais là-haut sur le coteau en train de penser au temps où j'étais un petit garçon et où j'avais l'habitude de chasser l'écureuil. Et je pensai : ''Bien, les choses ont beaucoup changé depuis lors. Mais considère les souffrances; si tu passais par ces souffrances, accepterais-tu de les revivre si tu devais refaire ta vie?''
J'ai dit : ''Oui, j'accepterais.''
Dans un premier temps, j'avais dit : ''Je ne crois pas que je l'accepterais parce que j'aurais à endurer la peine de voir Hope, ma première femme, s'en aller; la petite Sharon ainsi que les autres.''
Mais après, Quelque chose a dit : ''Mais considère les milliers d'âmes qui ont été sauvées.''
J'ai dit : ''O Dieu, oui j'accepterais de passer encore par là; tout pour Ton Royaume.''

5 Maintenant, Frère Stadsklev, tu sais qu'il est dit dans les Ecritures: ''Tout celui qui vient à Dieu doit être châtié et éprouve''; comme il en fut pour Job quand il avait tous ces ennuis et tout. Et Job, dans toutes ses souffrances, et dans ses ennuis et tentations, avait perdu tous ses enfants, et toute sa - toute sa fortune et tout. Il a dit : ''Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris. Que le Nom du Seigneur soit béni.'' Dieu avait tout rétabli pour lui.
Y avez-vous jamais pensé, Frère, Soeur Stadsklev? Il est dit: ''Et Il lui rendit ses enfants.'' Après qu'Il lui eut rendu les chameaux, et les - les brebis et tout, Il lui rendit ses enfants. Avez-vous jamais remarqué le lieu où ces - pensé au lieu où se trouvaient ses enfants? Ils étaient dans la gloire en train de l'attendre. Souvenez-vous qu'il offrait un sacrifice et - il l'offrait pour ses enfants en se disant: ''Peut-être qu'ils ont par hasard péché.''

6 Lorsque Soeur Stadsklev m'a dit ce matin que le petit enfant en était au point où il pouvait mettre ses mains sur les yeux et louer le Seigneur, alors cela - c'était offrir le sacrifice. Christ l'a offert et vous avez enseigné cela à cet enfant, alors qu'il n'était qu'un tout petit être. Il est dans la Gloire ce soir en train de vous attendre.
Frère Julius, je n'ai ici qu'une petite bande que j'aimerais vous envoyer et j'aimerais que vous sachiez que nous pensons aujourd'hui à la possibilité de vous faire parvenir des fleurs ou toute autre chose, nous ne savons vraiment quoi faire. Frère, faites-nous simplement savoir tout ce que nous pourrions faire.

7 J'aimerais faire ici une confession concernant quelque chose qui est arrivé récemment. J'avais toujours eu peur de la mort, Julius. J'avais toujours peur de mourir parce que je ne voulais pas devenir un corps spirituel. Dans ma pensée, je ne me reconnaissais qu'en tant qu'être humain et je voulais demeurer comme tel. Et je voulais vivre pour voir la Venue du Seigneur Jésus.
Et un matin, ici, il y a quelques semaines, j'étais couché sur le lit, à mon retour d'une grande réunion et je pensai : ''Bien, ma femme dort, ainsi je vais tout simplement examiner si j'ai-ayant maintenant cinquante et un ans d'âge, est-il possible pour moi de vivre jusqu'à voir la Venue du Seigneur?''
Et juste à ce moment là, j'ai entendu Quelque chose me dire: ''Continue simplement d'avancer. La récompense est au bout du chemin. Continue d'avancer.''

8 Maintenant, Frère Julius, je n'aimerais pas appeler cela une translation bien que je croie que c'en était une. Mais j'appellerais cela une vsion. Quelque chose s'était passé. J'avais alors quitté là où était mon corps, là où j'étais et je me suis retrouvé à un certain endroit; il semblait y avoir quelque chose comme une petite colline. Il y eut des dizaines de milliers de jeunes femmes qui descendirent par là. Elles accoururent toutes vers moi et jetèrent leurs bras autour de moi en criant: ''Mon précieux frère.'' Bien, je pensai : ''Je ne comprends pas ceci.'' Et quelque chose dit : ''Ceci est l'amour parfait dont tu parles.''

