Il est convenable que nous accomplissions toute justice
1 C’est toujours un privilège de venir à la maison du Seigneur. Je n’ai jamais connu dans ma vie une seule fois où j’ai regretté de venir dans Sa maison. C’est un... Mais je pense que, ce matin, c’est quelque peu la fois où il m’était le plus difficile de venir. Oui, c’est vrai. Ainsi, des choses arrivent dans la vie, nous le savons, auxquelles nous devons faire face. Et nous devons nous rappeler ceci : cela arrive à tous.
2 Et nous sommes très reconnaissants ce matin, je le suis, et je sais que mes frères et ma soeur sont très reconnaissants à Dieu de savoir que notre mère est sauvée.
3 Et elle est vieille, nous nous sommes attendus à ceci depuis quelque temps, parce qu’elle est mère de beaucoup d’enfants, et elle a usé sa vie. Du temps de ma mère, on n’avait pas les choses qui existent maintenant pour prendre soin des mères lorsqu’elles avaient leurs bébés. Peut-être il a pu arriver que maman ait eu un de ses enfants le matin et qu’elle se soit levée pour faire la lessive l’après-midi même. Et ainsi, maintenant elles sont à l’hôpital pendant plusieurs jours, ayant toutes sortes de médicaments, ce qui est... Nous sommes reconnaissants pour de telles choses qui peuvent aider ces – ces mères et tout.
4 Elle est beaucoup plus proche de la mort maintenant. Et je... [Frère Branham pleure. –N.D.T.] C’est simplement un... simplement un peu dur ce matin, mais pourtant j’ai – j’ai promis d’être ici. Et je suis...
5 Maintenant, je ne puis dire que ma mère va partir. J’ai souvent dit ceci. Et beaucoup sont témoins, au sujet des visions. J’ai dit : «Si ma propre mère était couchée mourante et me regardait dans les yeux, disant: ‘Billy, que – qu’est-ce que je vais devenir?’» J’ai dit : «À moins que Dieu ne me le dise, je ne le saurais pas. Je – je ne pourrais pas le dire.» Et c’est la chose même qui est arrivée. Si maman part, Il l’a certainement gardé secret pour moi.
6 Avant que mon père ne meure, j’ai eu la vision de son départ.
7 Lorsque j’étais encore un pécheur, j’ai vu mon frère, le premier, qui partait. C’était Howard. Je vous ai raconté à vous tous son départ, deux ou trois ans avant qu’il ne parte
8 Mais, pour maman, Il ne m’en a jamais dit un mot. Et si elle doit partir, c’est quelque chose dont je ne sais rien. Quoique nous eussions... Le docteur a dit qu’il ne voit pas comment elle a pu continuer à vivre jusqu’à ce dernier dimanche. Et son état est très sérieux. Mais, quoi qu’il en soit, quand j’étais...
9 Il y a à peu près un mois, comme je l’ai fait pour madame Broy, j’ai toujours aimé me renseigner sur les gens, sachant qu’ils sont près de la fin, pour savoir simplement où ils se tiennent. Nous devons être sûrs de ceci. Nous ne voulons pas simplement dire : «Eh bien, peut-être que c’est en ordre.» Nous voulons être sûrs que c’est en ordre.
10 Un matin, j’ai eu un bon long entretien avec maman. Elle a dit : «Billy, je – j’ai vécu aussi longtemps que je devais vivre.» Elle a dit : «Je n’ai plus de raison de vivre.» Elle a dit : «Je dois partir.» Et elle disait : «Je préfère m’en aller pour être avec papa et quelques autres enfants qui sont de l’autre côté. J’ai la chance de vous voir tous souvent.»
11 Et quand elle a été installée dans l’ambulance pour l’amener à l’hôpital (afin qu’on lui donne du glucose, parce qu’elle ne pouvait rien manger, on devait lui donner du glucose par les veines), je lui ai dit, lorsque nous l’installions dans l’ambulance, j’ai dit : «Maintenant, maman, tout est en ordre.»
Elle a dit : «J’ai grande envie de partir.»
12 Et j’ai dit : «Maman, si tu me laissais un trésor sur la terre de cent millions de dollars pour nous les enfants, ou si tu nous laissais une maison qui irait d’une ville à l’autre, cela ne serait rien en comparaison de ce témoignage que tu nous laisses : ‘Je suis prête à partir!’ C’est un trésor que l’argent ne peut pas acheter, de savoir ça.»
13 Ainsi donc, malgré cela, je me tiens avec hardiesse, croyant ces choses que j’ai prêchées. Cela vaut pour ma mère, cela vaut pour les mères d’autres personnes, cela vaut pour nous tous. Je ne pourrais pas dire : «Dieu, ne la prends pas», parce que je sais que dès que son âme mortelle quittera ce corps, elle en a un autre qui l’attend. Et elle sera à nouveau une jeune femme, juste quelques minutes après qu’elle soit partie d’ici.
14 Avez-vous jamais remarqué qu’un petit bébé, lorsqu’il est né, ses petits muscles se contractent et remuent? Mais lorsqu’il vient sur la terre, il reçoit un esprit, et alors il devient une âme vivante. Et dès que l’âme repart de ce petit corps, il y en a un autre qui l’attend, voyez-vous. Parce que, d’abord, Dieu fait l’âme et l’esprit, et cela entre simplement dans les corps. Et – et lorsque nous partons d’ici, nous changeons simplement de lieu d’habitation et nous allons dans un autre. «En effet, si cette tente terrestre est détruite, nous en avons une autre qui nous attend déjà.» Ainsi, cela est notre consolation. Maintenant, prions.
15 Notre glorieux Père céleste, que pourrions-nous faire dans ces heures de besoin terrible si nous ne T’avions pas? Mais notre espérance est bâtie sur rien d’autre que le Sang et la justice de Jésus. Et nous sommes si heureux de savoir qu’il y a un Pays de l’autre côté de la rivière, que lorsque Tu en auras fini avec nous ici sur cette terre, nous changerons simplement de lieu d’habitation pour aller dans ce Pays glorieux, là-bas, où il n’y a ni maladie, ni chagrin, ni mort, ni séparation. Nous serons toujours avec Toi et avec nos bien-aimés. Ainsi, nous Te remercions pour cette glorieuse espérance qui est dans notre sein aujourd’hui.
16 Et il semblait, Seigneur, difficile pour moi ce matin de venir ici; pas de Te servir, mais sachant que je suis nerveux et que je me demande simplement comment je vais être capable d’aborder ce message ce matin pour l’église, message que je sens que Tu as mis sur mon coeur. Combien l’ennemi m’a poursuivi avec cela! Mais je suis arrivé au moins ici, à la chaire, en Ton Nom. Et je me remets, avec le message et tout, entre Tes mains, et je sais que Tu es plus que capable de l’apporter à chaque coeur et de pourvoir à tout ce dont nous avons besoin. Nous Te remettons tout cela maintenant, et nous-mêmes pour Ton service; mes lèvres comme Ton porte-parole, et les oreilles comme Ton poste d’écoute. Bénis-nous, Seigneur!
17 Et que d’autres mères, pères, et ceux qui le seront dans les jours à venir si le monde tient encore, se préparent et sachent aussi qu’ils devront arriver un jour à cette heure à laquelle maman est arrivée. Je prie, ô Dieu! qu’ils fassent leur préparation aujourd’hui. Car il n’y a pas une seule autre chose dans le monde qui soit importante. Aucun argent ne peut l’acheter, aucune popularité ne peut y pourvoir, seul Dieu peut aider, et Dieu seul! Et nous tenons fermement Sa main immuable, sachant qu’Il a dit : «Les pas du juste sont dirigés par le Seigneur.» Ainsi, cette petite souffrance que nous avons maintenant dans la vie présente ne signifiera plus rien. Comme le poète l’a dit : «Les labeurs de la route ne sembleront rien lorsque nous arriverons au bout du chemin!»
18 Aide-nous, Seigneur, à continuer à courir vers le but de la vocation céleste; sachant qu’un jour, là dans un grand au-delà, nous nous rencontrerons bientôt. Bénis maintenant Tes Paroles. Bénis Tes serviteurs. Que le coeur de chaque enfant de Dieu qui se trouve ici soit réchauffé et secoué ce matin. Et, Père, j’en ai besoin aussi moi-même! Je prie que Tu l’accordes, toutes ces choses, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
19 Maintenant, j’ai remarqué que nous avons ici quelques mouchoirs. Et je suis... Nous y viendrons dans un petit moment.
20 Je reviens d’un voyage où j’ai fait une partie de chasse avec un homme là-haut, en... près de l’Alaska. Vous savez, cette saison est un peu une saison que je mets à part, la fin de l’année, pour me remettre en forme, me préparant pour les saisons qui se trouvent devant moi, pour le service.
21 Je ne suis pas trop solide, eh bien, dirais-je, des nerfs. J’ai un – un très mauvais système nerveux. Et je me rends compte qu’il faut ce genre de système pour remplir le ministère que le Seigneur m’a donné. Tout ne peut être glorieux pour nous sur la terre. Physiquement, je suis très reconnaissant d’avoir un corps vigoureux. Mais mon système nerveux, comme je me situe juste à la limite entre le naturel et le surnaturel, cela – cela vous met en pièces! Et je n’ai jamais essayé de prendre le temps pour expliquer cela à mes auditoires, parce qu’on ne le comprendrait pas. Parce que je ne le comprends pas moi-même. Mais, même les docteurs qui m’ont examiné et ont fait ce test de pression sur mes nerfs ont dit qu’ils n’avaient jamais vu quelque chose comme ça, voyez-vous, comment cela se déplaçait d’un point directement vers un autre. Je ne comprends pas leurs recherches scientifiques et... ou ce qu’ils ont fait, leurs façons de faire les choses; mais je sais que quelque chose m’est arrivé un jour, quand Christ S’est emparé de moi. J’ai été changé.
22 Et je voudrais simplement dire ceci, cela pourrait me fortifier. Il semble que parler de cela pourrait paraître une chose bien bizarre ce matin. Mais juste avant d’entrer dans mon message pour me tranquilliser un peu, j’aimerais dire cela. Quand j’avais annoncé que je serais ici, je ne savais pas que maman allait être malade.
23 Et j’avais aussi annoncé la réunion de ce soir. Dieu voulant, nous allons... je serai ici ce soir pour prêcher, si le pasteur est d’accord. [Frère Neville dit : «Oui, monsieur.» –N.D.T.] Et je voudrais parler ce soir du sujet : «Le Consolateur est venu». Voilà donc pour le service de ce soir. Et nous aurons une service de communion ici ce soir. Et tout le monde est cordialement invité à venir prendre cette communion avec nous ce soir, et pour le message.
24 C’était au printemps dernier, quand j’étais en Alaska ou près de l’Alaska, en Colombie-Britannique, pour des réunions, que le Seigneur nous a donné un temps si glorieux. Et je – j’ai toujours aimé le plein air.
25 Est-ce que vous pouvez bien m’entendre au fond? Pouvez... Si vous m’entendez bien, levez la main, là-bas au fond.
26 J’ai toujours aimé le plein air. Tous ceux qui connaissent notre famille savent cela. Ma mère, qui est mourante là-bas maintenant, sa mère était une indienne. Et ma conversion n’a jamais changé ça, et je... mon amour pour le plein air, et je suis content, parce que c’est un endroit où je vois Dieu. Je n’y vais pas tellement pour chasser du gibier, c’est – c’est pour être seul avec Dieu. Et je chasse seul.
27 Et lorsque j’étais là-bas, j’ai rencontré d’excellents guides. Ce sont ces gars, au Canada et ailleurs, avant que l’on puisse aller dans les régions sauvages, le comité de chasse vous assigne un guide. Et ce guide doit être avec vous.
28 Et j’ai rencontré un merveilleux jeune frère, chrétien pentecôtiste, qui était un guide fameux au Canada. Sa femme était une femme merveilleusement sauvée. Et il a à peu près quarante ans, et ils avaient cinq petits enfants, des jeunes garçons de dix-huit à deux ans à peu près. Et on lui avait accordé une grande zone de l’Alcan Road, de huit cents kilomètres, comme champ d’activité.
29 Il y a quelques Indiens là-bas qui ne voulaient pas quitter l’endroit et ils étaient très arrogants et ils avaient placé un écriteau : «Si vous entrez ici, il y aura du sang versé.» Mais nous avons passé outre et nous sommes retournés parce que je voulais parler à ces Indiens. Après tout, le pays était le leur avant d’être le notre, vous savez. Et nous avons passé un bon moment avec eux, le printemps dernier en leur parlant.
30 Et un vieil homme, le vieux père de la tribu, avait presque cent ans. Il avait son... J’ai pu voir pourquoi il ne voulait point partir. Ils ensevelissent leurs morts dans un tronc d’arbre, et suspendent le tronc à un arbre. Ils avaient deux petits enfants ensevelis là. Bien sûr, il ne voudrait pas partir. Je peux comprendre pourquoi il ne voulait pas partir. Et la réserve, le – le gouvernement canadien, le dominion du Canada a dit que s’ils devenaient arrogants, ils les enlèveraient simplement de là et les feraient partir.
Eh bien, vous n’aimeriez pas qu’ils fassent cela, leurs bébés étant suspendus là aux arbres.
31 Et aussi, du reste, les rivières qui descendaient là nous ont coupé la route et nous n’avons pas pu rentrer dans la région où nous voulions aller chasser l’ours grizzly. Ce M. Southwick, c’est cela, Southwick, était le guide, et il... Et j’étais avec un jeune prédicateur, Eddie Byskal. Et donc son garçon... M. Southwick avait un – un jeune frère ayant entre 25 et 30 ans qui était sérieusement frappé d’épilepsie.
32 M.Southwick vient de devenir chrétien, cela fait environ un an. Il était cow-boy auparavant, et vous savez, il y a une sorte de rudesse dans leur façon de vivre. Mais il venait de devenir chrétien, et il croyait. Et il dit: «J’ai lu vos livres, Frère Branham.» Et il continua tout le long à faire des allusions à son frère épileptique. Il dit : «Oh! Si je pouvais simplement vous amener mon frère.» Eh bien, vous savez comment vous pouvez vous sentir, vous êtes impuissant, vous ne pouvez rien faire, et vous vous demandez simplement comment tout cela a bien pu arriver.
33 Et puis au Canada, habituellement, l’homme qui... Vous qui voyagez, vous connaissez le maniement des chevaux. Et j’aime les chevaux et les animaux. D’habitude, on attache un licou à la queue et on les laisse marcher à la file, en convoi, mais là, vous ne pouvez pas le faire à cause du schiste ; si vous perdiez un cheval, vous pourriez perdre toute la file. Nous devons donc les laisser marcher librement et les ramener sur le sentier.
34 Et j’étais très loin en arrière sur un jeune cheval essayant de m’occuper des égarés et de les ramener. Et le Saint-Esprit, dans Sa grâce, descendit. J’éperonnai mon cheval et je remontai la file jusqu’à l’endroit où M.Southwick conduisait tout devant, à travers les taillis. Et je dis : «Bud.»
Il dit : «Oui, Frère Branham.»
Je dis : «Me croirez-vous ?»
Il dit : «Oui, tout ce que vous direz.»
35 Et j’ai dit : «J’ai un AINSI DIT LE SEIGNEUR pour vous.» J’ai dit : «Allez chercher votre frère à Fort Saint John (ce qui est à environ douze cents kilomètres de distance), amenez-le ici sur l’autoroute.» Et il vivait dans une vieille baraque avec une vieille salamandre en guise de fourneau, il avait ses enfants là-bas. Je dis : «La prochaine fois qu’il aura une crise d’épilepsie, arrachez-lui la chemise. Je vous donnerai quelque chose à faire: jetez-la au feu et dites : ‘Je fais ceci au Nom de Jésus-Christ.’» Il dit : «Je le ferai.»
36 Il alla donc chercher son frère, et l’amena là. Et ce matin-là, il devait partir suivre une piste avec un certain monsieur de la protection de la nature. Et d’habitude, son frère avait deux ou trois de ces crises par jour, il les avait depuis qu’il était un petit garçon. Et sa femme mourait de peur lorsqu’il avait ces crises, parce qu’il devenait violent; c’était un jeune gars très fort.
37 Et il a eu une crise après le départ de Bud. Et elle, au lieu de sauter par la fenêtre comme elle faisait d’habitude pour mettre ses enfants à l’écart, elle a sauté d’un bond sur lui et lui a arraché la chemise. Cette petite femme remplie du Saint-Esprit lui a arraché la chemise et l’a jetée dans le feu en disant : «Je fais ceci au Nom de Jésus-Christ.» Il n’en a plus jamais eu depuis. C’était au printemps dernier.
38 Souvent, je sais que c’est une chose un peu difficile. Des personnes qui ne comprennent pas disent : «Frère Branham, pourquoi partez-vous donc pour une partie de chasse?» Voyez-vous, ils ne le comprennent simplement pas. Pas besoin d’essayer de l’expliquer, voyez-vous. Là, vous touchez des gens qui ne seraient jamais touchés.
39 Il y a à peu près deux mois, ou à peine, je m’étais réveillé un matin. Je crois, je n’en suis pas certain, que je l’ai raconté à la plupart des membres de l’église. Il y en a beaucoup ici qui m’ont entendu raconter ceci avant que cela n’arrive. Et dans la – une vision que j’ai eue, j’ai vu un grand animal ressemblant à un cerf. Et il avait de grands bois. Et il était... Il fallait que je contourne un côté, de l’argile schisteuse, comme ceci, pour l’atteindre. Et c’était un fameux animal. C’était un grand animal de trophée. Et il y avait un homme là dans la vision qui portait une chemise verte à carreaux. Et ensuite, sur la route, après avoir touché l’animal, j’ai entendu une – une Voix qui disait : «Les bois font 42 pouces [1,05 m – N.D.T.].» Cela fait à peu près cette hauteur. Et c’était un animal colossal. Et sur le chemin de retour, j’ai vu un grand et énorme ours argenté.
40 Maintenant, c’est ce fameux ours. Il y en a quatre dans la famille des grizzly. L’un est l’argenté, le plus fameux. Le suivant est appelé du nom indigène «Kadish», il est noir et a les oreilles rondes, la deuxième espèce. Le troisième est le grizzly ordinaire, il est entre le noir et le marron, un ours énorme. Et le suivant est le Kodiak, que l’on trouve seulement sur l’île Kodiak et en – en Alaska occidental. Il est grand, gigantesque, le plus grand de tous les ours, mais c’est un grizzly. Mais l’argenté est noir et le blanc est sur... C’est le bout de son poil qui est argenté. C’est le plus fameux, un ours très nerveux, à mauvais caractère.
41 J’ai descendu l’ours d’un coup dans le soeur, je l’ai tué. Mais on m’a posé des questions comment j’avais pu l’atteindre avec ce petit fusil de chasse que j’avais. Je l’avais raconté aux frères. Combien ici m’ont entendu parler de ça avant que cela n’arrive? Levez la main. Eh bien, bien sûr, la plupart d’entre eux. Voyez-vous?
42 Et donc, ensuite M. Arganbright m’a appelé et a voulu que j’aille en Alaska. Eh bien, au lieu d’aller en Alaska, je me suis senti conduit à revenir ici pour cette partie de chasse-ci, ici avec Bud, parce que je le lui avais promis.
43 Arrivé là-haut, j’ai raconté à sa femme et à toutes les personnes qui y étaient ces choses qu’Il m’avait dites. J’ai dit : «Mais, maintenant, qui parmi vous a une chemise verte à carreaux?» Personne n’en avait une. «Eh bien, ai-je dit, alors cela doit être pendant une autre partie de chasse que j’aurai. Mais quelque part le Seigneur va me le donner, exactement comme ça!» Donc j’ai dit : «J’ai pensé que ça pouvait bien être cette partie-ci.»
44 Bien, nous y sommes allés, à cette partie. Et le premier jour, alors que nous étions arrivés en altitude avec nos chevaux au-dessus de la ligne de végétation des forêts, où il n’y a plus d’arbres élevés, là-haut dans les glaciers... Et le deuxième jour, nous chassions quelque gibier, et nous avons trouvé quantité de moutons, trois-quarts frisés, etc., mais ce n’était pas exactement ça.
45 Et vous parlez d’une communion fraternelle! Chacun de nous était pentecôtiste et avait le Saint-Esprit. Nous avons passé de bons moments là-haut, et nous voyions les couleurs changer, et ces montagnes et tout en haut dans les montagnes où seul Dieu vit! Et nous avons eu un temps si merveilleux! Nous ne nous couchions pas avant une heure du matin, louant Dieu tout simplement et passant des moments glorieux
46 Et le deuxième jour nous sommes sortis. Et à environ dix kilomètres derrière nous, de l’autre côté des glaciers, nous avons repéré quelques grands béliers. Et nous nous sommes dit : «Eh bien, nous devrions retourner et, le lendemain au lever du jour, nous mettre en route.»
