Un Son confus
1 …représenter beaucoup pour nous. Il est notre Vie, notre Tout en tout. Nous Te rendons grâces pour cette nouvelle opportunité de L’embrasser et de L’aimer. Nous Te rendons grâces pour Son peuple. Et ils se tiennent ici ce soir devant moi, les rachetés par Son Sang. Et j’ai le privilège de leur parler.
Je Te prie, Seigneur, d’oindre les lèvres qui parlent et les oreilles qui écoutent. Et puisse la Parole de Dieu tomber dans la bonne terre, riche en foi. Que plusieurs soient guéris et sauvés. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
[Quelqu’un parle en langues et un autre l’interprète : « Je suis l’Eternel qui t’ai racheté, Je t’ai racheté au moment où tu ne le savais pas ; oui, Mon peuple, comme tu as humilié ton coeur devant Dieu, le Seigneur ton Dieu, le Dieu Eternel, te remplira de gloire, car Sa gloire doit descendre sur Son peuple et, oui, sur ceux qui Le cherchent de tout leur coeur et qui Lui obéissent dans tout ce que l’Eternel Ton Dieu t’ordonne. Le Seigneur Ton Dieu se révélera à lui au fur et à mesure que la Parole de Dieu est proclamée. Crois en l’Eternel ton Dieu, crois que tout sera… (des paroles inaudibles), et Dieu se réjouira beaucoup comme tu crois Sa Parole. » – N.D.E.]
Amen. Grâces soient rendues à notre Père céleste pour cette puissante exhortation, que si nous croyons en Lui… C’est ce qu’il nous faut faire, croire Sa Parole. Et tout ce dont nous avons besoin nous sera accordé : « Cherchez premièrement le Royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. »
2 Maintenant, je sais que vous êtes probablement fatigués. Je… Ce matin, nous vous avons gardés dans la salle jusque vers 11h30’ et jusqu’au petit-déjeuner. Et je pense que notre précieux frère David a tenu une réunion cet après-midi, et vous êtes probablement tous remplis de l’Evangile. Tout ce qu’il vous faut faire maintenant, c’est juste–juste mettre Cela en action et ce sera tout. Ainsi donc, c’est tout ce dont nous avons besoin.
Eh bien, je suis certainement reconnaissant ce soir d’avoir ici derrière moi cet honorable groupe d’hommes et de femmes, qui sont des serviteurs de Christ, pour prier pour moi pendant que j’essaie de vous parler quelques instants. Je vous apprécie, vous tous là-bas, qui êtes aussi en train de prier.
Et si jamais vous voulez faire quelque chose pour moi, priez simplement pour moi. C’est ça.
3 Te sens-tu mieux, fiston ? Ça va marcher tout à l’heure. Observez seulement, si quelque chose ne… [Quelqu’un parle en langues et un autre interprète : « Oui, Je te dis, Mon peuple, ceci est Mon jour. Oui, Je te le dis, Mon peuple, J’aurai un peuple qui sera appelé de Mon Nom. Oui, Je te le dis, Mon peuple. Beaucoup d’années, beaucoup d’années, J’ai crié vers toi, oui, Je te le dis, Mon peuple. Ouvre ton coeur, et Moi, le Seigneur Ton Dieu, J’entrerai dans ton coeur comme jamais auparavant. Oui, Mon peuple, Je t’aime d’un amour plus grand que tu n’aies connu. Oui, Mon peuple, Je t’aime et Je désire travailler en ce jour-ci. Oui, Mon peuple, Je dis : ‘Abandonne-toi à Mon Esprit, abandonne-toi à Mon Esprit. » – N.D.E.]
Amen. Grâces soient à Dieu. Comme c’est merveilleux d’être assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ ! Nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps, et nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ. N’aimez-vous pas cela ? N’est-ce pas céleste et beau d’être… Nous regrettons que beaucoup soient debout dans les couloirs et autres. J’aurais souhaité que nous ayons des sièges pour vous faire asseoir, mais nous n’en avons pas ce soir. Et peut-être que demain après-midi, les services commenceront, je pense, à 14h. Est-ce… 15h ? Demain à 15h ; je suis désolé. Les services commenceront demain à 15h .
4 Cela vous accordera la possibilité d’aller à l’église, d’assister à votre réunion, et ensuite revenir ici, et suivre nos services demain après-midi, puis retourner à votre propre service. A vous les visiteurs, ces pasteurs ici sur l’estrade vous accueilleront certainement bien. Et il y a ces églises du Plein Evangile par ici, si vous êtes visiteurs ici, rassurez-vous d’en trouver une et allez–allez à l’église demain. En effet, c’est là qu’il nous faut tous être, dans la maison de Dieu, le dimanche, pour adorer le Seigneur.
Eh bien, et alors, demain après-midi, vous qui viendrez pour des cartes de prière, j’aimerais inviter surtout les pasteurs demain. En effet, j’aimerais qu’ils m’aident à prier pour les malades. J’aimerais vous prouver que Dieu n’exauce pas uniquement la prière d’un seul homme ; Il exauce la prière de tout celui qui priera. Ainsi donc, venez nous aider.
5 Et nous distribuerons des cartes de prière vers–vers 15h, ou peut-être vers 14h30’, ou 15h moins le quart, afin que tout le–le… Nous n’aimerions pas interférer avec le reste du service. Et les jeunes gens seront en train de distribuer les cartes de prière demain vers 14h30’.
Maintenant, allons dans les Ecritures, si nous pouvons prendre pour quelques instants, et–et essayer de… Ce matin, j’ai de nouveau raté cela. Je–j’ai dit : « Assurément, il est 10h30’, je–je serai… » J’ai dit à Billy : « Veille pour que je sorte à 11h. Oui, ou… Surveille-moi simplement. Je vais monter là et dire juste quelques paroles. » Alors, je me suis mis à parler du Seigneur, et jusqu’à 11h30’ je n’étais pas sorti. Alors, je ne peux jamais apporter ce message de trente minutes, je pense donc que je ferais tout aussi bien d’y renoncer et de cesser simplement d’essayer.
6 Ainsi donc… Allons dans I Corinthiens, chapitre 14, verset 8, nous lisons ceci : Et si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat ? Et maintenant, comme beaucoup sont debout, je tâcherai d’être aussi bref que possible. Je suis content d’entendre ces témoignages ici sur frère… Quelqu’un disait, c’est frère David, qu’une centaine a reçu le Saint-Esprit. Oh ! la la ! Votre coeur ne brûle-t-il pas, rien que de voir les gens, en ces dernières heures, entrer dans le Royaume de Dieu, recevoir le Saint-Esprit ?
7 Et notre frère David ici a un ministère qui lui permet de travailler là au milieu des groupes ecclésiastiques (voyez ?) qui ne sont pas pentecôtistes. Et–et j’ai lu certains articles frappants, comment Dieu agit là, ramenant Son peuple. Nous remercions Dieu pour toutes ces choses, pour tous ces grands ministères. Je l’ai entendu parler d’Oral Roberts, de Tommy Osborn et de ces frères qui sont vraiment de précieux et bien-aimés enfants de Dieu.
Et je–je suis très content de savoir que le Seigneur Jésus m’a permis de jouer un petit rôle dans leur ministère et d’y contribuer un peu de sorte que, peut-être là, dans l’autre Pays, quand nous serons assis et que je verrai toutes leurs dizaines de milliers entrer, je dirai : « Merci, Seigneur. Je suis content, je ne savais pas faire mieux que ce que Tu m’as ordonné. » Et alors, les voir entrer.
8 Maintenant, « si la trompette rend un son confus, qui se préparera au combat ? » Eh bien, c’est bien une déclaration : « Le son confus. »
Eh bien, si vous n’êtes pas certain, vous ne pouvez donc pas avoir foi. S’il n’y a pas de certitude, vous ne pouvez donc pas avoir foi. En effet, la foi, c’est quelque chose de certain. Vous le savez. C’est le–le… « La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. » Ce n’est pas un mythe. Ce n’est pas juste une imagination. Et ce n’est pas une espérance, mais c’est la foi.
Et la foi est une ferme assurance. C’est quelque chose que Dieu vous a donné. Et alors, vous ne voyez pas cela, mais vous, cependant, vous êtes–vous êtes tout aussi sûr d’avoir cela que vous le seriez si vous teniez réellement cela en main. Et c’est la foi qui acquiert ce que vous espérez.
9 Et alors, ici, Paul parle du son confus. J’ai plutôt choisi ceci, parce que… pour le service de ce soir, parce que nous vivons en un jour d’incertitude. Il y a beaucoup de choses qui en font un jour d’incertitude. Et nous sommes… Par exemple, pour notre nation, la sécurité nationale est très incertaine.
Il y a quelques années, eh bien, nous disions qu’il n’y aurait plus de guerres. Mais nous voyons que nous avons toujours des guerres. Et nous en aurons jusqu’à ce que Christ vienne régner. En effet, tant que Satan exerce son règne, nous connaîtrons des guerres et des troubles. Mais l’incertitude de la sécurité nationale, ce n’est pas seulement pour cette nation-ci, mais pour toutes les nations.
En effet, aujourd’hui, les petites nations peuvent… ont bien les mêmes armes que les grandes nations. Et elles sont… la sécurité est certainement incertaine. Et nous ne savons exactement quoi faire. Il y a de l’agitation parmi les gens.
10 Dans mes voyages à travers les nations, je vois que tout le monde semble nerveux. Et les salles des malades mentaux sont bondées. Et les gens sont… Dans des rues, il semble y avoir beaucoup d’inquiétude, et les gens se précipitent autant que possible, au point qu’ils manquent même de courtoisie les uns envers les autres. Et j’ai constaté cela chez tout le monde.
Tenez, récemment, je tenais une série de réunions à un certain endroit et il y avait là un parking. J’ai vu nos pentecôtistes parquer leurs véhicules de côté, comme ceci. Et si seulement ils les parquaient tout droit, cela accorderait à quelqu’un d’autre une possibilité. Et on a des pentecôtistes qui maudissent. Je ne sais pas si vous avez déjà entendu cela ou pas.
11 Ils parcourent la rue la nuit, et quelqu’un réduit la lumière de ses phares, mais l’autre ne veut même pas réduire la lumière des siens ; il continue tout bonnement, il n’en fait pas cas. Il laisse passer l’autre et il l’aveugle autant qu’il le peut. Ce sont les pentecôtistes qui maudissent. Voyez-vous ? « Laissez-le tranquille, il devrait… » Nous ne devrions pas faire cela, peu importe ce que l’autre fait. Montrons de quoi nous sommes faits. Si… Recevons ici dedans quelque chose qui témoigne de l’amour et du respect. Et respectez l’autre, et–et aimez-le, qu’il soit dans le vrai ou en erreur.
Si vous ne pouvez aimer que ceux qui vous aiment, eh bien, les pécheurs font de même. Mais nous sommes différents. Une fois que Christ entre dans notre coeur, nous aimons ceux qui ne nous aiment pas. Aimez ceux qui ne sont pas aimables. Et, autrefois, nous non plus, nous n’étions pas aimables, vous le savez. Et Christ nous a tellement aimés que nous sommes venus à Lui. Et alors, si nous sommes de Christ et que Christ est en nous, nous avons ce même Esprit de communion, de collaboration et de secours pour essayer d’alléger le grand fardeau et rendre la vie un peu plus facile pour notre prochain.
12 Eh bien, tout récemment, je m’étais intéressé à lire un journal, je regardais cette compétition sur les missiles. Et je pense que frère duPlessis nous a donné une bonne leçon là-dessus ce matin, concernant le monde qui cherche à placer un homme dans l’espace et voir qui peut y arriver le premier. Nous, nous avons un Homme dans l’espace depuis deux mille ans : Jésus-Christ. C’est vrai.
Mais la Russie pensait pouvoir sonner la trompette l’autre jour, quand ils ont eu un homme qu’ils ont fait monter dans une espèce de petit dispositif et qui a fait le tour du monde en une ou deux heures. Eh bien, oh ! la la ! Jésus peut venir de la Gloire plus vite qu’une pensée ne peut L’atteindre. C’est tout autant… C’est aussi vite que ça.
