Se tourner vers le nord
1 Deutéronome chapitre 2, à partir du premier verset. [Quelqu'un lit le passage. - N.D.E.]
Nous nous tournâmes, et nous partîmes pour le désert, par le chemin de la mer Rouge, comme l'Eternel me l'avait ordonné; nous suivîmes longtemps les contours de la montagne de Séir
L'Eternel me dit :
Vous avez assez suivi les contours de cette montagne. Tournez-vous vers le nord.
Donne cet ordre au peuple : Vous allez passer à la frontière de vos frères, les enfants d'Esaü, qui habitent en Séir. Ils vous craindront; mais soyez bien sur vos gardes.
Ne les attaquez pas; car je ne vous donnerai dans leur pays pas même de quoi poser la plante du pied : j'ai donné la montagne de Séir en propriété à Esaü.
Vous achèterez d'eux à prix d'argent la nourriture que vous mangerez, et vous achèterez d'eux à prix d'argent même l'eau que vous boirez.
Car l'Eternel, ton Dieu, t'a béni dans tout le travail de tes mains, Il a connu ta marche dans ce grand désert. Voilà quarante années que l'Eternel, ton Dieu, est avec toi : tu n'as manqué de rien.
Nous passâmes à distance de nos frères, les enfants d'Esaü, qui habitent en Séir, et à distance du chemin de la plaine, d'Elath et d'Etsion-Guéber; puis nous tournâmes, et nous prîmes la direction du désert de Moab.
L'Eternel me dit : N'attaque pas Moab, et ne t'engage pas dans un combat avec lui; car je ne te donnerai rien à posséder dans son pays : c'est aux enfants de Lot que j'ai donné Ar en propriété.
Les Emim y habitaient auparavant : c'était un peuple grand, nombreux et de haute taille, comme les Anakim.
Ils passaient aussi pour être des Rephaïm, de même que les Anakim; mais les Moabites les appelaient Emim.
Séir était habité autrefois par les Horiens; les enfants d'Esaü les chassèrent devant eux, et s'établirent à leur place, comme l'a fait Israël dans le pays qu'il possède et que l'Eternel lui a donné.
Maintenant, levez-vous, et passez le torrent de Zéred.
Nous passâmes le torrent de Zéred.
Le temps que durèrent nos marches de Kadès-Barnéa au passage du torrent de Zéred fut de trente-huit ans, jusqu'à ce que toute la génération des hommes de guerre eût disparu du milieu du camp, comme l'Eternel le leur avait juré.
La main de l'Eternel fut aussi sur eux pour les détruire du milieu du camp, jusqu'à ce qu'ils eussent disparu.
Lorsque tous les hommes de guerre eurent disparu par la mort du milieu du peuple, l'Eternel me parla, et dit :
Tu passeras aujourd'hui la frontière de Moab, à Ar, et tu t'approcheras des enfants d'Ammon. Ne les attaque pas, et ne t'engage pas dans un combat avec eux; car je ne te donnerai rien à posséder dans le pays des enfants d'Ammon : c'est aux enfants de Lot que je l'ai donné en propriété.
[Restons debout. Que le Seigneur bénisse la lecture de Sa Parole.]
... un rhume. Satan me l'a donné, et je le lui ai rendu. Il me l'a redonné, et je le lui ai rendu. Ç'a simplement continué ainsi jusqu'au moment d'aller consacrer une église, et je me suis finalement éloigné de lui et suis allé consacrer cette église.
Debout sur cette caisse cet après-midi... Ça me ramène à l'époque où maman avait l'habitude de me mettre sur une caisse pour faire la vaisselle. Eh bien, j'espère que cet après-midi nous allons faire la même chose. Que le Seigneur accorde donc de Ses bénédictions.
2 Il y a quelques annonces, une annonce que je devais faire l'autre jour à Houston. On m'avait remis là un bout de papier qui disait : «S'il vous plaît, annoncez que frère Van Heuf... Van Heus ainsi que W.P. ...?..., seront à Phoenix, en Arizona, du 27 février au 5 mars.» Retenez cela.
Maintenant, je pense que, demain soir, frère Oral Roberts devra parler ici. Probablement dans ce même auditorium? Dans la salle de banquet. Et frère Oral est certainement un chef-d’oeuvre de Dieu à la chaire. Un merveilleux homme de Dieu, un homme de la foi. Et je suis sûr que cela vous fera du bien de venir écouter frère Roberts demain soir.
Et aussi, il y aura le déjeuner le matin, et tout, il y a beaucoup... beaucoup ont... J'ai vu derrière le rideau certains d'entre eux qui ont déjà obtenu leurs billets, et le reste. C'est bien. Ainsi, nous sommes toujours ravis d'être présents à ces conventions.
3 Je sais que vous avez quelque chose qui doit avoir lieu dans quelques minutes - ou immédiatement après que j'aurai terminé de prêcher - une sorte de réunion. Je serai aussi bref que possible. Une chose, c'est que je suis un peu enroué, et la chose suivante, c'est que ...?... déjà plus de deux heures que vous êtes ici. Je sais que vous êtes fatigués.
Maintenant, demain ou dimanche prochain, le Seigneur voulant (dimanche prochain étant le 5 février), le soir du dimanche prochain, nous serons aux assemblées de Dieu, à Tucson, pour prier pour les malades. Le soir du dimanche prochain, on commencera à 7 h 30' à Tucson, en Arizona. Et ensuite nous effectuerons un voyage de là jusqu'à la Côte Ouest, jusqu'au... sud de Los Angeles - Long Beach, je pense que c'est ça; ensuite nous monterons aux alentours de Bakersfield pour le service suivant, et continuerons enfin vers l'est. J'espère, si c'est la volonté de Dieu, être à Zurich au moment où ces hommes y seront, et aussi à Jérusalem. J'aimerais une fois me rendre à Jérusalem, et voir la terre où notre Seigneur a vécu.
J'aimerais saluer beaucoup de mes braves amis qui sont ici. Je vois frère Magnason et frère Rhodes, beaucoup de frères ici. Cela prendrait beaucoup de temps pour citer leurs noms. Et je me tenais ici, il y a quelques instants, et j'ai vu frère Smith, et il s'est avancé et a jeté ses bras autour de moi - quel merveilleux moment de communion!
4 Maintenant, comme nous avons lu les Ecritures, j'aimerais tirer un texte, si on peut l'appeler ainsi, du 3e verset du deuxième chapitre de Deutéronome :
Vous avez assez suivi les contours de cette montagne. Tournez-vous vers le nord.
J'aimerais parler sur le sujet : Se tourner vers le nord.
Cela aurait été dur pour Israël, lorsqu'ils se tenaient sur l'autre rive de la mer Rouge, dansant, criant, se réjouissant, de penser que la terre promise était à quarante ans de voyage, alors qu'ils n'en étaient éloignés que de quelques jours de voyage. Ce n'est qu'une brève durée. Je pense qu'avec une automobile vous pourriez probablement parcourir cette distance en une heure et demie. En marchant, vous pourriez la parcourir en deux jours, trois ou quatre jours, quelque chose comme cela, c'est facile. Vous pourriez aller à la terre promise.
Et ils pensaient qu'ils y étaient presque, et ils étaient en train de passer un grand moment de jubilé, de cris et de louanges à Dieu, en voyant ce que Dieu avait fait pour eux, et comment... Cela aurait été difficile de leur faire croire qu'ils étaient à quarante ans de voyage de cette promesse, de la pleine promesse de Dieu qu'Il leur avait faite.
5 La grâce les avait pourvus d'une grande chose. La grâce les avait pourvus d'un agneau pascal. La grâce les avait pourvus d'un prophète. Et la grâce les avait pourvus d'un Ange. L'agneau pascal était pour leurs péchés. Le prophète était leur instructeur. L'Ange était leur guide. La grâce les avait pourvus de tout. Mais, malgré tout cela, ils ont désiré une loi.