47 Ainsi nous sommes partis le lendemain, avant le lever du jour, et nous sommes arrivés... sur les neuf heures nous étions sur... là où nous les avions vus dans les glaciers.
48 Mais en montant, j’avais vu mon premier caribou sauvage. Je n’en avais jamais vu auparavant. J’en ai vu des domestiques en Laponie, etc., mais il n’y en a pas parmi les caribous; ce qui n’est pas... Un caribou est un nom indigène, c’est un «renne». Et ainsi, d’habitude ils ont des bois comme ceci, l’un allant jusqu’en face de leur nez, et ensuite un bois qui sort devant; et puis les bois se courbent avec un autre bois d’à peu près cette largeur. Bud m’avait dit : «Peut-être...»
49 J’ai dit : «Non, non. Il...» J’ai dit : «Ce n’était pas un caribou, parce qu’il n’avait pas ce genre de bois.» Mais ce matin-là, en montant, eh bien, j’avais vu la femelle et son faon. Et nous sommes allés sur un versant, et je l’ai repéré, un jeune mâle qui courait.
50 Et frère Eddie, qui voulait nourrir les Indiens parmi lesquels il est missionnaire... Voilà un homme bien, venant d’une famille merveilleuse, et son épouse vient d’une famille formidable. Et leurs bras ont des piqûres ici, ils ont des plaies où les mouches viennent, là où ils vivaient avec les Indiens, etc., essayant, là-bas, d’apporter Christ aux Indiens. Il faut la grâce pour faire cela. Ils vivent là-bas de beurre de cacahuètes et de mélasse, et ils dorment dans ces cabanes où ils sont piqués ainsi par des punaises, des puces, et autres insectes, pourtant c’est pour apporter l’Evangile de Jésus-Christ! Et ainsi le frère Eddie est parti, s’est faufilé de l’autre côté de la colline.
51 Et moi, j’étais assis là, impressionné pendant deux heures, quand j’ai vu la grande montagne au sommet enneigé. Je pensais : «ô Seigneur, mon Dieu! permets-moi de vivre ici pendant le Millénium.» Regarder ces amourettes jaunes en bas de la colline, et les buissons rouges à lapins, et tout se fondant avec ces hautes montagnes coiffées de neige, se reflétant dans les lacs. Il y a quelque chose à ce sujet qui vous fait asseoir là et pleurer, pleurer, pleurer, parce qu’il n’y a que Dieu qui puisse peindre cela. Il n’y a rien qui puisse le faire, voyez-vous?
52 Et j’étais assis là et il m’est venu à la pensée : «Eh bien, je me demande ce qu’est devenu le frère Eddie?»
53 Je suis allé vers Bud, et il était assis là, se réjouissant lui aussi à ce sujet pendant environ deux heures. Et nous sommes montés, et j’ai vu la caméra d’Eddie qui se trouvait là-haut. Sur le sommet de ces montagnes, il n’y a rien sauf de la mousse de caribous, seulement de la mousse; c’est tout en haut où les arbres ne poussent pas.
54 Et je l’ai aperçu en bas de la colline. Il avait ses doigts levés comme ceci, il traquait le jeune caribou mâle. Eh bien, il – il a tué le caribou. Et nous lui avons simplement enlevé la peau et nous sommes remontés sur la colline. Et j’étais descendu assez bas pour avoir un peu d’eau.
55 Et je regardais juste tout autour avec les jumelles. D’une façon ou d’une autre, à environ trois kilomètres de moi, était couché mon animal! Je l’ai vu. J’ai dit : «C’est lui. C’est celui-là!» Et j’ai dit : «Regardez par ici, voyez-vous cette argile schisteuse que nous devons contourner par le côté.» Et j’ai dit : «Le problème, c’est que la chemise verte à carreaux...» Et j’ai regardé, et Eddie portait une chemise verte à carreaux!
J’ai dit : «Eddie, je pensais que vous...»
56 Il a dit : «Frère Branham, je me... Ma femme a dû la mettre là-dedans.» Il a dit : «J’ai mis une chemise propre ce matin, mais je ne le savais pas. Ma femme a dû la mettre là-dedans.» Dieu ne faillit jamais en une seule chose! Il est simplement parfait. Voilà qu’il avait cette chemise verte à carreaux!
57 Le guide dit : «Frère Branham, je ne sais pas comment vous allez jamais réussir ça!»
58 J’ai dit : «Peu m’importe s’il est à cent kilomètres d’ici, il est à moi!» J’ai dit :«Il m’appartient.» Et nous avons commencé à faire le tour de cette argile schisteuse, c’était simplement, oh! escarpé comme ceci, passant juste par les côtés.
59 Et nous sommes arrivés de l’autre côté, et j’ai eu le grand caribou. Et – et au lieu d’avoir des bois, il avait des pointes; je n’en avais jamais vu un comme ça. Voyez-vous comment – comment – comment Dieu fait les choses?
60 Ainsi, nous avions dit aux garçons de descendre par le ravin et de prendre les chevaux et d’aller chercher la viande, et de revenir à notre rencontre en bas lorsque nous descendrions. En effet, le frère Bud avait regardé autour de lui disant : «La vision de frère Branham, si elle était vraie au sujet de la guérison de mon frère atteint d’épilepsie, il aura cet animal, peu importe où il se trouve.» Ainsi il a dit : «Venez à notre rencontre tout simplement, nous aurons cette tête là-bas.»
61 Et ainsi, lorsque nous l’avions dépouillé, et la peau et les cornes et tout pesaient à peu près soixante kilos; mais ce n’était pas juste la peau du corps, juste la peau tendre. Ainsi donc, il a dit : «Maintenant, Frère Branham, a-t-il dit, je veux vous demander quelque chose.» Il a dit : «J’ai à peine pu le dépouiller ici», lui et moi étions ensemble, un de chaque côté. Il a dit : «Vous dites que ces cornes font 42 pouces? [1,05 m -N.D.T.]»
J’ai dit : «Oui, monsieur!»
Il m’a dit : «Elles me semblent faire 90 pouces [2,25 m -N.D.T.]»
J’ai dit : «Elles font 42 pouces [1,05 m -N.D.T.]»
Et il a dit : «J’ai un mètre à ruban dans la sacoche de ma selle.»
J’ai dit : «D’accord, tu verras que c’est exactement ça!»
62 Il a dit : «Alors, d’après ce que vous m’avez raconté, quelque part entre ici et là où nous rencontrerons ces garçons, l’un avec cette chemise verte, vous allez attraper un ours argenté?» Il a dit : «Je n’en ai jamais vu un, et j’ai vécu dans ces montagnes toute ma vie.» J’ai dit : «Mais c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR!»
63 Il a dit : «Savez-vous où il est?» J’ai dit : «Non, mais il est quelque part entre ici et ces gars.» Nous pouvions voir exactement en bas où ils étaient, à environ cinq kilomètres, à la limite des arbres. J’ai dit : «Nous l’aurons!» Maintenant, çà, c’est quelque chose!
64 Il a dit : «Alors, nous serons là en bas en moins d’une heure et demie. Et vous voulez me dire que vous allez avoir un grand ours grizzly monstrueux, argenté, quelque part entre ici et ces gars?»
J’ai dit : «C’est selon Sa Parole.»
Il a dit : «Il est là.»
65 Ainsi, nous avons chargé les cornes sur nos têtes, et nous les avons traînées. Nous avons descendu la colline, jusqu’à ce que nous arrivions aux glaciers. Et lorsque nous sommes arrivés aux glaciers, il faisait si chaud. Il nous a fallu aller un peu dans les glaciers pour nous rafraîchir. Nous avons dépassé le glacier en descendant, jusqu’à ce que nous nous trouvâmes à l’endroit où l’eau sortait d’en dessous du glacier, et avons poursuivi jusque dans les... Nous commencions à arriver dans les bois. Nous nous sommes juste assis un moment pour nous reposer.
66 Je me suis retourné et j’ai regardé. Je dis : «Regarde, Bud, on dirait une vache, à environ trois kilomètres.»
67 Il a levé la lunette, a regardé et a dit : «Frère Branham, que Dieu me juge si je ne dis pas la vérité, c’est un ours argenté.» Il a dit : «Regardez comment il luit dans ce soleil.»
68 Je dis : «C’est lui.» J’ai dit : «Eh bien, allons l’attraper.» Ainsi, c’est ce que nous avons fait; nous sommes allés et l’avons attrapé. Conformément à la vision, il était trop tard pour le dépouiller, alors nous devions attendre jusqu’au lendemain.
69 Alors, après que nous avons eu le grizzly, nous sommes redescendus, alors il a dit : «Et vous dites que ces bois...» Il disait : «Si ses cornes font 42 pouces [1,05 m -N.D.T.], Frère Branham, je vais m’évanouir.»
70 J’ai dit: «Vous n’avez pas à vous évanouir. Mais elles font 42 pouces, c’est ce qu’elles font.» Ainsi nous sommes descendus au...
71 Et je pensais, dans la vision... Vous, les frères et soeurs qui avez levé la main il y a un moment, qui m’aviez entendu raconter ceci avant que cela n’arrive, j’avais dit que cela devait être Billy Paul. C’était un jeune garçon. Vous vous rappelez tous que j’ai dit cela, une petite main? Mais son fils a dix-huit ans, et est juste de la taille de Billy Paul. Voyez-vous?
72 Et lorsque je suis arrivé là en bas, il y avait Eddie avec sa chemise verte à carreaux. J’ai vu cette petite main parcourir ces bois, et lorsqu’il est allé prendre le mètre ruban et l’a posé là et l’a tenu, ce petit garçon a mis ses mains dessus. J’ai dit : «Regarde, Eddie, ces petites mains sur le bois.» Et lorsqu’il a tiré le mètre ruban comme ceci, il m’a regardé et est devenu tout pâle à hauteur de la bouche, il a dit : «Frère Branham, regardez ici! Tout juste 42 pouces, exactement.»
73 Vous pourriez dire : «Frère Branham, pourquoi racontez-vous ceci lors d’une école du dimanche?»
74 Je dis ceci pour la raison suivante : Autrefois, dans l’Ancien Testament, les vieux sages et prophètes parmi ceux qui sont partis, ils adoraient le Dieu du ciel qui leur donnait des visions. Ils aimaient, par Sa grâce, le Dieu qui les aimait. Ils désiraient ardemment voir une Cité quelque part. Quelque chose au-dedans d’eux! Ils ont quitté leurs maisons et ils sont devenus des pèlerins, parce qu’ils étaient à la recherche d’une Cité quelque part. Ils ont dit des choses que nous voyons arriver aujourd’hui.
75 Ce même Dieu qui les aimait et qui, par Sa grâce, a fait ces choses pour eux, est le même Dieu que nous servons ici dans ce Tabernacle ce matin, faisant les mêmes choses! Et il y a dans notre coeur un désir ardent de voir cette Cité, quelque part où ils sont allés. Et par Sa Parole et par les signes de Sa Puissance, avec le même Esprit et les mêmes prophéties, Il fait pour nous aujourd’hui la même chose qu’Il a faite autrefois pour eux. Et vous le voyez avec une preuve infaillible que c’est Dieu et la Vérité de Dieu.
76 Donc, où que soit cette glorieuse Cité, et où qu’ils soient rassemblés, je m’attends à voir ma mère mourante et vous tous avec eux là-bas dans cette Cité avec ceux-là : Abraham, Isaac, Jacob, Daniel, Esaïe, Jérémie. En effet, la même grâce de Dieu, le Dieu qui les aimait et leur a donné des visions et leur a montré les choses à venir, c’est le même Dieu aujourd’hui, faisant la même chose pour nous. C’est la Vérité infaillible! C’est la Vérité, mon ami.
77 Notre Père céleste, nous sommes reconnaissants. Je pense que la raison pour laquelle Tu as voulu que j’aie ces choses, Seigneur, c’est que Tu voulais juste m’encourager, sachant qu’il y avait un choc qui allait venir. Je ne le sais pas; Toi, Tu le sais. Et je sais que je ne suis plus un petit garçon. Je ne suis pas le petit garçon qui était pendu aux jupes de maman. Et je suis un homme d’âge moyen maintenant. Mais, oh! combien je T’aime, Seigneur! Combien je Te crois! Donne-nous Ta grâce maintenant. Aide-nous à enseigner Ta Parole, afin que d’autres puissent voir et apprendre, et entendre parler de Toi. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
78 Comme texte ce matin... Je pense que c’est tout ce que j’avais à... Eh bien, il y a des services ce soir : la communion, le lavage des pieds, etc., c’est tout. Je vous ai invités à rester pour être avec nous. Mais, comme texte ce matin, ouvrons la Bible dans saint Matthieu chapitre 3, pour lire un passage des Écritures. Je veux commencer au verset 10 du chapitre 3 de saint Matthieu.
79 Et je sais que beaucoup sont debout et nous n’aimons pas ça, mais si seulement certains d’entre vous voudraient bien changer de temps en temps de place avec ceux qui sont debout. Je... Excusez-moi de prendre mon temps, mais je... Vous comprenez. Maintenant, la lecture de la Parole. Déjà la cognée est mise à la racine de l’arbre : tout arbre donc qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu. Moi, je vous baptise d’eau, pour vous amener à la repentance; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, Il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu. Il a son van à la main; Il nettoiera son aire, et Il amassera son blé dans le grenier, mais Il brûlera la paille dans un feu qui ne s’éteint point. Alors Jésus de Galilée vint au Jourdain... pour être baptisé par lui, Mais Jean s’y opposait, en disant : c’est moi qui ai besoin d’être baptisé par Toi, et Tu viens à moi! Jésus lui répondit : Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste.[Toute justice selon la version anglaise. –N.D.T.] Et Jean ne Lui résista plus.
80 Et je voudrais tirer le sujet de cette Parole là au verset 15. «Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi toute justice.»
81 A de nombreuses reprises, je me suis demandé pourquoi Jésus de Nazareth... Et souvent cela m’a été demandé : Pourquoi un homme comme Jésus devait-Il être baptisé? Pourquoi cette Personne devait-Elle être baptisée comme un acte de repentance et de confession alors qu’Il était le Fils saint, sans tache, pur, du Dieu vivant? Pourquoi cette Personne devait-Elle être baptisée comme un homme venant...? Le baptême vient après la confession. Il n’avait pas de choses à confesser, car Il était Dieu. Et Lui, pourquoi devait-Il être baptisé en signe de repentance comme Il le fut, car Il n’avait aucun besoin de repentance, parce qu’Il était le Dieu infaillible? «Il était dans le monde, et le monde a été fait par Lui; et le monde ne L’a point connu.» Pourquoi devait-Il donc être baptisé?
82 Et avez-vous remarqué la phrase qui précède cela, qui dit :
... il est convenable que nous accomplissions ainsi toute justice.
83 En d’autres mots : «Cela doit s’accomplir! Toute Parole que Dieu a prononcée doit s’accomplir!» Dieu ne peut pas dire quelque chose sans qu’Il ne fasse en sorte que cela s’accomplisse. Lorsqu’Il l’a prononcée, c’est une oeuvre terminée. Elle est déjà terminée lorsque Dieu la prononce. Dieu ne parle jamais avant qu’Il ne soit prêt à le manifester; et lorsqu’Il parle, c’est comme si cela était déjà arrivé.
84 Maintenant, si cela ne nous donne pas une base sur laquelle placer notre foi ce matin... Lorsque Dieu dit une Parole, c’est déjà chose faite. Et que dire de Ses promesses qu’il nous a données? Tout ce qu’Il a dit, c’est déjà une oeuvre terminée. C’est pourquoi donc, lorsque nous recevons la Parole dans notre coeur, c’est – c’est déjà fait, c’est achevé.
85 Et pourquoi devait-Il donc (cela ne répond pas à la question) être baptisé? Beaucoup ont dit : «Eh bien, Il a été baptisé parce qu’Il était notre exemple.» Cela est vrai jusqu’à un certain point, un certain niveau. Cela est vrai, mais ce n’est pas toute la vérité.
86 La vérité est qu’Il était l’Antitype, Il était le Souverain Sacrificateur. Et avant que le souverain sacrificateur puisse être oint, il devait être lavé.
87 Je veux vous lire un passage de l’Écriture, juste un moment, dans le Livre de l’Exode. Et je pense que c’est le verset 29 que j’ai marqué, le chapitre 29 plutôt. Et je veux commencer ici au verset 4 du chapitre 29. Tu feras avancer Aaron et ses fils vers l’entrée de la tente d’assignation, et tu les laveras avec de l’eau. Tu prendras les vêtements; tu revêtiras Aaron de la tunique, de la robe, de l’éphod – de l’éphod et du pectoral, pour mettre sur lui la ceinture de l’éphod. Tu poseras la tiare sur sa tête, et le diadème de sainteté sur la tiare. Tu prendras l’huile d’onction, tu en répandras sur la tête, et tu l’oindras.
88 Voyez-vous, Aaron, le souverain sacrificateur, avant d’être oint, il devait être lavé avec de l’eau. C’est pourquoi, quand Jésus... avant de pouvoir être oint comme notre Souverain Sacrificateur, Il a été lavé avec de l’eau.
89 Et puis, ce n’était pas l’huile d’onction qui était répandue sur Lui, pour l’oindre, comme c’était le cas pour Aaron, Lui a été oint du Saint-Esprit. «Car Jean rendit ce témoignage, voyant l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venant sur Lui, et une voix se fit entendre : «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en Qui J’ai trouvé plaisir de demeurer.» Ainsi la Bible dit que «Jésus était oint du Saint-Esprit et S’occupait de faire le bien.» Voyez-vous, Il était oint.
90 Et avant d’être oint, Il devait accomplir toute justice. Voyez-vous, Il devait être lavé avec de l’eau avant que l’Onction vienne sur Lui.
91 Et c’est un très joli type qui nous concerne aujourd’hui. Comme sacrificateurs devant Dieu, nous devons d’abord être baptisés, confesser nos péchés et être baptisés au Nom de Jésus-Christ, ce qui nous lave de nos péchés; et ensuite vous recevez l’Onction, le don du Saint-Esprit. Voyez-vous? Etre lavé d’abord, et ensuite être oint pour le service. Aucun prédicateur ne devrait monter en chaire sans être baptisé d’abord au Nom de Jésus-Christ. Car il n’y a qu’un seul... La rémission des péchés existe seulement dans le Nom de Jésus-Christ, aucun autre nom sous le ciel n’a été donné parmi les hommes. «La repentance et le pardon des péchés doivent être enseignés en Son Nom, à commencer par Jérusalem.» C’est là que le Saint-Esprit est d’abord tombé et a oint les gens. Ainsi un serviteur de Dieu ou n’importe quel croyant doit d’abord être lavé de ses péchés, dans le Nom de Jésus-Christ, et ensuite être oint du Saint-Esprit pour produire un témoignage pour Dieu.
92 Et Christ était le témoignage de Dieu, car Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Maintenant, Il a dit : «Laisse faire, Jean.» C’est vrai.
93 En d’autres mots : «Jean, tu es un homme puissant, tu es un grand et puissant prophète. Et la révélation que tu as de Moi est exactement la Vérité. Tu sais Qui Je suis. Tu le sais, car ton ministère n’est pas venu des hommes. Ton ministère est venu de Dieu. Tu ne l’as jamais appris des hommes. Tu n’as jamais reçu cet enseignement dans un séminaire. Mais à l’âge de neuf ans, tu es allé au désert parce que tu es né un enfant étrange, particulier. Et depuis ta naissance, Dieu a commencé à traiter avec toi. Et même avant ta naissance, le prophète t’a vu. Et tu es une lumière de ce jour. Et au désert... Tu sais qui Je suis, car Dieu, au désert, t’a dit qu’un signe Me suivrait. Et tu en as déjà rendu témoignage, et tu le sais. Et nous savons qui nous sommes l’un l’autre. Nous nous connaissons l’un l’autre. Et il est vrai que Tu as besoin d’être baptisé par Moi. Mais laissons faire, car, Jean, si nous sommes les lumières de ce jour, nous devons accomplir toute justice. Toute la Parole de Dieu pour ce jour-ci doit être accomplie par nous, car cela nous incombe; cela nous sied, cela nous incombe, c’est bien pour nous. Car si nous sommes les vrais témoins de Dieu d’aujourd’hui, Jean, nous sommes les lumières de cet âge. Et si nous sommes les lumières de cet âge, il y a tant d’Écritures qui doivent être accomplies durant cet âge. Et c’est à nous de le faire. (Alléluia!) C’est à nous de veiller à ce que toute la justice de Dieu soit accomplie!»
Et qu’est-ce que Sa justice? C’est Sa Parole
94 En d’autres mots : «Jean, tu sais Qui Je suis. Je suis le Souverain Sacrificateur. C’est vrai, Jean, et J’ai besoin d’être baptisé par toi. Mais nous devons accomplir toute justice. Et je dois être baptisé par toi maintenant pour accomplir la Parole de Dieu, car la Parole tout entière doit être accomplie. Et nous sommes les lumières du jour, et c’est à nous d’accomplir tout ceci. Et Je sais que ta justice et ton désir, c’est d’accomplir la Parole. Cela nous incombe. Nous sommes les lumières.»
