La Foi de marie

Date: 61-0121 | La durée est de: 1 hour and 25 minutes | La traduction: Shp
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1 Merci, frère. C'était vraiment. Je dois dire «amen» à cela. Le Seigneur nous a bénis ce matin de façon si particulière. J'avais quelque chose à l'esprit dont j'allais parler, mais je viens de changer carrément cela. Et c'est ce genre de réunion que j'aime. la douceur du Saint-Esprit se mouvant à l'intérieur, se répandant dans le bâtiment. Et puis, le Saint-Esprit.
Hier soir, je pense que cela devait être une prophétie. J'ai dit aux prédicateurs qui étaient derrière moi que leur temps viendrait. Ils avaient fait des sacrifices. Et ce matin, eh bien, avant même que je ne puisse vraiment commencer, la bonté du Saint-Esprit s'est manifestée parmi ces prédicateurs, et les a déclarés guéris, sur-le-champ, leur révélant leurs conditions, leurs maladies et que sais-je encore. Oh! Il est bon, n'est-ce pas ? Certainement. Il est un Père merveilleux. Nous Lui sommes si reconnaissants.

2 Eh bien, demain après-midi, le Seigneur voulant, nous allons ramener le service de demain soir à demain après-midi. Et je pense que c'est bien. Cela permettra à chacun de faire fonctionner son église normalement. Je pense toujours que c'est le devoir d'un chrétien de rester à son poste de devoir. Et ainsi, lorsque nous avons un rassemblement comme celui-ci, eh bien, je. et les frères qui ont l'intention de fermer leurs églises et de renvoyer leurs croyants là. Je vous annonce à vous tous les visiteurs qui êtes ici maintenant et qui venez de l'extérieur de cette ville et qui restez loin de ces églises, de vous rendre à l'église demain. Faites simplement votre choix. Il y a ici un bon groupe de frères et quelques bonnes églises qui croient dans ce même Evangile que nous prêchons. Ils sont ici. Et ils seront ravis de vous avoir à leurs écoles du dimanche demain matin et à leurs églises demain soir. Et maintenant, ne manquez pas d'aller à l'église, à l'église de votre choix.
Je pense que les frères vous ont dit où. ils ont pris certaines dispositions pour dire où ils en sont, et ce qu'il en est. Ils font généralement cela. Et vous êtes invité dans chacune d'elles. Et ainsi donc, l'église. peu importe l'église que vous fréquentez, celle que vous représentez, ce que vous voulez faire, eh bien, ce sera en ordre. Maintenant, je vois les gens aller dans les cinés ou quelque chose de ce genre. Un merveilleux esprit règne donc parmi les gens, on dirait qu'un grand réveil est en cours par ici.
J'espère qu'on ne va pas perdre ce bel esprit qui était dans la réunion, ce matin. C'est. c'est vraiment quelque chose que de voir la bonté de Dieu et Sa miséricorde venir nous bénir et faire les choses qu'Il a faites ce matin.

3 Bien, le Seigneur voulant, demain après-midi, je voudrais faire de cela un bon rassemblement chrétien, et laisser simplement tout le monde venir. Nous allons simplement prêcher un sermon d'évangélisation demain après-midi, le Seigneur voulant. Et frère Léo, notre vendeur de livres a dit : «Frère Branham, vous devriez prêcher une fois ici à ces gens une prédication à l'ancienne mode, une à la manière des hommes de bois.»
Le Seigneur est bon envers nous, nous vous demandons d'ouvrir vos Bibles, s'il vous plaît, ou de noter simplement le texte. Je n'ai qu'un verset à lire dans Luc, chapitre 1, verset 37 : Car rien n'est impossible à Dieu. Marie dit : Je suis la servante du Seigneur; qu'il me soit fait selon ta parole! Et l'ange la quitta.

4 Inclinons la tête juste un instant. Notre Père céleste, nous venons au Nom du Seigneur Jésus implorer la miséricorde et le pardon pour nos manquements. Ce soir, nous Te prions, ô Seigneur, de continuer à nous visiter par ces grandes visitations de Ton Saint-Esprit, afin que Tu Te manifestes comme étant vivant, jusqu'à ce que Tu apparaisses de nouveau dans une forme physique à la seconde Venue.
Père céleste, nous prions, au cas où il y aurait parmi nous des gens qui ne T'ont pas encore accepté comme leur bien-aimé Sauveur personnel, que ce soir soit le moment où ils accepteront ce Tout-suffisant, en disant : «Oui, Seigneur, je le crois.» Nous prions pour que ceux qui ont commencé de cette façon mais qui ne sont pas encore parvenus au baptême de l'Esprit, s'abandonnent aussi ce soir au baptême du Saint-Esprit.
Seigneur, hier soir, nous étions si heureux de Te voir Te mouvoir parmi les gens qui avaient levé la main pour montrer qu'ils n'avaient pas reçu de cartes de prière; de voir Ton Glorieux Saint-Esprit se manifester pour guérir les malades et les affligés, et les appeler, faisant exactement ce que Tu avais fait quand Il était dans le corps de notre Seigneur Jésus-Christ, pour montrer que Tu es toujours dans Ton Eglise : des gens se levant des lits et marchant ; et ceux qui se mouraient, au dernier espoir, ont vu la lumière de Dieu et l'ont acceptée et sont repartis, guéris. O Dieu, combien nous apprécions cette glorieuse réunion ce matin dans la communion avec le Saint-Esprit, pendant que nous sommes assis ensemble en Christ Jésus dans les lieux célestes!

5 Et ce soir, nous Te prions de nous accorder Tes bénédictions célestes. O Seigneur, ne regarde pas à notre indignité, car nous sommes indignes, il n'y a rien que nous puissions faire pour mériter quoi que ce soit. Ainsi, nous confessons humblement que nous avons, que nous avons tort, que nous sommes injustes, et que Toi seul es juste. Et nous venons au Nom du Seigneur Jésus, car Il nous l'a ordonné, et a promis que ce que nous demanderions nous le recevrions. O Dieu, je voudrais Te demander une grande chose, et je prie le Saint-Esprit de sonder chaque cour ici ce soir. Si les gens ont besoin de la guérison, guéris-les, Seigneur. Tout ce dont ils ont besoin, accorde-le, Seigneur. Et ne m'oublie pas, ici derrière.
Seigneur, n'oublie pas cet aimable groupe de prédicateurs. Bénis leurs églises demain. Qu'elles soient remplies et que le Saint-Esprit se meuve parmi les gens. Qu'un réveil à l'ancienne mode éclate dans cette contrée et à travers le pays. Père, bénis tout le monde partout. Maintenant, comme j'ai lu ces quelques mots, je Te prie de les bénir dans nos cours. Nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

6 Un soleil matinal pointait par-dessus la colline, comme elle se frayait un chemin dans la ruelle familière, en descendant la colline où elle vivait. Et alors qu'elle marchait, sa cruche d'eau sous le bras, elle réfléchissait peut-être, elle méditait comme le font généralement les jeunes filles de cet âge, en marchant. Et elle était en route vers le puits de la ville pour prendre la provision d'eau journalière. On nous a appris que sa mère étant morte, elle s'occupait ainsi de l'entretien de la maison, toute seule en quelque sorte, et prenait soin de son père qui était vieux. Et elle pensait à ce qui était arrivé la veille.

7 Cela devait être le premier jour de la semaine, après le service du sabbat, et le soleil était très haut, montant dans le ciel bleu de la Palestine. Et le doux parfum des fleurs pendant que le soleil montait, cette atmosphère, cet arôme des fleurs et des chèvrefeuilles, alors que la chaleur les desséchait, et quelques heures avant que cela ne se dessèche encore complètement. J'aime ce temps du matin. Je pense qu'il fait frais. J'aime aller dans les jardins.
Je pense qu'un ministre devrait venir à l'estrade, non pas chargé de beaucoup de soucis, mais il devrait venir de la fraîcheur de la Présence du Seigneur. Sortir de grand matin après que tous les démons se sont couchés, et que la réunion du soir est presque terminée. Et alors, il fait calme et tranquille, et on hume cet arôme, cette douceur. Et je crois que si un ministre restait dans la Présence de Dieu jusqu'au moment de venir à la chaire, il y viendrait comme un parfum de bonne odeur, oint du Saint-Esprit pour apporter le Message de Dieu à un peuple qui est dans l'attente, le coeur affamé.

8 Pendant qu'elle se frayait un chemin le long du sentier, je pense (je parlerais de ceci plutôt sous forme d'une petite scène) qu'elle pensait à ce qui était arrivé la veille. Comme de coutume, quand ils revenaient de l'église, eh bien, Joseph, son fiancé, était obligé de rentrer avec elle ce jour-là pour le dîner. Et comme le dîner était apprêté, eh bien. Ils ont pris leur dîner, et comme d'habitude, ils se sont mis sous le porche, regardant par-delà la petite vallée de l'autre côté de la colline.
Joseph était un charpentier. Et sachant qu'il s'apprêtait à épouser cette belle jeune fille juive, en tant que charpentier, il construisait leur future maison là sur l'autre colline. Ainsi, vous savez, je m'imagine que cela devait avoir une petite touche spéciale, car il s'apprêtait à amener sa belle petite épouse dans cette maison. Les portes devaient s'ajuster parfaitement. Et il prenait tout son temps pour le faire, car il ne voulait pas que ce soit un travail bâclé. Il devait être. Les fenêtres devaient s'ajuster parfaitement, et les portes parfaitement. J'imagine que lorsqu'il entrait à la porte, celle-ci devait être en forme d'un grand cour, aussi. quand il y entrait pour faire la porte en forme de cour. Il y avait des roses autour de la maison.

9 Et ils avaient prévu cela pour un jour, depuis qu'ils s'étaient fiancés. Et ils allaient là, disons, un dimanche après-midi, et s'asseyaient sous le porche, et regardaient par delà l'emplacement de leur future maison. Et comme d'habitude, ils parlaient du Seigneur, car ils étaient tous deux de grands croyants en Dieu. Mais ce dimanche était particulier. Comme ils avaient dîné à la hâte et fait la vaisselle, et Joseph était déjà assis sous le porche quand Marie arriva, et cela a dû être une conversation du genre, comme ils avaient l'habitude de parler de la forme qu'aurait leur maison, et à quoi elle ressemblerait, et comment les rabbins viendraient avec eux à la maison pour dîner. Mais au lieu de cela, ils tombèrent sur le sujet du message du matin qu'ils avaient entendu du rabbin, le notable, l'honorable. Et c'était peut-être Marie qui a dit : « Joseph, n'était-ce pas là un message extraordinaire que le rabbin, notre bien-aimé pasteur, a prêché ce matin?»