9 Maintenant nous le comprenons bien et je sais qu'aucun être humain, homme ou femme, ne peut mettre ses bras, l'un autour de l'autre, sans ressentir une sensation humaine. Mais, Frère Julius, il n'en était pas ainsi là-bas. Là, il n'y a pas du tout de sensation humaine. Ce n'est pas... C'est à peu près comme une mère qui étreint son bébé ou quelque chose de pareil... C'était au-delà de cela. C'était parfait. C'était au-delà du parfait. Je ne sais comment l'exprimer.
Puis, j'ai entendu le - on dirait une voix venant de l'autre côté. Et j'ai regardé, voici que des dizaines de milliers d'hommes venaient. Les femmes étaient toutes jeunes, et les hommes étaient tous jeunes. Les femmes avaient de longs cheveux qui leur descendaient jusqu'à la taille. Elles portaient des robes blanches et étaient pieds nus. Les jeunes hommes semblaient avoir une sorte de chevelure longue et touffue qui leur descendait jusqu'au niveau du cou.
Et je pensai : ''Qu'en est-il de tout ceci?''
Et juste à ce moment-là, je fus soulevé et placé à un endroit vaste et élevé. Et j'ai dit: ''Suis-je mort. Est-ce cela?''
Et juste à ce moment-là, il dit : ''Ceci est l'amour parfait que tu as enseigné.''
Et je demandai : ''Pourquoi m'avez-vous élevé comme ceci?''
Et ils répondirent : ''C'est parce que sur la terre, tu étais un conducteur.''
Je dis : ''Bien, si je suis mort, j'aimerais voir Jésus.''
Et ils dirent : ''Tu ne peux pas Le voir maintenant. Il est un peu plus haut. Mais un jour, Il viendra.''
Et ils dirent : ''Alors, quand Il viendra, Il viendra donc vers toi et - et tu seras jugé selon l'Evangile que tu as prêché.''
Je dis : ''Bien alors, est-ce que - est-ce que... Saint Paul devra être jugé de la même manière et devra se tenir devant les siens?''
Ils dirent : ''Oui.''
Je dis : ''Bien, j'ai prêché la même chose que lui.'' Et des millions de voix semblables à - retentirent en même temps : ''Nous le savons bien.''

10 Puis, j'ai regardé et je me suis demandé : ''Qu'en est-il de ceci?''Juste alors une voix dit : ''Tu as été recueilli auprès de ton peuple juste comme le fut Jacob.''
''Recueilli auprès de mon peuple?'' Je pensai : ''Qu'est-ce?'' Et je dis : ''Voulez-vous dire que je ne peux pas voir Jésus en ce moment?''
Ils dirent : ''Non, pas maintenant.'' Ils dirent : ''Nous sommes ici sous cette forme.''
Maintenant, ils avaient des corps parce que je pouvais sentir leurs bras autour de moi, et - et - et je... C'étaient des gens réels.
Et je dis : ''Bien, c'est merveilleux. Et c'est de ça que j'avais peur?'' Et alors... Et j'aidit : ''Je-je ne comprends pas cela, mais ça-c'est merveilleux.''
Et juste alors, elle dit... Voilà qu'une jeune belle femme est venue et a mis son bras autour de moi. Elle a dit : ''Mon bien-aimé frère.''

11 Et je vis ma première femme venir; je pensai... Mais bien sûr, elle est morte quand elle n'était qu'une fille de 22 ans. Et je voyais qu'elle avait l'air naturelle. Et ainsi je dis : ''Peut-être qu'elle m'appellera son mari lorsqu'elle arrivera ici.''
Et quand vint son tour - pour elle, de mettre son bras autour - autour de moi, elle m'appela son bien-aimé frère. Ensuite, elle mit ses bras autour d'une autre fille qui était là et dit : ''N'est-ce pas merveilleux? Il est avec nous.''
Bien, je - je n'y comprenais rien. Et juste alors, cette jeune belle femme - une autre - courut et mit ses bras autour de moi. Il dit : ''Ceux-ci sont...''
Et j'ai demandé : ''Sont-ils les miens? Tous ceux-ci sont-ils tous des Branham?''
Il dit : ''Non. Ce sont tes convertis, les trophées de ton ministère.'' Il y en avait des millions. Et j'ai demandé : ''Les trophées de mon ministère?'' Il répondit : ''Oui.'' Il ajouta : ''Cette femme, cette belle femme, jeune et belle, qui vient de mettre ses bras autour de toi, dit-il, sais-tu quel âge elle avait lorsque tu l'as conduite à Christ?''
Je répondis : ''Je n'en ai aucune idée.''
Il dit : ''Elle avait plus de 90 ans. Maintenant, elle ne vieillira plus jamais. Elle ne sera plus jamais malade et n'aura plus jamais de peine.''

12 Et ils étaient tous là, vraiment parfaits. Et je pensai : ''Bien, oh là là! C'est une chose vraiment merveilleuse que de savoir que - que nous nous réunissons à un endroit comme celui-ci, et que nous sommes sauvés et que nous sommes dans un corps comme celui-ci. Je pensai : ''C'est une - la - une chose glorieuse.''
Ainsi, je pensai : ''Bien, c'est - c'est au-delà de tout ce que je pouvais imaginer.'' C'est vraiment un très bel endroit. Et tout est si parfait : l'amour parfait, la santé parfaite; le péché ne pouvait jamais être là. Il ne pouvait pas y avoir la mort. Il ne pouvait pas y avoir de peine. Il ne pouvait rien y avoir. Il n'y avait pas d'hier, pas de demain, et il n'y avait pas de fatigue. Tout est vraiment parfait. Je pensai: ''C'est merveilleux!''