95 La lumière de chaque âge devrait faire la même chose. Nous savons ce qui doit être accompli. Vous qui êtes spirituels et qui connaissez la Parole de Dieu, vous voyez ce que Dieu a promis. Maintenant, la Parole ne viendra pas facilement, mais Elle vient par l’observation; vous devez vous frayer vous-même un chemin pour le faire. Mais, néanmoins, il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions toute justice de Dieu. Nous devons le faire.
96 Et maintenant, Jésus a reconnu en Jean que Jean était un vrai prophète. La Parole avait parlé de Jean et Il savait qu’il était absolument le prophète de l’heure. Et Jean savait que Jésus était le Messie de l’heure. Et tous deux en avaient une claire compréhension.
97 Oh! si l’Église du Dieu vivant pouvait seulement recevoir cela dans la tête et dans le coeur ce matin, de sorte que l’Église ne sera pas séparée par des barrières dénominationnelles, ces différences de crédos et de couleurs, etc, afin que nous puissions nous rassembler au Nom du Seigneur Jésus, n’ayant rien pour nous éloigner de la vraie Parole du Dieu vivant, et suivre directement cette ligne des Écritures, pour accomplir toute la justice de Dieu d’aujourd’hui!
98 Car n’importe qui sait que nous vivons dans les Lumières du soir. Le prophète l’a dit : «La Lumière paraîtra au temps du soir.» Et ainsi, nous savons que nous vivons à cette heure, l’heure des Lumières du soir. Aussi, aide-nous, Seigneur Dieu, à nous rendre compte de cela.
99 Revenons en arrière juste un petit moment, et prenons quelques personnages qui connaissaient leur position en leur jour et acceptèrent de supporter la critique ou quoi que ce soit d’autre, afin que la Parole de Dieu puisse être accomplie.
100 Prenons, par exemple, Noé et son jour. Cela était convenable pour Noé, après qu’il a rencontré Dieu et connu le plan de Dieu pour ce jour-là.
101 Or, vous ne pouvez rien faire à moins que vous ne sachiez ce que vous faites. Vous devez savoir que c’est la volonté de Dieu. Vous devez savoir que c’est Son plan et Son désir, et si cela vous est révélé, alors rien ne l’arrêtera.
102 Maintenant, Noé était sûr, car il n’avait pas reçu son ministère d’une certaine école, mais il avait parlé face à face avec Dieu. Et il savait qu’un déluge allait venir. Il savait que les pluies se déverseraient des cieux, comme des fleuves qui se déversent, quoique cela fût fermement contre les sujets scientifiques de ce jour-là. Les savants ont sans doute critiqué Noé en disant: «Nous pouvons te prouver scientifiquement qu’il n’y a pas d’eau là-haut!»
103 Car ils étaient alors dans un grand âge, plus grand que celui dans lequel nous sommes aujourd’hui, plus scientifique que celui dans lequel nous sommes aujourd’hui. Vous savez, Jésus S’y est référé. «Comme il en était aux jours de Noé.» Comment ils ont construit les sphinx et les pyramides et des choses que nous n’arriverions pas à construire aujourd’hui. Et ils étaient de grands savants. Ils avaient des couleurs et autres choses semblables, du liquide pour embaumer en ce jour-là, qui leur permettait de préparer une momie. Nous ne pourrions pas le faire aujourd’hui s’il le fallait. Ils étaient plus avancés que nous. Et ils pouvaient prouver qu’il n’y avait pas d’eau là-haut.
104 Mais malgré tout, il incombait à Noé, après qu’il a connu le plan de Dieu, de travailler de toute manière à l’arche avec acharnement, car il savait que cette arche serait la seule chose qui flotterait. Peu importe s’il avait été prouvé scientifiquement qu’il n’y avait pas d’eau là-haut, puisque la Parole de Dieu avait dit qu’il pleuvrait, il allait pleuvoir
105 Et permettez-moi de m’arrêter ici pour dire ceci à cause des personnes malades. Si votre cas est si grave que peut-être le docteur dit qu’il n’y a plus d’espoir; quelle différence cela fait-il aussi longtemps que Dieu vous dit : «Je vais vous laisser vivre»?
106 Pourquoi... Si le docteur ou quelque savant disait : «Votre religion dont vous parlez, le Saint-Esprit, et votre parler en langues et votre – et votre manifestation, ce ne sont qu’une illusion mentale. Vous n’êtes pas rempli du Saint-Esprit, cela n’existe pas.» Et plusieurs milliers d’ecclésiastiques déclarent aujourd’hui que «vous êtes simplement tout excité, pareille chose n’existe pas.»
107 Et alors il y en a même certains d’entre eux qui m’ont dit : «Pourquoi n’adhérez-vous pas à une bonne dénomination et ne vous servez-vous pas de votre influence pour faire avancer cette dénomination?»
108 Et puis ils ont dit : «Eh bien, ce groupe pentecôtiste ici avec lequel vous faites le pitre, ils ne sont qu’un tas de charlatans religieux. Et ils – ils... Chose pareille n’existe pas! Ils sont simplement mentalement existés. Ils – ils – ils... Ils n’ont pas ce dont ils parlent. Nous pouvons prouver qu’ils ne l’ont pas»
109 Ô frère! vous êtes simplement trop en retard! Nous savons ce que nous avons. Nous sommes nés de nouveau du Saint-Esprit, car nous voyons Ses oeuvres ici même parmi nous, juste comme il en était au temps de la Bible. Si vous croyez en ce même Saint-Esprit, alors pourquoi ne fait-Il pas la même chose dans votre église? Car Il ne peut pas changer, Il est Dieu.
110 Donc, peu importe ce qu’indiquent les preuves scientifiques, si on dit que nous sommes simplement émotifs, si nous sommes simplement mentalement dérangés, qu’il n’y a en fait rien de réel dans notre grande religion, que – que ce n’est simplement pas ce que ça devrait être et ainsi de suite comme cela, que nous ne sommes qu’une bande de rebuts, ne le croyez pas. Ne le croyez pas.
111 S’il arrive que votre fille en rentrant de l’école dise : «Maman, nous avons prouvé aujourd’hui que le – le crâne d’un être humain est exactement comme celui d’un chimpanzé», voyez-vous, ou «nous – nous avons étudié et – et nous savons que nous sommes tous venus d’une seule cellule, que nous ne sommes tout simplement que des animaux», ne croyez pas ça.
112 Peu importe ce que quiconque dit, que ce soit un théologien, un docteur, un savant, un enseignant; vous, tenez-vous-en à la Parole de Dieu. Car, rappelez-vous, nous sommes en train de construire comme Noé en son jour, nous sommes en train de construire une arche.
113 Et Noé savait que s’il ne parvenait à achever cette arche, même sa propre famille ne pourrait être sauvée. Ainsi, il connaissait le plan de Dieu. Quoique environné des critiques, cela ne le dérangea pas du tout. Il travailla avec acharnement à cette arche.
114 Donc, peu importe combien on dit : «Il n’existe pas de baptême du Saint-Esprit; il n’existe pas de guérison divine», il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions toute justice, que nous tenions bon en cette heure d’épreuve et que nous travaillions dur à l’Arche du Seigneur!
115 S’ils disent : «Frère, vous êtes tout embrouillé dans vos baptêmes et ainsi de suite. Il y a... Vous ne devriez pas être baptisé au Nom du Seigneur Jésus.»...
116 Je parlais à un aimable couple hier soir. Et il y a un jeune homme qui vient d’être baptisé et qui croit qu’il n’y a qu’un seul Dieu. Et lors d’une réunion des Hommes d’Affaires, on ne l’a pas laissé témoigner, parce qu’il ne croit pas qu’il y a trois dieux.
117 Maintenant, peu importe ce qu’ils disent, il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions toute justice. La Parole demeurera la même quand les associations des Hommes d’Affaires et tout le reste auront disparu et que les églises ne seront plus. La Parole de Dieu demeurera toujours la même. Il est convenable que nous accomplissions toute justice.
118 Les prophètes n’ont-ils pas prophétisé au sujet de ce jour-ci? Rappelez-vous ces critiques-là, il est convenable qu’ils accomplissent cela aussi, parce que cela doit également être accompli.
119 Mais Noé, cela ne le gênait pas, il alla droit de l’avant parce qu’il connaissait le programme de Dieu. Il savait ce que Dieu allait faire, Frère Kidd. Il connaissait le plan de Dieu, parce qu’il avait parlé avec Dieu et c’était en conformité avec la Parole de Dieu, et il continua à le faire de toute façon. Que la science ait pu le prouver ou quoi que ce soit d’autre, ou quel que soit le nombre de critiques dont Noé fut l’objet, il resta fermement avec la Parole de Dieu et travailla dur. Pourquoi? C’était convenable pour lui, car Noé était un prophète. Et il était convenable qu’il garde la Parole de Dieu. Il resta avec Elle.
120 Il est convenable pour n’importe quel prophète, n’importe quel vrai prophète de Dieu, de rester avec la Parole. Sans tenir compte de ce que la science peut dire et de ce que ceci puisse prouver ceci ou cela, etc., il – il – il est convenable qu’il accomplisse toute justice.
121 [Frère Branham s’arrête et lit en silence une note. –N.D.T.] Très bien. On m’a envoyé un petit mot pour prier tout de suite pour maman. «Priez pour elle maintenant. Le docteur vient de partir.» Très bien.
122 Maintenant, Seigneur Jésus, je me tiens ici. C’est ma mère. Si elle se meurt, je remets son âme entre les mains de Dieu. Mais voici un Message qui doit continuer, Seigneur. Il y a des vivants ici qui vont mourir. Aide-moi, Seigneur. Je T’appartiens. Au Nom de Jésus.
123 C’est convenable pour nous! Il est convenable pour moi maintenant d’accomplir toute justice! La Parole de Dieu passe en premier! Il n’y a pas d’amour comme l’amour de Dieu.
124 Maintenant, Noé; peu importe de quelle critique le père Noé était l’objet, il savait où il se tenait, et ainsi il restait exactement avec la Parole. Et il a construit l’arche pour le salut de sa famille, car il était convenable pour lui de faire ainsi. Il était convenable pour Noé de – de faire ainsi.
125 Il est convenable pour chaque chrétien de se tenir auprès de la Parole. C’est parfaitement. Tenez-vous auprès de la Parole de Dieu. Les cieux et la terre passeront juste. Vous passerez. Je passerai. Les églises passeront. Les organisations passeront. Mais la Parole de Dieu ne passera jamais. Sois fidèle, pèlerin fidèle.
126 Dans les jours d’Enoch, juste avant le déluge, lorsqu’Enoch regarda là dehors, il vit Noé en train de construire cette arche. Enoch était un prophète. Enoch savait qu’il était un type. Et il savait qu’il devrait donner un exemple avant que le déluge ne vienne. Ainsi, un après-midi, il a été convenable pour lui de faire une promenade. Il était convenable pour lui de faire cette promenade avec Dieu. Et, pour une certaine raison, il changea de chemin ce jour-là. Au lieu de faire le tour de la colline, il a pris la Grand-Route du Roi, et il a juste continué à marcher. Et on ne le trouva pas, parce qu’il ne fut plus, mais il s’était engagé dans la Grand-Route du Roi
127 Ô Dieu! permets-moi d’être comme Enoch! Lorsque l’heure viendra où je devrais emprunter ce Sentier, laisse-moi trouver la Grand-Route du Roi.
128 Je peux voir Enoch. Comme il savait que c’était convenable pour lui, car il était un prophète, il savait ce qui allait arriver; ainsi, je puis le voir faire à sa femme un baiser d’adieu en disant : «Chérie, je te verrai plus tard.» Je le vois soulever ses enfants et leur faire un baiser d’adieu, et aller chez son fils marié et sa fille mariée et leur faire un baiser d’adieu.
129 Et ils disent : «Où vas-tu, papa? Sors-tu faire une petite promenade?»
«Oui, je vais faire un tour.»
130 Mais il n’a pas du tout pris le vieux chemin habituel ce jour-là. Il a pris la Grand-Route du Roi et il a continué jusque dans la gloire. Il était convenable pour lui qu’il fasse ainsi. Il ne voulait pas partir, mais pourtant il était convenable pour lui qu’il accomplisse toute justice, car il était un type de l’Église d’aujourd’hui. Il était un type de l’Église qui va faire une petite promenade d’après-midi, un de ces après-midi. Nous allons prendre la Grand-Route du Roi et nous partirons.
131 Oui, il était convenable pour Noé, il était convenable pour Enoch, qu’ils accomplissent toute justice.
132 Je veux donc parler maintenant d’un autre. Il y avait un homme nommé Daniel. Et il vivait dans un jour de critiques. Vous savez, les enfants d’Israël avaient été pris de leur patrie et emmenés à Babylone, et là ils étaient tristes, et ils s’y trouvaient depuis près de soixante-dix ans. Mais il y avait un jeune prophète qui était descendu avec eux, du nom de Daniel.
133 Et lui et un petit groupe, juste une petite poignée de frères, s’étaient rassemblés et avaient fait à Dieu le voeu qu’ils n’allaient pas se souiller avec la – avec la tendance moderne de ce temps-là. Ils n’allaient pas toucher aux mets du roi. Ils n’allaient pas boire ses liqueurs fortes. Ils n’allaient pas assister à ses fêtes. Mais ils allaient se garder saints et consacrés à Dieu, car c’était convenable pour eux.
134 Cela était convenable pour Daniel, parce qu’il était un prophète, de rester avec la Parole.
135 Tout vrai prophète qui connaît la Parole de Dieu, qui... S’il ne connaît pas la Parole de Dieu, alors il n’est pas un vrai prophète. Un vrai prophète reste avec la Parole. Quoi que la Parole dise, il reste juste avec Elle. Peu importe quelle est la tendance du jour, ou ce que dit la – l’église moderne ou ce que quelqu’un d’autre dit, ou que quelqu’un d’autre fasse autre chose, le vrai prophète reste juste avec la Parole.
136 Et Daniel savait ce qu’allait lui coûter de rester avec la Parole. Cela allait lui coûter sa popularité. Cela allait lui coûter sa communion fraternelle avec le reste des frères. Cela allait lui coûter un tas de choses. Mais ils avaient fait une proclamation qu’ils allaient prier un certain dieu, ensuite après cela ils pouvaient retourner prier n’importe quel dieu.
137 Mais vous savez quelque chose au sujet de Dieu, c’est qu’avec Dieu il n’y a pas de compromis. Il n’y a pas de compro-... compromis avec Dieu. Dieu reste simplement Dieu. Il ne s’attend pas à ce que le dimanche nous soyons des chrétiens qui Le louent et L’adorent, et que le lundi nous soyons mous et laissions tomber cela et que nous ayons toutes sortes de pensées : «Peut-être que j’ai eu tort et j’aurais dû faire ceci ou cela.» Nous restons bien centrés sur la Parole de Dieu, et nous nous appliquons juste à cela.
138 Ainsi, nous trouvons qu’il était convenable que Daniel, en tant que prophète, restât avec la Parole, peu importe ce qui se passait. Un décret était donc promulgué, disant que quiconque adorerait un autre dieu que le dieu qu’ils avaient choisi... En d’autres termes : «Si vous ne coopérez pas avec nous, nous vous jetterons simplement dans la fosse aux lions.» Eh bien, il était convenable pour Daniel; il était convenable pour lui d’accomplir toute justice, de n’adorer aucun autre dieu ou de ne pas s’empêtrer dans le monde; ce ne devrait être qu’à Dieu seul. Ainsi, il a simplement repoussé les volets, a relevé la fenêtre et a ouvert les rideaux et il a dirigé les regards vers l’orient et a prié trois fois par jour juste comme il l’avait toujours fait. Pourquoi? Il ne s’est pas éclipsé quelque part pour se cacher pour le faire, mais il a ouvert les fenêtres, permettant à tous ceux qui voulaient le voir de le voir. Il n’avait pas honte de sa religion.
139 Car il est convenable qu’un chrétien n’ait pas honte de sa religion. Comme Paul d’autrefois disait : «C’est selon la voie qu’ils appellent une secte, une folie, que je sers le Dieu de nos pères.» Voyez-vous? «Je n’ai point honte de l’Évangile de Jésus-Christ, dit-il, car c’est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque Le croit.» C’est vrai, ne pas avoir honte de l’Évangile! C’est la chose qui tient dans les heures où le navire est ballotté et que chaque étoile est invisible, ainsi que la lune et les étoiles. Et quand les tempêtes font rage, cela tient toujours, parce que c’est l’Evangile de Jésus-Christ! Daniel était fidèle, cela lui incombait.
140 Les enfants hébreux, cela leur incombait, c’était convenable pour eux, après qu’ils eurent pris position pour Dieu. Cela était convenable pour eux. Ils ne s’inquiétaient pas de la fournaise ardente. Dans de dures épreuves, de quoi s’inquiétaient-ils? Ils avaient pris position.
141 Ô Dieu! si les chrétiens d’aujourd’hui pouvaient seulement voir ça! «Je prendrai le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur. J’ai commencé avec Jésus. ô Seigneur! mène-moi jusqu’au bout.» Dans l’épreuve, les difficultés, la peine, la mort, la maladie, la tristesse, je prendrai toujours parti pour Jésus, afin de prendre position! «Sur Christ, le Roc solide, je me tiens, tout le reste n’est que sable mouvant.» Tout le reste est en train de sombrer. Les royaumes tomberont, et les nations se disloqueront, et les dénominations se disperseront et les théologiens mourront, mais la Parole de Dieu restera toujours la même.
142 Oui, il était convenable pour eux qu’ils prennent position. Et il était convenable pour eux, après avoir pris position, de rester sur leur position.
143 Lorsque vous venez ce matin croyant que Dieu va vous guérir, et que vous prenez position, il est convenable que vous ne témoigniez jamais quoi que ce soit de contraire à cela; ou alors, ne venez pas. C’est juste. Si vous ne sentez pas que Dieu vous guérira, alors restez éloignés, vous n’allez en faire qu’un sujet de moquerie.
144 Si vous sentez ce matin, quand l’appel à l’autel viendra, que : «Je veux prendre position pour Christ...» Si vous le sentez, calculez le prix! Comptez vos hommes, voyez si vous êtes capable d’aller au combat. Voyez si vous êtes prêt. Si vous ne vous sentez pas prêt, ne venez pas. Mais si quelque chose vous dit : «C’est mon jour, c’est mon matin», alors venez et restez là pour toujours! Ne bougez pas du tout, peu importe si la mort vous fait face et que le brouillard flotte devant votre visage. Qu’est-ce que ça peut vous faire? Tenez-vous-en là! Car, «les cieux et la terre passeront, Mes paroles ne failliront jamais!» Vous resterez avec Elles.
145 Lorsque vous dites : «Je crois que Jésus-Christ est mon Guérisseur. Je crois ce matin qu’Il va guérir mon corps malade. Quelque chose m’a dit de venir à l’église. Je suis ici parmi les croyants. Je prends position ce matin. Je le crois! Je vais monter pour qu’on prie pour moi. Quand on aura prié pour moi, je resterai sur cette position! Peu importe combien il fait noir, ou à quel point ça en est, je resterai toujours sur cette position!» Vous avez pris position car il est convenable que vous le fassiez.
146 Une fois que vous avez fait une confession, vous devez vous accrocher à votre confession. C’est vrai. Il vous incombe, en tant que chrétien, en tant que croyant, de garder votre conviction.
147 Ne laissez pas le diable vous pousser au loin ça et là. Vous êtes toujours embrouillé. Vous êtes toujours en dehors de la route principale. Vous êtes toujours dans la confusion. Et c’est la raison pour laquelle vous ne pouvez vous tenir nulle part. Vous ne pouvez pas avoir confiance en vous, et personne non plus. Vous devez prendre position. Et lorsque vous aurez fait tout ce que vous pouvez pour prendre position, alors gardez-la! Gardez simplement votre position! C’est vrai. Nous devons le faire. Cela est convenable pour nous. Il nous incombe de le faire.
148 Il incombait à Élie, il était convenable pour Élie le prophète de prendre position pour accomplir la Parole de Dieu, car il connaissait la Parole de Dieu. Et il savait que cet archevêque, Jézabel, et toutes les différences dénominationnelles suivaient la tendance du monde. Il était convenable pour Elie, en tant que prophète qu’il tienne ferme. Et il se tenait seul! Il a dit à Dieu : «Ils sont tous partis sauf moi, et je me tiens seul.» C’est tout ce qu’il savait. Dieu dit qu’Il en avait quelques-uns de plus qui prenaient la même position; peut-être pas au point où – où en était Élie, car il était la cible de la nation. Ils ne recevaient pas des critiques comme lui, car ils tiraient tous sur lui parce qu’il était le prophète. Mais il était convenable pour lui, au milieu de l’épreuve, au milieu des critiques, au milieu de l’indifférence, il était convenable pour Elie, en tant que prophète, de prendre position pour Dieu et de se tenir là.