13 Vous savez, Einstein a prouvé que si deux forces viennent assez vite, elles peuvent s’entrecroiser sans jamais, jamais s’endommager. Si deux véhicules passaient sur la route et qu’ils filaient tous deux à une vitesse vertigineuse, plus vite que le son, juste à des milliards de kilomètres par seconde, ils pourraient probablement s’entrecroiser sans du tout s’endommager.
Il a prouvé cela. Par des forces qui s’entrecroisent… Eh bien, alors… Vous voyez, nous sommes des êtres tellement liés à la terre que tout ce à quoi nous pensons et tout ce à quoi nous pouvons penser, c’est toujours le temps et l’espace et… Mais dès que nous quittons ce monde et que nous entrons là où il n’y a pas de temps.
14 Nous pourrons penser à une vitesse de cinquante miles par heure [80 km/h], cent miles par heure [160 km/h], deux cents miles par heure [320 km/h], ou dix mille miles par heure [16.090 km/h] ; cela ne commence même pas quand nous pensons à l’éternité. Combien rapide… Jésus, après avoir été glorifié et avoir revêtu Son corps glorifié, après être ressuscité des morts, être monté en haut vers le Père, Il est revenu quelques secondes plus tard, et c’était à une vitesse si vertigineuse qu’Il est directement passé à travers un mur, devant Ses disciples, sans jamais bouger le mur ; et cependant, Il avait un corps qui pouvait se tenir là, manger du poisson et du pain. A cette vitesse-là, on traverse.
Et Il peut venir de la Gloire à votre coeur tout aussi vite que vous pouvez penser à Lui, aussi vite que vous pouvez confesser vos torts, Il peut chasser le diable et entrer Lui-même, aussi vite que vous pouvez avoir assez de foi pour croire cela. Quelle vitesse…
15 Mais, évidemment, comme je l’ai dit, nous sommes des êtres terrestres, et nous ne pouvons effectuer des mesures qu’avec des pouces, des kilomètres et autres. C’est juste comme il a été une fois dit : « Et si un petit enfant pouvait penser dans le sein de sa mère et qu’il lui arrivait de dire : ‘Eh bien (pensez-y) vous savez, on me raconte que, dans quelques jours, je vais naître. Malheur à moi. On me dit que, là dehors, il y a beaucoup d’espace et le soleil brille ; les gens marchent. Où trouverai-je ma subsistance ? Je reçois ma subsistance d’ici dedans même. Que m’arrivera-t-il ? Malheur à moi quand je serai né.’ »
Mais alors, après sa naissance, il n’aimerait jamais y retourner. Eh bien, c’est ainsi que nous essayons de penser. Alors, multipliez cela par des millions, essayez de comparer les choses célestes aux choses terrestres. C’est de loin plus glorieux.
Quand la mort nous frappera et que nous quitterons cette immense terre ici, appelée le monde, pour l’Au-delà, eh bien, nous n’aimerions jamais revenir en ce lieu-ci, cette terre de corruption et de chagrin.
16 Dans le journal des Hommes d’Affaires, ils ont publié un… J’appellerai cela une vision, quoique je… cela ne ressemblait point à une quelconque vision que j’aie déjà eue. J’ai vu… le Seigneur a été miséricordieux envers moi en me permettant d’avoir des visions depuis que j’avais moins de deux ans, environ. Et puis, je–j’ai eu beaucoup de visions, mais aucune comme celle-là. En effet, je me tenais là, me voyant moi-même. J’ai vu là ces gens, je leur ai serré la main. C’étaient des personnes comme nous. Seulement, il n’y avait pas d’hier ni de demain et il n’y avait pas de personnes âgées. Elles étaient toutes jeunes. Et, oh ! je pensais… J’avais toujours désiré vivre jusqu’à voir la Venue de Jésus, parce que je ne voulais pas devenir un–un esprit. Et j’avais toujours eu peur de fantômes, et je–je–je ne voulais pas mourir, et devenir un petit nuage, un petit nuage blanc flottant quelque part, et voir mes frères, dire : « Les voilà. J’aurais souhaité pouvoir leur serrer la main, mais ils n’ont pas de main à serrer. Ce–c’est mort. Et–et elles sont restées dans la tombe. »
17 Et c’est alors que cette Ecriture a été vivifiée : « Si cette tente où nous habitons ici sur terre est détruite, nous en avons déjà une qui attend. » Oh ! on sort simplement d’ici et on entre directement dans cette autre-là. Oh ! je vous assure, cela nous fait beaucoup espérer. Peu importe ce que le monde pense et combien le monde est en insécurité, quand il nous arrive de penser à ces choses, toute peur disparaît. Ainsi donc, nous sommes devenus des concitoyens du Royaume et nous nous respectons. Et ceux qui ne sont pas concitoyens, nous aimerions les attirer au point où ils peuvent… Personne ne devrait jamais rater cette place. Je suis un homme d’âge moyen. J’ai cinquante-deux ans. J’ai une femme et un enfant qui sont assis ici ce soir, un jeune homme, mon fils ici, deux filles à la maison. Et n’eût été la prédication de l’Evangile et la charge d’élever ces enfants, de veiller à ce qu’ils grandissent bien, et l’amour pour l’Evangile, je n’aurais pas du tout peur de partir maintenant même, ici même devant vous.
C’est un lieu glorieux. Alors, je–je suis… Ça m’a débarrassé de toute peur. Je n’éprouve plus la peur que j’éprouvais autrefois pour la mort. J’en suis reconnaissant.
18 Maintenant, ainsi donc, qu’arriverait-il si la nation ne jouit pas de sécurité ? Qu’arriverait-il si la Russie lançait un spoutnik, ou une bombe, ou je ne sais comment on appelle ces missiles ? Qu’est-ce que ça change ? Eh bien, ce n’est qu’une échelle pour nous ramener à la Maison, juste une–une issue rapide pour échapper à toute cette histoire et rentrer à la Maison. En effet, avant qu’elle tombe, nous serons de toutes les façons partis.
Je pense donc que c’est ce que la Bible enseigne. Jésus a dit : « Ce qui arriva du temps de Noé, du temps de Lot… » A l’époque de Noé, avant que le jugement frappe la terre, Noé était dans l’arche avant même que la pluie ne tombât. Certainement. Il était hors du danger. Et l’Ange a dit à Lot : « Hâte-toi de t’y réfugier, car je ne puis rien faire jusqu’à ce que tu sois sorti d’ici. » Voyez ? Ils devaient d’abord sortir.
19 Et je pense que la trompette de Dieu sonnera l’un de ces quatre matins, les morts en Christ reposeront… ressusciteront. Nous qui sommes restés vivants, nous serons changés en un instant, en un clin d’oeil et nous serons enlevés ensemble à la rencontre du Seigneur dans les airs. Et alors, le grand châtiment contre les méchants commencera sur terre.
Et si nous savons que nous pourrons exploser avant le matin… Et la science dit qu’il est maintenant minuit moins une minute ; combien proche est alors la Venue du Seigneur Jésus ? Mais cela aura lieu avant que les autres ne le puissent.
Il n’y a donc pas de sécurité nationale : « Les hommes sont nerveux, ils cherchent à signer des traités et, pareils à un groupe d’enfants, ils se querellent et se poignardent. Et il nous faut veiller à ces choses. En effet, il est indispensable pour nous de veiller à cela.
20 Tenez, l’autre jour, ces conférences qu’on tient… Monsieur Eisenhower et–et monsieur Khrouchtchev se sont rencontrés ici aux Etats-Unis d’Amérique. Eisenhower était… représentait toutes les nations occidentales. Et Khrouchtchev, toutes les nations orientales. Et, avez-vous remarqué, il n’y avait rien sur quoi ils pouvaient dire qu’ils pouvaient s’accorder. Khrouchtchev a ôté son soulier et a frappé cela… a frappé cela sur la tribune et tout.
Eh bien, ne savez-vous pas que cela accomplit exactement ce que le prophète avait dit ? Savez-vous ce que Khrouchtchev signifie en russe ? Cela signifie l’argile. Savez-vous ce que Eisenhower signifie en anglais ? Le fer. Le fer et l’argile, l’Est et l’Ouest, ces deux grands orteils de la vision de Daniel… Nous sommes déjà à la fin, amis.
21 Oh ! Il nous faut avoir cette agitation parmi les nations. Une nation s’élèvera contre une autre, un royaume contre un autre, le temps de perplexité, la détresse parmi les nations, le mugissement de la mer. Eh bien, le–le monde semble être dans une dépression nerveuse.
Autre chose, nos emplois, nos emplois sont très incertains. Je parlais avec un jeune homme, là dans le couloir, il vient de rentrer de l’armée. Il est rentré, il n’a pas de travail. Et vous ne savez pas du jour au lendemain si quelqu’un va… On atteint le grade de senior, et on rétrograde pour éviter d’être mis en retraite, et si on trouve un motif contre vous, on vous met dans la rue ; et puis, vous êtes trop vieux pour avoir un emploi. Vous avez dépassé vingt-cinq ans, vous… De nos jours, on ne gagne pas grand-chose à chercher du travail.
22 Voyez, donc on… Voyez, il y a… Vous pensez : « Que ferait un–un homme après trente-cinq ans, quarante ans, s’il n’avait pas un moyen de vivre ? » De temps en temps, si vous avez un travail, on peut pratiquement à tout moment vous laisser bonnement tomber pour un rien, vous mettre à la porte, et vous êtes alors fichu. Il n’y a donc pas de sécurité dans l’emploi. C’est un… Nous le savons. Il n’y a pas de certitude là.
On n’est pas certain du moment où nos pays pourront exploser. A Miami, en Floride, je pense, à la prochaine réunion des Hommes d’Affaires Chrétiens, un homme viendra de Greenland ; il avait tout récemment mis la main sur le levier ; il pouvait détruire le monde. Et il était si nerveux qu’il ne savait que faire. On a une–une bombe ou un missile à l’écran. Et on pensait que la Russie était sur le point de tirer cela, des missiles sont installés partout, on est assis juste sur une poudrière ; alors tout peut exploser n’importe quand.
23 Il n’y a donc pas de sécurité. Il n’y a pas moyen d’y échapper. Vous ne pouvez pas creuser, ces bombes exploseront à une profondeur de cent cinquante pieds [45,72 m] sous terre, sur une superficie d’une centaine de km² pratiquement. Et ça, c’est ce que nous savons. Qu’en est-il de ce que nous ne savons pas ? Chaque nation a des secrets qu’elle garde. Et je me demande bien pour ce que nous ne savons pas.
Aussi, on parle de toute cette inspection des troupes, d’entrer dans des bâtiments, et–et de trouver un lieu, un abri contre des bombes, de creuser sous terre, et de déménager le gouvernement sous un tunnel. A quoi cela servirait-il ? Eh bien, si l’une de ces bombes frappait, et que vous vous retrouviez à une profondeur de cent cinquante pieds [45,72 m], cela vous fracasserait chaque os du corps, la secousse le ferait.
24 Il n’y a pas de cachette, du moins ici en bas. Il n’y a qu’une seule direction où il vous faut vous représenter une cachette, c’est monter ; sortez de là. Et il n’y a qu’une seule voie, c’est vers le haut. Oh ! comme j’aime notre Homme qui est dans l’espace ! Je–j’aime ça. En effet, Il a dit qu’Il nous en ferait sortir. Sortir de cette chose… Oui, oui. Il n’y a pas de sécurité pour les–les nations. Vous direz : « Je fuirai vers telle petite nation, vers telle autre petite nation. » Eh bien, elles vont toutes exploser. Et elles vont… Il n’y a pas de sécurité dans cette nation-ci. Il n’y a pas de sécurité pour nos emplois.
Et, remarquez, aujourd’hui, que la vie au foyer est devenue une situation dont on devrait s’occuper. Oh ! la la ! Vous voyez des petits garçons sortir, prendre un fusil et tirer sur papa et maman, pendant que ces derniers sont couchés au lit. Il y a de l’infidélité parmi nos femmes et nos hommes, nos mères et nos pères… Dans beaucoup de grandes villes, le mari et la femme ont des clés secrètes, ou plutôt les mêmes clés, des clés passe-partout pour leurs appartements. Chacun rentre et prend un repas quelque part. Et l’un a un rendez-vous, et l’autre en a un autre. Oh ! la la !