Pourtant cette grâce avait pourvu pour eux à un moyen pour s'échapper de l'Egypte, avant qu'ils n'aient de loi. Ensuite la grâce les avait pourvus de l'un des plus grands réveils qu'ils n'aient jamais eus. Pendant ce réveil, ils avaient vu la glorieuse puissance de Dieu. Pendant ce réveil, ils avaient vu le soleil briller alors que les autres étaient dans les ténèbres. Pendant ce réveil, ils avaient vu la main puissante de Dieu délivrer son peuple innocent, les amenant de l'esclavage à la délivrance. Et pendant ce réveil, après qu'ils avaient traversé la mer Rouge, ils s'aperçurent que derrière eux tous leurs ennemis étaient morts dans la mer Rouge. Pourquoi voulaient-ils y ajouter quelque chose?
6 Ils étaient simplement comme nos pères pentecôtistes il y a environ quarante ans ou un peu plus, après que l'on a vu les mêmes choses qu'eux avaient vues, un des plus puissants réveils que l'église avait jamais eus : on y a vu la guérison divine, les gens être libérés de l'esclavage, et ainsi de suite, être rendus libres, après avoir été liés par des chaînes de dénominations. La grâce les avait pourvus de tout ce dont ils avaient besoin : un Ange de Dieu pour les conduire, des prophètes, des grands hommes.
7 Je les ai entendus dire l'autre jour que lorsqu'ils tenaient des réunions sur la rue Azusa ici en Californie, ils pensaient que c'était une disgrâce que d'amener les recueils des cantiques à l'église. Ils chantaient en Esprit. Ils les chantaient, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer. Ils dansaient en Esprit. Ils passaient un bon moment. Et ils s'attendaient à ce que la Parole sanctifiante de Dieu les sépare de leurs péchés, et ils savaient qu'ils étaient passés de la mort à la vie. Quel réveil ils avaient il y a quelque quarante ans!
Mais, comme Israël, nos pères ont commis une erreur fatale - une seule chose les a maintenus dans le désert quarante autres années. On découvre qu'au lieu d'être satisfaits de ce qu'ils avaient, et de ce que Dieu avait fait pour eux, et du fait qu'ils avaient vu les oeuvres de Ses mains, le fruit de la grâce les pourvoyant de tout ce dont ils avaient besoin... même au point qu'ils n'avaient pas besoin d'un recueil de cantiques. J'aurais souhaité pouvoir voir cela en ce temps-là.
8 Pourtant, Israël, après toutes ces choses, Israël dans le naturel... Ceci, c'est Israël dans le spirituel. Tout comme Dieu amenait Son peuple à une terre promise dans le naturel, Il est en train d'amener Son Eglise à une terre promise dans le spirituel. Ils étaient en route, passant des bons moments, mais pourtant ils... Après que la grâce avait pourvu à tout ce dont ils avaient besoin, ils désiraient toutefois fabriquer quelque chose d'eux-mêmes, quelque chose qu'ils pouvaient montrer à Dieu et dans lequel ils avaient eu à faire.
Et c'est ce que... L'église, quand elle tombe dans cette condition, c'est toujours à ce moment-là qu'elle est perdante. Et lorsque vous, ou moi, ou n'importe quel homme, essayons de mettre la main sur l'oeuvre de Dieu pour y ajouter ou en retrancher quelque chose... Nous devons la laisser juste telle que Dieu nous l'a donnée. Laissons simplement le réveil avancer comme l'Esprit avance.
9 Ces gens n'étaient qu'à huit ou dix jours de voyage de la pleine promesse de Dieu, s'ils avaient suivi la conduite du Saint-Esprit. Les gens de ce jour-ci, nos pères, étaient juste à quelques jours de la plénitude de la promesse de Dieu, s'ils étaient simplement allés de l'avant et avaient suivi la conduite du Saint-Esprit. Mais, comme eux, nous devions faire quelque chose.
L'erreur la plus fatale qu'Israël eût jamais commise se trouve dans Exode 19. Après que la grâce les avait pourvus de toutes ces choses et avait accordé un réveil, ils exigèrent quand même une loi. Ils purent toutefois avoir des écoles, des pasteurs ayant une formation théologique, et, eh bien, être simplement comme les autres - quelque chose au sujet de quoi ils pouvaient faire des histoires, quelque chose au sujet de quoi ils pouvaient se séparer, briser la communion ou la fraternité. «Nous croyons ceci» et «Nous croyons cela». Si seulement ils avaient laissé la chose telle que Dieu la conduisait, ça aurait été très bien.
10 Mais nous essayons toujours d'y mettre de nos idées; il se fait que quand nous injectons nos idées, quand nous injectons notre théologie dans l'Esprit de Dieu, cela éloigne l'Esprit de Dieu. C'est comme ça qu'étaient les choses en ce jour-là. Ils étaient en route, mais ils désiraient quelque chose qu'ils pouvaient fabriquer eux-mêmes.
Ils découvrirent ensuite qu'ils avaient éloigné d'eux l'Esprit de Dieu par leurs disputes et leur mauvaise conduite. C'était une grosse erreur. C'était une grosse erreur lorsque nous fîmes la même chose, nos pères. Lorsque le Saint-Esprit descendit pour la première fois sur la rue Azusa, et dans bien des parties du monde, si nous avions simplement laissé cela continuer, la conduite du Saint-Esprit - laisser le monde dehors, continuer, et laisser le Saint-Esprit conduire - nous serions déjà dans la terre promise. Mais nous sommes éloignés de la chose de quarante ans et quelques. Nous avons agi exactement comme eux.
Quelque chose est entré dans l'église, ou un autre problème, et nous avons voulu nous organiser, au lieu d'aller simplement de l'avant et d'aimer les frères, de continuer; ou, pourquoi ne pas laisser cela tranquille? «Toute plante que mon Père céleste n'a pas plantée sera de toute façon déracinée.» Ainsi, à quoi nous sert-il de dresser des barrières dénominationnelles pour maintenir l'autre dehors? Nous ne faisons qu'entourer une chose d'une clôture.
11 Maintenant, il y a une petite histoire qui dit quelque chose comme ceci, que... Peut-être que ce n'est pas indiqué de dire cela à la chaire, à un groupe de gens remplis de l'Esprit comme celui auquel j'ai le privilège de m'adresser. Mais elle dit que trois singes étaient assis sur un arbre, se regardant l'un l'autre. Et ils jetèrent un coup d'oeil en bas et virent les pauvres êtres humains, et ils dirent : «Ne sont-ils pas malheureux, ces hommes? Et ils disent qu'ils descendent de nous. C'est une erreur. Jamais je n'entourerai mon cocotier d'une clôture pour empêcher mes frères singes de manger les mêmes noix de coco que je mange.» Vous voyez? C'est ça l'être humain. L'église a toujours été ainsi.
12 Une fois, lorsqu'Israël voulut agir comme les autres nations, ils désirèrent avoir un roi. Ils voulurent que Samuel leur donne un roi. Eh bien, Samuel leur parla, disant : «Ça ne marchera pas. Dieu est votre Roi. Laissez simplement Dieu être votre Roi.»
Ils voulurent malgré tout avoir un roi, car ils voulaient agir comme les autres nations. Ils voulaient agir comme les Philistins et les autres nations, avoir le monde comme modèle, au lieu de laisser Dieu être leur Roi.
Samuel leur parla... Dieu dit à Samuel... Samuel, leur fidèle vieux prophète, convoqua Israël et dit : «Vous ai-je déjà dit quelque chose au Nom du Seigneur qui ne soit arrivé? Vous ai-je déjà dit quelque chose au Nom du Seigneur qui ne soit arrivé? Vous ai-je déjà demandé votre argent, ou vous ai-je pris quoi que ce soit?»
«Non, tu ne nous a pas demandé notre argent», répondit Israël. «Non plus tu ne nous as dit quelque chose au Nom du Seigneur qui ne soit arrivé. Mais, ce pendant, nous voulons de toute façon avoir un roi.»
13 Vous voyez, l'homme désire faire lui-même quelque chose. Il veut montrer son autorité. Il veut montrer combien il est grand, ou bien combien il peut être différent de quelqu'un d'autre, des autres. C'est à ce moment-là que Dieu Se retire de la scène, c'est tout à fait exact.