13 Et juste alors, je regardai et je vis mon vieux chien, mon vieux Fritz descendre la colline; il m'avait permis de fréquenter l'école. J'avais chassé avec lui pendant la nuit, et - et, vous savez, il attrapait des opossums, des ratons laveurs et autres, et - et - et j'en vendais les fourrures. Et - et c'était mon vieux chien qui venait. Et juste alors, je regardai et voici venir mon vieux petit cheval.
Maintenant, une fois, un ministre m'a dit, il n'y a pas longtemps, quand je me référais à ceci, il a dit : ''Pensez-vous que les animaux seront au ciel?''
Et j'ai répondu : ''Oui, monsieur.''
Il dit : ''Où trouvez-vous cela dans l'Ecriture?''
Je dis : ''Où sont les chevaux qui ont fait monter Elie au ciel à bord du char? Où se trouve le cheval que Jésus chevauchera sur la terre - monté sur un cheval blanc avec Son vêtement trempé dans le sang? Quand est-ce que le loup et l'agneau paîtront ensemble et se coucheront ensemble, et qu'un petit enfant les conduira? Quand - quand tout ceci s'accomplira-t-il? Quand le boeuf et le lon mangeront-ils la paille ensemble, et quand se coucheront-ils ensemble? Quand toutes ces choses arriveront-elles?''
Et alors, quand cela - quand j'ai terminé de dire cela, il était donc convaincu que c'était vrai.

14 Alors, Frère Julius, mon vieux chien, quand je... Il fut empoisonné et quand je l'ai enterré, je lui ai dit : ''Fritz, s'il y a un - un lieu de repos pour les petits chiens, tu y seras certainement.'' Et il vint là et me lécha la main.
Et mon vieux Prince, mon cheval, vint et mit son cou en travers du mien. Juste alors, j'entendis une voix venant du ciel dire: ''Tous ceux que tu as toujours aimés, et tous ceux qui t'ont toujours aimé, Dieu te les a donnés.'' Et ils attendent tous ici la Venue du Seigneur.
Et puis, j'ai eu une sensation vraiment étrange. J'ai alors entendu une voix dire: ''Continue d'avancer. Continue d'avancer.''
Quelque chose arriva. Et je regardai derrière vers le lit où je vis mon corps - et j'étais en train de bouger. En peu de temps, j'étais revenu à moi-même.

15 Frère Julius, cela m'a fait quelque chose - Je n'ai plus jamais été le même depuis lors. Je ne crois pas que je le pourrais, sachant que notre gracieux Père céleste m'a laissé regarder au-delà du rideau de temps pour voir un pays où il y a - qui est parfait. L'imperfection dans laquelle nous vivons maintenant a été changée. Nous sommes donc parfaits; il n'y a plus de quoi nous inquiéter, Frère Julius. Nous attendons seulement cette glorieuse heure où notre Dieu et Sauveur apparaîtra.
Mais, Frère Julius, je ne sais pas où j'étais. Où que ce fût, ce n'est pas loin parce que je pouvais regarder en arrière et me voir. Et où que cela soit, ton enfant s'y trouve ce soir. Elle n'est plus la toute petite enfant qu'elle était. Elle est une belle jeune fille, peut-être qu'elle ressemble à sa mère. Un glorieux jour, tu la reverras.

16 Déborah, ma chérie; David, votre petite soeur n'est pas morte; elle s'est endormie en Jésus. Elle attend le moment où vous serez tous de nouveau ensemble. Lorsque le... recueilli auprès des vôtres. Quand la grande famille Stadsklev s'assemblera, les Peterson et tous ceux qui sont de votre famille, vous verrez de nouveau votre petite soeur là-bas.
Je sais ce que vous ressentez, mes chéris. Je sais ce que j'ai senti lorsque j'avais perdu ma fillette. Peu de temps après cela, je l'ai vue en vision. Et vous qui avez... Vous pourrez lire cela dans ''l'Histoire de ma vie.'' Et un glorieux jour, je serai de nouveau avec elle lorsque la famille se rassemblera. Et alors, nous nous rencontrerons, peu importe où nous aurons été dispersés à travers le monde. Si vous remarquez l'ordre de la résurrection, il y a ceux qui dorment (il s'agit de ceux qui sont morts). Les Chrétiens ne meurent pas, vous savez. Mais, pour le dire dans notre langage : ils sont morts. ''Mort'' signifie ''séparation,'' ou plutôt ''la mort'' signifie ''la séparation."