25 Il n’y a plus de décence, il n’y a plus de respect au foyer. Les foyers de nos jours ne sont pas les foyers à l’ancienne mode (on pourrait… beaucoup n’en ont pas), où la Bible est ouverte, papa lit un chapitre, ils s’agenouillent autour de la table et prient. Les gens entrent, s’assoient et mangent. J’ai donc vu les gens aller à table, se mettre carrément à mastiquer, et–et ils traînaillent à table sans avoir réclamé la bénédiction, jamais. Vous savez, cela donc… Je ne veux pas dire ceci pour plaisanter ; j’aimerais le dire pour faire comprendre quelque chose.
J’ai une fois vu... C’était quand nous restions là dans une ferme, il y avait–il y avait un cochon sous un pommier. Et les pommes tombaient et le frappaient à la tête. Il en mangeait toute la journée. Il ne se relevait jamais pour voir d’où elles venaient. C’est ça.
Eh bien, cela ne s’applique pas uniquement aux cochons. Vous ne savez pas d’où vous provient cette nourriture. Vous feriez mieux de regarder en haut et de rendre grâces à Dieu pour cela, parce que c’est Lui qui vous l’a donnée.
26 Nous n’avons pas de sécurité au foyer. Vous envoyez les enfants à l’école, qu’est-ce qu’on leur enseigne là ? Souvent, très souvent, on leur enseigne que nous descendons des singes. Eh bien, nous ne croyons pas cela. Non. Et si un homme n’est pas plus qu’un animal, alors mangeons, buvons et réjouissons-nous. C’est ce qui est à la base de beaucoup de délinquants juvéniles. C’est ce qui est à la base de beaucoup de crimes qui sont commis.
En effet, si l’homme n’est pas plus qu’un animal, cela l’amène à agir comme un animal. Nous devons lui dire qu’il est un fils de Dieu, qu’il est né pour le Royaume de Dieu et qu’il est quelqu’un. Ceci n’est que le négatif, une image, le négatif, attendant d’être développé un jour. Et la mort est la seule chose qui peut développer cela. Quand vous mourez à vous-même, une nouvelle image se forme à l’intérieur. Et alors, cette nouvelle création, Jésus-Christ, commence à se manifester. Et un de ces jours, Il viendra vous recevoir auprès de Lui. Alors tout sera changé. Et alors, ce négatif deviendra le positif.
27 Nous voyons que la sécurité au foyer est très incertaine. Un jeune homme peut sortir et se trouver une femme, une jeune femme se trouve un mari. Il peut agir comme un gentleman et tout, mais c’est–c’est certainement un risque que l’on court.
Et nous voyons tout arriver dans des foyers : partout des ruptures. L’Amérique a plus de divorces, je pense, que n’importe quel autre pays au monde. Ici où nous sommes censés avoir la civilisation, chaque année nous voyons que les gens se mettent à agir comme s’ils étaient un peu plus non civilisés.
Pouvez-vous vous représenter des hommes qui peuvent tuer des hommes, des femmes et des petits enfants, et qui sont civilisés, qui sont censés l’être ? Dans le temps, quand on combattait pour la révolution, quand... Je pense que Stonewall Jackson était au sommet de la montagne Lookout, et un autre grand général était au pied de la montagne, ils avaient leurs train… canons braqués l’un sur l’autre. Et alors, quand le… était sur le point de à tirer le lendemain matin, Jackson a ordonné de sortir. Il a crié vers le bas de la montagne, disant : « Frères, soyez prêts. Nous allons tirer sur vous. »
28 Et aujourd’hui, là en Allemagne et ailleurs, des hommes comme Hitler font sortir ces pauvres Juifs et… Eh bien, il y a encore des traces là-bas. Ils les ont tués par dizaines de milliers, par millions : un, deux hommes responsables, qui sont censés avoir une très haute culture, une très haute instruction. Ça aurait été bien pour nous de ne pas connaître notre ABC, mais de connaître Christ. Et alors, cela n’aurait pas produit une telle sottise.
Non, on est certainement en insécurité. Les affaires nationales, les emplois, les foyers, et maintenant, j’aimerais parler de quelque chose d’autre qui émet un son confus : ce en quoi nous plaçons une grande confiance, ce au sujet de quoi nous nous disputons beaucoup, la politique.
Les vieux voisins se querellent, se disputent, se mettent dans tous leurs états à cause de la politique. L’un est démocrate et l’autre républicain. Et–et il… Eh bien, ils se disputent et se querellent à ce sujet, alors que les deux partis sont pourris et souillés autant que possible. C’est vrai. L’un ne peut donc pas taxer l’autre de faux, car tous deux sont faux. C’est tout à fait vrai.
29 Mais, la politique… Il y a quelques années, quand nous avions… on avait pour la première fois instauré la démocratie. L’un des Lords d’Angleterre a dit : « C’est un bateau sans ancre. » Il a dit : « Bientôt, on se tiendra sur… des politiciens, sur des caisses à savon pour tenir des conférences. » Eh bien, c’est vrai, tout à fait vrai. Mais il ne pensait pas à sa propre belle House of Lords, ce qui allait aussi lui arriver, et aux Commons.
Mais vous voyez là que tout est arrivé à la fin. Je crois dans la démocratie. Mais je crois que la démocratie, c’est juste comme ce qui était arrivé en France, du temps de Jeanne d’Arc.
La France avait besoin d’une révolution. C’est vrai. Mais après qu’ils ont eu la révolution, ils ont eu besoin d’une contre révolution pour redresser certaines choses pour lesquelles ils s’étaient révoltés. Et je pense que la démocratie est une bonne chose, mais après qu’on aura gagné la démocratie, nous aurons alors besoin de redresser certaines choses dans la démocratie. C’est vrai.
30 Je pense que l’église est une bonne chose, mais après qu’on a conquis l’église, nous aurons alors besoin de faire quelques redressements dans l’église. C’est vrai. La politique. Tout récemment… Je ne suis ni démocrate ni républicain, je suis chrétien. Donc, je–je ne… J’ai voté pour un seul Homme, c’était Jésus-Christ. Et Il a accepté cela et je suis tenu de gagner pour Celui-là ; ainsi, ce–c’est pour Lui que j’ai voté, pour Lui.
Ma mère était démocrate. Oh ! la la ! Mon père était tout autant républicain. Alors là, les… Nous le savions à la maison. Et alors, l’un votait chaque fois pour annuler le vote de l’autre. Non, non. Ils ne cédaient simplement pas. C’est donc comme ça que ça se passe. Voyez, c’est juste comme un groupe d’enfants en train de jouer. Je pense qu’on est bon dans l’un ou l’autre parti ou mauvais dans ces partis. Cela ne dépend que de la personne. Je pense que c’est pareil pour les méthodistes, baptistes, ou les presbytériens ou les pentecôtistes. Ça dépend de l’individu qui est dans l’église.
31 Si vous êtes catholique et que vous comptez sur l’Eglise catholique pour le salut, vous êtes perdu. Si vous êtes pentecôtiste et que vous comptez sur l’Eglise pentecôtiste pour le salut, vous êtes perdu. Mais si vous êtes catholique et–et que vous avez foi en Jésus-Christ, que vous placez votre confiance en Lui, vous êtes sauvé par votre foi au moyen de la grâce. C’est pareil pour n’importe quelle autre église. Il s’agit de l’individu. C’est le système, comme je l’ai dit, qui a fait disparaître la fraternité. Ce n’est pas l’église elle-même.
Maintenant, la politique. On ne peut pas y placer confiance. Nous venons d’avoir des élections qui se sont avérées l’une des plus grandes escroqueries qui aient jamais frappé cette nation. Exact. Mais qu’ont-ils fait ? On avait une machine qui était indéréglable. Et le FBI a dénoncé cela et l’a publié dans des journaux et partout, disant que des machines avaient été truquées, que chaque fois qu’on votait pour monsieur Nixon, on devait en même temps voter pour Kennedy. Et le FBI a dénoncé cela. A-t-on fait quelque chose à ce sujet ? Absolument rien. C’est donc truqué. C’est vrai.
32 Eh bien, quelqu’un a dit : « On vous tirera dessus l’un de ces jours pour avoir dit cela. » C’est ici le meilleur endroit que je connaisse, où mourir. Je ne connais pas de meilleures causes pour lesquelles mourir. Cette nation ressemble beaucoup à Israël. Israël, c’était un peuple qui était dans la servitude. Et ce petit groupe d’Israélites qui étaient dans la servitude aimait la liberté, voulait adorer le véritable Dieu vivant. Dieu les a délivrés de la servitude et les a amenés dans un–un pays qui leur avait été promis ; et Il en a chassé les occupants. Ils ont occupé le pays et sont devenus une grande nation. Ils ont eu des hommes puissants.
Et cette nation a fait la même chose. Nous étions un peuple assujetti, privé de liberté de religion. Et Dieu a envoyé nos aïeux dans ce pays-ci. Nous avons chassé les occupants et nous les avons remplacés. Et c’est devenu la plus puissante nation du monde.
33 Et Israël était la plus grande puissance du monde de l’époque, parce qu’il avait des hommes très pieux, comme David, Salomon, des hommes honorables, des hommes intègres, des hommes qui connaissaient Dieu et qui plaçaient leur confiance en Dieu. Mais un jour, un renégat a été élu au trône, et c’était Achab, un croyant frontalier.
Cette nation était reconnue dans le monde entier comme une grande puissance, parce qu’elle avait des hommes pieux derrière : Abraham Lincoln, George Washington, des hommes comme ceux-là, qui se confiaient en Dieu et Le craignaient. Mais de même qu’Israël avait commis l’erreur en amenant Achab au pouvoir, nous avons fait la même chose il n’y a pas longtemps.
Quand Achab est arrivé au pouvoir, il a épousé Jézabel. Et Jézabel était une païenne. Et ce n’était pas Achab ; Achab était un assez bon gars. Il voulait… il se repentait souvent. Mais ce n’était pas Achab. C’était Jézabel qui était derrière le trône ; en effet, il l’avait épousée. Et c’était elle qui le contrôlait et qui a fait entrer le péché dans le pays et parmi le peuple.
34 Et la même chose est arrivée aujourd’hui. Certains parmi vous, les démocrates bien rompus, peuvent être en désaccord là-dessus. Mais permettez-moi de vous le dire, vous pensez un peu plus à votre politique qu’à la Bible de Dieu, vous avez carrément laissé cela s’infiltrer et prendre le dessus. Dieu d’abord. Pourquoi sommes-nous ici ? Pour la liberté de religion vis-à-vis de quoi ? De ce système de Jézabel.
Notre actuel président a épousé ce système de Jézabel. C’est tout à fait vrai. Et ce qui arriva jadis arrive de même aujourd’hui. Ce n’est pas lui qui… j’ai… monsieur… le président, je n’ai rien contre lui. Mais ce système derrière cela…
Avez-vous remarqué tout récemment, concernant les écoles, comment ils ont habilement essayé de faire passer celui-là ? Certainement. Ce n’est que le commencement. Attendez simplement. Oui, oui. Attendez simplement. Vous êtes mieux avertis que ça par les prédicateurs du Saint-Esprit, ils vous en ont avertis. Mais quel est le problème ? Nous avons vendu notre droit d’aînesse pour la politique.
35 Vous faites de la politique dans l’église et ailleurs. Et alors, qu’avez-vous fait ? Vous avez ancré toute la nation et vous avez vendu votre droit d’aînesse que Dieu vous a donné en échange de la chose même pour laquelle vous étiez venus ici, pour en être libérés. C’est tout à fait vrai. Amen. Je n’avais pas l’intention d’aborder cela.
Il est trop tard maintenant. C’est pour accomplir une prophétie. C’est exactement la raison pour laquelle ils n’ont pas voulu rectifier cela après qu’il était établi que les machines avaient été truquées. Il est plus tard que vous ne le pensez. Il doit bien en être ainsi. Eh bien, non pas celui que nous ne pouvons pas… Cette politique émet un son confus. On ne sait pas, vous pouvez voter, voter, voter, voter, ça ne change rien. Ils font comme bon leur semble. Il y a donc de l’incertitude dans la politique.