Maintenant, comme pour Israël, ç'a toujours été comme c'était alors: il y avait une multitude de gens de toute espèce. Certains d'entre eux désiraient une chose, d'autres une autre chose. C'est ce que nous avons aujourd'hui. Et d'habitude celui qui est de l'autre côté est celui qui l'emporte, quand...
C'était pareil au Concile de Nicée, quand nos églises furent établies. L'une désirait une chose et l'autre une autre. Le petit groupe pentecôtiste fut mis dehors. L'organisation prit le dessus.
14 Et après le Concile de Nicée, les oeuvres des nicolaïtes devinrent une doctrine. Ils formèrent leur propre foi, élevèrent leurs propres hommes, prirent tout le... Comme je le disais l'autre jour, «nico» signifie «conquérir». «Nicolaïtes» signifie «conquérir les laïcs», et attribuer toute la sainteté à un homme : faites ce que vous voulez et versez de l'argent à l'église; et que l'homme puisse remettre les péchés, qu'il puisse faire la prière à votre place, et ainsi de suite.
Cela n'est pas la volonté de Dieu. La Parole de Dieu S'adresse aux laïcs, à tout le monde. Vous êtes un individu. Dieu traita avec Israël en tant que nation, Il traite avec vous et moi en tant qu'individus. Nous aurons chacun à répondre devant Dieu pour nos péchés.
15 Et nous voyons que cette multitude de gens de toute espèce... Eh bien, c'est... Les deux fils d'Isaac et Rébecca représentent le monde entier. Chaque fois que nous avons un réveil, il naît des jumeaux. Chaque fois que nous avons un réveil, des jumeaux naissent. Esaü et Jacob étaient des jumeaux. L'un d'eux était un homme selon le monde, et l'autre était spirituel.
Or, Esaü était un homme bon au même titre que Jacob, si vous l'examiniez. Il aimait s'occuper de son vieux père aveugle, lequel était un prophète. Moralement, il était un bon garçon, je suppose, très bien. Cependant... et il participait au travail. Et peut-être que Jacob n'était qu'un fils à maman, tout le temps collé à maman, le genre qu'on appelle petit efféminé. Et ainsi, Esaü était aimé. Un homme du monde, naturel, qui ne se préoccupait nullement du droit d'aînesse.
16 Mais pour Jacob, cela ne changeait rien, la manière dont il l'obtiendrait, il n'avait qu'une seule chose à l'esprit : c'était le droit d'aînesse! Peu importe ce que ... rien d'autre... ou la manière dont il l'obtiendrait. Il en est ainsi d'une église née spirituellement. Quand l'Eglise catholique eut un réveil, quand Luther eut un réveil, quand Wesley eut un réveil, Knox, Calvin, et tous à travers les âges, cela produisit des jumeaux. Et quand la Pentecôte eut un réveil, cela produisit des jumeaux. Quand Moïse eut un réveil là-bas en Egypte, cela produisit des jumeaux, une multitude de gens de toute espèce. Les uns tournés vers... les uns tournés vers le monde, désirant agir comme le monde, être comme le monde, et que leur message soit suivant le modèle du monde. Les autres ne se préoccupent pas de ce que dit le monde, combien ça paraît classique ou combien ça ne paraît pas classique, ils ont une seule chose en commun, c'est se cramponner au droit d'aînesse, se saisir de Dieu. Cela a toujours été ainsi, c'es encore ainsi aujourd'hui, mes amis. Cramponnez-vous au droit d'aînesse.
Pour Jacob, il... ça ne changeait rien combien il était traité d'efféminé, combien... ce que... comment il l'obtiendrait, il l'obtint simplement ainsi. Aujourd'hui, c'est ainsi. Ça ne change rien pour les gens qui sont spirituels. Maintenant, le... bien des fois, les églises font des compromis. Elles en arrivent à donner simplement une poignée de main au prédicateur.
17 Comme David du Plessis a bien placé la chose il n'y a pas longtemps, que Dieu n'a pas des petits-fils. C'est vrai. Nos églises pentecôtistes sont en train d'introduire leur... les jeunes, leur donnant une position, et faisant d'eux des membres de l'église. Ils ne sont jamais passés par le processus de la nouvelle naissance, ni n'ont jamais été remplis du Saint-Esprit à la suite d'un engagement personnel. Nous les acceptons à l'église.
Qu'avons-nous obtenu? Une bande de Rickeys aux cheveux coiffés en brosse qui courent ici dans la rue simplement comme le reste du monde; des femmes aux cheveux coupés courts, et qui se maquillent, et tout le reste. C'est une disgrâce, le genre qui prend pour modèle le monde au lieu de revenir à un point de vue spirituel.
18 On a eu beaucoup de grands mouvements dans nos très grandes églises pour essayer de devenir plus important que l'autre, en le détruisant complètement, travaillant pour nos organisations, pour nos dénominations. Qu'avons-nous obtenu? Nous faisons éclore une bande d'hybrides au lieu des enfants de Dieu nés de nouveau. C'est exact.
Hybrides - l'une des ruines du monde. Un hybride ne peut jamais se croiser. Quand un mulet naît... Le mulet ne peut être rien d'autre qu'un mulet. C'est tout ce qu'il est. Il naît un mulet. C'est un hybride. Il vient du croisement entre le cheval et le mulet. Il ne sait pas qui est son père, qui est sa mère, d'où il vient ni où il va. Il est tout aussi ignorant que possible. Il n'est pas doux, pas doux du tout. Parlez-lui et il va tout simplement dresser ses oreilles et hennir doucement, faisant : «Hi-han, hi-han» avec ses longues oreilles dressées.
Je voyage de temps en temps pour prêcher à beaucoup de ces mulets qui n'en savent pas plus de Dieu qu'un hottentot n'en sait d'un chevalier égyptien. Ils dressent leurs oreilles et disent : «Les jours des miracles sont passés. Ça n'existe pas.» C'est un hybride. Il se peut qu'il soit membre d'une organisation pentecôtiste qui... il se peut qu'il soit membre d'une autre organisation. Mais un homme ou une femme né de nouveau ...
19 Tout ce que j'aime, c'est un cheval hybride... ou plutôt non pas un cheval hybride, mais un véritable cheval pur sang et doux. Ce que j'aime, c'est une expérience originale de la Pentecôte : quelqu'un qui sait d'où il vient, qui sait ce qui s'est saisi de lui, et où il va, ayant un esprit doux et gentil, le Saint-Esprit, quelqu'un qui a de la tolérance et qui communie, et qui traversera la ligne pour serrer la main à n'importe quel frère, qui l'accepte dans - c'est un frère, citoyen du même royaume.
Peu importe la manière dont il a été baptisé ou aspergé ou la manière dont on a versé de l'eau sur lui, ou ce qu'il a fait, s'il lance les bras, s'il a sautillé ou quoi qu'il ait fait, c'est quand même un frère. Du moment qu'il a le Saint-Esprit, c'est votre frère. Et un véritable pentecôtiste, homme ou femme pur sang et né de nouveau, croit cela de tout son coeur. ...?... Certainement! ...?..
20 A présent, quant à ces réveils jumeaux, l'un produit un homme qui veut être un intellectuel et bâtir des écoles. Ils essayent d'éviter cette question de la nouvelle naissance. L'église essaye de l'éviter. Aujourd'hui, on reçoit les gens par le baptême d'eau, on les introduit dans l'église au moyen du baptême d'eau. Vous pourriez les introduire dans l'église au moyen du baptême d'eau, mais vous ne les introduirez jamais en Christ au moyen du baptême d'eau. On doit y naître de l'Esprit. C'est vrai.
Comme je l'ai souvent dit, je le dis encore : peu m'importe le genre de naissance dont il s'agit, toute naissance est un gâchis. Qu'elle ait lieu dans une porcherie, ou sur un tas de gerbes, ou dans une chambre d'hôpital peinte en rose, c'est un gâchis. Et c'est pareil avec la nouvelle naissance, c'est un gâchis. Elle vous fera faire des choses que vous n'aviez jamais pensé faire. Elle vous fera pleurer, hurler, crier, lever les mains et tourner, toutes sortes de signes et tout. Et aux yeux d'un groupe de gens guindés et prétentieux, vos actes seront honteux. Mais cela vous est égal aussi longtemps que vous naissez par cela.