149 Il est convenable que nous accomplissions toute justice. Ce grand et puissant homme préfigurait ce jour-ci où les religions de Jézabel et les choses semblables apparaissent alors, les choses que nous avons aujourd’hui, qui essaient de prendre le dessus. Il est convenable qu’un serviteur de Dieu, peu importe ce que quiconque dit, ce qui se passe, garde sa position, car il est convenable que nous restions avec la Parole.
150 Elie savait qu’il était prophète. Il avait des visions. Dieu avait confirmé qu’il était un prophète. Donc, peu importe si ses frères n’avaient jamais... Ils étaient des dizaines de milliers; regardez simplement les Israélites, des millions d’entre eux, des gens qui prétendaient croire en Jéhovah, s’étaient organisés. Ils étaient devenus modernes, comme ils le sont aujourd’hui. Ils étaient devenus modernes. Ils avaient établi des compromis au sujet de Sa Parole. Alléluia! Mais il était convenable pour lui Élie d’accomplir toute justice. Ainsi il se tenait là, seul, criant de toute sa voix contre le mal! S’ils lui avaient ôté la vie, qu’importait? Il était convenable qu’il accomplisse toute justice. Le mal était dans le pays. Il y avait de l’indifférence dans le pays. Il y avait des erreurs au sujet des Écritures dans le pays. Et il était convenable pour Élie d’accomplir toute justice, de prendre position pour Jéhovah; et Jéhovah a pris position pour Élie. Amen! C’était convenable pour lui.
151 Abraham, c’était convenable pour Abraham de se séparer de l’incrédulité. Il était convenable pour tout croyant de se séparer de l’incrédulité! Abraham, c’était convenable pour lui de marcher dans son propre pays, lui et Dieu étant seuls, car il était prophète. Le monde ne comprit pas pourquoi Abraham fit un choix pareil. Pourquoi quitta-t-il sa maison? Pourquoi quitta-t-il son église? Pourquoi quitta-t-il les siens? Pourquoi fit-il une chose si irréfléchie, de séjourner dans un pays étranger où il n’y avait ni eau ni nourriture? Pourquoi alla-t-il dans ces mornes déserts où les hommes n’étaient pas encore allés? Mais il était convenable pour lui, car il était un prophète, de se séparer de toute incrédulité et de marcher seul avec Dieu. Dieu avait dit : «Sépare-toi, et Je te bénirai.»
152 Lorsque vous vous séparez de toute incrédulité, Dieu vous bénira. Et il est convenable pour chacun de nous, peu importe le prix, de se séparer du monde incrédule. «Sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit Dieu, Je vous accueillerai.» Il est convenable, pour nous, en tant qu’hommes et femmes de Dieu, de prendre position en cette heure sombre dans laquelle nous vivons.
153 Abraham, ne se souciant pas de ce que le reste d’entre eux pensait, s’est séparé. Pourquoi? Il avait vu Dieu. Il avait eu une vision. La vision était vraie. La vision s’est accomplie. Il savait que Dieu était avec lui, Abraham, c’est pourquoi il fit une telle déclaration téméraire; un homme âgé de cent ans et une femme de quatre-vingt-dix ans, et elle était stérile et lui était stérile, et ils allaient avoir un enfant à cet âge-là! Eh bien, la science médicale de ce jour-là l’aurait traité d’excentrique; ils l’auraient traité de fou. Mais c’était convenable. Alléluia!
154 Parfois il est convenable de devenir excentrique, si c’est en accord avec la Parole! Dieu lui avait parlé, disant : «Abraham.» Il avait répondu : «Oui, Seigneur.»
155 «Je suis le Dieu de tes pères. Je suis le Dieu de l’éternité. Je suis El-Shaddai; Je suis le Sein, Je suis la Poitrine, Je suis Celui qui donne la force. Peu m’importe combien tu es vieux, Abraham, qu’est ce que ça fait pour moi? Peu m’importe combien tu es stérile ou combien son sein est stérile, Je vous donnerai un fils!»
Et Abraham a dit : «Je Te crois, ô Dieu!» Alléluia.
156 La Bible dit : «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu; mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu.» Pourquoi? Cela était convenable pour lui. Il avait vu la main de Dieu agir, en puissance.
157 Ô Branham Tabernacle! quel genre de parole allons-nous donner au jour du jugement alors que nous avons vu Sa main puissante? Nous avons vu Sa puissance, nous avons contemplé Sa gloire. Nous avons vu ce qu’Il a dit. Cela ne faillit jamais. Nous avons vu Sa Personne, la grande Colonne de Feu, une Lumière suspendue ici dans la salle. Nous L’avons vue là-bas, la science En a pris des photos, et tout le reste. Et nous entendons le Message sortir, tout à fait dans la ligne : «Séparez-vous d’eux! Ne vous associez avec rien qui a trait à l’incrédulité.» Il est convenable pour nous d’accomplir toute justice.»
158 Abraham professait qu’il était pèlerin et étranger. Il n’avait rien à faire; il ne connaissait personne sur la terre. Il marchait avec Dieu, parce que cela était convenable pour lui, car il L’avait vu. Cela était convenable pour Abraham. Lorsque tous les rois se sont rencontrés là-bas, vous savez, pour faire de lui un grand homme – tous les rois, après qu’Abraham eût remporté cette grande victoire – lorsque les rois l’ont rencontré là-bas, tous les frères dénominationnels, ils ont dit : «Tu sais, Abraham, nous allons – nous allons faire un pacte avec toi. Nous allons faire ceci et cela.»
159 Il a dit : «Je ne prendrai même pas un lacet de chaussures pour moi, afin que vous ne puissiez pas dire : ‘J’ai fait d’Abraham quelque chose.’»
160 Oh! Cela était convenable pour lui, car il savait (Alléluia!) que Dieu lui avait juré : «Je te donnerai chaque endroit où ton regard se pose : l’est, le nord, l’ouest et le sud.»
161 Quelle différence cela fait-il que nous ayons une pièce de cinq cents ou de dix cents, que nous ayons quelque chose à manger ou pas, que nous vivions ou que nous mourrions? Dieu a promis que les humbles de coeur hériteront la terre. Il nous incombe, il est convenable pour nous de vivre ainsi, d’agir ainsi, d’accomplir toute justice. Dieu veut des hommes et des femmes qui prendront position et accompliront toute justice. Bien sûr, la justice c’est Sa Parole!
162 Comme je l’ai dit au début de la prédication, c’est la raison pour laquelle Jésus fut baptisé. Peu importe combien c’était... s’Il affirmait être le Fils de Dieu, comment pouvait-Il alors se faire baptiser pour la rémission des péchés? Il n’en avait point! Mais Il devait être lavé, car Il était le Souverain Sacrificateur. Il devait accomplir toute justice. Il a dit : «Laisse faire, Jean. Je sais que tu le sais. Je sais que Je le sais. Et nous nous connaissons. Mais nous allons supporter qu’il en soit ainsi, mais ainsi cela est convenable pour nous!» Amen! Alléluia!
163 Alors je prendrai le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur! Il est convenable pour moi, il est convenable pour vous, en tant que serviteurs de Dieu, que nous prenions le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur; que nous marchions d’une façon pieuse, juste, sainte, dans cette vie présente, rejetant tout fardeau qui nous enveloppe si facilement, ayant les regards sur le Chef et le Consommateur de notre foi, Jésus-Christ! Amen!
164 Cela était convenable pour Abraham, lorsqu’il alla là-bas, et Dieu lui dit : «Maintenant, prends ce petit garçon. Maintenant tu as environ cent vingt ans. Et tu as ici un petit garçon, un petit aux cheveux bouclés. C’est une mignonne petite chose. Mais Je veux que tu l’amènes là-haut sur la montagne et que tu l’offres en sacrifice. À travers lui, Je vais faire de toi beaucoup de nations.» Comment cela était-il possible? Il semblait que Dieu S’était tout embrouillé. «A travers Isaac, Je prendrai et bénirai le monde entier, chaque nation, avec lui; mais Je veux que tu l’amènes là-haut et que tu le tues. A travers la semence d’Isaac...» Alléluia! «À travers la semence d’Isaac, Je bénirai chaque nation qu’il y a sous les cieux, mais Je veux que tu l’amènes là-haut et que tu le tues.»
165 Oh! ce vieux père austère, ferme, avec le bois et un sac sur le dos, menant un âne. Oh! la la! Le petit Isaac marchant devant lui! «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu.» Cela était convenable pour lui!
166 Car Abraham dit en lui-même : «Je l’ai reçu comme quelqu’un revenant des morts, et je suis pleinement persuadé que Dieu est capable de le ressusciter à nouveau.» Amen! Il était convenable pour Abraham d’accomplir toute justice. Il savait de quoi il parlait. Il connaissait son Dieu. Il savait que ce que Dieu dit, Dieu est capable de l’accomplir. Quelle que soit la promesse que Dieu a faite, Dieu est capable de la tenir malgré tout. Ainsi, il était convenable pour Abraham d’accomplir toute justice.
167 Il était convenable pour les disciples, à la Pentecôte, d’aller dans la chambre haute. Pourquoi? Pourquoi était-ce convenable? Parce qu’ils avaient rencontré un Homme, un Charpentier, connu du monde, un Etranger galiléen avec un mauvais nom, celui d’enfant illégitime. Mais ils avaient vu cet Homme ressusciter les morts. Ils avaient vu cet Homme ouvrir des yeux aveugles. Ils avaient entendu cet Homme prêcher la Parole de Dieu non altérée. Et ils savaient qu’Il était le Messie. Ils avaient vu tous les signes autour de Lui. Ils avaient entendu Dieu répondre des cieux. Ils avaient vu cette Colonne de Feu suspendue au-dessus de Lui. Ils savaient qu’Il était le Messie. Et quand Il leur dit : «Il est avantageux que je m’en aille; mais Je veux que vous montiez là-haut dans la ville de Jérusalem et que vous y restiez. Attendez simplement là!»
«Combien de temps?»
«Jusqu’à ce que!»
«Combien de temps cela prendra-t-il, Seigneur?»
168 «Simplement jusqu’à ce que! Jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la Puissance d’En-haut! Alors vous serez Mes témoins.» «Combien de temps cela durera-t-il, Seigneur?»
169 «Jusqu’à cette génération-ci et jusqu’à cette génération-là et en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera : à Jérusalem, en Judée, en Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre! Mais, avant de partir, Je veux que vous attendiez! Je vais faire quelque chose pour vous.»
170 Il était convenable pour eux qu’ils entrent dans la chambre haute, parce qu’ils avaient vu Sa puissance. Ils savaient qu’Il était décédé, mort, qu’Il était tellement mort que même la lune et les étoiles témoignèrent qu’Il était mort. Elles cachèrent leur face et ne voulurent pas briller. La terre savait qu’Il était mort, à tel point qu’elle était secouée d’un tremblement nerveux. Les rochers ont été vomis de la terre, les rochers qui y étaient depuis la destruction du monde antédiluvien. Ils savaient que c’était le Messie. Ils savaient que c’était Sa Parole qu’Il renverrait le Saint-Esprit. Ils savaient que c’était une promesse. Ils savaient qu’ils devaient L’attendre là-haut. Ils L’avaient vu. Ils savaient qu’Il était mort; ils savaient qu’Il était ressuscité. Ils L’avaient vu, c’est pourquoi ils savaient de quoi ils parlaient.
171 Avant qu’un homme sache de quoi il parle, il ne peut pas beaucoup parler. Mais quand vous savez de quoi vous parlez... Si vous pensez que ceci est de l’excitation, venez Le recevoir une fois, alors vous saurez de quoi vous parlez. Ce n’est pas de l’excitation. C’est la puissance de Dieu pour le salut. C’est le Saint-Esprit. Je sais de quoi je parle. Quiconque L’a reçu sait de quoi il parle.
172 Il incombait aux disciples, il était convenable pour eux de garder Sa Parole, d’attendre à Jérusalem. Ainsi ils sont allés attendre à la Pentecôte, jusqu’à ce qu’ils aient reçu le Saint-Esprit. Car, ils savaient alors que leur ministère ne pouvait pas continuer avant qu’ils aient reçu le Saint-Esprit, pour rendre témoignage de Lui. Ils savaient qu’ils étaient impuissants. Mais ils avaient besoin de Sa Présence, donc, ils sont partis pour L’attendre. Cela incombait à Pierre, après que Jésus l’avait rencontré.
173 Dans Marc 16, il est dit : «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, s’ils boivent des breuvages mortels, cela ne leur fera point de mal; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»
174 Cela incombait à saint Pierre, le vieux pêcheur! Il n’avait pas assez d’instruction pour écrire son propre nom! Mais un jour, lorsqu’il passait par la «Belle porte» que Salomon avait construite, il y avait là un homme couché qui était paralysé. Ses genoux étaient faibles, ses chevilles, il ne pouvait pas marcher. C’est ainsi qu’il était. Il n’avait aucune force. Un homme de quarante ans environ, il n’avait aucune force. Mais quand Pierre a entendu le bruit de la tasse et qu’il a baissé les regards et a vu un homme boiteux couché là, Quelque chose a frappé fort dans son coeur! Il avait été à la Pentecôte; il avait le Saint-Esprit! Il avait la promesse de Jésus, ainsi cela lui incombait, il était convenable qu’il dise : «Je n’ai ni argent ni or.» Il a donné son témoignage : «Je n’ai ni argent, ni or; mais ce que j’ai, je te le donnerai, si tu peux le recevoir.»
Je peux m’imaginer l’homme dire : «Je peux le recevoir!»
175 «Il dit : Alors, au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et sois guéri!» Et il s’est baissé pour le prendre, pour exercer sa foi, et l’a levé comme cela; et les os de ses chevilles ont reçu de la force, et il est parti, en sautant, en louant et en glorifiant Dieu!
176 Il lui incombait de le faire, cela était convenable pour lui. Il devait le faire, car il était un disciple oint. Il avait été avec Jésus. Le monde entier savait, le jour précédent, à la cour du Sanhédrin, lorsqu’on l’avait ramassé, lui et Jean, tous les deux ignorants et sans instruction, ils savaient qu’ils avaient été avec Jésus, parce qu’ils avaient entendu de quelle façon ils parlaient, et voyaient leur hardiesse. Ils savaient que quelque chose leur était arrivé. Et Pierre savait cela. Ainsi c’était convenable pour Pierre, c’était convenable pour lui parce qu’il avait la promesse de Dieu pour ce jour-là.
177 «Je vous donnerai la puissance. Je vous donnerai la puissance. Vous marcherez sur la tête des serpents et des scorpions. Tout ce que vous demanderez en Mon Nom, Je le ferai. Si vous dites à cette montagne : Ote-toi de là, et que vous ne doutiez pas dans votre coeur, mais que vous croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous pourrez avoir ce que vous avez dit!»
178 Il incombait donc à Pierre de Le croire. Cela était convenable pour lui. C’est ce qu’il devait faire, parce qu’il savait qu’il vivait au jour de cette commission. C’était la Lumière de l’heure. La résurrection venait d’avoir lieu, le Saint-Esprit était là. Cela était convenable pour lui.
179 C’était convenable pour saint Paul, après avoir été un critique. Et sur son chemin vers Damas, un jour, cette Colonne de Feu qui avait conduit Israël de l’Égypte à la Terre Promise, qui avait été faite chair et avait habité parmi eux et qui S’en était retournée à Dieu, lui a parlé là. Et il se demanda: «Comment ceci pourrait-il être Jéhovah? Comment est-ce possible? Et Le voici, dans la même Colonne de Feu, suspendue là.» «Seigneur, Qui es-Tu, Toi que je persécute?»
180 Il a dit : «Je suis Jésus.» Oh! la la! Il l’a commissionné, lui a donné son ministère. Il a commissionné Paul, lui a donné son ministère.
181 Paul avait été dans la Présence de Dieu, il avait vu la Colonne de Feu. Il avait vu ce Jésus qui autrefois avait été la Colonne de Feu, puis fut fait chair et habita parmi nous, et qui S’en était retourné dans une Colonne de Feu et le commissionna pour son ministère. Alléluia! Rien n’allait l’ébranler. Cela était convenable pour lui, quand on a retiré des mouchoirs de son corps et qu’on les a envoyés aux malades. Cela était convenable pour lui, parce qu’il savait qu’il était l’apôtre oint. Il avait les visions de Dieu, et Dieu apparaissait devant lui et parlait, et il voyait cela arriver, juste exactement. Eh bien, il était convenable pour Paul, lorsqu’il essayait d’aider les gens, d’accomplir la Parole pour laquelle il était commissionné. Il était la Lumière du jour. Il était la Lumière pour les nations. Il le savait. Dieu l’avait commissionné pour qu’il le soit. Il était la Lumière en ce jour-là. Ainsi, Paul était commissionné pour cela.
182 Maintenant, cela est convenable pour nous, convenable pour nous en ce jour-ci. Nous le savons! Nous avons juste traversé les âges de l’Église. Nous savons que nous avons reçu le Saint-Esprit, nous savons cela sans l’ombre d’un doute. Nous savons que nous avons la Lumière de l’Évangile.
183 «Repentez-vous, chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» Il n’y a pas d’ecclésiastique au monde ni rien d’autre, qui puisse défier ça. Jusqu’où ceci devrait-il être fait? «La promesse est pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
184 Le prophète a dit : «Il y aura la Lumière au temps du soir, ces Lumières de l’Évangile reviendront.» Comme le même soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest, Elle reviendra dans les derniers jours. Nous voici dans les derniers jours.
185 Nous avons reçu le Saint-Esprit. Nous savons cela. Nous avons parlé en langues comme ils l’ont fait à la Pentecôte. Et nous savons que vous pouvez Le recevoir.
186 Nous savons que le septième ange a donné le Message. Nous Le voyons confirmé par des signes.
187 Nous savons que nous sommes à la fin de l’âge de Laodicée. Nous savons que des conflits nationaux, des signes et des prodiges apparaissent partout. Nous savons que nous sommes au temps de la fin.
188 Dieu en rend témoignage! Et il nous incombe, il est convenable pour nous d’accomplir toute justice. Nations contre nations, un temps de perplexité, d’angoisse, toutes ces choses que nous avons entendues. Si vous pouvez Le recevoir!
189 Maintenant, nous sommes à la dernière heure. Nous sommes dans l’âge de l’Église de Laodicée. Chaque messager a donné en son âge, a donné son message en son âge. Et nous voici à la fin de l’âge, et nous voyons que Dieu l’a confirmé par des signes et des prodiges. Et personne ne peut dire qu’il n’en est pas ainsi.
190 Il est ici maintenant! Il est dans l’Église! Il est dans les gens. Personne ne peut dire qu’il n’en est pas ainsi. Nous savons qu’Il est ici.
191 Et il nous incombe de prendre Sa Parole. Nous... il nous incombe de croire toute justice. Cela nous incombe. Il est convenable que nous accomplissions tout ce dont Il a parlé.
192 L’Église est faible, les églises d’aujourd’hui. Nous sommes divisés suite à la lutte entre les organisations, la fraternité est brisée; méthodistes, baptistes, presbytériens, unitaires, trinitaires, quinquetaires, toutes sortes de choses. Nous sommes divisés. C’est ainsi que c’est censé être. Il doit en être ainsi.
193 Ensuite, il viendra un Message! Oh! alléluia! Nous savons que c’est la même Colonne de Feu qui a conduit Israël. Nous savons que le même ministère qui a accompagné Jésus-Christ par cette Colonne de Feu qui L’avait oint, accompagne l’Église aujourd’hui. La science l’a prouvé; nous n’avons pas besoin de ça. Dieu l’a prouvé! Nous avons besoin du ministère de Jésus-Christ pour s’adapter à la Pierre de faîte qui arrive là-bas, qui a amené l’Église à un point où le ministère est exactement comme il l’était quand Jésus est parti. Exactement!
Les nations s’écroulent, Israël se réveille,
Les signes que les sages avaient prédits;
Les jours des gentils sont comptés, remplis d’horreur,
Retourne chez toi, ô dispersée.
194 Nous sommes dans les derniers jours. Et il nous incombe, il est convenable que nous accomplissions toute justice.
195 Rappelez-vous, Jésus a dit : «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera à la Venue du Fils de l’Homme.» Combien se rappellent cela? [La congrégation dit : «Amen.» –N.D.T.] Très bien. Qu’est-ce qui arriva du temps de Lot? Quel signe Dieu a-t-Il donné?
196 Il y avait trois catégories de gens du temps de Lot. Est-ce vrai? [La congrégation dit : «Amen.» –N.D.T.] Il y avait les incroyants, les soi-disant croyants et les croyants. Chacun d’eux a reçu un messager. C’est vrai. Quand Abraham était assis sous son chêne, qu’est-il arrivé? Regardez ce qui est arrivé.