10 «Oh! a dû dire Joseph, c'était un message frappant. J'ai tellement apprécié cela quand il a parlé de ce grand Jéhovah Dieu qui a conduit notre peuple hors de l'Egypte. Cela ne t'a-t-il pas émue quand il a lu les rouleaux de l'Exode, là où on les a fait sortir, et comment ce Jéhovah les avait conduits par la Colonne de Feu ? Et ils n'avaient pas à faire des détours pour aller. mais ils allèrent là sous la conduite de l'Esprit. Oh! Marie, ne serait-il pas merveilleux que nous poussions vivre toute notre vie en observant cette Colonne de Feu et en étant conduits comme eux ?»
«Et quand ils eurent besoin de manger, Il fit pleuvoir du ciel la manne ; ils eurent du pain. Et puis, quand ils eurent besoin de viande, Il fit souffler de la côte des cailles et Il en couvrit le sol. Et quand ils eurent besoin d'eau, Il avait un rocher frappé. Quand ils étaient malades, Il avait un serpent d'airain comme propitiation pour leurs maladies, et, oh! comme c'était glorieux !»
«Mais, dit-il, chérie, je crois qu'il a tout gâché quand il a dit : ' Mais hélas ! Jéhovah ne fait plus cela.' D'une façon ou d'une autre, j'ai toujours cru que ce Jéhovah est toujours le même. Il ne peut simplement pas faillir. Et je crois que la raison pour laquelle nous avons. vivons en ces jours, c'est parce que notre peuple a perdu la foi en Jéhovah.»

11 «Je crois qu'Il est immortel et qu'Il ne vieillit ni ne dépérit. Il est tout simplement le même Jéhovah et Il ne s'attend pas à ce que nous. Je ne pense pas que je manquerais d'égard ou de respect envers l'honorable rabbin, mais quand il a dit ce matin dans son message que Jéhovah n'accomplissait plus des prodiges, que la seule chose qu'Il voulait que nous fassions était de venir à l'église, payer nos dîmes et mener autant que possible une bonne vie, et qu'Il nous amènerait chez Lui dans la gloire, je - je n'arrive simplement pas à croire cela, Marie. Je - je crois que Jéhovah veut que nous marchions avec Lui comme l'ont fait les gens des temps passés.»
Et ensuite, Marie a dû avoir dit : «Oh! chéri, tu sais, nous ferions mieux de lire d'abord les Ecritures.»
Eh bien, si vous avez déjà été dans une maison en Palestine, et si vous avez déjà vu certaines de ces anciennes limites. Les livres de la Bible étaient gardés dans un truc semblable à un. On appelle cela rouleau, c'était enroulé autour de cela comme à un bâton. Et on gardait cela dans un récipient semblable à une corbeille à papier. Et on les mettait dans ce récipient. Et, le rouleau d'Esaïe par exemple, le rouleau de Jérémie, et ceux de tous ces prophètes y étaient ; ça ne changeait rien qu'on lise celui-ci ou celui-là, car ils savaient que cela était ordonné de Dieu, étant donné que c'était leur prophète.

12 Alors Joseph dit : «Eh bien, ma chérie, voudrais - voudrais-tu aller chercher l'un des rouleaux ?» Elle entra prendre au hasard le rouleau et l'apporta dehors.
Elle dit : «Eh bien, mon chéri, c'est comme si aujourd'hui nous avons lu dans le livre d'Esaïe.»
Alors il a déroulé le rouleau et Joseph s'est mis à lire, et son esprit. ses yeux sont tombés sur ce passage : «Une vierge concevra et elle enfantera un Fils. On L'appellera Conseiller, Dieu puissant, Prince de la paix, Père éternel.»
Et lorsqu'il eut fini, la petite dame vierge qui était assise à côté de lui, dit : «Un instant, Joseph, chéri. Que veut dire le prophète par une vierge concevra ?»
Eh bien, il se peut que Joseph ait dit ceci : «Ma chérie, c'est un peu trop profond pour moi. Je ne comprends pas cela, mais je le crois. C'est ce que dit la Bible. Je ne sais pas comment cela arrivera, mais nous savons ceci, ma chérie, nous savons qu'Esaïe était le prophète de Jéhovah. Par conséquent, ayant l'onction du Saint-Esprit de Dieu sur lui, il ne pouvait pas prophétiser une fausseté, car il était né prophète et nous savons que ses paroles sont vraies. Et quand il a dit : ' Une vierge concevra,' ce n'était pas Esaïe, c'était notre Jéhovah, et Jéhovah peut accomplir tout ce qu'Il a promis.»

13 Et pendant qu'ils parlaient de cela. et qu'ils continuaient à en parler, qu'on L'appellerait Conseiller, Prince de la paix, Dieu puissant, Père éternel, et que la domination reposerait sur Ses épaules et que Son Royaume n'aurait pas de fin, et ainsi de suite. elle dit : « Ce doit être le même dont le prophète Moïse nous a promis, disant : 'L'Eternel, votre Dieu, suscitera un prophète comme moi.' Par conséquent, ça doit être le Messie.»
Joseph a dit : « Je crois que les scribes interprètent cela ainsi, que ce serait le Messie qui viendrait.» Et comme la soirée s'écoulait, le service du soir approchait, eh bien, ils retournèrent encore à l'église.

14 Et c'est le lendemain matin, en allant chercher de l'eau, qu'elle entendit en chemin, les coups de marteau, là où la scie. sur le lieu où Joseph construisait leur maison. Et quand elle s'était réveillée, ayant pris son petit déjeuner, elle avait mis la petite cruche sous le bras et s'en était allée au puits public de la ville .(Eh bien, si nous en avions le temps, j'aurais voulu m'étendre un peu sur ce puits, mais nous n'avons pas le temps.) Ainsi, pendant qu'elle y allait, la tête basse, réfléchissant, elle n'arrivait pas à faire partir cela de son esprit. Et elle se dit : «Cette observation que Joseph a faite à mon endroit quand je l'ai arrêté sur cette écriture d'Esaïe 9 :6 [En français c'est Esaïe 9 :5 ]et comment cela. Il, il m'a dit : 'Ma chérie, tu sais, je pense que tu. je me suis toujours dit que tu étais la plus belle femme que j'aie jamais vue, mais je ne comprends pas comment, pendant ces quelques dernières minutes, tu es devenue plus belle que jamais. Tes grands yeux bruns brillent, et c'est juste au moment où nous avons cité cette Ecriture. Cela t'a-t-il émue ? Sinon, qu'est-il arrivé ?'»
Eh bien, se demanda-t-elle : «C'était quoi lorsqu'il a dit qu'un enfant est né, un Fils est donné ? Je me demande ce qui m'a donné cette sensation-là ?» Et juste à ce moment-là, pendant que la petite vierge marchait, elle vit quelque chose scintiller. Et elle regarda autour d'elle, et. «Cela devait être le soleil, a-t-elle dit, qui a projeté ses rayons sur une pierre, là quelque part sur la colline désertique.» Et comme elle poursuivait son chemin, pensant à ce qui arrivait, et à ce dont ils avaient parlé, elle prit le tournant qui mène au puits de la ville, là où les dames se rencontrent tôt le matin et déposent leurs seaux, ou plutôt leurs cruches - ça ressemblait plus aux cruches ou plutôt aux pots. Cela avait un long col et deux anses. Elles disposaient d'un crochet auquel elles l'accrochaient, et un panier. Elles y déposaient le pot. Comme il était fait d'argile, eh bien, cela coulait. Elles remontaient l'eau, puis elles mettaient cela sur la tête, et s'en retournaient immédiatement à la maison, et transportaient peut-être cinq ou six gallons d'eau, assez pour la journée, à moins qu'il n'y ait de la lessive à faire, et généralement dans pareil cas, elles allaient au lavoir.

15 Eh bien, comme elle prenait le tournant, elle vit cette Lumière vaciller encore. Et en regardant, alors qu'elle devait passer par un petit passage étroit, là où juste une personne pouvait passer, là se tenait l'Archange Gabriel. Ce n'était pas le soleil, le s-o-l-e-i-l, qu'elle avait vu se refléter. Il l'avait suivie, et l'a rencontrée à un endroit où Il l'a attrapée, là où elle serait obligée de Le regarder. Et elle regarda, et Il était recouvert d'une lueur. Cela effraya la petite vierge, et elle saisit sans doute sa cruche d'eau, et de ses grands yeux écarquillés, elle regarda l'Archange.
Il dit : «Je te salue, Marie (ou arrête-toi), toi à qui une grâce a été faite devant Dieu.» Oh! j'aime cela. Cette jeune fille issue de la ville la plus insignifiante du monde de l'époque, connue toutefois comme étant la ville la plus insignifiante de la Palestine. Et elle y avait vécu une vie telle que Dieu la choisit pour une certaine ouvre qu'Il s'apprêtait à accomplir. Elle contemplait là Sa face, et cela la fit tressaillir.

16 Vous savez, c'est généralement lorsque nous pensons à ces choses. La Bible dit : « que ce qui est digne de louange et ce qui est vertueux soit l'objet de vos pensées.» Je pense que la raison pour laquelle nous ne voyons plus cela, c'est parce que nos pensées se portent sur beaucoup d'autres choses. Je pense que les Anges nous apparaîtraient encore si seulement nous fixions nos pensées sur eux ; mais nous pensons à autre chose, c'est-à-dire au lieu où nous allons, à une certaine émission que nous tenons à regarder, ou à un certain achat que nous tenons à faire. Mais nos Ecritures nous disent : «Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces autres choses vous seront données par-dessus.»
Et c'est donc là que nous voyons cela, quand Il dit : « Toi qui as trouvé grâce devant Dieu.»

17 Et nous remarquons encore. Je ne veux pas laisser cette Ecriture, mais c'était Cléopas et son ami en route pour Emmaüs, pendant qu'ils y allaient, les coeurs brisés, parlant de Jésus qui avait été crucifié et qui était mort, et de ce qu'on leur avait raconté à Son sujet, qu'Il était ressuscité des morts, et eux ne croyaient pas que cela. Là sur leur chemin, retournant, peut-être, pour aller au travail le lundi matin, sur leur chemin de retour, c'est pendant qu'ils pensaient à Lui qu'Il leur apparut ; Il sortit de la brousse et se mit à leur parler, ayant l'air d'un homme ordinaire.
Il dit : «Oh, pourquoi êtes-vous si abattus ? Qu'y a-t-il ?»
Ils dirent : «Es-tu un étranger ici ?»
Croyez-vous maintenant ? C'est un peu difficile, mais des gens qui avaient marché avec Lui, qui avaient parlé avec Lui, qui avaient marché toute la journée avec Lui après Sa résurrection, le même Jésus, et ils ne Le reconnaissaient pas. Il se révèle à celui qu'Il veut. Oh! je prie ce soir qu'Il ôte l'ombre de nos yeux à tous et qu'Il vienne dans ce bâtiment et se révèle dans la puissance de Sa résurrection, afin que chaque personne Le voie : les pécheurs en tant que leur Sauveur, les malades en tant que leur Guérisseur.
Et nous voyons qu'Il a marché avec eux toute la journée. Et après, Il a feint de vouloir aller ailleurs ou dépasser cet endroit-là, et ils L'ont contraint à entrer. Oh! j'aime cela, Le contraindre à entrer. «Oh! Jésus, Tu es ici ce soir dans l'église. Il faut que Tu m'accompagnes chez moi. Je veux T'amener chez moi. Je ne veux pas du tout devenir insensible à Ta Présence. Permets-moi de T'amener chez moi, que Tu entres et que Tu demeures avec moi.» Il ne faut jamais devenir insensible. Ne serait-ce pas merveilleux ?

