Confirmation et évidence
1 Bonsoir, les amis. Si nous pouvons rester debout juste un instant pour la prière. Inclinons la tête maintenant dans Sa Présence.
Bienveillant Père céleste, comme nous venons de nouveau ce soir en cette occasion solennelle pour parler à Ton peuple, nous nous rendons compte du grand besoin de l’heure ; et nous nous rendons compte qu’une – une grande effusion de l’Esprit est possible, si seulement nous pouvions nous approcher de la bonne manière. C’est pourquoi, nous venons au Nom de Jésus-Christ implorer la miséricorde.
Et ainsi, Père, nous comprenons aussi ce soir que nous avons devant nous l’acquisition du Sang de Jésus-Christ, et combien nous devons en prendre soin. Et c’est trop de travail pour un être humain, ainsi nous demandons, Seigneur, que Tu accordes que le Saint-Esprit vienne maintenant pour oeuvrer en notre faveur et nous accorder les choses dont nous avons besoin. Et si nos désirs sont Ta volonté, Seigneur, nous Te prions ce soir de nous accorder pleinement nos désirs selon Sa miséricorde.
Guéris les malades, sauve les perdus, console les affligés, et révèle-Toi au milieu de nous. Et puisses-Tu faire quelque chose pour nous ce soir, Seigneur, quelque chose de spécial.
2 Nous savons qu’un jour, en revenant, après la glorieuse résurrection, les femmes sont retournées de la tombe disant qu’Il était ressuscité. Et puis Simon est venu et a dit qu’Il était ressuscité. Et deux disciples étaient en route là vers Emmaüs, et un Etranger a surgi et leur a parlé chemin faisant. A la tombée du jour, ils L’ont invité à entrer. Ô Dieu, voici une autre tombée du jour. Nous T’invitons à entrer. Nous savons que c’est Toi qui nous as aidés tout au long du jour.
3 Et ensuite, devant ces deux hommes, Cléopas et son ami, Tu as fait quelque chose exactement comme Tu l’avais fait avant Ta crucifixion. Par cela ils reconnurent que Tu étais ressuscité des morts et que Tu es vivant au milieu des gens. Ils se sont hâtés d’aller rapidement vers leurs camarades et ont dit : «C’est vrai, le Seigneur est ressuscité.»
4 Et, Père, nous Te prions ce soir de faire, au cours de notre rassemblement ici, quelque chose exactement comme Tu l’avais fait avant la crucifixion, pour confirmer qu’après deux mille ans, Tu es toujours vivant et que Tu restes le même Dieu que Tu étais alors. Nous Te confions ceci pendant que nous déposons nos prières et notre foi sur Ton autel d’or, Seigneur, et nous invoquons sur cela le Nom du Seigneur Jésus, et Te demandons de nous accorder nos requêtes. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
Aujourd’hui, ç’a été une journée très inhabituelle. Ce matin, au déjeuner, nous avons passé un bien merveilleux temps de communion avec nos frères et soeurs. Et – et j’ai participé à beaucoup de déjeuners, mais c’est la première fois que je les ai vus revenir sans cesse et dire : «Voulez-vous une troisième portion? Une deuxième portion?» C’est toujours la petite portion là dans un coin, et on se rend compte qu’on n’a pas mangé assez. Mais, je vous assure, nous avons eu un jubilé gastronomique ce matin. Nous en avons eu certainement un. Nous étions vraiment rassasiés.
Et ensuite, les soeurs ne cessaient de venir tout autour, pour dire : «Pouvons-nous vous verser encore du café? Pouvons-nous vous donner encore des oeufs, ou…?» Et tout autour des tables. Il n’y avait certainement pas de raison que quelqu’un s’en aille affamé. Nous avons passé un temps excellent.
5 Et puis, j’ai fait une chose que je n’avais jamais faite auparavant. J’ai eu l’occasion de parler dans une synagogue juive. C’était ma première occasion. Un temps vraiment merveilleux. Et nous avons certainement communié là avec frère Michaelson, sachant… Je crois qu’il détient un diplôme de doctorat et on l’appelle Dr. Michaelson. Et je l’ai entendu dans «L’heure du chrétien hébreu», c’est vraiment une très brave âme, qui a sûrement un fardeau pour son peuple. J’avais toujours désiré ardemment rencontrer ce brave homme. Mais à ce moment-là il était en Palestine, je crois, avec ses fidèles, et le fardeau est sur son coeur. Et je n’avais jamais eu le privilège de le rencontrer, mais les gens disent qu’il a soixante-seize ans.
6 Lorsque j’étais… L’autre jour, quelqu’un m’a demandé, disant : «Frère Branham, quel âge avez-vous?»
J’ai dit : «Oh, j’ai déjà dépassé vingt-cinq ans.»
Et – et on a dit : «De combien d’années?»
J’ai dit : «Vingt- sept ans au-delà de vingt- cinq.»
7 Ainsi, je me disais que je me faisais vieux, jusqu’à ce que je l’aie entendu ce matin parler de soixante-seize ans, et il continue toujours. Je me suis alors senti vraiment jeune à ce moment-là. Je me suis dit : «J’ai encore beaucoup plus de temps, si le Seigneur tarde.» Ainsi, des fois, nous voyons ces vieux soldats, et cela fait… Son associé est assis ici derrière moi. Je ne l’avais pas remarqué. Ces vieux soldats nous amènent alors à nous sentir en quelque sorte petits, quand nous pensons que nous sommes déjà quelque chose.
8 Je parlais du précieux et brave frère Bosworth, lorsque… Combien ont connu F.F. Bosworth? Je pense que beaucoup d’entre vous, vieux soldats, l’avez connu. Quand il se mourait, il… Je lui ai dit, je m’étais hâté de le rejoindre, et je l’ai vu se lever. Et il avait quatre-vingt-quatre ans, je pense que c’était bien cela.
9 Il revenait fraîchement d’une mission en Afrique avec moi. Et ses vieux petits bras, sa petite tête chauve… Il a levé ses bras comme cela, et les a étendus. Et j’ai accouru et je l’ai entouré de mes bras. J’ai crié : «Mon père, mon père! Chars d’Israël et sa cavalerie!»
Et il a dit : «Vous savez, Frère Branham, a-t-il dit, voici l’heure la plus glorieuse de ma vie.»
J’ai dit : «Savez-vous que vous êtes mourant?»
Il a dit : «Eh bien, je ne peux pas mourir.» Il a dit : «Il y a soixante ans que je suis mort.» Il a dit – il a dit : «Je suis simplement sur le point de changer de demeure.»
10 Et vous savez, vous tous qui l’avez connu, il avait le sens de l’humour, et il s’adressait à moi là. Et il a dit : «Non, Frère Branham, a-t-il dit, durant tout mon ministère, voici le moment où je suis le plus heureux.» Il a dit : «Tout ce pour quoi j’ai vécu les soixante dernières années a été Christ. Et à tout instant Il franchira la porte, et j’irai avec Lui.» Oh! la la!
11 Avant qu’il ne meure… Il était en quelque sorte dans le coma pendant quelques heures. Et il s’est levé dans la chambre, s’est tenu là debout le bras tendu, serrant la main à ses convertis d’il y avait cinquante ans et qui étaient passés de l’autre côté. Oh! la la! «La vie de grands hommes nous rappelle…» comme je l’ai dit. Je… Que ma fin soit ainsi. C’est vrai. Un vieil homme pieux et saint… Ainsi ceci est notre âge. Nous ressusciterons dans cette génération, et nous devrons être jugés avec ces gens.