36 Il y a de l’incertitude dans l’église. Oh ! Nous avons des centaines de dénominations, chacune dit : « C’est la nôtre qui est dans le vrai. Les autres ne valent rien. C’est nous qui avons la chose. » Environ neuf cents différentes dénominations ici aux Etats-Unis d’Amérique, comment peuvent-elles toutes être dans le vrai ?
Eh bien, il y a un son confus quelque part là. Ça ne sonne pas juste. L’un dit : « Venez adhérer à notre église. Quittez celle-là et venez, adhérez à la nôtre. » Et l’autre a adhéré à leur… Des gens trimbalent des lettres d’une église à une autre au point que c’est usé, rien que pour changer de nom, de méthodiste en baptiste, en presbytérien, en luthérien, en pentecôtiste, en unitaire, en binitaire, en trinitaire et, eh bien, c’est… Oh ! bonté divine !
Pourquoi n’oubliez-vous pas cela ? Inscrivez votre nom dans le Livre de Vie de l’Agneau au Ciel. Vous n’aurez plus à le transférer. C’est vrai.
37 L’incertitude, l’église émet un son confus. Il n’y a pas longtemps, les baptistes avaient un slogan : « Un million de plus en ’44. » Qu’avons-nous eu ? On a eu un million d’adhérents de plus, certainement.
Si tous ceux qui, ici aux Etats-Unis d’Amérique, confessent être chrétiens d’une quelconque espèce, catholique ou protestant, des églises, si eux tous étaient des chrétiens nés de nouveau, je vous assure, cette contrée serait tellement sèche qu’un contrebandier d’alcool devrait s’humecter pour avoir assez d’humidité afin de cracher. C’est vrai.
38 Ce serait, oh ! ce serait différent. Mais, aujourd’hui, on vend du whisky aux gens, et puis, on les arrête pour en avoir bu. Oh ! que Dieu ait pitié ! La politique, l’église et tout, c’est certainement un son confus : l’incertitude. « Venez adhérer. Venez inscrire votre nom. » Ce n’est pas ça l’idéal. Venez naître de nouveau. Venez mourir. Venez pourrir à vous-même, à vos propres pensées et laissez Christ entrer ; devenez une nouvelle création. Voilà l’idéal. L’incertitude dans la nation, l’incertitude dans les emplois, l’incertitude au foyer, le son confus dans la politique, le son confus dans des églises… Eh bien, même la vie elle-même est incertaine. Nous ne savons quand nous partirons. Mais il y a une seule chose sûre : nous savons que nous devons partir.
39 Comme le dit un ancien dicton : « Il y a deux choses sûres : L’impôt et la mort. » Et vous ferez face à tous les deux. Alors, pourquoi ne pas vous préparer pour cela ? C’est vrai.
L’incertitude de la vie, l’incertitude de l’église, tant d’incertitudes… Vous direz donc : « Frère Branham, vous nous mettez assurément dans une situation délicate. Y a-t-il quelque chose de certain ? » Je peux me tenir ici et énumérer des choses incertaines, ici. La nation est incertaine. Un son confus, qui sait quoi faire ? Les emplois ; la politique, c’est incertain ; l’église, c’est incertain ; la vie au foyer, c’est incertain. Qu’est-ce qui est certain ? Y a-t-il quelque chose de certain ? Oui, il y a une seule chose, je vous le garantis, qui est certaine. C’est la Parole de Dieu. C’est vrai.
40 Dans Matthieu, chapitre 24, verset 35, Jésus dit : « Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point. » Aussi certainement que Dieu le dit, ça va bien s’accomplir.
Avant la fondation du monde, quatre mille ans avant, avant donc la naissance de Christ, la Bible dit qu’Il était l’Agneau de Dieu immolé depuis la fondation du monde. En effet, quand Dieu élaborait Son programme, Il savait ce qui arriverait ; dans Sa grande pensée, Il savait qu’Il aurait à immoler Son propre Fils pour sauver le monde. Et c’était réglé aussitôt que Dieu l’avait prononcé. Amen.
Quand Dieu dit quelque chose, c’est tout aussi éternel que Dieu. Cela ne peut pas faillir, la Parole de Dieu. Jésus a dit : « Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point. » Oh ! Certainement qu’Elle est certaine. Il n’y a pas d’incertitude là-dessus.
41 Elle peut vous faire agir de façon étrange quand vous recevez Cela. Il se peut que vous n’agissiez pas comme d’habitude. Ça aussi, c’est une chose certaine. Paul a dit : « La vie que je mène maintenant… » Il devait avoir mené une vie différente autrefois, et pourtant il avait grandi religieux. Mais il avait un nouveau genre de vie. « Ce n’est pas moi, mais c’est Christ qui vit en moi. » Voyez, il est passé d’une vie à une autre.
Et aussi certainement que vous recevez la Parole de Dieu dans votre coeur, vous aurez donc la Vie Eternelle et vous agirez de façon étrange, vous paraîtrez étrange, vous serez différent de ce que vous étiez.
Remontons maintenant pendant quelques instants dans le passé, environ dix minutes, et examinons certains de ceux qui ont… des hommes du passé qui s’étaient solennellement confiés au son certain de la Parole de Dieu.
42 Noé, là tout au début, dans le…avant la destruction antédiluvienne, c’était peut-être un cultivateur dans le champ, mais un jour, il rencontra Dieu. Et Dieu lui annonça qu’il pleuvrait. Noé était sûr qu’il pleuvrait autant qu’il l’était d’être Noé. Alors, il se mit à préparer une arche pour sauver sa famille, car il était certain qu’il pleuvrait.
Peu importe combien cela paraissait non scientifique, peu importe combien… La science pouvait lui prouver qu’il n’y avait pas une seule goutte d’eau là-haut ; qu’il ne pouvait pas y avoir une forme de nuage, que telle et telle choses ne pouvaient pas exister. Peu importe combien cela paraissait scientifique, il était certain qu’il pleuvrait, et il a pris des dispositions pour cela. Amen.
C’est comme ça, frère. Quand vous êtes certain, vous prenez des dispositions pour cela. Si ce soir vous êtes certain que vous ne sortirez pas d’ici malade, si Dieu vous l’a révélé, vous n’allez pas sortir… prenez des dispositions. Vous direz : « Je suis boiteux. Je–je–je ne peux pas marcher. Mais je suis certain dans mon coeur que Dieu m’a parlé il y a un moment, disant : ‘Ce soir, tu vas sortir de cette salle en marchant.’» Sois seulement prêt; tu vas sortir. C’est vrai.
Soyez certain dans votre coeur. Quand Dieu parle, c’est certain, c’est éternellement certain, quand Dieu parle, il n’y a pas du tout de son confus à ce sujet.
43 Moïse était un homme intelligent, d’une haute instruction, un érudit raffiné, capable même d’enseigner les Egyptiens. C’était un soldat, nous dit-on, il connaissait toutes les stratégies militaires. Et il s’est rendu compte de son échec malgré son militarisme, alors qu’il avait toute l’armée de–de Pharaon derrière lui et qu’il allait hériter du trône. Mais un jour, après qu’il avait fui, qu’il s’était retrouvé au désert pendant quarante ans, qu’il s’était marié et installé, avec une femme et un enfant…
Un jour, alors qu’il était là derrière le désert, un vieil homme de quatre-vingts ans, avec de longues moustaches, paissant les brebis, il a aperçu un buisson en feu. Il s’est tenu devant ce buisson et a entendu Dieu dire : « Assurément, Je serai avec toi. Descends en Egypte. » Et Moïse était certain que rien ne le dérangerait. Il savait qu’il descendait libérer le peuple, parce qu’il était certain que Dieu lui avait dit la vérité. En effet, il savait que c’était Dieu et il savait que c’était le plan de Dieu, selon la Parole de Dieu, de les libérer.
44 Eh bien, si Moïse a pu être certain au point de descendre faire sortir une–une nation d’une nation, lui, un vieil homme, à combien plus forte raison devrions-nous être certains en lisant la Parole de Dieu et en voyant que ces… Nous vivons en ce temps où nous vivons aujourd’hui, nous devrions être très certains du réveil à venir. Nous devrions être très certains de l’effusion du Saint-Esprit. Nous devrions être très certains de notre guérison. Dieu l’a dit ; c’est réglé.
45 Moïse était tout à fait certain que le… Israël serait libéré. Il ne savait pas comment ; il n’avait rien en main sinon un vieux bâton. Mais il y est descendu malgré tout. Il ne savait pas comment cela se ferait, mais il savait que Dieu lui avait parlé et il s’est mis en route.
Il arriverait là et laisserait Dieu faire ce qu’Il voulait, une fois arrivé là. C’est comme ça donc. Vous direz : « Frère Branham, j’ai le cancer. Comment puis-je être certain ? » Laissez Dieu vous parler. Acceptez la Parole. Eh bien, si le docteur a dit… Je sais que l’homme a fait tout son possible pour vous, sans doute. Mais si Dieu vous a parlé, soyez bien certain que c’est Dieu et, alors, allez de l’avant.
46 Si Dieu vous parle, vous verrez Dieu, vous verrez Sa puissance, vous verrez Sa résurrection, vous verrez Ses oeuvres ainsi que Ses signes, et vous saurez qu’Il est ici, alors acceptez-Le et acceptez Sa Parole. Si vous pouvez sentir cela au fond de votre coeur, que c’est vrai, alors allez directement de l’avant, prenez des dispositifs, car tout ira très bien.
Cette petite jeune fille dont je parlais ici l’autre soir, peut-être que la petite dame est ici ce soir, celle qui avait une enfant avec un pied suspendu, elle vient de Zion. Elle était tellement certaine que cette enfant marcherait qu’elle s’est procurée une paire de souliers (voyez-vous ?), et elle est venue pour qu’on prie pour elle.
47 Et alors, quand elle a traversé l’estrade pour qu’on prie pour elle, elle a regardé, et l’enfant a essayé son pied. Et ça n’allait pas mieux. Alors, elle est allée auprès de sa mère, et la maman savait que j’étais au bureau. Elle a donc envoyé la jeune fille là. La petite fille est entrée et j’ai demandé : « N’est-ce pas toi la jeune fille pour qui on avait prié hier soir ? »
Elle a dit : « Oui. »
Elle a dit : « Mais, vous savez, le Seigneur m’avait parlé et m’avait dit de vous amener mon enfant et qu’après que vous lui aurez imposé les mains, elle marcherait. »
J’ai dit : « Eh bien, alors, ce–c’est tout ce qu’il faut. Dieu l’a dit. Ce–ce–c’est tout ce qu’il nous faut faire. Croire seulement cela. »
Elle a dit : « Mais l’enfant ne marche pas. »
J’ai dit : « Cela n’a rien à faire avec la chose. Si–si vous êtes certaine, vous ne mettrez pas cela en doute. »
48 Nous avons donc prié et nous avons imposé les mains à l’enfant. Et je lui ai dit : « Soeur, je peux me lever et faire donc cela toute la journée. Si vous êtes certaine et que vous le croyez réellement, ça arrivera. Cela arrivera certainement comme ça. » Et alors, quand elle sortait, elle voulait m’entendre dire quelque chose d’autre. Pauvre petite dame, petite dame… J’espère… Peut-être qu’elle… Etes-vous ici ce soir, soeur, de Zion, celle qui avait amené cette enfant ici l’autre soir ? Etes-vous dans la salle ? Levez la main si vous y êtes. J’étais… elle était…
Certains parmi vous étaient ici l’autre soir quand elle était ici. Y a-t-il ici quelqu’un qui était… quand elle était ici l’autre soir ? Oui, nous… Très bien. Eh bien, elle était certaine que le Seigneur guérirait cette enfant-là, mais elle voulait que je dise quelque chose à ce sujet. Eh bien, j’avais déjà dit aux frères là que j’avais vu l’enfant rétablie. Mais je voulais juste voir ce qu’elle ferait à ce sujet.
49 Alors, quand elle sortait de la pièce, on dirait un peu déçue, on dirait en train de pleurer, elle s’est retournée, son petit mari était sorti. Ainsi donc, quand elle a regardé derrière, elle a dit : « Révérend Branham ? »
Et j’ai dit : « Oui, madame. »
Elle a dit : « Est-ce la volonté de Dieu que mon enfant soit infirme ? » Elle voulait juste entendre ce que j’allais dire : elle l’arrachait carrément.