18 Vous savez, je voudrais arrêter mon message ici un instant pour dire les choses les plus glorieuses que j'aie jamais vues arriver quand quelque chose est oint. Oh! j'aurais aimé rester toujours à cet endroit-là.
Vous avez lu dans le livre que l'autre soir, quand le maniaque est venu là sur l'estrade en courant pour me tuer à - à. Où était. ? Portland. Vous étiez là, Frère Jack, ou c'était. Frère Brown était là, quand ce maniaque s'est avancé en courant pour me tuer, et a menacé de le faire. Un type costaud et énorme. Et au lieu de haïr cet homme, je l'ai aimé. Il n'aurait pas voulu faire cela. C'était probablement un père de famille, comme moi, et il n'aurait pas voulu faire cela. C'est le diable qui était sur lui qui faisait cela. Et quand je l'ai aimé, alors je n'ai pas eu peur de lui. L'amour bannit la crainte. C'est quand vous arrivez à aimer.
Vous avez entendu parler de l'histoire de la pauvre mère opossum qui est venue à la maison. L'amour, il faut l'amour pour vaincre. Le jour où le taureau voulait me tuer là dans les champs. Il s'était carrément rué sur moi. Et ce n'est pas que je l'ai haï. J'étais garde-chasse. J'ai cherché à prendre une arme ; je l'avais laissée dans ma voiture. J'en fus content par la suite. Il fonça, et je me dis : «Eh bien, s'il me faut mourir, après tout, je ferais bien de mourir en l'affrontant. Je ne peux pas l'éviter. Il n'y a rien. pour l'éviter.» Et juste à ce moment-là, je me suis dit : «Eh bien, s'il faut m'en aller, j'aimerais le faire en le regardant.» Et alors, il fonça vers moi, en effet, il m'aurait attrapé de toute façon. Et il avait une chaîne suspendue à son nez. Il venait de tuer un homme de couleur quelques semaines auparavant. J'avais oublié qu'il était dans ce champ. Je partais prier pour un malade. Il a plié le genou comme ceci et s'est aplati au sol, il a mugi et il s'est avancé.

19 Et je ne sais pourquoi, mais quelque chose s'est produit. A tout moment qu'une guérison ou quoi que ce soit d'autre se produit, quelque chose arrive. L'amour intervient, cela. et cela ôte simplement du chemin toute autre chose. Oh! je vous le dis, frères, vous pouvez posséder toute la théologie que vous voulez, mais moi, donnez-moi toujours l'amour. «Depuis que j'ai vu par la foi, le flot de Tes blessures, l'amour rédempteur a été mon thème et il le sera jusqu'à ma mort.» L'amour. Oh! si seulement je pouvais constamment vivre dans cette atmosphère!
Et lorsque cela me frappa, je dis : «Créature de Dieu, je suis serviteur de Dieu, je suis en route pour aller prier pour l'un de Ses enfants malades. Maintenant, je suis sur ton territoire, je suis ici sur ton domaine. Je n'avais pas l'intention de te déranger. Mais au Nom de Jésus-Christ, retourne te coucher. Je ne te dérangerai pas.» Et il sembla venir sur moi. Le voilà venir de toutes ses forces. Je suis resté simplement calme, je n'avais pas plus peur que je n'en ai maintenant. Et quand il arriva à environ trois pieds [91,44 cm - Ndt.] de moi, il s'arrêta. Il me regarda. Il paraissait vraiment épuisé, il pivota dans une direction et puis dans une autre, fit un saut et se coucha. Je suis passé à deux pieds [60,96 cm - Ndt.] de lui, je suis passé juste à côté de lui. L'amour triomphe. Quelque chose arrive, quelque chose se produit.

20 L'autre soir, je vous parlais de ce qui est arrivé à Mexico, quand frère Jack était là. Un vieux Mexicain était monté sur l'estrade. Il était totalement aveugle, le pauvre vieil homme, son. Leur économie est très mal équilibrée, et les gens manquent à manger. Ce vieil homme ne portait pas des chaussures, et il avait un vieux chapeau à la main, cousu avec des ficelles, et il portait une vieille veste en lambeaux et un pantalon qui lui arrivait presqu'aux genoux, et qui était tout couvert de poussière. Il a traversé l'estrade tenant à la main un petit chapelet, un tas de petits grains. Et il s'est approché de moi, disant quelque chose. Quelqu'un le conduisait. Et j'étais debout et je l'ai regardé. Je vous assure, frère, vous ne pourriez aider personne à moins que vous ne compreniez ce qu'il ressent. C'est vrai. C'est la raison pour laquelle Dieu a tant aimé le monde ; Il en a eu pitié.
Je l'ai donc regardé. Je me suis dit : «Le voilà. Il a probablement quelque part une ribambelle de petits enfants travaillant pour gagner quelques pesos par jour. Et maintenant après tout ceci, il se peut qu'un autre. n'a jamais pris un bon repas de sa vie. Et le voici dans cette condition. Eh bien, il a été vraiment défavorisé par la nature, ou plutôt c'est le destin qui l'a rendu aveugle.» Et il était.
J'ai mis mon pied à côté de lui. Je me suis dit : «Voici que je porte un beau costume et des souliers, de beaux souliers ; je ne sais pas si lui a déjà porté des souliers. sa vie.» Je me suis dit : «Ce n'est pas juste. J'ai une paire à la maison. J'ai un autre costume à la maison. Cet homme a autant que moi droit à cela.» J'ai mis mon pied à côté du sien, et j'ai pensé lui donner mes chaussures avant que je ne dise quoi que ce soit. Eh bien, son pied était beaucoup plus grand, et, et ses épaules beaucoup plus larges ; ma veste ne pouvait pas lui convenir. Je me suis dit : « O Dieu, que puis-je faire pour lui ?» Si mon vieux Papa avait vécu, il aurait à peu près son âge.

21 Qu'était-ce ? Se mettre dans la peau. Tout à coup quelque chose est arrivé. J'ai commencé à sentir cette présence de l'amour, de la compassion, à l'égard de ce vieil homme. Il a brusquement tiré les petits grains et a commencé à crier : «Je vous salue, Marie, mère de Dieu, bénissez.»
J'ai dit : «Ce n'est pas nécessaire. Mettez simplement cela de côté.»
Et il a dit à frère Espinosa : «Où est le guérisseur ? Je voudrais le contacter.»
Et, et j'ai dit : «Dites-lui simplement d'incliner la tête.» J'ai pris ce vieil ami dans mes mains. Je me suis mis. J'ai dit : « Seigneur Jésus, ce pauvre vieil homme, je ne peux pas lui donner mes chaussures, il ne saura pas les porter. Je ne sais pas lui donner ma veste. Mais, Seigneur Dieu, Tu es le Seul qui peut l'aider maintenant. Tu peux lui donner quelque chose qui le sauvera ; c'est la vue. C'est de cela qu'il a grand besoin.»
Et je n'avais pas dit plus que cela, que j'entendis quelqu'un crier : «Gloria a Dios ! [Gloire à Dieu ! - Ndt.] Et le voilà ; il voyait aussi bien que moi, et il courut sur l'estrade aussi vite que possible.
Et la soirée suivante, il y eut un tas d'habits, de vielles écharpes, des nappes, de vieilles vestes, des chiffons et des chapeaux, entassés à cet endroit-là, deux ou trois fois plus vaste que cet endroit-ci, et à peu près cette hauteur. Comment je. comment ont-ils eu ce qu'il fallait, je l'ignore. Mais quoi ? Ils avaient vu quelque chose. Oh! quand quelque chose arrive, quelque chose se passe.

22 Il en était de même de Marie, ce matin-là. Quelque chose a dû se passer pendant qu'elle pensait à Lui, et Il apparut là devant elle. C'était la même chose avec Moïse, comme c'était avec Marie. Il a dit : « Tu deviendras enceinte et tu auras un enfant.»
Eh bien, elle savait que le message de l'Ange était scripturaire. Peu importe le type d'ange qui apparaît, si le message de cet ange n'est pas scripturaire et que ce n'est pas une promesse de Dieu, mettez cela de côté. Il y a eu l'apparition de toutes sortes d'anges, et tout, et qui apportent toutes sortes de messages. Si l'Ange du Seigneur dont je suis le serviteur venait. si cet ange venait, peu importe combien il ressemblerait à la Colonne de Feu, combien il ressemblerait à la lumière, si son message ne rendait pas témoignage à la Parole, j'aurais mis cela de côté et il serait anathème. Il doit l'être à ce propos. Joseph Smith, vous savez, a vu un ange (c'est lui qui l'a dit), mais ce dernier ne rendait pas témoignage à la Parole.
Et Marie savait que la veille elle avait lu Esaïe 9 :6, et que quelque chose était sur le point d'arriver. Et elle savait que c'était alors en cours.

23 De même Moïse, quand il cessa d'espérer en sa théologie, et qu'il était derrière le désert, paissant les brebis de Jethro, il a vu un jour une boule de feu là au fond dans un buisson. Et il s'est approché et a ôté ses souliers comme cela lui était recommandé, et il a écouté pour voir ce que c'était. Mais quand il a vu que cet Ange était scripturaire. Il dit : «J'ai entendu les cris de Mon peuple et Je me suis souvenu de Mon alliance.» Il savait que Dieu avait fait la promesse, et que c'était. c'était cet Ange qui irait avec lui. «Je me souviens de Ma promesse et de Mon Alliance. J'ai vu les souffrances de Mon peuple et Je suis descendu pour le délivrer.» Moïse savait que ce n'était plus lui, parce que «Je suis descendu pour le délivrer.» Oh! c'est le bon côté de la chose. «Je suis descendu. Toi, sois simplement Mon porte-parole.» Il a donc vu que c'était tout à fait scripturaire.
Et Marie a vu que c'était tout à fait scripturaire, car la veille elle lisait cela, peut-être dans le rouleau, comme notre petite scène se poursuit. Je vous le dis qu'il est donc de votre intérêt de lire la Parole de Dieu chaque jour. Jésus a dit : «Sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle : ce sont elles qui rendent témoignage de moi.» En d'autres termes, Il a dit : «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père ( cela était censé être fait à Sa Venue), alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres, même si vous ne Me croyez pas, croyez les oeuvres, parce qu'elles ont été envoyées de Dieu.»

24 Aujourd'hui, nous attendons un Visiteur céleste. C'est une promesse de Dieu. Eglise, revêtez-vous rapidement de votre profonde pensée spirituelle, et rappelez-vous, nous attendons en ce moment un Visiteur, et beaucoup le revendiquent. Mais la seule façon pour nous de reconnaître ce Visiteur céleste. parce qu'Il rendra témoignage à la Parole.
Elle savait que cet Ange venait de Dieu quand elle L'a vu agir. Elle L'a regardé. Il devait être un Ange. Il dit : «Je m'appelle Gabriel, et je me tiens à la droite de Dieu.» Eh bien, quand Dieu s'apprête à faire quelque chose, Il envoie un messager. Il l'a toujours et toujours fait et Il le fera toujours. Gabriel a annoncé la première Venue de Christ. Gabriel annoncera la seconde Venue de Christ. C'est vrai. Quelque chose de glorieux est sur le point d'arriver.
Et nous voyons que cet Ange, quand Il a dit : «Je te salue, Marie,» et qu'Il lui a dit ce qui allait arriver, elle ne douta pas de Lui, parce qu'elle savait qu'Il était tout à fait scripturaire, que cela était censé être ainsi.