12 L’autre jour, quand j’ai accompli ma cinquante-troisième année, j’ai dit à ma femme ; j’ai dit : «Tu sais, Je pourrais… Qu’en serait-il, si le matin, quand je me suis réveillé, si… c’est mon anniversaire… si le Seigneur Jésus se tenait là, comme j’ai vu l’Ange du Seigneur se tenir au coin, cette Lumière… Si sous cette Lumière se tenait le Seigneur Jésus, et qu’Il venait vers moi, et qu’Il disait : «Quel est ton désir?» Je dirais : «Seigneur, que je vive plus longtemps pour Te servir.» Et Il dirait : «C’est accordé. Je te fais rajeunir. Maintenant, tu auras vingt ans, ou dix-huit ans. Passe encore le reste de temps en Me servant.»
Mais cela ne serait pas normal. Si je retournais pour avoir vingt ans, alors ma femme… Et j’ai ici un fils qui a vingt-sept ans. Ainsi cela ne serait pas normal. Ainsi donc, je me suis dit : «Eh bien, j’aime ma femme ainsi. Et la voir âgée de quarante-trois ans et moi de dix-huit ans, ça ne serait pas normal.»
Puis, je me suis dit : «Eh bien, qu’est-ce que je demanderais?» Je me suis dit : «Eh bien, maintenant, si je disais… Eh bien, je – je ne peux pas demander cela, car… Voici encore autre chose. Voyez ces gens à qui je prêche dans ma génération, il me faudra ressusciter avec cette génération. Voyez-vous? J’aurai à me lever au jugement avec cette génération, pour confesser le ministère que j’ai prôné. Voyez-vous? Ainsi, je ne peux pas rajeunir pour être dans une autre génération et mourir ici dans cette génération-ci après avoir prêché à cette génération-ci.»
13 Alors je me suis dit : «Eh bien, tant que je sais que je suis en bonne santé, tant que je ne sais pas tout à ce sujet... Et j’ai toujours une bonne vue ; mon ouïe est forte. Et le ministère qu’Il m’a donné, j’en suis très reconnaissant. J’ai – je l’ai exercé de mon mieux. Ainsi, il n’y a qu’une chose que je pourrais faire, et c’est de dire : «Seigneur Jésus, je suis reconnaissant que je – que je sois ce que je suis par la grâce de Dieu.» C’est vrai.
14 Cela me rappelle quelque chose. Ceci n’est pas un endroit pour faire des plaisanteries. Je ne crois pas du tout que ça devrait être ici. Mais cela n’est pas dit sous l’angle d’une plaisanterie, mais juste pour faire une déclaration. Une soeur de couleur avait assisté à l’une des conventions, et elle a dit : «Eh bien, a-t-elle dit, je voudrais donner un témoignage pour la gloire de Dieu.» Elle a dit : «Je – je ne suis pas ce que je devrais être.» Et elle a dit : «Je ne suis pas ce que je voudrais être. Mais alors, je sais aussi que je ne suis plus ce que j’étais.» Je me suis donc dit que c’était très bien. Et je suis reconnaissant pour cela, car je ne suis plus ce que j’étais. Et je pense que nous sommes tous reconnaissants pour cela, car nous ne sommes plus ce que nous étions, parce que nous sommes passés de la mort à la Vie. Et si ce soir il y a des gens qui ne le savent pas, et qui n’ont pas cette assurance, j’espère que vous ne sortirez pas de ces portes avant que cette âme soit ancrée dans le havre du repos, pour ne plus naviguer sur les mers en furie.
15 Eh bien, hier soir, nous vous avons retenus jusque très tard. Voici qu’il se fait tard ce soir. Mais nous allons rentrer chez nous de bonne heure. Et je n’ai pas essayé ou tenté de commencer la prédication, car… Je ne prêche pas très longtemps : des fois environ six heures ou quelque chose comme cela. L’autre jour j’ai prêché six heures au Tabernacle, je sais donc que vous ne voulez pas que je me mette à prêcher. Je n’ai donc qu’un petit passage de l’Ecriture ici, je vais le lire et je vais faire quelques commentaires. Et je ne sais même pas ce que… Billy a-t-il distribué des cartes de prière? A-t-il distribué des cartes de prière aujourd’hui? Oh! il y en a quelques-unes qui sont restées hier soir. Eh bien, nous pouvons alors appeler une ligne de prière. Je ne sais pas ce qu’Il voudra que nous fassions. Je – j’aime simplement rester dans la douceur de Sa Présence, et alors entrer dans la salle, ensuite faire ce qu’Il me dit de faire. Voyez-vous? C’est vrai.
16 Je pense que nous aimons tous cela. Je pense que les ministres devraient faire cela. Ce n’est pas aller dans les réceptions et se mêler aux gens dans – dans des affaires mondaines, je pense que nous devrions rester dans la tranquillité, dans la Présence du Seigneur. Et j’ai essayé de me faire une habitude, m’enfermer chaque après-midi à quinze heures, et ensuite ne point parler jusqu’à ce que je sois à la chaire ce soir-là.
Bon, ce soir, comme passage de l’Ecriture, lisons dans le livre de Saint… plutôt dans le livre des Hébreux, excusez-moi, chapitre 6, à partir du verset 13. J’aime lire la Parole, car je sais que cette Parole ne faillira jamais. Ma parole, c’est la parole d’un homme. Elle peut faillir. Mais si je lis cette Parole, alors je sais que cela est suffisant pour asseoir la réunion, car je sais donc que Ses Paroles ne failliront pas.
Maintenant, écoutons très attentivement, pendant que je vous donne le temps de retrouver l’Ecriture.
17 Rappelez-vous que nous ne devons pas venir à l’église pour faire le religieux. Nous ne devons pas venir juste pour accomplir un acte religieux, en allant à l’église. Nous devons venir pour adorer en Esprit et en Vérité. Nous devons être profondément et sincèrement… Nous devons vraiment exprimer ce pour quoi nous venons ici. Les jours deviennent mauvais. Le temps est mauvais. Et nous voulons – nous voulons que chaque minute compte, et particulièrement quand nous sommes dans la maison du Seigneur.
Je suis en train de regarder ici ce soir une petite dame tout empaquetée, rafistolée, assise dans un fauteuil roulant. Un autre homme est assis ici… J’ai remarqué cette femme, ou plutôt quelqu’un, qui vient donc d’essuyer son visage, il est assis sur une chaise. Une dame est assise ici dans un fauteuil roulant, les pieds calés ; une dame avancée en âge, assise au fond dans un fauteuil roulant…
18 Il se peut qu’il y ait là certains avec des troubles cardiaques. Peut-être qu’ils ont entendu des centaines de messages être prêchés, mais ils cherchent à se frayer un chemin vers la santé ce soir. Ils cherchent à se frayer un chemin. Et peut-être que quelques-uns de ceux qui sont dans les fauteuils roulants pourraient vivre encore pendant beaucoup d’années. Il y a peut-être quelqu’un, assis là avec un cancer, qui va mourir dans les quelques prochains jours si rien ne se passe. Ou peut-être quelqu’un est-il assis là étant cardiaque. Ils peuvent paraître en bonne santé, mais un caillot de sang monte directement. Ils peuvent mourir dans les quelques prochaines heures si rien n’est fait.
Et par dessus tout cela, il se peut qu’il y ait quelqu’un assis là, qui ne connaisse pas le Seigneur Jésus. Et ils savent qu’ils ne Le connaissent pas dans la puissance de Sa résurrection, dans le pardon de leurs péchés. Ils périront s’ils meurent. Et ils sont conscients, ceux qui sont là qui se sont arrêtés peut-être à l’étape de la justification, qui ne sont jamais nés de nouveau du Saint-Esprit. Ils attendent cela.
19 Ainsi, vous voyez, tout compte fait… J’ai dit, j’ai fait une remarque : «Si j’avais deux gouttes du Sang littéral de Jésus dans un – un verre, oh! comme je serrerais cela sur mon coeur et pleurerais ; je serais là faisant attention pour ne pas trébucher et renverser cela, pendant que je me déplace avec cela vers où je suis censé aller avec. Oh! comme je veillerais à chaque pas, afin de ne pas trébucher, plaçant mes pieds juste là où il le faut! Je me suis dit : ‘Comme je tiendrais ces deux gouttes de sang!’»