197 Un Ange est descendu et est entré dans Sodome. Cet Homme est descendu là et leur a enseigné la repentance, qu’ils devaient se repentir et se tourner vers Dieu. Qu’est-il arrivé? Seulement trois sont sortis, Lot et ses deux filles. Sa femme se changea en une colonne de sel. Seulement trois sont sortis, après qu’un Billy Graham moderne leur a proclamé le message, là-bas.
198 Et nous voyons cela arriver aujourd’hui. Nous voyons apparaître un messager qui prêche à l’église de nom.
199 Et il y en eut Un qui vint vers Abraham et l’Église élue. Il leur donna un signe. Et nous savons que c’est vrai. Nous savons que c’est un fait. Il s’assit le dos tourné à la tente, Il dit qui était Sara, ce qui était sur son coeur, quel était son problème. Il donna le message, exactement. Abraham sut que c’était Dieu. Car, immédiatement après qu’il eut dit cela, il L’appela «Elohim», un Messager, sous la forme d’une chair humaine, pour apporter un Message à Sodome et Gomorrhe.
200 Et lorsque nous voyons ces choses que Jésus a annoncées, il est convenable que nous accomplissions toute justice. Il est convenable que nous prenions Dieu au mot. Croyez-vous cela? [La congrégation dit : «Amen.» –N.D.T.] Ainsi, laissez faire maintenant.
201 «Frère Branham, vous n’êtes – vous n’êtes – vous n’êtes pas dans la même ligne que les autres dénominations.»
202 C’est possible. Laissez faire maintenant. C’est juste, laissez faire maintenant.
203 «Eh bien, vous seriez plus à l’aise si vous alliez de l’avant et que vous coopériez.»
204 Laissez faire maintenant, que... Mais c’est ainsi convenable pour nous. Nous sommes Son peuple, Ses prophètes, Ses sages. Il est convenable que nous accomplissions toute justice. Ainsi, faisons-le, pendant que nous inclinons nos têtes.
Les nations s’écroulent, Israël se réveille,
Les signes que la Bible a prédits
Les jours des gentils sont comptés, remplis d’horreur;
Retourne chez toi ô dispersée
Un jour de rédemption est proche,
Le coeur des hommes défaille de peur,
Soyez remplis de l’Esprit, vos lampes nettoyées et claires,
Levez les yeux, votre rédemption est proche
Les faux prophètes mentent,
Ils nient la Vérité de Dieu,
Que le Christ Jésus est notre Dieu,
(Combien cela est vrai; oh des centaines!)
Mais nous marcherons sur les pas des prophètes.
Car le jour de la rédemption est proche,
Le coeur des hommes défaille de peur;
Soyez remplis de l’Esprit, ayez vos lampes nettoyées et claires,
Levez les yeux, votre rédemption est proche.
205 Pendant que vous avez la tête baissée, est-il convenable pour vous ce matin de donner votre vie à Christ? Vous a-t-Il parlé? Si oui, levez simplement la main vers Lui et dites : «J’accepte Christ maintenant. Il est convenable pour moi de Lui abandonner tout, ma volonté, ce matin. Je lève maintenant la main en disant : ‘Seigneur Jésus, sois miséricordieux, j’ai besoin de Toi, oh! combien j’ai besoin de Toi! A chaque heure, j’ai besoin de toi!’» Que Dieu vous bénisse. «Ô Sauveur béni, je viens à Toi.»
J’ai besoin de Toi, oh, j’ai besoin de Toi;
(Qu’en serait-il, si vous étiez couché là où maman est couchée maintenant?)
A chaque heure, j’ai besoin de Toi!
Oh, bénis-moi maintenant, mon Sauveur,
Je viens à Toi!
J’ai besoin de Toi, oh, ô Seigneur,
Nous avons besoin de Toi!
À chaque heure j’ai besoin de Toi;
Oh ! bénis-moi maintenant,
(Seigneur, j’ai besoin de Toi, maintenant plus que pendant longtemps.)
Je viens à Toi.
206 [Frère Branham commence à fredonner. «J’ai besoin de Toi à chaque heure.» N.D.T.]
207 Père céleste, nous marchons à travers les vallées, sachant que Tu as promis : «Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point.» «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et la justice de Dieu, et toutes les autres choses vous seront données par dessus.» Ainsi je viens à Toi.
208 S’il y en a ici, Seigneur, qui ne sont pas en ordre dans leur âme; s’ils allaient passer par le chemin où ma mère est en ce moment même, ô Seigneur, qu’ils puissent avoir ce témoignage aussi. Cela nous incombe aujourd’hui, Seigneur.
209 Nous sommes à la fin de la route, l’âge de l’Église de Laodicée; un Message; le rejet du Message; la confirmation du Message; et la Présence de Christ prouvant qu’Il est le même, hier, au jours de Lot, aux jours de Sa chair, et aux jours d’aujourd’hui; hier, aujourd’hui et éternellement.
210 Qu’ils Te reçoivent maintenant comme leur Sauveur béni! Accorde-le, Seigneur. Je le demande au Nom de Jésus.
Oh, bénis-moi maintenant, mon Sauveur,
Je viens à Toi!
Très précieux Seigneur,
Les tentations perdent leur puissance,
C’est vrai, Seigneur, quand Tu es près.
J’ai besoin de Toi, oh, j’ai besoin de Toi.
211 Si Tu nous l’as reprise, que son âme précieuse se repose au ciel. Accorde-le. Accorde-le, Seigneur. Mon Sauveur, je viens à Toi.
212 Père Divin, entends-nous. Il est convenable que nous accomplissions toute justice ici. Nous savons ce que la Parole dit. Nous ne sommes pas dans les ténèbres. Nous savons ce que la Parole a promis. Aide-nous, ô Seigneur, afin que nous accomplissions toute justice. Accomplis Ta Parole. Que chaque croyant ici puisse avoir la foi maintenant, alors que nous en arrivons aux malades. Nous aimons tous vivre, Seigneur; mais la première chose devrait être la Vie éternelle, pour ce monde à venir. Entends-nous, Père, pendant que la congrégation prie, spécialement les malades et les affligés.
213 Je me demande aujourd’hui s’il y a des étrangers ici avec nous, qui n’ont jamais été au Tabernacle auparavant, et qui êtes malades, et qui comptez sur Dieu pour de l’aide. Ayez la tête baissée, vous tous. Voudriez-vous lever la main, vous qui m’êtes étranger, qui ne me connaissez pas ou que je ne connais pas, et qui êtes venus à Christ maintenant pour recevoir de l’aide. Levez simplement la main. Voyez-vous? Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous. Il y en a plusieurs.
214 Vous n’avez qu’à croire seulement. Ce message n’est pas en vain, c’est la Parole de Dieu.
215 Je vois une dame... Gardez les têtes courbées. Elle reste avec la main levée. Elle souffre de troubles cardiaques. Elle s’appelle Madame Nance. Elle est de Madisonville, dans le Kentucky. C’est juste. N’est-ce pas, madame? Vous pouvez lever la tête maintenant. Vous aviez la main levée, vous l’avez gardée levée. C’est vrai, n’est-ce pas? Si c’est le cas, levez la main. Voyez-vous dans quel temps nous vivons, mes amis? Je ne connais pas cette dame. Je ne l’ai jamais vue. Mais qu’est-ce? C’est un signe de l’Évangile. Afin que vous puissiez...
216 Croyez-vous que je suis Son prophète, madame? Le croyez-vous? Pourtant nous sommes étrangers. Je ne vous connais pas. Le nom était juste, n’est-ce pas? Si c’était exact, tout ce qu’Il vous a dit, agitez simplement – simplement la main vers l’auditoire, pour qu’ils puissent voir que c’était juste.
217 Qui est-ce qui pourrait faire ça? Jésus de Nazareth. Afin que vous sachiez que je suis le prophète de Dieu et que je vous dis la Vérité, car ainsi cela nous incombe. Une femme a touché Son vêtement, et Il S’est retourné et lui a parlé de sa perte de sang et a dit que cela s’était arrêté.
218 La dame assise à côté de vous a aussi des troubles cardiaques. C’est vrai. Oui. Je ne la connais pas. Vous savez que je ne la connais pas. Voyez? Mais Dieu la connaît. Il connaît son problème, n’est-ce pas? Mlle Allen, croyez-vous que Dieu peut vous guérir? Si cela est bien votre nom et votre problème, levez la main. Levez la main si cela est vrai.
219 Une dame assise à côté de vous là... Je parle de Mme Bennett. Vous êtes toutes du même endroit. Elle souffre de problèmes rénaux au lieu de problèmes cardiaques. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez être guérie aussi. Le croyez-vous, madame? Levez la main et dites : «Je l’accepte.» Alors vous pouvez rentrer à la maison et être guérie. Si vous pouvez le croire. Vous êtes du fond du Kentucky, d’une ville appelée Madisonville.
220 Assise là-bas dans le fond, il y a une dame, Mme Bone. Elle est des environs de Madisonville. Elle n’habite pas à Madisonville même; elle me regarde maintenant. Et voilà cet Ange qui Se tient juste au dessus d’elle. Elle habite juste près de Madisonville. Son nom est Bone. Un problème du sinus, de l’asthme, de la toux. Si cela est vrai, agitez la main de droite à gauche, madame. Croyez au Seigneur Jésus-Christ, et rentrez à la maison et soyez guérie.
221 Des ennuis de la gorge, monsieur. Croyez-vous que Dieu peut guérir des problèmes de gorge et vous guérir? Soyez guéri! Ayez seulement foi en Dieu.
222 Mlle Hopkins, la dame de couleur qui vient de Chicago. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie. Mais voulez-vous être guérie de cette nervosité, de ce problème du sinus? Allez, croyez, et vous pouvez être guérie aussi.
223 Mme Hanes de Colombus, dans l’Ohio. Si vous croyez au Seigneur Jésus-Christ, vous pouvez aller à la maison et être guérie aussi.
224 Nous sommes à la fin de la route. Le croyez-vous? Il nous incombe d’accomplir toute justice. Il a promis que ces choses arriveraient. Nous y sommes. Le croyez-vous?
225 Eh bien, posez les mains les uns sur les autres. Je veux vous poser une question. Est-ce que Jésus a promis que ces choses arriveraient dans les derniers jours? Dites «amen». [La congrégation dit : «Amen.» –N.D.T.] «Ce qui arriva du temps de Lot. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» A-t-Il aussi dit ceci : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris»? Êtes-vous prêts à prendre position comme un croyant? Car ainsi est-il convenable que nous accomplissions toute justice.
226 C’est la justice de Dieu, que lorsque ces mouchoirs ici (Je pose les mains dessus au Nom de Jésus) vous touchent... Je sais que le Saint-Esprit est ici, le Même qui était avec Paul. «On retira de Paul...» Ainsi vous serez guéris, si seulement vous le croyez.
227 Je crois par le Saint-Esprit que le même Saint-Esprit est ici ce matin, confirmant Lui-même le Message du dernier jour, le grand Saint-Esprit Lui-même se personnifiant Lui-même, venant dans une chair humaine, faisant Ses oeuvres.
228 Je me suis tenu ici ce matin dans des circonstances difficiles. Vous savez ce que je vais probablement apprendre bientôt en quittant ce lieu. Mais il est convenable pour nous que toute justice soit accomplie.
229 Dieu a placé le Message sur mon coeur. Maintenant, il est convenable pour vous, en tant que croyants, de croire. Pendant que vous avez les mains les uns sur les autres, il n’y aura pas une personne malade parmi nous, si vous le croyez seulement de tout votre coeur, et que vous soyez prêts à prendre votre position.
230 Maintenant, Père céleste, nous T’apportons cet auditoire, après ce Message. Seigneur Dieu, certainement les gens peuvent voir maintenant que cela est convenable pour nous. Il est convenable pour un prophète de se tenir sur la Parole. Cela est convenable pour un membre de l’église; il est convenable qu’ils prennent position. Il est convenable que les personnes malades croient la Parole de Jésus-Christ, quand Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»
231 J’allais appeler la ligne de prière, Seigneur, mais le message qu’on vient de me donner par téléphone m’a ébranlé, Père. Ô Dieu, Ta Parole dit: «Il est convenable que nous accomplissions toute justice.» Les voici, chacun.
232 Le Saint-Esprit est ici prouvant qu’Il est parmi nous. Maintenant, que la Puissance de Dieu, que le témoignage du Saint-Esprit entre dans le coeur de ces personnes à l’instant même, leur donnant une assurance comme Daniel l’avait, comme Noé l’avait, comme Enoch l’avait, comme Jean l’avait, comme Pierre l’avait, et comme Paul l’avait, comme Jésus l’avait, comme Abraham l’avait, comme eux tous l’avaient, Seigneur; que cela est convenable pour nous en ce temps-ci, où la puissance de la guérison divine est déversée, que des signes et des prodiges se font, qu’un grand réveil est venu parmi les gens, que le Saint-Esprit est tombé parmi les gens. Ils ont crié, parlé en langues, prophétisé, de grands dons, et des signes et des prodiges. Et l’Ange du Message, l’Ange de cet âge nous est apparu sous la forme du Saint-Esprit, et Il nous apporte un Message. Nous voyons Cela s’accomplir. Nous Le voyons prendre nos corps et nous transformer d’êtres humains mortels en des agents de Dieu, pour proclamer de grands et mystérieux signes et prodiges. Lorsque nous voyons ces choses, alors il est convenable que nous accomplissions toute justice.
233 Alors que nous savons qu’Abraham a regardé en arrière vers Lot, que Daniel pouvait regarder vers Abraham, que Jean pouvait regarder vers Daniel, (Ô, Dieu!) que Pierre et Jean pouvaient regarder vers Jésus. Et alors que nous pouvons regarder vers eux et qu’aujourd’hui nous voyons les mêmes résultats parmi nous, alors il est convenable que nous accomplissions toute justice.
234 Que la puissance de Jésus-Christ déferle sur ce bâtiment, avec la foi divine, et guérisse chaque personne ici présente de toute affliction et de toute maladie, Seigneur. Et, comme Ton serviteur, j’ordonne à ce démon qui m’a poussé toute la matinée, qui a essayé de me faire quitter cette chaire... Par la grâce de Dieu, je suis resté ici.
235 Tous ces pauvres êtres mortels de Dieu malades et souffrants. Sors d’eux, Satan. Je t’ordonne, par Jésus-Christ, le Dieu vivant, de quitter ces gens, et de ne plus les ennuyer, car ils se tiennent là comme les enfants hébreux à l’heure de l’épreuve, pour prendre leur position et être guéris à partir de cette heure! Par le Nom de Jésus-Christ, j’ordonne à la maladie et aux démons de cette congrégation, qui sont venus pour rendre malades ces personnes, de les quitter.
236 La tête courbée, nos coeurs tournés vers Dieu, je vais chanter un cantique. Je vais l’essayer, avec votre aide et l’aide de Dieu. «Ma foi regarde à Toi.» Je ne veux pas que vous doutiez du tout; je veux que vous croyiez maintenant. Cela est convenable pour nous. Combien y a-t-il de chrétiens ici? Levez la main et dites «amen». [La congrégation dit «amen.» -N.D.T.] Combien sont croyants? Dites «amen.» [«Amen!»] Combien ont imposé les mains sur d’autres? Dites «amen.» [«Amen.»] Alors il est convenable que nous accomplissions toute justice.
Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau du Calvaire,
Sauveur divin,
Écoute moi quand je prie,
Enlève tous mes péchés (le péché, c’est l’incrédulité)
Ô, laisse-moi dès ce jour
Être tout à Toi.
Pendant que je parcours le labyrinthe de la vie,
Et que les douleurs se répandent autour de moi,
(Ô Dieu, sois mon guide maintenant!)
Sois mon Guide;
Ordonne aux ténèbres de se changer en jour,
Essuie les larmes de la tristesse,
Et ne me laisse jamais errer loin de Toi.
237 Avec la tête courbée. Si ma vieille maman chérie est morte pendant que je prêchais, que ma voix puisse retentir à travers les grandes gorges du ciel.
238 Lorsqu’elle m’a parlé l’autre jour, elle a dit : «Billy, tu m’as nourrie. Tu as payé mon loyer et ma note d’électricité, tu m’as donné quelque chose à manger.» Elle a dit : «Chéri, lorsque tu étais un petit garçon, je suis sortie par le mauvais temps et j’ai fendu du bois et fait un feu pour que tu aies chaud. Et j’ai préparé pour toi ce que nous avions à la maison à préparer.»
La voir couchée là, et ces vieilles petites mains faibles qui ont lavé nos habits sales. On est impuissant, je ne pouvais rien faire.
239 J’ai dit: «Maman, entre les mains du Dieu vivant, je confie ton âme juste.»
240 Elle est partie depuis. Tous sont partis. Il ne reste plus que mes frères. Le message qui est venu ici sur la chaire était plutôt mauvais. Si elle est partie, que Dieu donne du repos à son âme. Si elle est encore parmi nous, et avec nous jusqu’à ce soir, par la grâce de Dieu, je serai ici à la chaire pour accomplir mon devoir, car il est convenable pour moi d’accomplir toute justice. Et je verrai.
241 Je passe le service à frère Neville, mon pasteur associé béni. Frère Neville.
1 ... always a privilege to come to the house of the Lord. I have never in my life, ever seen one time that I regretted to come to His house. It's a... But I suppose this morning is about the hardest time I ever come. Yes, that's right. So things happen in life; we know that, that we have to face. And we must remember that, that it comes to all.
And we are very thankful this morning, I am, and I know my brothers and sister is very grateful to God to know that our mother is saved.
3 And she's old, and we've been expecting this for some time, because she's a mother of many, and she has broken her life down. In the days of my mother, they didn't have the things that they have now to take care of mothers when they had their baby. Perhaps maybe mama would have one of the children that morning, and get up and do her washing that afternoon. And so now they lay in the hospital several days with all kinds of medications, which is... We are grateful for such things that can help these--these mothers and all.
4 She is very, very near death now. And I... [Brother Branham weeps--Ed.] It's just a--just a little hard this morning, but yet I'd--I'd promised to be here. And I'm...
Now, I can't say that my mother is going; I've often said this, and many are witnesses, about visions. I said, "If my own mother was laying, dying, and looked into my face and said, 'Billy, what--what's to become of me?'" I said, "Unless God would tell me, I wouldn't know. I--I couldn't say." And that very thing has come to pass. If mother's going, He certainly has kept it a secret from me.
Before my father died, I saw the vision of him going. When I was yet a sinner, I saw my brother, the first one, he was going. Howard. I told you all two or three years before he went, about his going.
But mother, He hasn't said a word to me. And if she's going, it's something that I don't know about. Although, we had... The doctor has said that he didn't see how she lived through last Sunday. And she's pretty poorly. But however, when I was...
9 About a month ago, like I did to Mrs. Broy; I always like to check up on the people, to knowing that they are near the end, that to see just how they stand. We must be sure of this. We don't want just to say, "Well, perhaps it's all right." We want to be positive that it's right.
I had a good long talk one morning with mother. She said, "Billy, I--I have lived as long as I should live." She said, "I have nothing else to live for." She said, "I've got to go." And said, "I'd just rather go on, be with dad and some of the other children that's over there. I get to see you all often."
11 And when she was being put in the ambulance to take out to the hospital to give glucose... 'Cause she couldn't eat nothing, they had to give her glucose through her veins. And I said to her, when we was putting her in the ambulance; I said, "Now, mama, everything is all right."
She said, "I am longing to go."
And I said, "Mama, if you were leaving me a treasure upon the earth of a hundred million dollars for we children, or you were leaving us a home that would reach from city to city, it would nothing like compare with this testimony that you're leaving us, 'I am ready to go.'" It's a treasure that money cannot buy to know that.
So therefore, in the face of that, I stand boldly, believing these things that I have preached. This stands good for my mother; it stands good for other people's mother; it stands good for all of us. I could not say, "God, don't take her." Because I know that as soon as her mortal soul leaves this body, she has another one waiting. And she'll be a young woman again in just a few minutes after she leaves here.
14 Did you ever notice a little baby when it's born, its little muscles twitching and jerking? But when it comes to the earth, it receives a spirit, and then it becomes a living soul. And as soon as the soul goes back from that little body, there's another one waiting for it. See? Because, first, God makes the soul and spirit; it just goes to the bodies. And--and when we leave here, we only change dwelling places and go to another one. "For if this earthly tabernacle be dissolved, we have one already waiting." So that's our consolation.
15 Now, let us pray. Our glorious, heavenly Father, what could we do in these hours of tremendous need if it wasn't for You? But our hope is built on nothing less than Jesus' Blood and righteousness. And we are so glad to know that there is a land beyond the river, that when You are finished with us on this earth, that we only change our dwelling places to that glorious land, yonder, where there's no sickness or heartache, death or separation. We will always be with Thee and with our loved ones. So we thank Thee for this glorious hope that's in our bosom today.