25 Eh bien, nous attendons un messager en ces derniers jours, parce que Jésus a dit qu'il en serait ainsi, car tous les prophètes ont dit qu'il en serait ainsi. Malachie a dit qu'il en serait ainsi. Tous les prophètes ont attesté cela. Jésus, quand Il fut très près de Sa crucifixion, a parlé plus de Sa seconde Venue qu'Il ne l'a fait de Son départ. Et quand nous voyons ces choses commencer à s'accomplir, nous ferions mieux de sonder les Ecritures, car Il a dit qu'il s'élèverait de faux christs et de faux prophètes et qu'ils feront des miracles et des prodiges au point que cela séduirait, s'il était possible, même les élus.
Billy Graham a dit ici dans un message, il y a quelques semaines, que cela a déjà séduit même les élus. Je ne suis pas d'accord avec l'évangéliste. Cela ne peut pas séduire les vrais élus parce qu'ils sont les élus de Dieu.

26 Jésus a dit que juste dans les jours qui précèdent la Venue du Fils de l'homme, ce serait comme il en était à Sodome. Et comme nous l'avons examiné avant, dernièrement. au cours de cette semaine, qu'un Ange est venu à Sodome, trois hommes, pour trois catégories de gens. L'une d'elles, c'était les sodomites, l'autre, c'était l'église tiède, l'autre, c'était l'Eglise élue et appelée à sortir: Abraham et son groupe ; Lot et son groupe, et Sodome et son groupe. Tous.
Deux d'entre eux sont partis. L'évangéliste est descendu prêcher à Sodome pour en faire sortir un groupe de gens, de croyants, là. Il n'en fit sortir qu'un petit nombre.

27 Mais nous voyons que Celui qui était resté derrière, auprès de l'église élue, a manifesté un signe. Et c'est Dieu qui a manifesté cela. Ce n'était pas un mythe, ce n'était pas une théophanie. Une théophanie ne mange pas. Lui a mangé la viande de veau, et Il a mangé un gâteau de maïs, un pain de maïs beurré, et Il a bu le lait de vache. Une théophanie ne mange pas et ne boit pas; c'était Dieu manifesté dans la chair. Certainement. Et de quoi parlait-Il ? Jésus a dit : «Ce qui arriva en ce temps-là, arrivera de même.» Dieu reviendra de nouveau, viendra dans la chair de Son peuple qu'Il a racheté et sanctifié, et Il manifestera à Son église élue le même signe qu'Il avait manifesté autrefois à Son Eglise élue.

28 Il n'y avait pas de «sortez-en». Il n'y avait pas de «ceci, cela». Il se trouvait déjà en dehors de cela, Abraham. Mais les autres anges appelaient les gens à sortir, appelaient les gens à sortir de là. Mais Abraham était déjà sorti. Et l'église. le mot même «église» signifie «appelés à sortir». L'église de Dieu a déjà été appelée à sortir. Elle a été appelée à sortir.
Et Il lui donna un signe pour montrer qu'Il était bien la Personne. Et quand Il le fit, le dos tourné, Il dit (Sarah était derrière Lui dans la tente, en train de rire), par une puissance, la même chose que Jésus avait manifestée à Sa Venue, qu'Il avait manifestée à la fois aux Samaritains et aux Juifs. Et il a été prédit que dans ces derniers jours, Il enverra de nouveau Son Messager. Et ce soir, ce Messager n'est pas un homme. Bien sûr que non. C'est le Saint-Esprit. C'est Lui Son Messager, Dieu dans Son église, se mouvant, accomplissant des miracles et des prodiges juste avant Son apparition.

29 Eh bien, rappelez-vous, il faut que cet Ange soit un Ange scripturaire. De plus, Dieu nous a mis en garde contre les faux prophètes. La Bible dit : «Si quelqu'un parmi vous pense être un prophète ( et ainsi de suite), et si ce qu'il dit n'arrive pas, alors ne le craignez pas. Je ne suis pas avec lui. Mais si ce qu'il dit arrive, alors Je suis avec ce prophète. Ecoutez-le.» C'est vrai.
Nous voyons donc aujourd'hui que ce message est un vrai message biblique. C'est le retour au baptême du Saint-Esprit, le retour à la puissance de Dieu, le retour à la Pentecôte, il ramène les coeurs des pères aux enfants. ou plutôt des enfants aux pères dans ces derniers jours. Nous attendons un Messager céleste, et je crois qu'Il est ici ce soir. Amen. Je crois qu'Il est ici. Que fait-Il ? Il rend témoignage.

30 Maintenant, écoutez, mes amis. N'acceptez pas de substitut. Ne vous contentez pas de serrer la main d'un homme et d'inscrire votre nom dans un registre. C'est . tant que cela marche, c'est très bien. Cela peut vous aider à quitter le bar pour entrer dans un endroit décent et essayer de vivre correctement. Néanmoins, cela ne fera pas l'affaire.
«Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu.» Eh bien, «voir» signifie « comprendre». Beaucoup de gens disent qu'ils sont nés de nouveau, mais ils ne comprennent pas le message de Dieu, et ils ne peuvent pas voir l'Ange du Seigneur. Leurs yeux sont aveuglés, frère. Si un homme ne naît du Saint-Esprit, le même Saint-Esprit qui a écrit la Parole confirmera cette Parole, et la même confirmation du Saint-Esprit en vous. Voyez-vous ce que je veux dire ? Il rendra témoignage de Lui-même.
Alors notre esprit rend témoignage de Son Esprit, car Son Esprit rend témoignage de Sa Parole. «La Parole de Dieu est plus tranchante, plus efficace (Hébreux 4) qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à. et moelle de l'os ; elle juge les sentiments et les pensées du coeur.» C'est «Ainsi dit le Seigneur,» la Parole du Seigneur, exactement, Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui, et pour toujours, apparaissant dans Son Eglise élue.

31 Oh! nous avons de grands réveils qui balayent les nations partout, appelant les gens à sortir de Sodome, et tout ; mais dans l'Eglise élue, nous avons cette Personne de Dieu, le même Dieu qui était là-bas autrefois. Il n'y avait qu'un seul parmi eux, et Celui-là était dans Son Eglise, se révélant comme étant le Seigneur Jésus-Christ ressuscité, le même hier, aujourd'hui, et pour toujours. C'est scripturaire. S'Il n'était pas en accord avec les Ecritures, s'Il ne rendait pas témoignage aux Ecritures, ne confirmait pas Sa Parole, alors je n'aurais pas cru en Lui. Mais puisqu'Il le fait, je suis donc certain, comme Marie (Amen, oh !), comme Moïse, ou comme tous les autres, qu'Il vient de Dieu ; si ce n'était pas scripturaire.

32 Eh bien, là dans l'Ancien Testament, les gens avaient plus d'un moyen pour découvrir cela. Si un homme faisait un songe, ou si un prophète prophétisait, savez-vous ce qu'ils faisaient de lui ? On les amenait devant l'Urim Thummim qui était suspendu à un poteau. On croit que l'Urim Thummim était ces douze pierres relatives à la naissance d'Aaron. ou plutôt son pectoral, portant des pierres relatives à la naissance de chacun. Ainsi, on suspendait cela à un poteau, et si le prophète se tenait là et prophétisait, peu importe combien la chose semblait réelle, si en retour le surnaturel ne répondait pas, un jaillissement des lumières de l'arc-en-ciel tout autour, et cela brillait comme ce. peu importe ce que disait le prophète, il avait tort. Peu importe ce que le songeur avait fait comme songe, c'était faux. Mais Dieu répond toujours de manière surnaturelle. Amen.
Eh bien, et ce sacerdoce est terminé, et l'Urim Thummim a été ôté, mais Dieu a un autre Urim Thummim. C'est ceci : la Parole de Dieu est l'Urim Thummim. C'est la Parole de Dieu. «Que toute parole d'homme soit un mensonge, et que la mienne soit vraie,» a dit Dieu. «Les cieux et la terre passeront, dit Jésus, mais ma parole ne passera point.»
Eh bien, si donc quelqu'un dit quelque chose qui n'est pas scripturaire, ne croyez pas cela. S'il dit quelque chose qui est scripturaire, attendez un instant. Eprouvez cela au moyen de l'Urim Thummim. Ensuite, si le surnaturel répond en disant que c'est la vérité, alors croyez cela. C'est ainsi qu'on croit qu'un message est vrai. Si la Bible promet quelque chose et que la Bible dise que c'est ainsi, c'est l'Urim Thummim de Dieu. Si le prédicateur prêche. prêche comme le dit la Bible, il est le messager de Dieu, il est le témoin de Dieu. S'il en est donc ainsi, alors le surnaturel de cette Parole sera rendu manifeste et démontrera que c'est Dieu. Dieu tient Sa promesse.

33 Nous attendons un Messager. Ce Messager c'est le Saint-Esprit. La Bible dit : « Encore un peu de temps et le monde ne me verra plus, a dit Jésus, cependant vous, vous me verrez, car je serai avec vous jusqu'à la fin du monde. Les oeuvres que je fais, vous les ferez aussi. Vous en ferez de plus grandes, car je m'en vais au Père.» Eh bien, ce mot là «plus», d'après la bonne traduction. Je l'utilise là et «plus,» parce qu'il est dit «plus grand» dans Roi Jacques. Qui peut faire plus ? Il a ressuscité les morts, Il a arrêté la nature, Il a tout fait.
Mais à ce moment-là, Il était dans une seule Personne. Tout ce qui est Dieu était confiné dans un seul Homme, Jésus-Christ. Mais en ces jours, Il est dans Son Eglise à travers l'univers, faisant davantage que cela, les mêmes oeuvres. «Les oeuvres que Je fais, ils les feront aussi. J'en ferai davantage, car Je retourne à la Colonne de Feu que J'étais avant que Je ne sois fait chair et n'habite sur la terre. J'ai révélé que Je suis vivant par les mêmes oeuvres et les mêmes manifestations que J'ai accomplies.» C'est tout à fait vrai. Jésus a dit, quand Il était ici sur la terre : «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.» Est-ce vrai ? Très bien. S'il était Dieu.

34 On Lui. Un jour, on Lui parla à ce sujet, et on Lui dit qu'Il n'avait même pas encore cinquante ans et qu'Il avait vu Abraham. Il a dit : « Avant qu'Abraham fût, JE SUIS.» J'étais cette Colonne de Feu qui était avec Moïse, Laquelle était dans le buisson. C'était une Colonne de Feu scripturaire. Cette même Colonne de Feu est le JE SUIS, et non pas le « J'étais» ou le «Je serai» ; JE SUIS, toujours le même hier, aujourd'hui, et pour toujours.
Nous voyons que quand JE SUIS a été manifesté parmi nous dans le corps de Son propre Fils qu'Il avait créé. propre corps. Il a quitté Sa nature de Dieu pour devenir un homme, afin de nous ramener au salut et en Eden. Il a traversé Lui-même, Il a déployé Ses tentes parmi nous, Il a mangé comme nous, Il a dormi comme nous, Il a marché et Il était comme nous. Il est devenu nous, afin que par Lui, nous devenions Lui, et que nous devenions des cohéritiers avec Lui dans le Royaume.