20 Mais vous savez, ce soir, pour Dieu, il y a devant moi une chose plus importante pour Lui que Son propre Sang, car ce sont ceux qui ont été acquis par Son Sang. Il a répandu Son Sang pour vous, et voici que je vous garde à écouter ce soir l’Evangile. Alors, combien je dois être plus attentif pour vous dire exactement la vérité, car Dieu me fera répondre pour cela au jour du Jugement, plus que si je prenais le Sang, le Sang littéral, et Le jetais par terre. Il y aura une plus grande peine si l’on trompe les gens, ceux qui ont été acquis par Son Sang, qu’il y en aurait pour avoir déversé le Sang du plateau sur lequel je L’aurais eu.
Eh bien, soyons vraiment sincères, pendant que nous lisons, et étudions, et prions maintenant. Au chapitre 6, verset 13, nous lisons :
Lorsque Dieu fit la promesse à Abraham, il… (Laissez-moi reprendre cela, j’ai tourné deux pages à la fois.) ne pouvant jurer par un plus grand que lui, Il jura par lui-même, et dit :
Certainement, je bénirai et je multiplierai ta postérité.
Et c’est ainsi qu’Abraham, ayant persévéré, obtint l’effet de la promesse.
Or, les hommes jurent par celui qui est plus grand qu’eux, et le serment est une garantie qui met fin à tous leurs différends.
C’est pourquoi Dieu, voulant montrer avec plus d’évidence aux héritiers de la promesse l’immutabilité de sa résolution, intervint par un serment,
Afin que, par deux choses immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu mente, nous trouvions… puissant encouragement, nous dont le seul refuge a été de saisir l’espérance qui nous était proposée.
Puisse le Seigneur bénir Sa Parole, pendant que nous parlons pour environ dix à quinze minutes, et que nous voyons ce que… quand Il nous conduit, ce que nous devons faire!
21 Je réfléchissais sur «La confirmation et L’évidence.» C’est comme si l’homme a toujours besoin d’une confirmation ou d’une sorte d’évidence ; et plus particulièrement dans ce temps de… l’âge des sceptiques dans lequel nous vivons. Tout doit être confirmé ; ça doit être une évidence de la chose. Et la – et l’évidence de la confirmation nous donne l’assurance de ce que nous recherchons.
Lorsqu’un homme achète une voiture, il doit avoir un acte notarié pour cette voiture. Et même si la voiture n’est pas garée dans son garage, s’il a l’acte notarié, celui-ci représente pour lui une confirmation qu’il est le propriétaire de la voiture, car il a l’acte notarié ou le titre.
Et puis, si nous achetions un terrain, même si nous n’avons pas encore vu ce terrain, que nous ne sachions rien du terrain, mais que nous ayons le titre de propriété pour ce terrain, celui-ci nous appartient, que nous l’ayons vu ou non. Cela nous appartient toujours. La voiture nous appartient. Que nous l’ayons vue ou non, nous avons toutefois le – le titre qui nous a été donné, et nous avons cela en notre possession, en notre nom, car ce titre montre que nous sommes propriétaire de cette voiture. Et le titre de propriété nous dit que c’est notre propriété.
22 Maintenant, dans les Hébreux on nous enseigne de nouveau que la foi… Hébreux 11 : «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.» Voyez? C’est une ferme assurance. Or, ce n’est pas une espérance. La plupart des gens viennent avec l’espérance. Mais la foi est une ferme assurance. Ce n’est pas quelque chose que vous espérez. Lorsque la foi a trouvé prise, vous avez une ferme assurance, pas juste un mythe. Vous vous êtes emparé de quelque chose. Vous le savez. Rien ne vous bouge de là. Cela vous appartient. Vous êtes sûr. Vous avez la chose en main. Vous l’avez. Elle est votre possession.
23 Par exemple, si je mourais de faim pour … à… je crevais de faim, et qu’un pain sauverait ma vie, et que le prix du pain soit de vingt-cinq cents, et que quelqu’un m’ait donné les vingt-cinq cents, je peux alors … Tant que je vois, et que je sais que je détiens ces vingt-cinq cents qui représentent le pouvoir d’achat du pain, je peux être tout aussi heureux pour vingt-cinq cents que je le serais pour un pain (Voyez-vous?), car j’ai déjà le pouvoir d’acquisition qui achète un pain.
24 Il en est donc ainsi de la foi. La foi, c’est quelque chose que vous avez. Vous savez que vous avez la chose. Et quand vous obtenez la foi selon laquelle Dieu existe, alors ce Dieu va vous donner ce… Cependant votre guérison peut ne pas être là, mais pourtant, quelque chose s’est ancré en vous qui vous dit que ça va marcher. Alors vous pouvez être tout aussi heureux que si vous étiez… Vous pouvez être tout aussi content, étant assis dans le fauteuil roulant, que si vous étiez là dans la rue sautillant, criant et cour… courant ici et là, louant Dieu, car vous avez déjà reçu l’évidence. La chose vous appartient déjà.
25 Vous voyez, ce n’est pas un mythe. Ce n’est pas une imagination. C’est une – c’est une ferme assurance. Et tout ce qui est une ferme assurance n’est pas un mythe. C’est en fait quelque chose dont vous vous êtes emparé. Or, c’est là que les gens manquent d’être guéris. Ils ont l’espérance au lieu de la foi. Vous espérez que vous le serez. Vous avez – vous avez en quelque sorte une foi imaginaire, parce que vous sentez que vous êtes… vous vous êtes approprié cela. Mais en fait, lorsque vous vous êtes emparé de la foi, c’est une ferme assurance. C’est quelque chose de réel. Alors vous vous y cramponnez. Et c’est ce qui amène la chose.
26 C’est là que j’aurais aimé avoir cette foi aux résultats instantanés que j’aimerais avoir ; je suis désolé de ne pas l’avoir. Le seul moyen par lequel j’ancre la grande foi, c’est lorsqu’Il me dit quelque chose à faire ou me montre de le faire.
27 S’Il apparaissait ici à l’estrade ce soir et me disait : «Va au cimetière présidentiel. Demain matin à dix heures, appelle George Washington d’entre les morts», j’inviterais le monde entier à venir voir cela être fait. Oui, monsieur. Car j’ai foi dans ce qui m’a été dit ; en effet, Il n’a jamais manqué de confirmer tout ce qu’Il m’a dit. Ainsi, j’ai foi dans cela, croyant cela, que c’est la vérité, car c’est une affaire classée.
28 Tout au long de ma vie, depuis que j’étais un petit garçon, de toutes les visions, des milliers, pas une seule n’a déjà failli. Par conséquent, c’est la vérité. Cela me donne la foi. J’ai foi dans ce qu’Il dit.
29 Eh bien, je me suis souvent demandé si des fois je ne suis pas allé au-delà des limites en disant : «Ô Dieu, donne-moi la foi pour parler à celui-ci, pour parler à celui-là, pour parler à celui-là.» Or, nous réalisons que notre Seigneur Jésus, étant Emmanuel, n’a jamais fait cela, car Il a clairement dit dans Saint Jean 5.19 : «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père (pas ce qu’Il entend dire au Père, mais ce qu’Il voit faire au Père); le Fils aussi le fait pareillement».