17 Ainsi ceux qui dorment ne devanceront pas ceux qui sont vivants à la Venue du Seigneur. ''Car la trompette de Dieu sonnera et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Et nous serons enlevés ensemble avec eux à la rencontre du Seigneur dans les airs.'' Remarquez-vous l'ordre de la résurrection? Nous qui sommes vivants et sommes restés pour la Venue du Seigneur (2 Thessaloniciens, je crois vers le chapitre 5), nous ne devancerons pas (ou nous n'empêcherons pas) ceux qui dorment. La trompette sonnera et les morts en Christ ressusciteront premièreent. Et remarquez la suite : ''Puis, nous les vivants qui serons restés, nous serons enlevés ensemble avec eux.''
Vous voyez? D'abord, nous les rencontrons. Maintenant, je me demande comment Dieu dans Sa grande miséricorde, quand Il sera adoré parfaitement là et quand... Il le savait. Il savait que si nous allions d'abord là pour L'adorer, et alors, nous nous mettrions à regarder autour de nous, nous demandant où se trouve le bébé, et où se trouve maman, et où se trouve celui-ci ou celui-là; mais (voyez-vous?) Il nous laisse d'abord nous rencontrer les uns les autres. Ainsi, quand vous monterez en ce jour-là pour adorer devant le Seigneur, elle sera avec vous. Vous voyez?

18 Nous ne devancerons pas ou n'empêcherons pas ceux qui dorment, car la trompette sonnera et les morts en Christ ressusciteront premièrement, et nous les vivants, qui serons restés, nous serons ensemble enlevés avec eux - ensemble enlevés avec eux à la rencontre du Seigneur dans les airs. Ainsi, nous nous rencontrons premièrement les uns les autres et, ensuite, nous nous tiendrons devant Lui pour Le couronner Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Oh! quelle adoration!
Quand je verrai ces précieuses personnes à qui j'ai prêché et pour qui j'ai peiné au fil des années, mes bien-aimés, et quand je les rencontrerai tous, et alors ensemble, main dans la main, nous nous tiendrons dans Sa présence. Ne L'adorerons-nous pas? Et de savoir que quand nous ôterons nos couronnes et que nous les poserons à Ses pieds, disant: ''C'était par Ta grâce, Seigneur. Nous, nous n'avons rien mérité, mais Tu nous as encore tous rassemblés, ayant la Vie Eternelle.'' Nous ne pourrons plus jamais être séparés. Nous n'aurons plus de chagrin. Il n'y aura plus jamais de service funèbre parmi nous. Il n'y aura plus de fleurs parsemées dans les cimetières. Il n'y aura plus jamais d'ambulance ni de - ni de médicaments à prendre. Il n'y aura rien sinon vivre simplement les uns et les autres, avec le Seigneur pour jouir de la Vie Eternelle. Et bien sûr, c'est pour l'éternité.
J'attends, je veille sur la venue de cet heureux jour [De l'anglais: Grad - glad day - N.D.T.] quand Jésus viendra.

19 Maintenant, puissent les riches bénédictions de Dieu être avec vous. Maintenant, ce matin, c'était plutôt bouleversant. Soeur Stadsklev, hier après que tu m'as dit au téléphone de prier pour l'enfant, j'avais éprouvé une sensation vraiment étrange, et bizarre. Je me suis enfermé et j'ai prié, puis je suis sorti et je tenais la Bible dans ma main. J'ai dit: ''Seigneur, pourrais-Tu me montrer même une Ecriture par laquelle commencer?''
Quand j'ai ouvert, Elle avait - Elle s'est ouverte à cette page de garde qui est au milieu de la Bible, qui mentionne : ''Mort : attestation de décès.''
Puis j'ai de nouveau prié. Et je ne me souviens plus exactement où se trouvait cette Ecriture, mais c'était quelque chose au sujet de la mort de quelqu'un d'autre. Je ne l'ai plus jamais ouverte.
Je suis allé dans le bois et plus tard, j'ai découvert que l'enfant était même mort avant que vous me téléphoniez. Et puis ce matin, quand ces Paroles sont venues : ''Ne réprimande pas ça, c'est la main du Seigneur...''
Vous savez, plusieurs fois, quand on m'appelle pour un - un cas, eh bien, je me tiens là, - s'il s'agit de la maladie, je dis : ''Maladie, je te résiste.'' Je t'adjure, ou je te réprimande au Nom de Jésus. C'est comme le cas du petit garçon qui a été ressuscité en Finlande - et ailleurs, vous savez, je résiste à cela parce que c'est - quand Dieu me dit de le faire, alors ce n'estpas ma parole qui réprimande cela, mais c'est la Parole du Seigneur.