21 Vous devez naître ...?... Il faut naître de nouveau, arriver à la nouvelle naissance. On en arrive au point où on essaye d'éviter ce problème en acceptant des membres, essayant de surpasser l'autre : «Notre organisation progresse plus que les autres.» Ça ne vaut rien . Rien du tout!
Ce qui compte, c'est le Royaume de Dieu. Nous sommes tous en train d'ouvrer pour un seul lieu. Je suis membre de l'Eglise baptiste ou des assemblées, ou de l'église des unitaires, des trinitaires ou de ceux qui croient en cinq dieux, ou peu importe ce que c'est. Notre désir est de travailler pour un seul principe, c'est-à-dire pour notre Père céleste, pour faire entrer des enfants nés de nouveau dans ce Royaume là-haut. En dehors de cela, nous travaillons en vain. Nous essayons de faire quelque chose pour une organisation humaine qui tombera, aussi certain que deux et deux font quatre. Elle doit tomber, cela vient de l'homme. Cela doit tomber. Seul ce qui est de Dieu peut demeurer.
Je n'ai rien contre eux. C'est parfait, mais quand on dresse ces barrières selon lesquelles nous ne devons pas communier avec l'autre, c'est là que ça devient mauvais. On m'a dit et rapporté que je n'aimais pas les organisations. J'aime les gens qui sont dans les organisations, mais pas... Les organisations, c'est bien, aussi longtemps qu'elles ne tracent pas des limites et disent : «Nous, nous croyons ceci, mais vous... Vous autres, tenez-vous-en éloignés. Et puis, nous ne coopérerons pas avec ce groupe d'hommes d'affaires ni quoi que ce soit, aussi longtemps qu'ils aiment la façon dont cette autre organisation...»
22 Dès qu'ils deviennent une organisation, je m'éloigne d'eux. C'est tout à fait exact. Je ne crois pas dans ces affaires. Je crois que nous sommes des frères, que nous communions en suivant la conduite de l'Esprit. C'est exactement ça que j'aime à ce sujet.
Une multitude de gens de toute espèce. Ils avaient la loi. Ils étaient partis au mont Sinaï et avaient reçu la loi afin d'avoir tous des diplômes de docteur : des doctorats, des doctorats en droit, des Q.S.D. et toutes sortes de doctorats. Et ainsi, la première chose, vous savez, cela leur attira des ennuis.
23 Eh bien, la loi a accompli son but. C'était très bien en son jour. La loi l'a très bien fait; elle a accompli son but en son jour. De même, les dénominations l'ont très bien fait. Elle a très bien accompli son but. Mais rappelez-vous que la loi ne les a jamais amenés à la terre promise. C'est Josué qui les y amena; la grâce, pas la loi.
Et la dénomination, aucune dénomination n'amènera l'Eglise de Dieu là-bas. Ce sera la grâce de Dieu répandue dans nos cours par le baptême du Saint-Esprit qui nous amènera à la terre promise, à la plénitude des bénédictions de Dieu. Assurément. Ils commettent une erreur fatale en faisant ces choses.
Cela avait très bien accompli son but, mais il arriva un temps où ce n'était plus bon. Dieu laissa cela s'éteindre pour pouvoir recourir à la grâce et les faire traverser, et pour ce qui est de leur position, les placer dans la terre promise. De même la grâce de Dieu placera chaque membre, des prophètes, des docteurs, et ainsi de suite. Non pas... Les dénominations ne peuvent pas faire cela. On a un groupe d'anciens pour vous imposer les mains. Cela n'a pas plus de sens que jeter de l'eau... Il a fallu que ce soit le Saint-Esprit qui dise : «Mettez-moi à part Paul et Barnabas.» Il a fallu que ce soit le Saint-Esprit qui mette à part un homme et une femme et qui les place là où ils...?... en Christ. C'est vrai.
24 Bon, nous voyons qu'ils allèrent de là à Kadès-Barnéa. C'est à Kadès-Barnéa qu'ils commirent l'erreur la plus fatale qu'ils n'eussent jamais commise. Israël commit une erreur grave lorsqu'il arriva à Kadès-Barnéa..
Bien, ils avaient fait le dénombrement... ils avaient alors douze chefs, ils étaient constitués en douze groupes. Et ils les envoyèrent à la terre promise pour reconnaître le terrain, pour voir ce qu'ils pouvaient avoir... des renseignements sur place. Quand ils revinrent, nous voyons que dix dans le groupe dirent : «Il est impossible de la prendre. Nous sommes incapables de le faire. C'est trop difficile. Nous sommes minuscules à côté d'eux. Nous avons l'air de sauterelles.»
Mais deux avaient l'évidence. Ils étaient allés quelque part. A leur retour, ils avaient les fruits du pays. Pour être sûrs qu'ils y avaient été, ils sont revenus, ramenant la preuve que c'était un bon pays. Eh bien, c'est ce que nous trouvons dans un réveil - environ deux pour une couvée. C'est comme dans le cas d'une couvée d'une poule, environ deux pour toute une couvée.
25 Et, vous savez, la première chose, c'est que Josué et Caleb sont revenus avec l'évidence que c'était un bon pays. Ils avaient une évidence, une évidence. Mais, ce n'était pas toute l'évidence. Ils n'avaient qu'une seule évidence. C'est ce que les pentecôtistes avaient lorsqu'ils traversèrent le pays jusque dans le désert, lorsqu'ils traversèrent la mer Rouge, et qu'ils trouvèrent leur ennemi mort. Ils ont commencé à parler en langues comme évidence qu'ils avaient été là-bas. Ils savaient qu'il y avait quelque chose de bon. Ils savaient qu'il y avait quelque part un pays qui était au-delà de tout ce qui avait jamais été atteint. C'est vrai.
Mais ce n'est pas tout. Nous nous sommes établis là-dessus, nous ne sommes pas allés plus loin. Bien. Dieu a dit : «S'il y en a un parmi vous qui vient et parle en langues, et si un homme du peuple vient, il dira : 'Bien, vous êtes tous des fous.' Mais si quelqu'un prophétise et révèle les secrets du coeur, alors, il s'inclinera et dira que Dieu est certainement parmi vous.» C'est ce qu'a dit Paul.
26 Eh bien, nous nous sommes arrêtés au seul parler en langues comme étant l'évidence du Saint-Esprit, ce qui est correct. C'est vrai. C'est l'évidence du Saint-Esprit, mais considérez les autres choses qui vont avec.
Mais aussitôt que nous faisons cela, nous devons nous faire une dénomination pour garder les autres en dehors de cela; nous élevons une clôture tout autour de notre cocotier afin que personne d'autre que nous ne puisse en prendre. C'est la raison pour laquelle le reste d'entre nous n'a pu aller nulle part. Ce sont nos propres idées égoïstes au lieu de laisser le Saint-Esprit nous conduire tous dehors. Et nous avons attendu pendant quarante ans et rien ne s'est passé. Vous êtes toujours au même endroit, la même vieille chose. Oh! la la!
27 Nous voyons qu'ils ont commis une erreur fatale. Et ils ont rassemblé un important groupe de batailleurs. Hmm! C'est ce que nous avons; c'est un important groupe de batailleurs. L'un dit : «Que Dieu soit béni, moi, je suis des assemblées. Vous, vous êtes unitaires. Vous n'avez rien à y avoir, vous de la pauvre Eglise de Dieu. Nous, nous l'avons.»
Celui de l'Eglise de Dieu dit : «Que Dieu soit béni, c'est nous qui avons la chose. Nous avons le nom prophétisé.»
L'unitaire dit : «Nous l'avons parce que nous pratiquons le vrai baptême. Alléluia!»
Espèce de batailleurs! Dieu a dit : «Vous resterez ici jusqu'à votre mort.» C'est tout à fait juste.