Voyez, il doit se produire quelque chose qui vous donne cette – cette évidence, cette confirmation. Maintenant, si Dieu disait : «Il va pleuvoir le matin», il ne me serait pas difficile de prendre des dispositions pour la pluie, car je sais qu’il va pleuvoir. Eh bien, si nous pouvons changer cela en ayant une vision, ou entendre la Voix audible de Dieu… Mais pour changer cela en… Le moyen initial d’avoir la foi, c’est d’entendre la Parole écrite de Dieu. Maintenant, si Dieu vient au milieu de nous et se révèle à nous, nous donnant le Saint-Esprit, le parler en langues avec l’interprétation, envoyant des dons au milieu de nous, comme cela ; ou la prophétie qui est donnée à un certain endroit, et qui dit une certaine chose, et qui fait une certaine chose et confirme cela maintes et maintes fois, et que cela ne faillit jamais, elle devra nous placer dans une position qui nous donnerait une prise sur cette Parole, et qui ne lâcherait pas. Cela devrait être une évidence juste là. Aussi longtemps que Dieu l’a dit, cela règle le problème. Voyez-vous?
30 Je crains que bien des fois nous – nous ne nous arrêtions pas assez longtemps pour réfléchir à la position dans laquelle nous nous trouvons. Eh bien, la plupart des gens, ou… Je suis désolé d’avoir dit cela. Beaucoup de gens du monde extérieur considèrent une réunion de ce genre comme une sorte de supercherie, ne sachant pas ce qu’ils disent. Il y a une chose que nous devons reconnaître : il y a eu en effet beaucoup de fausses représentations de ceci.
31 Mais avant qu’on puisse avoir un faux dollar, il doit y avoir un vrai dollar à partir duquel le faux a été fabriqué. Si ce n’est pas le cas, alors c’est le faux qui est l’original. Voyez-vous? Aussi sûr qu’il existe un faux, il doit y avoir un vrai à partir duquel cela a été fabriqué. Ainsi il existe un vrai Saint-Esprit, une vraie guérison divine, une vraie puissance de Dieu, une vraie foi dans la Parole. Et c’est cela la confirmation que quelque chose s’est ancré. Oh! combien c’est glorieux! c’est une confirmation.
32 L’homme recherche cela. C’est la nature de l’homme. Dieu a créé l’homme ainsi. C’est ainsi que Dieu a créé l’homme. Eh bien, par conséquent, ayant créé l’homme avec cette sorte de nature, Dieu fait quelque chose pour répondre à ce désir de l’homme. Dieu est un Dieu bon, comme Oral Roberts l’a souvent fait remarquer. Il est un Dieu bon, mais n’allez donc pas avec cela à l’extrême. Il est aussi un Dieu juste. Il l’est certainement. Ne Le considérez pas trop bon.
C’est comme quelqu’un… un adolescent a dit il n’y a pas longtemps : «Dieu est tellement bon qu’Il ne s’occupe pas de ce que je fais.» Oh! si.
33 Si le fait de désobéir à Sa Parole, rien – rien que mal interpréter un petit iota, a causé chaque chagrin, chaque maladie, chaque mort, chaque petit enfant qui pleure, qui se meurt, chaque cimetière… Du fait qu’une seule personne a désobéi juste à une portion de la Parole de Dieu, cela a causé tout ce trouble, ne pensez pas que nous en laisserons passer un iota de nouveau et entrer, en désobéissant à tout ce que Dieu a promis.
34 Par conséquent, il se peut que je n’aie pas la foi, comme je l’ai dit, pour marcher comme Enoch : faire une petite promenade dans l’après-midi et rentrer à la Maison avec Dieu ; mais j’aurais aimé avoir cette foi. Mais je ne me tiendrai jamais sur la voie de quelqu’un d’autre, et me moquer de ceux qui ont eu ce genre de foi. Je les admirerai, ces hommes qui ont une telle foi.
35 Maintenant, la foi. Dieu a parlé à Abraham ici, Il lui a donné une promesse, et ensuite Dieu lui a donné la confirmation de cette promesse, Il lui a donné une évidence en jurant devant lui. Et la chose immuable est que Dieu ne peut mentir. Et pas seulement cela, quand Il lui a fait la promesse, alors par-dessus cela, Il a juré par cela : Dieu jurant par Lui-même.
Vous devez jurer par un plus grand que vous-même, et il n’y avait pas un plus grand que Lui-même par lequel jurer. Ainsi Il jura par Lui-même. Et la promesse fut faite à Abraham et («et» est une conjonction) à sa postérité après lui ; pas les postérités, mais sa postérité. Et Christ est la Postérité d’Abraham. Et nous, étant en Christ, la Vie de Christ en nous fait de nous des enfants d’Abraham, et nous sommes héritiers avec Lui selon la promesse.
36 Et Abraham, après avoir reçu la promesse, ne douta point par incrédulité au sujet de la promesse, mais il fut fortifié, donnant gloire à Dieu pendant vingt-cinq ans. Et c’était presque une chose impossible, quand il a reçu la promesse, car il avait soixante-quinze ans, et Sara, sa femme, soixante-cinq. Elle avait probablement dépassé la ménopause de cinq ou dix ans. Et lui avait soixante-quinze ans, et il était constamment en train de donner gloire à Dieu, continuellement.
37 J’espère que vous ne pensez pas que c’est sacrilège, mais je peux juste me représenter, maintenant, Sara qui a dépassé le temps de la maternité, et il a dit : «Sara», après les premiers vingt-huit jours : «Comment te sens-tu, chérie?»
– Pas de changement.
– Gloire à Dieu, nous allons avoir cet enfant de toute façon. Voyez-vous?
– Et après les vingt-huit jours suivants, «S’est-il passé quelque chose, chérie?»
– Rien du tout.
«Gloire à Dieu, ce sera donc un miracle plus grand qu’il ne l’aurait été si cela était arrivé le mois passé. Voyez-vous? Nous allons l’avoir.» Pourquoi? Il crut en Dieu. Il s’était emparé de quelque chose. Il pouvait prendre Dieu au mot. Une prise, il pouvait s’accrocher à la promesse de Dieu.
38 Eh bien, nous remarquons, alors que l’année s’écoula et que rien ne s’est produit. Deux ans, et toujours : «Gloire à Dieu!» Sara avait fait fabriquer de petits chaussons, et de petites couches, vous savez, et tout, attendant. Elle était en train d’attendre car elle savait que cet enfant allait venir, en effet, Dieu l’avait promis.
39 Et maintenant, nous sommes censés être la semence d’Abraham, spirituellement parlant, étant en Christ. Eh bien, nous devrions nous emparer de chaque promesse de Dieu, la chérir comme si elle était déjà accomplie ; car si Dieu a parlé, Il ne peut plus jamais retirer cela.
40 Eh bien, lorsque Dieu est amené à prendre une décision… Et la décision que Dieu prend la première fois doit rester toujours la même, car Il est infini. Il est parfait, et Ses décisions sont parfaites. Par conséquent, Il ne peut pas dire : «J’ai dit cela l’année passée, mais J’en sais plus cette année.» Dieu est un Dieu infini. Il est parfait, et chaque décision qu’Il prend est parfaite. Il n’a pas du tout à la changer, car elle est parfaite dès le départ. Il n’a pas à la retirer.
41 Par conséquent, moi, je peux faire une promesse. Je ne sais pas. Il me faut la retirer. Mais Dieu ne fait pas cela. Et si Dieu a été appelé en scène pour guérir un homme qui était malade, la base sur laquelle Dieu a guéri cet homme, Il doit garder toujours cette même chose.
42 Quand l’homme était perdu, il n’avait qu’une seule voie, Il a pris des – des dispositions pour sauver cet homme. Et la base sur laquelle Il l’a sauvé, elle demeure toujours jusqu’aujourd’hui : le Sang répandu. Pour guérir l’homme, c’était par la foi. Et c’est la seule manière par laquelle Il guérit aujourd’hui, c’est par la foi dans Sa Parole. C’est tout à fait vrai.