35 Ensuite, lorsque nous voyons cette Colonne de Feu, lorsqu'Elle était avec Lui, Elle opérait des miracles et des prodiges. Et Il a attesté : «Ce n'est pas moi qui fais ces oeuvres, c'est le Père qui demeure en moi. C'est lui qui fait les oeuvres. Car en vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu'il voit faire au Père. Et le Fils fait ce que le Père Lui montre. Il agit, et j'agis jusqu'à présent.» Amen. C'est vrai.
Il mourut et ressuscita le troisième jour. Et quelques jours après, un petit critiqueur Juif au nez crochu, un tas d'affaires en poche, était en route pour aller persécuter l'Eglise, tous ceux qui suivaient cette voie. Il allait vers .en route vers Damas, et il fut jeté à terre. Et lorsqu'il leva les yeux, il vit une grande Colonne de Feu suspendue là, qui a dit : «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu ?»
Il dit : «Qui es-Tu, Seigneur ? Qui est cette Colonne de Feu ?»
«Je viens de Dieu ; Je retourne à Dieu.» Là Il dit : «Je suis Jésus, et il te serait dur de regimber contre les aiguillons.»

36 Le prophète a dit qu'il y aura la pluie de la première et de l'arrière-saison; au cours de la pluie de l'arrière-saison, il y aura à la fois la pluie de la première et de l'arrière-saison . une grande Eglise universelle qui s'étendra d'un bout à l'autre du monde. Un glorieux Message, de grands miracles et prodiges seront accomplis par cette Eglise. Daniel dit que les gens qui connaîtront leur Dieu en ce jour-là, feront des exploits. C'est exactement le temps dans lequel nous vivons aujourd'hui.
Eh bien, l'oeil mécanique de l'appareil photo nous révèle que cette Colonne de Feu est la même Colonne de Feu qui conduisit les enfants d'Israël. Maintenant, Elle doit accomplir les mêmes choses qu'Elle accomplissait lorsqu'Elle était en Lui, sinon ce n'est pas la même Colonne de Feu. Mais, si Elle accomplit les mêmes choses, comment pouvez-vous douter d'Elle ? Elle est scripturaire.

37 «Je te salue, Marie, tu es bénie entre les femmes. Tu as trouvé grâce devant Dieu.» Oh ! Eglise, je te salue. Tu es bénie entre tous les peuples, car Tu as trouvé grâce devant Dieu. Tu as cru pour la Vie éternelle et Dieu t'a donné le baptême du Saint-Esprit. C'est vrai. Ce Messager sera un vrai Messager de Dieu, le Saint-Esprit, qui est le message de Dieu.
Remarquez, Marie, aussitôt qu'elle a compris que la chose était scripturaire, elle n'a pas dit : «Je vais voir si le Dr. Jones dit que cela est vrai ou pas. Elle n'est pas allée voir si le Rabbin Kabinski pensait que c'était vrai ou pas. Elle n'avait rien à voir avec cela. Savez-vous ce qu'elle a dit ? Elle a dit : «Je suis la servante du Seigneur ; qu'il me soit fait selon ta parole.» Car elle savait que cette Parole était la Parole du Seigneur, que ce Messager était le Messager de Dieu, que l'Ange était l'Ange de Dieu, parce que c'était conforme à la Parole de Dieu. Amen. «Je suis la servante du Seigneur, a-t-elle dit, comment cela se fera-t-il ?»
Il a dit : «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre, et ce Saint Etre qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu.»
Elle dit : «Me voici. Je ne sais pas comment cela se passera. Cela importe peu. Tu l'as dit, c'est scripturaire, je crois cela, j'accepte cela.» Elle se mit immédiatement à glorifier Dieu, avant de sentir qu'il y avait la vie, avant de sentir un quelconque signe. Elle n'avait plus besoin de signes. Elle a reçu Sa Parole, et c'était tout ce qu'il fallait. Amen. J'aime cela.

38 Moïse, aussitôt qu'il eut rencontré Dieu et qu'il eut compris que la chose était scripturaire, il se rendit en Egypte.
Aussitôt que Marie eut rencontré. ou plutôt que l'Ange l'eut rencontrée, et qu'elle L'eut vu, qu'elle eut reconnu que c'était Dieu, car c'était scripturaire, elle accepta Sa parole et alla partout témoigner de quelque chose qui n'avait même pas donné un seul signe de vie.
En plus, elle témoignait de quelque chose qui n'était jamais arrivé auparavant. Oh ! gloire au Seigneur ! Elle témoignait de quelque chose qui n'était jamais arrivé. Jamais une vierge n'avait conçu. Mais elle avait reçu la Parole de l'Ange, et l'Ange était scripturaire, ainsi elle savait que cela était promis. Et l'Ange avait la Parole du Seigneur et avait promis cela. Et comme elle se considérait humble et basse, néanmoins Dieu l'a choisie, elle en était donc heureuse. Et elle alla porter son message à tout le monde comme quoi elle aurait un enfant, avant même qu'elle n'eût vu le signe avant-coureur d'un bébé. Elle n'a pas attendu pour dire : «Un instant maintenant, laissez-moi sentir et voir si je me sens mieux ou pas.» Non, non. Oh ! Dieu, donne-nous davantage de Maries !

39 Beaumont et le reste du monde ont besoin des Maries de ce genre, qui peuvent prendre Dieu au mot et commencer à se réjouir avant que quoi que ce soit n'arrive. Qu'en est-il de vous femmes qui êtes dans les fauteuils roulants, et de vous frères et soeurs ici qui souffrez du coeur, et qui êtes malades et tout, alors que la présence du Seigneur est si proche ? Oh ! la la ! Vous savez que c'est la Parole du Seigneur. Le Seigneur a promis cela.
Vous dites : «Frère Branham, si seulement vous descendez m'imposer les mains .» Ce n'est pas cela. Vous êtes déjà guéri, car «Il a été blessé pour vos transgressions, Il a été brisé pour vos iniquités, le châtiment qui vous donne la paix est tombé sur Lui, et par Ses meurtrissures vous avez été guéri.»
C'est déjà au temps passé. Recevez cela simplement et commencez à vous réjouir, en disant : «Merci, Seigneur. Maintenant je comprends cela. Que Dieu soit béni, je suis guéri. Je ne m'occupe pas de ce que quelqu'un d'autre dit ou de ce que je sens, je suis de toute façon guéri.» C'est ça.

40 Le message de l'Ange .Cela a toujours été ainsi. C'est ce que Dieu veut. Qu'est-ce que cela fit ? Le .changé. En prenant Dieu au mot, cela a changé pour elle tout le cours naturel de la vie. Cela fera la même chose pour vous. Certainement. Cela vous prendra, vous, pécheurs et vous rendra blancs comme la neige. Cela vous prendra, vous, critiqueur et fera de vous l'un de nous. Assurément. Cela vous prendra, vous qui êtes malade et vous guérira. Cela vous prendra vous qui êtes en route pour l'enfer, et vous fera faire volte-face et vous mettra sur la route du Ciel. Prenez-Le simplement au mot, et croyez cela, et commencez à vous réjouir.
Le Messager du Seigneur est ici, le Saint-Esprit se meut sur les gens, les oignant. Si vous êtes un étranger et que vous vouliez savoir ce qui se passe dans ces gens, c'est de cela qu'il s'agit. Joël a promis cela. Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit : «C'est cela.» J'aimerais ajouter quelque chose à cela. Si ceci n'est pas cela, je voudrais garder ceci jusqu'à ce que cela arrive, car je suis en train de passer un si merveilleux moment avec ceci. Et je crois que c'est la chose. La même chose que ce qui s'est passé en ce jour-là. Oh ! Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui et pour toujours.

41 Marie n'a pas attendu. Elle ne s'est pas occupée des critiques, elle ne s'est pas occupée de ce que les gens disaient, elle avait rencontré un Ange. Elle avait vu Sa voix .ou plutôt vu Sa présence et elle était sûre qu'Il lui avait dit la vérité, parce que cela était scripturaire . lui avait promis une bénédiction, elle avait continué à croire cela. Et elle était sûre que cela arriverait. Oh ! Elle . Il y a quelque chose d'autre à ce sujet ; lorsqu'il vous arrive quelque chose de ce genre, vous ne pouvez pas rester tranquille là-dessus.
L'Ange lui a dit que sa parente Elisabeth ( Elle vivait dans la contrée montagneuse de la Judée. ) qui était vieille, âgée d'environ soixante-dix ans, avait conçu et qu'elle aurait un fils. Elle était déjà dans son sixième mois de maternité. Bien entendu, le petit bébé, le petit Jean n'avait pas encore de vie. Ils s'inquiétaient un peu à ce sujet.
Ainsi, nous voyons qu'Elisabeth . Zacharie était son mari ; il était sacrificateur. Il était au temple environ six mois avant que ceci n'arrive. Vous savez, Dieu fait concourir les choses chez les gens humbles.

42 Considérez Zacharie. Eh bien, l'Ange Gabriel était venu vers lui. Il était en service au temple, et pendant ce temps (il fut appelé par le sort pour offrir le parfum et se tenait à l'autel.) Et il lui est arrivé de regarder à droite, à droite de l'autel. Je pense que vous vous demandez toujours pourquoi je dirige les gens dans cette direction. C'est là qu'Il se tient. Donc, à droite de l'autel, et il se tenait là un Ange qui lui a dit qu'après les jours de ses services là, il rentrerait à la maison et qu'il serait avec sa femme, et que celle-ci concevrait et enfanterait un fils, un enfant.
Et ce prédicateur douta de cette Parole. Eh bien, bien des fois, il avait . Comme il devrait être le père de cet enfant .Considérez Sara. Il avait des exemples dans la Bible. Considérez Anne au temple, beaucoup d'exemples de ce genre. Mais malgré cela, il douta.
Quelle différence avec cet enseignant de philosophie insensible. Quelle différence avec ce ministre de séminaire, si on considère cette petite vierge ! Elle n'a pas du tout posé des questions. Elle a dit : «Je suis la servante du Seigneur.» C'est tout. Elle L'a pris au mot et cela a réglé le problème. Par contre, cet homme n'a pas pu croire cela.
Il a dit : «Je suis Gabriel, je me tiens devant Dieu. Ma Parole doit s'accomplir.» Il savait de quoi Il parlait. Il a dit : «Puisque tu ne M'as pas cru, tu seras muet jusqu'au jour où l'enfant naîtra.» Il rentra chez lui. Sa femme devint enceinte et se cacha pendant six mois.

43 Marie s'est dit : «Oh! n'est-ce pas merveilleux ? Eh bien, j'aurai un enfant, et là Elisabeth, ma parente( Jésus et Jean étaient des cousins issus des germains), là . je vous assure, ce sera merveilleux, car elle aura un enfant, et j'aurai un enfant. Je ne peux tout simplement pas garder cela plus longtemps. Je vais immédiatement le lui dire.» Elle alla immédiatement à la montagne aussi vite qu'elle le pouvait. Je vois son joli petit visage briller . Elle n'avait que dix-huit ans environ, je pense . et les cheveux noirs lui flottaient derrière comme cela. Et elle était en route ; dans de sa petite robe.
Et vous savez, Elisabeth s'était cachée. J'apprécie cela en quelque sorte. Je pense que cela paraît si honteux de voir les femmes dehors comme ici, en shorts, et tout le reste, alors qu'elles sont enceintes. C'est triste. Quelle différence ! C'est horrible. Je sais que vous ne devez pas . je ne dois peut-être pas dire cela. Si je vous offense, pardonnez-moi. Mais vous écouteriez votre médecin ; je suis votre frère, voyez-vous ? Ainsi, voilà cette femme dans cette condition ; mais elle se cacha. Je m'imagine qu'elle était assise là derrière, vous savez, comme en sanglotant un peu, avec .tricotant quelques petits .qu'est-ce ? De petits chaussons, vous savez, les apprêtant tous comme cela, et tricotant une petite couverture. Mais elle était .peur, parce qu'elle se disait : «Maintenant, je suis vieille et .»