J’ai dit : « Non, madame. Ce n’est pas ça. »
Elle a dit : « Merci, monsieur. » Elle a franchi la porte pour sortir.
Et environ une semaine après cela, la jambe de la petite enfant était rétablie. Voyez ? Voyez ? Tenez vraiment bon. Emparez-vous de quelque chose. Tenez bien ferme. Certain… Oui, oui. Moïse était certain que Dieu libérerait Israël.
50 Elie, là au sommet de la montagne, du temps où il pensait être resté seul, Dieu l’avait amené là haut, l’avait nourri par des corbeaux et l’avait gardé en vie jusqu’à ce qu’il avait pu accomplir sa prophétie. Il l’avait simplement retiré du champ de travail.
Là, du temps d’Achab, tous avaient cédé, mais il y avait un seul vieil homme là qui n’avait pas cédé. C’était Elie. Il disait toujours à Jézabel que c’était mauvais pour elle d’agir comme cela. Peu importe ce que les autres faisaient, il déversait cela de toutes ses forces droit sur elle.
51 Un jour, Dieu a dit : « Maintenant, tu as assez prophétisé contre eux, retire-toi du champ de travail, et Je vais faire tomber sur eux le jugement que tu as prophétisé. » Alors, Elie monta au sommet de la montagne, il a fait trois ans et demi là-haut, ou trois ans, alors que les autres se mâchaient la langue de peine, mais lui était assis à côté d’un petit torrent, une petite source. Il avait tout le temps la révélation spirituelle, les eaux de la Vie se déversant.
Les autres… Et écoutez, frère, soeur, permettez-moi de vous le dire. L’un de ces jours, quand Dieu en aura assez de ce qui se passe par ici, alors Il retirera tous les véritables du champ de travail, et alors vous rechercherez un réveil. Cela aura absolument lieu. Le prophète a dit qu’il arrivera un temps, dans les derniers jours, où il y aura une famine, non pas la disette du pain et la soif de l’eau, mais d’entendre la Parole de Dieu. Et les véritables serviteurs auront été retirés. Alors, il y aura une famine dans les derniers jours. Cela aura assurément lieu.
52 Eh bien, remarquez, mais Dieu lui avait donc parlé, mais pourquoi l’a-t-il fait sortir de son hibernation là ? Il a dit : « Vas-y, appelle Achab et amène-le au sommet de la montagne. » Et alors, comme Elie était très certain que c’était Dieu qui lui avait dit de faire cela, il a fait venir les quatre cents prêtres, ils ont placé un taureau et ils ont prié toute la journée. Et Elie faisait les cent pas, se moquant d’eux.
Il a dit : « Pourquoi ne criez-vous pas un peu plus fort, peut-être qu’il est occupé, peut-être qu’il est endormi, ou il ne veut pas être dérangé ou quelque chose comme cela. » Il a dit : « Appelez-le un peu plus fort. » Et il se moquait simplement d’eux, pendant qu’ils… Pourquoi ? Parce qu’il était certain. Il savait qu’il n’y avait pas de puissance dans cette idole-là. Et il était certain d’avoir été en contact avec le Dieu vivant.
53 C’est la raison pour laquelle ce soir, frères, je le dis avec amour et respect ; je sais qu’il n’y a pas de réveil dans des dénominations. Mais je sais qu’il existe un Dieu vivant qui a réellement un réveil. Retournons-y. J’en suis certain. J’en suis sûr. Je sais que c’est la vérité.
Dieu ne fera jamais cela. Ils ne se sont jamais relevés, nulle part, et ils ne le feront jamais. Mais du milieu de ces gens, Dieu fera sortir un peuple qui porte Son Nom. Il le fera.
Alors, Elie, après qu’il eut déposé cela… ces douze pierres là-haut. Il a déposé le taureau, il l’avait tué, et exactement ce que Dieu lui avait dit de faire, il était tout aussi certain que le feu descendrait qu’il était certain d’être Elie. Rien… Il n’y avait pas de feu là-haut. Et il n’y avait pas d’eau là-haut. Il n’avait pas plu depuis trois ans et six mois.
54 Alors, il s’est avancé là, tout calme et tranquille, parce qu’il était certain. Il n’avait pas à dire : « Maintenant, frères, je vais essayer. Je–je vais voir… » Non, non. La Voix avait parlé à Elie ; Elie était certain que c’était Dieu. Amen. Quand vous êtes certain que c’est Dieu, quelque chose doit se passer.
Elie s’est avancé là et a dit : « Ô Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël. » Remarquez, il ne l’a point appelé par son nom de supplanteur, Jacob. Il l’a appelé par son nom de prince, Israël. « Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël, que l’on sache aujourd’hui que Tu es Dieu et que je suis Ton prophète. »
55 Et à ce moment-là, le feu a commencé à tomber. Pourquoi ? Il était certain que cela tomberait. Il a dit : « J’ai fait tout ceci sur Ton ordre. » Quand vous êtes certain de quelque chose, il y aura un son qui le démontre, et c’est la Voix de Dieu. La Parole de Dieu est certaine.
David. Il avait mis Dieu à l’épreuve. Un jour, alors qu’il paissait les brebis, un ours a surgi et s’est emparé de l’une des brebis. Il a pris une petite fronde et a terrassé l’ours. Eh bien, vous savez qu’un cailloux dans une fronde ne terrasserait pas un ours.
Après, un lion féroce vint s’emparer de la–de l’une des petites brebis et s’enfuit avec. David l’a pourchassé, se confiant au Seigneur. Alors, il a lancé cette pierre et a terrassé le lion.
56 Puis, un jour, il se tenait là, il a vu un Philistin, un incirconcis, se lever et dire : « Les jours des miracles sont passés. Pareille chose n’existe pas.»
Alors, le petit David, peut-être qu’il avait le dos voûté et tout, il a dit : « Voulez-vous dire que vous vous tiendrez là, laissant ce Philistin, cet incirconcis, défier les armées du Dieu vivant ? » Il a dit : « J’irai le combattre. »
Et, oh! la la ! quand il… Saül a essayé de le revêtir de son–son doctorat en philosophie ; eh bien, cela n’a pas du tout convenu à David. Il ne savait rien sur la façon de dire « amen » bien correctement, vous savez, et tout. Et il a dit : « Je ne sais rien de cette histoire. Je n’en sais rien. Mais j’ai quelque chose de sûr pour moi. Je ne sais pas ce que Dieu me fera faire avec un doctorat en philosophie, mais voici ce que je sais qu’Il–Il a fait pour moi. »
Alors, il a dit : « Le Dieu qui m’a permis de tuer un lion avec cette fronde, le Dieu qui m’a permis de tuer un ours avec cette fronde, à combien plus forte raison… (Amen.) à combien plus forte raison livrera-t-Il ce Philistin, cet incirconcis, entre mes mains. »
57 Hommes et femmes, amis, vous rendez-vous compte que le Dieu du Ciel, qui a ressuscité Jésus-Christ des morts, n’est pas mort, mais qu’Il est vivant ? Alors, s’Il a tenu Sa Parole envers David, s’Il L’a tenue envers Elie, s’Il L’a tenue envers Moïse, s’Il L’a tenue envers les enfants hébreux, s’Il L’a tenue envers–envers Daniel, Il La tiendra envers vous et moi, si nous sommes certains que c’est Dieu. Alléluia ! Oh! la la! Je me sens religieux maintenant même. Oui, oui.
Je savais cette nuit-là… Quelqu’un a dit : « Frère Branham, n’avez-vous pas peur de commettre une erreur ? » Une erreur ? Comment Dieu peut-Il commettre une erreur ? C’est certain. Cet Ange est venu là cette nuit-là et Il m’a dit qu’Il m’envoyait accomplir une chose certaine, concernant les visions et tout, je suis allé avec cela à travers le monde, auprès de toutes sortes de gens, à toutes sortes d’endroits. Et à aucun moment Cela n’a failli.
58 Pourquoi ? Je suis certain que c’était Dieu. C’est arrivé conformément à Sa Parole. C’est conforme à Son Esprit. C’est selon Sa nature. Et c’est bien à temps pour la postérité d’Abraham. »
Je peux voir pourquoi les églises de nom ne recevront pas cela, pourquoi cet Ange n’était pas non plus descendu prêcher à Lot et aux autres. Il est resté avec les élus. Il y en a eu un qui était descendu là-bas leur prêcher, à ce groupe, là-bas. Et c’est la raison pour laquelle ils avaient… Ils m’ont dit, quand j’ai quitté ma petite église baptiste, ils ont dit : « Tu deviendras un saint exalté, tu vas te mêler avec ces saints exaltés. »
J’ai dit : « Je ne sais pas ce qu’ils sont, mais si–si Dieu m’envoie vers eux, c’est qu’Il a un Message pour eux. » C’est exact. Si Dieu donne un Message, il y aura quelque part quelqu’un qui va L’entendre. Amen.
59 C’est ce que Jean se disait quand il sortait du désert, cet Elie du Nouveau Testament, un homme rude. Il a dit : « De ces pierres, Dieu est capable de susciter des enfants à Abraham. » Il était certain de son Message. Il savait qu’Il était vrai. Il savait qu’il était né et qu’il avait reçu le Saint-Esprit depuis le sein de sa mère, au Nom de Jésus-Christ.
A neuf ans, il est allé au désert sans avoir été instruit, il y est resté jusqu’à trente ans et il en est sorti sans habits, juste revêtu d’une peau de brebis. Et il a prêché le Message qui a secoué les contrées voisines. Amen. Pourquoi ? Il était certain.
60 Et quand il a vu ce Saint-Esprit descendre sous forme d’une Lumière, avec deux ailes, descendre sur Jésus, il a dit : « Je ne Le connaissais pas, mais Celui qui m’a parlé au désert a dit : ‘Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est Celui-là qui baptisera du Saint-Esprit et de feu.’ J’en suis certain. »
Quand il s’était un peu fatigué, comme nous le disions l’autre soir, Jésus a dit : « Allez dire à Jean ce qui est arrivé. » Soyez certain. Soyez certain que c’est un son net.
Eh bien, Siméon, le Saint-Esprit lui avait révélé qu’il ne mourrait pas, et pourtant c’était un homme fort avancé en âge, qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il n’en avait pas honte. Il allait çà et là le dire à tous : « Je ne mourrai pas. Je verrai la Venue de Christ. »
61 Eh bien, je peux entendre les gens dire : « Pauvre vieil homme, il est un tout petit peu dérangé. Il se fait vieux maintenant, vous savez. Et il… Je pense que son esprit se dérègle, vous savez. » Cela vous fait faire des choses et agir comme jamais auparavant, quand vous êtes certain, quand vous êtes vraiment certain.
Siméon a dit : « Non, je ne mourrai pas sans avoir vu la Venue de Christ. » Eh bien, ils ont dit : « Pensez-y. David L’a attendu. Moïse L’a attendu. Et on L’a attendu des milliers d’années durant. Et nous voici maintenant sous la cap… romaine. Eh bien, comment diantre peut-il donc voir cela ? Pauvre vieil homme, ne faites vraiment pas cas de lui. »
62 Cela ne le dérangeait pas. Il allait çà et là, disant : « Regarde, je ne mourrai pas avant d’avoir vu le… vu la Venue de Christ. Je verrai cela. » Un jour, alors qu’il était là derrière dans son bureau, Jésus a été amené au temple pour la circoncision, la purification de Marie, emmailloté ; et–et elle s’est tenue là, la petite vierge.
Et les gens gardaient leurs distances vis-à-vis d’elle, parce qu’Il–Il avait une mauvaise réputation pour commencer. Les gens disaient qu’Il était né en dehors des liens sacrés du mariage. Et je peux donc me représenter ces hypocrites prétentieux, vous savez, qui n’avaient rien à faire avec quelque chose comme cela. Et ils s’étaient mis à l’écart.
63 Et… Mais elle savait Ce qu’elle tenait dans ses bras. Elle savait de qui Il était Fils. Et c’est ce que je dis aujourd’hui. Vous pouvez taxer un véritable chrétien né de nouveau de fanatique, ou de saint exalté, ou de tout ce que vous voulez. S’il sait que c’est le Saint-Esprit, vous ne l’ébranlerez jamais. Absolument pas. Il n’est point dérangé. Il sait ce qu’il y a dedans. Il sait d’où Cela vient.