20 Et puis, ce matin lorsque je cherchais - et hier soir pendant que je cherchais la Parole du Seigneur pour vous, la Parole du Seigneur est venue à moi en ces termes : ''Ne réprimande pas ça, car c'est la main du Seigneur,'' c'était si doux et aimable.
Ainsi, comme je vous l'ai dit ce matin, Soeur Stadsklev, ''calme-toi, ma petite. Tranquillise-toi. C'est Dieu qui a appelé. Il sait ce qui est mieux.'' Et confie-toi dans la volonté de Dieu. Humilie ta main - ta - humilie-toi sous Sa puissante main.
Mon coeur saigne pour vous, quand je pense à vous, là ce soir, de l'autre côté, loin de chez vous, dans un pays étranger où vous ne connaissez personne. Et votre précieuse petite chérie est partie. Mais Dieu le sait et Il sait comment prendre soin de ces situations. Il sait bien ce qu'il faut faire. Il sait ce qui est mieux.

21 Et Soeur Stadsklev, c'est ce que je pensais au sujet de ma petite Sharon; il en est ainsi des enfants aujourd'hui, peut-être que Dieu a dû dire ceci : ''Il faut que Je vous brise le coeur un instant, vous, Julius, Gloria, David, Déborah, Grand-père et Grand-mère, et tous vos amis. Il faut que Je vous brise le coeur un petit instant; mais vous, vous aimez cette enfant. Je ne vous l'avais jamais donnée. Je vous l'avais tout simplement prêtée pour un instant afin d'apporter un peu de joie dans votre maison. Il faut que Je la fasse monter maintenant auprès de Moi. Si Je la laisse là, Satan en fera une grande occasion de chute et vous la perdrez. Ainsi, Je peux la garder mieux que vous. Je vais tout simplement la recueillir auprès de Moi, la garder ici jusqu'à votre arrivée, ici où vous ne pouvez plus la perdre.''
Que Dieu vous bénisse, Frère Julius, ainsi que votre famille. A n'importe quel moment que je peux vous être utile, faire quelque chose pour vous, si jamais le Seigneur me révélait quelque chose de plus, je serais certainement heureux de vous en faire part directement. Et maintenant, je vous écrirai très bientôt une lettre. Et je pensais que cette bande - vous l'écouterez et elle pourrait faire que vous soyez, vous savez, un peu plus proches de nous, et que tous nous soyons un peu plus proches les uns des autres.

22 Puisse le Seigneur vous bénir toujours richement, mon précieux frère, et puisse-t-Il vous réconforter maintenant pendant ce sombre et dur moment que vous traversez. Et écrivez-moi et faites-moi savoir comment vous vous portez. Et je vais prier pour vous. Puisse la grâce de notre Seigneur Jésus-Christ être toujours avec vous jusqu'à ce que je vous revoie.
Je vais faire une petite prière avant que cette bande ne se termine.
Seigneur Jésus, donne paix, consolation et repos à mes précieux amis à qui cette bande est destinée, la famille Stadsklev et les Peterson. Puissent-ils savoir que c'est Toi qui as appelé et que Toi, Tu connais la meilleure chose à faire. Accorde-le, Seigneur. Je Te les confie au Nom de Ton Fils, Jésus-Christ. Amen.

E-1 This is the evening of September the twenty-fourth.
Brother Julius Stadsklev and Sister Stadsklev, David, and Deborah, way across the sea tonight in Germany, broken hearted, I'm sending this little message to you, Brother Julius and Sister Stadsklev, David, and also to Grandpa and Grandma. Hasn't been long since I was talking to you on the phone. Doesn't seem possible that things can happen just as quick as they did. You know, that reminds me, Jesus said, "Be prepared, for we know not what minute or hour."
Been a terrible day for us, Brother Julius, Sister Stadsklev, because that our sorrow's for you. How we feel so sorry for you. And knowing we're limited, just so much that we can do... But we want to express to you our love and gratitude.

E-2 Around home today, pretty near everything I looked at was something that you all had give us or something. I went in my den room, there hung that rifle you gave me. I looked setting over there on the--my study desk, and there was the rocks that David had ground out and made a--a--a Bible carrier, or book end ever-what-you-call-it. Went into the room to pick up the telephone, and this morning and today when I was talking to you and praying with you, and that telephone is setting right on the sewing machine that you all bought for us. Just everywhere I looked, it looked like it just... I guess it's because of the sorrow that I had in my heart for you. My heart goes out to you.