43 Bon, ainsi, Dieu, après avoir confirmé… J’aurais souhaité que nous ayons le temps, mais j’ai fait une promesse. Après que Dieu a donné la promesse à Abraham, alors Il la lui a confirmée en lui donnant la circoncision. C’était un signe, et c’était dans sa chair.
44 Et maintenant, je m’adresse à une audience mixte, mais considérez-moi comme votre frère. Maintenant, lorsqu’Abraham se faisait vieux, et la Bible dit que son corps était pratiquement mort, il pouvait regarder ce signe dans sa chair, et savoir que c’était le signe de Dieu montrant qu’il tiendrait Sa Parole : la circoncision. Considérez cette évidence, et dites : «Dieu a fait la promesse.»
Sara pouvait dire : «Mais j’ai quatre-vingts ans, et il y a longtemps que je ne fais plus l’acte de vie.»
45 Mais alors Abraham pouvait se retourner et voir l’évidence selon laquelle Dieu avait dit : «Ceci est un signe.» Et Abraham pouvait donner gloire à Dieu et être plus fortifié que jamais, car c’était un signe, une confirmation que Dieu allait lui accorder la chose.
46 Or, Il a aussi promis que ses enfants séjourneraient et seraient dans un pays étranger pendant quatre cents ans. Et ils étaient dans ce pays depuis quatre cents ans, des esclaves, comparables aux chiens. Apparemment, Dieu leur avait tourné le dos. Mais c’était selon Sa promesse. Il doit tenir Sa promesse.
47 Si les gens voulaient prendre une de ces jeunes filles hébraïques et – et la violer, ces soldats égyptiens, ils faisaient tout bonnement cela. S’ils voulaient tuer un des garçons, ils le tuaient simplement. On leur jetait du vieux pain moisi, et il mangeait, sinon il mourait. Et ils étaient simplement des esclaves, et ils étaient – ils étaient opprimés et battus. Et ça paraissait étrange que Dieu ait permis une chose pareille. Mais des fois, Dieu fait ces choses, Il agit de façon toute particulière. Cependant, Il tient toujours Sa Parole.
48 Et lorsque le temps de la promesse fut proche, un prophète sortit du désert avec le AINSI DIT LE SEIGNEUR, entouré de la Colonne de Feu. Et il est venu et leur a donné la Parole du Seigneur, car Il avait entendu leurs cris, et Il s’était souvenu de Sa promesse, et chacun de ceux qui étaient circoncis…
49 Eh bien, Il s’était souvenu de Sa promesse. Et ainsi, Il leur dit qu’il y avait un pays où ils pouvaient élever leurs enfants. C’était un beau pays. C’était un beau pays, où coulent le lait et le miel, et où rien ne manquait. C’était un pays merveilleux. Rappelez-vous, aucun d’eux n’y avait jamais été. Ils ne connaissaient rien au sujet du pays. Mais ils devaient agir par la foi face à la promesse, et ils ont agi par la foi. Et ils avaient quitté l’Egypte sous la conduite de Dieu et de Son prophète qui leur parlait d’un pays meilleur.
50 Ainsi, ils sont sortis de l’Egypte, et ils sont arrivés à un endroit appelé Kadès-Barnéa. Je pense que c’était par-là que Josué, ce grand guerrier qui était au milieu d’eux, avait traversé pour explorer le pays. Il avait traversé le Jourdain, il était allé de l’autre côté du pays, et il était revenu avec l’évidence que c’était un bon pays, que la Parole de Dieu était parfaite, que Ses promesses étaient vraies. Et il avait l’évidence, la confirmation que le pays était là. Il s’était emparé de quelque chose, comme quoi le pays était exactement ce que Dieu avait promis qu’il serait. Deux personnes transportaient une grappe de raisins. Les gens ont pu goûter à cela et voir que le pays était bon. C’était une confirmation que Dieu avait tenu Sa promesse.
51 Puis, Israël traversa le Jourdain et entra dans le pays promis, et Josué leur partagea le pays. Ils étaient en paix. Ils étaient une nation. Ils avaient leurs églises. Ils plantaient leurs produits agricoles. Ils élevaient leurs enfants. Ils les amenaient à l’église. Et ils vivaient heureux. Et Dieu mit la crainte dans toutes les autres nations vis-à-vis d’eux, et ils étaient un peuple puissant.
52 Mais finalement, après tant d’années, ils commencèrent à construire des cimetières là-bas, car les vieux guerriers de la foi devaient arriver à la fin de la route et mourir. Et l’on a commencé à avoir des tombes, des marqueurs de tête, des cimetières construits dans ce glorieux pays que Dieu leur avait promis. Ils durent mourir, quel que bon que fut le pays dans lequel ils vivaient, les bons fruits dont ils se nourrissaient. Ils durent néanmoins mourir.
53 Alors un jour, le grand Capitaine en Chef est descendu, le Seigneur Jésus, et Il a commencé à leur parler d’un autre pays. «Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père : si cela n’était pas, Je vous l’aurais dit. Et Je vais vous préparer une place, et Je reviendrai et Je vous prendrai avec Moi, afin que là où Je suis, vous y soyez aussi.» En d’autres termes, c’est comme ceci : «Vous avez été fidèles à la cause, mais vous devez mourir. Mais il existe un pays où l’homme vit et ne meurt point. Il y a une vie après la mort.» Quelle promesse aux hommes! C’était stupéfiant, et cela a étonné beaucoup de gens.
54 Mais Il est arrivé à Son Kadès-Barnéa. Le siège du jugement était Kadès-Barnéa. Il est donc arrivé à Kadès-Barnéa : le Calvaire, là où Il a porté sur Lui les… Il a porté les péchés du monde au Calvaire.
55 Mais Il a aussi traversé le Jourdain, ce que nous appelons le Jourdain de la mort. Il est passé dans l’autre pays et Il est mort pendant trois jours et trois nuits. Il mourut, si bien que le soleil cessa de briller. Il mourut, si bien que la terre eut une dépression nerveuse. Cela a fendu les rochers des montagnes. Il mourut. Et le troisième jour Il ressuscita, avec l’évidence qu’il existe un pays où l’homme peut vivre sans mourir. Il revint de ce pays. Il y a une vie après la mort.
56 Eh bien, Il a dit à Ses disciples : «Je vais vous en donner les arrhes. Je vais vous en donner la confirmation», comme ce fut le cas d’Abraham avec la circoncision. «Mais attendez là à Jérusalem, jusqu’à ce que vous ayez reçu la confirmation, jusqu’à ce que vous ayez reçu l’évidence.» Et ils ont attendu. Et le dixième jour, il vint du Ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, qui remplit toute la maison où ils étaient assis. Et ils furent tous remplis du Saint-Esprit. Des langues de feu se posèrent sur eux, et ils furent tous remplis et se mirent à parler en d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait de s’exprimer.
57 Qu’était-ce? C’était l’évidence que notre Josué, Jéhovah-Sauveur, était ressuscité d’entre les morts et qu’Il nous avait donné l’évidence selon laquelle quand nous mourons, nous avons encore la vie de l’autre côté : la confirmation, confirmant, donnant l’évidence de la chose.
58 Et maintenant, aujourd’hui, deux mille ans après, nous pouvons encore regarder en arrière, et nous pouvons voir là où nous étions autrefois : là dans la boue du péché. Et le péché, c’est l’incrédulité. C’est l’unique péché originel.
59 Il n’y a pas longtemps, un homme disait … Excusez-moi ; c’était une femme. Je prêchais dans une église méthodiste. Et j’ai dit : «Boire n’est pas un péché ; commettre adultère n’est pas un péché ; mentir n’est pas un péché et voler n’est pas un péché.» Et c’en était simplement trop pour une précieuse vieille soeur. Et elle s’est levée et a dit : «Je vous en prie, dites-moi qu’est-ce que le péché?»