La Bible dit qu'ils restèrent là jusqu'à ce que tous les vieux batailleurs soient morts. Amen! C'est tout à fait vrai. Il les a laissés juste là jusqu'à ce que tous les vieux batailleurs soient morts. La Bible le dit - ces batailleurs luttaient pour les limites de l'organisation, disant : «N'ayez pas de communion avec ce groupe-là. C'est une bande de buses, et c'est ceci.» Tant que vous avez cela dans votre tête, vous resterez juste là sur la montagne et vous mourrez de faim.
28 Avez-vous déjà pensé à ce que ces gens faisaient pendant quarante ans? Ce n'était même pas à quarante jours de voyage, mais Dieu les a gardés là quarante ans. C'est ce qui est arrivé il y a longtemps.
Je crois que... certains d'entre eux parlent de la Venue du Seigneur Jésus, je crois que ce devrait être du passé. Je crois que l'église en est la cause, c'est la raison pour laquelle ce devrait être passé. Jésus l'a dit. «Comme il en était aux jours de Noé, ainsi en sera-t-il à la venue du Fils de l'homme.» Aux jours de Noé, Dieu usa de patience, ne voulant qu'aucun ne périsse. Il attendit que les gens entrent, et aujourd'hui, Il attend que l'église s'unisse.
Je sais que c'est impopulaire. C'est impopulaire parmi les gens. Pourtant, mes frères, c'est le Message de l'heure, se rassembler. Les âmes doivent avancer ensemble. Nous devons être une seule Eglise du Dieu vivant - les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les luthériens, les unitaires, les trinitaires, ceux qui croient en cinq dieux, nous tous ensemble. Nous sommes un seul groupe. Nous sommes les enfants de Dieu par naissance. C'est tout à fait vrai.
29 «Tous ceux que le Père M'a donnés viendront à Moi. Et comment allez-vous venir lorsque vous avez un mur si haut que vous ne pouvez toucher les noix de coco? Vous voyez? «Vous devez faire ceci, cela.» Oh! tant de gens...
C'est comme le geôlier de Philippe cette nuit-là, lorsqu'il a dit: «Que faut-il que je fasse pour être sauvé?»
Que devons-nous faire? Nous leur disons ce qu'ils ne doivent pas faire. «Vous devez cesser de faire ceci, vous devez cesser d'aller là-bas. Vous devez cesser de faire ceci.» Il ne demanda jamais ce qu'il devait cesser de faire - de faire. Il demanda ce qu'il devait faire pour être sauvé. C'est vrai.
Paul a parlé en des termes clairs, disant : «Crois au Seigneur Jésus-Christ et tu seras sauvé.» C'est tout. Ramenez la foi de Dieu parmi les gens pour qu'ils sachent que faire et comment agir. Ne dites pas : «Venez ici vous joindre à notre groupe. Venez ici vous joindre à ce groupe.» Ramenez-les tout simplement à Dieu. Dieu prendra soin du reste. Faites-les entrer dans le Royaume. Des vieux batailleurs.
30 La Bible dit que parce qu'ils n'avaient pas cru les deux hommes... Caleb et Josué calmèrent la foule. Maintenant, il y a dix ans, ils voulaient savoir. présenté les pentecôtistes, tous les autres et ainsi de suite, et ils. L'un d'eux a dit : «Eh bien, maintenant nous irons là auprès de ces groupes importants et que sais-je encore, et nous laisserons le Saint-Esprit continuer à nous conduire.»
L'un d'entre eux a dit : «Laissez le Saint-Esprit conduire.»
Eh bien, de nouveaux problèmes et toutes sortes de choses surgirent. Si cela n'est pas de Dieu, ça tombera de toute façon. Alors pourquoi. Laissons-les aller simplement de l'avant, mais nous, aimons-nous les uns les autres. Ne combattez pas les uns contre les autres. Tant que le Diable réussira à vous amener à vous battre entre vous, lui n'aura plus du tout à combattre. Il se retirera, se tapera un pique-nique, observera comment vous vous battez entre vous et il se moquera de vous qui professez avoir le Saint-Esprit, mais qui vous battez entre vous.
31 Aimez-vous les uns les autres. Jésus a dit : «...ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres. C'est alors que les hommes sauront que vous êtes Mes disciples, quand vous avez de l'amour les uns pour les autres.» C'est la plus grande évidence du Saint-Esprit que je connaisse, quand vous pouvez vous aimer les uns les autres. Oui, monsieur. Voilà le grand commandement, la chose capitale. «Quand vous parleriez les langues des hommes et des anges, si vous n'avez pas l'amour, cela ne vous sert de rien.»
Vous voyez, ne faites pas une organisation à partir de votre évidence du Saint-Esprit - ce qui est très bien, j'y crois, moi aussi. Mais attendez. Il y a plus que cela. (Excusez-moi, mes amis de couleur.) C'est comme cet homme de couleur là au Sud qui mangeait une pastèque. On lui en donna une toute petite tranche, à peu près comme ça. Ce garçon pouvait manger plus de pastèque que ça.
On lui demanda : «Comment as-tu apprécié cela, Sambo?»
Il répondit : «C'est bon. Mais il y en a plus.»
32 C'est exactement ainsi quand je goûte Dieu, quand le Saint-Esprit vient dans la réunion. C'est bon, mais j'en veux plus. Il y en a plus, parce qu'Il a promis que chaque bénédiction qui découle de la Rédemption est pour nous. Oui, monsieur!
Ils restèrent quarante ans sur une montagne. Nous sommes restés dans nos dénominations pendant quarante ans, faisant des histoires ici et là. Et. Avez-vous déjà pensé à ce que ces gens faisaient là pendant quarante ans? Eh bien, Dieu était certainement avec eux. Il est avec nous. Ils ont fait quarante ans là, et ils ont élevé des enfants. Dieu les a fait prospérer; ils ont eu de bonnes récoltes. Ils ont fait beaucoup de bonnes choses là. Dieu les a bénis et les a guéris de leurs maladies. Il n'y avait pas une seule personne faible parmi eux à leur sortie du désert. Mais Il les a laissés demeurer là jusqu'à ce que cette bande de vieux batailleurs soit passée - soient tous morts.
33 C'est exactement ce qu'Il a fait aujourd'hui, Il nous a établis et on s'est joint aux assemblées, on s'est joint à l'Eglise de Dieu, on s'est joint à ceci, on s'est joint à cela, et on s'est joint, on s'est joint, on s'est joint, oh! jusqu'au moment où on s'est établi ici; on a élevé des enfants et on a acheté des Cadillac et on a prospéré dans les affaires et tout le reste.
Mais les quarante ans sont écoulés, frères. Une nouvelle génération s'est levée. C'est vrai. Un Josué s'était levé un jour. Il croyait la Parole de Dieu d'une manière absolue, chaque portion de la promesse - pas seulement pour qu'on prenne soin de vous, et que vos affaires et consorts soient bénies, mais il y a plus que cela.. Dieu a fait la même chose aujourd'hui. Et je crois que cette organisation des Hommes d'Affaires du Plein Evangile fait partie du programme de Dieu. Je ne le dis pas parce que je me tiens ici devant eux. Si je le faisais, je serais un hypocrite.
34 Mais je ne plaisante pas, car ils n'ont pas planté un poteau, disant : «telle organisation» ou «telle autre organisation». Ils ont élargi suffisamment leurs frontières au point de recevoir tout le monde. Et la raison pour laquelle je fais partie d'eux aujourd'hui, c'est parce qu'ils sont dans le programme même que je crois être juste. Elles ont été élargies jusqu'aux Assemblées de Dieu, à l'Eglise de Dieu, au «Foursquare» [Mouvement fondamentaliste du sud de la Californie - N.D.T.], au P.A.J.C [sigle anglais pour Assemblée Pentecôtiste de Jésus-Christ - N.D.T.], au «P.A. of W.» [ sigle anglais pour Assemblée Pentecôtiste Mondiale - N.D.T.], à l'Eglise Unie, tout le monde. Quiconque veut, qu'il vienne boire à la fontaine des eaux de Dieu gratuitement.