44 Remarquez, l'Ange du Seigneur . C'étaient des justes, la Bible le dit, elle et Zacharie. C'étaient des justes et ils observaient tous les commandements de Dieu. C'est là où les Anges apparaissent - ils apparaissent toujours dans des familles des justes, quelque part où Dieu peut utiliser quelque chose, quelque chose dont Il peut Se servir.
Et ainsi, elle faisait ces petits chaussons. Je m'imagine qu'il y avait une petite fenêtre, comme on en trouve parfois en Palestine, il n'y avait pas de lumière perceptible par la fenêtre, mais juste un petit store suspendu. Elle a donc entendu quelque chose. Elle s'est levée et elle a vu quelqu'une venir et elle a dit : «Vous savez, je pense, on dirait ma cousine Marie. Voyez comment son petit visage brille. Eh bien, elle a grandi. J'ai appris qu'elle va se marier.» Ainsi, cela a dû être : «Eh bien, c'est une jeune dame, mais pourtant c'est Marie.» Ainsi, elle passe sa petite robe, vous savez, et court à sa rencontre.

45 Et, en ce temps-là, les femmes n'étaient pas comme celles d'aujourd'hui, vous savez. Elles - elles couraient jeter les bras l'une autour de l'autre et s'embrassaient. Vous savez, j'aime l'amitié, pas vous ? J'ai horreur de voir cette pauvre petite chose stupide, l'amitié version 1960. Oh ! la la ! il n'y en a pas encore assez. Eh bien, vous les gens du Sud qui êtes ici, ne trouvez-vous pas que c'est si grave, mais là-haut . oh ! la la ! Récemment, je suis allé chez mon oncle, à New York. Il habite une maison depuis vingt ans, et son voisin est aussi proche que ce drapeau du Texas que voilà. J'ai dit : «Qui vit là ?»
Il a dit : «Je ne sais pas.»
J'ai dit : «Tu es déchu de la grâce.» J'ai demandé : «Depuis combien de temps vit-il là ?»
Il a dit : «Il était là quand je suis arrivé ici.» On ne sait pas que le voisin est mort, à moins de le lire dans les journaux. C'est vrai. Pas d'amitié.

46 Il n'y a pas longtemps, frère Moore, moi et frère Brown sommes allés voir un petit garçon du nom de David, il y a quelques années, ici en Cal .ou plutôt en Floride, on nous a reçus là. Et frère Hukstra, je pense, m'a parlé, disant : «La Duchesse aimerait vous voir.»
Et j'ai dit : «La quoi ?»
Il a dit : «La Duchesse.»
J'ai dit : «Qu'est-ce que c'est ?»
Et il a dit : «C'est la dame à qui appartient toute cette propriété.»
Il a dit : «Elle est riche.»
«Eh bien, dis-je, je ne saurais la voir. Il y a trop de malades.»
Il a dit : «Mais c'est la Duchesse.»
J'ai dit : «Cela ne la rend pas différente des autres.»
Ainsi il a dit .Eh bien, les gens l'ont amenée là quand je suis parti. Et je suis sorti . Je ne suis pas .Que Dieu me pardonne si vous pensez que je me moque de la dame. Non. Mais elle avait assez de bijoux autour de ses mains pour envoyer un missionnaire prêcher l'Evangile dix fois autour du monde. C'est vrai. Se tenant là . Et elle portait des lunettes. Elle ne les portait pas, mais elle les avait mises sur une canne, les tenant comme cela. Une vieille dame énorme et grasse. Et elle est sortie . Je suis sorti de la tente. Et j'ai dit : «Je n'ai pas le temps de la voir. S'il me reste du temps, j'irai voir ces malades là-bas.» Voyez-vous ?

47 Et il a dit : «Mais elle vous a cédé le terrain.» J'ai dit : «Eh bien, c'est très bien. Si elle a cédé le terrain à David, nous apprécions cela. Mais elle est bien, rien à lui reprocher. Permettez-moi de voir ces gens-ci.» Eh bien, les gens voulaient que je la voie, donc lorsque je suis sorti.
Elle a dit : «Etes-vous Dr. Branham ?»
J'ai dit : «Non, madame, dis-je, je suis frère Branham.»
Elle a dit : . Eh bien, vous savez que personne ne peut regarder à travers des lunettes à une aussi longue distance. Et elle a jeté un coup d'oeil comme ceci, elle a dit : «Eh bien, Dr. Branham, dit-elle, enchantée.»
J'ai levé le bras et j'ai regardé cette main (elle a tendu la main pour me serrer la main.). Eh bien, je me suis dit que je dois me montrer un gentleman. J'ai saisi sa grosse main et je l'ai abaissée. J'ai dit : «Descendez pour que je vous reconnaisse la prochaine fois que je vous verrai» , comme cela. Oh ! j'aime quelque chose de sensible !

48 Paul Rader, l'homme qui a écrit le cantique que je chante ici : «Crois seulement», Il a dit qu'un matin lui et sa femme avaient une petite scène de ménage, ils avaient une petite histoire. Il a d'abord, vous savez . Il lisait le journal, et elle a dit quelque chose comme: «Paul, veux-tu me donner de l'argent ?»
Il a dit : «Je n'ai pas d'argent.» Et il a continué ainsi pendant un petit moment et il a dit qu'après un moment . Il n'avait pas remarqué que cela avait blessé son amour-propre. Il s'est plutôt assis là et il a dit : «Eh bien, si c'est pour si peu qu'elle est blessée dans son amour-propre, qu'elle en reste là.» Vous savez, frères, comment nous agissons des fois, je pense.
Et alors, puis il a dit qu'elle se tenait d'habitude à la porte et l'embrassait quand il sortait. Puis il se dirigeait vers le portail. Alors quand .il se retournait et disait au revoir en agitant la main, elle disait au revoir en agitant la main. Il a dit qu'il s'est mis debout et a pris son chapeau, et il a dit : « Qu'elle boude !» Il a dit qu'il s'est dirigé vers la porte, et il a dit qu'il a tendu ses lèvres et l'a embrassée, et est allé au bout du portail, il s'est retourné et a regardé derrière. Il a dit qu'elle se tenait là à la porte. Il a dit qu'il a agité la main, et elle a agité la main.
Il a dit qu'il s'est mis à descendre la rue. Il a dit que quelque chose a commencé à lui parler. «Tu as mal agi, Paul.» (Le pauvre Paul est dans la gloire, ce soir.) Mais cette Chose a dit : «Tu as mal agi, Paul. Et s'il lui arrivait quelque chose aujourd'hui ?» Il a dit qu'il s'est mis à penser à cela. Oh ! la la ! Et si quelque chose arrivait ? «Il ne la reverrait plus jamais sur la terre.» Oh ! la la !
Il a dit que cela n'a fait qu'empirer. Alors il a dit : «Seigneur, pardonne-moi. Je retournerai arranger cela.» Il a dit qu'il est retourné à toute vitesse et a ouvert le portail, il a poussé la porte et l'a ouverte, il a regardé partout. Il a entendu quelque chose qui faisait [ Son de reniflement - Ed.] Il a dit qu'elle se tenait derrière la porte, pleurant. Il a dit qu'il s'est approché. Il n'a pas dit un seul mot. Il est allé [ Son d'un baiser- Ed.] et l'a encore embrassée, il est rentré en courant jusqu'au bout du portail, puis il s'est retourné et a agité sa main. Il a dit qu'elle a agité la main, comme la première fois, mais la seconde fois, il y avait de la chaleur. Je me suis donc dit que c'est ce qu'il en est aujourd'hui. Nous voulons un . Je veux qu'il y ait de la chaleur là-dedans, quelque chose de réel d'après moi.

49 J'étais .Il n'y a pas longtemps, ma femme et moi, nous sommes allés au centre commercial. Une dame a dit : «Bonjour, Soeur Branham!»
Et je l'ai regardée, et j'ai dit : «Hé ! hé ! cette dame s'adresse à toi, chérie.»
Elle a dit : «Je lui ai répondu.» J'ai dit : «Eh bien, je suis sûr qu'elle ne t'a pas entendue. Moi non plus. Je suis juste à côté de toi.»
«Oh, a-t-elle dit, je lui ai souri.»
«Oh !» J'ai dit : . [Espace vide sur la bande -Ed.]

50 Elle a dit : «Tu sais, Marie, je suis enceinte.» «Oui, oui,» dit Marie, ses petits yeux étincelants, vous savez, à moitié embués de larmes de joie.
- «Oui, oui, je suis au courant de tout.»
- «Tu es au courant de tout ? Oui, oui, je suis au courant de tout.»
- «Cependant, Marie, je ne suis pas tranquille. Je suis à mon sixième mois maintenant, et le bébé n'a jamais bougé.» Maintenant, vous savez, c'est bien - c'est bien anormal. Autour de trois mois, c'est à peu près normal, mais cela faisait six mois, et le petit Jean n'avait pas encore bougé. Ainsi, elle a dit : «Je suis un peu inquiète à ce sujet et tout.»
Elle a dit : «Oui, je comprends.» Et elle a dit : «Tu sais, moi aussi je vais avoir un enfant.»
- Oh! je vois. Toi et Joseph, vous êtes déjà mariés.
- Non, nous ne sommes pas mariés.
- Comment ça, Marie ? Tu n'es pas mariée et tu vas avoir un bébé?
- Oui, c'est vrai.
- Oh! chérie, que racontes-tu là ?
- Eh bien, c'est de cette même manière que j'ai su que tu aurais un bébé. L'Ange Gabriel m'a rencontrée et m'a parlé de ton cas, et Il a dit que le Saint-Esprit viendrait sur moi, et cela s'est déjà accompli. Et l'Enfant que j'aurai sera le Fils de Dieu. Et elle a dit : «Elle m'a même dit . Il m'a dit comment je L'appellerais.» Il a dit : «Je Lui donnerais le nom de Jésus.»
Et je vois le visage d'Elisabeth briller ; elle a dit : «D'où vient la mère de mon Seigneur ? Car, aussitôt que la voix de ta salutation a frappé mes oreilles, mon enfant a tressailli d'allégresse dans mon sein.»

