Une Bannière
1 Merci, Frère Outlaw. Merci beaucoup. Bonsoir, mes amis. C’est un… J’apprécie certainement cette bonne présentation de la part du frère Outlaw, et ce sont des sentiments mutuels. Et je suis heureux d’être ici, dans ce tabernacle, ce soir, d’être de retour ici à Phoenix et d’entendre ces merveilleux cantiques et cette aimable petite chorale. Je les ai observées de près. Je suis très critique à l’égard de certaines attitudes de gens et de leur habillement dans ces derniers jours ; j’ai plutôt eu à apprécier ce petit groupe de femmes, ici, au visage propre. Et cela a l’air très bien pour moi. Et je suis certainement reconnaissant pour elles. Que Dieu les bénisse.
Et pour frère Outlaw et son fils, je me rappelle quand j’étais ici, ce jeune garçon n’était qu’un tout petit enfant. Et aujourd’hui le voici, je pense, marié et peut-être qu’il a une famille. Et cela montre simplement que ça ne traîne pas tellement à arriver, n’est-ce pas ? Nous sommes certainement emportés sur la voie. Mais il y a une chose glorieuse que nous attendons impatiemment : le jour où nous verrons notre Seigneur Jésus, et alors nous serons tous donc changés.
2 On disait que soeur Waldrop était ici ce soir, la dame qui a été guérie du cancer. L’autre soir, je l’ai appelée par son nom. Où est-elle ? Est-elle dans la salle maintenant, et… ? Oui, soeur Waldrop, et frère Waldrop aussi. Nous sommes certainement content de vous avoir dans la réunion ce soir. Je pense que c’est frère et soeur Evans de Macon, en Georgie, que je vois ici à ma gauche; ils viennent de là loin, à Macon.
3 Et – et ce jeune frère grec qui est assis ici devant ; je ne pense pas… Il vient de là loin, en Grèce. Il n’y a pas longtemps, j’ai donc fait connaissance avec lui et… Eddie, je pense, n’est-ce pas ? Ou me suis-je… ? Dave, David. J’apprécie cette Bible-là et autres que vous m’aviez envoyés tout récemment, ce livre-là. Et je vous remercie beaucoup, frère. Et beaucoup de nos amis… il y a un autre groupe venu de la Géorgie ; Frère S.T., comme je l’appelle, je pense, ou T.S., ce côté-ci. Et j’étais heureux de voir le jeune garçon de frère Williams. Que des fois ne m’a-t-il pas demandé de prier pour lui. Et de l’entendre témoigner, ici debout, comme cela ce soir, j’en suis certainement ravi.
En venant, j’ai rencontré frère McAnally là, mon vieil ami. Il m’arrive de le voir pratiquement chaque fois que je viens ici. Il y a ici beaucoup de nos amis.
4 En écoutant ces témoignages sur des guérisons, ça me rappelle ceci : Il y a quelques instants, j’ai téléphoné très loin, à frère Tommy Hicks, qui est à Washington, ou plutôt en Oregon. Il voulait que je le remplace cette semaine. Son frère, sa belle-soeur, toute la famille a été du coup tuée cet après-midi, là au Mexique. Et il doit y aller pour identifier son frère, faire tous les préparatifs et autres. Et j’ai certainement de la compassion pour frère Hicks. J’ai eu à faire la même chose il y a quelques semaines pour ma mère, et je sais ce qu’il ressent. Ainsi donc, en ce moment-ci, je pense qu’étant tous unis ensemble comme un seul grand Corps de chrétiens, je pense qu’il est vraiment indiqué que nous inclinions simplement la tête un moment pour offrir une prière et solliciter du réconfort pour frère Hicks en cette heure-ci.
5 Notre Père céleste, nous nous présentons devant Toi maintenant comme un groupe – un groupe de gens qui sont des pèlerins et étrangers, de passage, qui confessent que ceci n’est pas notre demeure; nous sommes citoyens d’un autre grand Royaume à venir, au sujet duquel Jésus nous a appris à prier : «Que Ton règne vienne, que Ta volonté soit faite. » Père, ce soir, un de nos frères, frère Tommy Hicks, Ton serviteur, une nouvelle triste lui a été annoncée par téléphone. Son précieux frère (je pense qu’il n’était pas sauvé) ainsi que sa femme, et les enfants, ils viennent tous de périr aujourd’hui dans un accident d’automobile. Et notre frère est maintenant dans les airs, à bord d’un avion, pour retrouver le cadavre de son précieux frère. Je prie pour frère Hicks, Seigneur. Je prie que Ton Esprit soit sur lui et qu’Il l’assiste. Console-le. Et puisse la main puissante du Dieu vivant l’atteindre et lui accorder la grâce qui soutient en cette heure-ci. J’éprouve moi-même ces sentiments pénibles, Seigneur, ayant connu une situation semblable il y a quelques semaines; j’ai de la peine pour lui. Et je Te prie de le consoler par tous les moyens qui Te sont possibles, Père. Nous demandons ceci au Nom de Jésus. Amen.
6 Il y a beaucoup de choses à dire et très peu de temps pour les dire. Nous regrettons vraiment ce soir qu’il y ait des gens debout à l’intérieur, dehors, et le long des murs de l’église.
Eh bien, la semaine prochaine, le jeudi prochain, la convention va commencer ici à Ramada (je pense que j’ai bien prononcé cela), là du côté droit, à l’ouest, ou plutôt à l’est, sur la rue VanBuren. Et à Ramada, c’est une sorte de grande salle avec assez de sièges pour asseoir deux mille cinq cents personnes. Et j’estime que c’est un grand privilège pour moi d’être invité ici par la communauté des Hommes d’Affaires du Plein Evangile, pour laquelle… J’ai prêché pour eux pratiquement dans le monde, et ils m’ont invité ici à cette convention, frère Williams le président de ce chapitre-ci et beaucoup de braves hommes.
Et nous nous attendons à un moment glorieux là, et d’après ce que je comprends, il y aura de bons orateurs là. Et je comprends que j’aurai le grand privilège de parler le samedi matin au petit déjeuner. Et si c’est le cas, j’aimerais parler sur ce sujet-ci : L’homme le plus mauvais que j’aie jamais rencontré.
7 Alors… Et puis, le dimanche après-midi, je dois encore prêcher, m’adresser au corps de croyants là, le dimanche après-midi. Durant toute la semaine, j’ai été d’une église à une autre, d’une église à une autre, parfois deux églises par jour, ainsi de suite, rendant visite à mes frères. Et j’estime certainement que c’est un privilège, mes amis, d’avoir à rencontrer différentes organisations.
Et il y a longtemps, ceci était pratiquement impossible, rassembler les gens de différentes tendances et de différentes organisations. Mais Dieu est si merveilleux. Il a tout simplement contourné cela, de telle sorte qu’aujourd’hui eux tous commencent à communier les uns avec les autres, ils oublient leurs petites divergences et s’empressent vers le but de la vocation céleste. C’est certainement bien. Je suis très reconnaissant à Dieu du fait que je vois cela. Et maintenant, c’est ma prière : puisse cela continuer à se développer.
8 Frère Outlaw, comme il venait de le dire, a été le premier à m’inviter à Phoenix. Il y a plusieurs années, je suis venu ici avec frère Kidson, et nous avons tenu une série de grandes réunions. Cette série de réunions-là a beaucoup marqué ma vie. A l’époque, on n’avait pas d’enregistreurs. On avait un petit sound scriber [Un appareil qui enregistre les sons sur un disque plat, utilisé avant les cassettes. – N.D.T.] et on faisait de l’enregistrement. Je garde encore cet enregistrement qui a été fait à l’église de frère Outlaw et à celle de frère Garcia, là-bas, avec la petite chorale espagnole qui chantait en espagnol, comme celles-ci l’ont fait en – en anglais.
Et de temps en temps, quand nous nous sentons un peu solitaire à la maison et que j’éprouve de la nostalgie de voir les gens – les gens à Phoenix, alors je mets cet enregistrement et je joue cela, vous savez, et vous… et c’est pratiquement abîmé. Mais je connais si bien cela que je sais chaque petit moment où cela va faire un saut, rater une ligne et tout le reste. Je m’y accroche donc simplement.
9 J’ai fait l’expérience la plus triste de ma vie tout récemment en perdant ma mère, elle était une chrétienne très douce. Mais elle – elle est vite partie. Je n’ai pas le temps de raconter cela ce soir. J’aimerais le faire à l’une des réunions, à l’un de ces petits déjeuners quelque part, comment le Seigneur m’avait éloigné pour que la chose vienne à se passer. Il m’avait donné une vision sur l’endroit où aller, et sur ce qui allait se passer. Puis, sur le chemin de retour… Et combien c’était doux de voir ma mère en arriver au bout du chemin, de la tenir dans mes bras, ou plutôt par le bras, et confier son âme à Dieu, de voir cette précieuse vieille sainte femme s’en aller alors qu’elle n’arrivait plus à parler…
Et j’ai dit : «Maman, Jésus est-Il toujours doux pour toi comme Il l’était le jour où tu as reçu le Saint-Esprit ? Tu n’arrives plus à parler, je le sais. Mais si c’est vrai, bats simplement très vite les yeux. » Et elle a battu les yeux, et des larmes lui ont simplement coulé sur les joues, et elle s’en est allée à la rencontre du Seigneur. Cette nuit-là, le Seigneur est venu vers moi dans une vision et m’a montré ma mère telle qu’elle était à l’époque. Je ne peux vraiment pas m’empêcher d’inviter les gens à se hâter vers cela (Voyez-vous ?), étendue… Ne manquez jamais cela, mon ami.
10 Et maintenant, souvent la position que nous prenons… Nous ne brisons la communion avec personne à cause de sa foi, mais étant de la Pentecôte, et ayant l’expérience de la Pentecôte… J’ai vu cela se passer dans ma famille, avec ceux qui étaient arrivés au bout du chemin, et je les ai observés jusqu’au moment où leur âme s’en allait. Et je vous assure, je suis très content d’avoir fait cette expérience-là, je – d’avoir en moi l’expérience de la Pentecôte. Et j’aimerais vraiment que tout le monde ait cela. Ne manquez pas cela. Quoi que vous fassiez, ne manquez pas cette expérience.
11 Généralement, dans mes réunions, partout où je vais, il est toujours question de prier pour les malades. Je ne sais pas. Ça – ç’a été un grand succès. Le Seigneur a béni en exauçant bien des fois mes prières. Et je me demande, juste avant de vous parler, y a-t-il quelqu’un qui est venu ce soir pour qu’on prie pour lui, pour quelque chose ? Je pourrais alors un tout petit peu changer de sujet. Si on allait prier pour vous, je vais parler de quelque chose en rapport avec la guérison divine. Sinon je vais parler d’autre chose.
Y a-t-il ici quelqu’un pour qui on doit prier, qui aimerait qu’on prie pour lui ? Levez la main, afin que je puisse me faire une… générale… Humm. Oh! la la! c’est… Eh bien, je me suis débattu il y a environ une demi-heure. Dites donc, à propos, est-ce que Billy Paul, mon fils, est ici ? Billy Paul, es-tu ici ? As-tu distribué des cartes de prière ? Va en prendre quelques-unes pendant que je parle un peu, distribue-les. Voyez, parfois si on ne le fait pas, les gens reviennent sans cesse dans la ligne comme ça. Et vous n’en finirez pas. Ainsi… ainsi donc… Si vous allez avoir beaucoup… Nous aimerions nous occuper de tout le monde, mais pas deux fois (voyez-vous ?) ; en effet, beaucoup de gens ici sont … viennent de loin. Et je prêcherai calmement pendant quelques instants sur une chose ou une autre pour essayer d’aider, d’amener la foi au niveau où nous pouvons prier pour les malades.
12 Vous avez un merveilleux pasteur et un merveilleux co-pasteur ici, un merveilleux conseil, une merveilleuse église, un merveilleux peuple. Et l’autre jour, je parlais à l’une des réunions ici, à Phoenix, dans la – la première réunion, et je parlais (quand mon épouse et moi descendions la rue, eh bien) de l’aspect que cette vallée a dû avoir il y a quelques centaines d’années, et de l’aspect qu’elle a aujourd’hui.