E-3 And this morning, Brother Julius, as I prayed yesterday afternoon and last night, and I'd sleep a little while and wake up and wonder, "Lord, will You speak to me?" Then about six-thirty, Meda got up to go into the kitchen to get the children's breakfast. And when she got up, and just as she left the room, I heard a voice, spoke into my heart and said the words that I told you. "Don't rebuke this. This is the hand of God." Then it brought a little comfort to me to know that whatever... It wasn't something that Satan slipped up on you. It was the plan and program of God.
Brother and Sister Stadsklev, how can I make you see that now? No more than I could when I went in the room there to pray for little Sharon, and God refused to hear me. That... I couldn't understand then how that would be His program. But look what that little story has done: brought thousands to Christ.

E-4 A few weeks ago I was coming down off of a hillside where I went one afternoon in the woods to hunt. And I was setting up on the hillside thinking of the time when I was a little boy and used to squirrel hunt. And I thought, "Well, things has changed a lot since then. But look at the sorrow. If you'd go through it, would you do it again, if you had to go back over life?"
I said, "Yes, I would."
First, I said, "I don't believe I would, because I'd have to go through the sorrow of seeing Hope my first wife go, and little Sharon, and them."
And then Something said, "But look at the thousands of souls that's been saved."
I said, "God, yes, I'd go through it again: anything for Your Kingdom."

E-5 Now, Brother Stadsklev, it said, you know, in the Scripture, like Job when he had all these troubles and everything, "Every one that cometh to God must be chastened and tried." And Job, in all of his suffering, and in his troubles and temptations lost all of his children, and all of his--all of his wealth, and everything. He said, "The Lord gave; the Lord taken away. Blessed be the Name of the Lord." God straightened everything up for him.
Did you ever think there, Brother, Sister Stadsklev, he said, "And He restored to him his children." After He restored the camels, and the--the sheep and everything, and He restored his children. Do you ever notice where them--think of where those children were? They were in glory waiting for him. Remember he'd made a sacrifice, and had for his children, "peradventure they might have sinned," he said.

E-6 When Sister Stadsklev told me this morning that the little baby had gotten so it could put his hands over its eyes and praise the Lord, now that--that was making the sacrifice. Christ made it, and you was teaching it to that baby as a little bitty thing. It's in glory tonight waiting for you.
Brother Julius, I just got a little tape here I want to send you, and I want you to know that we thinking today if we could get flowers over, or something or another, we just don't know what to do. Anything we can do, brother, just let us know.

E-7 I want to make a confession here, of something that just recently happened. I've always been afraid of death, Julius. I always afraid to die, because I didn't want to become a spiritual body. I thought I only knew as human being, and I wanted to remain that way. And I wanted to live to see the coming of the Lord Jesus.
And here a few weeks ago I was laying on the bed one morning after coming in from a great meeting, and I thought, "Well, my wife's asleep, so I'll just study about if I've--being fifty-one now, could I possible live to see the coming of the Lord?"
And just then I heard something say to me, "Just keep pressing on. The reward's at the end of the road. Keep pressing on."

E-8 Now, Brother Julius, I don't want to call it a translation; although I believe it was. But I'll call it a vision. Something happened. Now, I left where my body, where I was at. And I come into a place, looked like they had a little hill-like. Coming down through there was tens of thousands of young women. They were all running to me, and throwing their arms around me, and hollering, "My precious brother."
Well, I thought, "I don't understand this."
And something said, "This is perfect love, what you're speaking of."

E-9 Now, we realize, and I know that no human being, the male and female, can put their arms around one another without having a human sensation. But, Brother Julius, it wasn't so there. There's no human sensation there at all. It's not... About like a mother hugging her baby or something like that... It was beyond that. It was perfect. It was beyond perfect. I don't know how to express it.
Then I heard the--looked like a voice coming from the other way. And I looked, here come tens of thousands of men. The women was all young, and the men were all young. The women had long hair, down around their waist, and was wearing white dresses and barefooted. The young men seemed to have kind of a shaggy hair down around their neck.
And I thought, "What is this all about?"
And just then, they lifted me up and set me on a great, high place. And I said, "Have I died? Is this it?"
And just then, he said, "This is perfect love. What you've taught."
And I said, "Why would you put me up like this?"
And they said, "Because in earth, you was a leader."
I said, "Well, if I've passed on, I want to see Jesus."
And they said, "You can't see Him now. He's a little higher. But someday He'll come." And said, "Then when He comes, then He'll come to you and--and you'll be judged by the Gospel you preached."
I said, "Well then, did--did... Will Saint Paul have to be judged this same way and stand before his crowd?"
Said, "Yes."
I said, "Well, I preached the same thing he did."
And millions of voices, sound like, rang out at the same time, "We are aware of that."

E-10 Then I looked and I thought, "What is this about?"
Just then a voice said, "You have been gathered to your people just like Jacob was."
"Gathered to my people?" I thought, "What is this?" And I said, "Do you mean I can't see Jesus at this time?"
Said, "No, not now." Said, "We're here in this form."
Now, they had bodies, because I could feel their arms around me, and--and--and I... They were real people.
And I said, "Well, this is wonderful. And I was afraid of this?" And then... And I said, "I--I don't understand this, but it--this is wonderful."
And just then, It said... There was a young, beautiful woman come up, put her arm around me. She said, "My darling brother."