Peu importe si vous montez un chameau à une bosse, à deux bosses, à trois bosses ou peu importe le nombre de bosses qu'il a - même s'il monte un vieil âne. Non, cela ne change rien ...?. Il y a de la nourriture pour nous tous ici dans cette maison ; cela, quand nous nous rassemblons. Voilà pourquoi j'ai suivi les Hommes d'affaires partout, parce que là, je peux m'adresser à tous les groupes et leur transmettre mon message, pour leur faire savoir que ceci est la chose que je crois.
35 Je crois qu'aujourd'hui c'est tout à fait pareil. Ils doivent en faire partie. Ils peuvent être un exemple de ce que Dieu peut accomplir lorsque les hommes peuvent se mettre ensemble, et briser leurs barrières dénominationnelles. Je crois que ces hommes-ci, que vous voyez maintenant, ces jeunes gens, que sont ces groupes qui sont représentés ici? C'est le groupe des fils des vieux batailleurs.
Mais ces hommes ne sont pas des batailleurs. Le nouveau groupe n'était pas constitué de batailleurs. Il laissa mourir tous les vieux batailleurs. Et quand les vieux batailleurs moururent, Il prit leurs fils et suscita Josué du milieu d'eux, et les envoya vers la pleine promesse.
Je crois que c'est ce que nous voyons aujourd'hui. Je crois que c'est ce que cette organisation des Hommes d'affaires chrétiens est en train de faire. Dieu est en train de l'utiliser puissamment, et Il continuera à le faire tant qu'ils garderont ces barrières dénominationnelles démolies. Ils ne vous disent pas à quelle église appartenir. Appartenez à n'importe laquelle que vous voulez.
Mais ils essaient de vous amener... de vous éloigner de la tendance des vieux batailleurs pour vous ramener là où il y a de la place, là où nous pouvons passer nos bras autour de n'importe quel frère. Qu'il soit méthodiste, presbytérien, baptiste, unitaire, trinitaire, ou peu importe ce qu'il est, passez vos bras autour de lui. C'est un frère. Ne le combattez pas, aimez-le. Amen. Tant que nous garderons cette attitude, Dieu va procéder à la moisson un de ces quatre matins. Et je crois que nous sommes à Ses pieds maintenant.
36 Vous avez fait quarante ans sur cette montagne de l'organisation. Montons. Quittons cet endroit. Prédicateurs, mes frères dans le ministère là-bas, ne trouvez-vous pas que nous sommes restés sur cette montagne assez longtemps? Ne trouvez-vous pas que nous nous sommes disputés, nous nous sommes combattus, nous nous sommes mal comportés, nous avons assez longtemps fait des histoires à cause des frontières de notre organisation?
Quittons cette montagne et avançons vers la terre promise. Mettons-nous en marche, et prenons possession du pays. Dieu leur a dit : «Montez prendre possession du pays. Tous les vieux batailleurs sont maintenant morts. Remettez votre épée au fourreau. Ne vous battez plus.»
37 Ecoutez, mes amis. Ne commettez pas la même erreur que vos pères, sinon vous passerez aussi quarante ans ici. Voyez-vous là où les organisations des Hommes chrétiens, et ainsi de suite ou plutôt les hommes chrétiens ...?. Si jamais vous organisez cela, vous serez retenus juste ici encore pendant quarante ans.
Mais c'est le temps où Dieu appelle Son Eglise à avancer. Je crois cela. Et remarquez, Il a dit : «Maintenant, quand vous passerez par la montagne de Séir... Maintenant, c'est là que demeure Esaü, votre frère dénominationnel, un bon presbytérien, méthodiste ou baptiste. Maintenant, ne le dérangez pas. Ne vous disputez pas avec lui. Passez tout simplement à côté et dites : 'Bonjour, frère.'» Poursuivez votre route. Pourtant toi, tu veux le secouer et lui dire qu'il n'a rien. C'est vrai. Souvenez-vous qu'il n'a que ce que Dieu lui donne. Il est issu du même réveil que vous. C'est juste.
38 Il a... il connaît... Il a dit à Josué : «Veille donc à ne pas aller à la montagne de Séir, car je l'ai donnée à Esaü.» C'est jusque là qu'il est censé aller. C'est tout ce qu'il connaît. C'est la seule chose qu'il connaît, sa dénomination. «Oh! nous sommes ceci et cela. Nous sommes...» C'est tout ce qu'il connaît. C'est tout ce que Dieu lui a donné. Passez donc tout simplement. Ne vous mettez pas à vous disputer et à vous battre avec lui. Passez calmement. Mais écoutez ceci, Jacob, vous Jacob pentecôtiste - vous qui êtes réellement né de nouveau, qui avez l'expérience, et qui êtes conduit par le Saint-Esprit - ne vous mettez pas à vous disputer avec lui.»
Toutefois, le pentecôtiste Jacob a la pleine promesse d'entrer dans le pays, c'est la chose qui va se produire. Dieu avait dit qu'Il allait.?. la chose entière, et qu'Il allait vous placer dans la terre promise, avec la plénitude de l'Esprit, avec toutes les manifestations.
39 L'autre matin, alors que j'étais là dans cette réunion, j'ai vu cela moi-même, que mon ministère est un ministère spirituel, que je ne suis pas fameux comme prédicateur. Mais remarquez, dans le même ordre d'idées, quand on parlait de Charles Price alors qu'il était là mourant, frère Shakarian a prophétisé que ces choses arriveraient; oh! mon esprit s'est réveillé au-dedans de moi, disant : «C'est cela, c'est cela, c'est cela. Si seulement ils pouvaient comprendre cela; c'est cela.»
Nous sommes prêts à monter pour prendre possession du pays. Souvenez-vous de ce que j'ai dit à propos des hôpitaux et consorts, nous serons prêts à le faire quand vous, les fils de ces vieux batailleurs, vous vous serez unis.
Oh! vous ministres qui êtes ici, vous frères qui êtes ici à Phoenix, brisez vos barrières dénominationnelles. Repentez-vous et ayez un réveil de la Pentecôte! Nous pouvons tous nous unir dans ...?... Nous désirons un réveil, le Saint-Esprit tombant de nouveau sur l'Eglise pour qu'elle soit conduite par le Saint-Esprit. Dieu veut le faire. Montez prendre possession du pays.
Passez à côté d'eux. Ne - ne vous disputez surtout pas avec eux. S'ils ne veulent pas venir, il n'y a pas de problème. Il n'y a pas de problème. Vous, allez de l'avant. «Bonjour, frère.» Passez à côté. C'est un croyant frontalier. Tout ce qu'il connaît, c'est rester à la frontière. C'est comme ça que sont beaucoup de gens aujourd'hui. Tout ce qu'ils connaissent, c'est leur dénomination. «Je suis membre de ceci, je suis membre de cela.»
40 Une fois, j'ai demandé à une femme si elle était chrétienne. Elle répondit: «Je ferai comprendre que je brûle un cierge chaque soir», comme si cela avait quelque chose à voir avec le christianisme.
J'ai entendu un homme dire. Il a dit : «Je suis Américain. Je le suis certainement.» Cela n'a rien à faire avec la chose, pas plus qu'un cochon n'a besoin d' une selle d'amazone ; cela n'a rien et alors rien à faire avec la chose, pas plus que de mettre une selle d'amazone sur un cochon. Pourquoi? Qui dit Amérique ne dit pas christianisme. Le christianisme, c'est l'expérience de la nouvelle naissance, le baptême du Saint-Esprit, cela va.?. pour la communion, l'amour et la tolérance. Et le Saint-Esprit S'empare de l'Eglise et accomplit de grandes choses. Oh! certainement! Oui, monsieur.
J'ai cru sentir quelque chose me transporter. Je ne savais pas ce que c'était. Je n'étais pas sûr de n'être pas encore parti... dit : «Quelqu'un est maintenant en train de déplacer la caisse.» Je me suis dit : «Voici que je vais...?.» Oui, monsieur.