Et aujourd’hui, nous avons effectué un voyage et nous sommes allés sur le South Mountain, et là loin, au-dessus de la ville, là, loin de l’atmosphère de la ville. Nous étions tous assis là, parlant du Seigneur et de ce qu’Il a été bon envers nous. Et juste – le Saint-Esprit s’est en toute douceur déversé dans la voiture, et juste… Et j’ai baissé le regard sur la vallée, là où le petit Joseph et moi étions descendus il n’y a pas longtemps, quand j’étais ici. Lui et moi étions assis là, nous nous tenions par la main et nous priions (mon petit garçon). Et je priais Dieu qu’à mon départ Il m’accorde de déposer ma Bible entre ses mains et lui accorde de s’Y accrocher, rien qu’à la Parole ; et ce sera une contribution pour Lui, ça épargnera ma vie et ça m’aidera.
13 Eh bien, vous savez, si vous vous éloignez… Nous connaissons toutes ces villes… Je pense que Phoenix est – est une merveilleuse ville. Mais j’ai dit à ma femme : «Penses-y donc. Là en-bas maintenant, en ce moment même, dans cette petite vallée, cette vallée de Maricopa ici que nous parcourons du regard, le Salt River ici, combien de gens en cet instant, dans cette seule petite vallée, sont en train de prendre le Nom du Seigneur en vain ? Combien de péchés, d’adultères et autres ont été commis en cette dernière heure, dans cette ville, parmi ce petit groupe de gens ? »
J’ai dit : «Combien de gens, penses-tu, ont péché dans cette ville pendant les quinze dernières minutes, depuis que nous sommes assis ici ?» Pensez-y ce soir. J’ai dit : «C’est étonnant que Dieu ne rase pas simplement tout cet endroit. » C’est certainement vrai.
14 Mais vous rappelez-vous ce qui s’est passé à Sodome ? Il y avait là quelqu’un qu’on devait faire sortir. Et j’ai dit : «Chérie, tout cela mis à part, souviens-toi que dans cette vallée, depuis que nous sommes ici, en haut, il y a eu prière après prière qui sont montées de coeurs sincères. » Voyez-vous ? Et j’ai dit : «C’est la raison pour laquelle nous sommes ici à Phoenix, aujourd’hui, et dans ces réunions, communiant avec nos frères ; c’est pour faire tout notre possible afin de contribuer à déplacer ce lourd fardeau, essayer d’amener les autres à voir.»
Eh bien, un jour, je pense que toute la vallée sera exterminée, le monde entier sera rasé. Et le glorieux Millénium aura lieu. Et j’ai dit : «Les guerriers et les héros de la foi parcourront alors les jardins de Dieu (ils ne seront plus jamais vieux, ils ne tomberont plus malades). Pendant que les cantiques rempliront les airs, les anges baisseront le regard.»
15 Je pense à un soldat qui rentre chez lui après avoir reçu les honneurs outre-mer, vous savez, ou quelque chose comme ça, comment les gens, on dirait, lui témoignent un grand honneur. Mais qu’est-ce ? Ce ne sont que quelques honneurs dans la rue et quelques sons de trompettes, ou des retentissements de cloches. Et puis, on retournera directement à la vieille routine.
Mais de ce côté-ci, il y aura une éternité sans fin, les hymnes que les anges chanteront pendant que ces guerriers, leurs femmes et leurs familles parcourront les paradis de Dieu. Eh bien, ce n’est pas un rêve mythique comme celui de Noël, père Noël. C’est la vérité, mes amis. Et – et nous attendons impatiemment cela. J’attends de tout mon coeur ce moment-là où Christ viendra, et alors nous serons à Sa ressemblance. Il n’y aura plus de vieillesse…
Qu’est-ce que tu dis? Viens ici, Paul, s’il te plaît. Et vous qui voulez une carte de prière, alors qu’il descend pour vous donner une carte de prière, levez simplement la main.
16 Et je me demande si ça serait un peu trop demander si nous demandions à ce pianiste et à cette chorale de chanter. Eh bien, faisons chanter l’assistance, y inclure tout le monde, s’il vous plait, chanter Près de toi, près de toi. Connaissez-vous ce cantique ? Connaissez-vous cela ? Est-ce que tout le monde le connaît ? Près de Toi ? Très bien. Un cantique… Laissons-la alors en chanter un, c’est… Je pense que ce serait mieux. Que la chorale seule chante cela. Cela vous permettra, à vous tous qui êtes intéressés à la distribution, de recevoir vos cartes de prière.
17 Frère Outlaw, voudriez-vous venir ici une fois de plus, s’il vous plaît, si ce n’est pas trop vous demander, mon frère? Et nous aurons un autre choeur, ou n’importe quoi d’autre, de la part des gens. Et puis, nous aborderons directement, aussi vite que possible, un court message, et nous prierons pour les malades. Que le Seigneur vous bénisse. Priez donc pour la petite chorale, pendant qu’elle… Tous ceux qui apprécient… Vous les pentecôtistes qui appréciez ce bon petit groupe de jeunes filles et de jeunes garçons propres, comme ça, levez simplement la main. Voyez-vous ? Assurément que nous les apprécions. Il y a une chose extraordinaire, beaucoup de choses extraordinaires au sujet de cette église-ci ; et l’une d’elles, c’est qu’ils sont certainement des chanteurs. [La chorale chante. – N.D.E.]
18 Grâces soient rendues au Seigneur pour cela. Amen. Combien nous sommes reconnaissants pour une bonne élévation spirituelle comme cela «…était là quand l’Esprit vint. » Eh bien, nous sommes reconnaissant pour ces services, je le répète, et maintenant nous prions Dieu de guérir les malades et de sauver les perdus. Maintenant, priez pour moi. Eh bien, quand on arrive, on dirait, à l’improviste, qu’il n’y a pas de préparatifs, on fait juste un saut, puis on repart comme ça, nous n’arrivons pas à avoir l’impression que nous – nous ne faisons vraiment pas le meilleur pour le Seigneur, mais nous essayons de faire de tout notre mieux pour Lui. Inclinons donc la tête encore une fois maintenant pour la prière.
19 Notre Père céleste, c’est avec des coeurs reconnaissants que nous nous tenons ce soir devant Ton trône, sans savoir exactement ce qu’est Ta volonté, ce qu’il nous faut faire. Mais Tu nous conduiras. Tu nous l’as promis. Nous croyons donc cela. Nous Te prions de parler aux perdus ce soir et de guérir les malades. Reçois-en la gloire pour Toi-même.
Bénis cette église, nous le demandons une fois de plus, Seigneur. Bénis chaque église qui est dans cette ville et dans cette vallée, que le – il viendra un temps où il y aura une grande effusion de l’Esprit sur tous ces gens-ci, au point que les peuples afflueront de partout dans le pays pour entendre la Parole du Seigneur.
20 Maintenant, nous savons, Seigneur, que la raison pour laquelle nous pouvons nous réjouir et chanter ces cantiques, premièrement, c’est parce que nous sommes venus à Christ, croyant qu’Il existe ; en effet, la foi vient de ce que l’on entend, ce que l’on entend de la Parole. Et comme nous nous sommes réjouis en chantant des cantiques spirituels, et en voyant l’Esprit se mouvoir dans cette assistance, puisses-Tu maintenant pourvoir à la Parole qui va conditionner les coeurs des gens pour la suite du service, pour la guérison des malades et la guérison spirituelle de quelqu’un qui est blessé, ou d’une petite et tendre conscience qui a été brisée, comme un roseau brisé. Nous Te prions de la fortifier ce soir, Seigneur, et de lui accorder Ton baume qui guérit, qui fournira la cure pour tout, de telle sorte que celui qui pouvait s’être égaré du chemin revienne dans la voie ce soir.
21 Nous aimerions aussi prier, Seigneur, pour ceux qui sont dans des hôpitaux, tellement malades qu’ils ne peuvent même pas venir aux réunions. Nous prions pour eux, sachant qu’ils aimeraient être ici, mais l’ennemi les a liés de telle manière qu’ils ne peuvent pas venir. Ô Dieu, accorde que leur délivrance ait vite lieu. Nous croyons qu’il est écrit dans la Parole : « Si les gens sur qui Ton nom est invoqué s’assemblent et prient, alors Moi, J’exaucerai des Cieux. » C’est pourquoi nous profitons de cette occasion pour prier pendant que toute l’église est rassemblée, afin que Tu exauces des Cieux, que Tu guérisses notre pays. Nous demandons donc ceci pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
22 Maintenant, je sympathise avec ceux qui sont debout et dont les jambes se fatiguent ; je vais me dépêcher aussi vite que possible. J’aimerais revenir une fois à Phoenix, et cette fois-là, nous pourrons rassembler tout le monde, avoir un bon et long service de guérison à Phoenix, là où… Le Seigneur bénit certains parmi nous ; certains parmi nous sont prédicateurs, comme frère Outlaw. Et beaucoup d’autres frères ici sont prédicateurs. Je ne suis pas tellement prédicateur. Je – je ne fais que prier pour les malades. Et cependant, personne n’a jamais prêché l’Evangile sans éprouver le désir d’exprimer ses sentiments envers les gens. Il y a bien quelque chose à ce sujet; vous aimez faire cela. Et je suis très content de ce que vous êtes venus entendre le peu que j’ai à exprimer à Son sujet, et j’espère qu’Il fera quelque chose ce soir pour vous prouver que je – que je vous dis la vérité et que je vous aime.
23 J’aimerais prendre un petit texte ici pour quelques instants, le Seigneur voulant, dans Saint Jean, chapitre 12, verset 32. Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi. Et comme petit sujet à développer, j’aimerais prendre comme sujet : Une Bannière. C’est très étrange, une chose étrange à lire comme sujet, ou plutôt comme passage des Ecritures, et ensuite prendre un drôle de sujet. Mais j’ai découvert au cours des années du ministère que parfois Dieu vient de façon drôle, à des moments drôles, où on ne s’y attend pas. Il parle par des textes auxquels on ne penserait pas qu’Il parlerait. Il utilise quelqu’un qu’on croirait inutile. Mais Dieu opère de façon mystérieuse pour accomplir ces prodiges.
24 Et la – la bannière, naturellement, nous savons tous ce que c’est qu’une bannière. C’est quelque chose qui est élevé en commémoration, quelque chose que les gens doivent regarder ; c’est quelque chose qui est placé devant vous. Et Dieu a promis dans Esaïe chapitre 5, verset 26, que la bannière serait élevée ; que la bannière serait élevée.
25 Au cours des âges, l’homme a tendance à… L’homme a cela en lui, chercher à se débrouiller. Eh bien, c’est simplement la nature de l’homme. Maintenant, ce que nous essayons de faire, c’est d’établir un fondement ici pour quelque chose que nous allons demander au Seigneur d’accomplir : guérir les malades et accorder l’assurance. Et vous ne pouvez simplement pas sortir du coup là et avoir la foi pour quelque chose au sujet duquel vous ne savez rien. Il vous faut premièrement avoir quelque chose sur lequel la foi peut se reposer.
Lorsque vous avez épousé votre femme, vous avez dû avoir foi en elle, elle a dû avoir foi en vous avant que vous puissiez fonder un foyer. Et vous ne pouvez simplement pas prendre quelque chose au hasard et avoir foi en cela, parce que ce n’est pas prouvé. Alors, la chose qui est la plus confirmée, sur laquelle vous pouvez faire reposer la foi, c’est la Parole de Dieu. En effet, la foi vient de ce que l’on entend, et ce que l’on entend de la Parole de Dieu, car c’est la Parole de Dieu.
26 Et l’homme maintenant, étant donné qu’il est créé, même dans sa condition déchue, il est cependant à l’image de son Créateur, Dieu. Et, dans un sens du mot, Il est un fils de Dieu déchu de la grâce. Il est déchu de ce que Dieu avait fait de lui. Et dans son état déchu, il lui a été donné des attributs pour essayer de faire quelque chose pour retourner dans la position d’où (d’après ce que lui dit quelque chose qui est en lui) il provient ; car il sait qu’il n’est pas encore dans l’état qu’il faut ; en effet, il voit la mort, la maladie, la tristesse, le chagrin et les déceptions. Il sait qu’il n’a pas été créé pour ça. Cependant, peu importe à quel point il est éloigné de Dieu, il y a quelque chose avec – en lui qui lui dit cela, quelque chose à l’intérieur.