E-11 And I seen my first wife coming; I thought... But of course she died when she was just a girl, twenty-two years old. And I thought she looked natural. And so I said, "Maybe she'll call me her husband when she gets here."
And when her time come up, for her around--put her arm around me, she called me her darling brother. Then she put her arms around another girl there and said, "Isn't it wonderful? He's with us."
Well, I--I didn't know what to make of it. And just then, this young, beautiful woman run and threw her arms around me, another one. He said, "These are..."
And I said, "Is this my people? Are all these Branhams?"
He said, "No. This is your converts, trophies of your ministry."
There was millions of them. And I said, "Trophies of my ministry?"
Said, "Yes." Said, "That woman, that beautiful woman that just put her arms around you, young and beautiful," said, "you know how old she was when you led her to Christ?"
I said, "I have no idea."
Said, "She was past ninety. Now, she'll never be old no more. She'll never be sick, or have sorrow no more."

E-12 And there they all were, just perfect. And I thought, "Well, my, this is a most wonderful thing to know that--that we gather into a place like this, and are saved and in a body like that." I thought, "This is a--the--a glorious thing."
So then I thought, "Well, this is--this is beyond anything that I could think of." It was just such a beautiful place. And everything so perfect: perfect love, perfect health, sin could never be there. There can be no death. There could be no sorrow. There could be nothing. There was no yesterday, no tomorrow, and there was no tiredness. Everything is just perfect. I thought, "This is wonderful."

E-13 And just then, I looked, and coming down across the hill I saw my old dog, my old Fritz; he put me through school. I'd hunt with him at nighttime, and--and he'd, you know, catch some opossums and coons, and things, and--and--and I'd sell fur. And--and that was my old dog coming. And just then, I looked, and here come my little old horse.
Now, a minister once said to me not long ago, when I was referring this, said, "Do you think that animals would be in heaven?"
And I said, "Yes, sir."
He said, "Where do you get that for Scripture?"
I said, "Where's the horses that taken Elijah up into heaven on that chariot? Where's the horse that Jesus will be riding on the earth, upon a white horse, and His vesture dipped in blood? When will it be when the wolf and lamb shall feed together and lay down, and a little child shall lead them? When--when will all these be, when the ox and the lion eat straw together, and lies down together? When will all these things take place?"
And then, when it--when I got through saying that, then he was convinced that it was true.

E-14 Then, Brother Julius, my old dog when I... He got poisoned, and when I buried him, I said to, "Fritz, if there's a--a resting place for dogies, you'll sure be there." And here he come up and licked me on my hand.
And old Prince, my horse, come up and put his neck across mine. Just then I heard a voice speak out of the heaven and said, "All that you ever loved, and all that ever loved you, God has given you. And they're all waiting here for the coming of the Lord."
Then I felt real strange. And I heard a voice then, said, "Keep pressing on. Keep pressing on."
Something happened. And I looked back towards the bed where I could see my body, and I was moving around. A few moments I was back normal again.

E-15 Brother Julius, that did something to me. I've never been the same since. I don't believe I ever could. To know that our gracious heavenly Father let me look a past the curtain of time, to see a land where there's--he's been perfect. Imperfection that we live in now has been changed. Then we're perfect, nothing to worry about no more, Brother Julius. Just waiting for that glorious hour, that when our God and Saviour shall appear.
And, Brother Julius, I don't know where I was. Wherever it was, isn't far away, 'cause I could look back and see myself. And wherever that is, your baby is tonight. She's no more a teeny baby as she was. She's a young lady, beautiful, maybe looks like her mother. Some glorious day you'll see her again.

E-16 Deborah, honey, David, little sister's not dead; she's asleep in Jesus. She's waiting for the time that when you'll all be together again. When the... Gathered with your people... When the great Stadsklev family comes together, the Petersons, and all that's associated in your family, you'll see little sister there again.
I know how you feel, honey. I know how I felt when I gave up my little girl. Not long after that, I saw a vision of her. And you who have... You'll read it in my life story. And I'll be with her again some glorious day when the family's gathered together. And then together we'll meet, wherever we are, scattered across the world. If you notice, the order of the resurrection: They which are asleep (and that's dead). Christians don't die, you know. But saying it in our way: dead. "Dead" means "separation." "Death," rather, means "separation."