51 J'aimerais vous poser une question, mes amis. Si le Nom de Jésus-Christ, la première fois qu'il a été prononcé par les lèvres d'une mortelle, a ressuscité un enfant mort dans le sein de sa mère, qu'est-ce que cela devrait faire à une assemblée née de nouveau, qui affirme être remplie du Saint-Esprit ? Alléluia ! Amen ! Cela doit guérir le cancer, ouvrir les yeux aveugles, libérer le captif, remplir du Saint-Esprit, et toutes sortes de choses dans ce précieux Nom du Seigneur Jésus, faire pleurer le pécheur à cause de ses péchés. Oh ! la la !
Toute la foule m'a l'air de tournoyer continuellement. Oh! de voir ce que Dieu peut faire à l'instant même ! Le Messager du Saint-Esprit de Dieu est dans le bâtiment aujourd'hui, le Messager, le Saint-Esprit, apportant la paix, reflétant Jésus-Christ. La glorieuse Colonne de Feu est suspendue au-dessus de nous. Vous dites : «Je ne La vois pas.» Mais, vous pouvez sentir cela, ainsi dans un . un sens du corps est tout aussi valable que l'autre. Alors, la vue peut donc vous tromper plus que la sensation.
Ainsi donc, si Cela n'accomplit pas la même ouvre, alors ce n'est pas le même Saint-Esprit ; mais s'Il fait la même ouvre, alors c'est le Saint-Esprit, le même. Amen. Croyez-vous cela ?
Combien y a-t-il des pécheurs ? Combien ici aimeraient dire : «J'aimerais jouir de ces bénédictions, m'asseoir dans la gloire de la Shekinah avec vous et jouir des bénédictions de Dieu» ? Voudriez-vous lever la main et dire : «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, pendant que vous prierez.» Que Dieu vous bénisse, Frère. Que Dieu vous bénisse, Frère. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, Frère. Vous, là-bas, et vous et vous. C'est bien. Que quelqu'un d'autre lève la main et dise : «Frère Branham, priez pour moi.» Que Dieu vous bénisse, jeune homme. C'est très bien.

52 Ce matin, comme je rentrais pour le déjeuner, un gentil petit garçon est venu, et a passé ses bras autour de mon cou. Son père est ici, l'un des pasteurs des Assemblées de Dieu. Je pense qu'il est sur l'estrade. Il y était ce matin. Et le petit garçon avait été appelé dans une réunion quelque part et il louchait, et ses petits yeux sont aussi droits que les miens. Il y a des années de cela.
Et un autre jeune frère s'est approché et a secoué ma main et a dit que sa fillette avait un gros goitre à la gorge. Et j'étais à l'église de Jack Moore. Et je disais que le Saint-Esprit se déplaçait là, et Il l'a appelée là dans l'auditoire et lui a parlé. Le goitre a simplement disparu, il a disparu et l'a quittée. Elle était là. Oh ! la la !
Qu'est-ce ? C'est quoi cette Colonne de Feu ? C'est l'Ange du Seigneur. C'est qui l'Ange du Seigneur ? Le même qui était dans le buisson ardent, le même qui était en Jésus-Christ, le même qui est en vous ce soir. Amen. Le même qui est ici, le même Glorieux Seigneur Jésus.

53 Y en aurait-il un autre, avant que nous priions, qui aimerait lever la main et dire : «Souvenez-vous de moi, Frère Branham. Souvenez-vous de moi.» ? Que Dieu vous bénisse, Monsieur. Que Dieu vous bénisse. Et le petit garçon là au fond, et là dehors là-bas, tous là-bas. Oui, où que vous soyez, Dieu le sait.
Maintenant, inclinons la tête juste un instant. Et maintenant, soeur, voudriez-vous jouer ceci pour moi : «Le grand Médecin est ici maintenant» ? Juste un accord, si vous voulez, je vous prie.

54 Je me souviens que près de Fort Wayne . J'étais à Fort Wayne, dans l'Indiana. Je suis à la chaire depuis trente et un ans. Ceci est arrivé, il y a environ vingt-huit ans. Je priais pour un petit garçon pendant que cette musique était en train de jouer. Le petit garçon fut guéri. Il sauta de mes bras, un paralytique, il courut, et se jeta dans les bras de sa mère. Et alors, une petite fille Dunkard jouait au piano. Et celle-ci se leva, les cheveux lui tombaient jusqu'aux genoux, comme cela, elle se mit à chanter en Esprit, et le piano qu'elle jouait, les touches en ivoire continuaient à jouer «Le grand Médecin est proche maintenant, le compatissant Jésus». Des centaines de personnes qui étaient là observaient cela.
Pas plus loin que l'avant dernier dimanche dans mon Tabernacle, où se tenaient trois à quatre cents personnes, cette Colonne de Feu est apparue visiblement pour la deuxième fois, à Jeffersonville. (La première fois . puis on L'a photographiée à la rivière.) Et voilà qu'Elle s'est tenue là pendant quinze minutes, permettant à chaque personne de Le voir et de Le contempler. Frère, nous sommes à la fin de la route.

55 Notre Père céleste, nous venons maintenant à Toi, ô Seigneur, comme à une Pierre vivante. Nous venons, ô Seigneur, parce que nous croyons que Tu existes, et que Tu es le Rémunérateur de ceux qui Te cherchent. Nous prions pour recevoir Tes bénédictions. Nous Te prions de venir en aide à cet auditoire, ce soir. Et ceux qui ont levé la main, puissent-ils être participants de ce Glorieux Saint-Esprit, le Messager du dernier jour.
«Je répandrai mon Esprit sur toute chair.» Tu l'as promis. Tu as dit que dans les derniers jours, la pluie de la première et de l'arrière-saison seront là en même temps, c'est-à-dire, d'un côté de la terre et de l'autre côté de la terre ; de deux côtés, il viendrait une pluie. Dans les champs missionnaires à l'étranger, et dans ces champs missionnaires, il viendrait une pluie. Ainsi, nous croyons que cette heure est arrivée. Nous voyons le Saint-Esprit rendre manifestes les mêmes choses qu'Il a faites lorsqu'Il était ici autrefois.
Père, bénis ces précieuses personnes, je T'en prie. Sois près d'elles. Accorde-leur la Vie éternelle. Accorde-le, Seigneur. Je les abandonne à Toi maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Avec nos têtes inclinées, prions un peu.

56 grand Médecin est poche maintenant,
Le compatissant Jésus.
Il parle pour réconforter les coeurs abattus.
Oh! souffle sur nous, Saint-Esprit. Viens dans Ton Eglise, Seigneur Jésus, Toi la glorieuse Etoile du matin, la Colonne de Feu. Fraye-Toi une voie à travers toute l'incrédulité, dans les coeurs des gens, ce soir. Puissent-ils être comme Marie, afin qu'ils voient Ta Présence et qu'ils reconnaissent que c'est Toi, et qu'ensuite Tes promesses sont toujours bonnes, toutes les promesses. Tu as promis de le faire. Ta promesse était que Tu les as déjà guéris, car Tu as été blessé pour leurs transgressions, «par les meurtrissures, vous avez été guéris.» Accorde-le, Père, à cet auditoire qui est dans l'attente. Nous nous attendons à Toi maintenant. Agis, au Nom de Christ, je prie.
J'observe juste quelques instants pour voir ce qui va se passer. Oh! combien, c'est doux ! Levons la tête tout doucement maintenant. J'attendais que vous soyez calmes. Combien y en a-t-il ici qui sont malades et qui n'ont pas de carte de prière ? Levez la main pour que Dieu vous guérisse. Trois, c'est la confirmation, je crois. Est-ce juste, dans la Bible ? Si j'ai dit la vérité, si j'ai prêché la vérité, alors Dieu est obligé de soutenir cette vérité, si c'est Sa vérité.

57 Eh bien, nous avons un tas de cartes de prière ici. Nous n'allons pas les appeler. J'aimerais que vous sachiez qu'il n'est pas nécessaire d'avoir une carte de prière. Demandez aux ministres si c'est nécessaire. Demandez aux frères qui m'accompagnent partout.
Nous pouvons être en train de rouler sur la route, je peux dire : «Attendez. A un autre virage, il y aura une telle chose. Un homme se tiendra là. Il a telle chose, et il voudra que j'aille à un certain endroit pour une certaine chose. Nous nous rendons là-bas, et telle chose arrivera.» Certainement . Cela ne faillit jamais. Cela ne peut pas faillir ; C'est Dieu aujourd'hui, que fait-Il ? Il confirme qu'Il est le même. Eh bien, ce n'est pas moi ; c'est Lui.

58 Je ne vois personne devant moi que je connaisse, excepté ces deux petites filles. Je pense que ce sont les deux filles de frère Evans. N'est-ce pas vrai? Juste ici. Ce sont les seules que je connaisse. Je regardais juste pour voir si je pouvais voir quelqu'un que je connaissais vraiment. Mais les seules personnes que je vois et que je connais. J'ai vu frère Evans quelque part, il y a quelques instants, mais je l'ai perdu de vue. Oh! oui, voici frère Dauch, assis juste ici, il vient de l'Ohio, frère Bill Dauch, un ami à moi, il est assis juste ici, et soeur Dauch. Il y a la soeur Evans. Eh bien, je l'ai vue, juste là derrière. Bien. Juste par là, il y a frère Evans ou plutôt soeur Evans. Où est frère Welch ? Il est assis là derrière. Bien.
Pour que les gens sachent qui vous êtes tous... levez la main. S'il y a quelqu'un ici à l'intérieur qui me connaît, et qui sait que je le connais, qu'il lève la main, quelqu'un qui sait que je . sait que je vous connais. Bien, vous voyez. Maintenant, vous qui savez que je ne vous connais pas, et qui êtes malades, levez la main. Levez la main. Regardez simplement et voyez où on en est. Voyez-vous ? Presque partout. Bien.

59 Si le . Si Jésus est le même hier, aujourd'hui et pour toujours, la Bible dit qu'au commencement était la Parole et la Parole était Dieu. Est-ce vrai ? Et la Parole a été faite chair. C'est lorsque la Parole de Dieu qu'Il avait prononcée a été faite chair.
Savez-vous que la terre même sur laquelle vous êtes assis, c'est la manifestation de la Parole de Dieu ? C'est la Parole de Dieu rendue manifeste. Si ce n'est pas le cas, d'où est-elle venue ? Il a formé le monde de ce qui est invisible. Il a rassemblé la terre. Il a juste prononcé la Parole. Il a dit : « Qu'il y ait , et il y eut.» Il est le Créateur. Bien. Ainsi, la chaise sur laquelle vous êtes assis, c'est la Parole de Dieu. Cette terre sur laquelle repose le pavement, c'est la Parole de Dieu. Toutes ces choses proviennent de la poussière de la terre, la Parole de Dieu. Et vous-même, vous êtes la Parole de Dieu. C'est vrai. Alors, pourquoi ce petit cour là-dedans ne peut-il pas commencer à ôter tout doute concernant cette chose-ci ? Qu'il en soit ainsi.