And it seemed, Lord, hard this morning for me to come down, not to serve You, but to know that I am nervous and wondering just how I will be able to approach this message this morning for the church, that I feel that You have placed upon my heart. How the enemy has taken me around and around with it. But I have got this far to the pulpit in Your Name. And I commit myself with the message and all into Thy hands, and know that You are more than able to take it to each heart and to provide everything that we have need of. We commit it all to Thee now, and ourselves, as Your service; as my lips is Your mouthpiece, and the ears as Your hearing post. Bless us, Lord.
17 And may other mothers, fathers, and those who will be in the days to come, if the world shall stand may they prepare and know too, that they must come down someday to this hour that mother has arrived at. I pray, God, that they'll make their preparation today. For there is not one more thing in the world that matters. No money can buy, no popularity can sustain; nothing can help but God and God alone. And we hold to His unchanging hand, knowing that He has said, "The footsteps of the righteous is ordered of the Lord." So this little suffering that we have now in present life, will mean so little, as the poet has expressed it, "The toils of the road will seem nothing, when we get to the end of the way."
And help us, Lord, press on towards the mark of the high calling, knowing that someday in a great beyond here, we shall meet in the sweet by-and-by. Bless Thy words now. Bless Thy servants, each child of God that's in here, may their hearts be warmed and stirred this morning. And, Father, I need some of it myself. I pray that You'll grant it, all these things in the Name of the Lord Jesus Christ. Amen.
19 Now, I notice that here we have a group of handkerchiefs. And I am--will get to them just in a little while.
I come in from a trip where I have been up on a hunting trip with a man up in--near Alaska. You know, this season is kind of a season that I set aside, the fall of the year, to rebuild myself, making ready for the seasons that lay ahead for the service.
21 I am not too strong, why, I'd say, in my nerves. I have a--a very bad nerve system. And I realize that it takes that type of a system to make the ministry that the Lord has given me. You cannot have everything glorious on the earth. Physically, I'm very thankful for a strong body. But my nerve system, because that you play right on the line between natural and supernatural, and it--it tears you to pieces. And I have never tried to sit down and explain that to my congregations, because they would not understand. Because, I don't understand myself. But even to doctors, examined me and putting that pressure test of nerves, said they never seen anything like it (See?), how it'll move from one place, plumb up all the way to another. I don't understand their scientific research, and--or what they have done, their ways of doing things. But I know that there's something happened to me one day when Christ got ahold of me; I was changed.
22 And I would just like to say this; it might strengthen me. It seems like it would be a very odd thing to speak of this morning. But just before entering my message to kind of quieten myself, I would like to say that when I give out about being here, I didn't know that mother was going to be sick.
And I also gave out the service for tonight. God willing, we will... I'll be here tonight, speaking, if that's all right with the pastor. [Brother Neville says, "Yes, sir."--Ed.] And I want to speak on, "The Comforter Has Come," tonight. And then that's tonight's service. And we have a communion service here tonight. And all peoples are cordially invited to come and--and take this communion with us tonight, and for the message.
24 It was last spring when I was up in Alaska, or up near Alaska in British Columbia, to--for services, that the Lord gave us such a glorious time. And I--I've always loved outdoors.
Can you hear me all right in the back? Can... If you can, raise up your hands, way back there.
I've always loved outdoors. As anyone knows our family, knows that there... My mother, dying out there now, her mother was an Indian. And my conversion never changed it, and I--my love for outdoors; and I am glad, because it's somewhere I see God. I do not go so much to go out to hunt game, it's--it's to be alone with God. And I hunt alone.
27 And while I was up there, I met some mighty fine guides. That's the fellows in Canada and places; before you can go into the wilderness, the game commission signs you to a guide. And that guide has to be with you.
And I met a wonderful Christian brother, young Pentecostal, that was a famous guide in Canada. His wife was a glorious, saved woman. And he's about forty years old, and they have five little children, little boys, from eighteen down to about two years old. And he had been granted a great five-hundred-mile section of the Alcan Road for his guiding space.
29 There's some Indians back in there, that did not want to move out, and they were very arrogant, and put up a sign, "if you come in here, there'll be blood shed." But yet, we rode on past it, and went back, because I wanted to talk to those Indians. After all, the land was theirs before it was ours, you know. And had a good time with them last Spring, telling them about the Lord Jesus.
And one old man, the old father of the tribe, was nearly a hundred. And He had his... I could see why he didn't want to go. They bury their dead in a log, and hang the log up in a tree. They had two little children buried there. 'Course he didn't want to leave. I can see why he wouldn't want to leave. And the reservation, the--the government of Canada, Dominion of Canada said, "If they got arrogant, they'd just take them out of there and make them go." Why, you'd hate for them to do that, their babies hanging there in the trees.
31 And so, however, the rivers come down and cut us off and we couldn't get back into the country where we were going to hunt grizzly bear. This Mr. Southwick, Southwick it is, was the guide, And he... And I was with a little minister, Eddie Byskal. And so his boy... Mr. Southwick had a--a young brother of about, between twenty-five and thirty years old, was seriously plagued with epilepsy.
Mr. Southwick had just become a Christian about a year ago. A cowboy before, and they're kind of rough, you know, in their living. And but he'd just become a Christian, and he was believing. And he said, "I have read your books, Brother Branham." And he kept hinting along about his brother with the epilepsy. He said, "Oh, if I could only get my brother to you." Well, you know how it makes you feel, you're helpless, can do nothing, and you just wonder how that it could all happen.
33 Then in Canada usually men who... You men who go out on trips, know in handling horses... And I love horses and animals. They usually tie a halter to tail, and let them walk in the string, the pack string. But there you can't do it, because the shale; you'd lose one horse, you might lose the whole string. So we just have to let them go, and wrangle them into the path.
And I was way back in the back on a young horse, trying to wrangle up strays and bring them in. And the Holy Spirit in His grace came down. I spurred up my horse, and rode on past the string, up to where Mr. Southwick was leading out in the front, through the bush. And I said, "Bud."
He said, "Yes, Brother Branham."
I said, "Will you take my word?"
He said, "With anything you say."
And I said, "I have a THUS SAITH THE LORD for you." I said, "Go get your brother from Fort Saint John," which is seven or eight hundred miles away, "bring him up on the highway here." And he lived in an old shanty with an old salamander there for a stove, had his children in there. I said, "The first time he falls into an epileptic fit, jerk his shirt off of his back. I'll give you something to do. Throw it in the fire and say, 'This I do in the Name of Jesus Christ.'"
He said, "I'll do it."
36 So he went, sent and got his brother, brought him up there. And that morning he had to go out on trail with some conservation man. And his brother usually have two or three of those fits a day, and had them since he was a little boy. And his wife was scared to death of him, when he had those fits, because he got violent: a very strong, young fellow.
And he fell into a fit after Bud left. Instead of her jumping through the window, like she usually did, getting her children out of the way, she just jumped right straddle of him, and jerked off his shirt (a little, Holy-Ghost-filled woman), jerked off his shirt and throwed it in the fire, and said, "This I do in the Name of Jesus Christ." He's never had one since. That was last spring.
38 Many times I know it's been a little hard. People who wouldn't understand, say, "Brother Branham, why would you take a hunting trip?" See, they just don't understand. There's no need of trying to explain it. See? You catch people there would never be caught.
About two months ago, or hardly that long, I was woke up one morning. I believe, I'm not sure... I told it to most of the church. There's many here has heard me tell this before it come to pass. And in the--a vision I saw, that I'd saw a great animal, looked like a deer. And it had great high horns. And it was... I had to go around a side shale, like this, to get to it. And it was a very famous animal. It was a great trophy animal. And there was a man that I saw that had on a green checkered shirt. And then on the road, after I'd got the animal, I'd heard a--a voice say that, "Those horns are forty-two inches high." That's about this high. And it was a mammoth animal. And on the road back, I saw a great huge silver-tip grizzly bear.
40 Now, that's the famous bear. There's four in the grizzly family. One is the silver-tip, which is the famous. Next is called, the native name, kadish, which is a black with a round ear; the second. Third is the regular grizzly, which is between black and brown, a huge bear. And the next is the Kodiak, which is only found on Kodiak Island and--and western Alaska; he's great, mammoth, biggest of all bears, but he's a grizzly. But the silver-tip is black, and the white is on--the silver is on the end of the tip of the hair. He's the famous one, very high-strung, ill-tempered bear.
I shot the bear with a heart shot, killed him. But I was questioned, the little rifle I had, about getting it. And I'd told the brethren. How many here has heard me tell about that before it happened? Raise up your hands. Well, of course, most of them. See?
42 And so then Mr. Arganbright called me and wanted me to go to Alaska. Well, instead of going to Alaska, I felt led to go back up here to this trip, up here with Bud, because I'd promised him.
When I got up there, I told his wife and all the people around there, these things He said. I said, "But now, which one of you all have a green checkered shirt?" Nobody had one. "Well," I said, "then it must be another trip that I'll take. But somewhere, the Lord's going to give it to me, just exactly." So I said, "I thought it might be this trip."
44 Well, we went on, on the trip. And the first day, when we got high in above the timberlines, where there's no timber up in the glaciers with our horses. And the second day, we hunted some, and we found plenty of sheep with three-quarter curls, and so forth, but it just wasn't right.
And you talk about a fellowship, every one of us Pentecostal and had the Holy Ghost. We had some time up there, and see those colors changing, and those mountains, and way up in there where only God lives. And such a great time, we wouldn't go to bed till one o'clock in the morning, just praising God and having a glorious time.
46 And on the second day we went out. And about six miles back, over behind the glaciers, we spotted some big rams. And said, "Well, we'd go back, and the next morning at daylight we'd be on our road."
So we started off the next morning before daylight, and got--by nine o'clock we was up on--up where we had seen in the glaciers.
But on the road up, I'd seen my first wild caribou. I'd never seen one. I've seen domestic in the Laplands and so forth, but not in the caribou; which is not... A caribou is a native name; it's a reindeer. And so usually they have paneled horns, like this, one running right in front of their nose, and then a panel comes out in front; and then the horns hook over, with another panel about so wide.
Bud had said to me, "Maybe..."
I said, "No, no. He..." I said, "It wasn't a caribou, 'cause it didn't have that kind of horns." But that morning, going up, why, I had seen the cow and calf. And we went over to one side, and I spotted it, a young bull, running.
50 And Brother Eddie, wanting to feed the Indians where he's a missionary... There's a fine man, come out of a lovely home, and a wife just out of a swell home. And their arms is eat up in here, and sore, with fleas, where they lived with the Indians and things, out there trying to bring Christ to the Indians. Takes grace to do that; live out there on peanut butter and molasses, and sleep in those huts where bedbugs, fleas and everything, just eat them up like that, yet, to bring the Gospel of Jesus Christ.
And so Brother Eddie'd slipped around the hill. And I set there just in awe for two hours, when I seen the great snow-peaked mountain. I thought, "Lord God, let me live here during the millennium." See them yellow quakers down on the hill, and the red buck-bush, and all blending in with that big snow-capped mountains, reflecting down into the lakes. There's just something about it, how you'd set there and cry and cry and cry, 'cause only God alone can paint that. There's nothing can do it. See?
And I was setting there, I happened to think, "Well, I wonder what become of Brother Eddie?"
53 I went over to Bud, and he was setting over there rejoicing in it too, about two hours. And we got up, and I seen Eddie's movie camera laying right up there. On the top of those mountains, there's nothing but caribou moss, just moss, it's on above where timber won't grow.
And I noticed him down the hill. He'd put his fingers up like this, he was stalking this young bull caribou. Well, he--he shot the caribou. And we just dressed it out, and went back up on the hill. And I got down low enough we get some water.
55 And I was just looking around with the glasses. Somehow, about two miles from me, there laid my animal. I seen him. I said, "That's him. That's the one." I said, "Looky here, see this shale we have to go around the side." And I said, "The only thing is the green checkered..." And I looked, and Eddie had on a green checkered shirt.
I said, "Eddie, I thought you..."
He said, "Brother Branham, I didn't... My wife must've put that in there." He said, "I got a clean shirt this morning, but I didn't know that... My wife must have put that in there." God never fails one thing. He's just perfectly. There he had the green checkered shirt.
57 The guide said, "Brother Branham, I don't know how you ever get around to that."
I said, "I don't care if he's fifty miles away, he's mine." I said, "He belongs to me." And we started off around that shale, just, oh, that steep, just around the sides.
And we got over there, and I got the big caribou. And--and instead of it having panels, it had spikes; never seen one like it. See how--how--how God does things?
So we told the boys to go down the draw, and take the horses, and pick up the meat, and meet us down at the bottom when we come down. 'Cause Brother Bud looked around, said, "Brother Branham's vision, if it was true about my brother being healed with epilepsy, he'll get that animal regardless of where it's at." So he said, "You just meet us; we'll have the head and down there."
61 And so when we got it skinned out; and the skin and the horns, and all would be about a hundred and twenty-five pounds; but just not the body skin, just the cape skin. So then he said, "Now, Brother Branham," said, "I want to ask you something." Said, "I could hardly skin him here," he and I both, one on each side. He said, "You say these horns are forty-two inches?"
I said, "Yes, sir."
He said, "They look like ninety to me."
I said, "They're forty-two."
And he said, "I've got a measuring tape in my saddle bag."
I said, "All right, you'll see it's exactly."
He said, "Then according to what you've told me, somewhere between here and where we meet them boys, with that green shirt on, you're going to get a silver-tip grizzly bear." Said, "I've never seen one, and I've lived in these mountains all my life."
I said, "But it's THUS SAITH THE LORD."
63 Said, "You know where he's at?"
I said, "No. But he is somewhere between here and them boys." We could see right down where they was at, about three miles, down at the timber line. I said, "We'll get him." Now, that's something.
He said, "Then we'll be down there within a hour and a half. And you mean to tell me that you're going to get a monstrous big grizzly bear, a silver-tip, somewhere between here and them boys?"
I said, "That's according to His Word."
He said, "He's there."
So we got the horns saddled up, up on our heads, and dragging it. Down the hill we went, till we got to the glaciers. And when we got to the glaciers, it was so hot, we had to get in the glaciers a little to cool off. We passed over the glacier, went down till we hit where water was coming out below the glacier, and down along into the--begin to get into the timber. We just set down to rest.
I turned, and looked. I said, "Look, Bud. About like a cow, about two miles away."
He throwed the glasses up, looked, said, "Brother Branham, so help me, it's a silver-tip." Said, "Look at him glistening in that sun."
I said, "That's him." I said, "Well, let's go get him." So that's what we did: went and got him. According in the vision, it was too late to skin it then, we had to wait till the next day.
69 Then after we got the grizzly, come back down, then he said, "And you say them horns..." Said, "If them horns are forty-two inches, Brother Branham, I'm going to faint."
I said, "You don't have to faint. But they're forty-two inches; that's what they are." So we got down to the...
And I thought in the vision... You brethren that raised your hands and sisters awhile ago, that heard me tell this before it happened. I said it must have been Billy Paul. It was a little boy. You all remember me saying that, some little hand? But his boy is eighteen years old, and just the size of Billy Paul. See?
72 And when I got down there, there stood Eddie with his green checkered shirt on. I seen that little hand go around those horns, and when he went over and got the tape measure, laid it down on here, and held, that little boy put his hands. I said, "Look, Eddie, them little hands on the horn." And when he pulled the tape measure up like this, he looked at me and turned real white in the mouth; he said, "Brother Branham, look here, just snug, forty-two inches, exactly."
You might say, "Brother Branham, why do you say that on a Sunday school?"
I'm saying this for this reason. Back in the Old Testament, the old sages and prophets of those who have gone on, they worshipped the God of heaven, Who showed them visions. They loved the God through His grace that loved them. They longed for a City somewhere. Something within them... They left their homes and they become pilgrims, because they were seeking a City somewhere. They told things that we see happening today.
75 That same God Who loved them, and by His grace, and done those things for them, is the same God that we serve here in this Tabernacle this morning, doing the same things. And there is in our bosom a longing for that City, somewhere where they have gone to. And by His Word and by the signs of His power, with the same Spirit and the same prophecies, the same thing that He did back there to them, He's doing for us today. And you see it with infallible proof, that it is God and God's truth.
So wherever that great City is, and wherever they are gathered, I'm expecting to see that dying mother of mine, and all you with them, over in that City there with those: Abraham, Isaac, Jacob, Daniel, Isaiah, Jeremiah. Because the same grace of God that loved them, and gave them visions, and showed them things to come, is the same God today doing the same thing for us, infallibly truth. It is the truth, friend.
77 Our heavenly Father, we are grateful. Why You wanted me to have those things, I guess, Lord, You was just encouraging me, knowing that there was a shock coming. I don't know; Thou does know. And I know I'm no more a boy. I'm not the little boy that used to hang onto mama's apron. And I'm a middle-aged man now. But oh, how I love You, Lord, how I believe You. Give us grace now. Help us to teach Thy Word, that others might see and learn and know of Thee. We ask in Jesus' Name. Amen.
78 For a text this morning... I think that's all I had to... Well, services tonight, communion, feet-washing, so forth, that's all. I've invited you to stay and be with us. But for our text this morning, let us turn over in the Bible to St. Matthew the 3rd chapter to read a portion of the Scriptures. I want to begin at the 10th verse of the 3rd chapter of St. Matthew.
79 And I know there's many standing, and we hate for that; but if some of you will change off with them, once in a while. I... Excuse me, for me taking my time, but I... You understand. Now, the Scripture reading...
... now also the axe is laid unto the root of the tree: therefore every tree which bringeth forth not good fruit is hewn down, and cast into the fire.
I indeed baptize you with water unto repentance: but he that cometh after me is mightier than I, whose shoes I'm not worthy to bear: he shall baptize you with the Holy Ghost, and with fire:
Whose fan is in his hand... he will thoroughly purge his floor, and gather his wheat into the garner; but he will burn up the chaff with unquenchable fire. Then cometh Jesus of Galilee to Jordan... to be baptized of him.
But John forbid him, saying, I have need to be baptized of thee, and comest thou unto me?
And Jesus answering said unto him, Suffer it to be so now: for thus it becometh us to fulfill all righteousness. And he suffered him.
I would like to take the text from that word there in the 15th verse.
Suffer it to be so now: for thus it is becoming to us to fulfill all righteousness.
81 Often times I have wondered why that--that Jesus of Nazareth... And many times it's been asked me. Why would a Man like Jesus have to be baptized? Why would this Person be baptized as an act of repentance and of confession, when He was the holy, spotless, unadulterated Son of the living God? Why would this Person have to be baptized like a man coming... Baptism is after confession. He had no confessions to make, because He was God. And He, why would He have to be baptized like He had unto repentance, because He needed no repentance, for He was the infallible God? "He was in the world, and the world was made by Him, and the world knew Him not." Why would He have to be baptized?
82 And did you notice the phrase before that said:
... thus it becometh us to fulfill all righteousness.
In other words, "It must be fulfilled. All the Word that God has spoken, It must be fulfilled." God cannot say anything without having it fulfilled. When He has spoken It, it is a finished work. It's already finished when God speaks It. God never speaks until He's ready for it to be; and, when He speaks, it's just as well as already happened.
Now, if that wouldn't give us a basis to put our faith on this morning. When God speaks a Word, it's already finished. And what about His promises that He's given to us? Everything that He has said, it's already a finished work. So therefore, when we receive His Word into our heart, it's--it's already done, it's completed.
85 And why would He then (it doesn't answer the question) be baptized? Many has said, "Why, He was baptized because He was our example." That is true to a certain state, certain place. That is true, but it isn't all the truth.
The truth of it was, that He was the Antetype, He was the High Priest. And before the high priest could be anointed, he had to be washed.
87 I want to read some Scripture for you, just a moment, over in the Book of Exodus. And I think it's the 29th verse I have wrote--29th chapter, rather. And I want to begin here at the 4th verse of the 29th chapter.
And Aaron and his sons thou shall bring unto the door of the tabernacle of the congregation, and shall wash them with water.
And thou shalt take--thou shalt take the garments, and put upon Aaron, and the coat, and the robe... and the ephod, and the ephod, and the breastplate, and to gird him with the curious girdle of the ephod:
And thou shall put the mitre upon his head, and upon the holy... upon the... crown upon the mitre.
And thou shall take the anointing oil, and pour it upon the head, and anoint him.
88 See, Aaron, the high priest, before he could ever be anointed, he had to be washed with water. Therefore, when Jesus, before He could be anointed our High Priest, He was washed with water.
And then not anointing oil poured upon Him to anoint Him, like Aaron was anointed with oil; He was anointed with the Holy Ghost. "For John bare record, seeing the Spirit of God descending like a dove, and going upon Him, and a Voice saying, 'This is My beloved Son in Whom I am pleased to dwell in.'" So the Bible said that, "Jesus was anointed with the Holy Ghost, went about doing good things." See, He was anointed.
90 And before He was anointed, He had to fulfill all righteousness. See, He had to be washed with water before the Anointing come upon Him.