27 Eh bien, un homme est constitué de trois parties : l’âme, le corps, l’esprit. Maintenant, l’extérieur, c’est le corps. Ce corps a cinq voies d’accès, ce sont évidemment les cinq sens : la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. L’intérieur, comme pour une semence qui est plantée… L’intérieur de cela, c’est comme la pulpe d’une semence, c’est l’âme. Elle a cinq voies d’accès par lesquelles vous y accédez : la conscience, la mémoire et autres.
Mais après, à l’intérieur de ce petit compartiment, il y a un troisième compartiment, qui est l’esprit. Et c’est ce qui contrôle le reste. Il n’y a qu’une seule voie d’accès à cela, et c’est le libre arbitre. Vous pouvez accepter ou rejeter, et c’est la seule voie d’accès à cela. Si vous acceptez la volonté de Dieu par cet esprit-là, l’Esprit de Dieu occupera Sa place dans votre coeur et vous contrôlera pour le reste. Et si vous n’acceptez pas cela, alors l’ennemi occupera cet endroit-là et vous contrôlera pour le reste. C’est donc là que ça se trouve.
Et l’homme, étant ainsi constitué, cela lui donne donc le – quelque chose à l’intérieur qui l’amène à désirer accomplir quelque chose par lui-même. Il essaie de faire quelque chose pour se sauver. Il veut se tirer d’affaires, mais il veut le faire de lui-même. Il veut se frayer sa propre voie à ce sujet.
28 Eh bien, il a essayé plusieurs réalisations. Il a essayé d’obtenir cela par la science, et chaque fois qu’il fait des progrès avec la science, il ne fait que se détruire. Chaque fois que la science fabrique quelque chose, l’homme se détruit lui-même : la poudre à canon, l’énergie atomique, et – et les armes nucléaires, les automobiles et toutes ces choses. Cependant, cela l’aide pendant un temps. Mais en fin de compte, il se détruit lui-même, car il… c’est quelque chose qu’il a réalisé pendant qu’il est dans l’atelier de Dieu. Cherchant à réaliser quelque chose, il pervertit ce que Dieu a créé, et il fait cela selon sa propre conception, et il le réalise.
29 Eh bien, comme je le disais au sujet de cette ville ici, quand cette très belle ville ici… Si cette ville était juste… elle serait plus jolie qu’elle l’était au commencement, si le peuple de Dieu parcourait les rues, les mains en l’air, louant Dieu pour leurs maisons et tout. Phoenix ne serait-il pas un jardin sur la terre ? Mais au lieu de cela, comme toutes les autres villes, il y a le mensonge, le vol, la tricherie, les jeux d’argent, on fume la cigarette, on boit, on fait des beuveries, on commet des adultères. Et c’est devenu une puanteur devant Dieu. Voyez-vous ?
Ainsi, vous voyez, ce qu’un homme cherche à réaliser, il n’en tire qu’un gâchis. Il ne peut pas se sauver. Et il essaie par l’instruction. Il a emprunté cette voie-là pour voir s’il ne pouvait pas instruire les gens, pour leur donner la connaissance du salut par Christ, ou plutôt la connaissance du salut par lui-même, ou faire quelque chose par son instruction.
30 L’autre jour, je lisais dans – dans le magazine Life qu’on avait… Je pense que beaucoup parmi vous ont lu cet article qui disait qu’on a maintenant tout fait pour réunir différents éléments, ou les accumuler au point de pouvoir pratiquement fabriquer la vie, et il était écrit qu’ils fabriqueraient cela. Cela leur est impossible. La vie est une création. Il n’y a donc qu’un seul Créateur, et c’est Dieu. Voyez-vous ? Jamais ils ne seront en mesure de fabriquer la vie, mais ils cherchent à faire cela. Je me demande quelle espèce ce sera, si on y arrive, et ça sera selon l’intelligence d’un homme. Ainsi, vous voyez, il – il ne peut pas le faire. Il ne lui est simplement pas donné de le faire. Il a échoué avec l’instruction ; il a échoué avec la science. Il sait qu’il vient de quelque part, mais il veut retrouver le chemin de retour.
31 Adam, le premier homme sur terre, a effectivement exprimé cela. Après s’être rendu compte qu’il était déchu de la grâce, il a cherché à se servir de sa propre intelligence pour se frayer un chemin de retour vers Dieu sans une expiation. Il a cherché à retourner à Dieu sans faire expiation, sans le prix de ses péchés. Après que Dieu avait prononcé la peine de mort, il a cherché à retourner sans une mort expiatoire.
Et les hommes cherchent toujours à s’y prendre ainsi, cherchent à avoir une religion sans expiation. Adam s’était confectionné une couverture en feuilles de figuier sans qu’il y ait effusion de sang pour cette couverture, et Dieu a rejeté cela. Il a rejeté cela à l’époque, et Il rejettera toujours cela, car sans l’effusion du sang, il n’y a pas de pardon de péchés. Il ne peut simplement pas revenir, parce que le prix, c’est la mort, et quelque chose doit mourir pour payer ce prix-là. Ainsi, ça ne peut être qu’un substitut, sinon nous serions tous morts, si nous n’avions pas de substitut auquel nous accrocher. Et l’homme, en faisant cela, s’est rendu compte que – qu’il avait besoin de quelque chose auquel s’accrocher, quelque chose sur lequel il pouvait mettre ses mains, quelque chose dont il pouvait dire : «C’est ça. J’ai la chose. Je sais que c’est ça. »
32 Alors, Adam, pour avoir quelque chose auquel s’accrocher, il s’est confectionné une feuille de figuier pour couvrir sa nudité ainsi que celle de sa femme. Mais il s’est rendu compte que ce qu’il avait en main ne marchait pas. Et nous pouvons compter des hommes au cours des âges, si seulement nous en avions le temps. Prenons-en deux ou trois parmi eux, de toute façon.
Prenons Nimrod. Nimrod a eu la même pensée. Après le déluge, il était conscient qu’il existait un Dieu qui jugeait les méchants. En effet, on venait de sortir de ce déluge-là. Et il savait que c’était le péché qui avait amené Dieu à détruire le monde. Par conséquent, sachant que le péché amènerait encore Dieu à faire la même chose, il a cherché à accomplir quelque chose, en construisant une tour, de telle manière que les hommes pourraient vite monter au ciel si la situation devenait intenable ici sur terre, et vivre au ciel ; et puis, ils redescendraient sur la terre pécher et remonter au ciel.
33 Eh bien, voilà la pensée que les hommes ont eue tout au long du chemin, chercher à pécher, vivre sur la terre et au ciel au même moment. Vous ne pouvez pas faire cela. Vous ne pouvez pas le faire. Jésus a dit que vous ne pouvez pas servir Dieu et Mammon. C’est pourquoi nous croyons ce soir dans le fait de nous abstenir complètement du péché, de nous en éloigner. C’est du poison. Ne perdez pas votre temps avec cela. Ne tolérez pas du tout cela. N’ayez rien du tout à faire avec cela. Ne cherchez pas à voir à quel point vous pouvez vous en approcher sans pécher ; voyez à quel point vous pouvez vous en éloigner. Tout ce qui a l’apparence du péché, tenez-vous-en loin. N’ayez rien à faire avec cela, pas du tout.
34 Alors Nimrod, avec son esprit dominant, a cherché à réaliser cela. Et si vous remarquez bien, il s’est toujours fait, depuis que l’homme a été créé, que le… Si vous suivez la généalogie des enfants de Caïn, ils sont tous devenus des hommes de science sur la terre, des hommes puissants, des ouvriers de métaux, de bois et d’autres matières. Ils étaient du côté des gens intelligents et des intellectuels. Mais les enfants de Seth étaient des paysans, des bergers et des gens humbles.
Eh bien, c’est pareil aujourd’hui. Ceux qui comptent sur quelque chose de mécanique fait par l’homme, quelque chose sur lequel ils peuvent mettre la main et dire : «C’est ça, c’est ça », quelque chose que l’homme a lui-même réalisé, vous trouvez donc que bien des fois, ce sont ceux-là qui cherchent à éviter l’expiation par le sang pour revenir sur la bonne voie.
Bon ! Mais Nimrod, peu après, pendant qu’il construisait sa tour, Dieu était assis au Ciel et riait de lui. Et il était pratiquement arrivé à la fin. J’aimerais que vous remarquiez qu’il avait pratiquement réalisé l’oeuvre qu’il avait entreprise. Mais alors, tout d’un coup, Dieu a simplement renversé cela, et cet ouvrage a sauté en pièces. Cela a été réduit en poussière. De même que le tablier en feuilles de figuier d’Adam avait été réduit en poussière, de même la tour de Nimrod avait été réduite en poussière.
35 Il y en eut un autre après cela, c’était le roi Nebucadnestar, et il s’est mis à construire une ville. Et si vous remarquez bien, parfois, ces esprits qui possèdent l’homme… Et il viendra un jour, et il est proche maintenant, où l’Eglise chrétienne, l’Eglise du Seigneur Jésus-Christ, devra être très spirituelle ; en effet, Jésus a dit que les deux esprits seraient si proches que l’un séduirait, s’il était possible, même les élus. L’ennemi est très rusé.
Maintenant, observez-le sur Nebucadnestar. Il a construit une ville suivant exactement le modèle du Ciel : avec le fleuve Euphrate coulant près du trône, comme au Ciel le fleuve d’Eau de la Vie coule près du Trône, et ça contourne les jardins et tout, exactement comme c’était, car avant, quand–quand Abraham effectuait un pèlerinage à la recherche d’une telle cité… Si vous n’êtes pas spirituel, Satan vous aveuglera sur ces choses (voyez-vous ?), quelque chose de pratiquement identique, mais ce n’est pas ça. Si c’est quelque chose qui est fait par l’homme, ce n’est pas bon ; si c’est racheté par Dieu au prix du sang, c’est la vérité. C’est… Voyez, c’est vrai. Mais si c’est fait par l’homme…
36 Eh bien, il a construit cette grande ville. Et puis, nous trouvons aussi qu’il a érigé une statue pour que les gens l’adorent, et il a introduit l’adoration d’une statue parmi les gens. Mais en plein milieu de tout cela, il y eut une écriture surnaturelle sur la muraille, en une langue inconnue que personne ne pouvait interpréter à part un prophète rempli de l’Esprit qui était parmi eux. Et ce royaume-là a été réduit en poussière, exactement comme la tour de Nimrod, ainsi que le tablier en [feuilles] de figuier d’Adam, exactement, parce que c’était une réalisation que l’homme lui-même avait faite. C’est quelque chose qu’il voulait faire pour montrer qu’il pouvait se sauver lui-même. Vous ne pouvez pas vous sauver vous-même. Il n’y a rien que vous puissiez faire à ce sujet. La voie est déjà frayée pour vous. Vous ne pouvez pas vous sauver vous-même.
37 Nous pouvons mentionner beaucoup d’autres grandes choses qui ont eu lieu. Tout récemment en France, après la Première Guerre mondiale, ils ont voulu construire la ligne Siegfried là. Et ils ont braqué tous leurs fusils vers l’Allemagne et ils ont dit : «Cette fois-ci, si jamais les Allemands osaient venir encore ici, eh bien, nous pourrons les tenir à distance, parce que nous avons ici une ligne avec laquelle nous pouvons les tenir à distance. »
Juste pour montrer que les stratégies humaines ne peuvent pas subsister, les Allemands ont été plus intelligents que les Français. Ces derniers se sont placés derrière cette ligne Siegfried et ont dit : «Nous pouvons manger, boire, vivre dans l’adultère, danser, vivre dans le péché, faire tout ce que nous voulons, car nous sommes sous protection. Nous avons fait quelque chose qui peut nous protéger. »
Les Allemands ont directement contourné cela et se sont emparés d’eux. Voyez, ils sont directement passés derrière cela, car les autres avaient oublié de braquer les tourelles de leurs fusils dans toutes les directions. Alors, les Allemands, s’étant retrouvés hors de portée de leurs fusils, sont directement passés derrière, et la ligne Siegfried est tombée.