41 Possédez les promesses. La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. Chrétiens, frères et soeurs, nous avons fait assez longtemps dans ce pays. Nous sommes restés autour de cette montagne. Nous sommes donc restés trop longtemps sur cette montagne dénominationnelle.
Voici quarante ans que nous sommes ici, depuis que nous avons pris cela pour évidence, le parler en langues. Oh! la la! Alors qu'il y a des puissances inconnues, alors que les ressources sont inexploitées. «Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai. Demandez quelque chose au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Amen. La guérison divine, le parler en langues, eh bien, ce ne sont - ce ne sont que quelques grappes qui ont été ramenées du pays. Le pays est à nous! Il nous appartient entièrement. Ne craignez pas que l'autre aille vous battre là-bas. Joignez-vous simplement à lui et avancez. C'est ainsi qu'il faut faire. Voici quarante ans que nous sommes sur cette montagne. Quittons-la et allons vers la terre promise.
42 Ma prière est que Dieu aide ces hommes d'affaires à rester d'un seul cour. C'est vrai. Et si les ministres ne le font pas, Dieu suscitera des hommes d'affaires ou quelqu'un d'autre pour le faire, pour les rassembler... En effet, l'Eglise ne peut avancer avec un bras à un endroit, la tête à un autre, et le pied à un autre. Il doit prophétiser, et il y aura un bruit de rassemblement (c'est tout ce que je peux vous dire), jusqu'à ce que tout le Corps du Seigneur Jésus-Christ soit debout comme une seule grande unité de Dieu. Alors, nous quitterons cette montagne et passerons de l'autre côté pour posséder le pays. Entre-temps, je suis votre frère et je lutte seulement pour ce seul but : unir l'Eglise du Dieu vivant pour qu'elle soit d'un seul cour et d'un commun accord. Que Dieu vous bénisse. Frère Shakarian. [Espace blanc sur la bande - N.D.E.]
43 [Le reste de la bande pourrait être une partie d'un autre service. Il commence avec les commentaires d'un autre frère - N.D.E.]
Je pense que dans notre adoration, même si nous sommes vraiment sincères, quelquefois pourtant, nous manquons de voir la véritable puissance de Dieu dans toute sa grandeur parmi nous. Bon, quand cette vision est venue, laquelle. La plupart d'entre vous - peut-être tous ceux qui sont ici ont déjà assisté aux réunions, et ont vu les visions, et ont vu ce qui arrivait. Et la raison pour laquelle j'ai fait cette remarque, quand j'ai parlé ici ce matin, c'est simplement. Si seulement vous pouvez reconnaître la Présence du Seigneur! On a pris la photo de cette Lumière plusieurs fois. Ce - c'est Dieu, mes amis, car cela manifeste la même nature.
44 C'est juste comme quand un - quand un - quand un arbre. Il y a quelques temps, j'étais ici en Arizona et j'ai vu un citrus qui, je crois, portait plusieurs sortes de - de fruits. C'était peut-être un oranger et il portait. disons, peut-être, que des citrons et des pamplemousses poussaient dessus. Ça - ça poussait sur cet arbre. Mais Jésus a dit, je crois, dans Saint Jean 5 - 15 : «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Bon, maintenant, si ce sarment a produit. ou plutôt ce - ce Cep a fait sortir son premier sarment, et on a écrit un livre des Actes après ce - ce - ce sarment, si ce véritable Cep fait sortir un autre sarment, on écrira un autre livre des Actes après cela. Vous voyez, car maintenant, il y a un . greffé. Vous pouvez greffer ces autres agrumes et cela vivra de la vie de cet arbre.
45 Et je pense aujourd'hui que plusieurs fois dans notre. bon, je ne rabaisse pas notre organisation, mais nous, nous mettons un point à la fin. Vous voyez : «Nous croyons ceci et c'est tout.» Si nous mettions une virgule à la fin : «Nous croyons ceci plus ce que Dieu va nous montrer», vous voyez, votre organisation serait différente. Mais lorsque vous mettez une virgule à la fin, il n'y a plus rien que Lui peut ajouter. Et comme l'arbre pousse, je crois vraiment que l'église, n'importe quelle église organisée, se nourrit de la Vie de Christ. Je crois cela. En effet, c'est quelque chose qui y a été greffé ou ajouté. Cela a ôté le pouvoir aux laïcs pour le donner au ministre ou à l'évêque ou à qui que ça puisse être. Par exemple, là dans l'Apocalypse, il est dit : «Les oeuvres des nicolaïtes.» «Nico», c'est «vaincre» les laïcs. Je crois que des réunions comme celles-ci donnent à Dieu l'occasion d'ouvrer à travers les laïcs. Vous voyez, la puissance de Dieu ouvre à travers les laïcs.
46 Bon, ceci, c'était en 1933. J'étais encore un missionnaire baptiste. Et j'ai 51 ans maintenant, et j'ai vu des milliers de ces visions; et beaucoup parmi vous ici ont assisté aux réunions. Eh bien, appelez n'importe qui pour demander si une seule a déjà failli. Ça n'a jamais failli. Ça ne peut pas faillir. C'est Lui.
Maintenant, nous voyons que c'est du nouveau pour l'église aujourd'hui, tout comme la puissance du Saint-Esprit c'est du nouveau dans l'église, telle que nous la voyons ici. (J'ai entendu des baptistes et d'autres frères, et ainsi de suite, en témoigner.) Nous voyons que c'est du nouveau pour l'église.
Mais ce qu'il en est, c'est - c'est qu'un autre sarment sort de ce Cep. Et si vous y faites attention, il agit exactement comme dans Actes, comment le Saint-Esprit s'élevait parmi les gens et disait de différentes choses.
47 Ce matin-là, je me rendais à mon église. Je ne savais pas comment appeler une vision. Mais, je - je voyais ces choses. Ça, c'était plusieurs années avant que le monde n'entre en guerre, et j'ai dit : «Il y a un dictateur maintenant du nom de Mussolini. Et il fera sa première invasion en Ethiopie, et il vaincra l'Ethiopie, puis il finira dans la honte.» Et tout ce qui était dit, sept remarquables choses. Demain peut-être, je pourrais amener ce vieux morceau de papier pour que vous puissiez y jeter un coup d'oeil. Et cela montre comment c'est arrivé - cinq choses sont arrivées parfaitement, et la septième était aussi prédite. Maintenant, il y est dit que quand les gens vont donner aux femmes le droit de vote, que dans. Aussi, je n'ai rien contre. On m'a taxé de.
[Espace blanc sur la bande - N.D.E. ]
48 Sur toute l'étendue de la nation, il semblait que les rocs avaient explosé, et les souches fumaient, et - et ainsi de suite. Et immédiatement après cela, M. Roosevelt. exactement au temps de son gouvernement ici. le monde est entré en guerre. Et Mussolini a fait exactement la même chose; et la ligne Maginot, et tout ce que nous avons dit. Et les électeurs, c'étaient des femmes, nous le savons, qui ont élu notre actuel président.
Je suis. C'est ainsi au Sud, étant moi-même du Sud, on a posé beaucoup de questions comme : «Qu'en est-il de la ségrégation et des autres choses?» Je. Le.?. En tant qu'Américain, je - je crois.?. tout ce que ça demande, très bien. Donc maintenant, étant donné qu'il est notre président, nous devons respecter cela..
49 Eh bien, il y a quelques jours, quelque chose m'est venu et j'ai écrit cela. Et quelqu'un a dit (Je crois que c'était un gentleman qui était assis ici; il portait des lunettes sombres ce matin-là, je crois que c'était lui.) : «Il fera un bon président les quatre premières années.» C'est tout à fait vrai.
Mais observez simplement. En péchant, nous avons laissé passer notre jour de grâce. Il est plus tard que vous ne le pensez.?. Vous voyez? L'heure approche. Et souvenez-vous, ce sera pris par des flatteries. Et nous sommes - nous sommes près de la fin maintenant. Je suis - je suis positif à ce sujet. Je suis aussi positif. Pourtant, je.