And it's a very beautiful type of us today. As priests unto God, we must be first baptized, confess our sins and be baptized in the Name of Jesus Christ, washing away our sins; and then you shall receive the Anointing, the gift of the Holy Ghost. See? Washed first and then anointed for the service... No minister should enter the pulpit without first being baptized in the Name of Jesus Christ. 'Cause there's only... Remission of sins is only in Jesus Christ's Name, not another other name under heaven given among man. "Repentance and remission of sin must be taught in His Name, beginning at Jerusalem." That's where the Holy Ghost fell and anointed first. So a minister or any believer must first be washed from His sins in the Name of Jesus Christ; and then anointed with the Holy Ghost to bring forth a testimony for God.
92 And Christ was God's testimony, because God was in Christ, reconciling the world to Himself. Now, He said, "Suffer this to be so, John."
That is right. In other words, "John, you are a mighty man; you're a great, mighty prophet. And your revelation of Me is exactly the Truth. You know Who I am. You know, because your ministry didn't come from man. Your ministry came from God. You never learned it of man. You wasn't taught this in a seminary. But at the age of nine years old, you went into the wilderness, because you were borned a odd, peculiar child. And from your very birth, God begin to deal with you. And even before your birth, the prophet saw you. And you are a light of this day. And in the wilderness... You know Who I am, because God in the wilderness told you there'd be a sign following Me. And you've already bore witness of It, and you know it. And we know who each other are. We know each other. And it is true that you need to be baptized of Me. But let's suffer that to be so, for, John, if we are the lights of this day, we must fulfill all righteousness. All God's Word must be fulfilled by us for this day, for it is becoming to us; behooving, it's becoming, it's like us. For if we are the true witnesses of God today, John, we are the lights of this age. And if we are the lights of this age, there's so much Scripture that's got to be fulfilled during this age. And it's up to us. (Hallelujah.) It's up to us to see that all God's righteousness is fulfilled." And what is His righteousness? His Word.
94 In other word, "John, you know Who I am. I am the High Priest. That's true, John, and I have need to be baptized of thee. But we've got to fulfill all righteousness. And I have need to be baptized of thee now to fulfill the Word of God, because all the Word's got to be fulfilled. And we are the lights of the day, and it's up to us to fulfill all this. And I know that your righteousness and your desire is to fulfill the Word. It'd becoming to us. We are the lights."
The light of every age should do the same thing. We know what's to be fulfilled. You who are spiritual and know the Word of God, you see what God has promised. Now, the Word will not come just easy, but It comes by observation; you've got to press your way in to do It. But yet, it behooveth us; it is becoming to us to fulfill all God's righteousness. We must do it.
96 And now, Jesus did recognize in John, that John was a true prophet. The Word had spoke of John, and He knew that he was absolutely the prophet of the hour. And John knew that Jesus was the Messiah of the hour. And they both clearly had an understanding.
Oh, if the Church of the living God could only get that into their heads this morning and their hearts; that the Church would not be separated by denominational barriers, that differences in creeds and colors, and so forth; that we might come together in the Name of the Lord Jesus, not having anything to bear us away from the true Word of the living God; and walk straight down that line of Scripture to fulfill all God's righteousness of today...
For anyone knows that we are living in the evening Light. The prophet said, "It shall be Light in the evening time." And so we know that we're living in that hour, the hour of the evening Light. So the Lord God help us to realize that.
99 Let's go back just for a little bit, and take up some characters that knew their position in their day, and was willing to stand criticism or anything else, that the Word of God might be fulfilled.
Let's take, for instance, Noah and his day. It was becoming of Noah, after he had met God and had knowed God's plan for the day.
Now, you cannot do anything unless you know what you are doing. You must know that it is the will of God. You must know that it is His plan and His desire, and it's revealed to you, then there's nothing going to stop it.
102 Now, Noah knew, because he had not got his ministry from some school of education, but he had talked face to face with God. And he knew that there was coming a flood. He knew that the rains would pour out of the skies, like rivers opening up, although it was firmly against scientific matters in that day. The scientists, no doubt, criticized Noah, and said, "We can scientifically prove to you that there's no water up there."
For they were a great age then, greater than we are today, more scientific than we are today. You know, Jesus referred to it, "As it was in the days of Noah..." How they built the sphinxes and the pyramids, and things that we could not touch building today. And they were great scientists. They had colors and things, and embalming fluid in that day, that they could make a mummy. We could not do it today if we had to. They were farther advanced than we are. And they could prove that there was no water there.
But just the same, it was becoming to Noah, after he'd knowed the plan of God, that he hammered away on the ark, just the same, for he knowed that only that ark would be the only thing that would float. No matter, if it was scientifically proven there was no water there, if the Word of God had said it would rain, it's going to rain.
105 And may I stop here to say this because of the sick people. If your case is so bad that maybe the doctor says that there is not a hope; what difference does that make, as long as God says to you, "I'm going to let you live"?
Why does... The doctor or some scientist would say, "Your religion that you speak of, the Holy Spirit, and your speaking in tongues, and your--and your manifestation is just a mental illusion. That you are not filled with the Holy Spirit. That there is no such a thing." And many thousands of clergymen declare that today, that, "You're just all worked up, that there is no such a thing."
107 And then even some of them has said to me, "Why don't you join some good denomination and use your influence to further that denomination?" And then said, "Now, this here Pentecostal group that you're fooling with, they're just a bunch of religious quacks. And they--they... There's no such a thing as that. They're just mentally worked up. They, they... They don't have what they're talking about. We can prove that they don't have it."
Oh, brother, you're just too late. We know what we have. We are borned again of the Holy Spirit, for we see His works right among us, just like it was in the Bible time. If you believe in that same Holy Spirit, then why isn't He doing the same thing in your church? 'Cause He cannot change; He's God.
110 So no matter what the scientific proofs are, that we are just emotional, that we're just mentally upset, that there is really nothing to this great religion of ours, that--that it's not just what it should be, and so forth like that, that we are just a bunch of outcasts, don't believe it. Don't believe it.
If your daughter happens to come home from school and says, "Mama, we proved today, that the--the skull of the human being is just like that of the chimpanzee. You see?" Or, "We--we have studied and--and we know that we all came from one single cell, that we're merely just animals." Don't you believe that.
No matter what anybody says, any theologian, any doctor, any scientist, any teacher; you hold onto God's Word. For remember, we are building, as Noah was in his days, we are building an ark.
And Noah knew that if he didn't get that ark completed, that not only his own household could be saved. So he knowed God's plan. In the midst of criticism it didn't bother him one bit. He hammered right away on that ark.
114 So no matter how much they say, "There's no such a thing as the baptism of the Holy Spirit. There's no such a thing as Divine healing." It behooveth us; it is becoming to us that we fulfill all righteousness, that we stand in this hour of trial and pound away at the Ark of the Lord.
If they say that, "Brother, you're all mixed up in your baptisms, and so forth. There is... You shouldn't be baptized in the Name of the Lord Jesus."...
116 I was talking to a lovely couple last evening. And there's a young man who has just been baptized, and believes that there's only one God, and in a Business Men's meeting they won't let him testify, because he don't believe there's three Gods.
Now, no matter what they say, it's behooving to us, it's becoming to us that we fulfill all righteousness. The Word will remain the same when Business Men associations and all is gone, and churches will be no more. God's Word will ever remain the same. It becometh us to fulfill all righteousness.
Have not the prophets prophesied of this day? Remember, those critics; it's becoming to them to fulfill that too, because it must be fulfilled also.
119 But Noah, it bothered him not; he went right ahead because he knowed God's program. He knowed what God was going to do, Brother Kidd. He knew God's layout because he had talked to God, and it was according to the Word of God, and he went right on doing it anyhow. Whether science could prove it or anything else, or how much criticism was put upon Noah, he stayed right with God's Word and pounded right away. Why? It was becoming to him, because Noah was a prophet. And it was becoming to him that he kept the Word of God. He stayed with it.
It's becoming to any prophet, true prophet of God, that he stays with the Word. Regardless of what science can say, and what this can prove this or that, so forth, it--it--it's becoming that--that it fulfills all righteousness.
121 [Brother Branham pauses and silently reads a note--Ed.] All right. They sent word for me to pray for mom right away. "Pray for her now. Doctor just left." All right.
Now, Lord Jesus, I am standing here. That's my mother. If she's going, I commit her soul into the hands of God. But here's a message that's got to go on, Lord. There's living here that's got--got to die. You help me, Lord. I'm Yours. In Jesus' Name.
It's becoming to us. It's becoming to me now that I fulfill all righteousness. God's Word comes first. No love like God's love.
124 Now, Noah, no matter what the criticism was upon father Noah, he knew where he was standing, and so he stayed right with the Word. And he built the ark for the saving of his household, because it was becoming to him to do so. It was becoming to Noah, to--to do so.
It's becoming to every Christian to stand by the Word. Exactly right. Stand by God's Word. Heavens and earth will pass away. You'll pass away. I'll pass away. Churches will pass away. Organizations will pass away. But God's Word shall never pass away. Be faithful, faithful pilgrim.
126 In the days of Enoch, just before the flood, when Enoch looked out there and saw Noah building away on that ark. Enoch was a prophet. Enoch knew that he was a type. And he knew, that before the floods came, that he had to give an example, so one afternoon it was becoming to him to take a walk. It was becoming that he'd take this walk with God. And somehow that day he changed his path. Instead of going around the side of the hill, he took the King's Highway, and he just kept on walking. "And they found him not, because he was not," but he'd walked on up the King's Highway.
O God, let me be like Enoch. When the hour comes that I must take the path, let me find the King's Highway.
128 I can see Enoch as he knowed it was becoming to him, for he was a prophet, and he knew what was going to happen. So I can see him kiss his wife good-bye, and say, "Darling, I'll see you later." Take up his children and kiss them good-bye, and go down to his married son and his married daughter, and kiss them good-bye.
And say, "Where you going, father? Are you going out for a little walk?"
"Yes, going for a stroll."
But he never took the old familiar path that day. He took the King's Highway, and he went on to glory. It was becoming to him to do so. He didn't want to leave, but yet it was becoming to him that he fulfilled all righteousness. Because he was a type of the church today. He was a type of the church that's going to take an afternoon stroll, one of these afternoons. We're going to strike the King's Highway, and away we'll go.
131 Yeah, it was becoming to Noah; it was becoming to Enoch, that they fulfill all righteousness.
Then I want to speak of another man here. There was a man named Daniel. And he lived in a day of critics. You know, the Children of Israel had been taken from their homeland down into Babylon, and there they were sad, and for some seventy years they'd been down there. But there was a young prophet that went down with them by the name of Daniel.
And he and a little group, just a little handful of brethren, had got together and had vowed themselves to God, that they were not going to defile themselves with the--with the modern trend of that day. They wasn't going to fool with the king's meats. They wasn't going to drink his strong drinks. They wasn't going to attend his parties. But they were going to keep themself holy and dedicated to God, for thus it was becoming to them.
134 It was becoming to Daniel, because he was a prophet, that he stayed with the Word.
Any true prophet that knows the Word of God, that... If he don't know the Word of God, then he's not a true prophet. A true prophet stays with the Word. Whatever the Word says, they stay right with It. No matter what the trend of the day, or what the--the modern church says, or what someone else says, or somebody else does something else, the true prophet stays right with the Word.
136 And Daniel knew, that if he stayed with the Word, what it cost him. It's going to cost him his popularity. It was going to cost him his fellowship with the rest of the brethren. It was going to cost him a lot of things. But they made an issue, that, they was going to pray to a certain god, then after that they could go back and pray to any god.
But you know, something about God, we don't compromise with God. There's no compro--compromising, with God. God just stays God. He don't expect us on Sunday to be Christians, praising Him and worshipping Him, and on Monday, wishy-washy and take it down, and all kinds of thoughts, that, "Maybe I was wrong, and I ought to have done this or that." We stay right centered on God's Word, and lay right to It.
138 So we find that, Daniel, it was becoming to him, as a prophet to stay with the Word, regardless. So there was a decree went out, and said, "That whosoever will worship any other god, besides the god that they had selected..." In other words, "If you don't cooperate with us, we'll just throw you into the lions' den." Well, it was becoming to Daniel; it was becoming to him that he fulfilled all righteousness, that he worshipped no other god, or entangled himself with the world; only to God only. So he just throwed back the shutters and threw up the sash, and opened up the curtains, and looked out towards the east, and prayed three times a day, just like he always did. Why? Not slip off somewhere and hide to do it, but he opened up the windows, let anybody see, that wants to. He wasn't ashamed of his religion.
139 Because it's becoming to a Christian not to be ashamed of your religion. As Paul of old said, "In the way that's called heresy (crazy), that's the way I worship the God of our fathers." See? "I'm not ashamed of the Gospel of Jesus Christ," he said, "for it's the power of God unto salvation to everyone that believes it." That's right. Not ashamed of the Gospel, it's the thing that holds in the hours when the ship is a-rocking and every star's out of sight, and the moon and stars, and storms a-blowing. It still holds, for it's the Gospel of Jesus Christ.
Daniel was faithful. It was behooving to him.
140 The Hebrew children, it was behooving to them, becoming them, after they had took their stand for God. It was becoming to them. They didn't care about the fiery furnace. Under hard trials, what did they care? They had took a stand.
Oh, God, if Christians of today could only see that. "I'll take my way with the Lord's despised few. I've started in with Jesus, O Lord, take me through." Under trial, troubles, heartache, death, sickness, sorrow, I'll still cast my lot on Jesus Christ to take my stand. "On Christ, the solid Rock, I stand, all other grounds is sinking sand." Everything else is sinking. Kingdoms will fall, and nations will break, and denominations will scatter, and theologians will die, but God's Word will ever remain the same.
Yes, it was becoming to them that they took their stand. And it was becoming to them, after taking a stand, that they remained on their stand.
143 When you come this morning believing that God is going to heal you, and you take your stand, it's becoming to you that you never testify anything contrary to it, or don't come. That's right. If you don't feel like that God would heal you, then stay away, you're only making a mock out of it.
If you feel, this morning when the altar call comes, that, "I want to take my stand for Christ."... If you feel, count the price; count your men; see if you are able to go to battle. See if you're ready. If you don't feel like you're ready, don't come. But if Something tells you, "This is my day; this is my morning," then you come and ever remain there. Don't you move at all, no matter if death faces you, and the fog's floating into your face. What do you care? Stand there. For, "Heavens and earth will pass away; My Words shall never fail." You'll stay with It.
145 When you say, "I believe Jesus Christ as my Healer. I believe, this morning, that He's going to heal my sick body. Something told me to come to the church. I'm here amongst the believers. I'm taking my stand this morning. I believe it. I'm going up to be prayed for. When I'm prayed for, there on that stand I'll remain. No matter how dark it gets, or where it's at, I'll still stand on that stand." You took your stand because it's becoming to you.
After you once made a confession, you must stay with your confession. That's right. It's behooving you, as a Christian, as a believer to stay with your conviction.
Don't let the Devil push you off here and there. You're always muddied up. You're always off the main road. You're always in and out. And that's why you can't stay nowhere. You can't have confidence in yourself. Or, you can't, no one can have confidence in you. You've got to stand. And when you've done all you can do to stand, then stand. Just keep on standing. That's right. We must do that. It's becoming to us. It's behooving us, that we do it.
148 It was behooving to Elijah, becoming to Elijah the prophet, that he made his stand to fulfill the Word of God, because he knowed the Word of God. And he knowed that this archbishop, Jezebel, and all their denominational differences blended in with the trend of the world. It was becoming to Elijah as a prophet, that he stood, and he stood alone. Said to God, "They're all gone but me, and I stand alone." That's as far as he knew. God said He had some more that's taking the same stand; maybe not in the place that--that Elijah was, because he was the target to the nation. They didn't get criticism like he did, because they was all firing right at him, because he was the prophet. But it was becoming to him in the midst of trial, in the midst of criticism, in the midst of indifference, it was becoming to Elijah, as a prophet to take the stand of God and stand there.
It becometh us to fulfill all righteousness. That great and mighty man, foreshadowing this day when the Jezebel religions and things is raising up now, things that we have today, trying to take over. It's becoming to a servant of God, no matter what anyone says, what takes place, stand, because it's becoming to us that we stay with the Word.
150 Elijah knew he was a prophet. He saw visions. God had vindicated him to be a prophet. So no matter if his brethren... They were tens of thousands; just look at the Israelites, millions of them, people who claimed to believe in Jehovah, and they'd organized themselves. They'd went modern, like they are today. They went modern. They compromised on His Word. Hallelujah. But it was becoming to him, Elijah, that he fulfilled all righteousness. So he stood there alone, crying out against the evils. If it took his life, what of it? It was becoming to him to fulfill all righteousness. There's evil in the land. There was indifference in the land. There was Scriptural wrongs in the land. And it was becoming to Elijah to fulfill all righteousness to stand for Jehovah; and Jehovah stood for Elijah. Amen. Becoming to him...
151 Abraham, it was becoming to Abraham to separate himself from unbelief. Becoming to any believer to separate yourself from unbelief. Abraham, it was becoming to him to walk in a land of his own, him and God alone, 'cause he was a prophet. The world didn't understand why Abraham made such a choice. Why did he leave his home? Why did he leave his church? Why did he leave his people? Why did he do such a rashal thing to sojourn in a strange land where there's no water or food? Why did he go into those bleak deserts where men had not went yet? But it was becoming to him, for he was a prophet, to separate himself from all unbelief and to walk alone with God. God said, "Separate yourself, and I'll bless you."
152 When you separate yourself from all unbelief, God will bless you. And it's becoming to every one of us, regardless of the price, to separate ourselves from the unbelieving world. "Come out from among them and be ye separate," saith God, "I will receive you." It's becoming to us as men and women of God to take our stand in this dark hour that we're living.
153 Abraham, regardless of what the rest of them thought, he separated himself. Why? He had saw God. He saw a vision. The vision was true; the vision come to pass. He knew God was with him; Abraham, to make such a rashal statement as he did, a man of a hundred years old, and a wife ninety, and she was barren and he was sterile, and they were going to have a baby at this age. Why, the medical science of that day would've called him some kind of erratic. They'd have called him crazy. But it was becoming. Hallelujah.
154 Sometimes it's becoming to become erratic, if it's according to the Word.
God had spoke to him, said, "Abraham."
Said, "Yes, Lord?"
"I'm the God of your fathers. I'm the God of eternity. I'm El Shaddai; I am the Bosom; I'm the Breast; I am the Strength-Giver. I don't care how old you are, Abraham, what's that to Me? I don't care how sterile you are or how barren her womb is, I'll give you a son."
And Abraham said, "I believe You, God." Hallelujah.
The Bible said, "He staggered not at the promise of God, through unbelief, but was strong, giving praise to God." Why? It was becoming to him. He had saw the hand of God move in power.
157 Oh, Branham Tabernacle, what kind of word will we give at the day of judgment when we've seen His mighty hand? We've seen His power. We've watched His glory. We've seen what He said; It never fails. We've seen His Person, the great Pillar of Fire, a Light hanging in the room here. We've seen It yonder; science has taken the pictures of It, and everything. And hear the message go forth, right straight on the line, "Separate yourself from them. Don't associate with anything of unbelief." It's becoming to us, that we fulfill all righteousness.
158 Abraham professed he was a pilgrim and a stranger. He had nothing to do; he knowed nobody on earth. He walked with God, because it was becoming to him, for he had seen. It was becoming to Abraham when all those kings met out there, you know, to make him a great big guy; all the kings, after Abraham had got this great victory, when the kings met him out there, all the denominational brothers, and said, "You know, Abraham, we'll--we'll make an agreement with you. We're going to do so-and-so."
He said, "I won't take from a shoe latchet to me; not that you'd say, 'I made Abraham something.'"
Oh, it was becoming to him, for he knew (Hallelujah.) that God swore to him, "I'll give you everywhere you look: east, north, west, and south."
161 What difference does it make whether we got a nickel or a dime, whether we got something to eat or whether we haven't, whether we're living or dying? God promised the meek shall inherit the earth. It behooveth us; it's becoming to us, that we live like it, act like it, was fulfill all righteousness. God wants men and women who'll stand and fulfill all righteousness. Of course, Righteousness is His Word.
162 As I said at the beginning of the sermon, that's the reason Jesus was baptized. No matter how it was... If He claimed to be the Son of God, then be baptized for remission of sins? He had none. But He had to be washed, because He was the High Priest. He had to fulfill all righteousness. Said, "Suffer it, John. I know that you know it. I know that I know it. And we know one another. But we'll suffer that to be so, but thus it's becoming to us." Amen. Hallelujah.
Then I'll take the way with the Lord's despised few. It's becoming to me; it's becoming to you as servants of God, that we take the way with the Lord's despised few, that we walk godly, righteously, holy, in this present life, laying aside every weight that does so easily beset us, looking to the Author and Finisher of our faith, Jesus Christ. Amen.