Les Allemands sont venus et ont érigé la ligne Maginot. Alors, ils se sont dit : «Si jamais les Yankees venaient ici, eh bien, nous nous abriterons derrière ce béton armé, et nous serons en sécurité. » Qu’est-il arrivé ? Les Yankees sont allés avec les bombes de très grande puissance et ils les ont démantelés en pièces. Cette ligne est tombée malgré tout.
38 Il n’y a pas longtemps, les Etats-Unis d’Amérique ont pensé qu’ils étaient capables de construire un navire qu’aucun autre constructeur de navires ne pourrait égaler. On l’a appelé le Titanic. Une nuit, alors qu’il naviguait sur l’océan, tous les moteurs mis en marche, les orchestres jouant la musique Jazz, les noces en cours, tout d’un coup, la scène changea en Mon Dieu plus près de Toi. Pourquoi ? Le navire avait heurté un iceberg là, cela l’a troué, les moteurs sont tombés en panne, et le navire a sombré au fond de la mer. Pourquoi ? Dieu, par Sa main puissante, démontre que ce monde ne peut pas subsister. L’homme ne peut rien réaliser par lui-même.
39 Eh bien, aujourd’hui, il y a une grande agitation au sujet des armes nucléaires, et nous dépensons des milliards de dollars pour réussir à amener un homme sur la lune. A quoi cela servira-t-il une fois qu’il y sera arrivé ? Je ne… Comme je le disais l’autre soir, je ne me soucie pas d’arriver à la lune. Je désire arriver au Ciel. La lune n’est donc pas assez éloignée pour moi.
Et puis, les Russes disent : «Oh! c’est nous qui avons placé le premier homme dans l’espace. » Je suis certainement en désaccord avec eux là-dessus, que ça fait environ deux ans que l’homme est allé dans l’espace. Or, nous en avons Un dans l’espace depuis deux mille ans, Il est en train de construire pour nous une demeure pour que nous y allions. Mais vous voyez, les réalisations humaines, ce que l’homme a réalisé par lui-même, ça ne marchera pas.
40 Eh bien, nous avons essayé d’instruire les gens pour obtenir par l’instruction ce que nous appellerions la meilleure classe des gens. Nos séminaires, on a envoyé nos prédicateurs à l’école, ce qui est bien ; ils ont appris à bien parler, l’élocution, ainsi de suite, une meilleure grammaire que – là où la meilleure classe des gens de la ville, les soi-disant, viendraient dans ces églises-là. Et nous en avons rempli notre église.
Or, je ne pense pas qu’il y ait meilleure classe de gens que celle du peuple de Dieu. Voyez-vous ? Et Jésus n’a jamais travaillé avec une telle classe quand Il était ici. Il est allé auprès des pêcheurs, des illettrés, des gens de peuple sans instruction. Et ce sont ceux-là qu’Il a choisis. Et Dieu, si seulement vous pouvez arriver à Le comprendre, Il aime prendre quelque chose qui n’est rien pour en faire quelque chose. C’est ce qui prouve qu’Il est Dieu. Il n’y a rien dont vous pouvez vous vanter. Il prend quelque chose qui n’est rien pour en faire quelque chose. C’est cela qui prouve qu’Il est Dieu.
41 Eh bien, nous avons essayé de faire cela avec les dénominations. Nous nous sommes dit que si peut-être nous pouvons obtenir que nos dénominations croissent… Et qu’avons-nous fait ? En formant nos dénominations (ce qui est en ordre, je n’ai rien contre elles)… mais ce que nous avons fait avec nos dénominations, nous avons simplement commencé à tirer pour le compte de cette dénomination-là, et la chose suivante, vous savez, nous n’avons pas accordé à l’autre frère assez de couverture pour qu’il se réchauffe. Voyez-vous ? Et nous nous sommes donc séparés. Voyez-vous ? Et en faisant cela, nous avons donc déclenché parmi nous quelque chose qui ne devrait pas arriver. Et nous voyons que cela ne marche simplement pas.
Nos discours intellectuels, ils sont bons (je souhaiterais seulement être capable de les tenir), mais ce n’est pas ce qui compte aux yeux de Dieu ; c’est le Saint-Esprit. Dieu n’a jamais ordonné pareille chose. Il a donné l’ordre et Il a donné la commission à Son Eglise d’aller prêcher l’Evangile. L’Evangile n’est pas intellectuel. L’Evangile n’est pas venu en paroles seulement, mais Il est venu avec puissance et démonstration, les manifestations du Saint-Esprit. C’est ce qui a apporté l’Evangile.
42 Il n’y a pas longtemps là à Chicago, un groupe du Plein Evangile avait organisé une réunion. Et ils sont allés à une certaine grande école biblique, ils ont pris un grand orateur intellectuel. On avait annoncé dans toute la ville que ce grand orateur, un intellectuel sorti d’une certaine grande école, avec une grande réputation, oh ! la la ! et tous les diplômes à côté de son nom, on a pensé que ce serait bien là la chose. Et après que les foules s’étaient rassemblées pour entendre cet homme-là, ce dernier s’est levé au fond de la salle en costume, le col retourné, son discours sous le bras, il s’est avancé et a étalé cela sur la place…
Et le discours (oh ! la la!) était excellent. Personne ne pouvait y trouver à redire. C’était parfait. La grammaire était correcte. Ses gestes et ses manières à la chaire, c’était parfait. Il n’avait point balbutié, ni bégayé, ni bavé comme beaucoup parmi nous le font. Mais il a tenu son discours avec une telle éloquence…
43 Mais il s’est dit : «Avec cette bande d’illettrés, je monterai là et je leur démontrerai ce que signifie réellement être prédicateur. » Torse bombé, il s’avança, tout enflé, et tint ce discours. Mais il s’est rendu compte que cela ne passait pas avec ce genre de foule-là. Cela leur passait par-dessus la tête. Il y avait beaucoup de grands mots, des mots difficiles et ils ne comprenaient pas.
Alors, peu après, quand il a vu qu’il s’y était mal pris, il a rassemblé son discours, il l’a placé sous le bras. Epaules affaissées, tête baissée, genoux pendants, il est descendu de la chaire, humble et humilié.
Un vieux saint qui était assis là au fond regarda çà et là, toucha un autre et dit : «S’il était monté comme il est descendu, il serait descendu comme il était monté. »
C’est pratiquement vrai. Si l’homme se rend compte qu’il ne sait rien, alors il s’humiliera devant Dieu et s’attendra à ce que le Saint-Esprit accomplisse l’oeuvre… C’est ça la chose. L’homme ne peut rien réaliser par son intellectualisme. Il doit uniquement dépendre de Dieu.
44 Eh bien, le fait que l’homme fait cela montre qu’il y a une oeuvre quelque part pour cette grande cause du rachat. Et Dieu a accompli cette oeuvre-là. C’est Lui qui l’a fait et Il a rendu cela très simple : c’était par la foi. Dieu a dit… Au commencement, ç’a toujours été par la foi. Aujourd’hui, vous n’êtes pas sauvé par les oeuvres, par les bonnes oeuvres, par l’adhésion à l’église, ou par le fait d’être instruit. Vous êtes sauvé uniquement par la foi, et cela par la grâce de Dieu. Vous êtes sauvé par la foi, en croyant ce que Dieu a déjà fait.
45 Dieu s’est réservé une bannière. Dieu vous donne quelque chose auquel vous accrocher. Une bannière, c’est comme un drapeau qui flotte. En Corée et, oh! là dans les îles, pendant la guerre, quand les Américains avaient repoussé les Japonais… Ils ont accouru à Guam et à différents endroits, au sommet de la colline, la colline la plus élevée qu’ils avaient pu trouver ; et là, avec des larmes sur les joues et avec des cris, ils ont planté le drapeau américain, le Old Glory, au sommet de la colline. Ils avaient conquis le territoire. Quelle réalisation que de hisser ce drapeau pour montrer que ceci nous appartient! Oh! quel privilège c’était pour ces soldats de se tenir là sur le territoire conquis!
Tenez, un jour, Dieu a donné à l’Eglise la Bannière, c’est quand Jésus a été élevé au Calvaire, entre le ciel et la terre ; ce n’était personne d’autre que Dieu Emmanuel, saignant de Son Sang qui tombait sur la terre. La Bannière a été brandie devant les gens, comme quoi nous avons vaincu. Nous avons – nous sommes plus que vainqueurs, parce qu’Il a vaincu pour nous.
46 Eh bien, nous voyons que Noé, un homme de Dieu, avait foi, et Dieu lui avait donné une bannière. Et cette bannière était l’arche. Noé l’a construite par la foi, car Dieu avait ordonné de construire cette arche pour le salut de quiconque y entrerait.
Eh bien, pendant que Noé évoluait dans la construction de l’arche, il était sûr qu’il faisait une bannière que Dieu lui avait dit de construire. Tout ce que Dieu ordonne de faire, accrochez-vous-y, car c’est correct. Peu importe combien les moqueurs ont ri et se sont moqué, Noé savait qu’il avait l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Comparez Noé à Nimrod. Nimrod avait sa propre conception là-dessus. Et Noé avait la pensée de Dieu là-dessus. Nimrod avait quelque chose sur lequel il pouvait mettre les mains, et Noé avait quelque chose sur lequel il pouvait mettre les siennes. C’était une bannière, quelque chose auquel il pouvait s’accrocher. Certainement.
47 Ensuite, nous voyons qu’après cela… Nous allons vite parler d’un autre homme du nom de Moïse. C’était juste un homme. Mais comment pouvait-il donc libérer les enfants d’Israël de l’Egypte, de l’esclavage, après avoir étudié à l’école, après avoir été formé dans toute la sagesse des Egyptiens, et s’être retrouvé totalement vaincu ?
Mais un jour, là derrière le désert, Dieu l’a rencontré, ou plutôt lui a rencontré Dieu. Et Dieu lui a donné une bannière : un bâton à tenir entre ses mains. Quelle chose simple ! Mais cela a fait l’affaire. «Prends cette verge qui est devant toi. » C’était une bannière; quand Moïse tenait cette verge, il avançait avec.
48 Je méditais, il n’y a pas longtemps, sur David Livingstone alors que je me tenais à sa tombe à Londres. Beaucoup de gens visitent plus la tombe de Livingstone que toute autre tombe dans l’Abbay. Ils ont appris donc l’histoire de Livingstone, comment il était allé là, en sa qualité de médecin et de chrétien, il était allé chez les indigènes, mais il n’arrivait pas à entrer, parce qu’ils étaient plus sauvages…
Alors, il est parti chez le chef et a dit… Le chef a dit : «Si tu bois le sang de l’alliance avec moi, alors tu seras l’un de nous. » Alors, ils ont versé du vin dans une coupe, ils se sont ouvert la veine l’un et l’autre, ils ont tenu cela au-dessus de la coupe et ont versé le sang là-dedans, ils ont mélangé cela, les deux sangs ensemble, et puis Livingstone en a bu une moitié, et le chef en a bu une autre. Et puis, ils se sont donné une bannière, montrant qu’ils étaient frères. Et le chef a demandé la blouse de médecin de Livingstone, ce dernier a enlevé cette blouse et l’a donnée au chef. Et après, Livingstone a demandé au chef sa lance sacrée. Et alors, quand il est retourné dans les jungles et que les indigènes le poursuivaient, il brandissait une lance devant lui. Quel sentiment de sécurité il éprouvait en brandissant cette bannière, cette lance sacrée ! Et quand il la brandissait, les indigènes se prosternaient par terre et adoraient pratiquement Livingstone comme Dieu, parce qu’ils reconnaissaient l’origine de cette lance sacrée.
49 Eh bien, c’est le… Aujourd’hui, les gens d’aujourd’hui n’arrivent pas à reconnaître cette grande Bannière que Dieu nous a donnée. Vous direz : «Frère Branham, avez-vous la puissance ? Je souhaiterais l’avoir. »
Nous n’avons pas de puissance. Nous ne sommes – n’avons pas de puissance. Nous avons l’autorité. Il ne s’agit pas de puissance ; il s’agit de l’autorité. Nous n’avons pas besoin de puissance. C’est Christ qui a la puissance, mais nous, nous avons l’autorité. Amen. Il y a là une grande différence. C’est Lui qui a vaincu. Il a vaincu et Il nous a donné l’autorité. C’est Lui qui a la puissance, mais nous, nous avons l’autorité, exactement comme n’importe quel ambassadeur qui va dans un pays étranger.