60 Eh bien, la Parole de Dieu est plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'aux moelles des os et le .partager les moelles des os ; et la Parole de Dieu, Laquelle est Jésus, Elle juge les sentiments du coeur et de l'esprit. Est-ce juste ?
Eh bien, lorsque la Parole était ici, et qu'Elle a été faite chair et qu'Elle a habité parmi nous dans la forme du Fils de Dieu, Jésus-Christ, une petite dame toucha , un jour, par la foi Son vêtement. Il ne sentit pas cela physiquement, mais Il se retourna et regarda, disant : «Qui M'a touché ? Qui M'a touché ?»
Même Pierre Le reprit, disant : «Seigneur, tout le monde Te touche.»
Il dit : «Oui, mais Moi, J'ai connu qu'une force était sortie de Moi. Je me sens faible. La force M'a quitté.» Et Il dit . chercha du regard dans l'auditoire et découvrit la petite dame, et Il lui dit que la perte de sang qu'elle avait. sa foi l'avait sauvée( Est-ce vrai ?) Elle fut guérie. Il n'a pas dit : «C'est Moi qui l'ai fait.» C'est elle-même qui l'a fait. Voyez-vous ? Il a dit : «Ta foi. a sauvé»

61 Eh bien, la Bible dit qu'Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours. Et le Livre des Hébreux dit qu'Il est le Souverain Sacrificateur qui peut compatir à nos faiblesses. Et s'Il est le même hier, aujourd'hui et pour toujours, si vous touchez le même Souverain Sacrificateur, ce même Souverain Sacrificateur agira de la même manière. Tel qu'Il a agi la première fois, tel doit-Il agir la deuxième fois. S'il ne l'a pas fait, c'est qu'Il avait fait une erreur en le faisant la première fois. S'Il s'est révélé Lui-même aux Juifs et aux Samaritains en tant que Messie, discernant les pensées de leurs esprits et en leur disant qui ils étaient, ou plutôt ce qu'ils étaient, et ainsi de suite comme cela, ou quelque chose qu'ils avaient fait.
Combien savent que c'est la vérité, que c'est - c'est la vérité de la Bible, que c'est ainsi qu'Il s'est révélé ? Eh bien, si c'est ainsi qu'Il a révélé cela aux Juifs et aux Samaritains, Il doit révéler cela aux Gentils, sinon Il leur a mal révélé cela. Comprenez-vous ce que je veux dire ?
Maintenant, tous ceux qui croient cela, levez la main et dites : «Je crois qu'Il me l'a promis.» Merci. Il l'a fait. Vous voyez, rappelez-vous ce que l'Ange a dit : «Si tu peux amener les gens à te croire.» Voyez-vous ? Non pas me croire moi; c'est Lui, mais croire qu'Il m'a envoyé vers vous. Maintenant, priez et touchez le Souverain Sacrificateur. Et s'Il veut m'écarter de cette estrade pour vous parler, laissez . c'est à vous de juger si c'est vrai ou non. C'est à vous de juger si c'est vrai ou non.

62 Vous dites . Maintenant, détournez vos regards de moi en tant qu'homme et dites : «Seigneur Jésus, je suis dans le besoin.» Et n'essayez pas de forcer la voie, vous n'arriverez nulle part à ce moment-là. Soyez simplement détendu et dites : «Je le crois, Seigneur, il n'y a pas de doute dans mon esprit. Cet homme ne me connaît pas, et je suis très loin de lui. Je suis ici dans l'auditoire ( ici très loin au fond, ou je me tiens autour du ring ou quelque part comme cela.) Maintenant, je sais que je Te crois. Si Tu peux simplement me permettre de Te toucher, permets qu'il se retourne vers moi, je saurai que ce n'est pas frère Branham, car il ne me connaît pas. Il ne sait pas non plus qui je suis ni ce que j'ai fait ni ce que j'avais fait ni ce que je ferai. Mais Toi, Tu le sais. Ainsi, si Tu permets simplement qu'il se retourne, je saurai que c'est Toi. Je croirai alors son message, car il est sous Ton contrôle. Vous voyez, c'est Toi qui parles à travers lui, vous voyez ?
Croyez-vous cela ? Combien croiraient cela, s'ils voyaient de leurs yeux cela se faire. ?. Pas là dans une chambre noire ; juste ici devant le public comme, à la manière de notre Seigneur. Cela n'a pas . Cela n'a rien de secret ; c'est juste ici. Cela ne s'adresse qu'aux croyants. Maintenant, priez simplement.

63 Il se peut que je me sois trompé. Je pensais que c'était juste ici quelque part, mais cela ne doit pas avoir été le cas. Je surveillerai cela. C'est une lumière. Ceux de ce côté-ci ont-ils levé la main pour montrer qu'ils sont aussi malades, et qu'ils ne me connaissaient pas ? Eh bien, Il est ici même. Vous qui voyez ces photos et tout, pensez simplement . cet oeil mécanique de la photo a vu cela avant que beaucoup de gens n'aient vu cela . prendre la photo. Si je mourais ce soir, si aujourd'hui, c'est mon dernier jour sur la terre, mon témoignage demeure vrai. L'oeil mécanique de l'appareil photo a prouvé cela sept ou huit fois dans différentes nations. C'est vrai. L'Eglise, dans le monde entier le sait.
J'ai proclamé la vérité, car je parle de Lui. C'est la raison pour laquelle je n'ai pas peur, mais Il confirmera que ce que j'ai dit, c'est la vérité, parce que je ne rends pas témoignage de moi-même ; je rends témoignage de Lui. Maintenant, soyez vraiment respectueux et croyez.
Vous dites : «Sur quoi comptez-vous, Frère Branham ?» C'est sur Lui que je compte. S'Il ne me parle pas, je ne peux rien faire, c'est tout. Pour faire quelque chose il faut la foi. Ou bien, peut-être qu'Il n'est pas content que nous le fassions. Combien ont donc eu des cartes de prière ? Tout le monde a une carte de prière ? 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, il reste environ huit cartes de prière, 9. Nous appellerons alors s'Il ne le fait pas. J'aimerais voir cela être fait sans carte de prière, afin que vous voyiez que la carte de prière n'a rien à voir avec la chose.

64 O Dieu, aide-nous, ce soir. Maintenant, je Te prie de nous accorder cela. Je suis venu ici ayant une foi ferme ; je suis venu croyant, croyant que Tu le feras. Je Te prie de me venir en aide maintenant. Donne-moi de Ton Esprit, Père. Accorde-le, afin que cela soit pour Ta gloire. Je prie au Nom de Jésus. Amen.
Oui, ça y est. Merci, Seigneur. Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette hernie, madame ? Qu'Il vous guérira ? Bien. Acceptez cela. Levez la main. Bien. Avez-vous une carte de prière ? Non. Vous n'en avez pas besoin. Je n'ai jamais vu cette dame de ma vie. Sommes-nous étrangers l'un à l'autre, soeur bien-aimée ? Je ne vous connais pas. Si c'est vrai, levez la main afin que l'auditoire voie. Etait-ce là votre mal ? Vous étiez là en train de prier, n'est-ce pas ? Maintenant, je suis entré en contact avec vous. Vous offriez des prières à Jésus, disant : «Que ce soit moi.» Est-ce vrai ? Agitez votre main comme cela. Levez la main, agitez la main, afin que les gens voient. Maintenant, comment ai-je su l'objet de sa prière et les paroles que vous prononciez ? Ne comprenez-vous pas ? C'est Christ.
Voici une petite dame qui vient de se déplacer, elle est assise là maintenant. Vous voulez guérir de ces troubles cardiaques, soeur ? Vous n'êtes pas obligée de venir jusqu'ici. Regardez juste de ce côté. Vous voulez guérir de vos troubles cardiaques ? Bien. Levez la main et dites : « J'accepte cela.» Bien, rentrez chez vous, vos troubles cardiaques sont finis. Jésus-Christ vous guérit.

65 La petite dame qui est assise juste derrière elle, vous souffrez des troubles féminins. Levez-vous, si c'est vrai. Bien. Avez-vous une carte de prière ? Vous en avez une. Je ne voulais pas vous appeler. Bien. Rentrez chez vous. Vous êtes . Vous aviez . des ennuis avec vos yeux ; ils vont mal aussi. Est-ce vrai ? Agitez la main. Ce n'est pas parce que vous portez des lunettes, mais vos yeux vont de plus en plus mal. Bien. Vous n'en souffrirez plus. Rentrez chez vous, Jésus-Christ vous guérit.
Dites, faites-moi une faveur, je vous prie. Pour que les gens le sachent, étant donné que vous avez une carte. Cette dame assise là à côté de vous, elle . ici, de ce côté-ci, elle souffre de goitre, croyez-vous que Jésus-Christ vous guérira ? C'est Lui . ?. Mais, c'est juste. Croyez et cela vous quittera . Bien.

66 Maintenant, si vous croyez que je suis un prophète de Dieu, imposez les mains à cette dame qui est à côté de vous et qui pleure là. L'Ange du Seigneur se tient au-dessus d'elle. Elle a mal à la tête. Si c'est vrai, tenez-vous debout, madame, celle qui vient donc d'être appelée. Bien. Levez-vous, si c'est la vérité, celle qui tient le mouchoir dans sa main. Bien. Jésus-Christ vous guérit. Rentrez chez vous et soyez guérie.
Croyez-vous en Lui ? Eh bien, cet Ange est-Il scripturaire ? Ici, ici derrière. Le voilà ici derrière, là derrière. Il y a là un homme avec sa femme. La femme souffre du diabète, l'homme a l'arthrite. Oh ! Si seulement je pouvais le leur faire comprendre. O Dieu, aide-moi. Monsieur et Madame Wilkerson, levez-vous. Jésus-Christ vous guérit. Rentrez chez vous et soyez guéris. Christ vous guérit.
Avez-vous une carte de prière ? Non ? Vous n'en avez pas. Vous n'en avez pas besoin. Pendant que vous êtes debout, écoutez ceci, mes amis. Je ne vous connais pas du tout, n'est-ce pas ? Si je ne vous connais pas, agitez votre main dans tous les sens. Vous voyez, je ne vous connais pas. Vous étiez assis là en train de prier. Est-ce vrai ? Il vous est arrivé quelque chose. Est-ce vrai ? Bien. Etait-ce là votre ennui ? Etait-ce là votre nom ? Tout ce qu'Il a dit, est-ce la vérité ? Agitez votre main comme ceci si c'est vrai. Agitez votre main. Bien. Vous y êtes. Rentrez chez vous, Jésus-Christ vous guérit.
Qu'ont-ils touché ? Croyez-vous que l'Ange qui se tient devant nous, c'est l'Ange de Dieu ? Ce n'est pas moi. Je ne connais pas ces gens. Je l'atteste ; ils attestent que nous ne nous connaissons pas l'un l'autre ; ainsi, ça doit être l'Ange du Seigneur. Et II fait les choses qui sont réellement scripturaires, que Jésus a dit qu'Il ferait avant que ça ne brûle comme Sodome. Amen.

67 Voyons. Si vous croyez. Le voici, Le voici de nouveau, juste ici au coin. Attendez, c'est la dame . Non. Un instant. Non, ce n'est pas la dame qui se tient là. C'est la dame qui est assise ici. C'est vrai, une petite dame assise ici. J'ai vu un enfant, mais il s'agit d'une dame qui est assise, elle souffre des hémorroïdes. Et elle . C'est sa fillette qui est assise là. Elle souffre de l'asthme. C'est AINSI DIT LE SEIGENUR. Levez-vous et acceptez votre guérison. Jésus-Christ vous guérit. Levez-vous, toutes deux. Si nous sommes étrangers l'un à l'autre, levez les mains et agitez-les. Bien. Rentrez chez vous, chérie. Tout est fini, ma petite, tu seras guérie.
Croyez-vous ? Regardez ici, regardez ici, regardez ici, regardez ici. Ne voyez-vous pas cela, Frère Jack ? Regardez ici, juste ici, Cela se tient juste au-dessus de cet homme-ci. L'homme souffre de l'hernie. C'est vrai. Il n'est pas de cette ville . vient d'une ville appelée Orange. Bien. Il s'appelle monsieur Sack. Est-ce vrai, Monsieur ? Si je vous suis étranger, agitez la main de tout côté comme ceci. Vous étiez assis, là, disant : «Que ce soit moi, Seigneur.» Est-ce vrai ? Agitez la main.
O Dieu, comment peuvent-ils manquer de voir cela ? J'ordonne à chaque malade qui est ici de se lever et de recevoir sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen. Levez-vous, ne craignez pas. Croyez en Lui de tout votre cour.

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