60 J’ai dit : «L’incrédulité.» Vous faites ces choses, parce que vous ne croyez pas. Si vous croyiez, eh bien alors, vous ne les feriez pas. Ce sont les attributs de l’incrédulité. Et la justice, c’est un attribut de la foi, car vous êtes ancré dans cette foi : la confirmation, l’évidence.
61 Eh bien, regardez en arrière, là où vous étiez autrefois. Eh bien, regardez maintenant là où vous vous êtes élevé. Donc, vous êtes mort avec Christ. Vous avez été enseveli en Son Nom. Vous êtes ressuscité avec Lui dans la résurrection. Spirituellement parlant, ce soir, conformément à la Parole, nous sommes maintenant ressuscités avec Lui, nous sommes assis dans les lieux célestes en Christ Jésus, chaque démon qui a été vaincu étant sous Ses pieds, nous sommes assis dans la Présence vivante du Seigneur Jésus.
62 Oh! si cela ne vous amène pas à vous emparer de quelque chose, de Le voir avec la même évidence, cette même foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes, maintenant à l’oeuvre, faisant aujourd’hui les mêmes choses qu’Il a toujours faites! Voir l’apparition du Seigneur Jésus au milieu de nous, et en regardant en arrière, voir là où nous étions autrefois, et ensuite voir là où nous nous trouvons maintenant. Autrefois, nous étions morts, mais maintenant, nous sommes vivants. Et aussi sûr que nous sommes morts et ensevelis avec Lui, nous sommes ressuscités avec Lui dans la résurrection, car nous sommes ressuscités de là. Amen.
Maintenant, je me sens religieux.
63 Pourquoi? Nous sommes morts. Et nos vies sont cachées en Dieu par Christ et scellées par le Saint-Esprit. Je regarde en arrière et je vois là où j’étais autrefois. Ce William Branham est mort il y a trente-deux ans. Et maintenant, nous sommes une nouvelle créature en Christ, déjà ressuscités avec Lui et assis avec Lui maintenant dans les lieux célestes, avec l’autorité de Sa Parole promise, de sorte que chaque démon nous sera assujetti, et rien ne va d’aucune manière…?… «En Mon Nom ils chasseront les démons, et ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, ils boiront quelque breuvage mortel, ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»
Voilà Sa promesse. Voilà la confirmation de Sa promesse. Oh! confessons notre faiblesse, et Dieu nous accordera la force et la foi dans la Présence vivante même de Jésus-Christ ici ce soir, le Fils de Dieu.
64 J’étais ici en février avec deux de mes amis, lorsque nous étions là dans l’Arizona, et nous étions là dans les montagnes, nous étions là en train de chasser, quelques jours après les réunions. Et nous avons vu deux étoiles, oh! elles étaient proches, et j’ai dit : «Peut-être qu’elles sont séparées l’une de l’autre par des millions d’années-lumière, plus éloignées que nous le sommes d’elles.» Et j’ai dit : «Et dire que le Dieu qui a créé l’univers, le Dieu qui a créé le système solaire, Lui qui a créé les cieux et la terre, et qui les a créés par Sa Parole parlée…»
65 Rappelez-vous, une parole est une pensée exprimée. Dieu L’a pensée. Alors, s’Il L’a exprimée, Cela doit s’accomplir, car le monde a été formé par la Parole de Dieu. Ce qu’on voit a été fait des choses invisibles. C’était la Parole de Dieu. Il L’a pensée, et Il L’a prononcée, et Elle doit S’accomplir. C’est une semence qui est en train de croître, et merveilleusement, Elle doit se reproduire en Sa saison.
66 Nous pouvons considérer Sa Parole, et voir qu’Il a promis qu’Il fera sortir Son peuple dans les derniers jours, et faire tout à fait la même chose qu’Il fit, comme Il le fit du temps de Sodome. Et nous regardons cela et nous voyons ces choses. Nous devons nous emparer de la promesse de Dieu, et venir vers Lui, étant donné que nous avons ancré nos âmes dans ce havre de repos. Inclinons la tête.
Seigneur Jésus, la confirmation… Combien nous Te remercions ce soir pour la Présence de Celui qui est Divin. Si seulement les gens pouvaient se rendre compte de leur autorité en Lui, oh! combien glorieux cela serait, Seigneur, si seulement ils pouvaient croire cela, avoir foi! Puissent-ils, ce soir, s’emparer de cette foi. Cela leur a été enseigné ; on leur a prêché, plutôt cela leur a été prêché. Et ils ont lu cela dans la Bible. Ils ont vu les autres qui s’en sont appropriés.
67 Ô Grand Jéhovah Dieu, le Tout-Puissant qui a été fait chair et qui a habité parmi nous, maintenant Tu T’es fait chair dans notre chair par le Saint-Esprit, ici ce soir, vivifiant la Parole et vivifiant les promesses que Tu as prononcées. Accorde, ce soir, que chaque croyant puisse voir cela et être guéri ; et que les yeux de chaque incrédule puissent être ouverts à la Présence de Jésus-Christ, et qu’ils aient une confirmation de Ta résurrection.
Et le Dieu que Josué, notre Josué de l’autre pays, Qui est venu vers nous et Qui a atteint Son Kadès-Barnéa pour nous tous… Et notre Kadès-Barnéa, c’était là à l’autel, un soir. Maintenant, nous sommes considérés morts, et nos vies sont cachées en Lui, nous sommes ressuscités avec Lui dans la résurrection; aujourd’hui, nous sommes assis à Sa droite dans les lieux célestes. Accorde, Seigneur, que l’entendement des gens puisse être ouvert. Et nous Te donnerons la gloire, au Nom de Jésus.
68 Maintenant, avec la tête inclinée juste pour un instant, je vais poser une question solennelle maintenant. Notre temps s’est écoulé. Je voudrais vous poser une question solennelle, et je voudrais que vous y répondiez du fond de votre coeur. Je vous ordonne devant Dieu de le faire.
Si vous n’avez pas encore accepté cette promesse de la Vie Eternelle, et que vous n’ayez pas une assurance parfaite ainsi que l’action du Saint-Esprit dans votre vie, et que vous aimeriez l’avoir, voulez-vous simplement, avec la tête inclinée, chacun, lever simplement la main? Dites : «Priez pour moi, Frère Branham. Je veux cela dans ma vie.» Dieu… [Espace vide sur la bande – Ed.] Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, madame, que Dieu vous bénisse.
Très bien. Quelqu’un d’autre maintenant, pendant que nous sommes en train d’attendre? Dites : «Frère Branham, priez pour moi. Je – j’aimerais avoir cette confirmation dans mon coeur, que je suis ancré en Christ, que tous mes péchés sont sous le Sang, et que j’ai la paix qui dépasse tout entendement, et de savoir que je suis vivant en Christ. Je souhaiterais dire cela, Frère Branham. Voudriez-vous prier pour moi?» Y en a-t-il qui n’ont pas levé la main et qui aimeraient lever la main maintenant? Que Dieu vous bénisse, et vous.
Gloire au Seigneur! C’est bon. Très bien. Gardez simplement les mains levées. Je les vois là au fond, derrière. Attendant simplement. Prédicateurs, tout le monde, priez maintenant. Que Dieu vous bénisse. Il vous voit. Il voit votre décision. Il vous voit. Continuez simplement à prier. Il vous voit. Il est en train d’observer. Là au fond, je la vois, fiston. Que Dieu vous bénisse là au fond. Par ici, continuez simplement à prier. Très bien.
69 Notre Père céleste, Tu as vu leurs mains se lever. Selon la loi scientifique, ils ont défié la science juste à ce moment-là, car selon la science, leurs mains doivent pendre. C’est la pesanteur qui les maintient là. Mais il y avait en eux un esprit qui a pris une décision. Ils ont levé la main. Ils étaient disposés. Ils ont reconnu que quelque chose d’immortel leur parlait, le Dieu du Ciel. Et ils ont reconnu qu’ils n’étaient pas en ordre, et ils ont voulu être en ordre. Ils ont levé la main ; ils ont cru cela. Maintenant, Père, je Te prie de traiter maintenant avec eux. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.