50 Tenez, pour vous expliquer cela : Il y a… Là… Allez ici, à l’un de ces carrefours ici, à Phoenix, vers dix-sept heures. Il y a là un policier. Des véhicules passent à quarante, cinquante miles par heure [64,80 km – N.D.T.]. Eh bien, ce tout petit policier n’a peut-être pas cinq pieds de taille [1,52 m –N.D.T.], il s’avancera là, et, eh bien, il n’a pas assez de puissance pour arrêter l’un de ces véhicules. Eh bien, l’un de ces véhicules peut avoir trois cents chevaux-vapeur. Eh bien, il ramasserait ce petit homme, l’écraserait et continuerait. Mais laissez ce policier lever une fois la main, faire retentir son sifflet ; il n’a pas de puissance, mais il a l’autorité. C’est ça. Les freins vont grincer, et les roues vont glisser. Tout s’arrêtera, parce qu’il a levé la main, parce qu’il a une autorité.
51 Et quand un homme ou une femme est revêtue de toute l’armure de Dieu, ce n’est pas la puissance ; c’est l’autorité d’en haut quand il dit… Les démons crieront, les freins grinceront. Même la mort elle-même va être ébranlée, les tombes vont s’ouvrir devant l’autorité que Jésus-Christ a donnée à Son Eglise. Tous les hommes savent ceci : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Brandissez l’autorité, la bannière. Sa main levée avec le gant blanc arrêtera chaque véhicule. Il n’a peut-être pas assez de puissance pour – pour arrêter une bicyclette, mais il a l’autorité d’arrêter tout ce qui traverse cette rue- là. Pourquoi ? Toute la loi de Phoenix est derrière lui.
52 Et un chrétien qui est mort, enseveli, ressuscité avec Lui dans Sa résurrection, dans les lieux célestes… Voyez, si nous sommes morts avec Lui, alors nous sommes aussi ressuscités avec Lui ; car le corps suit la tête. Et Il est la tête, et ceci est le corps. Ce n’est pas que nous serons, mais nous sommes maintenant assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, avec chaque puissance démoniaque vaincue et sous Ses pieds. L’autorité, l’autorité, voilà la bannière. Ce qui compte, c’est lever la main.
53 Moïse est descendu en Egypte. Il y avait là de vastes mers. Il a brandi la bannière, et qu’est-il arrivé ? Les eaux se sont transformées en sang. Il a brandi cela au-dessus de la terre : des crapauds, des poux, des puces, le soleil refusa de briller, la mort a frappé le pays. Pourquoi ? Il avait brandi la bannière du Jugement de Dieu.
Et quand nous brandissons la bannière du Jugement de Dieu, en tant que croyants en Christ, avec une vie crucifiée à soi et à nos propres idées, et que nous sommes ressuscités, et que Sa Parole est vivifiée parmi nous, chaque démon doit faire grincer des freins devant cela (c’est vrai), parce que cela représente Christ. Voyez-vous ? Il est mort. C’est Lui qui a brandi la bannière.
Et Moïse, avec son bâton, on dirait une toute petite chose, mais c’était un bâton. Et c’était la bannière de Dieu devant l’Egypte, la verge de Son Jugement. Et cela a fait venir le jugement. Dieu donne toujours quelque chose que l’on peut regarder, quelque chose sur lequel on peut mettre la main, quelque chose qui peut servir de preuve, quelque chose qui est vrai, après que vous L’avez accepté.
54 Les mages, les mages… Nous lisons… Pierre dit qu’il avait compris que Dieu acceptait les gens de toute nation, tout celui qui croyait en Lui. Les mages, ils attendaient qu’une étoile se lève de Jacob, qu’une étoile sorte de Jacob. Et il leur fut donné une bannière. Quand Jésus naquit à Bethléhem de Judée, les mages vinrent de l’Inde suivant une étoile. Oh ! la la ! Quoi ? Une bannière, une évidence, une preuve, une preuve surnaturelle.
55 Toi, l’incroyant, j’aimerais que tu voies ceci. Tout le monde n’avait absolument pas à voir cela. Personne, à part ces trois hommes, n’a vu cette étoile. Elle est passée par-dessus chaque observatoire, une véritable évidence vivante, une bannière pour les conduire à Christ. Personne, à part eux, n’a vu cela.
« Encore un peu de temps et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai toujours avec vous, même jusqu’à la fin du monde. » La Bannière, Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, la véritable Bannière de Dieu. L’incroyant peut ne pas voir cela. Jésus a aussi dit : «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. » Qu’est-ce que ça sera ? Ça sera un signe, une bannière. Il lui a été une fois demandé : «Accorde que mon fils s’assoie… l’un à Ta droite, et l’autre à Ta gauche. »
Il a dit : «Pouvez-vous boire la coupe que Je bois ? Pouvez-vous être baptisé du baptême dont J’ai été baptisé ? » Le même Saint-Esprit qui était sur Lui sans mesure vient sur Son Eglise avec mesure ; mais c’est le même Saint-Esprit, le même Dieu. C’est la Bannière.
56 Nous sommes les bannières de Dieu aux yeux du monde. C’est la raison pour laquelle je réprimande toujours l’Eglise pentecôtiste, je m’en prends à eux, à cause de leur façon de vivre. La raison pour laquelle le monde ne peut pas voir Christ, c’est parce que nous avons laissé tomber les barrières. Nous nous éloignons de la Chose.
Quand nos femmes s’habillent et agissent comme le reste du monde ; quand nos hommes sortent… et de sales plaisanteries, fument la cigarette, et font des histoires comme les autres, ils se marient quatre ou cinq fois, et tout le reste ; on les fait entrer dans l’église de force, et des choses semblables… Eh bien, non. Le monde ne croit pas que vous avez la Chose.
Laissez-moi vous le dire, frère, une fois que vous êtes mort et que votre vie est cachée en Christ par Dieu, scellée par le Saint-Esprit, et que Dieu vous élève dans les lieux célestes, vous serez une bannière montrant qu’une oeuvre de Dieu a été accomplie en vous.
57 Jésus dit dans Marc 16 : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. » Quel genre de bannière est-ce ? Etre pompeux et suffisant ? Non, être humble. La plénitude de Dieu en Jésus-Christ L’a amené à marcher comme un humble paysan, L’a amené à laver les pieds de Ses disciples; Il n’avait pas de place où reposer Sa tête.
Certains parmi nous qui nous disons chrétiens, si nous allons quelque part, il nous faut avoir ce qu’il y a de meilleur dans le pays ; il faut qu’on nous garantisse beaucoup d’argent, sinon nous n’irons pas. (L’évangéliste...) Certains pasteurs n’iront pas à une église s’il n’y a pas les gens de la haute classe et un grand bâtiment. Oh ! la la ! Nous avons besoin d’une autre expérience comme celle de Paul sur le chemin de Damas. Paul a vu cette Bannière hissée, et il a dit : «Qui es-Tu, Seigneur ? »
Il a dit : «Je suis Jésus. »
Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est d’une autre Colonne de Feu suspendue au-dessus de l’Eglise une fois de plus, ce soir, de sorte que les yeux aveugles des gens s’ouvrent et qu’ils voient cela. Jésus vit et règne encore, la Bannière.
58 Eh bien, Il est le… C’est Dieu qui nous a donné cette Bannière. C’est une Bannière éternelle. Rappelez-vous, toutes les bannières romaines, toutes les… les bannières de Nimrod, toutes celles de Babylone, toutes les autres ont été écrasées et ont disparu. Nous les connaissons seulement de par l’histoire.
Je me suis tenu à Rome, à – là où autrefois les Césars ont dirigé le monde, et il vous faudra creuser à une profondeur de vingt pieds [28,48 m – N.D.T.] pour retrouver leurs – leurs palais. Je me suis tenu en Egypte, là où les Pharaons étaient, et cela a disparu et c’est réduit en poussière.
59 Frère, mais il y a une Bannière que Dieu a réalisée un jour, en élevant Jésus-Christ d’entre les morts et en envoyant le Saint-Esprit sur Son Eglise. Les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne passera point : «Sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle. » Pourquoi ? La Bannière vivante est dans l’Eglise : la Bannière, la preuve infaillible et parfaite, quelque chose sur lequel vous pouvez placer les mains, quelque chose que vous pouvez regarder.
60 Regardez ça, ce jeune homme, ce jeune Williams qui se tenait ici témoignant que son père et sa mère avaient prié pour lui, et tout d’un coup, il a vu la Bannière. Quelque chose s’est produit. Il a vu ; il a dit adieu à la vieille maison en terre battue, et il s’est mis alors à courir là, sur la voie lactée, comme l’a dit le frère. Quand les hommes verront cela... «Et Moi, quand Je serai élevé de cette terre, J’attirerai tous les hommes vers Moi. Vous êtes Mes témoins. Vous serez Mes témoins et à Jérusalem, et en Judée, et en Samarie, jusqu’aux extrémités de la terre. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : En Mon Nom, ils chasseront des démons, ils parleront de nouvelles langues, et s’ils saisissent les serpents, s’ils boivent des breuvages mortels, cela ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéries. » La Bannière.
Permettez-moi de prendre encore un autre en plus de cela pour sceller cela avec : «… ceci tous connaîtront que vous êtes Mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres. » Voyez-vous ? Vous ne pouvez pas en prendre une partie, il vous faut prendre le tout. Et cela ne peut pas être scellé avant que le tout soit là. C’est vrai.
61 Dans des anciens pays, dans l’ancien temps, le sceau, c’était généralement un anneau. Un homme qui ne savait pas signer de son nom avait juste un anneau. Et il scellait cela, son – tout ce qu’il voulait – on écrivait, eh bien, il avait juste, au lieu de signer de son nom, il apposait le sceau là-dessus. C’était une infraction passible d’emprisonnement que d’imiter donc ce sceau-là.
Eh bien, aujourd’hui, Dieu a un Sceau. Et c’est passible de peine de mort que d’imiter ce Sceau-là. Ecoutez, vous les luthériens, les méthodistes, les baptistes, les presbytériens et les pentecôtistes, n’osez pas imiter Cela. Tenez-vous tranquilles, et Dieu placera Cela sur vous. Et alors, vous serez une bannière, un modèle du christianisme, un homme modèle et une femme modèle – le sceau du Saint-Esprit, la Bannière de Dieu plantée en vous au point que vous êtes… vous paraissez, vous agissez, vous marchez, vous apportez l’Evangile partout où vous allez. On ne peut pas vous pointer du doigt. C’est vrai.
Dieu a réalisé cela par la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Jésus-Christ, par le lavage d’eau de la Parole. Aujourd’hui, nous sommes lavés et purifiés par Son Sang, il nous a été accordé ce grand privilège de… Voyez, nous pourrions nous demander ce que Jésus était, si nous disons qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Eh bien, ce qu’Il était hier, Il l’est aujourd’hui, et Il le sera éternellement, cette même Bannière.
62 Nous voyons ce qu’était la Bannière à l’époque pour ces gens, pour savoir s’Il était la vraie bannière qu’on attendait. Nous voyons dans les Ecritures qu’Il n’a jamais prétendu faire quoi que ce soit. Il n’a jamais prétendu… Il disait : «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres. C’est Mon Père qui habite en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. » C’est ce qu’Il voyait faire au Père. En d’autres termes, Il voyait cela en vision, ce qui se passait.