Comme je l’ai toujours dit… Toute cette religion hybride qu’on a en ces jours-ci, s’il y a quelque chose que je déteste, c’est cette histoire hybride dont on parle. L’hybride. Et je pense que la science en est arrivée à–à désapprouver son propre argument.
Vous savez, ils disent que l’homme a évolué depuis… qu’il est descendu d’un singe et qu’il a évolué, il est allé… il a commencé par être un têtard et il a évolué. Mais, Genèse 1.26 dit : « Que chaque semence se reproduise selon son espèce. » Je crois que Dieu a créé des singes. Oui, oui. Je crois que Dieu a tout créé. Mais Il a créé l’homme. Et l’homme n’est jamais venu par l’évolution… les singes devenant des hommes. Dieu a créé les oiseaux ainsi que toutes choses au commencement. Et ça se prouve.
64 Si vous hybridez quelque chose et que vous le croisiez, cela ne peut pas être croisé de nouveau. C’est vrai ; cela est mort. On se met à dire : « Le maïs hybride, le maïs hybride, quel beau maïs ! » Je sais, mais il n’est pas bon. Vous ne pouvez pas le planter ; il ne se reproduira plus. C’est vrai, il est fini.
Prenez un mulet. Un mulet… Je… Il–il… Un mulet, c’est l’animal le plus horrible qui soit. Vous savez, il–il–il n’est–il n’est ni cheval ni mulet, et il–et–et–et, à vrai dire, il ne sait même pas ce qu’il est. C’est exact. Et sa–sa mère, c’est une jument, et son père, un âne ; alors il–il–il ne sait pas d’où il vient. Et il ne peut jamais être hybridé pour la deuxième fois. Un mulet ne peut pas reproduire un mulet. C’en est fini de lui. Vous le savez.
65 Et c’est exactement pareil pour certaines de ces religions aujourd’hui : la religion du mulet. C’est vrai. Vous pouvez parler des jours de miracles, du Saint-Esprit, et de tout cela. Et avez-vous déjà vu un vieux mulet ? Il est ignorant. Il dresse simplement ses grosses oreilles et vous regarde tout bonnement. Il n’est pas gentil, il n’a pas de sentiments de courtoisie. Et vous ne pouvez rien faire avec lui. Et il attendra toute sa vie pour vous donner un coup de sabot. Et alors, attendre que vous mouriez. Et alors, à sa mort, il vous donne des coups de sabot. Et il se tiendra là avec ses grosses oreilles et dira : « Viens, mon gars. Euh, euh, euh. » Il fera simplement : « Euh, euh. » Vous voyez, il ne sait rien. Il est hybride.
66 C’est ça le problème de certaines de ces religions hybrides. Vous pouvez dire : « Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. » Ils crient : « Euh, euh, euh. Les jours des miracles sont passés ; ça n’existe pas. » Oh ! la la ! Il n’est pas étonnant que la Bible dise qu’ils viendront comme des mulets sauvages en train de brailler. C’est vrai. Oh ! c’est… c’est exact. C’est hybride. Qu’avez-vous essayé de faire ? Mélanger quelque chose du monde avec l’église. C’est ce qui est à la base de cela, une église hybride. Nous devrions … Nous sommes… Mais vous savez, il y a un seul animal qui est gentil, un seul que j’aime, c’est un beau cheval de pure race. Oh ! la la !
67 Ce cheval de race pure peut vous dire qui était son papa, qui est sa maman, qui sont son grand-papa, sa grand-maman, l’arrière, l’arrière, l’arrière, l’arrière, l’arrière ; l’arrière et ainsi de suite. Il est de race pure. C’est ainsi que j’aime voir un chrétien de race pure (Amen.), quelqu’un qui sait qui est son papa et qui est sa maman. Vous lui demandez : « Etes-vous chrétien ? »
« Je suis méthodiste. » Eh bien, c’est une bonne confession qui montre que vous n’êtes pas chrétien.
« Je suis baptiste. »
« Je suis presbytérien. »
« Je suis pentecôtiste. »
Frère, nous sommes chrétiens parce que nous sommes de race pure, nés du Saint-Esprit. Je sais qui est mon Père. Amen.
Un chrétien est un chrétien. Jésus a dit : « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais ; voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru », un chrétien de race pure, quelqu’un qui est rempli du Saint-Esprit. Il n’y a pas de son confus à ce sujet. Non, non. C’est ça. C’est ainsi que cela avait retenti le jour de la Pentecôte. C’est donc le même son que cela émet. C’est ça. Et c’est un bon son certain. Oui.
68 Siméon. Il était certain qu’il Le verrait. Jésus était certain de la Parole du Père. Eh bien, certainement. Quand Marie s’est avancée là et–et qu’elle a dit, ou plutôt, Marthe, elle a dit : « Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, tout ce que Tu demandes à Dieu, Dieu le fera. » Et Il a dit : « Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi vivra quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »
Elle a dit : « Oui, Seigneur. Je crois que Tu es le Fils de Dieu, comme Tu l’as dit. Je crois que Tu es ce Messie qui devait venir dans le monde. » Il a dit : « Où l’avez-vous enseveli ? »
69 Eh bien, Il n’a pas dit : « Je–Je descendrai voir ce que Je peux faire à ce sujet. » Oh ! non ! « Je vais le réveiller. » Non pas : « Je vais essayer. » « Je vais le faire. » Amen. C’est certain. Jésus a dit qu’Il ne faisait rien avant que le Père le Lui ait montré. C’est Saint Jean 5.19 : « Je ne fais que ce que Je vois faire au Père… me montre premièrement. »
Et le Père Lui avait montré que Lazare ressusciterait des morts. C’est pourquoi, avant que n’importe quoi fût dit, Il a dit : « Je vais le ressusciter », non pas : « Voir si Je le peux. » Il a dit : « J’ai le pouvoir de donner Ma Vie et de La reprendre. » Il n’y avait rien de confus à ce sujet, rien de confus à ce sujet.
70 « Tuez-moi …détruisez ce tabernacle et, en trois jours, Je le relèverai. » « Détruisez ce… » « Je le ferai. » « Je vais essayer de voir ce qui se passe ? » « Je le ferai. » En effet, David a dit : « Je n’abandonnerai pas Son âme dans le séjour des morts, ni ne permettrai que Mon Saint voie la corruption. » Il savait que la corruption s’installait dans l’espace de soixante-douze heures. Et dans cet intervalle, avant que soixante-douze heures s’écoulent, le corps de Jésus ressusciterait des morts : rien d’incertain à ce sujet. Il avait placé Sa confiance dans la Parole de Dieu de façon absolue. Amen. Dans tout ce qu’Il faisait, Il s’en remettait à Dieu.
Eh bien, Il a dit : « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » Il n’y a rien de confus à ce sujet. Il a dit que c’était certain. Il le fera. Il a donné une commission à Son Eglise, disant : « Allez par tout le monde prêcher la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront les démons ; ils parleront de nouvelles langues ; ils saisiront des serpents, ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Il n’y a rien de confus à ce sujet. C’est vrai.
71 Jésus a dit : « Dans les derniers jours… » L’Esprit dit, la Bible dit : « Les gens seront hautains, emportés, aimant le plaisir plus que Dieu, calomniateurs, intempérants, ennemis des gens de bien, traîtres, emportés, enflés d’orgueil, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. » Il n’y a rien de confus à ce sujet, nous avons ces gens. Amen.
Daniel a dit que les gens qui connaîtraient leur Dieu en ce jour-là feraient des exploits. Il n’y a rien de confus à ce sujet. Dieu l’a dit et nous l’avons. Amen. Il n’y a rien de confus à ce sujet.
Oh ! Quelqu’un dit : « Frère… que le Saint-Esprit était pour ce… pour les gens là à la Pentecôte. » Pierre a dit le jour de la Pentecôte : « Repentez-vous tous et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera. » Il n’y a rien de confus à ce sujet, ils recevront Cela. C’est… Ils Le recevront.
72 Tout le monde, en aussi grand nombre que le Seigneur Dieu les appellera. Eh bien, Il va leur donner le Saint-Esprit. Et si seulement ils suivent correctement les instructions, c’est tout ce qu’il leur faut faire : Rien de con–confus à ce sujet, non.
Jésus a dit : « Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. » Il a dit : « Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. » Comment l’Ange du Seigneur descendrait et… parmi les gens et accomplirait ces signes et ces prodiges, les prodiges de Sa résurrection. Il est sorti de–de la tombe depuis deux mille ans. Le monde ne croit pas cela. Mais Il… Parce qu’Il vit, a-t-Il dit, nous pouvons aussi vivre. Il n’y a rien de confus à ce sujet.
73 Nous pouvons aussi faire les oeuvres qu’Il a faites. Il n’y a rien de confus à ce sujet. Toutes Ses promesses sont oui pour nous. Nous vivons dans les derniers jours. Nous croyons tout exactement tel qu’Il l’a dit. Il n’y a donc rien de confus. Vous pouvez croire cela, y placer votre confiance.
Paul Rader, beaucoup parmi vous, vous tous, vous vous souvenez de lui, un originaire d’ici à Chicago, un grand homme de Dieu ; il est mort ici il y a quelques années. J’ai toujours aimé Paul. Et je l’ai entendu à quelques reprises quand j’étais un jeune garçon. Et puis, j’étais assis au tabernacle de Rédiger là, dans la pièce où il a composé ce cantique Crois seulement, qui m’a invité à la chaire dans des centaines de différentes langues, je pense, à travers le monde. Crois seulement. Et je me demande si Paul savait que ce pauvre petit enfant qui était assis là en salopette amènerait dans le monde entier ce cantique qu’il avait composé.
74 J’étais là, tenant une série de réunions il y a quelque temps, et cela a retenti au micro. Je me suis simplement agenouillé et j’ai pleuré ; en effet, je savais que c’était un grand homme de Dieu.
Une fois, il racontait une histoire dans son livre. Je lisais cela. Je pense qu’il venait d’Oregon. Il avait l’habitude de couper du bois. C’était un homme fort. Luc, son frère, était très fort. Et alors, Paul a dit qu’il… Puis, là, je pense qu’il se trouvait dans un pays étranger. Il était… Il avait attrapé une fièvre bilieuse hémoglobinurique, ou quelque chose comme cela. Il était… il se mourait.
Et il a dit que sa fidèle épouse se tenait à ses côtés ; en effet, on ne pouvait pas trouver de médecin là, c’était très loin. Et il faisait de plus en plus sombre dans la pièce. Et il a dit : « Chérie, a-t-il dit, tiens-toi à mes côtés. Continue simplement à prier ; continue à prier. » Paul était un fervent croyant dans la guérison divine. Et il a prêché ici même dans cette ville, ici au tabernacle.
75 Et il y croyait donc. Alors, il a demandé à sa femme de continuer à prier. Advienne que pourra, continue simplement à prier. Il dit qu’il faisait de plus en plus sombre dans la pièce. Et finalement, tout devint noir.
Et il a dit qu’il a rêvé. Il pensait qu’il était retourné en Oregon. Et il était… Le patron lui parlait, celui du camp d’abattage de bois où il avait travaillé, lui disant : « Paul, monte à la colline et abats-moi un certain arbre, d’une certaine dimension, et fais-le descendre ici. »
Il a dit : « D’accord. » Il a dit qu’il avait gravi l’arbre en courant… la colline et il pouvait flairer le pin, et ses poumons aspiraient, vous savez, cette odeur. Oh ! comme une–une personne qui vit dans le bois peut vraiment se réjouir ! Et il a dit qu’il a abattu cet arbre, il l’a découpé, et y a enfoncé la hache, et il a saisi cet arbre, mais il n’arrivait simplement pas à le soulever. Il a dit qu’il a mis ses genoux ensemble, il a courbé le dos. La partie la plus forte de l’homme, c’est le dos, les muscles de dos. Il a soulevé et soulevé. Et il a dit, eh bien, qu’il pouvait soulever un arbre deux fois plus grand que celui-là. Mais d’une façon ou d’une autre, il s’est débattu avec celui-là, il s’est débattu avec et il s’est débattu avec, mais il n’arrivait simplement pas à un quelconque résultat.