70 Combien dans le bâtiment maintenant même… J’ai commencé à faire l’appel à l’autel, mais le Saint-Esprit m’a arrêté. C’est une chose étrange. Certainement. Il y a quelque chose d’autre. Il a dit : «Tu n’as pas encore donné la Présence de Ma – Ma confirmation de Ma Présence.»
Combien de gens ici n’ont pas de cartes de prière? Vous n’avez pas de cartes de prière, mais vous croyez en Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui est ici maintenant, Il est avec nous. Levez la main, vous tous. C’est partout! Merci. Un moment. Un peu plus tard…
Priez simplement et demandez à Dieu, disant : «Seigneur, je crois que les Ecritures me disent… Mon pasteur me l’a lu et il a prêché là-dessus. J’ai entendu d’autres. Et ils me disent que Tu es le Souverain Sacrificateur qui peut compatir à notre faiblesse. Or, ils déclarent que Tu es le même hier, aujourd’hui et pour toujours. Seigneur, je viens. Je suis malade. Je n’étais pas ici pour obtenir une carte de prière, mais je vais Te toucher, Seigneur. Et maintenant , si frère Branham nous a dit la vérité ( Il ne me connaît pas, ou il ne connaît rien à mon sujet.), je voudrais que Tu parles au travers de ses lèvres comme Tu l’as fait au travers des lèvres de Christ ce jour-là et… Comme Il a parlé à la femme atteinte d’une perte de sang.»
Et touchez-Le simplement. Et maintenant, je sens en moi que c’est un don, et je sens… C’est juste comme changer de vitesse.
71 Et maintenant, si vous croyez en Lui, et que vous Lui demandiez, Dieu vous l’accordera. S’Il le fait ce soir par Sa grâce, on peut rentrer chez soi et dire : «C’est vrai, le Seigneur est ressuscité», comme ceux qui revenaient d’Emmaüs. Et j’ai la confirmation maintenant, car Il a promis : «Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi», tout à fait le même genre d’oeuvres dont nous avons parlé hier soir. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et les Ecritures sont confirmées.
72 Et nous savons sans le moindre doute que nous vivons dans le jour semblable à celui de Sodome et Gomorrhe, car nous voyons les évangélistes de par le monde ; et on nous a enseigné que l’Eglise élue, c’est une Eglise qui est sortie, et qui s’est séparée du monde, ou des choses du monde. Et j’ai vu le même signe qu’Il a manifesté là, avant que Sodome soit brûlée, et il est promis qu’Il va brûler le monde très bientôt.
73 Et puis, si Dieu le fait, vous tous qui êtes à Sodome, fuyez aussi vite que possible. Venez à l’église. «Comment est-ce… Quelle église?» Les bébés nés de nouveau en Christ. Il n’existe qu’une seule Eglise. Et vous n’En devenez pas membre ; vous Y naissez. Et cela – c’est une nouvelle naissance. Puisse Dieu exaucer la prière.
Maintenant, prenons simplement les rangées, et laissez-Le parler en suivant les rangées. Depuis là-bas, ceux qui n’ont pas de cartes de prière… Eh bien, si vous avez une carte de prière, ne levez pas la main. Ceux qui n’ont pas de carte de prière, partout dans cette rangée de droite, levez la main, dites : «Frère Branham, je suis en train de prier.» Si ce n’est pas pour vous-même, priez pour quelqu’un d’autre, tout ce que vous voulez. Présentez juste une requête. Priez. Très bien. Que Dieu vous bénisse!
74 Maintenant, regardez de ce côté-ci et dites dans votre coeur : «Seigneur Jésus, je crois Ta Parole.» Et la Bible déclare dans Hébreux, chapitre 4… Maintenant, nous savons, avant de dire ceci, que Jésus était la Parole de Dieu faite chair. Est-ce vrai? La Bible dit dans Hébreux, chapitre 4, que la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, Elle partage jointures et moelles ; Elle juge les pensées du coeur.
75 C’est la raison pour laquelle Il pouvait les regarder et dire : «Ta foi t’a sauvé.» Il discernait cela. C’est cela la Parole. «Et si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles en vous...» Ne faites pas entrer en vous une quelconque doctrine dénominationnelle mélangée et faite de main d’homme. Restez pur, authentique vis-à-vis de la Parole. «Si vous demeurez en Moi et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez…», car la Parole juge les pensées du coeur. Croyez simplement maintenant. Ayez foi. Voyez s’Il confirme ce que j’ai déclaré être la vérité.
Restez respectueux un moment. En prêchant… Et puis, je – j’étais sur le point de faire l’appel à l’autel. Mais c’est Lui qui m’a demandé de faire ceci, ainsi Il m’aidera assurément.
76 Oui. Ça y est. Cette dame assise juste là derrière, habillée en robe rouge orange, elle prie pour sa mère, elle est en train de hocher la tête comme ceci. Elle a les cheveux noirs. Levez-vous juste un instant, madame. Oui. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Une chose très étrange vous est arrivée il y a juste un instant. Vous avez senti vraiment … comme quelque chose de vraiment humble et de doux vous environner. Je suis en train de regarder droit à cette Colonne de Feu, juste au-dessus du lieu où la dame se tient.
Elle est en train de prier pour sa mère. Sa mère n’est pas ici. Croyez-vous que Dieu peut me révéler le problème de votre mère? Croirez-vous alors, de tout votre coeur? Elle est cardiaque. C’est… Si c’est vrai, levez la main. Maintenant, quand vous vous en irez, vous la trouverez bien portante. Amen. Croyez-vous?
Maintenant, dans cette rangée, priez et dites : «Seigneur Dieu, ce petit prédicateur qui se tient là ne me connaît pas, mais Toi Tu me connais. Et je touche Ton vêtement. Accorde-le-moi, Seigneur, accorde-le-moi.»
Ici, juste là où un homme de couleur est assis, ici, au bout de la rangée… Il va subir une opération. Vous, monsieur. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Vous n’en avez pas besoin. Un mal de vessie. Croyez-vous que Dieu peut guérir ce mal de vessie? Croyez-vous en moi? (Il y a un bon esprit juste ici.)
77 Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu, ou Son serviteur? Excusez-moi, cela achoppe les gens. Croyez-vous cela? De tout votre coeur? Merci, Monsieur. C’est ainsi qu’il faut croire en ceux que Dieu a envoyés. Si vous voulez prospérer, vous savez ce qu’Il a dit de faire. M. Benton, c’est cela votre nom. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’une ville appelée Compton. Si vous croyez de tout votre coeur, cela est fini. Que Dieu vous bénisse.
78 Croyez-vous? Juste tout au fond de la ligne, il y a une dame. Elle est en train de prier pour un bien-aimé, et ce bien-aimé a une attaque d’apoplexie. C’est un homme assez âgé. Cette dame, Madame Dawson, croyez. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Je ne vous connais pas. Vous m’êtes étrangère, mais vous êtes en train de prier pour un bien-aimé, et ce bien-aimé a une attaque d’apoplexie. C’est un grand-père. Et il ne vit pas ici. Il vit dans un endroit appelé Bakersfield, et c’est un ministre de l’Evangile. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Croyez-vous? Ayez foi maintenant. Cette dame assise ici, qui est en train de prier, elle est cardiaque, elle est assise juste là derrière, en train de me regarder, croyez-vous que Dieu vous guérira, Madame? La dame aux cheveux gris, qui secoue la tête, juste tout droit par ici… Très bien, vous, oui. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Vous n’en avez pas besoin. Vos troubles cardiaques vous ont quittée maintenant.