63 Nous voyons qu’une femme avait touché Son vêtement. Il s’est retourné, Il l’a regardée et lui a dit… Elle souffrait d’une perte de sang, et cela s’est arrêté. Sa foi l’avait sauvée. La femme au puits… Il lui a dit : «Va chercher ton mari. »
Elle a dit : «Je n’en ai point. » Elle a dit : «Eh bien, nous… »
Il a dit : «Tu as dit vrai, parce que tu en as eu cinq. »
Quand Il a dit ça, la femme a dit : «Seigneur, nous savons que le Messie viendra, Celui qu’on appelle Christ. Quand Il viendra, Il nous révélera ces choses.» Voyez-vous ? La Bannière était là. Il a dit : «Je le suis, Moi qui te parle. » ô frère! La cruche d’eau a été abandonnée. Elle avait trouvé une Fontaine remplie du sang tiré des veines d’Emmanuel. Elle a trouvé une Fontaine du salut. Elle a trouvé une Fontaine. Elle est entrée dans la ville en courant. Voyez-vous ? Elle montrait aux hommes avec joie, disant : «Venez voir qui nous avons trouvé… voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. »
64 Considérez André au sujet duquel j’ai prêché hier soir là-bas. Aussitôt qu’il avait passé toute la nuit avec Jésus et qu’il avait découvert que c’était réellement le Témoin de Dieu, que c’était le Messie, il n’est pas allé dire : «Simon, viens m’aider à comprendre cela. » Il était sûr qu’Il était le Messie. Et aussitôt que Simon s’est présenté devant Lui, et qu’Il lui a dit qui il était, et quel était le nom de son père… Et Pierre a reconnu que c’était la chose qui devait arriver. Philippe a fait la même chose, et, oh! ainsi de suite. La Bannière.
Jésus dit dans Saint Jean 14.12, Jésus dit : «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. »
65 Suivez donc. Nous sommes envoyés. Ecoutez ceci, amis, vous tous. Maintenant, je m’adresse à vous qui êtes – maintenant même, aux gens pour qui on va prier. Ecoutez ceci. Vous êtes un témoin. Si vous êtes sauvé et que vous savez ce qu’est la puissance de Dieu, vous avez touché cette Bannière. Vous vous êtes emparé de quelque chose, quelque chose qui n’est pas une tour de Nimrod, ni non plus le tablier en feuilles de figuier d’Adam. Mais c’est une promesse de Dieu selon laquelle : «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point. » C’est quelque chose sur lequel vous pouvez placer les mains : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris. » C’est une bannière, une vraie bannière.
66 Et à vous, s’il y en a un ici qui n’a jamais accepté cette Bannière, qui ne sait pas ce qui amène ces gens à pleurer, crier, danser, ce qui amène ces femmes à laisser pousser leurs cheveux, à cesser de porter ces drôles de sales habits, et – et à paraître sexy devant les hommes, et des choses semblables, et ce vieux mauvais esprit les a quittées…
Ne me dites pas… Vous pourriez être pour votre mari tout aussi pure qu’un lys ; mais quand vous comparaîtrez à la barre du Jugement, vous répondrez d’avoir commis adultère. C’est vrai. La Bible dit, Jésus dit : «Quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle dans son coeur. » Et si vous vous habillez de manière à vous exposer devant les hommes, vous êtes coupable, [même] si un homme ne vous touche point. Quand ce pécheur-là répondra d’avoir commis son adultère, vous êtes la personne qui avait commis cela. C’est vous qui vous êtes exposée. Oui, oui.
67 Frère, soeur, vous pourrez penser que ceci est du vieux jeu. Il n’y a pas longtemps, j’ai reçu un prédicateur qui me disait : «Vous allez ruiner votre ministère, Frère Branham. »
J’ai dit : «Il n’est pas mien; c’est le Sien. C’est Sa Parole, et c’est ce qu’Il dit. Et moi, je crois cela. Oui, oui. Oui, oui. »
Alors, quand vous voyez l’une de ces femmes se mettre en ordre avec Dieu, vous la verrez paraître comme une sainte. Vous la verrez agir différemment. Il y aura un changement dans sa vie. La sainteté s’exprimera partout. Elle deviendra une dame.
Observez cet homme-là, cet ivrogne-là dans la rue en train de tituber, un pilier du bistrot, la bouche couverte de saletés provenant de vomissements, après qu’il a pris du whisky et de la bière, et des choses de ce genre. Laissez-le un jour s’agenouiller à l’autel et s’emparer de cette Bannière, et je vous assure, il deviendra une bannière de Dieu et un mémorial de la puissance salvatrice de Jésus-Christ. Oui, oui. Il le deviendra certainement.
68 L’autre jour, je me tenais là dans les rues de Phoenix et j’ai vu un petit garçon de couleur se tenant là, un petit gars. Bible sous le bras, personne ne faisait cas de lui, il apportait l’Evangile de toutes ses forces à tout celui qui passait donc par-là. Alors j’ai dit : «Grâces soient rendues au Seigneur Dieu. Oh ! la la ! Proclamez Cela, frère. Laissez simplement Cela continuer. C’est en ordre : élever Jésus-Christ. »
69 Oh! Si ce soir vous ne Le connaissez pas, mes amis, recevez-Le. Ne voudriez-vous pas le faire pendant que nous avons nos têtes inclinées juste un instant pour la prière ? Je suis désolé que le temps s’écoule si vite.
J’aimerais poser une question juste un instant. Y a-t-il ici ce soir un pécheur qui ne connaît pas Christ et qui n’a jamais accepté cette Bannière? Si vous avez essayé de réaliser… Vous direz : «Eh bien, Frère Branham, maintenant juste un instant. Moi, j’observe la règle d’or. » Frère, si c’était valable, Jésus n’aurait pas dû mourir. Vous direz : «Frère Branham, je suis devenu un membre d’une église très importante. » C’est tout à fait en ordre, mon frère ; j’apprécie cela. Et j’apprécie le fait que vous observez la règle d’or. J’apprécie le fait que vous observez les dix commandements. Mais si la règle d’or, l’adhésion à l’église, ou n’importe laquelle de ces choses pouvait vous sauver, Jésus serait mort en vain. Jésus Lui-même a dit dans Saint Jean, chapitre 3 : «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut aucunement entrer. »
70 La vie, c’est comme une feuille qui est suspendue à un arbre. Peu après, la vie quitte la feuille et redescend dans ses racines. La feuille tombe. Cette vie est ensevelie dans des racines jusqu’à la fin de l’hiver. Au printemps, elle fait revenir une autre vie, une autre feuille.
C’est pareil pour un chrétien qui est attaché à l’Arbre de la Vie. Cette vieille coquille-ci peut tomber. C’est vrai. Mais la vie retourne à Dieu qui l’a donnée. Voyez-vous ? Si Dieu vous donne votre vie, vous êtes né de nouveau, il n’y a qu’une seule vie qui puisse jamais être vécue, c’est la Vie de Dieu en vous. Et si cette Vie-là est en vous, alors Elle n’ira que d’où Elle provient, Elle retournera à Dieu pour revenir dans ce glorieux Millénium avec une nouvelle feuille, ou une nouvelle vie, ou un nouveau – un nouveau corps qui ne se flétrira jamais ni ne disparaîtra.
71 Nos saisons démontrent que Dieu est avec nous, que Dieu est ici. Il a placé un ordre dans la nature. Et alors, si vous n’avez jamais reçu cette Vie-là, si cette petite feuille tombait ce soir, cette petite feuille que vous êtes ici sur terre, vous savez qu’elle ne ressuscitera jamais. Si vous n’êtes pas né de nouveau et que vous n’avez pas reçu cette Bannière dans votre coeur, l’évidence, le Saint-Esprit, pas juste [quelque chose] d’imaginaire… vous ne pouvez pas imaginer Cela.
L’autre soir, je parlais quelque part et je disais : «Que serait-il arrivé si les disciples avaient attendu pendant neuf jours et qu’ils avaient dit : ‘Nous allons accepter cela par la foi, que nous avons reçu le Saint-Esprit, et nous irons de l’avant » ? Ils ne L’auraient pas reçu, voyez-vous ? Ils sont restés là jusqu’à ce qu’ils fussent sûrs que la chose était là. Quelque chose était arrivé, quelque chose sur lequel ils pouvaient mettre la main et dire : «C’est ça », juste comme Noé pouvait dire : «C’est ça » ; juste comme Moïse pouvait dire, son bâton en main : «C’est ça. »
« Comment allez-vous conquérir, Moïse ? »
«Avec ce bâton, je vais conquérir. C’est avec ça que je le ferai. »
Par Jésus-Christ, par le Saint-Esprit, j’ai vaincu, j’ai… En effet, Il a vaincu pour moi. Et maintenant, ma vie est morte, elle est cachée en Lui, scellée par le Saint-Esprit. Elle est là. Si vous n’avez pas cette expérience ce soir, ami pécheur, voudriez-vous venir pendant que nous avons la tête inclinée juste un instant ?
72 Notre Père céleste, je Te confie maintenant cet auditoire. Il y a peut-être ici une personne égarée qui pourra ne jamais avoir encore cette occasion. Nous venons de l’apprendre au téléphone il y a quelques instants, ou il y a un instant, frère Tommy Hicks, Ton précieux serviteur, son frère à qui il a crié, il a imploré, il y a juste quelques semaines, il lui avait même envoyé une lettre, lui disant : «Frère, accepte Christ. »
Mais il se faisait tellement d’argent qu’il s’est acheté une maison de 100.000 dollars, une nouvelle Cadillac, il n’avait pas le temps de faire cela. Il pensait : « Je le ferai plus tard, Tommy. » Mais c’est trop tard maintenant. Il s’est fait prendre là au Mexique. ô Dieu! sois miséricordieux. Que les gens sachent qu’ils n’auront pas à revenir essayer une fois de plus; ceci est l’unique occasion. Et la mort ne change pas l’âme ; elle ne fait que changer la demeure de l’âme.
Maintenant, Père, je prie que s’il y a ici quelqu’un qui sait qu’il est constitué de trois parties : l’âme, le corps et l’esprit qu’à l’intérieur de la pulpe où il vit, il y a un esprit ; l’intérieur de l’âme, ce qui contrôle cela, c’est un esprit, à l’intérieur de cinq sens, il y a un esprit, et si cet esprit n’est pas l’Esprit de Dieu, quand cet autre tombera, cela ne pourra jamais ressusciter. Mais, ô Dieu, je Te prie qu’ils Te reçoivent maintenant, et qu’ils saisissent cette belle Bannière du Saint-Esprit dans leur coeur et qu’ils soient sauvés ce soir.
73 Pendant que nous avons nos têtes inclinées, s’il y a quelqu’un qui aimerait qu’on se souvienne de lui, qu’il lève maintenant la main et dise : «Prie pour moi, Frère prédicateur. Je… » Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, soeur. C’est très bien. Quelqu’un d’autre ?
Maintenant, n’ayez pas honte. Continuez simplement à prier, tous les chrétiens. Ces gens qui lèvent la main… Que Dieu vous bénisse, petite dame. Que Dieu vous bénisse, soeur. Quelqu’un d’autre ? Dites : «Souviens-toi de moi, Frère Branham. Je… Maintenant, je crois. Je crois simplement cela, je ne sais comment. Je crois vraiment cela. » Quelqu’un d’autre ? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous par ici. Qu’Il vous bénisse, vous là derrière. C’est bien.
Eh bien, ce sont les gens qui avaient levé la main. Ils croient cela. L’autel est bondé d’enfants. Ils sont partout. Il n’est pas nécessaire que vous soyez à l’autel. Votre coeur est l’autel. Votre coeur, c’est là que Dieu vient.
74 L’autre jour, je lisais l’histoire, L’Eglise de pèlerins et les pères Nicéens de Broadbent, que l’Eglise primitive n’avait même pas de décor, ils n’avaient même pas un autel. En effet, les païens, une fois convertis, se prosternaient à l’autel. Ils avaient juste une simple petite vieille maison où ils s’asseyaient sur les blocs de pierre. Ils levaient la main après qu’un homme pieux avait apporté un message. Et ils levaient la main et louaient Dieu. Et ils aimaient ces effets du Saint-Esprit qui les envahissait. C’était l’Eglise primitive du temps d’Irénée, de Martin et des autres, juste après la mort du Seigneur Jésus, quand l’Eglise progressait, avant qu’Elle ne tombe dans le catholicisme. Oh! c’est ce que nous aimons.
75 Eh bien, vous qui êtes ici, faites de votre coeur l’autel maintenant, et dites : «Entre, Seigneur Jésus. » Je vais prier pour vous.