76 C’est ce que beaucoup font. Ils–ils prennent juste une Parole, ils essayent de tourner cela ici, et retourner cela ici, ou de faire cela là, se débattre avec cela, se débattre avec cela, amener cela au séminaire, découper cela ici, en faire sortir un mot grec ici et un mot hébreu là. Et la chose suivante, vous savez, ça devient comme ça, ce n’est pas la Parole de Dieu. Voyez ? Vous ne faites que vous débattre avec cela, vous débattre avec cela.
Vous amenez cela au docteur en philosophie John Doe, vous lui demandez ce qu’il en pense. Et au docteur en philosophie Sam Doe, vous lui demandez ce qu’il en pense. Et il dit : « Eh bien, c’est de la télépathie mentale. » L’autre dit : « C’est du fanatisme. » Et, la chose suivante, vous ne faites que vous débattre avec cela, vous débattre avec cela. « Eh bien, j’étais à une réunion et–et, franchement, j’ai vu l’Esprit de Dieu descendre. J’ai entendu quelqu’un parler en langues inconnues. »
« C’est du diable. »
« Oui, j’ai entendu des gens crier. »
« Oh ! c’est de l’excitation. »
« J’ai vu un homme se tenir sur l’estrade et, par la puissance du discernement, dire aux gens qui ils étaient, et là, dans des réunions, ce qui n’allait pas. Et exactement ce que la Bible dit que Jésus faisait, pour montrer le signe du Messie. « Eh bien, je vais demander à mon pasteur. »
Il a dit : « Ah ! c’est de la télépathie. » Voyez ?
Vous ne faites que vous débattre avec cela et vous débattre avec cela. C’est tout. Vous n’arriverez nulle part, jamais.
77 Finalement, Paul dit qu’il s’était épuisé. Alors il s’est assis. Il n’avait plus de force. Il s’est simplement assis, le dos contre l’arbre, et a dit : « Qu’est-ce qui arrive à ma force ? » Evidemment, c’était la fièvre dont il souffrait qui faisait cela. Et il a dit : « Je suis–je suis vraiment au bout. » Il a dit que, peu après, il a entendu une voix très douce dire : « Paul. »
Il a dit : « Est-ce mon patron ? » Et il dit que quand il s’est retourné, c’était bien son patron. Il a dit qu’il n’avait jamais vu un visage plus doux, de toute sa vie.
Il a dit : « Paul, pourquoi te débats-tu avec cela ? » Il a dit : « Tu vois ce courant d’eau là ? »
Il a dit : « Oui. »
Il a dit : « Ce courant d’eau contourne cette colline-ci et descend directement au camp. » Il a dit : « Pourquoi ne jettes-tu pas simplement cela dans l’eau et ne montes-tu pas dessus pour chevaucher ? »
« Oh ! a-t-il dit, je n’y avais point pensé. »
78 Alors, il a simplement jeté cela dans l’eau et s’est mis à chevaucher par-dessus les vagues, criant à tue-tête : « Je chevauche dessus ! Je chevauche dessus ! » Et il a dit qu’il s’est retrouvé au milieu de la pièce, criant à tue-tête : « Je chevauche dessus ! Je chevauche dessus ! » La promesse de Dieu.
Et ce soir, frère, il n’y a rien de confus au sujet de la Parole de Dieu. Je chevauche Dessus. Cela m’amènera un jour au camp. Je ne sais combien de vagues j’aurai à traverser, mais je–je chevauche Dessus. Amen. Gloire soit rendue à Dieu !
Disons cela tous ensemble : « Je chevauche dessus ! Je chevauche dessus ! C’est la promesse de Dieu. Je chevauche dessus ! C’est un son certain. C’est le son de Dieu. C’est Sa voix : ‘Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point. ‘» Et je chevauche dessus ce soir. Il a promis ces choses pour les derniers jours. Et je crois que cela est ici.
79 Laissez les gens taxer cela de tout ce qu’ils veulent. Ça m’importe peu. Cela m’importe peu. Je suis certain que c’est Dieu. Amen. Et je chevauche dessus. Ça fait maintenant trente et un ans que je chevauche dessus, et la chevauchée devient plus douce tout le temps, parce que je m’approche de la porte. Amen. Je chevauche toujours dessus.
Quand la mort frappera mon corps, je chevaucherai dessus, je continuerai simplement à chevaucher : « Je suis la Résurrection et la Vie, dit Dieu, celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort ; quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. » Je chevauche dessus. Il n’y a rien de confus là-dessus. Je chevauche dessus. Et c’est Sa Parole, et je La crois de tout mon coeur.
Croyez-vous cela de même ? Tout le reste est incertain. Mais il y a un Son certain : « Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » Inclinons la tête maintenant même.
80 Il y a toutes sortes de sons confus. Il n’est pas certain que cette ville sera là le matin. Je ne sais pas. Il n’est pas certain que vous atteindrez jamais la maison ce soir. Je ne le sais pas. Ce n’est pas certain que je reviendrai à Chicago. Je ne le sais pas. Ce n’est pas certain que nous nous réunirons jamais encore. Je ne le sais pas ; voyez.
Mais une seule chose est certaine, c’est la Parole de Dieu. Je ne sais pas combien de temps nous allons… combien de temps nous resterons une nation, combien de temps reste-t-il avant que nous volions en éclat. Je ne sais pas. Ce n’est pas certain. Mais une seule chose est certaine, c’est la Parole de Dieu. Je chevauche Dessus, amis. Je crois Cela de tout mon coeur, de toute mon âme. Je chevauche Dessus.
Notre Père céleste… [Quelqu’un parle en langues et l’autre interprète : « Vous êtes arrivé au point de prendre la décision, vous devez prendre votre décision. ‘Qui vais-je suivre ? A qui vais-je obéir ? Que ferai-je ?’ Il vous faut réfléchir ce soir et vous décider ce soir. Serez-vous pour Lui ? Allez-vous décider d’aller jusqu’au bout ? Aurez-vous la foi pour croire ? Croyez ce que vous avez entendu, obéissez à ce que vous avez entendu, car cela vous est envoyé du Ciel, d’En haut, pour vous aider dans tout ce que vous désirez. » – N.D.E.] Ô Seigneur ! Combien nous Te rendons grâces pour cela. Maintenant, Père divin, ceci est… Nous serons sans excuse d’entendre cela maintenant, non seulement cela, mais entendre Tes prophéties, entendre des gens donner des prophéties qui s’accomplissent, voir les promesses de Dieu sur la résurrection, le réveil, la Seconde Venue, le grand signe messianique de Jésus ressuscité apparaître devant des Gentils comme c’était le cas devant les Juifs et les Samaritains. Dans ces derniers jours-ci…
81 Ô Père divin, nous Te rendons grâces pour cela. Je T’en remercie. Maintenant, ces Paroles, ô Dieu, viennent de Toi, c’est assurément… Après que j’ai essayé d’apporter Cela dans la Bible et après T’avoir entendu dire cela par des dons de langues et d’interprétation, maintenant, nous Te prions de laisser Jésus venir parmi nous et confirmer que ceci est la Vérité, afin que tout le monde puisse avoir le privilège de savoir que ce même Jésus qui était autrefois avec les enfants d’Israël, dans la Nuée, qui était appelé le Père, qui a aussi habité parmi les hommes dans le Fils, habite maintenant dans les hommes par le Saint-Esprit.
Père, qu’ils voient que la même nature de Dieu subsiste : La même qui était en Jésus, c’est la même qui est dans l’Eglise, et elle accomplit les mêmes oeuvres ici dans les derniers jours, où l’Eglise est arrivée à sa destinée. Et maintenant, le signe du Messie au temps de la fin… La destruction est proche, comme c’était le cas pour les Juifs à leur époque. Ils ont eu simplement à nier ce Messie-là pour que la destruction s’abatte.
Et aujourd’hui, les nations s’en moquent. Ils raillent Cela. Elles taxent Cela de tous les noms impurs. Et quand Tu avais fait cela, quand Tu étais ici, ils avaient dit que c’était Béelzébul, un mauvais esprit. Et Tu avais dit que Tu les pardonnais, mais qu’un jour, quand le Saint-Esprit sera venu, prononcer un seul mot contre Cela ne leur sera pas pardonné.
82 Et aujourd’hui, Père, nous voyons que les nations se sont condamnées par leurs paroles et leurs actes. Les églises, beaucoup, beaucoup de gens ont condamné et ont signé leur condamnation en taxant l’Esprit de Dieu de quelque chose d’impur.
Maintenant, il y a une autre occasion ce soir. Je Te prie, Père, de guérir chaque personne malade ici, de sauver chaque personne qui n’est pas sauvée, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
[Quelqu’un parle en langues et un autre interprète : « Je vous ai parlé, Je vous ai parlé, J’ai touché vos coeurs, combien vous êtes devenus durs d’oreilles, à quel point vous pouvez avoir le coup raide quant à l’amour. Je vous en supplie, vous êtes venus ici pour M’entendre et pour recevoir de Moi ce que Je peux vous donner. Je suis ici parmi vous, Je suis prêt à faire pour vous ce que vous désirez aussitôt que vous croyez en Moi. Car c’est uniquement quand vous déployez votre foi que Je peux accomplir le miracle que vous cherchez. » – N.D.E.]
Amen. Grâces soient rendues à Dieu. Maintenant, d’après cela, Il promet d’être ici. Je n’allais pas faire… j’allais juste faire un appel à l’autel. Mais je crois maintenant, je sens l’onction de l’Esprit pour autre chose.
83 Nous n’avons point distribué des cartes de prière aujourd’hui, vous l’avez constaté. Nous n’avons donc pas de cartes de prière, mais nous avons Christ. Combien là sont malades et veulent être guéris ? Levez la main où que vous soyez. Merci, concierge. Eh bien, là où… si j’ai prêché la pure Vérité et que j’ai fait la chose correcte, alors Dieu est tenu de soutenir ce que j’ai dit.
Maintenant, combien parmi vous là savent que je ne les connais pas ? Levez la main pour montrer que je ne vous connais pas. Tout le monde. Vous les pentecôtistes, serait-ce difficile pour vous de me croire ? Ecoutez ça. J’aimerais vous montrer quelque chose ici, ça a été écrit tout récemment.
84 J’étais à un petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens en Californie. Et je venais de terminer un sermon où je pensais avoir taillé chaque organisation en pièces et avoir exposé cela en détails. Alors, un jeune garçon baptiste du nom de Danny Henry s’est avancé pour faire passer ses bras autour de moi pour prier. Et il s’est mis à parler en langue inconnue. Et il y avait une dame assise là, de Louisiane, une Française. Elle a dit : « Cela n’a besoin d’aucune interprétation. » Elle a dit : « Ce n’était pas une langue inconnue. Il a parlé en français. »
Un autre homme a dit : « C’est le français. » Et alors il est arrivé qu’ils sont descendus, ils ont mis cela ensemble, et ils ont apporté cela ici. Et chacun a donné l’interprétation. Et… [Espace vide sur la bande – N.D.E.] L’interprète des Nations-Unies était là. Et il s’est levé, il a dit, il est descendu. Cet homme a dit... Il ne l’avait jamais vu auparavant ni jamais après. Mais il était le… il a décliné son nom, qui lui était, il était l’interprète des Nations-Unies. Il a donné l’interprétation. J’ai ça ici par écrit. Ecoutez ça, il se peut que vous pensiez que je suis dur… Ecoutez ça.