79 Maintenant, écoutez, allez de l’avant. Eh bien, si vous perdez la foi… Vous vous sentez très bien, à l’instant même. La foi qui peut faire que vous vous sentiez très bien à l’instant même, peut vous garder ainsi aussi longtemps que vous gardez la foi. Mais ne doutez pas de cela. Amen.
Je… Voyez, c’est juste ici au-dessus de cette dame dans ce… juste derrière la dame qui est assise dans le fauteuil roulant. C’est la femme là derrière. Oui. C’est une… la dame… cette dame assise là priant pour sa – sa mère, celle qui est assise près d’elle là, vous êtes en train de prier pour elle. Croyez-vous que Dieu peut me dire son problème? Allez-vous… Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Très bien. Si vous croyez que cette maladie de Bright la quittera, elle la quittera. Imposez-lui la main, et croyez de tout votre coeur, et elle sera guérie. Ne doutez pas.
80 Oh! Il est la Rose de Saron, le Lys de la vallée, la confirmation qu’Il est vivant éternellement. Croyez-vous cela? Voudriez-vous venir en ce moment, comme une invitation? Tous… chaque âme pécheresse opprimée, voulez-vous venir maintenant et vous tenir ici? S’Il me révèle les problèmes des gens et tout concernant toutes ces choses… Il me dit maintenant qu’il y a des gens ici à l’intérieur qui doivent venir et Lui abandonner leur vie. Voulez-vous venir? Levez-vous simplement de votre siège, vous qui avez levé la main. Venez juste ici et tenez-vous debout. Vous qui n’êtes pas encore nés de nouveau, qui ne connaissez rien sur Dieu et sur ces choses, voulez-vous venir maintenant? Dans Sa Présence, si vous croyez que ceci est le Saint-Esprit, venez maintenant pendant que nous sommes debout et chantons un cantique, peu importe ce que vous avez… vous avez choisi, n’importe quoi.
81 Et pendant que nous sommes debout et chantons ce cantique, je voudrais que vous veniez immédiatement, avant que nous poursuivions le service de prière. Voyons… finissons-en avec ceci, car quelque chose venait de dire à ce moment-là : «Fais maintenant ton appel à l’autel. Tu as prêché sur la confirmation, et tu es là. J’ai confirmé que Je suis ici.» Amen.
Si vous ne voyez pas cela, vous êtes – vous êtes aveugle. Il y a quelque chose qui ne va pas. Vous êtes sans espérance, quand Dieu fait une chose de ce genre. Combien croient qu’Il est ici? Combien croient que c’est Lui? Je le crois, de tout mon coeur, avec ma Bible. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le grand JE SUIS (pas J’étais, JE SUIS), est ici, accomplissant dans la chair de ces gens la même chose qu’Il a faite quand Il était sur la terre dans la chair humaine. Alléluia! Je crois cela de tout mon coeur. Croyez-vous la même chose?
82 Pendant que nous sommes tous debout, que tout le monde vienne par ici ; j’aimerais vous serrer la main, me tenir ici et vous toucher. Et – et si vous voulez trouver Christ, implorez le pardon de vos péchés.
…abandonne tout,
J’abandonne tout,
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
J’abandonne tout.
C’est vrai. Sortez et venez par ici.
…abandonne tout,
J’abandonne tout,
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
J’abandonne tout.
Un instant. Une réprimande du Saint-Esprit : lorsque quelque deux cents mains ou plus ont été levées il y a quelques instants, et lorsque j’ai fait l’appel à l’autel, environ trois cents personnes sont sorties, allant dans une autre direction, et un petit garçon, deux d’entre eux sont venus et se sont agenouillés ici à côté. Vous parlez de Sodome et Gomorrhe, vous parlez d’un jour du jugement qui approche, lorsque Dieu dans Sa miséricorde montre tout ce qu’Il peut faire, et les gens sont tellement endurcis à l’Evangile qu’ils sortent carrément de la Présence du Saint-Esprit!
Vous direz : «Ce n’étaient pas eux les gens…» Oui. C’était des gens qui devraient venir. Si je sais ce que ceci représente, je sais ce que cela représentait. Certainement. Le Saint-Esprit a été extrêmement attristé. Et il se peut que vous l’ayez fait pour votre dernière fois. J’espère que non. Mais il se peut que vous ayez fait cela pour la dernière fois. C’est de la part du Seigneur. Et souvenez-vous-en simplement ; je ne suis pas un charlatan ; je ne suis pas un fanatique. Je sais exactement où je me tiens, et de quoi je parle.
83 Il n’est pas étonnant que nous ne puissions pas avoir de réveils. Il n’est pas étonnant que Los Angeles et le reste du monde soient en route vers l’enfer. Il n’est pas étonnant que vous soyez bons pour une bombe atomique. Vous petits enfants, pelotonnez-vous à côté de la croix et restez là.
84 L’heure est proche. Il n’y a pas longtemps, je suis allé à Bombay, en Inde. J’ai pris un journal, et il y était dit : «Le signe du tremblement de terre est terminé.» Deux ou trois jours avant que le tremblement de terre n’ait lieu, tous les petits oiseaux avaient fui leurs nids faits dans les murs de pierre. Toutes les brebis et le bétail qui se tenaient de part et d’autre des murs, étaient tous allés dans le champ, et y étaient restés, se tenant les uns contre les autres, s’appuyant en quelque sorte comme ceci les uns contre les autres, faisant de l’ombre les uns pour les autres.
85 Pourquoi? Il y avait un instinct. Quelque chose leur avait dit qu’un tremblement de terre venait. Ce tremblement de terre a écroulé les murs. S’ils étaient restés là, ils auraient péri. Mais maintenant, après que le tremblement de terre est terminé, ils sont rentrés de nouveau aux murs qui étaient restés encore debout.
86 Maintenant, permettez-moi de vous dire, ami, que ce Dieu de Moïse qui a pu les faire entrer dans l’arche, a pu les éloigner des murs. Et si Dieu, par un instinct dans un oiseau, a pu les mettre hors du danger, à combien plus forte raison ne devrait-Il pas mettre hors du danger l’homme qui est inspiré par le Saint-Esprit? Quelle chose mauvaise! Quelle génération adultère! Quel mauvais endroit que celui dans lequel nous vivons! Quelle nation impie et immonde nous avons : elle a abandonné Dieu, elle a Dieu en horreur, des chercheurs de signes, des cavaliers de chars, des musiciens, des imitateurs, des imitations charnelles. Ils sont conduits par un groupe de nullités, qui sont arrivés à la fin de la route. Je le dis au Nom du Seigneur. Je ferai l’appel une fois de plus. C’est à vous de répondre. Très bien.
J’abandonne tout,
(Venez, pécheur, dans la Présence de Dieu.)
J’abandonne tout,
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
J’abandonne tout.
J’abandonne tout (J’abandonne tout),
Je… ( …?… chant…?…)
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
J’abandonne tout.
87 Rappelez-vous, un jour je me tiendrai devant vous en Présence de Dieu, quand cette génération comparaîtra. Je vous donne ce soir d’être affranchis de vos péchés par Jésus-Christ. Je vous offre la paix qui dépasse tout entendement. Je vous offre le baptême du Saint-Esprit, si vous suivez les directives de la Bible de Dieu. Ne voulez-vous pas venir recevoir cela? Je…
Pendant que les ministres descendent, s’ils veulent, pour se mettre autour de ces gens…
J’abandonne tout, j’abandonne tout,
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
J’abandonne tout.
J’abandonne (J’abandonne tout),
J’abandonne (J’abandonne tout),
Tout à Toi, mon Sauveur béni,
J’abandonne tout.
Levons les mains maintenant et louons Dieu, chacun de nous. Abandonnez votre vie. Seigneur Jésus, reçois notre offrande, Seigneur. Ces gens qui sont à l’autel, reçois-les, au Nom de Jésus-Christ.