Seigneur Jésus, j’espère qu’en allant très vite et en rassemblant ces mots, on s’apprête maintenant… Et nous attendons de voir ce que Tu vas faire dans la ligne de prière, sans exactement savoir ce que Tu feras. Mais cependant, il y a au moins une douzaine de mains qui ont été levées, des jeunes et vieux qui désirent ardemment Te connaître, Père, qui désirent ardemment avoir cette Vie Eternelle. Que cela devienne une réalité pour eux maintenant même. Accorde-le, Seigneur. Puisse le précieux Esprit de Dieu envahir leurs âmes maintenant même et faire d’eux de nouvelles créations en Christ.
76 Et maintenant, Père, je prie que Tu te manifestes dans cette ligne de prière de façon tellement visible, devant cet auditoire ce soir par la guérison des malades, que les gens partiront d’ici en disant comme ceux qui revenaient d’Emmaüs : «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous ? » Parce qu’ils auront vu quelque chose être accompli.
Ces gens à Emmaüs, ces frères-là, ils avaient marché toute la journée, Cléopas et l’autre, en Lui parlant. Mais cependant, ils ne savaient pas qui Il était. Mais quand Il a fait quelque chose, exactement comme Il l’avait fait avant Sa crucifixion et Son ensevelissement, ils ont reconnu qu’Il était ressuscité d’entre les morts. Voudras-Tu faire cela une fois de plus ce soir, Père ? Accorde-le, nous prions. Maintenant, nous Te prions de prendre ces précieuses âmes et de leur donner la Vie Eternelle. Puisse, si jamais ils n’ont été baptisés, puissent-ils se frayer une voie vers le presbytère, ou quelque part, et se faire baptiser, en invoquant le Nom du Seigneur. Et puisses-Tu les remplir du Saint-Esprit. Et puissions-nous les rencontrer dans la Gloire, dans un meilleur pays, là où la réunion de ce soir sera passée en jugement. Nous Te confions cela maintenant, au Nom de Jésus. Amen.
77 Je L’aime, je L’aime,
(Maintenant, après ce message tranchant, adorons simplement maintenant.)
Parce qu’Il m’aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
N’aimez-vous pas cela ? Tout cela… Vous qui étiez méthodistes, levez la main. Les baptistes, les presbytériens, les catholiques… Maintenant, tous ceux qui sont nés de nouveau de l’Esprit de Dieu, levez la main, que vous soyez méthodiste, baptiste ou catholique, ou n’importe quoi. N’est-ce pas bien ? Maintenant, pendant que nous chantons cela une fois de plus, très doucement, alors que la soeur nous en donne l’accord maintenant… N’aimez-vous pas cela ? Oh ! la la !
Vous savez, quand vous arriverez au Ciel et que vous entrerez dans votre grande demeure et que vous regarderez vers le bas, vous verrez ma petite demeure-là. Un de ces matins, vous m’entendrez sortir en chantant cela. Alors vous reconnaîtrez que je suis arrivé à la Maison. Amen. J’aime vraiment cela.
78 Très bien, tous ensemble maintenant. Juste à votre… Ne mettez pas… Soyez naturels. J’aime les bons cantiques pentecôtistes, pas vous ? Je n’aime pas une voix exercée à outrance, vous savez, qui pousse des cris aigus et retient le souffle; le visage devient bleu, et vous – vous cherchez simplement à paraître. Je – j’aime vraiment le bon chant, vraiment réel, on chante librement. Eh bien, tous ensemble, avec la petite chorale, ensemble maintenant. Tous ensemble maintenant.
Je L’aime (Fermons les yeux),
je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
79 Eh bien, très doucement, pendant que nous chantons une fois de plus, retournons-nous et serrons la main à quelqu’un à coté, devant et derrière, maintenant.
Je…
Vous tous, les pèlerins – les pèlerins, les étrangers dans ce monde… Les catholiques, serrez la main aux protestants; les protestants, serrez la main aux méthodistes ; les méthodistes aux baptistes, les pentecôtistes aux…
... m’aima...
(L’Eglise de Dieu aux Assemblées ; les Assemblées aux unitaires.)
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
(Maintenant, avec nos mains levées vers Lui…)
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier,
Et acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Maintenant, humblement, inclinons la tête et fredonnons cela. Père, nous confessons nos péchés pendant que la Parole est en train d’être ensemencée dans les coeurs des gens, cette Bannière. Beaucoup parmi eux ont entendu Cela il y a longtemps. Agis parmi nous maintenant, Père. Tu as sauvé les perdus ; maintenant, guéris les malades, afin qu’il soit reconnu que Ta Parole ne peut pas retourner à Toi à vide. Elle accomplira ce qui a été promis.
80 Les cartes de prière maintenant, à partir de numéro 1, commencez à vous mettre debout le long de l’autel, comme ceci, ici. La carte de prière… Attendez que… Je ferais mieux de les appeler une à la fois pour qu’il n’y ait pas de confusion. La carte de prière numéro 1 ? Veuillez continuer à jouer le cantique, soeur… Qui a la carte de prière numéro 1 ? Juste ici. Numéro 2 ? Numéro 3 ? Très bien, 3 ? Numéro 4, numéro 5, numéro 6, numéro 7. Avancez directement, venez ici, et tenez-vous juste dans ce sens-ci.
Je L’aime (Restez simplement dans l’esprit de prière maintenant, avec douceur et lentement. )
Parce qu’Il m’aima le premier (8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18.)
… acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
[Frère Branham se met à fredonner. – N.D.E.] Maintenant, tous les autres parmi vous qui avez les cartes de prière…
… Il m’aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
(Oui. Oh! n’est-Il pas merveilleux ?)
… L’aime, je L’aime (Entendez-vous cela ? On dirait un cantique des anges.)
Parce qu’Il m’aima le premier,
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Est-ce que cela sonne mieux ? [Frère Branham se met à fredonner. – N.D.E.]
81 N’entendez-vous pas les cloches sonner maintenant ?
N’entendez-vous pas les anges chanter ?
C’est le Jubilé, Gloire, Alléluia !
Dans ce lointain doux pays (Que Dieu soit béni),
Là, de l’autre côté de la rivière étincelante,
Quand retentiront ces cloches d’or pour toi et pour moi.
Maintenant, je n’arrive simplement pas à m’en séparer. Je – j’aime cela. Je me rappelle, mon fils Billy Paul, quand sa maman est morte. Quelques heures après, sa jeune soeur est morte. Je les ai déposées toutes les deux sur une colline et les ai ensevelies. Je montais là et m’asseyais, il y avait une drôle de tourterelle qui avait l’habitude de se percher là et de roucouler. Franchement, je pensais que cela pouvait être leur âme immortelle qui revenait me parler. J’avais le coeur très brisé. Et on dirait qu’un murmure parcourait ces pins faisant :
Il y a un pays au-delà de la rivière,
Appelé la douceur éternelle,
Et nous n’atteignons ce rivage-là que par la foi.
(N’est-ce pas vrai, mes amis ? Hmm, oh! la la !)
Un à un, nous atteignons ces portails,
Là, pour rester avec les immortels (Ne sera-ce pas glorieux quand cela aura lieu ?)
Quand retentiront ces cloches d’or pour toi et pour moi.
82 Maintenant, mes amis, concernant la guérison divine, il n’y a – il n’y a personne qui puisse vous guérir, pas plus qu’il n’en ait un qui puisse vous sauver parce que, et la guérison et le salut, c’est déjà du passé. Quand Jésus-Christ mourait à la croix, Il avait été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avions été guéris. C’est une oeuvre accomplie. Maintenant, tout ce qu’il vous faut faire pour recevoir soit le salut, soit votre guérison, c’est accepter ce que Christ a fait pour vous.
Comme je le disais l’autre soir, regardons Dieu juste un instant, là loin dans l’Eternité, quand Son – quand des milliers et des milliers de soleils paraissaient noirs à Ses yeux, alors que les anges paraissaient sales à Ses yeux... C’est Jéhovah. Et puis, Il est devenu un petit enfant sur un tas d’engrais… dans une crèche. C’est toujours Jéhovah. Et Il est ici ce soir. Par Sa grâce et par Son Sang, Il purifie Son Eglise et nous place dans la position de recevoir toutes ces bénédictions pour lesquelles Il avait payé le prix pour – pour nous.
83 Maintenant, il y a ici une ligne de gens. Jamais de ma vie je n’ai vu l’un d’eux, à ma connaissance. Maintenant, beaucoup parmi vous ont été dans mes réunions et savent ce que c’est le discernement. Vous tous, vous savez cela, n’est-ce pas ? Nous le savons. J’ai eu cela à maintes reprises. C’est un don.
Cela ne rend pas le Saint-Esprit qui est en moi plus grand que Celui qui est dans quelqu’un d’autre. C’est juste un don qui opère par le Saint-Esprit. Voyez-vous ? Peu importe qu’il s’agisse d’une petite ménagère, ou d’un petit garçon, ou du soûlard qui est là, qui vient d’être sauvé et qui est rempli du Saint-Esprit, il a le même Saint-Esprit que n’importe qui parmi nous. Oui. Mais Dieu donne des dons par ce Saint-Esprit pour faire l’oeuvre. C’est une confirmation pour élever une bannière. Qui ? Le prédicateur ? Non. Elever Christ.
84 Eh bien, je ne sais pas ce qui s’est donc passé. Quand j’étais un petit garçon… vous connaissez l’histoire de ma vie. Je priais simplement pour les gens. Il n’y a rien que je faisais sinon prier, leur imposer les mains et ils étaient guéris. Voyez-vous ? Qu’est-ce que je pouvais donc faire ? Ce n’est pas moi seul qui prie, mais considérez aussi les autres qui prient. Tout le monde prie. Voyez-vous ? Et juste, je crois cela. C’est tout ce que je sais faire. Je crois cela.
Eh bien, je ne suis pas instruit, je n’ai pas d’instruction. Et je – je pense que le Seigneur me donne simplement un petit don avec lequel travailler. Et – et maintenant, quand Jésus a dit, lorsqu’Il était ici sur terre, que les oeuvres qu’Il avait faites nous les ferions aussi… Et si c’est vrai, Il était la Bannière de Dieu en faisant cela, en étant capable de révéler à Philippe où il avait été, révéler à la femme la perte du sang, et que sais-je encore, et – et là où se trouvait la pièce de monnaie dans la bouche du poisson, ou quelque chose comme cela, quelque chose que la femme que – elle vivait en adultère, ou quelque chose comme cela qui était assurément une confirmation qu’Il était le Messie.
85 Maintenant, considérez ce loyal Juif, Philippe. Quand Philippe, ou plutôt Nathanaël est venu... Nathanaël était un érudit, un vrai orthodoxe. Et quand il a vu Jésus, c’est à peine s’il pouvait croire en Lui. Et Il a dit : «Voici un Israëlite dans lequel il n’y a point de fraude. »
Il a dit : «Maître, quand m’as-Tu connu ? »
Il a dit : «Avant que Philippe t’appelât. »
Il a dit : «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël. »
La femme au puits a dit : «Je n’ai point de mari. »
Il a dit : «Oui, tu en as eu cinq. »
Elle a dit : «Nous savons que quand le Messie viendra, Il nous révélera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu ? »
Il a dit : «Je le suis. » Nous savons que c’est cela qui sera la Bannière. Et si Jésus-Christ est la même Bannière hier, aujourd’hui et éternellement, Il fera la même chose, s’Il peut s’emparer du coeur humain. Est-ce vrai ?
86 Maintenant, cette femme qui se tient ici, je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas ? C’est vrai. Si Dieu me révèle votre problème, allez-vous me croire ? Vous saurez si c’est vrai ou pas, n’est-ce pas ? Allez-vous alors accepter votre guérison ? C’est dans votre dos. C’est fini. Vous êtes guérie. Voilà comment… ?… Eh bien, allez de l’avant. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Allez en croyant… ?…
Est-ce que vous – est-ce que vous croyez de tout votre coeur ? Voyez-vous ? Ayez simplement foi, ne doutez pas. Croyez. Maintenant, voyez-vous combien c’est simple ? Maintenant, si seulement nous prions ! Eh bien, voyez, Il sait ce que… chacun de vous, ce qui ne va pas en vous. Vous croyez cela, n’est-ce pas ? Vous savez que c’est vrai.