85 « Puisque tu as choisi le chemin étroit, la voie la plus difficile, tu y as marché de ton propre gré. » Maintenant, je peux comprendre cela. Moïse a dû marcher de son propre gré. Il n’était pas obligé. Mais il–il a pris sa décision. Ça a été ma décision de m’attacher à la Parole, sans tenir compte de quoi que ce soit. Voyez ? Je… « Tu as fait cela de ton propre gré. Tu as pris la bonne et exacte décision, et cela est Ma voie. » Grâces soient rendues à Dieu. « A cause de cette glorieuse décision, une large portion du Ciel t’attend. » Eh bien, cet homme ne savait rien au sujet de cette vision ; en effet, je venais de l’avoir quelques jours auparavant. Voyez ? « Quelle glorieuse décision Tu as prise ! C’est en soi ce qui donnera et ce qui fera accomplir une victoire extraordinaire dans l’amour divin. »
86 C’était interprété par l’interprète des Nations-Unies, c’est donné par un jeune garçon baptiste qui s’était avancé pour faire passer ses bras autour de moi et qui venait de faire un commentaire, disant : « Ce message pourrait directement… réellement être ajouté au Livre d’Apocalypse. » Voyez ? Un jeune garçon qui ne savait… qui ne me connaissait pas. C’est un parent à une vedette de cinéma là. Et il–il ne m’avait jamais connu, c’est un jeune garçon baptiste. Et il–il–il s’est tout simplement avancé là pour–pour me remercier et faire passer son bras autour de moi pour prier.
Et alors, le Saint-Esprit s’est mis à parler en langues par lui. Et il y avait des gens assis là exactement comme c’était à la Pentecôte. C’était–c’était une langue qu’ils comprenaient ; c’était leur langue maternelle. Et ce jeune garçon ne connaissait pas un seul mot de–de français. Voyez-vous comment cela se passe ? C’est le Saint-Esprit. Amen.
87 Il est ici. Exact. Priez maintenant. Je vous ai dit que dans la Bible, l’Ange avait le dos tourné à l’auditoire. Quelqu’un dans cette rangée ici, quelqu’un dans cette rangée par ici, priez que Dieu fasse quelque chose pour vous, voyez simplement s’Il demeure le même Ange de Dieu, ou quelqu’un quelque part, où que ce soit. Je vais regarder vers vous, frères. J’aimerais que vous croyiez, frères.
Ceci est le Christ que vous avez prêché depuis si longtemps. Ceci est la chose pour laquelle vous avez pris position. Vous les hommes, s’il y a un quelconque mérite à attribuer, c’est à vous tous. Vous étiez ici, des pentecôtistes, en train de prêcher au coin de la rue avec des tambourins et des guitares, alors qu’on se moquait de vous, qu’on vous ridiculisait. Vous étiez seulement en train d’aménager une voie pour que je passe facilement. Comment puis-je venir et être autre chose que votre frère ? Vous avez prophétisé que ces choses arriveraient, beaucoup parmi vous. Vous avez entendu parlé de cela dans vos réunions. Et je suis ici juste pour accomplir ce que vous avez dit que la Parole de Dieu dit. Voyez-vous ?
88 Maintenant, quelqu’un contemple Dieu. Derrière, de ce côté-ci il y a un homme assis derrière moi, quelque part derrière dans cette direction-ci. Il prie. Il a quelque chose qui ne marche pas au flanc. Il souffre d’une maladie de nerfs, ça le dérange. Est-ce quelqu’un qui est debout ? Il n’y a personne debout ? Je regarde cet homme ici même. Cet homme est un prédicateur. C’est un mennonite. Son nom, c’est monsieur… Révérend Miller. Levez-vous, acceptez votre guérison.
Je vous suis inconnu, monsieur. Je ne vous connais pas. Oh ! Est-ce ce qui a été dit ? Est-ce la vérité ? Si c’est la vérité, voudriez-vous vous lever de nouveau ? Très bien. Croyez-vous ? Eh bien, qu’a dit Jésus ? Ses oeuvres auront lieu. Le même Ange de Dieu qui s’était tenu à côté d’Abraham et qui avait dit : « Où est ta femme, Sara ? » Il a répondu : « Elle est dans la tente derrière Toi. »
Et il a dit : « Je te visiterai au temps de la vie. »
89 Et Sara, comme je vous l’ai dit le dimanche passé, les relations intimes avaient cessé depuis des années. Elle a dit : « Moi, avoir encore du plaisir avec mon seigneur, là, lui, un vieux, et moi, une vieille ? C’est impossible. » Et elle a ri.
Alors, l’Ange a dit : « Pourquoi a-t-elle ri, disant que ces choses ne peuvent pas se faire ? » Il a dit que la même chose arriverait au temps de la fin. Ayez foi. Croyez. Cette femme de couleur qui est assise juste là derrière, souffrant d’une maladie de femmes, assise au bout de la rangée. Oui, madame. Avez-vous une carte de prière ? Vous n’en avez pas besoin. Vous n’en avez pas une ; vous n’en avez pas besoin. Soufrez-vous d’une maladie de femmes ? Est-ce exact ? Levez la main ? N’étiez-vous pas alors en train de prier, disant : « Seigneur, permets que ça soit moi ce soir ? » Si c’est vrai, faites signe de main, comme ceci. Très bien. Recevez votre désir. Rentrez chez vous, Jésus-Christ vous rétablit. Si vous pouvez croire… ayez simplement foi.
90 Cet homme assis ici, le deuxième à partir du bout, en entrant par-là, ici même, vous avez tourné la tête et avez regardé : des complications, une maladie de poumons et autres. Croyez-vous que Christ vous rétablira ? Cet homme de grande taille au bout, le deuxième, derrière, en entrant. Croyez-vous de tout votre… ? Oui, oui. C’est vous, juste ici, cet autre homme ici même, monsieur. Levez-vous. C’est au-dessus de cet homme que se trouve la Lumière. Très bien, recevez votre guérison. Rentrez chez vous et croyez cela. Amen. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Je–je ne vous connais pas. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. C’est vrai.
91 Cette femme assise à côté de cet homme qui s’est levé là, voudriez-vous guérir de ce diabète ? Et, croyez-vous de tout votre coeur que Dieu vous rétablira ? Si vous le croyez, levez-vous et dites : « Amen. » Très bien. C’est Lui. Vous pouvez recevoir votre guérison si vous croyez cela. Mais Il vous faut croire, n’est-ce pas ? Cette dame… oui, faisant un signe de main, assise là, derrière dans l’auditoire, croyez-vous que cette tumeur s’arrêtera et que votre fille, là, qui souffre d’épilepsie, n’aura plus cela ? Madame Small Wood, vous pouvez rentrer chez vous maintenant, tout est en ordre. Vous pouvez être guéries, si vous croyez de tout votre coeur. Je vous suis inconnu, je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vues de ma vie. Si c’est vrai, levez la main, vous deux. Levez simplement la main là. C’est tout à fait exact.
92 Croyez-vous de tout votre coeur ? Qu’en est-il de certains parmi vous qui sont assis ici ? Qu’est-ce que vous… Croyez-vous de tout votre coeur ? Ayez donc foi. Qu’en est-il de vous assis ici, cet homme de couleur, assis ici en train de me regarder ? Avez-vous une carte de prière ? Non. Vous n’en avez pas besoin. Vous avez foi, et c’est tout ce dont vous avez besoin. Croyez-vous que je suis Son prophète… ou Son serviteur ? Croyez-vous cela de tout votre coeur ? Je vous suis inconnu. Nous sommes de deux races différentes, et c’est la première fois que nous nous rencontrons. Mais vous semblez avoir un esprit… Vous avez une foi d’un genre quelconque. C’est quand même une bonne foi pour quelqu’un d’autre, pour lequel vous priez. C’est vrai. Votre soeur, elle souffre du cancer. Si c’est vrai, faites signe de main. Très bien, croyez et elle sera guérie. Croyez-vous de tout votre coeur ? Si vous croyez, tout est possible.
93 Mademoiselle Johnson, voulez-vous, vous aussi, retourner chez vous, guérie ? Croyez-vous de tout votre coeur ? Jackson, plutôt, je voulais dire. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez aussi retourner chez vous, guérie.
Qu’en est-il de cette femme assise ici ? Là… Croyez-vous de… Oui. Croyez-vous de tout votre coeur ? Croyez-vous que je suis Son serviteur ? Vous souffrez des pieds, vous souffrez des mains. Vous priez pour un enfant : Une maladie de nerfs. Croyez-vous de tout votre coeur ? Vous pouvez recevoir ce que vous avez demandé. Croyez-vous cela ? Ne pleurez pas, soyez simplement reconnaissante.
94 Combien parmi vous autres croient ? Croyez-vous de tout votre coeur ? Combien croient en Lui comme leur Sauveur maintenant ? Ce n’est pas un son confus. La Bible dit (C’est un Son certain) : Voici les miracles qui accompagneront ceux… cru ; il arrivera dans les derniers jours…
Vous qui aimerez Le recevoir comme Sauveur, si vous êtes ici, levez-vous en guise de témoignage. Dites : « Je vais Le recevoir comme Mon Sauveur. » Pendant que vous êtes dans Sa Présence, pendant que l’onction du Saint-Esprit est sur les gens, voudriez-vous Le recevoir comme Sauveur ? Levez-vous, si vous êtes ici, quelqu’un qui Le veut comme Sauveur. Combien ici n’ont pas reçu le Saint-Esprit ? Que Dieu vous bénisse, soeur. Quelqu’un ici, qui n’a pas reçu le Saint-Esprit, qu’il se lève et dise : « Je vais Le recevoir…?… Donne-moi le Saint-Esprit ce soir. » Croyez-vous cela ? Levez-vous.
95 Eh bien, Il est ici. C’est le Saint-Esprit Lui-même. Restez simplement debout ; restez debout. Restez simplement debout. Tous ceux qui veulent le baptême du Saint-Esprit, qui ne L’ont pas reçu, qui croient que vous pouvez recevoir Cela ce soir, levez-vous. Recevez simplement Cela. Bien.
Il n’y a pas de son confus à ce sujet maintenant. Rappelez-vous : « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés. » Rien de confus. Croyez-vous ? Alors, vous serez remplis. Si votre foi est correcte, vous devez être remplis. Ecoutez ça. Pourquoi apporteriez-vous cela… ? Regardez où je me tiens. Je dois me tenir ici devant tout… tout. Ça doit se faire (Amen.), cela doit absolument être ainsi.
96 Maintenant, combien parmi vous sont malades et veulent être guéris ? Levez-vous. Croyez que vous serez guéri ce soir. Si vous ne le croyez pas, ne vous levez pas. Si vous le croyez effectivement et que vous avez tenu un… vous avez senti un Son certain frapper votre coeur : « C’est l’heure où je reçois ma guérison. Cela va avoir lieu maintenant même. » Si vous croyez cela de tout votre coeur , mettez-vous simplement debout. C’est ça. Laissez simplement–simplement le Saint-Esprit travailler au fond de votre coeur et vous verrez que quelque chose va se produire. Maintenant, croyez-vous réellement que vous allez recevoir ce pourquoi vous vous tenez debout ? Alors, levez la main et dites : « Merci, Seigneur Jésus. Je reçois maintenant ma guérison. Je reçois maintenant le baptême du Saint-Esprit. » Rendez-Lui simplement gloire. Amen. Gloire à Dieu. Je Le louerai.
97 C’est ça. Restez juste là. Ne–ne… Gardez simplement vos mains… Je ne pense pas que je puisse…?… N’est-ce pas merveilleux ? Sentez-vous Sa Présence ? J’aurais souhaité que vous puissiez vous tenir ici et voir ce que je vois. Cela paraît beau…?… Amen. Très bien.
Je Le louerai, je Le louerai
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs ;
Rendez-Lui gloire vous tous les peuples,
Car Son Sang a ôté chaque tache.
L’aimez-vous ?
Croyez-vous que vous avez reçu votre guérison ? Dites : « Amen. Je réclame cela maintenant. Je chevauche dessus ! Je chevauche dessus ! Dieu l’a promis ; je chevauche dessus ! Je crois chaque Parole de cela. » Levons alors les mains et chantons cela ensemble.
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs ;
Oh ! Louez-Le vous tous les peuples,
Car Son sang a ôté…
98 Je ne crois pas… Vous penseriez que je suis un hypocrite ou un menteur. Si seulement vous pouvez comp… je–je ferais mieux de ne pas le dire. Mais écoutez ceci, amis, juste comme une onction. Juste comme une... comme cette–cette Lumière que je vois. Cela est juste suspendu partout. Oh ! la la ! C’est glorieux ! Si seulement vous vous ouvrez !
Je Le louerai, je Le louerai.
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs ;
Rendez-Lui gloire vous tous les peuples,
Car Son sang a ôté…
Que Dieu vous bénisse.