E-17 Then them which are asleep shall not prevent those which are awake at the coming of the Lord. "For the trumpet of God shall sound, and the dead in Christ shall rise first. And we'll be caught up together with them to meet the Lord in the air." You notice the order of the resurrection? "We which are alive and remain to the coming of the Lord (II Thessalonians, I believe about the 5th chapter) shall not prevent (or hinder) those that are asleep. The trumpet shall sound, and the dead in Christ shall rise first." And notice the next, "Then we which are alive and remain, shall be caught up together with them."
See, we meet them first. Now, I wonder, how God in His great mercy, when He'd be worshipped perfectly there, and when... He knew that. He knew that if we got there first to worship Him, and then we'll go to look around, wonder where baby is, and where mother is, and where this one or that one; but (You see?) He lets us meet one another first. So when you go up to worship before the Lord on that day, she'll be with you. See?

E-18 "We not prevent or hinder those which are asleep, for the trumpet shall sound, and the dead in Christ shall rise first, and we which are alive and remain shall be caught up together with them, caught up together with them to meet the Lord in the air." And then we meet one another first and then stand before Him to crown Him the King of king and the Lord of lord. Oh, what a worship.
When I see those precious ones. I preached and labored through the years, my loved ones, and meet them all, and then together hand in hand, stand in His Presence, won't we worship Him? To know when we take off our crowns and lay them before His feet, and say, "It was by Thy grace, Lord. We--we didn't merit a thing, but You brought us all together again with Eternal Life. We could never be separated no more, never have no more heartaches. Never will there be a funeral service among us. Never will there be flowers strowed along in the graveyard. Never will there be an ambulance, or a--no medicine to be taken. There'll be nothing but just living with the Lord, with each other, to enjoy the Eternal Life. And 'course, that's for eternity.
I'm waiting, watching for the coming of that grad-glad day, that when Jesus will come.

E-19 Now, may God's rich blessings be with you. Now, this morning, it was rather shocking. After you said to me yesterday, Sister Stadsklev, on the phone about praying for the baby, I had a real strange, odd feeling. I went in and prayed, and come back out, and took the Bible in my hand. I said, "Lord, could You even show me a Scripture to start with?"
When I opened up, it had--it opened to that flyleaf that's in the middle of a Bible that says, "Death: Record of death."
Then I prayed again. And I don't remember just where the Scripture was, but it was something about a death of someone else. I never opened it no more.
I went to the woods, and later I found out the baby was even dead before you called. And then this morning, when these words came, "Do not rebuke this. This is the hand of the Lord."...
You know, many times, when I'm called to a--a case, why, I'll stand up there if it's sickness and say, "Sickness, I withstand you. I adjure thee, or rebuke thee, in the Name of Jesus." That, like the little boy raised in Finland and other places, you know, withstanding it, because that's when God has told me to do it. Then it's not my word that rebukes it; it's the Word of the Lord.

E-20 And then, this morning when I was seeking, and last night, seeking the Word of the Lord for you, the Word of the Lord came unto me saying, "Rebuke this not, for it is the hand of the Lord," so sweet and kind.
So as I said this morning to you, Sister Stadsklev, "Sleep on, little one. Take your rest. God has called. He knows what's best." And confide yourself into the will of God. Humble your hand...?... spirit--humble yourself under His mighty hand.
My heart bleeds for you, as I think of you away from home, way across over there tonight in a strange land, among strange people, know no one. And your little, precious darling's gone on. But how God knows, and how to take care of these situations. How He knows what to do. He knows what's best.

E-21 And, Sister Stadsklev, way I thought about my little Sharon, the way children are today, maybe God had to say this. "I have to break your heart for a little bit, Julius, Gloria, David, Deborah, Grandpa, and Grandma, and all your associates; I'll have to break your heart for a little bit. But you love that baby. I never give it to you. I just lended it to you for a little while to bring a little joy in your home. I've got to have it up with Me now. If I leave it there, Satan will make a great stumble out of it, and you'll lose it. So I can keep it better than you can. I'll just bring it up to Me, let it stay up here until you come, where you cannot lose it no more."
God bless you, Brother Julius, and your family. Anytime I that can be a favor to you, do anything for you, if the Lord would ever reveal anything more to me, I'll certainly be glad to send it right to you. And now, I'll write you a letter pretty soon. And I thought this tape you'd hear it, and it might make you, you know, be a little closer to us, and we'd be a little closer together.

E-22 May the Lord ever richly bless you, my precious brother, and comfort you now in this great and dark hour that you're going through. And write me and let me know how you're getting along. And I'll be praying for you. Until I see you, may the grace of our Lord Jesus Christ ever be with you.
I'm going to have a little prayer before this little tape runs out.
Lord Jesus, give peace, and satisfaction, and rest to my precious friends who this tape is designated to, the Stadsklev family, and the Petersons. May they know that You've called, and You know what's the best thing to do. Grant it, Lord. I commit them unto you. In the Name of Your Son, Jesus Christ. Amen.

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