50 Beaucoup d'entre vous ont fait de bons compliments concernant le ministère et ainsi de suite. Qu'il en soit ce qu'il peut en être. Mais si vous croyez que nous parlons au Nom du Seigneur, l'Amérique est finie. C'est vrai. Et s'il y a un temps où nous devons travailler, c'est maintenant que nous devons le faire, juste maintenant. Et «tous ceux que le Père M'a donnés viendront». Et nous devons commencer à pêcher rigoureusement à la seine.
Et j'apprécie. Et pour terminer, je voudrais dire ceci ce matin - je ne vais pas prendre le temps de quelqu'un d'autre; la seconde fois que j'étais ici. Me pardonnez-vous pour cela? Je crois que je suis censé parler demain soir, et j'espère que vous allez venir. Je veux parler sur : Nous avons fait quarante ans sur cette montagne.
51 Ainsi, je crois, le Seigneur m'a utilisé pour aider à l'organisation de beaucoup de chapitres, et partout dans mon ministère. Je n'ai jamais essayé de faire - permis que mon ministère devienne du spectacle. Il y a une chose que Jésus-Christ manquait : c'était le sens du spectacle. Il n'y a pas longtemps, quelqu'un a dit, il a dit : «Frère Branham, vous devriez aller avec le grand Untel», c'est comme ça que les frères parlaient. Bien, comme ma position dans le Corps de Christ est d'observer les fins spirituelles et de voir où elles en sont; c'est pour ça que j'ai été ordonné. C'est pour ça que - que - que je suis ici. Christ m'a placé ici pour veiller sur le côté spirituel. Par exemple ceux que nous appelons de gros bonnets.
Vous voyez, cet homme (qui qu'il soit, qui était en train de parler, je crois que le frère était assis ici). Nous ne pouvons pas être un gros bonnet et un chrétien à la fois. Le haut, c'est le bas. Celui qui s'humilie sera élevé.
52 Et beaucoup ont dit. Il n'y a pas longtemps quelqu'un m'a appelé - un homme vraiment remarquable appartenant à une grande organisation - il a dit : «Frère Branham, nous ferons telle chose si seulement vous cessez de dire ça et ça.» Cesser de dire ça et ça ? C'est ça mon ministère. C'est ça ma vie. C'est ce dont je me nourris. Pour rien au monde je ne ferai de compromis au sujet de la Parole de Dieu. Je dois m'en tenir exactement à cela. Nous sommes. J'ai dit : « .?. La chose en est que vous faites l'idiot avec cette bande de. oh! certains de ces petites gens, les petits groupes et ainsi de suite comme cela. Sortez!» Vous voyez, cet homme ne savait pas de quoi il parlait.
Si seulement il le savait ; la même chose a été dite à l'endroit du Maître de notre vie, Jésus-Christ. Ses propres frères ont dit : « .?. vas là-bas et fais un grand spectacle de quelque chose et touche aux grands quartiers généraux.» .?.
Il a dit : «Vous avez toujours votre temps; le Mien n'est pas encore venu.» Il traitait avec ces pécheurs illettrés, des hommes qui ne savaient ni lire ni écrire. Vous voyez, ce que le monde appelle bon, Dieu l'appelle folie.
53 Je me demande quel genre d'interprétation le clergé de ce jour-là a donné à l'Ecriture d'Esaïe 40. Peut-être que Dieu ouvrirait les cieux et ferait descendre des corridors, et alors Jean Baptiste descendrait avec un groupe d'anges. Qu'est-ce que cela signifiait, que tous les hauts lieux seraient aplanis et les plaines relevées, et que les montagnes sauteraient comme des béliers, et que toutes les feuilles battraient des mains? Un vieux (Excusez cette expression. Je n'ai pas l'intention de le dire de cette façon-ci, mais c'est juste pour faire une remarque.), un vieux gars à l'air ébouriffé sortit du désert; il se tint dans la boue qui lui arrivait probablement aux chevilles; et il prenait peut-être un bain tous les trois ou quatre mois; il avait une peau de brebis enroulée autour de lui. C'est à ce moment-là que les hauts lieux étaient abaissés, que les plaines étaient relevées. Ce n'était pas un très grand homme avec quelque chose de grand et de fleuri derrière lui. Ça, c'est une personne au cou raide. Dieu eut des hommes. C'est vrai. Soyez humble.
54 Et - et, frères, je - j'aime cela chez ces gens. Comme cet homme qui a fait cette déclaration il y a un instant, que ces hommes d'affaires, tout comme ce. Eh bien, quelquefois, il y a des fossoyeurs qui ne se feraient pas connaître dans une foule comme celle-ci. Mais ces hommes (ces hommes d'affaires-ci) ont la foi et des choses de cet ordre, cela me montre l'humilité; ils s'abaissent et confessent cette bénédiction de Pentecôte et ce que Dieu a fait par eux. Ce sont de grands hommes dans le monde, mais si vous remarquez, ils payent leurs propres frais et vont partout dans le monde pour essayer de - de faire quelque chose pour aider d'autres frères à entrer dans ce groupe, pour faire briller la lumière.
55 Et je pense ce matin à toutes les réunions auxquelles j'ai assisté, ceci est mon point de vue. J'ai eu des gens. Je les ai entendus crier et louer le Seigneur, et j'apprécie cela aussi. Mais j'ai vu des personnes crier et louer le Seigneur, mais qui n'avaient pas assez de foi pour guérir un mal de dent. Vous voyez? Mais - mais c'est une partie de bénédictions de Dieu, mais quand on en arrive à la puissance de Dieu, c'est là qu'ils se calment, le Saint-Esprit. Observez quand le discernement vient dans les réunions. Tout est calme, on s'approche respectueusement de Dieu avec - avec - avec sainteté, et la crainte de Dieu agissant, et vous voyez la véritable conviction changer l'expression des visages et autres, comme je l'ai observé ce matin dans le bâtiment.
56 Pour moi, ceci est le plus grand déjeuner que j'aie jamais pris quelque part dans le groupe des Hommes d'affaires chrétiens depuis que je suis avec eux. C'est le seul groupe auquel j'appartienne, c'est juste à celui-ci. Je n'appartiens même pas à une organisation, mais celui-là est le seul auquel j'appartienne. J'apprécie ce groupe de gens, parce que, d'abord, c'est la chose que je soutiens. Et il y a ici les gens des Assemblées, de l'Eglise de Dieu, du Foursquare, des baptistes, des presbytériens, des unitaires, des binitaires, des trinitaires, oh.
J'ai parlé de cela et aussi des puits pour secouer. Je ne pense pas que j'ai exprimé cela de la manière correcte, ou plutôt que j'ai utilisé les mots qu'il fallait, mais je vais le dire de façon que vous puissiez comprendre. Il a creusé un puits et les Philistins se sont éloignés de lui - l'en ont fait partir. Et il l'a appelé «malice». Il en a creusé un autre, et il l'a appelé «contestation». Puis, il a creusé le puits final, et il a dit : «Il y a de la place pour nous tous.» Ainsi, je - je pense que c'est ce qu'il y a ici. Il y a pour nous tous de la place (Oui, monsieur.) où nous pouvons nous rassembler et nous asseoir dans les lieux célestes, aucune barrière dénominationnelle ne nous dérangera; nous ne sommes qu'un groupe en Christ.
57 Si je pouvais voir toutes les grandes églises, les églises spirituelles qui se battent, la véritable et authentique vigne qui sort de Jésus-Christ, seulement les groupes pentecôtistes se rassembler et être frères. Peu m'importe leurs organisations. Ils peuvent les conserver s'ils le souhaitent. Il n'y a pas de problème. Mais ne mettez pas un point à la fin. Etendez la main et prenez celle de l'autre ami. Vous voyez? Rassemblons-nous, tous. Vous voyez? Si je peux voir cela arriver (je dis cela aussi respectueusement que possible), je - si je peux voir cela arriver ce matin, je dirais volontiers comme Siméon d'autrefois : «Seigneur, laisse Ton serviteur aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut. » .?. Et le temps devra bientôt arriver, frères, où nous serons obligés d'être ensemble. Souvenez-vous-en bien. Que Dieu vous bénisse. Merci, frère.