Maintenant, si je ne prends que cette femme-ci et que je ne dis rien à ce sujet, mais que je prie simplement et que je vous impose les mains, croyez-vous que vous serez guérie ? Croyez-vous que vous allez être guérie ? Très bien. Inclinez la tête juste un instant.
Père céleste, je Te prie de guérir notre soeur. Puisse-t-elle aller maintenant. Nous voyons la Bannière être élevée ; nous savons qu’Il attirera tout le monde. J’impose les mains à ma soeur au Nom de Jésus-Christ pour sa guérison, au Nom de Jésus. Amen. Ne doutez pas. Croyez simplement de tout votre coeur.
87 Je dis … Si je ne disais rien, que je priais simplement pour vous, vous allez toujours croire cela, n’est-ce pas ? Vous croirez cela de toute façon. Mais si je vous dis cela, cela vous aidera-t-il ? Votre maladie du coeur… C’est vrai.
Cela vous aiderait-il si je vous disais ce qui ne va pas en vous ? Vous ne savez pas si cela vous aidera ou pas. Eh bien, peut-être que je vais simplement prier pour vous.
Père céleste, je Te prie d’aider cette femme. Donne-lui la foi et la force au Nom de Jésus-Christ. Amen. Croyez maintenant de tout votre coeur.
Que pensez-vous, soeur ? Je vous suis étranger. Si Jésus me révélait ce qui ne va pas en vous… Je ne le suis pas ? Vous me connaissez, hein ? Vous m’avez vu lorsque je suis venu pour la première fois. C’est bien. Je veux dire que moi, je ne vous connais pas. La première fois ? Ça fait environ quinze ans. Il y a de cela quinze ans. Oh ! la la ! ça fait longtemps. Beaucoup – beaucoup de choses sont arrivées depuis lors. Eh bien, il vous faudra être opérée. Mais si vous croyez Christ, cette tumeur vous quittera, et vous n’aurez pas besoin d’être opérée. Croyez-vous cela ? Alors, partez, croyez cela.
88 Bonsoir. Je vous ai vue. Croyez-vous que si je demande à Dieu, Il vous guérira ?
Notre Père céleste, je Te prie de la guérir et de la rétablir, Père. Je lui impose les mains au Nom de Jésus. Amen… ?… Croyez de tout votre coeur, et vous – vous… ?… Très bien, venez directement devant, soeur. Maintenant, vous voyez, je ne peux pas guérir les gens. Et Dieu ne peut pas guérir les gens, à moins qu’ils croient que Christ a déjà accompli cela. Et maintenant, vous dites… Ce soir, j’ai prêché sur quelque chose sur lequel vous pouvez mettre les mains. Il dira : « Le voici. » Eh bien, voyez-vous, si Jésus se tenait ici en personne, portant ce costume que frère William m’a donné, d’après l’inspiration du Seigneur… mais Il… s’Il… s’Il se tenait ici, portant ce costume… Savez-vous que, à mon avis, c’est au Seigneur qu’il l’a donné en le faisant ?
89 Combien ont déjà lu sur la vie de saint Martin ? C’était un païen, il était un soldat. Son père voulait qu’il devienne soldat. Mais lui ne le voulait pas. Il… Quelque chose l’a appelé vers Dieu. Une nuit, en passant, c’était une nuit très froide d’hiver, il y avait un pauvre vieux mendiant qui était couché dans la rue, gelant à mort. Les gens passaient à côté, ceux qui pouvaient l’aider, ils ne le faisaient pas. Martin avait donné tout ce qu’il avait.
Alors, il a dit : «Il n’y a qu’une seule chose à faire. J’ai un seul manteau. » Alors, il a simplement pris son épée, il a découpé ce manteau en deux, il en a revêtu le mendiant là-dedans, comme cela, et il s’en est allé avec l’autre moitié. Les gens se sont moqué de lui, disant : «Oh, quel ignorant ! N’a-t-il donc pas l’air d’un beau soldat avec la moitié d’un manteau ? » Il n’a pas fait cas de cela, il est allé de l’avant, parce qu’il savait que c’est ce qu’il devait faire. Cette nuit-là, dans la caserne, il s’est réveillé, et alors il a vu Jésus se tenir là, enveloppé de ce morceau de manteau dont il avait enveloppé le mendiant. Et Jésus a regardé les Anges et Il leur a demandé : «Savez-vous qui M’a enveloppé de ceci ? »
Ils ont dit : «Non. »
Il a dit : «C’est Martin. »
Vous y êtes. Et il est devenu un saint, il a parlé en langues, a chassé les démons, il a eu des visions : Un puissant prophète de Dieu. Oui, oui. Pourquoi ? Quand il a enveloppé ce pauvre mendiant là dans la rue, c’est Jésus-Christ qu’il a enveloppé. « Toutes les fois que vous avez fait ces choses à ces plus petits de Mes enfants, c’est à Moi que vous les avez faites. »
90 Et pour me rassurer que vous êtes revêtus de la Justice de Christ, j’essaie de vous dire ce soir… et si j’avais le pouvoir de vous guérir, je guérirais chacun de vous. Voyez-vous ? Mais j’essaie de vous montrer par un don que ce que j’ai prêché, Dieu le confirme (voyez-vous ?), que je ne peux guérir personne, mais c’est pour vous faire savoir qu’Il est ici.
Croyez-vous cela, madame ? Alors, votre arthrite vous quittera. Croyez-vous que cela vous quittera ? Alors, poursuivez votre chemin, poussez des cris et dites : «Gloire au Seigneur. Je crois cela de tout mon coeur. »
Il y a eu une drôle de chose quand j’ai parlé de l’arthrite à cette femme, vous aviez la même chose. Allez – allez simplement de l’avant et dites : «Je crois de tout mon coeur », et cela – et cela sera terminé.
91 Maintenant, croyez-vous que Dieu vous guérira de cette gastrite et que vous retournerez chez vous manger comme vous devriez le faire ? Alors, rentrez directement chez vous et mangez comme vous devriez le faire. Croyez donc. Croyez-vous de tout votre coeur ? «Quand Je – quand J’aurai été élevé de la terre, J’attirerai tous les hommes à Moi. »
Maintenant, croyez-vous que le Saint-Esprit est ici ? Si je vous impose simplement les mains, allez-vous être guérie ? Au Nom de Jésus, puisse-t-elle être guérie : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: En mon Nom… » Croyez simplement maintenant, alors que vous passez. Avancez directement, soeur. Au Nom de Jésus-Christ… Tout le monde, priez maintenant. Voyez, beaucoup trop de ces visions, ça m’affaiblit. Au Nom de Jésus, je Te prie de guérir notre soeur. Je vous ai vu lever la main là, pour montrer que vous croyez. Croyez maintenant. Au Nom de Jésus-Christ, je Te prie de la guérir.
92 Venez, soeur. Père divin, je ne porte rien dans mes bras ; je m’accroche simplement à Ta croix. Je demande sa guérison au Nom de Jésus. Amen.
Père divin, au Nom de Jésus-Christ, puisse notre soeur être guérie. Amen. Venez, mon précieux frère. Au Nom de Jésus-Christ, puisse mon frère être guéri. Croyez-vous que Dieu le guérira et le rétablira ? Au Nom de Jésus-Christ, puisse cet enfant être guéri. Maintenant, observez simplement maintenant qu’on a prié pour lui.
Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre soeur être guérie. Au Nom du Seigneur Jésus, puisse notre soeur être guérie. Au Nom du Seigneur Jésus, puisse notre soeur être guérie. Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre frère être guéri. Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre soeur être guérie.
93 Maintenant, restez en prière, tout le monde, très calmement. Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre soeur être guérie.
Ô Dieu, redonne à cette fillette ce que Satan a emporté. Sors d’elle, Satan, au Nom de Jésus-Christ.
Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre frère être guéri.
Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre soeur être guérie.
Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre soeur être guérie.
Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre soeur être guérie.
Au Nom du Seigneur Jésus, puisse notre soeur être guérie.
Au Nom du Seigneur Jésus, puisse notre soeur être guérie.
Au Nom de Jésus-Christ, puisse notre soeur être guérie.
94 Maintenant, dans l’assistance, tout le monde… Je sais qu’on n’a pas distribué assez de cartes de prière là. J’aimerais que vous incliniez la tête juste un instant. J’aimerais vous poser une question. Il y a deux mille ans, il y eut un homme… Quatre mille… ?… environ deux mille cinq cents ans, il y eut un – Dieu s’est incarné dans un Homme, Il s’est assis à côté du chêne d’Abraham, Il a tourné le dos au mur, ou plutôt à la tente, Il a révélé à Sara (qui était à l’intérieur) son problème. Jésus a dit que ce qui arriva en ce jour-là arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. Jésus était la Bannière de Dieu : «Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. » Nous voyons cela. C’est vrai, sans aucun doute.
95 Maintenant, la raison pour laquelle je ne suis pas parti plus loin, j’ai beaucoup de réunions. Je reviendrai un jour à Phoenix pour une grande réunion, le Seigneur voulant. Maintenant, vous qui êtes ici ce soir, qui êtes malades et nécessiteux, et qui n’avez pas de carte de prière pour venir à l’autel, ici, pour qu’on prie pour vous, je vais prier pour vous maintenant. J’aimerais que vous soyez très respectueux. J’aimerais que vous tous, les croyants, vous vous imposiez les mains les uns aux autres, en guise de – en guise de signe.
Maintenant, la Bible dit… Eh bien, ce même Dieu qui a fait cette promesse a dit ceci : «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris. » Tout croyant, tout croyant qui a le Saint-Esprit, a en lui la puissance de Dieu, ou plutôt l’autorité d’offrir une prière de foi. J’aimerais que vous priiez, pendant que je prie pour ces gens-ci.
96 Notre Père céleste, ce soir nous sommes heureux… prêcher la Parole, et puis nous voyons Dieu descendre et confirmer la Parole. Alors ce – c’est la Bannière. Tu l’as promis.
Un jour, ça fait longtemps, il y avait un petit garçon du nom de David. Il prenait soin des brebis de son père. On lui avait confié la tâche de veiller sur ces brebis, pour tenir l’ennemi loin d’elles. Il avait quelque chose de très insignifiant pour assurer sa protection, juste une petite fronde.
Mais, un jour, un lion est entré dans le camp et il a attrapé un des agneaux. David, en véritable berger, a voulu récupérer cette brebis du père. Il savait que le lion volait cette brebis et qu’il la dévorerait. Et la brebis appartenait à son père. Il a pourchassé le lion avec hardiesse. Il a lancé un caillou, et cela a terrassé le lion. Et il a tué le lion, il a ramené la brebis dans la bergerie.
97 Maintenant, ô Dieu, nous sommes Tes bergers. Nous ne sommes pas des – des hommes de bistouri ou de – de médicament. Nous avons une très petite et simple chose, une fronde. Mais c’est ce que Tu as placé entre nos mains : une fronde de la prière. L’ennemi est entré, il s’est emparé des brebis de Dieu. Il a pris des pères, des mères, des enfants, les emportant dans les buissons : Ils sont devenus des arriérés mentaux, des aveugles, des gens rongés par le cancer et les démons.
Satan, cette petite fronde de la prière semble être très simple, mais je sais ce que cela fera. Je pourchasse cette brebis ce soir pour la ramener. Sors! Laisse-la tranquille. Sors de cette personne ; toi, mauvais esprit de maladie, et quitte-la. Je t’adjure au Nom de Jésus-Christ, quitte et ne reviens plus vers elle. Que le Dieu du Ciel te réprimande, Satan!
Jésus de Nazareth a dit : «Si vous dites à cette montagne : ôte-toi de là, et que vous ne doutez pas dans votre coeur, mais que vous croyez que ce que vous avez dit arrivera, vous recevrez ce que vous avez dit. » Ainsi donc, au Nom de Jésus-Christ, je proclame la délivrance de chaque personne qui est ici. Par le…
Satan, il se peut que tu dises que nous n’avons pas l’autorité de faire cela. Nous brandissons devant toi la Bannière ce soir. Jésus-Christ, le Saint-Esprit, est ici, confirmant que ceci est la Bannière de Dieu, et que tu as perdu la bataille. Sors au Nom de Jésus-Christ!