164 It was becoming to Abraham, when he walked up there, and God told him, "Now, take this little boy. Now, you're a hundred and (about) twenty years old. And you got a little boy here, a little curly-head. He's a sweet little thing. But I want you to take him up there on the mountain and offer him up for a sacrifice; by him I'm going to make many nations out of you." How could it be? Looked like God got all twisted up. "I'm going to take, through Isaac, and bless the whole world, every nation, with him; but I want you to take him up there and kill him. Through Isaac's seed..." Hallelujah. "Through Isaac's seed I'll bless every nation under the heavens, but I want you to take him up there and kill him."
165 Oh, that stern, sturdy, old father, with the wood and a sack across his back, leading a donkey (My.), little Isaac walking in front of him, "He staggered not at the promise of God through unbelief." It was becoming to him.
For Abraham said himself, "I received him as one from the dead, and I'm fully persuaded that God's able to raise him up again." Amen. It was becoming to Abraham to fulfill all righteousness. He knew what he was talking about. He knew his God. He knowed what God said, God's able to perform. What promise God made, God's able to keep His promise, regardless. So it was becoming to Abraham that he fulfill all righteousness.
167 It was becoming to the disciples at Pentecost to go to that upper room. Why? Why was it becoming? Because they had met a Man, a Carpenter, known to the world, a Galilean Stranger with a bad name: illegitimate. But they had seen that Man raise the dead. They'd seen that Man open blinded eyes. They had heard that Man preach the unadulterated God's Word. And they knowed that He was Messiah. They'd seen all the signs around Him. They'd heard God speak back from the heavens. They'd seen that Pillar of Fire hanging over Him. They knowed that He was the Messiah. And when He told them, "It's expedient for Me that I go away; but I want you to go up there to the city of Jerusalem and stay up there. Just wait there."
"How long?"
"Until."
"How long will that be, Lord?"
"Just until, until you're endued with power from on high. Then you'll be My witnesses."
"How long will it last, Lord?"
"Unto this generation, and to that generation, and as many as the Lord our God shall call: to Jerusalem, Judaea, Samaria, and to the utmost parts of the earth. But before you go, I want you to wait. I'm going to do something for you."
170 It was becoming to them that they went in the upper room, because they had seen His power. They'd knowed that He died, dead, died so dead that even the moon and stars witnessed He was dead; they hid their face and wouldn't shine. The earth knowed He was dead, until it rocked with a nervous prostration. The rocks belched out of the ground, that'd been in there since the antediluvian destruction. They knowed that was Messiah. They knowed that His Word was, that He was to send back the Holy Ghost. They knowed that was a promise. They knowed that they had to wait up there for It. They had seen Him. They knowed He was dead; they knowed He was risen. They had seen Him; therefore, they knowed what they were talking about.
Until a man knows what he's talking about, he can't say very much. But when you know what you're talking about... If you think this is excitement, come get It once, then you'll know what you're talking about. It's not excitement. It's the power of God unto salvation. It's the Holy Ghost. I know what I speak of. Everyone has received Him, knows what they speak of.
172 It was behooving to the disciples; it was becoming them that they should keep His Word to wait up at Jerusalem. So they went up to wait at Pentecost, until they received the Holy Ghost. For then they knowed their ministry could not go on until they had received the Holy Ghost to bear record of Him. They knowed they were helpless. But they had to have His Presence, so they went to wait for It.
It was behooving to Peter... After Jesus had met them, in Mark 16, said, "Go into all the world, and preach the Gospel. These signs shall follow them that believe: In My Name they shall cast out devils, speak with new tongues, take up serpents; drink deadly things, it'll not harm them; if they lay their hands on the sick, they shall recover."
174 It was behooving to Saint Peter, the old fisherman, didn't have enough education to sign his own name. But one day when he was going through the Beautiful gate that Solomon had built, there laid a man who was lame. His knees was weak, ankles; he couldn't walk. He'd been that way. He had no strength. A man about forty years old, he had no strength. But when Peter heard the cup rattle, and he looked down and seen a crippled man laying there, and Something pounded in his heart... He had been at Pentecost; he had the Holy Ghost. He had the promise of Jesus, so it was behooving, it was becoming to him, that he said, "Silver and gold have I none." He gave his testimony, "I have no silver and gold. But such as I have, I'll give it to you if you can receive it."
I can imagine the man say, "I can receive it."
Said, "Then in the Name of Jesus Christ of Nazareth, stand on your feet and be made well." And he reached down and got him to exercise his faith, and raised him up like that; and his ankle bones received strength, and he went, leaping, praising and glorifying God.
176 It was behooving him to do it; it was becoming to him. He should've done it, because he was anointed disciple. He'd been with Jesus. The whole world knew, the day before in the Sanhedrin Court, when they had him gathered up, him and John, both of them ignorant and unlearned; they knew they'd been with Jesus, 'cause they heard the way they were talking and the boldness they had. They knew that something had happened to them. And Peter knew that. So it was becoming Peter; it was becoming to him because that he had God's promise for that day.
"I'll give you power. I'll give you power. You shall tread on the heads of serpents and scorpions. Whatever you ask in My Name, that I'll do. If you say to this mountain, 'Be moved,' and don't doubt it in your heart, but believe that what you said shall come to pass, you can have what you said."
It's behooving to Peter then to believe It. It's becoming him. That's what he should do, because he knowed he lived in the day of that commission. That was the Light of the hour. The resurrection had just come; the Holy Ghost was there. It was becoming to him.
179 It was becoming to Saint Paul, after being a critic. And on his road down to Damascus one day, there that Pillar of Fire that had led Israel from Egypt into the promised land, that had been made flesh and dwelled among them and returned back to God, spoke to him. And he wondered, "How could this be Jehovah? How could it be? And there He is in the same Pillar of Fire, hanging yonder." "Lord, Who are You that I persecute?"
He said, "I am Jesus." Oh, my. He commissioned him, give him his ministry: commissioned Paul, give him his ministry.
Paul had been in the Presence of God; he'd seen the Pillar of Fire. He seen that Jesus that was once the Pillar of Fire, had been made flesh and dwelt amongst us, and returned back to a Pillar of Fire, and commissioned him to his ministry. Hallelujah. Nothing's going to shake him. It was becoming to him, when they took handkerchiefs off his body and sent to the sick. It was becoming to him, because he knowed he was the anointed apostle. He saw the visions of God, and God appeared before him and spoke, and seen it happen just exactly. Why, it was becoming to Paul, that when he try to help the people, fulfill the Word that he was commissioned. He was the Light of the day. He was the Light to the Gentiles. He knew it; God commissioned him to be. He was the Light in that day. So He was commissioned to Paul.
182 Now, it's becoming us, becoming to us in this day. We know. We've just been through the church ages. We know that we've received the Holy Ghost; we know that beyond a shadow of doubt. We know we have the Gospel Light.
"Repent, every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ, for the remission of your sins, and you shall receive the gift of the Holy Ghost." There's not a clergyman in the world, or nothing else, can defy that. How far should this be done? "The promise is unto your children, to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call."
184 The prophet said, "It'll be Light in the evening time, these Gospel Lights would turn back again." Like the same sun rises in the east and sets in the west, It shall return again in the last days. Here we are in the last days.
We have received the Holy Ghost. We know that. We spoke in tongues like they did at Pentecost. And we know you can receive It.
We know that the seventh angel has given the message. We see It vindicated with signs. We know we're at the end of the Laodicean age. We know that national strife, signs and wonders, are appearing everywhere. We know that we're at the end time, God bearing witness. And it behooveth us; it's becoming to us that we fulfill all righteousness. Nations against nations, perplexed at time, distressed, all these things that we have heard... If you can receive it...
189 Now, we're at the last hour. We're in the Laodicean church age. Every messenger's give his age, give his message in his age. And we're here at the end of the age, and we see that God has a-vindicated it with signs and wonders. And nobody can say it isn't so.
He's here now. He's in the Church. He's in the people. Nobody can say it isn't so. We know that He's here.
It behooveth us to take His Word. We... It behooveth us to believe all righteousness. It's behooving to us. It's becoming to us that we fulfill everything that He has spoke of.
192 The church is weak, the churches of today. We're broke up in organizational strife, separation of brotherhood; Methodists, Baptists, Presbyterian, Oneness, Threeness, Fiveness, all kinds of stuff. We're broke up. That's the way it's supposed to be. It's got to be that way.
Then there will come a message. Oh, hallelujah. We know that that same Pillar of Fire that led Israel. We know that the same ministry that accompanied Jesus Christ, by that Pillar of Fire that had Him anointed, is accompanying the church today. Science has proved it; we don't need that. God's proved it. We need the ministry of Jesus Christ to fit that Headstone coming yonder, that's brought the church into a place where the ministry is exactly like it was when Jesus left. Exactly.
Nations are breaking, Israel awakening,
The signs that the sages foretold;
The Gentile days numbered, with horrors encumbered;
"Return, O dispersed, to your own."
194 We're in the last days. And it's behooving to us; it's becoming to us that we fulfill all righteousness.
Remember, Jesus said, "As it was in the days of Lot, so will it be in the coming of the Son of man." How many remembers that? [Congregation Amen."--Ed.] All right. What was it in the days of Lot? What sign did He give?
There was three classes of people in the days of Lot. Was that right? There was the unbeliever, the make-believer, and the believer. Each one of them received a messenger. That's right. When Abraham was setting under his oak, what taken place? Look what taken place.
There was an Angel came down and went down into Sodom. This Man went down there and taught repentance to them, that they should repent and turn to God. What happened? Only three came out, Lot and his two daughters. His wife turned to a pillar of salt. Only three came out, when there was a modern Billy Graham who shot the message down in there to them.
And we see that happening today. We see, to the nominal church, we see a messenger going forth, preaching.
199 And there was One Who came to Abraham and the elect church. He give them a sign. And we know that's true. We know it's a fact. He set with His back turned to the tent, told who Sarah was, what was on her heart, what was her trouble. He give the message, exactly. Abraham knew that was God. For immediately after He said so, he called Him Elohim, a Messenger, formed in human flesh to bring a message to a Sodom and Gomorrah.
And when we see those things that Jesus said would come to pass, it's becoming to us that we fulfill all righteousness. It's becoming to us that we take God at His Word. Do you believe that? [Congregation says, "Amen."--Ed.] Thus suffer it to be so now.
201 "Brother Branham, you're--you're--you're out of the cater with the rest, the denominations."
That may be so. Suffer that to be so now. That's right, suffer that to be so.
"Well, you'd be a lot better off if you'd go ahead and cooperate."
Suffer that to be so now that... But thus it's becoming to us. We are His people, His prophets, His sages. It's becoming to us that we fulfill all righteousness. So let us do that, as we bow our heads.
Nations are breaking, Israel is awakening,
Signs that the Bible has foretold;
Gentile days numbered, with horrors encumbered;
"Return, O dispersed, to your own."
A day of redemption is near,
Man's hearts are failing for fear;
Be filled with the Spirit, your lamps trimmed and clear,
Look up, your redemption is near!
False prophets are lying, God's Truth they're denying,
That Jesus the Christ is our God, (How true that is: oh, hundreds.)
But we'll walk where the apostles have trod.
For the day of redemption is near,
Man's hearts are failing for fear;
Be filled with the Spirit, have your lamps trimmed and clear,
Look up, your redemption is near!
205 While you have your heads bowed, is it becoming to you this morning, that you give your life to Christ? Has He spoke to you? If so, just raise your hand to Him, and say, "I now accept Christ. It's becoming to me that I surrender my all, my will, this morning to Him. I now raise my hand and say, 'Lord Jesus, be merciful.' I need Thee, oh, how I need Thee. Every hour I need Thee." God bless you. "Oh, blessed Saviour, I come to Thee."
I need thee, oh, I need Thee; (What if you were laying where mother's laying now?)
Every hour I need Thee!
Oh, bless me now, my Saviour,
I come to Thee!
I need Thee, oh, O Lord, we need You;
Every hour I need Thee!
Oh, bless me now, (Lord, I need You now more than I have in a long time.)
I come to Thee!
[Brother Branham begins humming, "I Need Thee Every Hour"--Ed.]
207 Heavenly Father, down through the valleys we walk, knowing that You've promised, "I'll not leave thee, neither will I forsake you. Seek ye first the Kingdom of God and His righteousness; all other things will be added unto you."
So I come to Thee!
If there be any here, Lord, who's not right in their souls, if they were coming down that trail that my mother is right at this moment, O Lord, may they have that testimony too. It's behooving to us today, Lord.
We're at the end road, the Laodicean church age; a message; the rejecting of the message; the vindication of the message; and the Presence of Christ proving He's the same, yesterday in the days of Lot, as in the days of His flesh, and in the days of today: yesterday, today, and forever.
Let them receive You now as their blessed Saviour. Grant it, Lord. I ask in Jesus' Name.
210 Oh, bless me now, my Saviour,
I come to Thee!
Most precious Lord,
Temptations lose their power,
Truly, Lord, when Thou art nigh.
I need Thee, oh, I need Thee!
Every hour...
If Thou hast taken her from us, rest her precious soul in heaven. Grant it. Grant it, Lord.
... my Saviour, I come to Thee!
212 Father God, hear us. It's becoming to us that we fulfill all righteousness here. We know what the Word says. We're not in darkness. We know what the Word has promised. Help us, O Lord, that we fulfill all righteousness. Fulfill Your Word. May each believer here have faith now, as we come to the sick. All of us love to live, Lord; but the first would be Eternal Life, for that world that is to come. Hear us, Father, while the congregation's praying, especially the sick and the afflicted.
213 I wonder today, if there's any strangers with us, that's never been in the Tabernacle before, and you're sick, and you're looking to God for help? With your heads bowed, all of you. Would you raise your hand, you people that's strangers to me, that doesn't know me or I don't know you, and you've come to Christ now for help? Just raise up your hand. See? God bless you, and you, and you. There are several.
You have to only believe. This message is not in vain; it's the Word of God.
215 See a lady... With your heads bowed. She remains holding her hand. She's suffering with a heart trouble. She's a Mrs. Nance. She's from Madisonville, Kentucky. That's right. Isn't it, lady? You can raise up your head...?... You had your hand up, just kept it up. That's true, wasn't it? If it is, raise your hand. See where we're living at, friends? I don't know that lady. I've never seen her. But what is it? It's a sign of the Gospel. That you might...
Do you believe me to be His prophet, lady? You do? Yet we're strangers. I don't know you. That name was right, wasn't it? If it was all right, whatever He told you, just--just wave your hand to the audience, so they can see that that was right.
217 What could do that? Jesus of Nazareth. That you might know that I be God's prophet, and telling you the truth, for thus it behooveth us. A woman touched His garment, and He turned and told her her blood issue, and said it had stop.
The lady setting next to you also has a heart trouble too. That's right. Yes. I don't know her. You know I don't. See? But God knows her. He knows her trouble, doesn't He? Miss Allen, do you believe that God can make you well? If that's your name and your trouble, raise up your hand. Raise up your hand, if that's right.
219 A lady setting next to you there... I mean Mrs. Bennett. You're all from the same place. She has kidney trouble instead of heart trouble. You believe with all your heart, you can be made well too. Do you do it, lady? Raise up your hand, say, "I'll accept it," then you can go home, get well. If thou canst believe. You're all down in Kentucky, a city called Madisonville.
Setting right back there, a lady, Mrs. Bone. She's near Madisonville. She don't live right in Madisonville; she's looking right at me. And there's that Angel standing right over her. She just lives near Madisonville. Her name is Bone: sinus trouble, asthmatic condition, coughing. If that's right, wave your hand back and forth, lady. Believe on the Lord Jesus Christ, and go home, be well.
221 Throat trouble, sir. Do you believe that God can heal throat trouble and make you well? Be healed. Just have faith in God.
Miss Hopkins, the colored lady from Chicago. I don't know you, never seen you in my life. But you want to be healed of that nervousness, sinus trouble? Go, believe; you can be well too.
Mrs. Hanes from Columbus, Ohio, you believe on the Lord Jesus Christ; you can go home and be well too.
We're on the end road. You believing? It behooveth us to fulfill all righteousness. He promised those things would be. We're here. Do you believe it?
225 Well, put your hands on one another. I want to ask you a question. Did Jesus promise these things would be in the last days? Say, "Amen. [Congregation says, "Amen."--Ed.] "As it was in the days of Lot, the works that I do shall you also." Did He also say this, "These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick, they shall recover"? Are you ready to take your stand, a believer? For thus it is becoming to us that we fulfill all righteousness.
It's the righteousness of God, that when these handkerchiefs here (I lay my hands on in the Name of Jesus.) touches you; I know the Holy Ghost is here, the same One that was with Paul. "They taken from Paul..." So shall you be healed, if you'll just believe it.
227 I believe the same Holy Ghost, that by the Holy Ghost is here this morning, proving Himself the Messenger of the last day, the great Holy Spirit Himself, impersonating Himself, coming into human flesh, doing His work.
I've stood this morning under difficult. You know just about what I'm fixing to hear when I leave here. But it's becoming to us that all righteousness be fulfilled.
God put the message on my heart. Now, it's becoming to you as a believer, that you believe. While you got your hands on one another, there'll not be a sick person among us, if you'll just believe that with all your heart, and you're ready to take your stand.
230 Now, heavenly Father, we bring to You this audience, after this message. Lord God, surely the people can see now that it's becoming to us. It's becoming to a prophet to stand on the Word. It's becoming to a member of church; it's becoming to them that they stand. It's becoming to the sick people to believe the Word of Jesus Christ, when He said, "These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick, they shall recover."
I was going to call the prayer line, Lord. But the message that's just come me by the phone has shook me, Father. O God, Your Word says, "It's becoming to us that we fulfill all righteousness." Here they are, each one.
232 The Holy Ghost here proving that He's among us, now, let the power of God, let the witness of the Holy Ghost move into the hearts of these people just now, giving them an assurance like Daniel had, like Noah had, like Enoch had, like John had, like Peter had, like Paul had, like Jesus had, like Abraham had, like all of them had, Lord, That it's becoming to us in this day, where Divine healing power is poured out, signs and wonders are being done, great awakening has become among the people, the Holy Spirit has dropped among the people. They have shouted, spoke in tongues, prophesied, great gifts, and signs and wonders. The Angel of the Message, the Angel of the age has appeared to us in the form of the Holy Ghost, and He's bringing us a Message. We see It being fulfilled. We see Him taking our bodies and transforming us from mortal human beings into agents of God to speak forth great mysterious signs and wonders. When we see these things, then it is becoming to us that we fulfill all righteousness.
233 When we know that Abraham looked back to Lot, that when Daniel could look to Abraham, that when John could look to Daniel (O God.), that when Peter and John could look to Jesus. And when we can look to them, and today we see the same results among us, then it's becoming to us that we fulfill all righteousness.
Let the power of Jesus Christ surge this building with Divine faith, and heal every person in here of every affliction and every disease, Lord. And as Your servant, I charge this devil that's pushed at me all morning, that's tried to make me get out of this pulpit... By the grace of God I stayed here.
235 Where these poor, sick are; suffering mortals of God... Come out of them, you devil. I charge thee by Jesus Christ the living God, that you depart from these people, and bother them no more, for they stand like the Hebrew children in the hour of trial to take their stand, and be healed from this hour on. Through Jesus Christ's Name, I charge the sickness and devils of this congregation, that's come to sicken these people to depart from them.
236 With our heads bowed, our hearts to God, I'm going to sing a song. I'm going to try it, with your help and God's help. "My Faith Looks Up To Thee," I don't want you to doubt one bit; I want you to believe now. It is becoming to us. How many Christians are in here? Raise your hands, and say, "Amen." [Congregation says, "Amen.".--Ed.] How many believers? Say, "Amen." [Amen.] How many have laid your hands on others? Say, "Amen." [Amen.] Then it is becoming to us that we fulfill all righteousness.
My faith looks up to Thee,
Thou Lamb of Calvary,
Saviour Divine;
Now hear me while I pray,
Take all my sin away, ("Sin" is "unbelief")
O let me from this day
Be wholly Thine!
While life's dark maze I tread,
And griefs around me spread, (God, be my Guide now.)
Be Thou my Guide;
Bid darkness turn to day,
Wipe sorrow's tears away,
Nor let me ever stray
From Thee aside.
237 With our heads bowed... That darling old mother of mine has passed on since I've been preaching, may my voice echo down through the big canyons of heaven.
When she told me the other day, she said, "Billy, you've fed me. You've paid my rent and my light bill, give me something to eat. Said, "Honey, when you was a little boy, I got out in weather and chopped wood, made you a fire to keep you warm. And I cooked for you what we had in the house to cook." See her laying there, them little old feeble hands that washed our dirty clothes. You stand helpless, nothing I could do.
239 I said, "Mama, into the hands of the living God, I commend your righteous soul."
She's gone on since then. All of them's left. My brothers is all that's left. The message here on the pulpit was pretty bad. If she's gone on, God rest her soul. If she's still with us, and with us till tonight, by God's grace I'll be here at the pulpit to fulfill my duty, for it's becoming to me that I fulfill all righteousness. And I'll find out.
I'll turn the service to Brother Neville, my blessed associate pastor: Brother Neville.